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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1931-02-05

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 05 février 1931

Description : 1931/02/05 (Numéro 36).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k296499z

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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SOMMAIRE DE FIGARO

pXÇlE 2. Les Cours, les Ambassades, le Monde ..7. et 'la Ville. Les Echos. La Saison. A. Thomazi En escadre.

PAGE 3. Le tremblement de terre de Nouvelle-,• Zélande. L'enquête parlementaire. Informations politiques. Dernière Heure. PAGE 4. Ch. Dauzats Académie d'agri.culture. Le bal des Petits Lits Blancs. Henri Clouzot Le décor. de la porcelaine. ;y_.Le budget de la santé publique. Revue ,dfe la presse. La transfusion sanguine. PAGE 5. Marcel Boulenger Le rêve des i premiers chemins de fer. James de Co•' quet Les Premières. Les Alguazils courrier des Lettres. Paul Fuchs Société des Conférences. Jean Fréteval Le Carnet du Lecteur.

PAGE 6. La Bourse La Cote des valeurs. PAGE 7. Les Spectacles.

PAGE 8. La Vie sportive.

PAGE 9. Déplacements et villégiatures des ̃•r abonnés de Figaro. PAGE .10.– Marie-Louise Pailleron La vie généreuse et passionnée de Mme de Staël.

LA POLITIQUE

Indiscipline

M. André Tardieu, dans une allocution aux anciens combattants, disait naguère que ce n'était pas « le moment de faire des bêtises ». Sa majorité,

sans doute, approuva ce conseil. Mais elle a montré, hier, que si elle l'avait applaudi en novembre; elle ne^ s'en souvenait plus en février.

Elle applaudit encore les ministres qui lui rappellent qu'elle ne doit pas voter de dépenses nouvelles, que l'équilibre du budget est précaire, que -ï'excadent des recettes est de 40 millions pour 50 milliards, que la fiscalité est écrasante qu'il faut se hâter de voter la loi de finances pour épargner au crédit l'éprèuVè des douzièmes provisoires. Mais, quand un socialiste propose d'augmenter feaJlôifatioas. de bienfaisance quand il demandé d'avoir, aux frais des contribuables, pitié des fnlesr mères ou des infirmes, le bon cœur des ministériels leur ôte la mémoire des" nécessités financières; ils oublient qu'ils sont des contrôleurs de dépenses et se croient délégués de l'Assistance publique. La philanthropie l'emporte, à moins que ce ne soit le souci électoral. Ainsi, hier, ont-ils, malgré le ministre du budget, malgré le président de la commission des finances, renvoyé à cette commission, pour augmentation du crédit, le chapitre du budget de la santé publique relatif à l'aide aux vieillards. L'allocation dont il s'agit a été portée, depuis 1914, de 5 à 50 francs par mois. Coefficient 10. On prétend cette année la porter au coefficient 12. « On absorberait ainsi, a affirmé M. Piétri, la presque totalité de la marge budgétaire. Cela aurait dû arrêter la Chambre net. Elle n'a pas écouté le mir istre. Elle a voté le renvoi. Et par combien de voix généreuses ? 470 Telle est la façon dont la majorité ministérielle observe la discipline et veut la sagesse. On dira ce n'est qu'une feinte, une manifestation humanitaire la commission repoussera 1 amendement. ruineux. Qui sait ?. Il eût été plus sûrv en tout cas, et de meilleure tenue de le rejeter tout de suite et de ne pas risquer des largesses au delà des facultés du contribuable.

D'ailleurs, de cette commission des finances, la rnajorité a-t-elle tant de raisons d'être certaine ? El!e en a abandonné hier la présidence, une fois dé. plus; sans lutte et sans hésitation, à M. Malvy. ^Lorsqu'on demandait aux commissaires modérés, dont aucun n'aurait dû lui donner leurs voix, les rhetifs de ce vote, ils vous le présentaient comme une habileté tactique », vous énumérant au surplus, à mi-voix, toutes les raisons qu'ils avaient de voter différemment, même au scrutin secret. « M. Malvy n'avait pas de concurrent », s'excusaient certains. Et pourquoi n'en avait-il pas ? Est-ce une autre habileïé ? Pourquoi, par contre, deux candidats ont-ils divisé la majorité de droite et permis à M. Lamoureux d'obtenir le rapport général ? La personne de M. Lamoureux n'est pas en cause. Mais est, comme M. Malvy, ancien ministre radical-socialiste et membre important du parti. Il n'est pas besoin d'insister sur l'inconvénient d'abandonner à des adversaires du gouvernement ces deux postes qui, chaciin, valent, au point de vue politique, un important nrriistère. Mésentente, indiscipline ont fait perdre à M. Baréty le rapport général. Au surplus, les so'̃cialistes ont gardé, sans avoir à les défendre, les ïapporis dont 'ils étaient chargés air, bea'ux-arts,

e^signerr.ent technique, Algérie, P. T. T. Autant

c. vchnyu g P. T. T.- Aütant

dr; loups restés aides-bergers, sans protestation des mouionc. La résignation invoquait le budget en -ireours d'examen. Scrupules honorables. Les cartellistes, en 1924, les auraient-ils montrés ? Les socialistes ont failli obtenir l'agriculture •en sus, I.'s y tenaient. Ils portaient, comme candidat à es rapport, M. Vincent Auriol, leur financier en pied; si'i'on peut dire. La S.F.I.O. fait, on le sait, son gros effort de propagande actuellement dans les campagnes. Le budget de l'agriculture était entre ses mains un levier infiniment précieux. Les modérés ne le leur ont pas laissé. C'est un membre de l'Action démocratique qui l'a obtenu, M. Baudoin-Bugnet. Mais ce réel succès (même en y' joignant deux autres attributions heureuses) n'empêch: çzz la jeurnée d'hier d'être, disons, pour ne rien exagérer, regrettable en ses incidents autant qu'en ses résultats.

BU L'L-E T I N DU J O U R

)'" Le chômage

devant la Société des nations

Sorti de la statistique, le Bureau International du Travail est d'un rendement qui justifie mal son coûteux entretien. Son conseil d'.administration vient de tenir une session à l'ordre du jour de laquelle figurait la question, si angoissante pour l'Europe, du chômage: On attendait de ces spécialistes l'indication d'au moins quelques palliatifs à la crise économique. Ils n'ont pu se mettre d'accord que sur des lieux communs Le Temps disait hier soir que les recommandations qu'ils adressent aux gouvernements se présentent comme un bouquet de vérités premières. Les opinions patronales se trouvent, en effet, annulées par les opinions ouvrières, et les causes même du mal étant « controversées », il paraît bien difficile de s'entendre sur le choix d'un remède. Les assemblées ne développent que l'art "de la parole. La pensée et la décision veulent la solitude. Les pompeuses discussions de Genève recouvrent mal les intrigues qui s'y nouent pour iervir des intérêts particuliers. Elles cachent plus mal encore les efforts de l'Internationale syndicale pour faire prévaloir des solutions destinées à ruiner définitivement la société capitaliste. On sait qu'elle propose, pour en finir avec le chômage, l'institution de la semaine de quarante heures, ou de la journée de sept heures. M. Jouhaux affirme qu'on n'aura raison de la crise économique qu'en réduisant la durée du travail et qu'en accroissant les salaires. On peut tout prouver! Mais pratiquement nous voyons ce qu'a produit le marxisme dans le monde la ruine de la Russie, une grande partie, de l'Asie à feu et à sang, d'où une perte immense pour le commerce et l'industrie du monde civilisé. Une diminution du capital, c'est-à-dire de la possibilité des salaires. Le facteur principal de la crise économique est évidemment le marxisme. Quelle autorité a-t-il pour combattre l'état de choses qu'il a créé ? Quel homme raisonnable pourra admettre que c'est en généralisant la cause du nrâf'q'Uîbn y remédiera ? Les théories les plus spécieuses ne valent point contre Fexpérienee malheur te socialisme affiché1 qu'il véutviairé M bpnheur de l'hunià- nité on ne peut plus le croire sur parole depuis que la Russie atteste sa faillite Et ce n'est pas à l'instant J'ôh distingue clairement que la politique de chômage telle qu'elle est pratiquée en Angleterre depuis une dizaine d'années, devient, elle-même, selon l'expression de M. André Siegfried, une cause d'aggravation du mal, qu'il convient de chercher à l'étendre à l'Europe entière. Il est commun de voir des gens qui ont mangé leur bien, faire de beaux raisonnements sur l'économie et la conduite des affaires domestiques. Mais on accueille généralement leurs démonstrations avec un sourire. Hélas pour repousser avec le même scepticisme les conseils de M. A. Thomas ou de M. Jouhaux, on a trop oublié à Genève ce que sont réellement les hommes et trop perdu de vue les principes qui fondent et maintiennent les sociétés LUCIEN Corpechot.

file Vernissage

de la IVe Exposition de «Figaro» » Deux salons avaient été réservés cette fiiis à un groupes d'artistes alsaciens par une attention toute particulière de M. Franç.oiis Coty, désireux de ren- dre cet hommage à "l'Alsace redevenue française. Les visiteurs, très nombreux comme toujours,' ont pris un vif intérêt aux ouvrages sérieux, ennemis de toute virtuosité dans leur réalisme minutieux et grave, de peintres comme MM. Stoskopf, Kamm, Kuder, Schoen, et de ces très savants graveurs que sont MM. Ledoux, Weiss et Brunck de Freundeck.

Auprès d'eux on a beaucoup admiré les puissantes natures mortes de M- Van Looy, les évocations de la vieille Russie; curieusement décoratives, de M. et Mme Braïlovsky, l'envoi varié et brillant de M. Barreda, les'sites italiens de M. Michel Cascella, qui a joint à ses notes grises bien connues des notes bleues et et ensoleillées. Les charmants bouquets de Mlle Ariette. Davids, les paysages de MM. Fernand Maillaud, Emile Bernard, MartinSauvaigo, sont dus à des artistes déjà classés, comme Mlle de Roveredo, MM. Rigaud et Gobo, qui ont joint à leurs peintures un choix très remarquable de gravures et'de dessins rehaussés. L'ensemble -avait, de l'avis général, cette harmonie malgré la juxtaposition de tempéraments très divers,sôuvent difficile à atteindre, et dont l'obtention est un des soucis de cette maison.

Nous avons recopnu .P S'. Exe *M. le comte Manzôni,. ambassadeur d'Italie princesse de Wagram, marquise de CasaMaury, comtesse de Beauchamp, Mlle Marie-Françoise de La Rochefoucauld, comtesse de Waresquiel, donna Irène Depazzi, comtesse Costa, de Beauregard, Mnies Augustin-Thierry, Davico, Mlles Wittgenstein, Midy, M., Mme et Mlle Mante, Mlle Zillhardt, MM. Nestor, André Davids, Emile Baumann; Gabriel Belot, Léon Parent, Charles Masson, Cascella, comte Sarmiento, Armand Godoy, Romanelli, Léon Kamio, Désiré Lucas, Grünn, MartinSauvaigp, Paul Brulat, Robert Guillou, Nestor, Màdrassi, Louis Bréguet, Tony Reymond, Paul Hermant, Georges Scott, Barreda, Jean Lefort, Victor Dupont, Brunck de Freundeck, etc.

k& G o tr D a^ i s à 11 Elysée

lié salon des Ambassadeurs, au palais de l'Elysée. Sur une table repose le trophée de la Coupe Davis, la grande épreuve internationale de tennis, au tirage au sort de laquelle il va être procédé en présence de M. Gaston Doumergue, président de la République.

Dans le salon, en attendant le chef de l'Etat, se sont groupes les ambassadeurs des nations engagées dans la célèbre épreuve. Voici: MM. von Hoesch, ambassadeur d'Allemagne Quinones de Leon, ambassadeur d'Espagne le baron de Gaiffier d'Hestroy, ambassadeur de Belgique de Chiapowski, ambassadeur de Pologne Dunand, ministre plénipotentiaire dé la Suisse M. Adatchi, ambassadeur du Japon M. Cesiano, ministre de Roumanie, etc.

Sont également présents: MM. le comte Clary, président du Comité olympique français Léon Breton, J. Rimet; Lucien Desnues, vice-présidents et trésorier du Comité national des sports ;M. Pierre Gillou, président de la Fédération française de lawn-tennis Jean Borotra, un des conquérants de la Coupe Davis Max Decugis, ex-champion de France.

Derrière un barrage de fauteuils et canapés superbes, les représentants de la presse sportive et potttiqne;~française et £irangère.

A 16 heures, précédé du chef du protocole, M. de Fouquières, et accompagné de M. le général Lasson, le chef de l'Etat fait son entrée.

H est reçu par M. Morinaud, sous-secrétaire d'Etat à l'éducation physique, qui, en une courte et élégante allocution, remercie le président de la République d'avoir bien voulu pour la quatrième fois présider et procéder à ce tirage au sort. M. Gaston Doumergue répond. Il déclare que c'est, en effet, la quatrième fois qu'il a la satisfaction de présider au tirage au sort de la célèbre compétition il la doit à la valeur de nos champions dont il a pu admirer, sur les courts du stade RolandGarros, le brio, l'énergie, la courtoisie et la discipline, qualités d'ailleurs qu'il a appréciées au même degré chez leurs adversaires. Le chef de l'Etat termine en souhaitant que la victoire aille aux meilleurs, avec l'espoir que ces meilleurs seront cette fois encore les Français.

M. Pierre Gillou dépose alors dans la Coupe les bulletins qui portent les noms des trente et une nations engagées dans la Coupe Davis de 1931. M. Gaston Doumergue tire le premier bulletin tour à tour, à l'appel de leur pays, les ambassadeurs s'approchent de la table, tirent un bulletin et décident ainsi du destin de la Coupe Davis qui sera cette année disputée pour la vingt-sixième fois. On trouvera en rubrique sportive les résultats de ̃ce solennel tirage au sor| f' Frantz-Reichel. Frantz-Reichel.

~b'

La langue Jçançaise condamnée en Turquie

Une brève dépêche, parvenue de Stamboul avanthier soir, est demeurée privées de tout commentaire dans la plupart des journaux. La voici « Le ministre de l'instruction publique va déposer un projet de loi interdisant aux enfants turcs de fréquenter les écoles primaires étrangères. » C'est une étape de plus dans le déclin de notre influence traditionnelle aux portes de l'Orient. Cette étape était prévue. A-t-on fait ce qu'il' fallait pour l'éviter ?

Il y a environ un an nous avions eu l'occasion d'entretenir de la question le comte de Chambrun, notre ambassadeur en Turquie, lors d'un de ses passages à Paris, et nous lui avions donné connaissance d'une lettre,' dont le texte original est sous nos yeux, émanant de l'Institut des Frères des écoles chrétiennes. Le signataire écrivait « Une perspective alarmante, c'est le projet de loi actuellement en préparation interdisant aux en-

fants de nationalité turque de suivre l'enseigne-

fants de nationalité turque de suivre l'enseigne-

ment primaire dans lés écoles étrangères. Du coup, les écoles françaises qhi, de ce chef, seraient particulièrement atteintes, perdraient environ les trois quarts de leur population scolaire. Et combien deviendrait difficile lé recrutement d'élèves à même de suivre avec profit les cours secondaires » Tout un plan s'exécute, patiemment, méthodi- quement. Il s'agit d'éliminer notre culture, de ré- duire, jusqu'à l'annihiler, notre rôle ancestral et de fermer aux courants d'idées issus de la civilisation française de la civilisation française surtout, notre rôle héréditaire là-bas ne permet pas d'en douter les milieux universitaires et les centres de formation morale.

Un tel renversement' des choses ne manque pas d'une particulière amertume dans le pays même où, lors des cérémonies pascales, notre représentant n'a pas cessé de recevoir les honneurs liturgiques en hommage à nos privilèges séculaires. Il serait aisé de rappeler comment, en Hongrie, en Allemagne, en Grèce, notre langue subit un sort également déshérité. Mais, politiquement, où est l'origine du mal ? cette forme du nationalisme ottoman en l'occurrence puise-t-elle sa logique ? Dans notre prosélytisme révolutionnaire, et dans cet apostolat des nationalités qui a multiplié à travers le monde des foyers d'effervescence dont il serait bien vain maintenant, dans la plupart des cas, de combattre les manifesta-

tions. ̃̃. ̃* i ̃•,̃.•• :j ;̃?-• '-••'̃

Nul n'ignore quels services incomparables rendirent à notre prestige national sous les cieux lointains les établissements d'enseignement religieux. En juillet 1930, le Vakit, un des plus anciens organes de la presse turque, s'éleva astucieusement contre l'école de Notre-Dame de Sion, contre les collèges Jeanne-d'Arc et Saint-Benoît, ces mainteneurs de notre magistrature intellectuelle. Or, dans l'édiforial d'un journal français (la cartelliste République, fidèle son anticléricalisme aux fins destructrices), on put lire, le 26 septembre 1930, cette approbation « Nous nous associons entièrement à la protestation de notre confrère turc. » L'enseignement catholique est, hors de nos frontières, le meilleur auxiliaire de notre diplomatie. Les attaques de l'étranger contre lui, ainsi que les appuis dont ces attaques bénéficient chez nous, visent donc directement le rayonnement de notre génie pourtant généreux et pacificateur- s

Gaétan Sanvoisln.

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? BILIrBT PE 'MINUTir

Etre 7930

Ainsi que la plupart des personnes arriérées qui n'ont pas mis leur conscience en dépôt dans une banque, j'ai des principes et j'en prends avec eux à mon aise, parce que j'ai su néanmoins garder une certaine souplesse d'esprit. Il en est un cependant avec lequel je ne transige guère je suis rebelle à l'interview, je ne réponds jamais aux enquêtes. Il faut me surprendre, ou piquer ma curiosité. Ce n'est pas facile. C'est ce qui m'est arrivé ce soir. Pouvais-je refuser ma porte à une jeune femme de lettres qui m'avait fait passer une carte où je lisais ces mots prometteurs EVE 1930 ? Elle entra donc. Je vous fais grâce du portrait, vous la voyez d'ici. Mon temps est précieux, me dit-elle d'abord. Le vôtre aussi, peut-être ? C'est pourquoi j'ai fait graver ces cartes, qui ne vous révèlent ni mon nom séculier ni mon adresse. r

A quoi bon ? ?,

mais qui vous indiquent en deux mots trois lettres, quatre chiffres l'objet de ma visite. Je vous entends. 'Vous êtes la jeune fille moderne et vous venez me demander ce que je pense de vous. Qu'est-ce que vous notez sur votre calepin ?

Que vous êtes un mind reader.

Merci du compliment. Je veux vous en faire un à mon tour, sur votre économie. C'est une vertu bien française, mais, en l'occurrence, mal avisée car elle me dicte ma réponse, ou plutôt elle pose la question préalable.

Pardon, je ne comprends pas un mot. Vous usez vos cartes de l'année dernière EVE 1930, et vous dites que vous êtes la jeune fille moderne En êtes-vous bien sûre ? Vous avez une petite sœur.

C'est assez drôle mais j'appartiens à une génération qui n'aime pas l'esprit.

t– Je croyais déjà m'en être aperçu.

Parlons sérieusement. Corrigez la date, mettez Eve 1931. Ou mettez que je suis la jeune fille moderne à un mois près.

Hélas mademoiselle, vous l'avouerai-je ? En 1931 comme en 1930, cette expression « la jeune fille moderne », qui vous paraît toute naturelle, et avantageuse, me semble comique au suprême degré. Elle me rappelle une formule qui faisait bien rire mes contemporains quàftcT nous étions au collège, il y a cinquante ans ou un. peu plus « Nous autres,, hommes dû moyen âge, »., Ce sont là' au rebours de ce que marmotte Bxjd'Oison, de ces choses qu'on ne se dit pas à soi-même on ne peut les dire que de la troisième personne, celle de qui l'on parle. Voilà encore que vous faites de l'esprit C'est plus fort que vous.

Trop aimable.

Encore une fois, parlons sérieusement. Vous ne trouvez pas que nous sommes très différentes de nos devancières ?

Terriblement, au dehors. Si tu voyais dedans Pardon, je vous tutoie c'est pour faire comme vous car vous avez pris ce genre déplorable de tutoyer vos camarades garçons. Il est aussi convenu que vous parlez de préférence aujourd'hui des choses dont il était convenu hier que vous ne parliez pas, et que vous faites, ou que vous faites 1 semblant de faire ce qui était défendu aux jeunes filles, par définition. Mais qu'importent les modes qui passent, et qu'est-ce que tout cela qui n'est pas éternel ?

Pourtant, notre sensibilité.

Avez-vous inventé un frisson nouveau ? Vous* i possédez, pour l'usage de la sensibilité, cinq sens, comme de tout temps. « Comment se porte mademoiselle votre fille » demande Dorante à Mme Jourdain, qui répond « Elle se porte sur ses [ deux jambes. » Tant que la fille du bourgeois gentilhomme se portera sur ses deux jambes, malgré j le tumulte des apparences, rien d'essentiel ne sera changé ici-bas.

Abel Hermant,

de l'Académie française.

fluronsHnotis la Haute Gour ?

LE RAPPORT DE M. BUYAT

La commission d'enquête fait connaître ainsi les conclusions de ce rapport

M. Louis Buyat a fait un exposé de son projet de rapport.

Il s'est d'abord attaché à examiner les diverses solutions qui peuvent être envisagées celle du jury d'honneur, dont la sanction peut être un vote de flétrissure, celle du renvoi devant la Haute Cour de justice, celle du renvoi devant la juridiction du droit çomonun. ̃̃'

M. Jaunis Buyat s'est déclaré favorable, quant à lui, au renvoi devant la Haute Cour. Il s'est attaché à en expliquer le mécanisme, en précisant que c'était à. la Chambre seule qu'il revenait de décider de la mise en accusation. Il a rappelé que la Haute Cour pouvait s'étendre aux coauteurs et aux complices qui ne sont pas par eux-mêmes ses justiciables.

Le rapporteur a f ait connaître à la commission les raisons de son choix que détermine surtout la 'nature de l'infraction.

Il s'est ensuite attaché justifier, au point de vue pénal, le renvoi devant la Haute Cour et à préciser le mécanisme par lequel la Haute Cour pouvait être saisie par la commission d'enquête.

La commission délibérera vendredi sur l'exposé de M. Buyat.

̃

CONTRE LE COMMUNISME Ce que sera la journée du 25 février

Poursuivant sa courageuse campagne contre le Communisme, notre directeur, M. François Coty, 4 publié hier, dans l'Ami du Peuple, l'article quet voici

Le bruit circule, en ce moment, avec persis* tance, qu'une journée révolutionnaire comrnui niste est en préparation pour le 25 février prochain, sous couleur de protestation contre let chômage réconfortés par la mise en liberté dit traître Marty, les agents de Moscou tenteraient* ce jour-là, de renouveler leur entreprise du} 1er août 1928, qui échoua grâce nos opportun nes révélations.

Hâtons-nous de dire qu'en l'état présent deai préparatifs, connus de nous, rien n'annonce que la journée du 25 février doive être gravement troublée, en France, tout au moins* C'est plu, tôt en Angleterre, et surtout aux États-Unis* que des incidents sanglants sont à prévoir. D'immenses préparatifs sont, en effet, en$ cours dans ces deux pays pour entraîner lat multitude des chômeurs et lui faire prendre une. attitude révolutionnaire. En admettant que les! chômeurs anglais, largement pensionnés par, l'Etat, montrent peu de goût pour les violences qu'on leur propose, la situation se présenta tout différemment aux Etats-Unis, où l'assis-i tance aux chômeurs s'organise seulement, alors que l'agitation communiste bat son/plein depuis de longs mois.

En France aussi, l'angoissant problème du. chômage commence à se poser, grâce aux méi faits d'une politique parlementaire détestable^ car, dans un pays à natalité faible, et par sur" croît, privé par la guerre de tant de bras valides, c'est un scandale que le travail devienne in* suffisant pour la main-d'œuvre disponible. Mais, si inquiétant qu'apparaisse l'avenir, crise n'a pas atteint chez nous' la gravité ardemment désirée par les gens de Moscou, qui esti* ment avec leur, porte-parole Barbusse, que Ici « misère est une bonne condition révolutionnaire ». La base manque donc pour une agita-* tion de grand style, comme celle rendue possU blepar J' existence de deux millions de chô* meurs anglais, de quatre millions de chômeurs allemands, de cinq millions de, chômeurs américains.

Il est donc a peu près certain que le 25 février se passera, chez nous, sans échauffourées graves. Nos informations nous permettent d'assurer que les troupes d'assaut du Communisme, tenues en réserve pour une occasion meilleure, ne donneront pas ce jour-là, ou se borneront à manifester en province, là où la force publique, est insuffisante pour leur tenir tête. Le principal effort sera fourni par les syndicats de la C.G.T.U., qui organiseront quelques démonstrations de chômeurs, des meetings, voire des grèves d'une heure dans les ateliers moyen tout à fait indiqué, estiment les agitateurs, pour procurer du travail à ceux qui n'en ont pas.

Et le gouvernement, si toutefois nous en avons un le 25 février, pourra monter au Capitole, en proclamant qu'il a maintenu l'ordre dans la rue et mérité la confiance du pays. Est-ce à dire que cette confiance est partagée par les gens renseignés, et notamment par les quelques fonctionnaires qui font encore leur possible, sans trop espérer de l'avenir, pour barrer la route au Communisme ? Il suffit, pour sentir quelle inquiétude ils éprouvent, d'étudier le projet de réorganisation de la police parisienne qui vient d'être présenté au Conseil municipal de Paris, et adopté presque sans discussion par celui-ci.

La caractéristique de cette réorganisation, d'ailleurs habilement conçue, est que la police de Paris cesse d'être une force de vigilance se consacrant, sur tous les points de la capitale, à la répression des délits courants, pour devenir une force de combat orientée vers la résistance à des émeutes organisées et l'on sait suffisamment que celles-ci ne peuvent venir que d'un seul côté de l'horizon.

Cette évolution apparaît nettement dans la suppression des traditionnels et commodes commissariats de quartier, auxquels le public parisien était habitué, depuis plus d'un siècle, à s'adresser journellement, mais qui avaient ̃ l'inconvénient d'être mal organisés défensivement, pourvus d'un nombre d'agents insuffisant pour faire face à un coup de main, et par ( conséquent faciles à enlever et à désarmer par une bande organisée selon les traditions communistes.

( En concentrant désormais ses troupes dans les vingt mairies d'arrondissements, objectifs importants à protéger en cas d'émeute, le préfet de police obéit à un principe stratégique impéi rieux se rassembler pour combattre. Et il souligne encore sa préoccupation en demandant, et en obtenant, un supplément de 900 agents destinés à renforcer sa réserve génétrale, qui seront toujours prêts à être transporj tés en masse, par camions automobiles, sur lés points menacés de la capitale.

> Impossible de démontrer plus clairement que ce haut fonctionnaire juge inévitable la reprise de l'agitation insurrectionnelle communiste. 2 On ne peut d'ailleurs que le féliciter de se mettre en état de n'être pas surpris et débordé par elle, comme il le fut dans la nuit du 23 août 1927, quand les hordes de Vaillant-Couturier


furent maîtresses incontestées de certains quartiers de Paris.

Mais on esl en droit de se demander à quoi rime une politique qui consiste, d'une part, il perpétuer le péril communiste, en ménageant ses propagandistes et en amnistiant ses chefs, d'autre part a accumuler des moyens de répression éventuels pour le jour, qui viendra fatalenient, les hordes aux ordres de Moscou passeront de la propagande a l'insurrection. Le moindre inconvénient de cette politique est de coûter fort cher la réorganisation de la police parisienne, que nous venons d'analyser, reviendra aux contribuables parisiens à la bagatelle de 98 millions d'impôts supplémentaires. Et cela pour le seul espoir– qui sera. peut-être trompé que la police restera finalement maîtresse de Paris, après une lutte inévitable, qui ne peut manquer de multiplier les deuils et les

ruines;:1; •. •"̃ ̃ ̃

Nous n'avons pas cessé de préconiser une so-: lution plus simple mettre les chefs communistes et leurs principaux agents hors d'état de nuire, en leur fournissant l'occasion d'aller expérimenter, à la Guyane, les méthodes de- travail forcé qu'ils trouvent dignes de tous les éloges, quand on les applique aux malheureux Russes. Le parti communiste français ne survivrait pas huit jours à dette mesure de simple logique.

Le procédé serait rapide, définitif et il aurait. l'avantage de ne pas coûter 98 millions. Quand on songe que M. le juge Peyre, toujours plongé dans l'instruction du complot communiste du l°r août 1928, en a remis en liberté les coupables, sous le prétexte délicieux qu'il n'y avait pas de place, dans les prisons de la République, pour les abriter Ils étaient une centaine. Avec les 98 millions que vont dépenser supplémentairement les contribuables parisiens, c'est-à-dire avec un million par tête, n'y avait-il pas, vraiment, moyen de les loger décemment ?

:̃{̃̃̃: FRANÇOIS COTY.

Mort du vice-amiral Gauchet `

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.Le vice-amiral GaucheJ,' du "vcà(Jr£ de i-ésçrvje"r e§.t:mort,iuer matin à Vain» (Manche),- où. "il; s'était retiré. '•̃'̃ ̃̃ Né en 1857, entré à l'Ecûle navale en 1874, il avait eu une carrière très brillante, dont les premières années se passèrent en embarquements lointains, à Terre-N.euve, en Extrême-Orient, à la Réunion, au Sénégal. Lieutenant de vaisseau commandant la canonnière Lion, il assista à la guerre russo-japonaise et remplit plusieurs missions difficiles avec un succès remarqué. Il commanda ensuite le Cassini, le Jemmapes, le Friant, le Masséna, le Léon*Gambetta, le Pothuau, et se distingua particulièrement comme organisateur de l'artillerie à bord des navires. On lui doit des méthodes de tir qui améliorèrent grandement la valeur militaire de nos bâtiments.

Vice-amiral en 1913, il fut d'abord appelé à diriger les services des travaux de la marine. Puis, en octobre 1915, il prit le commandement de la troisième escadre, aux Dardanelles; en mars 1916, celui de la première escadre, enfin, en décembre -de la -même année, il succéda à l'amiral Dartige du Fournet comme commandant en chef de l'armée, navale et des forces alliées en Méditerranée. Pas plus que son prédécesseur, il n'eut dans ces hautes fonctions le rôle actif qu'il avait espéré. Mais il montra la plus grande énergie et une valeur militaire exceptionnelle dans la direction de la lutte contre les sous-marins, dans l'organisation des convois et des ravitaillements, dans l'entrainement du personnel à tous les degrés de la hiérarchie. Il ne quitta son commandement que pour passer au cadre de réserve;5 en' août 1919." Il êtâtt- grand-croix-. de la Légion d'honneur et avait reçu la médaille militaire en 1929; ̃̃'̃:̃̃̃ ̃̃̃ -i:i. .M. Charles Dumont, ministre de la marine, a décidé de se faire représenter aux obsèques par le vice-amiral Violette, chef d'état-major général, et a exprimé, par télégramme, à la famillle de l'amiral, les regrets de toute la marine. « Son rôle brillant pendant la guerre, a-t-il dit, et ses magnifiques qualités de chef, restent gravés dans toutes les mémoires. »

LA SAISON

;“̃ ) AU MONT REVARD

On a fêté, avant-hier soir, au Mont Revard, la victoire de Picabia, classé second, dimanche, au concours international de saut à 'Chamonix. Picabia, un des as du Mont Revard, élève du sympathique professeur Tangwald, se mesurait avec Vuillemiez, le champion suisse des 75 mètres, et quelques fameux chamoniards, tels que Hugon, Germain, Mollier et d'autres.

Tous les habitués du Mont Revard qui connaissaient la belle tenue de Picabia au tremplin de la Gaillarde, n'ont pas été surpris de sa victoire.

Le jeune sauteur, classé second sur quinze concurrents Vuillemiez étant classé premier et qui a ainsi fait brillamment triompher les couleurs du Mont Revard, 3iété félicité par tous au cours d'une -petite fête dans le hall de l'Hôtel du P.-L.-M. «r; V^' v, ',̃ Et ce fut aussi la fête du professeur TangwaW, l'animateur de tous les sports et l'ami de tous les sportifs auxquels il donne chaque jour, sur les hauteurs neigeuses du Mont Revard, de belles leçons d'intrépidité et d'élégance..

DE FONT-ROMEU

La neige qui tombe en abondance dans le Roussillon semble vouloir favoriser le Concours international de chasse-neige organisé par le Touring Club de France, qui aura lieu du 15 au' 1 février, à Font-Romeu. En attendant, les hôtes nombreux de la grande station de sports d'hiver s'en donnent à cœur joie sur les pentes ensoleillées. En intermède aux épreuves de ski et de patinage, un concours du « bonhomme de neige » a obtenu un vif succès. Des prix ont été attribués au « Pierrot de MM. Grassi et Bordas, au « Sphinx de MM. Robert et Dagorne et à 1' « Ours de M. Robin.

