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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1931-04-24

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 24 avril 1931

Description : 1931/04/24 (Numéro 114).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k296577t

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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VENDREDI 24 AVRIL 1931 ,v

SOMMAIRE FIGARO PAGE 2. Les Cours, les Ambassades, Te Monde et la Ville. Mort de l'Infante Isabelle. L'inauguration du paquebot « Côte d'Azur ». Hugues Delorme Le Droit chemin. .PAGE 3. Avant l'Exposition coloniale. Le discours de M. Tardieu. Revue dé la presse. Dernière Heure La situation en Espagne. L'accord austro-allemand. PAGE 4. D' A. Legendre L'Armée rouge, l'Osoaviakhin et le Komsomol. Ch. Dauzats Académie française. Georges Claretie La fin tragique de Max Linder. La Vie religieuse.

PAGE 5. Gérard d'Houville Chronique des théâtres de Paris. Jacques Patin Un illustrateur de Dante. Arsène Alexandre La Vie artistique. Les Alguazils Courrier des lettres.

PAGE 6. La Bourse la Cote des valeurs. Spectacles.

PAGE 7. Maurice Monda L'art et là curiosité. Emile Gautier Chronique documen-

•" taii;,e. ̃ "•• -.•••• .̃.

PAGE 8. La Vie sportive.

PACsE<9, Déplacements et villégiatures des abonnés de Figaro.

PAGE 10. W. B. Maxwell Fille majeure et célibataire de cette paroisse.

LA POLITIQUE

Le scrutin

qui a cesse de plaire

Les radicaux changent d'amours. L'élection de la Guillotière leur ouvre des horizons. Les élections de Berge- rac et de Privas les ont rendus son-

geurs est-ce que l'an prochain de pareilles mésaventures se multiplieront ? Le président du comité exécutif radical-socialiste, M. Daladier, se le demandait mercredi. Ne fallait-il pas, disait-il, « envisager une réforme électorale instituant le scrutin liste, avec représentation proportionnelle » ? Le moment semblait venu au-député d'Orange de réfléchir à ce problème et de prendre une détermination. Un journaliste du parti, récemment, expliquait avec franchise ce revirement que nous avons signalé en faveur de la R. P. Examinant la réforme possible, il avouait, dans un sous-titre, la vraie préoccupation du parti « Où est l'intérêt radical ? » écrivait-il en lettres capitales. Hier soir un cartelliste répondait « L'intérêt des gauches, c'est le scrutin d'arrondissement ». II maintient, ajoutaitil, l'union menacée des radicaux et des socialistes. Fort bien mais aux leaders de la rue de Valois il semble au contraire que cet intérêt n'est plus du côté des mares stagnantes. On s'y acoquinait jadis avec les internationalistes on se querelle avec eux à présent. Pour faciliter leurs ententes avec les maraietes ils avaient, il y a quatre ans, tout exprès, ressuscité le scrutin d'arrondissement. De quels discours ils l'avaient rappelé, de quelles fleurs ils l'avaient entouré, de quels votes ils l'avaient soutenu Le Sénat avait montré la route 227 voix contre 27 avaient adopté une proposition d'uninominal. Le gouvernement avait cru devoir s'incliner Le scrutin d'arrondissement devenait celui qui « s'adaptait le mieux au génie même de notre régime ». C'était celui « dont la démocratie française avait l'habitude et le goût ». II était le scrutin de la franchise et de la clarté.

Malgré les savants découpages auxquels, entre camarades de gauche, il fut' procédé, les élections de 1928 ont, on le sait, déçu profondément les radicaux. Rien ne va plus. Et les voilà qui regardent vers la R. P. comme ils envisagent la concentration avec les modérés. Car il faut bien vivre, comme dit l'autre. Et vivre, pour le parti qui mena le cartel, c'est avoir beaucoup de sièges, de porte- feuilles et de places Vive donc la R. P. si elle en doit procurer, crient ses pires adversaires de tou- jours et de 1927 en particulier.

Félicitons-nous de cette volte-face comme de toutes celles qui apporteront à des réformes désirables un appoint nécessaire. Elle secondera les efforts des partisans constants de la proportionnelle, à la tête desquels marchent toujours M. Louis Marin et ses amis, actifs et fidèles défenseurs depuis vingt ans de ce scrutin de justice. Les socialistes, erpéistes intermittents, les suivront sans doute, e; nous avons, avant-hier, vu des politiciens dans le Nord, enragés naguère contre tout ce qui n'était pas uninominal, proclamer, avec une ardeur de néophytes, la R. P. « l'expression claire et probe » des opinions du pays. Souvent élus varient.

Mais ce statut électoral auquel ils se rallient, sera-t-il, comme le disaient ceux de Lille, définitif ? Peut-on oublier que la Chambre, én 1927, en abro- géant avec raison le système majoritaire hybride et incohérent de 1919, affirmait déjà sa volonté de donner au pays un « régime électoral définitif ». Ah s'il était qualifié de provisoire Mais combien elle en a vu réformer de modes de scrutins définitifs la République aujourd'hui sexagénaire Elle n'a pu se fixer à aucun. Chaque fois que ses représentants parlementaires de gauche se sont sentis en danger, ils s'en sont pris, non à euxmêmes, mais au système de vote qui les avait fait nommer et auquel d'avance ils imputaient la faute d'un échec prévu.

Souhaitons que cette fois ceux des radicaux qui adhèrent au scrutin pour lequel firent campagne, avant guerre avec Jaurès, des hommes comme Denys Cochin, ne reprennent pas, e:i 1935, une campagne contre la R. P. si de nouveau elle a cessé de leur plaire.

Bulletin du JOUR L'avertissement

du Premier Mai

L'Humanité s'efforce depuis quelques jours d'exciter l'enthousiasme des travailleurs en vue de la fête du Premier Mai, qui doit être, cette année, « sous le drapeau de l'Internationale communiste, une journée de lutte du prolétariat contre l'impérialisme français, gendarme de l'Europe et fauteur de guerre ».

Mais il ne paraît pas que le monde ouvrier prenne très au sérieux les excitations de l'Humanité. U A mi du Peuple, qui' est maintenant un journal plus lu et commenté dans les milieux ouvriers que celui de Moscou, a fait de bonne et honnête besogne et répandu quelques vérités sur le paradis soviétique qui en ont dégoûté beaucoup d'anciens adeptes du communisme. Quand on raconte aux ouvriers français qu'il s'agit de « manifester'pour la défense de l'Union soviétique » et pour « lui assurer la paix et la sécurité », ils demandent si les recrues de l'armée rouge, qui font devant le mausolée de Lénine « le serment de combattre jusqu'à la mort », ne s'arment pas pour l'attaque plutôt que pour la défense, et s'il n'y a pas en Russie bolchevique plus de force d'agression que dans la France soi-disant impérialiste. Mais surtout quand l'Humanité invite ses lecteurs à réaliser « une France soviétique », ils songent à la condition de l'ouvrier russe, au travail forcé, et ce qu'ils en savent ralentit singulièrement leur zèle révolutionnaire. Il y a une remarque bien curieuse à faire en France aujourd'hui, à la veille de ce Premier Mai c'est que le bolchevisme a de moins en moins d'adeptes parmi les véritables travailleurs manuels, et qu'il ne tente plus que des intellectuels, des snobs de l'esprit. Il n'y a plus guère que dans les imaginations corrompues par une fausse culture, dans les cerveaux en mal de byzantinisme, que le bolchevisme soit considéré comme « une expérience intéressante ». Et il faut, en effet, être doué d'une intelligence bien fausse et bien malsaine pour se refuser à considérer fcdhime une épouvanta-

ble ~régression-uri-régilne qui tend av~rétablir

ble-régression -uii régime qui tend à' irétabïir

l'esclavage dans le monde Par une hypocrisie, qui est d'ailleurs le caractère dominant de la IIe Internationale, le gouvernement travailliste anglais s'est refusé dernièrement à enquêter, comme le lui demandait un député aux Communes, sur le travail forcé tel qu'il se pratique en Russie. Mais les masses ouvrières savent, en Angleterre comme en France, que si les marchandises russes sont jetées à vil prix sur les marchés de l'univers, c'est le moujik qui en fait les frais, que l'ouvrier et le paysan russes travaillent dans des conditions beaucoup plus dures que les esclaves dans l'antiquité. Et cela n'est fait pour tenter aucun travailleur.

Nous n'en sommes d'ailleurs pas plus rassurés, car nous savons comment éclatent les révolutions « des sottises faites par des gens habiles des extravagances dites par des gens d'esprit des crimes commis par d'honnêtes gens ». Et le crime principal c'est aujourd'hui cette passion du lucre qui pousse tous les Etats capitalistes à commercer avec la Russie, et à accorder par là leur concours au « dumping » » qui menace l'économie du globe Lucien GorpeIchot. v •" ̃̃̃̃

LE REFERENDUM

DU STAHLHELM

Le délai d'inscription pour le referendum du Stahlhelm a pris fin le 21 avril. On sait ce dont il s'agit les partis de droite veulent provoquer une consultation populaire tendant à dissoudre le Landtag prussien. Pour que le referendum ait lieu, il faut réunir 5.270.000 signatures.

Or, ce chiffre a été largement dépassé. On ne sait pas encore de combien exactement, les promoteurs du referendum ayant deux mois pour rassembler les listes et communiquer les résultats décisifs au gouvernement prussien. Mais, dès à présent, il est certain que le referendum aura lieu. Ce n'est pas à dire qu'il doive se terminer par la victoire des partis de droite. Ceux-ci, pour obtenir la dissolution du Landtag prussien, devraient réunir, cette fois, la majorité absolue des électeurs et des électrices de Prusse, c'est-à-dire 13.200.000 en chiffre rond. Il semble, dans ces conditions, que le Landtag prussien ne court aucun risque d'être dissous, étant donné que tous les partis qui soutiennent le referendum n'ont guère obtenu plus de 9.100.000 voix en Prusse, lors des élections législatives du 14 septembre dernier. La marge, on le voit, est considérable, et il ne semble pas que les progrès du 'nationalisme' soient en' état' dep'la combler. En fait, toute la campagne en faveur de la dissolution du Landtag actuel n'a pas un grand intérêt pratique, puisque le Landtag actuel doit être renouvelé légalement en mai 1932. II ne pourrait donc s'agir tout au plus que d'anticiper de quelques mois sur la fin de la législature. L'expérience risque de coûter des millions et de donner lieu une propagande démagogique qui accroîtra le trouble des esprits à un moment où tout commanderait de travailler à l'apaisement. Mais n'est-ce pas précisément là le but des partis de droite, pour lesquels lc référendum doit être avant tout le moyen de déclencher l'agitation dans les masses populaires ? Raymond Henry.

Les tiêç|o&iations

m anales

L'accord probable

Les nouvelles négociations relatives à l'accord naval dureront,probablement encore quelques jours, mais on ne peut guère douter qu'elles s'achèvent par une entente, laquelle consistera simplement à ratifier les chiffres convenus le 1" mars et publiés sous le titre de « bases d'accord ». La note française envoyée à Rome et à Paris a nettement mis .j en lumière ce que les journaux anglais commen- cent à appeler la «négligence » de M. Henderson et qui mérite un nom plus énergique, car ce n'est point par erreur que les, représentants du gouvernement travailliste ont dit aux Italiens autre chose que ce qu'ils disaient aux Français. Et l'on préférera, à Londres, que cette note ne soit pas publiée. L'affaire est donc réglée, provisoirement, par la solution de bon sens que nous préconisions ici même dès le premier jour des discussions. Les bases d'accord du 1°' mars demeureront telles quelles, réglant les constructions .que nous avons le droit d'achever avant le 31 décembre 1936, c'est-à-dire d'entreprendre avant le 1" janvier 1934. Quant à celles que nous fer* en â934, 1935 et 1936, on en reparlera en temps utile.

Nous affirmons à nouveau par là notre volonté de remplacer au cours de cette période les navires hors d'âge que nous n'aurions évidemment pas continué à faire figurer dans nos effectifs si nous n'avions eu l'intention bien arrêtée de leur donner des successeurs. Qui a pu croire sérieusement le contraire ? Le texte même qui a été publié le mois dernier aurait dû écarter cette hypothèse, puisqu'il y était spécifié que l'accord ne préjugeait en rien de la manière dont les navires ayant dépassé la limite d'âge seraient remplacés c'est donc que nous réservions expressément nos droits à ce sujet, et lorsque nos représentants au comité de rédaction les.ont défendus, il y a trois semaines, ils n'ont nullement apporté de nouvelles « exigences », comme l'a préTendu toute la presse anglaise menée par le Foreign Office, mais maintenu les vues déjà exprimées auparavant. Il faudra bien qu'on le reconnaisse partout. lt:

'̃• •'£•'̃ A. Thomazi.

La Fédération américaine du travail et les dettes de guerre

"New- York, 23" avril.? -i- M. William Greèn, président.-de 4a--S^d«rafciàn'atiinéî4êaine dit travail, a demaft'dé, devant la Hà'rvï'rd Business School Club, la réduction ou l'annulation des dettes de guerre afin de redonner -de la stabilité 4}.ux affaires mondiales. ,.̃

Cette proposition a causé une surprise parce que, jusqu'ici, l'élément ouvrier envisageait l'annulation des dettes comme une proposition égoïste des banquiers et des capitalistes. 10

L'orateur a déclaré que, comparativement à l'année 1929, les pertes éprouvées par les ouvriers du fait de la réduction de là production s'élevaient à dix milliards de dollars. II demande à M. Hoover de convoquer une conférence économique au sein de laquelle on constituerait un conseil permanent qui aurait pour but. de prendre des mesures afin d'éviter le retour de périodes de dépression qui, a-t-il ajouté, encouragent les désordres ouvriers. La journée

dés Marionnettes Il faut aimer les marionnettes. Voilà qui peut scandaliser les messieurs graves qui réfléchissent avec des lunettes et les1 dames de qualités qui s'en vont si précieuses qu'elles arrivent toujours un peu ridicules. Ces opinions ne nous importent point. Les précieuses raisonnent erf l'air et l'on ne chausse des lunettes que parce qu\JrJest myope. Nos contradicteurs ne peuvent dont;' ni comprendre, ni discerner les mobiles de notre plaisir.

Il faut aimer les marionnettes. Sur leurs tréteaux légers elles se déplacent comme les démons familiers de nos rêves d'enfant. L'intrigue est fragile, mais droite, et ces histoires ne sont pas si simples qu'on le décide au premier-abord. Evidemment, tout se déroule en parodie. Nos préoccupations comme nos habitudes, nos rancunes et nos amours fon' trois petits tours et puis s'en vont; Ainsi font. font. les petites marionnettes assure la chanson. Etes-vous certain que nos soucis, nos ambitions et nos tendresses exécutent même trois petits tours dans notre cœur et notre vie ? Que vous nous prêtez de constance. mais que les marionnettes possèdent plus de perspicacité.

Les personnages ont une fois pour toutes la grandeur des entités. Nous reconnaissons dès l'entrée, à son nez et à ses oripeaux, le traître et le sauveur, le fâcheux et le bonhomme avisé. comme on reconnaît en soi-même sa colère et sa pitié, son amour-propre et sa ruse, mais, devant nous, ces figures s'imposent héréditaires. Chaque race les façonna à son image, chaque peuple leur donna à garder sa doctrine profonde. Leurs visages immuables qu'un secret collectif; fixa dans le bois, prolongent à travers le temp& 'une expression où nous retrouvons comme un schéma du site natal, comme l'empreinte d'une pensée fondamentale. Les marionnettes semblent toujours nous attendre sur le seuil du rire et veiller' à la porte de tombeaux. Aussi avons-nous avec joie retrouvé sur leur petit théâtre, les marionnettes allemandes et de Liège, l'étourdissant Guignol Lyonnais, les, poupées de Java et du Japon et découvert les marionnettes modernes de l'Arc-en-Ciel durant cette matinée à laquelle nous convia le groupement de YEffort, qui, sous l'impulsion de M. André Robert, ne cesse de s'intéresser à tous les spectacles et de suivre tous les mouvements intellectuels et artistiques de notre temps. N'ont-ils pas raison de nous dire aujourd'hui il faut aimer les marionnettes.

̃̃̃̃̃< Lucien Farnoux-Reynaud.

XDiiatœcTrETTK. ̃: ^k.a.itçois cottt

Une note du Reicb. à la ,1~. N.

Pour soustraire son aviation civile à la publicité des armements =

Genève, 23 avril. Le secrétaire général de la S. D..N. a transmis au conseil et aux membres de la S. D. N. une nouvelle lettre du gouvernement allemand donnant son avis sur la préparation d'un accord international pour la publication de renseignements concernant l'aviation civile. Ceci en prévision de la prochaine conférence du désarmement.

Le gouvernement allemand rappelle qu'il a toujours soutenu l'opinion qu'une convention sur la réduction et la limitation des armements ne devait pas toucher l'aviation civile, que le Reich considère comme un moyen de communication servant uniquement à des buts pacifiques n'ayant rien à voir avec une convention de caractère purement inilitaire.

Le gouvernement allemand demande que l'obligation dé publier des renseignements relatifs à l'aviation civile fasse l'objet d'une convention particulière. Il formule également le vœu que le conseil, au mois de mai, décide de charger la commission consultative et technique des communications et du transit de préparer immédiatement un projet de convention qui devrait être soumis au conseil lors de sa session de septembre et, le cas échéant, à l'assemblée de la S. D. N. qui siégera immédiatement après.

On devine sans peine les raisons cachées pour lesquelles le gouvernement allemand s'efforce de ne pas lier l'aviation civile (susceptible de se transformer du jour au lendemain en avions de bombardement) aux disciplines d'une convention de désarmement

Le voyage de M. Tardieu à Toulouse

Vifs incidents provoqués par les socialistes Nous laissions prévoir, hier, qu'il fallait s'attendre à une manifestation des socialistes toulousains contre M. Tardieij. jLes organismes locaux et les journaux du parti socialiste S. F. I. 0. battaient depuisf'pîusieurs jours le r<appei de leurs adhérents pour les décider à protester publiquement contre la venue à Toulouse du ministre 'de l'agriculture. Bien que ce voyage, organisé sur la demande instante des groupements régionaux agricoles, n'eût aucun caractère politique, certains élus d'extrême gauche du département de la Haute-Garonne voulaient y voir comme une sorte de défi de la part de M. André Tardieu. On sait, en effet, que ces partisans de la primauté de l'économique sur la politique ne songent en réalité qu'à assouvir leur haine de partisans.

Les marxistes en ont été pour leurs frais. M. Tardieu, avec sa crânerie habituelle, ne s'est pas laissé intimider par leurs rodomontades; il est allé à Toulouse, et la manifestation bruyante et singulièrement déplacée des gens de la Seconde Internationale a sombré dans le ridicule. Quand les trois automobiles du cortège ministériel s'engagèrent, hier matin, vers 10 heures 30, sur le pont Saint-Michel, qui précède immédiatement l'entrée du vaste foirail où a lieu le concours agricole, une centaine d'individus, à la boutonnière fleurie de l'églantine révolutionnaire, se mirent à siffler. Mais le pont fut rapidement franchi et une foule de contre-manifestants massés à l'entrée du concours saluèrent par des applaudissements chaleureux et des acclamations nourries l'apparition du ministre.

Les siffleurs, ayant reçu du renfort, se mirent alors à déborder le service d'ordre, l'entrée de l'enceinte leur ayant été ouverte sur les instructions expresses données à la police par un membre de la municipalité toulousaine.

Leurs sifflements furent couverts par les applaudissements chaleureux de la foule.

Le ministre de l'agriculture, que la manifestation des S. F. I. 0. amusait visiblement beaucoup, s'entretenait familièrement, durant ce temps, avec la plupart des exposants.

Chaque fois qu'un groupe de manifestants parvenait à se frayer un chemin jusqu'à lui, M. Tardieu, toujours souriant, s'arrêtait, leur faisait face, abandonnait posément pour quelques instants.sa cigarette, puis, retirant son chapeau, il sortait un magnifique sifflet dont il avait lui aussi pris la précaution de se munir, et répondait par une énergique roulade aux cris divers qui déferlaient vers lui, cependant que les cris de « Vive Tardieu! > reprenaient de plus belle.

A 11 h. 30, les stands ayant tous été visités de bout en bout, M. Tardieu remonta en voiture pour se rendre à la Chambre de commerce, où il devait présider le banquet organisé par les groupements agricoles de la région.

A midi, une accalmie se produisit. Le banquet commença. Au dessert, le préfet, après avoir souhaité la bienvenue à M. Tardieu, déplora les incidents de la matinée et en stigmatisa le caractère intolérable.

Puis, après divers orateurs, M. Tardieu prononça un discours très applaudi définissant le programme agricole du gouvernement. On en trouvera un résumé plus loin.

Mais les incidents reprirent dans la rue à ce moment. En effet, vers 14 h. 15, alors que, dans la salle du banquet, M. Tardieu achevait son discours, de violentes bagarres se produisaient entre les manifestants et le service d'ordre. Un nombre considérable de « militants socialistes s'étaient massés sur la place Esquirol, juste en face de la 'Chambre de commerce ̃ quand on. voulut faire reculer ces manifestants, dont .le nombre allait croissant de minute en minute et dont les cris et les coups de sifflet se faisaient de plus en plus violents, les socialistes ayant refusé d'obtempérer, la police et les gendarmes à pied ont tenté de les refouler. A ce moment, une sérieuse collision 's'est produite. Des chaises, prises à la terrasse d'un café, ont été lancées sur le service d'ordre. La gendarmerie à cheval a dû intervenir quelques manifestants furent plus ou moins contusionnés. Finalement, M. Tardieu put assister, non sans avoir continué à montrer un sang-froid remarquable, au retour du calme dans la cité toulousaine. A neuf heures du soir, il quittait en automobile Toulouse pour Montauban, accompagné du préfet, puis prenait le train pour Paris.

Un discours de M. Benès sur l'accord austro-allemand M. Benès, ministre des affaires étrangères de Tchécoslovaquie, a prononcé, hier matin, un important discours, devant les commissions des affaires étrangères de la Chambre et du Sénat, sur l'accord austro-allemand. Le passage principal de ce discours a trait aux débats qui auront lieu, le mois prochain, à Genève. On pouvait craindre jusqu'à présent que le projet de Zollverein ne fût guère discuté que du point de vue économique. C'est, en effet, la commission d'études pour l'union européenne qui sera la première saisie de l'affaire, le 15 mai. Le conseil de la Société des nations, qui se réunira ensuite, peut se trouver en présence d'un accord de principe tendant à une organisation économique de l'Europe qui dispenserait l'Allemagne et l'Autriche de. réaliser leur union douanière, mieux vaudrait dire qui la retarderait. Le Conseil serait porté, dans ce cas, à ne point formuler de critique à l'égard des gouvernements de Berlin et de Vienne pour leur attitude si cavalière envers les traités. De toute façon, il semblait que le Conseil serait seulement chargé d'examiner lé côté juridique 'de l'affaire. Or, M. Benès .entend qu'elle soit envisagée sous son jour véritable, qui est essentiellement politique. Puisque l'Allemagne et l'Autriche celle-ci étant encore le « brillant second » de jadis ont soulevé, de façon indirecte, la question de ÏAnschluss, U importe qu'elle soit étudiée sous tous ses aspects. C'est la seule façon d'éviter qu'elle ne réapparaisse dans un proche avenir.

Le ministre des affaires étrangères de Tchécoslovaquie a rappelé avec beaucoup de raison qu'une union douanière entre l'Autriche et l'Allemagne, loin d'améliorer la situation économique des deux pays, la rendrait pire et bouleverserait en même temps l'économie européenne. La solution au problème de l'Europe centrale se trouve dans des accords librement consentis, auxquels devront participer les grandes puissances. Il sera sans doute difficile de trouver une formule qui saiisfassc chacun et qui n'impose pas à certains pays des sacrifices sans compensations. Les tentatives faites à Genève, ces dernières années, ne sont guère encourageantes. II n'en demeure pas moins qu'un effort doit être accompli dans le domaine économique pour porter remède aux maux dont souffre l'Europe. Mais il ne faut pas se dissimuler que rien ne sera fait aussi longtemps que la situation politique sera aussi trouble qu'elle l'est aujourd'hui, aussi longtemps que certaines puissances remettront en question les traités de paix et ne se trouveront pas en présence de gouvernements résolus à .ne. pas, laisser l'Europe se lancer dans la voie des aventures. Le mérite de M. Benès est d'avoir souligné, dans son discours d'hier," cet aspect essentiel du problème.

POUR L'APOSTOLAT DE L'UNIVERS lie nouveau collège

de la Propagande

Par GEORGES GOYAU

Un peu en retrait, au-dessus de la colonnade de Saint-Pierre, le nouveau collège de la Propagande aligne,sa large façade. De jour en jour, au cours de cette semaine, se sont échelonnées les cérémonies d'inauguration aujourd'hui vendredi, le cardinal Mundelein, archevêque de Chicago, dira la première messe dans l'égiise du collège, et le cardinal Pacelli, comme légat du Pape, bénira les locaux.

Il y a quatre-vingt-dix-huit ans que Mgr Rosati, évêque de Saint-Louis aux Etats-Unis, était informé que dans l'Illinois il y avait une centaine de catholiques, et prié d'installer un prêtre à Chicago. Aujourd'hui cette ville est une métropole ecclésiastique sur laquelle rejaillit l'éclat de la pourpre son archevêque, s'éloignant un instant de ces Etats-Unis qui, pour la Rome de Grégoire XVI, étaient pays de mission, vient célébrer, dans le grand collège missionnaire qui surplombe désormais la Cité Vaticane, les premières liturgies. Il y a là comme un symbole du rôle actif que veut prendre aujourd'hui l'Eglise d'Amérique dans l'apostolat universel. « Nous avons tout reçu, jusqu'à présent, écrivait naguère l'archevêque de SaintLouis nos missionnaires venaient de pays étrangers. Mais, Dieu merci, les temps sont changés. Nous, à notre tour, nous voulons quitter patrie et famille pour prêcher l'Evangile, afin de donner le monde à Dieu. Le Séminaire des Missions Etrangères, qui se fondait en 1912 dans l'Etat de New-York, pourvoit déjà au recrutement de deux missions en territoire chinois les générosités américaines, dont la portée fut singulièrement accrue par les vicissitudes du change, figuraient en- première ligne, au lendemain de la Grande Guerre, dans le budget de la Propagation de la Foi et cinq ans ont suffi, de 1918 à 1923, pour que la Croisade des Etudiants d'Amérique en faveur des Missions Catholiques groupàt au delà de l'Océan deux cent vingt-sept mille jeunes gens.

Un prélat espagnol, Vivès, avait, il y a trois siècles, mis à la disposition du pape Urbain VIII ce palais de la place d'Espagne où, depuis lors, le collège de la Propagande fonctionne en ce temps-là, le coin de terre où s'étale aujourd'hui l'immensité de Chicago n'était point encore troublé ni même frôlé par les agitations humaines. Lorsque le bon Vives, qui mourut nonagénaire, écrivait au pape Urbain VIII « Par l'âge et l'infirmité, je suis devenu inhabile à faire des actions corporelles méritoires, et je m'applique aux actions spirituelles, particulièrement à celles qui sont d'utilité publique », eût-il jamais pu prévoir qu'au jour où les clercs abrités par sa libéralité émigreraient en de plus vastes locaux, le cardinal qui dans l'Eglise nouvelle monterait à l'autel, débarquerait de ce .mystérieux Outre-Mer où quelques Francis-


cain§j ^t :;qp»elques Jésuites, aux alentours de 1630"/ commençaient seulement d'affronter des sauvages ? 2

Lorsque Mgr Mundelein, se retournant vers l'assemblée, invitera les assistants à joindre leufs prières aux siennes, il aura sous les yeux de jeunes Annamites et de jeunes Chinois, de jeiiriÇjS Japonais et de jeunes Indiens, et des Africains, et des Syromalabares, successeurs des trois mille cinq cents élèves qui se sont assis, au cours de trois cents ans, sur les bancs de la Propagande, et qui s'essaimèrent, ensuite, à travers^ leurs pays respectifs, ne sachant pas quelle destinée les attendait, celle de fondateurs d'églises ou celle de martyrs.

Le collège de la Propagande est quelque chose de plus qu'un microcosme du monde catHoijqtië il apparaît, de génération en génération, comme le- berceau, toujours plus large, toujours plus accueillant, toujours plus ambitiêiïx, -de cette « plus grande chrétienté dont les^-fRontières, dans la pensée de l'Eglise romaine, doivent un jour coïncider avec les extrémités du monde et de siècle en siècle, dès repi'ésejitàïrts de peuples nouveaux, de races nouvelles, y firent leur entrée. Devant cette ébauche de, réalisation de l'universalisme chrétien, Gerbet s'écriait, dans son Esquisse de Rome chrétienne « La Propagande est aux antipodes de Babel. Les effets de l'antique séparation dès langues se guérissent,'par leur communion à même foi et au même dévouement. » l Et lorsque, en 1870, l'épiscopat catholique du monde entier se groupait autour de Pie IX pour le concile du Vatican, il y eut, au collège de la Propagande, une solennelle séance littéraire où im-ent développés, par trente jeunes clercs, en trtente- langues différentes, des textes relatifs à Lt fêté i de l'Epiphanie. Il semble qu'en ce col]|^e; les ténèbres produites par l'obscurité des langues et par l'incompréhension réciproque de ceux qui les parlent aspirent à se dissiper, à s'éclairer, sous l'éclat rayonnant du message que toutes ces langues annoncent, et dont l'unité souveraine fait fraterniser les âmes. Désormais, de cette fenêtre du Vatican derrière .laquelle veille « la vedette apostolique », ijn|i;le Pape aime-t-il à s'appeler, -Pie XI, • .jetant sur la ville et sur le monde, urbi et orbi, son regard de conducteur spirituel, verra devàht lui, de l'autre côté de la place, à deux cents luètres à.vol d'oiseau, le collège se préparera Uàpostûlat. de T,uniyers. ,Saà Séminaire pontirfiça} romain, qui fournit des prêtres la ville dVÎ&rrîèi est' cônimé-MbttH'l*ofn6re dû;Lrâtranf 1 tout au contraire, lé collège de la Propagande, face 'à;' face, avec le Vatican, domine désormais l'hor^bn, horizon unique au monde, par les rêves ;de conquête dont toujours il fut l'inspirateur et lorsque les élèves de la Propagande, en leur nouvelle résidence, s'abandonneront à ces rêves, ils auront sous les yeux les mêmes visions de beauté, et d'histoire, et d'infiniHsiit lequelles se posaient les regards du Pape, une heure après son élection, lorsque, du haut de la loggia de Saint-Pierre, il bénissait son Eglise et les autres brebis.

s Georges Goyau, '»̃ de l'Académie française. L'INFANTE ISABELLE S. |^Rf l'infante Isabelle, fille aînée du roi François d'Assise et de la reine Isabelle II, tante du roi Alphonse jpXLet sceur.de l'infante Eulalie, s'est éteinte hier aprèsmidi, sans sa soixante-dix-neuvième année, au couvent d'é 'l'Assomption de Passy, où elle était descendue', il y a trois jpjirs, en .arrivant d'Espagne.

̃Alitée depuis plusieurs semaines, dans son palais de Madrid, à la suite d'une attaque de paralysie, la princesse était encore trop seuffcaflte, le jour du départ de la fajpille,; royale, pour ê.tre transportée dans le train qui emnjéa^ït.les august'e&exilés, à -la .frontière. Profondément, bouleversée par les rumeurs de la révolution qui montaient. jusqu'à sa chambre, elle voulut, malgré son état alarmant, quitter le pays qui venait de se rebeller contre ses souverains et de proclamer un nouveau régime. Malgyé, l'ayis des médecins, la vénérable princesse se fit porter jusqu'à la gare de l'Escurial et partit pour Paris, accompagnée de deux religieuses. Le voyage fut des plus pénibles elle avait quitté tout ce qu'elle aimait sa patrie, sa belle demeure remplie de chers souvenirs, ses habitudes, ses pauvres, le décor familier ;au milieu duquel elle avait vécu heureuse pendant plus d'un demi-siècle. Brisée d'émotion, de souffrance, elle ne put survivre à une të{lé épreuve. Elle est venue mourir dans un couvent de Pâïjs, après avoir eu la consolation de revoir une dernière lois le roi et la reine d'Espagne et leurs enfants, dont elle avait partagé toutes 'les angoisses et toutes les douleurs.

es "français qui furent ses hôtes à Madrid s'inclineront avec émotion devant cette auguste victime de larévolution espagnole ils 'se souviendront 'dé.la princesse affable et charmante qui réservait aux représentants de notre littérature, de nos arts, le plus bienveillant accueil. R. L.

~w-

AUGUSTABERNARD 3. FAUBOURG SAINT-HONORÉ

soldera des modèles de la ^dernière .cgÙect.ionj samedj'*2ô, toute ta journee^^cpf :<*«j

Venté strictement au ccunpfanl."

Inauguration du paquebot « Côte d'Âiur »

De nombreux invités, conviés par la Compagnie du Chemin de fer du Nord et par la Société de Gérance et d'Armement, ont assisté, avant-hier, à l'inauguration de la Côte-d'Azur, paquebot destiné aù'sérvice Calais-Douyres.

Ge beau navire au nom prometteur a 103 mètres de long et. 3.500 tonnes de déplacement des turbines de 14.000 chevaux lui donnent une vitesse de 23 nœuds 5. Ses aménagements intérieurs comportent Indisposition classique des malles du Pas de Calais cabines de luxe au centre, avec larges coursives de chaque bord salons de repos su-dessous, pont très dégagé au-dessus. Ils présentent un confortable qui surprendrait, s'agissant d'une traversée qui' dure « peine plus d'une heure, si l'on ne savait combié'n les passagers sont rendus difficiles par une cpjîçurrqnce internationale qui s'ingénie à trouver les solutions les plus élégantes aux problèmes les plus compliqués. La décoration, de stylé franchement moderne, présente de grandes surfaces de bois précieux, des lignes pures et simples, des éclairages tainisés. Et la stabilité, grande préoccupation des personnes sensibles au mal de mer, a fait l'objet d'études toutes particulières grâce auxquelles la tenue, ai la uïer est remarquable et les roulis très atténués..

Ces' qualités, on pu les constater dans les eXsàiS,rmàis non dans le voyage d'inauguration, qui a eu lieu par un temps splendide on se serait presque cru7déjà, dans la Méditerranée. A Douvres, "es.; invités ont, été reçus par la Compagnie du Southern Raihvay, et des discours ont été prononcés, en français et en anglais, en l'honneur de la Côte-d'Azur, que suivra bientôt la Côte-d'Araent, en construction au Havre. On s'est congratulé de cé.npùveau perfectionnement des moyens de comniunifiEtion entre la France et l'Angleterre. Depuis 1890 en application d'un accord diplomatique, le service Calais-Douvres est assuré pour moitié par des navires français et par des navires anglais, qui coopèrent plutôt qu'ils ne se concurrencent. Voilà une entente navale qui devrait bien servir de niodèle à l'accord, si difficile, sur les marines mili-

iaia c s; ~1. T.

tain^ V A. T.'

Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville

Les Cours

LL. AA. RR. le Prince et la Princesse de Piémont sont arrivés à Rome, de retour de leur voyage en Tripo. litaine. ;•

S. -A. R. le Prince de Piémont avait, avant-hier, adressé de Naples, au chef du gouvernement, le télégramme suiva'nt

« Au moment de débarquer à Naples, la Princesse et moi tenons à exprimer à Votre Excellence notre vive satisfaction pour le voyage fait et pour la visite à notre florissante colonie. Salutations cordiales. Affectionne cousin Humbert de Savoie. »

M. Mussolini a répondu comme suit

Je suis très heureux que Votre Altesse Royale ait trouvé la colonie en plein développement et je suis surtout heureux de l'accueil que les métropolitains et les indigènes ont fait, à Votre Altesse, et à S. A. R. la Princesse. Je prie Votre Altesse d'agréer l'expression de mon profond dévouement. Mussolini, »

S. A. I. et R. la Princesse Napoléon, née Princesse Clémentine de Belgique, ainsi que S. A. I. le Prince Napoléon, son fils, ont été reçue en audience privée par le Souverain Pontife. Leurs Altesses Impériales ont fait visite ensuite à S. Em. le cardinal secrétaire d'Etat. Le duc de Miranda, grand chambellan de S. M. le Roi Alphonse XIII, nous communique la note suivante « LL. MM. le Roi et la Reine et Leurs Altesses Royales, très touchés des marques de sympathie qu'ils ont reçues et dans l'impossibilité de répondre personnellement au nombre considérable de lettres, messages et télégrammes qui leur sont parvenus, expriment leur profonde gratitude à tous ceux qui ont bien voulu leur témoigner ces sentiments de sympathie. » Dans les Ambassades

S. Exe. l'ambassadeur de France à Bruxelles et la comtesse de Peretti de La Rocca ont donné, mercredi, un dîner auquel assistaient

M. et Mme Gibson, le ministre des finances et Mlle Houtart, le grand maréchal et la comtesse de Lannoy, princesse Jean de Merode, prince et princesse Albert de Ligne, S. Exc. le ministre de Suisse et Mme Barbey, baron et baronne Moncheur, comte et comtesse de Kerchove de Denterghem, comtesse G. de Caraman-Chimay, vicomte et vicomtesse Davignon, vicomte et vicomtesse Joseph du Parc, M. Le Tellier, baronne Hermann de Woelmont, Mme La Rocque, M. d'Ocagne, membre de l'Institut; baron d'Halewyn, capitaine Fustier, Mlle de Peretti de La Rocca, lieutenant François de Peretti de La Rocca.

Après le dîner, M. d'Ocagne, membre de l'Institut de France, a fait une conférence très applaudie 'SutJ -la Princesse Mathilde et l'Impératrice Eugénie; < li-'Mii Assistaient à cette conférence, en outre des iravkés dtf dîner: Al. et .Mlle E. Baes; baron et baronne vawden Bosch, M. Miguel de Beistegui, M. et Mme-.Valentin Brifaut, baron et baronne Boel, baronne de Beeckman, baron et baronne de Gerlache de Gomery, vicomte et vicomtesse van Iseghem, général et vicomtesse Jolly, M. et Mme Paul Lambotte, Mme de Penaranda de Franchimont, comtesse St. de Robiano, M. Saint-Paul de Sinçay, baron et baronne Silvercruys, M. et Mme Raoul Tack, M. et Mme Franz Thys, M. et Mme Raymond Vaxelaire, M. et Mme Auguste Wittoùck, M. de La Regata, baron et baronne Carton de Wiart, etc. Monde officiel

Le président de la République a reçu, hier aprèsmidi, S. À. R. le Prince Eugène de Suède. Dans le Monde

Le duc d'Albe, qui était venu à Paris pour assister aux obsèques de son oncle, le duc de Montellano, est rentré à Madrid.

La comtesse de Bonneval et la comtesse Charles de Ganay donneront un bal pour les amies de leurs filles le samedi 30 mai.

M. et Mme Fernand Margerin, dans l'impossibilité de répondre personnellement aux très nombreuses marques de sympathie qui leur ont été témoignées à l'occasion de leur terrible accident d'automobile au pont de Passy, prient leurs amis d'agréer leurs sincères et vifs remerciements.

Naissances

̃ Le docteur et Mme. Maurice, Ltiz'uy ont le plaisir d'annoncer la naissan.qe.;de Jelir .p"etlte",Anne-Marie-Françoise. Paris, 21 avril 1931. ̃̃. v.

Bienfaisance

La seconde réunion du comité des darnes pour l'organisation de la fête de bienfaisance donnée par S. A. la princesse Murat au profit des œuvres ;qu'elle préside, aura lieu aujourd'hui vendredi, à quinze heures, 28, rue de Monceau.

Mlle- Le Chevallier de Boisval donnera; aprèsdemain dimanche, à la mairie Drouot, sa matinée de bienfaisance mensuelle pour le Patronage artistique, avec Mmes Bartin, Lépidi Daurys, Despinoy, Luciani, SaintAndré de Tinar, Jacquelrn, Rollin, MM. René Laurent, Pradignac, dans les œuvres de Camille Arnal et Le Chevallier de Boisval. Représentation de Un Cœur et une Chaumière, avec Victoria Gildys et Arnal et la réputée danseuse Yetta Raspodi dans Fleurette et Rêverie. La vente annuelle de charité au profit de l'œuvre de l'Adoption des orphelins de la mer, fondée en 1897 par les amiraux Gicquel des Touches et Serre, aura lieu les mardi 28 et mercredi 29. avril, de quatorze à dixhuif heures, dans les salons du ministère de la marine (2, place de la Concorde).

C'est en l'église métropolitaine Notre-Dame qu'aura lieu, le mardi 28 avril, à dix heures, la messe solennelle chantée par le célèbre chœur de la Chapelle Sixtine au profit de l'Asile des jeunes garçons infirmes et pauvres dirigé par les Frères Saint-Jean de Dieu (223, rue Lecourbe).

Billet (à partir de 10 francs) 6, place de l'Opéra à l'asile, 223, rue Lecourbe chez Durand, 4, place, de la Madeleine; aux agences et chez Delgrange, 18,4'ue ,La Boétie. ̃ .toi, Le bal' des Pages aura lieu, ainsi que nojjs 'J'^olns annoncé, le 5 mai;' à' l'hôtel Georgé-V, sous les^ auspices de la Saint-Cyrienne et de la Société amicale des anciens élèves de l'Ecole polytechnique, et sous le haut patronage de S. A. 1. et R. la Grande-Duchesse Hélène de Russie, Princesse Nicolas de Grèce. Au programme sont

TEMPS PROBABLE Région parisienne. Temps assez doux, toujours instable. Ciel nuageux avec éclaircies averses ou pluies orageuses. Vent Sud-Ouest modéré à assez fort. Température stationnaire. Maximum 16°.

France. En toutes régions Ciel nuageux avec éclaircies averses et orages. En outre, dans le Nord-Ouest, ciel se couvrant par l'Ouest l'après-midi avec pluie. Vent Sud à Sud-Ouest assez f ort.

Température en faible hausse générale. v Aviation. a) Région parisienkê Ciel nuageux par nuages moyens avec, au-dessous, couche discontinue de nuages assez bas averses orageuses. Vent Sud-Ouest à Sud 40 à 60 kilomètres à l'heure. Visibilité assez bonne. h) Vbrs Londres 25?» France, comme dam la région parisienne 2* Au delà, ciel très nuageux par nuages moyens et bas averses suivies de pluie l'api csmidi. Vent Sud-Ouest 60 à 70 kilomètres à l'heure. Visibilité moyenne. c) Viîrs Bruxelles, Coi,ôgne, Strasbourg Comme dans la région parisienne.

d) Vers Lyon-Marseille Ciel nuageux par nuages, .élevés, doublés, de groupes de nuages orageux assez bas' Vent Sud-Ouest à Sud 40 à 60 kilomètres à l'heure. Visibilité assez bonne.

e) Toulousë-Aucante-Casablanca Comme vers Lyon-Marseille.

Manche. Temps médiocre, très nuageux à couvert averses et grains. Vent Sud-Ouest fort. Méditerranée.– Ciel nuageux avec belles éclaircies averses ou orages. Vent variable modéré. Côte d'Azur. Ciel nuageux avec éclaircies ¡ orages. Vent Sud-Est Sud fort.

̃ Côte basque. Ciel nuageux à très nuageux averses et orages. Veut Sud à Ouest modéré.

inscrits entre autres lés ballets' plastiqués de Mme Claudia Isatchenko. "•

Un nombre très limité de tables (six places) peuvent être retenues au prix de Ï.50 francs la table en téléphonant au colonel Mestcherinoff, Archives 51-38. Les cartes d'entrée à 100. francs donnant droit à toutes les attractions se trouvent chez les dames patronnesses, chez le lieutenant-colonel Mestcherinoff, 10, rue de Rivoli; à l'Union Interalliée, 33, faubourg Saint-Honoré, et à l'hôtel George-V, 31, avenue George-V. Cercles '"• ̃̃̃ '"} y ̃̃̃ Le comte de Vigneral, membre du Jockey-Club, a été admis sans ballottage au Cercle de l'Union artistique à titre permanent., jt ;<

Au Cercle Interallié, le jeudi 30 avril, à seize heures, tournoi de bridge. De très jolis prix seront offerts aux gagnants. >. ;-i<r> Mariages "^°* En l'égljse Saint-Louis 'des' Invalides a été béni, hier, en présence d'une assistance des plus brillantes et des plus nombreuses, le mariage 'dé Mlle Sonia RaoulDuval, belie-fille et fille de :M. Jean de Kermaingant et de madame, née Hon. F. Vernon, avec le- comte de Contades, fils du marquis de Contades et de la marquise, née d'Imécourt. `=

Les témoins étaient, pour la mariée: M. Charles Raoul-Duval et lord Vernon, ses oncles pour le marié: le vicomte Olivier de Rouge, son oncle, et le marquis d'Imécourt, son cousin.

Les mariés étaient précédés de quatre petites filles: Mlles de Breteuil, l'Hon. Avice Vernon, de Cumont et de Luppé, habillées de crêpe satin Hlial avec résilles d'or, et de trois garçonnets: MM. d'Audiffret-Pasquier, Jean-Marie Pastré et Armand Brun, en pantalons de crêpe satin neige avec blouse, d'or- à collerette. Le service d'honneur était Rassuré par Mlles Eliane Raoul-Duval, de Ferrières:-Sauvebsuf, de Sinçay, de Chabannes, de Castries, Herbert et de Grandchamp, en longues robes de satin lilial avec résilles de galons d'or, chaînes et bracelets d'or, dans les bras de gros bouquets de roses Jacqueminot.<̃̃ La mariée portait une toilette semblable avec très longue traîne et superbe vàile de point d'Angleterre ancien.

A la sortie de l'église le cortège était ainsi formé: comte de Contades et comtesse de. Contades, M. Alain Raoul-Duval et marquise de Contades, marquis de Contades et comtesse de Ferrières-Sauvebsuf, vicomte 0. de Rouge et Mme René Raoul-Duval, lord Vernon et marquise d'Audiffret-Pasquier, M. Edmond de Contades et lady Vernon, M. de Montbrison et vicomtesse O. de Rouge, cbrfiFe de Cumont et Mme Couturié, prince Poniatowski et' .mai-quise de Nea^iff»- comtesse* FérfièrssSauvebekf "et Mme Charles''Rab'ul-Dtivaî, colonel Mau.rice Binder et comtesse deCumo-rit, comte M -y de Contades et princesse Ponir jwska, comte Jacques de Breteuil et comtesse B. d'Imécourt, comte de Charnières et marquise de Breisuil, M. R. Goury du Roslan et duchesse d'Audiffret-Pasquier, duc d'Audiffret-Pasquier et comtesse de Moltke-Huitfeld, M.. Henri Couturié et comtesse d'Ursel, comte B. d'Imécourt et comtesse de VilleneuveBargemon, comte de .Moltke-Huitfeldt et marquise de Louvencourt.

Aux premiers rangs de l'assistance avait pris place le baron François de Lassus Saint-Geniès, qui représentait Monseigneur le Due de Guise.

Après la cérémonie religieuse, une nombreuse et élégante réception fut donnée pour les parents et amis des mariés.

Les robes des petites filles, celles des demoiselles d'honneur et la toilette d-e là, mariée étaient signées Jeanne Lanvin.

On nous prie d'annoncer les fiançailles de Mlle Anne-Marie Collrn, fille du docteur Henri Collin et de madame, née Robineau, avec M. Philippe Surun, auditeur au Conseil d'Etat, fils de. M. Lucien Surun et de madame, née Bresson.

En raison d'un deuil récent, le mariage de Mlle Y. de Séguin avec M. G.' Boufdeau de Fontenay aura lieu le 9 mai, dans la plus stricte intimité. On annonce les fiançailles de Mlle Colette Froidefond, fine de M. Robert Froidefond et de madame, née Yvonne Aupin, décédée, avec M. Yves Marion, fils de M. Louis Marion. et de madame, née Gautier.

p,etiii,s :>«" ̃ ̃ .•̃•

M; comtesse <fe PimQjjànyhêe de Mercy,rArgeateau, veuve du'colô'nel cornte' dé'Pimodan, l'écrivain distingué, qui fut attaché militaire au Japon et fit partie de la Maison dé Monseigneur le Duc d'Orléans, a succombé la nuit dernière, à Cannes. Elle était la mère du comte de Pimodan, du comte Louis de Pimodan, de la comtesse A. de Berg de Breda et de lia baronne d'Ôverschie de Neerysche.

Le corps sera ramené à Paris.

Hier ont eu lieu, en l'église Saint-Pierre de Chaillot et en présence d'une assistance très nombreuse, les obsèques du vicomte René Vigier.

La levée du corps a été faite par l'abbé Bohan, second vicaire de la paroisse, qui, avait célébré la messe, et l'absoute a été donnée par je chanoine Mugnier, ami de la famille.

Le'deuil était représenté par M. Paul Double, beaufrère du défunt; M. Prat-Noilly et M. Jean Prat, ses oncles le comte Jean Pastré, le comt-s Louis de Montgomery, le comte d'Audiffret-Pasquier et M. Bonnardel, ses neveux. le. comte Vigier, le comte des Isnards et le comte de Vitrolles, ses. cousins. Du côté des dames, par la vicomtesse René Vigier, sa veuve; Mme Paul Double et la comtesse de Montgomery, ses belles-sœurs; la comtesse Louis de Montgomery, la comtesse d'AudiffretPasquier et Mme Bonnardel.ses nièces la comtesse des Isnards, la comtesse Vigier et la comtesse de Vitrolles, ses cousines.

Aux premiers rangs de l'assistance avaient pris place LL. AA. RR. le Prince et la Princesse Nicolas de Grèce, LL. EExc. les ambassadeurs d'Italie, de Belgique, de Pologne M. le maréchal et Mm'e la maréchale Lyautey et un très grand nombre de î*rsonnalités de la société parisienne, du monde diplQrrtati'cjùe, des grands cercles parisiens études sociétés hippjijù'-ss. rMjbijurôatiàh, eu lieu au cimetière du RèresLachaise.- Nous apprenons la mort.de .notre confrère M. Paul Ferré, de l'Eclaireur de Nice et du Sud-Ést, directeur du journal Paris-Pyrénées, déoédé à Nice. Ses obsèques ont eu lieu en l'église du Vœu, au milieu d'une assistance nombreuse.

La crise actuelle ne vous imposera. Madame, aucune restriction d'élégance, grâce à la très belle collection que Madeleine, la réputée créatrice, vous offre dans ses salons, 20, rue des Capucines. Sport, « Week-end » 1.280 Après-midi, « Plaisante »' 1.175 « Pampa » 1.550 « Novelty » 1.800.

L'arrivée du prince Carlos de Bourbon Sur le paquebot Ralpura allant aux Indes, et qui a fait escale à Gibraltar, se trouvait le prince Carlos de Bourbon, beau-frère d'Alphonse XIII, ancien capitaine général de Catalogne, accompagné de ses cinq enfants.

Le prince et sa famille ont été reçus à leur arrivée à Marseille par la duchesse de Guise, sa fille, la comtesse d'Harcourt, les princesses Pia d'Orléans Bragance, Josépha.de Bourbon, Maria Pia, fille de Ferdinand de Calabre, le prince Rénier de Calabre, le prince Rénier .de Bourbon et le précepteur des princesses.; .̃:̃̃̃

Le prince Carlos de Bowrbon s'est refusé à faire la moindre déclaration et s'est borné à constater en souriant que la travei's'ee avait été excellente. Il se rend à Cannes aujourd'hui même, villégiature qu'il affectionne particulièrement et où il se trouvait notamment lors de la catastrophe du léna, quand le roi Alphonse le chargea de se rendre à Toulon pour saluer les victimes.

€g€t et Ist

<* Le Journal ..officiel publie ce matin deux décrets autorisant la Chambre d'agriculture d'Oran à contracter deux emprunts l'un, d'une somme de 800.000 francs, destiné nu paiement des travaux d'édification de. la « Maison du Colon » l'autre, d'une somme de 1.150 000 francs, destiné à t'achat du terrain, domanial sur lequel sera édifiée la « Maison du 0>>!yn-2s

Vendredi dernier ont eu lieu, à Beaupréau (Maine- et-Loire), les obsèques de Mme J. de La Vingtrie, née des Places, décédée en son hôtel d'Angers. Le deuil était représente par le comte de Marce, rem-î plaçant son beau-frère, fe capitaine de Grainville, neveu et fils adoptif de la défunte, actuellement dans le Sud marocain; le vicomte de la Vingtrie et M. René de Linières, ses neveux. Du côté des dames, par la baronne Jean de Grainville, sa 'nièce et fille adoptive; la baronne de Grainville, Mme J. de Lestapis et Mlle de Grainville, ses nièces.

La comtesse Skarzynska, sœur et belle-sœur de S. Exc. l'ambassadeur de Pplogne et de Mme de.Chla-. powska, vient de mourir à Poznan (Pologne). On annonce de Longeault (Côte-d'Or) la mort de Mme Violette, femme du vice-amiral chef d'état-major général dé la marine, survenue le jeudi 23 avril. r-»'*> Nous apprenons la mort de la baronne de Çurel, née Jeanne de Partz de Pressy. Elle était la mère de" la comtesse de Saint-Victor et de la comtesse de La Villesboisnet. Ses obsèques auront lieu le lundi 27 avril, à dix heures, en l'église Saint.Philippe du Roule, où l'on se réunira.

On annonce la mort de la baronne de Maynard, de Ségouffielle, née Hamelin. De la part du baron Martory de Maynard de Ségouffielle, du prince et de la princesse d'Altora Colonna de Stigliano, ses enfants. Un service pour le repos de son âme sera célébré le lundi 27 avril, à midi, en l'église Saint-Philippe du Roule. Le présent avis tient lieu d'invitation. Nous apprenons la mort de Mme' Jacques Barendson, née Andrée Tortat, survenue après une courte maladie, en son domicile, 84, avenue de Wagram. Ses obsèques auront lieu dans l'intimité, demain samedi 25 avril, à dix heures précises, en l'église SaintiFrançois de Sales (rue Brémontier). '•

̃ De Roanne on annonce la mort de M. Maurice Déchelette, ancien industriel, ancien président de la Fédération textile de Roanne et Thizy, ancien membre de la chambre de commerce. Ses obsèques ont eu lieu à Roanne le mardi 21 avril.̃ On nous prie d'annoncer la mort, à l'âge de quatre semaines, de Gérard Grandel, fils de M. Antoine Graridel et de madame, née Aubert, décédée.

Ses obsèques ont eu lieu hier jeudi, dans la plus stricte intimité.

On annonce la mort de Mlle Bertile Trolley.de Prévaux, en religion Mère Marie des Anges, décédée à Tourcoing le 20 avril.

On nous prie d'annoncer la mort de Mme veuve. J. Cloppet, décédée au Vésinet.. ̃ ̃;Mme J.Gloppet était la mère de M. Henfî Olôppét, conseiller d'arrondissement et maire diioVééinetr'vino'j Ses obsèques auront lieu demain samedi .25 ••avrils à onze heures, en l'église Sainte-Marguerite du Vésinet. On se réunira à l'église. Après la cérémonie, le corps sera transporté à Albertville (Savoie), où aura lieu l'inhumation. Le présent avis tient lieu d'invitation. Dans l'impossibilité de répondre individuellement aux nombreux témoignages de sympathie qui lui ont été adressés, M. Fernand Monvoisin, vice-président de la Société Générale de Crédit Industriel et Commercial, adresse ses bien sincères remerciements à tous ceux qui se sont associés à son deuil.

Valfleury.

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A la Dotation Carnegie, 173, boulevard Saint-Germain, à 17 h. 30, conférence par M. William Martin sur <s le conflit germano-poloriais est-il soluble ? » -A l'Ecole du Louvre, 38, quai du Louvre, à 17 heures, conférence par M. René Jean sur «Bourdelle dans l'art contemporain ». A l'hôtel Jean Charpentier,' exposition d'aquarelles et dessins de Rodin.

Au Palais de Glace, vernissage du Salon des.HU: moristes. ̃'̃̃̃

A l'Institut d'anthropologie, 15, rue de l'Ecole dV médecine, à 16 heures, conférence sur « les migrations* préhistoriques», par M. A. Mendès Correa. directeur de la Faculté, des sciences d'Qporto.

A la Fédération française des artistes, 42 bis, boUlevard' de' La Tour-Maubourg, à 15 h. 36, causerie sur «Lamartine» par Mlle Worms-Baretta.

A la salle des Ingénieurs, rue Blanche, à 21 heures, conférence de M. Vatin-Pérignon sur « l'Exposition coloniale ».

Courses à Saint-Cloud à 14 heures.

NOUVEAUX INCIDENTS EN ANNAM Hanoi, 23 avril. On signale dans la région de Chu-Lé, province de Ha-Tinh (nord Annam), une collision entre le poste de gardes indigènes et des bandes annamites.

Les voyageurs visitait Paris ne paieront plus de tax*s d'hôtel Dans une réunion qu'elle a tenue hiei à l'Hôtel de Ville, la première commission municiptle a examinëvune pétition des syndicats hôteliefs^ie Paris et Jesr yœûx émis par le commissariat général de l'Exposition coloniale tendant à ce qu'il fit apporté des modérations en matière de taxes s*r la location en meublé. M. Edouard Renard, préfet de la Seine, et C.: François Latour,. rapporteur général du budget, oi»t fait valoir qu'on ne pouvait supprimer complètement la taxe municipale qui a rapporté 15 millions en 1930 au budget de la ville, mais, prenant en considération que l'Etat a consenti en 1930 une réduction importante sur la taxe de luxe frappant les hôtels, ils ont accepté une diminution d'un peu plus de 50 0/0 de la taxe municipale.

.tEn- échange de ces sacrifice de 7 millions environ, les hôteliers s'engagent à prendre à leur- chargé lataxe de taxe et la taxe municipale qui n'apparaitront plus sur les no'es de leurs clients.

La commission a adopté ces vues qui, à la veille de l'ouverture de l'Exposition coloniale, sont ,susceptibles d'amener à Paris un plus grand nombre de visiteurs. Elle a chargé M. Latour de présenter le projet au Conseil municipal à sa prochaine ses.sion.

Le prince de Galles sera à Bordeaux après-demain On annonce que le croiseur britannique Kent, venant de Lisbonne, ayant à bord le prince de Galles et son frère, le prince George, arrivera lundi à l'embouchure de la Gironde. Les deux princes anglais se rendront immédiatement à J'aérodrome de Bordeaux et prendront leur vol dans la direction du Bourget, où ils comptent atterrir lundi après-midi. Les Princes passeront la nuit à Paris et repartiront pour Londres par la voie des airs dès mardi matin.

LE DROIT CHEMIN Pour apprendre à traverse^ te}('niç$,

les écoliers de Paris suivent des cours de circulation. »

̃ ̃ AJow.n&cuz.)

Hier un écolier désinvblte

:>:i;, Sortant (duccoJlègoiQyaptal, ̃ î ,̃•

on Boussé>pa'B'l'esprit<de-révolte, '̃- «ss <:̃••;> .)

J IVfe-dïtTcëil^mttfHè,^ }' air fatal V;s l^™° u

<< Quelle psychologie étroite, v v Quels raisonnements singuliers 1 :̃̃̃?.,•• ̃•- Exiger que la ligne droite ̃• ci Soit le chemin des écoliers '̃•̃' ̃_•

Nous enverrons faire lanlairé, wén-De libertés ayant souci, •wy:v:;n -I ,La tyrannique circulaire -v _»:i: ̃:̃<Qui nous fait circuler aiflsi.

On verra de quelle manière

Nous saurons, loin des pions méchants,- ,•̃. Faire l'école buissonnière .'•

Et dérober la clef des champs »

̃ J'ai dit à l'insolent potache

Au ton amer et persifleur, ̃" Et dont la naissante moustache Agrémentait la lèvre en fleur

Vois dans la méthode suivie

Un nécessaire entraînement

Lequel durant toute ta vie s Te servira certainement.

S'égarer dans les plates-bandes

Piétiner les bégonias ?

Il faudra bien que tu dépendet ̃"•̃ V

De ces édits que tu nias! ̃̃̃̃' Du percepteur, de la mairie,

?De la« caserne;; mMJBùr «le jouiv-1 *̃̃>; .w*. Tu devras (liberté chérie'!) Suivre les chemins tour à tour., ..= S'insurger ?. Il est plus habile ̃ ̃̃ D'observer lois et règlement •̃'•' Et, sans trop s'échauffer la bile,

De leur céder aveuglément.

La route est belle, que décore A Le fruit défendu. Mais, vois-tu, s'

On trouve des plaisirs encore

Dans les sentiers de- la vertu !• »

Hugues Delorme.

SOIREES DE GALA ..Quatre grandes soirées se préparent. ̃ Le 28 avril, à 20 heures 30, à la Salle d'Iéna, une représentation de gala aura lieu au profit de l'Union du Pas-de-Calais, présidée par Mgr Dutoit, évêque d'Arras, et par Mlle de Partz, et des Œuvres du Midi. Au programme Chonsoii^dla^ mour, La Chanson des trois jeunes filles, la charmante comédie de MM. Hugues Delorme et Léon Abric, n&ise en musique pair Franz Schubert (avec un divertissement chorégraphique) et interprétée par une troupe d'artistes mondains.

Les 30 avril, 2 et 4 mai, trois autres représentations seront données au bénéfice de la Société de j la, Charité mutuelle, dont la princesse de Poix (^jiréjsidejit^.J^ijg^Yçh^déjà-entretenu nos lecteurs de ces œuvres "généreuses qui viennent au secours dé l'enfance malheureuse et de toutes les misères. Déjà, les plus hautes personnalités de la société parisienne et de la colonie étrangère ont retenu'leurs places pour ces galas qui promettent d'être les plus brillants de la saison. J, On trouve encore quelques billets, pour le 28 avril chez Ml!f> de Hrvas. 1. rue Snvo.<mn-deBrazza (Ségur 22-64); à la Salle d'Iéna, 10, ave.nue d'Iéna; chez Rouard et Lerolle, 40, boulevard Malesherbes; au groupe des 0. D. M. do SainteClotilde, 7, rue Casimir-Périér.

Pour les autres représentations chez la princesse de Poix, 2, rue de Lubeck; chez M. Georges Evette, 24, rue de Surène chez Rouard et Lerotle et à la salle.

Informations politiques La mairie de Lyon

Une délégation de socialistes s'ost rendue à la mairie de Lyon pour rencontrer M. Herriot.

Nous sommes battus, déclarèrent-ils nous voterons pour vous à l'élection de la mairie si vous nous donnez deux postes d'adjoints à la mairie centrale. M. Herriot leur demanda s'ils étaient prêts à cesser leur campagne contre lui. La délégation fit des réserves à ce sujet.

M,. Herriot refusa alors tout accord. Les élus radicaux ont tenu, une réunion au cours de laquelle il été,, décidé de refuser toute conciliation.

Les cinq adjoints et 1M. Herriot restant solidaires, on ̃ne' sait qui sera éhi dimanche.

Un émule du vampire de Dusseldorf BELGRADE, 23 avril. Rudolph Mohorka, récemment arrêté par la police de Lioubliana, qui avait avoué avoir assassiné à coups de hache, au village de Jelovatz, une famille de cinq personnes, dont deux enfants en bas âge, a reconnu, avoir également commis huit autres assassinats dont la police recherchait vainement les auteurs depuis plusieurs mois.

Mo-horka a déclaré au juge ,d'instruction qu'il avait encore certains autres crimes sur la conscience et qu'il tenait à faire des aveux complets avant de mourir, ajoutant que rien ne l'empêcherait de mettre fin a ses jours lorsqu'il aurait tout avoué.


DERNIÈRE HEURE

LASITUATION EN ESPAGNE Manifestation à Barcelone

contre la presse française

Barcelone, 23 avril. Environ trois mille personnes, ameutées par les journaux catalans, qui, depuis plusieurs jours, critiquent l'attitude de.cer-,tains journaux français à l'égard de la République espagnole, ont manifesté, cet après-midi, devant le consulat français aux cris de « A bas la presse française »" -.•̃>̃

Une délégation de manifestants a tenté de pénét' trer dans le consulat pour demander que les drapeaux catalan et républicain fussent arborés. Le consul a maintenu les couleurs françaises. arborées à l'occasion de la fête nationale catalane de Saint-Georges.

Deux pelotons de police ont dû intervenir. Les manifestants se sont dispersés sans désordre à la sommation du capitaine général.

Les anciens ministres de la dictature prennent leurs responsabilités

Madrid, 23 avril. Le comte de Guadalhorce, MM. Calvo Sotelo, Yanguas et Aunos, anciens ministres de la dictature, ont envoyé de Lisbonne une note au gouvernement provisoire pour affirmer qu'ils n'ont jamais essayé de fuir leurs responsabilités et qu'ils rentreraient eh Espagne au moment qu'ils jugeraient opportun dans leur intérêt et dans l'intérêt de la justice.

Le procès du général Berenguer, ex-premier ministre, sera jugé probablement le mois prochain. Une instruction est également ordonnée contre le général Martinez Anido.

Le cpmte de Romanones a déclaré qu'il se tiendrait à la disposition du gouvernement pour répondre aux accusations qui pourront être portées contre lui et qu'il n'a nullement l'intention de quitter l'Espagne. Remis de son indisposition, il se retirera, prochainement dans sa propriété aux envirtms de Madrid, où il compte écrire un ouvrage relatant les derniers événements politiques. Le nouveau personnel diplomatique

de la République espagnole

Madrid, 23 avril. Oà-donne^commiJ! probable,

dans les cercles républicains^- Jiste> suivante des nouveaux ambassadeurs d'Es,pagne< à l'étranger Londres, M. Perez de Ay_ala Paris, docteur Maranon Bruxelles, M. Camille Barcia Berlin, don José Ortega y Gasset Rome, don Luis Zulueta Lisbonne, M. Miguel de Unamuno.

M. Lerroux, ministre des affaires étrangères, représenterait l'Espagne, en mai prochain, à Genève.

Le nouveau régime espagnol a été reconnu officiellement par l'Italie, l'Allemagne et la Hollande. Le regroupement des partis monarchistes MADRID, 23 avril. Le journal La Nacion, mo- narchiste, lance un appel demandant à tous les partis de droite de s'unir dans une « Ligue "antirévolutionnaire », en laissant de côté, pour le moment, leurs différences de programme pour n'envisager que le salut de l'Espagne. Ce manifeste repousse toutes les méthodes de violence et invite les « partis d'ordre » à s'organiser pour les prochaines élections.

Les émigrés rentrent en Espagne

MADRID, 23 avril. Les personnalités de l'aristocratie qui étaient passées à l'étranger commencent à revenir.

On mande de Saint-Sébastien que le marquis de Bendana et Mlle de Carvajas sont en route pour Madrid.

M. Yanguas, ancien ministre de la dictature, et sa femme, ont quitté Gibraltar pour rentrer à Madrid.

Les joyaux de la Couronne oat été mis en lieu sûr M

MADRID, 23 avril: Les Journaux républicains avaient annoncé hier que des joyaux et des documents importants avaient disparu du palais royal après le départ d'Alphonse XIII et de la reine. On apprend aujourd'hui que joyaux et documents avaient été mis en lieu sûr. Le comte Iibar, intendant du palais royal, a lui-même confirmé cette nouvelle.

Le serment de fidélité des officiers

au régime républicain

Madrid, 23 avril. Voici les termes du nouveau serment de fidélité que les officiers de l'armée et de la marine devront désormais prêter avant d'être admis à servir le nouveau régime « Je promets sur l'honneur de bien servir loyalement la république, d'obéir à ses lois et de la défendre avec les armes. »

REVUE D E LA PRESSE

Le succès de la campagne

contre le pain chimique

:$£.- Chasles, président de l'Association nationale de. la .meunerie française, vient d'adresser à ses adhérents une lettre dont l'inspiration est à louer et qui sera accueillie "avec "faveur' 'par' le public.' En voici le texte

Le traitement chimique de la farine étant définitivement condamné par les décisions du Conseil supérieur d'hygiène publique et de l'Académie de médecine, il importe plus que jamais de trouver sur le territoire national les b'és nécessaires à la fabrication du meilleur pain.

Un vaste programme s'ouvre devant la meunerie française, dont les efforts doivent tendre à rechercher les meilleures variétés de hlé et à les faire parvenir en toute sécurité aux agriculteurs, à déterminer le plus rapidement et le plus exactement possible la valeur boulangère des blés français offerts sur le marché, de façpn à leur fixer un prix en raison directe de leur qualité, à faciliter la fabrication d'un pain nutritif, savoureux et digestible, dont le consommateur pourra user abondamment.

C'est à la réalisation de ce but que je vous convie, en vous priant'de vous faire, dans vos régions, les apôtnfs du bon blé et du bon pain, J'ai déjà participé aux travaux d'une sous-commission du Comité central du blé et du pain, qui, réunie au siège de l'Association nationale de la meunerie française, a élaboré quelques projets très intéressants soumis à l'examen de M. le ministre de l'agriculture. Je vous serais reconnaissant de vouloir bien m'adresser toutes vos suggestions que j'examinerai avec le plus grand soin en vue d'une discussion générale au sein du Conseil de direction. Je suis persuadé que vous ne me refuserez pas l'aidé de votre compétence et l'appui de votre autorité dans l'œuvre nationale que je veux accomplir en accord avec tous les dévouements et toutes les bonnes volontés. .Ni plus ni moins que le résultat de la campagne de l'AMI DU PEUPLE qui eut tant de retentissement dans la presse de province et même de l'étranger. Notre confrère en prend acte avec satisfaction

La campagne contre le pain chimique, comme d'ailleurs toutes nos campagnes, n'avait pas pour origine un vain désir de polémique. L'Ami du Peuple a dénoncé cet attentat contre la santé publique et l'a victorieusement conjuré. C'est donc avec une parfaite aisance que nous prenons acte d-'i ce fait que nos adversaires d'hier paraissent avoir aujourd'hui le même souci que nous de la réhabilitation du bon pain de France qui a fait la force de notre race et l'a nourrie pendant des siècles: Il ne nous reste plus qu'à souhaiter que l'inspiration du président de l'Association de la meunerie se traduise par des actes efficaces.

