Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 8 sur 8

Nombre de pages: 8

Notice complète:

Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1930-09-24

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 24 septembre 1930

Description : 1930/09/24 (Numéro 267).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k2963653

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 67%.


SOMMÂ!*§^& FIGJyH^

PAGE 2. Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville. Les Echos. Jules Laurent. La Vie universitaire. Les Conseils généraux. Le nouvel ambassadeur de la Répubiique Argentine. PAGE 3. La série noire Un avion militaire s?écrase sur le sol. La tempête sur l'Atlantique. Nouvelles militaires. Dernière Heure.

PAGE 4. Le suffrage universel et les troglodytes en Turquie. La Saison. Revue de la Presse. Albert Touchard Parmi les pêcheurs bretons.

PAGE 5. Maurice d'Ocagne, de l'Académie des sciences L'évolution de la locomotive. ̃ :Henri Davignon L'unité de l'exposition anversoise. Jean Mélia Les grandes manœuvres au temps du Grand Roi. Les Premières. Nouvelles artistiques.

PAGE .6. La Bourse La Cote des valeurs. Spectacles.

PAGE 7. La Vie sportive. Déplacements et villégiatures des abonnés de Figaro.

..PAGE-®. •̃ Bulletins du baron de Hiigd, publiés par E. de Gùichèh. 1 s-

LA POLITIQUE

Mémoire du peuple

Est-il possible que le peuple français ne comprenne pas les leçons du 30 juin et du 14 septembre ? Est-il possible qu'il accueille avec légèreté ou, ce qui

_L.p lA~ P.-

serait plus grave encore, avcu tuiiiHim^ »•-•> plications des politiciens qui ne tiennent pas à la manifestation de la vérité ? C'est ce que nous pour- rons discerner dans les semaines qui viennent. Les faits ont été clairs. Ils ont même surgi avec quelque brutalité. Le lendemain du 30 juin, l'opinion publique en France a paru attacher une grande importance aux événements de Rhénanie et en discerner le sens. Le lendemain du 14 septembre, elle a paru de même saisir tout ce que les élections allemandes laissaient apercevoir des dispositions pfoiondes du suffrage universel outre-Rhin, absolument contraires à tout "ce qui avait été annoncé et promis.

Le rôle des dirigeants en pareil cas est d'interpréter les signes de la réalité et d'avertir la nation. Dans l'état présent de nos mœurs publiques et dans la pratique du régime démocratique^ le premier soin des conducteurs du peuple est simplement de ne jamais paraître avoir eu tort. Nous assistons donc à une campagne audacieuse, pour faire croire que la liquidation de la guerre est un succès, et que la diplomatie de M. Briand a réuni à Genève toutes les approbations. Un peu déconcertés d'abord, les partisans du pacifisme internationaliste s'emploient à voiler leurs échecs répétés et à affecter la confiance dans leurs systèmes désormais condamnés. C'est peut-être là des stratagèmes de controverse, c'est sans doute de la tactique électorale, c'est aussi de la défense de partis ce n'est certainement pas de la politique au sens vrai du mot, et ce n'est pas une manière de servir l'intérêt national.

Une erreur considérable a été commise. Une politique de concession et d'abandon a été obstinément poursuivie, sous prétexte de transformer généreuse*ment la face du monde et'sous -prétexte d'assurer la paix. C'est une question de savoir si cette méthode n'était pas condamnée dès l'origine et si ses apôtres n'ont pas fait preuve d'un aveuglement à peu près incompréhensible. En tout cas, nous sommes devant le fait accompli. De Chequers à Locarno, et de Locarno à La Haye, les conséquences se sont développées avec une sorte de fatalité. Le résultat est aujourd'hui manifeste. Il éclate à tous les yeux. Estce le moment de persévérer dans l'erreur commise, et d'aggraver les fautes initiales par la faute complémentaire, qui consiste à ne pas tenir compte des événements ?

Les Français ont laissé faire. Il a été à la mode de reprocher, à ceux qui signalaient le péril de la liquidation de la guerre, d'être des pessimistes ou des réactionnaires. Leurs avertissements ont amené les citoyens à réfléchir. Mais leurs protestations n'ont pas suffi à empêcher le mal de s'accomplir. Aujourd'hui, l'esprit public est en éveil. Il a, malgré toutes les précautions prises pour entretenir ses illu-sions, entendu les clameurs qui venaient de Rhénanie et des électeurs allemands. Va-t-il de nouveau se laisser égarer par là propagande officieuse, les apologies de la radiodiffusion et des télégrammes opportunistes ? I)u A l'heure présente, chaque citoyen peut se poser cette question. S'il avait su en 1924, en 1925 ou en août 1929, qu'après le plan Young et l'évacuation de la Rhénanie, l'Allemagne acclamerait les troupes d'Hitler, réclamerait là revision des traités et le droit aux armements, et serait dans un tel état d'effervescence que le Président Hindenburg y représenterait, d'une manière d'ailleurs toute relative, la modération, aurait-il approuvé la politique de liquidation ? Et si les hommes qui ont suivi imprudemment cette politique en avaient prévu les conséquences, en auraient-ils pris la responsabilité ? INTÉRIM.

L'HISTOIRE' DU « P(%NT- D'INTERROGATION »

LES AILES VICTORIEUSES

Comme tous les Français, je fus stupéfait et émerveillé par le grand exploit de Lindbergh au mois de mai 19-7- Connaissant bien 1 Amérique et les Américains, comptant chez eux de nombreuses et chaudes sympathies, je compris vite qu'une occasion unique s'offrait à notre Pays de reconquérir d'utiles sympathies que la politique d'après guerre avait détruites ou atténuées. N'ignorant pas que l'aviation officielle était hors d'état de concevoir et de réaliser un tel projet, je n'eus plus dès lors qu'une ambition donner à la France le moyen d'accomplir le même exploit et naturellèffiènt JamJe sens opposé, tentative <jtte les plus hardis considéraient comme irréalisable. r 'Je fais alors inviter Costes à s'entretenir avec moi. L'aviateur revient de sa randonnée avec Le Brix il est encore tout chaud de l'accueil enthousiaste fait à Paris aux deux grands aviateurs. A brûle-pourpoint, je lui demande

Voùltz-vous tenter la traversée l'Atlantique si je vous en donne temps et les moyens? Certainement, répond Costes, je m'y engage.

J'insiste bien vous devrez résister à toutes les tentations, à toutes les excitations, vous ne partirez qu'ira: tous les atouts Jansv otr? main. Costes répète Je m'y engage formellement.

Eh bien, je vous pose trois conditions la première, c'est de ne dévoiler ce projet à âme qui

vive. Mes initiatives étant systématiquement défor-

..v init~.tivts- ystëmatiqucmt défor-;

mées, sakotées ou brisées, il convient, dans 1 intérêt de l'entreprise, qu'aucun détail nc-sBit révélé avant

BULLETIN DU JOUR

Amérique contre Allemagne

L'opinion publique en France ne semble pas attacher une importance suffisante au procès qui se déroule en ce moment à la Cour de La Haye entre l'Amérique et l'Allemagne. Le débat est pourtant d'importance Ce que demandent les Etats-Unis à la Cour de. La Haye, c'est en quelque sorte d'obliger l'Allemagne à reconnaître les crimes qu'elle a commis et à en endosser loyalement la responsabilité. C'est ce qu'aucun des peuples européens qui ont eu à souffrir de la guerre, inhumaine que l'Allemagneleura a faite n'a pu obtenir d'elle C'est une grande imposture de dire, comme on l'a clamé à Berlin, que la France a toujours été hostile à un rapprochement « sincère » avec l'Allemagne. Ce rapprochement ne pouvait être « sincère »* que s'il s'opérait sous le signe de là vérité, c'est-à-dire si l'Allemagne reconnaissait ses crimes et en témoignait du repentir. C'était le seul gage qu'elle pouvait donner d'une transformation profonde dans sa manière de sentir et,de penser. Le quantum pœnituit, que les Gon'dé ont fait broder sur les tapisseries de Chantilly, aucun Allemand n'a voulu y souscrire Que pouvions-nous en conclure, sinon qu'il n'y a rien de changé dans les appétits, dans les vœux de nos agresseurs ?.

Les Etats-Unis se posent à La Haye en défenseurs de ce que M. Herriot appelait dernièrement « les droits des peuples ». Ils ont, au lendemain de la victoire, adopté à l'égard de l'Allemagne une politique de rapprochement et d'amitié. Mais, en dépit des excellents sentiments qu'ils manifestent aux Allemands, les Américains déclarent que les crimes commis avant même la déclaration de guerre doivent être punis,, parce que la justice le veut, parce que si de tels crimes restaient dépourvus de sanction, il y aurait quelque chose de blessé dans l'idée qu'ils se font de la dignité humaine. Implacablement, ila réclament la flétrissure des coupables.

M. Jusserand, l'ancien ambassadeur, dans les souvenirs si intéressants qu'il publie dans la Revue des Deux Mondes, a mis en relief cette vertu d'obstination des Américains, lorsqu'une fois ils se sont laissé aller à frapper brusquement du pied et à dire d'une voix retentissante « C'est fini, en voilà assez » « Il§ vont alors, écrit l'ambassadeur, à l'extrême limite. C'est leur grandeur

Les charges qu'ils apportent devant la Cour de La Haye sont accablantes. Une fois de plus, l'Allemagne sera condamnée au tribunal de l'humanité. Mais guoi Cette décision l'empèchera-t-elle de réclamer la revision du traité de Versailles et d'en poursuivre la destruction par tous les moyens en son pouvoir. Lucien Corpecho/Tj

l'accomplissement du raid. Ma seconde condition est de faire construire, en collaboration avec moi, le meilleur avion, muni du meilleur moteur qu'on puisse obtenir du meilleur fabricant; enfin de ne partir <jue lorsque tes conditions atmosphériques seront les.plus favorables.

Tout se règle ainsi. J'ai suivi et discuté avec un intérêt passionn toutes les questions d'ordre technique et les détails d'organisation, qui devaient contribuer au succès final. s

Quelques semaines avant !e premier départ, on décide en commun, pour dérouter les curieux» les iifipbrtuns =et les malfaisants^ d'appeler l'avion « îc Pbint-d'Iriiirrogation ». Costes foé suggère de conserver cette appellation jusqu'en vue des côtes américaines et là, de laisser choir le « ? » et de lui substituer le nom de François Coty.

Je ne rejetai ni n acceptai cette proposition, me réservant de ne me prononcer qu'au moment du de'part.

Quand l'heure vint de tenter la grande expérience, j'étais jermëfnent décidé pour le maintien du « ? sous lequel l'appareil était connu depuis sa mise en chantier.

On sait que la tentative de juillet 1929 ne permit pas à Costes de franchir l'Atlantique d'un seul coup, mais elle n'en constitua pas moins une splendide performance, puisque l'avion couvrit sans escale (Le Bourget-Açores et retour) une distance de 5.400 kilomètres.

En raison des mauvaises conditions atmosphériques, il fut décidé que la traversée de l'Atlanti* que ne serait plus tentée qu'a l'été de 1930.

ha Bretagne et la Vendée en deuil

La tempête, depuis plus de quarante-huit heures, déchaine la furie de l'océan, amoncelle les victimes et cause des dégâts immenses. Les nou- jvelles que l'on verra plus loin ne peuvent révéler encore de façon exacte l'étendue du sinistre. On est toujours anxieux du sort de nombreux navires, et chaque famille de pêcheurs se demande sur le littoral ravagé si, aujourd'hui, le terrible bilan de la tourmente n'atteindra pas aux proportions non seulement d'une catastrophe, mais d'un deuil na- tional.

