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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1931-11-05

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 05 novembre 1931

Description : 1931/11/05 (Numéro 309).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k296772j

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LA POLITIQUE

Crédit à court terme

Notre diplomatie publique n'ayant cessé d'être secrète que pour devenir clandestine, persiste dans son mutisme sur l'entretien de M. Laval avec l'am-

~~n; C- 1.1, ,t

DJÏSSaucUr U /-Viiciliaglic. k->a uuuuic coi wuouu que sa poche, la nôtre, le soit aussi.

Les télégrammes de Berlin nous renseignent mieux sur le langage prescrit à M. von Hoesch. Il a dû déclarer que, selon la 'formule de la Germania, organe du chancelier Bruning, « la question la plus urgente pour l'Allemagne est celle des dettes commerciales. » Cela signifie que les dettes politiques, c'est-à-dire les réparations, peuvent attendre. Cela signifie aussi que la première hypothèque doit être primée par la seconde. Rien de plus naturel dans un monde à l'envers où l'agresseur allemand cherche à désarmer sa victime, la France, et où son propre crédit est fondé sur sa faillite. Ses créanciers commerciaux, anglo-saxons pour la plupart, et quelques-uns français, du moins par le .domicile, s'acharnent, en effet,, à démontrer à son créancier politique, l'Etat français, que le seul moyen de sauver sa créance (et même son crédit moral) est de fournir au débiteur défaillant les fonds nécessaires pour les rembourser. Lors dela confection du plan Young, tous les augures ont répété, à l'unisson, que la garantie de ce règlement « définitif » était dans l'intérêt du Reich à ne pas compromettre son crédit. Or, c'est précisément en déchirant le plan Young que le Reich orchestre sa publicité financière. Les déclarations officielles de nos dirigeants depuis 1924 étant toujours démen- ties par l'événement, nous regrettons qu'ils en soient j aujourd'hui si avares. Nous n'aurions qu'à en prendre le contre-pied pour savoir la vérité. Un de nos confrères leur conseillait récemment d'afficher à la porte de notre ministère des Finances, comme chez les marchands de vin, une pancarte avec cette inscription Crédit est mort, les mauvais payeurs l'ont tué. Si nous écoutons M. Hoover, nous rectifions ainsi crédit est ressuscité, les mauvais payeurs ont opéré ce miracle. Quand les mauvais payeurs sont aussi mauvais coucheurs, quand ils s'arment jusqu'aux dents en exigeant le désarmement des nations pacifiques, leur crédit est encore plus solide chez nos pacifistes.

On nous assure qu'à' Washington M. Laval a réservé les trois points suivants liaison de nos dettes* envers les Etats-Unis et de nos* "créances sur *r'- l'Allemagne, règlement des réparations sans un nouveau diktat de la Maison-Blanche, autonomie de la France dans l'organisation de sa sécante. Le tout jusqu'à nouvel ordre, c'est-à-dire jusqu'à l'échéance, en février prochain, des crédits avancés par les Etats-Unis à l'Allemagne.

C'est une trêve de la pression américaine que M. Laval doit mettre à profit pour sauver le Reich dé la faillite, autrement dit pour le mettre en état de rembourser ses créanciers américains. C'est un billet à trois mois, non renouvelable. Si, en février, nous n'y faisons honneur, on proclamera notre faillite morale et tout sera permis contre nous. En clair, on notifie à M. Laval « Débrouillez-vous, et surtout débrouillez-nous, sans perdre de temps, sinon nous nous brouillons. »

Ainsi, les Etats-Unis qui, en répudiant l'engagement pris à Versailles par le président Wilson, nous ont mis dans la nécessité de pourvoir nousmêmes à notre sécurité, veulent bien, provisoirement, ne pas nous l'interdire. L'Oncle Sam a été habitué par nos dirigeants à considérer la France comme un pays de protectorat qui n'a droit à aucune protection, car ils ont aliéné son indépendance sans obtenir la garantie de sa sécurité. S'il n'y est pas gardien de la paix, il y est, pour employer un .mot que Clemenceau a magnifié en' se l'appliquant à lui-même, le premier des flics. Il y fait la loi, et surtout la défait, notamment ce plan Young, qui est une loi de l'Etat français. II y fait aussi la police. A l'attroupement scandaleux de nos milliards, il intime l'ordre circulez, en ajoutant nach Berlin, sans préjudice d'un autre courant à établir dans la direction de Washington, pour le paiement de nos dettes de guerre, En somme, c'est un crédit à court terme que M. Laval obtient, à condition de l'utiliser pour accorder des crédits à long terme à l'Allemagne. Après quoi, M. Hoover sera peut-être remplacé à Washington par M. Borah, et M. Bruning. à Berlin par Hitler. Chez nous les élections étant prochaines, le mandat de la Chambre est aussi à court terme, ce qui l'incite à ne penser qu'à cette échéance.

Au milieu de tous ces intérêts particuliers et éphémères, le crédit à long terme de M. Laval dépend deson aptitude à ne pas négliger les intérêts généraux et permanents de la France.

Les cours à Paris des monnaies étrangères

DEVISES tours tours

3 o_orcm6re 4 e_arembre

i livre sterling 9462 95 69 i dollar 25 44 2542 100 bclgas' 354 25 354 25 100 pesetas 22350 224 a I00 lire. '13040 131 55 100 francs suisses 49625. 496 e 100 florins. 1025 a 1025 50 100 couronnes norvégiennes.. 100 couronnes suédoises 553 > 547 e

Encaisse-or (monnaies et lingots) de la Banque de France: 63.8S4.033.693 francs

'Proportion de l'encaisse-or aux engagements à vue i S6.20

LSMemagne et le plan, young

Que va répondre le gouvernement allemand à l'invitation du gouvernement français qui le prie d'envisager le retour au plan Young ? Le chancelier Brüning a examiné hier lé rapport que lui avait télégraphié M. von Hoesch, à la suite de son entretien avec MM. Laval, Briand et Flandin. Prudemment, le cabinet du Reich, soucieux de ne point heurter une opinion publique depuis longtemps ameutée contre le plan Young, a remisé ses projets de « liquidation » des crédits à court terme «congelés» en Allemagne et s'est efforcé de présenter l'invitation française comme une simple formalité de procédure.

Si le communiqué de la Maison Blanche, qui fait une allusion assez claire à un « arrangement » dans le «cadre des accords existants avant le l" juillet 1931 a une signification positive, la requête du gouvernement français doit porter sur une question de principe, celle du respect des contrats internationaux.

Il est à craindre que ce soit précisément de cela que l'Allemagne ait le moindre souci.

Pour qu'un «arrangement» qui ne ressemble pas trop à une « duperie soit possible avec '"Berlin,' il faudrait que tous les partis allemands y compris les nationaux-socialistes en acceptassent les responsabilités.

Le chancelier Bruning, qui doit prendre aujourd'hui la parole à l'occasion d'une réunion du centre catholique, exposerait les points de vue du cabinet de Berlin sur l'ensemble du problème.

Jamais débiteurs à qui l'on propose, somme toute, un concordat pour leur épargner le discrédit d'une nouvelle faillite ne firent autant les dégoûtés en présence d'une offre de réduction de leur dette.

C'est que le gouvernement allemand, persuadé qu'une suspension des paiements de réparations se fera toujours plus facilement qu'un moratoire des créances étrangères privées, compte qu'un examen d'ensemble de tout le problème des dettes extérieures allemandes, privées et publiques, aboutira inévitablement à des solutions conformes à ses désirs.

Comme il sait qu'il ne peut pas se dérober, il ne refuse pas de demander la convocation du comité consultatif du plan Young. Mais il demandera que ce comité, prévu dans les articles 119 et suivants du plan Young, reçoive le, pouvoir de faire sur la capacité de paiement de l'Allemagne une enquête complète. Il s'efforcera d'obtenir qu'en même temps soit mis sur pied, et accepté par les créanciers intéressés, un plan dè consolidatioh et

-d'eiaqTti~5eipent., des crédi.4s i~ terme,

Les deux? opérations se fêtaient ensemble, mais

à un rythme différent, de telle sorte qu'avant la fin de ses travaux, le comité Young aurait à compter, dans son étude sur la capacité de paiement de l'Allemagne, avec les engagements à long terme que celle-ci viendrait de prendre avec ses anciens créanciers à court terme. Dans ces conditions, il apparaîtrait alors clairement que la balance des paiements de l'Allemagne n'offre plus d'excédents qui seuls pourraient lui permettre de payer des réparations.

fj. hloyd George quitte la présidence du groupe parlementaire libéral

Londres, 4 novembre. M. Lloyd George a adressé aujourd'hui à sir Herbert Samuel une lettre dans laquelle il donne sa démission de président du groupe parlementaire libéral et déclare n'être candidat à aucune fonction dans le parti. Dans ce message, M. Lloyd George exprime son regret de ne pouvoir assister à la réunion de ce qu'il estime n'être en somme qu'une section des membres libéraux.

L'ancien premier ministre émet l'espoir que son état de santé lui permettra, au début de l'année prochaine, de coopérer à la cause libérale. Le parti li.péral parlementaire, réuni dans la soirée aux Communes, a nommé sir Herbert Samuel à la succession de'M. Lloyd George.

EN MAFtQB

Le journal sur le zinc

Pour être militant on n'en est pas moins homme. Il est donc bien naturel, lorsqu'on a deux heures durant chanté l'Internationale, conspué les agents, piétiné devant le Mur des Fédérés, ou échangé des «contradictions» » frappantes dans la Salle Bullier, chauffée comme un four, qu'on se sente la gorge sèche et qu'on se dirige, en longues théories, vers les cafés d'alentour. Mais, ce qui navrait jusqu'ici les cœurs socialistes, c'était l'obligation, pour apaiser sa soif, de commander quelque anis bourgeois, quelque vermouth ou quelque amer conservateur. Voire un mousseux à blason couronné

Le camarade Compère-Morel a changé tout cela 1 Désormais, les purs boiront «le Popu ». 1

Ainsi en a décidé le Conseil national du Parti. Fabriqué avec des fleurs bon teint, le Popu sera distillé dans des alambics sans reproche par des compagnons tout dévoués à la «cause».

D'un beau rouge, présenté dans un élégant flacon, il aura sa place marquée sur tous les buffets prolétariens, auprès du portrait barbu de Jules Guesde. Apéritif de famille, le Popu aidera à la formation « intellectuelle » des Jeunesses socialistes et permettra aux vieux militants de perdre sans remords leur paye à la belote ou au poker d'as l'argent ne sortira pas de la grande famille. Et puis, ce sera pour le Parti

Car le camarade Compère-Morel n'a pas créé le Popu pour satisfaire à de vaines considérations esthétiques. Il n'a pas obéi non plus à l'orgueilleux désir de permettre au peuple de s'empoisonner par ses propres moyens. Non, il ne s'est fait « troquet » que pour conserver son journal Il bouchera avec les piles de soucoupes les trous qui s'ouvraient dans sa caisse. C'est un calcul qui n'est pas bête. Ils boivent, ils paieront Et ce n'est pas pour ça qu'ils voteront plus mal.

Les journaux, jusqu'ici se faisaient sur le marbre. M. Compère-Morel fera le sien sur le zinc

Voilà.

Georges Ravon.

Le stierEG^^ 1- de p. Laval

jl'iinxp,rtis.seiçgnt.vdes crédit ^çourt terme..

C'est seulement le jour de la rentrée du Parlement que les Français auront quelques faibles clartés sur ce qui se prépare entre la France et l'Allemagne. dans le cadre du plan Young. Puisque les Chambres, ce jour-là, seront réunies, lee gouvernement aurait dû fournir au pays les solutions des énigmes proposées par les communiqués de presse. L'Allemagne nous manoeuvre. L'arrangement projeté est, dans son esprit, la préface d'un enterrement du plan Young. Jamais il n'a été, si utile de parler net et haut. La tribune attend M. Laval.

Mais le président du conseil, qui ne veut prononcer aucun discours de rentrée avant le 12, ne veut pas non plus, ce jour-là, s'expliquer publiquement. Il se résigne à une audition devant les commissions c'est-à-dire que soixante-dix parlementaires privilégiés auront l'honneur de son exposé. Les simples députés et les simples citoyens attendront encore. Ils n'auront, le 12, pour juger de la rapidité de, notre marche à/la revision du plan, qu'un procès-verbal spécialement r,édigé pour ,1a, presse, dans ce* langage de couloirs équivoque et nuageux si bien fait pour ne pas renseigner l'homme de la rue.

L'opinion commence à trouver qu'on a difficilement la communication avec M. Laval. Et, dès le 13, des explications publiques pourraient bien lui être demandées en séance.

L'HEURE QUI PASSE

Le mariage français

On ne saurait jouer plus méchant tour à un écrivain d'imagination, auteur d'histoires feintes, que de dire « Il fait penser. » C'est tuer sa vente. Le public, qui ne craint rien, sinon que le ciel de l'ennui ne lui tombe sur la tête, confond l'ennuyeux avec le sérieux, et croit d'ailleurs de bonne foi que pour faire penser les gens. il faut leur tenir des discours d'un sérieux mortel. Mais c'est tout le contraire Les raseurs font bâiller l'esprit une saillie échappée à un ingénu le réveille, et fait penser parce qu'elle fait rire. Je viens de méditer deux heures sur le mariage, et sur la crise qui menace cette respectable institution, après ..avoir lu, pour mon

'seul divertissement,* la prismièrë partie d'un rpinan

'sêtil 4ivertis¡;eiÎient: l.é\p~ièrè. pa~i, n roman

de Sinclair Lewis, dont le mot de la fin m'a semblé impayable.. Un trappeur de profession, assez mal dégrossi, raconte à un citadin neurasthénique, soi-disant amateur de camping, la belle aventure qu'il a eue, un jour qu'il est allé à la ville, chez le coiffeur. Le démon du luxe le poussant, il s'est fait soigner les mains en même temps qu'on lui taillait les cheveux. Jamais il n'avait vu, jamais il n'avait rêvé créature si fine que cette ;manucure Et avec cela, vertueuse! Il l'a invitée a dîner,– en tout bien tout honneur

Et, lui dit l'autre, savez-voUs ce qu'elle est devenue depuis ? .'£.-̃

Oh oui je l'ai épousée le lendemain. N'est-ce pas touchant? Du point de vue de la morale personnelle, ce trappeur est irréprochable, il mérite même des éloges mais il fait bien de « laisser toutes les villes, rocs fatals de l'esclavage humain », et de vivre dans les grands bois car son action, si louable en, soi qu'elle puisse être, témoigne qu'il a une façon d'entendre le mariage, incompatible avec le principe même de la société. La dignité du mariage autant que sa solidité, qui importent au plus haut, point, exigent plus de réflexion et de temps. Le Huron lui-même (celui de Voltaire) pliait moins vite en besogne, et ne- bousr culait pas ainsi. la belle pVint-Yves. « Je, .l'épouse,,», disait-il, et en effet, ajoute l'auteur, il 1 épousait mais ce n'était pas dès le lendemain. Il semble que l'Amérique ait fait terriblement de chemin depuis les Hurons du dix-huitième siècle. On m'avait bien dit qu'elle a la plus grande part de responsabilité dans la crise à laquelle nous assistons. Il est évident aussi que l'union conjugale légitime n'a pas été inventée pour la commodité des voyageurs qui ne seraient pas reçus dans les hôtels des Etats-Unis s'ils n'exhibaient un contrat.

Enfin, il serait peut-être paradoxal de nier que le mariage ait des rapports assez étroits avec les passions de l'amour. J'ai lu cependant jadis un roman de George Sand intitulé Jacques, où une femme, fort ennemie du mariage (truchement de la romancière sans doute), reprochait au héros de vouloir épouser une jeune fille qu'il aimait, parce qu'il n'aurait pu l'aimer sans l'épouser. Je me rappelle qu'à l'époque cette thèse hardie me scandalisa, ou que je. n'y compris rien j'étais jeune. Je le suis moins. Ce qui fait la fragilité ou la difficulté de l'institution, c'est bien, je le pense aujourd'hui, que le mariage est ce que, dans notre langage de manœuvres, nous appelons un porte-àfaux. On doit concilier ,trop de choses. Il faut reconnaître qu'on ne leSj, pas conciliées si mal depuis les origines de la société. On ne voit pas encore d'ici la fin d'un certain type de mariage qui à été heureusementfapratiqué durant quelques siècles. ̃

Je ne voudrais pas le nommer le mariage bourgeois, puisqu'il paraît que cette épithète est péjorative. Au fait, j'ai peut-être le; droit de le nommer le mariage français. Il nous arrive la même fortune dans l'ordre moral que dans, l'ordre économique. Le monde entier s'est moqué de nous parce que nous gardions le sens de la mesure et répugnions aux extravagances. On commence à s'apercevoir que notre sagesse vieux jeu nous a réussi, et que ces pauvres Français, si peu dans le train, se trouvent présentement dans cette situation très particulière de n'être ni pourris ni ruinés. Abel Hermant.

•: ;̃•- de l'Académie française.

v~f~ ~ô~il~ 1

La Société des Nations est-elle pour la paix? Le 30 octobre dernier, M. Kellogg télégraphiait à M. Briand « Je vous félicite de votre magnifique action pour assurer le règlement à l'amiable du conflit sino-japonais. Votre autorité constitue le plus grand espoir pour le maintien de la paix dans le monde. » Flatterie d'augure qui en postule une semblable, croyant ainsi se-grandir. Or, qu'en faut-il penser ? Quelle est la réalité ? Le verdict 'de Genève a profondément étonné, irrité le Japon. Pourquoi ? Parce qu'il est sûr de son droit, qui s'appuie sur des traités entérinés par les grandes puissances, Ce qu'il a fait en Mandchourie est simple, naturel menacé par 200.000 reîtres chinois bien armés de mitrailleuses, de canons même, et préparant un mauvais coup contre lui, contre sa voie ferrée, le Japonais s'est défendu, a frappé aux points sensibles qu'il occupe aujourd'hui. Il a ainsi prévenu un grave conflit. Ce n'est qu'une riposte il n'est pas sorti de la défensive, cette défensive admise par tous les pactes. Kellogg et autres, j'imagine. C'est pourquoi le Japon ne comprend pas l'attitude des, puissances, celle surtout de la France et de l'Angleterre. Il voit avec raison, dans leur verdict, une grave injustice et trop de parade de « conciliation à tout prix, sans tenir compte des réalités, des nécessités. Le comité exécutif de la Société des nations nage, en effet, trop dans l'absolu, appliquant, dans ses décisions, une formule générale qui veut être de l'ordre magique, soit la prétention de neutraliser tous les maléfices, d'aplanir brusquement tous les antagonismes. Pareil miracle ne se réalise que dans l'imagination de certains thaumaturges de la paix. Pourquoi avoir implicitement donné tort au Japon ? En somme, il a été le bon gendarme, le défenseur de l'ordre, de la paix en cette Mandchourie que guette le bolchevik et qui peut, si l'on n'y prend garde, devenir le champ clos d'une nouvelle grande mêlée où l'Europe serait fatalement entraînée. Le Japon, si fier et si dévoué jusqu'ici à l'oeuvre de la S. D. N., nous pardonnera difficilement notre insistance à couvrir les méfaits de la Jeune-Chine. Il est vindicatif comme tout Asiatique. Pour moi, qui le connais pour avoir vécu des années à côté de lui, nous sommes allés trop loin <: nous l'avons humilié à Genève devant le toukium; le reître chinois. S'étant fait le gardien de la paix en Mandchourie, voilà que la Société des nations charge ce même reître, qui se confond avec le brigand, de rétablir l'ordre d&ns Ce pays. Or, la faction de Nankin, depuis des aîinéèsi n'a su, q,u,e créer le désordre-, la misère. Quand même^ elle a toujours la

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On peut se demander ce que deviendraient l'Indochine, la paix dans toute l'Extrême-Asie et même dans l'Inde, si le Japon n'était là pour barrer la route à Moscou ? Que deviendrait l'Etat-tampon de Mandchourie qui couvre la Chine, si le Japon ne se dressait devant le bolchevik ? On ne parait guère, y avoir songé à Genève. D'ailleurs, parmi l'Exécutif de la S.D.N., combien ont une idée nette de la Mandchourie, de sa valeur économique et stratégique ? Que leur disent le Soungari, la Nonni, Tao nan ou Tsitsikar, et même Moukden ? Ils ignorent aussi, certainement, que la Mandchourie n'a jamais été une terre chinoise elle appartenait à l'ancienne dynastie impériale, qui en interdisait l'entrée à tous ses sujets non-mandchous. C'est seulement depuis que le Japon y a créé la sécurité que des millions de Chinois, fuyant la.famine et la mort, sont venus s'y établir et prospérer.

Et, cependant, ce sont les hommes ignorant ces faits essentiels qui décident ex cathedra, fixent nos destinées. Le suffrage universel, cette volonté aveugle, l'a ainsi réglé.

Ils se sont d'ailleurs sentis dans un tel embarras qu'ils ont appelé l'Amérique au secours, ces Etats-Unis dont l'hostilité à l'égard, du Japon ne s'est que trop affirmée,çes dernières années, pendant, que toutes leurs faveurs allaient *à. la JeuneÇhinej à la faction de Nankin, leur, « ger^euE clientèle. Le choix était d'autant plus risqué que l'Amérique fournit au Japon un précédent fâcheux, bien fait pour l'encourager dans sa résistance, ainsi que le rappelle le Times. En effet, en 1916, il y eut conflit entre les Etats-Unis et le Mexique, alors en pleine anarchie comme la Chine d'aujourd'hui. Des vies américaines, de gros intérêts étaient constamment menacés par un banditisme organisé. Le président Wilson perdit patience, et une armée de' 50.000 hommes, sous les ordres du général Pershing, franchit la frontière. Le Mexique poussa les hauts cris, comme la Jeune-Chine, parla d'outrage à la paix par la violation de frontières mais Washington s'obstina, refusant toute médiation des Sud-Américains et déclarant que le conflit devait être réglé directement entre les deux parties. Il.est vrai que la S. D. N. n'existait pas encore mais aucun doute, dit avec raison le Times, que les Etats-Unis, devant l'urgente nécessité d'intervenir, n'eussent pas agi autrement que le Japon, surtout en présence d'un verdict aussi dénué du sens des réalités que celui de Genève.

Qu'on se rappelle aussi l'origine de l'annexion du Texas et. de la Californie par les Etats-Unis ce fut le besoin d'assurer l'ordre, de défendre leurs colons contre l'anarchie mexicaine. Mais, revenant à la Chine, comment la France et l'Angleterre ont-elles riposté, en 1927, à la menace contre leurs concessions ? Elles ont envoyé des troupes, des escadres. Une brigade française occupe toujours notre concession de Shanghaï, une division anglaise- garde celle internationale. A Tientsin, à Pékin, il existe, de même, des contingents étrangers. Vraiment ? diront les.pacifistes « Hâtez-vous alors de retirer ces troupes. » Oui- 1 mais les conséquences ? Un conflit immédiat certain avec les éléments chinois xénophobes, si bien dressés par Nankin à l'école de Moscou l'attaque des concessions et le massacre d'innocents de notre race par des mercenaires et brigands, trop bien armés par les grandes puissances, toutes trafiquantes d'armes, avec l'assentiment de la S. D. N., la pacificatrice.

Le Français, l'Anglais et même l'Américain sont donc de bons gendarmes en Chine, aux points vitaux, ni plus ni moins que le Japonais en Mandchourie. C'est là la vérité, la réalité.

D' A. Legendre.

;L. Le eas

François Latour

f

si~oN japorifais

La lettre adressée par M. François Làtôiir" à l'Ami du Peuple à la suite des questions vigoureusement posées dans le numéro de dimanche 1er novembre lettre que nous avons reproduite ne contient aucune réponse précise, mais elle permet d'enregistrer des aveux significatifs.

Par le silence observé au sujet de l'invitation (à l'existence de laquelle on a laissé croire) nous savons que le déplacement édilitaire à Berlin ne résulte que de l'initiative de M. François Latour. Les esprits avertis s'en étaient bien doutés et leur certitude fut acquise du jour où les agences, transmettant le texte du discours de bienvenue prononcé par le bourgmestre Sahm, avaient publié cette phrase, non dépourvue d'une désinvolture soucieuse de départager les responsabilités « Cette visite est voulue par vous. » Dans sa lettre à l'Ami du Peuple M. Latour assure 1° qu'il a eu « l'assentiment unanime » du bureau de l'assemblée municipale pour son voyage, et 2" qu'il s'est conformé « à toutes les règles en usage, à FHôiej; de Ville pour l'organisation des voyages des présidents s. Sur le premier 1r de ces points, M; Le Provost de Launay se propose d'intervenir, avec plus de netteté encore que; clans sa lettre publique. Quant au second point, estril <Je règle que le « voyage des présidents » ait lieu sans que les Parisiens en soient informés, fût-ce par le plus mince communiqué ) ? Or, M. Latour partit sans avoir le moins du monde avisé ses mandants auxquels il sait s'adresser en d'autres cas de ses intentions. Il a fallu que les,coupures de la presse allemande et une dépêche officieuse de Berlin annonçassent le fait pour que, dans Figaro du 17 octobre, je pusse élever une protestation. En outre, M. Latour dit s'être mis d'accord avec M. Laval préalablement à son départ. C'est précisément ce contre quoi l'Ami du Peuple s'est dressé en soulignant que le voyage du président du Conseil municipal s'est effectué « à une heure particulièrement favorable pour la réalisation de certains projets qui font partie de ce plan de collaboration internationale» sur lequel notre directeur a déjà projeté tant de lumière.

Enfin, puisque M.: Latour, des son arrivée Berlin, a pris soin de faire transmettre par les agences et par les informateurs accrédités à l'Hôtel de Ville des comptes rendus copieux à la cadence de six par jour, comment expliquer qu'avant de quitter Paris il ait tenu tellement secret un projet qui provoqua ensuite, de sa part, tant d'étalage tendancieux ?

'M. Latpu-r a, 3e lui-mênlcv dans sa lettre à l'Ami ,4*1 Pc-Wlg* pl*icé la question sur le terrain ^oii-nous- avions vu', des 'la première heure* qu'elle devait 8*. placer celui de la politique internationale et laquelle Il proclame sa solidarité de manœuvre avec le gouvernement; Cette promotion à la' ptopagande locarniste du rôle du président du Conseil municipal de Paris est la conséquence d'un plan, celui qui tend à duper la France. Gaëtan Sanvoïsïn.

Cet article était écrit quand nous sont parvenus de l'Hôtel de Ville des renseignements qui traduisent un état d'esprit à signaler. Plusieurs conseillers municipaux épiloguent beaucoup sur la personnalité de M. Sahm, premier bourgmestre de Berlin, que M. François Latour a invité à venir Pat ris en visite officielle. Or, M. Sahm fut chargé pendant la guerre, en Pologne envahie, du ravitaillement de Varsovie. Il s'acquitta de sa tâche de telle façon que les Polonais demandèrent son inscription sur la liste des grands coupables de guerre. Nommé ensuite président du Sénat de Dantzig, M. Sahm se signala par la netteté de sa politique antipolonaise. Croit-on que nos amis de Pologne se réjouiraient de la venue à Paris, parmi les congratulations, d'un homme qui laissa chez eux de si pénibles souvenirs ? Croit-on même que Je quartier de l'Hôtel-de-Ville, que domine le clocher de Saint» Gervais, accepterait avec indifférence- l'arrivée d'un homme escorté par le souvenir de la tragédie du Vendredi Saint de 1918 ? G. S.

Le 28e Congrès radical commence aujourd'hui Les principaux rapports

Par ROGER DARDENNE.

Ce matin s'ouvre, à la salle Wagram, le 28* congrès du parti radical et radical-socialiste. 1I durera jusqu'au dimanche 8 novembre, jour du banquet de clôture que présidcrale nouveau 'président élu du parti.

Venant au lendemain des élections cantonales e% à proximité des élections législatives, ce congrès présentera évidemment un intérêt particulier. On y entendra M. Dalimier sur l'activité du groupe parlementaire, M. Pahnade sur le problème financier, la crise économique, l'équipement national et les réformes budgétaires. La crise économique sera aussi étudiée par M. Julien Durand. MM. Qùeuille, Jaubert, Aubaud traiteront les questions agricoles. Mme Brunschwig et M. Justin GoSart rapporteront les questions sociales, M. Robert liôuis la propagande. M. Albert Sarraut parlera de la politique coloniale. Mais les deux discussions capitales seront celles sur la politique extérieure et la politique intérieure.. • Le rapport sur la politique extérieure a été confié à M. Pierre Cot, député de la Savoie, qui examine successivement le rapprochement franco-allemand et la conférence du désarmement. ̃ "Nous nous bornerons cette fois à analyser son travail, réservant toutes remarques pour le temps même du débat.