La menace de I' « Anschluss », Si notre ministre des affaires étrangères reste silencieux sur l'entreprise pangermaniste, son col-

L'ACCORD AUSTRO-ALLEMAND M. Benès expose à Prague

un plan économique européen

Prague, 23 avril. M. Benès a exposé ce matin, devant les commissions des affaires étrangères des Chambres, le point de vue tchécoslovaque concernant le problème posé par le projet d'union doua-

nière.. ̃

Dans la première partie de son exposé, M. Benès a constaté que la France, la Peti'e Entente et éga.lement la Pologne out été unanimement d'avis que le projet d'union douanière austro-allemande contrevenait à des stipulations des traités de Versailles et, de Saint-Germain, ainsi qu'au protocole de Genève de 1922. La Tchécoslovaquie a accepté avec reconnaissance la proposition de M. Henderson d'en .référer à Genève. Mais il faut qu'à Genève toutes les questions soient examinées au triple point de vue politique, économique et juridique. La prétention de M. Curtius de se borner à un examen jurdique est insoutenable le plan austroallemand présente un aspect politique spécialement visé par les traités de paix, à savoir l'Anschluss. Sa réalisation serait un premier pas vers l'unification complète, tant politique qu'économique. On prétend, à Berlin et à Vienne, présenter l'union douanière austro-allemande comme un acheminement vers la coopération européenne. A juste titre, les Etats intéressés n'y voient rien de cela ils n'y collaboreront pas ils ne la considéreront jamais comme un exemple d'accord régional.

En fait, l'union douanière envisagée risque de provoquer la formation de deux blocs opposés l'un à l'autre elle serait le premier pas vers de graves conflits européens.

Enfin, au point de vue politique, l'organisation de l'Europe ne peut pas se réaliser par une situation analogue à celle d'avant guerre, c'est-à-dire fondée sur la prépondérance d'un grand Etat. Elle doit se réaliser d'accord avec les trois grandes puissances intéressées l'Allemagne, la France, l'Italie. M. Benès a toujours proclamé la nécessité d'un accord de Berlin avec Paris, puis de ces deux capitales avec Rome, comme condition: de la consolidation de l'Europe. ̃ M.. Ben es en" arrive à la partie de son exposé qui 'concerne r'ie-yplan constructif envisagé. Il s'étend" .sur-lesixiauseside la crise actuelle, signale les difficultés économiques et politiques qu'elle soulève, et affirme la nécessité de les résoudre par collaboration paneuropéenne. Il est nécessaire d'élaborer à cet effet un plan

,1° Paneuropéen acceptable pour tous; 2° Conclu d'accord avec les principaux intéressés

3° Conclu dans l'esprit de Genève et à Genève. Il est nécessaire de simplifier tout le problème et de le résoudre par étapes.

11 s'agira de résoudre

1" Pour le moment, la crise agraire en Pologne, en Roumanie, en Tchécoslovaquie, en Hongrie, en Yougoslavie et en Bulgarie

2° II importe, pour cela, qu'à l'égard des problèmes fondamentaux de la crise agricole, les principaux Etats industriels de l'Europe adoptent un point de vue unique (notamment l'Allemagne, la France, l'Italie, la Tchécoslovaquie, l'Autriche et éventuellement, la Suisse)

3° Il importe que au moins les Etats industriels susmentionnés, plus la Belgique, l'Angleterre et la Hollande, fassent les premiers efforts en vue d'une entente européenne touchant la production indus* trielle.

M. Benès préconise une entente des grands Etats industriels de l'Europe sur les bases suivantes 1° Partage entre ces Etats des excédents de produits agricoles, de telle sorte que ces contingents soient tirés des Etats exportateurs

2° L'établissement du Sf'pij.i.préférentiel sur ces contingents, a,fin que .jes.prix\ correspondent aux ̃besoins. des paysans 'dè's ip,ày)s.1;pgricolès,' de sorte, que ceux-ci ne soient pas contraints de vendre audessous du prix de revient.

M. Benès attire l'attention notamment sur la possibilité de préférence mobile.

La deuxième étape supposerait un accord réciproque entre les Etats industriels qui accorderaient aux Etats agricoles des droits préférentiels proportionnés aux possibilités internes, sans contre-partie, et en maintenant la clause de la nation la plus favorisée.

Aux Etats industriels qui ne peuvent pas acheter aux Etats agricoles des produits agricoles de l'Europe centrale, la possibilité serait ainsi donnée d'adhérer à un système qui signifie, sous la seule forme admissible, une dérogation particulière à la clause de la nation la plus favorisée.

En ce qui concerne la solution de la crise industrielle, le problème sera beaucoup plus compliqué. La gravité de la crise et sa généralité imposent la

lègue de Tchécoslovaquie, M. Benès, on le verra par ailleurs, ne se croit heureusement pas tenu à éteindre quelques vérités.

Excellent article de Etienne Fougère dans l'EUROPEEN

Quelles sont les caractéristiques de l'Anschluss ?, ^Mêmè loi douanière, mêmes tarifs douaniers, même per-' ception douanière, libre circulation des produits sur les territoires qu'il embrasse, instrument diplomatique unique pour traiter avec,autrui. En fait, il faut le dire crûment, union politique pure et simple.

Nous le mettons à la disposition de qui voudra, disent ses auteurs. Qui entend s'accommoder d'un tel régime? Les pays scandinaves, les puissances de l'Europe centrale, les Pays-Bas, la Belgique, la Suisse, l'Italie, la Grande-Bretagne ? Qui ? Telle est la question qu'il faut poser sans ambages à chacun des pays européens. Etant donné la disproportion des force^ ^n présence, la divergence des langages et des monnaies, la disparité des sentiments nationaux, on devine la réponse. Qu'offrent, en échange, les contradicteurs ou les opposants ? Il y aurait quelque outrecuidance à se substituer à eux pour le formuler. Mais on peut imaginer qu'ils envisagent une méthode moins tranchante que celle de l'Anschluss, méthode selon laquelle chacun gardera sa personnalité, s'efforçant seulement de tenir compte des intérêts de son voisin pour les ajuster aux siens. « On peut imaginer. », surtout que rien de décisif n'est prévu pour parer à une grande et menaçante manœuvre politique.

Parmi les remèdes, M. C.-J. Gignoux (JOURNEE INDUSTRIELLE) se range volontiers au principe de l'aide financière

Le plan d'aide financière aux pays agricoles, torturés par .l'instabilité et l'usure, est d'application compliquée, mais du moins nette et directe. Il pourra constituer quelque jour, comme il est dit plus haut, l'armature indispensable de constructions plus vastes. Enfin, il est conçu pour agir 'là où il faut, la disparité des pouvoirs d'aehat, le manque de moyens de financement ou de fonds de roulement constituant presque partout les points névralgiques de la crise actuelle.

· Certes, mais la création de débouchés reste encore le moyen essentiel. La presse allemande ne se fait pas faute de le marquer. Pour le reste, le projet examiné par M. Gignoux limite les dégâts, mais ne peut être accueilli comme une mesure efficace contre l'union douanière auslro-allemande. jugements d'outre-Rhin

La GAZETTE DE COLOGNE, loin de s'effrayer des mirifiques projets du Quai d'Orsay, écrit Encore n'y a-t-il pas lieu de rejeter d'avance le contreprojet de M. Briand. En s'y prenant habilement, on pourra aussi en. tirer des « possibilités pour l'avenir. La KŒLNISCHE VOLKSZEITUNG, organe dirigeant du Centre catholique, interprète officieux du chancelier Bruniiig, raille le gouvernement français qui croit l'Europe acquise à ses nouveaux projets

Cette méthode, qui consiste, non pas à créer une at-

recherche d'une solution générale de caractère international. Il n'y a pas d'autre recours possible qu'une entente des Etats industriels pour la règlementation internationale de la production et de la distribution des marchandises accompagnée d'un accord sur certains principes de législation sociale et sur la limitation de la durée du travail. Le seul moyen d'obtenir un assainissement durable est de réaliser avant tout une stabilisation des douanes industrielles, puis l'abaissement graduel des droits de douane et finalement le nivellement de ces droits sur les principaux produits, ce qui procurerait dans toute l'Europe des avantages considérables à ceux que le plan allemand veut réserver à son Europe centrale.

II est, par conséquent, nécessaire de continuer à travailler pour la trêve douanière, et on ne peut encore procéder autrement que par un accord direct entre les Etats industriels les pius intéressés, sous l'égide de la Société des nations. Ce sera un travail difficile et long, mais c'est l'unique moyen d'empêcher la lutte de tous contre tous.

En terminant. le ministre met en garde tous ceux qui croiraient pouvoir compter sur les dissensions entre les gouvernements des Etats de la Petite Entente. M. Benès affirme.que les récents événements peuvent exercer une certaine influence sur le rapprochement des Etats de la Petite Entente avec la Hongrie si on apprécie sainement la situation de ce pays. Il montre qu'il faut d'abord améliorer les relations économiques et qu'ensuite il sera facile de résoudre les différends politiques. Cela est vrai, dit-il, pour nous et pour la Hongrie également. Nous sommes prêts à nous engager dans cette voie. Le ministre pense que l'action en vue d'une entente générale avec l'Italie marquera un nouveau progrès après ces discussions.

Si, conclut-il, la Conférence du désarmement aboutit, l'an prochain, à un -succès même partiel, nous pouvons faire surgir de toute cette querelle un rapprochement au lieu de nouvelles agitations. Le ministre souhaite que la lutte menée autour de l'union austro-allemande aboutisse finalement à d'heureux résultats. La politique tchécoslovaque s'y emploiera sans arrière-pensée.

Le vice-maréchal de l'aviation britannique se tue en avion

Londres, 23 avril. Le vice-maréchal de l'aviation Felton Vesey Holt, commandant la base de la défense aérienne de la Grande-Bretagne, et le lieutenant Moddy se sont tués dans une collision d'avions qui s'est produite cet après-midi à Seahurst Park, dans Je Sussey. f ,<

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Uinf autobus çulfeuté par un train

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9 tués. 32 blessés

Lille, 23 avriL– Un très grave accident s'est produit cet après-midi au passage à niveau de Wicres, dans la grande banlieue de Lille. A 14 h. 30, un autobus transportant des ouvriers et des ouvrières, dés employés et des employées, s'engagea, à une vitesse d'environ 80 kilomètres à l'heure, sur le passage à niveau non gardé. A ce moment précis arrivait un train venant de Don. La lourde voiture automobile, lancée à grande vitesse, ne fut pas en état de s'arrêter. Elle passa en trombe sur les rails au moment où survenait le convoi.

Pris en écharpe, l'autobus fut projeté sur le ballast, et complètement broyé, tandis que la locomotive déraillait, se retournait, les roues en l'air. Des jeunes gens et des jeunes filles qui avaient pris place dans l'autobus, cinq seulement sont indemnes. Neuf cadavres ont été retirés. Les trente- deux blessés ont été transportés dans divers hôpi- taux. Le chauffeur de l'autobus a été arrêté. La boxe à la Salle Wagram

Les Français triomphent des Italiens La réunion franco-italienne, organisée hier soir à la Salle Wagram, n'a pas manqué d'intérêt. Le combat principal' entre Tassin et Quadrini ne fut pourtant pas passionnant. Robert T-as«in, dans une condition excellente,, attaqua sans cesse l'Italîéîfj qui'rbs'ta sur 1^éfehsive. Quadrini, possédant 'plus d'é métier- "que son adversaire, s^ut effectuer de beaux arrêts mais le juge du combat donna à juste titre la' victoire à Tassin pour sa grande combativité.

Auparavant, le Français Chapuis, après avoir bataillé activement pendant quatre rounds avec l'Italien Parigi, envoya, à la cinquième reprise, son adversaire au tapis.

Le dernier combat, entre àlalherba et Leugagnc, fut le plus inïéressant de la soirée par l'ardeur qui fut déployée par les deux hommes. Pendant dix reprises, les boxeurs se livrèrent à corps perdu Leugagne, profitant de son « allonge », toucha plus souvent que Malherba la décision en faveur du Français fut accueillie avec satisfaction, tant elle était juste.

Au début de la réunion, Lepage se défit rapi- dement de Poulet par knock out.

mospbère européenne, mais à faire croire d'avance, par < supercherie, qu'elle existe, cette méthode a produit des choses étonnantes au cours de ces semaines. La Petite Entente est toujours encore pour l'opinion publique française une idée synthétique.. Mais, eu fait, seuls Paris et Prague partageaient, ces dernières semaines, la même manière de voir. « Rome », c'est un mot bien court et qui est proféré d'une ha'leine, aussi souvent que possible, en même temps qiiel'le nom d'autres capitales européennes qui, .d'après Ce que l'on Veut accréditer, s'opposeraient à la fusion douanière austro-allemande. Mais les déclarations de M. Mussolini dans Excelsior ne laissent aucun doute sur la neutralité rigoureuro de l'Italie, et cette attitude est visiblement en harmonie avec l'attitude anglaise.

« En ce qui concerne sa clarté et son importance économique, conclut la feuille du Centre, le plan français pourrait bien se trouver passablement in- férieur à tout ce qu'on annonce bruyamment à son sujet. »

Et la BERLINER BŒRSEN ZEITUNG voit dans notre pays « le gardien le plus fanatique d'une politique surannée d'égpïsme national, d'étroitesse de cœur et de haine ».

.Après sept années de rapprochement.

Avant le 13 mai

Les feuilles briandistes commencent à imprimer que « voter pour Briand, c'est voter pour la paix ». La VOLONTE fait son choix

Briand synthétise, incarne les idées d'une société en travail de justice et de liberté, et qui s'efforce à un équilibre de solidarité internationale. On glisse fort habilement, que le président de la République est irresponsable et comme tout à fait en marge de la politique active. L'histoire de ces 25 années si remplies de faits, d'actes diplomatiques réalisés personnellement par Emile Loubet, par Raymond Poincaré, soit en 1904, soit en 1914 de tragique mémoire cette histoire que nous connaissons aujourd'hui suffisamment, répondra. Il est même permis de croire ttjuse tout ministre futur des affaires étrangères évitera de louvoyer et, délibérément, suivra le sillage de la politique briandiste sur les flots de l'espérance humaine. [JI:;

Ces « flots de l'espérance humaine nous plaisent fort. Plus sérieuse, la GAUCHE se montre accablée d'embarras il apparaît à quiconque a yeux et oreilles que la candidature est l'œuvre du parti socialiste, lancée et appuyée par l'internationalisme. Fait às.sez ennuyeux pour M. Ponsot qui jette autant de fleurs au Quai d'Orsay que de' feu aux socialistes, et la GAUCHE prend la peine d'un plaidoyer

Le ministre des affaires étrangères de la France ne relève point d'une organisation politicienne. Il a fait une politique qui domine les préoccupations des groupements C.'est entreprise trop aisée que d'essayer de 1 l'attirer dans une fraction de la Chambre. Sou œuvre se confond avec l'action républicaine consacrée au dé-

he discours de p. Tardiiu Au banquet de Toulouse, M. Tardieu a prononcé un discours sur la situation agricole. Il a déclaré notamment « Le parti socialiste a démontré ce matin qu'il est tout à fait indigne de conquérir les circonscriptions rurales qu'il s'est flatte de conquérir aux élections prochaines. »

Le ministre a indiqué que la caisse d'assurances agricoles deviendrait bientôt une réalité. Il a annoncé que le projet établissant le statut juridique et final des coopératives serait déposé le 5 mai, et qu'il se préoccuperait, dès la semaine prochaine, des facilités à apporter au warrantage et des ressources à trouver pour le financement de la récolte. Il a ajouté que le gouvernement ne manqucrait pas d'encourager la culture du maïs, puis il a examiné longuement la question du- reboisement, à laquelle il a déclaré vouloir donner tous ses soins, ainsi que celle de l'élevage et de la culture maraîchère.

M. Tardieu a terminé par ces paroles significatives « Pour couper court à certains "bruits qui' circulent, je déclare que je déclinerais les of fres qui pourraient m' être faites, au cours des semaines qui viennent, au sujet de l'attribution de portefeuilles considérés comme plus importants que celui de l'agriculture. » Le ministre, déclarant que l'agriculture est l'armature même de la France, leva son verre « aux paysans de chez nous ». Déclarations à la presse

Préalablement à son départ pour Paris, M. Tardieu, recevant les représentants de la presse, leur a fait la courte déclaration suivante « Ce qui m'a le plus frappé pendant les manifestations auxquelles vous avez assisté, c'est l'impuissance complète se sont trouvés leurs auteurs d'empêcher en quoi que ce soit l'exécution du programme de ma visite.

» De plus, j'ai trouvé que du point de vue de ceux qui ont voulu m'être désagréable, leur initia- tive est bien maladroite, car il s'agissait non seulement d'un voyage qui n'avait aucun caractère politique, mais encore d'une manifestation agricole à laquelle étaient invités les représentants de e vingt départements.

» Je ne crois pas, a dit en terminant M. Tardieu, que ces manifestations servent beaucoup la propagande que le parti socialiste a entrepris parmi les populations rurales. »

L'affaire d'espionnage d'Alsace

STRASBOURG, 23 avril. M. Matter, juge d'instruction,, ia poursuivi ce matin l'interrogatoire de-. Georges Uhrig, chef.de la,bande d'espions. 'Mr/r.essort des aveux de Uhrig qu'il s'efforçait -de I créer. en Alsace un centre d'espionnage au profit de l'Allemagne. Possédant un chantier de bois à Stuttgart, il se rendait fréquemment dans cette ville. Un jour, au début de 1930, il fut, sur son chantier, interpellé par un Allemand qui n'était autre qu'un agent de l'espionnage allemand. II entra au service de ce dernier, qu'il connut sous quatre noms différents et. qu'il rencontra souvent à Bâle, à Offenbach, à Carlsruhe et à Neu-Lauterbourg.

Il expédia même quelquefois sa correspondance à Kehl et à une adresse à Friedrichshafen. L'agent allemand ne voulut jamais venir en Alsace, ni même à Kehl-.

Les documents militaires fournis par Uhrig à l'agent allemand concernaient des fortifications en voie de construction et les nouvelles routes y don- nant accès dans les régions de Wissembourg et de Metz. Uhrig- recevait pour les actes de trahison directement de l'agent allemand, de l'argent en marks, dont il cédait un pourcentage à ses complices.

Il dit avoir conservé par devers lui 2.500 francs et remis 20.000 francs à Schalck.

Ce dernier, trouvant sa part trop petite, se mit, à Finsn de Uhrig, en contact direct avec l'agent allemand.

Krieger, le dernier arrêté, a été entendu ce matin. Des perquisitions à son domicile ont abouti à la découverte de documents militaires qui ont été saisis. Le juge d'instruction commencera prochainement l'interrogatoire au fond de Schalck.

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vcloppemcnt de la Société des Nations et à la constitution de l'Entente européenne.

Mille regrets il n'en est pas ainsi. Observation de PARIS-NOUVELLES

Dans le fond, la candidature Briand, envisagée avec calme, présente peut-être plus d'avantages que d'inconvénients. Elle peut, le bruit en court sérieusement, provoquer chez M. Doumergue une réaction dans le sens q"uè°nôus souhaitions hier. C'est un résultat qu'il ne faut ?as écarter a priori. S'il ne se produisait pas, il en est un autre possible aboutissant finalement à un échec, cette candidature permettra de détruire cette légende Briand, cette mystique Briand, qui nous envoûte depuis trop longtemps.

Qu'on ne se repose pas sur tant d'espoir. Le communisme en Indochine Le général Henri Noguès poursuit, dans l'AMI DU PEUPLE, son panorama de l'agitation communiste dans nos colonies asiatiques, et de la résis- tance qui lui est opposée.

Le 18 janvier dernier, à la sortie d'un match de football, se produisait, en pleine ville de Saïgon, une manifestation communiste au cours de laquelle l'inspecteur de police français Legrnnd tombait sous les balles des révolutionnaires. Audace sans doute maladroite, mais les suites de l'événement ont révélé des symptômes qu'il serait insensé de négliger on a remarqué, par exemple, que certains élus annamites au Conseil colonial se sont abstenus d'assister aux obsèques de la victime quelques jours plus tard, une proposition d'augmentation de la police a été l'objet d'une opposition acharnée de la part de quelques conseillers annamites. Symptômes d'agitation souterraine. Cependant, le général H. Noguès met en regard certains succès de l'oeuvre d'épuration^ et en par- ticulier estime que les grandes manœuvres du Tonkin sont du meilleur effet

Une troupe brillante d'officiers étrangers a assisté à cette manifestation de notre puissance. Japonais, Anglais, Américains, Hollandais, Siamois et Chinois ont admiré l'entraînement de nos troupes et de nos états»majors, Bonne propagande Gros effet moral sur les indigènes Nos unités de tirailleurs ont repris leur place dans le rang. EUes ont été expurgées de tout élément communiste, mais les bureaux du ministère des colonies ont mis 14 mois à produire le décret permettant l cette épuration. Demande du général Aubert juillet 1929. Date du décret 23 septembre 1930. Entre ces deux dates les égorgements de Yen-Bai, qu'un peu plus de hâte eût évités Ainsi que l'a dit l'an dernier à la Chambre un député, « on voit bien que les bureaux de la rue Oudinot n'étaient pas à Hanoï à à cette triste époque.

Et c'est à ces mêmes bureaux qu'incombe le soin de prévoir l'avenir Les temps troublés actuels doivent inciter les gouvernants à voir de loin. Ont-ils songé qu'un jour la route de l'Indochine pourra être coupée ?

Avant l'Exposition coloniale Le dîner du commissariat général belge M. Carton, commissaire général de la section belge à l'Exposition coloniale, a donné hier soir un grand diner en l'honneur du maréchal. Lyautey et de ses collaborateurs. Le maréchal, qui n'est pas encore complètement rétabli, n'a pu assister au dîner.

il. Carton, qui présidait, avait à ses côtés M. de Gaiffier d'Hestroy, ambassadeur de Belgique à Paris, et le gouverneur général Olivier, délégué général à l'Exposition.

Au dessert. M. Henri Carton porta la santé du président Doumergue.

« La France, ajouta le commissaire général, a honoré la civilisation (le tous les pays en appelant à la direction supérieure de cette manifestation internationale un de ses plus éminents citoyens, qui a réalisé successivement au Tonkin, à Madagascar et au Maroc, une œuvre qui constitue pour tous un sujet d'admiration, et pour lui un titre de gloire impérissable le maréchal Lyautey. » t.- Après avoir fait des vœux pour le prompt rétablissement du maréchal, M. Carton remercia le commissariat général en la personne du gouverneur général Olivier. 11 termina en soulignant la haute portée internationale de l'Exposition, qui montrera comment la France, la Belgique et les autres puissances coloniales ont compris leur mission civilisatrice.

Le gouverneur général Olivier prononça ensuite une allocution dans laquelle il rendit hommage aux efforts déployés par la Belgique pour l'essor économique et culturel du Congo. Il excusa le maréchal Lyautey de son absence, mais assura les convives que l'état de sa santé lui permettrait d'accompagner le Président de la Répulbique, le G mai prochain, jour de l'inauguration de l'Exposition. M. Olivier fit ensuite un vif éloge de la Belgique. « La France et la Belgique, ajouta-t-il, ont besoin de confronter leurs idées et leurs méthodes, et s'entendre en Afrique comme ailleurs, dans des temps encore incertains. »

M. Olivier leva son verre à la prospérité de la colonie congolaise, du roi et de la famille royale. Enfin, M. Perier prit la parole et annonça que l'inauguration du pavillon de Belgique aura lieu le 19 mai.

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MORT DU GENERAL HADJITCH Belgrade, 23 avril. Le général Hadjitch, ancien ministre de la guerre, premier aide de camp du roi Alexandre, qui, récemment, dût donner sa démission pour raisons de santé, est décédé ce matin.

Le général Hadjitch avait occupé le poste de ministre de la guerre dans la plupart des cabinets qui se sont succédé à Belgrade, depuis la fin des hostilités.

INFORMATIONS Une belle vente

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L'Annuaire national

des Syndicats d'initiatives

L'édition 1931 de cet important et intéressant ouvrage, édité par l'Union des Fédérations des syndicats d'initiatives « Essi », donne toutes indications pour la visïce de la France et le séjour dans ses stations thermales et climatiques et plus de 3.000 localités présentant un certain intérêt. Cet annuaire peut être consulté au Bureau National de renseignements de tourisme, 101, avenue des ChampsElysées (entrée provisoire 53, avenue George-V)., Paris (8"), organisme qui fournit gratuitement sur la France tous renseignements désintéressés de visite et de séjour.

La Légion, si précieuse aujourd'hui, rapatriée comme en 1914 V Nous ne nous lasserons pas de répéter que le nombre de soldats français actuellement dans notre colonie d'Extrême-Orient est nettement insuffisant. Gouver ner, c'est prévoir et préparer.

Pour le respect des droits

de l'homme et du citoyen.

M. Ch. Ramaronv, président de l'Union de la propriété bâtie, fait, dans VEXPOHTATEUR FRANÇA/S (dont l'accueil est plein de libéralisme), de fortes réflexions sur ce qu'on a appelé « 'propriété commerciale », telle qu'elle fut définie par la loi du 30 juin 192G. Ajoutons que cette étude fut écrite avant le vote du Sénat, mais sa critique continue de valoir à titre d'exemple

La dépossession du propriétaire doit être dénoncée ici comme un mal social considérable, puisqu'elle est une expropriation partielle et sans indemnité, pour cause de simple utilité privée, et qu'elle jette le discrédit sur une l'orme de l'épargne importante pour fa collectivité la construction de locaux destinés à la location commerciale.

Son caractère est contraire aux principes mémos sur lesquels reposent nos sociétés démocratiques. La « propriété commerciale » crée un monopole de fait au profit des possédants actueis de fonds de commerce et occasionne une hausse croissante du prix des fonds de commerce et des pas de porte, cause de vie chère. Maîtrises et jurandes ont été abolies-par la Révolution française, non seulement parce qu'elles pouvaient faire craindre une coalition entre leurs membres, maîtres de la production et de la distribution des richesses, mais parce qu'elles constituaient une véritable institution aristocratique, les professions n'étant accessibles qu'aux membres de la corporation et à ceux qu'ils auraient agréés..

Or, voici que le monopole d'emplacement, concédé par la loi du ;iO juin l!l2(i aux commerçants en possession à la promulgation de la loi, a reconstitué à leur profit les maîtrises. Nul ne pourra désormais exercer le commerce sans avoir reçu l'investiture de l'un des commerçants établis cl si les formes de cette investiture ont depuis l'ancien régime, le principe en restera le même sans le paiement d'un pas de porte ou du fonds de commerce, nul ne sera admis. Est-ce pour aboutir h ce résultat que la Révolution a été faite, les maîtrises et jurandes supprimées, la liberté du travail, du commerce et de l'industrie proclamée ? Quel cadeau a inconsciemment fait le législateur de 1926 aux commerçants établis, par une générosité pesant lourdement sur le propriétaire dépouillé, le consommateur rançonné, le producteur réduit à la portion congrue Voici les jeunes générations écartées du patronat, accessible dorénavant seulement aux privilégiés de la fortune, le'poids toujours croissant des pas de porte et des fonds de commerce dépassant les moyens d'action du petit et du moyen commerçant. « Quel paradoxe, conclut M. Ramarony, que ceitc institution aristocratique soit le résultat d'une législation votée au nom des principes démocrati-qu_es l »

Maurice Noël.


LA RUSSIE SOVIETIQUE

It'flrmée rouge, l'Osoaviakhin i et le Kotïisomol

A la fin de 1930, le correspondant du Times, à Riga, donnait des renseignements du plus grand intérêt sur la préparation intensive des Soviets à la guerre et sur l'organisation actuelle de l'armée rouge. Les masses russes entendent répéter, chaque jour, que la création d'une puissante armée est une nécessité vitale, en raison de l'irruption prochaine des forces combinées des nations capitalistes. Les journaux, les clubs, les théâtres, le cinéma, le, « sans-fil », propagent cette idée à satiété dans toute la Russie c'est l'obsession quotidienne. Mais cette préparation de l'ordre psychique n'est rien auprès des efforts de réalisation techniques qui se révèlent de plus en plus importants depuis quelques années. Toutes les industries métallurgiques, électriques et chimiques, indispensables à l'armement moderne, ont été très développées récemment, y compris l'industrie des gaz. Des ingénieurs allemands et américains, des centaines, sont les mauvais agents de cette réorganisation industrielle qui renforce dangereusement le bolchevisme. L'aviation, la construction de puissants appareils a; fait des progrès considérables, en même temps que celle des gaz deux fabrications intimement liées dans un but qu'on devine. La Russie, ces dernières années, a acheté plus de nickel, pour revêtement de munitions, que toute autre nation. En outre, des usines nouvelles, à grand rendement, ont été montées par les mêmes ingénieurs étrangers pour une énorme production en série de tracteurs, de camions automobiles et surtout de tanks. Bien mieux, rien n'étant oublié, les Soviets ont organisé dans la vallée de la Volga, au Caucase et en. Sibérie, d'immenses fermes collectives pour nourrir exclusivement leur armée. Comme ils se méfient de. la masse paysanne, si maltraitée, si spoliée, et craignent une révolte en cas de guerre, ils ont imaginé ce qu'ils appellent les « usines à céréales », sous la surveillance directe du Komsomol (ligue des jeunes-communistes), dont le fanatisme et la brutale énergie sont bien connus. Ces fermes, qui englobent d'Immenses ,étendues, très fertiles, ont produit, l'an dernier., ,4,00.0,000,. de tonnes, de céréales et peuvent en fournir le double d'ici quelques années. Même genre de fermes pour l'élevage; eh grand.de tout bétail est prévu et en voie de création, toujours pour la nourriture exclusive de l'année;

Donc, effort industriel, effort agricole, c'est tout un vaste plan réalisé ou en voie de réalisation qui" aujourd'hui, se révèle nettement, un vaste plan de guerre, de préparation systématique à de grandes opérations militaires futures.

Mais quels sont les effectifs de l'armée rouge actuelle ? Le chiffre connu de 7 à 800.000 hommes1 nc représente guère que le contingent annuel, actif. Jusqu'en 1929, la grande majorité de ce contingent était d'origine paysanne, mais Staline et consorts; ont, depuis, jugé prudent de renforcer le pourcend'ouvriers, si bien que ceux-ci forment aujourd'hui la moitié de l'armée. Mêmes précautions en ce qui concerne l'origine des cadets ou élèves offi-

cierji..

En dehors de ce contingent, il existe des masses considérables de plus en plus entraînées, qui arriveut à décupler ce chiffre de 800.000, ce qui n'a rien d'étonnant si on se rappelle que la Russie compte 150 millions d'âmes.

On n'ignore pas, en effet, qu'en 1928, au moment de la promulgation du fameux plan de cinq ans », le service militaire fut déclaré obligatoire pour tout citoyen ayant 19 ans d'âge et ainsi jusqu'à 40 ans. Cette obligation comporte trois périodes la première, de 19 à 21 ans, qui n'est autre qu'une phase préparatoire iî>JaT deuxième, ou service de l'active/ s'étendant de, 21 -à 26 ans la troisième, ou service de la réserve, allant de 26 à 40 ans. L'entraînement régulier, intensif, de ces masses constitue un « devoir impératif », déclare le ministre de la guerre, Voroshiloff. Des femmes elles-mêmes sont enrôlées depuis quelque temps et dressées au tir de la mitrailleuse on en compte aujourd'hui 40,000. H existe aussi des formations d'élite pour « services spéciaux », une sorte de police militaire. Mais l'organisation la plus étendue, la plus puissante, est incontestablement l'Osoaviakhin (ou ligue pour la défense par l'aviation et les gaz), qui date de 1927. Ses buts sont militariser tous les travailleurs des républiques soviétiques propager toute connaissance ou science relative à la guerre, à l'utilisation des armes diverses, bref, préparer à tout service de l'ordre militaire.

D'après les publications officielles, l'Osoaviakîiin, dès 1928, avait déjà organisé 31.500 clubs pour instruction militaire et 3.200 stands pour tir au fusil de guerre. En 1930, elle avait réussi à établir un vrai réseau d'écoles pour la formation de radiotélégraphistes, d'équipes pour tanks, de pilotes pour avions, y compris même des dresseurs de chiens de guerre et de pigeons.

Pour sa propagande guerrière, elle dispose de nombreux cinémas ambulants et de haut-parleurs qui s'en vont dans les moindres villages. Lorsqu'il y a manœuvres de corps d'armée, c'est encore l'Osoaviakhin qui mobilise toute personne adulte de la région capable d'être utilisée dans les services auxiliaires. Ce n'est pas .tout elle organise. fréquemment, dans les grandes villes, des démonstrations, des attaques simulées par les gaz, sur une grande échelle. par les gaz, sur une

Bref, cette ligue infernale, prétendue défensive, est un formidable outil de guerre offensive. Et le nombre de ses membres, qui était de 4 millions en 1929, aurait doublé depuis.

Le Times s'inquiète de cette organisation, ainsi que de la valeur de l'armée rouge, et juge avec raison que tous les Allemands au service de Moscou, même les ingénieurs, ne travaillent pas à autre chose qu'à développer, perfectionner la machine de guerre soviétique.

En plus de l'Osoaviilkhin, il est une organisation fiévreusement active qui l'aide puissamment c'est le Komsomol, auquel j'ai fait allusion. Cette « ligue des jeunes-bolcheviks » compte 4 millions de membres, dont 20 0/0 de jeunes femmes ou filles. Le Komsomol est qualifié d' « école communiste par les dirigeants et constitue une des grandes forces du régime. Le recrutement se fait parmi la masse paysanne la plus pauvre, le fils du kulak étant rejeté de l'association. Comme dans l'armée active, le jeune paysan devient suspect, et la tendance est à créer une majorité de prolétaires. Cette jeunesse, depuis, sa tendre enfance, a sucé le lait soviétique, s'en est intoxiquée elle est donc profondément imprégnée de la doctrine communiste et la considère comme un dogme qui doit être universel, doit. conquérir le monde, l'humanité entière. Sa foi, sa croyance ardente, pleine de fougue, ainsi qu'il en est à cet âge, tient d'une véritable exaltation religieuse, disent tous ceux qui connaissent cette génération. Elle croit à la révolution mondiale, au triomphe irrésistible, fatal, du bolchevisme, et, par suite, à l'écrasement du capitalisme, de cette malédiction pour les peuples, croit-elle.

Et. ce qui apparaît grave, c'est que cette horde de fanatiques ne conçoit ce triomphe que par la violence, par la guerre. Elle s'y prépare donc fiévreusement, ne rêve que prochaines, sauvages mêlées, l'extermination de ses ennemis. Pas de quartier Comme l'a proclamé le chef de l'armée rouge « Nous serons sans pitié ». Toute cette jeunesse, tous ces komsomoltsi ne rêvent que d'Attila et de Tamerlan ils veulent ressusciter, incarner leurs hordes. Et sur les ruines du monde capitaliste, sur les ruines de nos çités et de nos campagnes, ils

planteront leur rouge drapeau, et l'herbe elle-même se desséchera comme sous les pieds du coursier d'Attila.