Au Grand Hôtel et du Golf, lés galas du samedi connaissent la plus joyeuse animation. On reconnaît parmi les nombreux hôtes

Prince, princesse et Mlle de Caraman-Chimay, comte et comtesse J. de Lastic Saint-Jal, comtesse Henri de Lastic, marquis de Villahur, marquis et marquise de Nazelle, Mme et Mlle de Nioac, baron et baronne Edouard de Rothschild. M. Georges Péreire, Mme Prouvost, Mme Mure et M. Jacques Mure, Mme et Mlle Castillon du Perron, M. et Mme Bosch, M. Jurgens, baronne de Flaghac, Mme L. Jurgens, Mme et. Mlle Basset, Mme et Mlle Rein, Mme Polianowsky, M. Hazèldine. Mlle M.-L. Ternvnck, M. et Mme Dagorne, docteur Gaignard, docteur Banois, Mme de Ferluc, M. et Mme Robert, Mme Julienne, M. Modiano, M. Pi y Suner, Mme Dano, M. et Mme Parant, Mme Christen, M. Albarell, M. Moreno, M. Frias, Mme Foidart, M.. Feigenberg, etc.. DE MENTON

Chacun des Thés-Galas que l'Hôtel Impérial donne chaque dimanche attire une assistance plus dense, plus élégante. Parmi celle qui assistait au Thé de dimanche dernier, notons

Princesse Nijéradzé et ses invités, Mr et Mrs W. H. Peckitt, Mmes Berglaz, lady et sir Samy Japhet, M. et Mme Max Broder, Mr Orridgé et ses invités, Dr et Mme de Pauli, Mrs Ayden et ses invités, Mr et miss Russel, M. et Mme Grouber, Mr et Mrs Johnson, Mrs Barriett, Mme et Mlle Schertzer, lady Williams Richer. M. George Thomas, miss Seymour-Benett, Mr et Mlle Kessel, etc. Au programme Mme Olga Mossolowa et son parteiiairej tous deux très applaudis.

Les Cours, les Ambassades, le Mottdè et Vîlïe

i~G~ ~Uul~) iC~ ~r~lI~U~ULC~~ -> ~C ITJL~MUL~ Ct JL<1 Vii~C

Les Cours

̃ Après le séjour qu'il vient de faire en Croatie, S. M. le Roi de Yougoslavie vient de quitter Zagreb pour rentrer à Belgrade. '̃'

̃ JLes petits Princes Pierre, Tomislav et André sont arrivés, hier à Bled et y seront rejoints par S. M. la Reine Marie, leur mère.

Dans les Ambassades ̃ S. Exe. l'ambassadeur des États-Unis et Mme Edge recevront aujourd'hui 5 février, de quatre à six heures, 2, avenue d'Iéna. > .̃̃̃ S. Exc. M. P. de Margerie, ambassadeur de France, à Berlin, vient de donner un déjeuner auquel assistaient M. et Mme Henri de Peyerimhof' Fontëhelle, comtesse Jean de-Reviers de Mauny, Mlle.MilleCandiani, M. et Mme Roland de Margerie, M. Marcel Achard, M. Ravoux, baron Denaint. '̃' J La .comtesse Jean de Reviers de Mâuny est. à Berlin, l'hôte de son beau-frère,. S.. Exe. M. P. de Margerie, ambassadeur de -France.

S. Exc. M. Augusto de Castro, ministre. du -Por- tugal, nommé à Rome, sera remplacé à Bruxelles par S. Exc. M. Alberto Olivera, ministre d'Italie, qui occupa naguère le posté de Bruxelles. Dans le Monde

Mme Pinel et Mme H. d'Escatha viennent de donner une réception pleine d'entrain pour les amies de leurs filles. Au cours d'un très brillant cotillon, des souvenirs ont été distribués aux danseurs. Remarqué dans l'élégante assistance marquise, et. Mlle de Canchy, marquise et Mlle d'Armaillé, Mme et Mlles Espivent de La Villesboisnet, marquise et Mlle de Negroni, vicomtesse et Mlles d'Anterroches,Mme et Mlles Choppin de Janvry, vicomtesse et Mlle .de Kermadec, baronne et Mlle de Bray, vicomtesse et Mlle de Franclieu, vicomtesse et Mlle de Sallmard, baronne et Mlles F. de La Motte, comtesse et Mlle du Paty de Clam, Mme et Mlles de Montplanet,' comtesse et Mlles de Chasteigner, vicomtesse et Mlle de Lignac, baronne et -Mlles de Champchevrier, comtesse et 'Mlle de Montarby, vicomtesse et Mlle de La Hitte, comte et comtesse Paul de Lasteyrie, baron et baronne de Seroux, vicomtesse du Saillant, comte et comtesse dé Beaurepaire de Louvagny, comte-et comtesse de La Taille-Trétinville, Mme et Mlle Marcille, Mme et Mlle de Lannoy, Mme et Mlle de Fourtou, Mme et Mlle Le Grix de La Salle, Mme et Mlles de Chergé, Mme et Mlle. Liébaut, M. et Mme de Sénailhac, Mlles de Bourbon-Chal.us, de

Saint Tr;vier,Biéton-Duquesnaÿ;de Parad~s 'dg Saiâ=

Saint-TriyierA Brèton-Duquesnay,' de Paradè:s^dé"(Sa'la-

berry, de F.ougères,. de La :Fu-s.nte," .Heurtéau'Éûréàil', dé Viga'n, dé" W^ru, dé Kerléadec, de CazenoVe', Peysonnièrie,ds Grammont, Leclerc, dé La Maisonneuvej Bebqùét de Hégllle, de Toulgoët, de Bretagne, de Beric, de Porquier de Lagarrigue, Herbelot, de Lomënie, de Laage ds Meux, de Nomhac, Cézanne," de Guingarid comté de Villèle, vicomte de Talhouët, vicomte de Lapéroûse, comte d'Arnoux, MM. Le Grix de La Salle, d'Orfond, de Vaumas, Franck, de La Porte, de Ségogne, barons Levert, comte de Leusse, MM. de La Source, de Montmarin, vicomte de Fontenioux, MM. de Coligny, de Pichon-Longueville. O'Byrne, de Louvencourt, vicomte d'Hautefort, comte de La Lande de Calan, MM. du Moulin de Labarthète, de La Taille, de Gouray, etc. Mme Boas de Jouvenel a donné, ces jours derniers, un déjeuner en l'honneur de M. Bodrero, viceprésident de la Chambre des députés italienne, et de Aime Bodredo.

Les autres convives étaient: M. Pilloti, président de la cour de cassation d'Italie; M. Righetti, député au Parlement d'Italie; l'ambassadeur et Mme Philippe Berthelot, M. Joseph Berthélemy, membre de l'Institut; le sénateur Lémery, M. Pierre Dupuy, directeur du Petit Parisien, et Mme Pierre Dupuy; Mme Paul Dupuy, M. Jacques Ebstein. M. et Mme Mario Meunier, le- professeur d'Avila, Mme Ribardière, M, Sam Quinchon, M. René Boas..

M. et Mme Georges de Kerchove d'Exaerde, aidés de leurs filles, viennent de donner, à Bruxelles, la semaine dernière, u'ne très jolie soirée dansante au cours de laquelle a eu lieu une distribution de ravissantes fleurs. La fête fuheltarrnag|e et pleine d'entrain. Reconnu Mme Piers de Raveschoot, Mme Gabriel Piçrs' den'Râvescnoô'f, ̃" cSiinesSe ^Rïpnaët? dé' ''Mëeûs, 'baronne A. de CrombrugghV, ^tjaro'nne Christian ̃Kervyn' de'-Volkaersbeke, M'rne-aer> PâltbulfîMrife d-s Bajllony Mftfe' Robert Iweins dé AVayra"»éj AttrieiCharies deGhellinck d'Elseghem, Mme Amaury de Kerchove d'Éxaerde, baronne Ignace de Biolley, Mme van de Walle de Ghelcke, Mme de Simon Triest, Mme Robert de Borchgrave, Mme Joseph Mélot, Mme de Bernard de Fauconval, Mme B. Maus, Mme Marcel van Maldsghem, baronne Gontran de Crombrugghe de Looringhe, baronne Léopold de Bonhomme, Aime Maurice de Hennin de Boussu Walcourt, Mme A. Henry de Hassonville, Mme Term.oniaj Mme Carlos Boucher, Mme de Maurissens, Mme Victor Stas de Richelle,, Mme Le Clément de Saint-Marc, Mme de Donnéa de Fologne,Mme de Munck, Mme de Hassonville,, baronne van Pottelsberghe de La Potterie, baronne Victor van Eyll, Mme Misson, Mme de La Vallée Poussin, Mme Hollanders de Ouderaen, baronne G. de Garcia de La Vega.

Mme C. Bernheim de Villers-, née Raimon, a donné, ces jours derniers, un élégant goûter.

Dans l'assistance S. Exc. le comte de Maleville, ministre de Monaco S. Exc. le ministre du Panama et Mme Amador, S. Exc. le ministre du Pérou et Mme Cornejo, princesse Rogatien de Faucigny-Lucinge, comtesse Gérard de Ligniville, marquise de La ChapelleCrosville, princesse Nicolas Obolensky, comté et comtesse de Chambrun, amirale Dumesnil, comte et comtesse de Belleville, princesse J. Sturdza, comtesse R. de Percin, Mme Lucien Allez, comte et comtesse Louis de Villèle, comtesse de Fossa, Mme de Esteban, marquise d'Ornano, comtesse de Rocquigny, Mme Raimon,. vicomtesse de Gaillard, baronne van Lenuep, comtesse .Çourgaud du Taillis, comtesse Chr. de Castries, Mlle d'Alton, comte et comtesse Gérard de Fossa, comtesse M.TrL de Cheffontlines,M/V'et Mme Y.' Raimon,- baron 'eijbâïo'rïne. Pasquier, Mme Turquau, comte de Rougérrict/it, corrite Olry de $aint-Sernin, marquis de Migré, comte Lpuis de Champeaux, comte de Lenoncouft, comte Elie de La Morinière, comte Espierre, comte Régis de Villèle, baron Cachard, comtè de Jametel, commandant Tampé, comte de Obidos, MM. Duchesne-Fournet, de Sierra Valle, de Saint-Rémy, de Révottes; Raimon, de Bernard, G.-L. Pringué, etc.

Le docteur et Mme G.-A. Dixon ont donné, le 3 février, un élégant dîner en l'honneur de S. Exc. l'ambassadeur des Etats-Unis et de Mme Edge. Les invités étaient l'Hon. John Ridgeley Carter et Mme Carter, Mme Fernand Bret, général et Mme Taufflieb, comte du Temple de Rougemont, M. et Mme Miller, Mme Tod, M. et Mme Nelson D. Jay, M. Fermer. Naissances

Le baron et la baronne de Sainte-Fare, née de Laflotte, ont le plaisir de faire part de la naissance de leur fils Guy, le 25 janvier. ••̃̃̃.

Mme Marcel Chaumet, née Henriette Monnet, a heureusement mis au monde une fille Thérèse. Le lieutenant et Mme Joseph de Préval sont heureux de faire part de la naissance de leur fils Max. Strasbourg, le 19 janvier 1931. Bienfaisance

Demain vendredi 6, lés. samedi-:7 et–dimanche S février, de quatorze à' dix-huit heures, aura lieu, 36, rue de Reuilly, une vente organisée pour jés besoins de l'église Saint-Eloi.

Cette pauvre chapelle'en bois, à demi croulante, est bien peu digne de ce grand saint, patron des fondeurs, et;:de. la. si nombreuse et si intéressante, population de ce quartier. On ne saurait trop recommander cette vente intéressante à la charité de tous. ̃̃-••̃- Le thé-bridge de bienfaisance gui devait; < être donné le mercredi 11 février au bénéfice de la Ligue nationale contre le taudis, dont Mme Georges Leygues est la présidente-fondatrice, est remis à une date ultérieure. Rappelons que, le 14 février,, une soirée de gala aura lieu- dans les salons de l'Hôte! des Invalides, prêtés gracieusement par le général Gouraud, au profit de l'œuvre du Dispensaire du cinquième arrondissement, dirigé par Mme Lane-Fallières. On sait que ce dispensaire vient d'être créé, il y a quelques mois, pour secourir la population et sauver les enfants, du quartier Mouffetard, où la misère est grande. On trouve des cartes à vingt francs chez Mme Emile Cachéux, 25, quai Saint-Michel, et chez Mme Lane* Fa,llières, 2, rue de Tournon.

Cercles

Au scrutin;- de,: fcaïïçttagev 4'hjerr: Cercle .de l'Union artistique, ont éfetreçire à* titré permanent M. Ernest;Cordier, présenté par MM. Félix Vernes et Gabr.iérBftïzon ;'M. fE'âouifd,<|eyiî.e,?^: .présenté par MM. Félix Vernes et Henry Desprèz M. Gérard Vernes, présenté par MM. Félix Vernes et Henry Desprez M. Robert d'Eichthal, présenté par MM. Eugène d'Eichthal et Pierre Mirabaud M. Daniel' Coste, présenté par MM. Pierre Mfrabauder "Emmanuel Rousseau; -• Demain, vendredi 6 îévrier, à quinze heures,. au lyeeum-de -France,. 17,; rue de Belleçhasse, concert ay'eç^ le concours de Mlles Marie Àrnoulx, pianiste; Reine' Narbert,- cantatrice; Mona. Sarigor MM. Roger Deponnet, violoniste; Gérard Hékkîng,' violoncelliste; Auguste Chapuis, compositeur.

Rappelons. que les réceptions organisées par lés. comités du.-Ly.ceum de France et. de A'Aat^rnqbjle Club Férnirnin, à l'occasion de la prqmp.tjon d'officier dans l'ordre de la Légion d'honneur de leur présidente, la duchesse d'Uzès, née Mortemartj aura. Jieufje mercredi 11 février, de quatre à six heures.

.-̃̃ ̃• *̃̃«• ;• .•̃ '-̃•!̃ '»•

Mariages ̃ .̃• 'r.' ;>w V -.̃ Le mariage de Mlle Nicole Frébillot avec M. Philippe Marconnet vient d'être béni en l'église Saint-Vincent-Saint-Fiacre, à Nancy.

Les témoins de. la mariée étaient Mme Lucien Poinçaré et M. P. Desfôrges, président dé la Société nancéenne de Crédit ceux de M. Marconnet étaient: M. Reibel, député de Seine-et-Oise, ancien ministre, et M. Ribière, directeur du Crédit National.

? En l'église de Saint-Maurice de Monplaisir, à Lyon; Mgr Arthand, prélat de Sa Sainteté, a béni le mariage de Mlle Anne-Marie Tardy, .fille de M. Auguste Tardy, ingénieur civil des mines, et de madame, née Arnaud, avec M. Antoine Balas, croix de guerre, fils- de Mme Jules Balas, née Ponchon.

Le service d'honneur 'était -assuré par; Mlle MarieAntoinette Tardy.et M. Lucien galas, Mlle Clotilde Tardy et M. Robert Balas, Mlle Elisabeth Ray et M. Hubert Tardy, Mlle Yvonne de La Bussière et M. Gabriel Neyra, Mlle Thérèse Neyra et M'. Louis Ray: >̃: Les mariés 'étaient. précédés à la sortie par un groupe- d'enfants ̃: C. et. M. Delorne, Denise Tardy et René Delouis, Jacquine Tardy et Paul Delouia, Hélène Voiturier'et Paul Balas;; venaient ensuite après les mariés et leur service: d'honneur suivis, de M./ Auguste Tardy et Mme Jules Balas; M. Joseph Balas,:ët Mme Auguste Tardy, M. Maurice Tardy et Mme Ray, M. Jean Tardy et Mme, Jean Tardy, M. Ray et Mrne .François Hautier, M1." François Hautier et < Mme jNeyra,.iM-Neyra'et;Mirne, Voiturier, 'M; PjerreBalas etiiMme. Joseph. Balas; le, docr

teuR Voitnf Jer. tjet Mmp -Maurj)S% Tardy*- -Mv 1 Dejoujs- et

Mme Pierre Balas, M. Pierre Tardy et Mme Pierre Tardy. Après la cérémonie, une brillante réception a réuni les parents et amis des deux familles.

Par suite de la mort de .M. Laisné des Hayes, le mariage de MtîeaMarre-Geneyjève ,Birbn>,avec M. Pierre de Longcamp sera célébré dans.la plus stricte intimité. Deuils. ̃•.̃• :j-. ̃ •:•.

Oh annonce la mort de la comtesse Henry de Courcy, née Fould, décédée /le 3 février, munie des sacrements de l'Eglise. Elle était la mère de la comtesse de Gramont-Lesparre. Ses obsèques auront lieu demain vendredi 6 février, à dix heures et demie, en l'église Saint-Pierre de Chaillot, où l'on se réunira. L'inhumation se fera ultérieurement, à Colpo (Morbihan). On est prié de considérer le présent avis comme une invitation.

Nous apprenons la mari, de ..la comtesse Raoul de Diesbach de Belleroche, née Eléonor Linda EganDesmond, pieusement décédée en son domicile, 67, boulevard des Invalides. La cérémonie religieuse sera célé^brée demain vendredi 6 février, à'dïx heures, en l'église Saint-François-Xavier, où l'on' se réunira. L'inhumation aura lieu le lendemain da;os le caveau de famille, à Grivesnes .(Somme). présent; -avis tient lieu d'invi- tation.

'-f- On annonce la mort- de- ̃Mme Pierre Cltesnelong, née Jeanne Hovelacque, -survenue à Besançon le 1er février 1931. ̃ i ̃- >'̃̃'

-Mme-éJwsnelong. était-.da-VfiUve-de-MT-Eiewe-Cnes».

helong, ^nc^n bâtonnier au barreau (Je..Lille la belle-.

fiaéy*aa3^efôénatéu0HÇ%j-J|s*,Ç^aft^tens,'&t;la*.t^lle»i

sœur de l'archevêque cJs.Sens.

L'inhumatio'n aura lieu dans la sépulture de famille, à Pérenchies (Nord), le lundi 9 février.

Nous rappelons que la messe de bout de l'an célébrée en mémoire 'de Mlle 'Françoise-Georgina Siorcesco sera dite aujourd'hui jeudi, dix heures et demie, '-en l'église Saint-Philippe du Roule (chapelle de la SainteVierge). Dé la part de M. et Mme André Maurois et de Mme Maurice Pouqust.

Au Congo belge a succombé dernièrement le R. P. Fulgence de Granunont, des Frères mineurs càpucins, préfet apostolique de. l'Oubanghi beige. Mme Cornet, née Louët, sœur du commandant Louët, premier médecin de S. A. S. le prince Louis II de Monaco, est morte récemment à Sainte-Foy-les-Lyon (Rhône).

Nous .apprenons la mort du médecin colonel en retraite Albert Godet, commandeur de la Légion. d'honneur, croix de guerre.

̃ On annonce la mort de M.- Famechon,- directeur honoraire de l'Office nationai du tourisme et directeur du service des permis de conduire, décédé en son domicile, à Paris.

Nous apprenons la mort de Mme de Althaus, née Dartnell, décédée hier, 4 février 1931. en son domicile à Neuilly-sur-Seirie', 104, avenue de Neuilly. Ses obsèques auront lieu lé- samedi-- courant, à neuf heures trente précises, en ^l'église) ^Saint-Pierre de Neuilly (90, avenue du Roule); qù l'Oit se «réunira. Ni fleurs ni couronnes. Le présent -avis- tieïU- lieu d'invitation.. i •btt-, On.. annonce la mort'du pa.r.pn Coche de La'F-efté,' chevalier ,.dé' là'. Légion a'honripûr'j décédé 'à. Coulombs, -dans sa soixante-sixième année, "après 'une. longue et douloureuse maladie.

Il était le père et le beau-père du baron Pierre Coche, premier secretaire.de l'ambassade de France à Varsovie, et de. la .baronne Pierre Coche; de MM. Edmond et Etienne 'Coche d.ë,'La Ferté, dtt baron et de là. baronne1 Gérard de Wattevillé, de M. Jacques de Neuflize et de. Mme Jacques de Neuflize, dêcédéê.

Un service sera célébré le samedi 7 février, à Coulombs (Eure-et-Loir), où a'ura.Heu l'inhumation. Il ne sera, pas envoyé de, faire-part, le présent avis en tenant lieu. On nous prie d'annoncer la mort de M. Georges Laisné des Hayes, pieusement décédé le 3 février, dans sa cinquante et unième année, au manoir de la Varende. Ses obsèques auront lieu demain 6 février, à dix heures et, demie, à Mesnil-Simon (Calvados). M. et Mme Robert Germot, Mlle Monique Germot viennent d'avoir la douleur de perdre leur mère et grand'mëre, Mme Langlois van- Ophem, pieusement décédée à Bruxelles, le 21 janvier. Ses obsèques ont eu lieu à Aerschot. i

On nous prie d'annoncer' la mort de M. Fernand. Guitel, pieusement décédé en son domicile, 11, rue Cernuschi, dans sa quatre-vingt-troisième année. De la part de Mme Fernand Gùite!, M., et Mme Robert Duchesne et lews enfants, Mlle, Josette Guitél.

Les obsèques auront lieu demain vendredi 6 février, à dix heures trente du matin, en l'église de Marly-le-Roi, où; l'o.h se réunira. Il ne seraip,ys envoyé de faire-part; le présent" avis tient lieu" d'invitation. Départ de Paris. Saint-Lazare, train de 9 heures, 29. Nous apprenons la mort de Mme A. Valadon, née Laporte, décédée en son domicile,- 4, rue de Luynes, dans sa iSoixanté-dix-néuVième :à'nnée. Nous rappelons qu'un service '.pour le repos de l'âme de M. Gaston François-Sigraiid, $ez& célébré, demain vendredi 6 février, à onze heures, en l'église SaintPierre de Neuilly (90, aven«e-du Roule).

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TEMPS IPlROTBiieiLlE pour le 5 février ..j v

Région parisienne- temps froid. Ciel séném- lem'èttt couvert) brumeux tin peu ..de neige. Vent'Nord-* Est modéré, puis variable faible. Température' station-: nëire ou en très faible' baisse. Maximum: 2". •̃' France. En Bretagne, régions Sud et Sud-Est, ciel nuageux avec quelques éclaircies averses de pluie ou grésil. Vent' du secteur Nord-Est fort dans le Sud-Es,t, modéré en Bretagne. Température en faible baisse. Autres régions,. ciel couvert, brumeux, quelques chutes de neige. Vent du secteur Nord-Est modéré. Température stationnaire.

Manche. Temps couvert, brumeux quelques, chutes de neige. Vent Nord-Est puis variable faible à modéré.

Méditerranée. Ciel nuageux avec averses et grains. Vent modéré du secteur Nord dans le Nord, variable ou Ouest dans le Sud.

Ii'eselavage

Le 16 pluviôse, an II (4 février 1794),la Convention nationale décrétait l'abolition de l'esclavage dans toutes les colonies. Voilà donc un anniversaire à rappeler, bien qujéîë'dëcret de la Convention n'ait pas, longtemps, été "Suivi d'un plein effet. Cette befeure: était l,"aboutissement de bien des Campagnes tjui 'avaient récla'rné la [suppression: d'itjv étf t( de chçT ses qu6 Ton- considérait conïrne1 an reste de la barbarie. "̃"̃ '••'̃" ov"

En dépit de tous ries efforts, il paraît que l'esclavage n'a pas complètement disparu, de la surface du globe. Des relations de voyage parues récemment ont montré qu'il existait toujours des marchands d'hommes. Et la Société des nations est appelée à s'occuper de la question. Il y a là un sujet de développements éloquents. Mais, en fait, il sera sans doute difficile de détruire pratiquement les foyers où se perpétue ce commerce. Comment, d'ailleurs, ne pas songer, quand on voit les assemblées internationales inscrire ce problème à l'ordre du jour de leurs séances, comment ne pas songer qu'un grand peuple à l'Est de l'Europe est tout entier tenu dans l'esclavage par un régime qui, par une dérisoire ironie, prétendait l'affranchir. de la tyrannie et l'élever à la liberté. Et qu'ont fait les nations préoccupées du trafic du Hedjaz ou d'autres contrées lointaines, qu'ont fait les nations contre cette forme moderne de l'esclavage qui menace l'Europe et la civilisation ?

II n'y a pas seulement l'esclavage politique ou social dont il faudrait s'affranchir. En dépit des siècles gui passent, en dépit des progrès de la science, l'homme ne Teste-t-iLpas soumis aux -.pas. sions*: «eux préjugés ? Combien d'entre nous,, si nous faisions sérieusement notre examen de conscience, pourraient dire qu'ils ont fait vraiment effort pour se dégager ? Rien n'est plus difficile que de devenir un homme libre.

Artigny,

Clymène rue de Varenne.

Les cabinets des nouveaux ministres sont à présent au complet. D'ordinaire, les noms qu'on y trouve ne sont pas très connus. Les Parisiens. et les Béarnais, et tous les « fervents des muses », comme on eût dit autrefois, ont remarqué avec d'autant plus de surprise et de joie, dans la liste des collaborateurs du sous-secrétaire d'Etat à l'agriculture, le nom, déjà renommé, de M. Tristan Derème, ami et collaborateur de Figaro et fêté de tous ses lecteurs. M. Tristan Derème est nommé chef du secrétariat de M. Achille Fould. Nous adressons nos cordiales félicitations au chef du secrétariat. et à son chef.

L'auteur de La Verdure dorée était, à vrai dire, tout désigné pour trôner à l'Agriculture. Inutile d'ajouter qu il répondra en vers à toutes les demandes de rendez-vous, tout en composant de nouveaux, poèmes des Colombes., Et, du coup. Patachon va entrer à Grignon

La conférence de M. René Benjamin. J" Précisons que c'est à vingt et une heures, ce soir, que M. René Benjamin fera, à la salle de la Société de Géographie, 184, boulevard SaintGermain, sa conférence si impatiemment attendue sur « L'Art daïigereux des conférences ».

L'ami fidèle.

A Asnières, à l'entrée du curieux cimetière des chiens, on pouvait remarquer jusqu'à ces dernières années le petit tombeau sous lequel avait été enfoui le chat d'Henri Rochefort. Le compagnon favori du célèbre écrivain ne fut pas même évoqué dans les quelques articles pu.bliés ces jours derniers à l'occasion du centenaire. Et pourtant, vit-on jamais animal plus fidèle"? Jusqu'à la mort, c'est le cas de le dire. puisque dès l'instant ou la dépouille d'Henri Rochefort quitta la maison, le chat refusa toute

nourriture et se laissa mourir dans un coin. Des mains pieuses, en souvenir du maître, firent en- terrer la bête à l'île aux chiens. On lui confectionna même un durable tombeau de pierre. Mais le temps passe, les concessions aussi. Il" n'en est plus trace aujourd'hui.

:-• INSTANTANÉ

MARCELLE TINAYRE

\? X' ennemie in time e

Depuis bien des mois et des mois, Marcelle Tinayrd se recueillait elle nous livre aujourd'hui son œuvre la plus achevée. Un roman qui se déroule dans l'âpre atmos.phère rouergate, dans un de ces milieux d'après-guerre où s'est produit un désaxement caractéristique des mœurs,* i comme des sentiments.

Quel récit I Quelle atmosphère créée par Marcelle Tinayre dès les premières pages de son livre Comme l'éternel conflit entre la loyauté et la ruse, entre la passion rayonnante et l'égoïsme « dësséçh'eur », est marqué ici de traits ineffaçables Et quelle grandeur dans. la tragédie du dénouement 3 i~ v

̃?. ̃̃̃•̃•̃ ̃•ir-yua'U

Un concours qui a du succès. 'J

Le concours organise par -Les Enfants de. France, la grande revue illustrée de la jeunesse, obtient un succès prodigieux. Il est vrai qu'il estouvert à tous les lecteurs et superbement doté zA 30.000 francs de prix.

Le numéro du 1" février réunit une collaboration d'élite. P. Couteaud y parle de Pierre Loti qui fut son camarade d'escadre. Mme Camille Mayràn y continue son magnifique voyage le long de l'année. Et voici des dessins et des chroniques signés Jean d'Agraives, Pol Rab, Favrot Houllévigue, C. Schwaebel, le Vieux Scout, Béatrice Mallet, M. Lemainque, M. Al-< lorge, Arielzara, Desc, Max Joly.

Demandez un numéro spécimen gratuit, 14, rond-point des Champs-Elysées. Le numéro du 1" février est envoyé contre la somme de 3 francs.

Fariné réglementaire.

Les polémiques sur la farine ont des répercussions imprévues. On l'a vu en ce jour de la Chandeleur où se sont vendues en abondance les « matières premières avec lesquelles on fait les crêpes, dont, en premier lieu, la farine< Rue Lepic, un.écriteau annonçait « Farinei réglementaire nx.>••.̃'̃ ;.y.i Cette référence n'est-elle pas curieuse? < 41, "Ma farine est en règle avec la loi1, semble dire ce marchand. Je ne précise pas « fine F iieùr », niais je proclame que le service des fraudes n'y trouverait pas à redire.

Aurons-nous une farine administrative? Le Masque de Fer.

Présentation de Collections GALLOT SŒURS, 9 et 11, avenue Matignon, actuellement. JEANNE LANVIN, 22, Faubourg-Samt-Honorej actuellement.

JENNY, 70l Champs-Elysées, actuellement. MARY NOWITZKY, 82,; rue des Petits-Champs, actuellement.

BRANDT, 16, rue de la Paix, actuellement. MARCEL ROCHAS, 100, Faubourg-Saint-Honore, actuellement.. LOUISEBOULANGER, 3. rue de Berri, aujourd'hui. MADELEINE VIONNET, 50, avenue Montaigne, aujourd'hui.. ÂUGUSTABERNARD, 3, Faubourg-Saint-Honore* aujourd'hui.

LEDA, « pour le sport et la pluie n, 59, Fau-< bourg-Saint-Honoré (entrée 29,^ avenue MarignyV aujourd'hui/

CECILE WELLY, 130, Boulevard Haussmann.iaUr. jourct'huiv-1 < -;ï- •̃• *̃̃<> ̃•'̃ ̃'̃ ANTOINE ET JORDAN, 37, avenue des Champs* ElVsées, aujourd'hui. °

JEANNE' TOURNIER, 16, place Vendôme, au-* jourd'hui.

WORTH, 7. rue de la Paix, le 7 février. Mme THOMAS, 41, rue Boissy-d'Anglas, le 7 février'

EN ESCADRE Le facteur vitesse

A boiuj DU « Duguay-Trouix », février. Je dois beaucoup de reconnaissance au ministre de la marine qui m'a permis d'embarquer pour une semaine sur un bâtiment de l'escadre de la Méditerranée. Le moment était particulièrement favorable, cette force navale venant de recevoir le renfort temporaire de la division d'instruction, qui rentrait d'une croisière aux Antilles le viceamiral Durand-Viel, commandant en chef, ne pouvait manquer d'utiliser la présence de ces trois beaux croiseurs pour faire exécuter des exercices d'autant plus intéressants qu'ils ont, dans les circonstances actuelles, la valeur d'expériences à peu près inédites. •̃

Les navires de surface entrés en service depuis la guerre appartiennent à plusieurs types différents, mais ils ont pour-caractère commun d'avoir. tous dépassé à leurs essais la vitesse de 33 nœuds, naguère encore réservée aux torpilleurs les plus rapides. A allure réduite, consommant peu de combustible et ménageant leurs appareils moteurs, tous atteignent aisément 20 nœuds (37 km. à l'heure), c'est-à-dire le double de ce que font dans les mêmes conditions nos cuirassés fatigués par la guerre, et que nos ministres de la marine, exclusivement occupés par les constructions neuves, n'ont pas osé rajeunir en y remplaçant comme l'ont fait Anglais et Américains la chauffe au charbon par la chauffe au pétrole.

Ces cuirassés eux-mêmes, quand nous les remplacerons, ce sera par des bâtiments dont la vitesse ne sera pas très inférieure à celle des croiseurs, en sorte que tous les problèmes qui se posent déjà ou se poseront bientôt aux chefs d'escadre ont leurs données profondément modifiées par cette mobilité.

Comme première conséquence, deux forces navales lancées l'une contre l'autre se rapprocheront si vite qu'elles n'auront presque plus le temps d'évoluer il faudra donc qu'elles aient pris à l'avance une formation permettant l'emploi immédiat de leurs armes ensuite, qu'elles n'effectuent que des manœuvres très simples et pour ainsi dire instantanées. Sans doute, l'état-major général a prévu ces conditions nouvelles il n'en est pas moins nécessaire d'expérimenter formations et manœuvres, pour les perfection 11er si c'est possible et pour assurer Ja transmission (si difficile.) des ordres qui les déterminent.

D'autre part, contre les croiseurs d'aujourd'hui, l'action des bâtiments de flottille est devenue sin-' gulièrenient incertaine, qu'il s'agisse de torpilleurs ou d,Ç,, sous-marins les premiers ne pouvant plus gagner leur but à la course, marchant même moins vite que lui' si la mer est un peu forte, les seconds n'ayant fait aucun progrès depuis la guerre sous le rapport de la vitesse en plongée, élément tactique essentiel de leur Leur mise en œuvre, l'appui, mutuel qu'ils peuvent, se prêter, la recherche de procédés qui augmentent leurs chances d'atteindre, fût-ce au prix de beaucoup de torpilles; des objectifs aussi mobiles, sont l'objet d'études auxquelles la pratique doit apporter sa sanction. Ces études sont encore compliquées par la difficulté de voir de loin et de reconnaître des navires bas sur l'eau, qui n'émettent plus de fumée, à moins qu'ils ne le fassent exprès pour se cacher, et dont la silhouette est* semblable, à l'échelle près, de 1.500 a 10.000 tonnes.