« Ce n'est pas, écrit le rapporteur, au moment où l'oeuvre du rapprochement franco-allemand laisse apercevoir de sérieuses difficultés que nous devons l'abandonner. Bien au contraire. Jamais cette œuvre ne fut plus nécessaire. Dans le désarroi politique, économique et moral où se débat l'Europe, la collaboration de la France et de l'Allemagne peut seule nous apporter le salut. Ou bien nous réglerons amiablement les problèmes qui peuvent, nous diviser, ou bien il nous faut renoncer


à l'établissement d'une paix durable, sur le vieux | 1 continent, et ^proelaroei– la failttte de ta -victoire J des Alliés- et des -sacrifices qui l'ont précédée. » J Jhfâttt donc, de part et d'autre, en France et en Âlfemagne, s'efforcer de créer un « climat 'de confiarice: et de cordialité." La collaboration écôno- 1 mique avec l'Allemagne doit être recherchée et poursuivie, mais

« 1° Cette collaboration ne doit, pas ;être un leu e de dupes. Il ne s'agît pas, pour nous, de sacrifier a nos industries. Nous avons, jusqu'à ce jour, ouvert. des crédits à1 l'Allemagne. L'Allemagne en a fait un déployable, usage. Elle s'est industrialisée à l'excès et n'a su éviter ni le désordre financier, ni le gàs-- < pillage. Les crédits qu'on pourrait nous demander c devront servir' à l'assainissement -de l'économie ûlle-> ̃< mande et permettre -une véritable association des économies française et allemande, pour le profit des 1 deux peuples. Il ne s'agit pas de « turquifier » l'Ai- i lemagne, en lui imposant un odieux contrôle. Mais il s'agit de veiller à ce que l'argent prêté loyale-

merif BGït.-tjti&é ïoyalement.: ̃ j

», â°'iGetîe;' collaboTation. éconamique fr.anco-alie* < mande d<îit servir de centre de ralliement à iras col- labocatiôn plus vaste. C'est toute l'économie mon- <, diale. qu'il faut réformer. Les accords que nous c] passerons av-éc l'AH^îniagne ;ne sauraient être tour- i nés contre aucun peuple. Un régime de- coopéra- tion Srsnco-aîlemande ne doit être !quela première phase d'un régime de coopération internationale. » Quant à la collaboration politique, il faut l'essayer pour mettre fin à des « situations irritantes ». « C',est de la collaboration franco-allemande -que peut sortir ^organisation de l'Europe. Cette organisation doit tendre à. une dévalorisation progressive 'dés "frontières, à une transformation de la notion de souveraineté nationale. »

La conférence du désarmement se réunira en février 1932. Il fautt, dit M. Pierre Côt, qu'elle aboutisse à-tout prix. La France doit faire l'impos- siblc pour le succès de la conférence. 'Elle doit, n'hésite pas à écrire M. Pierre Cot, moins se soucier de faire triompher une thèse qu'elle' croit juste que -d'arriver à un résultat positif et briser les reins à la, course aux armements.

'La France doit soumettre deux:plans a la conférence.

a) Un plan de réduction et de limitation des armements nationaux, établi en fonction des conditions actuelles de l'organisation internationale. 'Ce premier plan attra pour 'principal objet d'arrêter la course aux armements et d'établir une égalité juridique entre les Etats, en les soumettant tous à des obligations précises. Il établira le contrôle de ces oMïgàtîons par la Société dés Nations. Il imposera, par paliers succeMîfs^iinf diminution- des, budgets fdë guerre,' de manière a libérer ̃ro.grëssir.

venient, pour le redressement .éçonônîiàué et: social

du .iribildc, «ile. partie des spmnies/afté-çtéés à'dcs.

œuvres1 ;I"iî£gafives.La mis'é' en exécution d tin tel

plan devra permettre en cinq/années une réduction d'environ 20 0/0 sur l'enSe.tnble des budgets de guerre "A -soit plus de vingt milliards, rendus, chaque année, «ax. œuvres de paix.

b) -Un plan plus complet de réduction et de limitatiqn des armements, fondé (sur une organisation plus rationnelle et plus parfaite de la sécurité internationale. Ce plan comprendra notamment une amélioration des procédures destinées à permettre le règlement pacifique des conflits internationaux, prévues par les articles 13 et 15 du pacte îde la S.D.&. If comprendra également un renforcement des sanctions prévues par l'article 16 du pacte. II permettra enfin de réaliser l'internationalisation de l'aviation commerciale, la mise à la disposition de la S.D.N. de certains matériels de guerre (artillerie lourde, chars d'assaut, etc.) dont la fabrication serait interdite aux industries nationales. 'On parviendra ainsi à la constitution de cette force internationale qui découragera toutes les pensées d'agression.

Enfin", d'ici à la réunion de la conférence, une propagande intense doit être faite en faveur du désarmement.

Et, ;pnévoyant les objections à -sa -thèse, .M. -Pierre Cot ..s|é.crie en conclusion

« D'aucuns diront peut-être vous allez toucher aux traites exislanls.

» Si c'est îiéceisjiiv pour l'organisation de la paix et de'l'ordre économique, oui Mais les révisions rie traités nr peinent s'effectuer que du ronsentemenl de toutes les parties en cause. C'est en ce sVns que les traités sont sacrés. »

-t- =' ̃*

;? :< ¡ ,`

Mais pïus important encore peut-être que le débat sur la 7>oLii([ue cxli-riciire sera le débat sur la politiauc intëmwe lelle que le parti l'envisage. Le rapport doit en cire présenté par M. iCamilla Chautemps., Mais le rapporteur, pour raison de santé; a dienïamëé'nue lui fut adjoint M. Marchandeau.' La résolution par quoi s'achève leur travail et qui sera, soumise à l'approbation du congrès, dit que ie parti-se fixe pour but la, réalisation des-réforin.es inscrites dans son programme, au premier rang desquelles il .place les remèdes immédiats à appliquer à la crise économique et l'organisation de. la. paix ». ̃

Le^ parti reste placé dans l'opposition « tant que la droite groupera autour d'elle les éléments d'une majorité parlementaire ». Il entend 'bien exercer pleinement la faculté de critique que lui confère sa position d'opposant.

Ainsi le parti radical n'envisagerait une particlpalian gouvernementale qu'après une refonte de la majorité qui aurait pour résultat d'exclure cerctains des éléments qui la composent actuellement. En ce qui concerne la tactique électo-raîe, MM; Ohntitemps et Marchandeau affirment que lrar parti « n'éprouve le besoin de se mettre à la re? Hiorque de personne ». Il mènera donc la lutte sans -compromissio'ns, « exigeant de ses candidats la Jovs-rtté la plus absolue ».

Et4trî-spp©rt conclut ̃̃- .1 Il « Partout où il rencontrera tniè •cdi-tection seitiblable, il n'oubliera. awsssfe. devgy?,' :4ê. discjplin^ que lui imposent ses trs^tions.Sïifîne r|fe|ig^ honnêtement rien pour assurer sa propre vïctoire,1 il saura, avec. la même ardeur, .garantir le succès réîJwbiicàw. »

Ces formules auront besoin d'être éclaircies au cours' des débats. H n'y a, guère de doute cepen- dant fltfelîes, impliquent le fonctionnement du cartel avec les socialistes. Cette question de tactique électorale ne peut manquer de soulever de vives discussions. Car on sait qu'un courant s'est dessiné dans le parti contré « grignotement » j par lès socialistes. M. Herriot s'en est fait Tinter- prête, et il n'y a guère, M. Ponsot, dans son journal, sonnait le rappel pour la reconstitution d'un parti ra-dical national, affranchi des unifiés. L'ap- pàt des succès électoraux ne prévaudra-t-il pas sur toutes autres considérations ? Les élections récentes, à leur deuxième tour, n'ont guère montré le parti radical disposé à recouvrer sa personnalité "1 et son autonomie. Et les fières déclarations d'indépendance de MM. Chautemps et Marchandeau pourraient bien n'être que littérature bonne avant le ballottage.

Avant de se séparer, les congressistes auront à désigner le remplaçant de M. Daladier à la présidence du parti. Tout porte à croire que M. Herriot sera choisi. Lui-même a indique, dans une interview, qu'il concevait pour son parti « un programme d'étude et d'action sur les lignes que cette étude aura révélées nécessaires ». S'il est élu samedi, la déclaration du parti qui sera lue dimanche matin, ajoutera, sans doute ̃& cette form uïê, qui n'est p as iSans quelque gaucherie, d'abon-

dants commentaires..

dants 1 commentaires. ̃ Eo£ér Dardetine. A UHQTËL DE VILLE En vue de t'affermage des transports

Réunis en comité du budget du département, les membres du Conseil général ont entendu hier, à l'Hôtel de Ville, plusieurs des demandeurs en affermage des transports en commun à la surface. Ce sont la Société pour l'étude et l'exploitation coopératives des services publics; la Compagnie départementale des autobus et tramways de la réoion parisienne, et M. Kuntz, représentant M. Cerf. Puis un conseiller de l'extrême gauche a exposé son projet relatif à la création d'un office départemental des transports en commun.

Demain vendredi, on entendra MM. Mariage, président de la S. T. C. R. P., et M. Ulrich, administrateur délégué du Métropolitain.

Les Cours, les Umbassàdei, fe Monde et la Ville

Les Cours

\fenant de Naptes.S. A. R. là.JÔfcchesse à'AÔSte, accompagnée de S. A. R. Je Duc de Spdlète, est arrivée nu éfiâteau de Miramar, à Trieste.

La princesse a visite, à Redipuglia, la tornSê de S. A.TÎ. le Duc d'Aoste.

B. Al. Alphonse XIII, qui avait àccompaghé l'I&fanf Gonzàîès à Louvain, où le jeune prince doit suivre les cours de l'Université, 'et qui, ensuite, s'était rendu en Angleterre, est rentré hier soir à Fontainebleau. IiL. AA. RR. le Prince et la Princesse de Piémont viennent de prendre part à une réceptipn..of{e.rte en leur honneur par les autorités de la ville de Titrîh au palais Madàma.

Leurs Altesses Royales ont été ¥ccùèïïïïë"s' à l'entrée par le comte Calvi di Bergolo, le podestat cBinte Thaon di Revçl.et le .préfet Ricci,, et .ont assisté, dans les ..salojis. du palais Madarha, au dëfllé de toutes les 'autorités, des. 'Officiers, des magistrats et des représentants de toutes clés organisations <jùi 'Sfàîelît vefiues lfùr rendre hommage.

S. A. S. la princesse Melek et S. A. la princesse Samîha d'Egypte ont quifté Parts, se rendant â Marseille, d'où les prînee'sses s'erriba-rqùëront pour l'Egypte. Elles ont été saluées, à la gare de Lyon, par S. Exc. Mahmoud Fakhry pacha, ainsi que par plusieurs personnalités égyptiennes de Paris.

Dans les Ambassades

Le ministre de Panâtfla et Mme rlarciso Garay dnt offert, avant-hier mardi, une très élégante réception à l'occasion de la fête nationale. Les représentants en ministère des affaires '-étrangères, S. Exc. l'ambassadeur du Brésil et de nombreux diplomates hispa-no-américains assistaient, à cette réunion, ainsi que des personnalités de la société parisienne.

Dans le Mohtfè

C'est pâr'suite d'une information erronée que nous avons indiqué que le duc de Broglie et la comtesse Jean de Pa-nge, sa, sœur, avaient assisté aux fêtes de.Yorktown à titre de descendants de La Facette c'est cômfrié des-,cendants du maréchal. Victor de Broglie qu'ils avaient été invités à ces fêtes.

Ajoutons que le duc de Broglie y figurait également au-tiff-e de président de-l'Association des Cincinnati; ̃– Un groupe jeûnes -filles dft la colonie SUd-àrriéricaine ra offert une soirée daflsànf-e en l'Hdnrtéur de Mlle Lucia O'laya .Herrefa,- fille du président de la République, rQftloxobienne, qui quitte Paris aujourd'hui pouf,, rentrer à Bogota. La, ̃,£éte.;a-Jç.u lieu,>.en la. ré^sid-çriee;^ M..et Mmp, Grégofi^o Obregôrj,^ ̃ ̃ s-, "dfr e. Lord Dumfries est arrivé à. Paris, venant de vLBn-: dres, se rendant auprès de> saifiaftc'ée, lady Ëileen Forbes, 1 qui vient de subir i'opéra'f ion de l'appendicite et dont l'état est -aussi 'satisfaisant que possible.

Le vendredi 30 octobre, au château, dé Ëâssay, chez le général Salnt-Patil, le eôm'té A. de PuységUr, devant une assistance aussi -nbfrfbreùsé q'u'e choisie, a paHéTAssociation des notables de Franèe et dés buts poursuivis )par cette Société.

Cercles ~S

S. -Exe. le baron deGaiffier d'Hèstroy, ambassadeur de Belgique, et JM. Maurkse Pefsehe, sous-secrétaife d'Etat aux beaux -arts, ont inauguré, avant-hfer, eh l'hôtel de M; Jean Ghaiipentier, l'expositien du portraitiste belge Alfred Jonniaux, au milieu d'«ne élégante et très nombreuse assistance dont il est impossible de citer tous les noms.

Reconnu baronne deGaifftér d'Hestroy, S. A. R. l'Infante Eulàlte, S. A. 'R. le Prince Nicolas de Grèce, princesse Aage de ^Danemark, baron GùîHàuifte, conseiller à l'ambassade de Belgique; duchesse d'Uzès, duc de Gra-imont, S. -Exq. le marquis de La Torrehèrmosa, vicomtesse Churchill, duchesse de La Rochefoucauld, mafquise de Bryas, J'Hon. Mrs Spencer, comte,et comtesse F. de Lannby, c'omtëâse de Gànay, marquis de Gramayel, général Lasson, Mme Philippe Berthelot, comte Calvi di Bergolo, comtesse Madeleine de Bryas, comtesse de Castéja, comtssse André de Ft-ls, lieutenant-coïonel et Mme Jacques Balsan, Mme Watél-Denaynin, duc de Premîo- Real, Mme Fauchier-Magnan, Mlle de Nron, comtesseCramayel, baron Gourgaud, baron de ZuylenNyevelt, M.' et Mrs ftuftt&n Stu^rt, Mme Malé2ieuxDehon, comtesse de Percm, vicomte et vicomtesse du Peloux, M. 'et Mrs Dwiglit Prouti', Mrs L.-A. Biddle, Mrs Eugène Lentilhon, comtesse' de Bourboulon, Mme Merzbach, Mrs E. Bâtes Mac! Kee, comtesse de BuyerMimeure, M. Albert Flament, comtesse de Mun, comte et comtesse de Montalé, M. et Mme L. Gappiello, comtesse de Ghilly, Mme dal Piaz, M. -et Mrs ©everley RobirisOfi, M. Albert Mettetal, M. et Mrs Lloyd Hartsofne, Mme Jacques Lebel, capitaine et Mrs Gharles-W. Littlefield, Mme Willy Blumenthal, baron de Contenson, Mme W. Godchaux, M. William Kéid-taylor) baronne Haniel, princesse Troabetskoy, Mme La'îiquès'f,. oomtesse de Bartnes, M. de Saint-André, conttesse di San Gallo, Mme German »de fobon, M. et Mrs John Robinsori, Mlle Seebef de Nooeti, M. -et Mrs Gratftvilte-Barkëf, Mme Halphen, comtesse de Ségur-Lamoignon, baronne Snoy( vicôtritè de Sars, barc-nne de Kcenigswarter, comte Jametel, baron J de Soucy, M. Hardy-ïhé, Mme Jaulmes, M. A. de Fou- quières, Mme Fauqtiêt, vicomte Jametel-, Mrs Ryans capitaine et Mrs Conrad Frênch; etc.

-Au dernier scrutin du Cercle de l'Union artistique, ont été reçus à titre permanent M. Maurice Stern, membre du 'Cercle des Veneurs, et M. Lucien ftouland, également membre du même cercle.

-Vénerie '̃'• .̃•'

La fête de la Saint-Hubéft sera commémorée *n

forêt d'Halatte, après-demain samedi 7 novembre.

Messe avec les sonneurs de trompes <3è chasse et iiéttédictian <!e la meute à dix heures, à Fleufines, suivies de la chasse à courre.

t~p~$,tO~)lBLE

Région parisienne. Temps moins doux. Ciel nuageux avec éclaircies et quelques averses.. Vent. du secteur Ouest assez fort. Température en baisse faible. Maximum I3°«

France. Régions Sud-Otiest, Centre, Est et NordEst Pluie suivie d'éclaircies et d'averses. Vent Sud passant à Ouest fort.

Régions Nord et Ouest Conume dans la région parisienne* Autres régions Temps assez beau, nnagëïiXj avec belles éclaircies. Vent du secteur Sud fort à modéré. En toutes régions, température en baisse.

Aviation. a) Région parisienne ̃ Ciel nuageux avec éclaircies par nuages moyens et assez. bas à bas averses. Vent du secteur Ouest 60 à So kilomètres à l'heure. Visibilité bonne.

b) Vers Londres, Brcxeues Comme dans la région parisienne. ̃

c) V'ÊRâ Coi,'ognh;-Strasbourg Ciel couvert. par nuages bas avec pluie le matin, devenant ensuite nuageux par nuages moyens et bas avec averses. Vent Sud-Ouest, puis Ouest 90 à 70 kilomètres à "l'heure (décroissant). Visibilité médiocre, puis bonne. ̃'̃̃̃̃̃

d) Vers Lyon-Marseihë .1° Jusqu'au Rhône, comme vers, Cologne 20 A.u dejàyciel nuageux par,. nuages- Jlevés et assez bas rares ondées sunle littoral. Vent SudOuest 60 à 70 kilomètres à l'heure. Visibilité bonne. e) Toulouse -Aucante-Casabi,anca Jusqu'au Sud de la Catalogne, comme de vers Marseille Au delà, ciel clair ou peu nuageux par nuages élevés. Vent du secteur Est 30 à 40 kilomètres à l'heure. Visibilité bonne, Manche. Temps médiocre avec éclaircies et grains. Vent tempétueux d'Ouest à Sud-Ouest. Méditerranée. Beau temps peu nuageux, sauf ondées sur le littoral Nord et averses sur celui de Tunisie 1 méridionale. Vent du secteur Est ou variable modéré. Côte d'Azur. Beau temps peu nuageux. Vent variable modéré.

Côte basque, Un peu de pluie suivie d'averses, et d'éclaircies. Vent Sud à Ouest fort.

Le colonel et dé Bàrhbreux: officiers (lu régiment hussards étaient présents, mardi, à la chasse de la Saint-Hubert de l'équipage de. Bonne.lles, Naissances

M- Yves Lé Proux La,' Rivière et madame, née Wavrechin, sont Heureux 'de faire part de la naissance de leur fille Bërthe. 3l octobre.

Le chef. d'escadrons de Mqr$i;"et madame, née Guy de Ferrières, sont heureux -de faire part de la naissance de leur fils Gérard. 10, rué OâWaldo-Cruz, Paris (iee>; .>

-.M.et:Mmè André W^il "ont te plaisir d'annonter la Ttaissance de leur fils Jean.-IsidorerEmmanuel. Le dbctëîii- Henry Havrèt et madame, née Simone Doury, scfrtt hevtreux. de- faire part.de la naissance de leur', fils Philippe. 16 octobre 1931. ̃ Bienlalsance r l'^l, .ir>

Aujourd'hui jeudi; seèbla: ët-Hef nier jotf? 8e là vente annuelle de l'Assistance par le travail des huitième et dix-septième arrondissements.

Linge confectionné, lainages et goûters complets au prix de neuf îrâries, servis au buffet organisé pour cette œuvre si intéressante qui secourt les' femmes nécessiteuses, de ces deux. arrondissements en leur procurant à domicile un travail rémunérateur,

Uri-e vérité charité aute lieu à la salle de la Ligue patriotique des Françaises (18, -rufe de la VUlé-- l'Evêque), les mardi 10 et mercredi Il novembre, de quatorze à dix-huit heures, en faveur de la paroisse du Saint-Esprit'de Ghoisy-le-Roij patronages et colonies de vacances. ̃ « En faveur des œuvres paroissiales de l'église SaintLambert de Vaugirard, une vente de charité aura lieu en la salle des fêtes Saint-Jean-de-bieu (223, rue Lecoufbe), les mardi 10, mercredi 11. et jeudi 12 •novembre,' de quatorze à dix-huit heures.

Mariages

La cérémonie religieuse du mariage de M. HenryPatê vice-président de la Chambre des députés,, avec Mme Dupont-Bernardét s'est déroulée hier matin, dans la chapelle de l'archevêché, de Paris. Ce fut S. Em. le cardinal Verdier, archévêqué'ée Paris, qui donna la bénédiction aux nouveaux époux.

Ôeuils

Les obsèques de,, M. Geoffroy de Grahàmaison, président de-lâi Société bibliographique, memb.feiie l'Aeaî âémie d?édu(?àtipii et- d'ent^idsrsociate^ont ;été. ^élébré&s- en.l'égfeede Sé^z^esniVjiJSur?)^»0»^?.?5^0 S. Exc. Mgr Gaudron, évêqw?i.id?Evreux. •. Le prélat, dans u-ne élQ-quiente.. allocution, a rappelé tes services rendus par M.Geoffroy de Grandmaison, disciple du comte Albert de ,Mûn, à l'action intellectuelle catholique. Le docteur Richard, au 'nom des catholiques de l'Eure, a rendu un émouvant hommage au rôle actif qu'il joua dans l'organisation, religieuse, du département; Au. nom de la corporatioa des"> publicistes chrétiens, M. Georges Goyau, de l'Académie française, a souligné la portée dès œuvres historiques, de M. Geoffroy de Grandrnaison

« Ses recherches, dit M. Georges Goyau, se portèrent sur-d-eux questions que les passions politiques et d'ignoraflts préjugés présentaient au grand publie sous un jour généralement inexact. Un Français cultivé d'il y a cinquante ans concevait volontiers la Congrégation, au temps de Charles X, comme une équivoque société d'intrigues dévotes, se dépensant en manœuvres politiques clandestines.: le livre du jeune Geoffroy de Grandmaison sur La Congrégation, fit justice de ces légendes, qui s'alimentaient dans les pamphlets de l'époque, et les deuvres de la Congrégation' àp'pârure'ht enfin, grâce à lui, comme un émouvant épisode de l'histoire du Paris bienfaisant et charitable entre 1815 et 1830. Un Français cultivé d'il y a cinquante ans subissait, même, s'il était croyant,,l'inflùence des préventio-ns de .'fotit gs'nre qu'avait suscitééè la philosophie 'politique du siècle contre la civilisation catholique d'au delâ des Pyrénées des livres de M. Geoffroy de Grandmaison. sur L'Espagne et la Rê'volixtioit française, sur L'Espagne et Napoléon, qui demeurent son œUvfe capitale, se'.dégagent avec netteté et sûreté les grandes lignes d'Un' pbrtf ait. strictement historiqjie de l'E^Ràgnè. d'fl.y i,nt trente. ans.». '̃ '̃. M. Georges Goyau, eh terminant, rappela le rôlejoué

pat°~I: Géofff9ÿ_de Grân~rfi~isÀù'dutan't lajgrànHé gpèr,ré.

par M. Çébfffpy:.dë Gran'Hrii^is'b'h dutant. la^grànaé' gM,èr,rë

'ôômmé' coadjuteur, pais c'énirne "successeur du comte Albert de Mun, dans la grande tâche de l'organisation l'œuvre des aumôniers militaires, et- montra « tous les prêtres, qui aspiraient à s'eh alfe-ry comme volontaires, aux points les pÏÏik avancés 'du front, pour aider à souffrir, aider à mourir, s'achérriinant Vers lé bureau dé M. Geoffroy dé Grandmaison, à la Société de Secours aux Blessés-militaires, comme vers le centre de mobili* sation de leurs bonnes volontés. »

Mme Marianne von Scfiomer, grand'mère de S. Exc. M« von Hœsch, ambassadeur du Reich en France, vient de mourir à Vienne, à l'âge'de quatre-vingt-seize ans. JLe contre-amiral Francisco Pou Madraner, qui commandait la canonnière Callao au cours du combat naval de Cavité où l'Espagne perdit lê§ Philippines, vient de succomber à Palma-de-Ma.jor.que.

De Genève nous apprenons la mort du docteur Eugène RevUliod, une personnalité très importante de la ville.

En reconnaissance des soins donnés aux Français résidant à Genève, lé docteur Revilh'od avait reçu la croix de chevalier de la Légion d'honneur.

Mlle A.-M. de La Boite est morte récemment à Aubigné-Briand, où ses obsèques ont été célébrées hier mercredi.

Nous apprenons la mort récente de Mme de Chaptal-Lamerre. -<>

Le chanoine Lagatiô, 1836, doyen des prêtres du département du Nord, vient de mourir à Cassel.

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Le Championnat de boxe de Il Atlantique Nord L'équipe du « Pai"!» »

contre celle de l' « Olympic » en finale Les sports occupent aujourd'hui une place importante à bord des transatlantiques, qui possèdent des installations sportives reniarquabks, mises à la disposition de leur personnel.

Cette activité sportive a conduit à l'organisation de compétitions « inter-paquebots », dont le Championnat de boxe de l'Atlantique Nord.

La finale de cette êpreuye sera disputée le dimanche 15 novembre, à Paris, au Palais des Sports, au bénéfice des « Œuvres de la mer », entre les équipes du Paris et de l'Olympic. Elle sera présidée par le ministre de la tnarine marchande. Le « Sporting-Club » S. S. Pw'is, fondé en 1927, est omnisport. Son équipe de boxe comprend des boxeurs de classe, qui ont su profiter des enseignements des pugilistes célèbres, tels, que Routis, Kid Francis, Vince Dundee, Kid Berg, Al Brown, Robert Sirvain, Jack Briïtbn et Carnera, durant leur passage à bord.

Elle compté 'des victoires sur de nombreuses formations maritimes étrangères, et particulièrement sur Péquipè^du ̃ S.S, ,Aquitania, dans la Coupe de l'Y. M. C. A. dejNew-York, qu'elle détient. Son équipe est ainsi constituée

tisiard, 17, ans, 54 Uilos^à'- fait ,18 eonîljatB, n'en a

perduf que 6 Bràgancé'28, Ans, 50 kilos, lé doyen du

Paris, boxe depuis 5 ans ̃â'jn'is part à plus de 300 tra-

versées, au cours désqiif ÎJjès^ iLa livré 30 combats, dont

17 gagnes et 8 nuls XeïrW'fO ans, 63 /kilos, 25 comTbats dont 15 gagnés et 5 nùrs..J.'lperre! 30 ans, kilos.. Finaliste du Championnat': nijhiàire .1923, 30 combats, dont 18 victoires et 5 nuls^ Çaùvin, 19 ans, 60 kilos, 25 combats, dont 17 iagnés Àmbroise, 24 ans, 71 kilos, 38 combats, dont 20 victoires et 12 nuls Trégnier, capitaine de l'équipe,1 30' ans, 69 kilos, 30 combats, dont 18 gagnés et 7 nuls. ai ^entraîné Jimmy Wilde. L'équipe du « Sporting-Club » S.S. Olympic pratique, en outre de la box«, le hockey et le foot-' bail. Elle est détentrice de la Coupe B. Ameil, gagnée contre l'équipe dii paquebou l'Ile-de-France. Ses représentants, à l'égal de ceux de l'équipe du Paris, ont livré de nombreux combats, dont ils sont sortis le plus souvent vainqueurs. Ce sont Morgan, 57 kilos, 17 ans Riggs, 61 kilos, 18 ans w Potts, 61 kilos, 23 ans Malion, 60 kilos, 25 ans Reid, 71 kilos, 20 ans Walls, 65 kiïosj 26 ans Softy, 76 kilos, 28 ans.

La rencontre sera donnée sous les auspices de. la Fédération française de boxe.

Le $ôete Zé/rfiîà San Martin vient de mourir à Montevideo.

Le gouvernement a décrété que des honneurs extraordinaires seraient rendus au défunt.

Samedi, prochain 7 novembre, à dix heures et demie, une messe anniversaire sera célébrée en l'église Saiatijacques. du Haut-Pas pour le repos de l'ârn-e dePierre Lass&rre.. ̃'̃

Nous apprenons la mort de M. Paul Vallois, président honoraire de la chambre de commerce française du Caire, ancien député de la nation française au Caire, conseiller du commerce extérieur; décédé; subitement à Hossegor. Les obsèques auront lieu demain vendredi 6 novembre, à dix heures, en la chapelle du PèreLachaise.

