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Titre : Histoire romaine de Dion Cassius. Tome 1 / traduite en français, avec des notes critiques, historiques, etc., et le texte en regard... par E. Gros,... [et V. Boissée]

Auteur : Dion Cassius (0155?-0235?). Auteur du texte

Auteur : Jean Xiphilin (10..-10.. ; historien). Auteur du texte

Éditeur : Firmin-Didot frères (Paris)

Date d'édition : 1845-1870

Contributeur : Gros, Étienne (1797-1856). Traducteur. Notes éditoriales

Contributeur : Boissée, V.. Traducteur

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb303439525

Notice d'oeuvre : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb122405360

Type : monographie imprimée

Langue : grec ancien

Langue : français

Format : 10 vol. ; 23 cm

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Description : [Histoire romaine (français-grec ancien). 1845-1870]

Description : Comprend : [Histoire romaine de Dion. Livres 61-80. Abrégé]

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k297621

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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videtur faina. Après avoir mentionné l'opinion d'Ennius et de Varron, il cite Denys d'Hal. A. R. Il. 05, et Plutarque, Romul. IX, qui la confirment; arrivé au passage q ni nous occupe, il poursuit en ces termes « Quod petitum est e Grsecorum scriptorum historiis, varie de Rorrae origine prodentium in quibus tamen quid veri sit, nemo unquam poterit extricare. Romani certe Romam quadratam Romuli urbem appellaverunt, et factum fortasse, ut, qui ampliorem hanc fuisse crederent, Romœ quadratœ quam angustissimis finibus fuisse constabat, antiquiorem originem esse putarent. »

XI. La discorde éclata (p. 25). Cf. Denys d'Hal. A. R. T, 87, et Plutarque, Romul. X.

XII. De Rome qu'il allait fonder (p. 27). Tacite, Ann, XII, 24 Sed initium condendi et, quod Pomœrium Romulus posuerit, noscere haud absurd um reor. igitur a foro Boario, ubiœreum tauri simulaerum aspicimus, quia id genus animalium aratro subditur, sulcus designandi oppidi co>ptns, utmagnamHerculis aram amplecteretur. Inde certis spatiîs interjecti lapides, per ima montis Palatini ad aram Consi, mox ad Curias veteres, tnm ad Sacellum Larium, Forumque Romanum; et Capitolium non a Romulo, sed a Tito Tatio additum urbi credidere. » Cf. dans M. G. Ad. Becker, 1. 1. p. 10-18, tout le chapitre intitulé De Urbe in Palatio condita ejusque Pomœrio.

Les formalités prescrites pour la fondation des villes étaient contenues dans les Rituels Étrusques. Festus, p. 155, éd. de M. F.gger « Rituales nominantur Etruscorum libri, in quibus perscribtum est, quo ritu condantur wjôes,arafi,œdessacrentur, qua sanctitate mûri, quo jure portée, quomodo tribus, enriœ, centuriœ distribuantur, exercitus constituantur, ordinentur ceteraque ejusmodi ad helluni ac pacem pertinentia. Il serait superflu de parler encore de l'incertitude qui règne sur la date de la fondation de Rome. Tout a été dit à ce sujet. Cf. Pighius, Annal. Rom. t. I. p. 11-14, éd. Schott, Dodwel, De Antiquis Romanorum Cyclis, Diss. X. § LVI1I et LIX, p. 557-561, et Niebuhr, 1. 1. p. 367-385. Un savant professeur de l'Université, M. Duruy, Hist. Rom. t. I. p. 110-111, Paris, 1843, résume ainsi les faits relatifs à cette question «Quandoncommença assez tard à vouloir établir une chronologie pour l'histoire romaine, « c'était une croyance traditionnelle (cf. Servius ad /En. I. 268) que Rome avait été fondée 360 ans après la ruine de Troie, et qu'entre sa fondation et sa destruction par les Gaulois, il s'était écoulé un même nombre « d'années. Sur cette période de 360 ans, on en prit un tiers pour les « consuls ou 120 ans les deux autres tiers ou 240, et avec quatre an.c nées intercalaires 244, formèrent la part des rois. Or, 390, date de la n prise de Rome par les Gaulois, plus 364, donnent 754. Seulement, comme « pour cette même date fondamentale on variait de quelques années, les