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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1932-04-03

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 03 avril 1932

Description : 1932/04/03 (Numéro 94).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k296922f

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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vernants et dont l'un est même un ex-ennemi On dirait que c'est une gageure, qu'on s'ingénie, à force de défis au bon sens et sans doute aussi à la plus vulgaire honnêteté, à faire des mécontents, c'est-à-dire des communistes. Kuhn, Loeb, Hoover,. Borah et tutti quanti ont bien tort de se mettre martel en tête pour nous acculer à la ruine en trucidant par-ci parlà quelque financier aux abois et en faisant pleuvoir les bilans, nous nous en chargeons bien nous-mêmes. i

Mais qui sait si, en allant au fond des choses, on ne retrouverait pas encore dans ces suggestions saugrenues la sinistre main qui gouverne le monde et fait danser les pantins sur la scène ?.“

̃̃̃•• 'Albert Surièr.

Concours hippique de Paris Mme Courtois, sur « Manitoba », et le comte de Mony-Pajal, sur « Fougna », enlèvent le prix Neuflize

La journée d'hier au Grand Palais, a été très brillante. On courait le prix Neuflize, parcours par équipes composées d'une amazone et d'un gentleman.

Cette épreuve, qui a réuni 90 engagements, a vivement intéressé le public, qui n'a pas ménagé ses bravos aux charmantes et intrépides amazones. Quelques chutes sans gravité, quelques dérobades ont animé le spectacle. Les obstacles, assez difficiles, ont été très bien sautés par les chevaux les mieux classés.

Voici le palmarès

1er prix Mme Courtois, sur Maniloba, au comte dt- Mony-Pajal, et le comte de Mony-Pajal, sur Fougna 2e prix la comtesse de Castries, sur Fanfan la Tulipe, et le duc de La Trémoïlle, sur Capatou 3° prix Mme Hasselboch, sur Tartarine, au comte de Peyrelongue, et le vicomte de Jonghe, sur Orléansville, au baron Empain; 4" prix la comtesse de Castries,. sur Alba.no, et le vicomte de Jonghe, sur Velléda, au baron Empain 5* prix Mme Horngren, sur Irish Quaker, et le duc de La Trémoïlle, sur Sybarite; (i° -prix Mme Courtois, sur Diogène, à M. Jean JDupmy et M. Dogny, sur Camponoc, à M. Ischcnaûer prix la comtesse des Castries, sur Rosette X/V, à- M. de Royer, et M. Gibault, sur Etoile XVII, à M. Clayeux 8" prix Mme Hasselboch, sur Baladihe, et M. Thomas, sur Félibre 9" prix Mme Horngren, sur Diantantine, à la comtesse de Castries, et M. Balay, sur Alerte, à M. de Vallerin 10° prix Mme Courtois, sur Pacotille, au vicomte de Salignac-Fénelon, et M. de la Chauvelais, sur Cérès V, à M. Destrebecq 11° prix Mme Davey, sur Camélia, et M. Salmon, sur Gay Boy.

La comtesse de Castries, avec Fanfan la Tulipe, reçoit le prix pour le meilleur parcours d'amazone, et le comte de Mony-Pajal, avec Fougna, celui pour le meilleur parcours de gentleman.

Un défilé d'attelages clôture l'après-midi. On admire beaucoup les deux tandems de MM. H. Franchomme et Landrin, les américaines du baron Jean Empain, celle de Mme Léon Thome, celle de Mlle Holder, le coupé de M. Edward Cachard, le pill-box et la victoria de M. Vignier, le rood-car de M. Gerbault, le buggy et l'américaine de M. Franchomme. Pendant la matinée, les quatre ans de poids lourds ont été examinés. Des poulains nés en Normandie ont été classés en tête dans les deux divisions. Les principaux lauréats ont été

Dans la grande taille Gyp, par Rigoletto, à M. Hervieu Gâcheuse, par Algérien, à Mme Hardy Grain de Beauté, par Le Rapin, au marquis de Croix, et Garde à lous, par Sablonnet, à M. Corbé. Dans la petite taille, Galatée, par Viens-tu, et Glaieul, par Gambaiseul, tous deux à M. Hardy; Gladiateur, par Lignite, à M. Henry, et Généreux, par. Vieux Coureur, à M. Oberthur.

Au programme d'aujourd'hui dimanche, plusieurs exhibitions intéressantes. Dans la matinée, prix des Juniors, dans lequel 31 jeunes concurrents engagés, dont deux demoiselles, vont affronter les difficultés d'un bon parcours d'obstacles.