̃ -7 On.^nous prie d'annoncer la mort de Mlle Jeanne de Èfèssieûx, en 'religion Sœur Marie Sainte- Hélène, des petites Sœurs de l'Assomption; '• décëxfée àCreir/te 4 novembre, à l'âge de trente-neuf ans. Lés obsècfiiës1 auront lieu ,à Creil, 31, rue Juleà-Jnillét, demain vendredi 6. novembre, à. dix heures et demie. Lé présent avis tient lieu d'invitation.

Nous apprenons la mort de Mlle Colette De'hau, fille ;dè M. Jean D-ehau et de madame, •' née D'avaine, décédée à Paris, dans sa dix-neuvième année. Les obsèques auront lieu à Bouvines (Nord), le samedi 7 -novembre, à onze heures. Réunion au château de Bouvines à dix heures et demie: Il ne sera pas envoyé de lettres de faire-part, le présent avis en tenant lieu. Les obsèques de Mme Vallantin, belle- mère et mère de M. et Mme Jacques Bousquet, ont eu lieu dans l'intimiïé, selon la volonté de la défunte, en l'église Saint-

Hohôrê ri'EylaU, v$ai~tir~.

lîohoré,çi'Evlau, Valflenr>.

^Ô^ ÏÎÔfKS

Parinî les personnalités récemment arrivées à Paris, nous notons

Au California i M, Eugène Heim, M. Francis G!. Bishop, colonel Henry H. ïlabson, M. Forbes G. Christie, M. Harold F. Ritchie, M. J. H. Spènee, RÏ. Douglas Hdivart, M. Frederick van den Hennel, colonel et Mme Eric Héllen, baron Henry de Blonay, M. et Mme Jean Thiery; M. Ernest Stock, marquise Paola di Médicis, M. C. L. Dyer, M. Howard Mac Ateer. ̃ ̃

̃ An Scribe •;̃ 'j,: ̃

ÎJLy^SJ^son, ,M(>î5i,W^t'^f>M;:#îïr]îél'<8'ë"^i-^t-

B-oi)^, M.; et Mme- Richepin-Laparçerje, M' W." Kipps,

M.J. ïnglis7M.Ë, Klnriard,M..Pr. faylor", 1 M~,et, -~Minë Lanes, M. Guido Conti, M.; -Gldttdé Coulta'ire/ Mf ̃ et Mrs Gray, M. Raoul Labrat.

Au Westminster ̃ M. Eduàrd Gerrick, Mr et Mis Karl Freiind, Mr et Mrs Frederick P. Cranë. ̃̃ ̃•̃

PETIT CARKET

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A l'Exppsition coloniale à 14 h. 45, à la salle des fêtes, film sur Madagascar à 17 heures, au Pavillon des Forces d'outre-mer, conférence du colonel Faveris sur « La gloire de l'armée d'Afrique».

Au Grand Palais des Champs-Elysées le Salon d'automne.

Au Cours-la-Reine, exposition de la Société nationale d'horticulture.

Au Grand Palais des Champs-Elysées Salon nautique, des sports et de la gastronomie.

Courses à Auteuil à i h. 15.

LA VIE RELIGIEUSE M. Georges Goyau et l'histoire des missions Notre éminent collaborateur M. Georges Goyau recommence aujourd'hui, à. 17 h. 30, le cours d'îiistoire des missions que chaque jeudi il fait à l'Institut catholique de Paris. Pendant les mois de novembre et décembre 1931, il étudiera les missions en terre païenne aux dix-septième et dix-huitième siècles. Puissent, autour de la chaire de l'éminent historien, les auditeurs --se -presser nombreux Pendant trop longtemps, en effets l'histoire des missions fut délaissée en France. Pendant trop longtemps la France, si traditionnellement généreuse en faveur des missions, s'est, dans le domaine de l'histoire missionnaire, laissée devancer par î'Allemagne. Le regretté R. P. Piolet, en publiant; en 1900, sa vaste histoire dés missions françaises au dix-neuvième siècle, puis en fondant les « Amis des missions » que préside aujourd'hui avec tant d'autorité l'amiral Lacaze et la Reime d'histoire des Missions donna au renouveau historique missionnaire une impulsion qui, grâce à M. Goyau, a pris une ampleur remarquable. « C'est à l'histoire des missions que je vais consacrer ce qui me reste de forces », déclarai t41 en 1927 en inaugurant son cours d'histoire des missions à l'Institut catholique dè Paris. Il /n'avait pas, certes, attendu ce mOment pour étudier cette partie de l'histoire reli-

pieuse de la France dont, depuis quarante ans, il .esWaiinalisfe. et le. cûmmeutat-eur.Mais partir de fCe.ftc époque, les études missionnaires: se multiipl!iaiè'nt'sous sa plume*. Les lecteurs de 'Figaro' ont eu la' primeur dé plusieurs. Anticles, conférences, rèçôns,' ouvrages, sè sti'ccédent en une telle abondance et* avec un telle maîtrise qu'un religieux mariste, le R. P. Patrick- O'Reilly, publiait, il y a quelques mois, une élude intitulée « M. Georges Goyau, historien des- missions ».. Une bibliographie la terminait mais la fécondité missionnaire de l'éminent académicien est telle qu'à peine panrc £ '.le n'était dijïphV3 à jour. Sans parler, en effet, des articles ou morceaux divers qui prendront place un jour dans les séries d'études d'histoire missionnaire qui succéderont aux deux volumes déià publiés de L'Eglise en marche, il y a quelques 'semaines, il brossait u'ne vaste et magnifïque fresque de l'idée missionnaire, ses développements et ses progrès à travers les âges. Missions et Missionnaires se défend d'être une h'isTôîré dés missions ou une galerie de portraits de grands missionnaires, ou un panorama de l'évanffélisation contemporaine. Ce n'est, en effet, rien

de tout cela, c'est mieux que tout cela, puisque

c'est de tout cela la quintessence, ce sont sur tout, cela des vues générales dont l'on ne sait ce que l'on doit le plus admirer, de la concision qui fait tenir vingt siècles en 240 pages, de l'immensité des horizons que M. Goyau fait découvrir à ses leci teurs ou- de Férudiiiora considérable que supposent ces regards d'ensemble jetés sur le mouvement missionnaire à travers le monde et les siècles. Divisées en courts paragraphes, écrites en un style coulant et entraînant, ces pages vous promènent des premiers siècles de l'Eglise à Pie XI et vous font assister à l'adaptation missionnaire des anciens ordres religieux comme à la naissance et au développement des nouveaux instituts missionnaires suivant les besoins du monde païen, besoins auxquels correspondirent toujours également les diverses directives pontificales quel que fût le Pape occupant le siège de Pierre.

Le succès du Pavillon des Missions à l'Exposition doit être pour tous ceux qui l'ont visité un point de départ vers une plus parfaite connais. sauce des questions et des problèmes missionnaires. Ce pavillon fut pour beaucoup de gens une révélation. Puissent l'émotion qu'ils y ont ressentie, les leçons qu'ils en ont tirées, la curiosité qu'en leur ânîe il à éveillée-, les inciter à connaître on mieux connaître les- détails dés étapes diverses et variées de Févangélisation missionnaire. Pour cette étude du passé qui explique le présent, il n'est pas de meilleurs et plus sûrs guides que M. Georges Goyau, ses ouvrages vCt son cours de l'Institut Catholique de Paris.

cardinal Verdiêr a remis la Légion d'honneur m :f'ï# réfigréux !tTFSrK>îs<œin

S;- 'Ënjt 'lé ,cflj-;di.n,ai,Veirdiér a remis ces jours-ci 'ùïi ,£r..MaVtial Bayard, franciscain, grand mutilé, de giaërre, amputé des deux pieds, la croix de la Lé-» gion d'honneur.

Cette émouvante cérémonie s'est déroulée an sé- minaire des Missions franciscaines de Fontenaysotis-Boïs. cardinal était accompagné de Mjtf ÉrOucher, l'érriirïent président des œuvres missionnaires pontificales de la Propagation df la Foi. Paul Lesourd.

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A L'EXPOSITION COLONIALE

La visite d'adieu de RI. Doumer

Le président de la République a visite hier matin différents palais et pavillons de la section métropolitaine de l'Exposition coloniale.

Dès 9 h. 30, les personnalités officielles affluaient à là porte Montempoivre, où devait commencer la

visité.'

On remarquait notamment M. Georges "$ch\vob\ cl'Héricoùftj président génér-îri dè'la section métropolitaine Je docteur Faure et M. Brizon, respectivement vice-président et trésorier du comité d'organisation de la section métropolitaine M. Orliac, chef des services administratifs.

Successivement arrivèrent le maréchal Lyautey, le gouyerneiir général Olivier, M. Vatin-Pérignon, secrétaire général de l'Exposition. Puis MM. Albert Lebrun, président du Sénat Louis Rollin, ministre du commerce Swart et le colonel Silveira e Castro, commissaires généraux des Pays-Bas et Portugal le marquis DI san Germano, chef de cabinet du prince Di Scalea, etc.

A 10 heures précises, le chef de l'Etat, accompagné du colonel Rupied, de sa maison militaire, fut reçu, à sa descente de voiture, par M. Georges Schwob d'Héricourt, et salué par le maréchal Lyautey et les personnalités présentes.

Le cortège se forme aussitôt. Le président de la République entre dans le palais, pendant que la musique militaire du 5e régiment d'infanterie joue la Marseillaise. Les présidents de groupés et de classes se trouvaient à leurs stands respectifs, que M. Doumer parcourut successivement en se faisant rapidement présenter les personnalités intéressées. Le cortège traversa ensuite le palais pour se rendre à pied au pavillon de la publicité, qu'il visita dans tous ses détails avant de gagner le pavillon des bois coloniaux.

A l'issue de cette visite, le cortège se dirigea vers le palais des industries de luxe par l'avenue du Lac, la route de Ceinture et l'avenue des Etats-

Unis .r ~u

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l^res un «Ihjylgk devant le^ pavillon du livre, le î?aïais des pôrcâaines et.^ëelui des industries de luxe, M. Doumer remonta en voiture à 11 h. 45, pour quitter l'Exposition par la route de Ceinture, l'avenue du Lac et la porte d'honneur.

Le président de la République exprima sa satisfaction toute particulière au maréchal Lyautey, au gouverneur général Olivier, à M. Schwob d'Héricourt, président général de la section métropolitaine, ainsi qu'aux commissaires généraux adjoints Berti et Morain, pour le magnifique aperçu de l'activité nationale qu'ils lui avaient présenté. La conférence du capitaine Durosoy

Le capitaine Maurice Durosoy, de l'état-major du maréchal Lyautey, a fait hier après-midi, à la salle des fêtes de la Cité des Informations, une fort intéressante conférence sur le sujet « Au Maroc le rôle du service des renseignements ». Un nombreux public, qui applaudit fréquemment le conférencier, se pressait dans la salle. I Le capitaine Durosoy, dont l'activité personnelle au Maroc comme commandant du poste de renseignements d'El Mers, il réussit la liaison du Sud au Nord à l'occasion de l'encerclement des massifs du Bou-Iblan et du Tichoukt en 1923-24, a rendu les plus éminents services à notre cause (nous l'avons rappelé récemment), a entretenu son auditoire du rôle des officiers de renseignements depuis la conquête et pendant toute la durée de la pacification du Maroc.

Nous avons remarqué, parmi les'nombreuses personnalités venues entendre l'exposé du capitaine Durosoy le .gouverneur général Olivier, délégué générai MM. Homo et de Launay, chef et chef adjoint du cabinet du maréchal Lyautey la plupart des membres du haut personnel du commissariat général de l'Exposition et de la participation de l'armée, dont le directeur, le général Calmel, présidait cette manifestation. De nombreux officiers du gouvernement militaire de Paris et des troupes coloniales avaient également tenu à assister à la conférence, si précieuse pour l'art militaire. Le film Siroco a été projeté sur l'écran de la salle des fêtes, après la conférence du capitaine Durbsoy.

Çà e-fc •£ Mme Albert Dervaux offre aujourd'hui une matinée récréative, à l'hôpital Cochin, aux malades du pavillon Landouzy, service du docteur Chevallier, professeur à la Faculté, avec le gracieux-concours de MM. Foottit fils et M. Aviet.


DERNIÈRE HEURE

Le {ouyernement chinois

a adresé hier une nouvelle note auConseil de la S. D. N.

Genève 4 novembre. Le représentant de la Chine au-'onseil de la Société des nations a remis hier au scrétaire général une note de protestation contre Fttitude du Japon dans- l'affaire de Mandchourie.En voici les passages essentiels « Le .ouvernement chinois est sérieusement inquiet dl développement de la situation en Mandchouriedepuis l'ajournement du conseil. Le mémorandm ci-joint qui renferme un exposé de ce dévelopement montre que, bien que dix jours se soient coulés depuis l'ajournement du conseil, le 24 octore, et plus d'un mois depuis l'ajournement du 30 eptembre, non seulement aucune Dréparation n'a ét faite pour le retrait des troupes, mais encore armée japonaise étend et consolide fermementsa mainmise sur la Mandchourie du sud et fait our pénétrer dans la Mandchourie du nord des tntatives qui causent de l'anxiété à Moscou. »1 y a peut-être lieu de rappeler que dans la résjiition du 30 septembre que le Japon a acceptée et ai constitue pour lui une obligation, il est dit qvule gouvernement japonais « poursuivra aussi rardement que possible le retrait déjà commencé deses troupes pour les ramener dans la zone du chmin de fer dans la mesure où la sécurité de la vi(des ressortissants japonais et la protection de 1ers biens seront effectivement assurées ». Cette d'iaration faite il y a plus d'un mois, suivant laqelle le retrait avait déjà commencé, n'est malheurusement pas confirmée par les événements. Non t-ulement le retrait n'est pas commencé, mais enore le gouvernement japonais refuse aujourd'hui (e tenir la promesse qu'il a faite devant le conseil t il déclare qu'il ne commencera pas le retrait de es troupes avant d'avoir négocié un accord avec a Chine sur « certains principes fondamentaux ». » Le gouvernement chinois doit répéter qu'il est fermement résolu à ne jamais accepter dans aucune circonstance de négocier .sous la pression de l'occupation militaire et il est assuré que les membres de la Société des nations et les Etats-Unis î'Amérique ne souffriront pas que le pacte de la Société des nations, le pacte de Paris et le traité les neuf puissances signé à Washington soient foujs aux pieds, »

Un mémorandum est joint à cette note. Un télégramme du Japon

GENÈVE, 4 novembre. Le secrétaire général de t S. D. N. communique au conseil copie d'un téïgramme qu'il vient de recevoir de la délégation iponaise. C'est la réponse du ministre des affaires trangères du Japon, baron Shidehara, à la note du ouvernement chinois du 27 octobre demandant lU gouvernement japonais de désigner les repréentants pour régler les détails d'évacuation et la jrise en charge des territoires évacués selon le paragraphe 5 de la résolution du conseil de la S.D.N. du 2t octobre.

Le gouvernement japonais, y est-il dit, a proclamé la ligne de conduite qu'il se propose de suivre pour régler, les incidents de Mandchourie par sa déclaration publiée le 26 octobre, et il prie le gouvernement chinois de bien vouloir se référer à ce document.

Le gouvernement japonais désire vivement que e gouvernement chinois, adhérant aux vues du Gouvernement japonais mentionnées dans ladite déclaration, entame avec celui-ci, dans le plus bref délai, des négociations pour une entente sur des Doints fendamentaux destinés à servir de base au règlerneit des relations normales entre les deux ays, aiisi que de.Sj négociations relative,?, au retrait 4ps troipes.japonaises dan,s, la zone du chemin de 1er sudjnandchourien.

Intervention de M. Briand

GeniVe, 4 novembre. M. Briand, en sa qualité de préident du conseil, a adressé au représentant ̃du Jaon une note dont voici la conclusion « ,M le ferme espoir que le gouvernement japonais, lésireux de remplir l'engagement qu'il a contract solennellement, aux termes de la résolution du 3 septembre, et qu'aussi bien il n'a cessé de confiner par ses déclarations réitérées, au cours de 1 dernière réunion du conseil, dans les séances des'^2, 23 et 24 octobre, « poursuivra aussi rapide:rent que possible le retrait de ses troupes dans la pne du chemin de fer » et qu'il pourra ainsi « éaliser complètement cette intention dans le pis bref délai ».

En raison de l'extrême importance que votre guvernement attache à la sécurité de la vie et des £ens des ressortissants japonais dans les territoiis évacués par ses troupes, je me permets d'attirer attention de Voire Excellence sur le paragraphe 5 •e la résolution soumise au conseil le 24 octobre, lui recommande aux deux gouvernements « de désigner immédiatement des représentants pour régler les détails d'exécution de l'évacuation et de Ja prise en charge des territoires évacués, afin que cette opération puisse s'accomplir de façon régulière et sans retard. »

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Les réparations et les crédits gelés Les thèses allemandes on mieux la tactique allemande sont connues les idées de M. Laval ne le .̃ont pas. Ce qui explique sans doute l'encens, approbation prématurée, la confiance sans précison qu'accordent au président du conseil de très îoinb'reux journaux qui ne sont pas mieux informés que nous. Nous pensons qu'il ne suffit pas de te pas accueillir intégralement les désirs de Berlin )our justifier cette confiance. L'opinion franaise applaudirait-elle le geste de couper la poire :n deux ?

Le problème étant connu (à savoir que l'Allemajne ne peut satisfaire à ses dettes commerciales à :ourt terme), voici avec quelle clarté l'économiste tllemanrf Gustav Stolper, dans la DEUTSCHE VOLKSWIRTH, marque les préférences de Berlin La réponse à la question de priorité différera suivant que, ou l'égoïsme national ou la volonté d'assainir l'économie mondiale l'auront emporté. La question de savoir si et comment l'Allemagne remboursera ses dettes privées à court terme est décisive pour la situation de centaines de banques à travers le monde, pour le rétablissement de la confiance international. Mais l'Allemagne ne peut à la fois amortir ses dettes privées et payer des réparations. Seule la France peut trancher cette alternative..

Nous en revenons à la déclaration cynique .'« Financiers, nos prêteurs, nous vous rembourserons volontiers, mais débarrassez-nous du plan ,Young. »

Le TEMPS fait front, avec vigueur, à cette manœuvre (qui n'a d'ailleurs aucune chance de succès complet)

Cette thèse est simplement monstrueuse, car elle 'end à faire couvrir les crédits imprudemment consentis à l'Allemagne par des banques étrangères, dans un esprit de gain et de spéculation, avec les ressources qui doivent être consacrées au payement, non des dettes « politiques », mais de justes réparations pour les dommages causés par les armées allemandes pendant la guerre dans les régions qu'elles occupèrent en France et en Belgique et dont ces deux pays ont assuré la restauraticn par leurs propres moyens. Quand l'économiste Gustave Stolper ose écrire que « la réponse à la question de la priorité différera suivant que l'égoïsme national ou la volonté d'assainir l'économie mondiale l'aura em-

En Allemagne, le Centre

ne serait pas décidé à collaborer avec ks hitlériens

BERLIN, 4 novembre. Le parti du centre ne paraît pas décidé, pour l'instant, à accepter les offres ouvertes de collaboration qui lui ont été faites par les nationaux-socialistes, et la commission centrale du parti, qui se réunit demain à Berlin, le dira sans doute nettement.

Dès maintenant, les milieux centristes déclarent que le problème d'une coalition du centre avec un parii quelconque ne pourra pas se poser avant le mois de février, lors de la réunion du Reichstag, et qu'au surplus le parti du centre a toujours été et reste adversaire des expériences politiques et c'en serait une que de faire entrer les nationaux-socialistes dans le gouvernement du Reich. Le centre ne va cependant pas jusqu'à considérer comme .définitivement impossible une collaboration avec les nationaux-socialistes. Il réserve l'avenir, prêt à osciller, suivant les circonstances, soit vers la droite, soit vers la gauche. La réserve qu'il manifeste actuellement s'explique par les réactions défavorables qu'ont produites à l'étranger, et spécialement en France, les bruits relatifs à une prochaine entrée des hitlériens dans le cabinet.

Il est clair, au surplus, que le centre a mené, depuis la dernière session du Reichstag, un jeu assez habile. En adressant quelques sourires, d'ailleurs pleins de réticences, aux nationaux-socialistes, il a réussi à dissocier le front unique de BadHarzburg il a déclenché des polémiques furieuses entre hugenbergiens et hitlériens il a attisé le conflit interne du national-socialisme entre ses éléments capitalistes et anticapitalistes il a favorisé le même mouvement à l'intérieur du Stahlhelm, où la conjuration de Bad-Harzburg a été fort mal accueillie par les éléments jeunes. Toute cette manoeuvre, bien menée, a réussi pleinement. Mais le centre ne voudrait pas la pousser plus loin. On peut se demander si elle n'a pas servi la propagande des hitlériens. Ceux-ci ont pris l'attitude d'un parti qui est persuadé que son accession au pouvoir n'est plus qu'une question de semaines, et il est certain que leur prestige sur lés masses allemandes n'a pas diminué depuis l,a session du Reichstag, bien au contraire.

Alcala Zamora sera-t-il élu président de la République ?

Madrid, 4 novembre. On sait que certaines démarches ont été entreprises auprès de M. Alcala Zamora pour que celui-ci accepte de poser sa candidature à la présidence de la République, mais il y a un obstacle à son élection. On se rappelle, en effet, que l'ex-chef du gouvernement avait adressé à ses collègues, au moment où il présenta sa démission, un document dans lequel il faisait certaines allusions à l'égard de plusieurs ministres et disait qu'il ne pouvait accepter le texte de la Constitution tel qu'il serait approuvé.

M. Alcala Zamora devrait donc, pour être appuyé par le gouvernement comme candidat à la présidence de la République, rectifier ses déclarations. On considère en effet qu'il n'est pas possible que le plus haut magistrat de l'Etat ne reconnaisse pas la loi fondamentale de la nation. Les visites faites par les ministres à M. Alcala Zamora ont donc eu un caractère conciliateur ceux-ci ont tâché de mener à bien leur projet qui était de faire élire M. Alcala Zamora à la présidence de la République à la condition que ce dernier renonce à son projet de revision de la Constitution» “«.»>. En résumé; il semble que toutes'ces négociations aboutiront heureusement. L'état d'esprit toujours conciliant du leader progressiste rJe fait également augurer. L'élection de M. Alcala Zamora à la plus haute magistrature du pays pourrait être alors considérée comme faite.

Une conférence du général von Seeckt à Stockholm

STOCKHOLM, 4 novembre. L'Association suédoallemande, qui fit déjà venir en Suède comme conférenciers le général Liman von Sanders et l'amiral von Tirpitz, avait organisé une conférence du général von Seeckt.

Le général, parlant des grands capitaines pendant les trois derniers siècles, a fait ressortir la nécessité pour les hommes de guerre de combattre pour une idée. Dans l'assistance se trouvaient M. Rosenberg, ministre d'Allemagne, et M. Oardy, ministre de Suisse.

Le président de l'association, M. von Essen, a salué en von Seeckt un génial organisateur dont le nom est inscrit ineffaçablement dans les pages de l'histoire, et M. Sven Hedin, l'explorateur connu, a prononcé un toast souhaitant au général von Seeckt, bonheur, prospérité et victoire.

Le général allemand s'est abstenu de toutes déclarations sur les questions politiques actuelles.

porté », il fausse délibérément les données du problème. il confond l'assainissement de l'économie mondiale avec les exigences d'une Allemagne glissant à la banqueroute parce qu'elle s'est obstinée à vivre au-dessus de ses moyens et avec les intérêts de la finance internationale qui. a consenti au Reich des crédits excessifs, tandis qu'il qualifie « égoïsme national le fait, pourtant d'élémentaire justice, d'exiger la réparation de dommages réellement subis.

(Pour le Temps aussi, la finance internationale existe. Le mythe » n'est plus de saison.) Que veut M. Laval 7

Le JOURNAL DE GENEVE écrit que .la confiance de M. Laval en lui-même semble grande. En somme, on dirait qu'il se propose de jouer le tout pour le tout ».

?

Les DEBATS, du silence de M. Laval, ne veulent pas conclure prématurément, mais.

En somme, si l'on s'en rapporte à ce qui se dit et s'écrit au dehors, la fameuse mission de M. Laval consiste d'abord à faciliter le sauvetage des créanciers américains et anglais qui ont fait une mauvaise opération avec l'Allemagne, ensuite à faciliter la politique de l'Allemagne en revenant sur le règlement définitif des réparations, tel qu'il résulte du plan Young. L'Amérique se réserve le droit de passer ensuite l'inspection du travail de M. Laval et d'approuver ou de blâmer. Si ce n'est pas cela, qu'on ne nous laisse pas ignorer plus longtemps de quoi il est question.

On ne saurait plus justement juger la situation. Et M. Martin-Mamy (AMI DU PEUPLE du soir) d'élever l'avertissement nécessaire

M. Laval, qui n'aurait pas, lui, l'excuse du mysticisme, osera-t-il prendre la responsabilité de continuer une politique qui mènerait tout droit, qu'on l'avoue ou qu'on ne l'avoue pas, à substituer des capitaux de chez nous aux capitaux imprudemment placés en Allemagne par des banquiers américains et anglais avides de gros intérêts ? 7

Question sans réponse pour le moment. Un soupçon

De Washington, M. Stéphane Lauzanne continue d'envoyer au MATIN des informations et des impressions du plus grand intérêt. Voici quelques lignes qu'on ne peut, dès l'abord, lire sans contentement les Etats-Unis commerceraient à compren-

L'OUTILLAGE NATIONAL

ET LES CHEMINS DE FER

M. Pierre Laval a conféré hiec, dans les couloirs de la Chambre, avec M. Malvy, président de la commission des finances, sur la reprise des travaux parlementaires. Ils ont été d'accord pour estimer que le projet d'outillage national doit être placé en tête de l'ordre du jour de l'assemblée. On sait que la commission des finances entreprendra lundi l'examen du dit projet.

On prête en outfe.au gouvernement l'intention de déposer un nouveau texte destiné à remédier au régime déficitaire des chemins de fer, vu l'insuffisance du projet primitif. Le nouveau projet de loi comporterait l'autorisation d'élever le plafond des obligations et d'élever aussi. les tarifs. Il faut s'attendre à de vives discussions sur cette proposition, notamment à la commission des finances qui désignera un rapporteur lundi. Indirectement, ce projet peut aider à enrayer le chômage. Un apport de capitaux frais permettrait en effet aux réseaux de passer des commandes de matériel et de favoriser ainsi une reprise des affaires.

Quant à la réunion commune des commissions des affairés étrangères et des finances, au cours de laquelle le président du conseil doit faire un exposé sur les entretiens de Washington, MM. Laval et Malvy, d'accord avec M. Paul-Boncour, président de la commision des affaires étrangères, auraient l'intention de la placer au 12 novembre, jour même de la rentrée. La Chambre ne devant ce jour-là que fixer son ordre du jour, on peut prévoir, à moins de difficultés peu probables, que la séance sera courte. La fin de l'après-midi pourrait donc être réservée à la réunion des deux commissions. Signalons à ce propos que M. Paul-Boncour, élu sénateur, ne songe pas à donner sa démission de député avant janvier. La présidence de la commission des affaires étrangères ne se trouverait ainsi vacante qu'à la date normale de son renouvellement.

Serge de Lenz se cacherait a Paris

Plus de cinquante inspecteurs de police sont à à la recherche de Serge de Lenz, le gentilhomme cambrioleur de la villa de Dieppe.

Serge de Lenz serait à Paris On l'aurait même aperçu dans; un restaurant-de la rue de Richelieu 11 aurait fait enfin de sensationnelles apparitions dans certains établissements célèbres de Montmartre dont il fut jadis un client assidu. Mais il a l'air de narguer ceux qui le poursuivent il se montre (et au grand jour ) pour mieux disparaître dans on ne sait quelle profonde et ténébreuse cachette. Ce manège, toutefois, ne pourra plus durer très longtemps. Dans tous les lieux de plaisir où sa présence est devenue familière, des inspecteurs le guettent.

A Dieppe, l'enquête est activement poursuivie. On croit que le chauffeur du taxi dans lequel fut chargé le coffre « enlevé » la villa des Tourelles est un complice de Serge de Lenz. On recherche d'autre part un homme au « pantalon bouffant s> qui avait été aperçu devant l'une des tourelles de la villa. On est certain qu'il participa au cambriolage.

