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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1931-07-02

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 02 juillet 1931

Description : 1931/07/02 (Numéro 183).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k296646q

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LA POLITIQUE 1

Les silences de M. Briand Qu'adviendra-t-il des négociations ^Stp^ franco-américaines ? Elles continuent.

TjfS. Laborieusement, et lentement mais

elles se poursuivent. Quoi qu'il en

arrive, l'offre de M. Hoover aura fait surgir devant le monde un fait qui a paru nouveau la France n'a, pas commencé par tout céder. La France, courageusement, si mal en point soit elle, s'efforce de défendre ses intérêts et ses droits. Dans les deux Chambres, les reproches adressés au gouvernement, les craintes exprimées ont fait apparaître la volonté de rappeler à tous qui elle est l'amour de la paix à tout prix, qui nous a coûté et qui va nous coûter si cher, a laissé quand même au pays le sens de la dignité certaines façons de parler, l'apparence de certains procédés plus que la plaie d'argent réelle qui pjus est faite, ont provoqué chez nous des réac-

tîôris dê^taiiitr- ̃̃ ̃;̃̃ -̃̃'̃•

Qri ne se gênait plus. Le consentement de M. Briand était escompté par avance. Quelques douces plaintes « Me faire cela à moi. >> « On veut me décourager. » Et c'était fini. L'incident était clos. On a raconté que le premier mouvement de M. Briand avait été d'envoyer à M. Hoover des félicitations sans réserves pour son initiative généreuse, sans songer aux milliards que notre adhésion implicite allait nous coûter, ni à l'atteinte aux traités qu'ainsi nous approuvions ?. La réponse du président du conseil, telle qu'elle est, a donné l'impression que les yeux, ici, s'étaient désillés et que deux intérêts étaient par nous envisagés, celui de l'Europe, certes mais celui de la France, aussi, sinon d'abord. On nous avait invités à dire oui, dans les dix jours pour tout délai. Le délai est passé. Et la foudre n'est tombée ni sur l'un, ni sur l'autre des deux continents qui, si l'on ose dire, continuent leur échange de télégrammes si nous cédons, la preuve aura été faite, du moins, qu'il nous est permis d'avoir une opinion sur nos affaires et de parler librement, sans arrogance, non pas en peuple vainqueur, mais en peuple indépendant et la presse allemande, en ce moment, n'est pas plus insolente à notre égard qu'au lendemain de l'évacuation ou de quelque autre concession brusquée. Notre redressement étonne l'Amérique. Mais, à bon droit, nous nous sommes souvenus que la faiblesse n'a pas d'amis, qu'il vaut mieux être battus que de ne pas se battre, et que notre isolement est le fait de la politique passée, non de l'attitude actuelle. Par une coïncidence heureuse, notre bonne volonté résistante a été accompagnée, de l'autre côté de la Manche, des paroles d'amicale sympathie de M. Baldwin, et d'une légère détente dans le ton de M. Macdonald.

Cependant, M. Briand qui reste dans l'auto gouvernementale dont MM. Laval et Flandin ont pris le volant, M. Briand se tait. Il ne songe pas à descendre, il se tient immobile, énigmatique, à l'écart où on l'a mis. Est-il las jusqu'à l'inertie totale ? Pareille fatigue serait bien brusque. Le banquet de Gourdon, il y a quinze jours, a montré qu'il avait encore, pour discourir, de grandes réserves d'énergie. Qu'attend-il ? Il ne se résigne pas. Il est convaincu que ses collègues bientôt échoueront et qu'il faudra revenir à son système d'éloquentes capitulations. Ses amis disent déjà qu'il aurait tout arrangé, lui, par une conférence directe avec l'Allemagne. C'est possible. N'a-t-il pas arrangé l'évacuation à La Haye en avançant la date, et TAnschluss n'est-elle pas une affaire réglée par le dangereux renvoi au tribunal international ? De la même manière, quoiqu'un peu gêné par les questions de chiffres, il aurait liquidé « le plan frais », le plan Young, en quelques entretiens. Dans ses silences, un peu dédaigneux de ceux qu'il nomme avec bienveillance les petits jeunes hommes d'Etat, il prépare la revanche de sa politique qu'il croit seulement éclipsée. Mais M. Hoover nous a rendu ce haut service d'éclairer à tous les yeux la pente sur laquelle nous fait glisser la diplomatie briandiste.

La Compagnie générale transatlantique sous le contrôle de l'Etat

Le gouvernement, en la personne du président du conseil et du ministre de la marine marchande, est venu hier fournir des explications à la commission des finances et à la commission de la marine marchande de la Chambre sur le projet destiné à venir en aide à la Compagnie Générale Transatlantique. Ce projet accorde la garantie de l'Etat pour l'intérêt et l'amortissement d'un emprunt de 160 millions à émettre pour la Compagnie, l'Etat prenant en retour hypothèque sur les immeubles, les navires et les actions de l'entreprise.

Les ministres ont expliqué devait les deux commissions l'urgence du vote du projet, si on veut éviter le dépôt du bilan de la Compagnie Ils ont obtenu l'accord de la commission des finances, qui s'est bornée à faire spécifier, à la demande des socialistes, que le conseil d'administration devait obligatoirement comprendre, pour une moitié, des représentants de l'Etat, pour un quart des représentants des ports et des chambres de commerce et pour un quart les représentants des entreprises de navigation maritime.

Ces administrateurs ne pourront, en aucun cas, faire partie de conseils d'administration de sociétés filiales ou d'établissements fournisseurs de la Transatlantique.

Nos constructions navales devant le Sénat

Le Sénat discute aujourd'hui le projet de loi adopté par la Chambre au sujet des constructions navales de l'exercice 1931-32. Il est à souhaiter que ce second débat soit plus clair que le premier et ne laisse pas au public la même impression de malaise.

Des bâtiments dont la mise en chantier était demandée par le gouvernement, un seul, ie « croiseur de ligne », a fait l'objet d'une discussion. On se souvient que la Chambre, à une énorme majorité, a accepté le principe de cette construction tout en refusant l'argent qu'elle exige l'amendement Loucheur a spécifié qu'en ce qui concerne ce bâtiment,' les crédits accordés étaient des crédits d'études, et que le ministre devrait revenir devant le Parlement pour en faire approuver les caractéristiques. Le navire de 23.333 tonnes projeté ne satisfaisait personne.

En effet, de quoi s'agit-il ? D'entreprendre le premier bâtiment de ligne que nous avons le droit de construire, d'après les traités de Washington et de Londres, pour commencer à remplacer nos cuirassés vieillis. Tout le monde, ou presque, admet que ce remplacement est nécessaire. Mais les maxima actuellement fixés pour le déplacement des navires de ce genre et le calibre de leurs canons 35.000 tonnes et 406 mm. nous paraissant trop grands, nous avions proposé qu'on s'en tint à 23.333 ton- nes et 305 mm. Cette suggestion n'a pas été rete- nue d'après des renseignements dignes de foi, les Etats-Unis seraient disposés à admettre, à la conférence de 1935, des chiffres voisins de 27.000 tonnes et 340 mm., mais préfèrent ne pas s'engager encore. Il tombe sous le sens que la marine française, déjà réduite quant au nombre de ses unités, ne peut admettre de construire des navires individuellement inférieurs à ceux des autres nations ` nul ne saurait donc accepter le bâtiment de 23.333 tonnes à canons de 305, qui du reste ne correspondait pas du^out aux vues du Conseil supérieur de la marine.

Mais un fait nouveau s'est produit. L'Allemagne, qui n'a point participé au traité de Washington déterminant les catégories diverses des navires de guerre, a donné à son Deutschland, avec le déplacement de 10.000 tonnes auquel le^ traité de Versailles le limite, un armement de gros calibre que nous n'avons pas le droit d'installer sur nos croiseurs de même déplacement. Si nous voulons ,opposer un nouveau navire à celui-là, il nous faut donc, le .construire cqmme bâtiment de ligne. Seulement ne semble-t-il pas absurde d'y consacrer un tonnage double de celui du riàVire allemand ? Si ingénieux que soient ses créateurs, un tel écart n'est évidemment pas nécessaire.

La difficulté vient de ce que l'illogisme des traités conçus par les Anglo-Saxons nous conduit à chercher une solution unique pour deux problèmes très différents celui du navire de ligne proprement dit, et celui du navire à opposer au croiseur allemand. Or, toute solution qui est bonne pour l'un est mauvaise pour l'autre.

Il faut donc choisir, et non chercher un compromis impossible à trouver. Et le choix, dans l'état actuel des choses, ne peut se porter que sur un navire nettement supérieur, à tous égards, au croiseur allemand, et capable d'égaler tout bâtiment qui pourrait être construit ailleurs au cours des prochaines années. Il n'y a pas de temps perdu, puisque sa mise en chantier ne saurait avoir lieu avant qu'on ait fait des expériences nécessaires après une si longue interruption dans la construction des cuirassés. D'ici là, il est sans doute possible de fixer d'un commun accord de nouveaux maxima de tonnage et de calibre. Voilà un mois et demi que la commission du budget, à la Chambre italienne, a émis le vœu que d,es pourparlers soient repris à ce sujet entre Rome et Paris. Qu'attendons-nous pour régler ensemble cette question capitale ?

A. Thomazi.

EN MARGE

De l'air De l'air l

Goethe près de quitter ce monde demandait de la lumière. M. Robert Bellanger, qui est député, supplie qu'on lui donne, ainsi qu'à ses collègues, de l'air. Il vient de déposer une proposition invitant le bureau de la Chambre à installer, d'ici à la rentrée, un système moderne d'aération.

C'est un fait que l'atmosphère de la salle des séances est très vite irrespirable. On admire que des gens qui paraissent soumis aux règles communes de la physiologie puissent y passer des jours et des nuits. Mais on est bien forcé de constater que les résultats de cette macération sont détestables. Quiconque a assisté à un débat au Palais-Bourbon et plus spécialement à ce qu'on nomme une « grande séance » sait combien l'atmosphère malsaine, surchauffée, de cette « cuve » est pernicieuse pour le système nerveux de nos représentants. Les conditions antihygiéniques du travail parlementaire sont certainement l'une des causes principales de la qualité défectueuse de ce travail.

Louons donc M. Bellanger qui veut rafraîchir les idées de nos députés. Et louons-le deux fois puisque, dans sa proposition, il a pensé aux journalistes, qui subissent un air vicié qu'ils n'ont point sollicité des électeurs.. Ils seraient les premiers à 'profiter des bienfaits du système nouveau, car c'est par le haut de la salle où est située leur tribune que se ferait la ventilation.

Seulement, la proposition de M. Bellanger sera-t-elle prise en considération ? La Chambre ne s'est guère, jusqu'à présent, montrée favorable au progrès. Rappelez-vous son émoi quand on voulut filmer une séance. Le cinéma, quel scandale Pas davantage elle n'a pu adopter un procédé de vote mécanique et pratique. Ici même, notre ami Artigny, maintenant retiré dans un paisible ermitage et dont on s'apercevra un jour qu fut un précurseur sur bien des points, a soumis aux députés des suggestions qu'ils n'ont point accueillies. Il leur a offert une tribune mobile pour escamoter les bavards insupportables il leur a indiqué de siéger aux beaux jours et dans un jardin. Ils ne l'ont point écouté. Aussi l'on incline à penser qu'en dépit de leurs plaintes ils se plaisent dans le mauvais air.

Roger Dardenne.

l'

Post et Gatty

volent vers New-York

Les aviateurs américains Post et Gatty, poursuivant leur randonnée autour du monde, ont entamé hier la dernière partie de leur voyage. Après avoir atteint Edmonton (Alberta), les deux aviateurs ont repris leur vol pour New- York, où l'on a préparé en leur honneur des réceptions grandioses. L'envol d'Edmonton s'est effectué à 3 h. 39 du matin. Les deux aviateurs, qui ont fait escale à Cleveland à 16 h. 40, ont poursuivi peu après leur vol vers New-York.

L'HEURE QUI PASSE

J'ai voulu tout revoir. C'est toujours d'avance q|ie Ton" aime. Qui donc, ayant l'âme un peu bien située, aurait la lâche patience d'attendre la rencontre de l'objet qu'il aimera, et qu'il ne chercherait point s'il ne l'avait déjà trouvé ? Monsieur Taine, qui jusqu'à ma dernière pensée restera « monsieur » pour moi, et mon cher Paul Bourget m'avaient suggéré le désir d'Oxford bien avant que je franchisse le canal pour la première fois, et lorsque je pénétrai tout tremblant dans la cité merveilleuse du studieux loisir et des jeux, j'étais si prévenu, si préparé, si décidé à la chérir passionnément que ce fut l'affaire d'un coup de foudre. Depuis lors, sauf pendant la guerre, je n'ai point laissé passer de saison sans revenir en pèlerinage, ne fût-ce qu'une après-midi, aux lieux qui ont enchanté ma jeunesse, la seconde, hélas mais, avec les jeunesses, il ne faut pas compter. i 1.1

Cette année encore, je suis retourné dans la noble ville où tout n'est qu'ordre et beauté, où jadis, dupe à demi volontaire de la plus naïve mais de la plus séduisante illusion, j'ai cru voir se renouveler le miracle grec. J'ai erré par ces rues dont le calme séculaire est maintenant un peu troublé par le fracas des automobiles j'ai renoué connaissance avec ces pierres d'Oxford qui me sont toutes familières j'ai fait mine de travailler à la bibliothèque bodléienne j'ai revu la Jbelle rotonde de la'Radciifre Caméra, la cathédrale, j'ai revu là tour de Magdalen, la tour aux huit clochetons en dentelle de pierre, qui n'a point sa pareille au monde. Et puis je me suis reposé à l'ombre des ormes dans la grande prairie de Christ-Church et puis j'ai repris mon chemin vers le Cherwell et l'Isis, et j'ai laissé venir le soir, étendu au fond d'un bateau plat, dans une des petites criques de la Mésopo- tamie. i

Cette fois, ainsi que les autres fois, « j'ai voulu tout revoir », comme Olympio. D'où vient qu'il ne trouve que cendre et mélancolie dans « l'heureuse vallée » ? Il s'écrie

Que peu de temps suffit potir changer toutes choses 1 Moi, je m'écrierais volontiers, lorsque. je reviens ici « Rien n'est changé ». J'y retrouve toutes choses telles que je les ai quittées l'année dernière, l'autre année, il y a trente ans' et ces choses qui, ne changeant point, préservent aussi du changement ce qu'elles tiennent sous leur protection, sous leur influence, m'ont gardé intacte et fraîche, pour me la représenter une fois l'an, un beau jour de juin, ma jeunesse que je leur ai remise en dépôt. Ah c'est que le souvenir d'Olympio est celui d'un amour humain. Mon amour s'est attaché à des objets moins périssables..Sans doute, il n'est pas sans péché, sans adultère ce pays n'est pas le mien, avais-je le droit de me donner à lui ? Maïs, si je puis faire taire ce remords chimérique, quelle sécurité d'aimer des pierres très anciennes et des arbres dix fois séculaires Le seul moyen d'oublier que notre journée est brève, c'est de nous associer modestement à une œuvre durable des hommes, à l'œuvre éternelle de la nature. Il a vraiment vaincu la mort, l'octogénaire qui plantait, pour léguer un peu d'ombrage à ses arrière-neveux. On vient d'honorer sur l'esplanade des Invalides le bel arbre qu'admirait M. Taine. J'ai eu le regret de ne pouvoir prendre part à cette pieuse cérémonie; mais, le même jour, j'ai fait une station devant le marronnier qu'on appelle l'arbre de Reginald Heber, et j'ai, dans les water walks de :Magdalen, cherché l'ombre d'Addison, le long du sentier où il promenait sa rêverie quotidienne.

Oxford, 26 juin 1931.

Abel Hermant,

de l'Académie française.

La réponse de la Belgique donne satisfaction à l'Amérique

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Londres, 1" juillet. On mande de Washington à l'Agence Eeuter

On dément catégoriquement les bruits selon lesquels le président Hoover aurait suggéré la mise à exécution de son plan, que la France y participe ou non, par les autres pays intéressés.

On déclare, au Département de l'Etat, que le président Hoover n'a fait aucune 'proposition dans ce sens, il n'y songe même pas.

En admettant que les milieux de l'administration décrivent l'état des négociations comme sérieux, ils ne sont pas découragés et espèrent toutours que la France et l'Amérique arriveront à s'entendre.

On est satisfait à Washington de la réponse belge, qui tout en ne faisant pas de réserves, a marqué la volonté de la Belgique de penser aux besoins de la reconstruction de ses régions dévastées.

Dans une lettre adressée à l'ambassadeur de Belgique à Washington, M. Castle, sous-secrétaire d'Etat, dit que le gouvernement belge « est fidèle à l'esprit de coopération qui existe entre les deux pays. •»

LA PEOPOSITIO1Q" DDE IM. HOOVER LA RÉPONSE AMÉRICAINE Le gouvernement de Washington précise les points litigieux et indique les possibilités d'accord

Washington, 1" juillet. Voici le texte intégral de l'aide-mémoire adressé à l'ambassadeur des Etats-Unis à Paris, qui en a laissé copie,- hier, à M. Pierre Laval, président du conseil Le gouvernement américain reconnaît et apprécie l'esprit cordial de la réponse française à la proposition du Président en date du 14 juin, et désire maintenant passer en revue la situation telle qu'elle résulte de la proposition américaine rie la note par laquelle le gouvernement français y a répondu le 24 juin, et des négociations posté-'rieures qui ont eu lieu entre l'ambassadeur Edge, le secrétaire Mellon et les ministres français. Bien que l'offre faite par le Président ait été la conséquence directe de la crise qui, d'après tous les rapports, était imminente et reste encore imminente en Allemagne, le gouvernement américain est certain que le gouvernement français comprendra que le but des Etats-Unis était d'apporter au monde un soulagement général. Le Président croyait que son offre constituerait un moyen important de hâter la fin de la dépression économique mondiale actuelle.

Le simple but envisagé était d'alléger un des éléments de tension, dans l'économie mondiale, afin de consacrer l'année qui vient à la renaissance économique et d'aider à libérer les forces vivifiantes, déjà en activité, contribuant ainsi à l'atténuation de la crise mondiale de chômage, et à l'allégement des fardeaux qui pèsent sur l'agriculture, par suite de prix indûment bas.

Le monde entier a accueilli cette offre, dont l'influence sur le retour de la confiance est reflétée par la hausse des prix des marchandises et des valeurs, sur tous les marchés du monde. Toutes les nations intéressées ont déjà fait part de leur consentement.

La France, cependant, suggère certaines conditions qui, si le gouvernement américain en comprend bien le sens, lui semblent devoir empêcher le secours proposé en faveur de l'Allemagne et ne pas se conformer à l'esprit de l'offre présidentielle, qui envisage une suspension complète de tous les paiements de dettes intergouvernementales, pen- dant une période d'un an. Le remboursement des paiements différés Revenant sur un point laissé en suspens dans la proposition originelle, le gouvernement américain ajoute qu'à son point de vue tous les paiements différés devraient être remboursés à long terme, pendant une période d'environ vingt-cinq années, et rapporter intérêt, au taux moyen payé par les gouvernements créanciers sur leur propre dette publique à la fin de l'année budgétaire précédente.

La proposition du Président implique naturellement cette condition essentielle que les paiements envisagés par tous les accords existants seront repris à la fin de l'année. Ainsi la puissance de continuité de ces accords ne sera aucunement diminuée.

Dans l'ajournement proposé pour l'année qui vient des paiements dus, conformément à ses propres accords internationaux, le gouvernement américain contribuerait pour une somme totale de 262.000.000 de dollars, somme qui constitue la plus forte contribution de la part de n'importe quel gouvernement. Il reconnaît toutefois que des sacrifices importants devront être demandés à d'autres gouvernements, y compris le gouvernement français. Il est manifeste que c'est l'Allemagne, qui sera la première bénéficiaire du succès de ce projet, -étant donné que les paiements qu'elle est tenue de faire au cours de l'année qui vient, en remboursement des dettes intergouvemementales, se montent à 400.000.000 de dollars. D'autres nations et Dominions bénéficieront également de sommes beaucoup plus importantes, en plus des 400.000.000 de dollars. Il ne faut pas oublier que la situation économique en Allemagne est plus précaire que dans n'importe quel autre pays. Le gouvernement américain pense qu'en général toutes les nations bénéficieront de l'amélioration qui résultera pour leur situation économique de l'adoption du programme du Président.

Le gouvernement américain a accueilli avec satisfaction la déclaration de la France en date du 24 juin, par laquelle elle a exprimé son désir de collaboration, et particulièrement la déclaration précise que la France « s'abstiendrait provisoirement, pendant une période d'une année, de conserver tout paiement fait par le gouvernement allemand ». A ce propos, le gouvernement américain souligne encore le caractère provisoire dit projet du Président.

Le gouvernement français insiste cependant, pour le principe, pour que les réparations inconditionnelles, se montant à environ 131.000.000 de dollars par an, soient payées, afin qu'il n'y ait aucune solution de continuité dans le paiement des annuités inconditionnelles.

Le gouvernement américain est disposé à admettre ce point de vue jusqu'au point de consentir d ce que les paiements soient e f f ectués à la B. R. I., à la condition que ces sommes soient immédiatement prêtées à nouveau au gouvernement allemand. Le principe de la continuité des paiements serait ainsi maintenu, et, en même temps, les ressources de l'économie générale de l'Allemagne ne seraient pas épuisées.

Points d'accord et divergences

Les gouvernements américain et français semblent être d'accord sur deux points de haute importance

1° La France renoncera à garder toutes sommes versées par l'Allemagne pendant une période d'un an

2° Le principe de la continuité des paiements pour annuités inconditionnelles est reconnu, tout en assurant à l'Allemagne un allégement complet de ses charges.-

Il resterait donc quatre points sur lesquels lesi deux gouvernements ne seraient pas d'accord 1° Le gouvernement américain croit comprendre que le gouvernement français désire que la B.R.I. prête, à nouveau, les sommes versées à des firmes industrielles et financières, plutôt qu'au gouvernement allemand

Le gouvernement américain pense que ceci serait incompatible avec la proposition du président tendant à apporter un soulagement aux gouvernements, car la proposition française n'apporterait au gouvernement allemand aucun allégement direct.

2° Le gouvernement français suggère que 25 millions de dollars des paiements inconditionnels versés à la B. R. I. soient rendus disponibles pour être prêtés aux pays de l'Europe centrale, plus particulièrement à ceux dont les budgets seraient affectés par la suspension des réparations. Retirer cette somme à l'Allemagne serait une violation des grandes lignes de la proposition du président, visant à suspendre tous les paiements de dettes intergouvernementales. De plus, l'inconvénient évident de cette exception à la proposition du président est que, si d'autres pays l'ayant déjà acceptée soulevaient une proposition similaire, en ce qui concerne des prêts à des pays quelconques, il serait pratiquement impossible de concilier toutes les divergences de vues. Ne serait-il pas possible de maintenir intact le principe de la proposition du président et le soulagement relativement peu important qu'elle comporte ne pourrait-il pas être accordé à certains pays. par une action concertée des banques centrales, ou par l'intermédiaire de la Banque des Règlements internationaux?

3" II y a une divergence de vues entre les deux gouvernements, relativement au temps pendant lequel le remboursement des paiements suspendus sera effectué. Sans cependant modifier, à l'heure actuelle, l'opinion qu'une période de vingt-cinq ans est une limite de temps raisonnable, le gouvernement américain ne pense pas qu'il soit impossible d'arriver à une entente sur ce point, à condition que les autres questions puissent être réglées, surtout si aucun remboursement ne doit être fait, pendant les deux années à venir, comme il est suggéré par le gouvernement français mais, naturellement, la même période s'appliquera aux paiements valoir sur la dette américaine. 4° La question comportant les plus grandes difficultés est celle qui est relative aux fonds de garantie. Le gouvernement américain reconnaît qu'aux termes du plan Young la France est tenue, en cas de suspension du paiement, par l'Allemagne, des réparations conditionnelles, de verser, sur demande de la B. R. I., une somme d'environ 125.000.000 de dollars, qui serait partiellement utilisée à augmenter les paiements que d'autres créanciers recevraient, pendant le cours de la période de suspension.

La suggestion de la France en ce qui concerne le fonds de garantie peut être envisagée de deux manières

a) La France tient à s'assurer que la suspension des paiements pendant l'année prochaine ne l'obligera pas à verser le fonds de garantie à la B. R. 1. Le gouvernement américain comprend les préoccupations de la France en ce qui concerne cet aspect du problème. Il pense que cette crainte est sans fondement, car, en cas d'acceptation par tous les gouvernements de la proposition américaine, ii ne pourra être question, pour aucun gouvernement créditeur, de réclamer le paiement de sa créance. Si la France éprouve cependant quelques craintes à ce sujet, les autres gouvernements intéressés devront s'employer à la libérer de ce!i<; anxiété.

(Voir fa suite eu troisième page)

LIRE EN CINQUIEME PAGE

Un Grand Latin Paul Adam, par M. Louis Bertrand, de l'Académie française.

Les pensions

de la Guerre

Par le Général HELLOT

La loi promulguée le 31 mars 1919 a modifié la législation des pensions des armées de terre et de mer quant aux décès survenus, aux blessures reçues et aux maladies contractées ou aggravées en service. Il faut la distinguer de la loi du 14 avril 1924 qui a réformé le régime des pensions civiles et militaires pour ancienneté de services, alors que la première s'applique aux pensions d'invalidité. Pension de retraite et pensions d'invalidité peuvent d'ailleurs se cumuler.

Ces deux lois fondamentales émergent parmi les trop nombreux textes régissant le régime des pensions ou s'y rapportant. Plus de cinquante lois ont été promulguées depuis la guerre, auxquelles s'ajoutent les règlements et instructions pour leur application. On appréciera la manière dont travaillent de nos jours les pouvoirs publics, en opposant à ce véritable maquis de textes le petit nombre de ceux qui ont paru entre le 11 avril 1831, date de la loi sur les pensions de l'armée de terre, et la guerre de 1914 en comptant bien, on en trouve une dizaine s'échelonnant sur une période de plus de quatre-vingts ans. Cette comparaison en dit long sur les méthodes actuelles de travail, surtout si l'on considère que la liste des textes législatifs se .référant aux pensions n'est pas close elle ne manquera pas de s'allonger encore par le fait de propositions nouvelles dues à l'initiative parlementaire. D'autre part,- les textes en vigueur, qui souvent ont été modifiés en séance par des amendements insuffisamment étudiés et hâtivement rédigés, révèlent des imperfections, des lacunes, qu'il faut ensuite corriger par de nouvelles dispositions législatives.

Le présent article se limitera à l'examen de


certaines conséquences de la loi de 1919. Elle* débute par une déclaration solennelle..«'La République, recoanaiksante envers ceux qui ont assuré le salut de la patrie, reconnaît le droit à la réparation des préjudices subis par les victimes de la guerre.» Tel est le sens, sinon le: texte exact d'une phrase qui laisse supposer que la loi s'applique exclusivement aux victimes de la grande guerre. Pas du tout il ressort, des articles suivants qu'elle est applicable à tous les contingents successivement incorpores, comme aussi aux gradés de carrière. Il eût été beaucoup plus logique de limiter ses effets à une période déterminée cela eût du même coup diminué les abus dont nous allons parler. La loi admet la présomption d'origine pour les maladies, aussi bien pour leur aggravation que pour leur début. L'aggravation confère les mêmes droits elle est censée avoir été causée « par le fait cm à l'occasion du service ». La présomption d'origine est acquise au malade, sauf à l'Etat à faire la preuve contraire., Dans les premières années qui ont suivi la mise en vigueur de la loi, on dut à peu près renoncer. à se.servir de ce correctif il y avait tellement de dossiers à examiner Aussi les abus auxquels donna lieu l'application généralisée du principe de la- présomption d'origine, ont discrédité le régime des pensions. Si la reconnaissance du pavs doit aller aux blessés, aux gazés, à ceux qui sur le front ont contracté des maladies, si l'on ne doit pas leur marchander une pension qui n'est que la faible réparation des services qu'ils ont rendus, il est scandaleux d'avoir attribué des pensions à des hommes qui, mobilisés à l'intérieur, loin des dangers de la guerre, ont bénéficié de la présomption d'origine pour des infirmités ou des maladies antérieures à la mobilisation. On est alors arrivé à ce joli résultat que des myopes ou des rhumatisants, mobilisés aux écritures dans un bureau, ont pu obtenir des pensions équivalentes à celle d'un amputé. Et combien d'autres exemples pourrait-on citer, concernant les diverses maladies de l'organisme

Le texte primitif soumis aux délibérations de. la Chambre n'accordait la présomption d'origine que pour le temps de guerre c'est par voie d'amendement qu'elle fut étendue au temps de paix. Toujours 4es, surenchères.! C'est pourquoi les lois de recrutement ont dû se: garer des abus possibles celle de. 1.928 édicté que les militaires présents sous les drapeaux l, ne bénéficient de la présomption d'origine qu parti;' de la fin du troisième mois de présence au corps. Telles sont les précautions qu'il faut prendre contre l'application de textes dangereux, et encore ne suffisent-elles pa.s On a tendance à supposer que la liquidation des pensions de la guerre est achevée. Il n'en est rien. Un député a posé au ministre, en 1930, la question suivante Combien y a-t-il eu de demandes nouvelles en 1928 et 1929 ? » Réponse en 1928, 290.870 pendant les dix premiers mois de 1929, 161.389. Le député demandait aussi que fût faite la discrimination entre les blessés et les malades. La réponse est restée muette sur ce point, mais il y a gros à parier que les demandes nouvelles de pensions pour-maladies constituent la grande majorité. Regardant autour d'eux et constatant que des. pensions sont accordées à des hommes qui n'ont jamais été au front, et dont la maladie ne peut manifestement pas être attribuée aux fatigues du service, beaucoup se disent e Pourquoi pas moi aussi ? » Et l'on se pré-' jsente à tout hasard devant la commission de réforme. Aujourd'hui, les pensions de la seule loi de 1919 figurent au budget pour une somme voi-: sine, de ^[milliards. La ( période, des^exeédents? budgétaires "étant passée, ï'accïôïssémerit fccm4 tinu des chapitres qui correspondent ù ces^-pen-i sions n'a pas manqué de provoquer des înqoié-; tudés et aussi des protestations contre l'assimilation des malades de l'intérieur aux blessés; et aux gazés. Les vrais combattants sont les premiers intéressés à ce que l'on abuse un peu moins de la présomption d'origine aussi certains de leurs journaux réclament-ils la révision des pensions de guerre. Il est temps de freiner le flot des pensions ne cesse de grossir pensions d'invalidité, pensions de veuves et d'orphelins, pensions d'ascendants on prévoit plus de 180.000 pensions nouvelles à eon-,Céder pendant l'exercice 1931-1932. :• Ce serait une illusion de penser qu'il est possible de reviser les pensions accordées à titre définitif les titres remis -aux intéressés ne paraissent pas, en droit strict, pouvoir être an'jaulés, sauf en cas de fraude caractérisée. Du moins serait-il possible de reviser les pensions temporaires, lesquelles ne sont transformées pensions définitives qu'au bout'de quatre ans. Et puis, il appartient au gouvernement de prendre l'initiative d'un projet de loi modifiant certaines dispositions de la loi de 1919, afin de mettre un terme aux abus. Gomme il y a peu de chances que le gouverneniént soit encouragé dans cette voie et s'oùlcnii par le Parlemérit7il lui sera facile d'en appeler à l'opinion-publique, en. l'éclairant au moyen des statistiques du ministère des pensions. Les Parisiens sont fixés à cet égard, eux qui voient trop souvent de solides gaillards brandir une carte de priorité pour monter en autobus, puis sortir de leur poche un carnet de tickets à prix réduit. Le gouvernement ne manquera pas non plus de l'appui des grands mutilés, dont les allocations pourront être relevées grâce aux économies faites sur ceux, et combien nombreux, qui usurpent le titre d'invalides de guerre.

Général Hellot.

La « guerre d'usure » du textile Roueaix, le' juillet. La déception a été très grande, ce matin, dans tous les milieux patronaux et ouvriers, à la nouvelle qu'une fois encore avaient échoué les pourparlers engagés hier au ministère du travail, puis au ministère de l'intérieur. On avait le plus grand espoir que M. Laval aplanirait cet interminable conflit.

La situation est devenue, en cette quarante-quatrième journée de grève, ce qu'elle était le 18 mai, et le conflit prend nettement le caractère d'une gurre d'usure. On croit cependant que les industriels indépendants du consortium seraient décidés à faire leur la proposition Laval, qui pourrait amener à bref délai la reprise du travail dans un certain nombre d'usines.