Dans la journée, carrousel des officiers de réserve membre de l'Union des sociétés d'équitation militaire de France. C'est toujours un fort joli spectacle, très goûté du public.

Les prix internationaux pour les chevaux de trait attelés nous montreront les plus beaux équipages des maisons de commerce ou de livraison (43 engagements)..

Enfin, 56 de nos meilleurs officiers nous offriront le spectacle toujours très applaudi des sauts par quatre.

M. NOEL CHARAVAY

M. Noël Charavay, l'expert en autographes universellement connu et unanimement apprécié, vient de mourir subitement en son domicile de la rue Furstenberg, ainsi que nous l'avons annoncé hier. M. Charavay succéda à MM. Jacques et Etienne Charavay, qui laissèrent tous deux le souvenir d'une compétence et d'une intégrité indiscutables. Cet érudit, de qui la conscience professionnelle était proverbiale, eut durant toute sa carrière, qui fut brillante, 'le seul orgueil de respecter les saines traditions qui lui furent inculquées. Sa devise « Honneur s'élève A grand labeur », fut la ligne de conduite à laquelle il ne faillit jamais. Les délicates fonctions qu'il remplissait. les importantes missions que maintes fois il accomplit lui conquirent l'estime et l'admiration de tous. Au cours des multiples ventes qu'il assistait, tous les collectionneurs se plaisaient à rendre hommage à sa science et à sa droiture. Un avis de M. Noël Charavay était considéré comme un verdict. La dernière vente à laquelle il prêta son concours fut celle de la précieuse collection de feu M. Henry Fatio il la dirigea en compagnie de M. Henri Darel.

M. Noël Charavay, qui meurt à soixante-dix ans, ne laissera que des regrets dans le monde des ama.teurs d'autographes, des collectionneurs et des habitués des ventes publiques. 11 était chevalier de la Légion d'honneur. M. M.

L'OISEAU QUI CHANTE

Admirez-le sur la délicieuse couverture- des Enfants de France, de A. Marty. Des artistes charmants, tels qu'Hellé, Rojan, tranchant, Malo Renaut, Ray Lambert ont contribué à faire de ce numéro un petit chef-d'œuvre pour enfants et parents.

Quel joli cadeau à faire à vos jeunes amis, qu'un abonnement à cette Revue.

Demandez un spécimen au 1,4, Rond-Point des Champs-Elysées, Paris, il vous sera envoyé.

LE CHOMAGE

1 Une statistique officielle indique v. une légère régression

̃Le ministère du travail publie au Journal officiel les chiffres relatifs au marché du travail à Paris et dans les départements.

A la date du 26 mars 1932, le nombre des chômeurs inscrits est de 303.218, dont 243.087 hommes et 00.131 femmes. La semaine passée, le nombre des chômeurs bénéficiaires d'allocations était (le 305.496 (245.777 hommes et 59.718 femmes) pour la première fois depuis près d'un an, le nombre des chômeurs inscrits est en diminution et, pour la dernière semaine, la diminution est de 2.278 unités.

A la date précitée du 26 mars, on compte 158.653 chômeurs inscrits dans le département de la Seine, coiltre 159.301 la semaine dernière.

Lés Cours, les Ambassade^ le Monde et la Ville

Cours

S. M. Bao Dai, Empereur d'Armani, a rendu visite, hier matin, à Rabat, à M. Urbain Blanc, délégué à la résidence générale. Le souverain a déjeuné avec sa suite chez Si Abderrhmane Bargach, pacha de Rabat. Dans l'après-midi, l'Empereur d'Annam, accompagné de son cousin, le prince Vinh Khan, et de M. Charles, gouverneur général des colonies, s'est rendu au palais injpérial, où il a été reçu en audienpe .privée par S. M. le Sultan. S. M. Bao Dai a été présenté a S. M. Sidi Mohamed par M. Urbain Blanc, qu'entouraient les membres des cabinets civils et militaires. Au cours de cette audience, le Sultan a remis à l'Empereur d'Annam le cordon de grand'croix d'Ouissam Alaouite.

L'Empereur d'Annam et sa suite ont quitté Rabat pour Casabla-nca et Marrakech, outils sont arrivés dans la soirée. •'̃̃ ̃«̃•

S. A. R. le Duc de Nemours, fils unique de feu le Duc de Vendôme et de S. A. R. la Duchesse de Vendôme, née Princesse Henriette de Belgique, sœur de S. M. le Roi des Belges, -fêtera demain le vingt-septième anniversaire de sa naissance.