̃ f*V

:i~

Tout Concarneau est en deuil. Des scènes déchi- rantes s'y déroulent au fuï et à mesure que les disparitions sont officiellement annoncées. De tous les ports, c'est lui qui est le plus crueHernent 1 atteint. Mais lès thoniers de la région de K'antës, de Qulbërôii, des Sables-d'Olonne, ont eu, eux aussi, à essuyer les attaques terribles des flots en dé- mence. Plus d'une quarantaine de pêcheurs ont été engloutis. Soixante air moins manquent en outre à l'appel. A Saint-Cado, petit port de la com- jmune de Belz, six hommes ont été emportés par les lames. A Lorient, treize barques furent jetées à la côte. Partout les plages sont jonchées d'épaves, de coques brisées, de filets lacérés, de matériel de pêche détruit. Déjà s'avance, au foyer des rudes travailleurs de la mer, la misère et son cortège de souffrances, s'ajoutant à la douleur des séparations atroces. Des enfants, privés de leur soutien, sanglotent au creux des jupes de leur mère, qui guettent, obstinées, sur la côte.

•' -̃̃ f »V

Huit bâtiments de guerre légers, représentant la totalité des unités immédiatement disponibles, s'efforcent, en toute hâte, de secourir les thoniers en détresse au large. Des bateaux sans voile, sans mât, donnant a tous l'impression de formes de j rêve, sont rentrés à Quimper. Là, ils ont pris'leur mouillage. Puis lés équipages décimés sont venus à terre déclarer les manquants. Les récits des rescapés sont poignants. Pourvu que les torpil- leurs et les avisos arrivent à temps pour porter aide », ajoutent-ils. Et, détail impressionnant, ou signale du cap Ferrat et d'Arcachon que des mul- titudes d'oiseaux de mer s'abattent, chassés par le vent, sur les rives. Les dommages matériels se chiffrent dès maintenant par- plusieurs millions. La France se penche éplorée, sur les toits bretons et vendéens la mort a pénétré pour y ravir des vies humaines laborieuses entre toutes.

Gaëtan Sanyoisin.

LES SECOURS

Le conseil général 'tUi Finistère a voté, pour porter les premiers secours aux familles des victimes de Concarneau, un crédit provisionnel de 25.CC0 francs, Il a demandé au gouvernement le vote d'un crédit pour aider,à la réparation des dégâts matériels et au soutien des veuves et des orphelins.

Mais en octobre 1929, j'appris, en rentrant à Paris, que Costes me demandait de vouloir bien lui prêter, sous certaines conditions, l'avion, afin de réaliser quelques expériences qui devaient consacrer la valeur du « ? ».

C'est alors que je lui fis répondre

Je ne vous prête pas « le Point-d'Interrogation » je vous le donne sans conditions. J'ajoutai « J'espère que vous atteindrez vos buts et que l'an prochain vous pourrez traverser l'Atlantique pour lequel l'appareil a été construit. » Mon désintéressement était-si complet que je ne formulai même pas le désir si natuïèl ac fecfcvoir de Costes la primeur de ses notes de voyagé. Trois merveilleux raids sont réalisés en fin d'année. Ce n'est qu'au mois dé septembre 1930 que Costes, classé par ses derniers records comme l'aviateur le plus qualifié, sur un appareil inégalable* dans les meilleures conditions atmosphériques, s'élaricé, suivant l'image de M. René Doumic, « sur l'immense piste que constitue l'Atlantique, avec pour spectateur le monde entier ».

L'obstacle est franchi selon nos prévisions. L'avion de Costes et de Bellonte entre dans l'Histoire. La. France a remporté une victoire universelle et le monde s'incline une fois de plus devant son invincible génie.

Honneur à Nùngessef et Coli, précurseurs malheureux 1 -<' ~y

Merci à Lindbergh 1 ;̃• <

FRANÇOIS COTY.

Un navire d'autrefois

On iance aujourd'hui, à Honfleur. un navire qui ne ressemble guère à ceux qu'on voit en construction partout, pour la flotte de guerre ou de commerce. Sa coque large et arrondie est faite de beaux madriers de chêne, comme celle des dundees de pêche, dont il a à peu près la longueur mais elle s'élève beaucoup plus au-dessus de la flottaison et surplombe à l'arrière en un véritable château à plusieurs étages. Il y avait bien 25° ans qu'on n'avait vu navire semblable sur une cale de construction. Et, en effet, celui dont il s'agit est la reproduction fidèle des petits. vaisseaux marchands qui, au xvi" siècle, partaient, de Honfleur ou de Dieppe pour aller chercher, dans l'Amérique du, Sud, récemment, découverte, des cargaisons de bois rares et précieux.

C'est le Dr Noël, un grand industriel de feuenOS-ÀiTes; qui a commandé ce curieux navire. Il Ta" fait c'onsCvuire d'après les modèles qui, au musée du Vieux-Honneur, nous restituent avec autant de précision que de fidélité, les proportions et le gréement des bâtiments de ce tempslà. IJIzarra c'est son nom perpétuera ainsi, dans la République argentine le souvenir des hardis pionniers qui, les premiers, allèrent si loin, à trayers tant d'obstacles et de dangers, porter les couleurs de France et créer les liens de sympathie qui n'ont cessé depuis, à travers les siècles, de se resserrer.

A l'Exposition internationale de Sévillc, l'année dernière, figurait un navire analogue c'était la reconstitution par un chantier de Cadix de la fameuse caravelle Santa-Maria, à bord de laquelle Christophe Colomb traversa l'Atlantique et découvrit un nouveau continent'. Postérieur de cent ans, le vaisseau normand que reproduit Ylzarra en diffère sensiblement aux yeux de l'archéologue naval, et nos amis Vivielle et La Roërie, dont nous avons signalé récemment le bel ouvrage Navires et marins, n'auraient pas de peine à souligner leurs dissemblances. Aux yeux du. profane, ils ont cependant le même caractère essentiel ce sont de bien petits bateaux. La Santa-Maria avait tout juste 22' m. 50 de longueur; Ulzarra en a. 25. Le progrès n'allait pas vite en ce temps-là. C'est cependant sur des coques de si faibles dimensions que les navigateurs se risquaient sur les océans, à la recherche de terres inconnues ou dont la position était tout au moins fort incertaine. L'Izarra se rendra en Argentine par ses propres moyens l'alizé du Nord-Est le poussera de la côte diySénégal à celle du Brésil, comme il a poussé les vaisseaux de jadis, et, plus récemment, les aviateurs qui ont traversé l'Atlantique Sud. Mais doit-on le dire ? il dissimulera dans ses. flancs un moteur à pétrole de 120 chevaux qui lui permettra soit de traverser les zones de calme, soit' de' franchir celles où le vent serait contraire. Sans doute sera:t-il conduit par des marins normands, fils de ceux qui montrèrent autrefois tant de hardiesse ils auraient su renouveler, sans moteur, l'exploit de leurs aïeux. La race n'a pas dégénéré.

A. Thomazi.

Le cabinet Bruning^

~t

l'ius le temps passe, moins la situation politique en Allemagne s'éclaircit. Que veut le chancelier Bruning ? '? Sur quelle majorité compte-t-il s appuyer ? A l'aide de quelles méthodes pense-t-il gouverner ? A toutes ces questions, il est encore impossible de donner une réponse.

Il semblerait que la grande coalition fut la solution indiquée. (La grande coalition est, on le sait, une combinaison reposant sur l'alliance des populistes, du centre catholique, des populistes bavarots, du parti de l'Etat et des socialistes.) Mais cette combinaison, qui avait la majorité dans l'ancien Reichstag, est en minorité dans le nouveau. Il lui faudrait l'appoint des vingt-trois mandats du parti économique.

Or, le parti économique ne veut pas entendra parler d'une alliance avec les social-démocrates. Au contraire, il penche délibérément du côté des nationaux-socialistes. Quant aux populistes, leur, écrasante défaite ne semble pas les avoir conduits à une plus juste appréciation des choses, et, s'ils se refusent à collaborer avec les nationaux-socialistes, ils ne se refusent pas moins à collaborer avec les social-démocrates.

De tout ceci, il ressort que la grande coalition a fort peu de chances de se réaliser. D'autre part, le cabinet Bruning, s'il veut gouverner d'une façon! conforme au régime parlementaire, sera obligé d'élargir sa base, la combinaison sur laquelle il repose étant e'ri minorité dé quatre-vingts voix dans le nbxïveâtj Réîchstâg, alors qu'elle n'était en.miho-5rite que de quinze voix dans le Reichstag précé-

.àpt.. V

Est-ce donc aux nationaux-socialistes que M. <Bruning demandera l'appui qui lui manque :?.; Les jours qui vont venir nous éclaireront sans doute sur les intentions du chancelier du Reich. Tout ce que l'on peut dire pour le moment, c'est que la décision prise par le docteur Bruning de se présenter devant le Reichstag avec son gouvernement au complet est absolument contraire à l'exercice normal du régime parlementaire. >v

R. H.

A G-EITÈ^VE

La dernière vision de pan^Europe

Par JAMES DONNADIEU.

Genève, 23 septembre. (De notre envoyé spécial par téléphone). Paneurope est revenue sur terre, mais comme c'est une ombre, elle n'a fait que passer. Arrivant du royaume des bienheureux elle était depuis, quelques jours, elle a. été vue à Genève de 3 h. 15 à 4 heures précises. C'est peu, trois quarts d'heure pour contempler une divinité, surtout lorsqu'on la voit comme nous à travers une verrière, les grands prêtres seuls étant admis à l'approcher. Cependant, en une vision fugitive, nous l'avons aperçue se dresser devant l'illustre aréopage et, s'adressant à M. Briand, lui dire « Qu'as-tu fait de moi ? »,'

Qu'a-t-il fait d'elle ?.

Pauvre Paneurope comment reconnaître les siens parmi tous ceux qui étaient là ? Il n'y avait pas seulement les représentants des pays européens, il y avait aussi des extra-européens, et, pour bién marquer le caractère intercontinental de la compagnie, le secrétaire de la S.D.N., institution universelle, était aussi présent.

Le bruit courait ce matin que M. Briand, découragé, n'accepterait pas la présidence de la commission. Il l'a finalement acceptée pour un an, à la proposition de M. Henderson et aux acclamations unanimes de l'assemblée. Voulant rendre la politesse, notre ministre a proposé de confier à sir Eric. Drummond, secrétaire général de la ligue, le secrétariat de la commission, ce qui a été également adopté aux acclamations unanimes de l'assemblée. On fait bien les choses à Genève

*"< ̃̃̃'̃'•̃̃

tin -communiqué-- -dont tous les termes ont été soigneusement- pesés nous fait savoir que le nouvel organisme portera le titre très modeste de « commission d'études pour l'union européenne », bien qu'on nous eut précédemment assuré que l'union existait déjà. On nous fait remarquer, afin d'éviter toute méprise, qu'il s'agit d'une commission de la S.D.N. et non d'une institution indépendante. On nous apprend que M. Briand a rappelé ô ironie du sort que la commission, qui comprendra un membre par Etat, restera ouverte à tous les membres de la ligue et, d'autre part, qu'elle pourra faire appel à la collaboration d'Etats non membres de la S.D.N., entendez par là la Russic des Soviets, la Turquie, les Etats-Unis. Sans doute on n'invite pas dès maintenant ces puissances, car l'opinion de certains pays pourrait réagir avec yigueur, la France notamment, au sujet des Soviets, mais la question « sera portée à l'ordre du jour > de la prochaine réunion de la commission et résome positivement, sans aucun doute, selon le ilêsît' exprimé par la majorité des Etats.

La prochaine réunion du nouvel organisme aura lieu à Genève en janvier 1931, en même temps qu<; la session du conseil de la Ligue, ce qui marque encore la dépendance de pan-Europe envers. la S. D. X. A ce moment sera désigné le bureau de la commission. Aujourd'hui, nous n'en sommes pas

Quant au programme de travail, il consistera, d'ici le mois de janvier, à compléter la documentation réunie, afin de «préciser la lâche de la commission». C'est dire qu'elle n'est pas, pour le moment, très précise. Le secrétaire général de la S. D. X., et non plus le gouvernement français, est chargé de réunir cette documentation. Nous aurions voulu connaître l'opinion de M. Briand sur les décisions qui ont été prises aujourd'hui. Mais notre ministre ne reçoit plus chaque soir, comme jadis, l'ensemble de la presse. Il a omis de faire graver au fronton de l'hôtel des Bergues le mot, si répété en France, d'égalité. Comme un sanglier blessé se retranche dans lo fourré, M. Briand se 'retire dans ses appartements et accueille seulement ceux qui peuvent le consoler de ses infortunes diplomatiques.

