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Titre : Archives des sciences physiques et naturelles / par MM. de La Rive, Marignac et J. Pictet

Éditeur : A. Cherbuliez (Genève)

Éditeur : Bibliothèque universelleBibliothèque universelle (Genève)

Date d'édition : 1907

Contributeur : Pictet, François-Jules (1809-1872). Rédacteur

Contributeur : Galissard de Marignac, Jean-Charles (1817-1894). Rédacteur

Contributeur : La Rive, Auguste de (1801-1873). Rédacteur

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327013645

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb327013645/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 54236

Description : 1907

Description : 1907 (PERIODE4,T23).

Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique

Description : Collection numérique : Zone géographique : Europe

Description : Collection numérique : Thème : Les échanges

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k299127p

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 02/10/2008

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a des électrons négatifs ainsi il se peut, qu'avant d'être sorti de la masse radioactive, les deux rayons Tt et se soient déjà formés et arrivent séparément, avec leur vitesse caractéristique, à la surface du corps. Nous n'insisterons plus sur les phénomènes bien connus de ionisation et de recombinaison qui sont engendrés par ces rayons entrant dans l'atmosphère. C'est ainsi que, d'une manière très simple, nous pouvons nous rendre compte de la formation du rayonnement <x et simultané. Relevons cependant encore les trois points suivants

10 Les rayons oc lents. Nous nous servons ici d'une expression qui n'a pas encore cours dans la terminologie radioactive, mais qui néanmoins caractérise clairement le phénomène suivant Rutherford a trouvé que le pouvoir ionisant des corpuscules <x, dépendant de leur vitesse, devenait nul dès que cette vitesse descendatt au-dessous d'une valeur déterminée, la vitesse critique =r1,5.')0'gM. Si donc des corpuscules o< sont expulsés avec une vitesse plus petite, leur existence ne pourra plus être constatée par nos appareils électrométriques, et pourtant ils formeront des rayons <x comme les autres nous les nommerons les rayons <x lents. S" Les rayons j3. Nous avions énoncé l'hypothèse que la désaggrégation de t'atome radioactif se faisait par séparation successive de t~oMpeme~ neutres. Comment alors se rendre compte des rayons ~3 qui se composent uniquement d'électrons négatifs ? On pourrait facilement recourir aux rayons oc lents et supposer que l'atome perde de temps en temps un groupement neutre o(-)-2j3. Par une cause interne, inconnue, ce groupement ferait immédiatement explosion, lançant ses particules avec des vitesses inversement propor-