S. A. R. la Princesse Sixte de Bourbon-Parme vient de rentrer à Paris, après un voyage d'un mois et demi en Egypte, Palestine, Syrie et Transjordanie. Dans les Ambassades

S. Exc. M. Tomas Le Breton, ambassadeur de la République Argentine en France, qui a débarqué à Lisbonne, est arrivé vendredi soir à Paris par le SudExpress, devançant le retour des autres passagers du grand paquebot. L'éminent diplomate était attendu à la gare d'Orsay par M. Perez Quesada, chargé d'affaires, et par tous les membres de l'ambassade.

S. Exc. M. Ketels, ministre de Belgique à BuenosAires, est attendu à Bruxelles à la fin du mois. S. Exe. l'ambassadeur des Etats-Unis en Argentine et Mme Wood Bliss ont donné, hier, un thé fort élégant à l'occasion de leur départ pour Buenos-Aires. M. et Mme Wood Bliss s'embarqueront le 7 avril pour l'Argentine.

S. Exe. M. Rodolphe'Nadolny, ambassadeur d'Allemagne à Ankara, qui préside actuellement la délégation allemande à la conférence sur le désarmement, ne retournera plus à son poste.

S. Exc. M. Ernest Vorestzsch, ambassadeur du Reich au Japan, quittera également Tokio prochainement. M. A.-B. Bueno du Prad, secrétaire de légation attaché à la légation 'du* Brésil en Allemagne, va aussi quitter définitivement -Berlin.

En l'honneur du départ du baron Dayet, -chargé d'affaires de France à Caracas, au Venezuela, S. Exe. "i le ministre dé Belgique et Mme Watteeuw ont donné un dîner auquel assistaient S. Exc. le ministre des Etats-Unis d'Amérique et Mme H. Stabler, le docteur et Mme Elmendorff, M. T. Summerlin, Mme Liddell, miss Semple, senorita Chicha Freeman, etc.

Monde officiel

M. Maurice Saint, résident général de France au Maroc, a quitté Paris hier soir, par la gare d'Orsay, pour rejoindre son poste à Rabat.

La colonie canadienne de Paris a offert un déjeuner en l'honneur de M. Maurice Dupré, solicitor general du gouvernement d'Ottawa, de passage à Paris, et qui se rend à Genève pour représenter son pays à la Conférence du désarmement.

Au cours de cette manifestation à laquelle assistaient M. Philippe Roy et le haut personnel de la légation du Canada, ainsi que de nombreuses notabilités canadiennes, M. Me Kinnon, président de la section canadienne de la Chambre de commerce britannique de Paris, et M. Maurice Dupré ont pris successivement la parole.

Reyor.

Mme Alberto Pani, femme du ministre des finances du Mexique, est arrivée hier à Paris, venant de Madrid, et accompagnée de Mlle Consuelo Pani, sa fille, et de Mlle de Lopez Figueroa. Mme Pani se rend à Berlin et de là à 'Hambourg où elle s'embarquera pour le Mexique.

» Une personnalité française de chrétienté #

LE JUBILÉ DU CARDINAL LÉPICIER

Il y a cinquante-quatre ans, le petit Alexis Lépicier, par cette même Porte de France qu'autrefois Jeanne d'Arc avait franchie, quittait Vaucouleurs, sa ville natale, et s'en allait, comme Jeanne, là où une vocation l'appelait. Il voulait entrer chez les Servites de Marie, et sa dernière visite, qui prenait congé de tous les souvenirs et de toutes les affections de son enfance, fut rendue à la vieille Madone de la vieille église de Vaucouleurs, au pied de laquelle, autrefois, Jeanne avait prié.

Le jeune homme se tournait il avait alors quinze ans vers un institut religieux qui, de par la merveilleuse histoire de ses origines, se donnait comme mission de rappeler ;au; inonde chrétien les douleurs de la Vierge, institut volontairement obscur, volontairement 'pf,^ lacé. Cette obscurité, cet effacement, cette familiarité constante avec les transes de la « Vierge sept fois douloureuse », avaient séduit, dès le treizième siècle, les sept gentilshommes florentins qu'on avait vus s'enfoncer dans le désert du Monte Senario, en quête d'une mystique et décisive revanche sur les déceptions de la richesse et de la gloire et les générations de Servites provençaux dont le P. Auguste Lépicier, dans son pittoresque livre A la recherche des cloîtres perdus, nous déroulait récemment la belle légende dorée, les « Pères Serviettes », ainsi que les appelait le bon peuple de Provence, avaient à leur tour dédaigné, comme moyen de succès, le bruit et le prestige, et voulu que leur action ressemblât « à ces eaux de Silvé qui coulent en silence ». En cette année 1878, à l'âge où s'éveillent la joie de vivre et la soif de gloire, Alexis Lépicier n'aspirait à d'autre destinée qu'à devenir plus tard un « Père Serviette », là où des religieux garde-

TEMPS PROBABLE

Région parisienne. Temps médiocre!, et frais. Ciel très nuageux ou couvert, rares éclaircies. Pluies et averses alternant. Température stationnaire ou en légère baisse. Maximum .•12°.