Donc, nous ne savons pas si M. Briand. estime avoir remporté aujourd'hui un nouveau succès. Nous croyons plutôt que sa retraite est motivée


î>ai^Ia conscience qu'il a de son échec. Comment pourrait-il feonserv.er des doutes sur les suites de son Initiative, maintenant que l'irréparable est accompli ?

Impossibilité de se mettre d'accord sur le moin'dre programme d'action. Subordination totale de la « commission d'études » à la S. D. N. Telles sont les deux remarques que nous devons faire au soir de cette grande journée. Toutes les difficultés qui se sont présentées au cours de cette session se présenteront à nouveau en janvier prochain. Nous voulo,ns dire qu'elles seront pires, car la S. D. N., qui a réussi à se saisir de l'affaire, saura bien l'étouffer.

Ce n'est pas nous, certes, qui nous en plaindrons. Nous nous rappellerons plutôt les vers de notre bon fabuliste, dont la sagesse est infinie S'assure-t-on sur l'alliance

'-̃'•̃ Qu'a faite la nécessité ?

Cependant, nous ne pourrons nous empêcher de dire, en songeant aux malheurs de notre ministre r L« Pauvre pati-Europe y

̃-̃̃•̃ James Donnadieu.

LA VIE UNIVERSITAIRE La Section permanente du Conseil Supérieur et la « Nouvel!» Histoire de France » des Instituteurs unitaires

L'ïntérnatioiiale des Travailleurs de l'Enseignement pt la Fédération des Syndicats Unitaires de l'Enseignement affirment, chaque jour, qu' « une guerre impérialiste, une guerre antisoviétique est apprêtée par la fàscisation de l'enseignement, par la militarisation de l'école. » Aussi donnent-elles aux élèves-maîtres l'ordre de refuser de subir les épreuves du brevet de préparation militaire supérieure»' et jrivitent-èlles les élèves-maîtresses à ne pas suivre les cours institués par la Croix-Rouge, ces cours « ayant pour but de faire des institutrices et des normaliennes des aides-infirmières pour la prdehaine guerre ».

En outre, Internationale et Fédération ne veulent plus qu'on enseigne aux enfants l'histoire « à la maoî&e bourgeoise ». On expliquera aux élèves que « riistoirç de la société n'est que l'histoire de la lutte des classes ». On leur dira, notamment, « pourquoi ont échoué les projets de désanneiuent total ». En parlant de l'activité de la Société des Xations, « on leur fera étudier le projet Litvinof en soulignant ce fait qu' « un seul pays au monde revendique le désarmement total et immédiat », et que « si.ee pays le demande avec tant d'insistance, c'est qu'il est uu Etat ouvrier représentant les intérêts de .niillions de travailleurs la paix ».. ̃ lîèV". "instituteurs, -s, enfin, devront "«' ÙémoiiTrer ajix" enfants que les guerres rie disparaitrànt qu'en régime communiste, dans la Société sans classes ;>. La lutte pour la paix, d'ailleurs, « équivaut à la lutte pour le communisme ».

Un certain nombre de professeurs et d'instituteur;^ communistes ont voulu codifier toutes ces lois ». Ils ont rédigé une Nouvelle histoire de France. Ce manuel, proclament-ils, est « le seul qui extirpe de l'enseignement les germes de haine, apaise. les dissentiments de peuple à peuple et prépare le désarmement moral, prélude indispensable au, désarmement matériel ». D contient « tout cc qu'un révolutionnaire marxiste conscient peut avoir de souci légitime d'apprendre à son enfant sur l'histoire de France ». Il s'appuie « :;iu- la conception matérialiste de l'histoire, donnant à l'histoire économiquç et la lutte des classes leur valeur véritable' de faits historiques fondamentaux dont les faits politiques, militaires, intellectuels ne sont qu'une conséquence ».

Les auteurs de ce singulier manuel affirment avec Jaurès que « cacher aux enfants la lutte des classes qui s'est développée sous des formes diverses, tout le long de l'histoire, et qui prend forme aujourd'hui dans la lutte du capitalisme et du prolétariat, ce serait supprimer pour eux un des aspects essentiels de l'histoire humaine. »

Pour nous, la Nouvelle histoire dç France, des éducateurs ( !) unitaires n'est qu'un bréviaire de révolution sociale, un livre de haine contre tout ce qui nous est cher. Et M. Léon Bérard a pu raison de dire à la tribune du Sénat -tout e que les bons

FvaiiçàSs pensent de: ce; livre malfaisant,

M. Pierre Marraud, ministre de l'Instruction publique, répondant à M. Léon Bérard, a fait connaître qu'il avait saisi la Section permanente du Conseil Supérieur (le l'Instructigi} publique d'une proposition d'interdiction de la Nouvelle histoire de France.

La Fédération des Syndicats Unitaires de l'Ensciguemeiit n'accepte pas, on s'y attendait, la décision de M. Pierre Marraud et elle vient d'adresser aux membres de la Section permanente une longue protestation. « On reproche, entre autres choses, à notre manuel, écrivent-ils, de ne pas exalter suffisamment le patriotisme français. Mais deux grands historiens français, professeurs eu Sorbonne, MM. Langlois et Seignobos, ne se félicitaient-ils pas, il y a trente ans, de voir qu' « on renonce à employer ^histoire pour exalter le patriotisme ou le loyalisme comme en Allemagne A ces mauvais maîtres, il serait trop facile de répondre que les événements qui se sont déroulés depuis trente ans ne leur ont rien appris. Mais nous pensons que la seule réponse que la Section permanente puisse faire à leur factum, c'est de décider qu'aucun exemplaire de la Nouvelle histoire de Frarlce ne pourra entrer dans les écoles publiques de notre pays. Julçs Laurent.

LES CONSEILS GENERAUX

Le Conseil général de l'Aube, réuni hier hors' séance, a, sur la proposition de M. le docteur Armbruster, sénateur, voté une adresse au gouvernement,, faisant confiance à ce dernier, « en vue de réaliser,. la paix européenne sans porter atteinte ni à la dignité, ni à la sécurité du pays ». Le Conseil général de la Haute-Loire, auquel assiste M. Laurent Eynac, a réélu son bureau sortijiit avec son président M. Victor Pages. Au Conseil général des Basses-Pyrénées, lt. de Souhy, doyen d'âge, a prononcé un discours, dans lequel il fait l'éloge de la majorité actuelle de la Chambre, qui a su se discipliner pour soutenir les efforts du gouvernement.

Au Conseil général de l'Eure, M. Abel Lefebvre, président, après avoir exposé les difficultés de l'équilibre du budget départemental, a exprimé le vœu qu'aucune imposition nouvelle ne vienne S'ajouter aux charges des administrés.

I)a»s sa séance du 19 septembre, le Conseil général du Hatit-Fibin a adopté à l'unanimité une motion présentée par MM. Rieder, Bockel, Ross, Didîerjeari, et relative à la percée médiane des Vosges.

Par cette motion, le Conseil général fait sien un certain nombre de voeux de la chambre de commerce de Saint-Dié, au sujet de la voie ferrée à construire entre Colmar, Kaysersberg, Sainte-Marie et Saint-Dié.

"•• Le conflit relatif au doryphora Le conflit qui s'est élevé entre les conseils généraux de la Haute-Vienne, de la Corrèze et de la Creuse et le ministre de l'agriculture, au sujet de la libre circulation des pommes de terre produites par ces régions, marque un temps d'arrêt. Aujourd'hui doit se tenir la réunion du conseil scientifique des épiphyties. Les techniciens jugeront, après étude, de la situation des cultures, s'il est possible de permettre, dans une certaine mesure, une exportation réduite des tubercules des régions atteintes par le doryphora.

On pense que la liberté du commerce ne sera pas, rendue entièrement, mais que, néanmoins, quelques adoucissements seront apportés au régime en vigueur, cause des réclamations actuelles. En résumé, les deux parties cherchent un moyen terme qui puisse à la fois soulager les régions frappées d'interdit et empêcher le mal de s'étendre aux autres régions du territoire national, hypothèse qui serait très préjudiciable à l'ensemble des (exportations de l'agriculture française.

Les Cours, les Ambassades, le Monde et la Ville

£a fournée de S. jR. /?. le prince de galles 1 S. A. R. '.e Prince de Galies, qui a différé son départ de Paris, s'est rendu à l'invitation de S. Exc. lord Tyrrell et a déjeuné à l'ambassade de Grande-Bretagne. Les convives étaient le premier ministre d'Australie et Mple Scullin, le ministre du commerce d'Australie et Mme Alb'oney, Mme James Bey, M. Campbeîî, ministre d'Angleterre; M. et Mme Cavendish Bentick et Mme Adrian Hoiman.

Les Cours

S. S. le Pape a reçu le Père Stéîn, le nouveau directeur de l'Observatoire du Vatican, et le Père Ledechowski.- supérieur général de la Compagnie de Jésus; S. M. le Roi des Beiges a quitté Bruxelles lundi dernier, 'pour aller faire incognito quelques excursions dans les Dolomites. Le souverain rentrera en Belgiquele 27 septembre. ̃

S. M. Roi Feyçal a gagné Pise en automobile, venant de Gênes. JI s'est rendu à San Rossore, où S. M. le Roi d'Italie l'a retenu à déjeuner. Après avoir visité les chantiers Orlando, de Livourne, le souverain de l'Irak est reparti pour Rome, où il a été reçu1 à son arrivée par les autorités et les hauts fonctionnaires du ministère des affaires étrangères. S. A. R. ie Prince Alphonse d'Orléans est arrivé à Bucarest, venant de Belgrade, à bord d'un avion mis à sa disposition par l'aéronautique yougoslave. Le Prince a poursuivi en automobile son voyage sur Bled, où il sera l'hôte des souverains yougoslaves. S. A. R. la Duchesse de Madrid, accompagnée de sa dame d'honneur, est arrivée depuis quelques jours au château des Perrais (Sarthe).

Dans les Ambassades

S. Exe. le ministre de France en Irlande et Mme Alphand ont donné, cette semaine, un déjeuner en l'honneur de M. Ceîlerier, directeur du laboratoire de recherches scientifiques au Louvre, qui a fait à l'Université nationale de Dublin une conférence sur les méthodes scientifiques pour déterminer l'authenticité des tableaux de maîtres.

A ce déjeuner assistaient M. Walshe, secrétaire per- manent: du ministère des affaires étrangères; le docteur Coffey, président de l'Université nationale; sir Conway bwyer et M. Nolan, professeurs à l'Université; le Rev, docteur Boylan, directeur de l'Ecole de Saint-Patrick; le Rev. Brown, directeur de la librairie catholinue, et le personnel de la légation.

S. Esc. M. Qtiinones de Léon, ambassadeur d'Espagne à Paris et premier délégué de l'Espagne a Genève, ainsi que la délégation espagnole ont offert, hier, soir, wre brillante réteption 'a l'occasion de la onzième' 'assém- blée. Un concert musical, suivi d'un bal, avait attiré' autour de la délégation espagnole l'élite de l'assemblée, du secrétariat et de la presse internationale. On mande de Lima que S. Exe. M. A. Brada a été nommé ministre du Pérou à la Cour de Saint-James. Dans le Monde

La semaine dernière, la comtesse de La Barre de Nanteuii Le Flo et la- vicomtesse Joseph du Halgouët donnaient, au château du Nec'hoat, près de Morlaix. une matinée dansante pleine d'entrain pour les amies de leurs filjes. Un cotillon très animé, au cours duquel de charmants souvenirs furent distribués, termina gaiement cette jolie fête.

