simultanément si grande qu'elle reste le phénomène principal, qui, n'est pas très influencé par les variations de l'aimantation. La déviation se rapportant à l'hystérèse correspond à 92 divisions de l'échelle, la différence des déviations entre un maximum et un minimum de l'aimantation, seulement 5 divisions de l'échelle. Pour H = 3600 gauss, les cavités des deux courbes sont plus accentuées, elles croissent encore pour H = 5625, courbe 6; pour H = 8900, courbe 7, fig. 5 et pour H= 11 300 gauss, courbe 8, fig. 5. Les variations deviennent toujours plus rapides en même temps que la force du champ augmente, cependant on ne peut plus parler d'un maximum ou d'un minimum existant réellement car les maxima sont deplacés les uns par rapport aux autres de 19° par la rotation du champ dans le sens des angles croissants ou décroissants du cercle divisé. La courbe ponctuée de la fig. 6 qui se rapporte à une autre substance que le groupe des quatre courbes précédentes, montre que l'hystérèse de rotation se répète aussi trois fois dans l'espace 0 à 180°, de la même manière que les trois composantes de l'aimantation. Les phénomènes sont encore plus compliqués pour les cristaux qui viennent de l'île d'Elbe. Si l'on place le plan de base verticalement et que l'on fasse tourner le champ magnétique dans les deux directions, il résulte la paire de courbes de la fig. 7 si au contraire le plan de base est placé horizontalement sur l'axe de l'instrument, on a pour environ 7000 gauss, la fig. 8. II. Groupe des substances apparemment simples. Ces substances sont de petites lamelles minces très brillantes, qui sont souvent agglomérées à des cristaux