France. Situation s'aggravant dans le Sud avec averses orageuses on orages, continuant à être mauvaise ailleurs avec pluies, averses et rares éclaircies. Vent du secteur Ouest fort dans la moitié Nord, assez fort dans la moitié Sud. Température en baisse générale faible. Aviation. a) Région parisienne Ciel très nuageux ou couvert par nuages moyens doublés de nuages bas pluies et averses alternant. Vent Ouest 60 à 80 kilomètres à l'heure. Visibilité assez bonne, devenant par places, pendant les fortes précipitations, médiocre. b) Vers Londres, Hruxew.Es, Cologne, Strasbourg Comme dans la région parisienne.

Manche. Pluies et grains alternant rares éclaircies. Vent dit secteur Ouest très fort.

Dans le Monde- •.̃<•=-̃̃ Le baron et la, baronne; A." de Neuflize vont avoir pour hôte, en leur hôtel du boulevard Maillot, à Neuilly,

la comtesse de Bessborough' femme du gouverneur du

Canada et sœur de lit .baromjç de Neuflize, qui doit arriver ce matin à Paris, -actompagnée de son fils aîné, le vicomte Duncannon.

Mme Naris.chkine 'offrait, jeudi, un thé suivi de musique en ses salons de l'avenue Lowendal. Au programme Mlle Youriezitch et M. Alexis Kornouhkoff, de l'Opéra impérial russe.

Parmi les invités marquise de Talleyrand-Périgord, princesse Edmond Ruspoli de Poggio Suasa, comtesse d'Ursel, princesse Wladimir Troubetskoy, général et Mme Miller, baron et baronne de Meyendorff, Mme Nicolas Lubimova, baronne Rosen, Mrs Paul Horst, Mlle Wanda Koster, -M. Herbert Howland, etc.

Avant son départ po\fr l'Espagne, M. Eugenio d'Ors a été fêté par un groupe d'amis argentins, au cours d'un dîner intime dont' les convives étaient: Mme Sucre de Perez, femme de S. Exc. l'ambassadeur d'Argentine à Rome le chargé d'affaires d'Argentine et Mme Perez Quesada, M. et Mme Joaquin Cueto, Mlle Delia de Acevedo, Mlle Maria Luisa Nocetti Seeber,' M. Fernando Perez Sucre, etc.

-i Le comte et la comtesse de Villefranche ont quitté Paris pour se rendre à Rome.

Le marquis et la marquise de Boisgelin, après un assez long séjour à Nice, sont de retour à Paris. S. Exc. lord Derby, ancien ambassadeur d'Angleterre en France, et lady Derby, lord et lady Fermoy, lady Ribblesade, lady Oxford et-Asquith, le prince Karageorgevitch, le général. 'et, Mme Taufflieb, le baron et la baronne Ramsay, -le. colonel et Mme Jacques Balsan, le comte et la comtesse delBaubigny, le baron et la baronne Robert Plaisance, etc., sont en ce moment à Cannes.

Thé-bridge et poker, à -Bruxelles, chez Mme Yvan Feyerick .•̃• ̃>

Reconnu Mme Rooman d'Eribuer, comtesse Goe. thals, comtesse Alex. de. Hemptinne, Mme N. de Cocquéau des Mottes, Mme Léon Feyerick, Mme R. Drory, Mme Michel Kervyn d'Oud Mooreghem, Mme Ed. Lippens, Mme L. de Hemptinne, Mme G. d'Udekem d'Acoz, Mme J. Fey-eriçk, Mme van Acker, Mme F. de La Croix, Mme M. Drory, Mme P. Dierman, Mme Feyerick, Mme H. de Smet de Naêyer, Mme M. de Hemptinne, Mlle G. Vergauwen, Mme G. Braun, Mme H. Braun, Mme R.-G. de Hemptinne, Mme A. de Hemptinne, Mme -X. de Burbure de Wesembeek, Mme E. de Hemptinne, etc.

~i~an~ ;ln lH)/,ÎI,¡¡!" n., ,J<1(" 'Tn.,Z~.t.