E! il y a. sur les navires de toutes classes, à tirer' le "meilleur rendement 'il'un matçriel très perfec-1 lionne, mais complexe et. très fragile,, avec un personnel dont la bonne volonté, si grande qu'elle


soit, ne peut pas toujours compenser l'inexpé- rignee. L'application des nouvelles lois militaires est, pour la marine, d'une gravité extrême, et nécessite des mesures sans lesquelles la construction de navires serait bien inutile en les attendant, il faut s'accommoder de ce qui est, et cela n'est pas. toujours aisé. ,<

L'escadre de la Méditerranée travaille de tout » son cœur à résoudre ces problèmes délicats, dans des sorties dont aucun instant n'est perdu le mazout qu'elle brûle coûte cher, et les crédits du budget ne doivent pas être dépassés. Le commandant en chef a arboré son pavillon sur un croiseur, le Tourville, afin de diriger personnellement les exercices. Il y apporte l'intelligence vive, la puissance de travail, la sûreté de jugement que la marine lui connaît depuis le début de sa carrière, et le don de susciter autour de lui l'effort et la bonne humeur à la fois. Les commandants, les officiers, sensiblement plus jeunes que jadis, sont pleins d'entrain, et ils aiment ce qu'ils font. Aussi cette escadre donne-t-elle une impression de belle et féconde activité. Manœuvres, attaques, tirs d'artillerie, lancements des torpilles, se succèdent de jour. et de nuit, dans le cadre de thèmes à double action, où toutes les armes ont leur rôle. L'aviation n'est pas oubliée, loin de là, L'aviation maritime

A bord du « Duguay-Trouin », février. On ne peut plus concevoir aujourd'hui une force navale agissant sans aviation. Dans l'exercice à double action auquel j'ai assisté, c'est par les avions qu'ont été signalés les navires qui représentaient l'ennemi quelques jours auparavant, les avions. avaient répéré un à un les sous-marins placés en barrage sur la route que devaient suivre les cuirassés, et grâce à eux ceux-ci les auraient aisément évités. Le rôle de l'aviation navale a subitement pris depuis la guerre une importance énorme, à cause des progrès mêmes qu'ont faits les navires tous sont devenus très rapides, et si les petits atteignent aux essais des vitesses supérieures à celles des grands, leur avantage disparaît dès que la houle se creuse quelque peu; même dans les circonstances les plus favorables, il ne saurait être question de les employer aux reconnaissances dont la nécessité est pourtant rendue plus impérieuse encore par la rapidité des déplacements. Seule l'aviation est capable d'éclairer une division de croiseurs modernes.

Si l'on ajoute à celte fonction capitale de l'aviation navale ses diverses utilisations militaires -tréglage du tir à grande portée, bombardement des navires ennemis, lancement de torpilles, chasse des appareils du parti adverse on constate qu'elle intervient forcément dans toute opération de notre flotte. Et l'on constate en même temps que toutes ces formes d'activité sont inséparables de l'activité des navires, que. les appareils ne peuvent être montés que par des marins, que -leur direction* 'ne peut être confiée qu'au commandement maritime. Il n'y a pas. de place ici pour des formations s aériennes indépendantes, ni pour des chefs étrangers, la marine et résidant dans des centres de régions, quels qu'ils soient. Que l'on demande làdessus l'avis des amiraux, des commandants ou celui des aviateurs, la réponse sera la même l'aviation maritime doit faire corps avec la marine, sans quoi l'une et l'autre en seraient singulièrement affaiblies la première ne serait plus bonne à rien et la seconde à pas grand'chose.

Cette aviation, les projets qui attendent toujours ladiscussioh au Parlement ont voulu en faire deux organisations séparées l'aviation côtière, appartenant au ministère de l'air, et l'aviation embarquéé, laissée à celui de la marine. Mais les hydravions à grand rayon d'action, les plus utiles pour l'éclairage des escadres, ne peuvent être mis sur des bateaux il faut donc les loger à terre d'autre part, ceux qui sont lancés des porte-avions ou des croiseurs (dont chacun en porte un ou deux) ne peuvent pas toujours rejoindre leur bord et doivent alors atterrir dans une station côtière. 11 est bien difficile, dans ces conditions, de maintenir le cloisonnement imaginé par les auteurs des projets de loi. Cette difficulté est d'autant plus grande que l'aviation côtière elle-même doit, neuf fois sur dix, accomplir des missions dont le caractère maritime est tout aussi marqué que celui des missions de l'aviation embarquée. Et enfin, comment celleci vivrait-elle si son personnel devenait distinct de celui de l'aviation côtière, si elle était traitée en étrangère dans les centres du littoral ?

On a déjà un avant-goût de ce que serait cette situation I)"1" la manière dont le ministère dé 1 air agit à l'égard de cette aviation qui prétend .rester maritime.: elle est dès maintenant la parente pauvre qu'on espère réduire par la famine. Triste spectacle, en vérité Que va faire le gouvernement? Le nouveau ministre de l'air, M. J.-L. Dumesnil, rapportant précédemment le budget de la marine, a parlé du « schisme de l'aviation navale », qu'il fallait éviter en laissant cette aviation au ministère de la rue Royale mais le sous-secrétaire d'Etat, M. Riché, dans ses rapports sur les projets d'organisation des forces aériennes, a soutenu la thèse des sportifs l'aviation aux aviateurs! qui trouvent que ces projets font trop de concessions et réclament le ministère de l'air « intégral ». Laquelle des deux conceptions l'emportera ? La puissance de la France sur mer en dépend.

A. Thomazi.

Informations politiques

Le rapport général du budget

La commission des finances de la Chambre a nommé hier un nouveau titulaire du rapport général du budget, que détenait M. de Chappedelaine avant d'être entré dans le ministère Laval.

Ce scrutin a lieu, on le sait, au scrutin secret. Au premier tour, trois candidats se trouvaient en présence. M. Lamoureux, radical-socialiste, était celui des gauches M. Barétv, républicain de gauche, et M. de Tinguy du Pouët (U.R.D.), s'opposaient à lui. Dès le premier tour de scrutin, 22 voix se portèrent sur le nom de-Jl. Lamoureux, 16 sur celui de M. Baréty, et 6 sur celui de Tinguy du'Pouët. 1 1 1 `' Au second tour, M. Lamoureux recueillit encore 22 voix, M. Baréty 21 et M. de Tinguy une seule. Un troisième tour fut nécessaire, la majorité absolue de 23 voix n'ayant pas été atteinte. M. Lamoureux fut alors élu par" 22 voix contre 21 à M. Baréty et une à M. Malingre, qui n'était pas candidat. Un commissaire, Si. Delesalle, ayant annoncé qu'il posait sa candidature au rapport du budget de 1 air, dans l'hypothèse où M. Renaudel, condamné par son parti, on le sait, à abandonner dans un an ce rapport de défense nationale, s'en dessaisirait avant, M. Léon Blum déclara que lui-même serait candidat au rapport général en 1933

Le bureau de la commission des finances M. Malvy, président sortant de la commision des finances de la Chambre, a été réélu président par elle. Il n'avait d'ailleurs pas de concurrent. Les vice-présidents sortants ont été réélus également, excepté M. Paul Reynaud, qui ne pouvait se représenter, étant ministre des colonies. M. Chassaigne-Goyon a été élu à l'unanimité à ce poste.

La commission a procédé à plusieurs désignations de rapporteurs

Agriculture. M. Baudoin-Bugnet (Action^ démocratique), a été élu par 23 voix contre 20 à M. VincentAuriol (socialiste S.F.I.O.). Finances. M. Baréty a été élu par 23 voix. Travail. M. Malingre a été élu par 22 voix contre 19 à M. Frédéric Brunet. M. Malingre ayant abandonné le budget des monnaies et médailles, dont il était titulaire, la commission a confié ce rapport à M. Guy La Chambre.

Le renouvellement des bureaux des commissions Les grandes commissions de la Chambre ont procédé hier au renouvellement de leur bureau. La commission des affaires étrangères a réélu son président sortant, M. Pau] Boncour, à l'unanimité. Elle a réélu de même vice-présidents MM. de Castellane, Bastid, Mistral, Sôulier, de Tessan.

La commission de l'armée a désigné comme président M. Jean Fabry et comme vice-présidents MM. Paul Bernier, E. Rognon, le colonel Picot,. Ernest Flandin, Ch. Guilhaumon.

La commission de la marine militaire a réélu son bureau sortant qui est définitivement constitué de la façon suivante Président M. Pierre Appell vice-présidents: MM. le colonel Picot, Pouzet, Jadé, Goude, Auguste Reynard et Daniélou.

La commission de renseignement a réélu à sa présidenee M. Cazals.

La plupart des autres commissions ont conservé leur bureau sortant.

L'aide aux chômeurs

Le gouvernement a déposé récemment une demande de crédits supplémentaires de 13 millions pour les chômeurs, en addition à la somme de 1.500.000 francs allouée au fonds national de chômage par la loi de finances du 16 avril 1930.

Les socialistes, soucieux de surenchérir ont immédiatement déposé une demande de crédits de 100 "millions pour les secours aux chômeurs.

DERIVIERE HEURE

Un entrepôt clandestin d'armes saisi en Prusse Orientale

Koe.vigsbeug, 4 février. -Dans la localité de Hindel, district de Stumm (Prusse Orientale), on vient de découvrir un entrepôt clandestin d'armes. La perquisition opérée amena la découverte de 12 mitrailleuses, 90 carabines et d'une cinquantaine de revolvers. Ces armes étaient cachées dans la cave d'une propriété appartenant à un nommé Veik. membre du « Stahlhelm et hitlérien. Veik et son fils ont été arrêtés. On croit qu'il existe encore d'autres entrepôts*' d'armes clandestins à la frontière polonaise. ;>

Les négociations financières franco-allemandes BERLIN, 4 février. Tous les milieux intéressés allemands suivent avec le plus grand intérêt les pourparlers au sujet d'un arrangement financier entre la France et l'Allemagne.

On commente beaucoup l'information d'un journal de ce matin annonçant la fondation d'une banque franco-allemande, dans le conseil d'administration de laquelle entreraient plusieurs politiciens français, parmi lesquels se trouverait, dit-on, un ancien ministre français. Le comité directeur de cette banque comprendrait MM. Georges Blumenfeld et Georges Michaelis, bien connus à Berlin.

La -création d'un tel organisme bancaire est évidemment bien vue à Berlin,. l'on recommence à parler du rapprochement franco-allemand. La nouvelle d'une opération de crédit franco-allemande a été accueillie à la Bourse de Berlin par une hausse très remarquable de six, huit, dix et même douze pour cent sur toute la cote.

Les étudiants républicains autrichiens protestent contre les nationaux-socialistes Vienne, 4 février. Les désordres et bagarres provoqués par les étudiants nationaux-socialistes se poursuivent à l'Université de Vienne.

L'Association des étudiants démocrates a adressé aujourd'hui au ministre de l'intérieur une dépêche dans laquelle elle demande que soient tournées les 'élections du conseil des étudiants, afin d'éviter de nouveaux tumultes.

Une foule importante est massée aux alentours de l'Université et manifeste contre les agissements des étudiants racistes.

.LES EXECUTIONS DE MENEMEN Ankara, 4 février. On mande de Menemeia à l'Agence Anatolie

Les vingt-huit conspirateurs qui avaient été condamnés à mort par la cour martiale ont été exécutés ce matin.

Les condamnés, répartis en quatre groupes, ont été pendus en divers points de la ville. L'assassin Kuvilay a été pendu à l'endroit même il avait tranché' la tète de sa victime.

Un avenant à l'accord commercial entre la France et l'Allemagne

Un avenant l'accord commercial franco-allemand du 17 août 1927 a été signé mardi à Berlin. L'objet essentiel de ce nouvel arrangement est d'apporter certaines modifications au tarif des bas et chaussettes de coton à leur im&orjtation en France. Aux droits ad valorem, ^pivMt être substitués des droits spécifiques perçus 'selon l'espèce, soit au kiibTsôït'ala douzaine cle pâîfës; Une clause spéciale méhâgè ia'pbsSîbuîtê'YIë -modifier ultérieurement les droits de certaines catégories si l'expérience démontre qu'ils sont ou trop élevés ou insuffisamment protecteurs. i

Des articles additionnels' rïiwdffient également le régime à l'importation en France de certains déchets et fibres de soie artificielle.

Un contingent d'importation est, accordé à l'Allemagne pour 500 hectolitres d'eau-de-vie de fruits dans l'es mêmes conditions où il a été accordé précédemment à d'autres pays.

L'avenant apporte, en outre, quelques modifications de détail au règlement douanier applicable aux échanges entre les deux pays.

Le nouvel avenant entrera en vigueur dès qu'il aura été ratifié par le parlement français et par le Reichstag.

Avant les élections espagnoles

L'abstention des socialistes

Madrid, 4 février. Le comte de Romanonès a déclaré que la décision des socialistes de s'abstenir aux prochaines élections constituait un événement de grande importance.

De son côté, M. Bergamin a déclaré à un rédacteur ,de l'Agence Havas

« L'abstention des socialistes me paraît tout à fait naturelle, car je ne crois pas que les prochaines Cortès, si j'en juge par la préparation électorale actuelle, puissent donner un exemple de sincérité prônée' par le gouvernement. » Les cours de l'Université sont suspendus ` Madrid, 4 février. La Gazette de Madrid publie aujourd'hui une ordonnance royale suspendant pour un mois les cours de l'Université centrale. M. Ignacio Bolivar a fait part au ministère de l'instruction publique de sa démission de président du conseil de l'instruction publique.

Un aéroport détruit par le feu

Plusieurs millions de dégâts

New- York, 4 février. Un incendie dû, croit-on, à la malveillance, a éclaté au cours de la nuit dernière, dans l'aéroport de Roosevelt Field, détruisant douze aéroplanes, dont le fameux appareil « Miss Columbia », avec lequel Lévine réussit la traversée de l'Atlantique.

« L'Oncle Sam », une machine géante pour laquelle Lévine venait de dépenser 200.000 dollars, fut également réduite en cendre.

Trente-deux compagnies de pompiers étaient sur les lieux. Mais le feu, activé par le vent, s'étendit bientôt à des hangars voisins, prenant des proportions impressionnantes.

On recherche un homme qui, peu de temps avant le sinistre, fut aperçu aux alentours des hangars et qui. interpellé par un gardien, s'enfuit en taxi. NOUVELLES DE PARTOUT

De Rome. L'état de santé de M. Tittoni, qui était malade depuis; plusieurs jours, s'est considérablement aggravé.

De Londres. A la date du 28 janvier, le nombre des chômeurs officiel de Grande-Bretagne était de 2.592.000, soit 1Si736 de moins que la semaine précédente.

De Bogota. Au cours des émeutes qui ont eu lieu à l'occasion des élections générales, cinquantequatre personnes ont été tuées et une centaine blessées.

De Belgrade. Le roi et la reine ont quitté ce matin la ville de Zagreb pour rentrer à Blod. De Prague. Malgré l'interdiction de la police, les communistes et les chômeurs ont organisé de grandes, manifestations. Des bagarres violentes ont éclaté entre manifestants et policiers.

De Vienne. Les milieux officiels démentent qu'un traité militaire ait été conclu entre l'Autriche et la Hongrie.

De Sofia. Quinze racistes de l'organisation Badna Zachtita ont protesté contre les récentes manifestations, vingt perfionnjss ont été Jjlesséejs.

Les conditions de paix de Gandhi au gouvernement de l'Inde Londres, 4 février. On mande d'Allahabad aux journaux que le chef nationaliste Gandhi a adressé au vice-roi des Indes une lettre dans laquelle il déclare qu'il est prêt à recommander la cessation de la campagne de désobéissance civile. à condition que le gouvernement de l'Inde lui donne satisfaction immédiate sur les points suivants

1° Faire une enquête sur les actes de tyrannie dont se seraient rendus coupables certains membres de la police vis-à^vis de manifestants nationalistes

2° Soumettre à l'arbitrage" la question de la dette publique;

3" Rendre aux membres du congrès nationaliste hindou les privilèges qui leur ont été contestés.

Les milieux de White-Hall, à Londres, déclarent ne rien savoir au sujet de cette information. La réunion du Congrès nationaliste

LONDRES, 4 février. Le correspondant à Karachi de la Morning Post télégraphie

« Les préparatifs se poursuivent activement pour la réunion du comité nationaliste panhindou, qui aura lieu pendant les vacances de Pâques, c'est-à-dire du 26 févier au 6 avril. »

L'Angleterre et la propagande `

de la France et de l'Italie

Londres, 4 février. M. Alexander, premier lord de l'Amirauté, a été amené à déclarer aujour- d'hui, à la Chambre des communes, en réponse à plusieurs questions qui lui furent posées par des députés libéraux, que le gouvernement Lrii:V.> nique fera connaître à l'assemblée si les program- mes navals de la France et de l'Italie pour 1931 sont, ou non, en excédent sur ceux de 1930, mais que, de toute façon, il n'est nullement dans l'in- tetttion du gouvernement britannique de proposer que 'les trois autres grandes puissances navales, la Grande-Bretagne, le Japon et les Etats-Unis, fassent 'des remarques à ce sujet à la France et à l'Italie.

Après le séjour à Vienne du comte Bethlen Budapest, 4 février. Le président du conseil, comte Bethlen. a exposé devant la commission des affaires étrangères les motifs et résultats de son voyage à Vienne, en soulignant 'tout particulièrement le but des négociations économiques austrohongroises qui commenceront dans la deuxième quinzaiire de février.

Après un débat approfondi, la commission a voté sa confiance au nouveau ministre des affaires étrangères, comte Karolyi, et a approuvé la politique extérieure du gouvernement.

Les Soviets participeraient

à la Conférence du désarmement Londres, 4 février. M. Henderson, secrétaire I d'Etat au Foreign Office, a déclaré aujourd'hui à I la Chambre des communes que le gouvernement britannique avait de bonnes raisons de croire que le gouvernement des Soviets prendra part à la prochaine conférence du désarmement.

Le plan de défense nationale en Belgique Bruxelles, 4 février. •– Dans un article publié hier soir par l'Indépendance Belge, M. Joris, député d'Anvers, tout en marquant qu'il ne se méprend en aucune façon sur le but réel de certaines critiques germanophiles venues d'Angleterre ou de Hollande, concernant le plan de défense belge, cherche à dégager de ces conseils, intéressés autant que perfides, ce qui peut mériter de retenir l'attention à Bruxelles.

« Si, écrit-il, des criminels songent à déchaîner une nouvelle guerre, nous tenons à les avertir qu'il leur en cuira s'ils veulent, une fois de plus, choisir notre malheureux pays pour théâtre de leurs exploits.

» Que notre système de défense constitue le prolongement du système défensif français, je n'y trouve rien à redire eu égard aux données actuelles du problème et aux dangers et menaces possibles. Il est cependant une constatation de fait incontestable. C'est que ce prolongement équivaut à la suppression, en matière militaire, de nos frontières du sud et du sud-ouest.

» Ces frontières, que l'on ouvre toutes grandes quand il s'agit de la défense nationale, on y met malheureusement une double chaine quand il est question de rapports économiques.

» Notre pays est menacé d'étouffement entre le mur chinois réel de son système défensif, d'une part, et le mur, irréel mais plus solide encore, de la frontière douanière franco-belge.

» Nous serions moins inquiets si nous rencontrions de la part de la France une compréhension plus réaliste de nos intérêts et de nos besoins économiques. » x

LE SOCIALISME ANTINATIONAL

Le conseil municipal socialiste de Thouars (DeuxSèvres) vient, sur la proposition de son maire, de voter le texte d'un ordre du jour tendant au déplacement et au transfert au cimetière du monument élevé par Thouars aux morts de 1870. Le prétexte invoqué consiste en ceci l'école primaire supérieure du lieu devant être transférée au château, sur la place duquel se trouve le monument, « il n'y a pas lieu de laisser sous les yeux des élèves des spectacles permanents de glorification guerrière ». La motion, dont les considérants appuient le passage scandaleux que nous venons de citer, a soulevé parmi la population une vive émotion. La Société des vétérans des armées de terre et de mer vient d'adresser au conseil municipal une protestation ainsi concue

« Après avoir pris connaissance du vœu émis par le conseil municipal, demandant le transfert au cimetière du monument élevé place du Château, à la mémoire des morts du canton de Thouars de la guerre de 1870-1871.

» Proteste avec énergie contre l'interprétation donnée au caractère dudit monument dans lequel i! y a, non une glorification guerrière, mais un geste de protection fraternelle' et de défense du sol envahi

» Estime que ce monument, ayant été élevé à la mémoire de tous lés enfants du canton de Thouars, ne serait pas à sa place dans le cimetière local » Décide de s'opposer de toutes ses forces au déplacement du monument. »

NOUVELLES MILITAIRES

Etat-major général de l'armée

Le général de division Rondeau, commandant la 21e division d'infanterie, a été placé dans la section de réserve. A la direction des poudres

L'ingénieur en chef de 2° classe Blanchard est nommé directeur des poudiTs.au ministère de la guerre, en remplacement de l'inspecteur, général du lrv classe Briotct, 1 appejé i d'autres, tondions.

Le tremblement de terre

de Nouvelle-Zélande

II y aurait un millier de victimes Wellington-, 4 février. On craint que le nombre de personnes qui ont été tuées, à la suite du tremblement de terre de la Nouvelle-Zélande, ne s'élève à près de mille. Les rares nouvelles qu'on a pu recevoir de Napier confirment l'importance du désastre. Cette ville est complètement isolée du reste du monde. Les principaux immeubles sont en ruines. Les habitants campent sur la plage, dans les jardins publics, sur les routes. Etant donnée la confusion qui règne dans la ville, il est absolument impossible d'évaluer le nombre exact des morts. On estime qu'il peut at- teindre un demi-millier. On compte déjà plus de 1.500 blessés. Sur une distance de soixante kilomètres, jusqu'à Waipukurau, toutes les cheminées d'usines se sont l écroulées.. Les entrepôts frigorifiques de Pakipaki sont entièrement rasés quatre ouvriers ont été tués. Hastings offre 1 aspect de la désolation, Des équipes de secours travaillent .pour secourir les blessés ensevelis sous les décombres.

Il v aurait une centaine de morts.

Le tremblement de terre a bouleversé 1 intérieur de l'île, soulevant des masses de terre qui ont arrêté le cours des rivières.

A Paradale, trente personnes ont péri. A Tirana, hier, à 5 heures, une nouvelle secousse, légère, s'est produite.

Le port d'Ahuriri a complètement disparu des dépôts de pétrole ont pris feu.

Le séminaire catholique de Green Meadows s'est effondré, ensevelissant deux prêtres et huit étu-

diauts.

Les tribunes du champ de courses de Napierpak ont été transformées en hôpital, où médecins et infirmières travaillent nuit et jour.

La ville de Palmerston fait des préparatifs afin de recevoir 5.000 réfugiés.

Evacuation de Napier

Les é.oouts de Napier ayant été crevés par le tremblement de terre, on redoute une épidémie. Les autorités ont ordonné aux habitants l'évacuation de la ville dans un délai de 48 heures. Quelques secousses se font encore ressentir et on entend de forts grondements souterrains. Le phénomène géologique

L'enquête a démontré que les oscillations ont duré cinq heures. L'épicentre du séisme se trouve dans l'Océan, au large de Napier, dont le port a été asséché par suite d'un soulèvement du sol sous-marin d'une hauteur de 5 m. 30. Le geyser Warakei, qui n'était plus en activité depuis trois ans, a, au cours de la journée d'hier, lancé, à plusieurs reprises, une colonne de neuf mètres de hauteur.

Les condoléances françaises

M. Gaston Doumergue, président de la République, a adressé à S. M. le roi George V, un télégramme de condoléances au sujet de cette terrible catastrophe.

De son côté, M. Briand a chargé notre consul à Auckland d'exprimer ses sentiments de vives sympathies à M. Forbes, premier ministre de Nouvelle-Zélande.

CROISIÈRE

SUR LA COTE YOUGOSLAVE Nous apprenons que la croisière de Pâques de la Revue Générale des Sciences aura lieu cette année sur la Côte yougoslave, sous la direction de M. Louis Hourticq, membre de l'Institut.

Renseignements au secrétariat, 28, av. de Tourville.

Un hydravion anglais tombe en mer

Neuf morts

Londres, 4 février. Un gros avion militaire biplan,- l'/rts, qui cet après-midi faisait des exercices au large de Plymouth;:a a piqué du nez et s est englouti dans la baie de Batten, après une forte explosion.

Il y avait douze hommes à bord. Quatre ont pu être sauvés, mais l'un d'eux, le lieutenant Wood, est décédé des suites de ses blessures. Les autres occupants, le commandant Duker, un autre officier et six hommes ont été noyés.

La cause de l'accident est jusqu'à maintenant inconnue.

C'est alors qu'il venait d'effectuer toute une série d'évolutions et rejoignait, en compagnie d'un autre appareil, sa base de Mount Batten, que l'Iris explosa, se retournant sur le côté. En moins de vingt minutes, le biplan sombra. Un moment après on le revit, nageant à la surface de l'eau, ses flotteurs en l'air et sa coque submergée.

On recherche les corps des victimes le chef d'escadrille Ducker et sept hommes qui étaient restés enfermés soit dans le fuselage, soit dans les ailes. On n'a jusqu'ici découvert que le corps du chef d'escadrille Ducker, officier expérimenté, qui avait fait du service actif en France pendant la grande guerre.

Les opérations de sauvetage se poursuivent. C'est le quatrième accident comportant des victimes survenu à l'aviation britannique depuis le commencement de l'année.

L'AMITIE FRANCO-ITALIENNE

Le Hîesèagr/ero reproduit une lettre adressée par le maréchal Pétain au duc de Camastra, en réponse aux félicitations que ce dernier lui a fait parvenir après le discours que le maréchal a prononcé à l'Académie française.

Dans cette lettre, le maréchal Pétain dit qu'il souhaite que les relations entre l'Italie et la France soient de plus en plus étroites.

Le Messaggero déclare que cette déclaration honore celui qui l'a formulée.

La banque Oustric est mise en faillite Ayant déposé son bilan au début du mois de novembre, dans le délai de quinzaine de la cessation de ses paiements, la banque Oustric avait été admise au bénéfice de la liquidation judiciaire. Mais, sur rapport de M. Wendling, juge commissaire, et sur les renseignements de fait fournis par les deux liquidateurs, MM. Planque et Prévost, le tribunal de commerce vient de convertir en faillite la liquidation de la banque Oustric. Les liquidateurs ont été nommés syndics, et M. Weddling restera jiifje commissaire.

L'ENQUETE PARLEMENTAIRE

La commission d'enquête, pour la troisième fois hier matin, a écouté les récits et les impressions de M. Sarovitch. Cette audition, sans grande importance pour l'enquête, nous ont dit les commissaires, a été suivie d'un exposé du rapporteur, M. Buyat, qui a indiqué les conclusions juridiques de son rapport, sous réserve des modifications que les dépositions à venir pourraient éventuellement apporter à la qualification des faits établis à ce jour. A la suite de cette séance, la commission a fait distribuer un communiqué ainsi conçu La commission d'enquête réunie sous la présidence de M. Marin, a pris connaissance de la réponse de M. le ministre des affaires étrangères au sujet de la demande d'audition de M. Gualino.

M. Sarovitch a été entendu par elle pour la troisième fois. Il a fourni des explications supplémentaires sur la constitution de sou dossier de naturalisation. Il a exposé ensuite quel avait été son rôle dans la Société Paris-Foncier, fondée par lui en 1925, avec l'appui de M. Gualino, avant de s'être mis en rapport avec M. Oustric. Cette Société, dont lc capital -fut porté de deux a trente-cinq millions et enfin J"> millions, s'occupait d'affaires immobilières. la suite de la dernière augmentation de capital, les actions à vote plural détenues par M. Gualino furent versées dans le purte-

feuille de la Société Holfra qui était ainsi entièrement maîtresse de Paris-Foncier..

M. Sarovitcli a expliqué alors comment, après avoir a deux ou trois reprises signé des traites, comme administrateur de Paris-Foncier, à la demande de la banque Oustric, il refusa le 1-t octobre, eai présence de la mauvaise situation de la banque, de signer deux nouvelles traites et donna immédiatement sa démission d administrateur de Paris-Foncier et de la banque Oustrie. Le témoin a souligné qu'à ce moment la situation dq la société était excellente.

M. Sarovitch a répondu à diverses questions relative» à la vente de l'hôtel d'Albe, la Société du Proche-Orient, l'entrée de M. de Saint-Aulaire comme président d-U conseil d'administration de Paris-Foncier.

Enfin, il a fourni des renseignements sur les dernières conversations qu'il a eues avec M. Oustrie et au cours desquelles celui-ci le mit au courant de difficultés que traversait alors la banque. A la suite de ces conversations, M. Oustric lui écrivit, vers le 10 octobre, une lettre, dans laquelle il le rassurait sur la situation de la banque. Cette correspondance est encore dans la possession de M. Sarovitch qui la fera parvenir à la commission ainsi que d'autres documents le concernant. M. Sarovitch s'est enfin expliqué sur 1 état de sa tor. tune et il a déclaré n'avoir été vendeur d, aucun titra après son départ de la Société Paris-Foncicr. Dans sa réponse à la commission, M. Aristide Briand fait connaître qu'il a adressé, le 31 janvier, une communication au gouvernement italien au sujet de l'audition éventuelle de Gualiu.o et que la réponse ne lui était pas encore parvenue. TAPIS D'ORIENT

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LA VIE RELIGIEUSE La voiturette automobile de l'Œuvre des Campagnes

On nous prie de faire savoir que les offrande^ pour les voiturettes automobiles dites paroissiales, dont notre éminent collaborateur M. Georges Goya» parlait ici-même hier matin, peuvent être adressées à l'Œuvre des Campagnes, 2, rue de la Plan» che, Paris (7e). Compte chèque postal Paris 1185-4;% Nouvelles diverses Marcel Dupeyrat avoue qu'il a tué sa tante Certains renseignements ayant établi que Marcel Dupevrat, soupçonné d'avoir assassiné, dimanche soir, sa tante, Mme Lourdais, s'était livré à des dé.penses inaccoutumées, M. Guillaume, commissaire! divisionnaire,, a repris l'interrogatoire sur ces nou« velles bases. Après seize heures de réticences et d'allégations reconnues fausses, Dupeyrat a avoué qu'il avait tué sa tante d'un coup de couteau, au cours d'une discussion qui avait éclaté pendant lç dîner.

L'assassin maintient, cependant, n'avoir déroba qu'une somme de 60 francs qui se trouvait dans un, porte-monnaie.

M. Frédéric Malterre, chauffeur d'auto, demeu- rant 24, avenue de Saint-Ouen, s'est présenté hier après-midi au cabinet de M. Guillaume, commissaire divisionnaire à la police judiciaire, à qui il a- fourni quelques renseignements sur l'assassinat de Mme Lourdais.

M. Malterre avait travaillé pendant sept ans aveo Dupeyrat dans une maison du boulevard Victor-

Hugo.

« le l'ai revu à plusieurs reprises, dit-il, notam» ment le 2 février dernier, ;'t dix heures du matin. Il me déclara « J'ai vendu mon mobilier pour » 2.000 francs. J'habite l'hôtel. Veux-tu me gar» der cette somme ? » J'acceptai, et aujourd'hui je viens déposer cet argent. »

Après cette déclaration, M. Guillaume a entendti de nouveau l'assassin, qui avoua « En effet, j'ai trouvé dans la cuisine de ma tante deux' liasses de| dix billets de cent francs et deux cents dans le por- tefeuille. »

Au moment de son arrestation, il ne lui restait que la somme de 7 fr. (il).

Marcel Dupeyrat a été amené au cabinet de Nicolet, juge d'instruction, qui l'a inculpé d'homi* cide volontaire et l'a fait écrouer à la prison de 'laj Santé.

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PRISE DE COMMANDEMENT

Le général Georges, le nouveau commandant da 19" corps, à Alger, a pris dans la matinée officiellement possession de ses fonctions. Il a passé les troupes en revue et a procédé à une remise de décorations.

Le général Georges recevra après-demain samedi les autorités civiles et militaires.

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Samedi 7 février Gala des beautés d'Europe. Dimanche 8 Grand Prix aux courses et Redouta bleue.

Lundi 9 Bataille de fleurs. Samedi 14 Gala de la couture.. INFORMATIONS Au Salon des Arts ménagert

L'Exposition de la Crémaillère, section d'art ad Salon des Arts ménagers, a été inaugurée par M. Maurice Pestch, sous-secrétaire d'Etat aux Beaux» Arts.

Le ministre a été accompagné lors de sa visite par M. Berthod, ancien ministre li. Luc, sousdirecteur représentant le ministre de l'enseigne» ment technique M. André .I.-L- Breton, député,; M. Lechevalier-Chevignard, directeur de la Manu» facture de Sèvres M. Zingg. vice-président de l'Association de La Crémaillère '>.

M. l'c-slch s"ost particulièrement intéressé à Tuf»

fort artistique réalisé et a félicité les organisateurs)' de cette exposition.

Jean de Paris.


ACADEMIE B'ÂGilCSJLTUiË

v Une grande séance

C'est \e faefcf'edi 25 février, dans trois semaines, que l'Académie d'agriculture tiendra sa séance publique annuelle, et cette séance sera présMée, selon rasage, par le ministre -de i'agfîctiltm-e. Or, ce ministre étant M. André Tardieu. et M. André Tardieu devant, toujours selon l'usage, pren<ïre_ la parole au début de la solennité, on peut croire que la vS a Ile de la rue de Bellechasse ne sera pas Vide et que M. Henri Hitier, secrétaire perpétuel, va, d'ici au 25 février, connaître les aïigoisseîs qu¥p^ouvç M. René Dôumïc a la veille des grandes séances sous la Goupole; il les connaitra d'autant mieux que la salle de l'Acaâéwiîe d'agriculture peut 'à peine recevoir le vingtième des invîtes et invitées qui trouvent place au palais Mazaïin.