.r~

Le vampire de Basseldorf sera exécute ce matin Berlin, Ie" juillet. Le gouvernement prussien a rejeté la demande de grâce de Peters Kurten, je vampire de Dusselelorf. L'exécution a été fi>;ée à jeudi matin, fi heures, et aura lieu à Cologne, car' la prison de Dusseldorf ne possède pas de guillotine,

.L'Çà et îà

<c? a~ jt.~?s<

̃~(Jl En raison du conseil des ministres, qui a Heu ce matin, les audiences de M. Mario Roustaii, mi-

nistre de l'instruction publique, sont reportées à

«rie date ultérieure.

-rf Hier s'est ouvert, à la porte de Versailles, le concours des animaux reproducteurs de la fâcè fche'valine.

Lès Cbiïrs, les ÀmbassàdîéM, le Monde et la Ville

Sa garÂeri-party

de /'arqbassadè d'Jînglëierre "̃̃ La garden-party donnée, hier, par S. Exe. l'ambassa- j i deor d'Angleterre et lady Tyrrell fut aussi brillante,,aussi < nombreuse que réussie. Dès cinq heures, une assistance des plus élégantes, reçue' par l'ambassadeur et l'ambassadrice, avec-' leur, exquise bonne grâce, si appréciée, se répandait sur les pelouses et sous les magnifiques ombrages du jardin, tandis que la musique de la garde républicaine se .fait entendre au cours de la réception, favorisée par ttn temps magnifique. II. est impossible de citer les innombrables personrta-. j n lités qui assistaient à cette belle réunion citons au hasard r .U

..S, A. la princesse Vigo de Danemark, LL. AA. le

$, A. la princesse Vigo Panem~il~, LL.'kA. xé. le

prince et princesse Amarzit de Kapurthala, S. Exe. le

ministre de Portugal et Mme de Gairra Ochoa, S. E\c. le ministre de Colombie et IMles de Vasqaet Cobo, S. Esc. M. Guani, ministre de l'Uruguay; S. Exc. le ministre t de Perse; le général GoUraud, gouverneur militaire dé' Paris; baronne de Gaiffier d'Hestroy, Mme de Chla- powska, Mme Edge, duc de Doudeauvillë, princesse de La Tour d'Auvergne, née Pleumartin; comtesse Gréffulhe, duchesse d'Audiffret-Pasquiër, princesse de La Tour d'Auvergne, née "Wagrani; marquise de Cr'ussol,- Mme P.-E. Flandin, duc e't duchesse de La Force, com- tesse G. de Caraman-Chimay, duc de Montmorency, ̃ princesse Octave et princesse Marie de Broglie,- duchesse ̃ de Duras, marquise de Saint-Paul, princesse Aymon de Faucigny-Lucinge, princesse Marguerite de Broglie, comtesse Gabriel de La Rochefoucauld, duchesse de Polignac, comtesse de Durfort, comtesse et Mlle de Viel- Castel, princesse Rogarien de Faucigny-Lucinge, comtesse., de Gontaut-Biron, née La Rochefoucauld,, AI. Abel Hermant, de l'Académie française; baron et baronne Ed. de Barante, vicomtesse Curial, amiral et Mme Dume^nil, Mme Patino, marquise dé La Tour du Pin, Mlle Hélène Vacaresco, comte et comtesse de Rohan-Chabot, princesse Albert de Broglie, comtesse Carl Costa de Beauregard, marquise de Pontoi-Pontcarrë, marquise et Mlle d'Auray de Saint-Pois, général et Mme Le Rond, comtesse de Villeneuve-.Bargemon, comtesse Melchior de Polignac, S. A. le prince Samad Khan, M. et Mme Bonnefous, marquis et marquise de Sayve, vicomtesse de Rochechouart, marquise de Ranst de Saint-Rrisson, marquis et marquise de Brazais, comtesse Jean d'Andigne, le président et Mme Lescouvé, Mme Puul Dupuy, comte et comtesse de Rougemont, comte et comtesse de Laugier-Villars, baronne de.Turckheîm, Mme^shitch, comtesse Lepic, comtesse Joachim de Dreux-Brézé, M. P. et Mlle de Fouquières, baronne de Barante,. née Solages général et Mme 'Lasson, comtesse de Ligïiivittë, cq'rtite'sjse, A.; de Bertier de 'Sauvigny, mârqujse, de.toligny-ÇlhàV, tillon, comtesse B. d'Aramon, mârquiç' et^rnarquisé' de Praeomtal, baron et baronne de Ryckman de Betz, vicomte et vicomtesse d'Arjuzon, comte et comtesse d'Yanville, comte et comtesse Brùneel, comtesse d'Arjuzon, comte et comtesse Allard du Chollet, Mme A. de Neuflize, Mme P. Sabatier d'Espeyran, comtesse J. de Dreux-Brézé, baronne d'Entraigues, comtesse Aymar de Dampierre, comte et comtesse Gabriel de Lastours, Mme Merzbach, marquise de Ludre, baronne Ch. d'Huart, comtesse Joseph de Bremond d'Ars, marquise de La Chapelle-Crosville, marquise de Solages, cohi'te et romtess* de Sayve, comtesse de. Quénetain, Mme Achille Fould, comtesse de Lapeyrouse, Mlle da Silva Ramos, baron de Zuylen, colonel et Mme Bentley Mott, comte et comtesse A. de Méhérenc de Saint-Pierre, comte et .comtesse À. de Talhouët, comtesse L. d'Estourmel, Mme J. Balli, marquise d'Argent, baron G. de Grandmaison, comte et comtesse de Peyronnet, marquise de Moussac, comtesse E. de Bonvouloir, Mme L. de Seynes, M. et Mme Dussaud, Mme Rutherfurd Stuyvesant, Mme Archdeaccn, comtesse de Bernis, comtesse de Lhomel, comte et comtesse Pecci Blunt, Mme Drexel, le ministre grec et Mme Frangulis, baronne de La Barre de Nanteuil, M. et Mme Jacques Stern, baron et baronne Robert dé Foucàucourt, marquise de Ludre, baron et baronne de- Vîlliers-Terrage, baronne Robert et Mlle de Rothschild, M. et Aimé Patino, vicomte et vicomtesse >1U Peloux, comtesse d'Hautpoul, née des Roys M. et Mme de Gossellin, M., Mme et Mlles Botelte, Mme Levée, baron et baronne Fouquier, baronne de Nioaç, M. et Mme Permezel, 'baron et baronne A. de Vitrolles, Mme Béchetoille, Mme de Pommereàu, comte et comtesse de: La- Frégéoliëre, baron et baronne F. de Grandmaison, .Mme Jamës"Bey7 Mlle" de Soucy, JVLmei'.W. Blumenthali comtesse -La -Lau- rencie, Mme H. Neal, Mme- H.1 Cauvainet JVlllè Isabelle Singer, Mme Chase Gasgrain, comtesse A. derCont-ades» Mme Lazare Weiller, comtessa-xie Montcabrier, marquise d-'Arcarigues, comte et comtesse de Merlemont, comte et comtesse de Sachs, baronne de Guerre, baronne de L'Espée, comtesse du Cor de Damrémont, baronne de Mandell d'Ecosse, Mme Bigno'n, baron et baronne A. de Vitrolles, Mme Burke Roche, Mme Manès,, marquis et marquise de Fay d'Athies, comtesse E. de Bonvouloir, comte et comtesse Mathéus, vicomtesse de Buysieulx, comte et comtesse Meunier du Houssoy, Mme Ernest Mallet, comtesse Orlowska, Mme J. Wencker, M. et Mme A. de Fougères, comtesse de Mâuléon, vicomtesse et Mlle du Pontavice, comtesse de Renesse, Mme R. Pate-

TEMPS PROBABLE Région parisienne. La situation évolue vers une période orageuse. Ciel nuageux avec éclaircies, an peu brumeux le matin, averses ou orages. Vent du secteur Est faible à modéré. Température stationnaire. Maximum 280.

France. Sauf eu Bretagne et dans le Nord il fera beau, ciel miageux avec assez^belles écaliraes, averses ou orages ces Rentiers seront surtout abondants dans la moitié Sud. Vent Nord-Est modéré dam le NordOuest ,̃̃̃' secteur Sud*Ouest variable -faible- -à-^tnodéréy'-eë^ leiys., Température généralement stationtuiite- ui,y Aviation. a) RÉGioN'"pARistENNË;'f1ï'/éî««iîjë»À;' par nuages moyens et assez bas avec éclaircies, orages ou averses, surtout au sud-est de la région. Vent du secleur Est, 30 à 35 kilomètres à l'heure. Visibilité moyenne. b) Vers Londres^ Bruxelles, Coiàign^: ia"En France, comme dans la région parisienne. 2" Au delà, ciel nuageux avec, belles éclaircies par nuages orageux assez bas, rares orages. Vent variable, 20 à 30 kilomètres à l'heure. Visibilité assez bonne.

c) VERS Strasbourg.: Comme dans la région parisienne.

d) Vers Lyon, MarSëihe Ciel nuageux par nuages moyens et bas, averses ou orages. Vent du secteur Sud, 30 à 40 kilomètres à l'heure. Visibilité moyenne. Manche. Ciel nuageux avec éclaircies, im peu brumeux le matin, rares orages. Vent variable faible puis Nord modéré.

Méditerranée. Ciel nuageux avec .assez belles éclaircies, averses ou orages. Veut dit secteur Sud-Est modéré ou variable.

Côte d'Azur, -r- Comme en Méditerranée.' Côte basque. Ciel nuageux apec averses, ou ̃ orages. Vent du secteur Nord-Ouest modéré* Une Association de' descendants h; des soldats de Ï7924BÏ5 ,Une association des descendants des soldats de la. République et de l'Empiré (1792-1815) est en vole de formation.. Les descendants des officiers, spus-'of liciers et t soldats ayant pris part aux campagnes de 1792 à 1815 sont priés d'envoyer leur adhésion de principe avec leur nom, adresse, et, si possible, leur filiation, à M, G. Démanche, homme de lettres, 43, rue Laffitte, Paris (9e), pour la. constitution (̃'une association amicale sans aucun caractère

politique.̃̃-•

Cette association, fondée sur le culte de communs souvenirs, a .pour, but l'entr'aide éventuelle, la conservation des reliques, .la publication .d'archives, inédites, l'entretien de monuments et tombes délaissés, en Fraiice et à l'étranger, -etc.

nê-trè-, -.comte René d«,Moatï. dejg&zé» MM, Vieugiié, Mass,, comte de Louvencouft, A. de Fouq'uières', marquis de Migré, baron Jean de "S c'y, 'vicomte R. de Blois, M. G.-L. Pringué, comte O(ry de,Saint-Scrnin, MM. Guy de Saint-Rémy, Jean-Joseph Waneker, etc.. l,efc Cours '< j,

Les souverains italiens ont rendu visite, hier, à S. A. R. le" Duc d'Âoste -et gont repartis ensuite pour San Rossorç. ~i'

L'état de l'auguste roala.de/, est toujours grave le dernier, bulIetuJ annonce que les conditions n'ont pas changée

Monde officiel M. J.-J. Ruckl, l'éminent homme d'Etat tchécoslo-

vaque, et Mme Ruckl ont offert, avant-hier, un grand

dîner1 en l'honneur de M: Qécar Butter, consuî général 1 de Tchécoslovaquie, réc'em'ment nommé à Paris, et de Mme Butter. Parmi les convives '«^trouvaient de nombreuses personnalltés politiques- 'et littéraires que M. et Mme Ruckl accueillaient avec leur bonne grâce bien connue. Dans le Monde `

Soirée dansante -très restreinte, samedi dernier, chez la marquise du Boutg de Bozas;, pour les, amies de ses filles. et belles-filles, avec attractions et souperdans le jardin. '"̃̃.̃:̃ -i.' .'̃̃ ̃ Parmi lés,, i-hvités S. ,A.. R. là Princesse Sixte de Bourbon-Parme, S. A. R. ta Princesse Marina de Grèce, duchesse de' Doudeauvillë, duçhe&se.de Crussol, marquise de C'réWe-, comtesse 'dë-Granâtd;- princesse Hélène de La TrémoïllCj mà'rqùîsetde Gànayirnàrquise de Blàcas, comtesse Em. de La Rochefoucauld, princesse H. de Ligne, princesse Jean 'de Carànian-Chimay,; princesse A. de Broglie, comtesse' de Maillé, comtesse d'Ursel, pripeesse Guy de Poltgnac, comtesse d'Aiidiffret-Pasquier, comtesse de Moustier, comtesse G..de Castellane, baro-nne Edouard de Rothschild,: comtesse de Rosanbo, Mrs Cavendish Bentinck, baronne Robert de Rothschild, marquise de Pontcharra,. comtesse A. de Mun, vicomtesse .d'.Origny,. Mme A. Vagliano, duc de La Trémoïlle, duc de Luynes, duc de Guiche, marquis de Praeomtal, marquis de Bonneval, marquis de Brissac, comté de Gramedo, comte de La Roehefoucauld, comte de Noailles, prince Ch. de Broglie, baron Maurice de Rothschild, MM. André de Fouquières, Guy de Rothschild; Dupuy, Otis, Ste'rn, de Yturbe, Faure, etc. ̃ ̃ Naissances ̃_ .ii.i_ ̃ La comtesse de Montblanc, née Meaux, a heureusement mis au •jnôadfe' ua,M$$ Çh^hîl-Jiîbert. ;24 juin, I«|^ènk«r?(g*l^uéV: ̃•:fe*.S**i**ï M. René Liger et madamernée Glotiide Rocherand. :sont heureux -jde iâifie^art de^la. naissance, de leur fils

Michel. 7;

CerCliS- ^̃<i.7'X;;xiU..<i:' ̃'̃̃̃: -'̃'̃

Le programme des après-midi, demeure chargé, au Polo de Bagatelle. "̃' Hier mercredi, avaient lieii deux matches entre équipes d'officiers de cavalerie pour \les- éliminatoires du championnat militaire de la région parisienne.

Aujourd'hui jeudi, à trois heures et demie, présentation des chiens de luxé. Le comte Giary préfidera le jury'; le comte de Gfamon-t et'îé marquis ds Jaucourt, vice-présidents du Polo, recevront.

̃̃ A cinq heures, grand match pour le Challenge Ctip, dans lequel figurera Tëquïpê'dé'iM. de Monbrisori. 'Vendredi, deuxième1 journée du championnat militaÏTe; niatches de cinq à sept heures.

.r– -.A l'occasion de la grande semaine des nations américaines, organisée par :le.-Gomité France-Amérique, M..Louis Gillet; conservateur au musée de Chaalis, fera, demain vendredi, à dix-sept heures et demie, une conférencé à laquelle- assisteront .les ambassadeurs et ministres étrangers, en l'hôtel" de M. Jean Charpentier, dans 1$ cadre de l'exposition des cent/peintres et vingt-cinq sculpteurs ..français d'aujourd'hui, .organisée par M, Henri Verne, directeur des Musé.ès nationaux M. F. Carnot, président de l'Union centrale des arts décoratifs; M. Paul Vitry, conservateur au mueée du 'Louvre,- et.par le Comité des arts du syndicat d'initiative de Paris. La conférence sera suivie d'un thé offert par W. et Mme Jêin Chaipeatier en l'honneur des hôtes du Comité France-Ame:rtque 1 ̃ ij l

̃Mariages ̃• “̃ ,Ci

ÎT7-: Le..3Q jjiip a -été, pélfibrê, .en l'église- Notre-Dame de Grâce, de Passy, le mariage de Mlle Nicole de SaintGuilhem âve'c'le cornfe Pa-ul de Vulpian. Les témoins étaient, pour la. mariée: le comte Ceorges de Saint-Guilhem et le baron de Douvres, ses oneles; pour le marié le comte Edme de Vulpian, son frère, et le docteur Bariety.̃

Monseigneur le Duc' 'de- Guise avait daigné se faire représenter par le général comte de Gondrecourt. On annonce les fiançailles de Mlle Paule Lacapelle, fille du "général gouverneur de Metz, commandant la 6" région, et de Mme Lacapelle, avec M. Léo Teyssot, ingénieur des Arts et Manufactures.

̃ TNS.ÏÂNTÀTs'È

"ri- '̃"̃ R P. DGNCCEtJR ,;J

Quia brûlé Jeanne d'Jtrc? ¡.

La. grossièreté anticléricale.a, inventé' cette calomnie: « Jeanne d'Arc brûlée par FEglise. » On dirait aussi injustement que tel meurtre a été commis par la France, parce que plusieurs Français y ont participé. Qui a brMé Jeanne d'Arc J.. Les ..Anglais,, avec la complicité de quelques Français, prêtres et laïcs. Tel est le verdict de l'histoire qifë* le R. P. Doncœur' établit en une décisive brochure, dont la densité et -la limpidité, font un petit cnëf-d'ceav*re. Au vrai, nul n'était mieux -«fmé"pet»i-tiraiter--paTeil"&«-}et -que l'a-Htettr-de-la-^presH^ ^gieuse Chevauchée, qui .su .reno.uyelçr ^'tetoire,,de,. Jeanne, alors qu'on crqyaff.qùe tout était -dift ̃ °

LA 5AI3ÔN

V ̃• .<v^ ̃̃ D'EVIAN

A l'Hôtel Splendide, parmi les tlernières arrivées Lady A. Carden, M,. -Alfred :iVj0nnard, Mrs E. Holzman, M. et Mme M. Berdin,. M. de Souza Sampaio, M. H. Sawyer, Mme G. Charpagne; M. Holzman, Mrs K. îîeasbrouch, M. et Mme Pilhouet,- Mme et Mlle de Becker, M. J. E. Gârratt, M. et Mme A. Mikhelson, M.A. Williams, etc. .:̃ '̃• ̃

;•; ̃ ̃>̃̃ ̃• >̃̃?' D'AIX-LES-BAINS

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Remarqué parmi les dernières-, arrivées à' l'Hôtel Mirabeau •:̃ ̃ <v

Mrs 1.'C. Baldwin, 'Mme S. Berlin]?, Miss J.- Blaker, Mrs C. J. C. Bloemen Hell" Mme'M. Bozzi, Mme C. Brière, M. Ch. B. O. Clarke, Mrs et M. C. Crary, Mrs et Miss J.: Creed, M. et Mme G. Dœùillet, Mme et -M. L. Fisher, Mrs MljP, Goo.clrich, baron A. de Gunzburg, Mrs E. Heaton, Mrs. M. Jamieson, Mrs E. KelLy^. Mme M. Langlois, Mrs M. Lazarus, sir É. Lucas, Mi H. Martgen-,die, Mrs M., Mesny D, .Att, Mme et' M. L. Misme, M. L. Perrot, Mme et Mlle 'R. Itéin,: Mrs E. R'ogers, Miss E. Russell, Mrs F. Rydçn Mrs C. To'wnbridge, Mme et MV C Weisbrem, Mrsn et :W: A.' 'West, Mrs et M. J. Wilson, Mrs et M. W. Van Wyck, Mrs Neilson Bro\^n, Mme et M. F. du- Vîgriïù.^ Mrs" et M.> E. R. Sewell, M. ^W.;Pérsy^:Mrs;a:Kl,Ç^Baily. etc.' .̃̃

;.1- ;b^jjAjgj»^j^|j^»jÇiÀjfg''

De nombreuses .persdrthâlités très connues dans le mpnde. dos sports étaient .présentes, à, Saint-Germain-enLaye,ce .dernier week-e,nd, pour l'inauguration officielle du -nouveau tennis et des- jardins du Pavillon Henri-IV. Un match exhibition 'a -ïu ̃ lieu, entre- Martin Plaa, rhampion de France' professionnel, et Estrabeaû, finaliste du Championnat le France professionnel. Plusieurs autres matches intéressants se sont' disputés entre MM: Legros et-Durieux, de la catégorie juniors- de l'Association SaintGermain Sports. Le Racing Club de France était brillamment représenté par .MM' Ri ;Rodel, EvThurneyssen, M.Combemale, C; Joba et Mrnes X,e Besnerais et.Holzschuch. ':̃ ̃

Nous apprenons les fiançailles de Mlle Marguerite de Fîeurieu, fille du comte Roger de Fleurieu et de la comtesse, née. FriJHS^ard de Broissia, avec le comte Henri 'd'Orglandes, fils "dû vicomte ̃ "d'Orglandes, décédé, et de la vicomtesse, née Durfort Civrac de Lorge. On annonce les fiançailles de M. Bertrand Baillière, fils du commandant Baillière, décédé, et de madame, née Portier, avec Mlle Gydà von der Lippe (Oslo), fille de M. A. von der Lippe et de madame, née Rosehhilde. Deuils

On annonce la mort de M. Jean de Morgues, ingénieur agricole, survenue à Tunis. Il était le fils de M. de Morgues, ingénieur civil des mines, officier de là Légion d;honneur, et.de madame, -née Letourneur.

M, Bernard de Bàdts de Cugnac, ingénieur E.P.C.I., est décédé accidentellement à Pontoise, à l'âge de vingt-cïnq ans. Ses obsèques ont eu lieu hier, en': l'église Saint-Maclou. ̃̃̃̃•̃̃ Les obsèques du baron Jules de Guerne, chevalier de la Légion d'honneur, savant distingué, très, apprécié du monde. scientifique, ont été célébrées jeudi dernier, en l'église Saint-Sulpice.

La levée du corps a été faite et l'absoute donnée par l'abbé Capesson, premier vicaire de la paroisse. Le deuil était représenté par le comté Alain de La Laurencie, gendre du défunt; le comte de Guerne et S. Gr. Mgr de Moucheron, ses cousins germains; le comte de Reneville, le vicomte d'Illiers, M. de Bobet, M. O'Callaghari, M. du Breil, M. Halgan et M. Polti, ses cousins. Du côté des dames, par la baronne de Guefne, sa veuve; la comtesse Alain de La Laurencie et Mlle de Guerne, ses filles; la comtesse de Guerne, sa cousine germaine; Mme de Bobet, Mme 0'Callaghan, Mme du Breîl et Mme Polti, ses cousines. .L'inhumation a eu lieu au cimetière Montmartre. Nous apprenons la mort de la comtesse de Graveron, née Germaine des Champs de Boishebert, décédée à Rennes le 24 juin, à l'âge de soixante-quinze ans. On annonce la mort de Mme Stanislas Simon, en son domicile, 20, avenue de Friedland. Elle était l'épouse de M. Stanislas Simon, commandeur de la Légion d'honneur, président du conseil d'administration de la Banque de l'Indochine.

Selon la volonté de la défunte, ses obsèques ont eu lieu hier mercredi 1" juillet, dans la plus stricte intimité. Nous apprenons la mort de M. Roger Duca, décédé ;dans sa- cinquante-deuxième année. Sés obsèques ont eu ;lièù:>dàrîs la plus -stricte intimité:'1 ,ii,t; :rr,On- annonce la mort de Mme Edo,u3rd,jP^«n<yre

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L'ouverture

du -VIIIe Congrès eucharistique Lille, le juillet. (De notre envoyé spécial.) Le huitième congrès eucharistique national, qui est en même temps le cinquantenaire des congrès eucharistiques internationaux, s'est ouvert cet aprèsmidi dans Lille, où ce genre de congrès, en l'honneur de l'Eucharistie, prit naissance il y à cinquante ans, comme le rappelait éloquemment, ces jours'ei, notre éminent collaborateur, M. Georges Goyau. Afin de donner à ces assises un caractère plus solennel, le Souverain-Pontife a désigné, pour les présider en son nom, un cardinal légat qui se trouve être l'évêque même, S. Em. le cardinal Liénart. Celiii-ci sera ainsi, pendant quelques jours, en sa propre ville épiscopale, sinon un étranger, du moins l'ambassadeur extraordinaire de S. S. Pie XI.auprès de la République française, à l'occasion du congrès eucharistique. Et cet après-midi, nous avons assisté à une symbolique cérémonie, d'arrivée du légat. L'évêché est tout décoré de drapeaux pontificaux et français, de fleurs et de plantes vertes. Dans la cour d'honneur, des scousts ren-^dent les honneurs.

Bàns'Tà salle des fêtes se' pressent un certain nombre d'autorités ecclésiastiques, parlementaires, municipales, militaires, universitaires, etc., de Lille et des Flandres, presque tous en habit ou uniforme. C'est au milieu de cette élégante assistance que, solennellement, le cardinal légat fait son entrée entouré de sa suite Mgr Descamps, protonotaire apostolique Mgr Fontenelle, prélat de Sa Sainteté un secrétaire, un maître de chambre, un caudataire, un gentilhomme et deux camériers décape et d'épée.

Après avoir pris place sur un fauteuil placé sous le portrait du Pape, le cardinal Liénart reçut les hommages dès personnalités présentes et de la population lilloise-par la bouche de M. Groussau, doyen des députés du Nord, qui silua le légat. Celui-ci remercia, disant son émotion et sa joie et rendant hommage au Pape.

Quelques coupes de champagne terminèrent cette réception en quelque sorte privée, car la réception officielle et solennelle eut lieu quelques instants

plus tard, en l'antique église Saint-Maurice, udmi- rabement décorée de draperies et de drapeaux. Cinq mille personnes- étaient entassées dans ce vénérable sanctuaire quand., au son do hi Marche pontificaleLonghî, exécutée par des Iroinpette.s d'argent, et précédé1 d'un cortège (l'.irehevèqucs, d'évèques et de prélats, S. Eni. le cardinal légat fit son entrée, revêtu de la ctippa mm/na, accueilli par Mgr l'archevêque de Cambrai, de qui, au point de vue ecclésiastique, dépend l'évêcho de LiMe. Après la lecture des bulles instituant le cardinal Liénart légat apostolique. l'archvêquc de Cambrai, du banc d œuvre, s'adressa au cardinal monté en chaire. Il pria le représentant du Souverain Pontife d'offrir à celui-ci hommages et remerciements. Puis, ayant rappelé les origines lilloises des congrès eucharistiques, il lui demanda de porter Am Pape l'expression des vœux et des prières des ca-tholiques français, groupés autour du "trône pon»»: tifical dans les heures douloureuses que traverse" le Père commun des fidèles. Le cardinal répondit en remerciant l'arChevê-, ^ue de Cambrai et en disant le désir du Pape d|at- tirer l'attention des catholiques français Sur les. congrès eucharistiques et sur le sacrement de l'Eucharistie. Il termina en demandant à tous les fidèles qui suivront le congrès de faire des prières pour qu'une paix s'établisse suivant tés directions1 du Pape en cette région de Lille-Roubaix-Tqur- coing où se déroule en ce moment une souffrance dont, dit-il; « ma pensée ne peut se détacher. Je n'ai rien de plus à cœur ».

Cette cérémonie d'ouverture se termina par un salut solennel donné par le cardinal légat. 'Ajoutons qu'un grand nombre de rues de Lille sont pa••oisées et décorées et que sur le passage du cortège officiel se pressait une foule considérable. Paul Lesourd.

Au Restaurant des fimbassadeurs A la fraîcheur des Champs-Elysées, dans uiï e#dre admirable, avec l'esprit nouveau de notre épô-' que, vestons et smokings s'accordent, heureuse» ment. Chaque soir, au dîner, l'orchestre NqBÏ» Sissle et attractions. Ttoé dansant. La séturité du public e'.

à FExpcsftion coloniale

Déclarations de M. Chiappe •̃̃?>̃

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̃ Tïépondarit à une question qui lui a été pojsee hier à la tribune du Conseil général p#r M, Gratien, conseiller général et député de la Seiiie, au sujet de l'incendie du Pavillon néerlandais à l'exposition coloniale, M. Chiappe a apporté comme nous le laissions prévoir hier des indications précises sur les mesures de sécurité prescrites daris l'enceinte de l'Exposition. Puis il a ajouté « L'imputation de malveillance devant êfreécartée, il nous reste à rechercher si l'on avait biéii,pris toutes les précautions nécessaires pour épargner à la Hollande un pareil désastre.

» L'ensemble des prescriptions d'ordre général 1 ont été exécutées et les services de la préfecture de police ont non seulement exigé la stricte observation de ces mesures, mais encore en ont-ils prescrit de nouvelles.

» Tant de précautions ont été vaines, au moins pour le pavillon central des Indes Néerlandaises, car il faut rendre cette justice aux pompiers, que leur prompte intervention a permis de soustraire le théâtre à la violence des flammes, et qu'elle a su protéger tous les pavillons voisins, fort en danger, comme l'a démontré l'incendie d'une paillote afri« caine. • » D'autre part, il convient d'établir comment le' feu a pu se déclarer, .l'espère que l'enquête nous l'apprendra, afin que nous puissions en faire notre profit pour l'avenir.

» Mais, en attendant, et cependant que lés HoI-~landais entreprennent courageusement la construc-" tion d*un nouveau pavillon, -r- je vous donne Tàs-1 suràiic'e que tout' le 'sys'tènïe 'de précautions sera' 'W. nouveau et sévèrement contrôle, l'ignifugeage ré- visé, et, le cas échéant, effectué d'office les ronk; des de nuit multipliées, des avertisseurs thermiques recommandés et au besoin imposés; par là-même, je vous garantis, dans la mesure où il est humainement possible de le faire, que l'Exposition coloniale est un des lieux les plus sévèrement gardés contre l'incendie, et qu'elle peut continuer à offrir ses merveilleux spectacles à ses visiteurs enthousiasmés. » M. Leriche, commissaire de police de l'Exposition coloniale, a continué hier après-midi son en^quête sur l'incendie du Pavillon des Indes Néerlandaises à l'Exposition coloniale.

M. Mobjen, commissaire général de la Section néerlandaise à l'Exposition M. Renard, du Laboratoire municipal M. Boudeville, inspecteur -principal à la C. P. D. E., et plusieurs experts d'assurances étaient présents. Les experts ont1 jusqu'ici réservé leurs conclusions. Les travaux de déblaiement des décombres com< menceront ce matin, à 7 heures. >: Le congrès international du bois

M. Achille Fould, sous-secrétaire d'Etat à l'agriculture, accompagné de soit chef de cabinet, a" inauguré, hier matin, le Congrès international du bois et de la sylviculture, organisé par le TouringClub de France, avec le concours de la direction générale des taux et forêts, la direction générale de J'enseigneinent technique, l'Institut des recherches agronomiques, *lê Comité national dés* b'dfs

coloniaux, le^îrçupe/,du bois de la Confédération

générale de production o française.

Ce congrès, qui durera jusqu'au 5 juillet, étudiera principalement la question des- îbois tropicaux, la technique et la pathologie forestières, le commerce et l'industrie du bois avec les différents pays du monde. A cette occasion, M. Achille Fo.uld, a prononcé un discours dans lequel il a indiqué la crise que traverse actuellement la France en matière de production forestière.

A la Section métropolitaine r ̃.̃•̃

M. Georges Schwob d'Héricourt, président général, et les membres du comité d'organisation de la Section métropolitaine donnent ce soir jeudi, à 21 h. 30, à l'Exposition coloniale (salon d'honneur du Palais des industries de luxe) le premier des galas de danses et d'élégance.

Au programme, des danses de Rameau, Chopin, Reynaldo Hahn, Guy Ropartz, Oscar Strauss, Poulk'iic, Henri Sauveplaiie, etc., avec le concours de Mlles Barban, Gelot et Binois, et de M. Serge Lifar, de l'Opéra; orchestre sous la direction de M. Becker, de l'Opéra. Avant la représentation et pendant les entr'actes, on pourra visiter le Palais des Industries de luxe, où sont groupés les stands de la joaillerie, des soieries, de la haute couture, des parfums, de la mode, de la confection et des industries accessoires du vêtement, des fils et tissus, du mobilier et de la décoration, des bronzes d'art, de la Vet* rerie et de la céramique.. Un buffet sera installé dans le patio, pr.ès dii, stand de la joaillerie. i- • •' Quarante-cinq chefs indigènes à Paris Qurante-cinq chefs indigènes de l'Afrique Occidentale française sont arrivés à Paris pour visiter; l'Exposition. Ils ont été accueillis sur le quai par M. Diagne, sous-secrétaire d'Etat M. Massarribà Gai, conseiller colonial, chef de la province sénégalienne de Cayon, et les représentants du gouvernement général de la colonie. Les beaux seigneurs; noirs, revêtus de leurs costumes les plus éclatants, encadraient trois grands Touareg aux visages voi-.lès, portant la lance et le grand bouclier de peau brodée. Deux parasols jaunes abritaient deux rois de Guinée pleins de majesté. La foule a fait une ovation à ce cortège bariolé au milieu duquel trois petites épouses parées comme des châsses se dissimulaient craintivement.

Tous ces personnages ont été conduits en automobile à leur hôte!. Ils resteront dix jours à Pa- ris, visiteront en détail l'Exposition, puis parcourront la France avant de regagner, ^ans- tin mois, leur pays natal. 'H'

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DERNIÈRE HEURE v LA REPONSE AMERICAINE fc* ̃ [SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE]

£). L'autre aspect cependant de la question relative, au fonds de garantie est plus important. Non .seulement l'esprit, mais aussi la stipulation "formelle de la proposition du Président impliquent que. l'offre du- gouvernement américain est subordonnée à un ajournement semblable d'un an de tous paiements des dettes internationales dues aux importantes puissances créancières. Il semble aussi que le sens de la déclaration de la France disant qu'elle ne désire retirer,aucun bénéfice des paie-" rî&its soit sérieusement modifié. Cette dernière désire apparemment que l'ajournement de ses paiements inconditionnels prenne ]a forme d'un uéiément à la B. R. I. et d'un prêt, en retour, à l'Allemagne. Ceci prévoit naturellement que ces prêts en retour à l'Allemagne devront être faits sur les mêmes bases en ce qui concerne la durée de l'ajournement, que les arrangements similaires faits pour tous autres gouvernements.