22ÎSOTM*. MSHÉWM^ ?M fflfïï.M\

Le baron Jacques d~Arey et la baronne, née Geneviève Lestre, sont heureux d'annoncer la naissance de leur fille Monique. 96, rue' de Miromesnil, 19 mars. Louis, Marie-Odette, Philippe et Bernard de Séguin des Hons sont heureux de faire 'part de la naissance de leur petit frère Henri. Haphong (Tonkin), le 25 janvier 1932. -.̃ ̃̃̃̃

La comtesse de Vàucelles, née Précourt, a heureusement mis au monde un fils: Louis. Paris, 12 mars. r ̃ La comtesse' Jacques de Maigret, née Marie-Henriette de Persan, a heureusement mis au monde un fils: Hervé.

Bienfaisance 0: >: '̃>•̃̃. `~

C'est samedi prochain 9 avril qu'aura lieu, salle Hoche, la soirée dansante organisée au profit de l'Orphelinat d'Halluin, à Arras, et de l'œuvre de la Miséricorde. Les secrétaires du comité sont MM. H. Clouët des Pesruches et Jean Firmin-Didot. ̃

On peut se procurer des billets (20 fr.) chez Mme D. Clouët des Pesruches, 7, rue Bayard chez Mme G. Firmin-Didot, 56, rue des Saints-Pères chez Mme Nouguier, 3, avenue Bugeaud, et, le soir, à l'entrée du bal.

Sous le haut patronage de la Grande-Duchesse Xenia; de Russie aura lieu, ,au profit des familles des chômeurs russes, le samedi 9 avril, à vingt et une heures, en l'église de la Rédemption (16, rue Chauchat), un concert donné par le chœur- réputé de la cathédrale russe de la rue paru, qui, souS;;la dilution de son chef,

raient le droit d'associer sous un même toit leurs prières et leurs courages.

Quatre ans plus tard, il faisait sa profession religieuse dans la famille spirituelle des Servites et Rome, jeudi dernier, fêtait comme un événement historique le jubilé de cette profession. Le jeune P. Lépicier se vit bientôt assigner la mission d'être l'éducateur d'autres Servites il fut maître des novices, deux ans durant, à Londres et puis, dès 1892, il succéda, dans la chaire de théologie thomiste du Collège de la Propagande, au cardinal Satolli. Dans cette grande institution ou Rjpjne, depuis trois cents ans, groupe des clercs de toutes couleurs et de toutes langues pour fajré d'eux les apôtres du Christ, il fut, pendant pins d'un quart de siècle,, Un >maîtré; es choses divines, potit* les missionnaires de demain. Je iïe crois pas qu'il y ait au monde beaucoup de professeurs dont la parole ait eu des échos aussi lointains, des répercussions aussi multiples lorsqu'il cherche de poste en poste, sur le planisphère, les noms des missionnaires qui fondent ou gèrent des chrétientés, sans cesse s'évoquent devant sa mémoire des physionomies d'élèves qui jadis recueillirent ses disciplines théologiques. Futurs confesseurs de la foi, futurs martyrs peut-être, demeurent, dans lés neiges du pôle ou sous la canicule de l'Equateur, les fils de sa doctrine, qu'en vingt-quatre volumes il a codifiée. Tout en même temps» et sans jamais le décharger de ses très lourdes besognes d'enseignement, Léon XIII et Fie X introduisaient le P. Lépicier comme consulteur dans un certain nombre de congrégations romaines, et le suffrage de ses pairs le faisait, de 1913 à 1920, supérieur général des Servites de Marie.

̃>

Il était réservé à Pie XI de discerner chez lui le don des langues, et d'utiliser ce polyglotte expert pour de lointaines et fécondes missions. Fait archevêque de Tarse en 1924, le prélat prenait le chemin des Indes, comme visiteur apostolique. Il s'y voyait accueilli avec le plus grand respect, à titre « gourou de Rome », dans les cercles les plus authentiquement païens, tels que l'université de Bénarès il avait la joie de lire au nom du Pape, du haut de la chaire d'Ernakulam, le document qui donnait une hiérarchie régulière à la chrétienté syromalabare, longtemps détachée de Rome il voyait les cipayes disputer aux éléphants la gloire de porter le représentant du Pape, sous la majesté des arcs de triomphe, dans les rues que de somptueux tapis décoraient.