Ce sont là les sauveurs, les nouveaux rédempteurs de l'humanité- Ils la purifieront en exterminant la moitié des populations. « Les trônes, les gouvernements capitalistes tremblent déjà sur leurs bases, disent leurs éducateurs les masses prolétaires se préparent à égorger leurs ennemis de classe, et bientôt les cavaliers de Boudenv feront boire leurs coursiers dans les eaux de la Tamise. Ils seront bientôt aussi aux portes de l'Inde. »

D'après Voroshiloff, plus de la moitié des contingents de l'armée rouge sont des komsomoltsi et, dans la flotte, leur proportion est plus forte encore. Il eu est de même dans l'aviation et les équipes de guerre par les gaz.

Tous ces fanatiques, ne l'oublions pas, s'entraînent avec une exaltation de croyants pour leur croisade rouge, pour les massacres de demain. lis seront, «sans pitié », soyez-en sûrs. Nos gouvernants;' nos peuplés s'éveilleront-ils enfin aux réalités ? ,1 Et. dire que non seulement des Allemands, mais encore des Américains, par leurs capitaux, par leurs ingénieurs, s'associent, depuis trois ou quatre ans, à cette œuvre diabolique, fourbissent les armes de ces hordes Les Américains du pacte Kellogg, de la déclaration de « guerre à la guerre » De même certain parti en France, sinon certain ministre, nous pousse à prêter de l'argent à la Germanie sans doute pour payer le matériel, l'outillage allemand et américain fourni aux Soviets, outillage de guerre avant tout. En somme, à quoi servirait notre argent ? A développer au maximum la valeur offensive de la Reichswehr et de l'armée rouge, dont la collusion est indéniable à assurer aussi le succès du fameux plan de cinq ans, à la fois guerrier, industriel et commercial, cette formidable entreprise contre la paix et contre la civilisation qui se réalise, inexorablement, sans que la S. D. N. risque un geste de protestation, de défense, pas plus que les signataires du pacte Kellogg. Prêter notre argent serait donc ni plus ni moins qu'une politique de suicide.

N'oublions pas non plus que le grand chef des « Stalhelm », lois de la mobilisation de ceux-ci en Rhénanie, a proclamé que l'Allemagne ne serait pas seule sur la brèche si elle devait se défendre « que certains peuples de race jaune seraient derrière elle ». Vantardise, dira-t-on. Ce n'est pas certain Moscou et Berlin semblent de plus en plus travailler d'accord pour l'utilisation, à"leur bériêficé,' des niasses asiatiques -les. résultats1 acquis ne sont 'déjà' qqe trop réels et doivent être pour nous la grandi inquiétude de demain, un -avertissement de première grandeur.,

Dr A. Legendre.

ACADEMIE FRANÇAISE

M. Chaumeix a siégé hier

II sera reçu jeudi sous la Coupole Réception de M. Le Goffic et élection. M. André Chaumeix a été admis hier, selon l'usage, aux honneurs de la séance ordinaire de l'Académie, après avoir, en commission, donné lecture de son discours de réception, que nous entendrons jeudi prochain sous la Coupole.

Tous ses confrères lui ont fait le plus cordial accueil et l'ont complimenté.

M. Louis Madelin, qui doit accueillir jeudi, en séance solennelle, M. André Chaumeix, avait aussi lu devant la commission sa réponse au récipiendaire,

M. Georges Lecomte, directeur de l'Académie, a fait le plus grand éloge des deux discours que la commission venait d'entendre

« M. André Chaumeix, a-t-il dit, a évoqué de la façon la plus fine, la plusTïïïancêé, là figure d'Emile Faguet, dont il a tracé un portait jeune, jàvant complet, fait de mairi de Maître^ par un artïstes| rr » Puis: il aisesqMssé l'admirable figure de iûlé^menceau. Il a expliqué les raisons de son patriotisme. M. André Chaumeix a écrit là des pages magnifiques sur un homme que l'Histoire jugera grand. » La commission eut ensuite le plaisir d'entendre M. Louis Madelin, qui a donné un bien joli portait de M. André Chaumeix. Son discours a été parfait de tenue. »

M. Paul Bourget et M. Joseph Bédier assisteront, jeudi prochain, comme parrains, M. Chaumeix. MM. Paléologue, Hermant, Valéry, Goyau et de Nolhac ont été désignés pour se trouver en uniforme à la solennité de jeudi.

Etaient présents à la séance d'hier, avec M. Georges Lecomte, directeur, MM. Henri Lavedan, Maurice Donnay, Brieux, René Doumic, Marcel Prévost, Henri de Régnier, Pierre de La Gorce, Louis, Bar-* thou, Henry Bordeaux, Joseph Bédier, Pierre de Nolhac, Georges Goyau, Henri Brémond, HenriRobert, Emile Picard, Albert Besnard, Paul Valéry, Abel Hermant, Louis Madelin et André Chaumeix. L'Académie, a fixé au 4 juin la réception de M. Charles Le Goffic, que M. Henry Bordeaux, qui vient de rentrer du Maroc, accueillera sous la Coupole.

La double élection des successeurs du maréchal Joffre et de Georges de Porto-Riche suivra de près cette dernière réception.

M. Georges Lecomte a offert en hommage, au nom de l'auteur, Eloges et dtscours académiques, par M. Emile Picard, «un livre, a-t-il dit, qui augmente la fierté de notre Compagnie d'avoir dans son sein. un si grand savant, maître écrivains. L'Académie a publié hier la liste complète dçs, prix de vertu de 1930, comprenant dix-sept prix Etienne Lamy de 10.000 francs à des familles nombreuses, et un prix de 40.000 francs à M. Guillet, directeur de l'Ecole Saint-Michel-en-Préziac (Morbihan), puis les prix à des œuvres et missions que nous avons déjà signalés.

Ch. Dauzats.

Nouvelles diverses Arrestation de deux voleurs d'autos La Sûreté générale poursuit inlassablement, et avec succès, les voleurs d'automobiles qui, depuis quelques mois, ont multiplié leurs méfaits dans la région parisienne.

C'est ainsi que deux d'entre eux, et non des moindres, ont été arrêtés hier, dans un garage parisien, au moment où ils s'apprêtaient à vendre la voiture qu'ils avaient dérobée à M. Albert Viriot, 195, avenue Victor-Hugo.

Interrogés* les deux voleurs Alfred Thuvignon, 26 ans, et Marcel Buisson, 27 ans, qui sont deux repris de justice, ont reconnu avoir détourné une vingtaine de voitures de luxe depuis le mois de mars 1930.

Un' complice, Lausanne, a également été arrêté à Levallois.

L'assassin du ministre Géorgien

renvoyé devant la Cour d'Assises

Le dimanche 7 décembre 1930, M. Louis Ramichvili, ancien ministre de l'intérieur du gouvernement géorgien, se rendait à une réunion avenue des Gobelins, quand, à la hauteur de la rue Philippe-deChampaigne, il fut tué à coups de revolver par un de ses compatriotes, bolcheviste, Parmery Tchanoukeatzé, manœuvre, né en 1895. Après une longue et minutieuse instruction, M. Compans, juge, vient de renvoyer le Géorgien devant la cour d'assises, où il sera défendu par M* Henry Torrès. M" Paul-Boncour représentera la partie civile. Une plainte en contrefaçon artistique Par l'organe de M* Crutians, M. Martinie, industriel/ a déposé au Parquet une plainte en contrefaçon d'oeuvres artistiques contre une agence étrangère de photographies.

M. Saussier, juge d'instruction, est chargé d'informer sur cette requête.

GAZETTE DES TRIBUNAUX La fin tragique de Max tinder II n'est pas de procès plus douloureux, plus tragique et plus intéressant aussi que celui qui se plaide en ce moment a la première chambre du tribunal. ,'c'

On connaît la fin sinistre de Max Linder, celui qu'on avait appelé la roi du cinéma et le précurseur de Chariot- Le 1" novembre 1925, à l'hôtel Baltimore, étendus sur leur lit ensanglanté, les veines ouvertes, un flacon de vcronal à côté d'eux, on avait découvert les corps de Max Linder et de sa jeune femme. Celle-ci était morte Linder mourut quelques heures après.

Dans la chambre, des lettres, un testament, dans lequel Max Linder léguait la tutelle de sa fille à son frère M. Leuvielle; Et, des1 accusations terribles contre sa femme, des cris deihaine, des accusations abominables quelques jours après son mariage, Mme Linder se serait révélée une effroyable Messalirie. « Un monstre' dë^perversitc », disait son mari, qui en écrivant cela n'avait point songé qu'il avait un enfant, une fille, gui un jour peut-être pourrait lire ce qu'à la harre. les avocats lisent en baissant ia voix.

C'était pourtant une jeune fille charmante, bien élevée, d'une excellente tenue, proclament tous ceux qui la connurent, cette Mlle Peters, que Max Linder connut en 1923 à Chamonix. Elle avait dix-sept ans il en, avait quarante. Mais il avait le prestige de son talent, la gloire du film, et Mlle Peters s'en éprit: Il l'enleva, pour l'épouser. Les journaux ce-1 lébrèrent ce grand mariage, très parisien. Deux ans après, ce fut le drame. Mais, avant d'en arriver là, quelle tragédie aussi dans le ménage Et M° Pierre Masse, qui se présente pour Mme Peters mère, demande l'annulation du testament de Max Linder, qui serait l'oeuvre d'un fou. Oui, d'un maniaque, d'un délirant. Et il y a dans le dossier de M' Masse "des documents qui font frémir..

Est-ce que le cinéma n'amènerait pas parfois un détraquage des cervelles ? On parle couramment des scandales d'Hollywood on se souvient des accusations portées contre Fathy. L'écran produirait-il une exagération de la personnalité ? Les lumières spéciales du studio auraient-elles aussi une influence sur le système nerveux ? Tout est possible.

Max Linder aurait eu,0 nous dit M" Masse, l'obsession de la jalousie morbide, de la jalousie sans raison, féroce et brutale, mais de la jalousie à idées fixes. Dans le ménage, scènes atroces. La nourrice de l'enfant en décrit plusieurs la jeune femme vivant sous la menace constante du revolver. Si bien; iqu'elle- songea au divorce, mais;retira sa\ requête,; elje ayait peur.^Ejt, .en mourant, ..dans ses

lettres, le mari j'appelle,« un monstre ». « Il faut,

ajoutait-il, que cette créature" disparaisse » Elle n'avait pas vingt ans '•••̃*T

Mais, elle, quelque temps auparavant, faisait aussi son testament, léguant à- sa mère la tutelle de son enfant, et ajoutait « Je vis dans la crainte d'être assassinée. »

Alors, disait -M" Pierre. Masse, c'est l'effroyable dilemme ou la mère est un monstre ou le père est un fou.

Un fou, intelligent certes, atteint de cette folie lucide dont parlait le docteur Trélat, mais un déséquilibré.

Le lendemain de sa mort, un de ses amis, interviewé, répondait « Son ennemi intime, c'était lui-même »

En 1925, Max Linder et sa femme allèrent en Suisse, au Mont-Pèlerin, faire une cure de repos. Des médecins les examinèrent, et l'un d'eux, le docteur de Montet, vit séparément le mari et la, femme il les interrogea, les confessa. Et dans une '1 longue lettre lue à la barre, il raconte les tristesses du ménage. Pour lui, Max Linder était un fou, et le médecin écrit «, S'il avait été sujet suisse, je n'aurais pas hésité à le faire enfermer. » Un maniaque de la jalousie, et d'une jalousie qu'aucun Othello aurait pu rêver. « Altération de l'imagination et déformation professionnelle d'artiste de cinéma un délirant », écrit le médecin psychiatre. Xanlôt devant le praticien il accuse sa femme de tous les vices, puis le lendemain il dit que rien de tout cela n'est vrai. Il est jaloux de tout et de tous du portier, dés médecins, des malades,

de. l'aumôniec^de la clinique. La nuit,, il répand de

là farine cïeyjm la porte^dala chambre de sjrfjfeinm^ .pour voir #,îs-leivdcmaijai|}ersonnef n'est etftre*. Comment la jeune femme pouvait-elle supporter cette vie, « alors, dit le médecin, qu'elle avait le désir intime d'être délivrée de ce cauchemar ? Mais elle était dominée par la terreur, la terreur d'un persécuté. La destinée de cette malheureuse femme dépasse en horreur tout ce que j'ai vu. » Et un de ses amis écrit, un jour, à Max Linder, « Votre chagrin est maladif. Réfugiez-vous dans une clinique, ou dans un monastère, ou chez vos parents, pour vous guérir de vous-même, et faites de l'hydrothérapie. »

Et celui qui dans son testament appelait sa femme un monstre disait un jour à M. Pierre Frondaie, en parlant d'elle « C'est une petite bourgeoise avec laquelle il est impossible de rigoler » Que de détails navrants nous donne M' Pierre Masse. Un soir, Max Linder téléphone cinq à six fois à sa femme pour voir jsi elle est chez elle. Celleci note les conversations. Première communica- tion « Je pars en voyage, il me faut mes bottines ». Autre appel « Je n'ai plus besoin de bottines ». Nouvelle sonnerie « Tu m'as fait des choses que tu ignores je t'ordonne de venir te traîner à mes pieds !»

N'est-ce point effroyable lorsque -l'on évoque le cadavre de la jeune femme- les veines ouvertes, sur un lit de chambre d'hôtel ?

Mais, dira-t-on, un homme qui va mourir ne ment pas. Max Linder a laissé des accusations écrites.

̃ Oh s'écrie M' PierreiHasse, il y a des morts théâtrales et menteuses. Éfc si Max Linder est fou, il

ne ment pas, car il croit'pn délire..

ne ment pas, car il çroitjja "son délire., ti.-

'Triste' procès, mais bien curieux' 'pbûT"lç "pfyr chiatfe. ''•'•

A huitaine, M" Paul-Bôhcè'ur plaidera pour la famille de Max Linder.

Georges Claretie.

LA VIE RELIGIEUSE Le centenaire de l'Ecole libre

L'assemblée générale annuelle de la Société d'éducation et d'enseignement, qui a eu lieu mercredi après-midi, dans la salle de la Société de géographie, a été fort brillante, d'autant plus qu'il y fut évoqué avec éclat le centenaire des luttes pour la liberté de l'enseignement.

S. Em. le cardinal Verdier, archevêque de Paris, présidait. On remarquait la présence du comte de Blois, sénateur, descendant du comte de Falloux. Le colonel Keller, président de la Société, a déclaré que la campagne contre les projets d'Ecole unique, qui sont un acheminement vers le monopole, a été conduite avec vigueur ces temps-ci. Mgr Baudrillart, recteur de l'Institut catholique, a célébré l'acte courageux qu'accomplirent, il y a cent ans, Lacordaire, Montalembert et de Coux. Revendiquant la liberté d'enseignement promise par la Charte, ils ouvrirent, tous risques, une école libre. Un procès s'ensuivit, et la lutte fut longue et difficile. Mais le succès était au bout en 1850, ce fut la loi sur la liberté- de l'enseignement secondaire en 1875, celle sur* la liberté de l'enseigne- ment supérieur.

« Soyons dignes des leçoas qui nous ont été données», a conclu Mgr Baudrillart, très applaudi. « Sachons, en utilisant] toutes les ressources de la loi et en y allant au besoin bravement de notre personne, défendre les droits dont nous avons la garde. »

S. Em. le cardinal Verdier a demandé aux personnes généreuses de soutenir énergiquement la Société d'éducation, dont le rôle ne cesse de grandir et il a béni l'assistance.

Inauguration de la cathédrale de Soissons restaurée

Cette cathédrale qui a tant souffert de la guerre s'est relevée peu à peu de ses ruines, grâce à l'activité inlassable de M. Brunet, l'architecte départemental en chef des beaux-arts. Elle va être rendue au culte intégralement le dimanche 26 avril prochain,

M. Paul Léon, directeur général des beaux-arts, membre de l'Institut, représentant le gouvernepient, en fera la remise officielle à S.,G. Mgr Mennechet, évêque de Soissons, en présence de S. Em. le cardinal Binet et de NN. SS. l'archeyêque de Reims et les évêques de Châloris, d'Arsinoë, de Beauvais et d'Amiens.

La cérémonie commencera à dix heures précises sur le parvis de la cathédrale, et la grand'messe pontificale sera chantée par S. Em. le cardinal Binet.

L'après-midi, à trois heures, après les vêpres pontificales, présidées par S. Gr. Mgr Suharel, archevêque de Reims, aura lieu, par une procession solennelle, l'inauguration du nouveau reliquaire destiné à contenir les restes des saints Crépin, Crépinien, les premiers martyrs soissonnais du troisième siècle.

Le pavillon des missions

à l'Exposition coloniale de Paris

Rome, 19 avril. Mgr Boucher, président à Paris de l'œuvre de propagation de la foi, etMgr Artaud, préposé' pour la région lyonnaise, ont été reçus par le Saint-Père, à qui ils ont présenté le projet du" pavillon missionnaire à l'Exposition coloniale de Paris. Le Saint-Père a témoigné sa haute satisfaction. La session de la propagation de la foi s'est achevée hier soir par une audience générale du SaintPère. La participation de la France se maintient toujours très élevée. Elle se monte cette année à 10.200.000 lires pour l'œuvre de propagation de la foi et à 4.400.000 lires pour l'oeuvre de SaintPierre Apôtre.

Contre les panneaux-réclame La campagne contre les panneaux-réclame, que Figaro a toujours encouragée, semble porter ses fruits. Nous n'en voulons pour preuve que la lettre que M. Gaston Gérard vient d'adresser à M. le marquis d'Arcangues, qui a bien voulu nous la communiquer. Nous la reproduisons in extenso Monsieur le maire,

Vous avez bien voulu appeler mon attention sur l'urgente nécessité qui s'impose aux pouvoirs publics de lutter par des mesures législatives appropriées contre l'envahissement de nos paysages par la publicité. Dès ma rentrée en fonctions au sous-secrétariat d'Etat aux travaux publics et au tourisme, je me suis préoccupé de cette question, dont l'étude s'est poursuivie pendant longtemps au sein de tous nos groupements touristiques et dont la solution ne peut résulter que de la force d'une loi.

Une -commission vient d'être chargée d'élaborer un :te?tt;e de ,loi en accord avec le sous:secrétari^t xJ'Etat; des Beaux-Arts, et dès que le projet en piéphratiqn me' sera soumis je prendrai toutes les dispositions. utilÈS1 pour le faire voter très rapidement par le Parlement! La pétition que vous m'avez adressée répond aux vœux de toutes les municipalités qui demandent la protection des abords des stations de séjour et des sites, dont il faut sauvegarder l'harmonieuse beauté. J'estime pour ma part qu'il appartient à l'Etat de défendre notre patrimoine national, et de même qu'il est interdit de lacérer une toile considérée comme un chefd'oeuvre d'art, de même il doit être défendu de maculer par des panneaux-réclame les chefs-d'œuvre de la nature.

Vous pouvez donc compter sur moi pour vous aider à mettre fin à une pratique de publicité qui enlaidit notre pays.

Veuillez agréer, etc.

Signé GASTON Gérard.

D'autre part, les agents d'affaires comprennent la nécessité de protéger les sites dont l'attrait est une des causes les plus puissantes du mouvement touristique en France. Nous recevons de la Baule, par les soins du Syndicat d'initiative de la Côte d'Amour et de la presqu'île guérandaise « ESSI », le communiqué ci-joint

« A la suite d'une réunion provoquée par le maire ,de la Baule, M. de Lapeyrouse, les agents d'affaires de la Baule, ainsi que les notaires, et ceci avec l'agrément des propriétaires, viennent de décider la suppression totale sur le territoire de la commune de la Baule des panneaux de vente des terrains, villas ou de locations diverses.

» Déjà en 1930, par un arrêté, qui est venu compléter le règlement de la- voirie de la station de la Baule, M. de Lapeyrouse a interdit l'affichage sur les monuments, édificer publics, suj>Jous les poteaux servôht au transport- de l'énergie électrique, ainsi que sur le boutevarii de l'Océan bordant la plage et sur la plage elle-même.

» La décision nouvelle, qui fait honneur aussi bien aux personnalités qui ont bien voulu apporter leur concours à sa conclusion comme à la municipalité elle-même, vient compléter heureusement les effets de l'arrêté de 1930.

» La lutte entreprise par les groupements de tourisme porte donc ses fruits il n'est besoin, en vérité, pour réussir, que de suivre l'exemple, du maire de la Baule, commencer par assurer le nettoyage des stations climatiques, balnéaires et de tourisme, de tous ces placards-affiches-panneaux qui les déshonorent, obtenir des commissions nouvelles de classement des sites et monuments naturels une plus grande activité, et alors les paysages, les sites, les routes de France s'offriront aux touristes avec tout leur agrément, avec toute leur beauté naturelle. »

Puisse l'exemple donné par la Baule être suivi par toutes les grandes stations françaises et les centres de tourisme. Les syndicats d'initiative doivent, sans se lasser, poursuivre. la campagne que le soussecrétaire d'Etat aux travaux publics se propose de faire aboutir.

LEGION D'HONNEUR On sait que le centenaire de la Légion étrangère doit être célébré le 30 avril. A cette occasion, le ministre de la guerre a fait signer une promotion dans la Légion d'honneur qui paraît ce matin au Journal officiel. 'Sont promus T '̃' :'( ';̃ ;'iIU"

at;ls:~a r1 J.I

'Commandeur. ̃ Le Heut.-col. Debas, étranger. Officiers. Infanterie Josse, capit., 1er étr.; Auriste, chef de bat., 507° chars de combat Lêvêque, chef de bat., 5' étr. Aumoitte, chef de bat., 2° étr. ïhéraube, chef de bat.. 5° étr. Taguet, capit., 1" étr. D'autre part, sont promus au grade d'officier Infanterie. ̃ Jeanselme, capit., 26' inf. Dandine, capit., 15° inf. Durand de Ramefort, chef de bat. en disp.. service d'état-major région de Paris.

Chef de musique. Froment, chef de mus. cap. au centre de mobil. d'inf. n° 103.

Recrutement. Pierron, lieut.-col., bureau de recrutement de Bar-le-Duc Daunizeau, chef de bat. bureau de recrutement de Chatellerault.

Cavalerie. Dezès, capit., centre mobil. n° 18 Gibert, chef d'esc.. serv. spéciaux du territ. de la 20° région Bonamy, chef d'esc.. serv. spéciaux du territ. de la 11. région Vidal, lieut.-col., centre mobil. n° 17; Fonsignon, chef d'esc., 6e drag.

Gendarmerie. Frugier, chef d'esc, 15e légion Rousseau, chef d'esc, 6° légion.

Artillerie. Haberer, capit., 361e rég.

^archevêque, chef d'esc., atelier de construc. de Rennes.

Intendance. Thérond, int. milit. lre classe. Galdemar, comm. d'adm., bureau de l'int. Service de same des troupes coloniales. Agostini, Méd. comm. au 21° inf. col.

Le Journal officiel publie en outre une liste de thevaliers.

Le banquet de l'association

des informateurs parisiens

Le banquet annuel de l'Association des journa-, listes informateurs parisiens vient d'avoir lieu au Palais d'Orsay, sous la présidence de M. Pierre Laval, président du Conseil. A la table d'honneur, aux côtés de M. Louis Giorgi, président de l'Association, avaient pris place MM. Jean de Castellane, président du Conseil municipal Bonnal, président du Conseil général Renard, préfet de la Seine Jean Chiappe, préfet de police, ainsi que de nombreuses personnalités appartenant aux transports, aux chemins de fer, au barreau, au monde littéraire et journalistique.

Au dessert, des allocutions ont été prononcées par MM. Louis Giorgi, de Castellane, Bonnal, Jean Chiappe, qui remercia les informateurs parisiens de leur collaboration à l'oeuvre qu'il poursuit. En une improvisation frès applaudie, M. Pierre Laval évoqua des souvenirs de jeunesse, au nom desquels il assura l'association de toute sa sympathie et de l'appui du gouvernement qu'il préside.

LE MONDE ET LA MODE Remarques sur l'Elégance

L'incontestable perfection de la mode actuelle est faite, surtout de la recherche dans l'ajustement du détail, qui apporte à l'habillement féminin la note de raffinement qui achève et délimite l'élégance. Importance des aeeessoires

Parmi les détails d'une importance primordiale, les souliers et les sacs tiennent le premier rang, et la sélection la plus sévère et la plus judicieuse s'impose,pour le choix de ces derniers.

"En effet, notre actuel souci d'esthétique exige que. ceux-ci soient parfaitement adaptés au costume qu'ils complètent, et non vaguement assortis par la forme ou la couleur.

II convient, par conséquent, d'apporter à-: l'acquisition/ des-chaussures et des sacs nécessaires à notre trousseau de printemps un esprit critique averti et. la connaissance; approfondie du style de l'ensemble qu'ils doivent accompagner et de l'effet à souligner. L'art précieux du bottier

Tous les poètes ont chanté à juste titre la grâce et le charme d'un joli pied. Sa ligne et sa cambrure n'évoquent-elles pas les formes harmonieuses du corps qu'il supporte ?. « Et quand on voit le pied, la jambe se devine. », a dit Musset.

Ce vers charmant pourrait servir de devise aux bottiers parisiens, qui se sont surpassés cette saison et nous offrent des modèles aussi réussis que variés, tant par- le choix des matières que des iormes. Les cuirs, et les peaux les plus étrange? sont utilisés pour leur fabrication. Tous les reptiles conservent leur suprématie. Ils sont, en effet, d'une solidité à toute épreuve et d'une souplesse inégalable qui se prête admirablement au travail du bottier.

En plus de ces derniers, Helstern nous propose un nouveau cuir, imitant à s'y méprendre le grain serré du galuchat, et qui est en réalité du chevreau extrasouple, émaillé à la main. Cette peau se fait en toutes les teintes assorties aux robes et, parfaite en blanc et noir, sera le complément rêvé des robes imprimées, pour lesquelles le problème d'un soulier assorti restait encqfe^ résoudre. Cécile Sorel et Mme Puerari porteront des chaussures de ce genre pour les réunions habillées du printemps, et la nouveauté et l'élégance de ce cuir fera sensation. Le règne de la sandale

':Lê'"poih$^capîtaî "est de -dénuder le pied le plus: po.s-4 ]sible,dè telle sorte que., le soulier .ne ^soit? plus qu'un»" semelle sur laquelle -un! .entrelacs de bandelettes retient' dans un brillant harnois de satin ou d'or les précieuses extrémités des belles. Pérugia, artiste subtil qui sait chausser la bondissante Argentina, montre une coliection ravissante et rolorée où le modeste soulier de vair de Cendrillon ferait bbien piètre figure. Des chaussures de golf en crocodile vert évoquent les « greens » ensoleillés, et des sandales en satin rouge bordé d'or sont dignes de Thaïs. Et puis, voici des mules peintes, brodées, ornées d'arabesques de cuirs polychromes, à bouts carrés ou à semelles articulées inspirées de l'Inde et de la Chine, qui compléteront à ravir nos exotiques pyjamas d'intérieurs.

L'épineuse question des chaussures réglée, il reste encore le choix des sacs, car ces objets que nous dorlotons sous notre bras si tendrement demandent à être judicieusement adaptés à nos ensembles.

Le choix des saes

Le renne, si souple et si discret, reste très en honneur. On porte, avec le tailleur, des sacs à poignée qui permettent de laisser libre la taille et conservent f allure dégagée des' costumes printaniers.

Les fermoirs sont toujours aussi imprévus que somptueux. Pour l'après-midi, une prédominance de laque garnie de joaillerie, des fermetures de 'sûreté sur les modèles sport, et de classiques fermoirs d'écaille dont l'élégance indiscutable conserve toujours son allure « lady like »..

Chez' Vendis, pour le jour, l'antilope est' largement employée, ainsi que le crocodile p'6ur les sacs de voyage1: Le luxe des fermoirs 'est un véritable ravissement: jade véritable, laque de Chine coulé dans l'or ou l'argent, pendeloques de turquoises, petits sabots incrustés de saphirs blancs, tels sont les matières et les Ornements qui fermeront précieusement les sacs habillés où gîteront peut-être bientôt quelques billets doux, entre le tube à rouge et l'étui à cigarettes.

Comtesse de Sédouy.

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Au moment où le conseil supérieur des chemins de fer et le ministre des travaux publics étudient les moyens propres à remédier au déficit chaque jour accru du fonds commun, il y avait lieu d'étudier les desiderata actuels de l'agriculture sur ces questions.

L'Office central du rail et de la route, qui réunit à la Société des agriculteurs de France des représentants des grands organismes agricoles, a indiqué tout d'abord qu'il ne saurait être question, à l'heure actuelle, de songer à une élévation des tarifs agricoles et que, parmi les mesures étudiées pour y suppléer, il y aurait lieu d'envisager un aménagement nouveau des transports de banlieue, onéreux pour l'ensemble des usagers et inefficaces pour les besoins actuels, le remplacement sur les petites lignes déficitaires des trains de voyageurs par des automotrices à essence et des camions automobiles sur route affectés au transport de porte à porte cet aménagement nouveau de lignes rurales effectuerait une meilleure liaison des campagnes avec les centres de consommation et comporterait pour les réseaux une forte diminution des dépenses il est demandé par un grand nombre de chamËres d'agriculture. il était intéressant pour le ministre de l'agriculture de connaître sur cette question l'opinion des agriculteurs qui y sont directement intéressés or un grand nombre de chambres d'agriculture ont demandé l'adoption de ces mesures en signalant que dans certaines régions la plupart des trains de voyageurs circulent à vide.

M. Tardieu a promis à la délégation de saisir officiellement de la question les départements ministériels intéressés et d'attirer très spécialement l'attention du conseil supérieur des chemins de fer sur les revendications formulées.

Toute demande de changement d'adresse doit être accompagnée de la somme de un franc cinauante en timbres-poste, pour couvrir une vartie des frais de renouvellement c*.n la bande.


LETTRES. THÉÂTRE. SCIENCES ET ARTS

LA VIE ARTISTIQUE Aquarelles de Rodin et de Kondo Le Prince Eugène, Les Humoristes. De l'imagination fulgurante, sans cesse en travail, de Rodin naissaient à tous les instants assez de visions, de mouvements, de poèmes pour que leur exécution eût exigé deux fois ses quatre-vingts ans. Outre les petites maquettes et études nerveusement pétries, il aimait, à ses heures de repos, jeter sur le papier des apparitions, ou plutôt des interprétations singulières.

Il demandait à ses modèles de marcher, courir, s'étirer, se courber, se détendre à leur guise, pourvu que ce fût sans arrêt Alors son crayon traçait sur la feuille blanche, avec rapidité, une sorte de sténographie, un instantané linéaire de ces attitudes bougeantes et cela sans regarder son papier. Le résultat était aussi surprenant que l'objet était surpris. Puis, quand il avait amassé un certain nombre de ces dessins, il s'amusait à étendre entre leurs contours des teintes plates à l'aquarelle, d'une main très légère.

C'est toute une collection de ces précieux exercices que Mlle Judith Cladel a demandé à divers possesseurs de réunir en l'hôtel Jean Charpentier. On sait quel beau livre cette admiratrice de l'artiste a consacré à sa mémoire. L'effet de cette exposition est superbe et profond, et c'est un grand plaisir d'art et de poésie que vous y goûterez. Une réflexion pourtant. Ce qui, chez Rodin, s'épandait avec la verve de son génie, ne saurait, imité, que donner de piètres et insignifiants résultats. On ne saurait trop conseiller aux artistes impressionnables, impressionnés, ou impressionnistes, d'admirer, mais de ne point singer.

Je ne sais comment procède le très grand peintre japonais Koitchiro Kondo, mais ses paysages, montrés ces jours-ci dans son atelier du Trocadéro. donnent une idée analogue, quoique diverse: entrain dans l'exécution, vivacité du sentiment entrevu, effet poétique dans la simplification. Au lieu du trait et du lavis, comme Rodin, Kondo emploie un curieux mélange du crayon et de la teinte modelée, le tout donnant des spectacles infiniment Taries: une chasse au cormoran dans la lagune. une rue du Yoshiwara, le soir, un volcan dans la brume, un soleil pâle et diffus, autant, comme au- rait dit Eugène Carrière, de « réalités ayant la ma- gie du rêve » On verra, dans quelque temps, un ensemble de ses œuvres dans une galerie publique, qui justifiera ce que nous venons de dire à l'occa- sion de cette exposition privée.

J'aurais voulu, n'eût été le nom de Rodin, vous parler tout de suite de l'exposition de paysages par le prince Eugène de Suède chez Paul Rosenberg.

On le savait excellent peintre, mettant un savoir approfondi au service d'un juste et large sentiment de la nature. Mais, cette fois, il s'affirme artiste de premier ordre. La plupart des œuvres, où il décrit avec une émotion grave et contenue divers aspects des champs et des collines, sont certainement des pages d'une belle tenue, et d'une belle venue. Mais il en est une dizaine environ qui vous donnent le choc des surprises heureuses et de la trouvaille dégagée des habituels spectacles de la terre. Avec une décision, une autorité dans la joie, le peintre a construit un poème de nuages accumulés, changeants, traversés par le soleil, bousculés par la bourrasque; en un mot, il a. trouvé la note du fantastique vrai. Et pourtant, il n'a point recours à des écritures singulières et forcées. Il se contente de la technique, librement employée, qui suffisait' au Ruysdaël du Buisson. Ainsi. devient-il le peintre de la rafale, qui commence à balayer l'atmosphère, de la nuée menaçant la lumière, il exprime ce sentiment étrange des bienfaits de la mélancolie, du réconfort de l'anxiété.

Vous pouvez, passant de l'un à l'autre, vousoffrir des impressions shakespeariennes, en deux ou trois heures, si, après ces scènes graves, vous voyez l'entrée de clowns.

Les Humoristes ne prendront pas en mauvaise part cette appellation. Touchstone peut alterner avec Jacques le mélancolique et le. caprice avec le drame. Or, il y a, à l'exposition annuelle du Palais de Glace, qui attirera sa foule accoutumée, non seulement beaucoup de fantaisie, mais aussi pas mal de drame. Il y a même des observations qui ne cachent pas une larme au coin de l'œil du rire, et des tableaux de vices et de laideurs qui touchent au cauchemar.

Ainsi l'exposition. des Humoristes est-elle une des plus morales qui soient, même quand elle montre tous les manèges du trio indissoluble Eve, Adam et la Serpentine-Guivre.-Je ne me hasarderais pas à guider vos choix dans cet immense album. Quelquès indications seulement et quelques saluts familiers en passant, aux principaux dignitaires de l'humour.

