l'arrêt du 23 juillet 1652, donnés au Parlement contre Mazarin, toutes les chambres assemblées, où l'on verra 1. que les arrêts d'un si auguste Parlement que celui de Paris doivent être inviolables, principalement quand ils sont donnés pour délivrer l'État de la prodigieuse tyrannie où il est; 2. qu'il y va de la gloire de Dieu, de l'honneur du roi, du salut de la couronne, du repos public et du bien universel de tous les peuples de France; 3. qu'il n'est point de François qui ne soit véritablement obligé de répondre un jour, devantDieu, de toutes les voleries, meurtres, violences, incendies et sacrilèges que Mazarin et ses complices font et feront de toutes parts, si on ne les en empêche, le pouvant faire; 4. qu'il n'y a rien de si facile que d'en venir à bout par un soulèvement général, puisque tous les autres moyens nous ont manqué; 5. et qu'il n'est point de peuple qui n'ait le droit de se faire justice soimême, quand on refuse de la lui faire. (S. 1. n. d.) 43 pages.
Longue, violente et sotte déclamation.
1398. Flambeau (le) d'Olympe, dédié à monseigneur le duc de Beaufort, avec la voix et les vœux du peuple, ( par le sieur Barroys. Paris, veuve d'Anthoine Coulon, 1649, 8 pages. &+*“ >. '̃ /'u-k, '.t.)
« Sur le sommet du mont Olympe, cn la Natolie (sic), il y a un feu au milieu duquel un arbre naît, sans en être brûlé. » Cet arbre, c'est le duc de Beaufort.
1399. Fléau (le) de l'esprit de Dieu sur les ministres à deux cœurs, à deux maîtres et à deux visages. « Le Seigneur veut que l'hypocrisie de ceux qui se glorifient en lui, pendant qu'ils le nient par des actions publiques, soit franchement reprise et hautement con-