Reconnu parmi les invités vicomtesse et Mlle d'Herbais de Thun. vicomtesse et Mlle de Kerautem, vicomtesse et Mlle du Laz, Mme et Mlle de Kermadec, vicomtesse et Mlle du Pontavice, vicomte, vicomtesse et Mlle de Rodellec du Porzic, comtesse et Mils de Roquefeuii, comtesse et Mlle de Kerever, Mme M. de Mauduit du Plessis, vicomtesse et Mlle de Pluvié, Mme et Mlle de ï'ënanster, M. et Mme Ch. de Pénanster, vicomtesse et MUes de Rotalier, vicomte de La Barre de Nanteuii, comte et vicomtesse de La Roque de Séverac, MM. G. du Halgouët, Y. et H. de La Barre de Nanteuil, de Pénanster, de Rodellec du Porzic, Bécourt-Foch, Fournier-Foch, de La Forest, vicomte G. du Pontavice, MM. Amyot d'Inville, de Boisanger, Baggio, çtoJ""1" ̃

Ces jours derniers, au 'chitéji^ de Québriac (Illeet-Vilaine), la comtesse de La Paré et ses enfants, le çfimte et la comtesse' Paul, 'de., Castellan, ont' donné un ̃ élégant goûter. ̃ ̃•'̃ ''• '• ̃' ̃ :> :̃•̃̃-([•̃'̃̃' Reconnu parmi les invités venus de tous les points de la région comtesse de Dnrlm%marquise de Courcy,

TEM1PB PROBABLE

pour le 24 septembre

Région parisienne. Temps assez doux, brumeux le matin, puis nuageux avec éclaircies vent de Sud-Ouest faible température stationnaire. Maximum 2 2°.

France, Moitié Nord, comme dans la région parisienne, sauf bruines sur le littoral de la Manche. Moitié suit, beau, nuageux vent- de Nord à Sud-Est faible température stationnaire.

Av iation. a) Région parisienne Ciel couvert, brumeux vers 300 mètres le matin, devenant nuageux vers 600 mètres, avec éclaircies vent de Sud-Ouest 40 kilomètres à l'heure; visibilité mauvaise, puis moyenne. ..b). Vers Londres Comme dans la région parisienne,: sauf bruines sur la Manche et l'Angleterre'. '• c) Vers Bruxelles, Cologne, Strasbourg Comme dans la région parisienne.

d) Vers Lyon -Marseille Jusqu'à Mâcon, comme dans la région parisienne 2° Au delà de Mâcon, ciel nuageux élevé avec éclaircies vent de Nord à Est 30 à 40 kilomètres visibilité moyenne.

Manche. Temps brumeux avec quelques bruines; vent de Sud-Ouest modéré.

Méditerranée. Beau temps nuageux vent variable faible.

D'encombrement

La rentrée des classes va s'effectuer dans des conditions qui vont faire crier d'allégresse certains et qui, pourtant, lorsqu'on y réfléchit, sont inquiétantes.

Les lycées de Paris se révèlent nettement insuffisants pour contenir tous les élèves qui souhaitent d'y prendre place. Les proviseurs sont affolés. lis voudraient bien contenter tout le monde et les parents. lis ne peuvent pas. Ils n;ont pas la ressource, comme les 'directeurs de théâtre, quand la feuille de contrôle est surchargée, d'empiler les gens dans les loges ou de les laisser debout dans les couloirs. Un dortoir est un dortoir, et les professeurs protestent avec raison contre l'entassement dans les classes, qui gêne considérablement la bonne marche des études. C'est sans doute pour remédier à cet engorgement des lycées parisiens que, depuis quelque temps, les établissements scolaires de la région multiplient les réclames. Certains n'hésitent même pas à poser des placards aussi vastes que ceux qui recommandent les automobiles ou les savons à barbe. Et, par parenthèse, cette publicité, où il n'est guère question que du confort, de la cuisine et des avantages matériels, n'est pas fort plaisante. Ce qui est grave dans cette pléthore d'élèves, c'est qu'elle promet dans l'avenir une abondance de diplômés. Or, on ne cesse d'entendre dénoncer l'encombrement des carrières libérales, où il est de plus en plus difficile de se faire une place. Ce danger si souvent signalé

comte et comtesse de Castellan, comtesse de Forges, J marquis et marquise de Bizien du Lézard, comte de Kernier, comte et comtesse de Nantois,. marquis et marquise de Courcy, vicomtesse de Castellan, marquise de Prévoisin, comte et comtesse de Saint-Hilaire, comtesse de Chevriers, comtesse de l:.9rger;i!, et vicomtesse de' Salens, marquise de .ibatdàrenS.ie,Boisse, comtesse de Caqueray, comtesse du Petit-Bois, marquis et marquise de Carné de Trécesson, comtesse et Mlle de Guéhéneuc, comte et corate'gsé. de :Pôritatimait, vicomtesse et Mlle de Saint-Mirel, comte et comtesse d'Oultremont, marquise du Dresnay, vicomte et vicomtesse de Penguern, comte et Mlle de La Motte de Broous, comtesse de La Gerbinais, vicomte et vicomtesse de Lauzanne, M. et Mme de Féron du Chesne, M. et Mme Pierre Schommer, née de Nion; baronne d'Ancy, colonel et comtesse de Porzamparc, capitaine et Mme de Bénazet, M. et Aille de Trémaudan, vicomte de La ForestDiyon.ne, comte d'Aliricourt, baron Potier de Courcy, vicomte de Dampierre, vicomte de Saint-Mirel, etc. Le comte et la comtesse d'Auxy de Launois, vicomte et la vicomtesse Gaston Ys-ebrant de Lendonck ont donné, dernièrement, au château de Launois (Belgique), un déjeuner auquel étaient invités S. A. S. le prince Henri de Croy, comte et comtesse Maurice d'Oultremont, comte Alphonse de Villegas de Saint-Pierre, comtesse Albertine de Villegas de Saint-Pierre, baron et baronne Raoul de Maleingreau d'Hembise, M. et Mme van Delft, Mme de Gock; Mme Holvoet, chevalier et Mme de Biseau d'Hauteville, M. et Mme Wauters de Eesterfeld, Mme van Hoobrouck de ten Huile, etc Naissances

M* Louis Debauve, commissaire-priseur à Paris, et madame, née Martine, sont heureux de faire- part de la naissance de leur "fille Sylvie.

Bienfaisance

r– Une kermesse fort réussie a été donnée, dimanche dernier, dans le parc de la villa de M. P. Piel Theicion d'Arc, à Coulombs (,Eure-et-,Loir), Une nombreuse assistance se pressait autour des attractions originales et des comptoirs de vente, très achalandés et fort ingénieusement aménagés. La fête était organisée au profit du patronage Saint- Louis de Gonzague, œuvre des plus intéressantes dont ie directeur est l'abbé Brierre, vicaire à Nogent-le-Roi. Mariages

• Récemment a été, béni, e-n la chapelle du château d'Aguegseau, près de Trouville, le mariage .de Mile ^icoje Joba avec.. M. Albert ;Bouchet: de.Fa.reins, Mme Cierges du Mesnjl,- née de ^Maigret, .tante, dé. ïa mariée^ et .Mme Edouard Joba,, ^nère, ont reçu après la cérémonie religieuse.

Reconnu parmi l'assistance Mme Albert de Vernoux, M. et Mme'Bouehet de Farcein, commandant Joba. comte de Montgrand, M. et Mme Rocher, comte de SaintMauric, duc et duchesse d'Abrantès, princesse Albert de Broglie, colonel et Mme Testard, Mme Nicolas Xantho, comte et comtesse Bruno de .Maigret, lieutenant et baronne Léonce de Curières de Castelnau, comtesse François de Gontaut-Biron, duchesse d'Albufëra, amiral et comtesse de Faramond, comtesse Guy de Dampierre, comte et comtesse de La Fleuriaye, comte et comtesse de Cugnon d'Alincourt, baronne de Woot Mme Frédéric Callier, Aime Brouardel, baronne de Guerne, Mme de Launay, comte et comtesse de Chantérac, Mme Georgéry, M. et Mme de Monicault, M. et Mme Le Couteulx de Caumont, comtesse de Mareuil, commandant et Mme Laurent Champrosay, AI. et Mme de La Serre, Mme d'Ablon, Mlle de Précourt,' Mlle de Bénédent, M. et Mme de Metz. Al de Bonnechose, baron Portalis, M. Pierre du Mesnil d'Avennes, etc.

En l'église de Lésigny (Seine-et-Marne) vient d'être célébré dans l'intimité le mariage de Mlle Simone Gerard avec M. Henri d^Anglemont de Tassigny.

Les témoins étaienl, pour la mariée: le comte Minangoy-Pérignon et M. Maurice Gerard, ses oncles pour le marié; le comte Richard de Masin, son beau-frère, et M. André Morel, son oncle.

Deuils

On annonce la mort, à quatre-vingt-cinq 'ans, de .M-\JeUH'Gir<?#e, architecte, chevalier de la'tegioh d'honneur, élève brillant de 'Chartes -Ganiièr, qui, outre -d'élégantes constructions à Paris et en province, a bâti, à

Vienne, le palais Rothschild et a fait les aménagements d'Antin. Ses charbons parfument délicieusement

~~c ï ~i p~~

E C H O S

ne décourage pas les aspirants bacheliers, qui se voient demain ténors d'assises ou chirurgiens en vogue. Nobles ambitions. Mais combien réussiront ? Et la société n'offre-t-elle pas d'autres débouchés aux activité de ces jeunes gens ? Et les lycées de jeunes filles aussi sont pleins. Toutes ces demoiselles veulent collectionner les parchemins et entrer dans les grandes écoles. Eh bien, il y a là un vrai danger social, car il n'est pas possible que sur tant de bacheliers et de brevetés de tous genres, il n'y ait pas un formidable déchet.

Pour un ascenseur.

L'Hôtel de Ville est, d'après l'opinion presque générale, l'un des plusifoeaux monuments de

:PaFH|iî.'S©n- 'architecture est attribuée' d'ailleurs

à'Boccador. ̃'̃ Mais nos édiles sont complètement insensibles à l'harmonie de cet édifice et ils donnent actuellement une nouvelle preuve de leur indifférence en laissant saccager à coups de marteau de superbes voûtes, fort joliment sculptées, pour pratiquer le passage d'un ascenseur. Cet appareil est, assure-t-on, destiné à permettre à ces messieurs d'aller recevoir à l'entresol les visiteurs que l'on ne veut point admettre au premier étage.

De multiples protestations se sont élevées, paraît-il, mais elles sont restées sans le moindre effet, car le massacre continue.

Les traditions se perdent.

Par quelle expression remplacera-t-on désormais le légendaire Au jus d'dans » n Le conseil général des Ardennes ne vient-il pas d'émettre le vœu de voir l'administration de la guerre remplacer, dans l'alimentation de la troupe, le café du matin par une distribution de lait ?

Cela se fait déjà, paraît-il, en Hongrie, en Tchécoslovaquie et en Allemagne. De plus, l'Autriche et la Suisse sont sur le point d'adopter cette substitution. Mais que vont devenir les vieilles coutumes du litre de schnick qufr versait dans la cruche le nouveau promu, et' de la « goutte » avec laquelle « arrosait ». le quart des anciens le bleu revenant de sa première permission ? « Les bleus au lait » Quelle misère

Aux guichets du Louvre.

Deux des guichets du Louvre sont en réparation et cela depuis plusieurs semaines. A l'heureuse époque des vacances, au moment où la circulation était moins intense, cela pouvait encore aller. On stationnait bien quelques minutes, il y avait bien quelques embarras. mais à Paris on en voit bien d'autres.

Malheureusement il n'en est plus de même de nombreuses, de très nombreuses rentrées se sont produites, les voitures ont quadruplé ou quintuplé et il n'est plus d'après-midi où la

et la décoration intérieure d'un certain nombre de paque- bots. Ses obsèques, ont. eu lieu dans l'intimité. Nous apprenons la mort subite de' M. Félix' Gaudin I peintre verrier, officier de la Légion d'honneur, croix 'x de guerre, décoré de la médaille, de 1870. Ses obsèques ont été célébrées à GorcèUes-Chàtèpoy. (Saône-et-Loire). On annonce la mort accidentelle en Espagne de Mlle Germaine Marchal, sous-directeur du laboratoire de chimie minérale 'au :Collège de France.