Forain réserve au public du vernissage la faveur de son envoi mais nous sommes heureux de savoir qu'il est là, et que nous l'y' verrons. r 3 On a bien fait d'organiser une exposition de Maxime Dethomas qui fut un dessinateur robuste, volontaire, ayant sa conception personnelle du monde parisien. Une autre rétrospective est consacrée à Goussé qui fut un modeste et un délicat. Il n'y a rien de plus drôle et de plus vivant que les chiens taillés en plein bois par Réalier-Dumas. Louis Morin avec une verve gracieuse se montre infatigable. Hémard est un imagier roi du saugrenu, en ses dessins d'excellente tenue. Beaucoup de sens gai et vrai de la vie chez Fabiano, ainsi que chez Genty. Léandre, Taquoy, Marcel Arnac mettent toujours beaucoup de finesse dans l'humour, et Albert Guillaume, avec son élégance narquoise, présente toujours à propos le travers du jour. J'ajoute à ces noms ceux de l'« Oncle Hansi », de Gir, Jean Droit, Poulbot (très en veine de psychologie enfantine avec d'amusants « parlés ») Hellé, Vallet, 0. Klein, Paul Legrand.H. Fournier, Elisabeth Branly. Mais j'avais promis de ne pas choisir pour vous il est temps de m'en apercevoir.

Arsène Alexandre.

Hommages à Gabriel Vicaire et à Charles Le Goffic

Le Souvenir de Gabriel Vicaire » se réunira, comme chaque année, devant le monument du poète des Emaux bressans, au jardin du Luxembourg (angle des allées de Fleurus et Férou) le dimanche 3 mai, à 11 heures du matin précises.

Le poète Eugène Le Mouel présidera cette cérémonie au cours de laquelle sera fêtée également l'élection à l'Académie française de M. Charles Le Goffie, président du « Souvenir de Gabriel Vicaire ».

Des vers seront récités par Mlle Fanny Robiane, de POdéon M. Jules Truffier, sociétaire honoraire de la Comédie-Française MM. Dumesnil et Rozet, de l'Odéon.

En cas de mauvais temps, la cérémonie aurait lieu au Musée du Luxembourg.

Un déjeuner amical réunira ensuite les amis de Vicaire et Le Goffic. Pour tous renseignements, s'adresser à M. Jean Vicaire, 6, place du Panthéon. (Danton 76-24).

CHRONIQUE DES THEATRES DE PARIS THEATRE ANTOINE La Chaîne, pièce en trois actes de M. Stève Passeur

Il était fatal que les dons mêmes de M. Stève Passeur finissent par le mener à écrire une pièce dont les situations et les caractères offriraient une sorte de caricature de son talent, dont l'outrance et la brutalité, maniées jusqu'alors avec un véritable bonheur scénique, avaient fortement conquis le public en le ;secouant et le réveillant à coups de poing moraux. Les meilleurs auteurs ont tous, à leur actif, un ou plusieurs mauvais romans, une mauvaise pièce, de mauvais vers. cela ne les empêche point de demeurer eux-mêmes et.de donner ensuite une nouvelle et belle mesure de leurs capacités. Je dirai plus dans'une pièce telle que La Chaîne, M. Stève Passeur a sans doute extériorisé tout ce qui le travaillait -encore, depuis Suzanne et L'Acheteuse, de germes analogues destinés à faire éclore de nouveaux produits, de son école des monstres. L'en voilà délesté, ou du moins souhaitons-le. Et j'attends avec confiance sa prochaine œuvre, où, mûri, ayant compris que la vie et que les êtres sont beaucoup plus complexes que les personnages aux instincts trop évidents et trop dévoilés qui lui ont plu jusqu'ici, il écrira une pièce vraiment humaine que serviront ses rares 'et remarquables qualités de théâtre.

Le fond du sujet de La Chaîne a déjà été traité dans un autrefois assez récent par le maître Paul Hervieu dans une pièce qui eut un fort grand retentissement et qui s'appelait Les Tenailles. C'était le martyre de. l'épouse retenue au foyer par le mari détesté, usant de ses' droits; sïlr, l'enfant. Dans La Chaîne, ,afîn' que Je j .'mari ,soit encore plus tyrannique.. cet enfant n'est pas de lui. Ce que M. Stève Passeur aurait pu développer avec une juste intensité dramatique, c'est que cet homme a encore plus de droits qu'un vrai père sur cet enfant-là. Il a accueilli la mère en détresse, puis l'enfant, et, cet enfant, il l'a vu naître, soigné, élevé, et tout naturellement aimé après l'avoir sauvé. Le rôle de la femme est donc doublement déchiré et elle nous arracherait des larmes si elle n'était si antipathique et par moments tellement ridicule.

Où l'infortuné Daniel a-t-il connu cette Armance déchaînée? (malgré le titre de Chaînes.) A Arcachon où, orpheline et pauvre, elle vivait chez un vieil oncle et deux cousines malades et vipérins. Les deux filles, montées en graine, ont d'abord cru que Daniel épouserait l'une d'elles. Mais Daniel est épris d'Armance, traitée en Cendrillon, faisant le ménage et la cuisine, et jalousée pour sa beauté, sa jeunesse, son goût de là vie. Mais comment Daniel l'épouserait-il ? Elle lui avoue elle-même qu'elle est .fiancée à un jeune homme qu'elle épousera

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Parlant des innombrables commentateurs de Dante, un des plus célèbres critiques de la littérature italienne, Alessandro d'Ancona terminait un jour un article par cette boutade

« Dieu après avoir créé le monde physique et moral l'abandonna aux disputes des hommes (mundum tradidit disputationi eorum Ecclesiaste, III, 11); mais Dante aussi n'a pas agi différemment après avoir créé son monde poétique. Et voilà pourquoi nous continuons à en dire chacun notre avis et à rompre des lances l'un contre l'autre à tout le moins, c'est un exercice intellectuel innocent et agréable. »

Encore qu'il soit moins considérable que celui de ses exégètes, le nombre des illustrateurs de Dante pourrait suggérer une réflexion analogue. Aucun poème, à l'exception de la Bible, n'a inspiré autant d'artistes que La Divine Comédie, Giotto, Bottĩcelli, Cignorelli, William Blake, Delacroix, Flaxman, Bœcklin, Ary Scheffer, Rossetti, Scaramuzza, Gustave Doré, pour ne citer que les principaux ont été tour à tour tentés par l'incomparable chef-d'œuvre. Le passage du Styx (Dante et Virgile) a été traitée par Botticelli et Delacroix; Botticelli dont les dessins sur parchemin sont, pour la plupart à Berlin, les autres au Vatican; Delacroix, dont la magnifique toile a obtenu au Saloa.de 1822 un éclatant succès. Bœcklin et Ary Scheffer ont préféré l'épisode de Francesca et Paolo.E£ sans doute, Delacroix est-il le plus grand parmi les modernes. Mais il s'est borné à quelques rares compositions, tandis que Gustave Doré a complété son œuvre et c'est pourquoi l'on songe à lui d'abord quand on évoque les derniers illustrateurs de Dante.

Un autre nom, cependant, s'attachera désormais à La Divine Comédie, celui de M. Amos Nattini, dont les aquarelles remarquables viennent d'être réunies au Musée du Jeu de Paume. Notre éminent collaborateur, M. Pierre de Nolhac, a annoncé aux lecteurs de Figaro l'ouverture de cette exposition, organisée sous le patronage du Comité France-Italie et de la Société Dante-Alighieri, par un commissaire français, M. André Dezarrois, conservateur des Musées Nationaux, et deux commissaires italiens, MM. Rino Valdameri et Emirico Vesmara, membres l'un et l'autre de l'Institut Dantesque. « L'ouvrage immense que l'on met sous nos yeux, a écrit M. de Nolhac, dans la préface du catalogue, constitue la-tentative la plus grandiose qui ait été faite pour rendre dans toute leur angoisse les premières scènes du divin poème de Dante ». M. Amos Nattini n'a encore achevé, en effet, que l'illustration de l'Enfer et les trente-quatre compositions offertes en ce moment à l'admiration des Parisiens ne constituent que le tiers de son œuvre.

Voilà dix années environ qu'il a abordé sa tâche gigantesque et M. Amos Nattini n'est pourtant âgé aujourd'hui que de trente-cinq ans. Génois de naissance et de race, il est nu exemple saisissant d'une vocation impérieuse et triomphante. Il était pauvre, et obligé déjà de gagner sa vie, lorsqu'il commença d'étudier son art, tout seul, sans conseils et sans matres. Les quais de Gênes où grouillaient la foule des portefaix, dès débardeurs, des trimardeurs de toutes sortes, lui fournirent ses premiers modèles. Acharné à traduire la beauté plastique du corps humain, l'expression des muscles contractés par l'effort,, il suit alors pendant quatre ans, à l'Université, les cours d'anatomie.

Un jour, c'était vers 1912, les poèmes de Gabriele d'Annunzio, Les Canzoni della gesta d'Otremare, lui tombent entre les mains. Enthousiasmé, il choisit le Canzone del Sacramento et la scène où, du pont de commandement, l'évêque donne la béné-

décors d'André Boll: mise en scène de René Rocher.

bientôt or, peu à peu, de scène en scène, Daniel apprend qu'Armance est la maîtresse de ce fiancé, puis que les parents dudit fiancé, indignés, -furieux ont expédié leur fils au loin pour rompre cette histoire puis, enfin, que ce jeune homme, faible et désespéré, s'est tué dans lé;train qui l'emportait. Or, Armance est enceinte. L'oncle et les cousines l'accablent de sarcasmes et de menaces on l'enfermera, on la torturera pour lui faire expier sa faute. Y a-t-il vraiment des gens aussi lâches et cruels ? Une des filles, Yvette, finit par avoir honte de son père et de sa sœur et offre à Armance quelque pitié. Mais celle-ci, épouvantée, se raccroche à ce qu'elle sent être pour elle et l'enfant futur le seul salut. Avec un cynisme ingénu (et cela est juste, vrai, humain, féminin en son revirement rapide), elle se confie à Daniel, et à ce grand amour généreux qu'il vient de lui exprimer à plusieurs reprises. Bien qu'un peu refroidi par cette douche de révélations, Daniel, plein de pitié, emmène Armance, l'arrache à cette famille d'ogres. Il l'épousera, la soignera, la consolera, la respectera et, plus tard, l'aimera.

•*

Ce premier acte est presque excellent. En tout cas, c'est le meilleur de la pièce et il porte sur le public. Si la famille était un peu moins grotesque en son outrance de mauvais sentiments, on l'en détesterait davantage et on s'iniéresserait encore plus sincèrement au sort de la malheureuse Armance. Mais le grave défaut de ces caractères aussi poussés dans le sombre et ;l'amer: que-certains autres dans le Jjleu et le isucrér -C'est qu'on ne leur; accorde' plus •aucune créance et que l'on sourit au lieu de trembler. Ces Croquemitaines pour adultes ont beau faire la grosse voix et révéler, séance tenante, les plus affreux secrets de leurs âmes grossières, ils nous laissent froids.

Les deux autres actes nous laissent également froids. Car, Armance tout en adorant son fils est, nous l'affirme-t-elle avec une impudeur totale « une chienne ». Le dévoué, mais trop ardent Daniel ne lui plaît plus elle le trompe avec! un jeune homme, Bernard, et, même, veut fuir avec ce Bernard et « refaire sa vie ». Tous ces projets sont annoncés, tout à trac, au mari et il faut bien avouer que ces scènes entre le mari' et la femme, entre le mari et l'amant, à force d'être nettes, brutales et sans nuances autant que sans détours, sont d'un effet plus que guignolesque. Et, pourtant, il y avait là un « sujet ». L'étude de la femme, livrée à ses seuls instincts de volupté, toute aux désirs successifs de ce que l'on ne peut même pas nommer amour et que l'amour maternel, instinct plus puissant, plus profond, plus noble, ramène au foyer, à la sa-

diction aux hommes d'armes et aux galériens agenouillés. Son dessin terminé, il se présente à l'Association des journalistes et reçu par M. G.-M. Zandrino, il déploie en tremblant le rouleau qu'il a apporté. L'œuvre était superbe et le consortium autonome du port prend aussitôt à sa charge les frais d'édition des Canzoni, illustrés par l'adolescent.

Gabriele d'Annunzio, alors à Paris, l'appelle auprès de lui, lui procure du travail chez Dewambez et surtout le presse pour qu'il entreprenne aussitôt d'illustrer La Divine Comédie. Amos Nattini, épouvanté d'abord par la grandeur de la tâche, se met pourtant à la besogne. Sera-t-il prêt pour le sixième centenaire de Dante en 1921? Hélas! la guerre survient et c'est en 1920 seulement que le jeune artiste reprend son œuvre, résolu cette fois à y consacrer sa vie. a*,

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Il n'aurait pu certainement la mener à bien sans l'appui du Comité Dantesque, fondé à Gênes, par M. Rino Valdameri. Mais un concours sans bornes lui est acquis et c'est un. véritable monument qu'il pourra élever à la gloire de Dante. Son édition de La Divine Comédie comprendra trois volumes mesurant 81 centimètres de haut sur 65 de large. La reliure en veau, est travaillée et coloriée à la main et il a fallu pour chaque Volume employer la peau d'un animal entier. Le papier est de pur fil' fait à la main dans les papeteries Fabriano. On sait que ces fabriques sont les plus anciennes et les plus fameuses du monde et l'on attribue à l'air et à l'eau du petit pays où elles sont installées l'inégalable qualité de leur papier. Leur renommée s'est étendue jusqu'en Extrême-Orient, à telle enseigne que le Japon lui-même, qui à pourtant donné son nom au plus beau papier qui soit, leur commande ses billets de banque.

Le texte qui s'aligne sur ces pages d'ivoire n'est pas imprimé. Il a été dessiné, lettre par lettre, en caractères latins primitifs, par Amos Nattini, puis gravé à la main sur des planches de cuivre et tiré feuille par feuille d'après le même procédé que les eaux-fortes.

Les cent aquarelles qui illustreront l'ouvrage sont reproduites selon un nouveau mode d'impression chromatique, merveille de technique qui conserve à chacune des planches la finesse et la délicatesse de l'original.

Enfin le tirage est limité à mille exemplaires numérotés.

On connaît l'oeuvre tumultueuse et romantique de Gustave Doré tourbillons de flammes, torsades de fumée, arbres foudroyés et déracinés, rochers écroulés les aspects de la nature bouleversée, enfouie dans la pénombre et les ténèbres y sont plus effroyablcs encore que les tortures affreuses des désespérés, que le spectacle terrible de leurs souffrances éternelles. Dans les compositions de William Blake au contraire, l'homme domine le paysage les figures sont peu nombreuses, pensives, douloureuses, conçues et exécutées suivant un art classique. C'est par l'ardeur intime, a remarqué Ugo Ojetti, et par la solidité du dessin que Nattini lui ressemble. Les « images dantesques du peintre italien ont été exposées successivement dans toutes les villes d'Italie et elles ont soulevé une admiration unanime. L'exactitude, la précision et la puissance de son dessin ont surtout valu à Amos Nattini les louanges de la critique. « Vive Dieu s'est écrié Germano Caselli, il y a encore sur terre un artiste qui dessine Un artiste qui connaît la difficulté des raccourcis et qui la résout au lieu de l'esquiver au moyen de subterfuges charlatanesques un artiste qui amoncelle sur les rives de l'Achéron des centaines de corps nus et, parmi ces chairs corrompues, qui fait

gesse, à la résignation. Mais M. Passeur a voulu que ce retour d'Armance soit encore marqué d'ignominie. Lasse de son amant et aussi de tromper à son tour cet amant, elle revient chez son mari qui a farouchement gardé l'enfant, par vengeance, par calcul et aussi par attachement judicieux pour ce pauvre gosse qui aurait eu une vie bien bizarre avec une pareille mère. Donc, Armance, que son mari commence par chasser car il est prêt à divorcer et à épouser Yvette, la meilleure des cousines, venue par le retour des circonstances, vivre chez Armance après la ruine et la mort des autres ogres Armance pour reconquérir ses droits d'épouse et de mère, se « prostitue à son mari, jure d'être désormais une maîtresse incomparable, etc., etc. Ce pourquoi, Daniel enivré, oubliant tout, plein d'une nouvelle ardeur, lui ouvre derechef les bras. Et Armance pourra rester près de son fils ayant compris que ce fils est son seul amour. Tout cela qui aurait pu être dramatique et touchant, n'est que pleurnichard et mélodramatique, à la fois rudimentaire et assez déplaisant, mais d'un très bon dialogue scénique et cette pièce peut très bien séduire un gros public.

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M. Baumer a joué Daniel avec vigueur et adresse, Mlle Jane Chevrel, charmante au premier acte est ensuite écrasée par un rôle que n'aurait pu sauver aucune comédienne, même pas Valentine Teissier la belle Suzanne, même pas Simone, inoubliable Acheteuse et son talent si .intelligent, si adroit et d'une si âpre souplesse le reste de -l'interprétation est sans éclat» .exception faite pour Mlle Line Noro qui 'joue avec beaucoup de finesse le rôle de la cousine Yvette, déchirée par des sentiments contradictoires de haine et de bonté, de tendresse et de fureur, de sournoiserie et d'amour. Ce rôle est, le mieux venu de tous et il serait tout à fait réussi s'il nous laissait quelque chose à deviner et à comprendre. Mais, là encore, sévit la manie que M. Stève Passeur a de tout dire. Il est un sorcier qui se dépêche d'enlever le couvercle de ses marmites, afin de bien nous montrer les crapauds et les couleuvres qui composeront la soupe. Il se méfie tant de notre pauvre petite compréhension qu'il nous révèle tout, nous montre tout et si vite que cela coupe notre curiosité et par conséquent notre intérêt qui ne demande, je le lui affirme qu'à s'appliquer aux caractères, et non pas seulement aux événements et aux situations.

M. Stève Passeur qui aime les geôliers et les geôlières pourrait écrire l'histoire d'un jeune talent emprisonné par ses propres poncifs. Il faut qu'il s'en délivre.

Gérard d'Houville.

saillir les biceps et les thorax et poursuit le développement de son thème sans se dérober devant aucun obstacle. Pas un détail n'échappe à l'observatcur. »

S'élevant à un point de vue plus haut et élargissant le débat, les auteurs de nombreux articles ont posé cette question « Est-il possible d'illustrer la Divine Comédie ? Corrado Ricci, en résumant la discussion l'a, semble-t-il, mise au point « Ceux qui croient que d'une œuvre poétique on peut faire une illustration graphique, objective et sûre, sont victimes d'une singulière iillusion. La lecture des œuvres abstraites ne peut que projeter des visions différentes dans l'esprit des lecteurs. » « Ce qu'il faut chercher dans l'illustrateur d'un poète, c'est simplement un autre poète. Ceux qui croient faire un reproche à Amos Nattini d'avoir compris Dante à sa manière lui adressent au contraire un compliment, où, pour le moins, se bornent à reconnaître l'inévitable, car, en fait, tous les illusrtateurs qui l'ont précédé n'ont fait et pu faire autre chose qu'interpréter Dante à leur façon. » Ce qui compte, c'est que la vision artistique éveille des visions qui s'harmonisent spirituellement avec celles du poème et, en cela, l'œuvre de Nattini apparaît magnifique. A la différence des autres illustrateurs, il nous transporte dans un monde qui n'è'it jias'le nôtre, nous donne une impression de vie extraterrestre, nous ouvre des .'perspectives et nous procure une émotion qui nous amènent à dire « Voici un poète qui illustre un poète. » Pie XI a déclaré « C'est une œuvre vraiment michel-angesque que je bénis, car elle est une gloire et un honneur pour notre siècle. »

On ne saurait souhaiter plus bel éloge.

Jacques Patin.

Les manuscrits de Flaubert On peut dire que cette vente fait couler beaucoup d'encre. Nous sommes en mesure d'affirmer aujourd'hui qu'elle aura lieu à Antibes aux dates indiquées, soit les 28, 29 et 30 avril.

Nous avons reçu, en effet, une lettre de M" Albert Ozanne, notaire à Rouen, que nous ne pouvons mieux faire que de reproduire. La voici « J'ai reçu de Mme Franklin-Grout la mission impérative de faire réaliser tous ses biens sans exception, en vertu d'une disposition testamentaire formelle que je ne puis qu'exécuter.

» Mme Franklin-Grout a donné de son vivant, ou légué par testament, tous les manuscrits importants de Gustave Flaubert ceux de Madame Bovary et de Bouvard et Pécuchet, à la Bibliothèque de Rouen, ainsi que les notes et ébauches ayant trait à ces ouvrages ceux de Salammbô et -de La Tentation- de saint Antoine, à la Bibliothèque Nationale, ainsi que les notes et brouillons afférents à ce dernier ouvrage celui de L'Education sentimentale, au musée Carnavalet, avec les notes, carnets de voyages et autres de Gustave Flaubert et les souvenirs de Louise Colet. Enfin, elle a légué à un éminent homme de lettres les quarante-deux manuscrits de jeunesse, ainsi que presque tous les livres ayant composé la bibliothèque du grand écrivain. » Les manuscrits secondaires et les ébauches ou poésies qui restent à vendre doivent l'être en vertu de la volonté même de la testatrice. »

Voilà qui est net les bibliophiles, un instant inquiets, désolés ou hésitants, peuvent donc être complètement rassurés tout ce qui figure au catalogue sera vendu et cela constitue largement de quoi exciter leur convoitise.

Maurice Monda.

COURRIER DES LETTRES L'Académie Française en Belgique

L'Académie française sera reçue eh Belgique, le 14 juin. On doit célébrer, en effet, ce jour-là, à la fois le cinquantième anniversaire de la renaissance des lettres françaises en Belgique et le dixième anniversaire de la fondation de l'Académie belge de langue et de littérature françaises. Les fêtes organisées en son honneur auront lieu dans le parc de Mariemont. La Société des Gens de lettres et la. Société des auteurs ont aussi été invitées. Deux .membres de l'Académie flamande et deux membres de l'Académie royale de Bruxelles, ainsi que les ambassadeurs et ministres des pays dans lesquels la langue française est parlée assisteront à ces fêtes. Congrès international de Gens de Lettres Dans sa dernière séance, le comité de la Société: des Gens de Lettres, réuni sous la présidence de M. Gaston Rageot, a fixé définitivement le programme du premier Congrès international des associations professionnelles des gens de lettres, dont la France a pris l'initiative. ,i Les séances de cette manifestation, qui se dérour lera les 27, 28, 29 èt 30 mai, se tiendront à l'Hôtel de Massa. Les congressistes seront reçus par le président de la République, par le gouvernement, par le président du Conseil municipal et par le haut; Commissariat de l'Exposition coloniale.

L'objet de ce congrès est de permettre aux écrivains qui, dans tous les pays, se trouvent en pré-; sence des mêmes problèmes et des mêmes difficultés, de les discuter en commun et d'aboutir à la constitution d'une Fédération internationale des associations professionnelles des gens de lettres, qui sera chargée de résoudre ces problèmes et de défendre ces intérêts.-

Le Prix de la latinité

Ce prix, d'une valeur de 10.000 francs, décerné par l'Académie latine, a été attribué hier à M. Guido Stacchini pour son ouvrage Itinéraire galant à travers dix-sept nations, dont la traduction a été publiée par les Editions du Tambourin.

Le Prix Verhaeren ̃ -.1..̃“ :.̃̃ Le jury belge du prix'Verhaeren de poésie, fondé' par Mme Catulle Mendès, a choisi trois livres de vers Les Mains tendues, de M. Roger Bodart; Nou-'uelle composition lyrique, de M. Pierre Bourgeois; Collines que j'aimais, de M. Carlo Bronne. Il a, de plus, désigné à l'attention particulière du jury français, qui décide en dernier ressort, Le'. Genre épique, par M. Eric de Haulleville. Le vingt-septième déjeuner Stendhal

Le mardi 21 avril, le vingt-septième déjeuner Stendhal était donné en l'honneur d'une expositionfranco-italienne d'illustrations dantesques inaugurée le même jour aux Tuileries, et du manifeste des intellectuels latins présenté le 25 mars dernier à la Sorbonne.

• Etaient présents MM. Pierre de Nolhaè, de l'Académie française, et M. Jean Rivain, l'auteur du manifeste, président du comité de direction FranceItalie M. le comte Manzoni, ambassadeur d'Italie à Paris M. le baron Gaiffier d'Hestroy, ambas^sadeur de Belgique à Paris M. Alfred de Chlapowski, ambassadeur de Pologne à Paris M. Charles Dumont, ministre de la marine M. Henry, Bordeaux, de l'Académie fr-ançaise M. Maurice Croiset, de l'Académie des inscriptions et belleslettres, administrateur honoraire du Collège de France M. Louis Dumont Wilden, de l'Académie royale de langue et de littérature françaises de Belgique M. André Dezarrois, conservateur des Musées nationaux le commandeur, Gentile, consul. d'Italie à Paris M. Germain-Martin, député, ancien ministre, membre de l'Institut M. Albert Lebrun, sénateur, ancien ministre, président de la Caisse d'amortissement M. Louis Mill, ancien député, directeur du Temps M. Gaston Rageot, président de la Société des Gens de lettres le comte Solero del Borgo, président de la « Dante Alighieri » MM. Gabriel Boissy, rédacteur en chef de Comœdia; Abel Bonnard, Attilio Cattani, vice-consul d'Italie à Paris Jacques Ditte, Emile Henriot, Eugène Mar.san, vice-président du comité de direction France^ Italie Dimitri Merejkovsky, Albert Mostardi, secrétaire du Comité France-Italie Amos Nattini, Henri de Nolhac, général Renié, général Rivain, administrateur du Comité France-Italie MM. Rino Valdameri et Emirico Viomara, commissaires italiens de l'Institut national dantesque.

Au dessert, M. Pierre de Nolhac parle de l'exposition dantesque du peintre Amos Nattini M. Jean Rivain expose le sens profond et les suites prochaines du « Recours à l'Humanisme » qui a recueilli 600 signatures d'intellectuels latins dans tous les pays d'Europe. M. Valdameri associe l'Institut national dantesque à l'œuvre de collaboration dés intellectuels latins. M. le baron de Gaiffier, au nom du corps diplomatique présent, témoigné de l'importance qu'une profonde coopération francoitalienne doit avoir pour la défense en Europe d'un ordre latin.

La vie et l'oeuvre d'Edouard Pailleron

La Comédie-Française s'apprête à donner avec éclat une représentation exceptionnelle de Le Monde où. l'on s'ennuie, pour fêter le cinquantenaire de cette pièce célèbre d'Edouard Pailleron. A l'occasion de cette célébration, M. Lalia-Paternostro va faire paraitre un très beau livre sur la vie et l'œuvre d'Edouard Pailleron.

La vie et l'art de l'auteur encore si populaire après cinquante ans, sont étudiés profondément et amoureusement dans ce livre, qui est une œuvre d'analyse et de psychologie. A travers ces pages, faites de recherches et d'observation, revit la figure' de l'homme de lettres et du prestigieux causeur'; du créateur de tant de pièces qui ont marqué une époque dans l'histoire du théâtre du poète qui fit vibrer les cordes les plus sensibles du sentiment, sous une apparence d'ironie de l'homme du anonde simple, souriant, caustique, dont la conversation charmait par sa riche vitalité et sa finesse spirituelle de l'observateur profond et compatissant de la vie de celui, enfin, qui dans sa vie privée fut toujours un artiste plein de verve et de fantaisie. En l'honneur de Tourguenev

Un comité Tourguenev s'est formé en vite 'du prochain cinquantenaire de la mort du grand écrivain russe qui demeura les dernières vingt années de sa vie à Paris et à Bougival (ou il est mort)." Ce comité, sous la présidence de Mlle Jeanne Tourguenev, inaugure son action par une soirée littéraire et artistique, le 29 avril, à 9 heures,, salle Hoche. André Maurois y parlera de Tourguenev E. Semenoff fera une conférence sur Tourguenev, auteur dramatique des scènes des pièces de Tourgnenev et d'une pièce inédite de sa petite-fille ` Jeanne Tourguenev et de M. Razavet seront présentées par MM. Chamarat, Jean Saboureau, Mmes Cahuzac, Massiliane, etc.; des poèmes. et ballades seront exécutés (musique inédite de Charles Lévadé et de Léon Moreau), par Mmes Yvonne Courso (de l'Opéra), G. du Mesnil, etc. Une Conférence du professeur J.-L. Faure Le professeur Jean-Louis Faure a fait à l'amphithéâtre de la Faculté de nrédecine de Belgrade une conférence sur la lutte contre cancer. La reine Marie de Yougoslavie, la princesse Olga et la princesse Marina ont honoré de leur présence j la conférence <pà & été soiyi3 par un nombreux public. ̃̃ Les Alguazils.


« distinguo des autres rhums par son moelleux. sa! douceur naturelle et la délicatesse de eon arôme.;

COURRIER JEJ.A BOURSE 23 avril.

La séance d'aujourd'hui est un peu meilleure que les précédentes. Après un début encore maussade, un raffermissement progressif de la cote a pu se dessiner sans provoquer de nouvelles offres. De ce fait, la physionomie du marché s'est sensiblement rassérénée. En raison des bas prix pratiqués hier, quelques ordres d'achat étaient parvenus aujourd'hui aux intermédiaires. Des rachats de vendeurs à découvert se sont produits par la suite, de sorte que la clôture s'est effectuée aux plus hauts cours de la journée. JEt ce sont naturellement les valeurs les plus attaquées ces jours derniers qui ont donné le signal de la reprise Banque de France, Rio et Royal Dateh en tète.

Clôture en bonne tendance sur les marchés européens.

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Nos Rentes gagnent quelques centimes.

Les fonds ottomans perdent encore du terrain Unifié, 44 70.

Fermeté des établissements de ̃crédit Banque de France, 18.000 Banque de Paris, 2.290 Lyonnais, 2.460 Union Parisienne, 1.315 Comptoir d'Escompte, 1.619 Mobilier, 678 Financiere Française et Coloniale, 445 Foncier Egyptien, 3.405.

Suez calme à 14.525.

Le Métro accentue ses progrès récenfs à 1.371.

Reprise du groupa- électrique Distribution, 2.315 ï.Lièoral, 1.308 Çère, 557. f » Redressement du Rio à 2.8oO (+̃75).. ̃ ̃

L Charbonnages soutenus.

V Produits chimiques fermes Pé-

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85..Compagnie A)Bér)ennt.8t0..)87~0b!)9at)on<6_e1927.°.. 525 Do.uen.l5102, 138.. 133.. 37.. Cr~d: Fonc.d'AlgériO-Tu,n,is, ie, 794 ta Ligny-les-Aires.1. 25; 240.. 2th..Chartered. 216.. 158 Portugais. ~.)44~

SO..C.mpt.irLyon-Ai.~nd.M5..H7..PTT.5~928_àSO~M5. ~ië:: 40 Cridit Foncier 95.. 18.¡L,gny.les.A,re. 255.. 240.. 2 .h.. Chor-te~ed. 106 50 M50Rus.e)906.

18 ^^i; &^f?l^p;e ,g [L- l||f^l| %^z £^r^ ]»:: »:: = = &S&&~ *«:: iï:: S;:±:t: ^§::«i: S:: SS^lgS:

60 Crédit Commercial de Franco 1170 1165 Bons 4~%19a9rè500..K4. Pr~r.t~ 272 55 c.!c.p~4)U..4)0.. 40..M~r! 838.. 825..M~i..ConMrdi. M.. 6225 1909. 'J. 'J,

60 ..Crédit Commercial de Fr.nee.l70 ..165 Bon. du Trésor S 924. 749.. 748 X Tabees du Portugal <̃"̃̃̃ PrOvinoeVi25 fr. 75 O.irioourt 1800 1800 Corocoro Turc 4 9 1/2912

180.. Foncier de France 5140..5173.. 7 |26. 576 ̃̃ S" ̃• 55 Soc G1' Al^cienne de Banque. 1240 1240 23/ 50 Algérie-Tunieio COmnlum). 3525 3b00 Chartered 25/6.. 25/7 K

1750 Foncier de flndo-Chine 271 .270 jVi»" 441 440 OBLIGATIONS 55 Soo été Marseillaise. 974.. 974.. 56 lO^ôléo, parts 365.. 365.. 6 »h.6 .Crown Mine. S36 -518 Ea.t Rend 12, ;I2. Y.

100.. Lyonnais 2480 2460 Oblig. Ch. fer Etat 4% 1912-14. 441.. 440.. OE3LIGATIONS 65 Foncière Nord de Fr.nc." t. p. 370.. 370.. 297 Bor <Mlne. d.>, ord 2950 2870 De Beers ordinaire 536.. 536 Goldfields 25/7 26/3

)00.. Lyonnais. 655 2460 ..OMi,.Ch.f.rEtat4%)~)4. 485 440.. 65 .Fon~.Nol-dd~Fr.nc.t.p. 370 370, 297 Bar (Mines de), ord 2950.. 2870 De Beers ordinaire 536 536 ..6. 25_7~ 26~

40.. Mobilier Français 685.. 678 ||'|- jj toi 15 18713% «6- 409 45 Immobilière des Voitures 415.. 412.. 315 Mokta-el-Hadid..=t.d, 600fr. 4750 ,r 4700. 20 .h.. préférence 963.. 9S8 Rand Mme. 60/ 58/9

Soc. Fjnanc. franc, et colon. 440 ..445 Ob ifl- decennele. 1922-32. -•• .AJJi ,nil 24q A 510.. 510.. -r Crédit Gén. des Pétroles, p»rt. 1490 1400 East Rand ».. 74 50 De Beers 4 i 8. 414

45 ..Société Générale 1470 1475 C.i. autonome 4 1/2 ̃ 1041 O4> 875 4/0 |" 70 Lille-Bonnières, ord.̃. 958 940.Equateur 42 43 Jagersfontem 118 II/. 6

42 Rente Foncière 820.. 816 Afrique Occident. Frane. 3 ""U 4X) 1876 4 /»••̃• «ï ai-V Af-Tiow=î iNntlSTiWFblJES Pétrol.s..part. 1490 15 Estrella» Mining 147.. 144 50 Rio Tinto 221/4 22 3/4 ,i- «;- Z;- Z"ndofM^fB: 1 ici Bl§^= i;; indus^s ̃; w::=^œ «.«, -o-

667 01 14525.. 14525.. -3112%1913. 464.. Cr 18982 338,: 33., 120 Clynemite (Saclit -6 -Centrale). 830". 830.. n0 P610 231.. 242..Mex'canEagl.7.I6 116~19 112.

^^lu:tVè>,nd;f:: f::K^ 190¡¡'1905. 86.: 506- 18982 %408.: 4n. ,2O .o.ynamite (&cliU.'Centrale). 247'; 2425. "'IFrmOO'P61~~j,¡"ë."p~tro..¡: 58 '37 ,?OROY¡¡-'i9luiCh~~< .5. 2 3i4.. 2~3~4.. 1

737 47 SU'Z (p~rt da .fond~teur~ "1331,0.. 13500.. Maroo 4.(y 1914. 521 506.. a. 1899 2 %Mét f",}90, ~89. ..35~, ..I,q.¡"eo,"n, Ouest jouit 6.9. ~¡9~ ,70 lEnorai6 No~o MU,el !36, \1 1335.. 1 eh3 w!' o<,¡~"1n~1t ,o'H" 350 ¡¡¡ J5i; !3h' ¡; t'Pt~, .J 2 314.. 2,3,4..

