y et 21 sont les potentiels scalaires et vectoriels v est la vitesse de la lumière et u celle de l'électron to est le temps pour lequel on voudrait déterminer le champ de 2> et de £ dans un point de l'espace P p est la densité de l'électricité.
Lorentz a trouvé les solutions pour 31 et y
où les intégrales sont à étendre sur l'espace entier. Donc pour trouver les valeurs de § et de 25 il faut effectuer l'intégration de manière à coordonner la valeur de p qui existe dans un élément de l'espace <Jt à l'instant £ = «“£ avec la distance r de cet élément de P. Les distances r sont telles que les rayons de lumière, émis aux instants l = l0 ̃£• par les divers éléments de l'espace chargés arrivent tous au même instant i0 à P. Je suivrai M. de la Rive en appelant les t et les r les instants efficaces et les distances efficaces des éléments de l'espace.
Evidemment l'interprétation physique des intégrales est celle-ci Les contributions élémentaires de l'espace aux potentiels y et 21 se propagent avec la vitesse de la lumière. Quoique la forme élégante des intégrales les ait mises très en évidence, leur application est très difficile.
Wiechert a essayé de les appliquer à un mouvement « quasi-stationnaire » d'un électron. Il admet que les dimensions de l'électron soient très petites en comparaison des distances efficaces r; et il en conclut que