Nous apprenons la mort du comte Aymar de Tessières,,offici,er de la Légion d'honneur, croix de guerre, décédé le 21 septembre, à Senoncnes." Il avait épousé Mlle Isabelle de Dorlodot. Ses obsèques seront célébrées demain jeudi 25 cou-, rant, à dix heures trois quarts, en l'église de Senonches (Eure-et-Loir). L'inhumation aura lieu à Paris, au cimetière Montmartre. Nous- apprenons la mort de la marquise des Courtis de La Groye, née d'Assailly, survenue au Mans le 22-septembre. Un service sera célébré en la cathér drale du Mans, demain jeudi 25, à onze heures et demie. Les Obsèques auront lieu à Clefs (Maine-et-Loire), le. vendredi 25 septembre, à dix heures. Le présent avis tient lieu d'invitation.

Les restes mortels de Mme George Blumenthal seront incessamment transportés à New-York, où la cérémonie funèbre aura lieu.

Les amis de Mme Blumenthal'sont invités à lui rendre un dernier adieu demain jeudi 25 septembre, de trois heures à cinq heures, en son hôtel, 15, boulevard de Montmorency.

Nous apprenons la mort de Mme J.-M. Saenz, née Francisca de Luzarraga, décédée à Paris. Ses obsèques auront lieu le vendredi 26 courant, à dix heures, en l'église Saint-Philippe du Roule, où l'on se réunira. Le présent avis tient lieu d'invitatio-n.

r On nous annonce la mort de Mme Frank Hivert, née Yvonne de Léséleuc de Kerouara, pieusement décédée à Nantes le 17 septembre. La cérémonie religieuse a eu lieu le 20 septembre, en l'église Saint-Similien, sa paroisse, et l'inhumation au cimetière de Nantes. De la part de M. Frank Hivert, son époux; du comte et de la comtesse Henri de Léséleuc de Kerouara, ses I frère et belle-sœur. Le présent avis tient lieu 'de fairepart.

Nous apprenons la mort de Mme de La Tour, née de Bigault de Préfontaine, décédée à Varermes-eriArgonne.

On annonce de Valenciennes la. mort, survenue en son domicile, à l'âge de cinquante ans, de M. Paul. î)e\grs.ngex courtier assermenté. Ses funérailles seront célébrées demain jeudi 25 septembre, à onze, heures,* en ïa basilique Notre-Dame du Saint-Cordon,. d/où le-CDrps sera -conduit au pimetière Saint-Roch pour y être inhumé dans le caveau de famille. Réunion à la maison mortuaire, 40, rue de Mons, à dix heures et demie. Yalfleury.

PETIT CARNET

S Avant la rentrée des classes, allez voir les nouveaux modèles de manteaux de pluie que Léda a créés pour la jeunesse. Ils sont légers, chics et pratiques.

S, rue Drov.ot. Nouveaux salons 5ç: Faubourg ,SaintHonoré {entrée 2g, avenue Marigny).

S Pour cet hiver, le couturier Francis présente dès maintenant, à côté de sa luxueuse collection habituelle, un nouveau rayon de charmantes robes et d'élégants manteaux au prix de 1.200 francs.

5, avenue Matignon (Champs-Elysées).

S Jeanne Belfort, 3 bis, cité d'Hauteville (Prov. 45'Ç2), a créé pour la femme élégante des modèles ravissants à partir de 350 francs.

Soldes de grands couturiers.

S Pour les yeux, Madame, le Cillana fait croître les cils- sans piquer les '•yeux set 'yer=& sùV Ié' regard 'son ombre

palpitante le Mok'ohe'id '/lui, abrtne"uiië' langueur \gùi

l'embellit de mystère. Bichara, parfumeur. 10, Chaussçe

Artigny.

place du Carrousel, les rues de Rohan et de Rivoli ne soient le théâtre des embouteillages les plus inextricables. On ne passe plus qu'après de longues attentes que les chauffeurs exaspérés peuplent d'un bruit assourdissant de cornes et de trompes.

Si l'on hâtait un peu les travaux, cet état de choses aurait vite sa fin naturelle.

INSTANTANÉ

PAUL REBOUX

JCe Jvouveau Savoir -Vivre

Quel bien-être on éprouve à lire un livre comme celui-là Il donne l'impression d'un nettoyage nécessaire et d'une fenêtre ouverte pour laisser entrer enfin la lumière et l'air pur! Paul Reboux traite toujours sous une forme irréprochable les questions les plus scabreuses. Il étudie ici avec- une étinc'elante bonne humeur tous les usages en cours. ,n ,.̃̃̃̃ Grâce à lui, on pourra pratiquer l'art de rester des gens bien élevés tout en étant des gens modemes.

Les musées de province.

Ils sont peu visités, disions-nous, en dépit de l'intérêt qu'ils présentent, parce que leur accès est souvent trop compliqué.

Il y a aussi, nous écrit-on, la difficulté qui résulte de l'absence de catalogues on doit donc se contenter des explications insuffisantes ou erronées d'un gardien.

Le meilleur moyen de remédier à cet inconvénient consisterait à fixer une inscription explicative devant chaque œuvre d'art. C'est, du reste, un système qu'on pourrait appliquer utilement dans nos grands musées, car rien n'est long et fastidieux comme de visiter une collection le catalogue à la main. Mais ici on se heurte à une question de gros sous il y a évidemment opposition entre les intérêts du marchand de catalogues et les commodités du public.

Et c'est toujours l'éternel refrain.

Il ,se présente une occasion exceptionnelle de parfaire à bon compte Je confort et le charme de votre home Avant inventaire, A Carnavalet, 9, boulevard Raspail, 9, consent d'énormes ra bais sur tout son stock de meubles, sièges, bibelots anciens, lustres, tapisseries, tableaux, argenterie. Décoration ancienne et moderne.

Le livre étranger en Italie.

L'Instituto Italiano del Libro de Florence donne des détails intéressants sur le commerce du livre en Italie, commerce qui après avoir traversé une période de dépression montre actuellement des signes très nets de reprise. Notons qu'un grand nombre d'ouvrages ont été traduits de langues étrangères. En 1928 (c'est la dernière statistique que l'on possède actuellement sur ce chapitre) les livres franr 'çais venaient en tête avec 409 ouvrages, puis les livres anglais avec 324 et les livres allemands

j avec 136. Au cours des deux dernières années les traductions de livres espagnols- et surtout russes sont devenues de plus en plus nombreuses. Les livres traduits sont surtout -des;; r,omans, particulièrement des'romans policiers ` ou d'aventures, Jack London et Conan Doyle 1 remportent un grand succès auprès des jeunes Italiens.

Assurances sur la vie. américaines.

Les journaux américains enregistrent avec un certain étonnement l'augmentation sans cesse croissante du montant des assurances sur la vie émanant de citoyens des Etats-Unis. Quarante-cinq New-Yorkais viennent de s'assurer pour des sommes variant entre vingt-cinq et quarante millions de francs.

Celui qui détient le record est M. Pierre Du Pont, président de plusieurs sociétés industrielles, dont la police s'élève à 175 millions de francs. Puis viennent MM. John Martin, directeur d'un journal de Philadelphie avec 162 millions; Joseph S,el.i.enoh-, Jesse Lasky et Adolphe Zukor, avec 125 millions chacun.

La contrebande en Grèce.

Le Service de poursuite de la contrebande, dit le Messager d'Athènes, a soumis au ministère des finances un état de ses opérations au cours du premier semestre 1930. Ce service a saisi 4.1o9 kilos de tabac haché, 122.104 kilos de tabac en feuilles, 127 kilos de cigarettes, 909 kilos de papier à cigarettes, 73 kilos de papier blanc propre à servir aux fumeurs, 457 banderoles de tabac de 25 kilos, 60 appareils à hacher le tabac, 240 caisses de pétrole, 228 caisses d'allumettes, 10.965 litres d'alcool, 1.024 litres d'huile, 59 kilos de soieries, 799 kilos de tissus en coton, 298 kilos de sucre, 55 kilos de café. 6 pièces et demie de lainages et 5.349 kilos de sel.

Cela constitue pour le fisc une perte de 50 mil. lions 627.529 drachmes.

On a saisi en outre 54 barques à voiles et une barque à moteur .montées par 104 pêcheurs pratiquant la pêche à la dynamite.

Le Masque de Fer.

POUR LA SECURITE AERIENNE •' Nous recevons la communication suivante > ;< Les récents 'accidents; qui' ont endeuille noire-, aviation .militaire" niè'tleiit une, fois de plus, en lumière ïa nécessité d'étudier 'et de coordonner toutes les mesures destinées à améliorer la sécurité en avion. C'est à cette nécessité que répond le premier congrès international de la sécurité aérienne, qui se tiendra à Paris du 10 au 23 décembre prochain.

Ce congrès s'annonce sous les meilleurs auspices: 40 nations ont répondu à l'appel des organisateurs et enverront (les délégations officielles. Plus de 200 communications ont déjà été envoyées, 'qui, réunies, formeront, à l'usage des adhérents, une véritable encyclopédie internationale des problèmes de la sécurité.

Le commissariat général du congrès est situé 23, avenue de Messine, Paris.

Le nouvel ambassadeur

de la République argentine La nomination de M. Le Breton, au poste d'ambassadeur de la République Argentine, a rencontré dans tous les milieux la plus chaleureuse approbation,

C'est en effet un grand ami de la France, un Parisien d'élection, pourrait-on dire, qui vient au milieu de nous représenter la grande puissance sud-américaine. Issu d'une très ancienne famille de Jersey, .qui remonte an treizième siècle, et kltHï.fia ptts'itHU'.s ,l»ouye'rivetny's à cette île, Jp npiH, .vol-' ambiissad-ciir a épousé une aimable cOmpatriott», Mlle Maria Peyrera-Xîmeitez. Des alliances françaises consolident encore, si l'on peut ainsi parler, les seiilimcnts français de l'éminent diplomate, sa cousine germaine a épousé, il y a quelques années, un gentilhomme de pure race française, le marquis de Brazais, fils du comte du Hamel île Breuil et de la comtesse, née Saint-Joseph. Député et sénateur de Buimos-Ayres, M. Le Breton. pendant la guerre, prit nettement le parti de la France, contre le président Yrigoyen, aujourd'hui destitué de ses fonctions présidentielles. Le député Le Breton, à la suite d'un discours véhément à la Chambre des députés, prenant violemment parti contre le président Yrigoyen, partisan du maintien des relations avec l'Allemagne, dut quitter l'Argentine il vint en France, il résida assez longtemps. En 1920, il fut nommé ministre de l'agriculture et, en 1922, ministre à Washington. Ajoutons que M. Le Breton est grand officier de la Légion d'honneur.

Lounatcharsky ambassadeur des Soviets à Berlin Moscou, 23 septembre. M. Krestinski, ancien ambassadeur des Soviets à Berlin est revenu de Moscou à Berlin pour retirer ses lettres de créance et liquider ses affaires personnelles. Jusqu'à présent, son successeur n'est pas encore nornmé, .mais ii est toujours question pour ce poste de l'ancien eoniiuissa.irc(.,du; peuple Lounatcharsky.

Le président Hindenburg à Aix-la-Chapelle Berlin, 23 septembre. Les voyages du président Hindenburg à Aix-la-Chapelle et à Trêves, ont été fixés aux 10 et 11 octobre. On se souvient qu'à la suite du terrible accident qui endeuilla tes fêtes de la libération à Coblentz, le président Hindenburg avait interrompu son voyage et était retourné à Berlin sans avoir visité ces deux villes.

Le voyage de Tewfik bey à Moscou Onrss.v, 23 septembre. Le ministre turc des affaires étrangères Tewfik bey est arrivé à Odessa, accompagné de plusieurs hauts fonctionnaires turcs, en route pour Moscou.