Après M. André Tardieu, on entendra M. Alfred Massé, ancien ministre de I*agrieulture, président de l'Académie, et M. Henri Hitler, qui rendra compte des travaux de W30 et lira une notice sur le regrette Léon Lindet, le savant chimiste que la Compagnie perdit il y a deux aws.

Et 'cet htommage sera une sorte de compensation ̃amie critiques qu'encourt iprésentement, et fort justement, chez tes agriculteurs, la science qu'illustrait Léon Lindet.

Car la campagne de notre vaillant confrère Y-Ami du Peuple n'est certes pas sans écho à l'Académie d'agriculture.

ïïïer encore, à propos d*uné note de MM. Bdeuf, Matwée'ff et Seguels sur la valeur "corfêctive dw quelques blés de force de l'Afrique du Nord à Pë'tfartl de certains btés français, M. Emile Schri. baux, l'éminent membre du conseil supérieur de l'agriculture, affirmait que, grâce à l'effort de nos sélectionneurs, la qualité de nos blés de France s'améliore, et condamnait avec autant d'énergie que d'autorité le pain chimique, dont il se déclare, comme M. Jacques de Vilmorin et tous ses confrères,- l'adversaire fervent.

Ch. Dauzats.

Le Bal des Petits Lits blancs

Le bal des Petits Lits blancs, qu'organise cha« <fue année notre confrère l'Intransigeant a remporte, à l'Opéra, soïi succès habituel. M. Gaston Doumergue y assistait. Le président de la Répu- blique était entouré, dans sa loge, par MM. Feriiand Bouisson, président de la Chambre Pierre Laval, président du conseil; André Tardicu, P.-E. "ïîandih. Dans l'assistance, on remarquait, en outre, un grand nombre de personnalités du monde ^©ïitique, militaire ou diplomatique; des membres *i*i gouvernement, le gouverneur militaire de Paris, etc.

Lies traditionnelles attractions se succédèrent sur ïè Pont d'Argent ce furent tour à tour des clowns, dts Jongleurs, des chanteurs et des musiciens, Marie Dubas, Joséphine Baker, Layton et Jonhstone, Milton, Harry Pileer, puis le défilé des vingt candidates au titre de plus belle femme d'Europe Mme Colette vint ensuite dire Deux mots sur la robe longue; Tristan Bernard Deux mots sur la royauté du cinéma; René Fauchois Deux quatrains suï Paris-$ew-"York.; Gaby Morlay un compliment au président de la République, et enfin Mauricet chanta la Chanson des Petits Lits blancs. Puis on dansa jusqu'à l'aube.

La recette a atteint environ 1.500.000 francs,

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Durant cette fête si parisienne, le spectacle iffist pas seulement sur le « Pont d'Argent ». Certes, sur cet enjambement lumineux lancé au-des«us des remous du public défilèrent toutes les foires des théâtres et des music-halls. toutes les vedettes multicolores que la mode impose. Les championnes de beauté le franchirent avant d'aller Jeter au Nouveau Monde le défi féminin de la vieille Europe. Mais le spectacle de la salle ne le cède en rien en beauté et en élégance. Les meilleurs noms de France comme les reines du cosmopolitisme suivent ces escaliers, s'asseyent aux tables du souper, risquent une valse dans ces salons. Les robes longues de cette année redonnèrent un discret cérémonial à ce luxe. Quelle femme ne veut pas une toilette inédite pour ce bal ?. Les citer toutes serait impossible, mais nous avons particulièrement remarqué le triomphe de l'habit. Comment suivre autrement une traîne, même fugitive? Et les robes les plus parfaites se rehaussaient de la présence fidèle de cet habit bleu de nuit dont Kriegck conserve jalousement le secret.

Le décor de la porcelaine

• La porcelaine, la plus belle des matières qui feoit sortie du four du potier, est restée un art, et un art précieux, mais elle a aussi donné naissance à une de nos plus grandes industries françaises. Loin d'être réservée, comme autrefois, aux tables des grands seigneurs et des financiers, elle est devenue la vaisselle bourgeoise par excellence. La composition des pâtes, leur préparation, toutes les opérations de fabrication, de cuisson, qui consiituaient des secrets jalousement conservés, sont aujourd'hui scientifiquement établies. On ne peut plus parler, dans nos grandes usines, des « hasards du feu ». La qualité de la production est déterminée l'avance et assure à nos marques nationales une clientèle qui dépasse de beaucoup nos frontières. En est-il de même du mérite artistique ? Nos centres porcelainiers et c'est au plus important d'entre eux, à Limoges, qu'il faut penser, ont souffert, dans le premier quart de ce siècle, d'une crise de goût qu'il serait puéril de nier. Les procédés de report des couleurs par la chromolithographie, tout en permettant un louable abaissement du prix de revient, ont réduit la décoration à une opération mécanique. Une gamine industrielle d'émaux, cuisant à la même température, une fois acquise, on n\'n est plus sorti. L'habillage de la porcelaine a pris un fâcheux aspect de « confection ». Tandis que notre grande manufacture nationale de Sèvres continuait à tenir magnifiquement son rôle de laboratoire de belle production (aidée par son Ecole supérieure de céramique), les industriels semblèrent n'avoir qu'un seul objectif obtenir une production leur laissant le plus large bénéfice possible, dût le mérite artistique en souffrir. Depuis ]a guerre et surtout depuis l'Exposition 'des Arts décoratifs de 1925, la situation s'est heureusement modifiée. Les usiniers ont fait appel aux artistes dans une large mesure. Comme les soyeux de Lyon, ils ont compris qu'une industrie de luxe doit se tenir en contact permaent avec Paris, qui dicte la mode, et que les élégances de Napoléon III ou les pastiches du xvm° siècle ont fait leur temps. D'excellents résultats ont été la conséquence de ce redressement, car le procédé de décoration par report n'est pas mauvais en soi, mais il faut lui donner les modèles qui lui conviennent et non chercher à lui faire exprimer ce qui n'est beau qu'appliqué au pinceau.

Ces erreurs passées ont suscité aux industriels une redoutable concurrence. Des commerçants parisiens avisés, désespérant d'obtenir en fabrique -les modèles de choix réclamés par leur clientèle, ,ne leur ont plus demandé que des pièces en blanc et ont ouvert des ateliers de peinture où le travail se fait entièrement à la main, où les décors obéissent au grand courant de simplicité, de sobriété, d'originalité, qui distingue tous les arts d'à présent. Grâce à ces «éditeurs», et on l'a vu au Décor de la Table, à Galliera, l'élégance, la distinction, le goût, aussi bien dans les formes que dans le dessin et la couleur, ont repris possession de la porcelaine comme aux plus belles époques. Ji. son tour, la clientèle élégante s'est convaincue -qu'il peut y avoir autant d'art et de distinction dans une porcelaine destinée au service que dans une pièce unique vouée à la vitrine, et qu'un objet 'usage doit satisfaire aussi bien l'esprit et la vue Que remplir sa destination matérielle.

C'est donc, en dernier ressort, l'acheteur mieux éclairé oui rendra à la porcelaine la suprématie que la faïence a failli lui enlever. Mais qui nous ramènera une marquise de Pompadour, qui organisait à Versailles des expositions des produits de Sèvres, où on la voyait, allant de l'un à l'autre, forcer presque ses courtisans et ses obligés à des pchats qu'ils, ne faisaient qu'en maugréant? 2 Henri Çlonzot,

A LA CHAMBRE Le budget de la santé publique

Séance, hier matin, à la Chambre, pour la continua Sion du débat sur les divers chapitres du budget de la santé publique, débat qui traine, qui s'attarde à d'inutiles détails et menace de s'éterniser. Le relèvement des allocations aux familles nombreuses fut réclamé é avec grande insistance par M. Hippolyte Massoii, qui déplora de surcroît les différences que fait l'administratiou entre les enfants légitimes et ceux qui ne le sont pas. M. Duval-'Arnould pria t'assemblée de ne pas confondre l'assistance aux familles nombreuses avec l'assistance tout court

Lorsque le Parlement a voté la loi d'encouragement, dit-il, il n'a pas entendu faire une œuvre d'assistance, mais provoquer l'augmentation de la natalité française. Cette augmentation, nous entendons t'obtenir dans la famille légitime et par la famille légitime.

M. Duval-Arnould n'est pas pour cela opposé à l'allocation de secours aux enfants illégitimes II veut bien que la société se substitue aux hommes qui ont trop souvent la lâcheté de s'éloigner au nioment d'une naissance, mnis il ne veut pas que ce genre d'assistance soit confondu avec l'encouragement ou l'aide que le législateur a entendu accorder aux familles nombreuses.

Une disposition de la loi de finances, suggéra M. Blaisot, ministre de la santé publique, pourrait ptut-être réparer certaines illégalités choquantes dont souffrent les fiîles-mères. Je propose que soit réservé le chapitre 32 qui les concerne et que l'on étudiera en commission.

Il en fut ainsi ordonné, et l'assemblée passa à l'examen des chapitres touchant l'assistance médicale' gratuite.

M. de Monicault, à ce sujet, marqua l'urgence qu'il y a à modifier la loi des assurances sociales. car malgré cette loi et à cause de cette loi, les dépenses de l'assistance médicale se trouvent être augmentées.

De son côté, M. Tinguy du Pouët demanda que l'on supprimât la différence que l'on établit d'habitude quand il s'agit de secours médicaux gratuits entre les « notoirement indigents » et' les autres.

Après ces observations-, la Chambre vota 20 millions pour l'assistance médicale gratuite et 4 millions de subvention aux établissements hospitaliers pour soins donnés à des étrangers ne pouvant bénéficier d'un traité d'assistance réciproque et à des indigènes de l'Afrique du Nord non bénéficiaires de la loi de 1893.

L'assistance aux vieillards fit ensuite l'objet d'un débat assez long. Ayant exposé la situation particulièrement pénible des vieilles gens à qui leurs enfant^ refusent de verser la pension qu'ils leur doivent, M. Masson demanda que ces pensions fussent versées^ par les départements qui se retourneraient ensuite vers ceux qui les devraient payer et les obligeraient à s'exécuter. Il demanda en outre une augmentation de 10 francs 60 fr. au lieu de 50 comme minimum des allocations servies aux vieillards par les pouvoirs publics. Le chapitre, à la suite de diverses interventions, fut renvoyé à la commission.

Un court débat sur le statut des aveugles et des sourds-muets, qui est indigne, à en croire M. Herriot, d'un pays comme le nôtre, un hommage mérité rendu aux Sœurs de la Sagesse pour les soins qu'elles prodiguent aux infirmes, et la discussion fut renvoyée à aujourd'hui.

V*1

Dans l'après-midi, la Chambre a tenu une séance qui ne dura que quelques minutes, au cours de laquelle elle valida sans discussion les candidatures présentées par les groupes à la suite de vacances de membres des grandes comniissions.

Sans discussion non plus elle vota un certain nombre de projets et propositions de lois concernant les entreprises, d'assurances, de capitalisation et d'épargne.

La Chambre siégera ce matin.

La « Transfusion sanguine d'urgence » Sous la signature G. Dayenay, Figaro et l'Ami du Peuple du soir ont expliqué, il y a quelques semaines, ce qu'est cette œuvre si intéressante, qui réunit les noms de nombreuses sommités médicales et de bienfaitrices qui y consacrent tous leurs loisirs. La deuxième assemblée générale de la Transfusion sanguine d'urgence a eu lieu, hier après-midi, à la Faculté de médecine.

Rappelons que cette association, créée en 1929, grâce à des dons et à l'appui du directeur général de l'Assistance publique à Paris, a permis d'organiser, dans les hôpitaux, un service officiel de transfusion du sang.

Comme il s'agit de cas urgents, les noms des donneurs de sang sont notés à l'avance, afin que l'on puisse faire appel à eux immédiatement. En 1929, la Transfusion sanguine comptait 37 services répartis dans 8 hôpitaux à la fin de 1930, elle en comptait plus de 100, appartenant à 24 hôpitaux. Cette œuvre, qui rend des services extrêmement importants à l'Assistance publique et a permis de sauver jusqu'ici un grand nombre de vies humaines, vient d'être reconnue d'utilité publique. Au cours de la cérémonie, ont pris la parole le professeur Couvelaire, Mme Pierre Simon, secrétaire générale, Mme Christian Lazard, la duchesse d'Uzès et le docteur Louis Mourier.

La réorganisation cynégétique du pays M. Achille Fould, sous-secrétaire d'Etat à l'agriculture, a reçu hier une délégation du comité national de la chasse, composée des représentants des différentes régions cynégétiques de France. M. Guérin, président de la délégation, a exposé à M. Fould les différentes questions relatives à la réorganisation cynégétique du pays, et concernant notamment la lutte contre le braconnage, la destruction des animaux nuisibles et la création de parcs d'élevage.

Le sous-secrétaire d'Etat à l'agriculture a promis d'examiner avec une particulière attention les différentes suggestions qui lui ont été faites.

AU SALON DES ARTS MENAGERS M. Gaston Doumergue a visité, hier matin, le 8° Salon des Arts ménagers, au Grand Palais. Il a été accueilli par M. Mario Roustan, ministre de l'instruction publique; M. Chiappe, préfet de police M. André J.-L. Breton, député; M. Dumesnil, directeur adjoint de l'Office national des inventions M. Paul Breton, commissaire général du Salon des Arts ménagers.

Le président de la République s'est longuement et vivement intéressé aux nombreux stands du Salon des Arts ménagers, remarquant l'effort accru des fabricants et producteurs et la réussite toute particulière d'une décoration extrêmement originale.

Ayant visité notamment l'allée du gaz, le groupeme.nt de l'ameublement, celui du papier peint et de la décoration, le président a vivement félicité les organisateurs du Salon des Arts ménagers du développement et du succès de leur effort.

et là

«* La 39" édition de l'Annuaire des Artistes, remanié et mis à jour, est en préparation pour paraître prochaineme.it.

En exécution d'un arrêté préfectoral, le nom de « avenue du Général-Sarrail » est donné à la partie de l'avenue du Parc-des-Princes comprise entre la place de la Porte-d'Auteuil et les rues Lecorate-du-Nouy et du Vélodrome (16° arrondissement).

<>* M. Achille Fould. sous-secrétaire d'Etat à l'agriculture, a présidé hier, en remplacement de M. Tardieu empêché, le banquet annuel du Syndicat général des cidres et fruits à cidre.

REVUE DE LA PRESSE

Bergerac ou la conciliation cartelliste Le maigre événement de l'élection de Bergerac, porté à la tribune de la Chambre, a donné | lieu à un spectacle d'un goût rare le parlementarisme a ses moments de confidence. Voyons ceux qui triomphent.

Le POPULAIRE:

La majorité de la Chambre a validé notre camarade Simounet. Ce qui étonnera, c'est le chiffre de ceux qui ont voté l'invalidation.

« Cas de conscience », avait dit M. Edouard Herriot.

Je le veux bien. Mais, en examinant d'un peu plus près, on ne se rend pas très bien compte de ce que la conscience vient faire là-dedans.

Rien, mille fois rien. La conscience est hors concours sur le terrain électoral.

Et ceux qui ont « lâché et qui aujourd'hui mettent des formes hypocrites à leur abandon la REPUBLIQUE, pour qui l'affaire était avanthier « Une question de principe dont l'importance ne saurait échapper au parti radical », a changé d'avis et croit, avec M. Herriot, que la conscience était seule en jeu. La feuille valoisienne projette en bulles de savon son indignation

Un député de droite ayant feint de se méprendre sur le sens de cette décision, insinua ridiculement que les radicaux ne défendaient pas leur candidat

En une émouvante improvisation, Edouard Herriot releva l'insinuation. D'un geste, il écarta toutes les considérations politiques et il mit la Chambre en présence du problème de moralité. Ayant dit, il vota, avec Edouard Daladier, l'invalidation de M. Simounet. Pour tout républicain, pour tout démocrate, ce vote aura force de loi la cause est entendue.

Chose stupéfiante le parti socialiste reconnut sans difficulté que M. Simounet était l'auteur d'un faux mais il se porta au secours du faussaire et vota la validation. Nous croyons qu'une telle attitude est sans précédent dans notre histoire parle-

mentaire.

M. Noël Quennesson, le radical « lâché » étant de la lignée capitaliste et, en cela, fort utile à son parti comme à la presse de ce parti, on ne nous enlèvera pas de l'idée que la République, malgré saJiltéi attire,, l'a proprement joué. Le fin M. Ponsot (LÀ; GAUCHE) ne gâche pas les traits plaisants de l'aventure

Les parlementaires connurent de cette affaire ressortissant des tribunaux comiques du père Moineaux et de son fils Courteline, mardi aprèsmidi, ainsi que j'ai pris, comme on dit au café du Commerce, l'avantage de vous le dire. Noël Hardy-Quennesson fut copieusement lâché par tous ses camarades, et lé médecin Simounet, hissé sur cent trente-huit bulletins blancs, monta aux rostres. Le pauvre homme pleurait. La joie fait peur. Compère-Morel le réconforta, lui rappelant qu'il n'apportait pas la mode réactionnaire au pays guesdiste.

« C'est une affaire de conscience », a-t-on déclaré à la Chambre.

C'est une affaire de simple police. Voilà tout. Ce fuj aussi la journée des dupes. Noël HardyQuennesson la porta aux profits et pertes. Profits et pertes. Un total peut-être lourd, mais le bien de la cause, n'est-ce pas ? La bonne conclusion, l'éditorial de VAMl DU PEUPLE la marque en peu de mots Ce déballage de mœurs électorales malpropres n'a pas un instant ému Herriot, qui s'est borné à donner l'assurance à la Chambre qu'il autorisait ses amis à voter selon leur conscience individuelle. Joli spectacle

Quant à son candidat malheureux, il l'a laissé froidement tomber. L'essentiel, à ses yeux, c'est de ne se brouiller, à aucun prix -avec les socialistes, Il ne veut leur faire aucune; peine, même légère. Pour ne pas s'aliéner les socialistes qui leur enlèvent leurs sièges les uns après les autres, les valoisiens avaleront toutes les couleuvres. Cette reconstitution du Cartel amène le TEMPS à cette interrogation

Au cartel pour les élections de 1932, le parti radical sacrifie, après cette histoire de Bergerac, sa propre dignité.

Mais alors les projets de concentration républicaine, d'apaisement, de réconciliation ne signifiaient rien ? Ils n'étaient qu'un piège tendu aux républicains nationaux ? On s'en doutait un peu. Le débat d'hier a permis de le voir plus clairement.

Il n'est que d'en prendre son parti et ne pas soupirer après des réconciliations très sûrement trompeuses.

Le surmenage scolaire

Le spirituel et narquois « Passant » de Y AMI DU PEUPLE trouve un bien là où l'ordinaire des hommes déplore un mal, et nous offre un billet d'une charmante malice

La jeunesse scolaire a tout lieu d'être satisfaite. Elle est l'objet d'une sollicitude particulière. Depuis dix-huit mois, il existe en effet, au conseil supérieur de l'instruction 'publique, une commission du surmenage », qui étudie scrupuleusement les moyens de sauvegarder les méninges des écoliers, grands ou petits. H™parait qu'ils travaillent tous trop. Depuis le mioche de la maternelle, qui apprend à compter comme un petit caniche savant, jusqu'à l'élève de « math.-élém. » qui s'initie aux mystères des coefficients doublement périodiques. Il est donc question de réduire les horaires et surtout de diminuer les programmes qui se sont augmentés au fur et à mesure des découvertes de l'esprit humain.

En somme, il résulte des travaux de la commission que les connaissances de l'homme ont dépassé sa faculté d'apprendre. Le contenant est insuffisant pour tout ce qu'il a à contenir. Il faut en laisser une partie de côté. Il ne reste plus qu'à décider ce qu'on va'sacrifier. Va-t-on couper quelques fleuves sur la carte du monde, quelques règnes dans l'Histoire, amputer la littérature des classiques de seconde zone jettera-t-on un voile sur la circulation du sang ou sur la circulation monétaire faut-il abolir le système des poids moléculaires et des poids atomiques ou étouffer dans l'eau le principe d'Archimède ? On comprend que la commission soit perplexe et un peu énervée, car, tandis qu'elle délibère, la science et les arts vont leur train et augmentent ce patrimoine où il s'agit de faire un choix.

Heureux écoliers, les voilà appelés à redécouvrir tout ce qu'on aura décidé de ne pas leur apprendre pour ménager leurs esprits. Ils connaîtront la même merveilleuse aventure que Pascal. Le jeune homme qui aura laissé tomber deux sous dira triomphant à son père

Je viens de découvrir une loi de physique Tout corps abandonné à. lui-même est attiré vers la terre.

Grand bêta, lui répondra son père, je sais ça depuis toujours. 1

Une « préparation au génie » par l'ignorance. Mais encore s'agit-il de bien penser, et c'est pourquoi les vieilles humanités nous apparaissent dignes d'être sauvées.

L'or et la vie chère

Faut-il mettre l'or en circulation ? Et le prix de la vie en serait-il abaissé ?

Dans un intéressant article de l'ACTION LIBERALE, M. Auguste Cavalier répondait par l'affirmative et marquait l'avantage d'une monnaie d'or pour la stabilisation des prix comme pour l'épargne.

Un article du JOURNAL présente le problème sous un autre angle et s'attache à éclairer les inconvénients

Le rétablissenjent de la convertibilité intérieure

des billets en pièces d'or équivaudrait effectivement à une mesure de déflation très énergique et l'espoir qu'une baisse appréciable des prix en résulterait paraît ainsi justifié. Mais on peut se de- mander si une crise de déflation d'origine monétaire, se superposant à la dépression économique mondiale, dont la France, longtemps épargnée, commence maintenant à ressentir davantage les répercussions, n'entraînerait pas de fâcheuses conséquences pour l'activité industrielle et le budget si, en un mot, le remède ne serait pas pire que le mal.

Grâce à l'importante encaisse de la Banque de France, la mise en circulation de monnaies d'or ne rencontrerait guère de difficultés d'ordre technique. On ne doit, toutefois, pas perdre de vue qù une telle mesure ne souffrirait aucune, l'estriehon. On ne pourrait ni limiter le montant des billets à convertir, ni revenir ultérieurement au système actuel si les résultats se révélaient défavorables. Mais.

C'est peut-être 25 ou 30 milliards de métal que l'institut d'émission serait obligé de délivrer dans ces conditions.

Certes, son encaisse le lui permettrait. Mais sa situation' s'en trouverait affaiblie. Sur le métal que la Banque détient, elle peut bâtir du crédit. Celui qu'elle déverserait dans le pays deviendrait stérile. Elle verrait donc son potentiel de crédit diminuer. Avec les 55 milliards d'or qu'elle possède, elle pourrait, par la voie de l'escompte et des avances sur titres, consentir, pour une cinquantaine de milliards de crédits de plus qu'elle n'en accorde aujourd'hui. Si on lui prenait 25 milliards de métal, il lui en resterait 30, sans doute. Cependant, en dépit des rentrées de billets et de crédits qu'impliquerait cette sortie massive d'or, son potentiel tomberait alors à 7 ou 8 milliards, ce qui serait à peine suffisant.

Du point de vue de l'économie internationale D'éminents spécialistes nous ont affirmé qu'il n'y aurait bientôt pas assez d'or pour permettre une expansion du crédit parallèle au développement économique. Ce développement risquerait ainsi d'être entravé et, de ce chef, le monde serait menacé d'une crise prolongée.

Ces alarmes, à la vérité, paraissent très exagérées. Il n'en reste pas moins que, dans les comités internationaux qui se sont occupés de ces problèmes, en partieulier à la délégation de l'or de la Société des Nations, il a été toujours et instamment recommandé que l'or fût économisé que tous les pays s'abstinssent, notamment, de mettre des pièces en circulation et de stériliser ainsi une partie du stock: mondial. ̃ Le débat reste ouvert.

LA REVENDICATION DE M. SNOWDEN On pense bien que la contestation du gouvernement britannique sur le paiement en francspapier de certains emprunts de guerre français émis à Londres peut donner lieu a une fâcheuse propagande.

M. C.-J. Gignoux (JOURNEE INDUSTRIELLE) pose avec une belle netteté les données du problème

La politique monétaire de la Grande-Bretagne a sa responsabilité dans la baisse du franc, partant, dans les mécomptes subis par les porteurs britanniques. En rompant la solidarité financière interalliée, en négociant seule le règlement de ses dettes avec les Etats-Unis, l'Angleterre a précipité jadis nos difficultés monétaires. Elle n'a trouve d'ailleurs dans l'opération aucun bénéfice, puisque le relève- ment dictatorial du sterling a peut-être avantagé les marchands de services et de capitaux, mais a rapidement plongé la production et le commerce extérieur dans un marasme ils sont encore. Ce n'est point la petite satisfaction que réclame M. Snowden, pour les porteurs de rente française I qui améliorera si peu que ce soit les données de ce problème fondamental.

Cependant, M. Snowden parle d'arbitrage nous irions expliquer à un arbitre, même de « haute ré- putation internationale », les conditions dans les- quelles la valeur du franc s'est modifiée et a élé finalement consacrée par la loi ? Une telle hypothèse ne résiste pas à l'examen. La politique financière de la France ne,.relève que du jugement du peuple français. Eiir,souscrivanl, fut-ce à Londres, des titres libellés en francs, les porteurs étrangers, quels qu'ils fussent, se sont obligés à suivre le. vicissitudes de. ces francs. Ils n'ont nullement son- gé en souscrivant à exiger des garanties sur ce point et peut-être cette réserve tient-elle à ce que, dès ce moment, le franc était légèrement déprécié par I rapport au sterling, en sorte que les porteurs britanniques semblaient avoir autant de chances de I réaliser un gain qu'une perte.

La revendication de M. Snowden ne « tient pas >s mais elle peut être l'occasion de recon- naître combien !a solidarité financière est un | bien entre la France et l'Angleterre.

1 ` Tristan chez Achille

Nous n'avons pas appris sans une joie souriante que notre distingue collaborateur M. Tristan Derème était promu à la charge de chef du secrétariat de M. le sous-secrétaire d'Etat à l'agriculture.

Et Prosper, l'alerte chroniqueur de l'ECHO DE PARIS, dit à ce propos les sentiments et les espoirs qu'éveille cette élévation officielle Le Journal officiel d'aujourd'hui nous annonce que M. Tristan Derème, l'adorable et narquois poète de la Verdure dorée, du Tiroir secret, des Ironies sentimentales et du Poème de la Pipe et de l'Escargot, est nommé chef du secrétariat particulier du nouveau sous-secrétaire d'Etat à l'agriculture, M. Achille Fould.

Jusqu'ici, seuls les ministres de l'instruction publique et des beaux-arts se piquaient (pas toujours!) d'être «athéniens». Aujourd'hui le ministère de la rue de Varenne, s'il devient « parisien » grâce à M. André Tardieu, s'affirme en même temps, grâce à la présence du poète de la Flûte fleurie, très littéraire. Et n'est-ce pas normal, en somme, puisque le département de l'agriculture, c'est, évidemment, l'administration des eaux et forêts, celle des haras, celle des écoles agronomiques, celle du Pari mutuel et celle des services vétérinaires, mais c'est aussi, et surtout, l'administration des Bucoliques et des Géorgiques.

Pour ma part, je supplie à la fois Cybèle, Flore, Pomone et Polymnie de me fournir un prétexte à présenter quelque requête au sous-secrétaire d'Etat de l'agriculture, pour avoir la joie de recevoir une réponse rédigée par M. le chef du secrétariat particulier.

Ah les jolies lettres qui vont partir de la rue de Varenne

Je les vois d'ici

Pour répondre à vos vœux, monsieur le sénateur, Je vous annonce que Truc (Jean), horticulteur, Dont les rhododendrons ont d'exquises corolles, Est nommé commandeur du Mérite agricole. Portez-lui- sa cravate, à l'aube, eu son jardin, Qui mêlera, pour célébrer ce beau matin, L'odeur des seringats au parfum des framboises, Et les paons fastueux crieront sur les ardoises. Ou bien

M. Fould part pour Niort, cher préfet des Deux[Sèvres

A son coupé attelez donc cent douze lièvres t Sous l'azur plus vibrant qu'une aile de perdrix, Au Comice il ira distribuer tes prix.

Ou bien encore

En vertu d'un décret que signa Félix Faure, En dix-huit cent nonante-sept, le doryphore Doit être combattu ou, je le dis tout sec, Nous n'aurons plus de pommes autour de nos bifFaites ntentir ma prophétie, [tecks

Faites mentir ma prophétie,

Comité consultatif des épiphyties

Ce sera moins ennuyeux n'est-ce pas, que l'affreux jargon habituel à nos administrations. Un billet fort joli, n'est-ce pa$ ?

Le pain chimique

Le LYON REPUBLICAIN publie un très solide article qui vient, sur plus d'un point, con-

firmer l'intérêt de la campagne menée par M. H. de Castillon. 0

Les cultivateurs français peuvent fournir tous les blés nécessaires au bon pain

Le savant M. Schribaux, qui professa près de quarante années dans la chaire d'agriculture de l'Institut agronomique et est connu du monde entier pour ses remarquables travaux de génétique du blé, a montré combien était spécieuse cette manière dé justification des manipulateurs de farines il a expose que là France fournissait toutes les qualités de blé, sans exception, nécessaires à faire du bon pain les blés du Midi et du Centre de la France seront souvent plus glutineux et tirant sur le blé dur (l'Auvergne ne fournit-elle pas, mais insuffisamment, les meilleurs blés pour pâtes alimentaires ?) et les blés du Nord sont fréquemment plus amidonneux. Mais il faut penser aussi que les Français, les seuls au monde qui soient de vrais consommateurs de pain, ont des goûts variables avec les régions et que le pain méridional n'est pas goûté par le Breton, comme le produit de celui-ci ne serait pas apprécié dans le Nord.

La terre de France peut donc produire et produit toutes les qualités de blé nécessaires à faire les mélanges utiles pour une bonne farine c'est indiscutable, et cela malgré les saisons.

L'intérêt de l'agriculture

L'agriculture française, qui peut répondre à tous les besoins du marché intérieur, est donc intéressée au premier chef à interdire d'une façon définitive tout traitement, autre que mécanique, des farines qu'elle peut produire avec ses blés, et il faut espérer que le législateur ou l'administration du service des fraudes mettront fin aux pratiques que nous avons indiquées.

A ce sujet, d'ailleurs, le ministère de l'agriculture s'est déjà préoccupé de la question, et nous croyons savoir qu'on avait rédigé un règlement prévoyant que l'on ne tolérerait pas de faire entrer dans la consommation les farines contenant plus de 16 d'eau (ce qui est déjà un maximum pour les mélanges de farines des blés les plus niouilleux) seulement, comme le traitement chimique des fa.rines permet d'obtenir quelquefois artificiellement des produits contenant jusqu'à 20 et plus d'eau, des oppositions se sont fait valoir aupres des chimistes qui avaient préparé ce projet de limitation du mouillage des farines, et les errements continuent.

Se trouvera-t-il un personnage ayant une autorité suffisante pour mettre fin à toutes ces opérations dont cultivateurs et consommateurs français sont les victimes ? 1 ̃̃

II y a un personnage qui a nom l'Etat, et qui, en principe, est fait pour imposer le respect des lois. L'interrogation du LYON REPUi BLICAIN est assez savoureuse,

La dîme socialiste

La belle histoire que nous offre Le Huron de la NATiON BELGE A Wyneghem un boulanger vendait son pain 1 fr. 40 le kilo, tandis que les coopératives socialistes créées contre la vie chère avaient fixé leur prix à 1 fr. 70. Ces coopératives ont tenté de se débarrasser, par un coup de « dumping », du concurrent dangereux.

Mais pourquoi cette différence de prix considérable ? Le Peuple vient de l'avouer les bénéfices des coopératives servent à alimenter la caisse du parti et la propagande électorale. Notre confrère LA NATION BELGE Le spectacle que nous donnent les coopératives et leur défenseur Le Peuple, est vraiment réjouissant.

Nous voici ramenés, grâce à eux, au temps de la dîme, vous savez, ce temps abominable où lo clergé s'engraissait de la sueur du peuple, en prélevant la dîme, aux dépens du laboureur, sur tous les produits du sol Pour permettre aux hauts et puissants seigneurs du parti socialiste de faire sans bourse délier leur propagande électorale, il faut que paysans et ouvriers paient le pain vingt et vingt-cinq pour cent au delà de sa valeur. C'est la dîme dans toute sa splendeur ou, si vous voulez, dans toute son horreur. C'est l'impôt levé par le parti socialiste sur la bouchée de pain des travailleurs.

Et malheur au commerçant qui ose se mettre en travers. Pour abattre ce pelé, ce galeux, tous les moyens sont bons, y compris le front unique avec les coopératives catholiques ou libérales. Contre les abus de la féodalité, les gens du tiers avaient le recours au prince. Contre les abus des féodaux d'aujourd'hui, la justice possède une arme: la loi 1924 qui punit d'un emprisonnement de quinze jours à cinq ans et d'une amende de 300 à 100.000 fr. ceux qui, par des moyens frauduleux ont tenté d'opérer la hausse du prix des denrées de première nécessité.