261, IJOSU8Z (c,v,le)(c,nqulalÇl'h,'a,,4IQO 1056 Tunis 5/01918. 521 521.. w905 2314 Met, 10.. 410.. 2T. Ouest JOUI8 4W 559 li~ ~7,2lKali Nova 2640 120.. 6 .h.3 Gea Id. 120 116 d Nofot'h Oil 1 'l.. il

^80I^=?- g:: |t^I| îî! *g- BïMwEïlS:: S:: = ?ïïï±ffl»: f 'Sîî^K^œô^ ^iï^Z^ ISg.-l !o0=, f

85.. Lyan. 1555.. 1555.. 1~102314% Mét. 359.. 360.. 45. Tunisiep. 797.. 791.. 50 Matière. Color. St-D.nis. b92 892.. 3 .h..Goldfi.ld.. con.olidatad. 15650: 15'1.. V.ne.uelan Oil. 1 3/8. 1 3/8..

85 Lyon ..1555.. 629 œ |Ss% 363.. 360.. 20 Parisienne ind. Électrique 476;, ,-478 50 ..Rhône-Poulenc 850 910 1 sh.6 Gula-Kalumpong «525 6I..Anaconda 6/261/8..

.g *5Sifïi: »]g ig c=lrt SïîiT|^|yiSio:: g:: |g 1912 | »:: S::MsrSïïïi:K:îp5:: !SSfc:,5»a^i::gS:: »•«- ̃̃ .»..»“ aï^?:=:: ï if

72-50Orlé– Z Z" s|l!l^: l^i-^ oW-^ig»^ ».. 328.. «'«xfa^^W:® ^H^r Artif-ielle<X:: SïSXs; JS||KiTr^œn°iil5-

n',50,orléan'11340 13-10.. Bons 6 1921. 553 573. 1919 5 ~o '500 500.. 85.. Eaux (Comp, Genérele de.) 1740 "I,I~39.. 143 7~,Saint'Gobain. Chauny. 3070.131,35.. 90.. Hotohk'a. ,1520 78 1506 79 Maro"ni.¡19 1819

I5O..S.nU-FéCC"fr.Ch. fer Prov.) ?00 920 6 922 553 553 923 6 ç.. M /UU Eaux eloct. Indo Chioe. 90 09 Soie art. d'Izieux. 1560..1565.. 40 Huilée de Pétrol 379.. 37050 •_

45.. Métropolitain de Paris 135.~ .1371.. 6 J.nv.192:3.. 565.. 564 50 19246 %542.. 540.. 90 09 Soie art. d Iz,oux"jl560 1565.. 40.. Huiles de Pétrole 379.. 370 50

45 ..Métropolitain de Paris.; 353.. 3/1.. |«J"19«" |g |g i M9 4 1?2 1028 1022 135 Air comprimé. 4785 ..4785.. 80 Salins du Midi '?8°- Hydro-Elec. Cène 541 557 Escompte hor. ban, 29 6 2 9/6

S LTet^rrcLVô^ | § = *n, Mï&™v. î» » 566 [ {535 «'& ut '002 g-ïïïïî.ïï^îïî: ̃» ™ "S » SEîiu-2aSirJnV. «• 2^ 3*" ^a^r: M. | ^,v:i^i: ÙV kk

75 Dirtr. et Éolairoge(Lyonnai.e), ité 2295 Z31 3 oblig. 6 1924. 565 50 566 19304010 Lote.111002. Sourguignonna E~ergie ~12 ..1209.. 800.. 13 Chargeurs Rosario:¡'I'23800.¡Jagersfontein' 126 50 165 Prêts 1 29 2. 33

S»Êl^^3L'^S^r.lîîl:o*»rt.AlM.7ïj«6.. /c^,a7.s«oX ™- g:: ^^g– ii; ilol: îl ïssS'Sîll" iS:; 756:: '«^K.1: ̃ '£$ |.ô^:w.k: = ,^|,T| 37 50 Electricité «tG« du Nord. 948.. 946.. 7 927.. 644 .644 Fone. 879 3 4– ;;• ""jl^ je Strasbourg 2055 2OÔ0 35 Transports Maritime 473 47U London Tin ord 72 50 U 50 Valp.rai.o 39 95 39 95

65 ..IE,ectricit,; <C"6énéra)ed' 2700 2710.. 6 1926.. i030 1030 Com. 1880 3 520.. 521 100 ..II ElectricÍtÓ de Strasbourg. 2055 lQSO 35..¡Transports Maritimes. 473 470. L.ondon Tin ord 42.. 42 ~O Valparai.o. 1 39 95' 39 95,

S::IM^IS^™"S:: -r^tfl::l: :i "nJlii£: S" 3S" ^SElHr.7.-u-fi^rr.i.Sg:: 8.BMlrtiB. ™»..776o.. s-t»:.1. ?g" igjKr^Su^-o-»^??^

40 Enorgie Enorgie Littoral Electr. Nord Méditerra Franc 925 925.. do Meurt,'e¡; 6 515.. 516.. « 1885_2060 423 ''1418., 37 50 Encrois du Maroc "1"" 28M 3 25 ..¡Bénédiotin. "7700.. 7760.. 28.. 50 215;, Argent métal (comptant) 13. .(.. 135110

40.. Energie Electr. Nord France. 925 .925 de Meurt.-e -M 6 515.. 518.. < 885 26 O A w Energ.e Maroc c 455 Brasserie Ouilmès 5850..5840.. 2 .h.. Main Reef Consolidated 37 50 38 50 Cuivre (comptant) 42 5/6.42 7/16

30.. Thomaon-Hou.ton. 601.. S98.. du Nord 6 1921. 569.. 568.. LL 1892260 420.'1 4~O 50 .Faro.. Motrices du RMno"2105 2Iu5.. 125 .D,stoller,a Cusen,or. 2435.. 2430. Malacca, ord. 102.. 100 50

l::?^»; | = ^^r||,g3: | £ l^o% «.«; 2-ô^r^&:&:S:: g::gœ:î^a^îîS::1S8:: :.v5pp.f== '§:: 'S£ .w, S:1^ S" g- z |%îl|| ». c-mo.|S8ox «.. «.. ^t^d^^™ t lïsî^ »:: 245:: i!!ÎKîSX%tt^i2S::iw::c-.«8^ ..«. nn

135 Dives. 211? 2135.. Somme 5 Ys 1923.. 527.. 525.. Ir Fono. 1903 S 0/o 453 ..1 460 33 331 (part)¡2845 ..2720.. 16 25 Grand. Moul. de Corbeil. ord. 248.. 245.. 50.. Miche 1in (pa.H. 1215 1234 Cuit Money o. m. 112 1 1!2

135..Dives.. 2115 -.2135 Somme S Yt 1923.. 527.. 525 ..g Fono. 1903 3 A ™| 447 37 50 de la Vienne 96? ..I 910 130 Nossi-Bé 1330 ..1390.. 50 Moteur. Gnome. 461.. 462 Cibles transfers 48o 25 486 31

45..For,* Aciéries du Nord et Est 643 .654 _c0/ 524 524 5 \î™' )% l 233 233 50 49 41 41 (part) 3245 ..13075 20 Sucreries Brésiliennes 306.. 309.. 50.. MOlour. Gnome. 461.. Change sur Pans vU/e 391 39 1/8

115 ..Tréfilerle» et Lam. du Havre. 632 648 Ville d'Albert 6%. W s!"Z|r lus!? 242 241 Sucreries Coloniales 130.. 139 Mozambique 43 25 43 50 u. S. Liberty 3 1/2 101 3,4

50 Courri.res 1075 1070 Ville de Reims 6 5J 5 4.. O j Corn- || | 41 'M 475 477 W |25 ,ndo chinoi86 d'Electricité .2350 2295 250 Ciment. Français 4750 ..4790. M'Z.ïta. ̃ « » 81 25 Atohinson Topek. 166 165 12

24 Len. 778 •• 787 Ville de Verdun 6 i\i 2 ?" ^1 .S.l ? v «q 499 4, h\ [t 1 n i«tnih,,tion 1300 1305 45 du Boulonnais 725.. 75.. 10 Navia"" de l'Afrique du Nord 175.. 170 Baltimore et Ohio 63.. 60. 41 50 vîoo%n. et Nceux ̃ ?31 927 Asturi,nneS des Mine. 5 2 512 _l 9,3 4% 499 499 36 25 M.rp«m. a.tnbul.on UUO l| « du Boulonna^ ^j (C,outchoucs) 223 ZB 50 Can.dl.n Pacific 35 j/2 35 1/2 20..Boléo* •••• '3? ̃' W ..Ateliers Construct.Jeumont.. 5U. Corn. 922 6 n t. p ><>̃̃ ff--< a Nant.i» d éclairage 526.. 528.. 45.. d'Origny 5100 ,.5300.. 40 Php.phat.s Constantin. 493.. 491 Chesapeake & Ohio 38 4 38 3 4

45 Penarroya 397 401 C" d'Energie El.otr.qu. 516 5U 1923 6A> 3U 3., 4U j'En.rfli. Elaotr.: 2200 2150 689 51 pert 12050.. 12 50.. 20 Phosphates Tunisiens. 222 220 ..Chicago MHwaukee C 5 18 5 18

Platine 280.. 40) C" d-Energ.. Èt.etr.qu. 509.. 509 a: Em~r.1926 7 747 746 7Pyrénéenne ~En.rBirE~tr.: 2200 2)50 689 10 Financière des -part Ciments 1205,0.. 12150.. 20 Ph.aph.t~Tun! 222 220 Chicago M~w.uk..C. 5 ) 6 5 ) 6

.Platine ?30 370 EBl,se. devaStées. 3W XW Empr 192b //o. 6I5.6|7.. 15 Radio-Electrique ..f. 185.. 185.. 10 ..Financière des Ciments ,ii-U7- Plak.lnltz. « 75 .48 50 Chicago Rock Island « J « ;(;

Crédit Gén. des Pétroles 246 243 Grosse Métallurgie 6 /o S> 5 1> Ol Corn. 1927 » 6" 617 617 35 ..i Radio France 472.. 475.. 100 Poliet & Chag.son 2310 2293 Randfontein. 134 50 134 Ene Ra.lroad. 24 3 4 24 12 Dabrowa (Pétroles) 27 50.27 50 6 °/o nouvelles i\j •̃ ̃̃ 1 Corn. 193O 4 .0 •• g Kaa o "anc° 26g 285 tOO Chau son 19500.. 19700.. 5 »b.. Rand Mines 367.. 371 Illinois Central 56. 58. 25 BÔzeT-MaléTra «I.. 444 Cail Fives-Lilles 6 512.. 5 3. Corn. 1931 4 ,0 10U..1012.. 25 R^'°-M^time ] 425 » Bon Marché 620.. 620 Roum.no-Belg, de Pétrole. 1650 17 Louisville-Ncshville S^ô.^li

«..Kuhlmann |76 576 Industrie Sucrier. Français. 515.. 6 Alsaoe-L.rrain. 6 0 (Ch.d.f.) •• ^y 269 4 .rd. 6900 H* 250 Chap .Shansi.: 37 25 36 Pennsylvanie 541/2 55 1/8 35 Gafsa ̃ 562.. 556 ndustriols Alsaciens 1922 i\i" "*••• °ff sftR ^71 in -r ̃ fs[ap 760 790 11 Galeries Lofavette 143.. 4 5 «h.. Shell. 147.. 353..Reading 691/2 69. 90::Produ;t'sVnm.d-Ai.i..Frogesi9W.. 1995 Maison Brégu.t 6% 513.. 368.. 37 40 Téléphones.. 780 «« ̃• n ^|S^,es Lafayett, ,?5000_ {om) _# £,• 31 25 32 50 Southern.R.iiway 361/4365/8.

30 Charoeurs Réunis 430.. 436 Mines de Lens 6 1922 503.. 5 U 0/ A9Î 492,, 43 Sa'printemp. ord.T 595.. 597 Steaua Française- 136.. 151 Southern Pacific i Si 1/2 87 3/4

50 ̃' Transatlantique ord 453.. 466 Saint-Gobain. Chaur, 52.. \\> b_ %[ .] 452. 452.. iS *l"01Bn"? 'ndu8tnell° Te"tll<!4 724Î' 'Ô6Ô' » R f 250.. 250.. 6 (, ?anSanyika '62.. 162 Union Pacifio 161 .161.

50.. Voiture* à Paris ord. 453.. 466 Usines sinistrées 6 1/2 o. 512.. 5b," -4 3 ~~l*e"lnéie**n*n"e*»*: 452 1452 100 Doilfus-Nlicg 7245 (M 4356¡prontemps, ord'I,595 597.¡s,teaue Fran,ço..e. .136., 151 Southorn pecific, 161 873/4

62 50 Voîture.% Paris 1C0O !020 Usines sinistrées 6 1/2 5,3 510 407 ..j 406°Z^Zm««H^ 110 V. \m V. | Y. ^^H^ jgO 1420 TavÔ^y Ti ? ̃̃ 25-75 Abonda CoPPer 29 5/«| 30 ».bAlrt,,u.d. »«.. 9«..AMrie3%,902 463 *1 2 "2 389 25 industrie t«ti,e.> 520.. 930 90.. Didot^oUin •••̃ |™ &=: Y. Y. Ï^Y:.YY.Y.Y. 164 \\i $ ±

'1 Caoutchouca Indo'Ch.n. 152.. 155.. Indo-ChlO,a 1899.1905. ,95 372 L 3% 1855 393 390 .Le La 5 h-3 Tharais. 131 355.. Amer'can Telephoro. ,11841/21184 .1.

7 ..Caoutchouc. Indo-Chine 152 155 Indo-Chine '|9|90S 0f ff2 Lyon 3% 1855 393 390 30 Electro-Métal. 1250 1250 '225 C.haix 5655 5625 I .h.3 Trsnav.ol Consolidated Lana. 131 128 Am.rloan Car « F. i 3 3/4 20 1/2 f2

40 ..Citroen, B «' -• bfn T 0/ ÏÏZoïëâi 419 «0 6 â 1S Aciéries de France. • H0 Librairie Hachette 1910 |906" Tubes et F. de Sosnow.ce ̃̃ 88 8? 50 British American- Tobacco. 19.3 4 20

r,,if,,™s Trooicales 31 30 Tunis 3 /o 1902-190/ "j'» •• 7'" •• c 479 480 en «̃•'̃" 1095 |dS<J tte ..i 1910 P ̃̃ Tub ze pr v 244 Z4S U- S. Leatner 7 5/6 67/3

lÔ'Ford.T".?! 2!2.. 213 ..Tunisie 3 j'2% 1903 510.. 510.. 457 45/ S0,. LpnBwy. 2M" Z60" 125 Afrqu. Occidental. (C"). 2350 2325' 206 b. Haut Kat.ng. priv. ;V. 2745. 2780 e,n.r, El.ctriç, 42, 43 1/8.

10.. Ford. 2.2.. 213.. Tun,e avp 70 1903. 510.. 510.. 4% 457 451.. E.O. L~n~wy. 1(,'95.. IZ60 125 Afr'que Occidentale (C") 2350 2325' 2t~6 Haut Katanga priv 244.. 24~ U, ,S.L.atner. 7 6 118

.pâthé-CWmagouiss.) J27.. 126.. 6 ,1928 3 Fusion anc ̃•' 150 Z de S imb' t&»™ 2575 2560 83 10 A^r Liquide (parts)' 3695 3950 300 b -̃' cap. 3&0 33» Bethiehem'St.el -V^

Pathé Cinéma (cep.) 146.. 144.. ̃ 3 Fusion nouv 389.. 388.. 40 » rh.niii».« Loi™ 542 540 60. Beroouqnan .• 852.. 850.. 300 b. div 3203 3285 u. S. Steel Common 1261/2 1271/8

5 Peugeot.?:. 3M. 306.. Allemagne 1924(Dawes)10OL 12755.. 12750 375.. 37550 « At_& Chantiers «e ££" .gf ̃# 60 Sfra^ Frayai. 1120 ..1140.. 5 .h. 6 Union Corporation.. 358.. 355 Roy,i Dutch 29 7/8 31 .(.

100 Raffineries et 'Süe.r.e.r.i.e.s. Say.. 1700 1 1096 Angleterre 2 li~2 70.1 2u 28j,l) 5 1921 484.. 484.. 80.. Con.t, Nord et> la Franco, ,055.. 1060.. 80.. Cirages Français 1120 1140. Oh-6 Union Corporation 358.. 355 Royal Dutch 29 7/8 31

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100 Union Européenne 5,01909.2190.. 2190. 37Z 25.. Chantiers de S.'nt.iII'c~olre. 558.. 552.. 40.. Colon,CGenoral. dea). 8;¡Q. &11.. 150 V.rm'nk. ]2,25 7150. 2707

..CRow^-r- 3Ç5 3900. \if ggli «6.. 'g- .•îS::1Sso:: !°g c^ du n^ m b. vi^^n^g ft .g ̃̃

Rù¡' C an'solldé 1" et 2" sêrre. 3 C5 3 Selgiqu. 2' l89s-l9o5 Il* a. 44 10 44 75 M' d' 13 6 r' 517 516 115 ..1 Châti lIon'Comm.ntry.: 3900 3B05.. 100 ..¡CDnsortiU"1 du part. 705.. 678.. 150 b.IV iit,i Ii. Montagne. 1360 1381 T,tres tra,te. ,000

5 %1906 3 55 3 55 1!2 '11~95-1905 1" a. 57 70 5? 65 ~'6 °f' 497 495:: 15.. D.cauvill. 3Od.. 310.. 180.. part. 2200 214; Villemagne. 1 49 50 46 75 =. -=.=,=

:rH,6*V»««.«K .J^5 L^^léF923 5^! 525 = SJ: | S:: S:: I^^dettn^ *ÏÏS:: «.c^^cwu, «.:».. "|ffl:\3:«y |:è ̃̃ changes Turc Unifié ^SBresll*S89": ♦% 447.. 448.. 38 57 _8 (dixième p.rt). 365 37! Cultures tropicales 700 West R.nd 69 25 68 50 CHANGES' ,«,

5% 1914 50 35 EC 5 Fundina 70. ..1 38 57 (dixio!T'e part). 365.. 37i Cultures tropicale. 700. We.t Rond. 6925 b8 Londres. '2426 )2432

"Ba^l^ë-dù-^iqu;: 302.. Ie0 ^fiiï£ m=: «» Nord 6,6érîe F «.. «.. S::?î^IIXBii;HUik:ïi;i.IS:: S ^^ïïlï^ «::«:: ^.voV. || |

5sh. OttO"1one. 740 695..Bu!s-r..5~)896, -.s%~r!eE. 49) ..49' 40 Marine et Hornêc. 840 824 80..B.eAu.r.37).. At~egne. 609 23 2557

ï, cr^ F=aEgVpt^3| 3 |Bu^I^T^7: a* «:: = lLt;:D: f §::̃ ^5oZont.M™Hr.m.ér: S?:: S:: S-gr^i- COMPTANT ^=ee. «ïî 10 Canadian.Pacific ^2 n 490 499 3 anci.nn 413.. 409.» 70 (part.) 2050 ..2000.. 450 Tabac du Maroc 7600 7595 COMPTANT Belgique (1OO b.lgas) 355 75

2Ob.Wanon.-Lit.ord,304, 304..Ch,no4~O,rlS95. 499.. 499.. 2 1/2 série C.1 '94 ,8770 Méditerranoe F 20 776 5 0 740 4,0..TobacduMero.7ffXJ..h9)." Brésil 35575

ë~r~ 006 935 50 9 710 740 ,0 seroe 488:: 50 M'dl (F Ch) 776 7AI> .0 U' C 1'1 d Ch" '289 280 e30.. 830

S^oT.Tm1^| f if if- I:: i:: = ^Sï: 4^ | «..m^ch. 776.. 740.. 30.0^. 2 ». », « go. «a ,5550

15 L. R~nt- 227.. 226 5 1903. 210.. 3% 1921' 374 375 50 r-C~.r: i626 .666 ¡ 1195 7~ 60.. 830.. 830.. Espasne. 2562) 25550

2O.h Azote Tinto. 1365 13M Congo obi. 4 1908. 1635..163, Bons décennaux 6 547 546 50 .Forges Mat. Ch. de fer 1-620 i~~ £0.19.4ll..end Foncier Fr.n».*o'~4*n* 1195..1194.. 80 e;.eladi; 1045"'11045'" Gré.a. 1027 50 133 95

"Jïï %%X^y.yy:yy: "| '| ÏZ^^yyyyy | | o--|r. r. | | ;sg ^0^ 'i t: far9" 'S "S «g-K^A- 2| p;r: S ?!

S.h.Orient.1 Carpat. 283.. 285.. Priv,.lég' 3.7 5% 492..492., 1 Lorraine Mir," 8<Mitall.~50p.. 8p. 5O'Sorago..e. 830 775.. 17 50 Omniurn 110. Norvêga, 684..

»t-?Wwc«^ ^S- :• 7 •• = Hyyyyyyyy: Z Z y, » •̃ K^î--1:! 1:™°" FrJ" -ï$ g.0.twî^ «ô 7% 645 Yt^^Ror:^YY:YY:YY.M^]o°:YYYYY »» Sa W^O: (dixfemés). 2410 ..2450 Haïti | .1910 ?< •• W 3 «9 «5 fc « -S J™ 20 5 ^S -iô'i: I ;S~CS^' ToH Y. 3550 3525 537 50 Vi.cc. fr.nçai.e. 8300 ..8200 Rou'man 32 oB.Portuguesa de Tabacos. 252 Z49 Italie 3 1/2 «. 410 408 100 ..ICr.usot 11685 ..11690 jSuo. Raf. d'Egypte (parte). 470 776.. part 9100 .9300 Suéde 685 25 fi'fcJ&^WÏ'w.ÏÏ'.H! 464- 21/2% 373:; esi-iienënÔ-Maûbeug !23O5 JziM 15 x.su.doi.a Allum.ti 1585. 1630. J75 .ul«. 4650 ..J4655- 8uU. 493 ..J

chiney, 1.995 Air Liquide, 960 Azote, 1.384.

Avance des métallurgiques Dives, 2.135 Tréfileries du Havre, 1.848.

Aciéries de Longwy, 1.089. Faute de quorum, l'assemblée, qui devait autoriser l'augmentation du capital, est reportée au îl mai.

Rachats en pétrolifères Royal Dutch, 2.450 Shell, 353.

Sud-africaines mieux.

Central Mining, 935 (+ 29). Caoutchoutières en reprise Padatiçf, 230 Terres Rouges, 165. Au comptant, la Suédoise des Aflumettes s'améliore à 1.630. Le bénéfice net de l'exercice 1930 atteint le chiffre de 57 millions de couronnes contre 54 millions en 1929. INFORMATIONS FINANCIERES CKEDIT LYONNAIS. Les actionnaires du Crédit Lyonnais se sont réunis en assemblée générale ordinaire à Lyon, le 22 avril 1931, sous la présidence du baron Brincard, président du conseil d'administration.

Toutes les résolutions proposées par le conseil d'administration ont été adoptées à Tunaniniité.

Le dividerice a été fixé à 100 francs par action A et 33 fr. 33 par action B. MM. Alfred Brouty et Charles Gillet, administrateurs sortants, ont été réélus. MM. Fofquenot.de la; Fortelle, P. de Grétry, Georges Tresca et le comte Baguenault de Puchcsse ont été nommés commissaires pour un an.

BANQUE DE FRANCE. Situation hebdomadaire du 10 au 17 avril 1931. ACTIP

En milliers de francs

Encaisse-or (moii-

naies et lingots) 56. 098. 39a 9.004 Comptes courants

postaux 536.657 8a.844 Disponibil. à vue

là l'étranger. C. 905.026 ,6.7:0 Avances s' lingots

et monnaies d'or Effets de com-

merce escomptés 0.488.0-9 ~f- as. 214 Effets négociables

achetés en France 7i-i»J 29.893 Effets nég. ache-

tés à l'étranger jg.3j3.o47 ̃+̃ i.?5o Avances s' titres. 2.8S5.3a3 41.432 Bons négoc. de la

Caisse autono- me d'amortiss,. 5.0S2.390 » Prêts s* intérêts

à l'Etat. 3.200.000 » Divers. 2:5jg.a36 65.155 PASSIF

Capital de la Ban- 183. 5oo »

que. t8~.5o0

Bénéfices en ad-

dition au capital 272.690 » Billets au porteur

en circulation. 77-791-0"' 916.434 Compte cour. du

Trésor public.. a.346.3j3 20. 6S- Compte cour. de

la Caisse auto-

nome d'amort. 9.006. :59 + 289.181 Comptes cour. et

compte ̃ de dé-

pôts de fonds.. Ii.i38.o8g + 344.861 Dispositions et

autres engage-

ments à vue. 354.488 6.7so Divers. 2.1^.896 + 112.766 Couverture des engagements à vue Montant des engagements 100.636.178.542

à vue 100.636.~8.5~

Proportion de l'encaisse-

or aux engagem. à ne. 00,74 0/0

Cérémonies, Fêtes et Réunions Une exposition régionale, organisée par Je Syndicat d'initiative de ila Vallée de Montmorency, se tiendra à Enghien-les-Bains, du 25 avril au 3 mai. Elle comprendra plusieurs sections tourisme, béauXj-arts, horticulture, avj%nltu,ï:.cç, commeèÇe et industrie. Des ceij'tfiin^s d'industriels et. associations de Paris ^ct départeniénfâ limitrophes participeront.

L'exposition sera inaugurée le 25 avril, à 17 h. 30, par M. Cathala, soussecrétaire d'Etftt à l'intérieur.

Nord Pa»-de-Calais 1922 ;;••• l\j ̃ c ikqAjl p'f 6900 6825 250 Chaoal 3200 ..3160.. de Pétroie. 1650 New York Central 991/21003/4

LES t1Ee//?ts & PARIS

L'heure du Déjeuner

et du Dîner

BORRAS, Glacier, 1, Fg-Montmartre. Tél. 1. Prov. 89-42. Spécial, espagnoles Riz Valencienne, œufs à l'Andalouse. A LA COQUILLE, 6, rue du Débarcadère, près la porte Maillot. Ses poissons et ses crustacés. Cuisine comme chez soi. i

CHEZ FRANCIS, 7, place de l'Aima. GrillRoom agréable où l'on1 est accoutumé d'aller en sortant du Théâtre des Champs-Elysées ou avaiit de s'y rendre. LES GASTRONOMES, 10,' r. Port-Mahon (Opéra), rendez-vous des gourmets. IRAN, 7, rue de Ponthieu. Lunchs. LAPEROUSE, 51, Quai des Grands-Augustins. Tél. Gobelins 18-23. La n.aison des gourmets. Cave digne de la cuisine.

LA MAISONNETTE DES COMEDIENS RUSSES, 36, rue Vivienne. Centr. 73-57. Au dîner, grand programme musical et vocal avec Raphaël.

LA POULARDE, 5, rue Saint-Marc. Tél. t Louvre 52-33. Les plus exquises spécialités lyonnaises.

VIKING, 29, rue Vavin. Rôti de renne. Poules de neige, etc. Menu unique à Paris. Soirées dansantes.

L'Heure du Thé

CLARIDGE'S, 74, avenue des ChampsElysées. Orchestre symphonique. Etablissement DONATY, 66, avenue des Ternes. Glacier, pâtissier, confiseur. Les meilleures glaces de Paris. Commandes Pereire 06-99. Salon de Thé 'Carnot 31-34 et 35.

IRAN, 7, rue de Ponthieu (Rond-Point Ch.-Elysées, glacier. Spécialités viennoises.

MEDOVA TEA ROOM, 3, rue de l'Echelle. Centr. 05-23. Lunch et diner. Thé complet, 4 francs.

LE PRADO, 41, av. de Wagram, de 16 à 2 b. du m., son fa nu oie)}, des Ï6;yirt. et chanteurs russes, spjiVesl.' réputé. RAGUENEAU. ̃'̃v. ̃ '•" 202, rue Saint-Honoré -Palais-Royal. Thé orchestre 4 à 7.

RITZ, 15, place Vendôme. Central 43-99. XUMPELMAYER, 226, rue de tivoli. Gut. 22-22.

LOUIS SHERRY, rond-point des ChampsElysées, Elysées 04-37 et 6, rue de Castiglione. Central 84-69.

VIKING, 29, rue Vavin. Spécialités Scandinaves tous les jours, thé dansant. L'Heure du Souper

GIPSY'S, 20, rue Cujas. Quartier latin. Tous les soirs, à 10 h., dancing, attractions. Consommations à partir de 10 fr. Ouvert toute la nuit. LA MAISONNETTE DES COMEDIENS RUSSES, 36, rue Vivienne. Centr. 73-57. Grand programme artistique. Célèbre « Raphaël et son orchestre.

VIKING, 29, rue Vavin. On danse et s'amuse dans un cadre d'une élégance originale. Ouvert jusqu'à 3 heures.

̃ ̃«.

Rétablissement depuis le l'T Janvier 1931 du Train Express 50

les dimanches et jours de fête»

entre

TOURS ET PARIS-QUAI D'ORSAY Le train express 50, entre Tours et ParisQuai d'Orsay, est rétabli les dimanches et Jour» 'de1 fête*, toute l'année, depuis le 1°' janvier 1931

Gare» .desservies Tours, dép. 19 h. 44 Saint-Pierre-des-Corps, dép. 19 h. 52 Amboise, dép. 20 h. 13 Onzain, dép. 20 h. 31 Blois, dep. 20 h. ;>0 -r- Mer, dép. 21 h. 9 Beaugency, dép. 21 h. 23 MCung-sur-Loirc, dép. 21 h. 33 Orléans dép. 21 h. 4G Les Aubrais-Orléans, dép. 21 h. 57 ParisQuai d'Orsay, arr. 23 h. 44.

Spect ac les iiimmiuimiim

LE GALA NOZIERE

^–r– (

Mme Régina Camier, qui dirige avec beaucoup do foi et de compétence le théâtre « Eclairs dont les premières manifestations ont rencontré de la part du public un accueil très encourageant, a eu l'excellente pensée de rendre hommage au grand talent de Fernand Nozière, dont la carrière fut si soudainement interrompue, en reprenant celle de ses pièces qui peut à bon droit passer pour son chef-d'œuvre Les Amours de I>ady Hamilton.

On n'a pas perdu 'la mémoire des belles représentations de'cette œuvre aux Nouveautés. Nous allons' retrouver ce soir l'interprétation exceptionnelle qui avait été déjà réunie alors Mmes Régina Camier, Paule Andral, Berthe Berty, Beeky Rosanes MM. Constant Rémy, Arve!, Burgère, René Worms, G. Champell et Numes Nils.

M. Gérard Devriès reprendra le rôle créé par M. André Burgêre M. Dangelys, celui que tenait M. Constant Rémy celui du docteur est confié à M. Philippe Richard. A ceci près, l'interprétation reste la même qu'autrefois.

Premières représentations OPERA (Louvre 07-05), à « h. 15 Guercœur, d'Alberlc Magnard.

THEATRE ECLAIRS (Théâtre Saint-Georges) (Trud. C3-47).k.à 5 heures: gala fernand Nozière.

En soirée

OPERA (Louvre 07-05), à 8 n. 15, première représentation de Gueroœur, d'Albéric Magnard (Mlle'S Yvonne ,Gall, Alarlsa Ferrer, Hœr.ner, Morère, Lapeyrette, Tessandra, Laval MM. Endrèz.e, Fortl, Jobin). Orch. M. Fr. Huhlmann.

COMEDIE FRANÇAISE (Q.ut. 02-22), 8 h. 45 La Belle Aveçiture,. comédie en trois actes de G.-A. de CalDavet, Robert .de Flers et .M, ,,$]ti£nno Rey (ft|M.,t)es&'onnes., Yonpel, ledQU.x, Pierre Berti,a,, Lucien DuBosq, M. Le 'Marchand, Le çfprr. Pierre. Diïx', Jean Martlnelii,' Marcel Dufr.e'siie; Mmes B'erthe Bovy, Andrée de Caàuvqroti, Jane Faber, Nizan, Madeleine Barjac,: Tonla Navar, Jeanne Sully, Hélène Perdrlère, Irène Brillant, Lherbay, Roussel)

OPERA-COMIQUE (Out. 05-76), à 8 heures Werther (Mmes Rosc Pocidalo, Roi. land; MM. Sydney -Rayner, Roque, Azéma, Morturier, Génlo). 7

On commencera par Angélique (Mmes Maguy Gondy; MM. Roger Bourdin, Tublana, Pujol, Baldous, Gaillour, Génio). Orch. M. Cohen.

ODEON (Littré 08-31), à 8 h. 30 Poupette, comédie en trois actes de M. José ̃Germain, d'après la nouvelle de M. Marcel Prévost, de' l'Académie française (avec M. Arquillière, MM. Georges Cusin, RaymondGirard, Bonlfas, Bargln; Mmes Paulette Marinier, Blanche Dars, Germaine Cave) Et Un drame en une demi-heure, pièce en trois tableaux de Sir Jantes Barrie. Adaptation française de Mme Juliette Mylo (MM. Paul QEttly, Roger Clairval, Louis' Seigner, Cailloux, Harry-James; Mmes Germ. Rouer, Renée Slmonot, Lucy-Laqglcr).

GAITE-LYRIQUE (Arcli. 29-20), à S h. 30: Le Grand Mogol, (le MM, Chlvot et Duru musique d'Audran (Mlles Renée Camia. Gina Relly; MM. Georges Foix, d'AUrlec, Duvalelx, Bever).

VARIETES (Out. 00-92), à 8 n. 45 Le Roi, de G. A. de Calllavet, Robert de Fiers et Emmanuel Arène" (André Lefaur, Jeanne Provost. Pauley, Marie bu^^s et Boucot). SARAH-BERNHARDT (AlCh. 00-70), à 8 30 La Dame aux Camélias (Mlle Falco.netti; MM. François, ;,R.ozct, Henri Monteux, Albert Deeœur, etc.!>i' i. ,•.>̃/•>»' GYMNASE (.Prov;vt,0ïïs), S.iJU 30 Lo Jour, de M. Bernste1n!"<Mmes Goby Morlay. Genlot, Ducouret, 'Romane, rroinet MM. Blanchnr. ̃ Constant-Rêmy, Michel Simon). ANTOINE (Botzarts"' 21-00, 21-01), à 8 h. 45 La Chaîne, de M. S lève Passeur

Le spectacle, qui sera présenté par Mlle .Lily Rémy, comprend la première partie de la suite de tableaux où se déroule la vie aventureuse de la galante Anglaise. La deuxième partie fera l'objet d'un second gala.

POUR UN VIEUX COMEDIEN Les meilleurs artistes de Paris ont eu à cœur de répondre à l'appel' qui leur était fait en faveur de leur vieux et malheureux camarade.' Strit. gala, organisé" demain en matinée, aux Variétés, jsera donc, grâce à eux et au zèle des. organisateurs, particulièrement brillant. Les Folies-Bergère présenteront un numéro sensationnel La Danse de la Poupée, par Matt Duffin et Jessie Draper. Christiné, Gauwin, E. Gavel et Jannik Léonnec se feront entendre tour à tour et se relaieront au piano. Enfin, un des meilleurs épisodes de la journée sera la comédie improvisée par MM. Max Dearly, Koval, Pierre Etchepare, Barencey Mmes Marguerite Moreno et. Spinelly.