Les journaux locaux annoncent que la visite du ministre turc a pour objet de resserrer encore plus fortement les relations amicales qui existent entre la .Turquie et l'U.R.S.S.

La présidence de la République turque Ankaiu, 23 septembre. ̃ Dans les milieux politiques on affirme que Mustapha Kemnl ne sera pas. candidat, l'année prochaine à la présidence de la République. Il préférerait prendre la direction,' éfffective du parti populaire.

Ce serait Feyzi pacha, chef d'élat-major général qui poserait sa candidature en 1931, à la présidence de !a République turque.

La situation ministérielle en Turquie Stamboul, 23 septembre. Le ministre de l'économie nationale a résigné ses fonctions et l'on s'attend très prochainement à ce que le premier ministre, Ismet pacha, remette la démission collective du cabinet,

'l'oute demande de changement d'adresse doit étre accompagnée de la somme de un franc cinquante en timl>ves-p~sîe pour couvrir une parlie des frais de renouvellement de la bandr.


LA SERIE NOIRE

Un avion militaire s'écrase sur le sol

Trois morts

Reims, 23 septembre. Cet après-midi, vers 18 heures, un avion du 11e régiment d'aviation, du centre de Metz, s'est écrasé sur le sol, au camp de Tahure, à proximité de la localité de Souain. On compte trois morts. Le quatrième passager de l'avion a pu sauter en parachute et atterrir sain et sauf.

Le général Mangin et le chef du cabinet du préfet de la Marne sont allés saluer, les dépouilles des victimes.

Un avion militaire éventre une maison Un accident nouveau s'ajoute à la liste, chaque jour plus longue, que porte à son passif notre aviation, militaire. Par miracle, on ne compte pas, cette fois, dé victimes, mais l'alerte a été chaude,et on a frôlé de près la catastrophe.

En effet, hier matin, à 10 h. 1/2, un avion de bombardement, appartenant à la 15e escadrille du 34' régiment d'aviation, qui revenait des manœuvres de Sens, s'est abattu sur un immeuble de rapport situé 34, rue de la Pelouse, à Neuilly-Plaissnee. Les aviateurs, victimes d'une panne du groupe gauche de leur moteur, avaient heureuseainent pu faire usage de leur parachute, alors qu'ils ne se trouvaient plus qu'à 300 mètres d'altitude et atterrir normalement. Le premier, le lieutenant Hobert Donne, pilote, descendit sur le toit d'un immeuble de la rue de la Prairie. Quant au mécanicien Marcel Pechon, il prit assez rudement contact avec le sol, dans le jardin du docteur .Tanin, rué. de la Marne. Le praticien s'employa aussitôt à soigner les contusions au bras gauche et à la lèvre que portait l'aviateur.

Cependant le biplan, dont, au dire des témoins, le moteur tournait encore, avait enfoncé la façade de-fa maison de M. Terlé, charbonnier, qui se trou- vait lui-même sur le toit d'une remise et fut violem- ment jeté à terre par le déplacement d'air. Le fuselage s'encastra, au milieu d'un fracas épouvantable, à la hauteur du deuxième étage, ouvrant une large brèche. Le moteur pénétra jusque dans la cage de l'escalier, laissant, par ses tuyaux crevés, ruisseler une cascade d'essence. Par bonheur, aucun foyer ne se trouvait à proximité, et les pompiers de la localité purent prendre les mesures nécessaires pour éviter un incendie. Mais il fallut descendre, au moyen d'une échelle, les locataires des étages supérieurs, Mmes Butteux et Bianchi et leurs deux jeunes enfants, dont on imagine la frayeur.

Les services de dépannage, aussitôt prévenus, n'arrivèrent sur les lieux que quatre heures après l'accident. Ils constatèrent d'ailleurs leur impuissance à dégager l'avion détruit et durent faire appel aux pompiers de Paris. Au ministère de l'air, on observe, bien entendu, la plus grande discrétion sur les causes de l'accident qui sema l'effroi dans toute une population, que le marché hebdomadaire attirait dans les rues.

La tempête sur l'Atlantique Un cargo désemparé pendant trois jours BREST, 23 septembre. Le cargo italien Vvivaldi vient d'entrer dans le port, remorqué par l'Iroise. Ce navire fut surpris par l'ouragan en pleine nuit, à cent vingt-cinq milles de Brest.

Le gouvernail se brisa et une lame énorme balaya le pont. Toutes les lumières s'éteignirent. Le bateau roulait bord sur bord. Les matelots, à chaque instant, étaient blessés par les agrès brises, ou violemment jetés contre les cloisons. L'un d'eux, Giacomo, jeté sur un panneau, tomba dans la cale et mourut peu après. Pendant trois jours et trois nuits, le bateau a lutté contre la mort.

Treize morts"

Brest, 23 septembre. Les autorités maritimes -viennent d'être informées que treize pêcheurs de Concarneau ont péri au cours du dernier ouragan et que de nombreux bateaux désemparés n'ont pu encore rentrer au port. ̃

Voici les noms? des victiinés. 'P}errie pr.qyglazet» 42>hs (un enfant), du dundee Marguerite Charles Jaoiieh, 43 ans (cinq enfants), de la Rose-des-Venis; Jèan-Marie Sellin et Joseph Garo, du Bon-Retour Joseph Furie, du Grésillon Ambroise Allot, 45 ans (trois enfants), du Aide-Toi Corentin Glemarec, de VYvonnic Joseph Péron, 19 ans, et Jacques l'éron, 29 ans, du Philanthrope Marcel Le Port et Jean Lotode, du Sable-d'Or Bourbis, du Gasdc-f régime Charles Tanguy, 48 ans (trois enfants), du Lucie-Marie.

Huit bâtiments militaires ont appareillé Brest, 23 septembre. Hier ont appareillé pour *e joindre aux torpilleurs Lutin et Touareg et aux avisos Aisne et Batailleuse, déjà partis au secours des pêcheurs thonniers, le contre-torpilleur Lgnx, deux autres torpilleurs et l'aviso Ancre, école de pilotage. Au'total, cela fait huit bâtiments militaires, soit tous/ceux disponibles immédiatement. Un vapeur abandonné

Brest, 23 septembre. Le grand vapeur grec Théodoros Bulgaris, du port d'Andros, désemparé par la tempête, a été trouvé abandonné par son équipage, à cent vingt milles d'Ouessant par le vapeur allemand Livadia, qui l'a remorqué jusqu'à Brest.

Les tribus indiennes du Nord font leur soumission Londres, 23 septembre. Des informations de Peshawar annoncent que toutes les tribus hostiles du nord du district de Kurram, sur la frontière du nord-ouest de l'Inde, ont maintenant offert leur soumission aux autorités militaires britanniques. NOUVELLES MILITAIRES Nominations au grade de sous-lieutenant Artillerie

Les élèves qui ont satisfait aux examens de sortie de l'Ecole Polytechnique en 1930, dont les noms suivent, sont nommés au grade de sous-lieutenant dans l'artillerie

Feltz, Couture, Loisy, Bursaux, Baseilhac, Guillaumat, Vincotte, Arnaud, Marini, Sauser, Siiberberg, Peretti, Bafour, Lepoulre, Loiret, Voisin, Déchaud, Dargnies, Matray, Lamson, Arnaud, I)ulae, Poron, Leheup, de Croy, Génis, BénarH, Ponsart, Viellard, Derode; Laurent, Kauffer, Meltz, Vial, Soisson, Pourchier, Fournié, Fréchou, Berger, DuHlingcr, Laporte, Boullet, Morlon, Soudée, de Guibert, Meunier, Méjean, Weinbach, Vachette, Coquebert de Neuville, Lesur, Garnier, Blain, Bret, Maillard, de Touzalin, Camus, de Benoist de Gentissart, Haslin, de Prunclé, Dupent, Rivière. Delaine.

Génie

Les élèves de l'Ecole Polytechnique qui ont satisfait aux examens de sortie en 1930, dont les noms suivent, ont été nommés dans le génie au grade de sous-lieutenant. Ces officiers sont désignés pour suivre les cours de l'Ecole d'application du génie

Bideau, Foni, Bernheim, Lehucrou-Kerisel, Jeandet, Bringer, Olivier, Lambert de Froudeville, Bufnoir, Le Bel, Lazard, Berteloot, Mialet, Mathis, Meriaux, Martin, Fournet, Soubeyrand, Croze, Pillot, Feron, Gruber, Longeaux, Blondeau, Franc, Weulersse, Touz, Weil, Meunier, Levail]?nt, Angles-Dauriac, Caslets, Clcyet-Michaud, Trouble, Noteris, Déballe, Guicheteau, Villeneuve, Barroux, Poncet, Làbènumee, Neu, David, Prouteau, Cudelou, Pinassaud, Prieur, Lefebvre, Gambier, Cros, Curabet, Lacoste, Lopin, Damez. Baudemard-Gregnac, Hartmann, Goldschmidt, Forgues, Hevil, Labin, Benoist, Massacrier, Marchand, Rideau, Sèz. Riallaiid, Lapaume, Abèles, Brunet, Revirieux, du Pouget de Xadaillae, Lauret, Sellier, Steiner, Berger, Nevreneuf, Garibal, Richard, Montagner, de Balliencourt dit Courcol, Charbonnier, Détonne, Rapilly, Delamalmaison, Maire. Scesa, Pommerie, Pacault^ de Place, Monm, Rencker, Marre, ïeissier, Deverre, Coilliot, de Monneron, Pont, Gaud, Clamen, Couture, Caries, Guelfi. LEGION D'HP N N E U R Ministère des affaires étrangères Par décrois sont nommés chevalicrs de la Légion d'honneur MM. Paul Gillot, artiste peintre orfèvre « service signalés rendus à la propagande de l'art -français au\ Etals-Unis » François Mieaud, directeur d hôte"! « 35 anô de pratique commerciale, dont vingt-trois à l'étranger au cours desquels il n'a cessé d'apporter aux œuvres' philanthropiques françaises le concours le plus dévoué et le plus généreux ».

DERNIÈRE HEURE

A LA SOCIETE DES NATIONS

L'harmonisation des pactes de Paris et de Genève

Genève. 23 septembre. La première commission a étudié* l'harmonisation des pactes de Genève et de Paris. M. Cassin (France) a dit que l'opinion <. publique française attache une grande importance à cette question, le gouvernement français ayant 1 dès la première heure apporté son appui à 1'idée i (le renforcer le pacte de la S.D.N. i 1 La commission toutefois n'est pas appelée à in- i terpréter, le pacte de Paris.

M. Cassin s'est rallié à l'opinion exprimée par M. Baker. II serait inadmissible qu'une 'même obïi- j gation fût sanctionnée dans un pacte et tre le fut ] pas dans l'autre. JI estime que l'on Se fait des conceptions erronées sur l'extension des sanctions qu'on propose d'introduire dans le pacte de la: S.D.N. Il attire l'attention de M. Unden sur les conséquences graves de certaines de ses opinions concernant les amendements du pacte.

C'est surtout, dit-il, lorsque la menace d'une guerre est grande que la sanction doit être grande. Il conclut que l'opinion française accepte les propositions faites par le comité de juristes non pas comme un maximum, mais au contraire comme un minimum de ce qu'il faudrait faire pour fermer la porte à toute guerre.

Il faut accepter tout de suite, dit en terminant M. Cassin, un progrès qui se présente sans attendre qu'un progrès plus grand devienne possible. L'assistance financière aux Etats attaqués Genève, 23 septembre. La troisième commission de l'assemblée a définitivement adopté cet après-midi le texte de la convention sur l'assistance financière, en dépit de quelques réserves formulées par la Hongrie, l'Italie et la Suisse.