.à condition que les coopératives de parti soient soumises, comme le citoyen, aux lois de l'Etat La dîme d'abord, les privilèges ensuite. Maurice Noël.

A MALINES

La chapelle du cardinal Mercier est inaugurée

Depuis avant-hier, dans la cathédrale de SaintRombaut, à Malines, une chapelle est ouverte au culte et la glorieuse mémoire du cardinal Mercier y sera désormais honorée.

La cérémonie de la consécration a eu lieu en présence de la famille du vénéré prélat et des donateurs qui ont assuré l'édification de l'oratoire. Le cardinal van Roey a procédé lui-même aux rites de la consécration.

Au milieu de la chapelle, la dépouille du cardinal repose dans un mausolée de marbre noir. Sur la pierre tombale, une effigie en bronze du grand archevêque le représente couché, grandeur naturelle. Il n'est pas inutile d'ajouter que cette statue du cardinal Mercier, est l'œuvre d'un prêtre polonais qui devint après la guerre l'ami intime du cardinal et qui reçut de ses mains l'ordination sacerdotale. De magnifiques vitraux polychromes surmontent l'autel ils rappellent la doctrine de saint Thomas que le cardinal enseigna i Louvain. Les vitraux latéraux de la chapelle illustrent les épisodes les plus marquants de la vie du primat de Belgique.

Nouvel hommage roumain

au général Berthelot

M. Gabriel Puaux, ministre de France en Roumanie, a été invité par le président 'de la Chambre roumaine à assister hier, à Bucarest, ainsi que le personnel de la légation, à une séance au cours de laquelle le souvenir du général Berthelot a été commémoré.

Le président de la Chambre, ainsi que le président du conseil, ont prononcé l'éloge funèbre du général qui a été écouté debout par toute l'assistance. Les chefs de tous les partis s'y sont associés.

Deux millions volés. et un voleur arrêté

Rome, 4 février. On mande de Milan au Messaggero

La police a arrêté un citoyen américain nommé Schubert, qui est accusé d'avoir volé une somme de deux millions à une maison de change de New. York.

La police avait été alertée par la femme d'un détective de New- York qui avait suivi le voleur à travers l'Europe et l'a fait surprendre dans un hôtel de Milan.


LETTRES, THÉÂTRE, SCIENCES ET ARTS

LES E3~P?!StF?~F?~

AU THEATRE DE L'ŒUVRE « La Folle du logis », pièce eu trois actes de M. Frank Vosper, adaptée par MM. Nozière et Gaîland. Penché par-dessus l'épaule de son patron, Salavin se disait « Si je touchais le bout de son oreille. » Et tandis qu'il imaginait la conséquence d'un geste aussi bénin, son doigt s'était posé sur "cette oreille sacrée, ce qui nous a vain La Confession de minuit, de M. Georges Duhamel. L'héroïne de M. Frank Vosper appartient à la classe d'imagiuatifs un peu au-dessus de Sajavin. Ethel Underwood considère comme accompli ce qui lui est venu à l'esprit, et de cette cause imaginaire, elle exige des effets réels^ Elle est employée dans une banque. Une dame mûre qu'accompagne un joli garçon se présente à son guichet. Elle entrevoit aussitôt la scène qu'elle pourrait lui faire « Madame, vous devriez avoir honte d'acheter ce beau garçon. 3> Seulement, elle ne dit rien. Elle se contente de servir cette cliente en maugréant, de telle sorte que son chef de service, qui a déjà plus d'un grief contre elle, lui donne congé. Expiasée de cette réalité qu'est une banque pour cet univers fictif qu'est la scène,' Ethel arrive en nous disant, et par la même occasion à sa famille, qu'elle a été congédiée pour avoir admonesté une cliente. Et toute la pièce va être ce jeu de passe-passe entre la réalité et la fiction, jeu troublant et dont M. Frank Vosper a tiré de remarquables efFets dramatiques. Ethel a épousé un homme qui a beaucoup plus d'imagination qu'elle. Harold Carter a atteint ce stade suprême où l'on n'a plus besoin ni de mots ni de gestes pour nourrir ses chimères. Rien ne le distingue d'un esprit positif et borné. Il semble que la fumée de sa pipe soit le seul paysage irréel qu'il puisse concevoir. Il sourit des comédies puériles que se joue son épouse et celle-ci méprise cet homme qui n'éprouve même pas le besoin de mentir. L'idée lui vient qu'elle devrait le tromper. Les idées d'Ethel se traduisent aussitôt sur un plan matériel. De ce qu'elle a envisagé l'adultère, il résulte donc qu'elle a un amant. Cet amant est Rowlie Bateson, un jeune navigateur qui va partir le lendemain pour un voyage d'un an. Il semble, d'ailleurs, d'après la pièce, que ce Rowlie soit son amant tout de bon, alors qu'il n'aurait 'dû être qu'un amant virtuel. La règle du jeu le voulait ainsi. Le virtuel et le réel se confondent ici avant l'heure.

Ethel vient de s'arracher aux bras de Rowlie. Exaspérée par le manque d'imagination de son mari, elle va lui avouer qu'elle a un amant. « Je le savais, dit Harold. Et que vas-tu faire ? Rien. » Un autre thème va se rajouter au premier et servir toute la fin du second acte. Il est excellent, mais il pouvait aussi bien faire l'objet d'une autre pièce. La folle du logis passe un peu au second plan pour céder le pas à un autre pensionnaire. Harold s'accommode fort bien que sa femme ait été à Rowlie. Et même il ne lui déplaît pas que le souvenir d'étreintes anciennes renforce celles du moment. Ainsi, il la possédera pour son compte et par procuration.

Douze mois ont passé, pendant lesquels Ethel a inculqué par correspondance à son t-.mant l'idée qu'il fallait supprimer son mari, pour qu'ils puissent enfin s'appartenir. Et tout va se passer comme si elle empoisonnait Harold. Elle verse une poudre blanche dans son thé. Lui, qui a surpris son geste, boit ce breuvage tout tranquillement. Sa merveilleuse imagination supplante celle d'autrui. Il sait, par conséquent, que cette poudre ne peut être qu'inoffensive-, que le crime s'accomplit sur un autre plan, Mais Rowlie, qui vient de. rentrer, de V. 'voyage,, s'est introduit clandestinement dans la maison. Lui, c'est un pauvre être incapable de vivre par la pensée. Il a été décidé qu'on supprimerait le mari il l'étrangle de ses propres mains. Sa maîtresse, épouvantée, se dresse devant lui. Elle n'avait jamais voulu cela 1

Le dernier acte, moins scénique que les précédents, est fort beau. Nous n'avions jusque-là qu'une admirable séance de prestidigitation. Où est ta muscade ? Elle est ici ? Non, elle est là. Maintenant, l'auteur. entr'ouvre, tout de bon, la conscience -humaine. Dans sa prison, Ethel attend de savoir si son pourvoi sera admis. Elle a appris sans émotion que celui de Rowlie était rejeté et sa propre condition ne la touche même pas. Elle a l'illusion que tous ces événements font partie de son rêve. Elle se croit la branche fixe du compas. Tous ces cercles imaginaires qu'elle a décrits autour d'elle doivent s'évanouir sans avoir rien changé à sa situation. Mais le directeur de la prison vient lui annoncer que son pourvoi est rejeté, et elle s'éveille soudain. Elle s'aperçoit qu'elle a dérivé en même temps que son imagination. Alors, après une minute de désespoir, elle s'apaise. Elle entre dans son propre jeu et trouve-que rien n'est plus doux que de mourir avec son amant. Ce dénouement est celui de la destinée humaine. L'instant critique est celui Sancho fait le point sur la route que Don Quichotte lui a ouverte. Un moment ̃vient nous nous trouvons en présence de nous. mêmes et où il nous fnut conformer notre vie à ce que notre -imagination a décidé sans nous. Ou bien d'imaginer qu'on s'y conforme et dè fumer sa pipe.

Cette pièce, qui offre'à l'esprit les plus délectabes satisfactions, est construite avec tant d'ingéniosité qu'elle est en même temps un drame fort attachant. dont l'intérêt rebondit sans cesse. Elle a été adaptée de la façon la plus heureuse par MM. No;sière et Galland, qui ont écrit un dialogue ferme et vivant d'oit tout accent étranger est exclu. Et la Folle du logis a été incarnée avec un élan chaleureux par Mlle Germaine Dermoz, qui donne à son existence imaginaire l'intensité de la vie. Les emplois secondaires sont très heureusement tenus par Mmes Jeanne Lion, Geneviève Dubreuilh, MM. Léo PeJtier, Jacques Ferréol, François Paulet et Mlle Emmy Guittès, une jeune débutante particulièrement douée. Enfin, cette pièce nous a révélé, dans le rôle d'Harold, un comédien qu'on avait remarqué tout dernièrement à l'Odéon, M. Aimé Clariond. Il a les qualités les plus précieuses et joue à ce degré de naturel qu'il ne faut point dépasser sous peine de redevenir artificiel. Le succès personnel qu'il vient d'obtenir est plein de promesses pour son «venir. James de Coquet.

,COURRIER DES ARTS Capena, ville étrusque

Aux environs de Leprignano, dans la province de Rome, un lac s'est récemment formé. On a reconnu qu'il était d'origine volcanique.

On a fait survoler le lac par un avion d'où l'on a pris un grand nombre de photographies aussi curieuses qu'intéressantes.

On a même reconnu une source de pétrole et, grâce au concours de la jeune rabdomancienne Mlle Maria Mataloni, on a pu déterminer l'emplacement des ruines de l'antique cité étrusque de Capena. Cette ville était célèbre pour son sanctuaire de Feronia, dominé et protégé par le mont Soracte. On a découvert des tombes, des loculi, des marbres. des bronzes et de la vaisselle.. On a retrouvé l'antique route qui conduisait à Capena et une plaque de marbre qui appartenait certainement à l'une des portes de la ville disparue.

LE RÊVE DES PREMIERS CHEMINS DE FER Société des Conférences

En. 1831, un rêve de chemins de fer hantait les âmes romanesques de nos ancêtres. Quelques voyageurs avaient vu en Angleterre ces étranges monstres, et, d'après leurs récits plus ou moins déformés, les ardents cerveaux des ingénieurs et des poètes ceux-ci ressemblant à ceux-là au temps des grands frissons de 1830 s'imaginaient que les locomotives transportaient les simples mortels en un instant d'une province à l'autre, comme le tapis magique des contes persans on allait sans heurts ni secousses, ainsi qu'en un songe il n'y avait ni poussière de charbon, ni vacarme, ni accidents. Une aventure féerique, le char des farfadets, la voiture d'Ariel. Quand, mais quand donc connaîtrait-on en France une telle merveille ? Nos savants étaient-ils incapables, nos artisans sans valeur ?

Non, certes, mais il fallait de l'argent, et même une influence politique sans les Rothschild, le rêve des premiers chemins de fer fût resté sans doute longtemps encore à l'état nébuleux, un peu absurde et romantique à souhait. «

Il serait difficile, mais passionnant, écrivais-je récemment ici même, de composer une histoire politique de la famille Rothschild. Or, ce conditionnel était une sottise, et je péchais par ignorance. ainsi que des lecteurs me l'ont fait vertement, mais justement observer cette histoire existe, en effet. Ce sont deux forts volumes, merveilleusement documentés, que publia en allemand le comte Egon César Corti, et qui viennent d'être traduits et édités en français. Le comte Corti un Autrichien, je crois a tiré sa documentation de tous les souvenirs et mémoires, des monographies, travaux d'ensemble et papiers plus ou moins inédits concernant la fin du dix-huitième siècle et le dix-neuvième tout entier, mais surtout des Archives de Vienne, où l'auteur sut puiser avec un grand profit.. <~ •Prétendre que cet ouvrage considérable soit amusant, certes non et que le comte Corti mette un soupçon de talent, d'aisance et de vie en ses chapitres compacts et monotones, moins encore. Il ne sait ni raconter une scène, ni montrer un décor, ni dépeindre la .société, ni donner la moindre couleur ou le plus léger relief à ses personnages, soit. Néanmoins, il est impossible à un historien, ou simplement à quiconque réfléchit un peu aux événements et à leurs causes cachées, d'ouvrir le premier de ces deux volumes sans le feuilleter jusqu'au bout, puis passer à l'autre aussitôt. Car une telle étude, si minutieuse et si bien soutenue par ses innombrables références, se présente à nous comme une sorte de révélation.

Jamais, ou presque jamais il n'est question en histoire du rôle extraordinairement important et le plus souvent secret, il est vrai, ainsi que dépourvu de.^rajç.es joué par les grands financiers. A peine si l'on parle de Fouquet, grâce à son fameux' procès, ou encore du vertigineux/ Làw^ à causé du pittoresque dé la rye Qijïriçampoix mais on s'en tient là le plus souvent, si bien que plus d'une cause cachée des faits les plus décisif s risque de rester dans l'ombre. Or cette étoriMrrfe' histoire de la famille Rothschild, jusqu'ici connue seulement par fragments ou réduite à de vagues légendes, démontre jusqu'à l'évidence la force inouïe d'un groupe financier, agissant toujours de concert, et dont les membres sont demeurés fraternellement unis pendant plus de cent ans. Etablis et plus qu'influents dans les principaux pays de l'Europe, ils avaient leur politique particulière politique de paix et la faisaient souvent triompher leurs armes étaient les emprunts d'Etat, les puissantes entreprises, les subventions, la cote des valeurs en Bourse, etc. Pour ne citer que quelques exemples pris au hasard, il a dépendu d'eux que Metternich entreprît l'expédition antirévolutionnaire de Naples, ou y renonçât, faute d'argent et l'on se montrerait historien bien superficiel et incomplet si l'on traitait du carlisme en 1835, ou de

COURRIER X>3S3 LETTRES

te souvenir d'Auguste Dorctiain °

La mort du poète Auguste Dorchain sera corn. mémorée.

Demain vendredi 6, à 11 heures, en l'église SaintSulpice, messe de Bout de l'an.

Dimanche 8, à 11 heures, au cimetière du PèreLachaise, pèlerinage sur la tombe du poète, dépôt d'une palme et récitations d'oeuvres d'Auguste Dor- chain par des artistes de la Comédie-Française et de l'Odéon.

Les poètes de Dieu

Sous ce titre vient d'être créée, à Marseille, une nouvelle publication, une revue poétique, littéraire, musicale et théâtrale, organe de l'Association des poètes de Dieu et de tous les joètes catholiques. Comité de direction Mgr M. Cballlan, chanoine Gamber, Jean de Jaline, Emile Ripert, Directeur, Pierre de Reims; rédacteur en chef, Claude SaintJean (3, rue Thomas, à Marseille).

Revue franco-belge

Un groupe d'écrivains français et belges fonde L'Europe littéraire, revue mensuelle qui a pour programme de grouper tous les auteurs européens de langue française et de faciliter les débuts des jeunes. L'Europe littéraire, ouverte à tous, crée un concours littéraire permanent.

Adresser demandes de renseignements et manus'crits à M. C. Forget. S.E.P.I., 55, rue du FaubourgMontmartre, Paris.

Le mouvement intellectuel parmi les indigènes de l'Afrique

Nous ne connaissons pas assez, ici, l'effort fait dans nos colonies pour l'assimilation et l'éducation des indigènes par de bons et modestes serviteurs de « La plus grande France »,

M. Roland Lebel, actuellement directeur de l'ins.truction publique au Maroc, publie, dans la Critique littéraire, bulletin mensuel de J' « Association de la critique litttéraire », un curieux article où il fait connaître ce que I'oh ignore trop qu'il existe parmi les indigènes d'Afrique un très grand nombre de bons écrivains français.

Il en nomme un si grand nombre qu'on ne peut .les citer tous. Il en est, parmi eux, qui se sont spécialisés dans les études historiques, tel l'instituteur Amadou N'Diaye Clédor, qui, en deux volumes, a reconstitué l'histoire de luttes, locales dont on n'a

l'indépendance de la Belgique, sans mettre. en lumière le rôle joué par les Rothschild à ces occasions, soit dans la coulisse, soit publiquement.

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Or, plus une affaire était considérable et intimidante pour autrui, plus elle plaisait aux Rothschild. L'établissement des premiers chemins de fer devait les séduire, bien entendu. L'invention du tramway, sinon des machines à vapeur, n'était d'ailleurs pas si nouvelle dans l'antiquité déjà, on taillait dans les dalles de certaines voies deux ornières qui permettaient aux chars les plus lourds de rouler très facilement.

Les rencontres de véhicules allant en sens inverse devaient en ce cas devenir tragiques, mais elles ne risquaient guère de se produire que la nuit, où le silence permettait aux voitures de s'entendre mutuellement approcher, et de prendre alors les précautions nécessaires. M. Chiappe, en effet, pâlira d'envie s'il apprend que pendant longtemps la circulation des voitures à Rome fut interdite pendant le jour. Seuls pouvaient rouler les chars des Vestales, et ceux qui transportaient des pierres ou des bois de construction. Les Romains devaient aller par les rues à pied ou en litière. Du crépuscule à l'aurore seulement, la circulation était libre et alors, quelles batailles La poste, enfin, et les voitures de voyage se trouvaient aux portes de la ville. Voilà une solution pour nos inextricables encombrements parisiens plus une voiture dans les rues avant la nuit, et tout le monde en litière. Les Romains savaient vivre. Mais revenons aux tramways dans les mines anglaises de charbon, l'on avait donc imaginé depuis longtemps d'établir sur certains chemins dès rails vois, puis en fer, sur les* quels un cheval pouvait tirer sans trop de peine des chariots énormes chargés de houille. Vers 1815 ou 1820, l'on substituait aux chevaux des machines à vapeur, et le principe du chemin de fer était trouvé les voies se multiplièrent comme par magie.

Les autres pays n'avancèrent point si vite que l'Angleterre dans la voie du progrès », ainsi qu'on doit dire avec un peu d'émotion. Certains prophètes, comme Benjamin Constant, avaient eu beau déclarer avec optimisme « Nous sommes arrivés à l'époque du commerce, qui doit nécessairement remplacer celle de la guerre » (!) la France ne se pressait pas beaucoup d'adopter les chemins de fer à peine s'il y avait quelques fragments de voie à Saint] Etienne, à Givors, à Lyon.

Stimulé cependant par l'exemple de ses frères Salomon et Nathan, qui travaillaient à grands frais, et avec l'espoir d'un éclatant succès, à l'établissement de lignes en Autriche et en Belgique, le Rothschild de Paris, le baron James, n'hésita point à soutenir l'effort de l'ingénieur Emile Péreire et le 26 août 1837, celui-ci faisait « voler •» style du temps une locoaaotwe et quelques wagons entre Paris et Saint-Germain. Pour ,i fr. 50 en première et 1 franc en seconde, les citadins émerveillés, non moins d'ailleurs qu'enfumés, se voyaient transportés à une distance de chez eux qui leur semblait formidable. Et l'on pouvait lire dans les journaux exactement les mêmes articles, à un mot près, que nous y trouvons si souvent aujourd'hui après chaque exploit d'aviation ou le moindre perfectionnement de la télégraphie sans fil. Les inventions vont vite, et surmènent le lyrisme des journalistes,

Après la ligne Paris-Saint.Germain, le baron James encouragé songeait à celle de Paris à Versailles par la rive droite de la Seine • tandis que le banquier Achille Fould se chargeait de la rive gauche et enfin, toujours grâce à l'appui et à l'aide financière du même Rothschild, le chemin de fer du Nord était inauguré en juillet 1845.

Enorme entreprise, prodigieuse étape accomplie pour le développement du commerce, de l'industrie, et les plus.exaltés disaient de l'es-

gardé que des récits .fragmentaire* Ahmadou Ma» pâte Diagne, à qui l'on doit Un Pays de pilleurs d'épaves et Le Gandiole Benrîaoud Mademba, qui a publié La Dernière étape d'un conquérant enfin, Paul Hazouiné, qui a écrit l'histoire anecdotique d'une aumône du roi Gléglé.

Certains s'attachent, la géographie, au folklore, à l'ethnographie et à la linguistique, mais la littérature pure compte parmi eux des écrivains d'un réel talent, tels Travelé Moussa, avec ses Contes et Proverbes bambaras, et Bokary, auteur de Farce et Bonté, livre il raconte avec une belle simpli- cité et une grande hauteur de sentiments sa vie de berger an Sénégal et son esistence de soîdat pendant la guerre.

Tous ces écrivain» ont vécu leurs livres avant de les écrire, Les indigènes qu'ils représentent sont de vrais noirs ou de vrais jaunes, et !es Européens qu'ils mettent en scène ne sont pas des caricatures de coloniaux ils s'attachent avant tout à la peinture des amas. Ils intègrent des civilisations in»connues à notre culture générale et, par ce qu'ils expriment de la vie profonde de leur pays, nous le font mieux connaître. Ce sont de précieux messagers do compréhension rautudle et de civilisation.

Le plus vieux lycée de France

Une petite cité qui occupe vraiment la plaee d'honneur parmi nps, villes universitaires, c'est certainement Tour» on qui, en 3936, pourra célébrer à la fois le quatrième centenaire de son lycée de garçons et le cinquantenaire de son lycée de filles.

A part deux ou trois établissements parisiens plus vieux que lui, le lycée de Tournon, le seul, du reste, des lycées de province qui appartienne à l'Etat, est le plus ancien de France i! fut fondé en 153G, par le célèbre cardinal de Tournon. Le lycée de Tournon compta jadis, parmi ses élèves ou ses professeurs, des hommes remarquables dans tous les genres, comme Honoré d'Urfé, les Daru, Quatrefages ou Mallarmé.

Même à Paris, ses anciens élèves sont assez nombreux pour se réunir en un déjeuner annuel, autour de Gabriel Faure, qui a souvent célébré « son » lycée. Parmi les convives du déjeuner de 1931, qui a eu lieu jeudi, citons MM. Léon Perrier, séna- teur, ancien ministre Gustave Keynier, professeur

prit humain, de l'âme européenne S. Les saint- simoniens, cerveaux religieux, ou plutôt reli- r gionnaires s'il en fut en cette époque excitée, élevaient alors l'industrie précisément, la mé- canique et les vastes entreprises au rang de dieux, et de déesses qu'ils adoraient en leurs 1 cœurs nu! doute qu'ils n'eussent fait des locomotives et des rails quelque chose comme des démiurges ou des saints intercesseurs entre les hommes et la divinité. Emile Péreire était j saint-simonien. Le baron James dut paraître à ces ingénieurs illuminés une manière de Pro- méthée.

Tout le monde, cependant, ne partageait pas un pareil enthousiasme envers les chemins de fer et t'avenir qui leur était réservé. En Autriche, le baron Louis von Pereira, rapporteur d'un projet de ligne nouvelle, déclarait avec ironie « Pour le moment, les chemins de fer l ne peuvent résister à ta concurrence du camionnage sur route mais il est évidemment impos- ¡ sible que le train ne puisse rivaliser avec la marche à pied *>.

En France, on écrivait dans les journaux hostiles « Le feu des locomotives incendierait I les forêts et les Etats, le vacarne des trains ren- drait inhabitables les propriétés et les châteaux avoisinants, et affolerait les troupeaux hroutant près des voies ». (Ce qui, du reste, n'était 1 point si sot quant aux incendies de forêts). M. Thiers, ordinairement plus perspicace, jugeait de son côté qu'il fallait « donner cela aux Parisiens comme un jouet, mais que jamais on ne transporterait de la sorte un voyageur, ni même un seul bagage ». Telle était aussi l'opinion des maîtres de poste, voituriers, postillons, charrons, maréchaux, carrossiers, selliers, grainetiers, etc.

Ces, honorables commerçants se trompaient, 'MJ Thiers aussi, les chemins de fer réussirent à merveille, et il faut tenir les Rothschild pour des bienfaiteurs à cause de leur zèle à patronner les locomotives en France, en Autriche, en Belgique, ailleurs encore zèle rémunérateur, du reste, car leur fortune déjà fabuleuse n'en a point pâti, on le sait.

Puis il en fut des chemins de fer comme de tous les progrès sans exception c'est-à-dire que tout en devint beaucoup plus commode, et un peu plus laid. On put connaître infiniment plus de choses qu'auparavant, et satisfaire plus vite des besoins plus nombreux. En revanche, le monde perdit en pittoresque et s'uniformisa davantage. Des rails monotones, des bâtiments sinistres, des gares sans imprévu couvrirent les plus douces campagnes, où par contre on ne vit plus brinquebalier la diligence à postillons entre les peupliers des routes, ni les chaises brûler le pavé du roi.

Comme en même temps le désir de connaître et de commercer augmentait prodigieusement, comme aussi l'on éprouva des besoins de plus en plus nombreux, il n'y eut en somme pas grand'chose de changé. Faites en quinze minutes plus de besogqç. que naguère en deux ̃heuresyvtms gagiiëfewisi bien du temps mais si vous éprouvez l'irrésistible et frénétique en- vie d'accomplir en eM(jue quart d'heure de la journée ce qui naguère/ tous prenait deux heu- res, est le profit ? C'est la mélancolique histoire de tous les progrès. Cela vaut-il de saboter toute la poésie et la beauté du monde, comme font sans trêve les inventeurs ? On peut se poser la question.

La phrase peut-être la plus significative sur le mode alors tout nouveau de locomotion vers 1839-40 a été mise par Balzac sur les lèvres de sa cousine Bette « Nous sommes, dit celle-ci, en un temps de chemins de fer, où les étrangers finissent en France par occuper de grandes positions ».

Cela, pour le coup, est bien vrai les trains, et aujourd'hui les autos, les avions, nous amènent beaucoup trop de magnats étrangers. Nous n'avions pas besoin d'un Henckel de Don.ner.s- marck en 1870, et il y a plus qu'il ne faut de Guaîinos dans les affaires Oustric.

Marcel Boulanger.

à la Sorbonne Fr. Vial, directeur de l'enseignement secondaire le générai Juïiien Charles Lambert, député du Rhône Henri Girard, administra'teur de la Bibliothèque Sainte-Geneviève René Gillouin Charra, directeur au ministère des finances, etc.

J* On mande de Rome la mort du professeur Marucchi, très connu pour ses études archéoiogiques et ses fouilles dans les catacombes. Le professeur Marucchi était officier de la Légion d'honneur,

*»3 La Semaine française d'Amsterdam, organisée par l'Alliance française de cette ville, a été inaugurée par M. Achille Mestre. Les trois premières conférences ont été prononcées par MM. Gustave Cohen, Tristan Derème, André Bellessort. «** Conférences du Génie français samedi 7 février, 2, avenue de l'Observatoire, à 2 h. 30, Avant l'Exposition. L'Ecole coloniale et la France d'outremer», par M. Georges Hardy. Dimanche 8, à la Bibliothèque nationale, à 10 heures, «Les dessins de Corot », par M. Henri Hertz à 2 h. 15, à Neuilly, 51, boulevard Bineau, visite de l'atelier du peintre Grùn.

Les «Amis de l'Académie Montaigne» donneront une grande soirée poétique et musicale le dimanche 8 février, à 8 h. 30, rue Richelieu, 100. Nombreuses auditions d'oeuvres de jeunes poètes. *s* On annonce un nouvel hebdomadaire littéraire et artistique Cadet-Rousselle.

<£' Les Editions de la Revue Française (Alexis Redier, éditeur) commencent la publication d'une nouvelle collection « Les Grands Etrangers », dirigée par M. Gérard de Catalogne.

Le premier ouvrage de la collection est un ouvrage de Sinclair Lewis Un Américain parle, traduit par Mme Martin-Chauffier et présenté par François Fosca. « Les Grands Etrangers publie. ront ensuite Amants et fils, par David Herbert Lawrence Il est temps. par Otto Flake Carnaval, de Compton Mackensie Les Parades sont finies, de Ford Mados Ford, et des ouvrages de Giovanni Papini, G.-K. Chesterton, Jacob Wassermm, Joseph Herghesheimer, Max Brod, etc.. Les Aiguazils

LA FRONDE LA ROBE CONTRE L'ETAT Par M. Louis Madelin

C'était, sous l'ancien régime, une bien singulière institution, mais une très redoutable puissance, que le Parlement de Paris, qui va jouer dans la Fronde un rôle prépondérant. Sortant, très lointainement, du Conseil assemblé par les premiers rois capétiens pour les aider à expédier les affaires de leur petit royaume, installé depuis Louis IX dans le palais des Rois, devenu Palais de Justice, affermi dans sa puissance par Henri IV qui, cédant à de fortes pressions et à des besoins d'argent, l'avait, en lui donnant le pouvoir de se recruter lui-même, transformé en une aristocratie héréditaire, il avait fini par s'ériger en une sorte de Sénat qui, encore que dévoué à la cause monarchique, s'arrogeait le droit de contrôler les affaires publiques, et au besoin d'y porter remède.

Tenus en respect par Richelieu, la mort du cardinal fut pour ces « parlementaires » orgueilleux, austères et jaloux de leur puissance, l'occasion souhaitée pour reconquérir un pouvoir qui leur avait en partie échappé. Os s'y employèrent avec ténacité, encore que ce Parlement, très nombreux, fût assez divisé el que les plus sages d'entre eux, les anciens, un Moié, un Séguier, dussent souvent refréner les ardeurs de leurs cadets.

L'heure était grave. La guerre, qui était à la veille de se terminer par une paix glorieuse, avait vidé le Trésor. 11 fallait tenir à tout prix. Mazarin tenta de se procurer les ressources indispensables avec de nouveaux impôts la Paulette, l'impôt du tarif. Le Parlement, avec obstination, refusa d'enregistrer ces édits. M. Louis Madelin expose avec finesse et clarté les péripéties de cette lutte acharnée qui atteignit à son maximum d'acuité le 15 juin 1648. Ce jour-là le Parlement, toutes chambres réunies, dictait une déclaration qui devait, selon lui, devenir la charte du royaume, et par laquelle il s'érigeait en puissance égale au roi et presque supérieure.

C'était une révolution qui commençait. Deux puissances s'affrontaient. Laquelle allait l'emporter ? Ce qui rend cette lutte affligeante, quand on la considère avec le recul de l'histoire, c'est que ceux-là qui défendaient les intérêts supérieurs de notre pays étaient deux étrangers une reine de naissance espagnole, un premier ministre italien. Et M. Madelin conclut ainsi: « La paix, se négociait difficilement en Allemagne les Espagnols menaçaient la France d'une invasion et des Français choisissaient ce moment pour attaquer le pouvoir, paralyser l'Etat, diviser les citoyens et bouleverser le pays. Ces mots suffisent à vouer une telle tentative à la réprobation de la postérité. » Paul Fuchs.

Cette conférence, comme toutes celles de la Société des Conférences, paraîtra in extenso dans la Revue Hebdomadaire.

Le Carnet du Lecteur

La Douleur (i). Ce roman de M. André, de Pichaud a déjà soit histoire le jury du Prix du Premier Roman reconnut sa valeur, mais refusa de le couronner, à cause de « certaines tendances ». En un avant-propos, l'éditeur s'amuse de l'aventure. Nous croyons qu'il n'aura pas toits les rieurs pour lui. On pensera que le romm n'eût pas été moins beau ni moins vivant en se trov/vant privé de, quelques audaces inutiles et d'un goût appiyê pour le plus trouble malaise (qui se laisse aisément suggérer).

Dans an village du Comtat, pendant la guerre. Une femme, dont le mari a été, tué au front, est la proie du démon de midi elle devient la maîtresse d'un prisonnier allemand. Près d'elle, son fils dix ans subig- les premières et obscures floraisons de l'adolescence il', adore sa mère, puis flaire et enfin découvre l'odieuse- vérité. C'est un drame pesant. L'innocence et peui-êtt\e la jeunesse font tout dire.

M. André de Richaud.a de plus sûrs mérites un afin de poésie celui précisément qui rend au réol nne substance, et le village, Ira maison, les visages passionnés, autant d'images inoubliables. Figures du passé

Joseph Fouché (2). En partant du célèbre ouvrage de M. Louis Madelin, M. Stefan Zweig, rompu à l'art de la biographie, a composé un portrait psychologique vivant et bien éclairé du « superbe tricheur ». Des thèmes reviennent sans cesse pour l'explication et l'on m saurait s'en plaindre comme de redites, car ils établissent la vérité permanente d'un être singulier voler toujours et avec quelle habileté minutieuse .< au zecours de la victoire porter le besoin de dominer et de réussir, oui donne son unité à une carrière cyniquement- chaotique travailler dans l'ombre et faire agir défier le danger en cherchant le pouvoir réel et non point appa- rent. Quel mécanisme monstrueux I

Sans éléments biographiques nouveaux et en se gardant de tout jugement d'ordre moral, M. Stefan Zweig, a fait une ceuvre originale ei un dessin très exact, croyons-notts, d'un visage peu favorable, pourtant, au crayon. La Vie de Mickiewicz (3). Le Mickiewicz de Mme Mark Czapsha contente, assurément, beaucoup mieux les sentiments nobles. Il attache aussi par l'érudition la plus animée et un amour secret de l'auteur au héros, qu'on a tôt fait de partager.

Un homme, d'abord, à l'âme dont la destinée intérieure est éclairée ici avec une fine intelligence le pèlerin errant de l'indépendance nationale, et, enfin, l'écrivain qui a sa place dans de notre roman- tisme.