On peut louer encore aux Variétés pendant la journée d'aujourd'hui.

Robert Destez.

(MM. J., Baumer, Bertuler, :Crémieux, .A. Laurent; Mmes Jeanne Chevrel, Line. N0,vp, Y. Andreyor, Ch. Barbier-Krauss). PALAIS-ROYAL (Gut. 02-DO). La Viscosa, de ntp (MM. Tramel et Duvallès, Georg-é, P. Kaivre; Mmes Loulou Hegoîmru, Arletty, Laurent et Franconay).

THEATRE DE PARIS (Trinité 20-44), & 8 lj. 30 Ces Messieurs de la Santé, trois actes de M. P. Arment (M. Raimu, Mlle Th. Dorny, Alenne, Diana, Guy pe_rlan, Charpini, etc., et Mlle Lllian Greuze). ATHENEE (Cent. 82-23), â.8 h, 45: Pierre ou Jack ? de M. F. de Croisset (Jane Re? nouardt, Blanche M.ontel, Fernand Gravey, Jean Marconi, Henry-Rlcbard, et Pierre Étctiepara, etc.).

BOUFFES-PARISIENS (Gut. 45-58), à 8 h 30 Les Aventures du Roi Pausole (Dorville, Jacqueline Francell, Pasqialt, Germaine Ducip-s, Viviane Gosset, Claude de Sivry, Ré'g-lne Paris et Koval^ ̃̃ "<'••»•: MADELEINE (Anjou 07-ftfl), à 9.heures: Frans Hais, et Sa dernière volonté (Saeha. Guitry, Yvonne Printemps, avec Pierre: firesnay et Rorouald Joubé). ̃; MICHEL (fint. 03-30), à 9 Heures Cette Vieille Canaille, comedie de Fernand Nozlère (M. Maurice de reraudy et Jean Marchat).

EDOUARD-VII (Louvre 32-60); à 8 h. 45: Monsieur de Saint-Obin, de MM. A. Picard et Harwood (Jules Berry, Suzy Prlm, Marcel Simon, Arvcl, Florencie, S. Serge, 1. Gautier, A. Couvreur, Dussy). · •" mickodiere (Hicnelieu us-23), a s n. 45: Le Sexe faible, de M. Bourtlet (Cnelrel, Boucher, Grumbach, Brasseur. Cnrlstlann Delyne et Suzanne Dantês).

PIGALLE (Trln. 91-50), à 9 lieures Les plus beaux yeux du monde, de M. Jean Sarment (MM. Jean Sarment, Lagrenée, A. Morlns; Mmes M. Valmond, Nita-Malber). NOUVEAUTES (Prov. 52-70); à 9 heures Les Nouveautés en revue, de M. Il. Jeanson (Elvlre Popesco, Dallo, Suz. Dehelly, Carette, P. Lluis, Yo Maurel,- -Rosanes et Edith Méra).

APOLLO (Central 72-21), â 9 heures, Balthazar Abel Tarride, Le Gallo, Maurice Escande, Jacques Tarrlde, C. P. Cousin; Mme Betty Daussmond, Mlle Renée Dorvy).

OAUNOU (Louvre 36-74), à 8 h. 45: Kiki, d'André Picard (Spinelly, A. Payen, y. Leroy, do Rouvres, de Gaultret MM. Ierny, Blancard. Clennont, Jean,,Wall). SAINT-GEORGES (Trud. 63-47), à 9 heures Tout va bien, de M. Il. Jeanson (Mlle Lily Sand, Debucourt, Lucien parpux^ Germaine Dellio). •.Jnrriv, GrMnd-GUIGNOL (Trln. 58-3^). à OU. Le Passé d'Aurélie, La Malle sanglante, La Machine rouge. Des apaches partout! FOLIES-WAGRAM (Carnot 'CÏ-'ÏB^'a' S 8 h. 45 Sans tambour ni trompette, de MM. Pierre Veber et H. de Gorsse.

MOGADOR (GUt. 52-03), à 8 h. 30 La

Vie parisienne, de Meilbac, Halévy et Orrenbach (Max Dearly. OUdart, Urban: J. Marnaç, BriSgls, Corday, J. Saint-Bonnet). TRISTAN-BERNARD (Lab. 31-4 9), à 8 h. 45 La Partie de Bridée. La Crise ministérielle, Les Jumeaux de Brighton. Trois pl6cEss 'le Tristan Bernard.

COMEDIE DES CHAMPS-ELVaEES (Elysées 72-42), à 8 h. 4 5 Siegfried, pièce en quatre actes de Jean Giraudoux (avec les créateurs: V. Tessler, L. Bograert, P. Renoir. R. Bouquet, L. Jouvet).

COIWEDIE-OAUMART1N (Louvre 07-30). â 9 Heures Enle»ë>-mol, musique de Gabaroche (Gabaroche, EUane de Creus, Gabriel MàVrot.'J. Delss. Mary Richard. Prévllle). MATHURINS (LOuvre 40-66), a 9 n. Palais-Bourbon, comédle-'actuaUte de MM. L. Treich et P.da.Mont- (CHarlotte Lysès, P. Magnler, Joffre, Juvenet, Flnaly, Cù. Jean et Georges Colin).•̃ MONTPARNASSE (Danton 66-00), Compas-nie Oaston-Baty, 'S' fl neurès Beau Danube rouffer jtrQls. acteïi dix -tableaux. de Bernard Zlmmef.* Mfa-e en -scène de Gaston Baty.

PORTE-8AINT-IHARTIN (Nord 37-53) à 8 h. 30, La Femme nue.

CHATELET (Gut. 02-87). i h. 30, Sidonie Panache (Ed. Favart, Bach, etc). ŒUVRE (GUt. 67-31). à 9 heures: La Folle du logis.

SCALA (Prov. 08-33), à 8 h. 45 Oous,Cous. ·

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AMBIGU (Nord S6-31), à 8 h. 30 mettre de forges.

STUDIO DES CHAMPS-ELYSEES (Elysées 79-42), a 9 Heures Le Chant du Berceau, Il faut qu'une cage. et Gros Chagrins. ATELIER (Nord 49-24), a 9 Heures* Atlas-Hôtel.

COMCEDIA (Trinité 10-12), à 9 h. 15 f Pour avoir Adrienne, Auguste.

CEIL-DE-PARIS (Carnot 36-82), à 9 h. i première B de Le Qu'en-dira-t-on?, L'Heure du Gigolo.

QAITE-ROCHECHOUART (TruCt. 06-23)» t a 8 h. 3 0 Vierge et Grand'Mère.

NOUVEAU-THEATRE (Vaug-. 47-63), a 8 h. 3 0 Monsieur Dumollet.

TRIANON-LYRIQUE (Nord 33-62). 4 S h. 30 Princesse Czardas.

THEATRE 1932, relâche.

THEATRE DES ARTS (Wagram 86-03) a 8 h. 30 La Charrette de pomme». CLUNY (Odèon 07-76), â 8 û. 458 Liai Dégourdis de la 11°.

VAUDEVILLE ET PLHZA (Central 16-43), à 8 h. 45 Le Mariage de Mlle Beuleman». ELDORADO (Botz. 18-70), à 8 h. 45 i L'Agence Probitts.

THEATRE DIS DIX-HPUPE* (Marc. 07^' 48) Les Lumières de la Butte.

DEJAZET (Arcti. Î6-80), a 8 n. 30 Tir» au flanc, et Le Triangle.

THEATRE FONTAINE (Trln. 10-34), 8 9 heures L'Amour à la blague.

THEATRE DES DEUX AU ES (Mat-cadet 10-26), à 0 heures: revue de Jean Rleux et Georges Merry.

THEATRE DE MONTROUGE (Sêg. 20-70), a 8 h. 45 les chansonniers du Cabaret des Deux-Anes et du Théâtre de Dix-Heures de Roger Ferréol.

THEATRE DES TERNES (Wagram 02-10), à 8 h. 3 0 Un drôle de l'Oustric.

THEATRE MONOEY (Marc. 16-32), à 8 h. 30 Le Tombeau sous l'Arc de Triomphe, de Paul Itaynal.

•=»«-€»

Notes et Informatiolis Mlle Jane Raymond vient d'avoir la douleur de perdre sa mère. Nous lui adressons nos sincères condoléances. M. Vanni-Marcoux fera sa rentrée à l'Opéra le 6 mai, dans Othello.

|H THEATRE MICHEL» Maurice de FERAUDYJ

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II TOUTE LA CR~TIQUE

est unanime à constater l'i mineuse § succès de H

THEATRE DE PARIS 1 ̃̃B9BBB Location i TRINITE 20-4 EST-IL FOU OU SAGE ? Abel Tarrlde, I.c Gallo, M. Hscnnde. B. Daussmomid et tfçurs ioyeux camarades vous lenseigiicroiit «sur le mystérieux «BALTHAZAR» à l'APOLLO


Demain, à- 4 h. 30, à la Comédie-Fran- çaise, onzième matinée poétique. Poèmes et chansons par MM. Yonnel (Louis Delluc) Maurice Donneaud (A. de Musset, Tules Laforgue), Jean Martinelli (Malherbe), Robert Vidalin (Leconte de Lisle), Mmes Suzanne Devoyod (Robert du Fay), Marie Bell (Alfred d2 Musset), Jeanne Sully (Maurice Vaucaire, Xavier Privas, Paul Dclmet), Hen- riette Barreau (Albert Samain).

La Nuit d'Août, par M, Maurice Don- neaud et Mlle Marie Bell.

Les' notices, de MM Edmond Teulet et J. Valmy-Baysse, seront lues par M. Marcel De3s0nn.es.

Pour le cinquantenaire de sa première représentation, Le Monde l'on s'ennuie sera joué par MM. Dessonnes. André Bru- not, Pierre Bertin, Dorival, Chanibreuil, de Rigoult, Lucien Dubosq, Pierre Faubert, Le Goff, Rozert Vidalin, Marcel Dufresne, Mmes Suzanne Devoyod, Madeleine Renaud, Maria Bell, Catherine Fonteney, Jane Faber, Madeleine Barjac, Tonia Navar, Jeanne Sully, Henrjette^Barrcau, Roussel. On commencera par Les Honnêtes Femmes, avec M. Jacques Guilhène et Mlles Béatrice Bretty, Ni?an, Ltierbay,

Le Bonheur dit Jour, de M. Edmond Guiraud, sera affiché à l'Odéon demain samedi en soirée, avec l'auteur entouré de MM. Roger Clairval, Cailloux, Charpentier, Bonifas, Mmes Janine Press, Jeanne Briey, Lucy-LauRier, Germaine Duard, Paillette

Marinier.

M. Georges Bravard, directeur de la Gaité-Lyrique, a fixé au mardi 27 avril la reprise de La Fille de Madame Angot. Au théâtre Sarah-Bernhardt, Mlle Falconetti remporte un immense. succès dans La Dame aux Camélias. La mise en scène, en costumes de l'époque, est des plus jolies. Demain samedi, à. 2 heures précises, au Gymnase, répétition des couturières de Richard, comédie en trois actes, de M. Alfred Fabre-Luce, interprétée par MUes Alice Cocéa, Maria Fromet, MM. Paul, Bernard, Louvigny, Jacquelin, Dorléac, Castelain, Nicol, Dorval et Michel Simon. Lundi.. 27, répétition générale. Mardi 28, première. Location ouverte.

La Vie parisienne triomphe tous les soirs au ihéâtr.é| MogBdor, c'est un formidable succès DîmWc'he matinée à 2 h. 30. Mme Paulcttç.Pax et M. Lucien Beer ont reçu, pour être représentée au théâtre de l'Œuvre, au début de la saison prochaine, une comédie. en trois actes de M. André Ransan, Xlara.% ̃ ffS-St co' "Trois représentations de Les Bouffons, de M-. Miguel Zamacoïs, seront données, au Nouveau Théâtre, .par la troupe de lOdeorii ifer2et 3 mai (matinée et soirée). Le Club des Jeunes donne un grand gala artistique et littéraire aujourd'hui, à 4 h. 30, au théâtre du Ranelagh, ç, rue des Vignes. Présidence -de Mme de Nôailles, qui signera le. programmé* QH y entendra les meilleurs artistes de "Paris: Pierre Fresnay, Jean Yonnsl, Léo Peltier, Paul Courant, Mmes Rose Carday, Régine Le Quéré, Thelma Edwards, Eiiane Peltier, Francine Casalonga, Antoinette La Fonta. Billets à prendre au « Foyer des Lettres », 86, avenue de la Muette (10, 15 et 20 francs).

1 1.

Oh 1 vient de donner à Genève quatre représentations de La Brouille. La pièK de Charles Vildrac et son principal interprète, Léon Bernard, ont rcmporté un vif succès-.

R. D.

Musse-fialls

Cabarets et Cirques En soirët

FOLIES-BERGERE, a 8 h: 30 L'Usine à folies, 'revue nouvelle, 80 tableaux, de M. Louis. I.einarciij'Dd.

CASINO OEPABtS, a S'il: 30,' 11 nouvelle

revnevpsws qui remué;1 j/roauctlrir) 'ii>30-

1S31. de MM. Henri Varna* et"' Earl 'ii'eslie,

avec Joséphine Dater. '90 super-visions PALACE, a, h. 30 La Revus argentine de Uuenos-AIres. deux actes et 30 tableaux, de MM. Manuel Komero et Dayon Herrera (Gloria Guzrnami, Soptila Bozan).

EMPIRE-MUSIC-HALL-CIRQUE, le grand comique 'Al' TPuhan, les -Amena, les formtdables Dance Kables. Mat. et soir. lundi, jeudi, samedi et dimanche.

LUNE-ROUSSE (OS, rue rife-atle (Trln. 61-92). A y nem-es les cùausomilers l.eon Michel, Pierre Dac. Sécrétait, Souples, Uenrt Cor, Moiielly, Httiê Paul. Hynû SiirvII Ray.mond Bour. La revue Exposons!, avec Mlles Nelly .Ne! J. rorrl et G I olrei THEATRE DE L'HUMOUR, il, rue Fontaine, à 10 heures Coups de Minuit, revue

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en un'acte, de MM.- Robert DieudonnÇ et Pierre Varcnne.

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CIRQUE MEDRANO (Trudalhe Î3-7S)..1 8 S h. 30: les 4. éléphants, danseurs (première rois un piste a Paris) Âiitpiiet et Beby; la rentrée de l'écuyer portugais RoDcrto de Vasconccllos'; le trio de danses athlétiques Vera Sklblne et Grekihe;' Mlle Pilara, gym- naste; Iles et Loyal, etc.

CIRQUE D'HIVER, clôture annuelle. LUNA-PARK, samedis et dimanches: attractions et dancing. Tous les jours, a 9 n., dancing.

CONCERT MAYOL, a SU. 30: Vive le Nu!

THEATRE OE LA CARICATURE, a 9 heures Le Coup du lion.

NOCTAMBULES, a U heures: Après? du nouveau.

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La présentation à laa- presse du nouveau programme de Medrano, qui débute ce ?oir, aura lieu mardi prochain 28 avril.

̃ ̃ «à «g»

Courrier Musical En soirée

Au théâtre des Champs-Elysées, à ç h., concert de l'orchestre Walther Straram, sous la direction- de M. Elmendorff, avec le concours de Mme Larsen-Todsen (Kiesgen et Ysaye).

A la salle Pleyel, la Philharmonique, Alexandre Kipnis, le célèbre chanteur russe, et Roman Wi.satà, yiolonistç..

r– A. la salle du Conservatoire, à g h., récital. de piano .par René Dreyfus. (Val- malcte)

Dimanche 26. avril, à 5 heures, à l'American Women's Club, 6r; rue Boissièrc, récital de violon par Minna Krokovvsky, violoniste américaine. Au programme oeuvres de Conus, Bloch, Paganini, Haudel-Flesch. Entrée par invitation seulement.

Salle de l'Eçô!e normale de musique, dimanche 26 avril. à o heures, récital de piano par Jeanne Chailley-Bcrt œuvres de Bach, Mozart, Beethoven, Chopin, Liszt. Palces, de 13 à 30 francs, à la salle et chez Durand.

Pour clore la saison, de ses concert, l'Héroïque (chorale des mutilés de la guerre) donnera, .le jeudi 39.. avril, à 8 h.; 3o.;salle de l'ancien Conservatoire, sous la présidence

de lagjijuçhesse .d%^La»jMo4te-I^wdarjTOurt,

une jpBncie" soiréçidc &lâàwecBii coSoîiis

de M#cs Mahé,j|ile Jp)cj^M ^&rg«^.>c"t

Mazzoîii de l'Opéra- Comique ;tX*ipie^ vio-

loniste"; Veluard, pianiste:

;MM. Jules :Mazellier ct.Eugène Sizes, professeurs au Conservatoire Léon Moreau et Winkopp, de l'Opéra-Comioue Richard Burgsthal. pianiste Marcel Habert, violoncelliste Renioïid, flûtiste,' et cent choristes et musiciens d'orchestre, sous la direction de M. Maxime Thomas, interprétant un choix d'reuvres vocales et instrumentales de Auzende, Berlioz, Cap]et. Franck. Chaminade, Lalo, H et C. d'Ollone, Pierné et Saint-Saè'ns.

Au cours de cette soirée, un poèm.2 spécialement écrit par M:' Miguel Zamacoïs sera dit par un sociétaire de la ComédieFrançaise M. Sizes, de l'Opéra, chantera sous la direction .de. tau.tsur VOde au maréchal Foch, de Jules Mazellicr.

Billets à la salle de l'ancien Conservatoire

Le célèbre quatuor vocal Kedroff, retour d'une quatrième tournée triomphale en AméSALLE GÀVËAU, Mardi 28 avril à 9 hcuroK

Premier rfecitûl du cél&brc violoniste NICOLAS ZADRI Bilcts: Salle Ciivcan.Uurana et éditeurs

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Je^dl 0 nvril à. 31 heures

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GONTAUT-BIRON

Billets Salle, Uurnn<l. Editeurs, l.yon

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Jeudi 30 avril, à 21 heures

SALLE CHOPIN

Récital- de violoncelle

ANDRE

B O ITRDR O N avec* le concours de

Mareuerite U K B R I E

Au programme Œuvres de IJIrkenstoek, Scbumann, Beethoven, Albeniz, Fauré.etc.

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Vente au Palais, de Justice a Paris, ïëmercredi L!' mai 1031, a 14 rt^uio.s Propriété à Chartrettes (SEINE=ET=MARNE) *££?«?.

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rique, donnera un unique concert, salle Gaveau, le samedi 2 m<i, à 9 heures. Location ouverte salle Gaveau et chez Durand

(Valmalèt?)

Elisabeth Schumann, la célèbre cantatrice de l'Opéra de Vienne, donnera un unique récital, consacré aux plus belles œuvres de Mozart, salle Gaveau, le iS mai prochain. La location est ouverte.

L. di Crftmiine.

Cinémas

AGRICULTEURS (3. rue d'Athènes), a 3 heures et 9 Heures Une vie de chien, avec Charlii; Gliaplln; et Ombres blanches (Monte mue).

ARTISTJC-CINEMA (Cl, rue de Douai) Le Réquisitoire.

AUBERT-PALACE, Fra Diavolo.

LES CAPUCINES, La Marche à la gloire. CAMEO, David Golder.

CHAMPS-ELYSEES (IIS. avenue des Champs-Elysées) Princesse, à vos ordres; (Ltlliin Hiirvoy, Henry Gnrijl).

COLISEE, Jean de la Lune, comOdle de M. Achard.

ELECTRIC-AUBERT-PALACE, Le Tampon du capiston

ELYSEE-GAUMONT (rue Qucntlu-lSaucliurt) Les quatre Vagabonds.

ERMITAGE i Champs-Elysées), matinée cl soirée Madame Satan.

FOLIES-DRAMATIQUES, Princesse, à vos ordres!

GAUMONT-TNEATRE, Un trou dans le mur.

IMPERIAL-PATHE, La Patrouille de l'aube.

LUTETIA-PATHE (avenue (le Wagrnm) Le Réquisitoire, Méphisto (deuxième épisode).

MADELEINE-CINEMA, Soyons gais. MARIQNY (pcrmnnent) Charlie Chaplin dans Les Lumières de la vi.'le.

MARIVAUX-PATHE, miitlncu et soirée en soirée de gala Dactylo (parlé), avec Mary Glory.

MAX-LINDER, L'Aviateur, Ma Cousine de Varsovie.

MOULIN ROUGE CINEMA, Le Roi des resquilleurs.

MOZART-PATHE (5 rue d'Autcuil) Rango, Méphisto (deuxième épisode). OLYMPIA-CINEMA, Le Masque d'Hollywood.

OMNIA-PATHE, Marions-nous, Méphisto (deuxième épisode).

PAGODE (57 bis, rue de Babylone) Alice Cocéa. dans Marions-nous (a 2 h. 4 5 et à 8 h. 45, version française); Imperto Arg-entlna, dans Su Noche de Bodas (a 5 heures et à 10 h. 4ô, -version espagnole). PALAIS-ROCHECHOUART (50. bbillevarrt Rochecliouart) Nuits de Jazz, Le Réquisitoire.

CINEMA DU PANTHEON (13. rue VlctorCousln). Eddie Camor dans Whoopée, version originale américaine; une comédie M.ic Fenett Look out B3low; un dessin animé. Alat. perm. de 13 h. à )8 0.- 30; soirée: 21 h 1

PARAMOUNT, A la hauteur (Harold Lloyd )

PARNASSE-STUDIO, The Spoilers (version anglrise)

RANELAGH, 5, rue des Vignes (tG') (Aut. M-H), à 0 heures La Belle ténébreuse (Greta Garbo).

ROXY (05 bis, rue Roohecliouart), à 14 heures 30 et 20 h. 30 La Servante, Nuri l'Eléphant. Attractions.

ROYAL-PATHE (avenue de Wagram) A l'Ouest, rien du nouveau.

STUDIO DIAMANT, The Spoilers (anglais). STUDIO DES URSULINES, L'Ange bleu (S h. 30, version française; 10 h. 45, version originale).

VICTOR-HUGO, Le Réquisitoire, Méphisto (deuxième épisode).

WASHINGTON-PALACE <!̃ rue MîircI lan) Sin Takes a Holiday (Constance Uennetl).

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Boîte de nuit est le titre attrayant de la notivellc production sur scène de M. Louis Limarchand à l'Olympia. Tout > monde à li;e-.rt actuelle a pu apprécier les qualité- ̃artisti(iu.:s de ce prand producteur, qui nous charme par ses v:)ons scaniques merveilleuse^ à chaque chitgemcr.c de programme •!•? l'Oi.vmpia. Vou: aure^ ainîi l'occasion ;d'à»iù-rc,r -cette s-vj.re n un îpjjqt-.icb Qui

%>1 r.r^isU-aiCrnor, :i;ter;ire:c v.ar ic balk-t

Stel!i .-(ihoçégraphit d? Mbh: Kb'maiovaj et des U'iibro; dansaii: D,ely;i et Dra^ur accompagne sur scbiî par le jazz s.ympo'nui-ie iloger Bers;^i si connu de tous les h:il>i:ués de l'Olympia. Ce spectacle complétera heureusement le film Le Masque d'Hollywood, interprété par Suzv Vernon, Vital, Hé'.èns Darly et Rolla Norman. Le succès remporté ces derniers temps par Jean de La Lune, au Colisée, a décidé la direction de ce théâtre à conserver à l'affiche de l'éléganti sal'e des Champs-Elysées ce film parlant que toute la presse parisienne a qualifié de chef-d'œuvre. Il est très rare de se trouver dans un milieu où l'on parie

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cinéma sans qu'il entre dans la conversation quelques félicitations à l'égard de ce chefd'wuvre de Marcel Achard.

Le Colisée entre cette semaine rli«.ns son troisième mois d'exclusivité, et d'après tes constatations il est difficile à l'heure actuelle de prévoir b' ralentissement de cette magnifique production.

Le Blanc ci .le Hoir, le premier film partant interprété par le célèbre comédien Raimu, sera prochainement présenté au public au Colisée, l'élégant: salle des ChampsElysées.

Caprice de la Pompadour. On annonce pour très prochainement la sortie, à l'Olympia, du dernier film d'André Baugé, Un caprice de la Pombadour, où il a comme partenaire la sp'.endide Marralle Dsnya. Qui donc niait encore au cinéma la possibilité de rendre fidèlement, et sans dénaturer, ]a voix humaine,? Pour ss convaincre du contraire il suffit .d'entendre dans Fra Diavolo, le film nue donne l'Aubert-Palace, le célèbre ténor Tino Patiera. A aucun instant ce chanteur, dont les airs bien placés ne ralentissent pas l'action, no donne l'impression d'être gêne par le micro qui, au studio, se balançait au-dessus de sa tête. Et ce succès du ténor fameux est une victoire pour le cinéma parlant.

Le théâtre Paramount présente cette semaine le dernier film d'Harold Lloyd, A la hauteur. Cette production, qui est de la veine des créations précédentes du célèbre fantaisiste Le Petit Frère, En vitesse, Quel phénomène, le ramène à l'écran plus jeune, plus vif, plus amusant que jamais. La gaieté sains et endiablée de ce film, au cours duquel se déroulent, dans un rythme éperdu, les scènes les plus irrésistibles, les plus fantasques, émaillées de « irags » innombrables et de plus en plus drôles, fournira à tous le délassement le plus complet et le plus joyeux qui se puisse sonhaiter. Au théâtre Paramount.

Princesse, à vos ordres aux ChampsElvsées.

Depuis le io avril, le nouveau film-opérette de la U.F.A., Prir.cessc, à vos ordres 1 passa en exclusivité au cinéma des ChampsElysées, avec un formidable succès. C'est que le public a retrouvé dans cette éblouissante production toutes les perfections qui ont rendu célèbre Le Chemin du Paradis. Le couplele plus séduisant de l'écran, Lilian Harvey-Hcnry Carat, a su conquérir tous les. suffrages des spectateurs qui applaudissent, dans Princesse, à vos ordres 1 la déli- cieusc et mutins artiste 'et son sympathique partenaire. De plus, la musique de M. R. W. Heymann et notamment la valse Quand je danse avec toi et le fox-trott Je ne sais rien de toi, connaît déjà une vogue extraordinaire, justifiée d'ailleurs par sa très haute qualité. Ajoutons que la mise en scène de Hans Schwarz, en collaboration avec Max de Vaucorbeil, est remarquable d'intelligence, de goût et d'esprit. Pendant de longues semaines, Princesse, à vos ordres 1 obéira aux ordres de la faveur générale et fera les délices des spectateurs au cinéma des Champs-Elysées.

Le Studio des Ursulines présentera prochainement la version anglaise intégrale parlée et chantée en anglais par Marlène Dié- trich et Emil Jannings de L'Ange bleu, cjont le succès ne s'épuise pas après plus de 430 représentations. Les trois versions, française, allemande et anglaise feront projetées en alternance.

Les châteaux dit Hlésois et de la Tonralnc en automobile

dn 1" avril au 18 octobre

rendant la belle saison, la Compagnie d'Orléans organise des circuits pour la visite rapide et pratique des plus intéressants chûtc-'iux de la Loire, dont ci-après 'la no-

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L'ART ETJjrèURIOSITÊ A l'Hôtel Drouot

La succession de Mme Dollfus · G'cst sur un total de 515.000 francs environ qu'a, pris lin hier, à la salle 0, la deuxième vente des objets d'art et d'ameublement et des tapisseries dépeudant de ta succession de Mme Dollfus. M* Prud'homme dirigeait les enchères, assisté do MM. Mannhciin. Nous avons noté au cours de la vacation d'hier: deux flambeaux, 5.100 francs; deux statuettes en bois peint, 3/200 francs; deux statues grandeur nature en terre cuite, 6.200 francs une vasque ovale en marbre vert et blanc, 7.000 francs quatre grands fauteuils en bois sculpté, 4.400 francs-; une console en bois sculpte, 8.100 francs lin piano à queue de Hçrz, 2.901) francs une grande tapisserie du commencement du seizième Personnages assistant au débarquement, d'animaux, 180.000' francs une tapisse-' rie flamande du seizième Sujet de chasse, 25.000 francs une tapisserie flamande du dix-septième Double ccu d'alliance, 32.60*0 francs une autre tapisserie flamande du dix-septième, 15.000 francs deux cantonnières en tapisserie flamande du dix septième, 15.200 francs, et une tapisserie d'Aubussou, en partie du dix-huitième. Les joueurs (Je volant, 10.000 francs. Autographes

M- F. Lair-Dubrcuil et M. Noël Charavay dispersaient un important ensemble d'autographes. Une correspondance importante de Benjamin Constant à Housselin de Saint-Aubin, fut payée .'1.600 francs une lettre trés curieuse de Flaubert « Frédéric Baudnj, *4.500 fr. une curieuse lettre intime de Franklin, en français, a Mme .Brillon, à Nice, 10.500 francs deux autres lettres de Flaubert a Mme. Brillon, 10.000 francs un sonnet autographe de Mallarmé, sonnet fameux à Edgar Poe, ll.b'00 francs une pièce signée de Napoléon /'> 1.250 francs une pièce signée de Mme de t'ompadour, 2.000 francs uns lettre de Madame Récamier, 1.500 francs quatre, lettres de Renan au docteur Daremberg, 1.010 francs une pièce signée par Robespierre, 1.075 francs ri;ic lettre de Madame Roland. 3.100 francs une lettre de J.-J. Rousseau, 1.000 francs, et un document sur la Révolution, signé par Camus, garde des archives, 1.200 fr. La succession de Mme L.

M' Maurice Pccquct et M. Kd. Pape procédaient à la belle vente de cette succession: Une tbîli? par Vuillefroi Bestiaux à l'abreuvoir, fit 3.800 francs un grand plat hispano-mauresque, 8.000 francs ïïne paire de potiches, époque Kang Shi, 7.05.0 francs deux tonnelles en porcelaine de Saxe, 4.100 francs une petite pendule en marbre blanc et bronze, 5.300 francs; une pendule, d'époque Louis XV, cadran d'Etienne Le Noir, 12.000 francs; douze chaises en bois na- turel couvertes d'anciens gilets persans, 13.500 francs deux bergères, d'époque Louis XV, l'une estampillée de Gourdon, 7.450 francs un petit secrétaire en bois laqué noir, 4.400 francs un petit meuble, d'époque Louis XVI, 3.800 francs une paire de commodes de forme demilune, en partie d'époque Louis XVI, 4.100 francs; une table rectangulaire, époque Louis XVI, 8.600 francs, et n;i meuble à deux corps en bois de placage, dix-septième siècle. 2.500 francs. Tableaux modernes

A la salle 10, M" Henri Baudoin et M. Th. Briant ont obtenu 1.700 francs, pour une gouache par Chajjall Composition 950 francs, pour une aquarelle par Raoul Dufy Bateaux 1.250 francs, pour une toile par Camoin Le port 1.700 francs, pour une toile par Ccria Sananj 2.500 francs, pour une Xaturc morte, par Dufrcnoy 2.400 fr., pour une toile par Ebert Le. modèle 480 francs, pour une toile par Fricsz Vue de Falaise. 1.100 francs, pour un paysage par Luce 1.820 francs, pour j~ une peinture par Lurçat J.c voilier 750 francs, pour une toile pacMjijVvalun:, La sieste, et 2.200 francs, i)our'm>é>-pcin-ture -sur carton par rtrillo. Paysage. ,< Maurice Monda.

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CHRONIQUES ^DOCUMENTAIRES Le chemin du cœur II a été rendu plus d'une fois ijl même tel hommage que de droit au « cran » stoïque de quelques médecins. Tzaïcou, .Iules Regnault, A dams, d'autres encore qui n'avaient pus craint de pratiquer sur eux-mêmes, de leurs propres mains, des opérations chirurgicales de l'ordre le plus grave. L'équité exige que le nom du docteur allemand Fnussmann soit à ::un tour inscrit au même tableau d'honneur avec cette note particulière d'originalité qu'il s'agit, 01 ce qui le concerne, non ptus d'une opération déjà connue. mais d'une opération sans précédent, d'une primeur.

̃*•

On sait que si le eccur n'est plus tenu comme autrefois pour absolument intangible, les plus audacieux hésitent encore, fût-ce en désespoir de cause, à s'attaquer directement à ce viscère hyper-délicat et ultra sensible. IL- lie- man- que pourtant pas.de circonstancesl'introduction de tel ou tel niédicainent éprouvé dans les cavités d'un cœur en train de flaneber pourrait soulager le malade et reculer l'issue fatale, sinon même lui sauver la vie. Mais comment procéder à cette introduction sans s'exposer à voir le trocart déchirer la plèvre on provoquer une embolie foudroyante ? '?

Aussi, la plupart du temps, se bornet-on à faire au moribond une injection de caféine ou d'huile camphrée dont les neuf dixièmes dilués dans Je torrent circulatoire, ne servent a peu près à rien.

C'est ainsi que l'idée est venue au docteur Foussmann d'essayer d'atteindre le cœur en passant par une veine. Mais comme 'le passage d'un corps étranger le long d'un dédale (le vaisseaux aussi fragiles et vulnérables que le réseau veineux, s'annonçait effroyable, c'est sur le cadavre d'abord puis sur sa personne, qu'il s'est fait la main. Avec succès, bâtons-nous de le dire. Sans autre anesthésic qu'une légère insensibilisation locale, il commença

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par s'ouvrir une veine au pli du coude. Puis, par l'orifice ainsi pratiqué, "il glissa une scr. de de caoutchouc, fine et flexible, la poussa doucement, sur une longueur de soixante-cinq centimètres, à travers les veines du bras, de l'épaule,- jusqu'à ce que son extrémité eut pénétré dans Poreilletle, l'autre bout affleurant la plaie d'entrée.

Les rayons X avaient permis d'ailleurs, île suivre d'un bout à J'aut.rc toutes les phases de. la maiicçuwe, et les radiographies prise:; au fur et à mesure par les assistants angoisses ajoutent au mémoire du docteur Foussmann la plus émouvante des illustrations.

N'allez pas croire que le héros de l'extraordinaire aventure en soit morl, ni même qu'il en ait, à proprement parler, souffert. Pendant le cheminement de la sonde, comme après son. extraction, qu'il a éprouvé de .pire acte unc étrange sensation' :d*h"ypcVt lier mie. Depuis, aucun acciitaiit. secondaire ne s'est produit.

La preuve éUiit donc faite, que, à la condition ck1 savoir s'y prendre, il csfpossib-lc de faire .parvenir impunément1, jusque dans les -cavités du cœur, par l'a voie inlra-veincuse. a .-l'aide d'un tube de caoutchouc stérilise, le médicament revigorateur. •. y. >̃"̃ .> ̃'

Ultérieurement pratiquée sur des chiens moribonds, in même. opération a permis de les rappeler à la vie. I.a;: seule personne humaine sur laquelle elle. .1 été tentée n'a pas. eu la même chance. Mais le mal une péritonite suppurée était trop grave et trop avancé, pour' se prêter la résurrection miraculeuse;: II n'en n*pas moins été possible de prolonger ses jours, après avoir instantanément rétabli les pulsations du cœur défaillant. Il n'y a donc eu ni échec ni contre-indication.