Quand, toutefois, le gouvernement français, à cette suggestion, joint celle de considérer les prêts consentis, en retour, à l'Allemagne, exactement comme si des paiements en espèces avaient été faits par l'Allemagne à la France, et des prêts en espèces consentis en retour par la France à l'Allemagne et de considérer, à l'avenir, ces prêts com- me des fonds disponibles permettant à la France de faire face à sa garantie ou de la réduire pendant les années à venir, le gouvernement français s'écarte considérablement, non seulement du sens, mais aussi de la nature même.

Pour présenter le problème un peu différemment, la, France semble insister pour que les fonds, versés par l'Allemagne à la Banque des Règlements Internationaux, pendant l'année de suspension, et reprêtés à l'Allemagne, soient portés au crédit du fonds de garantie, exactement comme si la France elle-même avait en réalité effectué le dépôt, et devait être dégagée de toute obligation future au sujet du fonds de garantie.

Ceci semble incompatible avec l'idée que le paiement fait par l'Allemagne à la Banque des Règlements internationaux, pendant J'aunéé de suspension, serait une pure opération de forme destinée à assurer ia continuité des paiements incqnditioa-

nels; ;|» '•' ̃•' -̃̃>"

"Ce qui était considéré comme une question de forme en premier Heu, doit évidemment être traité, maintenant, comme un paiement réel. En tout cas, il semble clair que cette proposition entraîne une modification du plan Young, ce que la France paraissait spécialement désireuse d'éviter.

Le gouvernement américain n'étant pas signataire ne peut naturellement pas se charger de provoquer un tel changement. II pense que, peut-être, il y a un malentendu de la part de la France, en ce qui concerne les sacrifices qui lui seraient demandés conformément au plan proposé. Il est à présumer qu'étant donné la situation actuelle de l'Allemagne, si les propositions américaines échouent, l'Allemagne, inévitablement, fera savoir qu'elle ajourne le paiement de toutes les ré- parations conditionnelles, ainsi qu'il est prévu au plan Young; et cette partie des règlements intergouvernementaux ne serait donc pas effectuée. En conséquence, en mesurant les sacrifices nécessaires, on ne peut considérer que l'effet des versements inconditionnels si le change étranger nécessaire, pour faire face à ces paiements, peut être trouvé. Si la proposition américaine échouait et si les paiements inconditionnels étaient ajournés conformément aux stipulations du plan Young, et même en supposant que les versements inconditionnels fussent maintenus, la France recevrait, sur ces versements inconditionnels, après que les priorités auraient été acceptées, environ cent cinquante millions de dollars. Elle serait obligée de payer: a) lé.'ïbnds de garantie de cent sixlions de dollars, conformément au plan Young b) environ cent dix millions de dollars à la GrandeBretagne, et aux Etats-Unis, alors que les sommes qu'elle recevrait sur les réparatio'ns inconditionn.elles, même si elles étaient maintenues, seraient inférieures à la moitié de ce montant. Si donc la proposition américaine échouait et si l'Allemagne se prévalait des suspensions de paiement prévues au plan Young, la France perdrait, pendant l'année d'ajournement général qui vient, plus d'un million de dollars. Il est impossible de se dissimuler le fait que le monde ne sortira pas de l'état de dépression actuel, sans que des sacrifices temporaires soient consentis par tous. Le gouvernement américain croit qu'une action commune pour l'accomplissement d'un programme bien conçu et admis, non seulement diminuera le fardeau, mais contribuera effectivement au retour à des conditions normales, si ardemment désiré par tous les Le gouvernement américain espère qu'à la lumière de cet objectif primordial, le gouvernement français, dont la coopération est si nécessaire, trouvera un moyen d'aplanir les difficultés existantes, afin de permettre un effort concerté de tous, pour l'exécution de la proposition du. président.

RE VUE3 -DE :^feA. PRESSE

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Les difficultés des négociations franco=américaines

Une pression formidable s'exerce, aux EtatsUnis et en Angleterre, sur la France. Communiqués plus ou moins officieux, échos de milieux politiques, campagnes de presse, cherchent à détruire la résistance de notre pays aux formes de l'offre Hoover isolement de la France, mise en quarantaine de la France, du concours de laquelle on prétend se passer, telles sont les plus aimables considérations.

En- regard, une impressionnante unité de vues dans la presse française, et le vote du Sénat est bien fait pour la préciser.

A Washington

Le correspondant du PETIT PARISIEN, M. Pierre Denoyer, se fait l'écho du mouvement de l'opinion à Washington

Rien n'a été épargné pour montrer au publie américain que toutes les puissances, les unes après les autres, se ralliaient sans réserve au projet Hoover, et que la France seule restait en dehors de ce concert. La réponse de l'Italie faisait prévoir des « observations » ultérieures du Quirinal, mais, après une conversation de M.. Garret, ambassadeur des Etats-Unis à Rome, avec M. Grandi. le gouvernemen italien a donné l'assurance que « l'adhésion de 1 Ita ic était conforme à l'acceptât io.ii de la Grande-Bretagne et qu'elle n'était subordonnée à aucune réserve poliu-

que n.

que Les i,. réponses d'acceptation de toutes les puissances intéressées étaient publiées les unes après les autres, y compris celle du .lapon qui signalait que le Japon recevait ses réparations de l'Allemagne et n avait aucune dette susceptible d'être suspendue, mais que, néanmoins, il se ralliait volontiers au projet Hoover. ^Y.ant-hU-r les réponses favorables de la Pologne et de la Tchécoslovaquie étaient également publiées et la presse, les interprétait comme une défection des « satdlites de la France ».

La publication de l'acceptation belge. cet après-midi, ne manquera pas de paraître compléter 1 isolement de la France dans cette question.

Ce résumé objectif n'a pas besoin d'être souligné par des extraits de presse.

A Londres

Le TIMES, dans une correspo;ianco de Washington que cite le Temps assure que M. Hoover envisage un système qui lui permettrait d'eluder les demandes françaises

II serait question de retirer le plan Hoover sous

i EN ESPAGNE

Les résultats des élections sont connus pour 320 sièges Madrid, 1er juillet. Le journal indépendant A Hora donne la classification provisoire suivante des 320 députés dont l'élection définitive est connue à l'heure actuelle

Socialistes 77. radicaux 47, radicaux-socialistes 38, républicains indépendants 32, droite libérale républicaine 18, action républicaine 16, gauche catalane 14, nationaux catholiques 13, fédéraux 10, Fédération républicaine de Galice 10, Alliance républicaine 10, Action nationale 8, indépendants 6, Appui à la République 3, gauche républicaine 3, républicains démocrates 3, agrariens 3, Liga Regionalista (Catalogne) 3, catalanistes républicains 2, républicains du cen- tre 2, traditionaliste 1, libéral monarchiste 1. Le journal ajoute

« Si les 150 députés dont l'élection n'est pas connue encore, se répartissent dans les mêmes proportions que jusqu'à présent, il y aura à la Cham- bre approximativement 110 socialistes, 70 radicaux, 55 radicaux-socialistes, 23 droite républicaine et 23 action nationale. »

Des grèves sur tout le territoire

Madrid, 1" juillet. On signale des grèves dans toute l'Espagne.

A Valence, la grève des ouvriers boulangers et la grève des employés de traimvays continuent. Le personnel du chemin de fer à voie étroite de la région a déclaré qu'il se mettrait en grève dans cinq jours s'il n'était pas augmenté.

On prévoit également la grève des ouvriers des transports.

Dans le village de Millarcs. province de Valence, les ouvriers en grève de la Compagnie hydro-électrique ont provoqué des troubles. Des forces de la garde civile ont été envoyées pour les ramener au calme.

A Malaga, la grève générale continue. Les typographes, qui travaillaient hier encore, ont abandonné le travail.

A Pontevedra, les employés de tramways se sont déclarés en grève.

A Caste, en Aragon, une grève générale de protestation a été déclenchée, la population étant mécontente des décisions prises par le procureur général de la République. ~r le procureur

A Gijon, là grève des ouvriers du port est devenue tout à fait grave, aucun accord n'étant; intervenu entre les patrons et les ouvriers.

A Melilla, la grève générale a été déclenchée à midi.

A Séville, enfin, la grève continue.

Une voix favorable à la France

New-York, 1" juillet. M. Raymond Buell, directeur de l'Association de politique étrangère, organisation privée qui n'a rien de commun avec le gouvernement, a fait aujourd'hui même une déclaration à 1' « United Press » dans laquelle il demande aux autorités américaines d'essayer de comprendre les difficultés auxquelles doit faire face le ministère Laval au cours de l'étude de la proposition du président Hoover. Il fait ressortir que le gouvernement français a besoin de l'appui du Parlement qui est nettement hostile au plan Hoover et si le ministère Laval passe outre les recommandations des Chambres, il peut perdre suffisamment de voix à la Chambre et au Sénat pour provoquer la chute du gouvernement et une nouvelle crise politique.

Dans ses déclarations à 1' « United Press », M. Buell attire l'attention sur le mouvement nationaliste en Allemagne. II rappelle en particulier la c struction, par l'Allemagne, des nouveaux crois^pfe, l'Anschluss économique et la manifestation récente des Casques d'Acier à Breslau.; `

Les réserves de la Tchécoslovaquie Prague, 1er juillet. Une dépêche de Washing;ton ayant annoncé que la Tchécoslovaquie a accepté la proposition Hoover, la Prager Presse apprend de source autorisée que pour le moment la Tchécoslovaquie n'a pas nris formellement position vis-àvis de la proposition américaine. Toutefois, le ministre des affaires étrangères ne cache aucunement ses sympathies pour cette proposition. Mais la Tchécoslovaquie n'a aucune raison d'intervenir' dans les négociations en cours par loyauté pour les Etats qui sont immédiatement engagés par le plan Hoover et Prague attend le résultat final de ces négociations pour accepter l'accord auquel l'on sera arrivé. AU QUAI D'ORSAY

M. Aristide Briand a reçu lord Tyrrell, ambassadeur de Grande-Bretagne, avec lequel il s'est entretenu der récents discours prononcés à la'Chambre des Communes, qui rendent hommage à la France, et particulièrement du discours de M. Ramsav Macdonald.

s.; forme .originale et de répéter, à chaque pays séparément, t'offre qu'il constitue. En d'autres termes, les Etats-Unis offriraient pour un an la remise de leur dette à tous les Etats qui promettraient, en retour, d.e r.'noncer à recevoir de l'Allemagne, pendant un an. des réparations. Cette méthode n'est qu'à l'état de projet <i!e est approuvée dans les milieux ayant des intérêts en Allemagne, car elle permet à chaque nation de se prononcer séparément sans affecter les autres, au lieu de faire de leur acceptation un sine qua non du succès du plan général. En outre, elle modérerait tout au ivoins les répercussions qu'un échec à Paris pourrait avoir sur les affaires en général et- particulièrement en Allemagne.

Eh ce cas, il serait temps d'arrêter le retrait des capitaux américains investis outre-Rhin. Le DAILY TELEGRAPH prévoit une coalition financière et économique entre Washington, Londres et Rome. (ce qui est démenti), tandis que le DAILY EXPRESS semble n'avoir compris encore ni le vote de la Chambre, ni celui du Sénat, ni l'impressionnant accord des différentes fractions de l'opinion française

La France est très féminine. Elle est difficile. Elle reste toute seule au milieu de la salle de bal à refuser de danser, excepté au son de la musique qu'elle a choisie elle-même. Pour parler net, elle a l'intention de n'adhérer au moratoire proposé par le président Hoover que dans la mesure où il y a sécurité pour elle. Les Allemands ne doivent pas avoir peur. Il est inutile qu'ils sèment la panique en retirant leur or de leurs banques pour l'envoyer aux banques britanniques. pour que la Grande-Bretagne le leur renvoie ensuite. Si on comprend bien la situation, la France est féminine, certes, mais elle voit clair. Elle sait parfaitement ce que serait sa situation si le plan Hoover venait à échouer à cause de son entêtement l'Allemagne aurait c'errière elle l'oncle Sam et, derrière l'oncle Sam, l'opiiuoii mondiale, et il suffira à l'Allemagne de déclarer qu'elle ne peut pas payer. Personne ne sait mieux que la France que la marche vers la Ruhr est un épisode de l'histoire qui ne peut être répété.

Inutile sans doute de mentionner longuement l'hostilité du DAILY HERALD, l'organe travailliste

Si les réserves formulées par la France étaient ac- ceptées. il en résulterait que l'Angleterre et les EtatsUnis feraient des sacrifices considérables, alors que la France tirerait un bénéfice intéressant d'une opération destinée en premier lieu à soulager l'Allemagne. Invraisemblable 11 apparaît aujourd'hui que la politique a divorcé d'avec le bon sens. A Paris

A peine une voix discordante qui, d'ailleurs, témoigne surtcut de son ignorance. Au lendemain du vote du Sénat, la quasi-unanimité des journaux ¡ expriment un attachement très ferme aux amen- I

A L'INSTITUT

La fondation Primoli

Livres et. manuscrits de Ludovic Halévy

Les cinq académies, réunies, hier, en assemblée plénière sous la présidence de M. Millerand, président de l'Institut, se sont occupées du fonctionnement de la fondation Primoli.

On sait que cette intéressante fondation, instituée par disposition testamentaire du regrette comte Primoli, prévoit l'entretien de pensionnaires français à Rome et de pensionnaires italiens à Paris,, et qu'elle est administrée par un conseil de trois memtres italiens et de deux membres français, qui sont M. Denys Puech, directeur de la Villa Médic's, et M. Emile Mâle, directeur de l'Ecole française de Rome. v

Il s'agissait, hier, de s'entendre pour la désignation du premier pensionnaire, français, qui doit être un homme de lettres.

L'assemblée a délégué à l'Académie française le soin dé choisir ce premier pensionnaire. L'Académie fera connaître son choix ultérieurement, et son élu, qui sera celui de l'Institut de France, logera au palais Primoli pendant toute 'la durée de son séjour à Rome.

L'assemblée a ensuite distribué les 30.000 francs d'arrérages de la fondation .Iran Debrousse aux cinq -académies de l'Institut, pour publication des ouvrages auxquels chacune d'elles s'intéresse. Les revenus dès fondations, Gas, Forestier, Barbier-Muret, Cassé et Fleury, qui représentent une soixantaine de mille francs, seront affectés à des œuvres de bienfaisance ou d'encouragement aux lettres, arts et sciences à des personnes nécessiteuses et à des ménrges nécessiteux.

Le rapport annuel de M. Dehérain, conservateur de la bibliothèque de l'Institut, réservait à l'assemblée une agréable surprise MM. Elie et Daniel Halévy ont, en effet, offert à cette bibliothèque, en souvenir de leur illustre père Ludovic Halévy, une précieuse et très intéressante collection de livres et de manuscrits.. ̃:

Enfin, outre plusieurs dons d'ouvrages importants faits par les membres dé l'Institut, la bibliothèque a reçu celui dé nombreux livres sur la Colombie, du à la libéralité de M. Ignacio Gutierrez Ponce.

Informations Fclitiqù^s

1 A 1% Commission des Affaires étrangères La situation économique de l'Allemagne

La Commission des Affaires étrangères de la Chambré s'est réunie hier. M. Legros a donné connaissance de la nouvelle rédaction de son rapport sur la proposition de résolution de M. Margaine invitant le gouvernement à passer à la voie de la réalisai-ion, d'une Fédération européenne en proposant immédiatement une union européenne pour les produits de l'agriculture. Le rapport a été adopté sous réserve de modifications d'e texte qui seront rédigées d'accord entre MAI. Legros, Loucheur et Margaine. M. Grunibach a ensuite fait it la Commission un compte rendu d'un voyage qu'il vient de faire en Allemagne. Apres quoi M. Loucheur a fait un exposé des remèdes immédiats qui, suivant lui. pourraient être apportés à la situation actuelle de l'Allemagne. M. Loucheur aurait suggéré notamment, pour assainir le mark, 1" d'accorder un moratoire à l'Allemagne sur la tranche conditionnelle 2" d'établir un plan pour l'allégement de la dette intérieure allemande 3° de remplacer peu à peu les versements d'argent que l'Allemagne opère pour couvrir la .tranche inconditionnelle des réparations, par des prestations en nature. La Coinmission a décidé de se réunir, dès aujourd'hui, pour continuer cette discussion et porter le résultat de ses délibérations à la connaissance du gouvernement. L'achat de charbons étrangers

M. Maupoil, député de Saône-et-Loire, a déposé une demande d'interpellation « sur la crise qui sévit actuellement dans l'industrie minière française et sur l'achat des charbons étrangers au moment où, par suite du manque de débouchés, de nombreux mineurs français sont réduits au chômage. »

Le programme de l'Intergroupe des gauches L'intergroupe des gauches de là Chambre s'est Téuni hier pour entendre M. de Monzie sur le programme commun qui pourrait être celui de cette nouvelle formation, programme électoral et d'action parlementaire. ̃̃̃.

M. de Monzie a proposé notamment une action économique, le maintien de la laïcité, une politique étrangère orientée vers une collaboration internationale, garantie de la paix.

Les élections départementales

La commission sénatoriale d'administration générale a approuvé le projet de loi adopté par la Chambre des députés, tendant à modifier la date des élections départementales.

Retenant un amendement de M. Rambaud, la commission a pronosé de décider, dans un article additionnel, que, dans les cantons où le nombre des conseillers d'arrondissement n'atteint pas le nombre fixé par la loi- le Conseil d'Etat ayant déclaré irrégul.ière les réductions opérées il y a trois ans il sera. lors du prochain renouvellement, procédé à des élections complémentaires.. Le projet viendra en discussion à. la séance d'aujourd'hui.

déments proposés par le gouvernement.

Le TEMPS réplique avec autorité aux campagnes tendancieuses de l'étranger

Que des précautions soient à prendre, que des garanties doivent être obtenues, cela tombe sous le sens et aucun gouvernement conscient- de ses responsabilités, se trouvant devant la situation à- laquelle lir France doit faire face avec l'obligation évidente de sauvegarder ses' droits et ceux dés autres consacrés par des'accords internationaux conservant toute leur valeur, ne pourrait se dispenser de prendre ces précautions, d'exiger ces garantiés. Il serait sans doute grave que les perspectives de collaboration entre les Etats-Unis et l'Europe et les chances de détente et de renouveau de confiance dans le domaine international pussent être compromises par l'échec d'une initiative prise surtout, sans doute, en vue de sauver' de grands intérêts américains, ce qui n'empêche point ait une portée générale considérable, mais il serait peut-être plus grave encore d'ébranler la confiance dans la valeur des accords internationaux et de laisser porter atteinte i des droits ayant un caractère sacré.. Le Petit Parisien, ne pense pas différemment. L'ŒUVRE, en souhaitant très justement des conversations directes avec les ministres allemands, écrit, sous la signature de M. Jean Piot A une condition toutefois c'est qu'avant que ces conversations s'engagent, les Etats-Unis n'y mettent point, du dehors, d'inacceptables conditions. Si le « grand espoir » qu'a, fait naître le président Hoover venait à être déçu, ce serait soit intransigeance qui en serait la cause. Nous ne demandons même pas tout notre «dû ». Nous demandons du moins qu'on ne transforme pas les créanciers en débiteurs. Au Centre, Senatus (AVliNlR), encourage, M. Laval

Il trouvera devant lui des interlocuteurs habitués à nous parler sur un ton de maître, d'autres qui, savent ,'i'terner adroitement le gémissement et la menace, tous enfin assurés de nous « avoir» dans le quart d'heure de Nogi, grâce à notre inconsistance et à riotre peur du pire. C'est le moment de révéler à ces gens ce qu'est l'entêtement paisible de l'Auvergnat. Qu'il ne .redoute pas les réactions de mauvaise humeur des nations à qui le geste de M. Hoover ne coûte rien, ni les menaces voilées des manieurs de devises, ni les pronostics de faillite et de révolution mondiale dont on lui agite sous le nez le spectre horrifique.

M. Tardieu. et peut-être M. Brisnd, nous ont confié naguère que, l'heure venue, il suffirait da savoir; dire non. L'heure est venue. Il,faut dire ce petit mot. Et le ciei ne tombera pas.pour si peu sur nos tètes. Telle est, par des .exemples de camps différents, la position nationale.

M. C.-J. Gigtionx (JOURNEE IXDUSTRIELLE) explique fort bien cette confiance dans notre droit et dans nos moyens

'Le tournoi de tennis de Wimbledon Défaite de Jean Borotra

Les demi-finales du tournoi de tennis de W'imbledon ont été disputées hier. Elles ont permis a deux jeunes joueurs américains, équipiers de !:> Coupe Davis, de se qualifier pour la finale, qui désormais ne "saurait échapper aux Etats-Unis. Sydney Wood, d'une part, en battant -l'espoir britannique Perry Franck Shields de l'autre, en éliminant notre compatriote Jean Borotra, ont acquis. en effet, le droit à jouer l'ultime rencontre d'un tournoi qu'on considère, à juste titre d'ailleurs, comme le championnat du monde. Dans ce chani- pionnat du monde, donc, ce sont les Américains j qui l'emportent, et fort brillamment même. Ils l'em- j portent grâce à leurs jeunes joueurs, ces jeunes que depuis quelques années, depuis la perte de la Coupe Davis, avec une inlassable ardeur, ils préparent aux grands chocs internationaux. Aujourd'hui, ces jeunes leur valent un très beau succès qui est leur récompense et leur permet, à quelques semaines des épreuves finales de la Coupe Davis, de formuler de très sérieux espoirs Shields, Wood, Van Ryn, Lott, ne seront-ils pas capables cette fois de reprendre cette Coupe fameuse que détient la France depuis quatre ans '?

Au lendemain des échecs de Cochet d'une part, de Borotra de l'autre, dont on disait pourtant qu'il était dans une forme très brillante,. les dirigeants français peuvent poser la question avec quelque inquiétude, et l'optimisme de rigueur ris- que de sombrer dans un désastre qui serait d'au- tant plus sensible qu'il était inattendu. A. R Voici les résultats des demi-finales

S. Wood (E.-U.) bat Perrv (G.-B.), 4-fi, (5-2, 6-4, 6-2. F. Shiélds (E.-U.) bat J. Borotra (France), 7-5, 3-6,

Les victoires américaines ont été relativement nettes, ce qui ne manque pas d'être très inquiétant. Voici quelques autres résultats Double. Cochet-Brugnon (Fr.) b. Saloh-Kawa- chi (.L), 4-G, 6-2, 8-6, 6-4. Lott-Van Ryn (E.-U-.) b. Landry (Fr.) Mangin (E.-U.). 6-0, 6-2, 7-5. Double mixte. Maïer (Aut.) Mlle Adamof (Fr.) b. Cochet (Fr.) et Mrs Wittingstall (G.-B.), 12-10. 6-2. Spence et miss Nuthall (G.-B.) b. Boussus (Fr.) et Mrs Lycett (G.-B.), 6-1, 6-2.

Double danies. Mlle Metaxa (Fr.) et Mlle Sigart (Bel.) b. Mme Strawson et miss Yeake (G.-B.),

NECROLOGIE

.Nous apprenons avec regret la mort d'un des vétérans de la presse parisienne, notre confrère du Petit 'Journal M. Foureau. décédé l'autre nuit à Paris. Il avait débuté dans la presse à l'Intransigeant d'Henri Rochefort, il secondait le critique dramatique Louis de Gramonl, auquel il avait succédé. Puis il avait pris la rubrique des courses au Petit Journal et il l'y a tenue durant plus de trente ans.

^i:x:-les-ïBa,i:n.s II est, en Savoie, un coin charmant que la beauté du paysage, la splendeur des fêtes, la courtoisie des hôtels, le luxe des casinos, font le rendezvous des élégances c'est la station chic « Aixles-Bains ».

A Divonne-les-Bains

Malgré l'adjonction, cette année, a ses hôtels du Chicago et Grand Hôtel, du nouvel Hôtel du Golf avec ses 125 appartements (salle de bain, w.-c. indépendant, loggia-balcon individuel et téléphone urbain), la jolie station thermale de Divonne-les-Bains n'aura bientôt plus de place il est donc sage d'écrire dès maintenant à son directeur général M. A. Tartakowsky, en demandant les conditions.

Le merveilleux golf de Divonnc, l'un des meilleurs d'Europe, attire en effet de nombreux sportsmén et leurs, familles.

Il'est important d'ajeuter que, tout en rendant le séjour des plus attràyants, on a su organiser la station dans le parc de 100 hectares de façon à permettre à ceux qui recherchent la cure de repos total de n'être en rien troublés dans le calme le pius absolu.

'IIVFÔRM ATIO1VS

L'Autriche et la Hongrie en un circuit Les « l:oyayes 7~&ut s. 36, boulevard Haussmann, Paris, peuvent encore recevoir quelques adhésions pour ce magnifique voyage de propagande à travers l'Europe Centrale.

Tous frais compris. 3.625 francs.

Brochure explicative franco sur demande. Maison française fondée en 1874.

Lille-Lyon-Nice.

Le Week-End au Havre

Pendant les chaleurs. se soustraire à l'atmosphère accablante de Paris en passant le week-end air bord de la mer dans des conditions parfaites de repos et de confort à l'Hôtel Frascati, au Havre.

Nous ne trouvons rien de scandaleux, pour notre part, à ce que le président Hoover ait marqué avec éciat sa sollicitude pour les capitaux américains en Allemagne. Sportivement, nous admirons même l'habi- leté de l'opération qui consiste, en ménageant à l'Allcnagne'un répit, à permettre la retraite prudente deces mêmes capitaux dont les nôtres seront conviés à prendre la place. Nous ne sommes pas surpris qu'à l'autre bout de ce camp de manœuvre le.Reich se tienne sur une réserve habile. Certes, il est difficile d'apercevoir en tout cela des préoccupations philanthropiques. Chacun défend sa chance. On aurait tort de s'étonner que nous défendions les nôtres, alors surtout qu'elles coïncident, à l'évidence, avec l'intérêt européen.

Avant de déclarer nos propositions « inadéquates », on prendra, espérons-le, ]e temps de réfléchir que, si l'Etat de l'Allemagne importe à la prospérité de l'Europe et du monde, on lie restaurera pas cette prospérité sans nous ou contre nous. Cette constatation ne traduit ni mauvaise humeur ni arrogance elle est simplement conforme au bon sens.

Il faut s'y tenir.

Le Quai d'Orsay briandiste

Ces deux dernières semaines, nos diplomates ont été très vertement pris à partie. La presse a sonné le glas sur nos grandes ambassades. Un tableau véridique de Pertina-x (ECHO DE PARIS) mérite de compléter ces sévérités Sans nettoiement du Quai d'Orsay, aucune politique française digne de ce nom ne pourra se rétablir. Le cabinet du ministre et les divers services tirent trop souvent à hue et à dia..Le ministre sontnolent ne suit pas les affaires il se contente d'en troubler les cours soit par ses négligences (les catastrophes qu'il ne sait pas prévenir), soit par des décisions préparées en secret (par exemple l'abandon soudain, à Londres, en août 1925, des amendements du projet de pacte rhénan rédigés dans, les bureaux ou encore lc lancement du projet européen) qui surprennent les fonctionnaires les plus haut placés. Il arrive parfois que le seuil de M. Briand reste fermé devant ceux qui, à toute heure, devraient être en droit de le franchir. Libre aux critiques de tomber ensuite sur les représentants à l'étranger qui, la plupart du temps, sont dans le doute sur les idées du maitre et n'ont comme consigne que de ne point lui déplaire. « Pourquoi n'avez-vous point tenté telle démarche devant tel événement ? », demandaiton à un ambassadeur encore en place. « Parce que je n'étais point assuré d'être soutenu. » C'est ici te'cas de. répéter que, sans bon ministre, il n'est point de bon ambassadeur, que les sept années de M. Delcassé permirent seules aux Cambon et aux Barrère de se manifester.

-Mais notre remarque est loin de signifier que, dans le cadre actuel, des incapables et des indignes, propres tout au juste à écrire des dépêches de complaisance, ne se rencontrent pas. Nous voulons simplement lais- I ser entendre que leur remplacement, si nécessaire qu'il

lliliii I l'ipili Ma

L !H!t~ L~&Htb

L'Impératrice Eugénie a-t-elle cu l'influence néfaste que lui attribuent îles historiens comme Emile Oilivier et M. de La Gorce ? Le livre de M. Octave Aubry la montre pour beaucoup responsable du désastre mexicain. La guerre de 18/0, elle en fut partisan, mais avant tout le pays. La paix qu'elle voulut faire n'eût coûte que S.ras-

l.ourg et deux milliards. Au totul, si elle eut dc

grands torts, on doit aujourd'hui lui tenir compte de son énergie et de son patriotisme.

(L'Impératrice Eugénie, 1 vol. A. Fayard et C".) DÉPARTS DE PAQUEBOTS AMERIQUE DU NORD

PARIS (Compagnie Générale Transatlantique), du Havre 9, pour Plymouth, New-York.

Roma (Xavig. Génér. ltaliana), de Gènes 10, pour Naples, Gibraltar, New-York.

Deutschlaxd (Hamburg America Linic), de Cherbourg 10, pour New-York 17.

Minnkkhanoa (Atlantic Transport), de Boulogne 11, pour New-York 10.

-Bremen (Xorddcutscher Lloyd), de Cherbourg 10, pour New-York 15.

Mauretama (Cunard Line), de Cherbourg 11, pour New-York.

Empress or Buittain (Canadian Pacifie), de Southampton et Cherbourg, 8, pour Québec.

Duchess OF ATHOLL (Canadian Pacific), de Liverpool 10, pour Québec et Montréal.

Melita (Canadian Pacific), de Belfast. 11 juillet, pour Québec et Montréal.

Rûchambeau (Compagnie Génér. Transat.), du Havre 11, pour Vigo 13, Halifax 20.

AMERIQUE DU SUD

Wurtemberg (Hamburg Amerika Unie), de llanibourg 9, pour Vigo, Lisbonne, Rio de Janeiro, Buenos-Aires.

Aveloxa Star (Bluc Star Line), de Boulogne 10, pour Lisbonne, Madère, Rio de Janeiro, Santos, Montevideo, Buenos-Aires.

Moxt-Kemmkl (Compagnie de Naviff. FranceAmérique), de Marseille 10, pour Cadix, Dakar, Rio de Janeiro.

Ruv Barbosa (Lloyd Brasileiro), du Havre 10, pour Pernambuco, Bahia, Rio de Janeiro, Santos. Highland Cheftain (Xelson Line), de Boulogne 11, pour Vigo, Lisbonne, Las Palmns, Rio de Janeiro.

AMERIQUE CENTRALE y

Axel .Tohnson (Johnson Line), d'Anvers 11. pour Cristobal 28.

EXTRÊME-ORIENT

Bexdigo (Aden et Austria), de Londres 10, pour Marseille 1G, Port-Saïd, Bombay, Colombo, Calcutta.. M

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soit, ne suffirait point rendre la diplomatie française plus efficace. M. Briand est déjà châtié d'avoir autour de lui tant de thuriféraires. N'a-t-il point cmnruntû ses fausses prédictions du 3 mars, sur VAnschluss, à un rapport de M. de Margerie, ambassadeur à Berim Mais il n'est pas plus capable de renvoyer le personnel en .possession aue de le remplacer convenablement et de faire travailler à plein les bons éléments qui pourraient être choisis.

M. Briand s'est défendu, à la Chambre, de cette « lâcheté » difficile de croire que, lorsque J'intérêt national est si gravement en cause, il y a lâcheté à se séparer des mauvais ouvriers, surtout quand un courage manifeste voudrait le départ du mauva's chef.

Le briandisme démocrate-chrétien

Xotre excellent confrère, la GAZETTE DU CESTRE, réplique i certaines Croix que font souffrir les sévérités fondées pour M. Briand, des journaux « Coty ï>

N'empêche que dans J'affaire Hriaml, comme dans pas mal d'autres, ils se trouvent d'un côté de la barricade où J'Eglise et la Patrie découvrent d'ordinaire leurs meilleurs amis, tandis que les thuriféraires d'Aristide ont pour compagnons d'amies des Léon Bhim, des Malvy, des CaiUaux, toutes les Loges maçonniques et tous les ghettos.

̃Nous sommes convaincus qu'en y réfléchissant un peu, la Croix de Limoges trouvera qu'il y a un signe digne d'attention.

