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Titre : Archives des sciences physiques et naturelles / par MM. de La Rive, Marignac et J. Pictet
Éditeur : A. Cherbuliez (Genève)
Éditeur : Bibliothèque universelleBibliothèque universelle (Genève)
Date d'édition : 1907
Contributeur : Pictet, François-Jules (1809-1872). Rédacteur
Contributeur : Galissard de Marignac, Jean-Charles (1817-1894). Rédacteur
Contributeur : La Rive, Auguste de (1801-1873). Rédacteur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327013645
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327013645/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 54236
Description : 1907
Description : 1907 (PERIODE4,T23).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Zone géographique : Europe
Description : Collection numérique : Thème : Les échanges
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k299127p
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 02/10/2008
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quatrième celle de l'eau oxygénée en présence de la catalase la cinquième la diminution; la sixième colonne nous donne le résultat de la combinaison de la catalase et de la peroxydase, etla dernière la diminution. Dans ces recherches on n'a pas fait varier la concentration de la peroxydase, mais celle de la catatase a varié de 0,00025 – 0,00075°/. –0,0) 7. -0,1 1/
L'examen de ces chiffres montre que la catalase même à des doses faibles diminue fortement, surtout au début, l'action de la peroxydase, mais que cette diminution ne va s'accélérant que jusqu'à la concentration de 0,< de catalase, toute nouvelle augmentation ne produisant qu'une diminution minime. Lorsque les quantités de catalase augmentent comme 0,00025 0,00075 la diminution n'est guère que du double lorsqu'on augmente de plus de 12 fois la concentration de la catalase la diminution n'est que de moitié et de même jusqu'à 0,1 puis, à partir de cette concentration, toute nouvelle addition de catalase n'a plus qu'un effet minime.
Au point de vue biologique, ces recherches prouvent que de faibles quantités de catalase diminuent sensiblement l'action de la peroxydase sur l'eau oxygénée, mais que l'accroissement de la concentration de la catalase n'est pas de nature à annuler l'action de la peroxydase.
Ceci montre une fois de plus que l'idée de Loew est insoutenable d'après laquelle l'eau oxygénée, si elle se formait au cours du métabolisme chimique cellulaire, serait immédiatement inactivée par la catalase même en présence des ferments oxydants. On voit égatement qu'il y a un partage entre les deux réactions.