De cet excellent ouvrage, Il. Drieu Fa Rochelle écrit dans une pauvre et navrante préface qu'il vient « réveil1er dans les mémoiïcs françaises -une sotie endormie l- Endormie ? Certains le voudraient certes a' ̃̃ mais il n'en est rien, ot nous souhaitons que ce MiK.sÂewipz-qu une large diffusion et fasse revivre, dans le public,, des traditions généreuses auxquelles doit- s'ajouter a«/«wjr- d'hui le ssniimeiti même de la sécurité française;

̃̃ ̃ fc ̃̃:̃

Œuvres compîèteg de Montaigne (4). Après- la magistrale édition de Rabelais, M. Fernand Roches,' gui, sous les auspices de l'Association Gmlkiuina^Budé, dirige « Les Textes français », nous offre un Montaigne,' Deux volumes des Essais viennent de paraître sept doipènt suivre, qui comprendront, en outre, le journal de voyage et les Lettres. Le texte est établi par M. Jean Plat tard, le professeur de Poitiers dont les travaux sur la littérature de la Re- naissance sont fort estimés il lui a été donné pour base l'édition Langelier de 1588, avec les annotations de la main de Montaigne recueillies avec mie exactitude relative dans l'édition posthume de 1595. M. Plaliard a réussi à tout retenir et à tout mettra dans un ordre parfait des travaux d'érudition qui ont éclairé les Essais et des caractères particuliers des trois éditions.

Un beau Montaigne, en vérité On n'est pan sans éino* lion devant la sûreté de goût et l'élégance qui président à cette édition. Un tel effort atteste la solidité de nos traditions d'humanisme et il aboutit à une œuvre d'inté- rêt public, car c'en est une que de mettre des ouvragés de bibliophile et des textes purs an juste niveau des bour- ses modestes.

.'•.̃̃• Jean Fréterai; ̃̃

(1) Grasset, (1) Grarsa, (i) Pion, (4) 'Editions Fefnsnd

Roches, <so, boulevard Saint'Oermain. J


CONCERTS ET RÉCITALS

Le Piano Adephe Borehard, M.-F. Gaillard, Paul Loyonnet, Frédéric j Ogouse, Mildred Ghase-Derfler, Marika Papaioanou. Le Violon Jacques Thibaud, Pierre Lepetit, Adeline Cizel.

Séance de Sonates André Meilhan et Robert Deneu. Le Chant Miguel Fleta et Maria Kous- iwzoff, Marguerite Fano, Layton et Johnstone.

Cette semaine de récitals n'aura eu d'autre caractéristique que d'avoir fait défiler devant nous un plus grand nom- bre de représentants de l'école fran- çaise. Chez les pianistes, il est superflu de présenter MM. Adolphe Borchard, j M. F. Gaillard et Paul Loyonnet. encore que M. Borchard ne soit pas l'homme dont les traductions restent calquées j sur le même modèle on le sent plutôt j animé par un scrupule aigu de se re- nouveler et do chercher dans sa propre sensibilité de. nouvelles concordances. '1 avec celle du maître qu'il ne cesse d'a-p- profondir c'est dans cet esprit qu'il joua, avec un relief particulier, les Po- j lonaises de Chopin inscrites à son pro- gramme.

M. Marius-François Gaillard s'est fait le chantre de Debussy, dont la mémoire est honorée avec une intelligence pleine de tact et un charme dont tout admirateur du maitre de Pelléas sait gré à l'interprète, technicien excellent, sans songer à lui reprocher ce culte trop exclusif pour une œuvre où son « métier » se polit et se repolit sans cesse,, où son jeu dépouillé atteint à la pureté classique.

C'est un plaisir élevé qu'on goûte à j entendre Beethoven commenté par M. Paul Loyonnet. Avec quelle apparente simplicité, quelle discrétion dans l'usage d'une technique à toute épreuve, il hait recréer véritablement une « Sonate » dans tout ce qu'elle suscita d'émotion, de fantaisie et d'élan au créateur Il n'est pas un détail qui ne touche directement notre sensibilité et n'atteigne à la grandeur avec moins de grandiloquence. Toutes les interprétations de M. Loyonnet sont rendues plus émouvantes par leur exemplaire probité.

Je retrouve M. Frédéric Ogouse à trop peu de distance pour porter sur lui un jugement nouveau J'ai aimé dans son deuxième récital sa clarté et sa puissance rythmiques mises au service de Bach le discours aisé dit le bon musicien mais le tempérament de M. Ogouse, qui s'apparente 'Celui de M. Georges Boskoff par ces qualités, ne s'en distingue pas par les défauts. L'un et l'autre nous le firent bien voir en accommodant à la manière slave un Duo de Mozart pour deux pianos qui manqua totalement de grâce et de légèreté.

Mme Mildred Chase-Derfler a un toucher fin et parfois un peu sec son jeu, qui n'apparaît cependant pas dépourvu de musicalité dans la Sonate en mi bémol majeur de Beethoven,*se ressent de quelques erreurs de mouvement et d'un manque de concordance avec l'esprit de l'œuvre.

Mme Marika-Papaioanou a tenu les promesses de ses débuts, où elle témoignait à son art une conviction ardente. Le jeu est maintenant plus expressif et plus aisé il atteste une compréhension toujours claire des œuvres traduites et s'exprime avec délicatesse.

M. Jacques Thibaud est dans nos murs le public, oublieux de la crise,

accourt à l'appel de cet enchanteur devenu rarissime, mais qui est resté pour soutenir à l'étranger le prestige du goût irançais, un sobre et pur exégète, cherchant moins à briller personnellement qu'à servir son art. C'est l'impression à retenir sur cette rentrée, pour laquelle le grand violoniste fit choix d'un programme tout classique qu'il exécuta avec la délicate maîtrise qu'on lui connaît et où il retrouva un de ses meilleurs succès d'antan en jouant la Troisième Sonatine de Schubert, œuvre délicieuse qui reflète à merveille la fine élégance et la cordialité de son style. M. Pierre Lepetit est, lui aussi, un violoniste de belle école la même un artiste pénétré de l'œuvre qu'il interprète et un virtuose au meilleur sens du terme. Sa sonorité pleine, la chaleur expressive de son archet et sa technique impeccable nous ont valu des traductions remarquables d'aisance et d'ampleur du Concerto de Lalo, de la Sonate de Tartini, dite « Le Trille du Diable », et de la Sonate en ré mineur de Brahms pour piano et violon, exécutée avec le pianiste Boris Golschmann, qui se distingue par son style généreux et sa science des sonorités.

Mlle Adeline Cizel montre, dans le Chaconne de Bach, des qualités de style, un mécanisme précis et beaucoup do spontanéité dans l'expression.

De la séance de Sonates, donnée par MM. André Meilhan, violoniste, et Robert Deneu, pianiste, consacrée à Haendel, Mozart, Saint-Saëns et Louis Vierne, je n'ai pu entendre que les classiques. On est en présence de deux exécutants compréhensifs et dont le métier parait sur cette conscience individuelle dont ils témoignent fait souhaiter une collaboration plus intime et plus généreuse avec les maîtres qu'ils interprètent. Passons aux chanteurs. M. Miguel Fleta est le ténor rayonnant dont la dextérité vocale s'exerce avec une aisance parfaite dans le bel canto. Il imprime à sa voix joliment timbrée, les j inflexions caressantes et les accents pathétiques qui conviennent à un répertoire sur lequel il n'y a plus lieu de le chicaner. Au même concert, Mme Maria Kousnezoff a chanté dans un style varié et prenant des chansons | russes et des mélodies de Fauré. Mme Marguerite Fano est à louer aussi pour son zèle intelligent en faveur de l'auteur de La Bonne Chanson qu'elle interprète simplement, avec une j iuste intuition. Elle nous révéla, en fin de soirée, des Fables de Florian, dont la mise en musiqué semblait une tentative malaisée. Celle de M. Pierre Vellones,en tout cas, est assez paradoxale. Ce compo- siteur avait eu l'heureuse idée d'utiliser pour souligner chaque apologue du fabuliste les incisifs du jazz. Il est dommage qu'il se soit borné à quelques poncifs qui enlèvent à cet essai ingénieux beaucoup de sa personnalité.

Les chanteurs noirs Layton et Johnstone ont retrouvé sans apporter beaucoup de changement à leur répertoire, l'oreille du publie parisien. Ce sont eux qui ont initié ce public aux saveurs du jazz vocal, en tant que formule mélo-

dique, et ils sont périodiquement es-

claves d'une popularité qu'ils méritent,

parce qu'ils sont les maîtres incontestés

d'un genre qui n'a rien de vulgaire, qui s'éloigne souvent de ses origines par des raffinements d'interprétation, mais v revient dans l'expression dépouillée de ces émouvants « negro-spirituals > qu'ils se doivent d'inscrire en plus grand I nombre à leur programme.

Georges Mnssy.

COURRIER DE LA BOURSE

PROPOS FEMININS

Qui boit café Sanka sans caféine dort bien.

4 février.

L'orientation générale du marché ne laisse rien à désirer. La cote a encore progressé, mais plus modérément qu'hier. Un bon courant d'échanges s'est maintenu, d'un bout à l'autre de la séance, bien que l'activité ait légèrement diminué. Les banques ont tenu la vedette. Bruxelles recherchait la Banque de Paris. Les marchés étrangers étaient, d'ailleurs, bien disposés aujourd'hui. Celui de Berlin, notamment, a montré une activité qui confinait à l'effervescence. En Amérique, des dispositions plus soutenues s'étaient manifestées la veille, à Wall Street, et plusieurs matières premières s'étaient légèrement améliorées. Après Paris, les Bourses étrangères commencent à se rendre compte qu'il n'y a plus dç;baissc général© à redouter.

*i ̃•

Fentes françaises irréguli'crres, mais conservant toute leur avance précédente, sauf le 6 0/0 amortissable 1927, qui recule à 105 îr. 80 (- 0 fr. 85).

Serbe 4 0/0 en progrès à 108 25. Excellente allure des établissements» de' crédit Banque de France, 19.100 Banque de Paris, 2.430 Lyonnais, 2.680 Comptoir d'Escompte, 1.768 Mobilier, 679 Financière Française et Coloniale, 558 Foncier Egyptien, 3.790 Foucier de l'Indochine, 313.

Métropolitain très ferme à 1.303 Voitures, 1.125.

Demandes soutenues en valeurs d'électricité Distribution, 2.350 I Electricité de la Seine, 858 Lyonnaise des Eaux, 2.680 Littoral, i, 1.299 Hudro-Ccre, 636. Toutes ces affaires ont continué à prospérer pendant la crise économique. Leur recul n'était donc pas justifié. Les mines metalliau.es sont plus fermes Rio, 3.440 (+ 105) Boléo, 157 Penarroya, 496. Le cuivre et Yétain sont en reprise à Londres. Plomb, faible.

Charbonnages hésitants Conrrières, 1.182 Lens, 874.

Produits chimiques bien tenus ,:1 Péchincy, 2.325 AirJAquide, 1 185'; Azote, 1.415.: t:

Fermeté des sucrières Say, 1.745.

Sucreries d'Egypte, 665. L'assem- blée du 26 janvier a approuvé le projet d'accord conclu avec le gouvernement égyptien. Il garantit la Société contre la concurrence étrangère. Sa situation sera donc plus stable. La combinaison favorise les

obligataires, dont les coupons se-

ront régulièrement payés, mais les actionnaires ne peuvent guère compter que sur le dividende minimum de 5 0/0, sauf reprise sensible des prix du sucre.

Pétrolifères en progrès Royal Dutch, 3.125 Shell, 472 Ea^le, 59. Soie de Ttibize, 295 contre 272.~

Soie de Tubize, 295 contre 272. Le bénéfice de l'exercice 1930 atteindrait environ 3 millions de francs belges, contre 9.491.000 fr., en 1929.

Un peu de recul aux sud-africaines.

Caoutchouticres soutenues.

Au comptant, la part Consortium du Nord s'avance à 3.150 (+ 200), la part Poliet et Chausson à 21.490 (+ 490), Financière des Ciments à, 135.. Foncière du, Nèrd"delà"France,j 540.- ̃̃ V.. :r. !̃̃̃̃ Société Coty, 729» Le fondateiyr de la Société, M. François Ccyty, vient de reprendre la présidence du conseil, fonction qu'il avait nésignée en 1929.

La part Electricité de Paris gagne 575 fr., à 17.680 part Electricité de la Seine 250, à 8.300 Energie du Marne 150, à 2.925 part Forces Motrices du Rhône 600, à 12.600 Gaz de Mulhouse 300, à 9.800 S;bie de Givet 280, à 5.080 Port du Rosario 850, à 26.050 Bénédictitre j. 325, à 8.000 part Air Liquide 275, à 5.100 part Cambodge 450, à 5.150 Schappe de Lyon j. 500, à 5.700 Viscose française autant, à 10.150, etc.

im ET LA CURIOSITÉ A l'Hôtel Drouot

Tableaux, meubles, bronzes, tapis A'la salle 1, M" Henri feaudoin présentait un ensemble important d'objets divers. Deux grands vases avec couvercles, 1.120 francs une pendule de 1 forme monumentale, style Louis XIV, 4.600 francs une pendule-applique, style Louis XIV, 1.330 francs deux grands candélabres Empire, 1.050 francs; une commode en bois de placage, style Louis XVI, 4.100 francs un mobilier de salle à manger en bois clair. style Directoire. 2.000 francs un meuble de milieu en acajou et bronze, style Louis XVI, 2.500 francs un ameublement de salle à manger, style Louis XVI, 1.900 francs un mobilier de salon couvert, en Aubusson, style Louis XVI, 2.400 francs une commode, en bois de rose satiné, 1.900 francs un tapis d'Orient fond. vieux rose, 1.850 francs, et un tapis à fond blanc, 2.100 francs.

La collection J. Plassard

M" Lair-Daibreuil et Georges Tixier, assistés de M. André Portier, achevaient, à la salle 6, la vente des objets d'art d'ExtTême-Orient composant la collection J. Plassard. Un groupe en bronze, dïantimoine. Cerf et biche, fut payé 1.460 francs une importante jardinière en bronze, Chariot sur lequel repose Un vase cornet, traîné par deux enfants, 1.900 francs, et nn groupe en bronze laqué, Monju assis sur la chimère. Nous donnerons demain les prix obtenus par les meubles et les étoffes. A la salle 10, M" André Couturier a obtenu 9.000 francs pour une, salle à manger moderne (arts décoratifs) .1.450 francs pour deux fauteuils cuir conforttable (Arts déclaratifs) 1.900 francs pour deux bergères 3.400 francs pour deux fauteuils garnis de tapisserie 1.600 'francs pour une bibliothèque; 1.500 francs pour un argentier, et 1.150 francs pour un bureau et un fautenil modernejs.

A la salle 13, M" Glandaz a obtenu /5.000 francs pour un petit collier de perles fines 3.100 francs pour une montre platine et brillants 5.000 francs pour une broche platine et brillants 4.600 francs pour une pince à chapeau brillants, et 3.800 francs pour une barrette composée de 25 brillants. A la salle 12, M" Albinet a vendu 4.300 francs une tapisserie 3.300 fr. une autre tapisserie, et 2.700 francs une chambre à coucher moderne. A la salle 3, M" Marcel Prudhomme a obtenu 6.500 francs pour une salle à mander 3.000 francs pour une armoire acajou, style anglais 4.000 fr. pour une toile de l'École française 1.450 francs pour une bibliothèque 1.680 francs pour deux panneaux Aubusson 1.030 francs pour une commode, et 1.780 francs pour deux bergères garnies de tapisserie.

Avant •hier, à la salle 12, M* Dru a obtenu 19.500 francs pour un collier de perles fines 10.300 francs pour un autre collier de perles fines 7.000 fr. pour* une broche platin et brillants 5.(100 francs pour une autre 2.450 fr. pour un bracelet-montre brillant/Sf et 1.900 •francs- pour uns pince à chapeau brillants.

Maurice Monda.

Exposition d'art ,•

Les amateurs de la Bretagne et de la mer trouveront, du 5 au 19 février,

bes de Mines Barbier-Krauss, Pierny et Y. Stephcns portent pareillement la marque bien connue de Martial et Armand. Encore une maison dont elle a pu, introduite par Janne Réale, visiter la collection.-

Réunion des plus intéressantes, où Elisabeth s'est trouvée mêlée aux représentantes de la presse française et étrangère, aux fabricants de tissus, de dentellfs, de broderies, à tous ceux qui contribuent par leurs trouvaiHes de igéjiio' aux triomphes de la mode. La directrice Mme Vallet, dans un petit a-propos plein d'esprit, s'excuse de présenter une collection plus simple, moins riche que les précédentes et qui compte moins'de modèles. Ce n'est, pas de sa faute si tout le monde sur la planète, aussi bien darjs les deux 'Amériques qu'en Europe, se trouve dans l'obligation de "compter. Ses petites robes droit fil, d'une jeunesse ravissante, et qui demandent fort peu de tissu.- ,nç. font pas regretter qu'il y ait -.crise, -bien au contraire. Mais Elisabeth est .de ces privilégiées que la crise n'atteint pas. et tout cela lui parait incompréhensible. Heureuse Elisabeth

Chez tous les grands couturiers, notre jeune amie note une richesse de ganls d'une fantaisie étourdissante dont se relève la délicieuse simplicité des robes. Mais quel tact, quel goût dans cette fantaisie Elisabeth s'en réjouit, car elle tient de sa mère cette correction britannique qui lie consentit jamais à abdiquer devant la mode des mains et des bras nus. Ces gants autant de créations d' Alcxandri.no épousent chez Callot les teintes idéales des robes, ou bien, sur des suèdes noirs, découpent une longue et large incrustation de lamé or, dont on peut s'imaginer l'effet, tout à la fois riche et discret. Le choix qu'a fait chez Alexandrine Jenny est un des plus beaux qui se puissent voir. Dans le nombre, Elisabeth retient « Ambassadeur », gant de sport marine et blanc d'un chic inimitable, et « Casanova », gant du soir ajouré au bout de la manche d'une fine dentelle de strass ou de turquoises. Elle reste aussi émerveillée chez Martial et Armand, chez Drecoll-Agnès, Germaine Lecomte et beaucoup d'autres maîtres de la couture devant tant de gants ravissants. C'est la conquête de la mode par Alexandrine.

Rosine.

Hier, comme Elisabeth de Sinclair se rendait en auto à l'église du Gros-Caillou pour le mariage de Marie de Vogué avec le comte Terray, son attention est attirée par un rassemblement considérable « Arrêtez, Firmin! s'écrie-t-cile bouleversée. 11 y a sûre- ment un accident. » A quoi Firmin répond « Que mademoiselle se rassure c'est une pierre de taille que l'on hisse au cinquième il n'en faut da- vantage pour inciter la curiosité des passants. » Rassurée, la jeune fille se rejette en riant au fond de sa Rolls- Royce. Paris, décidément, est plein d'imprévu.

Maintenant, dans l'église étincelante de '.lumière, fleurie de lis, d'arums et de boules de neige, elle admire, sans réserve, la très belle toilette que porte Mlle de Vogué, toilette de crêpe satin blanc de forme classique, que recouvre jusqu'à mi-jupe, ainsi qu'une mantille, un superbe voile de dentelle ancienne, allonge par trois volants de tulle. Ce voile tout en largeur, monté par une pointe incrustée sur une coiffure d'enfant de chœur, donne à l'ensemble une allure souverainement aristocratique. Mlle de Sinclair, invitée le mêïne jour, à la même heure, au mariage de Mlle Anne .d'Estampes avec le comte Edouard de Bruce, n'attend pas la fin de la cérémonie et se fait conduire à l'église Saint-Pierre de Chaillot; se réservant de faire ensuite une apparition à la réception donnée par le marquis et la marquise de Vogué.

La robe de Mlle d'Estampes charme Elisabeth par son caractère identiquement simple et fier. robe tout en ligne qiri, sous le voile de tulle encadré de point d'Angleterre, prend l'imprécision des corps que peint Eugène Carrère. Ce voile aussi tombe d'un petit bonnet de tulle dentelle entièrement coulissé. Elisabeth de Sainclair ne peut s'empêcher de faire un rapprochement entre les toilettes des deux mariées. Même souci de la ligne, même noblesse dans la souple retombée du tissu, et, dans les coiffures, le même petit calot, tenant à la fois du page florentin et de JVnfant de chœur. Aussi, n'éprouve-telle aucun étonnement quand on lui apprend que la robe et la coiffure d'Anne d'Estampes, comme la robe et la .coiffure de Marie de Vogué, portent la .même signature, celle d'Henriette. Boudreaux, inséparable aujourd'hui de tcuteVs les belles unions.

Jeanne Réale, qui se trouve comme par hasard à Saint-Pierre de Chaillot, xacdhite à son amie le succès qu'Henriette Boudreaux remporta dernièrem«rift à Lille, au mariage de Mlle Franck avec M. Aubert. Non seulement eîîe- avait habillé délicieusement la jetane. mariée, mais encore, non moins dé&ïcieusement, la mère, la grand'mère et les huit demoiselles d'honneur. Comme on voit Henriette Boudreaux ne se boVne pas uniquement aux robes nuptiaies, elle empiète de plus en plus dans les cortèges de la sorte ceux-ci gagrtetit en unité, en élégance, e>n harmonie.-

AiNice par son père aux plus nobles familles françaises Elisabeth assiste à tous les grands mariages, à toutes les fêtes mondaines. Si elle s'écoutait elle irait aussi tous les soirs au théâtre. Elle adore le théâtre. Sans y apporter J'esprit critique de James de Coquet elle sait souligner, avec à-propos, les faiblesses d'une pièce, tandis qu'elle prodigue sans compter ses applaudissements aux interprètes de qualité qui comme Madeleine Soria, dans Mad, de Romain Coolus, à. l'Athénée, vous prennent par leur jeu bien vivant et par leur profonde sensibilité.

La discrétion des robes, très jeune fille, de Madeleine Soria lui a beaucoup plu. Elle a goûté les doux coloris »de celle des deux premiers actes georgette rose garni d'incrustations de grorgette bleu qu'elle eût pris, sans sa lorgnette, pour 'r du crêpe imprimé. Charmantes aussi la robe marron à irtipression beige du trois et la robe du quatre, chine vert dont les manches soi*' en foulard imprimé. Ces manches différentes de la robe par le tissu et la couleur, se retrouvent, avec quantité ide boléros très courts, dans la collection de Martial et Armand qui, comme Elisabeth l'apprend ce soir-là, habillant de tout temps Madeleine SoVia à îa scène et à la ville. Elle sait encore, par le programme, que les ro-

La merveilleuse invention du siècle

Trésor précieux de la fcmme, la beauté ne souffre pas qu'une tache la déparc. Ainsi poils et duvets superflus gâtent la joliesse du visage, la beauté du corps. La femme, soucieuse d'être impeccable se préoccupe à bon droit de les faire disparaître.

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70.. -de l'Union Parisienne.1419 1433.. Turquie oonsolidée.1890. 126.. 126.. 37.. Cr~d:Fono.AI9ÕrieTunisi. 834.. 835.. 23.. Grais",essao. 310.. 314" .Caoutohouos V. 298. 305 ,Italien. 18 :1. 18

85.. Compagnie Algérienne 1810 1850 obligations 6 1927 ï" 512.. 513 50 Douanes,1902. 123.. 125. Crédit Fonc~er Argentin 22 50 22. 45.. Grand Combe. 880.. 904.. 2 .¡Chartered 169.. 167 5U Japon 1899. 765,8 76 ~14

50 Comptoir Lyon.Alemand, 622.. 628.. P.T.T. 5 1928 r. 500 520.. 520.. -'rribut d Egypte. 5250 du Bres,l 625.. 630.. L,gny-les.Alres c0lombie 85. 93 75 Portuga,s. 43.1. 43 .1.

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72 50 O..léan. 1420 1430.. 6 1922 deosn. 53450 535 lq2-- 6 52- 85.. Eaux (Cor>np. Gémérale dee 164 1660.. 113 16, (port). 1840 1935.. 90.. Hotohkiss. 1620 1640 Steel Common. 144 li2j 45 1.

72 50 Orléans ̃••••• £$j ^0 6% 1922 .T.. 54' 545 1924 6 530 531 80 Viehy (Etabl. thermal) "6 1793 90 09 Soi. art. d'izt.ux «0 879 Huanchaca «^- ^3 Jq JJ»™onI lu 5/8.. 0 5/8.. '§::S^rw"Spïrîî:»|?»j|»" f^nv.1923.. 559.. 560.. «4,^ zoo e.ux é,«t..ndo-cnin.u. 3875 3900 ^o ,dUM, m^ ^0;; «-^ |!5 JfK;»/»/

90 Tr.rn.de ShanghaT '£|5 1555 6% ,um 1923. 570 575 1||| 7% Air comprimé 4870 4870 .i 13 33 Chargeurs Réunis, part. Hydrc-Elec. Cère 618 636 Escompte hors banqu 7 2 /2

75.. Eaux et ÉJola¡"ge~Lyonn~ise?2630..2t&J.. oblig. 6%1924 :>85.. :>87.. 1929 41/2% .135 Air oomprimé.487~ 4870 13 33 Chargeurs Réunis, ,pert. .Hydro,Eleo.Cere 618,. 636.. Escompte hors benque.2 2 .1/2. 2 .112.

75.. Eaux .t Éclairag. CLycnnais.?. 2630 ..2680.. obhg. 6 1924 585.. 58/ £29 4 1/2 » 505.. ^urguTgnoZ Én.Vg i.~ ?24 221.. 35 Havraise Péninsulaire (B) ̃̃̃. 70.. 4 A.. Jagersfontein 61 57 Prêts ^ï"1 B S' iaft

B»IiS^i"~wE^l">A-- '»'«*• g- 28" £r!SSS!8 Sr 4ô"idâr.eonTélé9r"phiqu i§S:SS:: "S îssssS siSïïSïïr: ™r. i-èi^ïKJï: §̃̃ |ioI<Cchar3e): «««^

37 50 Eleotri.iti et Gaz du Nord 999 ..1000.. 7 1927.. 641 164 UJ Com. 1880 S 512. 509.. 40.. Edleo~ 1 260.. 3Transports 5 maritimes 523 523 .b. 6iK~.ela.Lumpur 123." 127 ,e S,New'York 4857'1485.94.

S^iK^^sS^-i-i" E «*ïJiB:i° S SlfeE S:: tâ^'£s!^E§"*Z~ ». i=^ t"^= z 11 SI

85.. Eleotrioité (C"Géneroele d'). 2690 ..2715.. 6% 1928..104 050.. () Fone, 1883 26o 355.. 355.. 45 08Electr,c,te de Part8 328 ..1335.. 325 si~éclictine 8025 82W 13 ~>6 London 550 '1544.. Valpara .41113214.11132:

40 En rgie Eleatr, Nord France.. 952.. 960.. -de Meurt.-et.M, 6 51 Corn.* 1891 :3 34.. 335.. 22390 ,de Va.ovie ord. 2 29W 455.. Brasserie Quilmès 6,6, i6bW Tin priv. 3d" 37., Suenos,Aire. 34.21 34.211

S ::S3l:fe!Sr1NlîSIKS:: «::»:: fp^&i IIS:: «i: cr- \lV2Vio% 3^ S:: ^Se^1"»" S::g^.ï:SuS"p:: » «:?. |" £::f^:»^™i}* 16 90 Nord-Lumière 2675 ..2705 d. Meuse 6^/2/o 1923 J |||||°^ 396 399.. 5Q.F2rol.M^rVZ^Rhêni:i^ 200 Distillerie d. l'Indo-Chine 2^90 2625 2 5h.. Main Re.f Consolidated \f ̃ ̃ « Cuivr. Ceompt.nO. 43.1/2.43.16

3. ~TÉ~ 6%1923. 55.. :>8..{; Com.1899260% 4~: 380.. 50 F:A~ j i5 ~L-.d.C~d: 590,Malaoca,ord. 122.123.. –OR. 4

25 Firminy 408.. 420.. 7%1927. ~f¡"CI: F, 1903 3% .22 50 Force. Mot. Vallée d'Aspe~ 460.. 461.. 1625GrandsMoulin.deCorbeilo,'d. 229.. 232.Malopolsk. 60,. 60.. NEW'YORK4F1évrier~

,M:rJ?r.>3::| .«– s7£Kfëï. ™~ «-e **»# «. g.. «:: 3750 iôii ïda •• « ss^i^v, | «g .30^r^EMt:°;l^ Sg gn*»»^ ^n ^.«

45 ..For.* Aciérie» du Nord et Est. «85 .995 521 523 Fono. 9O9 37o 210 212 49 41 *p.rO 2450 a7s 20.. Sucreries Colonial c!?! -ifS 50 ..Moteurs Gnome 571 569 Cab,es transfers TOZ ̃ 392

115.. Tréfileries et Lem. du Havre. 1975.. 1998.. Ville d'Albert 6% 52\ 52~ z Com. 1912 S% 210 212" 49 41- -(part) 2450 257> Suoreries Coloni.les. 183.. ,180.. 50 .Moteurs Gnôme 571 5~ Câblestransfors. 483 25 4858.71

50 CouN"ière. 1200.. 1182 Villa de Reims 6 ~o .0 ~jà 50 Fono* 1913 3 1/2 440 445.. 250.. Cimenta Françiis .5505.. '650.. 50 Moteurs Gnâme 567~ Change sur P.ris .e.391. 1 25

24 877.. 874.. Villi~ de Verdun 6 510.. 515.. LL 19134% 487.. 437.. 125 Indo-Chinei.. d'Eleotricité. 2500 2590.. 45 du Boulonnais. 790.. 77?.Mozambique 42., 43.. U. S, Liberty, S 112 100 ?

iiiœirdeVpU^ «ii^^Sïr"™ Si! Si! °\&»;fe':i ?::«•• i-Z.&'&l^^=:.&~&" »::S53S5=.Tr^- 2S:: ÏÏSQZï. ::=: | 5/8

153 157 Atelier Construot, ont ..3 Õ Com, 192051/2. 5 25.. Nantaise d'éclairage ord. 518 521 10.. Financière des Ciments "128.. 135 10.. Navigat.del'Afriquedu Nord., 205 ..1212.. Salt>n;ore et Ohio 79 1~2 791/2,

20.. Boléo. 153.. 15?, Cie d Energ,e Eleotrtque. 503 504 LL, Empr. 1921 61/2. 525" 525" 25.. Drtortté.. 2~" 100.. Polhet 8< Cheusson,¡2380 246:):, 16.. Padang (Caoutohoucs .1 3(}:J --1 30') Canadien 42 42518 41. 5,ts

~-P:r: 5~5:. ::p~~E~ 22b 23W <2.000..2.90.. 14 Paris-Foncier .i3:C: 118

» "ïïïïZiïZr. §'̃'̃ 1- .&£™ï: $>̃̃̃ x^ «s.. 974.. ^nSu^T;,nPr^ ̃̃ Sîï^tîîîyïïS1.?. ?«:: .Randwein..05.. 50 ^:£T^«;z: >g > 4]g h

Platine .470.. 500 Grosse Métallurgie 6 Vo 0" 0" () 1925 6 15.. Radio-Eloctrique 193 194 40 Phosphates de Constantine.. 610 ..1' 613 Ch,o.go Milwaukee C 6. (, 6 1/~

1 Crédit Gén. das Pétrele. 172.. 170" -6% nouvelles 506 507 Empr. 19267. 740.. 744.. 35.. Rad!o-Fra,ce. 492 4) -400 1 ,.36.. Son Marché ~79.. ,5æ.. 20 lPhosphates Tunisiens 278 280;, ChloagoHook 1.land 59." 571.'21

Debrowe (Pétroles) 37.. 39 50 Cati Fivez-Lille 6 ï'o 510" 5'1" Com. 1927 7 5?c "oo' 975 ..1599.. 25.. Rad,o,Marltlm. 441 440" 250.. Chapal. ~75 39W Plakainitza 65.. 67 ;0 Erie Railroad 30 1/2 30 1/2

2S~. Bozel.Malétra :>20.. 5~P?~C'1922: 507" six," ~.m..9304% 975.. 974.. ~22SudL~r. 60.. Coty (Sooiété anonyme) 725 ~3:: .R~f~.n.05.0750~ 87 .~J 1,2,

40.. Kuhlmann 6()g 718 720.. Industrie Suor'ere Française.. 507 506 51 13 26947 ord 6200 ..6260 11 Galeries Lafayette. 143 143. Randfonteln 105.0750 Loulsvllle.Naahvdre 109 (19 .1.1

-I z'Bn. » "J !S».8 'Z^pZz: 1 | *«».«» & ̃• & ^r^,r^=- a5::9g»^rd.H.1£*Btt:iSgI?:iS??: !£Stïï= 1^ | ^:X^ «TS 3)4

90 Produits chim. d' Alaie Froges. 2290 232, Maison Breguet 6 52U 518 51ÎS ',359 ~943 40.. T el.phon. 810 830 100.. Gntnde Maison de Sien 1480 1500. Roumano-Soige de Pétrole 20 75, 2Z Pennsylvanie 61 .1. b2

90 Produits chim.d'Al.i.Frog.2290 2323 Ma.sonBregu.t 6 » J | /6 ̃ ̃ •• *> T.l.phon.. Nouï.li(>s Galerie "5 735 Shansi 34 35 75 Re d' 87 3lM go

30 ..Chargeur. Réuni. « « ̃ $SZS£ J I i » « «^ ^i^ Ah-jM-nn; .h*-W* T.xt,,e ̃; J^ ^V^Y" S?" »" S*' [ !^a = Y:Y.Y.Y. 15 iïïKSïïï?' û^ > S •!