Oui, un peu de sagesse ne serait pas dc trop. Sur le désarmement

Dans la TUNISIE FRANÇAISE, M. Fernand Laborde marque, avec un rare bonheur, les conditions réelles de toute limitation des armements On doit s'abstenir de justifier le désarmement par des arguments économiques. Le désarmement, c'est un. problème de haute morale internationale, qui n'a rien à voir avec les phénomènes économiques. Désarmez les esprits et les cœurs, vous aurez trouvé le seul moyen de désarmer les bras. Mais loin d'avoir résolu, pour cela, les difficultés économiques du jour, faussement imputées aux armements, vous en aurez soulevé de nouvelles. C'est un fait dont il faut être bien convaincu avant la conférence du désarmement, si on ne veut pas y introduire des causes de confusion supplémentaires, dont la complexité du problème à résoudre n'a certainement pas besoin.

La « haute morale internationale » est en baisse il n'est question que de déchirer les contrats.

Maurice Noël.


AU SENAT

Le vote du collectif

Convoqué cette nuit, à vingt-trois heures, pour, recevoir de la Chambre les deux collectifs qu'il lui avait envoyés, le Sénat dut patienter bien au delà; de deux heures et demie pour les voir arriver. Ils s'étaient gonflés, au cours de leur long séjour dans l'autre assemblée, le premier de crédits sur les chapitres de l'instruction publique et des colonies, le second d'une somme de 50 millions pour parer au déficit de l'usine d'azote de Toulouse.

Il en avait été longuement question de cette usine, au cours de l'interpellation de M. Faure sur le cartel de l'azote.

M» Blaignan, sénateur de la Haute-Garonne, qui expose la situation de cette usine de l'Etat, fait cette constatation un peu troublrnte

Grâce aux licenciements, le personnel a été un peu épuré On comprend pourquoi l'honorable sénateur insiste pour que soit établi un sévère contrôle. ` Le Sénat* finalement, renvoie le collectif allégé de deux chapitres que la Chambre avait rétabliSi Le Sénat ayant accepté les adjonctions de là Chambre, la Chambre ne pouvait qu'accepter les suppressions du Sénat. Ainsi s'établit l'entente définitive bien après le lever du soleil.

Le régime des pétroles

La séance d'hier fut entièrement consacrée à la "« ratification de conventions entre l'Etat et la Com,pagnie française des pétroles ».

De l'exposé de M. Henri Roy, rapporteur, déta- chons cette phrase liminaire

Cette discussion ne soulèvera pas ici les pas- sions qu'elle a connues à la Chambre, le Sénat étant uniquement mû par le souci de l'intérêt général. Ayant lancé du côté du Palais-Bourbon cette petite flèche acérée, l'honorable sénateur put en toute tranquillité d'âme rendre hommage au travail des commissions de l'autre assemblée.

La question soumise au Sénat a une histoire. Tâchons de la résumer brièvement.

Dès avant guerre, la France a cherché à se pro- curer du pétrole. En 1908, le gouvernement, sur la demande de M. Bompard, aujourd'hui sénateur, alors ambassadeur à Constantinople, envoya un ingénieur prospecter la région du Tigre et de l'Euphrate. L'Angleterre et l'Allemagne nous y avaient précédés. La « Turkish Petroleum » fut formée, qui groupait l'Allemagne, l'Angleterre et la Hollande. Vint la guerre. L'Angleterre possédait le contrôle de la « Turkish"», eliemU sous séquestre la part d'actions Appartenant à l'Allemagne. Après' l'armistice, nous obtînmes une option sur ces actions, que l'accord de San Remo nous donna défir, niti veinent.

Le gouvernement, ne croyant pas devoir exploi-' ter lui-même sa participation, rechercha une société concessionnaire.

Après bien des difficultés, il s'en constitua une le 7 novembre 1923.

M. Poincf passa une convention avec elle,' et c'est cette convention que le Sénat est appelé à approuver.

Après que M. Henry Roy et M. Henry Bérenger eurent expliqué l'historique et la genèse de l'affaire, M. Serre, au nom de la commission des finances, chiffra les engagements de l'Etat. Il affirma que si la France voulait jouer un rôle dans la question des pétroles, il était indispensable que le gouvernement participât au versement du capital. M. Rollin, ministre du commerce, demanda au Sénat de voter sans modification le texte qui lui était soumis.

Dans combien de temps pourra fonctionner le pipe-line ? demanda le comte de Blois..

Dans un an, avec un débit de quatre millions de tonnes, dont un million pour la France. On sait qu'à la suite de négociations longues et laborieuses, nous avons obtenu que cette participation de un million de tonnes serait conduite par un pipe-line à Tripoli de Syrie, dans le territoire placé sous notre mandat, ail lieu d'aller à Caïffa en Palestine.

Après quelques explications fournies par M. Pineau, directeur de l'Office des combustibles liquides, sur le, mécanisme dos importations, l'ensemble du projet fut adopté. s Aujourd'hui, deux séances la première à neui heures et demie, la seconde à quinze heures. A LA CHAMBRE Le vote des « collectifs » de juin Dans la nuit de mardi à mercredi, pendant qu'on effectuait le pointage du vote relatif à la disjonction des trois articles relatifs au déficit des grands réseaux de chemins de fer, la Chambre vota presque sans débat le second collectif de juin par 465 voix contre 125. L'ensemble du premier avait été adopté par 438 voix contre 140. L'assemblée vota également une régularisption de crédits relatifs à la composition du gouvernement.

On apprenait alors que la disjonction demandée par M. Moch des trois articles concernant les cheipiins. de fer étaient adoptée par 320 voix contre 260. La séance fut alors suspendue pour permettre au Sénft d'examiner les modifications apportées aux projets de collectifs par la Chambre en seconde lec̃ fure. ~e

A la reprise de la séance, à 3 h. 25, M. Lamoureux fit un bref rapport verbal sur les modifications faites par le SciU't. La commission acceptait les deux disjonctions votées par la Haute Assemblée. L'accord étant fait, l'ensemble fut voté par 458 voix contre 125. C

Prochaine séance ce matin, à neuf heures. Il était quatre heures lorsque la Chambre se sépara. >i>»u ̃̃><̃• ̃ ̃ IW COURSER DE LEVRIERS

Le Grand Prix sera couru samedi

à Sainte-Gemme

La saison d'été des courses de lévriers, organisées par la Société d'encouragement aux courses de chiens, prendra fin samedi prochain 4 juillet. Au cours de cette réunion de clôture sera disputée la plus importante épreuve de l'année, le Grand Prix, dont la dotation a été portée à cent mille francs, et qui a réuni un lot superbe d'engagés.

Feuilleton de FIGARO du 2 Juillet 1931 (27)

Echec au Roi

XI

(Suite)

Les deux dames semblaient considérer le maria"e entre elle et moi comme évident et même imminent, tant les âges, les goûts et les situations étaient, selon elles, assortis.

On vantait la douceur, la bonté de la « chère petite ».. « Elle est bien fragile », soupira 1 autre. Et bien entendu on parla de moi. t

II est toujours piquant de voir l'image qu'on projette, à son insu, dans l'esprit des autres. Ôrt s'étonnait que j'eusse attendu si longtemps pour me marier, « car, si je calcule bien, dit l'une, il doit avoir trente ou trente-deux ans » (ces dames paraissaient des mieux renseignées). Il tomba un silence je devinai des gestes soupçonneux de l'une, une attente de l'autre.

$ II y a peut-être une liaison. On avait parlé de. On baissa la voix et je ne pus saisir, mais je devinai « On n'a jamais su ce qui s'est passe entre eux. Je les crois fâchés. Elle a pourtant de la fortune, Et de la séduction », fit un petit rire. Et je me rendis compte avec stupeur que ce qu'on croit le plus secret de sa vie devient en province la pâture de tout le monde. Ces femmes que j'ai prises à tort pour des cancanières sem-

1 LIBRAIRIE

COMMUNIQUÉS

eALMANN-LEVÏ, éditeurs

« Vincent ou la Solitude (Colette Yver) Dans ce beau livre, nous voyons d'abord Vincent, le héros du roman de Colette Yver, sous l'aspect d'un jeune étudiant d'une intelligence exceptionnelle, qui enlève brillamment tous les grades universitaires. Fiévreux, dévoré du besoin de tout connaître, (le tout vivre, Vincent rêve de voyages dans toutes les parties de la terre, monte en avion, pratique tous les sports. Pauvre, Vincent doit devenir riche. La vie promet tout à son ardeur, à la puissance de son cerveau, à l'impétuosité de ses désirs. Dans l'ordre sentimental même on devine qu'il sera bientôt comblé. Denise, une interne des hôpitaux belle et grave, une de ces grandes figures de femmes intellectuelles que Colette Yver excelle à dessiner Denise qu'il aime acceptera de l'épouser. Et soudain, il n'est plus autour de Vincent qu'amertume et désespoir. Gravement atteint de la tuberculose, contraint de se retirer dans un sanatorium de montagne, dont un ami compatissant règle pour lui les frais, il doit renoncer aux triomphes universitaires certains, à tous les succès. à Denise. Il ̃ n'est plus devant lui qu'abandon et pauvreté.

Et c'est ici qu'est le centre du beau roman de Colette Yver, le sujet véritable de ce livre dont on estimera la grandeur. Vincent, dans la solitude, se transforme. Ou plutôt son ardeur commence d'accéder à d'autres plans. De la fureur qu'il ressent d'abord contre le mauvais destin, nous le voyons graduellement passer à la résignation. Cette évolution se poursuit au travers de luttes intérieures que l'auteur a évoquées avec une merveilleuse in- telligence des plus hauts conflits où pçut être entraînée l'âme humaine.

GAZETTE DES TRIBUNAUX La mort de Philippe Daudet

Audience angoissante, dramatique. Deux témoins en désaccord plus qu'en désaccord, L'un, secrétaire du commissaire de police, affirme que son chef, le commissaire, a entendu les aveux de Colombo, qui'. aurait tué Philippe Daudet. L'autre,; le çominissa,ire, affirme que Colombo ne lui ,a rien

'.(lit..

Tel est le drame. Où est la vérité ? Qui dit la vérité ? L'un de ces deux témoins ne mâchons pas les mots • commet un faux témoignage. Cela n'a pas d'autre nom en justice. Oui, mais lequel ? 2 Et telle est l'angoisse.

L'audience était pleine de monde car l'on attendait des dépositions sensationnelles. Le premier témoin est M. Brogly, député d'Alsace.

Je ne suis pas un partisan de l'Action française. Mais je viens ici pour des raisons d'humanité. J'ai vu la souffrance d'un père j'ai compris toute la douleur d'une mère. Au début, lisant les articles de M. Léon Daudet, je ne pensais pas au meurtre possible. En 1925, un ami m'a dit « Un de mes camarades a eu une conversation avec le secrétaire du commissaire de police de Mulhouse.* Celui-ci aurait déclaré que Colombo avait avoué, à un ou plusieurs policiers, avoir tué Philippe Daudet, sans savoir qui il était. Que devais-je faire alors? L'instruction du procès Daudet-Bajot était en cours. Il me fallait donc m'assurer le témoignage de ce jeune homme. Je l'ai vu. Il m'a dit « Je ne sais rien, je n'ai jamais eu cette conversation. » J'ai pensé qu'il avait peur. Alors, j'ai dit à Me Heitz, bâtonnier de Colmar, qu'il valait mieux dire à M. Daudet de renoncer à son témoignage. Mais, il y a quelques jours, j'ai lu la déposition de GtrJdsky. J'ai été dans l'angoisse. Je voulais aller voir le garde des sceauXj ou le substitut, M. Mozer. J'ai revu alors le secr,eta;re du commissaire de police, M. Geibel, qui aurait' Recueilli le propos. Je lui ai dit que l'affaire prenait une nouvelle tournure. Il m'a ajouté que son schef, M. W«glé, commissaire, aurait entendu le propos de Colombo, .Auparavant, j'en avais parlé a M° Heitz, bâtonnier de Colmar.

Pourquoi lui, demande M" Noguères, avocat de Baipt.

Parce qu'il est le chef de l'Action française à Colmar.

N'êtes-vous pas autonomiste ? N'êtes-vous pas l'ami de l'abbé Haegy ?

Qu'est-ce que l'autonomisme ? riposte M. Brogly. Et puis, tout cela n'a rien à faire ici Oh dit Me Noguères, vous serez remercié de votre témoignage.

Oui, s'écrie M. Léon Daudet d'une voix retentissante, je vous remercie daigrand cœur. Et M. Daudet serre la main de son adversaire politique.

Peu à peu, on arrive aux témoins « du fait ». Voici M. Weiss, ingénieur chimiste

En 1924 ou 25, j'ai rencontré au restaurant, à Dornach, M. Geibel, secrétaire du commissaire de police de Mulhouse-Dornach. Il m'a dit « Colombo était à Mulhouse aujourd'hui ou hier. Il a dit au patron « J'ai tué le fils Daudet » en service commandé sur l'ordre de mes chefs. » J'ai raconté cela plus tard à M. Brogly. Depuis, je ne sais rien. »

Voici maintenant M. Geibel, le secrétaire du commissaire, celui qui aurait directement entendu le récit de la bouche de son patron le commissaire. Un grand jeune homme à J'accent alsacien, un peu intimidé.

Lorsque j'étais attaché au 5e arrondissement de Dprnach, mon chef, M. Weglé, mfa, dit « Colombo était ici. Il m'a dit avoir tiré un coup, de feù sur un jeune homme sans savoir à'qui il avait affaire. »

Nous avançons i s'écrie M" de Roux. Et un grand silence s'est fait dans la salle. J'étais seul, confirme le témoin, quand mon chef in'a dit ça. Je l'ai raconté de suite à M. Weiss, niais en le priant de n'en rien dire, Ma situation était alors en jeu, elle l'est encore actuellement. Vous avez dit, demande M* de Roux, que vous ne parleriez pas ? t

M. Geibel fait signe que oui.

Les témoins, je le déclare ici, sont libres, s'écrie le substitut, qui se lève. Ils n'encourent aucune sanction.

blaient avoir plus que je ne pensais des rensei- 1 gnements minutieux, une intuition féminine déconcertante.

S'il revenait à elle? demanda l'une.

Croyez-vous la chose possible ? Ils ne se voient plus.

Ah s'il revenait à l'autre, si ce mariage manquait.

On dit que la pauvre enfant l'aime. Moi, j'ai la conviction qu'elle en mourrait. Il y eut un grand silence ou des yeux sûrs devaient affirmer, et il se fit aussi un silence effrayé dans ma conscience.

Sont-ce la les impondérables qui lentement ont fait pencher le plateau de la balance ? Je comprends mieux, Moi qui pèse et analyse si subtilement les âmes, depuis le temps que je .connais Marthe, je n'avais pas apreçu, au fond de ses paroles anxieuses, l'anxieux, amour.

Il est assez émouvant pour me tirer de mon égoïsme.

Je crois que j'ai assez attendu dans la vie et qu'il est bien tard pour faire souffrir.

Un brusque besoin aussi de couper les ponts. Deux jours plus tard, je demandai la main de Marthe Laborde.

Il serait touchant de décrire une scène qui pourrait charmer des âmes sensibles, mais que j'aurais honte de reproduire. Il est des sentiments vrais, trop intimes, trop rares qui ne se traduisent point par des scènes prévues.

Ce fut le matin de Pâques, un grand matin tranquille. Je sais que je parlai à mi-voix nous étions tous trois, debout, immobiles, Marthe toute blanche. Après ma demande, il n'y eut pas un mot de prononcé, pas un geste, seulement des regards, et pomme je sentais en elle un effort éperdu pour retenir un tremblement ou un sanglot, j'eus pitié de nous tous, je saluai leur silence et sortis.

Vous n'ayez rien à craindre, ajoute le prési-

dent > ̃

Mais M. Geibel essuie des larmes qui coulent de ses yeux. Il est très ému.

Je suis d'une bonne famille.

Le résumé de la déposition est net. Geibel, tiendrait de la bouche de son chef, M. \Negle, le a commissaire, les aveux de Colombo.

Or; M. Weglé va nier énergiqueinent.

Un homme agité, verbeux, ce commissaire. Aocent alsacien prononcé, gestes ardents et excessifs. Il se dresse, se penche il se courbe devant le tribunal comme s'il voulait faire une pleine eau dans le prétoire. Une sorte de Méridional de l'Est,

gesticulateur..

Quels propos avez-vous entendus lui demande M. le président Audièvre, jour., Aucun. Personne ne m'a rien dit. Lui jour,, étalit de service à la permanence, je me suis rendu au poste. Là, j'ai vu un monsieur qui m'a dit être Coloinbo, chargé de mission eh Alsace. La conversation a duré trois minutes. Un de mes collè- gues est arrivé et ils sont partis ensemble. Il n a tié question que d'affaires de service. Je n aurais pas eu l'indélicatesse de parler de l'affaire Daudet. Depuis, je n'ai pas revu Colombo. J'ai peutêtre dit plus lard que j'avais vu Colombo. Mais 1:ds autre chose. Je dis la vérité, la pure vérité, la simple vérité.

Et chaque mot est accompagne d'un grand geste et d'une sorte de plongeon assez comique devant ies juges.

Mais cela est net. La suite le sera moins. Vous n'avez rien dit à Gèibel 2

Ça c'est une autre question Je ne sais pas si je lui en ai parlé.. ̃'̃

Oui ou non ?

11 est possible que je lui en aie parle, mais je voudrais savoir d'abord ce qu'il vous a dit Oui ou non '?

Sais pas. Qu'a-t-il donc dit ? Moi je lui ai peut-être dit que j'avais vu Colombo.

Enfin, lui avez-vous parlé de l'affaire ? Ah oui Peut-être en ai-je parlé et ai-js dit que tout cela serait des ennuis pour Colombo. Mais je n'ai vu Colombo que devant un secrétaire. En permanence, nous sommes toujours deux. Je dis la .'érité. la stricte vérité, la pure vérité. Nouveau plongeon devant le tribunal.

Mais, continue M. Weglé, je voudrais faire une réflexion. Il y a-t-il quelqu'un dans la salle qui puisse croire un seul instant que Colombo soit venu a Mulhouse pour me dire, à moi, qu'il ne connaissait pas, n'avait jamais vu « Je vais vous faire un aveu. J'ai tué Philippe Daudet » ? -Voyons, demande Me Noguères, oui ou non Colombo vous a-t-il dit « J'ai tué un jeune

homine :? » ̃'̃ i l' ̃̃̃̃̃̃<

Tout est la. ̃ :i i-.v •: r >. ̃> <•̃ ̃-̃ Avant de répomlre, réplique le tenioin, fô Veux vous parler de Geibel. Il est capable de monter n'importe quelle affaire.

Pourquoi donc, demande le président, votre administration le «arde-t-elle "?

Oh il a donné des preuves. Je l'ai eu dix ans sous mes ordres. Si Geibel dit que je lui ai parlé des aveux de Colombo, c'est faux. Jamais je ne lui ai dit ça. Je dis la vérité, la pure vérité, la stricte vérité, la simple vérité.

Une confrontation s'impose, et M. Geibel vient à la barre, le secrétaire est aux côtés dù chef. Et sa réponse sera simple

Mon patron m'a dit « Colombo est venu et il m'a dit J'ai tiré un coup de feu. J'ignorais sur qui. »

Non, s'écrie M. Weglé, je n'ai pas dit çà J'ai dit simplement « Colombo est venu et je pense que l'affaire Daudet lui amènera des ennuis. » C'est une affaire montée. M. Brogly aurait dû se renseigner sur Geibel, c'eût été plus prudent. De ces deux hommes, l'un d'eux ne dit pas la vérité. Lequel ?

M. Brogly, rappelé a la barre, vient nous dire que M. Geibel appartient à une famille tout à fait honorable, et qu'il le regarde comme un parfait honnête homme que jamais personne n'a critiqué. On rappelle M. Weiss

J'ai vu M. Geibel. Il m'a dit « Mon patron m'a raconté que Colombo était ici il y a peu de temps, et qu'il avait .dit au patron « C est moi qui » ai tué le fils Daudet. ?,

Non, non, riposte M. Weglé, je n'ai pas dit ça. Je ne dis que la stricte vérité, la simple vérité, la pure vérité.' :j< ̃ ̃

Qu'est-ce que la véfjté ? demandait Pilate. Il y a plus de vingt siècles <ju£ la question est restée sans réponse.

Maintenant nous allons replonger dans le trouble milieu anarchiste. M. le colonel Larpent a fait, il y a huit jours, une conférence à Perigueux. Il a entendu un anarchiste, Perrier, dit Germinal, y faire des déclarations intéressantes. On sait, en effet, que l'anarchiste Vidal, en cour d'assises, avait toujours affirmé qu'au Libertaire et au Grenier de Gringoire on avait toujours ignoré l'identité du jeune Philippe Daudet, jusqu'après sa mort. C'était bien peu vraisemblable. 11 semble au contraire qu'ils l'aient tous connue, dans le monde anarchiste.

En effet, M. Goyard, président de là Tribune libre de Perigueux, qui organise hebdomadairement une conférence contradictoire, présidait, il y a huit jours, celle du colonel Larpent sur la mort de Philippe Daudet. Lorsqu'elle fut terminée, l'anarchiste Perrier, dit Germinal, monta à la tribune pour dire: « Nous savions tous qui était Philippe Daudet lorsqu'il vint au Libertaire. Ainsi Vidal m'a déclaré « Nous avons fait une fameuse recrue, le fils Dau» dèt! II nous a demandé de lui procurer Les » Fleurs Mal. Et 'nous l'avons envoyé à Le Flaoutter. »

Or, s'écrie Me de Roux, pendant toute l'instruction les anarchistes ont touiours soutenu avoir ignoré l'identité de Philippe Daudet. Ils la connaissaient

Quel drame affreux

Il n'y. a plus de témoins,, et M" de Roux, commence à, plaidé pour M. Léon Daudet, diffamé, jj>ar la lettre qu'a 'fait paraître le chauffeur Bajot.

` ~~Qrges ~larelie.

Georges Claretie.

;t.ft~a'~j~

Au. «Jour LE Jour» Nous apprenons que c'est Dupouy-Magnin qui habille Mlle Suzy Yernon, à qui vient d'être dé-

cerné le grand prix d'élégance. La gracieuse ar-

tiste portait une robe en crêpe satin noir et crêpe marocain blanc, accompagnée d'une jaquette en peau d'ange blanc garnie de renard argenté.

Le spectacle de la vie intérieure des honnêtes gens est une chose trop indicible pour qu'on en ternisse la beauté par des paroles qui voudraient être belles.

Y

Nous nous avançons vers la vie avec le calme que j'ai voulu; nos conversations dispersent les malentendus comme des brunies, élargissent de lumière l'espace devant nous.

Il est des soirs qui, comme des fièvres passionnées, emplissent le ciel et la chair de flammes; il en est d'autres d'une telle limpidité qu'on ne souhaite rien de plus, parfait et que la seule appréhension est d'en voir la fin, c'est-à-dire la nuit ou la mort.

Ce don d'amour absolu, sans gestes, sans vains baisers, a quelque clib'sé' de poignant, j'allais dire d'effrayant. 'i>!

Comme répondant à mon accusation secrète d'ignorance du mal, elle n\'a dit une fois « Vous devinez que mon père m'a parlé de plus de choses "méchancetés ou crimes, qu'on n'en conte d'ordinaire aux petites filles. Il n'ayait que moi pour confidente et il ne pouvait me dissimuler tout des affaires judiciaires qui absorbaient sa pensée. Mais ces laideurs ont passé comme des choses étrangères à ma vie. Je n'ai pas grand mérrite sans doute chez moi une incapacité, une jn> puissance pour le maj. »

Elle ne dit pas, mais moi j'ajoute pour elle le mot d'Antigone « A chacun sa voie, la mienne est d'aimer. »

•̃̃ ̃ » w

II n'entrait pas dans nos goûts, aux uns et aux autres, de donner des fêtes à l'occasion de ce ma- riage cet étalage de bonheur est ou ridicule pu provoquant,

Les honnêtes gens sont fort embarrassés cachent-ils leur joie, on les accuse de cacher des se?

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~MNCESSE RADZtVÏLL 20 tr. (~'ée C~tstellane~ 20 fr. .i8AO–i8~3

Publiés par tes comtesses Élisabeth et H{~lèlle Poto('I~3

PRÉFACE DE JCLES CA~180~N,~ DE L'ACADt'mE mAXÇAISE 3: t: P L 0 "===~

ACADÉM.IE FRANCAISE

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Nouvelles diverses Oustric reste en prison

Les docteurs Gauthier, Dufour et Paul, commis par M. Brack, juge d'instruction, pour examiner l'état de santé d'Albert Oustric, détenu, ont remis leur rapport qui conclut à ce que le régime pénitentiaire n'est pas incompatible avec 1 état du prisonnier.

En conséquence, le juge signera une ordonnance de rejet de la demande de mise en liberté du banquier.

.Un prêtre victime d'un accident $:'t de montagne

ChAMonîx, 1" juillet. Un grave accident de montagne vient dV jeter la consternation à Chanionix. I?abbé Beaujard partait, il y a deux jours, pour la dernière ascension .qu'il vp.ujait fa.ire au Dru. Il était accompagné de trois autres alpinistes. La dangereuse promenade se déroulait bien, les passages difficiles létaient terminés,, lorsque l'abbe Beaujard s'appuya sur un bloc de rocher qu il pensait être solide. Le bloc bascula, écrasant 1 ecclésiastique sous les yeux terrifiés de ses compagnons. Après avoir dégagé son corps ils partirent chercher du secours à Chanionix ils sont arrivés ce matin.

L'abbé Beaujard, âgé de quarante-cinq ans, était aumônier de l'hôpital de Rennes et chevalier de la Légion d'honneur.

Arrestation d'un repris de justice Le 30 mai dernier, M. Louis Turmel, huissier audieiicier au tribunal civil, rentrant vers treize heures dans son appartement, 63, avenue de la République, y surprenait trois cambrioleurs. Il réussit à en appréhender un pendant que les deux autres prenaient la fuite. Un de ces derniers a été arrêté mardi par les inspecteurs de la police judiciaire. Il s'agit d'un nommé Paul Durand, repris de justice, qui interrogé par M. Badin, commissaire spécial à la police judiciaire, a fait des aveux. Il a été envoyé au Dépôt.

Un geste gracieux et courageux Nous voulons parler de ces artistes, musiciens, danseuses, qui, à peine remis de la terrible émo- tion de l'autre nuit, tandis que fumaient encore, à l'Exposition coloniale, les ruines du pavillon, hol- landais, se sont remis à danser, ou à jouer, pour bien montrer que la catastrophe n'avait pas su avoir raison de leur courage. `

A propos des danseurs de l'Exposition coloniale, lisez l'article paru dans les Enfants de Fronce, la grande revue pour la jeunesse. Sa couverture en couleurs, qui représente précisément des danseuses cambodgiennes, est une manière de petit chefd'œuvre. Au sommaire des contes, des nouvelles, des romans, des chroniques, des illustrations, ou les moins de seize ans trouveront de quoi s'instruire, et s'amuser.

Numéro spécimen gratuit sur demande. Abonnement un an, 60 francs; six mois, 35_francs. 14, rond-point des Champs-Elysées, Paris.

crets louches la manifestent-ils, on les accuse d'en éclabousser les autres.

Nous en discutions, tous réunis chez le Président. Il était bien difficile à mon père qui avait quelques vieilles connaissances dans l'armée, au Président qui a cent relations dans la magistrature, d'éloigner des amis de trente ans.

Npus avons trouvé pratique de donner une réception l'occasion des fiançailles, à la fin mai, ce qui permettra de fêter notre mariage tout à fait dans l'intimité.

Mes parents et le père de Marthe se sont concertés pour arrêter une liste; moi, j'invite seulement ni$n procureur et le bâtonnier des avocats. J'ajoutai: « Si vous le permettez, j'inviterai un vieux camarade; nous avons fait la guerre ensemble ce n'est pas un homme du monde, mais c'est un brave homme; je liens à lui prouver une affection qui a bon teint. >

r *i

Après les salamalecs mondains, dans le vaste salon du président transformé en salle de bal, j'étais en train de bavarder gaiement au buffet avec Bernard, toujours le même, quand il m'interrompit « Tiens, quelqu'un que tu connais. » Je me retournai et mon sang, comme on dit, ne fit qu'un tour. Mme de Genevray, très belle, me regardait avec la cruauté de son sourire. Je ne sius dire un mot.

Et tout à coup nous nous trouvâmes au centre de la salle où un jazz attaquait des danses modernes.

Je ne sais même pas si je prononçai une formule d'invitation, mais, assez brutalement, je la saisi, par la taille et le poignet et la jetai dans un pas que scandait la musique aigre.

Cette danse avec elle, dans mon esprit, n'était qu'uM aouiUMAia froide qu'on doit à une invitée,

par

Mystérieux attentat dans un Comité d'assistance aux travailleurs italiens Au premier étage d'un immeuble situé au n° 20 de la rue Sedaine se trouvent les bureaux du « Comité pour le placement des travailleurs italiens en France ». Ce comité offre chaque jour aux Italiens sans travail soit des emplois, soit des traductions, soit même des secours d'argent, et nombreux sont les chômeurs qui ont recours à son assistance. Hier, vers 16 h. 10, une dizaine de personnes étaient assises drns la salle d'attente du comité, et M. Dalmasso, directeur, avait commencé ses audiences, lorsque soudain une explosion formidable se produisit. Les personnes présentes furent projetées violemment à terre la porte d'entrée avait volé en éclats. On releva grièvement blessé un homme qui restait étendu dans une large niri-e de sang, M. del Fabbro, 28 ans, demeurant à Alfortville. Le malheureux, qui avait, la euiss£; £*uohe affreusement déchiquetée, fut transporté à l'hôpital Saint-Antoine. Quatre eutres personnes avaient été blessées aussi, mais très légèrement les deux enfants de M. Binéi, huissier de service, âgés de 16 et 13 ans MM. Julio Rossi, 55 ans, et Camilio

Ranza.

L'enquête, qui fut ouverte peu de temps après par MM. Pressard, .procureur de la République, et Peyrc, juge d'instruction, a établi que l'engin aypnt produit l'explosion avait été déposé" derrière la porte de sortie l'auteur de l'attentat, après avoir allumé la mèche, avait eu le temps de partir sans être vu.

Dans ces conditions, d'identification du coupable devient un problème particulièrement difficile. M. Dalmasso, directeur du comité, n'a pu émettre de sérieux soupçons contre quiconque, et on ignore absolument quels ont pu être les motifs de ce crimine! attentat.

LA VIE UNIVERSITAIRE Huitième session do l'Union juridique e internationale

La huitième session de l' « Union juridique internationale » s'est ouverte, au ministère des affaires étrangères, sous la présidence de M. Larnaude. Assistaient à la réunion MM. Guerrero, Mirkine Guetzévitch, Spalaïkovitch, Cornejo, le procureur général l'latter, MM. Alvarez, Cr'abeels, de la Pradelle, Le Fur.

MM. Alvarez et de La Pradelle ont donné lecture de leurs rapports sui" la codification du droit international. L,"a'sse'mblée a donné son adhésion à leurs propositions et nommé une commission, qui sera chargée, non plus de prendre un certain nombre de questions isolées pour les traiter en détail, mais jDien de rédiger les principes couvrant l'ensemble du droit international. De cette commission feront partie MM. Altamira, Alvarez, Barclay, de La Barra, Cornejo, Le Fur, Gidel, Guerrero, Larnaude, Matter, Mirkine-Guetzévitch, Negulesco, Potitis, de La Pradelle, Scelle, Strupp, Titulesco, Urrutia. Cette commission commencera ses travaux au mois d'octobre et soumettra son rapport à la session de mars de l'Union juridique internationale. Jules Laurent.

bien inattendue en vérité, et qu'on ne veut pas feindre de ne pas voir.

Il y avait en moi une exaspération de retrouver cette femme à qui je ne voulais plus songer, et que mon futur beau-père avait invitée à mon insu, en qualité sans doute de voisine.

Je considérais comme une effronterie de sa part d'avoir accepté.

La brusquerie de mon attaque, si je puis dire, n'avait rien de contraire aux usages de ces ganses cavalières. J'aurais dû réserver la première à ma fiancée, mais Marthe n'allait guère au .bal et elle venait de me chuchoter qu'une valse pu un tango lui suffirait bien.

Je ne voulais pas converser avec Alice et je crois que nous avions tous deux la bouche cousue. Je m'appliquais seulement il scander le rythme audacieux de cette danse alors encore dans sa nouveauté.

Un célibataire, après la guerre, était très invité et j'avais comme danseur quelque expérience. A New-York, on m'avait initié à des lias à la fois compliqués et barbares, inspirés par la musique nègre. Leur sauvagerie m'avait déplu d'abord elle me plaisait étrangement ce soir-là.