Les policiers ne cessent pas de recueillir des précisions intéressantes sur l'existence que menait à Dieppe le « monte-en-l'air ».

Ils ont fait notamment des découvertes assez cocasses au sujet des relations que cherchait surtout à avoir l'habile jeune homme. Serge de Lenz avail fait en peu de temps la connaissance de nombreux serruriers dont les clefs lui servirent à ouvrir bien des portes. Ce' sont d'ailleurs des empreintes de clefs qu'on a trouvées chez lui qui constituent maintenant la preuve décisive de sa culpabilité, car ces empreintes correspondent exactement à celles qui furent relevées sur les portes de ]a villa des « Tourelles ».

Enfin il avait cherché à se lier avec une jeune filie de la, ville qui est la proche parente d'un haut fonctionnaire de la policé focale. Ce garçon indélicat dont l'amitié est si compromettante voulait avoir des amis partout

Pour achever le portrait de cet aventurier moderne, notons que Serge de Lenz écrit ses mémoires au jour le jour. On a trouvé un précieux document écrit de sa main où est relaté en quatorze pages l'exploit qui lui valut d'être arrêté une première fois.

Dans sa présente cachette, continue-t-il d'écrire le roman de ses exploits ? Souhaitons qu'il aura bientôt le loisir de les achever en toute quiétude d'esprit dans cette prison de Melun dont il était sorti trop tôt.

Car le propriétaire des « Tourelles a a remis maintenant à la justice une plainte pour vol qui est formellement dirigée contre lui. L. C.

Informations politiques M. Renaudel et le budget de l'air

M. Renaudel ne sera pas rapporteur du prochain buiget de l'air. Modérés et nationaux de la Commission des finances le regretteront. On sait combien, au cours de cette législature, la majorité a tenu à confier des postes de confiance aux socialistes qui ne votent ni le budget, ni aucun crédit pour la défense nationale.

Mais la S. F. I. 0., en ses congrès, a protesté contre cette collaboration d'un de ses membres avec le bellicisme bourgeois. Et M. Renaudel s'est incliné.

dre que l'armée française est « surtout une armée internationale de l'ordre »

Mon confrère Walter Lippmann, qui est une grande étoile brillant aujourd'hui au firmament journalistique des Etats-Unis, me disait hier

Je ne sais pas si M. Pierre Laval a convaincu le président Hoover sur la question du désarmement, mais je sais bien que, depuis sa venue, on ne parle plus ici du désarmement, alors que, avant son arrivée, on en parlait tous les jours.

N'ayons pas d'illusions. On^, en reparlera dans quelque temps. Mais, c'est la beauté et la vertu de la logique et de la ténacité qui finissent toujours par s'imposer comme la lumière du soleil finit toujours par filtrer à travers les nuages. Il y a d'ailleurs quelque chose de plus. Il y a cette idée gagnant peu à peu l'esprit américain que l'armée nationale de la France est surtout une armée internationale d'ordre européen. Que tout cela est bon et beau Mais.

Poursuivons. M. Walter Lippmann publie aussi, dans la NEW YORK HERALD TRIBUNE, un article francophile

La signification particulière des conversations HooverLaval consiste dans la reconnaissance de ce fait que la puissance de la France lui donne l'initiative en Europe et que cette initiative entraine pour elle la responsabilité. Les Allemands ne doivent pas se méprendre sur ce fait ni le sous-estimer. C'est une vérité suprême sur laquelle ils doivent.baser toute leur politique. Ils sont obligés de procéder à. un ajustement des réparations en partant. de ce postulât, admis de tous, qu'ils doivent négocier avant tout avec Paris et non pas avec Londres ou Washington. Les Allemands commettraient une grande erreur s'ils concluaient que la décision de l'Amérique de faire confiance la France a pour effet d'augmenter le pouvoir arbitraire.

De celle-ci le contraire est vrai en acceptant de tout cœur la thèse de M. Laval, le président Hoover a voulu laisser à la France la responsabilité à laquelle sa puissance lui donne droit et cette puissance ne peut avoir qu'un effet heureux et modérateur sur la France ellemême. Les Allemands trouveront s'ils s'adressent à l'honnêteté et à la générosité de M. Laval, qu'il existe un état d'âme français qu'ils avaient complètement négligé. En tout cas, c'est leur seul espoir et dans les circonstances actuelles il n'y en a pas d'autre ni pour eux, ni pour l'Europe.

Sommes-nous victime de la maladie de la défiance ? Ces grandes et réconfortantes nouvelles d'Amérique évoquent irrésistiblement à nos yeux le sacrifice de notre épargne. Les crédits gelés toujours, à dégeler, et par qui ? Par la France. Nous garderions notre armée et l'Allemagne ne serait plus encouragée à quel prix cette position ?

GAZETTE DES TRIBUNAUX

Aventurière et femme de chambre La morale de ce procès dont nous avons parlé et qui se termina hier, c'est que lorsqu'on engage des domestiques, il faut s'entourer des renseignements les plus sérieux, qu'il ne faut pas non plus confier, trois jours après son entrée, à la nouvelle femme de chambre, la clef d'un coffrefort où l'on enferme pour plusieurs millions de bijoux. D'autres diraient peut-être qu'il vaut mieux n'avoir ni bijoux, ni femme de chambre.

Les jurés ont condamné après une heure et quart de délibération. L'affaire était pourtant simple.

Paule Thénaud, qui avait dévalisé Mme Bache à Biarritz et Mme Tarney à Nice,' a été condamnée à cinq ans de prison. Sa mère à trois ans. Leur cousin Mazeron a été acquitté.

LA MORT D'UN BON SERVITEUR DE LA FRANCE Il e

On annonce de Stamboul la mort du R. P. Lobry, visiteur des Lazaristes d'Orient, commandeur de la Légion d'honneur.

Avec lui disparaît une grande figura estimée et respectée par tous les milieux musulmans et chrétiens. Sa mort constitue pour l'influence française en Orient une perte considérable, et tous ceux qui savent quelle valeur morale offraient les travaux et l'action du Père Lobry envisageront avec une inquiétude accrue l'avenir de notre culture en régime kémaliste.

Une fabrique communiste de passeports à Vienne

L'affaire aurait une grosse importance VIENNE, 4 novembre. La police poursuit activement son enquête sur la fabrique communiste de passeports découverte à Vienne. Une femme, nommée Dicker, dessinatrice, installée en atelier, ainsi qu'un cordonnier et sa femme, ont été arrêtés. On a saisi chez eux un grand nombre de passeports et tout le matériel nécessaire à leur fabrication, ainsi que des formulaires non remplis. Le rayon des passeports français est particulièrement bien monté. On y a trouvé des formulaires pour « étrangers », des timbres portant là mention «. République française, préfecture de police », un timbre du consulat général de France à Tanger et du commissariat du Havre.

L'organisation de cette officine communiste touche également un grand nombre d'autres pays de divers continents, y compris l'Amérique centra!e, et dispose'même d'un fac-similé de signatures employées dans les services des passeports.

L'Italie célèbre le treizième anniversaire de la Victoire

Rome, 4 novembre. A l'occasion de l'anniversaire de 3a victoire, le duc de Pistole a déposé, au nom du roi, une couronne sur la tombe du Soldat inconnu et a assisté ensuite une messe solennelle, à laquelle s'étaient également rendus M. Mussolini, les membres du gouvernement, les hautes personnalités de l'Etat, ainsi que les représentants des associations de combattants et des organisations fascistes.

M. Mussolini et les autorités .sont allés ensuite rendre hommage au Soldat inconnu.

Le Banquet du Salon nautique

Hier soir a eu lieu le banquet donné à l'occasion du sixième Salon nautiq.ùej qui se tient actuellement au Grand Palais.

Il était présidé par MM. Charles Dumont, ministre de la, marine, et de'ÇhapnexJelaïne, ministre de, la marine marchande, entourés de MM. Gaston Gérard, sous-secrétaire d'Etat au tourisme Riche, soussecrétaire d'Etat à l'açrpn.autique Fould, soussecrétaire d'Etat à l'agriculture L. Rosengart, président du Salon nautique; les ambassadeurs ou représentants diplomatiques du Brésil, de la Belgique, d'Allemagne d'Uruguay, des Pays-Bas, de Yougoslavie, du Portugal, du Chili, du Pérou, etc. Parmi les convives on notait entre autres personnalités Mme Virginie Hériot, Mme Rosengart, MM. le vicomte de Rohan, le comte de La Valette, le baron Petiet, Louis Bréguet, Henri Potez, HenriLabourdette, Lioré, Charcot, Pujo, Caquot (tous deux du cabinet du ministre de l'air) Chaix (du TouringClub de France), le capitaine Massieu, commissaire général du Salon nautique, etc.

A l'issue du banquet, plusieurs allocutions furent prononcées par MM. Lucien Rosengart, Chaix, Spiers-Hallets (président du Salon nautique de Londres), des Isnards, conseiller municipal de Paris de Souza Dantas, ambassadeur du Brésil, qui, tous, dirent en termes éloquents l'attirance de la mer pour la population française et la nécessité pour notre pays de développer ce goût inné pour les choses de la mer.

M. de Chappedelaine, puis M. Charles Dumont dirent ensuite les bienheureux effets du Salon nautique depuis sa création ils exaltèrent l'oeuvre accomplie, glorifièrent la marine française, commerciale et militaire, et exhortèrent les organisateurs du Salon nautique à persévérer dans leur action, à la développer même si possible.

Et que restera-t-il des annuités inconditionnelles du plan Young ?

M. Albert Wiggins président de la Chase National Bank, une tête de la finance internationale, vient de faire de façon désinvolte l'aveu capital (déclaration de M. Lauzanne)

Je ne crois pas qu'il soit juste de rejeter sur les banques les responsabilités de la crise actuelle parce qu'elles se sont montrées libérales dans l'octroi des crédits en 1928. Les banques ont accordé des crédits en grand nombre parce qu'on leur a demandé des crédits en grand nombre. Des fautes ont pu être commises, mais c'est le propre de l'humanité de commettre des fautes. Cette crise nous aura appris à en éviter certaines, mais pas à les éviter toutes. Les autres générations en commettront également. Ce n'est pas une raison pour que nous nous croisions les bras et pour que nous ne remettions pas toute notre ardeur au travail. Nous, nous voulons savoir si c'est à la France de payer ces erreurs d'usurier et vraiment trop grosses il n'était pas besoin d'être un grand financier pour comprendre que l'économie allemande, dans la répartition actuelle des marchés, ne pouvait supporter ni rémunérer une telle masse de crédits.

L'opinion française ? 7

La presse est-elle disposée au sacrifice de notre épargne pour les intérêts du Reich et des banques ou entreprises étrangères ? On peut répondre « oui t> pour les feuilles de gauche. Ah certes, la REPUBLfQUE, en imprimant « il faut aider l'Allemagne »j ajoute

Il ne faut pas, il ne faut sous aucun prétexte et par aucun biais que l'aide apportée par la France puisse servir aux armements publics ou secrets du Reich · payer des armes à Hitler serait un crime contre la paix. Deuxièmement, il ne faut pas davantage, il ne faut sous aucun prétexte qu'une aide donnée sans discerne- ment permette à l'industrie allemande, outillée aux frais du monde, de porter un nouveau coup à notre industrie nationale si cruellement éprouvée par la crise mondiale.

Et VERE NOUVELLE se tient à cette même apparence de justice

Oui, l'Allemagne est à un carrefour. Si elle veut aujourd'hui qu'on la suive, qu'elle s'engage résolument, sans arrière-pensée, sans tourner la tète, sur une route qui nous donne entière confiance, en nous apportant la certitude matérielle qu'elle fera honneur à ses enga- gements et l'assurance que sa volonté de paix n'est pas I un vain mot.

LES ACADEMIES

Leurs délégués au Conseil supérieur de Tins* truction publique. Les pêches miraculeuses du lac Léman.

Les cinq classes de l'Institut de France, réunies hier en assemblée générale, ont élu les délégués un par Académie qui représenteront l'illustre corps au Conseil supérieur de l'instruction publi-

que.

Ces délégués seront M. René Douinic, pour l'Académie française M. René Cagnat, pour l'Académie des inscriptions et belles-lettres M. Emile Picard, pour l'Académie des sciences M. Ch.-M. Widor, pour l'Académie des beaux-arts; M. Edouard Le Roy, pour l'Académie des sciences morales et politiques.

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Pendant qu'on scrutinait ainsi au Palais Mazarin, l'Académie d'agriculture, siégeant en son hôtel de la rue de Bellechasse, apprenait du professeur Roule, du Muséum, que des pèches miraculeuses avaient été faites depuis quelques années et seraient faites désormais sur les grands lacs. M. Roule en pouvait donner l'heureuse assurance d'après une note de M. Kreitmann et son expérience personnelle.

C'est à un adroit et actif aménagement piscicole de ces lacs que nous devons cette merveille. Le seul lac Léman, qui en 1922 rendait aux efforts des pêcheurs tout juste 1.319 kilos de poisson, leur en a livré l'année dernière 36.575 kilos, et cela continue de plus belle. Qui pourrait s'étonner de voir Cocherel si souvent délaissé pour Genève ?. M. Henri Hitier, secrétaire perpétuel, a présenté le Boerenbond belge, ou Ligue de paysans, de Mgr Luytgaerens, secrétaire générale de cette ligue, et un ouvrage du docteur Laur sur l'agriculture danoise M. G. Wéry, plusieurs livres et travaux sur l'Indochine.

Et M. L. Hickel a exposé l'oeuvre forestière très intéressante de la Société des mines de Montrambert et de La Béraudière.

Ch. Dauzats.

Pour l'entente des Jeunes et des Combattants

La Ligue nationale populaire organise pour le mardi 17 novembre, à 20 h. 45, dans la salle des Sociétés savantes, 8, rue Danton, une grande réunion publique à laquelle les jeunes et les combat- tants sont spécialement invités.

Prendront la parole M. F. de Raulin, président de la ligue; M. Georges Bénard, président fondateur des « Fils des Tués » M." Henri de Bonifacio, secrétaire général de l' « Union des Jeunes Générations françaises » M. J.-P. Lavedan, du comité directeur de l'A. G. MM. C. Dubcrnard et Maurice Herbley, présidents des jeunesses et des étudiants N. P. M. André Chaumet, etc.

Entrée sur présentation de la carte d'une des organisations de jeunes, d'anciens combattants, d'associations corporatives d'étudiants, etc. Tous les patriotes sont invités.

On'trouve des cartes d'invitation

Au siège provisoire de la Ligue, de 18 à 19 heures, 11, rue Godot-de-Mauroy (9e)

A l'Union des Jeunes Générations, 34, rue des Archives (4*)

Chez M. Georges Bénard, 48, rue des Moril.lons (15e)

Aux « Nouvelles Editions Latines », 11, rue Rochebrune (11*).

Les jeunes générations au Soldat inconnu En témoignage de reconnaissance et pour prouver leur volonté d'union avec les anciens combattants, les organisations de jeunes de la région pari.sienne, répondant à l'appel de l' « Union des Jeunes Générations françaises », convoquent leurs adhérents, les jeunes Français et principalement les « Fils des Tués », pour aller porter, le 11 novembre, au Soldat inconnu l'hommage de la jeunesse française.

La Ligue nationale populaire, l'Union des Jeunes Générations, les jeunesses et étudiants nationaux populaires, invitent leurs adhérents et amis et tous les jeunes Français à se joindre à la délégation qui se formera à neuf heures, à la sortie de la station du métro (Ternes).

APRES LA FUSILLADE DE BALAGNA

A la suite de la rencontre sanglante au cours de laquelle quatre militaires de la gendarmerie ont été tués ou blessés par le bandit Caviglioli et par ses complices, M. Maginot, ministre de la guerre, a accordé la croix de chevalier de la Légion d'honneur au lieutenant Nœuveglise. grièvement blessé, et la médaille militaire au gendarme Soyer, grièvement blessé et amputé.

La médaille militaire est également accordée k titre posthume au maréchal des logis chef Tomi et au gendarme Klein, tués dans l'accomplissement de leur devoir.

Des mots, rien que des mots. L'Allemagne ne tiendra pas ses engagements parce qu'elle ne le peut pas. Qu'on escompte les crédits gelés, qu'on recule les échéances, quel que soit le moyen, il faudra en venir, dans deux ou trois ans au plus, à la douloureuse déflation. Evidemment, le monde entier. la France même, en souffrira. Nous préférons l'échéance immédiate, parce que nous avons chance d'en moins souffrir et parce que les coupables ont chance, eux, par égard pour la justice, d'en porter le poids mérité.

Comme M. F.-F. Leguen est bien inspiré d'écrire, dans VAYENIR, ces mots « De la congélation, euphémisme, à la banqueroute, vérité simple ». L'on se demandera s'il ne vaudrait pas mieux abattre un décor trompeur, voir les choses telles qu'elles sont et s'occuper, alors, en connaissance de cause, de les arranger.

Profits et pertes.

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Sous l'impulsion des articles de M. Coty vraiment opportune, vraiment capitale la presse dé province s'attache chaque jour davantage à cette arme unique de la vie nationale l'épargne. Notre clairvoyant confrère de YINFORMATEUR, de Soissons, M. Raymond Galiègue, écrit Et M. François Coty de brosser un saisissant tableau des réformes sociales qui auraient pu être réalisées, des améliorations qui auraient pu être apportées à l'équipement national de notre pays.

Les arguments de l'Ami du Peuple sont si sensés, si convaincants qu'on est tenté de croire que chacun, dans la presse française, s'empressera de se mettre à la remorque et de signaler le danger de l'absence de politique nationale en France.

Mais les mauvais bergers poursuivent leur tâche. Un récent cahier de la Ligue des Droits de l'Homme ne publiait-il pas tout dernièrement un appel en faveur de « l'Allemagne blessée ».

« II est bon, écrit également M. Ernest Gaubert dans le JOURNAL DU DEPARTEMEN7 DE L'INDRE, que le public français se rende compte de ce que lui coûte son aveuglement. »

Oui. et que ce même public, de classe moyenne, sache où sont, dans la politique, les vrais défenseurs du pécule sorti de leur travail, ce qui est beaucoup plus important que les programmes de politique idéologique.

Maurice Noël.


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SUR LA

CHRONOLOGIE

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ÇREZ Z TOUS LES UBRAÏRKS

DANS LA MARINE

Nominations

Le eo.ntrc-atniral Brujon est nommé viçe*présjdent du «QrnMé technique de la marine,

§out promus t

Au grade de capitaine de vaisseau, le capitaine de frégate Grîmault.

qax grade do capitaine de frégate, les capitaines de corvette l>e>pp, Oidailiicr, Baueil.

Au grade de capitaine de corvette, les lieutenants de vaisseau Bertin, (>uédec, Destray.

Au grade de lieutenant de vaisseau, l'enseigne de vaisseau de première classe Barthélémy.

Au grade d'ingénieur mécanicien de première classe, l'ingénieut de deuxième classe Fpndadouze. Mutations

Sont affectés aux postes suivants

"Le capitaine de vaisseau Michel, commandant de PsÂronauticrue de la 3= région, à Toulon. t,es lieutenants de vaisseau Le Toullec, bataillon de côtes de pizerte Hueot, cours des officiers d'aéronautiqttc, à Versailles Viilàttç, Paris, h. Toulon Borde, commission de détection littorale, à Cherbourg Roui* se< da Courcy, P. C. A., à Bizerte Robert, Cyclone, à Toulon ] Tarte!» état-major 2e escadre, à bord du Bison, à Brest. Ausseur, état-major 4° division légère, a bord 4tt Î4on, à Brest Juin, Jcan-Bart, à Toulon Guelpa, Matte, h Cherbourg Aubin, La Palme, a, Toulon de La Loge d'Ausson, YiUa-d'i's, Cherbourg Suquet. base d'Aviaîion de Hyeres Bedin, centre d'aviation d Hourt'enseigne de vaisseau de 1™ classe Hommerich, Onttine, k Nantes, Le Gall, 7'orir-

Las ingénieurs mécaniciens principaux Le Gall, ïourville, à Brest Reynal, entrepôt d'aéronautique d'Orly, Les ingénieurs mécaniciens de classe Boullier, Uauphiiu » Toulon Vergue, Lorraine, à Toulon. Lés médecins principaux Jeanmot, Courbet, a lou« lqB Carboni, lorraine, à Toulon Brette, 5- division lêaèrç, Toulon Birades, compagnies de formation

indigène, Sidi-Yahia.

LA BAISSE DES PRIX

Dans la Nouât

Bar-i,e»Duc, 4 novembre. Dès que s'était produit l'effondrement des cours du bétail sur pied, i) y 9 plus de six semaines, une action énergique et persévérante av&it été entreprise par le préfet de 1^ Meuse et par les agents de son administration, auprès maires et des bouchers du département. Malgré les protestations des syndicats de la bou«ijfirle et de la charcuterie, des barèmes avaient été établis et publiés, et peu à peu la baisse s'était dessinée dans le commerce de dejta.il. Cette baisse est maintenant générale dans la boucherie, où les prix ont diminué de 20 à 30 0/0, suivant les catégories. Efte commence à apparaître sur le porc et sur la charcuterie un fléchissement sérieux s'est pro.duit au marché de Bar-le-Duc. On escompte pour les jours prochains une nouvelle diminution sur la viande» de boucherie, notamment sur le veau. Les villes de Ssint-Miaiel et de Verdun sont en ttte du mouvement de baisse.

La question du classement de l'île d'Aix Bordeaux, 4 novembre. Les façades et les toitures de toutes les maisons de l'île d'Aix ont été inscrites sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques, afin que le bourg conserve la physionomie et ne fasse pas un cadre trop moderne à la maison où Napoléon passa ses derniers Jours sur la terre de France. Les habitants ont protesté contre ce qu'ils considèrent comme un empiétement sur leurs droits de propriétaires. Le conseil général de la Charente-Inférieure a demandé au sous-secrétaire d'Etat aux heaux^arts de rapporter sa décision.

WAQONS »LITS

A la suite d'un arrangement conclu au cours de l'été dernier avec les Chemins de fer chinois, la Compagnie des Wagons-Lits met en circulation, à partir d'aujourd'hui 5 novembre, un service de wagons-lits qui relie Changhaï, un des ports les plus importants de l'Extrême-Orient, avec Nankin, capitale actuelle de la Chine, et avec Tien-Tsin et Pékin.

Ce service, appelé à prendre un développement considérable, sera grandement apprécié par les hommes d'affaires et par les touristes qui, de jour en jour plus nombreux, sillonnent ces vastes régions.

Feuilleton de FIGARO du 5 Novem. 1951 '• (5).

La O^âce

(Suite).

Je le serai. Cosema me promit des preuves, puis, tout à coup fondit en larmes et sanglota désespérément.

Eh bien, dis-je étonné, pourquoi pleures-tu

maintenant ?

En réalité, j'avais peine à me retenir moimême, car un nœud me serrait la gorge. Je ne savais que croire de tout ce que Cosema m'avait raconté. J'éprouvais, en même temps, une envie folle de la souffleter et de l'embrasser, en lui disant que je l'aimais et jnéprisais Simona.

• Pardonne-moi. pardonne-moi. répétait-elle, la voix brisée par les larmes. Je sais que tu ne peux pas m'aimer, car tu es attaché à l'autre. (Et elle accentuait ce dernier mot avec dédain.) Tu me laisseras mourir. Oh si tu savais comme je souffre, Elias Je t'ai aimé dès le premier abord et je compris aussitôt que ton entrée à mon foyer devait causer ma mort Mais je ne te demande rien, absolument rien. Tu peux t'en aller si tu le veux, mais souviens-toi de moi. Ne tiens pas compte de ce que je t'ai rapporté et épouse Simona mais, lorsque tu seras malheureux, rappelle-toi que je souffre encore plus que toi.

Cosema parla ainsi longuement, toujours penchée sur moi, me brûlant le visage de son souffle ardent et m'inondant de ses pleurs. Je ne savais plus dans quel monde j'étais, me mordant les lèvres, retenant à grand'peine mes sanglots et les imprécations qui montaient de mon cœur à mes lèvres. Le feu s'éteignit et nous demeurâmes dans Tobsctirité.

-̃LA VIE SPORTIVE =~

TRENTE MILLIONS AU LIEU DE DIX Sur le désir de M, Morinaud, sous-secrétaire d'Etat à l'éducation physique, une délégation composée de M. Adolphe Chérouj député et président de l'Union des Sociétét, d'éducation physique et de préparation au ser, vice HiUitiih'e de MM. Rimet et Marcel Delarbre, représentait le Comiié national des sports, et tic M, Gau;lier, président de l'Union des Sociétés de gymnastique de France, s'est rendue auprès de M. Pierre Laval, président du Conseil, en vue d'obtenir que la part de dix millit.iis prévue pour le sport sur les trois milliards de J'éqiupemenl natiopal soit relevée,

Le président du Conseil a décidé de proposer que le erêdii soit porté d? dix à trente millions.

Enregistrons. Trente millions, c'est mieux que dix c'est évident. mais pour donner h la jeunesse masculine et féniinine française les parcs sportifs et les ins» tallations sportives nécessaires au développement iior* mal, (ÎKiib de bonnes conditions matérielles et morales, ces trente millions sont notoirement et scandaleusement insuffisants.

Ils ne permettront guère que d'amorcer 111 réalisation d'un programma, qui doit porter sur toute la France et s'e-iendre sur plusieurs nnnées iij'aïs cette amorce,- si elle est bien conçue et exécutée, pourra tout de même êtrt par ses conséquences pratiques, un exemple utile et décisif, exemple qui fournira l'occasion de prouver Ja ridicule insignifiance des crédits consacrés à la sar.lé et à la vigueur de la race.

Mais surtout qu'on ne les distribue pas en poussière de subventions aux innombrables solliciteurs dont les dossiers doivent encombrer .les bureaux du sous-secrétariat, Et regrettons que lors du partage des trois milliards de l'équipement national il n'y eut malheureusement personne autour de la table pour représenter et défendre la cause de la jeunesse française. Les présents se sont taillé de larges parts. Une fois de plus lej absents, on plutôt l'absent, a eu itprt, F>R, AU SALON NAUTIQUE DE PARIS Un port réservé aux yachts

Le Salon nautique de 1930, relégué au Cours la Reine, jouissait, au moins, de cet avantage appréciable de posséder, sur la Seine, un véritable port assez bien aménagé ou toute une flottille d'élégants yachts à voiles et à moteur y était venue faire éscales. Les visiteurs y furent très nombreux, car l'ensemble fournissait un très grand intérêt.

Déjji la section des moteurs en marche avait été installée sur le quai de ce port nouveau, ce qui permettait aux amateurs de grands yachts de faire visite aux moteurs et de choisir celui qui semblait devoir donner satisfaction à leurs désirs.

Cette année, la section des moteurs est encore au même «ndrojt, sur le bord de la Seine, et elle n'offre pas moins d'intérêt que l'an dernier, mais le port sur l'eau, iit, des proportions sensiblement .plus ,mo.destes ..̃; on n'y voit se balancer sur l'eau que deux pu trois yachts dont le plus important est le kètch â Rw'ah* Yiu », battant pavillon français bien que! constf uifc eu

Hollande

Les embarcations qui flottent en grand nombre dans le port « flot du Salon nautique sont des canots fi mo- teui'ii qui, à tout instant, s'échappent de leur mouillage pour évoluer dans le bassin de la Seine qui leur est réservé, à la grande satisfaction des visiteurs. Néanmoins, on regrette le bassin à flot du Salon nautique de 1930 et ses occupants nombreux.

Il est certain, et la constatation en a été souvent faite depuis trente ou quarante ans, que le défaut d'un port des yachts, ne serait-il que temporaire pour les yachts visitant Paris, et n'y demeurant que quelques jours, constitue une lacune qu'il serait sage de combler d'urgence.

Qu'un port de Paris pour les yachts reste à Suresnes, rien de mieux, mais l'intérêt de la capitale n'est-il pas de donner toutes commodités aux touristes nautiques de France et de l'étranger désirant séjourner, deux ou trois jours en plein Paris sans abandonner leur home flottant.

L'an dernier, l'activité et le succès du port du Salon nautique faisaient croire et espérer qu'il serait comme l'embryon d'un port beaucoup plus important. Il n'en a rien été et cette désillusion fait éprouver des regrets à ceux qui voyaient déjà le port de plaisance de Paris en passe de prendre une forme définitive. E. Toulot.