!0 ..Tr*ne*t~f*ioueord.Us!nM*in~tréM61/2% 520 –4/4. 370.. Dolfu.-Mleg. 1360 14-10" 25.. Rouff ~51 253.¡Silva Plana 3925 '56."°" 104 11104 );2!

125 Voitur.. à Pa" 444 438.. = S% a%noi.nn. 376:: 377" IrJ" In<lu.tr!e. t.xtile. (Giné.la). 1350:: 85, 1450 1442 6-p- .87.S~ ¡,'2 199 ili

3.5 1170' 1185 Alge",83/01902. 376 379 212 .Indu.trletutll.Ag.n088Hava. 6p.,ITangany,ka. 187.. 189 Amaçoncia Copoer 38 38 .1. 33 3'4

*7 êi:chi;v: 'S ^iJâï: Lyon 1855 s » x Aorty)4n. 4 Mr±l£nm ,»-» » S1KÏ: Z Z 'v-iTe^TRoug; | | ^t^T. !| & \& f,

243 48 ~T~3% ~907: 4~ 405. A~d~~ .L. ~t960::t960:: ~~iT~~Vc~r~ *404 414 9~ ~~4

:• s.7b,^ ÏÏSÎiœ »k «g 1 "g | Br- 4.|3 ?. SS Sfc:™ g S gss^* rJSÏÏS; g •• | » 0^ 1 3 changes 190 i '2 IBÓ 31

Culture. Tropicale. 243" 245 b.uni.ie 3112 %,1903. 150~ 10'2' 4 449 445 80. de Longwy. 1'3133405 113332~" JO Librairi. Hachette. 1980 1980.. ,h.3!Transvoal Co nso lidata, d La. nd 139.. 141. ~m:rI~a2 Cer & F.T"b" i~ 3;°

la.. Ford. 139.. '128.. 6% 1928. e9 388.. 50.. de Micheville 1340 1325 12 Tubes et F. de Sosnowice 96,. 91 -Ij ri 1& Americar 08ceo. 19 .1. 19 314 i

.3.5 '39:28:: = 3%F~.n.n. 391 388.. d. Semb.t.Ueu. 2650 2700.. '25..Afriqu.Occ.dent.5.. ,.bTub;pr. 272.. 294. 5 Il

«.. Turo Unifié *? £ 31 75 d 5 FundinJ 4% X 57 <dixiim. la part.) ,j» •• 446 Cultures tropicales (parti. "3 730. 335 trio 441448 £ 1.4.8 Crédit Foncier Egyptien m5 Ili6 3 "no i.nn. "Y.. Y. •• î403 •• 37 50 j.umont ,££ ,^5, Maroc (C" Générale du) ^5 950 COMPTANT â7'ntl"V«AV;# îv, •' ̃: 10 0/0 Canadian-Pacifio y 12U7- rhin. 4 Or 189S 492 490 y2 "I C I^J 391 87 70 Cp.rt.) 1890 1890 450 T.ba=, du Maroc "00 ..7300 COMPTANT 81., 358 Belgique «00 b.lgas) 356

.00 Union Europeenne, 4 ¿; 4 ¿; 5%1909 44 85 -3 %1921 25 Chantiers de SainÏ 5w '4iJ" Citroën (parts) 213 21Z 200 b. Vieille Montegne 1670 1710 S~ 39 3/81 40 il

Russe Consolidé et et2 aérles 0 05 Selglque 1/2 44 5725 Midi 55 Midi diconneux 6 6" 513 513.. 115 Chàtillon-Commentry ;~i 295 Colonies (Générale des) 845" 900" V,lIemagne. 53 53.. 57., 3Z IJ4 32 1 4

5% 1906. 37. 3 SC 3% 1895.19051 540 539 6% 504.. 496 15.. Decauville 'bU'" /7' Consortium du Nord 50" 900 d.. Vins 8< Spiritueux. 222.. 222.. Titree tre,tée" 1.5OO,OOC

"Serble4%emortis;able1895 1059, 10825 6 li2 1923 >1°" 5% 480.. 474" 5O..Electro.Câbl.(ordine¡r.e). 3710" ï75 13080.. part.2951..35150..

Turc Unifié 4390 4330 S é 4 r, 1889 215 J 35 Estampage de la Venez 310 315 30 Continentale Compteur& Gaz 8 2t1

Turo Unifié. 31 75 31 75 r. 5 Fu,dig 4% 439 ampage de a en08. 450 446" Cultures tropicales (part) az 735" 7 0 CHANGES

Benque Nationale du Mexique. 308.. 311.. ,190~ (P.r,,a,~ÙCO) 145() Nord 6 série F. 477" -~04 85.. F,y.LIn.=. 694" 680" 30" Dragages et Trav. Pub. 272 2/" Londr. 123 921 123 94

5 ..=~s=~ i i série ~=~ 75 680 30 E: 272 275 ~F:

i J 350 358 C-902. «4r 61Ê" 6% 1921 *«"• A" 501 50..M.oit,rra^.cFor9.a,Chant.). 75°- m~ X Union Cmm" Indo-Chinoise. 331 3.0 Bre.,1 259 25 258

Chine 4 Or 1895 492 490 -2~2%~C 394" <391" 8770 (p.rt.).S90-T'~MduMar.=.7300..7300.. COMPTANT B.g.c,u.OOOb.)gM). 356.

Chine 4 e Or 1895. 6" 616 6 1921 tren. 498" 0 (part.). 75" i5U Tabaos du Maroo.1'" Belgique (100 belgas) 356.

.20,1,. Wagon..Lit. or"- 350.. 358.. ~%?90~ ~¿ ~~9" 666 1921 tran. A. ~50).. 50..M<d,t.rr.n..(F.r9.a.Chant.).750..75U.. 30..uni.nC.mm")nd..Chin.i=..33t..3~ Bré.iI

L. 1. Central Mining. 1472 1490.. 5 1~03 1625 1625" 3% 1921. £ 194 1425 1465 Espagne, 259251258.,

n. ^SrTit^r. «| »« Ifjf- lS»,ig:: >x« »->».. 125 Fors, L.v. Aalney ..m.andBankeaypi v*™ £ :i2

18L. Monteoetini. 2l?.. Coing. oblig. 4% 1901 .Orléans Bons décennaux 6 5.l3 125..Forg..L.val.AOlnoye. 5 O.. Crédit Bank Egypt.1 7910 36 b.!Asturienne des Mines Grèoe.

11KL52 Azote (Norvégienne) 334, 3440 Congo obltg., 1901 364 50 36:>.j(¡ Orléens Bon. déoennaux 6 492 495 ou F. B~lg.. M.at. Ch. de Fer. ill~ g~ 390 Crédit fono, Franoo.Canedien. 8000 7910" 36 b'iAsturienne de. Min.. Hollande 1025 501'1024 50

IlKi.52 Azote (Norvégienne 2M 2y9 SY Priv il?oiéV 3'9-- S36.II **> ̃̃ «2.. 100 Lorrain. Min»* Métall. 35Op. 50 28 p. 50 Sarogosse 'isz 'i-U *•• C«ladz. 1210 1220 Norveg.

~B~E = ~n: ?:- :=~J: =~ P. Pologne (100 zloty).. -755. -7550

SI ^o;t;H<f* | § Ksïï S « » .» 0_t M% » « ^Z!Z££: S ïJS x. £t%.V^.<mï«: Z S -1 F-^™ 2 '̃'̃ i ̃̃ 1^ « » ::•

Z4 ti Royal outch Uixiàm4o 577.. 581.. l~1% 1. 95 Sr. one. 120 Mate".1 deTransport. '1"" 76 7 0 30 Sosnow,oe.13745 3 3'?" 12> "IHutohlnson .2520.. 2475.. Prague. 7550, 7550

,24R.Roy"IDut"h(<lixi.a).3070..3125..lteli.31/2% *no 395 393 100 creuset 1761) 300.KreUger&TolI. "/80,, 17500mnium,Pétroles. 134.,133 Roum.ni"1 .1


Bip etftacli-i

-SI ~J~ ~-<Q ~~A~~

,T-r.r.tj,tt.tttt«tt- 7 B"H o mr ~~c~ .1 11, -rr-n,t,m,t<tt-T–r-

« LE nR^Nt) PATRON »

Ce soif, /nous yefi'oHS M. Hat-PV Bàlif soiis. les trait& d'iiii g'Wuid chirurgien, dans la pièce de M.- André Pascal, qu'il vient dc>. mettre en. scène à la CoiU-cd.i'c des ChampsElysées. :̃•̃: ̃̃̃, .C'est son .potsoitnâgë'quS .fournit le titre de. l'CeUvi-e -Le GM/icl, Pà*tPôtt. Il l'a composé avec ie saîii nîihutiflux qti'ii apporte à chaciinù d6 ses Créations. Il trouve la puissance dans la sdteri'êtjà" d'iin jëti dont ta vérité est saîsfssaïïte.. $Dit rôlt': est cëîi^t d'uij savant orgueilleux, de soi! lîjbeiîf sçieijtificî*ic, des résultats acqtiiSj; ?dès .̃̃• eonséerntions Officielles qaè cwmporte- «a magnifique carrièrè. 'Potii* vaincre sa confiance en lui-même' et ce robiisfa 'optîmisih'é qui repose sur une .inattaquable iptégrité,.il ne faudra rien rhôlns que, Mais nous, allions trop en dire* Dévoilons seulement que rioiis le Verrons aux prises avec Mme Marcelle Praïnce, qui évoque < inévitablement, en l'espèce, .souvenir d'une é'tottnartte aventurière' de finances^ Mme Marcelle Prâince èri est à sa deuxième création dans la huitaine. Elle est excellente au deuxième acte à<e. iïtxidi h PÀthériée,elle arrivera désormais avec là conscience plus Jourde d'avoir, atjx Chafflps-Ëlj'- séés, escroqué préalablement la cou-1

1 IB.TI.B .̃̃̃̃̃

théâtres

Répétitions générales

EJi VWtoEE

STUDIO DÈS CHAMPê-ÊLVSÈEè, à i heu- res, Spectacle en allemand..̃̃•••̃

hh SOIREE '̃̃̃'̃

COMEDIE DES CHAMP8-ELVàÉËS, à B 11., lebêtition g-enir,ile A «le Le Cfrand Patron, de M Andié Pareil 7 "THEATRE IWONTPMRIi«AëSÉ.tG6mp\i^rtle' Gjs^oii jiatj), 8 i heinfe; 'çeriêfàle -É"; Ter*' raifi vagu4 <Jp Jiaa vftto*f"¥'êllettn) ei L'é c Sourd ou l'Auberge pleine, de Desrbrgc.

br.

En matinée ( COMEDIE-FRANÇAISE, ù 1 11. 45 (quitl- ] faines classiques,, deuxième quinzaine), bil- lcts Voses Pôlyëuctè, tfageaié en cinq ae* tes de Corbeille .'(M M. Jeaa.ileryé, Paul Gcrbauit, bbi-ival, Charabrêuîi'j ïiaurlco Bon- neàuti. Le Goff» .Robert Viaàlin; Mmes' Co- tonna HomaHo,. Maaeleine Barjac); Un ami de jeunesse, pièce en un acte, en prose, de. M. Èdrobnû ëfe (MM. Dénis d'Inès, Rô^rer MpnteaUx,.ieânl Màrtïnélii; Mlle Irène Erlllant)..

OPERA-COMIÇUË, à th. 45 (9« repre- Bentntion de l'abohnêmént s$rio bleue) Le 3àrbier do Sévilie (Mile Marif-Ttiiîrl'-s Gau- ir-yV MM. Anafo Aiiara, Davia Devfies, Ro- que, Balbôn). biï eommencèra par Angélique '(Mile Mag-ujr Gondi'; NrSt. BOÙrdin, TUBl'aiiS, Pùjol, 1 Iialdous, rBêrnavdi, ôênlô). ôrch. M. Co- t Jien. ODEOW,' à 211.15 (Jiboii,: classique, série Vértè) ï BritânniouS (avec, par Ordffl d'en- tr'eë en scène MM, Gautier Syilo, AUbeleau, lkèquea bumeenll, Rôgrer Clalrval Mmes tfeitli-Blanc, Lucy Laug-lers Maa..Breville) Et La Belle au Cœur dormant (par ordre d'entrée en scène MM. Raymûiid-Gtrard, ,c Baconnet; Mmps, fclette, .Adam, Suz. Gon-

oel).. *••̃̃̃- -T-

AI\|TOÎNe, fjlljourd^ùi jeadi^et-, après-ge- main 'samedi)' deux matinee's classiques sujp" j ( Plèmêfltair.eâ'ïtii.rif spécial très réduit) de j I Britannicus, do ftapine (ayeç,,MM, Jloger. Qflll- lard, Matifiee;' Es'canffé, BiflpétfC ef M/'ÀÎcbver; Mllèfe" Lucie B'filie- Réynà Capellô, I Waa-Dure.f). 'l [ Et Asile de Nuit, do M. %ax Maurey (avec ( MM. 'Pierre Diirtduil, Piewa' taUry et Hèn- s ti Cremieu.t).̃̃̃ ̃ j .Le. 'spectacle •sora' pïé^èntC' par M, Ser- | nard Zimmer; Tous les soirs et les dlmanches en matinée La Petite Catherine, avec ( tous les créateurs. :tristaim BERNARD, a 5 Heures Le '{ 6çeau du Secret, Un Mystère sans importancey La Partie de bridge.' TRIANON-LYRIQUE, à 2 H. 30, La Mas- cotte. LA BOTE-a-JOUJOUX (Théâtre des Ambassadeurs), à. 2 h. 30. Dernière représen- tation du troisième programme (Spadaro et t Mary Dltm, Paui Colline, Noël-Noël. Au- «lire Nlcofie; ..1 s* ."attractions! Concours. clowns, etc; Places: to. 1S, 20 et -35 fr.) THEATRE DU PETIT-MONDE (Folies-, Wagram) d 2 11. 15 Bécassine «u peu- j eionnat.

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fisficè d'un ïïôirînie de science trop

naïf.

La distribution du Grand Patron se comfjlètë des noms suivants Mmes' Jeanne Chèvfeï, Germaine GràiriVal, Mariè»Laure MM. Amyôt, Lagfeiîiée, Lqiiis Gautier, Henry Moyt-y et 5fme Yolande Laffon, dont l'harmonieuse- élégance suffirait à nous charmer, alors lîieitîé qu'elle n'y :1 joindrait' pas le plus aimable taie'iv! càiïïédieHilt1. Trois tttblènux se passent dans tin même. décor v:, le camhel. de Consul'tatioii du grand pat^h. Le qua" h-iéiiio et déFiiiei' nous transporte dans sa maison >d<? ? campagne,' où nôlis verrôfts renaître, dans sonofguuil et sort honorabilité, le héros un instiiiu' abattu auquel M. Henry Baur aura prèle les accents d'un désarroi magnifique.

-r- Unité de temps» fait remarquer l'auteur. .̃̃ Car l'action dtrg tfoig derniers tableaux se condense: en quarantehuit heures.

Quant 'à la misé en scène, elle a été réglée par le grand patron lui' même. C'est assez dire -que rien n'est laissé au hasard,; Hier soir, un des interprètes de la pièce nous disait Travailler- avec Harry Baur ? C'est un plaisir. Et tout devient facile cet homme-là ferait jouer un fauteuil

Robert Destez.

ni». -̃,

BO0PPE8-PARI8IÊNS, à 2 h. 30. MlCHODlËRÉ, à S h. io.

PldALLE, à 2 fi. 16,' NOUVEAUTÉS. » j S heures.

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PÔftfÊ-SAINT-MARTIN, à 2 h. 15. chatelêT, a 2 n. 30.

renaissance, h 2 a.

Ef soifee:

OPERA, TelftrBeij,or ̃: .?if.<f. GOMEDIB-FRAfiÇAieE, jl.6 1], « (al)Otl. léi-hi B) il te. Maître de sSn cosur, comftlio en trols'actes de'M. PtUl .'Hisynal (MM.- ïonncl, MaiiTice Donncaud Mmes Mary «af{tUEt;=. Henriette- .nafreau), OPERA-COMIQUE, S heures (9» représentation de IMbo»; série B) Le Roi mal|ré lui (Mmes Yvonne Brotliiér, jêâtino 3uyla; MM. Roger Bourdin, ClaVidël, 5)uïy, .Ballion, José Becktpans,- Payén, Mathyl Roque). Orcli. M. Louis Maison. ODEON, à 8. h, 43, Madame Sans-Ôêne, ivec (par or^ro d'çniféé. en sGène MM., oaamarat, Pafzy, Ilaymond-Girard, Louis. Set&iiol', AùBêlèau, SquinqUei, Darras( GoorJC3 Cusiii; Htirry-Jame-s, AHOnaut, Baconnet, VIonnier, Francœur, Barg-in, Roger Clairval, Paul OEttly, Gàutiqr Sylla; MmOs Colette Vdam, S..larnac, R: Simonot, Blanclia Dars, P. Marinier, Lily Jtfounet, G. Duard, tailla DalICymB) Glnéva, .LU'cy Laugier, Jolync, 3. Vlovy, Madclelho Foujane, Madeleine Brévillt', Suz. Gonnel).

VARIETES, à S 11. 36, Topaze (MM: Le'aur, Paulej'j Vallée, Larquey, Saint-Paul, aorlan, etc., et Mmes .-Provos-t-, Siamo, thonassin, Bernard1, Kis'îy, Cladel, Parj'g), saRAH-BéRNAUDT, a s n. i r, L'Aiglon (Mme Vera Berginei^MM. a. Dèecoùr, il. Wônteuxj Mlles Iiélèiio Petit et Aiice fMsot).

GAITE-LYRigUE, à 8 tl. 30, Werther (VlllaDêlla, de l'Opéra, et Mmo FrôzlerWarrot. de l'Opéra; Suzanne Laplace, An- Iré Arbeau, CDarlos Mahteu, de l'Opéra). Drcli. M. Gresslcr.

ATHENEE,, à S & .4 5. IWad, de M. ttoniaill 3oolus (Mmes Madeleine Sorla, Marcello ?r-a,li)ce. -Cliarlott^ -Barbier, Kraiiss'; .MM. ^Qiewbprfv. S^çphéa, .floùKéç, ,ètc.) i GY.MWÂSE, ii.8 h.â'0,Le.lour (.Mm'ç»j jaby .Morla}' Géniat, Ducourei, Romai», "romcl! RlçHzl.' Camllle-Sol.in.ge; MM. Blnn;liar. Constant- Réftiy, Michel Simon, etc.). ANTOINE, as lî. 4S,;ILb Petite Catherirte, le M. A. Savoir (Mmes A. Cocéa, MarguẽIto" Pierrj»;' MM. Alctfvîr, etc., et M. Rbné ïoClleV;); ̃- .•̃ ̃ > 'ï>- ̃ PALAIS-ROYAL, à S il. 4E. Les Dessous la Robe, do MM. Pierre VeBer et Alex. Uadls (MM. Duvallès, J. Wall,; Berthler, ;tc; Mmes Bl. Mon»elr Marg-. Templey. etc.) THEATRE DE PARIS, a SU. 4Ti, Maflus, le M Marcel Pagiiot (MM Ralmu, Bervsi; Hmos Allda Rourfe, M. Cbarpln, et6. et Mlle Orane Demazis).

BOUFFES PARISIENS, à S b. S0. Les Aventures du Roi pausole (Dorvillc. lue lueline Krancell, PasqUall. Viviane Gosset. Blanche. Germaine Duclos, etc.. et Koval). MADELEINE, à 0 heures (Chauve-Souris). nouveau spectaclo de Niklta Balieff; les plus célèbres,- créations du Théâtre de ta :;lKiimvSourU La Dame de PiqUe. MICHEL, à 6 heures. Cette vieille canaille, somédie en trots- actes de M. Fernand Nodère (M. Maurice de Féraudy, Allbert, MUe Micè FlelO).

EDOUARD-VII, à 9 heures. Apr*s l'amour, le -MM. Wolff et. Duvernois (M. Francen; Mme Renée Corciade': MM. Joffre, J. Varennes et Mlle Renée'bevilllers).

MICHODIERE, fi S b. 45, Le Sexe faible (Cbeirel, Boucher, Grumbacb, Brasseur, Hé-

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TRISTAN-BERNARD; à 9 lie u l'es Que te monde est petit!, comédie en trois acte, de M. Tristan Bernard, précédée d'une causerie de l'auteur.

COMedië-CAUMARTin; à 9 iieuree Ênlevez-moi. Muslqud de GaBaroclie. (GaUaro-'che, Eliane de Crous, Robert llasti, J. Dê-

valde, etc.)

MATHURINS (i,oc. Lourre 49·G6), b 9 1

MATHURINS U.Oc. Louve 49-06) S 9 n..

Browning (Mmcs Franco Eilj's, Martùo Sar- bel; MM Cliarios Docfiamps et Pierre Fi- naly )

HOTINIERE, h 9 b. 15, Monsieur Gas- pard, trora actes de M. Léon Rutb. (Dfbucoui-t, âatumln-Fabre et Clairo Prémore, Marle»TlitT6se Piiycn; etc.).

MONTPARNASSE, à 9 lifiUrôs, (fénérald B Terrain vague, et Le Sourd ôii l'Au,b*rge j pleine. PORTE-8AINT-1HARTIN, S 11. 15, Cyrano de Befgefao. Il ̃ AMBIGU, S b. 40( Râfflss (AndfO Brulc). CHATELET, il 8 b. 30, Bidonie Panaûhe. ŒUVRE, ù 8 b. 30, La Folle du logis. RENAISSANCE, a 8 b.. «0, La Chienne. STUDIO DES OHAMPS-ELY8EES, à S h ii' Le Chant du berceau et Il faut qu'une cage.

COMEDIE DES CHAMPS-ELYSEES, à 9., g-éïiéralc de^Le Grand. Patrpn. '><. e, ATELIER, à' 9 Ueurëa, Wiissfi. .V,t,

VIEUX-COLOMBIER, ù 9 lieurci,, MM,

THEATRE DÉS CHÀIVIPS-ÉLYSÉ6S, ,V,H heures Cqnoerts Walther Stparam :(troi«. siem'e. concert n. Schmnann).

OOMÇEDIA, ïi 9 heures Une bonne aubaine.

ŒIL-DE-PARIS, a 9 h. 15, Sport. NOUVEAU-THEATRE, h 8 h. 30, Le Comte de Luxembourg. SCALA, <1 S il. 4 3. Billy-Bill.

TRIANON'-lVRIQUE, tl S h. 8Q, MiMille. THEATRE 1932, à 9 heures Les Cou- lisses de l'âme, L'Ennemi de la oloire. THEATRE DES ARTS, & 8 fleures 30, Les HdWftiSS.

CLUNV, Ménage à trois.

VAUDEVILLE ET PLAZA, I 11. 4 5, Ma* demoiselle Flûte.

THEATRE DE DIX-HËUBES, Colnhié VOUS vcnei tard.

THEATRE DES DEUX^ANEà, à 9 heures. Au bonheur déâ anês.

MOULIN DE LA CHANSON, à S il. 30 C'est leur esquiss*.

THEATRE DE MONTROUQE, à 8 h. 45, Femme de Minuit.

THEATRE DES TERNES, Si S h, '45, SU Filles à marier, THEATRE MONCE Y, ft 8 ». 30, Une petlie main qui se place.

TRENTE ANS DE THEATRE, ii B Heures gala populaire Le Voy*g« de M, Perri- ehon.

RELACHE

Avenu», Ambassadeurs, Théâtre Varia. ̃ nnlUlfl ',>.

Notes etliiFormaîïons

~,i~>

OeiR.U'-i-ffe:mâSn. c'est M. Fran« qui chantera le rôle de Parsifnl qui est un de ses plus baaus succès, avec- .Mme Jeanne Bourdon en *cïlu'i de Kundry, MM. Grommei), Rouard, HuberLy, Narçon dans les autres principaux rôles, sous la direction de M. Ph. Gaubert,

Comédie-Française. Demain en -"Soirée, à 8 h. 15, dans Le Vieil Homme ^paraîtront MM. Roger Monteaux, i*doux, Jean Weber. Mmes Marie Ventura. Madeleine Barjac, Jeanne Sully, Irène Brillant.

Samedi, à S h. 30, Poil de Carotte sera joué par MM. Léon Bernard, Mmes Berthe Bovy. Dussane, Catherine Fonteney. La Brouille aura pour interprètes MM. Léon Bernard, André Bacqué, Lucien DubosQ. Pierre Faubert. Mmes Béatrice Bretty, Catherine Fonteney, Jane Fabér, Hélène Perdrière. .x..

Dimanche, en matinée, à 1 h. 45, Sapho. En soirée,, à S h. 4$, Le Maîtreson cœur.

Opéra-Comique. C'est Mme Marguerite Soyer qui chantera Loidse, demain soir. Le ténor Verdièrc chantera le rôle de Julien dont il a pris récemment nosses-

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sion Mlié-Mâthitee t^lvêt chantera:, la

rnère, et M. Laf ont,; le père. 1

mère, et M Lafont, pore. I,

M. Maurice Frigara dirigera l'orchestre.

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Dimanche, eh matinée, Mlle Yôshiko Miyakawâ chantera' Madame Butterfly.

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M«/oredt ti février, La Vie de Bohème, Paadlassé jeudi r22 en matinée, Le 'Ju;t~kleur Notre.'Oatrii, La Vie brève; en soirée, Doit Quichotte vendredi 13, Tristan et t solde, t ̃

OnÉoSf. Aujourd'hui! en matinée, dans Britaimiciis, M. -Aubeleâu jouera, pour la première tois^ Britannicus.

Ce ,,soir' dans' Madame SâM-Gêne, M. Chamarat jouera pour la première fois Fouché.

̃ GAiTÉ^LYRioue, --Ct soir, Véronique, t)em,ain Les Mousquetaires au- Couvent, Un 4e= -Brands succès du répertoire. Samedi, La ïràvittta, populaire opéra de Verdi, dont la", première,' ces jours derniers, a..été un véritable triomphé:

••"•'• '̃̃'̃̃ 'i'sJ^ -fâ^* ̃>

1 Variétés. Aujourd'hui, à t heures i6 très exactement, Topaçe^ de Marcel Pàfttiol, avec tous lès créateurs. iGutenb. ôç.g2). Mïcroptère., –.Aujourd'hui, à 2 h. 45,. toatinée'. de Le Sexe faible,, la magnifique comédie de M.- Edouard Bourdet, avec toute sa brillante interprétation du Sbiç. GymnaSK. Mlle Gaby Morlay qui avait été -légèrement 'souffrante pendant quelques jours, a repris, mardi soir, le rôle de Pierrette Lempereur qu'elle a si brillamment créé dans Le Jour, la pièce nouvelle de M. Henry Bernstein. ̃ t Aujourd'hui, à 2 heures 30 très précises, matinée de Le Jour, avec Mmes Gaby Motlays Marcelle Géniat, D'utouret, Romane, Fromet, Rienzi, Camille Solange, MM. Pierre Blancliar, Constànt-Rémy, Michel Simon, Jacquelin, Dorléac, Laïloz, Srôchard, Dorval.

A partit de vendredi, Monsieur et Madame Untel sera précédé, aux Nouveautés» par un acte dé M. Henri Duvernois, intitulé Les Voisins, qui sera interprété par Miles Suzanne Dehelly, Betty Rosanès, MM. Champell, José Sèiky et Kumès'.fils.^

Tiiéatriî AnÏôixi;. ÂujoUr'd'hui jeudi S et après-demain samedi 7 février, deux matinées classiques supplémentaires (tarif spécial: très réduit), Britannious, de Racine, avec Mlle Lucie Brille,- MM. Roger Gaillard; Maurice. Escande. et .M. Alcover; et Asile de iV«k* M. Mai Maujfey.

.spectajje, .s,èra. présenté par M. Bernard

.Zimôjër. ,•̃̃ ̃••̃̃•. Tous' les sôiirs -et les 'dimâtiaies. erl 'rnàtt-1 née. La Petite Catherine, la pièce' la sai.son. ̃̃̃*r-nv>-m ̃'•- ̃̃̃̃̃' La trépidante '«pératte No, No, ̃Nanette est- acclamée tous les soirs au Théâtre Mogador. Dimanche, matinée à 2 heures ̃$(>, avec tous les admirables interprètes. Aujourd'hui, à. â'hi'jb, dernière retirésentatfon du troisième programme de La Boîte à Joujoux (le music-liall pour enfants), au Théâtre des Ambassadeurs, avec Spadaro et Mary Ditrix. Paul Colline, Noêl-Nôèl et Andrée Nicolle.: Douze attractions, concours, clowns,- cte., etc. Places 10, 15, sa et 25 fr, (Ëtysées 43.73.) ̃ .'̃̃

Nouveau Théatrk. Manon figurera sur l'affiche, du i.V'âu 19 février. Le rôle principal de l'œuvre de Massenet aura tour à tour comme interprètes Mlle Marcelle Denya, de l'Opéra Miles Renée Destangés et Roberte Fissore, de l'Opérâ-Comique.

OPÉRA Rrssr. a. Paris (Théâtre des Champs-Elysées). Demain soir Gala des Ballets de l'Opita russe (danses polovtziennes du Prince Igor ;Etude chorégraphique de Bronislava Nijinska Capriccio Espagnol variations tho'résraohiques de Rimsky-Kôrsakoff;. -Pctrmichka. Sktnedi La Fiancée du T'ia'r, -s ? >

Chaliapinc, oui chanté actuellement â Milan, reviendra à Paris le io février et donflera,. :au- 'Théâtre, ̃jde%,ÇhâmDs-Elyséesf. qua»tre représe'nfàf ions avant d'aller à Monte.

Caylo, :̃. ̃ ̃ v?^ ̃ ̃ ̃̃ ̃̃

A-Or Théâtre" SARAH-BeRS'HARDT. Aujourd'hui ]éudî; â; â- heures ïS,, matinée de L'Aiglon, avec Mlfc hitK Nôrb. En soirée Mme Vera Sergine. •̃ Théâtre Apouo, Abel Tarri^c reprend ce soir jeudi son rôle Qu'il avait, abandonner., Pendant son absence, c'est M. René Stern qui a-tena le rôle du sénéral dans -Matricule 3.1. ̃-?;

<~ 'Ii'

Au Théâtre TrîsTAS-Bernard. Que le monde est petit, la pièce., actuelle du soir du Théâtre Tristan-Bernard, commencera sa tournée dans les départements, en Suisse et en Belgique, à p"artir du 1,; février, avec la plus grande partie, d,e-ses créateurs. M. Irénée sMauKeï retient d'ores et déjà la date du iS< février en, soirée pour la répétition générale de Le 'Sauvage, pièce en quatre actes de M. Tristan Bernard.

Stubjo des Champs-Elysées. Sans interrompre h -carrière' du Citant du Berceau, dont le succès ne permet pas de prévoir la durée. le Studio dçs. Champs-Elysées abritera le samedi février, en matinée, et le dimanche S, 'en soirte !le Studio- Allemand de Paris qui présentera Krnnkhgit'' 'der Jtinend (maladie, de "là 'jeunesse), 'pièce en 3

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actes de, P. Bruckner. Location ouverte au Studio dès Champs-Elysées, °, TaiAÏKfi DU ArlEux-Coi.oMBiER. A partir du'dimanche 8 février en soirée,, le rôlede Noé Sera 5oué par M. Auguste Bovério, de la Compagnie des Quinze.

Pour répondre à la demande du public, les soirées du dimanche seront désormais données' à demi- tarif,- comme les soirées du

lundi. m M

ANS TfiiAïfei. Ce soir, à.ç.heU'rest Concert Brunin, 133, boulevard &iiérot, *,H° gala popu'aire, Le Voyage de Monsieur PetrickoH (MM. Siblotj Croué, Gerbault, Ledoux, Weber. Le Marchand, Dufresne, Mmes Andrée de ChaUVeron, Nizàn et Roussel; de la Cômédie-Fr.an(âiseJ. Le chansonnier Gaston Secretan, de i La -Lune Rousse s>i dans ses œu-vreSi-

~rna.

ETRANGER -̃̃; ̃ .-],

De Milan. Le -maestro ̃ Italo Montemezzi. l'aulieiir de L'Ambre dei tte Re et de 'La N ave. a donné, hier soir, au Théâtre de la Scala, à Milan, la première de son nouvel .opéra La' Natte d£:2oraiarra; dont le -livret est dû à M. Mario Ghisalberti,

Dans la Notte di Zbraima que i'âutellï a présentée au public après treize années de' silence, ['action, très dramatique, se passe en "i'sôoV à'fépbatip de là conquête' du Pérou par les Espagnols!

La nouvelle partition a été vivement applaudie.

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DEUX -COJCÊRTS AflSEMÉf Les -notas de M. Igor Strawinsky et du chef d'orchestre Ernest Ansermet composent

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l'affiche des deux concerts de £âk qui au.- q ront lieu les vendredi 20 et mardi 24 fé- di vrier au Théâtre des Champs-Elysées* avec FI le concours de l'orchestre Walther Straram. qt M. Strawinsky v jouera son Capriccio pour ra piano et orchestre qui «ut tant de succès à d( sa première audition il y a Un an et il y di- rigera la première audition, à Paris, de sa d' Svmphonie Psaumes dont les premières b, auditions à Bruxelles et à Boston ont été qi l'objet de commentaires enthousiastes de la qt presse'. M. Ansermet dirigera outre deux iu d'entre les plus belles symphonies classiques.. une série d'œuvres de Strawinsky et de De- bussy dont est, comme on sait, l'inter- j,, prête consacré. La location est ouverte au Théâtre des Champs-Elysées. cc

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En soirée to

A la Salle Gaveau, récital de piano par Alice Landolt.