.le m'apptiquai de toute la tension irritée de mes nerfs à ne pas dévier d'une ligne, c'est-à-dire à garder il cette danse ce qu'elle a de saccadé et de farouche. Et je n'ai jamais connu danseuse plus parfaite qu'Alice, c'est-à-dire qui fut plus d'accord avec sa cruauté. Il- y avait chez elle une souplesse de muscles presque féline. Jamais on ne vit couple plus accordé dans un rythme implacable.

Jean Gaument et Camille Cé.

(A suivre.)

Copyright bij édition Bernard Grasset, 1931.


LETTRES, THÉÂTRE. SCIENCES ET ARTS

RESULTATS Le krach de la bourse picturale est avéré. Les petites « galeries Trouderat » redeviennent, une à une, les crémeries qu'elles furent. Les grosses maisons ayant engagé des millions, les défendent par tous moyens, mais le coup fatal est porté, nul ne le nie. Est-il uniquement dû au malaise général ? '? Est-il dû, tout autant, aux germes de mort que '<* l'art dit vivant portait en soi C'est ce qu'il faut examiner.

Pendant des années, un trust de marchands a réussi, d'autant plu% aisément que nul ne protestait, à monopoliser, a standardiser la production et la cotg.piiiturales, et à faire, fabriquer en séries certains artistes dont quelques-uns promettaient un talent vite gâché par ce système. Cela ne s'était jamais vu. En face de l'Etat, paralysé dans son autorité apparente par des règlements inefficaces et une insuffisance budgétaire, s'est élevée la puissance mercantile rétribuant l'appui d'une certaine presse, et pouvant prononcer la phrase fa.meuse « A du talent qui nous voulons. » Los protestations élevées ici ont d'abord étonné un public enclin à prendre pour un roman l'exposé de ce système Ousiric, ne pouvant soupçonner le degré d'effronterie de cette spéculation, et abus^ par le concert d'éloges dos publicistes du trust.

Deux affaires l'ont cependant averti l'affaire Rniv.ond, qui, dénouée en justice, coûte un demimillion au Louvre, c'est-à-dire à nous tous, puis l'afîaire dite du douanier Rousseau, celle-ci non sanctionnée pourtant pir la justice et les finances qui eussent dû sévir contre les ventes fictives lésant l'Etat, Ces,scandnles, et d'autres, ont fippris la défiance au public. II a compris plus qu'à demi le mécanisme des combines et des ventes truquées. D'autre part, comme il était saturé d'une peinture étalant partout son cabotinage, il a cessé d'acheter, Les organisateurs du bluff n'avaient oublié que la-loi économique de l'offre et de la demande. Leur « boum » a enrichi quelques firmes et quelques fauves, mais la surproduction insensée a. tué 'a poule aux qgijfs o^dr. -•« "Enfin rf.ScHjè qh®Bsï*iait faillite Cent 'mille fableatjxsont à solder l*

̃*

Les théories ont, k l'usage, révèle leur vîdc, leur impuissance, On enregistre chaque jour les avçux- des tenants du cubisme, de l'expressionnisme, du surréalisme. Les uns, de bonne foi, reconnaissent qu'on est allé beaucoup trop fort. Les autres, voyant tarir une source de profits, abandonnent la propagande. On avait, devant l'avalanche des toi.tes peintes, parlé comiquement d'une Renaissance, Certains, s© demandent maintenant « si la peinture ne va pas mourir »• Cela se pourrait, car elle a été disqualifiée lamentablement, et a rétréci son champ comme une peau de chagrin, en reniant l'histoire, la fresque, le portrait psychologique, l'émotion, l'intimisme, en se restreignant à la nature morte, au paysage, et à la stupide « peinture pure ». Ceux qui s'effraient et se repentent ont en tout cas rendu la peinture bien malade. Mais ils disent qu'elle risque do mourir « par excès d'intelligence », Ils entendent par là que les théori'-̃ ciens qui méprisaient les sujets et ce qu'ils nommaient la peinture littéraire » ont introduit dans l'art plastique des éléments géométriques, freudiens ou autres, Ces éléments* intrus ont été apportés par des primaires préteirUeux et des sophistes érigeant en dogmes pour béjaimes des fumisteries dont l'origine nom est connue, L'intellĩ«^-sigMuse-'Jiia. c-iÈi voir là. II se peut que la. société qui se transforme ait de moins en moins besoin de peinture en tout cas les heures de celle-là sont comptées, et on a fini de prendre le malfiehu pour une vertu originale,

Enfl», on a compris le danger de l'immixtion de métèques de diverses nationalités, soutenus parfois par des critiques étrangers tolérés dans la presse française. Paris ne veut décidément point de leurs ouvrages laids et indéchiffrables, de leurs aphofismes-rébus, de leurs idées-poisons. Il leur reste la ressource des expositions outre-frontières, abandonnées à l'initiative mercantile par l'Etat, faute de budget. Là, l'Ecoie panachée, dite de Paris », peut exploiter un abus de confiance et nous présenter sous un jour incomplet ou faux ceci à l'appui d'une campagne liée à une politique suspecte, et tendant à déconsidérer systématiquement la tradition et l'esprit de France. bs qui, sans

La crise actuelle punit bien des snobs qui, sans aimer ni comprendre, achetèrent des toiles dans l'espoir de revente à bénéfice. Elle place dans une dure situation tous les artistes, aussi bien les toqués et les faiseurs que ceux qui furent évincés par les marchands du trust et qualifiés pompiers parce qu'ils persistaient à appuyer leur œuvre sur l'obser, yatian de la nature. L'avidité de quelques aceapã reurs aura causé la détresse générale. Le mal aura "flu moins l'utile conséquence de décourager les ^ii"J§W§Ç?l vocations appâtées par des succès scandait, ̃ "ie.ux," de décongestionner Je marché en attendant le Vredesseœeiît des valeurs, Les. protestations répétées .ici auront servi à édifier le publie sur le rôle né-faste de la mercante. Elles ont été accueillies par 'dés violences trop explicables, puisqu'elles dévoilaient et contrariaient beaucoup d'intérêts privés. Mais les artistes de toutes nuances, des pompiers aux pires fauves, eussent dû comprendre que, mises à part les divergences d'opinion et de goût, on travaillait pour tous en se mettant en travers de l'hégémonie mercantile. Le jour l'art sera entière. ment aux mains d'un trust de marchands forçant Jeurs poulains à fabriquer en séries, c'en sera fini H» art ne peut vivre aue s'il est libre et propre, C'est là que la peinture mourra, et non d'un « excès d'intelligence » mais d'un honteux asservissement. Cette question-là domine toutes les chicanes esthé*tiques, On ne se remettra en marche sur une route §ûre, après deg années gaspillées, que si le mercanti ne domestique pis l'artiste.

Tels sont les résultats incontestables d'appels répétés à un public abusé et mal informé. Il fallait que eette tâche ingrate fût tentée. L'événement trop pr£vu en a démontré ia raison et la nécessité. Camille Mauclair.

U apELLE BEJOIlSgW ET DE HUME

-,u Le tome *v de la Correspondance générale de Rousseau, collaiiorinée, annotée et commentée par ^Théophile Pufour et publiée par M. Pierre-Paul Plan, vient de paraître-

Ce vpjqme, qui est composé de deux cents lettres, dont quarante-cinq sont entièrement inédites, ut di* le sont partiellement, embrasse les huit premiers mois de l'année 1766 (janvier-août). On y voit Jean-Jaeaues installé en Angleterre, ayant donné toute sa confiance à un nouvel ami, David Hume. Mais il ne tarde pas à concevoir, sur la sincérité de Hume. des soupçons qui se transforment vite en certitude, et soulèvent entre les deux phĩ' Ipsophes une querelle qui défraya pendant un an les conversations de toute l'Europe. On sait que Hume, après sa rupture avec Rousseau, publia une brochure intitulée Exposé sueciiict de la contestation qui s'est élevée entre M. Hume et M. Rousseau. Les textes rassemblés dans ce tome mettent la lçeicur on mesure de se faire une opinion sur eftttelJjwerelJe et sur le bien ou Je mal fondé des griefs de Rousseau.

XJJV GRAND L/1TIN_! PAUL ADAM

Sur les hauteurs du Trocadéro, dans un quar- 1 tier à la fois très moderne et très aristocratique, on inaugure aujourd'hui un monument très simple à la mémoire de Paul Adam.

L'endroit est choisi à souhait. C'est bien là, en effet, qu'il convenait de commémorer l'auteur de La Force et de L'Enfant d'Ausleriitz. A deux reprises, il a habité ce quartier. Et, s'il y avait élu domicile, ce n'est point que le hasard l'y avait conduit c'est qu'il s'y plaisait. lies fenêtres de son appartement du quai de Passy, il aimait considérer l'admirable paysage du Champ-cIe-Mars avec ses boulingrins et ses parterres à la française, paysage que magnifie encore, à cet endroit, la courbe puissante de la Seine et qu'animent sans cesse les mille aspects de la vie fluviale. Ce qu'on voit là, c'est comme un raccourci de toute son œuvre ce Champde-Mars, borné d'un côté par le Palais-Bourbon et le dôme des Invalides, de l'autre par les usines de Javel. A l'entrée, la tour Eiffel, Dans le fond, l'Ecole militaire et les belles ordonnances architecturales de Gabriel image de ce dix-huitième siècle, qu'il adorait, surtout dans ses Encyclopédistes. Rappel du Temple des Lois et des Chevaliers du Triangle, images de l'esprit militaire, souvenirs de la vieille France napoléonienne, dont il a essayé de nous redire l'épopée, à la lumière de la critique historique sombre poésie de l'industrie et de l'américanisme contemporains l'esplanade contemplée de ces hauteurs du Trocadéro lui mettait tout cela sous les yeux.

Mais ce qu'il aimait surtout, ce qu'il vous montrait avec insistance, de la fenêtre de son cabinet, c'était l'élégance to^te française de ces jardins et de ces ombrages encadrant un beau palais idé style ^classique, et cette prédilection était, ait premier abord, surprenante chez ce génie quelque peu tumultueux et romantique. Mais, à deux pas, le musée du Trocadéro ouvrait au futur auteur de Reims dévastée, le monde exubérant des cathédrales et des vieux imagiers gothiques. On eût dit qu'il avait là tout son clavier sous la main.

Il était donc difficile d'évoquer Paul Adam dans un cadre plus en harmonie avec tous ses goûts et plus symbolique de toute son œuvre.

On peut trouver sans doute que l'heure de cet hommage rendu à un de nos plus grands romanciers a beaucoup tardé. Voilà bientôt douze ans que Paul Adam est mort, et, dans ce long intervalle, sa mémoire semblait avoir subi une éclipse. Mais c'est là une épreuve inévitable pour tout grand homme au lende- main de sa disparition. La gloire a son antichambre. L'immortalité terrestre a, comme l'éternité, son purgatoire. Il faut laisser à une grande réputation le temps de 'se décanter. Le talent et le génie ont leurs tares, leurs parties caduques. Tout cela doitVtçimber d'abord. Et il faut aussi laisser les contemporains se repose*: dans leurs admirations, ou se reprendre dans leurs antipathies ou leursl(rés:stances. On avait besoin d'oublier pour un temps une renommée trop éblouissante, ou de reviser telles valeurs injustement sous-estimées. Tout cela exige quel-

MEDITATIONS SUR LA NATURE HUMAINE

Je viens de relire dans l'excellente édition critique qu'en ont procurée les savants éditeurs de la Correspondance générale de Bossuet, MM, Urbain et Lévesque, Je Traité de la Concupiscence de l'évêque de Meaux. Le sort de cet ouvrage a été singulier, Rédigé vraisemblablement au milieu de l'année 1694, à la veille même de la querelle du Quiétisme, il ne visait nullement à fournir un « traité méthodique de la concupiscence, mais simplement des ComU dérations sur un texte tiré de saint Jean et c'est bien ainsi que le désigna le neveu de l'auteur, l'abbé Bossuet, plus tard évêque de Troyes, lorsqu'il en trouva la minute autographe dans les papiers de son oncle, Son titre actuel, que l'usage a consacré, lui fut donné lors de sa première publication,' en 1731, un quarj; de siècle après la mort de l'auteur. Je 'l'aurais ,s intitulé, pour ma part, Méditation sur la Natiire humaine, telle que la profonde expérience psychologique du christianisme nous enseigne à la comprendre,

Bossuet ne l'a donc ni publié de son vivant, ni même communiqué à personne, autant qu'on le sache, Quel put être le motif d'une telle réserve ? Peut-être les occupations écrasantes qui remplirent pour lui les années immédiatement suivantes l'obligèrent-elles à en -différer la revision et la mise au point? Plus tard, a suggéré M. Rébelliau, et lorsqu'il eût pu trouver le loisir de préparer cet écrit pour l'impression, il jugea sans doute que l'opinion du dix-huitième siècle commençant n'était plus en état de comprendre de si graves vérités, d'accepter de si austères leçons. Aussi bien les jansénistes en furent-ils très satisfaits quand ils purent le lire c'est ce qui résulte d'une lettre du pieux Soanen, évêque de Sénez, adressée à l'évêque de Troyes, Cette approbation, qu'il pouvait d'avance escompter, fut-elle aussi l'un des motifs qui décidèrent Bossuet à laisser son œuvre inédite. S'il avait, en effet, pour le jansénisme une réelle déférence, il ne jugeait pas devoir la manifester trop ouvertement après lés censures de Rome. Dans ses Maximes sur la.Comé*die, qui sont d'août 1694, il venait de, s'affirmer l'allié de ces moralistes rigides il estima vraisemblablement la manifestation suffisante' et garda dans ses cartons son nouvel ouvrage sur un thème analogue.

Le texte de saint Jean que le prélat entreprit de commenter est tiré de la première épître de l'apôtre « N'aimez pas le monde, ni ce qui est dans le monde. Celui qui aime le monde, l'amour du Père n'est pas en lui parce que tout ce qui est dans le monde est concupiscence de la chair, et concupiscence des yeux et orgueil de la vie. > Ce sont ces derniers mots surtout que Bossuet a pris soin de développer il s'agit, en effet, des trois ramifications discernées par la théologie chrétienne dans la concupiscence globale qui fut imprimée au fond de l'âme humaine par la faute de nos premiers

quefois beaucoup de temps. Mais c'est une règle à laquelle nul ne se dérobe. 1

Hugo et Flaubert viennent à peine de sortir I de cette épreuve, tandis que des écrivains, hier encore éclatants, sont 'entrés dans une ombre momentanée. Pour un Anatole France, la pénitence est commencée. Combien de temps durera-t-elle ?. Dieu merci, pour Paul Adam, elle vient de prendre fin. Il a fini son temps de purgatoire. Et je çroïs;'Men que, cette fois, c'est l'entrée dans la gloire définitive,

Cette gloire n'est que la consécration de ce qu'il y a de plus solide; de ce qui a chance de durer le plus longtemps dans son œuvre, D'autres diront les mérites de l'écrivain et du romancier. Fut-il un peintre exact de nos mœurs, un grand créateur de types littéraires ? :? Entre-t-il, dans ces types, autant d'humanité que d'intellectualité ? Ou bien fut-il par excellence un grand mythologue idéologique, un animateur extraordinaire des Forces élémentales et des Idées qui mènent le monde ? D'autres le. diront ou l'ont déjà dit. Ce que je voudrais uniquement considérer ici, c'est Paul Adam redresseur des énergies françaises et apôtre de la Latinité.

Il n'a pas été un professeur d'énergie qui théorise sur l'action, qui déduit de subtils raisonnements pour entraîner des gens qui n'ont pas plus envie de marcher que lui-même, l'essentiel étant de raisonner avec élégance. Il a conçu tout de suite l'objet même de l'action. Il nous a montré son idéal en acte, il l'a fait marcher devant "hous et il nous a dit « C'est l'unique volupté Il n'y a rien au delà » Et d'abord il n'était pas pessimiste, ce qujt était un grand mérite au lendemain de Scho.pëfih'âï.ie.r. et de Lec4%è de Lisle. Paul Adam était joyeux. Il était .plein d'espoir. Il avait confiance dans la vie, comme il avait confiance dans sa race et dans les destinées de la France. Pour faire du bonheur, il faut agir, et, pour agir, il faut savoir. Il faut promouvoir la science, et, pour assurer le triomphe de la science, favoriser les élites. La France a été, elle est encore une de ces élites. « Vous en doutez, disait Paul Adam en ces mornes années de quatre-vingt à quatre-vingt-dix, vous en doutez parce que vous avez été battus, il y a dix ans, par l'Allemagne et parce qu'une démagogie ignorante et stupide dilapide les forces de la nation Mais oubliez-vous ce que vous avez été et ce que vous pouvez être encore, si vous faites ce qu'a fait l'adversaire et ce que vos pères faisaient si bien »

Et le voilà qui ressuscite l'épopée napoléonienne, revanche du génie latin sur l'oppresseur germanique. Notons que, pour lui, la Révolution elle-même est la revanche du GalloRomain sur le conquérant teuton et de l'esprit républicain sur la féodalité il n'avait pas lu Fustel de Coulanges, ou il en avait rejeté la leçon. Il ne savait p,aê, ou il ne voulait pas Savoir,; que la /féodalité française est au moins aussi gallo-romaine que germanique. Mais qu'importe ce détail d'érudition ? L'essentiel était de nous rappeler ce dont nous avions été capables, telles circonstances étant données et sous la conduite d'une élite, qui ne faisait que

parents passion de sentir, passion de savoir, passion de dominer sur autrui Libido sentiendi, libido sciendi, libido dominandi. Mais I pourtant, c'est dans l'ordre inverse de celui du texte apostolique que les passions fondamentales se sont emparées de l'homme lorsque, par sa faute, il fut privé de sa pureté première.

Oui, le démon réussit à rendre Adam et Eve superbes comme lui, curieux comme lui, et à la fin seulement, sensuels une propension qu'il ne connaissait point pour sa part, n'ayant point de corps, mais dont il nous a gratifiés pourtant, parce que notre esprit, avili par lui au préalable, devint esclave du corps sur le chapitre des sens. Telles sont les trois concupiscences dans 'leur ordre;; chronologique suivant Bossuet, Sj?1 àjout-e-t-il, saint Jean, 'l'es rapporte dans "un autre ordre qu'elles ne paraissent dans le récit biblique, c'est que, par ce récit, le Saint-Esprit, dictant l'Ecriture sainte à Moïse, a voulu tracer l'ordre de notre chute, tandis que l'Apôtre, qui nous trouve déjà perdus, remonte, au contraire, de degrés en degrés dans son avertissement, C'est un peu subtil, mais la déférence due au Nouveau Testament est ainsi sauvegardée.

Je n'aurais pas ici l'espace nécessaire pour suivre le grand prélat dans ses commentaires, si précieux pourtant sur la passion de dominer, qu'il place si judicieusement à la racine des deux autres, et sur la passion de savoir. Je dirai seulement quelques mots de la concupiscence des sens qui lui fournit des observations frappantes tout en l'obligeant à de grandes habiletés de langage. Il estime qu'à son époque, les aliments principaux en sont le rOman précieux et le théâtre romanesque opéras de Quinault, tragédies galantes de Thomas Corneille, N'assistez point aux théâtres, dit-il une fois de plus, car tout y est comme dans le monde de la chute, cette fausse » création du Démon tout y est concupiscence de la chair, concupiscence des yeux ou orgueil de la vie. « On y rend les passions délectables et tout le plaisir consiste à les sentir" se réveiller en nous. Ne croyez pas qu'on soit innocent en jouant ou en faisant un jeu des vicieuses passions des autres, Par là, on nourrit les siennes. Un spectateur du dehors est, au dedans, un acteur secret. Ces maladies sont contagieuses et, de la feinte, on en veut venir à la vérité, etc.. » Chose curieuse, soixante ans plus tard, Rousseau répétera les anathèmes de Bossuet dans son seul ouvrage sainement moral, La Lettre sur les Spectacles, ouvrage écrit d'ailleurs pour faire pièce à Voltaire qui ne le lui pardonna point ouvrage qu'il devait presque aussitôt démentir radicalement, par un écrit bien autrement influent sur l'opinion de son temps, par un roman au plus haut point romanesque et déjà romantique La Nouvelle Héloïsc `

mettre en pratique les leçons de ses philosophes et de ses savants.

Mais, répondra-t-on, ces aventures héroïques et passablement démentes, c'est du passé. Cela est fini, cela ne reviendra plus. Le réservoir des forces est épuisé! Quelle errour nous assure le généreux voyant. Et, tout de suite, en face de ce passé mort, le voilà qui nous bâtit une France du présent, une France de l'avenir, une France construite de toutes pièces par lui, selon son rêve, où la science est honorée comme l'aristocratie suprême, au il n'y a que des savants, des philosophes, des ingénieurs et des militaires, tous rompus aux disciplines scientifiques et marchant comme un seul homme pour le triomphe de la culture et la mise en valeur de la planète. Oui mais, il y a l'Allemagne toujours aux aguets Qu'à cela ne tienne L'Allemagne sera battue à plates coutures par des généraux méditatifs et prudents et par tout un peuple anarchique, subitement unifié et discipliné, en face de l'en- nemi. Et c'est ainsi que Paul Adam écrit ce livre extraordinaire qui s'appelle Le Mystère des foules et qui s'achève en un hymne d'espérance, presque de victoire.

Il faut se rappeler la somnolence, l'affaissement de l'esprit national au moment où ce livre parut, pour comprendre l'effet tonifiant qu'il produisit sur l'élite de la jeunesse d'alors. Barrès n'avait pas encore publié ses Bastions de l'Est. Le premier coup de clairon fut donné par Paul Adam. En ces misérables années, il a rendu cœur à une génération sacrifiée.

Il ne s'est pas arrêté là. Après la nation, il a glorifié la race, il a relevé la •latinité, une époque l'anglo-saxonnisme était' vanté- comme la forme souveraine de la civilisation. Dans son roman, Le Trust, il a montré tout ce que l'individualisme latin peut ajouter à la discipline, à l'esprit d'entreprise et d'association des Américains. Mais le Latin, pour Paul Adam, le Latin dans l'épanouissement de tous ses dons, c'est surtout le Français. En face de l'Américain organisateur de trusts, metteur en train d'affaires mondiales, il a dressé le Français conquérant et civilisateur, le Français bâtisseur d'empires. Il a écrit Notre Çarthcige. et La Ville inconnue. Il a prophétisé cet empire colonial, dont nous sommes si fiers et dont nous célébrons, en ce moment, l'étonnante réussite. Ainsi, tous les espoirs de ce visionnaire auront été réalisés. Il a vu au moins la réalisation du plus cher de tous. Lorsqu'en novembre 1918, il entra dans Strasbourg avec nos troupes vic- torieuses, ces mots lui jaillirent des lèvres « Après cela, on peut mourir » Comme s'il prévoyait sa fin prochaine, une fin qui se confondait presque avec la victoire. Quelle joie ce serait, aujourd'hui, pour l'auteur de Notre Carthage que d'assister à cette grande manifestation de la vitalité de la race qu'est notre Exposition coloniale et de constater de ses yeux ce qu'il aura appelé de, tous ses voeux pendant toute sa carrière d'écrivain la résurrection d'une France toujours capable de faire de grandes choses .i;.

Louis Bertrand

de l'Académie française.

Bossuet fait, en passant, allusion à la satire de Boileau Sur les Femmes, qui venait alors de paraître en librairie les réserves qu'il fait sur cet ouvrage le mirent en opposition avec Antoine Arnauld, alors réfugié en Belgique et à la veille même de sa mort. Bossuet y approuvait la condamnation du théâtre romanesque et des romans mais, dans son expérience des âmes, il jugeait que trop dénigrer le sexe aimable, à la mode des fabliaux de nos pères, c'était détourner les chrétiens du mariage, qui vaut mieux que la licence. Arnauld n'avait pas fait cette remarque subtile et il avait approuvé sans restrictions le satirique dans une lettre à Perrault qui venait au contraire de prendre ga- lamment contre Despréaux la défense des belles. L'exilé projeta mémo de publier sa lettre dont le poète, 'eut une copie, ce qui lui permit de s'écrier plus tard avec un accent de triomphe « Arnauld, le grand Arnauld fit mon apologie »

Mais les amis de ce dernier jugèrent que son intervention publique dans ce débat serait imprudente. Ils l'engagèrent à soumettre d'abord son texte à l'examen de Bossuet qui en déconseilla l'impression, moins qu'il n'y fût pratique de larges coupures. Le médecin Dodart, chargé de transmettre cette sentence à l'intéressé, le fit avec les précautions les plus déli- cates « Oserai-je ajouter, écrit-il à Arnauld, que le prélat, ayant voulu lire toute votre lettre et ayant approuvé les vérités qu'elle contient, aussi bien que la sincérité et la charité de l'auteur, n'en a pas moins approuvé la discrétion des amis qui, voyant les choses de près, n'ont pas jugé à propos de la rendre (de la remettre à Perrault) sans avoir fait (à l'auteur) de très humbles remontrances. Il (Bossuet) est donc d'avis qu'on compose une lettre du commencement et de la fin de celle-là. Car il lui paraît. impossible d'entrer dans un aussi grand détail sans se commettre. La défense des endroits (de Boileau) qu'on (Perrault) a prétendus indiscrets, et des railleries excessives (du satirique) ne peut se faire, sans entrer dans un détail qui ne manquerait pas de commettre. » Admirons en passant les raffinements d'éducation et de réserve que manifeste un tel document. Arnauld aurait suivi le conseil sans nul doute, mais il mourut avant de l'avoir reçu.

Bossuet a terminé son ouvrage par une élo- quente évocation de la lune nocturne recevant tout son éclat du soleil, en ajoutant que l'hom- me reçoit de même toutes ses vertus de son Dieu. Il y joint un magnifique appel à l'amour épuré par l'intervention de l'Esprit-Saint et les suggestions du sentiment sont en effet plus capables encore que celles de la raison de com- battre les suggestions, trop souvent dévastatrices, de la Libido dominandi.

Baron Ernest Seillière,

Membre de VI nui Uni,

i

COURRIER DES LETTRES Nouveauté de Baudelaire

Dans la collection des « Classiques Garnier », M. Ernest tiaynaud, vieux compagnon d'armes de Jean Moréas, vient de publier nue excellente édition de L'Art romantique, auquel il a joint une préface, des notes et des commentaires. Je n'ai pas besoin de souligner l'intérêt de ce volume, car on connaît bien le août passionné des choses de l'esprit qui anime le poète du Bocnge et de La Gouranno des jours, et, précisément, sa dévotion pour Baudelaire, Il a déjà donné, à lu même librairie, des éditions dés Fleurs du Mal et des Petits poèmes en; prose et il a consacré à Charles Baudelaire un volume de critique et de biographie dont il faut reconnaître la valeur, alors même qu'on en conteste vivement certaines conclusions.

J'en dirai autant de sa préface ri L'Art romantique, bien que ses définitions du romantisme me semblent parfois passer trop rapidement sur lessentiel pour s'arrêter à (les thèmes accessoires. Mais il a le mérite de mettre dans une juste lumière ceiie phrase capiiale du grand poète « Le romantisme n'est ni dans le choix des sujets, ni dans la vérité exacte {et il faut voir ici, comme le fait remarquer M. Raijnuud, une allusion à ce Balzac que le romantisme crut pouvoir compter parmi les siens, et peut-être à Flaubert), mais dans la manière de sentir. » Je ne veux d'ailleurs pùint chercher une querelle à M. Ernest Raynauà et j'aime mieux le remercier de l'occasion qu'il nous o f fre de relire ces pages de Baudelaire, Comme ce poète qui eut une conscience si lucide des nécessités de son art nous touche encore par soit extrême nouveauté! Relisez son étude sur Gautier à côté d'un enthousiasme qui nous parait aujourd'hui excessif, quelles précisions magistrales il apporte à l'étude de la poésie! Nous* avons là, avec se préface aux Histoires extraordinaires de Poe, des leçons d'une rigueur magnifique, l'enseignement même rfe.ee/fa poésie pure,<dont {Marsan l'a prouvé) nous devons à M. Paul Bourget l'expression même. Mais écoutez Baudelqiré. A-t-on jamais établi plus nettement des notions indispensables ? « Lés, différents objets de la recherche spirituelle, ècriUil, réclament des facultés qui leur sont éternellement appropriées. Encore faut-il remarquer que plus un objet réclame de facultés, moins il est noble et pur, plus il est complexe, plus il contient de bâtardise. Et ceci « Une foule de gens se figurent que le bat de la poésie est un enseignement quelconque. La Poésie. n'a pas d'autre but qu'Ellemême, et aucun poème ne sera si grand, si noble, si véritablement digne dit nom de poème, que celui qui aura été écrit uniquement pour le plaisir d'écrire an poème. »

Tout cela est certes bien connu, mais il n'est pas mauvais de répéter certaines vérités. En voyant que les définitions de Baudelaire ont gardé tonte leur fraîcheur, nous y pouvons honorer les signes d'une raison vraiment exquise.

Gilbert Charles,

t*

Qu'est-ce que la poésie ? 7

M, Léon Treieh recueille dans Le Soir des défi, nitions do la poésie. Citons-en quelques-unes De M. André Gide

« Pouvez-vous croire qu'une définition de la poésie va permettre à certains lecteurs de ne pas prendre des vessies pour des lanternes? tLes plus mau,vais poètes n'ont-ils pas été précisément ceux dont les vers répondent le mieux à la définition que l'on se faisait, de la poésie de leur temps » De M. René Groos

« La poésie est l'ait de faire des vers », Quant au vers, « il est une harmonie plus intense et plus vivement sentie des sons articulés entre eux, et des sentiments, des idées, des tableaux avec les sons eux-mêmes ».

H. Marcel Ormoy ` « L:i poésie est l'expression la plus intellectuelle possible do la sensibilité la plus pure possible n. Vous n'avez qu'à faire votre choix.

Les écrivains aux champs

Le vivant petit journal de Bruxelles Le Rouge et le Noir a commue, à la lin de chaque saison, de convier ses collaborateurs et ses amis a un banquet champêtre. « C'est une façon comme une autre, dit-il, de se préparer aux vacances et d'attendre la réouverture de lu tribune qui se fera en octobre. » Nous n'aimons pas beaucoup réouverture, mais l'idée est charmante.

Les banquets champêtres furent déjà donnés en l'honneur do M. André Haillon et de M. Charles Bernard, l'éminent critique de la Nation Belge. Le samedi 18 juillet, le banquet du Rouge et Noir groupera les admirateurs de MM, Jean Dess, et Edward Ivwbnnk, collaborateurs fidèles de cette

aimable feuille,

Nos amis belges nous donnent l'exemple. Quand irons-nous dans la forêt de Saint-Germain on dans les bois de Chantilly nous entretenir doctement de belles-lettres en buvant frais sous les ombrages '? J* M. Jean Raiulin, directeur-fondateur des Veillées de Paris, est chargé désormais de la pase do critique littéraire Sous la Bande la revue des Visages, Il y rendra compte des ouvrages qui lui seront adressés en double exemplaire à son adresse aux Veillées de Paris, 5, rue Dubrunfaut Paris (12°).

Le Carnet du Lecteur Au delà, par John Galsworthy. Traduit de. l'anglais par Mme Claireau (s vetitmes, Calwann-Lév-y). Comme les précédents romans, de Gelsworthy, 'comme aussi La Princesse Blanche, de, Maurice -Burins, Au delà peint toute mie vie (une vie de femme,). Si Gak* viorthy en a fini avec l'histoire inoubliable fa la trihq des Forsyte, on voit qu'en fait it ase s'dÈoàgrr© guère de son chemin, et cette nouvelle œuvre apporte en-. core un témoignage du natheonfemmme alatu l'amoup, le plus délicat et le plus pudique nott-cmtfQrnèisme, tel celui de certains Farsyte qui, raillant doucement lit société victorieuse, entendaient bien ne pas la, met* ire en péril ni même s'en séparer-

Gyp, née d'amours irrégnliers et, de ce fait, isolée -™ ainsi que son père de la bonne société, grandit dam la solitude et cultive la musique et la chimère. A vingt ans, Gyp s'éprend d'un violoniste Scandinave, l'épouse, souffre et le quitte, Après un temps de repos senti* mental, elle devient la maîtresse d'un jeune avocat anglais (un vrai Forsyte !), lie réussit pas à l'épouser et se réfugie, après la mort de cet amant, dans un. beau renoncement. Ce brutal schéma de l'intrigue vsnt- seitr lement indiquer que trois fortes études de caréçtèr-ê dominent l'œuvre au lecteur familier de Galswprthy d'imaginer la savoureuse richesse humaine gui s'gfr donne autour de cette femme d'humanité moyenne, même médiocre, et si vivement éclairée, par l'amour, d'imaginer aussi tous les contrastes qui nourrissant douce ironie du romancier.

Les thèmes d'Au delà sont, pour la plupart, connus déjà. Mais n'importe un art véritable na- livre jamais tous ses secrets.

Jean Prélevai.