En 1927, Pie XI l'envoyait en Abyssinie làbas, c'est un mulet qui lui servait de monture, et les quatre cents moines d'un couvent copte s'honoraient de laisser le visiteur apostolique

M. Alfonsky, exécutera les chants de la Passion de lasemame sainte.

Cercles

Le dimanche 10 avril, à quatorze heures, vernissage de l'Exposition de peinture des œuvres des membres du Lyceum de France (17, rue de Bellechasse), sous la présidence de la duchesse d'Uzès, née Mortemart. Le prochain déjeuner de l'Association des Français d'Indochine aura lieu le mardi 5 avril, à l'hôtel des Sociétés savantes (8, rue Danton). Il sera présidé par M. Doumergue, ancien président de la République, qui retrouvera à cette réunion quelques-unes des personnalités qu'il connut en Cochinchine, plus spécialement à Tay-Ninh, où il fut président du tribunal. '<•>' Mariages

Nous apprenons les fiançailles de Mlle,Germaine, Duplat avec M. Robert Louis, ingénieur E. T. P., membre de la Société des ingénieurs civils de France. Deuils •̃̃ ̃̃•

Le docteur Pierre Teissier, professeur à la Faculté de médecine, membre de l'Académie de médecine et du conseil de l'Université de Paris, a succombé à l'âge de soixante-huit ans. Il était commandeur de la Légion d'honneur.

Le corps a été transporté à Bordeaux pour les obsèques et l'inhumation.

A Cusset (Allier) est mort dernièrement le commandant en retraite de Vernon, chevalier de la Légion d'honneur, décédé à l'âge de quatre-vingt-deux ans. Il était le père de M. Maurice de Vernon, notaire à Cusset.

En la chapelle du Val-de-Grâce, hier matin, ont été célébrées les obsèques du général de division Mengin, ancien directeur de l'artillerie. Le corps avait été exposé dans le salon d'Anne d'Autriche.

La levée du corps a été faite et l'absoute donnée par l'abbé Didier, aumônier du Val-de.Grâce.

Le deuil était conduit par le capitaine Gény, M. Gény, neveux du général le colonel Décus, son allié. Dans l'assistance les généraux Maurin, directeur de l'artillerie au ministère de la guerre Félineau, Potier, Bladier, Sénéchal, Tardy, Fontanès, Burckhardt, Bocquet, Bally, Piquemal, Garnier, etc.; les colonels Reillen, Leveu, etc.

L'inhumation a eu lieu au cimetière de Thiais. Nous apprenons la mort de M. Paul-Eugène Benoist, notaire honoraire.

Le commandant R. Legrand nous prie de faire part.de. la mort de Mme Legrand, née Isabelle. Labat. L'inhumation a eu lieu à Biarritz, -;Nous apprenons la mort de Mme Frédéric, Gênerai,. née Charlotte Astruc de Sâint-Germain,. déçédée à Sorgues, le 31 mars 1932, munie des sacrements de l'Eglise.

M. Paul Boulenger, Mlles Elisabeth et Marguerite, MM. André, Pierre, Jean et Marc Boulenger ont la douleur d'annoncer la mort de leur fils et frère Jacques, noyé accidentellement le 29 mars, à l'âge de dix-neuf ans, au cours d'une promenade en barque.

Le corps n'ayant pu être retrouvé qu'après de longues recherches et l'inhumation devant avoir lieu d'urgence à Seyssins (Isère), dans la sépulture de famille, un service sera célébré le jeudi 7 avril 1932, à onze heures, en l'église Saint-Louis de Choisy-le-Roi, sa paroisse. Il ne sera pas envoyé d'autre invitation. ̃ Valfleury. 1

PETIT CARNET

S Evitez-vous le souci de compulser vous-même les horaires, de louer vos places ou de réserver vos chambres à l'hôtel, en vous adressant au Bureau de Voyages de Figaro, 14, Rond-Point des Champs-Elysées (Téléphone Elysées 98-31 à 38), qui organise tous voyages à forfait, sans augmentation de prix.

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franchir avec cet animal l'enceinte du monastère, ce qui jamais n'avait été permis à aucun être humain.

Lorsque en décembre de cette même année Mgr Lépicier devint cardinal, une période nouvelle s'ouvrit pour lui désormais, c'était comme légat qu'il porterait dans le monde chrétien la pensée et la parole de Pie XI. L'enfant de Vaucouleurs était en 1929 dans Orléans, pour présider, au nom du Pape, les fêtes du cinquième centenaire de Jeanne d'Arc il incarnait Pie XI, encore, sur l'estrade présidentielle du congrès eucharistique de Carthage. La bienveillance du Souverain Pontife' pour ce prêtre de France s'est, en un jour mémorable, traduite en des, accents singulièrement émouvants pour les oreilles françaises « Qui peut penser à Vaucouleurs, votre pays natal, lui disait Pie XI en plein Consistoire, sans penser à Verdun, nom écrit en caractères si tragiques et si glorieux. dans la plus grande des guerres ? »

