sition la plus élevée, il se chargeait ouvertement pour les autres de tout ce qui était pénible: quant aux choses agréables, il les leur abandonnait volontiers; ne gardant rien pour lui, ou presque rien, et jouissant en secret du peu qu'il s'était réservé. Une entreprise réussissait-elle il attribuait le succès au premier venu plutôt qu'à luimême, laissant chacun en recueillir le fruit, suivant ses besoins. Éprouvait-il un échec il ne l'imputait jamais à un autre et n'en faisait partager à personne la responsabilité.
De plus, il sut plaire à toute la cour et à chacun des amis de Marcius, par ses actions comme par ses paroles. Libéral dans l'emploi de ses richesses, prêt à servir ceux qui réclamaient son appui, ses discours et ses actes n'avaient jamais rien de blessant jamais il ne se déclara spontanément l'ennemi de personne. Enfin, recevait-il un service, il le grossissait; avait-il essuyé un mauvais procédé, il le dissimulait complétement, ou il s'efforçait de l'atténuer loin d'en tirer vengeance il n'avait de cesse qu'après avoir gagné par ses bienfaits celui dont il avait à se plaindre.
Par cette manière d'agir, qui lui attira l'amitié de Marcius et de sa cour, il acquit une grande réputation de sagesse plus tard, sa conduite fit voir que la plupart des hommes ne méritent aucune confiance à <pooiXi<7a; itapsXoyïÇeTo. Dans le texte de Dion, au lieu de l'ancienne leçon irai xo [isïÇov, j'adopte hd to ijisîîov d'après Saumaise.
5. Le même 1. 1. Où fiôvov TE oùx rifiûvaTO tèv XeXvir/ixoTa àXXà xaî sùïipyi-si. A la place de l'aoriste r^'ha-o qui se trouve dans Dion comme dans Zonara, j'écris Vûwto, à cause de l'imparfait eOnpTÉiei. 6. Le même, 1. 1. Toûtotc ceùtôv xs tov Mdpxiov xal toùç itepî aùrov iytiptoaato, même, 1. àvSf.6; h.Tt\rîxio cT&ipoû te xai àyaôoù àXX' où Ttpofjé^îivEpr~172to, XCCL 86~av à."apO; lx.T-Í¡aIXTo O"o,ou %ai à.YIX60ù' liÀÀ' où 1>poaÉ¡J.EtVE jjté)(pt tsXouç aÛTtj> i\ \yïzol.r\ùiç