COURRIER DE LA BOURSE

PROPOS FEMININS

UUtll»

La saison parisienne est virtuellement terminée niais les Parisiennes entendent, cette année, la continuer jusqu'au 14 juillet et au delà. Paris est si beau par ces belles journées de soleil Mousselines unies et fleuries allègent encore la silhouette des femmes, leur prêtent une grâce ailée, qui crée de la beauté à toutes heures du jour dans les réunions élégantes. Les chapeaux, ressuscités du Second Empire, seraient choses délicieuses si on savait rester exactement dans la note qui convient à la netteté, de nos robes actuelles, au lieu de les charger et surcharger de plumes comme au temps des crinolines. Mardi soir, au Polo, le dîner suivi de bal offrait un coup d'œil ravissant. Les couleurs les plus fraîches, les plus radieuses rivalisaient avec le blanc, dont la faveur reste très grande. Qu'elle était donc jolie, cette jeune femme à la peau bronzée cohvme celle de José-' phin Baker, dans une' robe de mousseline orangeries cheveux.. noirs et plats fixés sur la nuque pa'j- un rang de perles dont les deux extrémités, fixées aux lobes de l'oreille, formaient pendants 1 La mode improvise sans cesse, témoignant ainsi de sa riche vitalité.

**y~ Rosine.

*V

Entre nous

L'autre jour, dans un thé très chic, un petit jeu s'organisa à qui devinerait le couturier ayant signé la robe de chaque arrivante. On était entre amies: la chose était vérifiablc. Tous les noms. les plus fameux de la couture furent alors prononcés, auxquels nos élégantes n'opposaient pas de dénégations. Mais, quand le jeu s'apaisa, l'une dit, très au courant « Les réponses n'ont pas été mauvaises elles eussent été pleinement exactes si l'on y avait ajouté que les robes, ces petits chefs-d'œuvre parisiens, avaient été achetées, et pas très cher, chez Malborough, 59, rue Saint-Lazare. » R.

R.

A

Déjà depuis l'été dernier, nous prévoyions le retour en vogue de l'ombrelle. Certaines réunions, parmi les plus élégantes garden-parties. Grand Prix de Paris, courses à Cannes ou Deauville, avaient été pour quelques femmes très élégantes prétexte à s'accompagner ct'ii'nè ombrelle assortie à leur rôîlette. Ainsi, à Longchamp,c,'était l'ombrelle de dentelle noire à, rMhés de velours, mais à Deauville jt'arà.issail seulement l'ombrelle de shantung rosé ou de toile de soie teinte à la main.

Cet été, l'ombrelle fait une rentrée I triomphale dans le domaine charmant des colifichets. On la Verra partout et avec chaque femme. Elle sera un peu plus haute que l'an dernier, un peu moins plate, au manche mailloche ou en bec de corbin. n~*

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croirez rêver et parcourir dans votre rêve les siècles passés. Peutêtre vous êles vous déjà arrêtée devant ces corsets authentiques, si vieillots et bizarres. Et votre exclamation a dû être « Comment pouvait-on porter ces appareils de torture ? » Depuis cette grande cuirasse en n grosse toile e de l'époque Louis XIV, le non moins bizarre de l'époque Louis XV, ceux du dix-huitième, de 1870, et jusqu'à celui du troisième Empire.

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A l'Hôtel Drouot

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MI Henri Baudoin, assisté de MM. F. Max-Kann et A. de Boissieu, présentait cet ensemble moyen. Une toile de l'école de Casanova L'assaut de la forteresse, fut payée 1.305 francs une toile de l'école de Constable L'écluse, 1.600 fr.; deux toiles attribuées à Pannini La prédication du Christ et La résurrection miraculeuse, 2.550 francs un important surtout de table en bronze doré, signé Thomire, 19.500 francs; trois fau- teuils, de style Régence, 1.055 francs un ameublement de salon, d'époque Louis XVI, 1.580 francs une commode, dix-neuvième siècle, 1.700 francs un petit bureau en bois de placage, 1.350 francs; une commode, époque Louis XV, estampille de Ellaume, 2.750 francs, et une commode, époque Régence, 1.520 francs.

Objets d'art, faïences, sièges

et meubles anciens

M* Etienne Pruvost, assisté de M. Edouard Pape, dirigeait cette vacation bien composée. Une partie de service en porcelaine de Chine, fit 4.600 francs une grande aiguière, de Jacob Petit, 1.550 francs deux bustes en terre cuite Pierre Corneille, par J.-J. Caf-

.111111.

fieri, 900 francs, et Racine, 900 francs une grande pendule d'applique et son socle, époque Louis XV, cadran de Picart, à Reims, 4.200 francs trois fauteuils en acajou, époque Empire, 1.900 francs deux fauteuils, époque fin Louis XVI, 1.060 francs une armoire en bois noir, dix-septième siècle, 2.700 francs un grand guéridon, commencement du dix-neuvième, 1.250 francs un bahut Renaissance, 1.650 francs, et une psyché acajou, commencement du dix-neuvième, 1.950 francs.

Tableaux, meubles, objets d'art, argenterie, tapis

M" Robert Bignon, assisté de MM. F. Marboutin et Joseph Logé présentait cet ensemble intéressant. Un bronze de Fumière La jeunesse victorieuse, fut adjugé 1.480 francs un sucrier de style Empire en vermeil, 1.050 francs un service de coiffeuse en argent et émail, 2.050 francs un service de table en argent, style Louis XVI, 7.000 fr. un salon de style Louis XVI, garpi de, fine tdpis"sèrie d'Àubùsson, 4.510 f r. un salon Louis XVI, couvert de tapisserie d'Aubusson, 3.200' francs un salon Régence couvert en tapisserie verdure, 3.100 francs une table en marqueterie, 1.550 francs deux vitrines en bois de placage, style Louis XVI, 3.910 fr. un ameublement de salle à manger,

nantissement le portefeuille de la Compagnie. Le ministre des finances serait. autorisé à faire transférer au nom de l'Etat 56.512 actions à vote privilégié, à titre de garantie des créances du/Trésor.

Pétrolifères calmes. ̃

Sud-africaines en progrès Rand-

miiies, 367.

Central Mining, 987.

Hausse des caoutchoutières Indochine, 256 Padang, 358 Terres Rouges, 224.

Bonne tenue du comptant.

La part Poliet et Chalisson gagne 400 fr., à 17.900 Sud-Lumière 100, à G.800 Chàtillon-Commentnj 125, à 2.650 Béthune 150, à 7.600 Bénédictine 300, tk 7.300 Sumatra 200, à 1.G75, etc.

CHEMINS DE FER DE- L'ETAT

Les Bureaux de Tourisme fies Chemins de fer de l'Elut sont à voire disposition. Créés « pour vous servir », ils sont à la disposition de tous. Vous qui cherchez quelle plage du réseau de l'Etat vous retiendra cet été, vous qui désirez savoir quelle belle excursion il faut entreprendre en Normandie, en Bretagne, ou bien entre Loire et Gironde.

Vous indiquer l'hôtel qui vous convienne, retenir votre chambre, louer une' bonne place dans l'auto-car, etc., les Bureaux de Tourisme peuvent tout cela pour vous. Ils vous attendent. et tiennent à votre disposition, gratuitement, des brochures illustrées avec lesquelles vous pourrez vraiment préparer vos vacances.

Ecrivez ou passez Gare Saint-Lazare, salle des Pas-Perdus, à côté du bureau des Renseignements Gare Montparnasse, place de Rennes Gare de Rouen R. D.

CHEMINS DE FER DE L'EST

Relations temporaires de jour entre Paris, Contrexéville et Viltel, les Vosges et Cé- rardmer.

Jusqu'au 25 septembre, le train rapide dit « Train des Eaux » assurera des relations directes entre Paris, Vittel, Contrexéville et Martigny

Départ de Paris à 10 h. 5; arrivée à Martigny, 15 h. 5; Contrexéville, 15 h. 17; Vittel, 15 h. 20. Départ de Vittel à 1C h. 21; arrivée à Contrexéville, 16 h. 30 Martigny. 16 h. 42; Paris, 21 h. 19.

Wagon-restaurant entre Paris et Langres, A partir du 25 juin et jusqu'au 25 septembre. ce train assurera en outre les rela*tions entre 'Paris, les différentes' autres vil* tes d'eaux de l'Est et Gérardmer.

1" juillet.

Après un début empreint d'hési- tation, le marché s'est de nouveau j orienté vers la fermeté, en raison les achats de l'étranger el des j conditions dans lesquelles la liquidation d'hier s'est déroulée. Les vendeurs à découvert sont restés dans l'expectative, à cause, sans doute, de leur position vulnérable, et en attendant quelque indication au sujet de la controverse francoaméricaine. La clientèle a transmis quelques ordres d'achat. Mais, en somme, on a fait peu d'affaires. La clôture s'est effectuée cependant en] bonne tendance, particulièrement en coulisse, où une réelle animation a régné dans le groupe des caoutchoucs.

Bourse de Berlin maussade. Stock Exchange de Londres soutenu.

«

Nos Rentes sont en progrès sensibles, sauf le vieux 3 0/0 qui recule à 87 50.

Reprise des achats en fonds russes.

Etablissements de crédit irréguliers Banque de France, 16.750 Banque de Paris, 2.395 Lyonnais, 2.570 Union Parisienne, 1.270 Comptoir d'Escompte, 1.575 Mobilier, 669 Foncier, 5.465 Foncier Egyptien, 3.525.

Fermeté du groupe électrique Distribution, 2.680 Générale d'Electricité, 2.915 Littoral, 1.296 Hijdro-Cère, 560.

Malgré le recul du cuivre, les mines métalliques sont soutenues Rio 2.820 Boléo, 135. Le cuivre abandonne 2 livres 1/2.

Charbonnages fermes Lens, 793. Légère avance des produits chimiques Péchineu, 2.040 Air Liquide, 1.005 Azote, 1.338. Reprise de la Transatlantique à 229. Le projet du gouvernement prévoit la garantie de l'Etat pour un emprunt de 160 millions. L'Etat prendrait hypothèque sur, les immeubles et navires ou recevrait en

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BOURSE DU 1er JUILLET ±Q3±

Rg[ TERME, g^l-Sirl -COMPTANT |gSfe|^f| COMPTANT [^| °=fg COMPTANT gSJ °SJ "S" COMPTANT [»| *SlZ\ "g MARCHÉ EN BANQUE |g. ™S\ MARCHÉS ÉTRANGERS

brut TERME 1 précéd" cours COMPTANT précéd" cours COMPTANT~J~IF~F COMPTANT" &COMFTAN~ M p,'écéd" cours MARCHES ÈTR&N6ERS précéd" cours

V 87*87 5-, FONDSD'ÉTATS aroc 5 ,9,0 «..<».. BANQUES 00 Béthune (C" de, nouv «*•«»•• TERME LONDRES >" OuiHet

5%)9t5-t9)6. 103 25 )0395 ° Pc!ogne7%)927.2550..2555.. BANQUbb M5..CharbonnagesduTonk.n.4W.. M.)ntarieur5% !650 E: ° '8. )8.

;Sr^i§yiSB3* «» w«o^^V,9-a^ ̃ 55œ 535S J.|ïïf--f «" 020 ••– _-|i- !t:° !^IF– is: MèU

4%)9t8. 04 -103 10 3 Am~rtissable 94.. ?320Rouman!e4%<890. 3)5 ..Banqued.rtndo-Chine.5500 ..5355.. 75..Dombrowa(Hou.Heres)part~ "-g'e%~9,3' 11 279 95s 19)7. 207/8 20 718

5%)920amorti~b!e.)3?.0)373f.3t/2%Amcrtissab)e. 4%1896. française de l'Afrique 90 33..Ep.nac(Hcu.n.r.s&Ch.ferd3545..5~B°"S''°'S"n.7..4% 19!8. 207/8 207/8

6% 92O amortissable IO2 3O '02 M 5 ,915-1916 103 15 103 80 4%1898 62 35 Afrique Occidentale. lt>50 .750 55 Haute-Loire CHouiHeres de la)..550 9W 30 Alb, 37 Consolidés 60 !<?. 60 -Î.M

41925 change) 131 47 U)504%t917. 103 95 104.. Rente unifiée 4 826.. Europe Cent.(Pays) ord 74.. ~M~~ertetaB.raud.~re.)650.6~Baha~<a~~ 36 75 .3? Consolidés. 60 ,,8. t.f .4

4 S? ,925 change) 13147 131 50 4 19,7 I03 95 104.. Rente unifié. 4 C~O 50 82.. 6.. Europe Cent.(Pays)ord /«.. 74.. 95 Montrambert et a Beraudière. 1650 1606 Nationale d''Égv '-V.' 3400 3505 Argentin Î888 75 1/2 76.

6 1927 amortissable 104 10 104 « 4 ,918 !04 103 s ICO 50 95.. 7 48 ,.eriv-,™" 'm a™" <M'nM ° 17^ 1770 H J, 6 Br^Mn 338 .59 ar'sM iS89 39 1/2 391,7

5 1928 amortissable !03 35 103 6C 5 1920 Amortissable 136 97 137 27 Russie 4 ,867-1869 3 75 3 90 18.. Indust. de i'Afr'- Nord. 490 9O..Anz,n 17-0 17W 8 ,h.6 Brakpan 415.. AVI.. Funding 7! 112 7!

738 09 Banque de France 16980.. 16750.. 6 1920 10120 102 75 Santa-Fé 5 1S19 1226 .2i0.. 20.. Franco-Japonaise 274.. 27?.. 45 Blanzy 1095 1075 4^ Caïro Hel'ioooïis H61 !5IO Chine 4- 1/2.. 89 1/2 89 1/2 h2

73B 09 8anquede France. 169Hû.. IÓï50.. 6 1920 10120 102 ~5 Santa.Fé 5% 1919.1226.. 1240.. 20.. Franco-Japonai$e. 274.. 273.. 45.. Blanzy. 920.. 950.. 12.. Bruay. 415.. 4. Fu~ding. 71112 .J.

43434 de l'Algérie 1360.. I i 150.. 4 1925 (change garanti). 13150 131 50 Serbe 5 1913 130.. 129.. 30.. des Pays du Nord 670.. 55 50 Carmaux %0 15^0 P'°' Camb'idoé 66 50 93 Egypte unifiée 75. 75.

7-Nationale 0 Nationale de Crédit 1175 1175..6 1927 Amortlssable. 10405 104 75 Suède 3112% 1895. 15.. Privée non cum. '7' 100.. Carvin. 1560.. 1570. "iCambod~e. 56 5C~ ~8.. Egypte unifiée 75 75 .1.

70.. Nationale de Crédit. 1175 1175 6% 1927 Amortissable 104 05 104 75 Suède 3 1/2 1895 15.. Privée non cum ̃̃̃•• 100..Carvm '50 N5 #3 Can7o°an Eaqle •'7 75 48 75 Extérieure 411/2 43 1/2

100.. de Par,s& Pays-Bas. |2393 ..2395 ..5% 1928 103 30 103 65 Suisse ,903 50.. de Suède et de Pans. ?!? 9:2 95..Dourges 'o 26l" 7 h câSûtohSuca<S"Finano èrede) 103.. H 50 Italien 19. 19.

70. de l'Union Parisienne. 135 1270 Turquie consolidées 1890 95.. 125 Crédit Algérien _60>2o65.. 23 Gra.ssessac. 60. 7 b- gacutchoucsCS F.nanoiereoe; 793,480. 85 Compagnie Algérienne 1755 ;7C6 Obligations 6 ,927 506 50 507 55 Douanes 19O2 91. 37 Créd. Fono. d'Algérie-Tunis.e. 787.. 783.. 45 Grand Combe ̃̃ '»̃̃ ̃ ̃ ^°"t^0UCS V 139.. !39 50 Portugais 45 3/4 44 3;4 50 Comptoir Lyon-Alemand 435.. «5 p T T 5 ,928 r. à SOO. 512.. 514.. Tribut d'Egypte Crédit Foncier Argentin Ugny- es-A,res. -Jf Z «h.. Chartered 13\1.. s 45 314 44 3;4 80 '.Comptoir National d'Escompte 1585 ..1575 4 1929 r. è SOO.. 518 522 Priorité Tombac du Brésil to M 33 Lo.re CM.nes de la) 835 839 5o"lef ColjTrdfa '.y. 69.. 70 9O9 '• >

60 Crédit Commercial de France. 1140.. !130 Bons du Trésor 5 1924 742 50 742.. Tabacs du Portugal. 55.. COlonial. 314.. 3!0.. 40 ..1¡Ma ries 635.. 839.. 50 lei.. Concordia 69.. 70.. 1909. 1 1.

^rrviir^?^?^ 5H3 SSa Taba° s du 17^ J"S:= _srrt^2,7.;îî2.7.îi: 1,

17 50 Foncier de l'¡ndo-Chine 21; 2'¡, 7 1927 54h 50 048 50 55 Soc. G1, Alsacienne de Banque. 1;79 Il~9 237 50 Algérie-Tunisie (Omnium). 3440 3400 Chartered. 21 ,,3 IiZ: 21 1,'Z.

&? '= ^c^v.o^c,^J^ 38» 58? obl,o*™n. M:?.6-: f ^̃̃̃̃^̃̃B:[^ & i:

40.. Mobilier Français 675.. 669.. 5%1919 4B9.. 480.. 65..FoncièreNorddeFrance t.p. 320.. 3,0 297..8or(Minesde).ord.2940..2930.De E3eers ordinaire 518.. 5.5..Goldfieids.2j. 25 .1..

*s^ p±-^t; 3î:: ^0^.drnn-E^ féa Sa 02 18713% 405 ».. :ti^ S:: Î8:: ^a^^ 37:~1.. 20 .h.. «j* « -:?: iïtm.

45 Société Générale 13,5 13~5 Caisse autonome 4 112 ;10. Õ'" 1031 103P 1875 4 505 506 ,[ IE Rand* r" 7t) ~5 77 75 De Beers 4 14",4 "d..

42:F~A~ 3 ~432 434.. 18764 %Hj., 5Q6: 510.. ¡ .70 Lille-Borinières. ord. 796.. ir-1 Equatour:6, Jagersfon\ein. .1 :,1.

32.. Société Générale Foncière 373 i!50 Indo-Chlne 3 70 1909. 420. 1892 2 1/2 328:. 329.; ACT40NS INDUSTRIELLES 15.. Estrellas MIn,ng. 146.1-16 50 Rio Ti~t .1. 22,1/2 22 1 j«t

32., Société Générale Foncière. 3,3 lndefhI 8 1909^ « fi 1892J1/2 V J fc » •• •̃ INDUSTRIELLES ,;i^ «00 It" 50 f^Ê™ *S ï. ®W%fr:=r. %>}±

66701 Suez. 1649~ 16500.. Madagascar 1903.1905. 6, ir 18982% 40)0.. ~395 120.. Dynamite (Société Centrale). 25~5 246, Franco.Polonaise Pétro. 6t) 50 61~ Royal Dutch lO,I¡8.¡29 1.,6.

737 47 Suez (part de fondateur) Maroc 4;{o 1914 498:: .C:92~ ~1S ~8! 35 Chemin Est -Algérien 62Q.. 60\1.. 70.. Electro-Chimie Métai 1449 1365.. 1 d".iFranco-Wyoming, ord 21~ 2 ~n:2

26)60Stjez(c,vi~)(cinqui.mo).4550.)630.. 5%t9)8. 521.. ..52). 19042 l12 Mét 400 197 27-Ouest jouis 436..433.. ;Engra,sNo~6'h.3Gedu!d. 5. 510 N.rth Caucasien ).)<

55 ..E.t.S..Tu~3%892. 3M.. 37. ~?: 705:: ~l~~n'.s-662: 3-n~dated~ '.54.. ).65Cvene~nO.5~8..

thô^dT: m:: crédit Nationa,5%i9,9 63?.. 621..° iliSil'4..7:?! & 352 t:\P^eJ:?^e^oin^ ..4* » ^^1.™ $,̃•?%•• •h-6G^-l<al"mpon9 "• ̃̃ *3Cêrc^«B'i4»i: 105., Nord 2m ̃̃ 22° •• oblig.500'5%1920.. 565.. 565 1912 3% 285.. 285.. 90 Magasins Généraux de Paris.. 2.C0 2120.. 95 30 Le R.pol.n jou.s 29-0 7935 qn w.ki, 1445 W72 MarCon° ..° I7W4 171,'2 72 50 Srléans I3« HO.. Bons 6 1921 544.. 544 ,9,95% 499 499.. 85. Eaux (C.omp. Générale des) 1750 1780 72 Samt-Gobam. Chminy Sm4205 ••Kû'chaoà '(JO.. 63 50 Malacca 0 II.. 0

6 1922 décen. 532:(1 532 50;; Oblig. décen. 1922 6 0/o. 80.. Vichy (Établ. thermal) 270 05. Soie Artificielle (Givet) 4200 ..14205. Huanchaca .1 60 r 5 Malacca. 0 1/2.. O..1.

̃i50..Santa-FéCC»fr.C,ferProv.7:5.735.. = = S 8 1SI1 %?. > Oï- «T" 1211 S S" iié"Y. 2^! ïï£^= »* Y Y | Z^YYY Y C^ «* ^-uala 22/6 22/6

45.. Métropolitain de Paris 139U 1400.. 6 janv.1923.. 564.. 56; 19246% 510 524.. 90 09 Soie art. d'Izleux. 1445 1)50.. 40 Huiles de Pétrole 315 325..

90:d~an~ 1220.. 6 juin 1923. ~56:: ~53:: ~-29~ .35..A.n.4~ 80 Salins du Midi 1410.. 14!O. Hydro-EI.c. Cère. 549,. ~0 Escompte hors banque 2~{~

75 E^et Étirage CLyonnaise).28.iO.. 86».. oblig. 6 1924 564.. 56! ,930 4 o/O Lots I010..I010 Bourguignonne.Energie 188.. 165.. 800 Port du Rosano 25750.. 25750.. -;h-- J^'0" ;;• ,55 153 s/par a .(change). 124 25 124 25

,70.. Distr. Parisienne d'Electricité 267D- ~-z6ç Càbles Télégraphiques. 216.. 206.. 13 13 Chargeurs Réunis. parts. 3 ,h.. Johannesburg. 155 ..1 153 S/Paris .(change). 124 25 124'25

^al^Sïru. S:: ÏÏlYDi^.ae^7%^e.. «. ^eo *».. ».. •iSK:.Trl.r.|: j :3&uepp^ iôi îiègrïïïpï w* •g: = S1S/S>W

90 50 Electricité de la Seine 8?3 851 Dépbrt. de l'Aisne 7%1926.. 567 567 Com. 1879260 5o 50-1 50~ 40.. Edison. 1000 ..11015 Havraise Péninsulaire (E3) 1O! 1 .h.6 Kuala'Lumpur 137 5<0 10~ S,New. York. 466 4~ 469 36

l^I^Scc^^): z z _5!S?::i8Si:|g grSSl ?: g:: |;i!=£ïïa£^ 1. ^y^=^^=yy:: 8:: %y \E= îïlt ïï^sa^ = •$$

85. Electr.icité..(C" Générale d') 2860.. 29l5.. 6% 1;9208. Il}35 1036 Com.18803 51B.. ?:7.. 100.. Electricité de Strasbourg 2155. ~06û.. 35.. Transports Maritimes 3014.. :>45. ,.ILondon Tinord. 90 5C 8~ 50 V.1p.r.i.o .39 95 39;5

55 Energie Littoral Méditerran. UBU 1256 de' la Marne 6 1/2 323 523 Fonc. 1883 3 ̃ ̃ i?^ 2% à° Varsovle ord ".• ^i?0 ^600 o- 7000 7'00 28 Lorraine Tin 160 W 153 Argent métal (comptant) 13 1.2 13 9/ 16

4O..EnergieElectr Nord France.. ë82 879.. -de Meurt.-et-M. 6 5ZO 504.. < 1885260% 410.. ïio 3750EnergieduMaroc.2650..2600.. 335..8énédictine.iOOO..7.CO.. 28..Lorraine. 16:J5.) 1J3 Argenlmetal (comptant). 13.1, 13 91l6

90-e~r.~ -de Meuse 6 ~2 0/o 1923. 508 509 e.m.j89~°. 3M.. 360.. 1 455..8rasserieQuilmès.105..5l25.. 2.h..MainReefConsolidated. )32.. j~ C~e(~anU.9.~36.U.6

30 Thpmson-Houston. 618.. 63. -du Nord 6 1921 557.. 560.. u. 1892260 420.. 415.. 50.. Forces Motrices du Rhône 2,90.. 21.0.. 125.. Distillerie Cusenier. ~'370 2~6' Malecca, ord ,06.. 118

^uSSe=r- z -i-gglSi. ^i F^c îllilfgl: ^56 ^iè al?5 ^t^ts-):2:9°.2 ::g^!i^è^îg ::f|g Y^;f=pYY \y 35 n_w^ork .«,̃« 25 '"Firminy^ ••••••̃̃• •• 34! •• 7 ,927 583 572 cOm III 2 6O »/o 402 403 22 50 Forces Mot. Vallée d'Aspe 368 370 45 Grand Hôtel ̃••-•••••• ^5a" 5n ° 5 îjTeîTn W) P98 1359 Ca.l Money c m 11/2 11/2

.35:620.620.. Somme6K%.923.. 5:3.. 523 Fonc,9o33% 455 0155.. 3333 ~640:4G:: ,o"N~-B~°~5:395:: 50 0::M~r:~e: 373:: 35.b~r~fe~ 4863 .486.0

145 For. 8< Aciéries du Nord et Est 830.. ~55 Com, 1906 3 436 445 3750 -de la Vienne 840 ..1, e~u.. 130.. No.si.8é. 1'85 1095.. 50.. Moteurs Gnâme .373 351 Câbles transfers 4&6 3..4/36 ..0

Ts-Ç^H^^rt^îiSS :«:: vni.d-A.^6% «2.. «8..ô ^ISSIl.fc: |* S-3? -to_v"BB^:27So. 'S: 3^ ?r ,Ir- «•» 305 4225 fllsg|rtpï-vS: SïgaïlS

50.. Courrières. 890.. 8"9.. Ville de Reims 6 516. Com 19123% 232.. 2335u Sucreries Coloniales. 120.. IL4. Mozambique 4225 75 U. S. Liberty 3 1/2 102 t93 102 112

5o..c0 r;- «:: Sg:5:a:n«eV: ?:: :| 1111 !• Sî-: S* ^M^ Sî^^p: ^^̃^̃̃̃̃̃̃^̃d- -.g» .fi: 'Stë'SW

|;a: g:: ^y^ |g. ^A^yyyyy. S:: g:: 1"=^ g:: g |: z Z^ByBy S •̃ SbSSSSS^ S* 1:»^? \K

45 Penarroya ~4.. 409.. C" d'Ènerg'e Electrique. 5U 513 0 19236% 520.. 516.. 30.. part .¡1015 I(¡I~ 175.. d'Origny 4850.. 4625.. 40.. Phosphates de Constantine.. 520 535 Chesapeake 8< Ohio. 383:4 37 7~8

Platine. 29() 29! Églises dévastées 513.. 512 Empr. 1926 7 0/o 7;7 7tO 75 Pyrénéenne d'Energie Electr..12ù65 2' 68951 part.12230.. \2:25.. 20 Phosphates Tunisiens.1205 _09.' Chicago Milwaukee C. 6.1.6.1.

IySS^^yyI S;; Sjj^SHSE: iii; l°:n ^B$y= §; | Ïy^e^y^y 3! ^^T 1-ï *»^,== Si SïSS^-ee U Il' IM

o. Crédit Gén. des Pétroles 25 169.. Grosse Métallurgie 6 514. Ü Com. 1927 7 0/<.°. 601 601.. 15 ..¡Redio..ElectriqUe"II75.. ~5.. 10 ..IFinancièro des Ciments. !~15 67. Plakalnitza. 47.. 4 Ch.ic.agO Rock Island. 4J 25 1!2

Dabrowa (Pétroles) £.. g 50 6 nouvelles .;••• Corn. 1930 A% W 986.. g Rad.o-France 3 7 > 100 Pohet ^Chausson j' S" Knd MTn«. 358.. 367 lllinoi. Centra, M I '2 52 1,2

:z5 80zol'Malétra. 41t) 0109.. Cail Fives.Lilies 6 513 Com. 19314 1020 1020.. 25 Radio-Maritime 24.5 2,13 too !?6(j()..tl7000.. 5 .h..IRand Mines. 358. '.III,noisGentral.

25 B-^alétra 4,0 409 ^sS^ ,3 Com. 193, 4 .020 16 ^YYYYYYYYYY 38g | Bon Marché j* Roumano-Belge de PétrCe. 18 m u^.u^^ 75 J

40 Kuhlmann. 512.. 507 industrie Sucrière Française.51'1.. 5G4 Alsace-Lorraine 6 Vo (Ch.def.) 26947 ordo 67W ~eoo.. 250.. Chapal.1000 2'i1OO 3" 5(, New-York Central Ç2 1)-' 93 .1.

35. Gafsa. 533.. 531.. Industriels Alsaciens 1922. 513.. 516.. 5% 970:: 972 50.. Télégraphie sans Fil. 5ta.. 57U.. 60.. Coty (Société anonyme) 555.. 545. Shansi. ,625 35(, pennSYIVania. 46 jlt.

90 Produits enim. d'Alais. Froges 2020 20* Maison Bréguet 6 ••• 3% 363.. 363 40 Téléphones ?* 78« Ga; _.f ayette ^[[^p^ -[YYYYYYY 42 50 44 7, ^hern-RaHway V.! Y. 39 M 38

30 Chargeurs Réunis. 3tC.. 391 Mines de Lens 6 1922. 512.517. Est 6 'CO 500 9333 33 (part> 600GO.. 7~5QO Silva Plana. 42 5([ 4~ South~r.-Ra,j-ay a'31A 3~ 1,~i 38

S::?5ïïïï^ri- g" «a1^ ^II" 35:: S:: i».93^^ %̃̃ 6-T^ !Jî:: !Sic^r:S^!S!îf

62 50 Voitures 684 dt() Usines sinistrées 6 1/2 519.. 531 4~ 479" 46'J 370.. Dolifus-Mie 5t,5t) bt.25.. 25 ..¡ROUff 250 '1245 6 6 p. Tanganyika 1.71 6e 5C Union P. acific. 167 .68 .1.

6250y.~res.Par. 5.9.. 3% ancienne 396 420 !30:?~e.-(G~ 12.¡(J 85::Aen~-Ha~400..j365.Tayoy~n. 29 28 Anaconda Copper 2&9 314 2.9 3.t4

1/62 50 Voitures à Paris 684.. «0 Usines sinistrées 6 1/2 4t6 53! ^m «g.. 420 Y.Ï2^?^^ïr^Y.™*Y .^Y l Y.1^^ H^YYYYYYYYYYYYYY ̃ TaVoV Tin .29.. 2 8. nacenc Copp. 3/4 29 3 4

35 ..Air Liquide lndo-Chine ICÛÎ Alsér,e 3 19O2 466. -2 1/2% 396.. 405 50 25 lndustrie textlle. 940.. W> 90 Didot-Batt.n 'fS"1^?" 5\ ^î^0"9"- YYY\YYYY 364 395 ^an^eWpnonï i" 3M W X r

-i7,. Caoutchoucs Indo-Chine ^M.. 256 |ndo-Chine 1899-19O5 3B0 3%,g_s. .393. -MO.. 30 Acétvlène & Electr0 Mètal 1020 1041- '^s' Cha^9"? YY YYYYYYYYYYYYY 5340 5400 1 ,h.3 TransvaalC onsolidated Land. 131 l^ 5L American Car et F 19 1: 19 !4

40 Citroën.B. too 6e2 1902. 353.. 35-~i Lyon 0/, leS 495 501'. 30.. Acétylène 8< Electro-Métai 10_0 104(l 225 Chaix. 5j4Ù.4OO.. 1 .h.3'TransyaaIConsolidated Land. 131 13, 5(. American Car et F l(j 191:4 '4

i gïï_S;-?«.«î- 18 1 T»u s %-t'ISf:™«: | z i^ -̃- g £ :• fflr-l?. .«g .<> 5^ h^u. •» w- f. ^«h» 3Îo jj Br^ ̃» » »

10..Ford (jouiss 200- 05 Tunisie 3, /2%, 903 «# *».. S A «“ 450.. 80.. Longwy .Sg^lM»" 125 “&«, Occidenta.e (C»). 2310 2235 2Ô6 b. Haut Ka'tànga priv .w;5..2920..GeneralElectric ̃Sl{î'îf?{S

Pathé-Cinéma (jouiss.) 50 Ul 50 6/4 1928-, 3 Fusion an0 39rt 390 ,$ de sàmbré et MeLVe -"0 •• j225 •• 83 10 A r Uquide (parts) 3910 J810 300 b. cap 3580 3^0 Bethlehem Sieel 52 3 4 5 1 78

.Pathé-Cinéma(cap.). 161.. i5g 3~Fus~onanc. 39Pi 3QI 150.. -de Sambre-et-Meuse 225 8310AirLiqu,de(parts).39h)..¡810.. 300b. cap.35BO..3J20..BethlehemSteèl. 'Z 3/4 51 7/8

51 Peugeot. 2'15 48 Alle.('agneI924(DawesHOOL. 12\50.. 119\15.. 1 Fusion nouv 3" 373 40 Atel. 8< Chantiers de la Loire. ~60.. 450 60 '.18ergougnan 635 ~45.. 300 b. -div.¡3410 3430 U. S. Steel Common 1 (;0 !/2 i03

100. Raffineries et Sucreries Say.. 1/)90 It65 Angleterre 2 1/2 0/, °2" 4éÕ 373 80.. Const. Nord de la France IC45 1°-a" 80.. Cirages Français. 12111 1 1169.. 5 .h.6 Union Corporation 338.. 34Z Royal Dutch 313:4 3:1 i.

