ils tenu un tel langage ?» A mon tour, je réplique les pamphlétaires du prince de Condé demandaient, aussi haut que les autres, la suppression « du pernicieux usage de succéder auxgouvernements comme aux patrimoines. » Le prince lui-même dut, plus d'une fois, se soumettre à cette exigence de l'opinion dans les conférences et les traités. Cependant il s'était brouillé avec la cour parce qu'elle n'avait pas voulu qu'il recueillît l'amirauté dans la succession de son beau-frère, le duc de Brézé.
Les partis sont des maîtres bien durs. Ils ne donnent le commandement qu'à ceux qui leur rendent une entière obéissance. Il y a, du Contrat, une édition in-8, s. 1. n. d., de 6 feuillets. 784. Contrat fait et passé en la ville de Pontoise, le 13 août 1652, entre le cardinal Mazarin et le marquis de la Vieuville, surintendant des finances. Paris, 1652 8 pages.
Facétie piquante, qui n'est pas précisément une vérité, mais qui n'est pas non plus une calomnie.
785. Contre les ennemis de la conférence et de la paix. Alidor à Ariste. Paris, 1649, 10 pages.
Entre la conférence de Ruel et celle de Saint-Germain. 786. Contrecoup (le) du coup de partie, faisant voir qu'après l'établissement d'un régent, 1. on doit faire commandement à toute sorte d'officiers, tant généraux que gouverneurs de villes et de provinces de remettre la personne du roi entre les mains du régent; 2. on doit faire le procès à tous ceux qui ont contrevenu à la déclaration donnée contre Mazarin 3. on doit casser tout ce qui sc sera fait en cour depuis le commencement de ces troubles 4. on doit ravir aux partisans le bien qu'ils ont pillé au peuple pendant le ministère du Mazarin pour soulager le peuple; 5. on doit fermer au clergé toutes les portes du gouvernement,