AUTOMOBILE

La Semaine de la Route

Dans la salle des congrès du P^arc des Expositions, une « Semaine de la Route » a été inaugurée par M. Gaston Gérard, sousrçeoréfcaire d'Etat aux travaux publiques et au tourisme, qu'entouraient M. Giraud, directeur" dos travaux de Paris, M. La.ur.ay; directeur des routes; MM. Le G^vrian, Labussière, Jîaquç, çh.ef; de cabinet du ministre" 'etc. ̃̃ L'objet de cettev manifestation, a été précisé r^par M. Laurain, président du, congres, dans son discours inaugural. Il s'agit « d'cftjàhïliiër, de discuter, de mettre ai; point les problèmes suscités à Ja voirie routière par la remise en état du réseau routier français et par l'intensification du trafic routier due à l'augmentation du nombre de véhicules et à la vitesse toujours plus grande recherchée par les usagers ».

Après avoir rappelé les progrès réalisés dans la construction et dans l'entretien des Toutes depuis le début du siècle, M. Gaston Gérard a 'rendu hommage à M, Laurain, dont les efforts en organisant cette « Semaine de la Route » tendent, pour le plus grand avantage des usagers, à rendre plus étroite la collaboration qui existe déjà entre ingénieurs et entrepreneurs. La Coupe de l'Armistice

La clôture des engagements a droits simples, pour la Coupe de l'Armistice, qui se disputera le 11 novembre, permet d'escompter le succès de ce concours de tou.risme automobile et motocycliste de fin de saison, On peut, en effet, envisager la participation de 90 à 100 concurrents repartis dans les différentes catégories. Rappelons que cette épreuve se dispute sur plus de 300 kilomètres, avec départ de nuit de Versailles, et que les moyennes imposées aux concurrents sont les suivantes

1™ classe. 40 km. à l'heure Motos 175 çmc. et 250 crac, sidecars 350 crac, cyclecars 350 et 500 cmc., voitures course et sport de 350 à 500 cmc. classe. 45 km. à l'heure Motos 350 cmc., s. c. 600 et 1.000 cmc., cyclecars 750 cmc. et voitures course et sport 750 cmc.

3» classe. 50 km. à l'heure Motos 500 cmc., 750 et 1.000 cmc, cyclecars 1.100 cmc, voitures course et sport 1.100 cmc.

4° classe. 55 km. à l'heure Voitures course et sport 4;5QQ cmç.i ̃ h- -uù "̃" U-^T AVIATION ̃ J '•-̃ Le Club « Joseph Le Brix r

L'Assemblée générale du Club des Jeunes Ailes a voté à l'unanimité entre autres décisions le changement d'appellation de l'association. Rendant hommage à la mémoire de l'aviateur disparu, les dirigeants du club ont obtenu du père du regretté Joseph Le Brix l'autorisation de donner son nom à l'association.

Le club « Joseph Le Brix », dont la base est à Orly,

Adieu, adieu dit Cosema. A présent, je m'en vais. Demain, tu partiras et nous ne nous verrons plus. Ne m'oublie pas, Elias, souviens-toi de moi. Adieu, adieu Tu peux t'en aller, je ne te demande rien

Elle ne me demandait rien, mais ses larmes, qui coulaient toujours, me semblaient des gouttes de plomb liquide, et ses baisers prolongés, fous, me brûlaient les lèvres, les yeux, les joues et me faisaient perdre le peu de raison qui me restait. Cosema, dis-je d'une voix rauque en étreignant sa tête entre mes mains et en lui rendant ses baisers, je t'aime et je te resterai 1

Deux jours après, conclut Elias, un prêtre vint dans la maison de Cosema et nous unit secrètement. J'avais toujours de la fièvre et j'agissais machina.lement, presque inconsciemment.

Le même jour eurent lieu les publications et, trois semaines après, devant la loi j'étais lié à Cosema. En sorte que, revenant â moi, à peine les premières ardeurs amoureuses passées, et me rendant compte du fait accompli, je pus me convaincre que ce que l'on avait raconte de Simona était une calomnie, mais, hèlas il était trop tard 1 Qu'est-ce qui nous dit que toute cette histoire est vraie? s'écria Tanu d'une voix terrible. Elias pencha la tête, et dans ses yeux s'éteignit tout espoir. Sur le visage de ses justiciers, que ses paroles n'avaient nullement émus, il Usait sa condamnation et il éprouvait le désespoir surhumain d'un homme condamné à mort dans toute la force de l'âge, mais sans vouloir le laisser paraître, pour ne pas sembler lâche.

C'est la vérité, dit-il, mais personne ne peut me défendre.

Il tourna les yeux vers Simona, sans rencontrer le regard de la jeune femme qui fuyait le sien. D'ailleurs, l'eût-elle voulu qu'elle n'eût pu le sauver.

Tu mourras décréta gravement le père. Il se fit un long silence. Le sort d'Elias était fixé il ne devait pas sortir de cette maison fatale où, dix ans auparavant, il avait passé des heures si douces. L'histoire de Cosema n'avait point

est présidé par M. Boüessé, député de la Mayenne, et pilote de tourisme. Les vice-présidents sont MM. Sçapini, député de Paris, et Petit. Le secrétaire général est M. Lavali, qui a réussi ù donner une impulsion nouvelle au club. En moins d'un an, 22 brevets de tourisme ont pu êlve attribués aux membres formes à l'école du club, avec le plus grand succès/ La direction technique de l'écoie es, assurée par le moniteur Grandjean, chef pilote. Le club dispose de quatre avions d'école et de tourienie nui lui permettent de justifier son but, la vulgarisation de l'idée aérienne et du pilotage, le coût total du brevet de tourisme étant de cinq mille francs. Pour tous renseignements, s'adresser à l'aérodrome d'OiJy. Pour développer le « sens de l'air » Du 1" au 31 octobre, groupe du « Sens de l'air » de l'Union des pilotes civils de France a effectué à Orly 142 heures de vol et » donné le baptême de l'air à 2U

persunnes,

Un certain nombre de membres de l'U. P, C. F. ont offectué avec les avions du club quelques promenades aériennes, ou donné des baptêmes aux nouveaux membres, cç sont MM. Hainjgue, Brun, Tortrat, Valette, Hicssçr, Durandeau, Mainard, Paunet, Ridray, Gillet, Frémoux, Sautet, Cessie(ix, Charneaux, Aubry, de Lamaze, Paillard, Malher, I-aîpé, André Lelçu, Charles Leleu, Aime, Blot, Dernez, Rasting, Labour, Mouchy, Drbuillet, Venard, de Broberyille, Klein, Amiad, de Lignière, Galtier, Amayen, Rouillard, Faerber, Bories, Malafluiu, ds La Simone, etc.

A l'école de tourisme, le chef pilote Maury a breveté MM- Bsauvillard, Bour, Méalla et Jean Carré et a commencé l'entraînement en double commande de _M'M, Birnoaum, de Carfort, Mme Chameaux, Trévoux, Signorat, Girpud, Arnaud et Gaillot.

Les élèves Leriche et Wyler Pierre ont été lâchés. Tpus ces vols ont été effectués avec les deux Potez 36 et lej deux 232 du « Sens de l'air » qui, grâce aux soins du chef mécanicien Guillemain, ont permis cette grande activité,

NOUVELLES AERIENNES

Mœnch et Burtin volent à tire-d'aile vers Madagascar Poursuivant leur vol France-Madagascar à bord de leur Farman-Gnomc-Rhône-Titan 300 CV, Mcench et Bur(in voient à tire-d'aile vers la grande île africaine. Après avoir atteint Banboundou, au Congo belge, les deux aviateurs sont arrivés mardi, à 17 heures, à Elisabeîhvilie, d'où ils sont repartis hier matin mercredi, à 5 heures, à destination de Quélimane, sur le canal de Mozambique. Rappelons qu'ils ont quitté Istres vendredi. Le record de Reginensi et Bailly (9 jours) parait être menacé,

L'aviatrice miss Peggy Salaman a fait un atterrissage forcé entre Abercorn et Broken Hill et a dû passer la nuit dans la brousse.

Miss Peggi Salaman comptait pourvoir repartir hier soir pour Palapyie.

«-t Le raid Angleterre-Australie de l'aviateur Butler se poursuit normalement. L'aviateur est arrivé à Djask, sur le Golfe Persique, mardi, à 11 h. 45 (G. M. T.). L'aykleur J. Mollison, qui comptait s'envoler hier mathij -àô hOHufe heure, de Lympne, en direction du Cap,

a retardé son départ 4e #Jci heures, en raison du manT

vais temps.' v

Trois conseillers généraux, MM. Dûpoisot, Herson et Collavcrj, viennent .de déposer, sur le bureau de l'assemblée départementale,1 une proposition par laquelle, ils demandent que la ligne métropolitaine n 7 soit prolongée de la porte de la Villette au port aérien du Boui;{et.

Dans leur exposé, les auteurs de cette proposition font valoir que leur projet, rendu plus utile encore par l'agrandissement projeté de l'aéroport du Bpurget, coûterait 200 millions, alors qu'un autre projet de transfèrement du port aérien dans les environs de Saint-Cyr, avec l'établissement d'une autostrade, reviendrait à 700 millions. Et comme ils représentent les cantons dont dépend l'aéroport du Bourget ils insistent pour l'adoption de leur suggestion.

Le dirigeable « Akron » a effectué un vol mardi matin, ayant à bord 207 personnes, ce qui constitue un recoud.

L'activité de Ja Société pour le développement de l'aviation. Durant la semaine du 26 octobre au 1er novembre, la Société pour le développement de l'aviation a donné 87 baptêmes de l'air au Bourget,

Pour clôturer la sa.ison, la Société pour le développement de l'aviation donnera dimanche prochain 8 courant et mercredi 11, jour de l'Armistice, ses deux dernières réunions de propagande de l'année

A Aulnay-sous-Bois, sur le vaste terrain en bordure de la rouie de Mitry ,derrière le nouveau cimetière A Etantpes, sur la plaine du Larris, se trouvant à proximité de la ville, en bordure de la route n° 191 de Dourdan. Les aviateurs Maurice Finat, Froissart, Mauîer, Rouye, Bois, le trapéziste Bournnt et de nombreux touristes de l'air participeront à ces deux réunions Comme toujours des promenades aériennes commenceront la veille du meeting à 14 heures.

Les conditions atmosphériques défavorables n'ont pas permis à Bossoutrot et Rossi de quitter, hier matin, vijlaeoublay, à destination d'Oran, via Marseille, comme ils l'espéraienf

Si le temps le permet Jîossoutrot et Rossi s'envolerontiCe nwtin à bord du. <•; Joseph-Le-Brix ».. ̃ •̃ D'après les renseignements fournis par la direction de l'aéronautique au ministère du commerce, le nombre d'avions construits aux Etats-Unis pendant le premier s'emestre 1931 s'élevait il 1.606 (contre 1.684 durant le premier semestre 1930), parmi lesquels on comptait 1.069 avions civils (1.177 durant le premier semestre 1930).

L'administration provinciale a décidé de doter Mantoue d'un terrain d'aviation, vu que celui qu'elle possède au Migllaretto est ni outillé ni doté des moyens et services indispensables à un terrain de secours. Un terrain a été acheté le long de la route Mantoue-Montaiiara et les travaux d'aplanissemént vont commencer. La dépense sera d'environ un demi-million.

Le banquet annuel des « Vieilles Tiges qui sera présidé par le ministre de l'air, M. J.-L. Dumesnil, assisté de M. Etienne Riche, aura lieu le 17 novembre à l'Hôle) Lutétia.

TENNIS

Le Tournoi de la Toussaint

Principaux résultats de la journée d'hier

Simple messieurs (tableau final, premier tour). Rodzianko b. Thierry, 6-3, 0-6, 6-4 George b. Coutanson, 6-4, 64 Douillet b. Guillemant, 04, 6-2. Simple dames (deuxième tour). Mme Le Besnerais b. Mlle Huchez, 6-0, 6-4' Mme Morel-Deville b. Mme Caron-Culbcrt, 8-6, 60.

Troisième tour Mme Golding b. Mlle Haran, 6-1, 6-2. Les Championnats de Bretagne sur courts couverts Disputés sur les courts», couverts du T. C. de Lavaî, les championnats dc,Bretagne ont donné les résultats suivants

Simple dames, demi-ifiMsîles Mlle La Pecq b. Mlle Duhot, 7-5, 8-6 Mlle de La Vaissière jbt Mme Dodier,, 6-4, «j-3.

Finale Mlle de La Vaissière b. Mlle Le Pecq, 6-4, 3-0 (abandonné). ;(-

Simples messieurs, demi-finales Huchet b. de La Vaissière, 3-6, 7-5, 6-2 Bolelli b. Dodier, 6.0, 6-2. Finale Bolelli b. Huchet, 6-4, 1 partout (arrêté). Double messieurs, demi-iinales Lagogné et Dodier b. de La Vaissière et Vene, 6-3, 6-4 Huchet et Bolelli b. Heurtault et Pernet, 6-1, 6-1.

Finale Huchet et Bolelli b. Lagogné et Dodier,

changé les décisions cruelles de cette famille qu'il avait déshonorée, et le fusil brillait toujours dans les mains de Pietro, qui se considérait comme la cause première du malheur de sa soeur. Du reste, c'était maintenant une question de vie ou de mort. S'ils pardonnaient à Elias, ils étaient perdus, car celui-ci, riche et puissant se vengerait certainement, et très cruellement, de cette terrible nuit. Il devait donc mourir.

Pas un frisson de peur ni d'hésitation ne passa dans ces cœurs endurcis par une rude existence et qui n'avaient pour religion que la vengeance et la haine.

Une nuit, ils avaient juré, autour de ce même foyer, sur ce même feu qui ne s'éteignait jamais, de laver par le sang l'offense qui leur avait été faite et, après'des mois et des années d'attente, l'heure désirée était enfin venue.

Dans un recueillement presque religieux, ils s'apprêtaient à tuer un hpmme, persuadés qu'ils accomplissaient un devoir convaincus d'y manquer s'ils pardonnaient ils agissaient le front hautement levé vers tie'Dieu dont ils ignoraient les maximes et qu'ils supposaient aussi cruel qu'euxmêmes. -ii,

Va-t'en dit Pietro à Simona.

Non, je resterai jusqu'à la fin répondit-elle d'une voix ferme qui fit tressaillir profondément Elias.

Pietro leva son fusil.

La pluie, le vent, le tonnerre faisaient rage au dehors, dans un effroyable fracas on eût dit des hurlements humains, l'écroulement des montagnes ou bien encore l'expression de la juste colère de Dieu pour .le crime qui était en train de se commettre dans l'intérieur de cette demeure sombre, désolée, habitée par des hommes ayant l'aspect de démons.

Pietro mit Elias en joue, mais au moment ou il allait appuyer sur la gâchette du fusil, un coup sec, sonore, qui ne provenait certainement pas du vent, fut frappé à la petite porte barricadée qui donnait sur la cour. Ils se regardèrent tous épouvantés, les lèvres pâles et le cœur palpitant, tandis que Pietro laissait retomber le fusil sur ses genoux.

Double mixte, demi-finales Mlle Le Pecq et Vene b. Mme Dodier et Dodier, 1-6, 6-3, 0-4 Mlle de La Vaissière et Bolelli 1). Mme Barret et Lagogné, 6-1, 6-1, Finale Mlle de La Vaissière et BolelU b. Mlle Le Pecq et Vene, 6-1, 6-4.

Le Tournoi de Monte-Carlo

Deux épreuves du tournoi ouvert handicap qui vient de prendre fin au Monte-Carlo Country Club ont été gagnées par le virtuose violoniste hongrois si connu Szekely. Il est bien rare de voir un maître de l'archet manier la raquette avec tant d'adresse.

Voici les derniers résultats de ce tournoi

Simple messieurs, finale Szekely b. Terrier, 6-4, 8-6. Simples dames, finale: Mme Kastérine b. Mme E. Hoeppe, 6-2, 6-1.

Double mixte, demi-fmale Miss Chandon-Poole et Sir G. Colthurst b. Mme Sclijegel et major Hutchinson,

6.4, 6-3.

"Finale Miss Lermitte et Szekely b. Miss ChandonPoole et Sir Colthurst, 6-3, 6-4.

NOUVELLES DES COURTS

La Tournée Tilden, qui doit repartir pour l'Amérique le 11 novembre, jouera lundi prochain, en soirée, au Palais des Sports. A cette occasion, les deux professeurs allemands Nusslein et Najuch, ainsi que le Français Martin Plaa, seront opposés aux membres de la tournée.

-'Les 28 et 29 novembre, une rencontre France-Allemagne des professeurs sera organisée à Berlin. Elle mettra en présence les Allemands Najuch et Nusslein et les Français, Ramillon et Martin Plaa.

GOLF

A Saint-Germain

Résultats de la Médaille mensuelle

Messieurs (première série A) 1. Nassif (5) 77 2. Hoppenot (5), Houtart (9) et Jeunes (4) 80 5. Noue! (4) 81 6. Michel (7) et Parsons (1) 83.

BOXE

Angelmann contre Arjlla

Angelmann, que son dernier combat avec Frankie Genaro a rendu très populaire, et dont les progrès sont évidents, rencontre ce soir, à la salle Wagram, le champion d'Espagne des poids mouche Arilla. C'est une rencontre intéressante à suivre, en ce sens qu'elle nous permettra d'apprécier la valeur exacte d'Angelmann. Arilln est peu connu de ce côté des Pyrénées. Pourtant le fait qu'il détient le titre de champion d'Espagne nous incite à croire qu'il est d'une certaine valeur. En second combat Germain rencontrera Barbotteux.

ESCRIME

'̃̃ ECHOS PES saLl,>ï,~ 4 la salle Cléry s'est disputé le Challenge Césiano, épreuve îriensuelle créée par M. Dinii Césiano, escrimeur notoire et ministre plénipotentiaire de Roumanie à Paris. Cette première épreuve s'est terminée par la victoire de de Gournay, devant Rodier, Bouvier, Tertray, Lamy, Daffa, Gérard, Potel et Laruelle.

A Genève, Paul Anspach, gagnant dernièrement de J'épreuve d'épée organisée pour essayer le juge électrique, n'est autre que le champion belge qui s'adjugea le titre olympique à Stockholm. Tous nos compliments au glorieux vétéran.

A Cannes, on annonce que le traditionnel tournoi international d'épée se déroulera en janvier. Au cours de ce tournoi sera disputée la Coupe du Sporting Club de France,

De Genève, M. Pictet de Rochemont nous informe que, durant tout le tournoi d'<5pée disputé avec l'appareil électrique, quatre touches seulement, dont trois notoires, ne marquèrent pas au tableau par suite d'un défaut de l'épée. C'est évidemment bien peu pour un tournoi qui dure toute une journée. Dans ce cas, la question se pose de savoir si le juge a plein pouvoir pour accorder ou refuser la validité de ces touches. R. D. A Londrej, la championne olympique Hélène Meyer, l'excellente escrimeuse allemande, s'est fait battre 4 à 1 par la jeune Anglaise Neligan. A vrai dire, ces défaites en un nombre de touches aussi restreint n ont pour nous qu'une valeur relative. Aussi un match sérieux s'impose-t-il entre les deux jeunes fleurettistes. An Cercle floche, le samedi 7 novembre, se tirerout les épreuves éliminatoires du Championnat de France de fleuret des maîtres d'armes civils et militaires. R. D.

SPORTS D'HIVER

Propos de neige et, bruits de glace >

La Fédéraireirjlàflemande a constitué l'équipe dehockey sur glace qui représentera l'Allemagne aux Jeux olympiques de Lake Placid. La voici Jaenecke, Rudy Bail, Rocmer etïterff (Berliners) Strobel, Schrottle et Bethmaim Hollwcig (Munich).

Cette équipe s'eutrainera sous la direction de Orbanowski.

L'Angleterre dispose de dix-neuf patinoires artificielles couvertes. A Stockholm, à Vienne, à Budapest, à KattoviU, à Prague et a Zurich, on va inaugurer ces jours-ci de nouvelles pistes artificielles couvertes. La Fédération anglaise a commencé de faire disputer à l'Ice Club de Londres des éliminatoires de patinage de vitesse et artistique en vue de former une équipe pour les Jeux olympiques.

L'équipe du Bcrliner rencontrera a Berlin, le 11 novembre, l'équipe du D. T. C. de Prague, et, en décembre, les Suédois et les Lions de Londres. Elle participera aussi aux tournois de Davos (Coupes Spcngler et Han-

sealh).

Le record de jeunesse de l'ascension du Mont Blanc, que détenait Charles Stratten, fils d'un guide de Chamonix, âgé de onze ans et six mois, vient d'être hattu par une jeune Anglaise de onze ans et quatre mois, Miss Pnmelii Wilkinson.

L'A. S. Bourse et l'A.S. Française vont tenter chacune de mettre sur pied une équipe de hockey sur glace. Les Ktats-Unis ont effectué une première sélection de 44 skieurs qui participeront aux éliminatoires américaines du 20 janvier, à Lake Placid. Le concours international organisé par la Fédération française de ski se déroulera cette année à Chamonix en février.

Void les noms des joueurs qui formeront la sélection française qui officiera le 10 novembre, au Palais des Sports, contre la sélection britannique · But Morisson (Stade Français) ou Lcfébure (R.C. France) avants :Muntz, Hassicr et Quaglia (C.S. Charaonix) arrières Michaëlis (S.F.) et Lacarrière ou de Rauch (R.C.F.) remplaçants Béssbn (S.F.), Dutoya "(R'.CF.) et Ramsay (R.C.F.).

LES CHIENS

Au Retriever Club de France

Le Retriever Club a fait courir ses Ficld Trials le vendredi 30 octobre, sur les superbes terrains de chasse gracieusement offerts par M. Raymond Bambergcr, à Hénonville (Oise).

Qui cela pouvait-il être ? .Etaient-ils donc découverts ?. perdus ?. Mais aussitôt Simona bondit en criant avec terreur « Gabina. Gabina » Puis, s'élançant vers la porte en courant et frémissant comme une hyène blessée, elle ouvrit. et trouva en effet la petite étendue par terre, trempée, évanouie.

Gabina ayant tout vu, tout entendu, n'avait pu résister davantage et, remplie d'épouvante et d'horreur, était tombée sans connaissance.

Ma fille Gabina. Gabina. ma petite disait Simona en U prenant dans ses bras et en la portant auprès du feu.

En la voyant livide, glacée, ruisselante, avec les yeux clos et le visage encore bouleversé par la peur, la mère la crut morte et, oubliant complètement Elias qui dévorait l'enfant des yeux, elle éclata en sanglots convulsifs, l'appelant par les plus doux noms, tandis qu'elle la débarrassait de ses vêtements mouillés, réchauffait ses petits pieds contractés et l'embrassait furieusement.

Mais Gabina ne donnait aucun signe de vie. Gabinedda. ma chérie. mon petit cœur, mon bijou aimé Hélas elle est morte. elle est bien morte, ma fille adorée. mon unique joie. ma jolia fleur. ma pauvre petite Gabina Que faire ?. Mon Dieu, mon Dieu que deviendrai-je sans elle ? '? Père, vous voyez bien qu'elle est morte touchez-la, elle est glacée. Elle est bien morte, mon Dieu Simona gesticulait et se tordait de douleur on eût dit qu'elle devenait folle cessant de se lsnienter pour sourire à sa fille, car il lui semblait qu'elle revenait à la vie, puis recommençait à pleurer désespérément. Pendant ce temps, Tanu et Pietro se regardaient confus et interdits. La petite avait certainement tout vu, tout entendu. Et alors ? De son côté, Elias se taisait, fixant toujours sur l'enfant son regard sombre, désespéré.

Oh si elle était morte, si elle était réellement morte ?

Au contraire, Zio Tottoi, le père, qui était très superstitieux, souriait avec amertume, pensant qu'il y avait là la main de Dieu qui les punissait, ou, du moins, les avertissait. La grâce inondait l'âme

parmi les invités et les tireurs qui su/irent le travail des cxcéllents chiens présents, citons: S. A. Mgr le prince de Bourbon, M. le comte de Beteuil, M. le comte de Beaumont, M.'le comte de Villeranche, Mme la vicomtesse de 'Quenetain et M. de Qienetain M. R. W. Coblett, M, Louis Tabourier, presi.ent du Retriever Club, etc., etc.

Après l'aimable réception offerte au chatiu d'Hénonville par M. Raymond Bamherger, le concors se poursuivit dans les conditions les plus favoraies, grâce a une abondance merveilleuse de gibier et >race aussi à la maîtrise des tireurs.

Voici les lauréats de cette superbe epreuv Concours à l'anglaise. (Prix dhonneutoffert par le comte J. de Bonvouloir) 1. Wea'.le, Labrador, à M. le comte de Breteuil 2 Tib, chienneLabrador, à M le comte de Breteuil 3. Swing, FJatCoated, à

M. le comte de Beaumont.

1\1., T. H. H. Atlnittgsley Cnndidate, Golden'etriever,

a M. le vicomte de Quenetain.

à ^on^ursT^1- 1. East, chUne Flat

Coated, à 111. R W. Goeiett 2. Echo, Flat oated, à

M R. W. Goelett 3. Egg, Flat Goated, à I. R. W.

Goelett.

A TRAVERS LES SPORTS Une délégation de la Société « Les Aiis des Sports » a été reçue par M. Paul.Poumer, plsident de la République. Elle était composée de MM. ALevjOullmann docteur Bellin du Coteau, docteur Bhard, D-ri™ Deshonnets, Meier, Pouzet, Janvier, r-oieau, et des Mmes Irène Popard et Lecoq-Carloni. M. Paul Doumer a accepté la présidence d honeur de la société. La délégation était accompagnée o recordman du monde. J. Ladoumègue, que le ch de l'Ptat a félicité pour ses exploits. Frantz-ReicW.

FraKtz-Reieh<.

Nouvelles diverses L'affaire Sarret-Schmidt

L'enquête sur la mort de lady Arnould et de M. Viiette

Marseille, 4 novembre. Le juge d'instructio a interrogé, hier, Pliilor.ène et Catherine Schmid au sujet de la mort à leur domicile, le 18 fevnei 19->2 de lady Arnould, âgée de 78 ans. Les deux sœurs d'accord sur tous les points, ont présenté

ainsi leur défense; t

Lady Arnould avait auprès d'elle, la semaine de sa mort, plusieurs parents, dont sa fille, Mlle Blanche Arnould, âgée de 50 ans, et le marquis.de Civetelli, 30 ans. P'autrê part, elle n'avait pas voulu d'autre docteur que celui qu'elle avait coutume do

c6~sulter: `. '.1. l

'Le docteur' Murat, de Saint-Barnabé, constata 1, décès, qu'il attribua à la sénilité et à une congestio cérébrale. Le médecin s'expliqua aisément les tr ches suspectes que présentait le corps en raisq d'un commencement d'asphyxie qu'avait subi atrefois lady Arnould,

Quant à M. Georges Vilette, le mari de Philomèe Schmidt, il est mort à 69 ans, d'une crise d urenH en ne laissant que des dettes.

Trois servantes meurent asphyxiées par un poêle à bois

Toulouse, 4 novembre. M. Batiste, entrepri neur de menuiserie à Toulouse, avait trois bonne: trois soeurs Louise, Albertine et Agnès Bente âgées respectivement de 22, 19 et 17 ans. La pre mière était entrée à son service il y a trois jours L'autre soir, les trois sœurs se retirèrent âpre*, leur travail dans les deux chambres qu'elles occu^ paient dans un bâtiment voisin de l'habitation de leur maître, chambres qui communiquaient. Elles allumèrent un poêle à bois dépourvu de tuyau d'aération et prirent leur repos de la nuit. Hier matin, vers sept heures, Mme Batiste, ne voyant p?s venir ses trois servantes, alla frapper a leur porte. N'obtenant pas de réponse, elle alla chercher son mari, qui, avec deux ouvriers, enfonça la porte, Un triste spectacle s'offrit à leurs yeux les trois jeunes filles étaient mortes leur décès devait remonter à plusieurs heures, car es corps étaient déjà froids.

Des., puyriers surpris par une inondation dans un égout lyonnais

Deux noyés

Lyon, 4 novembre. Une équipe d'ouvries élec-^ Iriciens des P.T.T, travaillât à la réparaton de lignes souterraines dans l'égout collecteur d« l'avenue Berthelot. Soudain, ils furent surpris pail'eau provenant de la brusque ouverture d'une vahe et ils furent entraînés par le courant. t.

Trois d'entre eux purent s'enfuir, mais ieux furent entraînés par le flot.