Voici les conclusions du comité adoptées par la commission

1° II y aurait en principe utilité à transformer en convention générale le modèle de traité en vue de renforcer les moyens de prévenir la guerre 2° Le comité constate l'unanimité de la commission en ce qui concerne l'article premier du projet de convention relatif aux mesures de caractère non militaire 3° Le comité estime que la convention envisagée doit contenir des stipulations à l'effet d'assurer l'application intégrale de l'article 11 du pacte en vue de prévenir la guerre, en rendant obligatoires pour toutes les parties contractantes les recommandations du conseil tendant à éviter le contact immédiat entre les forces opposées ou tout incident à une époque où les relations entre Etats impliqués dans un différend seraient si tendues que, d'après l'opinion du conseil, il y aurait menace de guerre 4° Le comité est d'avis que la convention devrait prévoir le contrôle des mesures dans les cas susvisés

5° Le comité estime que l'application de l'article 16 du pacte doit rester entière et que la convention envisagée doit avoir pour effet' d'en faciliter l'application. La mise en "œuvre des principes indiqués demandera une étude approfondie, en raison de nombreux points délicats à résoudre. Le meilleur parti à prendre serait de prier le conseil de constituer à cet effet un comité spécial avec mission de soumettre son ranporl au conseil en vue de la prochaine session de l'assemblée.

La commission recommandera donc à l'assemblée d'ajourner à l'an prochain.

GENÈVE, 23 septembre. La deuxième commission (questions économiques) a étudié les trois propositions dont elle était saisie. La première, déposée par les Danois et les Suédois, prévoit l'examen des répercussions de la clause de la nation la plus favorisée.

La deuxième proposition, déposée par la délégation de l'Inde, prévoit une enquête sur les causes de la crise agricole et industrielle dans les Indes seulement.

Le délégué du Canada a exprimé ïe vœu que cette enquête fût étendue au monde entier.

Le représentant de l'Italie, M. de Michelis, estime que la crise agricole a deux causes l'augmentation de la production et le fléchissement de la consommation.

En ce qui concerne le chômage, le délégué italien désire que les organisations techniques de la S. D. N. et du B. I. T. étudient le problème sous tous ses aspects. En terminant, M. de Michelis a déclaré qu'il se ralliait à la proposition faite, hier, par M.'Flandin.

Le représentant de la Grande-Bretagne, Miss Lawrence, considère que l'application la plus large de la clause de la nation la plus favorisée, sera favorable à tous les pays.

Miss Lawrence approuve la demande des Etats représentés à la conférence de Varsovie. Elle n'est pas d'avis que l'on accorde un traitement préférentiel aux produits des nations de l'est de l'Europe. Elle présente quelques amendements à la proposition française et demande que l'on procède aussi rapidement que possible à l'enquête demandée par le délégué de l'Inde.

Le représentant de la Tchécoslovaquie estime que les difficultés économiques actuelles ne peuvent plus être étudiées sur le plan national, mais exclusivement sur le plan international.

Abordant la question de la clause de la nation la plus favorisée, l'orateur déclare que la S. D. N. a le devoir d'examiner cette question capitale et n'a plus le droit de repousser l'examen de la vie commerciale internationale, qui n'est plus celle d'avant-guerre. Il y a une nouvelle vie qui demande de nouvelles méthodes.

M. Keller (Suisse) annonce qu'il pourrait adhérer au projet de résolution de la délégation francaise, en faisant une exception en ce qui concerne la création d'un organisme permanent d'arbitrage et de conciliation pour l'application des conventions commerciales.

La commission économique termine sa discussion générale en votant une résolution qui a trait à la demande d'enquête présentée par le délègue de l'Inde, et qui portera sur l'ensemble des causes pour tous les pavs de la crise agricole.

La démission du duc d'Albe démentie Saint-Sébastien, 23 septembre. Le général Berenguer a déclaré aux journalistes que les bruits répandus à l'étranger concernant une prétendue démission du duc d'Albe étaient tout à fait dénués de fondement.

Le due d'Albe, s'entretenant à son tour avec les journalistes, a déclaré « Je suis toujours ministre, quoique quelques gens m'aient prêté l'intention de démissionner je n'ai jamais pensé à une telle chose, que vous pouvez démentir formellement. Je me rendrai demain à Madrid afin de poursuivre l'expédition des affaires en cours au ministère des affaires étrangères. Ce sont précisément ces affaires qui m'ont obligé à prolonger mon séjour à Paris pendant quelques jours. »

Le ministre a terminé en faisant un grand éloge de l'aide très efficace que lui a apportée M. Quinones de Léon, ambassadeur à Paris.

Le roi a retenu à déjeuner le duc d'Albe et le marquis Merry del Val, ambassadeur d'Espagne à Londres.

L'échec de la révolution au Chili

Santiago-du-Chili, 23 septembre. Les ministres de l'intérieur et des affaires étrangères ont déclaré qu'après l'échec de la tentative faite par deux anciens militaires et deux civils pour soulever un régiment, la tranquillité règne dans tout le pays et que les diverses rumeurs contraires qui ont circulé sont sans fondement.

LA POLITIQUE ALLEMANDE Le cabinet du Reich examine son programme financier

Berlin, 23 septembre. Le cabinet d'Empire a commencé cet après-midi l'examen de son programme financier. Les délibérations se poursuivront demain. Le gouvernement espère mettre au point son programme jusqu'à la fin de cette semaine et commencer la semaine prochaine ses pourparlers avec les représentants des partis politiques.

De source bien informée, on précise que le programme gouvernemental comprend, d'une part, les mesures propres à surmonter les difficultés actuelles de la trésorerie, d'autre part, le gouvernement veut dès maintenant prendre des mesures pour l'année budgétaire 1931-32.

Le cabinet d'Empire s'est spécialement occupé aujourd'hui de l'assurance chômage dont les cotisations.seront certainement élevées.

On assure de source autorisée qu'aucun nouvel impôt, ni augmentation d'impôt ne seront décidés pour la couverture du déficit budgétaire. 11 n'est pas question non plus de nouveau monopole. L'EXODE DE L'OR ALLEMAND Berlin, 23 septembre. Au sujet des nouvelles alarmantes parues dans la presse, concernant la vente de 35 millions d'or par la Reichsbank, à la Banque de France, l'Agence Wolff déclare que c'est- une erreur de voir dans cette transaction servant à la régularisation des changes, un signe d'alarme. L'étranger y voit au contraire une résolution énergique de la Reichsbank, de faire tout son possible pour maintenir l'équilibre des cours du change.

Ce serait insensé d'admettre que des crédits étrangers ont été dénoncés dans une grande mesure et que des pourparlers en vue de la conclusion d'emprunts ont échoué, car l'étranger est très calme et a confiance, après comme avant, dans la solidité du crédit allemand. Le grand danger pour le crédit allemand serait la méfiance, transportée par des Allemands eux-mêmes. à; l'étranger, tandis que l'étranger continue à croire au progrès du développement économique de l'Allemagne, même si un changement intervenait dans la situation politique intérieure après les élections. On fait d'ailleurs observer que les demandes en devises ont diminué. Toutefois il n'est naturellement pas exclu que, suivant la situation sur le marché des devises, d'autres ventes d'or aient lieu pour la régularisation des cours du change.

Un paradoxe américain

sur la crise économique mondiale New-York, 23 septembre. M. Julius Klein, secrétaire-adjoint au Département du Commerce, dans une allocution radiodiffusée à travers les Etats-Unis, a déclaré que les barrières douanières de l'Europe, les méfiances et les erreurs nées dans le domaine économique étaient l'origine du récent krach >le la Bourse de New- York, auquel ne devait nullement être imputable, comme on l'avait tout d'abord pensé, la crise industrielle mondiale. L'erreur de l'Europe, a dit M. Klein, est d'avoir voulu adapter à ses propres usages les méthodes industrielles américaines de production, sans avoir un système politique qui permit de vastes répartitions. Une telle méthode ne peut pas être érigée en Europe, où règne la méfiance commerciale entre les Etats.

» Cette, partie du monde s'est vue, en .raison de sa surproduction, dans un *tat de stagnation économique qu'elle chercha à alléger par un dumping des marchandises américaines. De là la débâcle de Wall Street favorisée également par les spéculations européennes nombreuses, dont les fraudes du financier anglais Hatry sont un exemple typique.Ce que ne dit pas M. Klein, c'est que, si les industries européennes n'avaient pas suivi l'impulsion donnée à la production par les Etats-Unis, les industries américaines auraient envahi l'Europe de leurs produits standardisés, et que l'Ancien Continent, déjà rançonné pour des dettes de guerre, eût été entièrement ruiné par l'Amérique

EN CHINE

Les troupes mandchoues à Pékin

Pékin, 23 septembre. Les fonctionnaires mandchous ont pris aujourd'hui la direction des affaires de la ville. L'occupation militaire de la province qui est maintenant terminée n'a donné lieu à aucun incident.

La Chambre de Commerce a publié, aujourd'hui, un manifeste approuvant les déclarations du maréchal Tchang Hsue Liang, gouverneur militaire de la Mandchourie en vue de la cessation des hostilités entre les forces rebelles nordistes et les troupes du gouvernement nationaliste de Nankin.

SHANGHAI, 23 septembre. Les forces nationalistes chinoises. ont infligé une déroute complète aux forces rebelles du nord sur les fronts de Sliaiighaï et de Pingham.

La retraite des troupes du Kuominchun Nankin, 23 septembre. Les troupes du Kuominchun ont commencé, hier, à battre en retraite sur tous les fronts. Elles ont l'intention de prendre position au nord du Fleuve Jaune.

Les troupes du gouvernement se sont emparées de Lan Foug et se disposent à occuper incessamment Cheng Chow, où était installé récemment le quartier général de Feng Yu Hsiang.

EN FINLANDE

Un enlèvement par des communistes

HELSINGFORS, 23 septembre. Des communistes armés ont fait irruption au domicile de M. Winte, secrétaire du tapo (parti anticommuniste). M. Winte a été enlevé et emmené dans une direction inconnue (Sud-Est).

Le chômage en Grande-Bretagne Londres, 23 septembre. D'après les statistiques officielles, publiées ce soir par le ministère du travail, le nombre des chômeurs en GrandeBretagne s'élevait, à la date du 15 septembre, à 2 millions 103.413, soit 36.156 de moins que la semaine précédente, mais 955.894 de plus qu'à la période correspondante de l'année dernière.

Mouvement révolutionnaire en Equateur Buenos-Aires, 23 septembre. Le journal la Prensa publie le texte» d'un manifeste lancé par des éléments révolutionnaires de la République de l'Equateur, actuellement en Argentine, et deman-

dant à leurs partisans de déposer le président

Avora par la force des armes.

Le manifeste en question accuse le président de l'Equateur d'avoir « livré le pays aux impérialistes américains, d'avoir imposé des restrictions à la liberté pubiique et d'avoir étranglé la presse ». On croit savoir que le manifeste révolutionnaire a été envoyé par la voie aérienne, afin d'échapper à la censure.

A LA HAUTE COUR DE LEIPZIG

Trois of ficiers de la Reichswehr

inculpés de haute trahison

BERLIN, 23 septembre. Ce matin a commence, devant le tribunal d'Empire, le procès en haute trahison intenté s.nx trois officiers socialistes-nationalistes de la ?.eichs\vehr, Scheringer, Ludin et Wcndt, de la garnison d'Uim, qui avaient tenté de créer de soi-disant cellules socialistes-nationalistes dans la Reichswehr.

Le palais de justice ainsi que la salle d'audience étaient placés sous une rigoureuse surveillance. Deux cents agents de police étaient repartis dans les bâtiments, de telle sorte qu'ils puissent, en peu d'instants, intervenir en cas de désordres. Le président du tribunal a ouvert les débats en mettant en garde le public, composé notamment de socialistes-nationalistes et de communistes, contre toute manifestation ou troubles.

L'acte d'accusation reproche aux inculpés la préparation d'une entreprise de haute trahison, tendant au renversement de la Constitution par la violence et à la provocation à l'insubordination. Les accusés ont déclaré qu'ils ne se considéraient pas coupables.