5 1/~ 1909.Ob 2C4U.. 3 01 1921 3b5 36b 25.. Chantiers de Saint-Nazaire..240b 40b.. 45 40 Colonies (Générale des).. Vermink. t~M 25 695" Titres traité .t' 1 700. 000

:=:i- ;ï:r ^=-5 iïu:rz: i;:»s^^Ê;?l:;i|;i 5-=– s:; s;; ^«^=i -̃- ̃̃̃̃-

,RusseCOnSOlldE"1 1 et 6 r'es. elglque /0. a. 57 JO '8'. 25 Midi Eons décennaux 6% 15 Decauville ommentry. ? 320 320 180 onsortlumdu part uu 2~00 ,¡Vieille ontagne. 1.-) n H

êrbie 4 amortissable 1895 115. 11-+ SC -61/2% 1923 53U.. ,5 ~2" 492 q85 50.. Electro-Càble (ordi naires). 6.5.. 661 Vins 8< Spiritueux 176 09 1 5 l

S 33.. 3~. Brésil 4 1889. S 0492 453'. 35 Estampage de la Vence Zt, 1 325.nen.C~r~ ?:1 509 viscose (nationale) 1. 479.. 49. 7.. CHANGES

.u Banque Nationale du Mexique. 270.. 271.. 1909 (f'ernambuco).1375 ..1415.. 6°". F 49' 4S9 85.. Fives-Lille. Ip5.. 1305 90 Dragages et Trav. Publ. 780.. 760.. 1 Londres 124K124 50

5 th. Ottomane Ó?5.. ~55 8ulgarle 5 ~o 1696. Nord 6 0/'o série E' 49' 41~9 75.. Forg. a Aciér. Huta-8ankowa. ,00.. 4 30.. Gaveau 8< C" 185.. 1~4.. Zew-York 2575 25.

£ '.6.3 Crédit Foncier Egyptien >4'9.. b¿5.. 4 li2 1907 6ÙO 603.. 4~ série D" 4d8 487 50.. Marina'.789 7dÙ 80 8ec Auer. 13C5 13,0.. Allemagne 606 25 606

20.b.Wagons-Litsord. 233.. "29 Chine4%Orf895. 503787 7L (parts).1850..1~¿.450..TabacduMaroo.70)U.7H5. 8elgique(100belgas). 356.. 355501

et: S3S-«1iX^ f » ::ch-"|M|96. S:: a:. iK2f; S- S-, » ̃̃ ™ïrfcï.ïï^. »••• *•̃ »..u,o™" ,»; ,>».. cm<c,.rMn, ,».. ™K* “̃ -«à»

15 Montecatin; 224.. zii 5 ~o 1903. i64 162 3 1921 tran. '66 36' 60 Cessous (Charbon) 750.5' Espagne Ôl50 246.5:),

2O.h. Rio.Tinto. b30 ;020.. 4112 '/4 1908. ¡loGO 013% 1921 366 361 50.. Forges Levai Aulnoye. 90 ~0.19'4ILand 8ank Egypt.tlI25 1140 80.. Czeladz ,1075 .3a2 Hollande '0-" Z5

M SSk^ee: I | i: ^^see;; «;;«:: “«;»: "»:: œ&s?.^ & I ^£5£££5e_e S 'I ;;gSrii;=;Ef I»:: £~EE=i; ï -s g ̃^ÏKÏÏSKU: | :|Elï'-i!;Xiv: ?. z lï: S:: S:: .»..E^Sï;-iW5so.. »:g; "̃»l™i; :»:: "SïïiïïSSr. 'K :.»:: KEjïiiSo «• .>

50 h. Pétrofina Carpet. 535 .2, extérieure = 5 484 q89 100.. Lor~aineMin"8< de fer ~50p. ). 1 i2Ü IC94 6p.5OSaragosse. 090.. 17 5°lomnium'Pétrolos. ¡1~ '~4'. Norvègo.

S Utrs^=;;=:=|pî«– iijxi.^ z î|j- SS K ̃ r_ SSïïS?.^1-^?- ,iî ,gî ̃;• ss^'ïViï: i3 >™ ̃» a ïs_=> «>«»:: SSK.V, "««

248.. R oya.' Dutch (dixièmes). 2JW b15. HaïtI 5 1910. 680.. 962-3 3 420" 4i~" 120.Met (C'« Française) 234.4. Sosnowice. 670.. 665.. 537 50 viscose ,5.5.. Pr.ague.

~2 Portucuesa de Tabacos 239.. 2'12, Italie 3 1/2 96)0 96 25 ° anc. 120 ..1 Métaux (Ci.. Française). 1950 1355 cc.. Kreuger & ToI! 3260 3350 .537 50 V;scose art ¡OO¡ 5 ..182~0 6i' ~'I 15 20

l-'lrSSSHE: 1: I ^iïiEÏE–i « ~î_r:r: S:: S? I^ÏSS^Eii^S^S:: -^laÎEîaai-»: B:: _i.BS ::fe: _fc::™=: «Sl«-

"l"Ó'kr.Kreuger. & Ton obi. 20k. é25.. 617 5% 1907. 47~ 7; 475.. l~2 378.. 383 65 ..Senelle-Maubeuge. ¡910 ..1%0.. 156.. Suédoise Allumettes. 1500 ..1590.. 175.. suisse .101300 ..42. Suisse. 494751494..


̃^ î iniHBiimi'niiiii "c ¡'

b ,t: mnimi~m~i~i~~i

Aujourd'hui en mâi;in|e 1

CCHVTEblE-FRANÇAISE (Gut. 02-22), à 1 ù (jbomipmptit terminé). Toutes placoi A la disposition du public (tarif des pftsttnêes" classiques) Le Bourgeois gentilhomme, comédie en cinq actes, de Molière. Mu-sique de Lulli <#M. Dessoudes, Croué, Lafçn, Pierre Beftin, Paul NUma, André Baf que, Jean V'ebcr, Chambrcuil," Af. te 'Marchand, Pierre Du. Marcel Dul'resnè; Mines Gabrielle Robirine; Andrée do Chauveron, Béatrice, Brctty, NUaiv).

̃ ^éréinquie «unque. (M>l. Lectoux,, Pierre Berlin). l>Jvquis,1SBmej»î£.. Cliàot Mme? Nieras, BftÙiui;' ,$Mï jiomarri^e,icxMiac.i ii'umijia^wj; \-)(v ̃- '̃̃" •'

'<M<'

EdV SOÏfêSs < ;̃ ;ir-

OlPËftÀ (Lo'uvro..07-05), à 8 heures Faust (Mme Morère, MM. Vlllabella, André fwpet, .U.alerant,. Mlles Yvonne Geryais, îiwitfbrt, M.. ïHjjstc), Danse Mlle. Larda, MÛeS' -.Lainbaiic,. 'Gérés)-. Orcli. .M. Gabriel tU'G-vlez.:

'COMÉDIE-FRANÇAISE (Gut, 02-22). a S K 15 (158» Teprésentation) Sapho; pièce en cinq actes d'Alphonse Daudet et Adolpné Belot (MM. Personnes,' Yonnel, Lcdoux, Paul .A'iirua,. Dortval, André Bacqtié, X,hambr,euii, Le Goff; }im« Cécile Sorel, Andrée de Ghanveron, Madeleine .Barjac, -Madeleine -Samary,- Tonia Navar, Jeanne SiilT.v» Marcelle Romée),

OPERA-COMIQUE (Gut. 05-70), a 8 11. 30: tes Brigands (Mrjies Emma Luajr.t, Marcelle paya; Si M. MusS-, Dranem, Marcel CarpenUtv, Pujol,. Balbon, Le Prin, Baldous). Orchestre.: -M. Georges Lauweryns.

ODEQN, çlôturo annuelle.

'i ?,•

.AMBASSADEURS, clôture annuolte.. ANTOINE (Botzaris 21-00), à 8 h. 45 Bcurrachon, de L. Boillet (MM. P. l.luts, X.r Marins, P. Icbac; Mmes Yvette Andreyor, M.'TiïCjlnassin). r'ÂPOtit.ô (Trln. 27-30), rëlacho.

ATHENEE (Cent. 8M.5). â ? hôure-s Le Ççuçjiè ,de la mariée, de M. Félix Gaat',f-ra ̃ cftliarles Dechainpi, Charles Lorrain ïitrJètjiiy ̃Crispin). •'̃ BOUFFES rflPISIENS (V,nt MZr-%8\, -A 8 H- :tWjf,i,ëS, Aventures du B6V iT»àîi»jJii*;fDuySJfcx^ ^fîr(Wt!ane NérC, Pasquiill^l'i.rftjls fâ^Çè^ï^M?*. yaU'oùr, ,\1y4aaç: :»os»S.i> Claudie dft3gJH5i,s'8égine Paris» MatsM)):»,- COMEDIE DES CHAMPS-ELYSEES, clôîuïEnnTiraofle. COMEDIE-CAUMARTIN (Iou\rc 07-30} reiich EDOUJU*p~VH, (Kt'iie il nLUIe. FÔLIESJWAGBAM, to'aFnT

CVMNASE, cio i" iniiiicllp

MADELEINE \i»Jou 07-09), à 9 heurc-v Fsisorts Un i-êvê; Et une revue (Sa.rlir iiuitu mu H- P'inlimi- M. Miicel fimoi J'il. Pi lui- L il loi Aux pi mos Wiinfi et lioiuf" miCHELi blotu iiui'idli

IHlCHDDJEFîE, clotuii) aiuilicllo fylOGADOR f[.n ,3 f,n,r à s h. 30: La V.e parisienne \M\l Max Dtlih, (jibm,

I)u i'i, H<jj«-y-lB\(iin,, Mme Jane Mmnir,

J'< lênç. Jlcg-Pllv-, J. Sjlnt-lionnLt, Cirdai et

M K^Omfinti. IIln lCb Jàne iIIf!rÍJH.è'¡ MONTPARNASSE, rlûtnic mi uUlo

THEATRE DES NOUVEAUTES (pro. 52- I

,.tm.llTR£O~S.Í\lOUVEAUTI£S (Pro. 52~

76>^ a 9 lin il. Enlevez-moi! (Elianc de

C'eus, Mlle.- Cnnstia'ie Dor, Murot, Jean

M E U B LEéi-&ilM^i-EtFB LES =- f

laice

v ^t^te tourmente raoncffteïe;

a,~ x, t~-r:'¡.:JItti: q .¡~I t: ¡!jl

fI' f..

Dans* ptiet péticle précédent, nous,

dirions "1 occasion des placements

iminabîliers idol't nous \ouhons montrçt l't-xcellence que nous étions arrivés, bcmble-i-il, au paroxysme de la démoralisation et qu'il était opportun de ré, agir contre cette tendance d'es^,|rrtt-iqtiï paralyse toute initiative et Empêche de voir le bien fondé d'une Opération quelconque.

Los événements qui se sont pro"duits> ces derniers jours montrent surabondamment combien est impor. tante en matière de placement de capitaux l'influence des faeteurs psy«holojî.ques. Il a suffi que le président de la République des Etats-Unis propose une suspension de paiement dos réparations du 1" juillet 1931 au 1e juillet 1932 pour nous faire assister à un boom des matières premières et des tifres nous avons vu le cuivre passer de 33 livres à 40 livres, l'étain de 104 livres à ÏJ8 Jivreg. les titres ont monté sur les .grands plans financiers de 15 0/0 à £5 -0/0 certains, tels que le Rio •Tinta sent en hausse de 30 0/0 en 3 ̃»».̃• 4 Jburs

| Tout en tenant compte du renyèr-

«enie'nt technique des marchés, aous

fttç, sommes pas éloignés .de^cÈoire

'ç.'$pni:D1es pas éloigl1és,de"l\oir~

sflaes lfe pessimisme avait été poussé '^trqp loin et que les cours tarit des 'inatières premières que des valeurs étaient descendus à un palier trop

|>as, °

Ce Tevjrement psychologique n'estil pas de nature à inciter ceux qiji }Ont des. possibilités à ne pas attendre un affaissement plus profond pdjir jnter\enir dpns le marché iroînobilier ?

•' En période de baisse, surtout prolongée comme c'est le cas depuis jdeux ans, il est à remarquer que personne n'achète en quelque matière

'Informations r,

!:H~M!!e]r~

̃} vacation de mardi de la Chamjbré des Nptaires était partipulièrerjnient chargée puisqu'elle comportait 25 n!iro.ér«s dont 12 pour Paris. Malheureusement le tiers seulement a trouvé des amateurs, le tout H- est t vvrai :;pôur Pars. Deux lots impor- tants- ont prouvé acquéreurs; et et ont ';été f orteni^nt surenchéris un jmInreuple, 43, rue Danirémont,. ad^jfj^é à 1.205.000 ffaiies sur une mise à *p!rix'd«( 750.000k Mais surtout un bon bâtiment sur un terrain de 270 m2 jE^étp enlevé à 1180.000 ^ur ujie mise à prix de \500.Q00 francs, au taux de ;5$&, 0/p net, soit environ 7 0/0 •pôUr l'amateur et, au mètre carré, :4.300 francs sans les frais. L'hôtel de l'avenue Niel, 85, libr. de location, n'a pas eu autant de succès, et, offert à 500.000, n'a été vendu que §00.0,00 fr. C'est, pour le terrain, une base de 2.000 francs le mètre carré.

Stgnalqhs encpre un immeuble, ̃220,<rue des Pyrénées, qui a réalisé 811.000 fr., capitalisant à 7,60 net, et environ 9 0/0 avec les frais, à J2.700 fr. du m2.

1 i A la dernière audience des criées j-aa Palais, était offert un lot que nous *«[ii3U£ieroris de sensationnel, car il

.~4

'Danses: Claiido' ;P.êjbrnjç, J. taloz, Bîàrfviiliers, Suz. •jùiirm, JaSqueline "Grétiliat, Perriaàette Dugrucr 'AiiinJuarU, -• AlriiunzorV '('rêvore, Dueiet, Le; Breton, Brieux. Orchestre et ojiœuvs çqus la.direction.de M. Raymond. Charpoiuier. pannes réglées par Miiie Cliasles..

Cent qiuitro-viVjgt-tr'oisiûmb représentation Le Baiser, corneille en un aclé; en vers, do Théodore do Banville (Mmes Bèrtho Bovy, Madeleine Renaud).

̃ ̃'̃'̃•* ̃ ̃• ̃̃

.-̃•f. ̃

Même speptaclo. qti'.eji 'soirée Nouveautés, ;j> heures; .Çhâmet, 2 .11. ;3ft; Fîonaissance, u heures. ,f

,i i, Vi -,̃»̃ ^ih.» -.k-'J ̃ ••> Peiss, Dupin, Nicole ,Rozan,ColeHe .Vallicr, Arlejî, ,ri:yre "et Madeleine. Gyittyh PALAIS-ROYAL (Gutr 02-DO), à t).'h. Une bonne fortune, .de Yves 'Mirande èt Cl'arles-Henry Uirscll -(MM. Louvlgrny. Duvallès, Paul Falvre, Hennery, R. Guillon, R. I.spers et Léo Peltter Mines Christlanc Drlyne, Mireille, Germaine Michel). PIGALLE, clôture annuelle.

SAINT-GEORGES, clôture annuelle. SARAH-BERNHARDT, clôture aiinuelle. THEATRE DE PARIS (Trin. 20-4 1), à r S il. ;io Cas Messieurs de la Santé, trois actes de I'A. Armont (il., Alerme, Guy t.rrlan, Charpini, .etc.)

tristan-BERNARD, ^clôture annuelle. VARIETES, çlôiwo annuelle.. v.. ALBERT-Ic' (lsd. SI-4Î1), a 9 Heures To See oursëlves (en anglais).

AMBIGU (clôture a;inriel]o).

ATELIER, clùlure- annuelle.

CHATELET (Uut 02-87). à 8 Ù. 30, Sidonie Panache (Ed. Favart, Bach, etc) CLUNY (Qdéon 07-7C)., à. S h., 45 Le Tampon du Capiston.

COMŒDIA (Trinité 10-12), à 9 pelures Une femme ardente.

DAUNOU, clôture annuelle.

THEATRE FONTAINE (clôture annuelle). G AITE-L YRIQUE, clôttire' annuelle. GRAND-GUIGNOL (Trln. 23-3'i). à 9 ».: .Hantise, etc. ̃ MATHURINS (Louvre 49-66), 4 » lt Sayinien ou l'En^ers^ <}u piRémj.

NQUVEAHr.f H^TÇ^, cî^fije, .aiuni.eïie: ,.<ÉIL-PE-.PABr8.(L'a;r.jiq't 46r 82 ),à, ^L SX' La 'Revue, d'inéiièe', îfctfB-et. '"̃'̃, ;i 'iCEb«Rfe' ̃Vïrlilf'>4 'MW/¥ 9* Heureâ 9 ta Folle du logis (Dernière représentation), PORTE-SAINT-MARTIN (clôt, annuelle). POTINIERE, clûlurc an:iui:IJe.

RENAISSANCE (>jid o7-0J), à 9 heuIC" Sex-Appcal. ,c. ̃ THEATRE DES ARTS, cKiiuiic.. antiuelle. THEATRE DJES. DEUX ANES (Marc. 10 î1" ai li«iiip>. itvuc de }iu. Geotee:-

°C), .8. 9 ,1~a.UI'es: recuc de ~.11. G.ç(')tge~

Metrv et Oui < huilij

THEATRE DE L'AVENUE, CÏ01. annuelle. THEATRE DES CHAMPS-ELYSEES, clôt1 tl ipiiu Ile

THEATRE DE DIX-HEURES (Marc. 07- is-) n i.tiîn 1 1 jiiuiiini

THEATRE MONCEY (Mire. 16-02), à S h Echec a la Reine, de M. Paul NljbI\ (Musiftoi i •̃̃" THEATRE DE MONTROUGE (cl. aiin.). THEATRE DES TERNES til anil.J. THEATRE 1932 I inioi) Jbr37^U S, h.

J0 Mirages, Le Pantin

3Q, ',MirageS, L,e. Plantin. anpuetle).I ¡

TRIANON-LYRIQUE (clôture annuelle).

eut imiiiLiolbiMeïï*

que ce soit &n est toujours convaincu qu'on verra, des prix encore plus avantagea que par conséquent on a intérêt à temporiser.

A la rigueur, cette hésitation trouverait une explication en ce qui concerne-les valeurs- parce que le dividende d'une action est variable et que jusqu'aux dernières vseinawies d'un exercice social on peut toujours' craindre une suppression ou une diminution de ce fd.ernier.

En matière immobilière, la- question est toute différente un propriétaire est certain d'encaisser l'an prochain, non seulement ses loyers sur la base actuelle, mais, dans la plupart des cas, avec une majoration puisque chaque jour qui passe nous rapproche d'une situation plus normale. La loi a prpvu des aju^mentations qui, dès le mois de juillet de cette année, entrent en application et qui, graduellement, rendent ce placement plus rémunérateur.

Donc un immeuble choisi en connaissance de cause ne descendra pas en-dessous d'un certain taux de dépréciation malgré les ventes forcées, auxquelles en cette- période, certains pro.nr'É^aires sojit" acculés. f Les adjudîcaticins ^RrMçK^ÇFflip.fel* semaines établissent nettement ,4a- désaffection

dit public ̃vis'îi-vis'd^s';|fla*eitiient/Èim-

mobilièrs. La yplt'ë-face inattendue qui vient de se produire sur les marchés financiers constitue, à notre avis, un avertissement des plus significatifs.

Dans un prochain article,, nous montrerons pourquoi «t comment l'investissement d'un capital en iitirmeuble a présenté et présente deux pôles d'attraction indéniables la plus-value certaine dans la plupart des cas, possible dans les autres et, en jtput état de cause, la stabilité. ̃ ̃̃ À. Lag. >

s'agit d'une double propriété formée de deux immeubles contigus boulevard Haussmann, l'un au 152, l'autre au Î50. Le premier, belle maison de rapport bien occupée, d'un rapport encore susceptible de plus-value, d'une surface de 1.3,50 m2, dont 1.000 mètres construits et plus de 700 construits à toute hauteur; était mis à prix 6 millions. Le second, moins bien situé, un hôtel, valait comme terrain, d une belle superficie de 870 m2, mais situé en second plan et ne donnant pas directement sur le boulevard, était offert 'àv'2"miHions, libre de location. L'ensemble a été acheté 11.600.000 fr., prix que nous estimons très pfidéi'é e^ qui n'est tel que parce qii'i! supporte une certaine dépréciation du deuxième lot. Une propriété située rue du faubourg Saint-Martin, 26,2, d'nne su- perficie de 777 m2, mais composée de bâtiments vétustés, n'a réalisé que 690 fr. au m2, soit ,.à peine le; prix du terrain à cet endroit, supportant semble-t-il le poids d'Un long bail peu intéressant. Enfin, ujie propriété dé 980 m2, sise rue de la Clef, 15, et rue Cerisier, baignée par la JBièvre, a à peine réalisé le prix du terrain, soit 340 fr. le m2, obérée elle aussi de baux assez longs.

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SOCIETE IMMOBILIÈRE COURCELLES ET DEMOÙRS, assemblée générale du 24 juin les comptas 1930 se soldent par tut bénéfice net

m:

Notes et Informations

1\

M. orges Ricou vient de publier dans, '1 la Revue des Deux Mondes un. excellent article, dans lequel il examine la situa- tion qui est faite au théâtre, en, France, à l'heure actuelle. Ses conclusions ne sont guère encourageantes.

M. Lucien Dubosq. étant tombe subitement malade a été remplacé au pied levé mardi à la Comédie-Grançaise dans PoIkhf, par M. Pierre ̃ Lecomte. M. de Rigoult s'est chargé hier, au dernier moment, du rôle de Lefeeildre du Sàhg </e Danton. La reprise de l'Amour médecin- qui devai.t, avoir lieu le vendredi s a^-èc L'A%ibfe,-k:'êtroi: rcnvtoyée .a« lundi

juillet. ,-fv

t

Au cours de la i représentation du Cloître, d'Emile Verhaeren qui sera joué au Parc'Vde v.Saint-Cloud (Bosquet du Centaure) dimanche prochain à 4 heures, Mlle Colonna Romano dira un poème L'Arbre, du grand poète belge, honneur des lettres françaises.

Alternant avec les représentations des Brigands, d'Offenbach, l'Opéra-Comique donnera, dorénavant, chaque semaine, le jeudi et le dimanche, en soirée, un spectacle du répertoire.

Ce sera jeudi. prochain g juillet Ma- non et le dimanche 12 Carmen. Tous les autres soirs de la semaine et le dimanche en matinée, la série des Brfgands se continuera. __Th. I)ES Nouveautés, 24, Bd. Poissonnière. La célèbre opérette Mnlevezmoi tous les soirs à 0 heures. Aujourd'hui matinée à 15 heures.

M. Aimé Clariond va partir pour Londres où il jouera: J,e Martyre de SaintSébastien aux côtés de Mme Ida Rubinstein. Le théâtre de l'Œuvre., se voit donc forcé d!anrioncer ,lçs deux dernières repré^sentations de La Folle du Logis, dont la dernière aura irrévocablement lieu aujourd'hui jeudi.

A la rentrée, M. Clariond jouera à l'Œuvre, une pièce de Mi :Stacchini,. traduite et adaptée en français par M. Max Daireaux. ,!̃̃:•̃̃ ̃ -Iiaoiitij'lj ^_fr* D

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SOCIETE IMMOBILIERE DU BOULEVARD «ÀUSSMANN, à son iîsseiji^l^ du 25 juin a fixé le divi? déjugé uoTur ]eà actions^ et les parts

à 42 fr. 50 (soit 35,70 net). Le béné-

fice apparaît de;2;969:995 fr., sur leque| 684.933 fr. sont reportés à nonveau. MM. Bjiuer, Marchai et Thor mine sont démissionnaires; sont élus MM. G. de Tarde,, Le Roy-Ladurie,

Milliot et R. Moutét.

© © ©

SOCIETE FONCIERE PARISIENNE, assemblée générale du 26 juin.

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La pONÇIEÈïi DE ÏC'ETpiLE a tenu sph assemblée générale le 30 juin. Bénéfice d'exploitation de 1930: 9.380.869 fr. contre 8.092,18i, soit avec les revenus divers, un total de 10.803.684 fr. contre 8.178.871 fr. Bénéf. net 5.465.555 fr. c. 4.109.603 fr. Après amortissements, 2 millions ont été affectés au fonds; de prévoyance' ç, rien j'an dernier; solde disponible 7.086.138 fr, c. 5.299.305. L'as- seniblée a fixé à 100 fr. le dividende. II a été procédé au renouvellement du conseil d'administration.

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les situations dramatiques les plus \'àriécs ils parcourent, en outre, pour les besoins 1 de leur situation géographique, les paysa- ges lès plus différents et les plus éloisocs les uns des autres.

Aussi les équipes Pathé-Natan sillonnent le monde et tournent aux quatre points cardinaux. Au nord, Marco de Gastyné achève La Bête errante dans les plaines' blanches et silencieuses du Canada.

Du midi, à travers les sables sahariens. André Hugon rapporte La Croix du Sud et Le murchand de sable. Et les mers orientales vibrent encore du si'.lage de Partir. de Maurice Tourneur.

Il n'en faut pas conclure que toute la production Pathé-Natan soit consacrée à l'exotisme et qu'elle f.e désintéresse de la vie parisienne ou des grandes questions nationales.̃

Tout laisse prévoir que Les Croix de Bois, dont Paymond -.Bernard poursuit la

réalisation sur* lbs anciens champs de ba-

taille, seront, "un des meilleurs fi'mX de guerre, sinon le meilleur et tnndis que dans Après l'amour, $e Léonce Perret et Atout cœur, de Henry, Roussel! chatoient les variations sentimentales chères au public des boulevards, et que la verve et la fantaisie populaires se donnent libre cours dans Le roi du cirage, Plérè Co'ombier et René Pujol le cœur même de Paris bat sur son rythme à la fois ironique et touchant dans le Faubourg Montmartre, de Raymond Bernard.

A en juger par les incidents de prises de vue, elle nous promet de bons moments la comédie que tourne Charles Lamac aux studios de Join ville sous le titre de Monsieur le Maréchal. C'est au point qu'en écoutant une scène assurément très drôle entre Fernand René et Orbal, Livermann, ingénieur du son, dut éclater d'un tel rire, au fond de sa cabine, qu'un des éclats frappa de mort une des lampes d'exposition, et qu'il fallut, après changement de lampe, recommencer la scène.'

Ce matin, les Tour de France, les Géants de la Route, selon l'expression populaire. se sont élancés à la conquête du fameux trophée ils reviendront dans un mois. après avoir accompli leur dur périple, hâves, décharnés, mais couverts de gloire. Aussi, une foule innombrable et enthou- siaste s'était massée au Vésinet, pour assister à leur départ.

Les acclamations n'allaient pas seulement aux Leducq, Pélissier, Oppermann, Demuy- sère, Battésini, mais aussi à Biscot, à Me- nant, concurrents redoutables. dans le film seulement, celui, que Maurice Champreux

va réaliser en-,s|£yaBt Jgfjjgsndf |îan|ioœi^c,

va réali:;er e!1J~¡jiYa~lJ:(':P!&!J!Ja[l#o¡~

X)ar^. ^qssepprt u.444, la nouvelle réalisation' de Léon 'Mathot, que l'on verra vendredi au Gaumpnt-Palace, un des rôles tes plus délicats, celui baron Hermann, est tenu par M. Marié de Lisle.

Cet artiste, dont ce sont les débuts au cinéma parlant «– si l'on excepte Ma Cousine de Varsovie où il tourna une silhouette très intéressante n'est cependant pas un novice, puisqu'il fait du cinéma depuis iqq6 !C'est ainsi qu'il tourna dans Sado^na avec Mercanton et dans de nombreux autres filins. Il fut aussi metteur en scène chez Pathé et directeur chez Eclipse. Actuellement, M. Marié de tysle ne se consacre plus qu'à son art, et il nous a montré dans passeport 1,5.444 qu'il était un grand artiste. RIVE GAUCHE

Depuis que le « gai Paris » est descendu des hauteurs de Montmartre jusqu'aux rives illuminées de Montparnasse, une flore et une faune inédites ont pris possession de ces coins de la capitale, naguère silencieux et quasi déserts. guere

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Les grands rentres de la vie nocturae, ce sont à présent les boîtes et les bars aui s'essa:ment le long du boulevard si^ cher à, Kis ing et Foujita. Là vivent côte"'à côte dans le désordre le plus pittoresque, la bohème la plus insouciante, lapins, modèles, esthètes, danseuses, sculpteurs et pcètes. On fait un pied de nez à la guigne. On nargue la froide logique. On ^ait rire, chanter, oublier. C'est le cadre même de cet origîlial ̃Rive Gauche, qu'Alexandre Korda vient ide réaliser aux Studios Paramount, et flu© Mcg Lemonnier Henry Garât, Marcelle Praince, Robert-Arnoux et Jean Worms animent de leur talent et de leur esprit- Ce tableau à deux mérites, l'inédit et le charme, un charme de bon aloi. Sujet neuf et bien moderne interprètes jeunes et vrais d'une grâce et d'une intelligence infinies. Rive, Gaitche apporte avec lui, porte en lui, des éléments inégalables,

De retour en France, après un séiour au Maroc qui s'est -prolongé, par >uite de quelques difficultés dans la réalisation dfs.extérieurs. Julien Duvivier commence a-û\ ?ijudjos d'Epinay les ihtLrieur-tie'Ciriq.,Getatietnen maudits. Les premières scènes se déroulent dans un décor reconstituant un intérieur arabe.

La carrière, du Million aux Ambassadeurs s'annonce ;excellente. La .délicieuse comédie de René Clair reçoit du public un 'accueil chaleureux et, nous pouvons le dire, ;tout, à fait mérité.

Wilhem Thiele commence cette sfemaine aux Studios Tobis, d'EpinaV la réalisation en deux .versions (française et allemande), de L'Amoureuse aventure, pour Ja Société Générale de Cinématographie (Marcel Vandal et Charles Delac). Albert Préjea*i, Marie Glorv et Mady Berr>" seront les principaux interprètes de la version française. L'opérateur •– Farkasz et ]a réalisation des décors a été confiée à l'excellent décorateur Robert Gva. Le composteur Ervrin, dont les succès sont présents à toutes les mémcir.-s- créera pour ce film «ne partitien originale.

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lAwttbre de Parsee, qui est de grande taille, s'était profilée par avance sur le Prix Le Marois, et avait incité à s'abstenir ceux des chevaux engagés qui auraient peut-être pu le faire galoper. Ne se sont dévoués contre lui que quatre adversaires, dont Huhlot était le meilleur. Cela n'a. pas suffi à inquiéter le favori, qui a, comme il le devait, gagné sans la moindre douleur. Sous ses trois kilos de surcharge, le petit Réel a très courageusement fini..

Dans le Prix The Frisky Slatron, pour deux ans, nous avons vu un inédit à la fois d'un nom singulier et d'une singulière vitesse. Furrokh Siyar tel est son-- nom appartient au genre bolide eft cent mètres après le départ, tout le monde demande grâce derrière lui. Il l'a emporté de cinq longueurs officielles, qui auraient aussi bien pu être le double. Ce fils de Colorado et de Slumtaz Slahal (origine maternelle foudroyante) doit être le deux ans le plus vite que nous ayons vu à ce jour. J. Trarieux.

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CONCOURS HIPPIQUE Le Tournoi de Vichy

Xa'ïéùiiion de mardi a été une des plus intéressantes du meeting. Le Prix du Comité des fêtes avait attiré une foule considérable sur l'hippodrome du Sichon. Cette coupe réservée aux dames a été courue en deux séries. Dans la première, réservée aux amazones, SIme Arria'son, sur Saturne, a précédé SIme Gauthier de Bayon sur Ustis et Mme Clérisse, sur Diplomate.