On a retiré, mort, M. Jean Voisin, 30 ans, deteurant 103, rue de Fèze. Son compagnon, M. Depiro, n'a pu encore être retiré. Les pompiers s'y mploient, mais on a peu de chances de le retrouer vivant.

vivanf, Un garçonnet étranglé

Mantes, 4 novembre. Ce matin, à dix heur*, on a découvert dans un champ bordant le chenu qui conduit de Limay à Dennemont, à quelque mètres de la Seine, le cadavre d'un jeune garço, qui avait été étranglé à l'aide de son cache-col. Le parquet de Mantes s'est transporté sur les lieux.

Le cadavre est celui d'un garçonnet d'une dizaine d'années ses vêtements sont de bonne façon et en parfait état. On a trouvé dans les poches deux mouchoirs, dont l'un porte l'initiale R.

Un voisin du lieu où a été découvert le petit cadavre a vu, dans la soirée d'hier, un homme qui semblait attendre une automobile au pont de Limay, Encore une banque qui ferme ses portes Les portes delà' banque Charpenay, de Grenoble, dont le chef était, il y a quelques années, président, de la chambre de commerce, no sont pas ouvertes depuis hier. Un écriteau, placé à l'entrée, annonc£ la fermeture provisoire de l'établissement, qui a en garde les fonds de dix mille déposants et qui assure la trésorerie de nombreuse industries de larégioi. Cette mesure a été provoquée par des retraits massifs de la clientèle et par les conséquences finai> cières de la crise économique actuelle.

du vieillard en y faisant germer une grande. résclutiou. Il prit Gabina des bras de Simona et I. I posa dans ceux de Tanu en disant à celui-ci Porte-là en haut, dans son lit. et toi, Pietro cours chercher le médecin.

Père s'exclama le jeune homme en ouvran de grands yeux et en indiquant Elias, tandis que Tanu, obéissant, sortait avec Gabina dans ses bras, suivi de Simona, qui portait la lumière. Va, répondit le vieux. Va, te dis-je. Il ne m'arrivera rien

Confiant dans son père, Pietro, qui adorait sa petite-nièce qu'il croyait lui aussi morte ou en danger, déposa son fusil et sortit.

Au bout d'un moment, Zio Tottoi s'approcha de la porte et appela

Simona Simona Descends.

La jeune femme vint aussitôt.

Ma fille, murmura le père d'une voix solennelle et mystérieuse, Gabina a tout vu. 11 y a là la main de Dieu, Simona.

1 L,i jeune 'femme comprit elle demeura immobile, mueUe, fixant sur Elias ses grands yeux sombres, brillants, dans lesquels se lisait une véritable | lutte intérieure.

Il y a là la main de Dieu répéta le vieillard.

Tout à coup, Simona s'élança vers Elias et dé? o-.ia les cordes qui le ligotaient quand il fut libre, elle le prit par la main, le conduisit dans la rou. ouvrit le vieux portail et le poussa dehors, sur la route, en lui disant:

Va-t'en et souviens-toi de ta fille 1. Et elle demeura là jusqu'à ce que le pas de l'homme se fût perdu dans le lointain, au milieu des hurlements de la tempête.

Grazia Deledda.

Traduit de l'italien par Paule Régel.

FIN


LETTRES, THÉÂTRE, SCIENCES ET ARTS

LES PREMIERES THEATRE DE LA MADELEINE. Nouveau spectacle de M. Sacha Guitry.

Dans le nouveau spectacle qu'il vient de présenter, M. Sacha Guitry a spéculé sur sa cote d'amour, ce qui n'est pas sans danger en un temps où tout est à la baisse. Il s'est volontairement un peu efface, et comme acteur et aussi comme auteur, puisqu'il a inscrit au programme une saynète de M, Henri Lavedan et un acte d'Henry Monnier. En somme il nous convie à partager ses amitiés littéraires. La pensée est excellente. Mais rien ne vaut les soirées dont M. Sacha Guitry fait lui-même tous les frais.

La pièce principale de la première partie du programme est un « prétexte » en' un acte. La cause finale est de faire chanter Plaisir d'amour à Mlle Yvonne Printemps. Il n'y a guère de disproportion entre le moyen et la fin. Surtout si l'on songe qu'il y a des poètes qui ont écrit des tragédies uniquement pour placer un beau vers. Ici, il n'y a qu'un acte, et il est charmant. Mais il déplace beaucoup de monde: Sophie Arnould, Florian, Voltaire, M. de Lauraguais et Martini, l'auteur de Plaisir d'amour.

L'aventure, se passe en 1776, chez Sophie Arnould, qui est ce jour-là fort malheureuse de l'abandon où la laisse M. de Lauraguais. Elle ne veut voir personne, si ce n'est son soupirant, M- Bertin, et son vieil ami Florian, dont elle a été un' soir la maîtresse et dont elle est maintenant la confidente. Sophie Arnould a-t-elle pris part à la vie amoureuse de Florian, où l'on rencontre tant de visages féminins, à commencer par des chambrières, une chanoinesse, une artiste du ThéâtreItalien, Rose Gonthier, et la baronne de Çussé, Mlle Odrot, Mlle de Genlis, Mlle Le Sénéchal et Mme de La Briche ? Ce n'est pas impossible. Mais en 1776, si Sophie Arnould avait trente-deux ans, Florian en avait vingt et un. U était à cette époque secrétaire du duc de Penthièvre, qui l'avait fait revenir de Maubeuge, où le sous-lieutenant Claris de Florian avait fait quelque scandale. C'était un jeune homme vif et pétillant et M; Sacha Guitry lui prête le ton et les manières d'un, ami des femmes, alors qu'il était surtout leur bon-ami. Tandis que Florian parle avec Sophie Arnould de son bon oncle Voltaire, qui, d'ailleurs, n'a jamais été son oncle (mais,l'oncle de Florian avait épousé, en premières noces, la nièce de Voltaire, MarieElisabeth Mignot, ce qui permettait à l'auteur des Fables de revendiquer cette flatteuse parenté), on introduit l'accordeur. C'est un tout jeune homme, timide, qui s'appelle Schwartzendorf. Ayant accordé le piano, il l'essaye en jouant un air de sa composition. Sur cet air, qui lui plaît, Sophie chante les vers que vient de lui apporter Florian et qui, par un heureux hasard, s'adaptent à la musique. Voilà Schwartzendorf lancé. Il ne lui manque que d'avoir un nom. Justement arrive une lettre de M. de Lauraguais. Elle est datée de « Martini ». L'auteur de Plaisir d'amour est baptisé. En réalité, en 1776, Schwartzendorf avait trente-cinq ans et il s'appelait déjà Martini, car il avait changé de nom à la cour du roi Stanislas. Il était à Paris depuis quelques années et il avait même publié un « Recueil des petits airs de chant », avec accompagnement du quatuor des instruments à cordes, qui se vendait, à Paris, « chez le portier de M. Le Normand d'Etiolles ». Et quant aux vers de Florian, ils n'avaient pas été composés pour Sophie Arnoult. C'est la romance du chevrier, dans Célestine, une nouvelle qui ne fut composée que plus tard.

Tout cela, sans doute, importe peu: Mais puisque la pièce de M. Sacha Guitry est un' prétexte, chacun l'utilise à sa façon, et au besoin à faire un peu d'histoire.

Dans la seconde partie, après que M. Sacha Guitry nous a fait assister à la naissance de M. Prudhomme, il cède la scène à Henry lfonnier La Femme du condamné, qui date de 1831 et qui a donc attendu cent ans, est une farce amère que Mlle Pauline Carton joue remarquablement. La soirée se termine sur La S. A. D. M. P., un petit opéra-bouffe. La musique est de M. Louis Beydts, elle est ravissante d'un bout à l'autre et complète fort bien cette soirée donnée par Sacha Guitry au bénéfice de ses confrères.

James de Coquet.

LA VIE ARTISTIQUE Rétrospective Paul Helleu. Diverses. Cela va être un émerveillement pour ceux qui ne connaissaient pas l'ceuvre de peintre de Paul Helleu, une délicieuse surprise pour ceux qui croyaient la connaître, et une joie profonde pour ceux qui ont soutenu l'artiste et aimé l'homme. Beaucoup vous parlaient de ses élégantes pointes sèches, quelques-uns sans bienveillance, et ceux-ci ne tenaient même pas compte de cet admirable métier de dessinateur sur le' métal rebelle, qui devenait docile pour lui. Mais comme Helleu cl ait aussi modeste que fier, qu'il ne sollicitait pas la vogue et en avait même eu peur au moment où elle s'abattit, comme il disait, sur ses portraits gravés, il avait bientôt renoncé à montrer sa peinture au grand public.

Mais de pieuses tendresses ont voulu du moins qu'on lui rendît justice. C'est fait désormais, à partir de l'exposition qui vient de s'ouvrir en l'hôtel Jean Charpentier.

On verra quelle ravissante fraîcheur dans ses marines, quelle magie de l'atmosphère aux heures les plus lumineuses des plus lumineuses saisons. Les yachts blancs pavoisés glissant sur l'eau d'argent azuré font penser en clarté à ce que furent pour Whisler ses Nocturnes. Les statues de Versailles s'enlevant sur les frondaisons d'automne, que d'autres thèmes encore se varient et se déploient ici! Enfin, le portraitiste au pastel, le peintre de féminines attitudes, l'harmoniste de fleurs, le dessinateur de nus, et enfin le graveur, présenté avec choix dans son vrai jour, classent définitivement Paul Helîeu parmi les peintres les plus raffinés de la fin du « siècle dernier ».

Une autre exposition a lieu, également à la même galerie, celle d'un portraitiste français. M. Alfred Jonniaux a remporté à Londres et aux Etats-Unis des succès analogues à ceux de MM. Laszlo, Etcheverry et autres peintres des élégances mondaines. A ces brillantes effigies, il joint, dans une autre note, des peintures de types et caractères populaires qui l'ont frappé à Londres et qui sont aussi bleu observés que soigneuse-* ments peints. Enfin, on appréciera des études de draperies qui sont dans leur caresse de couleur des choses très personnelles.

Mme Hedwig de Haniel expose aussi des portraits. C'est à la galerie Knœdler. Ces dessins d'un coup de crayon serré et d'un intérêt physionomique, nous retracent surtout les expressions des p-rsonnalités de la politique. et de la diplon atie allemande, ainsi que de quelques diplomates français. Nul doute que cette petite exposition n'attire les curieux d'histoire contemporaine. Pour finir cette série des petites expositions du moment, on verra, chez Bernheim jeune, des dessins de Mlle Jeanne Bergson de qui on sait Fétonnante aptitude à saisir les mouvements. Chez Mlle B. Weill, paysages de l'Yerre, natures mortes et très curieux portraits dessinés par Mme Marie-Alix.

Chez Barreiro, paysages de Berjonneau; paysages et types régionaux de Duplaix, préférables

b ses caprices qui se réclament (ou se raillent?.)

des défuntes recherche» cubistes.

Arsène Alexandre.

LE PLAISIR IDE VIEILLIR

Essaierons-nous de contredire un lieu commun ?

C'est bien hardi. On se fait accuser ainsi de paradoxe, pour commencer. Et puis, quelles antipathies ne soulève-t-on pas ? Il passe pour un gêneur et un méchant homme, celui qui se permet de rectifier une idée toute faite si, en effet, l'humanité se prenait à douter de ses bons vieux clichés, la conversation deviendrait difficile. Il'faudrait s'interroger, critiquer, réfléchir, ce qui est un travail or, notre prochain n'aime pas beaucoup à travailler. C'est déjà bien assez que de se torturer la cervelle quotidiennement à propos des affaires ou de la Bourse qui ne va guère s'il fallait encore se donner du mal pour changer de braves lieux communs en pensées originales, la vie ne serait plus possible. Ceux qui souhaitent d'infliger un pareil surmenage à leurs semblables se montrent dépourvus de toute charité, et méritent de se voir traiter comme des ennemis publics. Et pourtant, en certains cas, on se laisse tenter par le diable. Il y a des clichés si puissants, si universellement admis, et en même temps si éloignés de toute expérience et de toute réflexion, qu'on ne peut s'empêcher d'en vouloir démontrer la candeur, quitte à trouver le lendemain dans son courrier plusieurs avertissements sévères et différentes lettres hautaines. Il ne faut que le moindre prétexte, un mot entendu en passant par exemple, ou une simple date, pour qu'on se laisse aller à faire ainsi le réformateur d'aphorismes fatigués et le censeur d'opinions abrégées. Or, la Toussaint, le jour des morts, l'automne plus sombre, les premières gelées nocturnes, voilà qui incline 4 penser au temps qui passe, ainsi qu'à l'âge qui vient. S'il existe au monde un sujet sur lequel on profère machinalement plus d'une sottise, je crois pour le coup que c'est bien celui-là. On déplore infatigablement de n'avoir plus vingt ans mais pourquoi ?. Un beau cliché, n'en doutez pas, qu'un tel regret il est au moins exagéré.

Et de quel air s'afflige-t^on de ne plus se trouver au printemps de sa vie A entendre soupirer certains barbons « Ah mes vingt ans » on croirait qu'il leur est arrivé des aventures féeriques en la fleur de leurs jours, ou qu'en ces temps lointains ils baignaient dans la poésie pure, les rêves merveilleux, la fantaisie aux ailes d'or et la plus harmonieuse allégresse. A moins que, sur un autre ton, ils ne nous donnent à entendre qu'à vingt ans, leur courage eût défié l'univers, et leur énergie triomphé des pires débâcles financières. Il nous en imposent enfin, ou se l'imaginent, et les voilà heureux.

En réalité, ils n'ont été le plus souvent que de simples gigolos comme ,tant d'autres, facilement étonnés, et dont les rêves manquaient de raffinement, il faut en convenir. Leur fantaisie ne dépassait guère ceU&.<que Ton trouve au fond des coupes de champagne, et qui ne va pas bien loin. Quant à leur énergie, nul doute qu'elle n'eût renversé des montagnes mais pourquoi n'avouent-ils point que la montagne s'est plus d'une fois dressée devant eux

L'ALSACE ET BENJAMIN VALLOTTON

Chaque fois que j'ai 'la joie d'aller voir Benjamin Vailotton à Strasbourg, dans la vieille et sympathique maison qu'il habite, loin, le plus loin possible de la ville prussienne, place du Marché-aux-Poissons, je me dis en le regardant « Voilà un homme qui a la tête bien faite Une tête ronde où les idées forcément se placent bien. Pas d'angles où elles s'embusquent. Et si, pour prolonger le plaisir de la visite, je prends chez moi un de ses livres, je constate que le cœur est comme l'esprit solide et juste.

Il vient de publier le troisième et dernier volume d'une sorte de longue chronique sur t Alsace (Et voici la France, Payot, éditeur) qu'il a entreprise il y a plusieurs années dans le seul but généreux de nous aider tous, hommes de là-bas, hommes d'ici, à y voir clair. Je sors de ma lecture. Je suis ému et content comme si je sortais de chez Vallotton. Cet homme réconforte. On est moins pessimiste dès qu'on l'approche, parce qu'au lieu de « raisonner tels les économistes, les experts, les banquiers, les grands administrateurs et les grands philosophes, et de nous prouver avec solennité ce qui doit arriver mais jamais n'arrive, il fait avec simplicité l'addition des plus touchants efforts humains, et montre de tout son cœur, que si dans notre pauvre société il n'y a guère de perfection, il y a du moins bien du mérite. Or, on a rarement cette heureuse impression quand on s'en réfère seulement aux personnages que j'ai dits.

Dieu sait si la question alsacienne est embrouillée Eh bien, Benjamin Vallotton la débrouille presque, et sans pédantisme, rien que par son naturel, en se penchant avec affection sur ses bonshommes de contemporains. Son secret, je viens de l'indiquer d'un mot, c'est qu'il aime les hommes. Pas tous, bien ertendu. Un moine peut s'y essayer. Il s'enferme pour cela dans une cellule. Mais lui, en pleine société, côtoie tous les jours des sales bêtes et c'est un de nos bonheurs les plus sûrs quand nous nous voyons à Strasbourg, lorsqu'il m'offre un admirable kirsch, qu'il fume sa pipe, que je ne fume pas la mienne, que je me dis simplement « Mon Dieu, quelle invention de fumer » c'est un de nos plus légitimes et fiers plaisirs de dresser ensemble, en la mettant à jour, la liste des faiseurs, de tous les serpents et des innombrables canailles en place et en vue. Dans ces minutes-là, Vallotton part d'un large rire, qui signifie « Ce qu'on est bien chez soi, à l'abri » Mais le contentement exprimé, et l'esprit satisfait. il sort tout de suite, parce que le cœur a d'autres désirs, et d'abord l'impérieux besoin de savoir ce qu'il advient des « pauvres gens » qui vivent et se débattent parmi les sales bêtes.

sous forme d'un monsieur respectable, commandeur de la Légion d'honneur, qui leur disait paisiblement « Non, impossible. » après quoi il n'y avait pour eux plus rien à faire, sinon traiter ce potentat de vieille bête, une fois la porte fermée,

On bluffe toujours quand on parle de la jeunesse, à demi pour se faire valoir rétrospectif vement, à demi par habitude prise. Ce serait un beau sujet de thèséVq'ùe de rechercher à quelle époque s'est répandu dans la littérature ce culte ébloui non moins qu'un peu affecté de la jeunesse. Peut-être daterait-il du romantisme. Il est à noter, en effet, que nous trouvons dans les poètes de 1830 maints transports attendris sur le bonheur de n'avoir pas encore dépassé l'âge des vierges au coeur émerveillé et des jouvenceaux pleins de feu. Mais on n'en rencontrerait guère de tels, que je sache, dans toute la littérature latine, non plus que dans celles de notre moyen âge et de nos seizième et dix-septième siècles. On y voit seulement la louange exquise ou ardente des jeunes femmes aimées, ou de bien fâcheuses invectives contre les vieilles roupieuses et chassieuses, satires du plus mauvais goût qui abondent, hélas! dans les lettres classiques. Quant au dix-huitième, j'ai lu aussi nombre de petits vers insolents dans lesquels on invoquait la force et la grâce de la jeunesse, encore et surtout afin de les opposer à certaines prétentions de l'âge qui suit. Cependant, ce ne sont point là ces paroles d'adoration envers la jeunesse en elle-même, qui aujourd'hui forment un des lieux communs les plus appréciés dans la conversation. ` Qui n'a,,fait à un monsieur considérable et influent des compliments parfois un peu démesurés ? On lui parler je suppose, 3e son magnifique esprit d'entreprise, de ses remarquables méthodes de .travail, et même qu'est-ce que cela coûte ? de son intelligence. L'homme que l'on flatte, ainsi se prend à sourire modestement. « Ah fait-il avec la plus ravissante mélancolie, si vous saviez comme je donnerais tout cela pour en être encore au temps où je gagnais cent francs par mois, mais où les femmes me regardaient sans déplaisir » Voilà qui est bien joli. Toutefois, comme il ment, l'homme considérable et influent, et combien il serait ennuyé si quelque fée le prenait au mot Aucune femme ne le remarquait quand il était miteux, craintif, timide, ainsi que presque tout le monde l'est encore au début de la vie. II manquait soit de naturel, soit de désinvolture, il avait des gênes et des arrières-pensées: et il voudrait nous faire croire que ses seuls vingt ans lui valaient des succès, malgré ses mains sales, peut-être, et ses souliers de saute-ruisseau ?. Littérature.

La vérité, c'est que la vieillesse n'offre plus aux hommes que des consolations en guise de plaisirs, et qu'il y a de quoi méditer assez gravement. Toutefois, là vieillesse .représente l'hiver auparavant, il y l'automne, Or, l'automne est délicieux, et voire l'extrême automne. Il n'existe presque pas un homme dont la vie ait été normale, s'entend qui n'avoue, s'il est tout à fait franc, que tout a commencé de lui sembler plus commode aux approches

Ce sont ceux-là qui passionnent Benjamin Vallotton. II aime trop ardemment le vrai et la note juste pour ne pas être las très vite de la moindre conversation avec des intellectuels guindés ou desséchés, tandis qu'il se rafraîchit l'âme près des simples. Je me le rappelle, durant la guerre, parlant des blessés, après la guerre parlant des aveugles. C'est un des hommes de lettres les plus humains que j'aie approchés, car le titre d' « homme de lettres » recouvre, hélas souvent plus de cuisine littéraire que d'humanité ceux qui ont eu le bonheur d'entendre Vallotton faire une conférence sur un sujet douloureux savent son charme et sa miséricorde. C'est dqps cet esprit qu'il a écouté les Alsaciens. •->̃̃ ̃̃̃'

Ce n'est pas d'hier qu'il les aime. Il s'est marié en Alsace. Il ne nourrissait que le tendre espoir de pouvoir habiter sur cette, terre envahie et occupée par une race dont la morgue brutale le blessait plus que tout autre. Aussi, quelques heures après que la dernière botte allemande fut chassée de Strasbourg, Vallotton errait déjà dans la ville, cherchant un logement. Voilà treize années qu'il est aux écoutes et ce que ses livres nous rendent, c'est ce que son oreille a perçu. Ce chroniqueur délicieux n'est pas un peintre, c'est un auditif. Il entend et fait entendre. Un autre indiquera le visage et le geste, la couleur d'une maison, la forme de son toit. Vallotton n'est pas matériel c'est le pittoresque de l'esprit qui l'enchante, l'expression de l'âme, et telle qu'elle vient à la bouche de ceux qui sont sans artifice. Il entend et il « rend la phrase populaire, comme très peu le pourraient faire. En cela, il est poète et musicien. Et de ce livre écrit avec une grande tendresse, parce que les simples attendrissent Vallotton, je dirai plus, avec bonté, parce que devant les pires mécontents ou les plus pesants des grincheux, il pense encore « Ah les bonnes gens de ce livre, il se dégage cet optimisme rayonnant particulier aux œuvres pitoyables. L'auteur fait comprendre, avec une indulgence émue, l'infini de l'endurance populaire, et que l'homme simple est magnifique pour accueillir, subir, endurer le destin. Vallotton aura été un des contemporains les plus attentifs à la misère humaine, et un admirateur du cœur naïf, du courage caché, de l'héroïsme qui s'ignore. Je ne peux dire à quel point, dans le désordre que nous subissons avec angoisse, les livres de Vallotton paraissent utiles et secourables ils sont conciliateurs au suprême degré. De même que l'auteur comique n'est grand que s'il s'élève au-dessus de sa peine, que s'il se dégage de l'amertume, que quand il rayonne, se donne, et fait uniquement plaisir, de même un chroniqueur tel que Vallotton devient un serviteur du bien public, au-

de son automne. Il est en général devenu plus riche, ou moins pauvre. Il n'a plus dépendu que de chefs importants et polis, au lieu de tous ces piètres caporaux qui le tyrannisaient jadis souvent même, son propre chef, ce fut lui-même, ce qui a bien son prix. On ne l'a plus fait attendre dans des antichambres. Il a senti croître son autorité on s'est mis peu à peu à l'écouter lorsqu'il parlait. Ce n'était point, si vous voulez, qu'il eût vraiment du prestige mais on le traitait avec plus de courtoisie, il avait acquis ce galon-là» ce qui n'est pas désagréable. 'Y h .̃'̃ Les femmes ?, Bon, voilà où le bât blesse. Sans doute les femmes préfèrent-elles un riant et frais visage à un grison. Cependant, il y a des originales. Et puis, il faut être sage et modeste neuf fois sur dix, une personne, même charmante, surtout charmante, se trouve sans doute moins émue, mais aussi s'ennuie beaucoup moins avec un monsieur qui a l'habitude de tant de choses, qu'avec un béjaune qui ne sait rien. Ne saurait-on se contenter de ne pas ennuyer quelqu'un ? C'est pourtant là un avan^tage immense. Il ne faut pas demander des prodiges ce n'est pas intelligent, ce n'est pas élégant, disons mieux, ce n'est pas du noble et bel automne.

Croit-on qu'il n'y ait pas une volupté secrète et délicieuse à sentir que l'on comprend mieux, que l'on regarde de plus haut, que l'on a plus de goût, plus de tact, plus de maîtrise, que l'on atteint désormais sans trop de peine à cette exquise vertu de l'esprit qui s'appelle le mépris, et que tout en demeurant curieux et au besoin plein de' passion, l'on conserve moins difficilement au fond de soi une certaine modération satvs laquelle tout art se gâte et toute pensée ga,uchit ?. Trouve-t-on en soi ces qualités que je voudrais nommer attiques à l'âge où un rien vous trouble, ou vous fâche, ou vous laisse interdit ?

Aux femmes, et même aux très jolies femmes, je voudrais tenir un langage analogue on les voit souvent bien plus heureuses, et parfois plus chnrmantes en leur automne qu'en leur printemps. Mais peine perdue dès qu'il s'agit d'âge, les plus spirituelles n'entendent plus rien.

Pourquoi le poverello d'Assise n'a-t-il pas composé quelque beau cantique en l'honneur de « mon frère l'automne » ? Les bonheurs qu'on y goûte sont les plus calmes, les plus profonds et les plus délicats de la vie. Jamais le poète Maynard ne fut mieux inspiré qu'en écrivant son célèbre et si tendre poème à la louange de celle qu'il aimait depuis quarante années Ce n'est pas d'aujourd'hui que je suis ta conquête Huit lustres ont suivi le jour que tu me pris, Et j'ai fidèlement aimé ta belle tête

Sous des cheveux chatains et sous des cheveux gris. Etc. Qui ne sait,l# suite ?

€e n'est pas au temps où il sortait de pages que Maynard eût trouVé''dè's accents qui nous touchent encore après trois siècles un pur et paisible coucher de',sç)l^r4ans un parc, en novembre. L'aigre avril ne connaît pas ces nuances royales.

Marcel Boulenger.

trement persuasif et salutaire que toute une troupe de politiciens et qu'une Société des Nations, quand, après avoir indiqué les pauvretés, sournoiseries et vexations des fonctionnaires français, il édifie avec amour la possibilité de la paix et de la joie, en relatant, parmi tant de soupirs et d'irritations, toutes les poussées de candide bonne humeur, tous les éclats de verve, toutes les manifestations comiques et Dieu sait si l'esprit alsacien est riche en saillies Je ne citerai qu'un trait de cette manière de grogner, tout en se faisant plaisir à soi-même, par un mot qui sauve et rétablit les situations perdues

Epargner dit un des personnages de Vallotton, qui hausse les épaules (on entend d'ici le ricanement). Puisqu'ils nous votent tout Et il se retourne avec brusquerie comme si on lui posait une question absurde.

Qui ? On ne sait même pas Il n'y a plus qu'un coffre-fort l'estomac

Vallotton est un vrai philosophe, qui sait que la vraie philosophie se trouve chez le vrai peuple, et que c'est là qu'il faut chercher les suprêmes résistances et les plus fermes espoirs. Vallotton doit aimer l'art gothique et c'est parfait que la destinée l'ait placé près d'une des plus belles cathédrales du monde. Vallotton doit savoir tous les proverbes de Sancho par cœur. Et comme j'ai la faiblesse d'aimer Sancho et les gothiques, j'aime Vallotton qui leur fait suite, Vallotton qui est sain, rude, franc et sensible à leur manière. Puissent mes lecteurs avoir ses livres, et goûter les plaisirs que j'ai 1 René Benjamin.

Ouverture du Cercle thomiste féminin par S. Em. le cardinal Verdier

Demain vendredi, ,,à 2 h. 30, rue Monsieur, 20, le R. P. Peillaube présentera à S. Em. le cardinal archevêque de Paris un rapport sur la raison d'être des Cercles thomistes.

Les cours du lundi auront pour objet Le Mariage, par le P. 'Peillaube Les Effets du péché, par M. Lequais Les Sacrements, par M. Lallcment Alexandre VI et Savonarole, par M. Arquillière La Première Ep'dve aux Corinthiens, par le P. Filière.

Ceux du vendredi La Liturgie, par S. Em. Mgr Harsiouèt L'Esthétique chrétienne dans l'art contemporain, par M. et Mme Charlier, Mlles Val-Reyre et Sarrat Les Notions fondamentales de philosophie, par MM. Maquart et de Monléon. La plupart de ces cours paraîtront dans les Cahiers thomistes. Administration 18, rue du Regard, Paris 6°. Abonnement, 25 francs.