Aux CoSGERTS fcVMotiRjjgt. '–} iSalle Ga-

veaû, q5, rue`ï,~ liôétie; é-médi février, G

veau, 4S, rue Boètîef samedi 7 février, g

jà 4 heures. ,45, ayee le concours du quatuor 'vocal Acamèfà et de M. Maurice Eisetiberg,. °! ï violoncelliste 1. Symphonie 'Fantastique' (Berlioz). 2. Concerto pour cello et d) orchestre (Haydn), M. Maurice Eisenberg. .3. Cinq Motets,, première audition (FI. e( Schmitt) le quatuor vocal Acamera, 4. ta- v; ci'k 231 (Hônegger). el Dimanche 8 février, à i.* heures, avec le oi concours de M. Roland Charmy 1. Le Songe d'une Nuit d'Ëtê, ôuverture (Men- di delsshonn). 2. Concerto pour violon et orchestre (Brahms), M, Charmy, 3. Cortège Burlesque (Chabrief), 4. Symphonie Fantas- x tique (Berlioz). n Les deux concerté seront dirigés par M. 6 Albert Wolff. n

a, 2,

Signalons le concert que donnera Mlle N Libuêsé Novak, le mardi 10 février, à 9 heu- P res, à la Salle Chopih, avec le concours de a Mlle Rosy Dupond. Le programme comportera des œuvres de Bach, Mozart, Schu- d mann, Fauré et Debussy. La location est a' ouverte à la salle, chez Durand et à Musica. n. Ir Pour le deuxième gala de Conchita Super. d via, le 17 février, la location ouvre aujour- g. d'hui, Salle Gaveau, chez Durand et Del- j d

grange.. D

gtange, L. de Crémone. p

–« <«! ~j

Concerts Walther Straram Ce soir a 9 heures, au Théâtre des v Champs-Elysées. concel-t. It. SCHU- Ci MASllV Ouverture de Geneviève. q P. t'OPPOLA' Syniplionlf. I. STB.À- {1

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VICTOR-HUGO, Arthur (Boueot)i

n'f–r~M~

PARAitotjNT. Voici apparaître à i'éctan i Théâtre Paramount, la délicieuse opé- tte rcaSisée par Ernst Lubitsch Monte-, arlo 1 Et ce nom ensoleillé évoque irorué- atemerlt, niché à Fextrême coin de la tatlce, le féerique rocher en promontoire Ji se termine en pente douce, par des tersses blanches et étagées, sur l'immensité la mer d'Un bleu de turqlïôisê, Sur cette magnifiatle toile de fond, Erhst- ubitsch a dévelciDé avec.- sa richesse imagination coutiimière sa fantaisie dé- "idée, et son esprit si délicatement ifoniiçj les épisodes du conte le plus amusant Il soit, baigné de soleil, de jeunesse, de xe et d'amour.

Jeannette Mac Donald, qui interpréta oubliablement Parade d'Amour, dont ronte-Carlo est le digne pendant, entraine iction de ce dernier film dans un mouve- ̃•' ent endiablé; elle a dépensé, cette fois en- ire, des trésors de charme et de grâce, et y créé quelques chansons ravissantes, dont Ut Paris, demain, fredonnera les refrains. r

Cours et Conférences

Aujourd'hui

^Â. l'Université' des Ânriates, sàlja i, avèau, i'5, rue La Boétie, à 14 h. •*£,,]. lia ide musique. « Les Amants de la, lUsiquc », ̃ allocution de Mi. Gaston. · ageot, président de la Société des gens c lettres. Mme la comtesse de Noailles ira trois poèmes. MM. Georges Eneçco: Marcel Ciampi joueront, piano et iolon, Sonate de Mozart en la mineur Sonate de César Franck.

A 17 heutes, la conférence sera répétée VêC le même programme.

Sous les auspices de la League of ations Union (Paris Section Britatt-1ique), une conférence sera donnée le février, à 20 h. 45, à l'Institut interational de coopération intellectuelle, rue de Montpénsicr, par M. Pltilli]k oel Baker, membre du Parlement» qui arlera en anglais de la « Crise écono-* tique mondiale s>. Qu'est-ce que le plagiat ? Le Verre es autres en somme.Et si Musset ffirmait « Mon verre n'est pas grand lais je bois dans mon verre », ûoillbiéîi 'autres boivent souvent dans le verre. u voisin. Mais le génie égorge ceux u'il pille. Corneille est un plagiaire, [olière est un plagiaire. La Fontaine rossait la liste des auteurs il avait ris le tour de ses phrases. Bossuct îi-même n'a pas échappé à cette accU- atiou, et jusqu'à notre grand Victor t lugo qui se vit contester son bien. M.. iernard Zimmer a fait hier, à l'Uni- ersité des Annales, sur le plagiat, une .inférence plein d°ironie et d'esprit,; ui paraîtra dans Cpnferencia. Pour lustrer la leçon, une scèiie de M. Bel'- .• ard Zimfrier", Bouton d'avril, fut in;rprétée, avec uil délicieux sens du Dinique, par Mme Andrée Méry et M. aby une scène de Week-End, par [mes Marcelle Géniat, Janine Mirando t M. Guy Reynaud.. (

Cérémonies, Fêtes et Réunions L'Association nationale des offi-> iers combattants donnera son grand al annuel le 21 février, à 22 heures, à 1 'hôtel George V, au profit de ses œu- j res de solidarité. Cette fête de bien- aisance est placée sous le haut patro- age de M. le président de la Répulique, de MM. les ministres de l'air, e la guerre, des pensions, et de MM. 3S maréchaux de France.

La Société des officiers de complé- lent de France donnera, le dimanche 5 février, à 14 h. 30, son grand-bal dans les salons de l'hôtel des centraux, 8, rue Jean-Goujon (ChampsIlysées).

L'Association des anciens élèves de Ecole des hautes études commerciales lonnera son bal annuel le samedi 14 té- rier, à 22 heures, au Claridge. M. le ̃résident de la République a accepté i.. 'honorer ce bal de sa présence.

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Les obsèques grandioses que Paris a faites au vainqueur de la Marne ont permis une fois de plus de donner une idée des. possibilités photographiques en plein hiver, par très mauvaise lumière. Les reproductions des instantanés pris ce jour-là, dans les grands quotidiens et les périodiques illustrés prouvent que nous n'exagérons pas quand nous avançons que la photographie n'est pas une distraction d'une seuie saison, mais de toute l'année. Nous avions, ce 7 janvier historique, le ciel blafard de circonstance, celui qui faisait qualiSer de froid noir une température qui n'avait pas empêché une foùle énorme de stationner pendant des heures pour rendre hommage l'immortel disparuv mais qui ne paraissait guère propice à l'instantané. De nombreux amateurs nous ont avoué qu'ils n'avaient pas osé de servir de leur appareil, de peur 'de ne pas obtenir de résultats satisfaisants. D'autres s'imaginent qu'avec une lumièc; si peu favorable il faut être professionnel pour réussir ou posséder un outillage spécial. Erreur profonde les appareils que l'amateur a aujourd'hui à sa disposition, grâce aux progrès incessants de 1'industrie photographijoue, permettent d'opérer par tous les temps.

̃ .̃• échos ̃

La Chambre Syndicale des Industries iet du Commerce Vérotographiques organise tous les ans une Exposition qui Tcvèle les progrès et les améliorations apportés depuis l'année précédente. Cette manifestation du plus haut intérét pour l'amateur aura lieu du 27 février an 8 mars, au Palais des Expositions. Porte de Versailles.

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L'Union Nationale de Sociétés Photographiques de France doit faire une très belle exposition d'épreuves sur une cimaise de 50 mètres, dans une salle qui lui est réservée spécialement, lors de l'Exposition ci-dessus. Elle groupera parmi les 80 sociétés qui la composent 220 à 230 épreuves résumant le meil-

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C'est le vent violent et le mauvais emp.s qui l'ont empêché de prendre le

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Toutefois, Je fait qu'au cours d'un le ses précédents essais le major Campbell ait atteint la vitesse de 386 kilomètres à l'heure, laisse supposer que, sous peu, le' record sera en sa possession. Coureur et machine en sont parfaitement capables.

Signalons que le major Campbell a financé lui-même sa- tentative, ce qui représente environ une mise de fonds de deux' millions et demi;

Le retour de la mission saharienne La mission saharienne, ayant à sa tête les commandants Benard, Le Pontois et Le Cauves, à bord des camions à huile lourde Maréehal-Lyau-tey, Père-de-Foucault et René-Esticnne, est arrivé lundi Èi Gabès, venant de Toze.–

Le matériel est en excellent état, maigré une traversée difficile du Chott el Djerid, dans trente centimètres d'eau. La caravane, après .revision des voitures, quittera Gabès pour être le 7 février à Tunis et le 12 à Alger, où elle s'embarquera pour la France.

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•etour, est arrivé hier, à 11 heures, à 3angkok, venant de Sa'igon. Il est retarti de Bangkok à midi 40 à destinaion de la France.

L'admission temporaire en Suisse des motocyclettes françaises

Jusqu'au 1" janvier dernier, les moto:yclistes, membres du Touring Club de ?rance, jouissaient du droit de libre passage en douane aux bureaux frontières suisses sur présentation de leur carte de sociétaire de l'année. Mais, depuis un mois, il n'en est plus ainsi.

L'administration des douanes fédérales suisses ne laisse plus pénétrer les motocyclettes avec ou sans side-car appartenant à des membres du Touring Club de France, qu'à la condition r :1e se munir, au préalable, ou d'un triptyque, ou d'un carnet de passage en iouanes ou d'un passavent suisse avec l :aution déposée à la frontière.

Un seul passage de la frontière nécessite la délivrance, au prix de deux francs suisses, d'une « carte d'entrée provisoire » valable durant cinq jours et pouvant être renouvelée au même tarif pour une seconde période de cinq jours. Dans une lettre adressée au directeur des douanes suisses, M. Ed. Chaix, président du Touring Club de France, fait ressortir que la nouvelle réglementation est un recul dans les conditions du développement de la circulation internationale à Jaquelle sont intéressés tous les touristes.

Le Tournoi international du Carlton de Cannes

La seconde journée du Tournoi international de Cannes a été marquée par l'élimination par w.-o. de Henry Cochet qui est actuellement grippé et a dû, de ce fait, déclarer forfait.

Voici les résultats de cette seconde journée

Simple messieurs. Bolintineau, w.o. Brame Hillyard b. Godet, 6-1, 6-1 Meade b. de Miramon, 3-6, 6-1, 6-2 Sweet b. docteur Albrecht, H-l, 6-1 Hecht b. Aubert, 6-0, 6-3.

Garcia, w.-o. Leader b. Fisher, 6-3, 2-6, 6-3 du Plaix b. Ward, 7-5, 6-0 Demetriades b. Bolintineau, 8-6, 6-1 Brame Hillyard b. Ford, 6-1, 6-2 Aeschliman b. Ara, 4-6, 6-1, 6-3 Ellmer b. Wagner, 6-2, 6-3 Hecht b. Law, 6-2, 6-4 de Poligny, w.-o. Radcliffe, w.-o. Simple dames. Mlle Lesueur, w.-o.; Mlle Berthet b. miss Elwes, 6-2, 6-0 miss Soames b. miss Dallett, 11-9, 6-1 Mlle Saint-Omer Roy b. miss Clavier, 6-0, (i-2 Mlle Riboli b. Mme Lesueur, 6-1, 6-8, 6-4 Mme Korotvickova b. Mrs Smaliwood, 6-1, 6-3 Mrs Dudley Cox b. Mme della RoccaV 4-6, 6-4, 6-1 miss Ryan b. miss Johnstone, 6-2, 6-0 Mrs

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CUISINIERS (suite)

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Double dames. Miss Eileen Bennett et Mrs McAlpine b. Mme Vischer et Mme Korotvickova 6-0, 6-1.

Miss Tomblin et miss Soames b. Mrs Smalhvood et miss Radcliffe, 6-2, 6-2 Mlle Saint-Omer-Roy et miss Wcivers b. miss Ashby et miss Johnstone, 2-6,

Les premières rencontres

On a lu par ailleurs les détails de la cérémonie habituelle au cours de laquelle le tirage au sort des rencontres de la Coupe Davis a été effectuée, hier, au Palais de l'Elysée.

Voici quels ont été les résultats de ce tirage

Premier tour Grande-Bretagne contre Monaco Allemagne contre SudAfrique Suisse contre Irlande Grèce contre Autriche Tchécoslovaquie contre Espagne Hongrie contre Italie. Deuxième tour Japon contre Yougoslavie Egypte contre Finlande Belgique contre gagnant Grande-BretagneMonaco Hollande contre gagnant Italie-Hongrie Danemark contre Roumanie Norvège contre Pologne. Zone américaine nord

Mexique contre Canada gagnant Mexique-Canada contre Etats-Unis. Zone américaine sud

Paraguay contre Argentine Chili contre Brésil gagnant Paraguay-Argentine contre Uruguay.

Les finalistes de chacune des zones américaines se rencontreront pour désigner un seul finaliste pour l'Amérique. GOLF

Une nouvelle association sportive vient de se créer dénommée « Association Sportive d'Encouragement au Golf (A. E. G.). Elle recrutera ses membres parmi les jeunes gens et jeunes filles de 12 à 17 ans son but est d'intensifier la propagande du golf en France.

Cette année, son programme prévoit dès le 1er mars des journées sportives sur un vrai terrain de golf avec leçons gratuites des professeurs, matches, etc. BOXE

Engelmann devient champion de France poids monche

Mardi soir, au Central Sporting Club Engelmann et Chalange' étaient aux prises pour le titre de, chanipipri 'de France des poids mouche.

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Après douze reprises acharnées, au cours desquelles Chalange fit mieux que r se défendre et figura infiniment mieux qu'on ne s'y attendait, Engelmann a été proclamé champion de France des poids mouche. Le titre n'est pas en mauvaises mains. Il y a lieu de noter cependant qu'il y a actuellement plusieurs candidats sérieux à ce titre, notamment le Marseillais Murat, dont les dernières exhibitions ont démontré la bonne classe. 'Du match de mardi il convient de rete-nir la bonne tenue de Chalange, qui a fait preuve de grosses qualités et de très nets progrès. L'enjeu de la rencontre, il est vrai, l'incita à se défendre très énergiquement.

Locatelli contre Alvérel

La réunion de ce soir à la Salle Wagram comporte le match Alvérel-Locatelli. Alvérel, dont la puissance et l'efficacité s'est affirmée ces derniers temps aux dépens de Nekolny, fera-t-il devant le fin et rusé Locatelli la même impression ? On se le demande. Si Alvérel parait avoir un certain avantage, dû à sa puissance, sur son adversaire, on peut craindre pour lui qu'il soit désorienté par l'extrême mobilité d'un adversaire, d'une classe scientifique supérieure. La.. rencontre est assez inattendue, mais ne.. doit pas manquer d'intérêt.

En second combat, Moret sera 'opposé à Forgeon.

ATHLETISME

S. Martin et P. Keller en Amérique Les coureurs français Séra Martin et Paul Keller sont arrivés hier à NewYork, après une traversée assez pénible sur l' « Ile-de-France ».

Séra Martin doit participer à la course du demi-mille samedi prochain, au stade de Millrose. De son côté Keller doit courir pour les mille yards le 9 février, au Seton Hall Games de Newark, dans l'Etat de New Jersey. Enfin les deux coureurs français ont accepté de courir à New-York dans les épreuves pour les championnats amateurs de l'Union athlétique.

SPORTS D'HIVER

Le Critérium de France de hockey sur glace à Saint-Gervais-les-Bains Le Critérium de France de hockey sur glace vient de se dérouler à SaintGervais-les-Bains, où plusieurs équipes d'excellente réputation se sont retrouvées. Le Critérium a donné les résul-' tats suivants

Chamonix bat C. S. H. Paris. 4-1 C. S. H. Paris bat Saint-Gervais 4-0 Chamonix et Anvers 3-3 Anvers et C. S. H. Paris. 3-3 Les équipes d'Anvers, du C. S. H. Paris, de, 'Chamqnix et- de Saint-Gervais, on le voit, participaient à ce Cri-

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térium, qui a remporté un très gros succès. •̃̃•

Il y a lieu de noter l'excellente performance réalisée par l'équipe du C. S. H. Paris qui, déjà, le mois dernier, à Chamonix, s'était fort bien comportée face à l'équipe locale. En faisant match nul, cette fois, avec la redoutable formation belge d'Anvers, le C. S. H. Paris, qui manque simplement d'un peu d'entraînement pour être une, très grande équipe, a démontré qu'il pouvait rivaliser avec quelques chances de succès avec les meilleurs. Cela nous amène à déplorer encore Plus vivement qu'il ne lui soit pas permis, dans le courant de l'hiver, de s'entraîner régulièrement à Paris, la seule piste de glace lui est interdite. Le conflit qui se prolonge entre la Fédération et le Palais de Glace est ainsi très regrettable, surtout lorsqu'on voit des jeunes joueurs comme Lacarrière, Michaelis, Grunwald, etc., réussir, sans entraînement, à tenir fête à de redoutables adversaires. L'équipe du G. S. H. P., qui est jeune et pleine de bonne volonté, scrà-t-elle donc condamnée pendant longtemps encore à l'inaction ? Et personne ne peut-il intervenir' efficacement p_oùr obteiiir Farrangement d'un conflit qui' porte un gros préjudice au port du hockey sur glace français ? 2

A Chamonix-Mont Blanc

La Coupe Challenge Bardou a été disputée par un temps magnifique, sur ia piste de bobsleigh des Pellerins. L'état excellent de cette piste a permis à Charlet d'effectuer une descente en 1 m. 20 secondes.

Voici le classement de l'épreuve 1. Charlét 2. Baron 3. Devouassoud 4. Bogarelli.

A Font-Romeu

Voici les résultats des courses de skis disputées lundi sur les pistes du Club des Sports de Font-Romeu

Messieurs. 1. Dagorne, en 19 m. 50 sec. 2. Robin, 20 m. 30 s. 3. Sala, 20 0 min. 30 s. 2/5 4. Delcroix, 24 m. 10 s.; 5. Mottet, 26 m. 5 s. 6. Péreire, 29 m. 5 secondes.

Dames. 1. Mlle de Xazelle, 24 m. 40 sec. 2. Mlle Castillon du Perron, 26 m. 10 sec. 3. marquise de Nazelle, 28 m. 12 secondes.

La France est éliminée du Championnat mondial de hockey sur glace

L'équipe de France était opposée, avant-hier, à Krynica, à celle de Pologne ce match devait désigner celui des deux pays qui serait appelé à figurer dans les finales. C'est la Pologne qui a triomphé, malgré une belle résistance des Français.

TIR AUX ptGECNS A Monte-Carlo

Prix de Marchais, série, 90 tireurs. 1. W. Renfro (29 mètres). 20/20 ̃; 2. Goncette (22 m.), 19/20 3. Buttafava (29 m.), 13/19 4. Naegely (24 m.), 14/15 5. E. B. Springer (29 m.) Ghirlanda, L. de Lunden (22 m.), Deloy (29 m.), comte de Canchy (24 m.), 14/15.

Poules gagnées par Buttafava, baron Biedermann, capitaines Greig et Strassburger.

TIR

Le Concours des officiers de réserve Le concours annuel, individuel des officiers de réserve, organisé par l'Union nationale des officiers de réserve, s'est terminé le 1" février. 226 tireurs y ont participé.

Les résultats ont été les suivants 1. Douhet (aviation) 2. Lot (cavalerie) 3. Ribadeau-Dumas (cavalerie) 4. A. Schneider (aviation) 5. Weiller (aviation) 6. Dupuy (aviation) 7. Ausseur (cavalerie) 8. Duflot (aviation) 9. Schelcher (cavalerie) 10. Debove et Stell (aviation) 12. Lapresté (Infanterie).

Les Ecoles de perfectionnement et associations constituent dès maintenant leurs équipes de 10 tireurs devant concourir pour le bronze chaHenge^qi^scr;» tiré le'samedi 21 février.' La réunion des officiers d'activé Les officiers de l'active et de la réserve se sont réunis pour tirer une grande poule au pistolet de combat sur silhouette électrique, à 25 mètres. Les résultats ont été les suivants 1. A. Schneider (aviation) 2. de Nadaillac (Infanterie) 3. Douhet (aviation) 4. Bachmann (aviation) 5. M. Libert (aviation).

A TRAVERS LES SPORTS Cyclisme. Dans la grande épreuve le Premier Pas Dunlop, que créa voici neuf ans M. Pétavy, administrateur délégué de la Société des pneumatiques Dunlop, les jeunes gens âgés d'au moins quinze ans et de dix-huit ans au maximum peuvent s'engager et, à ce sujet, il -est rappelé que les comités départe-

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Verticalement. ̃ J. Mathématicien an-'glais aveugle de naissance (1682-17391. 2. Deux lettres de <: Rome » Faire périr. 3. Le premier peintre athénien qui donna du relief aux figures. 4. Jupon court de montagnard écossais Ecrit par un étourdi. 5. Fertilise le Piémont. 6. Dictionnaires universels. 7. Préposition Fin de participe Opposa un démenti. 8. D'une

Feuilleton de FIGARO du 5 février 1951

La vie généreuse et passionnée L de Mme de Staël

III

(Suite)

U semble que cette affaire-là pourrait fort bien se débrouiller' sans tant d'histoires et de drames, et l'héroïne en" somme, avec toutes ses grâces, ne réussit qu'à faire éclore les désastres autour d'elle. On sait qiie Mme de Staël s'est peinte dans ce personnage le portrait doit être ressemblant. Thérèse, la vraie coupable, pour laquelle Delphine s'est sacrifiée, meurt en lui laissant la charge de sa petite fille. Vraiment, cette amie exagère. Enfin, par. une heureuse fortune, l'enfant révélera à Léonce, homme de peu de foi, la vérité. Désespoir, larmes, pardon. On découvre que Mme çje. Vcî non la belle-mère, a .tout fait, elle nous semble aussi noire que la Merteuil de Laclos, et Delphine, avec sa généreuse confiance, assez bécasse, en .vé. rité, ne croyant au mal que lorsqu'elle le touche du doigt, et encore Elle devrait pourtant mieux connaître ses ^soeurs, et s'abandonner à elles -avec moins de naïveté'. ̃'

Après la catastrophe, Léonce devenu veuf, veut

épouser Delphine 'tout s'arrangerait' donc ^aù' m-eux, si celle-ci n'amenait encore, par sa générogité, d'autres tragédies. Il est bon d'être généreux fet de protéger les victimes, mais il est dangereux,

façon rustique. 9. Note Peu fréquent Fin de verbe'. 10. Ce qu'on.ajoute à i vêtement pour le rendre moins étroit. 11. Arme Amincis.

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2. Vertical A. M. = Amsterdam. 10. Vertical ̃̃>̃= Alfred: de Vigny. â fif-FF Ki MF ] re cl.f acuité rfe Paris OHUL I LIllltIL CQNSUITAHOHS DE 1 à 5 h.

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lorsque l'on a affaire à un fiancé, d'introduire chez soi la nuit, un autre homme, par une petite porte qui ouvre sur une ruelle. Léonce voit ce tableau, et tout recommence. L'action du roman rebondit ainsi sans cesse, et passe des surprises amoureuses au cloître, du pardon à la mort. Le tout, entremêlé de dissertations échevelées sur les droits de l'amour, déplut au maître.

Mme de Staël, entraînée par ses idées, s'en doute si peu, qu'elle compte sur le succès de Delphine pour rentrer en grâce. Elle était à Coppet. Bonaparte la pria d'y rester, et lui montra sur le -mur l'ombre d'un gendarme. Malgré l'avertissement, elle ne peut tenir en place, .déclare qu'elle ne vit qu'en France. Ni le séjour délicieux, de. Coppe.t, ni la présence du vieux Necker, ni les'salons amis, de Genève et de Lausanne; ne lui suffisent. Une déception amoureuse, causée pendant l'été, par le jeune docteur Robertson, ajouta à sa nervosité. Une fois de pîiïs, elle voulut changer d'air^oublier^'ingrat. « Cette découverte » (l'ingratitude de Robertson), avoue-t-elle alors, « a retenà-mon cœur, que j'étais prête à lier à. lui. pour toujours ;». Ce qui étonne, quand on considère de sang-froid le caractère de Mme de; Staël, c'est son inconscience. Menacée et avertie, reste-t-elle en paix ? et lorsqu'on lâ retrouve à Maflîers en septembre, se fait-elle oublier? Point. Au débotté, elle s'installe à son écritoire, et transmet à son. père, les nouvelles les plus récentes.des Tuileries et de SaintCloud, les derniers potins sur les projets du Premier Consul, cette fameuse descente ejQ-Angleterre, .etc. En outre, elle s'agite, se fait voir partout où elle peut, reçoit ouvertement les ennemis dn* pou- voir, les mécontents, ,bref, quand, le gendarme sonne à la grille, il ne surprend personne. qu'êllèi même. Encore ne-se reatd.elle-meme..lras-u-.1'évidence, fait-elle appel à tout son monde, et gémitelle « Encore un jour encore .une heure La belle Récamier implore, envoyée par l'ambassadrice, c'est Rëgnault et c'est'Joseph, c'est'Lucien, etc. Rien- n'y.- fait, enfin- la joilà en route- gprès

(13)

1 Départs pour l'Amérique du Sud DUILIO

̃17, février, de- Gênes

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18 février, de Barcelone.

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11 mars, de Gênes1

et Villefranclie (Nice);

12 mars, de Barcelone.

̃Départs pour l'Amérique Centrale et Sud-Pacifique

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j de Marseille, 6 mars

de Barcelone, 7 mars;

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On a parlé si souvent du voyage de Mme de Staël en Allemagne, qu'il semble qu'il n'y ait plus rien à en dire. Son passage à Metz, pendant lequel Charles de Villers se montra si hostile à la France, qu'elle-même la défendit, son arrivée à Weimar, .les visites à Gœthe et à Schiller, dont elle forçait la retraite, et qui se plaignirent tous deux de sa volubilité, la curiosité insatiable au moyen de laquelle Germaine Necker mettait ces deux pontifes sur le flanc, qui ne l'a raconté ? Elle arrivait précédée d'une double gloire gloire littéraire, et encore celle qu'elle tenatt-de-Ja « persécution du ̃ « tyran- »,;dont J'oml»-e«. faisait frémir les petits et les grands diiçs" à lai*Boiqrde! Songez que la dame* visita l'Allemagne quelques mois après la Diète et

le Becez de 1803,. pu B/^çaparte, dictant ses condi-

I?' !{ecez, de, 18,03"" le' ~.13-S ~ap,,¡¡¡rte,dictant ses sup-

tions, partagea le pays cçfmme une pomme, sup-

prima quarante-cinq villes libres, sécularisa Tés terrés de l'Eglise, éleva' ci" "abaissa les princes de = ÂVestphalie et du'PalàtinatV'à sa guise. Une'femme persécutée par cet homme-la devait être choyée- par les- -petites Allemagnes, du reste l'ambassadrice le dit « La disgrâce ne nuit pas ici au contraire. »

Benjamin l'accompagnait elle ne le montra pas tout de suite. « -Je le tiens en charte privée dans mon auberge », écrit-elle à Necker, de Fraucr.fort. On sait bien que 'Benjamin avait divorcé d'avec Minna à quelque temps de là, le scandale causé par'le 'ménage, à .Bruns^wick n'était pasioũ-foli-é, le retour du'm.ari-eri Allemagne ne s'imposait donc pas.

Contrairement à la légendBr et c'est là un renseignement nouveau que nous tenons de M. d'Haussonville, Mme de Staël ne se plut pas d'abord outre-Rhijn.. La correspondance pabhée le démontre

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':t,Qî(fg. demande de chaiiijement <T. dfèssk'jïoit être accompagnée de somàiede )nn franc cinquante en tir bies-poste, pôur couvrir une partie d frais d: "nouvellement de la bande.

irréfutablement la première impression fut détestable. Albertine (qui était du voyage avec Auguste) fut malade à Francfort, le médecin, une manière de butor, effraya la mère à l'extrême, et elle écrivit à Necker « Je déteste l'Allemagne », et puis « Je déteste les Allemands je suis revenue de l'idée que l'on puisse vivre là » Les hommes lui parurent grossiers seules les femmes lui plurent.

M. Paul Gautier. déclare que la cristallisation s'opéra ensuite dans l'imagination de la dame, l'éloignement y aida, le second voyage aussi, et encore l'influence de Schlegel. Au bout de deux jours à Francfort, elle déclarera que « L'Allemagne c'est un concert dans une chambre enfumée. -Il y a de la poésie dans l'âme, mais point d'élégance dans-la forme. Elle reviendrait bien en France si le Premier Consul le voulait. Songeant^ sa détresse dans ce pays étranger avec sa fille malade, elle» écrit encore « Si Benjamin n'avait pas été' avec moi, je crois que j'aurais perdu la tête. a Ge*rmaine Necker -fut adoptée incontinent par.; la petite cour de Weimar. La duchesse Louise de-vint son amie -Auguste de Staël, qui était de l'âge du prince, fit avec lui des parties de traîneau. On dîna presque chaque soir ensemble. Mme de Staël qup .'l'on y sçmge, quelle distraction magnifique pour ces .momies !• parla, joua du forte-piano, chanta, parla de, nouveau. A Weimar on voit peu d'hommes autour d'elle. « Le duc excepté, qui est aimable, je ne crois pas qu'il existe telle chose qu'un homme "aimable; en Allemagne », déclarat-elle, mais elle coqueta avec le duc.

La duchesse Louise notait avec satisfaction: < Mme de Staël passera encore tout ce mois ici, ce dont je suis aise, car au moins il y a de la conversation pendant notre dîner » Entre eux, ces gens-là s'ennuyaienl à périr. La musé lit Delphine à haute voix, récite des vers en outre, « ses pieds sont aussi agiles que sa langue, écrit Charlotte Stein, elle danse la péricote (?) et saute la polonaise à la française, que c'est un plaisir de Ja voir »,

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RECETTE DU SOUFFLÉ tflEflïlOIS flUX BISCOTTES

De douze à quatorze biscottes écrasées dans du lait chaud, les laisser s'imbiber pendant une heure environ (un quart de litre mélangé de temps en temps), So grammes de beurre, cinq jaunes d'ceufs, deux cuillerées à soupe de sucre en poudre. Délayer le beurre dans le sucre puis ajouter les jaunes, remuer en crème (environ un quart d'heure), mélanger alors

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DEJEUNER

Omelette à la savoyarde

Veau Sophie

Choux rouges

Marrons à la confiture

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m Qlimen ration de luxe r, TOUTPoURLAQUALiTÉ Sa grande renommée.

assurera celle de vofre Table.

Mme de Staël, sans perdre de temps, aborda Schiller au plus tôt, et Schiller fut ébaubi de rencontrer une femme, qui n'admirait point ce qu'elle ne comprenait point Gœthe la déçut. Elle songeait à un Werther larmoyant, elle vit « un gros homme sans physionomie », qu'elle étourdit si bien de son verbiage, qu'il dut se reposer un mois avant de la revoir de nouveau.

Après Weimar, ce fut Berlin que Mme de Staël visita. La beauté de la reine l'éblouit. Elle fut présentée à la cour un jour de fête, vit les femmes «couvertes d'or et de diamants », entendit une musique céleste, des cymbales, la reine lui apparut et lui dit ̃̃. Il y a longtemps que vous êtes •admirée à Berlin,. et par moi surtout !» Célestes accords harmonie- délicieuse combien elle-aime ces louanges, si différentes1 des rigueurs consulaires' ? Bref, la voyageuse fut fêtée ici comme à-Weinjar, soupa à la cou y daasa, assista .aux-comédies et aux mascarades. Il n'y eut qu'une catastrophe Albertine gifla le prince héritier, et Mme de Staël pensa défaillir d'horreur, mais la reine pardonna si gentiment l'incartade, que tout fut dit. Admirons une fois de plus l'entrain avec lequel l'ambassadrice joue tous ses rôles. La cour et les grands lui rendent un éclatant hommage, elle les paiera en esprit et en révérences, mais pendant qu'elle saute la péricote, elle étudie les mœurs de la société qui l'entoure dans le jour, elle apprendra l'allemand avec Schlegel, qu'elle a connu ici, visitera les villes et les campagnes, s'efforcera de connaître la poésie du pays, sa philosophie, sa littérature, la sensibilité des femmes, et la durée de leurs amours.

aux biscotes, puis ajouter lentement les blancs battus en neige ferme.

Beurrer le moule et saupoudrer de biscottes pilées, mettre une couche de la pâte épaisse d'un doigt et alterner avec une couche de marmelade jusqu'au bord; faire cuire une heure au bain marie dans le four, en couvrant d'un papier beurré s'il y_ a menace de brunir. VATEIAE.

DINER

Potage Preneuse

Croustade de gnocchi

Gigot d'agneau

Flageollets

Soufflé viennois à la biscotte

Paris. Imprimerie de Ftçiio

14. Rond-Point des Champs-Elysées

p-

1 L'lmprime*rr-nérant Detot.

Papier des Papeteries Navarre..

Marie-Louise Pailleron.

(A 'suivre?.