Issu de ces Marches de l'Est où le péril séculaire tient en éveil toutes les susceptibilités de la conscience française, le cardinal Lépicier est devenu, sous l'éclat de la pourpre, sous l'égide de la confiance pontificale, une haute personnalité de « chrétienté ». Les Servites, cet ordre dont M. l'abbé Bremond dit spirituellement qu'ils semblent avoir fait « le vœu de prendre à tous les banquets la dernière place », ont pu constater, ces jours-ci, que le jubilé du plus illustre d'entre eux mettait en branle les diplomates des divers Etats et les prêtres des diverses nations. II y avait là des équipes de clercs auxquels de temps à autre, encore, le cardinal Lépicier va porter les lumières de son

LA JOURNEE

A l'Arç de Triomphe, la Flamme du So.uyenir sera ranimée par les A. C. des 700 R. I. T., 19' chasseurs à cheval et 408° R. I.

A 9 h. 45, au Musée Guimet Causerie de Mme Morgenstern sur les fresques d'T-pahan.

A 10 heures, à la gare du Nord, départ de MM. Tardieu et Flandin, à destination de Londres. Au Palais des Expositions (Porte de Versailles) Exposition canine. Dans l'après-midi, démonstration de dressage de chiens de défense et de police.

A midi, banquet annuel de la Chanson de Paris, en l'honneur du Chat Noir dont on fête le cinquantenaire. A 14 heures, au gymnase Huyghens, fête gasconne organisée sous le patronage des Pupilles des Pyrénées, de l'Association toulousaine, de la Violette amicale des originaires de la Haute-Garonne, des Enfants de Luchon et des Ariégeois de Paris.

A 13 h. 45, courses à Longchamp.

enseignement il y avait là cet émouvant essaim d'Anglais d'âge mûr, qui, venus de l'anglicanisme au Credo de Rome, étudient au collège Beda pour être prêtres, et dont le cardinal, chaque lundi, se fait le professeur. Et la portée internationale d'une telle fête, en l'honneur d'un Français, remplissait de joie, sur les bords du Tibre, notre colonie nationale.

La fête est passée. Aujourd'hui, dans son appartement du Latran, sévèrement tapissé d'in-folios, le cardinal Lépicier a repris sa vie d'ascétisme et de travail, familièrement entouré de ces deux petits Frères Servites dont la grâce si fraîche et si cordiale atteste que, chez les féaux des Sept Douleurs de la Vierge, subsiste un certain esprit d'allégresse et de gaîté, un esprit que le Pauvre d'Assise eût aimé. -Georges Gbyau,

.•̃̃, de l'Académie française.

A V INSTITUT

Invitée au Congrès des sciences historiques de Varsovie, l'Académie des inscriptions a désigné hier pour l'y représenter MM. Glotz et Coville. De la part de l'Académie de Cracovie, M. Edmond Pottier a offert en hommage le premier fascicule du Corpus Vasorum de Pologne. Ce fascicule, œuvre de M. Casimir Bulas, est consacré aux vases du musée Czartoryski, au château de Goluchow. Achevant la lecture de son mémoire sur les « hydries » de Caere, dont nous avons analysé ici récemment la première partie, il a montré que ces vases furent bien fabriqués en Ionie et non en Italie.

Il en déduit les caractères spécifiques de la peinture ionienne, opposée à celle de l'Attique. M. Gustave Glotz, d'accord avec lui, a présenté quelques observations personnelles.

M. L.-M. Michon, fils du président de l'Académie, a ensuite étudié une plaque d'ivoire qui fut utilisée au onzième siècle, comme reliure, sur un manuscrit aujourd'hui conservé à la bibliothèque de l'Arsenal.

Cette plaque représente une muse jouant de la lyre entre deux personnages, l'un assis, l'autre debout. Par comparaison avec d'autres plaques d'un style analogue, en particulier avec un feuillet de diptyque du musée de Bologne et deux feuillets à sujets religieux du Louvre, on peut la dater de la fin du cinquième siècle.

Millet a souligné par certaines remarques l'intérêt ife l'«tudede..M;!fc-M. Michon, dont l?Acadé*> mie venait de suivre avec attention le développement. ̃"̃̃̃̃ ̃ .••, >

A l'Académie des sciences morales et politiques, M. Maurice Muret, correspondant, a parlé de la mystérieuse entrevue qu'eurent, en juin 1914, au château de Konopischt, en Bohême, Guillaume II et l'archiduc François-Ferdinand, l'héritier du trône austro-hongrois.

Le prétexte de cette rencontre ? La visite d'une roseraie, roseraie d'ailleurs inexistante.