COURRIER DES LETTRES

Le pays des merveilles

Au cœur de chacun de nous subsistent encore comme des îlots d'enfance. Et ce qui fait le poète, c'est qu'il ajoute à l'expérience de la vie et des ètres, qui est assez amère à la vérité, le don d'une enfance magique, toujours présente en lui et qui surgit au premier appel des songes, permanente à la fois et nouvelle, éternellement émerveillée. Mais cette enfance essentielle qiie nous sentons frémir en nous à certaines minutes, nous ne faisons qu'en deviner le passage et, sitôt que nous voulons refermer nos doigts sur le bel oiseau d'or et d'azur, sur l'oiseau de flamme, il ne nous reste aux mains que celte grise poussière que laissent ait tqucher les ailes somptueuses du Machaon ou de la Lie he née bleue, ou de ces fleurs volantes, éclatantes, des tropiques. Quelquesruns pourtant ont su emprisonner pour nous ces mystérieuses délices et ces prodiges., ces sortilèges de musique et de couleur. Pensez aux contes de Perrault et à leurs durables enchantements. Ces chefs-d'œuvre parfaits ont bien de quoi décourager de possibles imitateurs.

Aussi faut-il accueillir avec une prévention de sympathie les auteurs qui se sont donné pour missiun de faire épanouir en des âmes puériles /es! végétations fugaces et magnifiques dont nous gardons le souvenir attendri. Les enfants anglo-saxons lisent avec joie l'ouvrage fameux de Lewis Carroll, Alice in Wonderland. Et les grandes personnes aussi. Vos enfants peuvent en lire aujourd'hui le texte en français, grâce à la traduction de M.'Michel J. Arnaud (qui a traduit aussi pour eux La Fée Réglisse, de Thackeray) et celle de La Traversée du miroir, par M. Paul Gilson, qui est la suite des aventures d'Alice au pays des merûéilles. Ces traducteurs ont mis tous leurs soins à conserver à ces ouvrages leur grâce légère, leur charme libre et fragile. Qu'ils aient absolument réussi dans une pareille entreprise, je ne l'affirmerai pas. C'est qu'il est, en effet, trop difficile de transporter d'une langue dans une antre des éléments presque impalpapUs, désillusions, des nuances. Mais 'cÇla'vctltiit d'être tenté et le résultat, pour n'être que partielle-: ment heureux, est cependant fort digne de retenir l'attention.

Gilbert Charles. ,`

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Les repentirs de France

M. Emile Henriot nous montre, dans son dernier « Courrier littéraire » du Temps, « L'envers du Lys rouge ». M. Henriot a eu en effet la chance de pouvoir consulter à loisir le manuscrit originel du Lys rouge, c'est-à-dire e quelque neuf cent soixante pages de notes, de projets, d'essais, d'esquisses préparatoires, desquels, de reprise en reprise, se dégage insensiblement le texte définitif ̃».

Ainsi voyons-nous tout ce qu'Anatole France fut contraint de supprimer de son livre sur les instances de Mme de Caillavet qui n'avait que sévérité pour ce qu'elle jugeait trop libre. Mais M. Henriot nous fait aussi assister à la mise en oeuvre même du livre, au travail d'épuration du style et de la langue, en un mot aux repentirs du « bon niaUrif x. Qu'on en juge par cet exemple

Voici, pris au hasard, un exemple de ces tâtonnements. C'est le début du chapitre II le .lecteur imaginera les ratures, au nombre des phrases essayées. ̃>̃,̃:•/ Il ne faisait déjà plus jour quand ils sortirent du petitentresolde la tué Spôntini. Un ,fiacre qu'ils prirent, au passage les conduisit ;a travers'tin .Wng par. Ils appelèrent. le premier 'fïacré. Le MeSnil appela le premier fiacre qu'il. Un fiacre qui allait. Un fiacre qui allait devant la porte, et après en avoir selon sa coutume examiné le cheval, et ils allèrent, et ayant regardé le cheval. jeté au chev. donné au cheval un coup_ d'cèil ;méfiant et résigné. Le Mesnil ayant donné à l'homme ayant jeté sur la bête et sur l'homme et sur la machine un coup d'oeil inquiet, ouvrit résigné. se risqua dans. se coula avec Thérèse dans la poudreuse machine.

Tout cet effort, ajoute M. Emile Henriot, s pouf aboutir, dans l'imprimé, à ces quatre lignes si simples

Il ne faisait déjà plus jour quand ils sortirent du petit entresol de la rue Sçontini. Robert Le Mesnil fit signe à un fiacre rodeur et, jetant sur la bête et sur l'homme un coup d'œil inquiet, entra avec Thérèse dans la voiture. Certains pourront d'ailleurs juger que France nous révèle dans ces lignes une bien curieuse gêne. Voltaire donne un autre exemple de naturel et, de facilité.

♦ ♦ ♦ e :•̃̃.

•£ Conférences du Génie Français samedi 7 novembre, à 14 h. 30, dans la chapelle de PortRoyal, 123, boulevard de Port-Royal: « Le grand Arnault », par M. Gaston-Réginald Chaplot. Dimanche 8 novembre, à 9 h. 30, au musée d'Orléans, 57, rue de Buffon: « Les collections léguées au Muséum par le duc d'Orléans», par M. le professeur ©ourdelle; à 14 h. 30, rue du Colisée, 5:4 « Les poètes romantiques et Baudelaire », par M^Ad/alfthc

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Le Carnet du Lecteur

Mœurs curieuses des Chinois, par Arthur H. Smith, traduit par B. Mayra et le lieutenant-colonel de ponlongne (Payot). 1, Si les ministres chargés des destins de notre politique avaient des amis véritables et qu'ils Usent, nous verrions avec plaisir M. Briand, par exemple, qui (assurent les écrivains politiques) ne sait rien, instamment sollicité de faire l'effort de lire ces Mœurs curieuses des Chinois. L'ouvrage d'Arthur H. Smith n'est pas une nouveauté. Le monde entier le connaît, sauf la France pcuUêtre et il y a peu de temps qu'a paru la traduction* française. Les événements de Mandchourie, les dérisoires débats de Genève font, de ce recueil, une découverte passionnante.

Malgré le titre et l'erreur de l'épithète « curieuses », c'est bien le caractère chinois, ses vertus et ses- difficultés que Sv.ith a tenté d'analyser, avec ordre et intelligence. Non pas de l'extérieur, non pas selon le témoignage littéraire, théâtral et philosophique de la race, mais par la vie quotidienne et les traits qui trouvent un perpétuel renouvellement. Smith .va même., pour sa recherche, au village, de préférence, à la grande ville, et trente années de séjour donnent à ses observations^ une richesse et une variété incomparables. V/ Le mépris du Chinois pour l'exactitude, son talent de s'exprimer par détours, sa « flexible inflexibilité », son étonnante et libre interprétation des contrats verbaux ou écrits sont attestés par mille anecdotes savoureuses. Un intelligent chapitre est consacré à une forme particulière de « duplicité » (terme occidental). Mais qu? on y prenne garde l'ouvrage de Smith n'est pas sinophôbe, loin de là. Cette découverte de la Chine a vraintent un ̃ grand prix. Elle fait évoquer, avec vivacité, le long chemin entre l'Occident et l'Orient chinois; elle permet, d'affronter, avec un esprit averti, la tentative qui est pour'suivie, à Genève, de réunir les nations les plus diverses de la planète sous les mêmes lois politiques, En confidence, il serait meilleur, pour la civilisation et la paix, qu'on versât aux missions catholiques les sommes énormes qui sont dépensées à Genève pour l'examen et le. règlement des affaires d'Oriént..

Jean Fréterai.


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CAFES. Le ilavre, 4 novembre. Cour., 198 75 nov.îévr., 198 25 mars, 19G 75 avril, 195 25'; mai, 195 75 juin, 195 75 juill., 195 50 août, 195 75 sept., 195 50. Ventes 3.500 sacs.

COTONS. Le HAVRE, 4 novembre. Cour., 218 déc., 218 janv., 220 févr., 222 • irars, 221 avril, 222 mai, 223,; juin, -224; juillet-août, 226; sept., 223-, bct., 229. Ventes 150 balles.

ALCOOLS. Paris, 4- novembre. -^Cout., 770 à 800 dée., 790 P 3 de déc, 800 P •; ianv., 805 à 810 3 de janv., 810 à 815 il de févr., 815 à 825 3 de mars, 815 à S25 3 d'avril, 825 P.

CAOUTCHOUCS. Paris, 4 novembre. Cour., :i 1T) P déc, 3 15 à 3 20 3 de janv.. 3 40 à 3 50 févr., 3 40 à 3 50 3 d'avril, 3 GO à 3 90 mai. 3 60 à 3 70 3 de juill., 3 85 à 4 août, 4 P.

La réouverture d'Auteuil a fait une large place au velours. Nombre de redingotes et de chapeaux de velours noir prenaient sous le soleil l'éclat tout à la fois lumineux et sombre de la laque.

Si en dehors des courses le velours est jugé trop habillé pour la ville, il reprend, le soir, sa souveraineté. Le nouveau mouvement des colliers, soulignant tout juste le devant du cou pour répandre le long des dos dénudés le scintillement des gemmes, valut au dernier gala de l'Opéra, un grand succès au joaillier Dusausoy. Il en obtint un autre non moins légitime avec un collier de diamants, véritable cascade, surmonté d'une pierre dé 35 carats, dont le dessin très sobre était de Jean et Janine Dusausoy.

Chaque jour de nouveaux détails viennent renchérir sur la simplicité voulue de nos robes. Rien de plus chic que les trois écharpes tressées comme des cheveux, en nattes, et qui marient trois tons de l'ose, ou trois tons de bleu, ou bien opposent trois couleurs très différentes. De nouveau on revient aux garnitures de lingerie plissés, ruches, bouillonnes évocateurs des grâces naïves de 1830 ou organdi et pique dont la sécheresse et la sobriété conviennent mieuft au modernisme de notre époque. Rosine.

sante permettant de fixer les acomptes de dividendes.

Fermeté des caoutchoutières Indochine, 110 Padang, 175.

4 novembre.

Marché en hausse générale.

Le sentiment meilleur qui avait prévalu hier s'est fortement accentué aujourd'hui. Un léger raffermissement de la livre sterling y a contribué. Par ailleurs, les ordres de vente qui avaient pesé sur la cote la semaine dernière avaient complètement disparu, de sorte que les demandes ont manqué de contre-parties faciles.

Ayant été escomptée, la passation de l'acompte de dividende du groupe Rouai Dutch-Shell n'a eu aucun échd sur le marché, la situation de ces sociétés restant très forte. La Bourse n'a retenu que. les signes d'amélioration qui commencent à apparaître en Amérique et en Europe dans la situation générale. La hausse des prix du blé à Chicago et à Winnipeg en est un. Etant donné la médiocre récolte mondiale de blé, attendons-nous à apprendre un de ces matins que les besoins de la consommation sont plus importants qu'on ne l'avait pensé. '•

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Rentes françaises sans modifications appréciables.

Avance sensible des fonds ottomans et serbes Turc uni f ié, 22 80 Serbe 4 0/0 1895, 70.

Vive reprise des établissements de crédit Banque de France, 12.700 (+ 505) Banque de Paris, 1.390 (+ 65) Lyonnais, 1.870 Union Parisienne, 460 Comptoir d'Escompte, 1.155.

Crédit Mobilier, 415 contre 399. Le bénéfice net de l'exercice au 30 juin dernier s'élève au chiffre de 7 millions 096.527 francs contre 11 millions 877.000 francs l'année précédente. Le Conseil proposera à l'assemblée du 21 novembre de fixer le dividende à 35 francs contre 40 fr. précédemment. Comparé à celui., dô l'année dernière. Je tiïart fait" ressortir une augmentation ,4es..disponibilités à 141 millions contre -128 millions.

Important redressement du Suez à 13.345 (+ 395).

Les progrès sont très substantiels au groupe électrique Distribution, 2.570 Lyonnaise des Eaux, 2.400 (+ 100) Seine, 748 Générale d'Electricité, 2.310 Littoral, 1.044 Nord-Lumière, 2.185 (+ 110). Fermeté des mines métalliques Rio, 1.685 Katanga capital, 2.445. Les charbonnages gagnent quelques francs Courrières, 373. Le compartiment des produits chimiques se réveille un peu Péchiney, 1.469 Air Liquide, 685 Azote Norvégienne, 714 (+ 52).

Les sucrières poursuivent leurs progrès récents Say, 1.750 Egypte, 344.

Meilleure allure des métallurgiques Dives, 650 Tréfileries, 526 Forces Nord-Est, 568 Citroën, 523. Nouvelle avance des pétrolifères Royal Dzdch, 1.398 (+ 65) Shell, 197. Comme prévu, ces deux sociétés ne distribueront pas de dividendes intérimaires en janvier, mais leurs'çonseils d'administration pensent que les circonstances qui les déterminent à prendre cette mesure sont passagères. En raison; de la crise mondiale et de la situation toute particuliâre de l'industrie pétrolière, il est, en effet, impossible d'évaluer actuellement les résultats de l'exercice 1931 avec une précision suffi-

INFORMATIONS FINANCIERES

TIRAGES. –Crédit national 1920. Le numéro 2,155,968 a gagné 1 million. Le numéro 6,885,964 est remboursé par 500.000 francs, et les deux numéros 242,244 et 1,676,118, chacun par 200.000 francs.

Les trois numéros 1,509,483, 2,043,662 et 4,349,056, recevront chacun 100.000 francs, et les six numéros suivants 187,873, 732,024, 1,-719,806, 4,088.714, 4,532,850 et 6,050,442, chacun 50.000 fr. Crédit national (janvier 1923). Les numéros 68,859 des six séries 0 à 5 millions ont été! 'aé'signés pour être remboursés chacun par 100.000 francs, et les numéros 248)859, des six séries 0 à 5 millions, chacun par 50.000 fr. Les deux numéros 678,859 et 898,859 des six séries 0 à 5 millions seront payables chacun par 10.000 francs. Les huit numéros 58,859, 88,859, 298,859, 418,859, 688,859, 708,859, 748,859 et 768,859, des six séries 0 à 5 millions, recevront chacun 5.000 francs.

MOTS CROISES

LES COURSES COURSES A AUTEUIL

ENTRE NOUS;

Un certain émoi s'est manifesté parmi nos dirigeants à la suite de la révélation concernant les griffes de couture. Comment savoir si les robes et les manteaux qu'on achète ne portent pas réellement la griffe de telle ou telle grande maison ? Voilà, certes une inquiétude dont sont exemptes les clientes de Malborough. Elles savent que cette maison ne vend que des modèles sortant directement de chez les grands couturiers et que ceux-ci ont griffés eux-mêmes. Ne savent-elles pas aussi que l'on trouve 59, rue Saint-Lazare, toute la satisfaction qu'elles peuvent désirer, au point de vue accueil, qualité, provenance, prix et même retouches ?

Aujourd'hui à 1 h. 15. Gagnants de Figaro

Prix Aristote. Sunny III, Alfagor. Prix Doublon. ̃ Exccîsior, Caro Mio. Prix Canot. Très Sport, Grey Girl. Prix de Vincennes. Bitrague, Rose Ronge.

Prix de Fontainebleau. Kami, Light Brigade.

Prix Voilier. Le Gratteur, Energie.

Horizontalement. I. Chefs suprêmes de la justice, sous l'ancienne monarchie. Il. Chroniqueur français né en Périgord, auteur d'une histoire des Francs (dixième et onzième siècles); Ouverture en creux. III. Rassasiées; Initiale et finale du nom d'un saint orfèvre. IV. Mesures agraires Exhalés. V. Passage étroit entre deux montagnes. VI. Négligées; Victoire de Napoléon sur les Prussiens. VII. Tenir des discours inutiles et importuns. VIII. Prince troyen; Héros d'un célèbre poème russe du moyen âge. IX. Initiales d'un auteur dramatique français né û Rennes 'en 1868; Dieu protecteur du foyer domestique chez les Romains Hardi. X. Rivière qui se jette dans le Rhône Uni. XI. Réfléchis Dissémine. Verticalement. 1. Faire des mouvements en rond, en parlant d'un cheval. Nom générique, des modes de divination. 3. Substance semblable à la créosote, obtenue avec l'huile de schiste; Symbolc chimique du plus fusible des métaux communs. 4. Pronom personnel; Monuments monolithes chez les Egyptiens et les Grecs. 5. Abréviation commerciale; Monnaie portugaise; Grand perroquet de l'Amérique du Sud. G. Premier mot de la devise du maréchal Bugeaud, alors qu'il était gouverneur de l'Algérie; Tours d'une hélice. 7. Adjectif possessif; Mulâtre à qui l'on doit l'abolition de l'esclavage dans l'ile de Saint-Domingue (1750,1791). 8. Petit port de Gréée, au pied du Parnasse Femme d'un roi'de Thèbes sauvée des eaux par un dauphin; abréviation épistolairc. SI. Ancien nom de l'Irlande Engagé dans l'armée. 10. Abréviation employée en imprimerie; Fleuve d'Irlande; Personnage représentatif d'un grand pays. 11. Accompagne dans un déplacement Ordonnance.

Solution du 725

COURSES A SA~N~-ULOUD Le Prix Durbar

ciel s'était /assombri, et.-quelques résultats en ont" profité pour, devenjr. eux-mêmes ténébreux. Plus particulièrement la victoire'' de Cibraine, dans le Prix Durbar,- épreuve de 25.000 francs réservée aux deux rns, était malaisée à prévoir. La petite pouliche, échappée d'un prix à réclamer, n'en est pas moins venue dans une pointe finale rapide régler facilement Thieffry, qui, depuis le milieu de la ligne droite, paraissait maitre de la situation. Il est vrai que ce Thieffry, en digne fils de Canobie, n'a opposé à l'attaque qu'une résistance purement négative. Il a des moyens, mais aucun moral, et l'on ne gagne pas une course avec ses jambes seules. Quant à Cibraine, maintenant qu'elle s'est avérée capable de tenir la distance, elle peut avoir devant elle un très honnête avenir. En la cueillant dans un prix à réclamer, son propriétaire-entraîneur actuel a eu la main fort heureuse. Parmi les vaincus, le plus notable est Braconnier. Celui-ci porte bien son nom. Les chances régulières ne sont pas de son ressort. J. Trarieux.

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Prix Ajax (15.000 francs, 2.500 mètres). 1. Mashonaland, à M. W. Pratt (G. Weston) 2. Mont Boron, aw.-baron de Kœppen (A. Lavialle) 3. Flic,' M. W. Littauer (A. Rabbe). 1/2 long.2 long., 1/2 long. Pari mutuel à 5 francs (unifié). Gagnant 22 fr. Placés HaîfcDnalaiid, 15 ̃ St. 50 Mont Boron, 28 fr. 50.

Prix Erodion (12.500 fr., 2.800 m.).. 1 AVazidon, à M. E. Bataille (R. Ferré) 2 Voilà, à lord Crev.e (G. Duforez) 3. Janeiro, à M. M. Boussac (C. Elliott). Encol., 1 long. 1/2, 4 long.

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80 ..Comptoir National d'Escompte 1135 ..1145 Oblig.Ch.ferEtat4%19 2-14. 427 5C Pnonte Tombac «•̃ •«•̃ 52 50 du Br« 40.. Maries 635 650 6 .h 9 Concordia 37 38 25 Rand Mine. fi/8 3

60 ..Crédit Commercial de France. 690 .708 5% 19 19. 459.. 4M.. OBLIGATIONS 8 75 Banques de Province. 125 fr 75 Ostricourt I3I5..I319. Crown Mines 473.. 48! De Béera. n I3'16O 13/16 1. 41

180 Foncier de F™ 4975 50.0 p T T.5% 1928 r SOO 520 520 OBL1GATIONS -5f > 16C.V Alsacienne^ Banque ?80 982 237 50 Aigrie-Tunisie (Omnium). 2075 2140 De Beers ordinaire. 317 312 Jj.» 16 3/S 17 1/2

Foncier.de ndo-Chine lu' •• ̃̃ 4/3 A.19J9 r. a auy •̃̃ •• £J" » u-rseillsiso '"4 702 Boléo. parts 160 167 préférence 5U* •• î™ •• Rio Tinto •" ̃"

100 Lyonnais. 1815 1870 Bons' du Trésor 5% 1924, 724, 726 397 39e 55 » S.*« ^«.H. 3, ,g M.xicar Eegle -W ̃y\^

40 Mobilier Français ^"t»" 927 »l 562 -487S 4 «» ^«» ".».. Immobilière des.VçJtures 255 Mokta-el-Hadid.act. de SOOfr. 3O0..3150.EastRand « M 50 Roy.1 Duteh | 15/16 2 I /«!

40.. Mobilier Français, 399., 415.. 7(,91926. 561 562 3 '~(" 493' 4ô9.. 40 Immobilière Nord de Fr.nce t.p..61 122 ..180r (Mines de), ordo .12010.. 2010. East Rand 31").. 310.. 50 Royal Eagle. ,6/ .6,41./2

«::i£te^^ 7701.927.561.,56_ lil!5.7i% 1- 1:: m «y.u^b. 7.0.. 730.. ,M8^r^ingw:|» »:v| :|

45 ..¡SOciété Générale. 1148 1155 Oblig, décennales 1922.32. 101 101., ~892 2 î12'rJi" 500 304 '7 ¿OIEqusteur 275û 31.. Shell. 15i162 1/32.

42 ..Rente Foncière. «0 -660 Ce,ose;autonome 4 A -À,, IOU8_. 1010 ,a94rg6 2-i/2" %T. r%£- 300.. -"» ,#̃ fll Pftfqies.Cfc" Industrielle) 704 Extrême-Orient .102. 1I8; v Steet Comrnon. "*>̃̃̃ ™jj

32 ..Société Générale Foncière. 210 -.220, « g 2 .367 368 ACTIONS INDUSTRIELLES 120 DynWitS,(Société Centrale). 1840 lfl.6O | j." Fréfnco-Polonaiseipétro. « 47. Escompte hors banque 4 3/4 5

42 Suez Foncière '640 ..t',6tO CaiG,Se,.autonome 4 Xi' 1001_, 1010.1894'96 -356 .300 #¡-' 20 "IL'!J.Bon"iéres, Métal !IO"1 730 17"0¡Es, vellas Mining" 8250 83", Prêots a. 41,(41 41/4

650..Sue, ».-̃ «9$<- "°: Afrique Pccident Fr*ng. 3 ,o. 418 | t_ -j56 ,;|55 3 «, 70 Electro-Chimie Métal 685 .915.. 6 ,fa .6 Fra'nco-Wyoming; ord. ̃ W.. Prêts, ;Y'V 94 62 95 3"

718 3C Sue; (part de. fondateur). <l230-f --Indo-Chipe 3 ^1909. -v .M < ,-»70 ..| 374 ̃̃ ̃ Est-Âlgérien 53L~'5? •• Engrais Novo _Goduld 413 416.. S Pans.. (change). ^'j 31. 255 ..[Suez (civile) (cinquième) 3460 3456 3^913 > 19O5 2 3<4 «i 1^ V Y. Ouest jouis ^•• 41 66. Kali Sainte-Thérêse 1595 I6S0 1 ,h .6 General Mining 70 72 ̃̃ S/NewYork J'\

~i~n:J 493 490 ë!~3~ 45:' = ?~ ~Rn~P~L- 585 ~87 ~:G~ 71 50 72 50 Rio =

^^YYYYYYYYYYYYY^Y^Yr^A^^YYYYYYY^Y^Y. J- H; | ï^»s. Z[ ™ZZ^*?^"=™i" Y ï^tl,YYYYYYYYY. ̃ ? ^^(^nt)- ^ne ,8 7/a.

72 5GIOrié.~ 1190 ..¡1I8 ° l, -J ObI' 1922 6 o/c 1.524.. 00 Magasins Généraux de Paris.' ¡si' 50.. 142 1)5 S8iht-Gobl-i~, Chauny, 198) 206, IHuanchaca 48, 51. Argent métal (comptant).119 3/16 18 7/8.

««OH*.™ ••ll9°-ll85-CréditNational5%,919 6,0.. 611.. dob^déçen. 524.. 5M 0 ,54 f S^ie Article (Givet) 24 2«, 20 C^ ,44 25 < 1 ̃ C.v^^pt.nO. 36 3 35 3

150 Santa. Fe CC" fr, Ch, fer Prov.) 1040.. 1000., oblig. 500' 5 1920.. 538,. 541.. > = ,= ;922. 602:: 519.. 519., 80.. VichY,(Etabl. therm,;1). 14~O ~.11520 63 FO -(part) 985 998. Huiles de Pétrole. 193" 195.. NEW.YORK 4 Novembre

•S-SK^Si^r^iSS: = ^If g=: 5| >M5.«s.??.f.!î:: $~£~ ^^IW^S^»». ««- ïïr.r«: ^yyyyyy^ WZ °^y.y.y.yy.y.y « 2 |

80.. Tram, et de Shanga' 2300 2~ 66J192~,decen, 520.. 52050 192941/2 %1003.1010.. 135 Air comprirné 3100.. 3200 80.. Port du M'd,183 "ll~ 3 'h"IJagerSfontein. 115 5C 71" Câbles transfers.?7Z 518393 3/8

5:iSïïS:ten^:i::g:: = = !$!?*;= |" I ^VÇyyyyyyyyyyyy | | «^v: «S »SE^-i5-SK. a???> a?^ -iii î^r.'KSïïïî; ^V^s^yyyy^^

80 Distr. Parisienne d-Electric, 2535 ..2570 6 A janv 1923 «U 3J| 1,93O 4 Lots 990.. 990.. » » hi ^s 155. Havraiso Péninsulaire CB). |2 Langlaate 50.130 ̃ ̃ A hmson Topeka 33 3 4l 34 1/8

20.. Electrrc,te de la du Nord .30.. 72" 6 JUin 1923 53 534 492 495 40 Edison Telegraphiques. 790 790 lyrnpotpé..i ~Cc ommu toO 614 p ILengloate "1129 50 130 Baltimore Topeka. 103 1!4:IIC 7;8

SiôIÎSSiîîïSLfrN^ J" | = ^S^S'Si^f. «o.. 3«.: Com. S7926O% «..«.. ^1^ .|"ig" S-ïïïïïïïï.SîKr? S8:: S»4:: tcïï^ ^»f^ ^;Û^ 8

85., Electricitë Littoral Génërale d'). 2255..2310.. ° Fom'1879 0,0 0/~ 506:: 506:: 45 C8,Electriche de Paris.11850 "1850.. 35 .Transports Maritime., 270. 265., "ILondcn'i:i~d' 26 75 55 50Conadisn Pacific. 141/2 3,'8 157:8 l~4

S. IM^?££rJ^ o*^ «̃ .̃» ;9.ÎS|e-- gg »•• ssfS^ïSSSiS: §̃̃ §̃̃ ffiiôElrïtal"£-5ï=S:3i-g::lS:: 335..Bén,dictine 6,» ..U ,»: L^Z^! | |"S^ <* m

40 aNord France -7W 722 7%1927.. 616 617 880 3 345 345 232 18 de Varsovie ord 2075 "1~050 335 Bened,ctrne ~150 .621)0.. 3 eh ¡Lorraine. 57.. 5/ 5L Chicago Rock Island. LI 1 III 24 L4

90 ",INord'Lumière "1207' 2~ 6 j9~8.. 1016 ..1018.. «, '1885 2 6Ó' 373.. 373.. 4250 Energie du -045 ..1,-100 455 Brae.,erre Quilmès. ,750 .39~5., ::¡Main Reef Consolidated. 101501 103 E~i. Rsilroad 1:~2128

= ~5!7-'5!2" ~2~ 373 37 ~50En~du~ -.2~ ~~OH8

32. ,91., ~F~~ I:t\com. 18913 338 ..1338 te) 125 "ID~std,er~e cu.;n,er.795 305 Mai.poiska IY 3,,4,201/8

32 5GI~ond'E¡ectrlc'te. 9~ 9~3:: de Meurt,etiMù,6 ;I~ 51~ Il. 18922 383.. 380.. 50.. Fer." Mot;es du ~h6ne. 95?0:: I~ 120.. Grand Hôtel de Ilndo.Ch,ne. 24> "1" 3 05 Mal,?polsl<a. 1750 113 7" LoulSville.Noshville, 32 1"Ô, 37

,S::fe-| §•̃ ̃̃$™?ik:- i:: *Srîiy ISS8: ^a,P. «^c. «..«.. «. -̃••••. ^^y^^yyyyyyyyy !< L.;2 ,1. ^Tréf^:r^^d^ | | = di,H^:il:: ïï£r!Sggi5: %̃̃ 4£" âf èè = -88:® .20 ::iïï=i= K!zr: 'S ::| '3Î •• -k^ %™ "I=-||j? 42 50 Courrières 358 373 Pas-de-Cala, s 7 926 «0 540 ]gQ9 g 209 2 0 ot» ,W .«1 25° Cim°nU FranÇaiS *£H *ÏÏ ".i P^ang (Caoutchoucs) 175 Union Pac ,f,c. 'w ï'/ii 87 8

115 ..¡Tréfileries et Lam, du Havre. 482 526 7 ~?27 '1 A8.. 544 UJ( 6~ ~~g~ Ó,~ 394' 391 4?. de la (part 1770 795 20.. S,,r,ri,, Coloniale 195.1194 Mozambique, 22 50 75 South.rn.Railway.1 50 :6

22..Lens Vl- ̃̃- Z fflilOlO 1010 0 S Com. 1912 3 JM 215 ,00 Indo-chi noîse d'Electr-ïcitê ££"$X" 50.. du Boulonnais f^ £1 40 P="a Copper 60 50 59 Alhed Chemical fll 3'ï 82

"̃5^=ËE;^lii = •=-&<»!: B:: S:: SIIIIÊE |i: f^ 1^=^^E; *ï*ïàï E :^S:E: = :»S:i ':SS~==: ££&£=& M& .;8

30 Penarroya 21 28 7 L7/o 926. 5 '= C~,1922 6 %'t: 5:0.. 510.. 25.. Nantaise d'éclairage 430 300.. = d'O~gny. 3700 ..¡3770. Phosphates Tunisiens, 73 75 73 50 Americen Car etF, 13, 12 1.'8

platine 1-/8 180 0 75:n~.En~ 10 .124222, 4.6:~=~ 50 m: 24 ~114 27 .1.