Dans la deuxième, ouverte aux cavalières, la luttc a été vive entre Slmes Horngren et Hasselbach, qui montent ]'une 'et l'autre de façon remarquable. Mme Hasselbach a été première avec Baladine, troisième, cinquième et sixième avec Dalila, Maritza et Dragon Rouge. Mme Horngren a été seconde avec Irish Quaker et quatrième avec

Ogygie.

Puis les deux lauréates sont revenues en piste pour disputer la Coupe que Mme Arnavon a enlevée brillamment, faisant, pour la seconde fois de la journre u« magnifique parcours avec Sa- turne,

Les genlemen ont ensuite pris part au Prix de l'Allier, championnat de puissance, et adresse. Au premier tour, neuf concurrents n'ont fait aucune faute au barrage, Slanitoba, à SI. Boyer, fort bien monté par SI. Gudin de Vallerin, a enlevé le premier prix 2. Hosette, à M. Ledei'-lin. montée par M. Henry de Royer Caprice, à SI. Laume, et Diamantine, au comte de Castries 5. Le Trouvère, il SI. Lederlin, monté par M. Clàvé" 6. Fanfan la Tulipe, au comte de Castries 7. Judex, à SI. Lederlin, monté, par M. Clavé 8. Travailleuse, h M. Balay 9. Tartarine, au comte de Peyrelongue 10. Whist, à M. Oliviès, monté par le comte de Slaillé. Reyor. Le Tour de France Cycliste 'j'Au. touriste routier Max Bulla la deuxième étape

Après uue nuit de repos à Caen les coureurs du Tour de France ont repris la route hier matin pour disputer la seconde étape Caen-Dinan (212 kilomètres).

Bien qu'ayant réalisé la veille la vitesse moyenne de plus de 33 kilomètres à l'heure, les concurrents se virent imposer hier matin les « départs séparés ». Le directeur de la course en a jugé ainsi, non pas comme autrefois par mesure punitive, mais pour tenter de disloquer le lot des coureurs, dont le groupe très important ne se désunit pas de Paris à Caen. Ainsi, à 10 h. 30, hier matin, les champions quittèrent Caen les premiers. Dix minutes plus tard les touristes routiers prirent le départ. Successivement Coutances, où Leducq menait, Granville, Avranches et Pontorson virent défiler les coureurs. et l'arrivée à Dinan s'effectua en peloton. Charles Pélissier, le premier, passa la ligne d'arrivée. mais sept minutes plus

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tard arrivaient trois touristes routiers, j t partis avec dix de handicap sur les « as ». Ces trois touristes-routiers, Max r Bulla, Bernard et Van Vriest prirent les trois premières places, ayant cou- £ vert les 212 kilomètres de l'étape en I 6 h'. 37 m. 14 s.. alors que Pélissier et Cie avait mis 6 h. 4O'"ni. 5 s.

Le classement de l'étape s'établit ,J ainsi 1. Max Bulla, 6 h. 37 ni. 14 s. l 2. Bernard; 3. Van Vriest, même temps; c 4. Charles Pélissier, 6 h. 40 m. 5 s, l 5. Di Pacco 6. Hamerlinck 7. SIetze; l t 8. Demuysère 9. Le Calvez 10. Op- f permann, etc., même temps. Au classement général par nations, la Belgique vient en têtc, suivie de l'Ita- ̃ lie, l'Allemagne, la France et l'Austra- i lie et la Suisse. l Cette seconde étape a été marquée | par trois abandons, ceux de Gillard, f Hargues et L%yal, /• Aujourd'hui"" mercredi, troisième étape (Dinan-Brest (206 kilomètres). Dé- part à 10 heures..

i^

Le championnat automobile J, des artistes

Victoires de Mlle Hustinx (Rosengart), < André Baugé et Mlle Betty Speil

Le classique championnat automobile ( des artistes s'est déroulé hier au Parc des Princes. Favorisé par le beau temps, ] ce championnat a remporte son habi- tuel succès. Uiie nombreuse et brillante assistance a suivi les évolutions de nos artistes, qui rivalisèrent d'adresse, de brio et d'humour à la satisfaction générale.

L'une des épreuves principales de la journée était le concours de vitesse et de freinage, chaque concurrent devant par-ourir dans un sens la ligne droite du vélodrome, virer sec autour d'un piquet et revenir à son point de départ, après s'être arrêté à l'aller comme au retour pour ouvrir et refermer deux barrières de bois placées sur leur parcours.

A la suite de cette épreuve dont le succès est chaque année très grand et au cours de laquelle quelques uns des concurrents font preuve d'une vitesse et d'une adresse remarquables, eut lieu le défilé du concours d'élégance. Ces voitures aux lignes harmonieuses et aux coloris étincelants, présentées par les plus jolies femmes dont les toilettes s'harmonisaient, pour la plupart, avec les carrosseries, soulevèrent la juste admiration de l'assistance.

A l'issue de la réunion, les résultats ont été proclamés. Le concours de vitesse et freinage, au cours duquel le prestigieux champion de l'automobile Louis Chiron se révéla un starter » dinstingué, revint pour la catégorie daines a SIme Jane Hustinx, sur Rosengart, devant Sllle Beity Spell et Lucienne Iladisse. Catégorie messieurs, c'est André Baugé qui l'a emporté, devant de Guingamp et Spancl. Dans le concours d'élégance, SUle Betty Spell, qui présentait une voiture magnifique, a enlevé la palme.

Il convient de revenir et d'insister tout particulièrement sur le succès obtenu par Sllle Jane Hustinx au volent de sa 5 CV. Rosengart. Ce concours demandait aux conductrices comme aux voitures des qualités toutes particulières, aux premières d'adresse, de décisions et da-propos, aux secondes de la souplesse, de la rapidité et d'incomparables qualités de freinage. La Rosengart, qui possède toutes ces qualités, a permis a Sllle Jane Hustinx d'enlever une première place devant un lot de concurrents de première valeur. Par cette remarquable performance la Rosengart démontre qu'elle est bien la voiture idéale pratique, facile à conduirc parce que souple, agréable parce que rapide. Elle est, d'autre part. et du fait même qu'elle possède tant de qualités mécaniques, la voiture rèvée pour la femme qui peut sans crainte aucune se confier à. cette charmante voiture qui allie à la robustesse une heureuse élégance.

La fête du nageur scolaire Pour la septième année sera organisée, demain, à 14 h. 30, au Stade Nautique des Tourelles (porte des Lilas), la Fête du nageur scolaire.

Cette importante manifestation de propagande, qui remporte chaque saison le plus vif succès, n'ji d'autre but que de démontrer aux enfants les bienfaits et les joies de la natation.

Le programme, très attrayant, est en-i tièrement assuré par de jeunes nageurs et nageuses scolaires, et comprendra à côté des compétitions sportives toute une série de démonstrations d'éducation physique, de sauvetage, et do plongeons, ainsi qu'une présentation d'une quarantaine de tout jeunes nageurs de cinq à dix ans.

La Fète du Nageur scolaire, que présidera officiellement M. K. Morinaud, sous-secrétaire d'Etat à l'éducation physique, sera gracieusement ouverte à tous les écoliers, ainsi qu'aux parents qui se présenteront accompagnés d'un enfant. Rallies de Chantilly

Très élégante et fort nombreuse assistance au rendez-vous à Maison-BIa.nche, le samedi 27 juin. Comportant de nombreux obstacles, le parcours passait par le poteau de la Plaine, la route de la Chapelle Chaalis, débuchait pour rentrer dans les bois de Perthe, d'où il gagnait le poteau de Perthe. la CroixMarchand, le château de Chaalis, la Vieille Route, la route de la CroixNeuve, pour repasser au poteau de la Plaine, franchir le contre-haut et le contre-bas du Grimpilliot, route du Çarbonat, et, reprenant le contre-pied, revenir au poteau de la Plaine et à Maison Blanche.

A l'arrivée, il fallait mettre, étant au galop, un bout de carton dans une boite aux lettres. Sllle Bernard seule a réussi cette épreuve.

Etaient présents SIme Gimpel et son fils, SI et SIme J. Renard, Sllle Bernard, Mlle 0. Lazard, Mlle Polack, Mlle. Watson M. Rommetin, SI. J. de Saint-Sauveur, SI. Chaudoir, M. T. Roussel, M. Sleignan, M. Goulin, SI. Westfried, lieutenant Yazi, lieutenant Doré.

Prochain rendez-vous à 15 heures au terrain du concours hippique de BoisLarris (route de la Slorlaye).

AVIATION

NOUVELLES AERIENNES

Les deux aviateurs danois Hillig et Hobris, qui ont fait la traversée de

l'Atlantique, sont arrivés: à Tempelhof, r venant de Copenhague. Ils ont été cha- leureusement acclamés par la foule. Hilling s'est rendu ensuite à Steinbrûcken, près de Géra, sa ville natale. De là, les aviateurs repartiront pour Paris, et, le 9 juillet, ils s'embarqueront pour l'Amérique.

Le général Denain, chef de la mis- sion militaire française en Pologne, et le général Lepetit. attaché militaire à l'ambassade française de Belgrade, sont arrivés samedi soir au Bourget par ser- •»; vice aérien « Flèche d'Orient »' de la j, C.I.D.X.A. ils venaient, respectivement, -v de Varsovie et de Bclgrade. °

Le dirigeable Oraf-Zeppelin effee- S tue en ce moment un voyage aérien de S quatre jours, dans les pays scandinaves, sous la direction du Dr Eckener. S Le Dr Eckener a déclaré que la J Société Zeppelin avait reçu un télégramme lui annonçant que le sous-ma- J rin Xautilus,' de l'Américain Wilkins, > ne serait plus en mesure, en raison de J son accident récent, d'aller au pôle J nord, de sorte qu'une rencontre ne pou- 3 vait plus être envisagée à proximité du pôle entre lc sous-marin et le dirigeable. 3 Le projet de coopération entre Wilkins et le Dr Eekener ne sera donc pas 3 réalisé cette année, car la saison sera presque écoulée lorsque la réparation "} du Saulilus sera terminée.

Les aviateurs anglais Xeville Leach et J. Chaplin, qui tentent d'effectucr le vol Angleterre-Karachi aller et retour en six jours, sont arrivés hier matin à Bagdad. Suivant l'itiné- raire qu'ils se sont fixés, les aviateurs comptaient atteindre Karachi dans la soirée, en passant par Bassorah et Ipist, et être de retour à Lympne (Angleterre) samedi soir.

TENNIS

LES CRITERIUM. ESPERANCE

ET OMNIUM DE FRANCE

Le succès de Mlle Rosambèrt

Le Critérium simple dames a été gagné par Mlle Rosambert qui, en finale, a battu Mlle Row en deux manches faciles.

La victoire de cette jeune joueuse vient s'ajouter à toute une série de triomphes déjà très beaux. Mlle Rosambert a affirmé ainsi une fois de plus sa valeur et il est certain que son passage en première série n'a plus aucune rai- son d'être différé.

Mlle Rosambert n'est pas cependant une révélation pour les habitués des bateilles des courts. Déjà l'an dernier elle avait fait preuve d'une belle maîtrise et s'était affirmée à maintes reprises sur des adversaires mieux classées.

On n'avait pourtant pas jugé bon de lui accorder une place en première série. Loin de se décourager, sûre qu'elle était de sa classe et de ses moyens, Colette Rosambert a poursuivi ses efforts. Elle aura réussi une belle performance, de sa place à 2/6 en seconde série elle va probablement arriver la première série.

Le contraire serait vraiment injustifiable 1

D'autant plus que les succès de Coh'tte Rosambért ne pas là, dans ce Critérium. En double dames, avec Edith Belliard, -elle a triomphé en finale, ainsi qu'en double mixte avec Roger Laurent.

Voici les résultats des deux dernières journées des Tournois

Critérium. Simple dames. Finale Slile Rosambert b. Mlle Row,

Double dames. Demi-finales Mlle Fréville-Mme Hoche. b. Mlle VerkenMme C. Culbert, 1-fi, 7-5, 6-1 Mlles lïusambert-Belliard b. Mme Slorel-De-

ville-MHe Lacarrière, 6-3, 6-H.

Finale Mlles Rosamhert-Belliard b.

Mlle Frévil!e-S!me Roche, 6-3, 5-7, 6-2.Double mixte. Demi-finales SUle Rosambert-R. Laurent b. SIme RocheJournu, 6-1, 0-7.

Finale Mlle Rosambert-R. Laurent b. Mlle Slarre-Combemale, 6-4, 10-# Espérance. Double dames. Finale Slmes Hermani-Carter b. Mmes Huaft-R'edelsperger, J-fi, (i-1, 6-1. LE TOUÔNOI DE WIMBLEDON Mme Mathieu en demi-finale

du simple dames

La journée de mardi, au tournoi de Wimblcrîon a été marquée par une belle victoire de 1a championne franI çaisc, Slmc Mathieu, qui s'est ainsi- quaiifiéc pour les demi-finales du simple dames.

Le succès de SIme Slathieu fut acquis aux dépens de ln nouvelle «espoir » anglaise, miss Scriven.

D'autre part, l'Américaine miss Jacobs, a éliminé la championne d'Angleterre, miss Betty Xuthall en deux manches très aisées.

Voici les résultats de cette journée Simples dames. Quarts de finale Sliss Jacobs (Am.) b. miss Xuthall I (Ang.), 6-2, 6-3 fraul. Krewinkel (Ail.) b. miss Round (Ang.>, 7-5, 6-3 Mme Mathieu (France) b. miss Scriven (Ang.), 1-6, 6-2, 7-5.

Double messieurs. J. Satoh.Kawa> chi (Japon) b. Charanjwa-Hadi (Indes), ̃ 6-4 6-2, 6-2 Hughes-Perry (Ang.) b. Rogers-H. Satoh (Ir'l.-Jap.). 6-3, 6-4, 4-6, -7-5 Shields-Wood (Am.) b. CollinsGregory (Ang.), 3-6, 6-3, 3-6, 6-4, 6-3 Lott-Vân Ryn (Am.) b. Von Ehi-ling- î Ariens (Hong.), 6-3, 6-2, 6-8, 6-1 Kirbv-Farquharson (Sud-Afrique) b. Lee• Olifl" (Ang.), 7-5, 4-6, 6-4. 3-6, 6-4. Double dames. Sirs Harpcr-Van j Ryn b. miss Slock.s-L.yle, 3-6, 6-1, 6-3 Mrs Sheppers Barron-miss Sludford b. Mrs Hill-Lycett, 6-4, 6-3 miss Dearman-Webb" b. SIme Xicolopoulo-Sllle Payoi, 3-6, 6-3. 9-7.

Double mixte. Mlle Adamoff-SIaier b. Mrs Godfree-Olilï, 6-3, 7-5; miss Feltham-Aoki b. SlUe Peitz-Gilbert, 7-5, 6-1 Mrs Whittingstall-Co-chet (Ang.Fr.) b. Sirs Thomas-J. Satoh (Ang.Jap.), 6-1, 6-4 Mlle J. Eigart-Kirby b. miss Trentham-Wildc, 9-7, fî-0 miss Xuthall-Spence b. miss Sterry-Cooper, 4-6 8-6, 6-3 miss Heeley-Perry (Apg-.) i b. fraul. Sander-Brugnon (All.-Fr.), 8-6, 6-2 miss Ridley-Collens b. miss Johnson-Poland, 4-6, 6-2, 6-3.

TIR AUX PIGECNS A Aix-les-Bains

i Mardi 30 juin, Prix de Marlioz. 1. P. Antier, Albors, Bellver et Aube-, 12 sur 12 5. Trussy et Visalli, 11 sur 12. TIR

A la Société Le Faisceau

Résultats de la réunion réservée aux dames

Carabine automatique. 1. Mlle M. | Slorlière 2. Mlle Ménage.

Pistolet de combat au visé. 1. Sllle M. Slorlière 2. Mlle S. Gastinne. Revolver (tir rapide de défense). 1. Miles de Bernardy et M. A. Gastinne. Poules au pistolet de combat. 1. t Mlle SIénage 2. Mlle A. Morlière. Frantz-Reichel.

i

r

DÉPLACEMENTS ET VILLEGIATURES; DES ABONNES DE FIGARO j

•••••̃

Mme la comtesse Arthur de Gabriac, à] Ouchy-Lausanne.. M. le marquis dé Montalembert, au J 1 château de Conives.

Mme l'amirale Melchior, au château de J Peyrudette.

Mme" la comtesse de Maupas, à I-ont- 1 Romeu. M. le comte de Marcy, à Concarneau. Mme Edmond de Mauny, à Villers-sur- Mer. ̃

M. le docteur L.I. Sloreau, à Ver. M- le marquis de- Marcieu, au château de Couvron.

Mme L. Mantouc, à Saint-Aygult.

M Théodore Xanpon,. :i BazSinville..

Mme Edward Xewnïan, à Oran ville. J M. le capitaine OHeris, à Dijon. Mme la vicomtesse de Xoue, au cha- 3

t'eau d'Heuqueville. 3

Mme Portcbois, à Thieuloy-Saint-An- toine.

M. le commandant Peillon, a -eyncr- du-Lac.

M. le général Paris, à Avenay.

Mme Emile Pacheu, à Bruz. M- Paul Perrin. à Grenoble.

Mlle Georges Petit, au ch-V-eau de Boisnoil-.

Mlle Xavier Paluraud, à Royan. M. le marquis de Pangc, à Pange. Mme la comtesse André Palluat ue Besset, au Val-d'Onzon.

Mme 0. Raguenct de Saint-Albin, au château des Arcis.

Mme la comtesse Jacques de_ UoluuiChaol, au château de Condé.

Mme la marquise de Roqucmaurcl, au château de la Rigale.

Mme la aronne R. des Retours, à îroflav.

Mme Ruelle, à Ambleteuse.

Mme la comtesse de Ribes douairière, au château de Saint-Just.

M. le docteur de Rukawischnikolt, a LaiKlhaus-Dahcim.

M. Léon Robert, à Tresservc.

M. de Séjournet de Rameigmes, a i-

chy.

Mme" la baronne de Souville,- au château de la Tour-du-Breuil.

Mme H. Sehambourg, à Cabourg. Mme la vicomtesse de Souchey, au château de Souchey.

M. Guy de Saint-Victor, à Vic-sur-Lere. Mme Jules Serizier, a Sembrèyes. Mme la baronne A. Séguier, au château de Beauplan.

M. Savoure, à Versailles.

M. Tallavigne d'Angles, au château de Villefalse.

M. P. Thomasset, à ,La Baule.

M. Julien Tallavignes, à Capendu.

Mme A. Tancréde, à VivièreS.

Mme Tjiéry-Lacaze, au château Perind'Hog'e.

Mlle C. de Ugarte, il Irun.

Mme la comtesse de Villebresme, au château du Boiscornillé.

M. Vallenlin de Cheylard, à Montelimar. M. le marquis de Verdun, au château de la Crenne.

Mme Alfred Viot, a L'Isle-\ ert. Mme la marquise de Vaucouleurs de Lanjamet, an château des Ifs.

Mme la comtesse de Vaugrigneuse, a Boyardville.

Mme* la vicomtesse R. de Vernisy, à

Calais;

M Pierre Widal, an camp de Mailly. Mme la comtesse de Waldner, au château de Lévy.

Mme Raymond Wattine, a Uiatel-

Guyon.

M Pierre Yvert. i Poix-de-la-Somme. Mme J. de Zoghcb, à Villerville-surMcr.

Mme la baronne Henri d'Aleyrac de Goulange, à Saint-Michel-en-Grève. Mme la vicomtesse Anthenaise, à La Jaillière.

M. le vicomte G. d'Alt-s, au château de la Carrière. 4

Mme la baronne d'Ariste, à Capvern. M. le baron J. de Bonteville, à Hardelot.

M René Baschet, à, La Preste.

M. Noël 'Bouton, àL ta -Folie. Mlle Râchel -Boyei*, à Tesse-la-Made-

leine:

M. Jacques Blech, à Brides-les-Baitis.

Mme de Beauregard, au château d Ache.

M. François Berry, à Lille. d'Ache.

M. A. Boulloud, à Vittel.

Mme Bernier, à Pornichet.

Mme Georges Beck, à Dunkerque. M. G. Bouin. aux Sables-d'Olonne. M. A. Ressant, à Vichy.

Jlme la conttesse H. Balny d':lvricourt,

Mme la comtesse R. Balny d'AvncourL,

à Trebeurdcn. M. le sous-lieutenant de Benoit, au camp du Valdahon.

Mme G. Bimar, au château du Tremblay.

Mme la marquise do Beaumont, a

Beaumont-la-Ronee.

Mme Louis Bonnet, au Collet, près Polignac. v

Mme Bouvrain, a Nangis.

M. A. Buiron, à Pontault-Combault. Mme André Bacot, au château de Cham-| posav.

Mme la marquise de Bremond d Ars, à Xoirmouticr.

'•Mlle M.-T. de Beaurcpaire de Louva-

<mv au château de Lalande. Lout'a-

Mme* Daniel Bordes, à Saint-Palais. M. le marquis de Beaucourt, au chateau de Bosguerard.

i M. E. de Baudreuil, au château de ravel'.c.

M. Bousquet, à Port-Marly..

Mme J. Berendorf, au château de Pui-

tra,

Mme'ia comtesse Henry de Bertier de

Sauvigny, à RassiMoulaiiie.

M Pierre Brumeairx* a La orge. ̃̃ Mme de Balloy, au château des Maremberts.

Mme J. Collin du Bocage, à i-tretat Mme du Closel, au château de Mailly. Mme Choisel, à Saintc-Menehould Mme Marius Cara, à Chamomx-Mont-

Blanc.

Mme la vicomtesse de Clinchamp, au Colombier-du-Bremien.

M Costa du Rels, à Louveciennes. Mme René de Cer.jat, à Rochefort-en-

Terre.

Slme la princesse M. de Croy, à Wenduvne-sur-Mer.

M- Jacques Cordier. à Pompey. M'. Emmanuel Chabanet. à Augerolles. Mme la marquise de Chasteigner, au château de Trefontaine.

Mme J. Cassard, à Dampniat.

M. R. V. Caballero de Bedoya, à Ouchy-Lausanne.

M Roger Cousin, à Domfront.

Mme la comtesse du Chastel, née de Cossé-Brissac, au château de Crépan. M. Gaston Célerier, au château Montd'Arnaud.

Mme Pierre Collet, à Houlgate. Mme Pierre de Catheu, à Royat. Mme Louis Cabat, à Barcenay-en-Othe. • M. Couvreur, à La Baule.

M. le comte Léon Costa de Beauregard, à La Léchère-les-Bains.

M. Pierre Chapoulaud, à Biarritz.

T0~7 S LES SpORTS .ÉL'ÉGrANT~S

1

Ime Ferdinand Chalandon, à Saint- Moritz-Bad.

Ime A. Corbin de M^angoux, à Xéris- les-Bains.

(Ime la comtesse de Courson, à Mé- gève.

ri. Jehan de Courville, à Perreux-Loirc. ime la comtesse de Charencey, au château de Nauvav.

,1. P. Corbin, au château d'Assy. ilme la comtesse L. de Chevigné, au château de Branday.

Jmc la comtesse -A, Deïle-Donne, à Lago-di-Garda.

Jme Henri Dcslandres, à Saint-Douain. G. Delage, au château de Monceau. il. Adrien Drion, à Versailles.

ilmc Carlos Dorget, à Ncris-les-Bains. il. Dubois Canonne, à Berck-Plage. ilme Dupriez-Chanibolle, à Courçay. il. le capitaine Desormeaux, au château de Rancogne.

VIme la comtesse de Douglas, au château de Montréal.

VIme L. Dcrvieux, au château de Toury. \1. Albert Dubois. à Rives-Thonon. Mme .Jean Delpech-Esticr, au château de la Noue.

M. Slaurice Dupré, à Chartres. Mme A. Dehennc. à Barbotan. Mme A. Dumez, au château de Pomponne.

Mme Paul Dubosc, à Bordeaux. Mme Raymond Douvreleur, au château de Veauché.

M. de Denainvilliers, au château de Denàinvilliers.

M. Edouard Doubrère, à Sainte-Marie-

de-Campan.

Mme X. Demiahs d'Archimbaud, a.Ar-

gc!és-sur-Mer.

M.' H. d'Eudeville. à Veulettes. Mme Constantin Estier, à Saint-Roehsur-Sallanchss.

Mme la baronne d'Eichtal, au Mont-

Dore.

Mme la comtesse G. des Etangs, à Dinard.

M. Georges d'Espagnat, à Fourmagnac. Mme H. d'Escantha, au château de la Reille.

Mme Fred Firmenich, à GenèveMlle J. Frappier, à Niort.

Mme la comtesse de Fry, au château du Saussart.

M. le colonel Fabre, à Thaire-d'Aunis. M. Charles Fabre, il Poutpoint. Mme fa comtesse de Forton, au château de Paraza.

Mme Jean Ferté, à Asnelles-sur-Mer. Mme la duchesse de Fernan-Xunez, à Saint-Jean-de-Luz.

M. A. Février, à Houlgalc.

M. et Mme Paul Franz Xamur, à Antihes.

Mme ]a comtesse de Fadate de SaintGeorge, au château de la BrècheM. Lucien Franck, à Gournay-surMarne.

Mlle Cachet, à Adcma.

M. Louis Gigot, à Sainl-Gharics-dePercy.

M. Paul Garnier, à Solutré.

M. François Grangé, à Raudens. SI. le vicomte de Guerry, à Noirmoutier.

Mme la marquise de Gontaut, a Noir-

niouiier.

M. le comte Alain de Goulainc, au château de Kerlivio.

M. de Guillebon, au château de SaintHimault.

NI. André Gibault, à Saint-Cyr-sur-Mer. M. le comte Guy de Germiny, à l'omarance.

M. le capitaine E. Gueit, à Xidelt. SI. le comte Georges de Germiny, à Gouville.

SIme Alhert de Geouffrc de La Pradelle, au château de Saint-Priesl-deGimel.

M. Roger Giron, a Saint-Pierre-Lan-

gel'S. S.

Mme Gauley-Texier, à Aix-les-Bains. Mme la baronne de Guillibert,. soi château de Couvrelles.

SI. le lieutenant Slax de Guibert, au

camp de Valdahon.

Maître Ch. Giot, à Uriage.

Mme la comtesse A. de Gestas, ko Château Gaillard.

SI. René Heurtey, à Paramé.

Mme Slaurice Harlachol, à Campestre. Mlle Elise Hirz, à Ribeauvillé. SIme Raoul d'Holelans, à Novillan. SI. J. Henriquet, à Riec-sur-Belon. Sime A. Heidelbach, à Badgastein. Mme la comtesse L. d'Harcourt, au château de Pont-Chevron.

SI. Albert Hugnet, à Saint-SIartin-dc-

Belleville.

M. Hamelin, à Appoigny.

SI. le baron d'Halloy, au château de Coolies.

SI le professeur A. Joussct, à Juilouville.

SIme Ch. Jacob, à Bayel.

SIme Jacobs de Vissée, au château de Beauchêne.

SI Paul Jaillet, à Lamalou-les-Bains. SI. le professeur J. Kleiner, à Worochta. M. Pierre de La Pradelle, au château de Hibains.

SI. et Mme .T. de Lillière, au château de Maurier.

le comte de Lussiac, à Sainl-Agil. SIme la comtesse de La BoessiereThiennes, à Anvers.

M. le baron E. de Lesser, à Terron-lcs-

Vendresse.

SI- le comte de La Barre d'Erquelinnes. au château de Saint-Chamant. SIme Maurice Lcsieur, à Fouesnant. SIme Louis Langlois, à Triage. Mme Le Coq de Kerland, à Jouy-cnj Josas.

Mme François Lehideux. à Cabourg. Mme de La Broise, à Saint-Sylvain. M. Henri Lockie ïsq, à Brundall. Mlle de Loes, à Lausanne.

Mme de Luget, à La Cigogne.

SIme la vicomtesse de La Vingtric, au château de la Groirie.

SI. de La Monneraye, au manoir de Lotterik.

r r;

M. ijUCieil 1. aille, a n-it^

Mme Paul Labbé. à Gorcy-

M. Loth, à Carolles-Bourg.

Mme Lecamp, à Sevrier.

SIme la comtesse de La Loyère, à La Celle-Saint-Cloud.

Mme la comtesse de Louvel-LupeU au château de Warvillers.

Mme la comtesse J. de La Taille- lretinville, au château de Blanchamp. Mme la comtesse R. de Longueau, au

château de Saint-Michel.

Mme Paul de La Grange, au Petit-Bois. Sfme Albert Marinoni, à Ignols. SIme la comtesse H. de Slonteynard, au château de Lierville.

M. le docteur Maillard, à OnivalMme la comtesse X. de Slontalembert d'Esse, au château du Bois-Corbeau. Mme la comtesse Guy de Mareieu, au château de. Chambonas.

Mme la vicomtesse P. de Slougins-Roquefort, à Bellevue.

M. le marquis de Menou, au château [ de la Chapelle.

Mme la comtesse G. de Moustier, au SI château de Clémery.

Mme la'" comtesse de Mostuejouls, a ->1 Rio-de-Janeiro. M. Maillard, à Puche. •» M Eugène Mathon, à Inxent. Mme Louis Melliers, à Castres- X! M Jean Marrauld. à Bordeaux.

Mme Anthime Ménard, à Couchcs-les- Ji

Mines. •'

Mme la comtesse Pierre de Martimpre, a Wimereux. Mme Hubert Michel, au château de Jan- A. ;t:

val. ̃ *V

M. Jean Magnette, à Howal'.l-

Mme Mazel, à Saint-Gervais. > M. Serge Morin, à La Baule. -> Mme la comtesse des Michels, à Nancy. A Mme Mercedes Lagé, à La Eaule-les-

Pins à

Mme la comtesse Arnuipli de Montgo- 1 nierv, a Lisieux. Mme Magnier, à Champagnole. A M. Henri .Mereeron-Vicat, à Biviers. J M. J.-F. Nillus, à Ussat-les-Bains. A M. A. de Xoiron, au château du HautPuy. M. N. Nico'lesco, à Predeal.

M. N'icolardot, à Versailles.

Mme la baronne G. de Xexon, au cha- •' teau de Nexon. t

Mme P-J. Negreponte, à Taismercs- •̃

sùr-Hon.' »

Mme la baronne Niviète, a Arroman- jj ches-les-Bains. Mme la vicomtesse d'Orcet, au cliateau de Retz. i M. le comte P-. d'Oilliamson, au cha- teau de Fontaine-Henry..

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Mme Emile Périllat, au château de Villy.

Mme Pierre Pellerin, à Montevrain. M et Mme Jacques Penet, à Sahurs. M. Jean" Rouff, à La Rozière.

Mme Marthe Rcvel, au château de Saint-Didier.

M. Henri Roudfd; à Trouville.

et Mme François Rey, au château de Fontguitard.̃

Mme Christian Renaudin, à Saint-Uermain-en-Laye.

Mme la marquise de Rochequairie, à Montpellier.

Mme P. Bouvière, à Brides-les-Bains. Mme Roth, à Xans-les-Pins.

M. Georges Rey, à Trégastel-

Mme Rondet-Saint, au château de Bouafles.

M. A. Rivaud, à Poitiers.

M. L. Rampillon des Magnils, au château de Tirpoil.

M. René Recoussine, au Touquet-Paris-

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M. Regaud, à Radelinec-Tréboul. M. Louis Roze, à Roidemont.

Mme Ph. Romet, à Saint-Gildas-deRbuys.

Mme Marcel Schnerb, à Saint-Cerguesur-Nyon.

M. le baron de Senevas, à La Piliorays.

Mme la comtesse, de Ségur-Lamoignon, à Asniérés-sur-Oise.

M. le comte de Semallé, à La Gastine. Mme Ch. Schutzenberger, à Strasbourg. Mme Pierre Sauvage, à Evian-les-Eains. M. Raymond Simouneau, au château de Cheveneller.

Mme la comtesse de Sercey, au cliateau de Dury.

Mme Oscar Schauenberg, à Bitselnviller.

Mme la générale Sabatié, a Toulousc. Mme la comtesse de Saint-Blanquat, à Moiit-I'èlerin-sur-Vevey.

Mme la vicomtesse de Saint-Trivier douairière, au château de Villicrs. Mme G. Singher, à Andlau.

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Meudon-Val-Fleury.

Mme Schneider, au Tréport.

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M. le comte de Saint-Sauveur, à Jouyen-Josas. i

Mme Sautcreau, au château de Caliac.

M. C. de Saint-Victor, au château de

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Mme la comtesse R. de lernay, au château de l'Epinay..

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Brignais.

Mme la comtesse de Talhouet, à La ̃ Baute.

Mme la vicomtesse de Truchi, au cliateau d'Ordon.

Mme la duchesse de Toledo, à Londres.! M. de Talodc de Grail, a Samt-Nec-I

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Mme" Marguerite Tusseau, à Riva-Bella. M. le lieutenant Paul Thomas, a Landerneau..

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