Et le Kaiser arriva, accompagné de l'amiral de Tirpitz, le plus belliqueux de ses courtisans M. Maurice Muret ne croit pas que la guerre contre la Serbie ait été décidée à Konopischt par Guillaume II et François-Ferdinand. Mais elle y fut certainement envisagée.

Pendant la guerre, on a énoncé toutes sortes d'hypothèses sur l'entretien de Konopischt. L'une: des plus curieuses a été formulée par M. Wickham Steed, le journaliste anglais bien connu, dans un retentissant article du Nineteenth Century. Sur la foi d'un ancien chambellan de François- Ferdinand, lequel aurait été renseigné lui-même par le Vatican, M. Steed lança dans le public ce qu'il appela « l'intéressante hypothèse » d'une entrevue de Konopischt, destinée à repartager l'Europe, afin de donner un trône à chacun des deux fils de François-Ferdinand.

Exclus de la succession légitime, au trône austrobongrpis en raison du mariage morganatique de leur /père, ce deux princes auraient reçu, avec l'assentiinént de Guillaume II, des royaumes cou- ? `. fortablés, découpés à même là monarchie danubienne.

Que des mesurés si graves et si extravagantes aient été prises, M. Maurice Muret ne le pense pas. Mais il croit que la possibilité d'une guerre balkanique fut examinée à Konopischt par Guillaume Il et le prince, qui devait tomber sous les balles d'un assassin un mois plus tard à Sarajevo.

M. de Guichen a donné lecture de la première partie de son étude sur l'Evolution de fa situation, intérieure de la Russie du dix-huitième au vingtième siècle.

A l'aide de documents empruntés à toute l'Europe, l'éminent historien montre dans cette étude que, dès les temps les plus anciens, les déprédations et les concussions des fonctionnaires faisaient à la Russie un mal affreux, souligné dans leurs rapports par les plus hautes personnalités allemandes, anglaises et françaises. Ces mêmes rapports signalent les mêmes déprédations dans l'armée et notamment pendant les diverses occupations des principautés danubiennes.

M. de Guichen s'étend longuement. sur les témoignages de Gogol, de Dostoiewski, déclarant, au milieu du siècle dernier, que « l'anarchie athée n'était pas loin, que nos enfants la verraient et que son triomphe serait un bouleversement tel que le monde n'en a jamais connu ».

Il a cité, en terminant, les appréciations de Bismarck, de Lébzeltern, ambassadeur d'Autriche à Saint-Pétersbourg de lord Bloomfield, agent anglais dans la- même scaflitale de Schleinitz, agent "• tni-Htaire prussien en Russie de Manteuf fel, prési- dent du.conseil'. prussien, appréciations toutes plus défavorables les unes que les autres à la Russie, et qui la représentent, dès le milieu du siècle dernier, comme au bord de l'abîme.

M. de Guichen finira sa communication dans la séance du 16 avril et parlera de la situation intérieure russe de 1870 à nos jours.

Ch. Dauzats.

ROSE DESCAT

Modes, 22, rue Royale

Soldera sa collection de modèles de printemps les lundi 4, mardi 5, mercredi 6, depuis 150 francs, Vente strictement au comptant.

Touchant hommage américain à Pasteur Une Université américaine, le Rollins Collège de Floride, a aménagé dans sa conr d'honneur une « allée de la Gloire». Des colonnes, disposées par intervalles, contiendront, enchâssées, des pierres provenant du lieu natal des hommes dont le nom mérite d'être signalé à la méditation de la jeunesse intellectuelle. Parmi ces illustrations de la science, des arts, des lettres, de la politique, "Pasteur soutiendra, de tout son prestige, la renommée de la France. La pierre destinée au Rollins College vient d'être prise, â'Dôle (Jura), dans le mur du sous-sol de la maison où naquit Pasteur et où son père, Jean-Joseph Pasteur, exerça son rude métier de tanneur.

Les «Amis de la Maison natale » touchés d'une attention si noblement inspirée, se sont empressés de confier au Rollins College cette relique qui contribuera à resserrer l'amitié des deux nations. LA VIE RELIGIEUSE

Retraite des conscrits et Messe du départ Une retraite pour les conscrits de la première portion du contingent de la classe 1932 sera prêchée les mercredi 13, jeudi 14 et vendredi 15 avril, à 20 h. 30, à Notre-Dame des Victoires, par l'abbé Gardette, premier vicaire à Saint-Léon. La messe de départ sera célébrée le samedi 16 avril, à 7 h. 30 très précises, en l'église NotreDame des Victoires, par S. Em. le cardinal Verdier, archevêque de Paris.

Tous les conscrits sont invités à cette retraite et à cette messe.