Qui donc, devant un pareil exploit, refuserait d'ùter respectueusement soiv

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Prix de l'uuilhsic. Sir Nigcl. Civette III. l'rix de Cliumblu. Soubadaiv Fils du Ciel.

COURSES A AUTEUR Les Prix Arthur O'Connor et Philippe d'Espous de Paul A la veille de prendre quelques semaines de vacances, Autcuil nous a offert une réunion infiniment agréable. Nous y avons même «oùtc un régal. celui voir Kalley gagner" sur Varias le l'rix Arthur O'Connor. L'excellent jockey s'est surpassé, si l'on peut dire. I! paraît, en effet, impossible de mieux monter sur 'les ii.800 mètres du steeple un cheval qui, comme Varias, a surtout pour lui une pointe finale' de '300 mètres. Quel tact dans le parcours I Quelle magnifique connaissance de l'endroit exact où est le poteau Il est vrai que le représentant de M. Lieux était plutôt, bien placé au poids, n'ayant, par exemple, que trois livres à rendre à rirrfoffunê El Grcco. Mais ceci fait partic des mystères des handicaps d'Auteuil,- qui avoisinent souvent l'insondable.- ̃̃̃̃ En s'adjugeant avec aisance le Prix Philippe d'Espous de Paul où, sur 3.500 mètres des haies, son poids de 66 kilos et demi n'avait rien de particulièrement avantageux pour un quatre ans, Monroiv a encore gravi plusieurs échelons dans la hiérarchie. Il ne doit plus être loin d'y occuper le premier rang. Très bien piloté par le jeune Lacazc, il a pris la tête à l'entrée de la ligne droite, et les véhéments efforts de son aîné Besant, dont c'était le jour, ne l'ont aucunement inquiété. Ajoutons, pour être tout à fait juste, que le terrain sensiblement alourdi a mieux convenu à Monroë qu'à, Besant. Ce qui prouve, en ce gui concerne relu i-ci, que l'cntraiue,uri: même le plus adroit a loisir de choisir sa course, mais qu'il peut lui arriver de voir le ci ri n'être pas avec lui.

Quant à Casse-Noix, sa course a été, comme on dit. trop. mauvaise pour être exacte. Ce beau cheval doit mériter un certain cré.dit. d. Traricux.

Prix Ouistrelmm (sicrplc-chase, à vendre, 1P. 000 francs, :i.0(l mètres). ̃ 1. Surprenant. à M. le comte de Rivaud (R. Trétneain; 2. ldolo di Savoia, à -M. A. Prévost i,I. lue); 3. «JuincvlMe, a M. A. JJeulin (H. Haesi"-(1 long. 1/2, G long., 2 long. 1/2). l'a ri mutin1; :> francs (unifié). Gagnant 1!) francs. l'Iacps Surprenant. 7 fr. ldolo di Savoia, U fr.; Quincville, 7 francs. Prix In Itcllc-Ferrnnnicre (haies, lô.'OOfl fr., .S.100 mètres). 1. Don Zuniga, à. M. A. Veil-Picard i\. Kallcyi 2. Les Rameaux II; a -M. V. J'éraldi <M. Brunet) 3. Diplomate, à M. le comf1- de Uivaud (R. Trémeau) (2 long. 1/2, 1 Ions. "1/2; -1 long. 1/2). Pujl mulnel îi francs (unifié). Gagnant fr 50. Placés J>nn Zuniga, 15 fr. 50 Les RnmeauK II, 35 fr. 50 Diplomate, :ij fr.i0

Prix Arihnr-O'Coiuwr (stecplc-rlmse, handicap,. 30.0(10 francs. 3.800 mètres). 1. Varias, a M. V. Lieux (A. Kalley); 2. El (ireco, à M'. P. B.-Prcsle (P. Romain); 3. Le Miracle, à M. le vicomte M. de Rivaud tf\ Riolfo) (1 long., 5 long., 2 long.)

l'aii •iiutue. à S l'inucs (unillé). Gagnant 23 fr.i0. Places Yarlas, 12 fr. 30; 1.1 Grec"TS fr..10; Le Miracle, 43 francs. Prix Philippe-d'Espous de Paul (haies, handicap. 3(1.000 francs, 3.500 mètres). t. Monr.ië. à M. A. B. de Pucliessc (M. I.a- i-azc) 2. lirsant, à Mme H. Pplafc (A. Kallev) Le Candcrquet, à M. Kmile Marchand (.L OstruioatJ (1 lçng. 1/2., 3 long., 3/4 de loi>g.)

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Prix d'ilallate (stccple-hamiicap, selle, Rcntl -r;<]., 20.000 francs, 3.800 mètres). ))é V, a M. H. Boulangé (.1. Luc); 2. Enfantin, à M. A. P.-Ternynck (P. Hamel) :i. Divin, à M. F. Jacquier (de La ChauvcInis) (loin, 10 long., 1/2 long.)

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Franck Hawkes a échoué. mais il a réalisé

deux belles performances Le capitaine américain Franck Hawkes, qui tentait 1? raid Londrcs-RomeLondres,' entre le lever et le coucher du soleil, a échoué dans sa tentative. Le manque d'essence l'a, eu effet. ohligé à se poser près de Gien, à PoUly-lès'-Gien (Loiret), alors qu'il accomplissait son voyage de retour.

Malgré cet échec, le capitaine Hawkts a accompli une performance remarquable sur ]e parcours Lon,dres-Rome, En effet, il a réalisé la. moyenne de 340 kilomètres à l'heure. Notons que le capifaine Hawkes détient les records de vitesse sur la traversée New-York- Los Angeles, soit 4.525 kilomètres avec 12 heures 25 minutes de vol, à la moyenne de 353 kilomètres à l'heure. Après ravitaillement à Gien le capitaine Hawkes a repris son sol hier matin, à destination du Bourget il est arrivé à 11 h. 7. A son atterrissage, il a déclaré qu'il avait éprouvé quelques difficultés, en franchissant les Alpes. Le capitaine Hawkes recommencera incessamment mais choisira pour sa nouvelle tentative un temps très favorable. L'aviateur a repris son voilà 12 h. 52 il destination de Londres il est arrivé à 13 h. 52, après avoir couvert les 375 kilomètres qui séparent Paris de Londres en une heure. Il bat ainsi de très loin le record sur ce parcours, record qui était détenu par le pilote Delage avec 1 heure 23 minutes.

Mœnsch et Burtin

à l' « Ami des Sports »

Les deux hardis aviateurs Mcensch et Burtin qui, le ? "mars dernier, s'envolèrent à bord d'un avion léger 230 CV, pour accomplir le raid Paris-Tokiô, qu'ils atteignirent et dont ils revinrent en réalisant notamment. le parcours Saigon-Paris en neuf jours;, ont rendu visite mardi, à l' « Ami du Peuple du Matin, hier à 1' « Ami des Sports ».

Ils ont été reçus par MM. Héraud, administrateur délégué de « Figaro » Giron, chef des informations de l' « Ami du Peuple du Soir » Frantz et Marcel Reichel, directeur et directeur adjoint de r_« Ami des Sports » MM. Charles Denis, H. Bruni, Bernard Denizane, Vaillant, Marcel Gentis, docteur Caors, Maurice Capelle, Dauven, Tondut, etc., de la rédaction de l' « Ami du Peuple du Soir », et de 1' « Ami des Sports ». Les deux aviateurs, en l'honneur de qui on trinqua, ont narré quelques péripéties de leur remarquable randonnée aérienne.

M. Chiappe établit

une nouvelle réglementation des épreuves sportives dans Paris M". Chiappe, préfet de police, a signé un arrêté réglementant l'organisation des épreuves sportives sur la voie publique dans le département de la Seine. A partir d'aujourd'hui, les courses pédestres seront interdites dans Paris, sauf à l'occasion des réjouissances publiques et pour un parcours limité à deux rues. Interdiction des courses cyclistes dans Paris.

En cas de courses locales, départementales ou régionales ayant Paris pour point de départ ou d'arrivée, le départ ou l'arrivée dans' la capitale ne pourra avoir lieu "qu'en défilé touristique ne nécessitant pas une interruption de la circulation.

D'autre part, du 1er avril au 31 octobre, aucune course cycliste ne pourra avoir lieu dans un rayon moindre de 25 kilomètres de Paris-Notre-Dame. En ce qui concerne les courses auiomobijes, l'interdiction est générale pour tout le département de la Seine. Il est cependant fait exception pour

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les courses de côtes au -ralenti et les t 1 rallyes. .̃̃ D'autre part, s'il s'agit de courses nationales ou internationales empruntant 1 le territoire du département de la Seine, 1 la traversée dans le département sera: i neutralisée.

Le défilé des concurrents ne devra avoir lieu qu'à l'allure réglementaire1 et seulement avant 8 heures du matin, pour la période comprise entre le 1er avril et le 31 octobre.

Enfin, les organisateurs d'épreuws sportives seront tenus de se conformer à un certain nombre de formalités Ils devront notamment adresser une demande d'autorisation établie sur papier timbré 30 jours avant la date de l'épreuve, et produire une police d'assurance.

Toutes ces dispositions ont été prises en vue d'assurer la sécurité des piétons et. d'éviter de gêner circulation. Les championnats de tennis internationaux de France Les Championnats internationaux, de France, qui commenceront le 17 mai, au Stade, Roland-Garros, s'annoncent au mieux. En effet, toutes les fédérations étrangères ont manifesté le désir de déléguer quelques-unes de leurs meilleures raquettes et si la plupart des listes officielles des différents' pays ne sont pas encore connues, nous pouvons déjà an- noncer la participation certaine des Américains Van Ryn et Lott, de l'équipe japonaise de la Coupe Davis, coinposée de Kawachi et des frères Satoh, des Hongrois Kehrling et Gabrowitz. de Rbgers, etc. et évidemment des meilleurs Français. Du côté dames, M)le Sigart, championne de" Belgique, Mlle Payot, championne de. Suisse miss Thomas ont envoyé leur engagement, et la. participation de miss Jacobs est, à l'heure actuelle, à peu près certaine.

AUTOMOBILE

LP TOUR DE FRANCE

Les concurrents du Tour de France automobile et motocycliste ont pris le départ, ce matin, du pont du Pecq, à six heures, pour accomplir- la première étape. Ce premier parcours comprend 390 kilomètres, l'arrivée devant avoir1 lieu à Rennes. Les contrôles de- passage ont été établis à Evreux, Lisièux, Caen, Vire et Avraiiches.

L'épreuve sera disputée par 90 concurrents, comprenant 44 motocyclettes; et sidecars et 46- voitures. ̃̃•̃

En raison de son importance et des nombreux enseignements, quelle comporte. cette helle manifestation de tourisme automobile et motocycliste sera suivie attentivement par les nombreux sportifs qu'elle ne manquera pas d'intér.'sser.

NOUVELLES DU VOLANT

Les rigueurs de la loi vont s'exercer, en Amérique, contre les conducteurs maladroits. Tout automobiliste condamné pour conduite imprudente sera tenu de porter, sur sa voiture, une plaque rouge, avec initiales R. D. (Reckless Drivers) (conducteur imprudent). Cette mesure leur donnera certainement à réfléchir.

Le multicylindre gagne l'Angleterre. Une firme d'outre-Manche prépare, pour 1e prochain Salon automobile, un châssis qui serait équipé avec un moteur 18 cylindres. constitué par trois blocs moteurs 6 cylindres. Peut-être le verronsnous au Salon de Paris.

Bien que l'application du Diesel il la voiture tourisme, alors" qu'il l'est pour le poids lourd, ne soit pas prochaine, on procède, en Amérique, sur la piste de Dayton Beach (Floride) aux essais d'une voiture qui, si les prévisions se réalisent. devrait atteindre la vitesse de 120 milles à l'heure (164 kil.). On compterait la faire partir dans les 500 milles d'Indianapolis.

La construction motocycliste française sera représentée, à la Course de côte espagnole de la Rabassada. Le coureur lîoetsch, un de nos meilleurs spéclalisfç^ est engagé.

A Vienne (Autriche) le champion allemand Henné a "battu sept records du monde motocyclettes et sidecars. Ses meilleures performances, dans le kilQniàtros." lancé, furent 234 kil. 173, battant le record de 15 kilomètres en catégorie 1.000 eme, 23.°. kil. 253, battant le record de 12 kil. en catégorie 750 eme 204 kil. 500 en catégorie 500 cmc. et 190 kil. 830 en sidecar.

La plus grande vitesse réalisée sur une base fut de 243 kil. 500.

Rappelons que le record du monde du kilomètre lancé, dans k-s deux sens, ap-

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Le Grand Prix Automobile de l'Exposition coloniale, qui devait se courir e 7 juin, sur l'Âutodrome de Montlhéry, i été reporté à une date ultérieure. AVI A f IOH

NOUVELLES AERIENNES

L'aviateur Challes, se rendant au Congo belge pour rejoindre ta mission Houlette à Coquilhatville, avait fait escale hier soir à Biarriti, le temps sur les PvVériées étant complètement bouché.

Le capitaine Chattes est reparti hier matin à 9 heures pour Tanger, via Madrid.

On sait déjà que miss Ruth Nichols, l'aviatrice américaine, a projeté de s'envoler le mois prochain de Harb.our Grace pour tenter de traverser l'Atlantique en suivant l'itinéraire de Lindbergh..

.De. son côté, une sténographe canadienne, miss Edith Me Cell a annoncé son intention d'accomplir également cet

exploit.

Depuis plus d'un an elle travaille a ce projet et elle a pris récemment des leçons de navigation. La jeune fillc vole depuis l'àge de 11 ans et elle se montre particulièrement confiante dans le succès de son entreprise « Si je doutais un instant de ma réussile, a-t-elie dit, je ne partirais pas ».

Lés aviateurs Lalouctte et Boulanger qui devaient prendre leur vol .hier matin du Pecq à bord d'un hydravion Farman 230 à moteur Renault 95 CV. n'ont pas pris le départ. Ils s'envoleront vraisemblablement ce matin pour tenter les records du monde de distance et de durée en circuit ferme pour hydravions biplaces pesant moins de 400 kilos.

TENNIS

NOUVELLES DES COURTS

L'équipe allemande, qui doit rencontrer celle de l'Afrique .-du Sud, les 1er, 2 et 3 mai, à Dusseldorf, a été formée comme suit Landmann, Nourney, Dessart et Buss.

L'équipe de Norvège, pour la Coupe Davis, qui rencontrera celle de Pologne, sera composée de Rolf Christofferseii, Oscar Fajerstrom, J. Nielsen et Thorkildsen.

C. Boussus et Genticn sont actuellement en Angleterre, à Highbury, ils disputent un tournoi, en compagnie de Mlles de Alvarez, et Adamoff. ° Le match– Angleterre-Monaco a commencé hier, à' Plymouth. Ce match compte pour le premier tour de la Coupe Davis.

Le Tennis-Club de Chantilly organise sur ses courts Hévouverts de la Clairière aux Chênes (Lys-Chantilly) un tournoi ouvert du 2 au 10 mai prochain. Epreuves de simples messieurs et dames, double messieurs et double mixte. GOLF

Les matches internationaux

Deux équipes de chacune six joueurs français de golf iront, cette année, à l'étranger disputer les matches internationaux suivants

If Le 31 mai, à Genève, contre une équipe de joueurs de nationalité suisse.

2° Le 21 juin, à Bruxelles, sur le terrain du golf de Ravesteyn, contre une équipe de joueurs de nationalité belge.

FOOTBALL

La finale de la Coupe d'Angleterre sera disputée demain samedi

La finale de la Coupe d'Angleterre sera disputée demain samedi au Stade de Wembley. Elle mettra aux prises les équipes de Birmingham et de West Bromwic.h Albion^ La filiale de la Coupe en Angleterre est un événement d'une grosso importance' qui connaît chaque année un succès énorme. L'immense stade de Wembley, bien qu'il puisse contenir près de 120.000 spectateurs, se révèle en chaque occasion trop petit. Bien que cette fois la finale n'ait pas un retentissement aussi grand que certaines des finales précédentes, comme ChelseaHudersfield ou Àrsenal-Aston Villa, on prévoit une affluence considérable. L'arbitre de cette rencontre sera M. A. H. Kingscott.

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BOXE

ECHOS PUGILISTIQUES

Le Belge Sybille, champion d'Europe des poids légers, a battu mercredi soir, à Bruxelles, le champion italien Locatelli.

Pladner a subi mercredi, à Londres, une défaite aux points devant l'Anglais Benny Sharkey.

Le jeune espoir Young Perez, continuant la série de ses succès, a battu mercredi, par k.-o., à la deuxième reprise, l'Anglais Himpfen.

LE SPORT ET LA FEMME Le match de hockey France-Belgique Samedi 25 avril, sur Ic terrain du Royal Racing, à Bruxelles, sera joué le match inter-nations féminin FranceBelgique. L'équipe de France aura la formation suivante

Btit Mlle Moreau (C. A. M.) arrières Duchesne (L. H. C.), Turpin (L. H. C). demies Mme Hauet (S. F.), Mme Desneux (R. C. F.), Mme Faugoin (P. U. C.) avants Mme Lerulle (S. F.), Mlle F. Beaulieu (R. C. F.), Mme Matthews (R. C. F.), Mlle Pattin (S. F.), Mme Brassart (R. C. F.) remplaçante Mme Vanicr (S. F.). L'arbitre français sera M. Van de Putte (Comité Nord).

ESCRIME

Le gala de l'U. S. G. L. La fête annuelle donnée par l'Union Sportive des Galeries Lafayettc s'est déroulée à la salle Wagram, sous la présidence du général Mariaux. Dès matches donnèrent pour résultats

Flçurçt. Foissac bat Gcnty, 10 à 9.

Sabre. .Mario Garagnani bat Ferryc-

cio Garagnani, 10 à 9.

Epée. Bourdon bat Piot, 10 à 9. Fleuret. Lcmoinc bat J. Dodivers, 10 à 4.

Sabre. De Pignol bat M. Garagnani, 10 à 8.

Fleuret. Edw. Gardère bat Cléry, 10 à 5.

Des assauts permirent d'applaudir en escrime Lucien Gaudin et le maître Remay, A. Gardère et Taillades. En boxe, deux exhibitions opposèrent Criqui'à Max Roger et les frères Etlensperger, 7 et 8 ans.

TIR AUX PIGEONS A la Société d'Entrainement

Résultats du 21 avril 1. Henriet, Renfro et Tiarko-Richepin 7-7. Les poules ont été gagnées par Cavroy, Hénriet, Tiarko-Richepin, comte Pli." de Ségur et Warrcn.

TiR

A la Société Le Faisceau u

Résultats., de la réunion du 21 avril de la Société « Le Faisceau juniors et des officiers-élèves des Ecoles militaires,de Polytechnique, Saint-Cyr et Fontainebleau

Carabine

1. Maroger, 2. Maubrus, Frat et Etienne.

Arme de guerre

1. Maroger, 2. R. Gastinnc, 3. X. Sauvalle.

Pistolet au visé

1. R. Gastinnc et X. Sauvalle, 3. Etienne.

Pistolet ait commandement

1. Frat, 2. Fould, 3. P'an Kin Ngan. Revolver U. A.

1. R. Gastinne, 2. Etienne, 3. Maroger. Frantz-Reichel. Billets d'aller et retour individuels pour stations balnéaires, tltcrmiiles et climatiques

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Ces billets sont délivres au départ de toutes les gares, pendant les périodes désignées ci-après du '^ô mai au :t0 srptembre, à destination dis stations balnéaires; du 1er niai au 25 juin et du 20 noût au 30 septembre, à destination des stations thermales et climatiques.

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̃Mme la comtesse d'Argenson, Mme Albert Arnaud, M. le comte d'Amecourt, ̃ M> le colonel comte d'Astorg, M, le baron d'Arëxy, Mme Aubry-Vitet, Mme Roger S. Barthélémy, Mme la vicomtesse R. de Brisis, M. Jacques E. Blanche, Mme Robert Cottin, Mme la comtesse de Carcaradec, Mme la duchesse de Cadaval, née de Gramont Mme la comtesse Chandon-Moët, Mme Albert Charpentier, Mme E. Colombel, Mme la marquise d Espinay Saint-Luc, M. le comte Charles de Feligonde, Mme Roger de Francmesnil, Mme de Fourtou, M. Robert Froidefond.

M. Marcel Gegout, M. Giscard d'Estaing, Miss N. Harris, Mme Horace Hennion, Mme Ch. Helfer, Mme C. In-

Feuilleton de FIGARO du 24 Avril 1931 (29)

Fille majeure

et célibataire de cette paroisse

;¡'

̃- x ̃

(Suite)

Chaves, dit Dykc, élevant la voix, en voilà assez. Je suis en train de me demander s'il peut être possible, comme on le dit, que vous ayez jadis été un soldat, mêlé à d'autres soldats, vous battant loyalement, comme eux. A quel moment a-t-on découvert qui vous étiez ? Quand vous a-t-on passé aux verges ou marqué au fer rouge, châtié enfin, eomme on châtie les misérables de votre espèce 7 r II parlait toujours, dans l'emportement de son <jéfi, ne sachant guère ce qu'il disait et ne s'en souciant pas davantage. Il entendait la respiration l'Emmie, que la peur rendait haletante et bruyante, et il cherchait à l'étouffer.

Je crois, dit Chaves, que vous feriez bien de boire un coup, maintenant.

i: Merci, je n'ai pas soif.

Martinez, versez-lui à boire. De sa bouteille à. lui. Donnez-lui une bouteille pour lui tout seul. yoilà. Avalez-moi ça

̃? Non, merci.

V, Alors vous feriez bien d'aller vous coucher. -̃«̃ <– Je n'ai pas sommeil.

i-i Buvez. Il se peut qu'ensuite vous ayez som-

L, H, STRAATHOF

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mau-Barnard, M. René Idzowski, Mlle M. de Kergorlay, Mme Paul Labbé, Mme Robert de Lestapis, M. Paul Leclercq, Mme de Lagrésille, Mme la comtesse Charles de Lasteyrie, M. le vicomte I. de La Grandière, Mme Malaquin, M. le capitaine G. Michon, Mme Argod de Maulmont, M. le baron René de Nomazv, Mme Daniel Ollivier, Mme Gustave Osier, M. le comte P. d'Oilliamson, Mme Pouyer, M. Antoine Penicaud, Mme la baronne C. Roulleaux-Dugage, M. Willy Rosinibert, Mme la comtesse de Saint-Mathieu, Mme la comtesse de Sachs, M. Edouard Sauffroy, Mme Serret, M. le vicomte de Toulgoet, M. Joseph Thoniasset, M. le comte de Toulgoet, Mme Feïnand Tampe, Mlle Alix de Vorges, Mme Pierre Vernadeau, Mme de Wagner, M. George Zaidenberg. M. le baron d'Arquinvilliers, Mme Benazet-Barthes, "'Mme 'André .Buisson,' M. le marquis de Baudry d'Asson, Mme Béchet, Mme la baronne Ludovic de Bernis, M. le marquis de Casa Valdes, M. Roger Combault, M. Louis Charlier, Mme là comtesse Christian de Chatellus, M. Léon Duflos, Mme R. Durand-Farde!, Miss Bessie Davidson, M. le comte H. de Dampierre, M. Etienne Enault, Mme Jacques Fabry, M. le marquis Gicquel des Touches, Mme la comtesse de Gibacoa, M. Robert Gouin, Mme la baronne Arthur Hainguerlot, M. le vicomte d'Herbais de Thun, Mme la baronne Jules de Koenigswarter. Mme Georges Lehmann, Mme de La Haye-Jousselin, M. Eugène Lainé, Mme CI. Linossier-Vignaud, M. le docteur Luling, Mme la duchesse de Massa, Mme la comtesse de Montlivault, Maître Pierre Marin, Mme la vicomtesse de Montlivault, Mme de Mimont, Mme de Perrinelle, M. Gabriel-Louis Pringué, Mme Marcel Pillon, M. Roell, M. Jacques Stern, Maître André Salats, Mme la comtesse R. de Sesmaisons, Mme Jacques Sargenton, Mme Roger de Segogné, Mme Michel Sevadjian, Mme Marcel Tavernier, M. Trouble, Mme Olga Vernesco, Mme Ado de Waru, M. Henry Weinbach, M. Miguel Zamacoïs. Mme la comtesse J. Aymer de La Chevalerie, M. C. Bouvet-Mézières, M. Bouchcr-Mallez, M. Edouard Boyer, M. Thomas Van Bombergen; Mme Achille Cochard, Mme la comtesse Chandon de Briailles, M. Henri Coulon, M. le comte Christian de Cibeins, M. le baron de Domecy, M. Dallier, Mme A. d'Estresse de Lanzac, Mme E. Esnier, M, Jean Ferràud, Mme Georges Girard, JL Jean Guillemin, Mme Gaston Gaden, Mme la comtesse A. de Gestas, Mlle d'Hauthuille, M. Gabriel Joly. M. Arthur Lévy, Mme Suzanne Levée, Mme la comtesse du Laurent, Mme Vve Loys Delteil, M. le baron de La Barre de Nanteuil, M. Le Roy, Mme Legru, M. le comte de La Tour du PinVerclause, M. le vicomte G. de Lavernette Saint-Maurice, Mme la comtesse J. Lahens, Mme Edmond de Mauny, Mme la comtesse A. de Mun, M. Sidney Monlun, M. le vicomte du Pontavice de Heussej', Mme la comtesse de Reinach-

meil. Il est si bon, si commode de dormir. Songez qu'il faut que je m'occupe de cet enfant. Quand on dort on ne voit rien, on ne sait rien. Tandis qu'un homme bien réveillé, lié avec des cordes et obligé de voir ce qui se passe.

De nouveau Dyke se mit à parler fort. De nouveau il venait d'entendre le souffle terrifié qui venait du lit. Mais à présent il choisissait ses mots, de façon à soulager si possible la terrible tension de ce témoin silencieux.

Chaves, trêve de sottes plaisanteries. Ne parlons plus en l'air. Soyez raisonnable. Il n'y a rien dans tout ce que vous racontez qui puisse faire peur à quiconque. C'est ridicule.

Soit. Alors buvez. Nous boirons ensemble et puissiez-vous dormir en paix. Voici votre verre. Derrière la haute stature de Martinez le renfrogné, la femme de, l'aubergiste se montra un instant dans l'encadrement de la porte, et Dyke vit qu'elle lui faisait signe de ne pas boire. Cet avertissement était, bien entendu, superflu. Le bandit lui-même avait suffisamment donné à entendre qu'il offrait à sa victime un breuvage truqué.

Je vous suis obligé, 'mais je ne boirai pas. Prenez ce verre.

Dyke obéit alors et, tenant ses yeux fixés sur Chaves il versa le vin sur le plancher et remit le verre sur la table.

Martinez, saisissant un coutelas, fit un pas en avant et tâta la lame avec son ongle.

Restez où vous êtes, mais tenez-vous prêt, dit Chaves. Et il remplit le verre de nouveau. Buvez. Je vous dis de boire, et je n'aime pas qu'on me refuse ce que je demande. Buvez ceci jusqu'au bout. Pour la seconde fois, Dyke prit le verre. Il l'éleva à la lumière, le sentit et l'éleva de nouveau. Buvez donc. C'est bon pour vous. Ça vous épargnera de la souffrance. Oubliez en buvant. Emmie 1 cria Dyke.

Et en même temps il envoya de toutes ses forces son verre en plein dans les yeux caves du bandit.

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.̃Ce.tte(- validité supplémentaire est portée an8J jours pour les circuits de la route de Bretagne et de RocamadourJGorges tlu' Tarn, à 5 jours pour celui de la route des monts d'Auvergne et à 3 jours pour les circuits de deux ajournées au départ de Rocamadour et de*"€apdenac et Figeac et pour le service Quimper-Brest.

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MOTS CROJSES N». 559

Horizontalement. T. Petite blessure. II. Façon donnée au drap; A la voile d'un navire en cas de gros vent. III. Fleuve italien; Initiales d'un ministre des affaires étrangères sous Louis XV. IV. Faisions un profit; Initiale et finale du nom d'un des Etats unis d'Amérique. V. Conformité d'opinion entre tous les membres d'une collectivité. VI. Existence; Sorte de germandrée. ̃ VII. Pli; Négation. Vllt. Frappant, IX. Coiffure pour hommes. X. Parée. XI. Première partie de l'office divin; Pronom latin d'où dérive le nom d'un sentiment peu noble. Verticalement. 1. Retrancher les parties inutiles; Titre donné à certains religieux. 2. Engagement personnel assurant l'exécution d'un contrat; Sur un tambour. ̃ 3. Pour attiser le feu; Possèdent. 4. Lues avec peine; Deux lettres de « Pline ». 5. Adjectif possessif; Nombre en chiffres romains; Consentement. 6. Grand déshonneur. 7. Réunion, dans la main d'un joueur, de deux cartes semblables; Aplanis. 8. Famille princière italienne; Saint normand. 9. Ville de Chaldée; Bizarre. 10. Peu de chose. 11. Lieu de relâche et de ravitaillement; Amiral japonais. Solution du 558

V. Horiz. I). G. Dantziff. 3. Vert. R. B. = Renë Reaumur.

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Chaves poussa un hurlement de douleur et, aveuglé, crachottant, il S'élança, son couteau à la main. Mais Dyke avait eu le temps de brandir son escabeau il le brisa sur la tête de Chaves, qui roula à terre, inanimé. Il se retourna aussitôt pour parer les coups de Martinez àVec les débris, mais son pied glissa sur le plancher mouillé. Martinez se jeta sur lui et tous les1 deux s'écroulèrent, Dyke se trouvant dessous.

Ce tumulte, cette frénésie furent instantanés. Emmie avait bondi au signal et, à demi folle de terreur, elle se'mit à hurler en voyant tomber Dyke et les deux hdmmes se rouler à ses pieds. Alors, une détonation se fit entendre, puis deux, puis trois. La pièce se remplit de fumée et les murs semblèrent éclater sous la force de ces trois explosions successives. Dyke se releva dans ce nuage, saisit la main d'Emmie, l'entraîna par la porte. Vite maintenant. Pas par là. Ici.

La femme de l'aubergiste était là. Elle prit Dyke par le bras, le fit passer par la salle, puis par sa propre chambre et sortir dans l'air froid et pur de la nuit. Dyke jeta un coup d'ceil au coin de la maison. Les chevaux n'y étaient plus. Les hangars se remplissaient de cris les hommes s'agitaient, réveillés qu'ils étaient par tout ce tapage. Venez vite, dit la femme en les entraînant. Mon mari tient les chevaux prêts. Mon mari est un brave homme aussi. Il avait été chargé de garder l'autre porte, mais il me l'a ouverte.

Ils arrivèrent, en effet, jusqu'à l'aubergiste, qui tenait les chevaux. Mais ils étaient poursuivis de trop près. Quelqu'un, Chaves peut-être certainement pas Martinez s'était suffisamment remis pour enlever la barre de la porte principale et hurler des ordres affolés au reste de la bande. On entendait les mules sortir des hangars. Puis les hommes se- mirent à tirer au hasard sur le chemin conduisant à la grand'route. Dyke estima qu'il était trop dangereux de se servir des chevaux comme il en avait eu l'intention. Emmie n'était pas en état de monter et d'affronter tant de dangers dans

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l'obscurité. Mais ces chevaux pouvaient être utiles d'une autre façon.

Il les prit des mains de l'aubergiste, leur tourna la tête dans la-direction de la route et les laissa aller après- leur avoir donné à chacun un coup de pied dans le ventre. Il comptait que, connaissant ia route, ils se dirigeraient certainement vers elle. Tandis qu'Emmie et lui couraient dans une direction opposée, il entendit de nouveaux coups de feu. Les brigands s'étaient évidemment lancés à la poursuite des chevaux dont ils entendaient les sabots.

Après avoir attendu le lever du soleil dans un ravin, ils gagnèrent la route où, presque aussitôt, ils rencontrèrent un officier chilien avec un couple de gendarmes. Leurs peines étaient terminées. Cet officier les informa que deux troupes de cavaliers étaient partis pour la montagne et les brigands ne tarderaient pas à être cernés. Il leur promit aussi que, dans peu de temps,- l'aubergiste et sa femine seraient tirés de leur difficile position. Enfin, il leur procura une espèce de voiture grâce à laquelle ils se trouvèrent bientôt dans le doux et souriant paradis que la nature%a étendu entre lè pied des montagnes et 1'Océàm'

Quel bain nous* allons prendre, Emmie! Et que ça va Mre bon un lit avec des draps! Si on veut bien apprécier. Mais, dites donc, j'ai oublié quelque chose. Le revolver. Il faut que je m'assure de ça.

Et, ouvrant son arme, il vida les six chambres du barillet. Oui, dit-il, c'est bien ce que je pensais. Trois cartouches étaient intactes, mais les trois autres avaient été tirées.

» Vous m'avez sauvé la vie. Vous avez tué'Martinez. »

Et, brusquement, il fondit en larmes.

Vous l'avez tué, répéta-t-il dans ses sanglots. Par exemple, je ne peux pas comprendre comment vous êtes arrivée à ne pas me toucher en même temps. C'est d'autant plus beau à vous. Oh!

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Emmie, ma petite Emmie si fragile, si délicate, la plus brave créature qui ait jamais Vécu, la plus précieuse, la plus divine. Oh! Emmie, Emmie! A Santiago, il apprit par une communication télégraphique de son agent de Buenos-Ayres que l'Australie réclamait bruyamment sa présence trop longtemps retardée. D'importants travaux l'attendaient et il se montra tout de suite très pressé de partir. Tout disposé à oublier ou à remettre à une date indéterminée le brisement des os de ses muletiers infidèles, il ne songeait plus qu'à de nouvelles aventures. Il fut enchanté d'apprendre qu'un yapeur était sur le point de partir de Vatparaiso pour Brisbane. Et comme Emmie montrait peu de goût pour retraverser les montagnes toute seule, il déclara qu'il lui fallait prendre passage pour Panama et là s'embarquer sur un autre navire pour SanFrancisco. De là, elle irait par train jusqu'à NewYork où elle n'aurait que le choix parmi de nombreux transatlantiques.

Ils se séparèrent donc à Valparaiso; et six semaines pi* tard, elle prenait son brcakfast dans la salle à manger d'une pension de famille -de Cromwell Road, à Kensihgton.

':̃ ̃>̃̃ ̃'̃ "M · '̃̃

D'autres voyageurs, assis dans ,1a même salle à manger, regardaient de temps en temps cette dame aux cheveux coupés qui occupait une table à elle seule près de la fenêtre. Légèrement émoustillés par cette curiosité un peu frivole qui semble faire partie de l'atmosphère même des pensions de famille, ils s'étaient déjà arrangés pour savoir que c'était une certain miss Yerinder arrivée la veille au soir de pays étrangers, et ils se demandaient si cette bizarre façon de se coiffer indiquait qu'elle avait eu la fièvre pendant son séjour là-bas. W..B. Maxwell

{A suivre).

(Adapté de l'anglais par M. Lanoire.) ·