.Platine. Gén. des Pétroles 68 w. ,•«V 517 517 ° 19236% ?q-n" « Pyrénéenne d'Energie El.ctr.. '^00 .610 10 Financière des Ciments 40 40 4^ Randfontein 129 50 130 5(, Amer.can Téléphone 'm 92 314

Crédit Gén. des Pétroles 68 y, Ile d'Albert 6/0.. '"•• »'̃̃ -Ui Empr. ,g26 7 719.. /20 |5 R*dio.E|ectrique 180.. |79. 120 Poliet & Chausson 1430 ..1440. Rand Mines 262 268 Amencan Tobacco B 14 7'fl 17 j'4 l.

V,lIe de ReIms 6/01927 512.. "'C '1927 70' 576 57/ 15., Rad,o.Electrlque, 330 120.. Pol,et & Chausson. 143lJ ..<1440.. Rand Mines 262., 268.. American Tobacco B ~8 .1. 9.

25. 184 50 198 ,H 1509 508 ~~7~ 91 ~85 15 Radio-France 1 1200 l' ~0 j:: =~

Zy^yyyyyyyyy g- |IIB;i Sii »!! "BBll=- Si! US^S^v.E^ 'HSÊ=i i? %E= | S?

lYB^^5-f^Y^^ S" a:«:5r:: S:: Tivtt'EEE'Zï *&£* 'F^^&ïïSS^Eiï fii |SSSi^E ÛB

35.. Gafsa '1360.. 375.. 0' omo /0 1825 Sud Lumièro prior,5' 330 200.. Chapal. 2175.2145.. Shell~ 186.. 197" British America~ï'b~ 147ib 15 -1:

90:im:d.A~;Fr~ ~-A~.L.rr.n.S% '40::T~ph.~Fii: '975~r~ 3~: ~Du-

30.-Ch6rgeurBR.unis. 250.. 263.ndustr..t.Ais.c..ns)92t. ~05.. 504 L, 3. 939 940 318.. ord. S65..60CO.. (part).«000..4~00..3~ .St..uaFran~is. .22.. '63..El..=tr.ceond.ndSh.r. 20 J~ 203~4

Voitures à Paris cr, 102., Mines sinistrées 6 '3:t?. 497 499 40 Alsacienne Industrielle Textile. 1!60 5160 43 56 Printe ps, ord (part). .Woo..14;G()Q.. i3 sh ..ISteeLia Française 155 Ih3 Eledric Bond and Share. 20.1.,203',4

««UïïÏÏ-ffl^ «:: ÎJ^-Tm^aiVSfe:: «:: ^Est6% 497.. ̃«» 356: ^yyyyyyy S: 5p:: 6: 3 50 9 ïSSÇ: | S

35 Air Liquide 653 Algérie 3 1902 15 417 st 4% 460:: 460.. 350.. Dollfus.Mieg. '705 "'675" 25 ..R08ff. 2C'8..j 210" TanganYik~ 8i 50 90 5nGenerai Motors: 257/1) 3.14 27

.5..a. Lipide .:Algéne 3 «oa « ̃• = tl^^YYYYYYY |" g" ï^h^^± Y. S Y^^YYYYYYYYYYYYYY.^ "iSS" ^Y^YYYYYYY ,S ^Y^ZYYY: S Ïj2

.46::C~ 653 ,aa Tunis 3% 19O2-19O7. ̃ ̃ »i •»! 380 50 80 Aciéries de LonaWj. 660'- 751'- 1 10 Librairie Hachette 1650..1675.. Tubes et F. de Sosncwice. 57/5 60 U North American H* °| ̃« ]

46 Tunis 3701902-1907. 7" 3~2.. L 3°' 1855 .> .381.. 380 50 32 10 A.étytè~. 8< Elect~'tMéta! 6fN" '751 225 Chaii ,4440' ..044,U Tranov.al CcnGolidated Land, 7450 80.. National Biscuit 46 1/41483,4

Tun.63%'902-)9p7. ~°?"Lyon3°.18S5.?°'" 80 ..AciériMdeLonn~y. 7S' ))O..LibrairieHachette.650..)875.. Tub.setF.deSosncwice. 57~5 tO~NerthAm.r.can. 37~~4U<

Path,Clnema (.lCUISS) 5750 555 5% 468 ,470.. 200 125.. A~r,que Occlden:le (C ). 18!5 ~2060 3 Sh.3ITub..e pr,v, '?8.. Radio Corporation

.1 Patho.C inéma (cap:) 83.. 83. 6350 4 439 ~44 200., de Sambre,st.M,;use, 450 420., 83 10 A,r LiquIde (par,s), I~/O .,12060.. 146 b. Union Corporetion, 2~6 ..1 256 Shell Royal Dutch .7 7, 8117 718

::P~ ~50 = ~:Fu~ 362 381 5~ 40.. Atel, 8< Chant,ers de la LOire.. ffl 70::C~-r~ /20.. 731 199 h Haut Katanga P-v 20/0" 2120 Shell. *'i* *~ie* 10 10

100 .,IRaff,neries et Sucreries S ay 1713 1750 Angleterre 243 1.4350 = 3% Fusion "ou~ 3795C 379., 80.. co,nst,Nordd.,e la France.. '850:¿¿o:: 70.. .Cirages Français ev:> ,,1820.. 1'i9b: cap" 2420 ..124~ Standard d 0 1Jersey 33 3~435 3\4

^Cn!onE^p1e;n^-ar:nr|| ~20 = 1^?- |t? ^I=-de-sa^ J";| «::Srs.œ '-uh^ ^2|2?|JI.Ç 00^ J; 4 68 5,,8

.,¡un,on Europeenne |9°9 3735"3735 6 1921 JJ? 115 Châtillon-Commehtrv 2'5° 50 Consortium du Nord 375 "Vermink 50 49 5f. Union Carb.de 35143634 Susse Consolidé 1" et 2' séries 5 Be,gi_que 2 A •• | | 3% ,9a1.. 346 .46 ̃••••••̃̃,• 8 g? 102 Consortium du P"rt •" ^^ZYYYYYY "f8 50 ^ostlng^e Ë^tVi" 4^ i/i 47 3}é

6 5%1906. 67 1 li 4 I"i 3ïJ~¡>95-19051~a, 518 50 10 !o 17.. Decauvillo 251 1" 10285 part. VieilieMontagne.1I65.. 1215.. Utah Coppor.¡ 50 ,150 318

:s.7b,.l'9m.6rtv;»br.-i89s «.o ?o y6,'â"i1923 518;- 517-Midi6% «•• «j» ""i.^îVï.ïv: •*̃• jg* 32 5ocontinent.comPteursàGaz. 362 3eo.. :ï!m*"spVitu.ux 5C Tltres traitis '̃500-ooo! 46 473j8

Turc Unifié « 45 .22 60 Brés.l 4 II 389 -5% JS JiS 38 57 de (dixième part) £| •• ̃••̃ Cultures tropicales Viscose (nationale) 2fa6 285

5% 1914 ..• '575 1745 E » Fundmg -4% 440 440 85.Fives-L.ille ̃ ̃ "? W Dragages et Trav. Publ 635.. 655.. West Rand 51.. 52/5 CHANGES (Paris) 1..500,000,

Banque Nat,onale du *e*3141-1509 (Pernembuco). .0. 440 44() 85 Fives-Lille 325 335" 90.. Dragages et Trav. Publ. 63' 655 West Rand, 51.. 5275 CHANGES (P)

.Banque Nationale du Mexique. 1" •• 'fi •̃ '9°9,/(P<!<r"Embuoo)- §qÔ 490 Nord 6 '/o série Apa 487 60 Forg. a, Acier. Huta-Bankowa 325 335 30 Gaveau C" 1 33 136 Londres 94 62 95 69

3.h. Ottomane 317 330 Bu Igane S A V. S96.. "W Nord 6 série F 487 x _9 Marin, et Homéc. « 483 8O..BecAuer 9,7.. 918.. New-York 25 44125 50

£ 1.6.3 Crédit Foncer Egyptien 1650 •• '»?,•• 4 /j ,o 1907 5 série E Il kn 40. Jeumont ,?«"«n"' f •̃ Maroc (C1* G-énérale du) ,?" Allemagne

10 Canadian-Paeific 363 412 4 o/0 série D jm ÏÏï 9i é8 (parts) "2" 1650 450 Tabsc du Maroc 6465 OJ95 COMPTANT v Argentine

lWagons-Lits 1 -Pacifie ord. .». 105,. 107 Chi~. 4./00,r 1895, %série 407.. 411., 956 (p~rts). 1275 515' 450.. Tabac du Meroc. 6465.. 6395 COMPTANT A 9

.Wagons-Lits ord \f ̃ ̃ \°> ̃ ̃ Chine 4 « Or 18 95 3 Bncicnne 407.. 411.. 55 Méditerranée CForg.i8, chant). 525" 5I5 Union Comm1" Indo-Chinoise. S9.91.. 50 Cessous (C~arL-on) Min Belgique (1OO belges) 354 25 1 354 25

.Central Mining 5U 5/o902. ̃• 2 1/2 série C 408.. 4L4. nlon omm no. 'noise, 50 Cessous (Charbon). ̃• ̃ -• Brésil ( ) 35425' 35425

15L. Montecatini ,1^1 .il? t .9?<fno 920 "l 950 3 1921 347.. 351 50 Forges Levai Aulnoy .••••• £0J9.4 Land Bank Egypt 60 Czeladz 695 682.. E 100belgas 22350 224..

20«h. Rio-Tinto. 16.5 1683 4/0 908. V450 .0 100 F. Belges Mat. Ch. de fer 300 325 390 Crédit Foncier Franco-Canad 4525 4525 I 25 Héraclée. part 9500.. 21500.. 1 K.5i Azote (Norvég.enne) «« 714 Congo obi. 4 ,0 1901. | *\> ~o Jq Orléans Bons décennaux 6 540.. 541 85 Denain-Anrin r. 1310 1285 28p. 50 Nord-Espagne 565 U5 Hutchinson 1660 1705 Ho|land<1 1025 ..1025 50 Lautaro Nitrate J6 82 Egypte Unifiée. 'u £™ 6 0/ 490 •• J* 100 Uorraine Min"a Métall. 350 p..•̃̃••̃̃•• 23p. 75 Saragosse 390 17 501Omnium.Pétroles 6750 62 1304013155

5 .h. Oriental Carpet ••̃ 3?.. 145 Pr^ileg.ee •• 47 65 g^ 480 70 Matériel de Ch. de fer (C1 Fr.). 606.. 640.. Rouina (Algérie) Ir--I«A" “• 5A Steaua Romana 43 44 N y 13040 13155

60 b. Pétrof.na ,|g 364 E=pa gne exter.,ure 565 543 *'° 442.. 1o2 .15 Matériel de Transport 23O-?œ ;•• Sosnowice J60 380 5Cd 38 MonaM 4025 41/5 £, {, 285 50

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2 gnifique. I* critique' de Figaro nous parlera La répétition générale du Théâtre Pigalle demain M la pièce de M. Jéà* Giraudo'iH a été donnée hier soir, devant une salle ma- et de ses interprètes.

rv.

Voici, en attendant, saisies par Tor, au | «fo'ufs du deuxième acte, les attitudes caractéristiques de Judith (Mlle Rachel Bérendt)

̃ ̃– = m**

Répétition générale R o 0 THEATRE DU VIEUX COLOMBIER (Lit- G Ire 57-87) (La Compagnie des Quinze), à ri 9 Q. 15 La Mauvaise conduite, de M. Jean A Varlot, d'après Plaute, C

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Première représentation î

PIGALLE, à & heures Judith. I

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En matinée u<.d.c. r'

..̃;t: En matinée' \uà .<.?«<>̃•> •>, a

rUjOWÈÏJI&FftÂNÇftlSE (Gut. 02-22),- à », f h. 45, quinzaines classiques, première di tjuinzatffev billets blancs (flëbùtl M /Mlle ji Edwige Féujllère) mariage de Figaro, a comédie en cinq actes de Beaumarchais (MM. Sïblot, Dessonnes;- André Brunot, La- p fon, Dorival,, André Baçqué, Le Goff, Piètre ( Dux, J.-H. Chambois, M. Dufresne Mmes w Cécile' sorel, Suzanne Dévoyûd, Bértïïe Bovy, Ni^an, Edwige Feuillère). odeon (Dation 58-13), à 2 h. 15, abonnement classique série verfê tes Ti'ois R Sultanes, de Favart (MM. Chamaràt, DUm^S-nil, Mmes Christiane Ribes; Marthe Coifflëtv t de l'Gpéfa-Comiqûe Germîtlne Güesnier, R Olga Soutzo, de l'Opéra). Arteçtmr pofi par T l'amour, de Marivaux, partition de M. André' !V Cadou (MM. Btyonne, Raymond Girard, B ClalrjQis, Schneider, Bargin Mmes Madeleine Foujane, Paulette Marinier, Jeanine n Crjspin, Renée Simonot). fi ANTOINE (Botzaris 21-Ôff),- à î K. 15 d très précises; fnâffnée elasïiqtte (tarif Spécial -très réduit) L'Ecole des Femmes,- de b Molière ('M. Sig-noret, Berthier, Raoul Marco, s Henri Crëmieux, Geo -teclercq, Jean (Juillet ;> r< Mmes Suzet Maïs, Nita Malber êi M. a Dehelly) La Critique- der l'Ecole; flêS Fértimes, J de Molière (Mmes Jeanne ProVosf, Yolande I.arfori, Jane Chevrel MM. Cïarîês De- 8 champs, Maurice LagT'enée, Henri Crémieux, li Roger Bernard).. j Ce speëtacfê sera présenté' par M. André1- r Paul Antoine. J TRISTAN-BERNARD ( Côrnpagnîe" Pïtéeffj, r à 2 h. 30: La Belle Hélène (Ludmillà Pl-

fôitt) 1.

TRfANON-LYRIQUE (Nord 33-62), â a S h. 30 tes. ©loohes de ÇOfftéyiMe. J THEATRE BU PETIT MORDE (Folies-Wa- 2

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:¡. En soirée

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f opéra. Reiacnë.

COMEDIE-FRANÇAISE (GUt. 02-22), a i'< h. 30 (abonnement série A) L/bmeUt veille, comédie en quatre actes, de G.-A. de Caillavôt et Robert de Flers (MM. Jacques GUilHSne, Lafon, Pierre Bertin, Pa.ul Nunia, Le .bôff, M. Bufresne; Mmes Suzanne Bëvoyôd, Berthe Bovy, Jane FabeT, YVônrie Ducos, Tonia Kavar, 'ifêne Brillant, Marcelle Cabafre, Edwige Feuillère).

OPERA-COiVIiQUE (Gut. 05-7&)^S S h. 30, m

«eUxièrhe représentation de l'abonnement se- 1

rj« La Fïàhcéè vendue (Mmes Ag-ntis, ht- j

Iprd, Lecouvreur, Perry, de Rauwera; MM. I ^iidfô Allard, Claudel, Hérent, Azémà,. de I Creus, Rousseau, Gilles, OtiiriaUlf). Chef 1 djorehestre, M.-Georges Laùweryns. H

ODEON (Dariton 58-13), à 8 h. 30: Vieil I Heiflelberg, pièce en cinq actes de WilKelm Meyer-Forster, traduction de MM. Maurice §

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PALAIS-ROYAL'. (Gut. 02-50), à 9 li. Une bonne fortune, de Yves Mirande et Charles-Henri Hirsch (MM. Louvigny, Duvallès, Paul Faivro, Léo-PéHiér, R.' Guillon, R. Lepers, Hennery.^Sarda, ^Gastal; Mmes Chrtsttaiie-Deïyne, jjj'reille,: Germaine Mlchel, Elm.re Vautler, Andrée Champeaux). PIGALLE (Trin, 94-50), à 9 heures: Judith, de M. Jean Giraudoux (Rachel Bérendt, Line Noro, Alcovpr, Ëscandre, etc.) (Première).

POTINÏere (Central 86-21), relâche. §/UfSf-SË6SeeS (tfiii. ëS-ilJ., â 9 h.: La Pomme, de M. Louis Verneuil (Harry Baur, Marthe Dérrniny, Charles Lorrain, Pierre Feuillère, Germaine Jade, Georges Clarins, André Béart, Marcelle Delasnè, Louis SçottK

è'ÂRAH-BERNHÂRDT (Arch. 66-70), a 8 h. 45 Ces Dames aux chapeaux verts, de M. Albert Acremani (Renée Bartout, Georges Bever, Snz. Courliaï et Allee Ttésotv.

STUDIO DES CHAMPS-ELYSEES (Elys. 72-44), à 9 li. 15 Le Chant du befoeau, de O.-M. Martinez Sierra. BiènS oisifs, un acte de C. R. Marx (.G. Barblérl, J. Lory, S Nlvette, Raymone et Ma-tbilion).- THEATRE DE PARIS (Trln. 20-44), à â li. 45, Jhari*us,de M. Marcel P'agnôl (Oranë demazis, Onafpiny P.- Bullàe.TolBOn, VilrHert et Bervaiy. •• ̃- ̃' ̃ TRISTAN-BERNARD, 64, rua;, dil: Soéfier (Lab. 21-'Ï9) (Compagnie Phoétt), 9 9 fc; Maison de Poupée, trois actes d'Ibsen (Georg'es è't Lùdinilla Fitoëfr, Nora Sylvère, Eve caSalis, Meiiy, Raymond Dagàhd, Jean Hort, Henry Gaultier, Adrien Troussel). VAniETES (Gut. 09-92), à 8 li. 36 i Plie ou face, de M. Louis Verneuil., (Mme Elvire Popëscd, M. André' Lefaur} MM. Gallet, Lluls, Larquey, Saint-Paul, Hlérônlmus; Mmés Siad. Slamé, Micheline Bernaut et Louis Vernïuiî).

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Notes et Informations

_-ij_

La discussion est toujours en instante, çmi s'est ouverts au sujet du répertoire de la Salle Favart.

Corrtcedia *ptf6 liait Mer >unë lettre de M. Charles Méré, ou celui-ci expose le point de vue de la Société des auteurs sur le contrat de l'Opéra-Comique.

Point de vuevipettémêht divergeant, on s'en dotitèi de celui dé M. Massoin et aussi de celui de- M. Michel Carré,

Oh conçoit- qu'nrr éèrtain àchàrnemertt marque cette polémique son issue dé^pend réxîstèhce rhême: uôW second Théâtre lyricjuè..•̃•" .;i -'̃ À i'Op^Ra. ïieriïâin. vendredi soir, dans Le Ptéttide ̃ àominicalj-yk "f'epùté dariseur Sergs Lifar, fera sa'- 'rentrée. La reprise û' Esclarmonde est d'éfiSiti'v.sment fixée au mercredi n novembre prochain-, c'est Mme Ritter-Ciampi qui .incarnera'" l'héroïne de l'œuvre de Massenet, àVéc M. Thill dans le rôle de Roland,

A ia CosfÉDïe-KfiAsriîAïSË. M. Pâiil Gerbault jouera demain,- dans La Tragédie d'Alexandre, pour la première fois; le rôle de Demaratus. M. Ohambreuil paraîtra dans le rôle de Philippe, qu'il a créé au cours d'une re'presefltatioh exceptionnelle qui fut donnée, à la Renaissance, de la pièce de M. Paul Ceniasy.

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Quant à Mlle Vera Kofèrié, elle jôuers, pour la première fois, samedi soir, le rote de Th. Gaiiàrrus dans £« Sattg Me Danton, A l'Opéra-Comique. Demain, Mlle Isabelle Allen et M, Fujiwara seront les deux principaux interprètes de La Vie dé bohème. D'autre part, La Fiàiltêè tèndiie, dont l'Opéra-Comique donpe ce soir même une représentation, sera jouée de nouveau dimanche prochain 8 novembre, en matinée. Au GymkÂsë. Aujourd'hui, à -2 h. 45, matinée de. L4 Route des Indes, l'impayable comédie de M. Harwopd, adaptée par M. Jacques DéVàU qui &t bien le triomphe de la drôlerie, de" -là gaieté et du plujs* ebafj mant é'moi. '̃. ̃ Toute la merveilleuse distribution du soir, avec l'exquise Alice Çocéà, l'çtmeelant Paul Bernard, l'eStfacfifdiriairë Michel • Simon, Mmes Jeanne Lion, Maria Ffomet, Rienzi Salâïacî'!MM. Bârehcey. :Arvel, André M

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Une .nia^inéë suppléiâéiitaire sera donnée, mercredi 11 novembre, au, Théâtre Mogador, à l'occasion de ja Jfête de l'Armistice: avec Là Vie PàrisiérttKr toujours interprétée, par les -grandes vedettes :̃ Tarie Marnât FéSx Oudart, Urban, Danielle Bréps, Dréàni Jeanne Sajnt-6lâni,er:, Rosé Carday, José Dupuis et Etehry-Lavernei

THÊATRg ÂNtbiHÈJ rf" Aujourd'hui jeudi et samedi, à 14 h. 1$ très t5récisfis, en matinées classiques (tarif spécial, très réduit) L'Mcalé des Femmes, de Molière, avec MM, Signotet (Arnolphéj, Bërthier, Raoul Marco, Henri Crémieux, Gëd LéClérçq, Jéaji Guitlet, Mmes Suzët Maïs (Agnès), Nita Malbeï et M. Dehelly (Horace) La Criti.que de l'Ecole des Femmes, de Molière, ave< Mmes Jeanne ProvoSt, Yolande Lâffon Jane Chevfelf MM;, Charles Dechamps Maurice Lagreriée, Henri Crémieux, Rdgei Bernard. Lé spectads sera présenté par M André-Paul Antoine. Samedi, en matinée même programme.

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Ce ïnatlni. a g h. 4' Enlise Î^otre-Darhè cérémonie à h, ,:Mémoirc, des M.cijfts colô riiàux Requiem) de Berlioz. Orchestre Co lônhe. Billets à l'Eglise. Ouverture d«5. por- tes à 9 heures. (Valmalète.)

En soirée A la Salle Gavcau, à 9'beurës, îiièmièr jrê dtâl du célébra pianiste Stephan Bergman

(Valmalète,) t,

A la Salle Chopin (Pteyel), lundi g no vembre. à g heures, récital de piano, Béa trice Osgood. Billets de 8 à *s franés, à 1: Salle, chez Durand et les éditeurs. Mercredi prochain 11 Jbvernbre, à 2 heu tes 30, Salle Gâvêau, concert donné pà « L'Aide à la musique »( avec lé graciéu: concours de Mmes La Candela, pianiste Fernande Capelie, violoniste de MM Achille Philipi organiste Louis Ruysser violoncelliste (Jii « QUâtûôr Vôêal > sd majeur, direction A. Sanvrezis et de 1 Or chestre de l'Association *6Mheétrale de mil siclens français (chômeurs), sous la direc tion de M. Lucien Wuffflssr.

Magdâ Tagliàfero donnera deux réci- tais, les 16 novembre et-içadécembïe, en soi

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s La ïéoiivertnrë de l'Unlvetsité des Annales

Elle sera brillan-te la saison de l'Uni^versité des Annales. Ëlle s'ouvrira le lundi 16 novembre. Déjà deux séries doivent être répétées les ,15 'Ganfé^rence d'Histoire et les 15 Galas dé Musique. Voici le programme de la.preinière semaine: t r Lundi 16 novembre, à 9 ]j,.# 'ji&ntc d'une monarchie. LUnis XVHÏ;"té rff•̃ mah Wwie'Viè' et A^ùné' Côuronhé;, côni érience paf TM° Heliri-Hobert, dfe"l\4t'aa '{, déttiië française,' i.aneieri bâtonnier. v Mardi 17 novembre, 3 h\ ;>iîibi^si 1830. tdints j)ar eux-mêmes. ï«3(J\/îjf4î dernière année des temps anciens, corïféfence par M. Maurice Dbhnay; <lë l'Adadêmit fi'ançaisç,_ Auditions. de Si," Lucien Iuigère", de l'Ôpérâ-Comique, et de Mme Mary Marquet, de la Comédie-Fj-aBÇalse.. `- ,.̃̃̃̃ Mcl'crédi 18 noVembre, à 3 h. Les Forces spirituelles de da Fmnbe, ûoafêrence par M, Edottard- Herriotj ancien i. présideùt du conseil.

Jeudi 19 novembre,, à 2 11. 45. Gala de musique Au jréjj'S dëé atnàntëê abandonnées, conférence par M. Henry Biddu. Mme (Jermaine Lubin. de l'Opél ra, accompagnée par l'orchestre des Concerts du Conservatoire, sous la direction de M. Philippé Gaubert, chaiîitera Armide, Ariane, et la grande scèiic finale du Crépuscule des Dieux. f A 5 h., cette conférence sera répétée 1 avec le même programme.

.• Vendredi 50 novembre, à. 3 h. Confidences d'auteurs le Roman et '• Nous. Pourquoi et comment on écrit. un Rôniiïn, conférence par M. André Maurois.

A 5 h., la conférence répétée Louis XVIII, par M" Henri-Robert. Confefehcia publiera toutes ces conférences. Pour tous renseignements, programme, location, s'adresser 5, rue Là'Bruy.ère, Paris.

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Chronique T. S. F. d T

Nord régional et Bruxelles français font, ce soir, de sérieux efforts pour la musique. d Au premier de ces postes, retenons les Tziganes de Filip Lazar, le Scherzo ca- <l priccioso de Dvorak, le concerto de ,violon •> de Sibelinsï Au second, les Musiciens de village de Mozart, et les Danses villageoises S de Grétry. Ces œuvres charmantes sont si 1: rarement jouées devant le micro qu'on a plaisir à les signaler et à louer les, postes t émetteurs. P.-D. Templier. ̃'

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Jeudi 5 novembre

MUSIQUE. National anglais, 12 h.: B Récital d'orgue. Midland régional, 13 heu- JJ res 15 Trios de Brahms et Haydh. Bu- ̃ carest, 19 h. 20 Cinquième Symphonie de Beethoven. Milan, Turin, Gênes, 19 h. 35 n Lualdi, Eick-Mangiaçalli. Nord régional. 19 h. 40 Concert Halle (Griffes, Sibelius, d ti Laznr, Liszt, Dvorak). Bruxelles, flamand, p 20 h.: Oratorio de Peter Benoit. Bruxelles en françaisr 20 h; Concert de l'I. N. R. d (Mozart, Gluck* Grétry).– Bucarest, 20 h. 5 x, 1, Schcenberg, Mozart. Prague, 20 h. Qua- 1 tuor de Faure et Quatuor de ftabaud. F Poste Parisien, 21 h. Concert (Haendél. d Bach, Beethoven, Mendelssohn,. Saint-Safns, 2 Wagner). > Muhlacker, 21 b. 35 Récital de d piano (Frescohaldl, Froberger). ̃• s MUSIQUE LEGERE. Làngenbérg, 19 h. J Airs populaires. Midland régional, 19 h.: F Valses. Radio-Paris, 20 h. Alibert et Jane Ares. Londres régional, 20 h. 1 Bruxelles en français, 21 h. National an- S glais, 21 h. 50 Musique légère russe. h Nord régional, 21 h. 45 Vaudeville.. c

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