Le lieutenant Scheringer a déclaré notamment « Ce n'est pas un mécontentement momentané qui nous a gagnés. Mais ce que nous ressentions, c'était l'état d'esprit que l'on remarquait déjà, depuis des années, dans toute la Reichswehr et qui dominait en nous toutes les autres manières de penser. »

Le lieutenant Ludin a déclaré également que cet état d'esprit ne s'était pas seulement développé durant les derniers mois. Pendant toutes les années de service qu'il a passées à la Reichswehr, il existait déjà. « Nous croyions être persuadés, a-t-il dit, que diverses mesures ordonnées par le gouvernement du Reich, sous la pression du traité de Versailles, ne correspondaient pas à la volonté du peuple. Nous étions aussi d'avis que les ordonnances du ministre de la Reichswehr ne correspondaient pas à la volonté du peuple allemand. Nous qui sommes jeunes, nous nous croyions obligés d'exprimer notre conception à nos supérieurs. Nous ne voulions pas nous révolter; ni nous mutiner. mais nous voulions montrer que la jeunesse dans l'armée savait vraiment agir avec discernement. »

Répondant à une question du président, le lieulenant Scheringer a déclaré que la Reichswehr était la souche d'où sortirait la future armée de libération.

Questionné sur le but d'un voyage à Munich, l'inculpé Ludin a répondu qu'il s'agissait de se renseigner sur les buts du parti socialiste national. <.< Nous apprimes là, a-t-il dit, que les buts du parti ne pouvaient être atteints que par la voie légale, au moyen d'une union des associations nationales et de la Reichswehr. »

L'inculpé a reconnu qu'il s'était déclaré prêt à faire de la propagande au sein du corps des officiers en faveur du parti de Hitler.

Le président lui a demandé ce qu'il entendait par libération nationale. Il a répondu « La libération par la force des armes ».

« Nous ne pouvons avoir, a-t-il ajouté, aucune confiance dans le gouvernement de cette république qui est uniquement orientée vers le pacifisme et ne défend pas les intérêts de l'armée. » Parlant de son voyage à Berlin et de l'entretien qu'il a eu avec plusieurs autres officiers de la Reichswehr convoqués par lui, Ludin a déclaré qu'il s'agissait de savoir quelle attitude la Reichswehr devait adopter si les socialistes nationaux arrivaient au pouvoir. Le dernier moyen serait de renverser le gouvernement actuel.

Son opinion est partagée par l'ensemble du corps des officiers de l'armée.

Le tribunal a fait droit à une requête de l'un des défenseurs demandant l'audition d'Adolphe Hillar- ̃ Ce dernier sera cité d'urgence pour jeudi matin.

Les porteurs anglais de rentes françaises demandent à être remboursés en or

Londres, 23 septembre. On annonce officiellement que le gouvernement britannique a adressé, au gouvernement français une note concernant les revendications mises en avant par les détenteurs britanniques de rentes françaises souscrites à Londres en 1915, 1916, 1917 et 1918. On sait que ces détenteurs réclament une indemnité, par suite de la stabilisation du franc au taux de 125 francs par livre sterling. Ils allèguent que les bons en question avant été souscrits à Londres, en francs or, devraient être en conséquence remboursés au même cours.

On croit savoir que la note britannique a été envoyée à Paris sur l'initiative de M. Philip Snowden, chancelier, de l'Echiquier.

Staline serait atteint de troubles mentaux Londres, 23 septembre. La Morning Posl écrit que, selon des informations reçues à Londres, Staline aurait donné récemment des signes d'instabilité mentale. Une commission de specialistes, nommée pour l'examiner, aurait fait un rapport confirmant les pires soupçons..

Ln repos complet ayant été prescrit à Staline, ]a direction générale des affaires politiques serait maintenant entre les mains de Molotoff et de Kaganowitch, second et troisième secrétaires du bureau politique.

LES PASSAGES A NIVEAU

L'accident du passage à niveau

du Bois Lichot

Chalon-sur-Saône, 23 septembre. Le terrible accident d'auto qui s'est produit au passage à niveau du bois Lichot, près de Louhana, et qui coûta la vie à quatre personnes aura des suites judiciaires. Le parquet de Chalon a inculpé d'homicide par imprudence le garde-barrière Louis Garnier, quarante-six ans, qui a reconnu qu'après le passage d'un train de marchandises il avait levé ses barrières. L'express de Dijon étant arrivé plus tôt qu'il ne pensait, il n'avait pas eu le temps de manœuvrer son appareil. L'auto était déjà sur les voies. Une auto défonce les barrières

d'un passage à niveau

Boulogne-sur-Mf.r, 23 septembre. Un terrible accident s'est produit la nuit dernière, au passage à niveau de l'embranchement des mines de Courrières, à Billy-Montigny.

Une auto, conduite par M. Clovis Herbo, trentedeux ans, comptable, ayant à bord MM. Charles Lojiguiez, quarante-trois ans Pierre Devoghel, trente-sept ans, et Gaston Van Poucke, tous quatre de Lens, se dirigeait sur Hénin-Liétard. Par suite de l'obscurité, le conducteur ne vit pas que le passage à niveau était fermé. Avec une violence inouïe, la voiture défonça les barrières. M. Charles Lojiguiez fut tué net. Le conducteur a été transporté à l'hôpital d'Hénin-Liétard, ainsi que M. Van Poucke tous deux avaient le crâne fracturé. Dans la matinée, M. Van Poucke est mort M. Herbo est dans le coma. Le quatrième voyageur est sérieusement blessé, mais sa vie ne semble pas en danger.

Une auto surprise par un rapide

en Allemagne

Berlin, 23 septembre. A un passage à niveau sur la ligne de chemin de fer d'Arnbeim-am-Wclt, en Rhénanie, une automobile a été surprise par un I rapide. Les trois occupants ont été tués.

LA VIE RELIGIEUSE

Le service anniversaire de la mort du cardinal Dubois

Il y eut un an hier que mourut le cardinal Dubois. Le service anniversaire pour le repos de son âme sera célébré, à Notre-Dame de Paris, le 25 novembre prochain, sous la présidence du cardinal Verdier et en présence de nombreux archevêques et évêques.

Le dumping soviétique des céréales On télégraphie de Londres

Le dumping systématique du blé russe provoque une crise sériéuse sur le marché anglais. In des membres de la Bourse anglaise des grains a déclaré que la chute des prix qui, depuis plus d'une semaine, s'accentue chaque jour, a été encore plus prononcée aujourd'hui. Le prix du blé a, en effet, marqué le plus bas niveau qui ait jamais été enre- ` gistré. « Les Soviets, a-t-il ajouté, possèdent une véritable flotte de navires porteurs de grains et ils les font décharger sur les divers marchés mondiaiix, suivant les circonstances. Ce dumping place les fermiers anglais dans une situation des plus critiques, »

..M

Le correspondant du Daily Mail à Cardiff dit apprendre de source autorisée que le gouvernement des Soviets a affrété 170 navires, anglais et étrangers, pour le transport d'une cargaison totale de 600.000 tonnes de bois et de céréales qui doivent être déchargées dans les ports britanniques au cours des six prochaines semaines.

Avant la conférence impériale

Le correspondant politique du même journal (Daily Mail) croit savoir que le cabinet travailliste considère comme peu probable l'adoption du plan de contrôle sur les grains, récemment préconise par M. Addison, ministre de l'agriculture. Il est possible, a,joute le correspondant, que le gouvernement se présente devant la conférence impériale. qui doit se réunir le 1" octobre prochain, sans programme défini contre le dumping et attende, avant de prendre une décision quelconque, les premiers résultats des débats de ladite conférence.

Le communisme en Indochine

Hué 22 septembre. Le gouverneur général est arrivé à Hué le 21 septembre, à 10 heures; il a assisté, dans l'après-midi. avec le résident supé- rieur, à la séance du conseil du Comat, au cours de laquelle a été examinée la situation dans la province de Vinh et de Hatinh. Tous les ministres ont assuré le chef de la colonie du loyal concours du gouvernement annamite pour rétablir l'ordre et ramener le calme dans les régions troublées. Le Comat enverra, à cet effet, un délégué a Vinh qui, en accord avec le représentant du résident supérieur, prendra sur place toutes les décisions utiles:

Les événements récents n'ont pas été motives par des revendications tendant à améliorer le sort des populations, mais ont été provoqués par des agitateurs communistes en vue de semer le desordre, de commettre des déprédations et faire échec à l'autorité. “»

Dans les provinces du sud et du centre de l'Annam qu'il a traversées, le gouverneur général a reçu l'assurance des autorités indigènes du bon état d'esprit de la population.

€L <E~lb 1~,

L'Union amicale philomathique a modifié son titre et devient « Paris », œuvre d'éducation, de mutualité et de récréation. Son siège social est à Paris 20, impasse Compoint (!). Tél.: Marcadet 29-70.

,t M. et Mme Georges Leygues ont donne, dans leur propriété de Lamothe, une grande fête au profit du dispensaire antituberculeux de ]'arrondissement de Villeneuve-sur-Lot. M. Marraud, ministre de l'instruction publique, y assistait. La musique du 126° régiment d'infanterie prêtait son concours. Le concert, la kermesse, les jeux les illuminations et les deux bals de 1 après-midi et du soir ont eu le plus vif succès.

•s* La bibliothèque de la Chambre de commerce de Paris, 16, rue de Chateaubriand, est de nouveau ouverte au public, de 9 h. 30 à 12 heures et de .13 h. 30 à 17 heures.

̃s* Le «énéral Gouraud part aujourd'hui pour assister au congrès de l'American Légion, qui se tient à Boston.

Un Baptême Pour le baptême de Bébé, les délicieuses dragées molles de Gouache seront d'un heureux présage. Vous les trouverez chez le grand confiseur, 10, rue Boissy-d'Anglas. Téléphone Elysées 37-09.

][1~!]~i~IC$i~i~'7~1~®i~T~

Au Café du Rond-Point des Champs-Elysées A partir de demain dégustation, a toute heure et jusqu'à deux heures du mi.tin. d'huîtres et crustacés ainsi que de ses spécialités froides et chaudes. Dans le cadre le plus moderne et lemicux situé de Paris. Jean de Paris.

SERVICE POSTAL MARITIME Prochains départs

Alberto: (Whitc Star Line) Liverpool 26, Halifax, 5 octobre.

Balmûkal Casti.f. (Union Castle Line) Southampton 26, Madère 30, Cape Town 13 octobre. PROVIDENCE (Cie Fabre) Marseille 26, Alexandrie 30, Beyrouth 3 octobre.

Upwey-Grangk (Houlders Line) Liverpool 27, Montevideo 15 octobre, Buenos-Aires 16.

Albeht-Voglf.r (Hamburg Amerika Linie) Anvers 27, Cristobal, 17 octobre, Buenaventura 20, Guayaquil 25, Païta 27.

Samaria (Cunard Line) Liverpool 27, NewYork 5 octobre.

Britanni.c (White Star Line) Liverpool 27, XewYork 5 octobre

Hamburg (Hamburg Amerika Liuie) Cherbourg et Southampton 27, New-York 4 octobre. Berengaria (Cunard Line) Cherbourg et Southampton 27, New-York 3 octobre.

George-Washington (United States Lines) Cherbourg et Southampton 27, New-York 5 octobre. Minxetonka (Atlantic Transport Line) Londres el Boulogne 27, New-York 5 octobre.

Sïatendam (Hollaiul Amerika Line) Boulogne et Southampton 27, New-York 4 octobre. Niger (Cie Fraissinel) Marseille 27, Alger 29, Dakar 8/9 octobre, Bathurst 10/11.

City-of-Nagpur (City and Hall Lines) Liverpool 27, pour Bombay et Kurrachée.

NAGOYA (P. and 0. Steam Navig. Cg) Southampton 27, Port-Saïd 9 octobre, Colombo 23. Leicestershire (Bibbg Line) Marseille 27, Port-Saïd 2 octobre, Port-Sudan 5, Colombo 13 Aurania (Cunard Line) Cherbourg et Southampton 27, Québec et Montréal 5 octobre.

Empress-of-Fraxce (Canadian Pacific) Cherbourg et Southampton 27, Québec et Montréal 4 ocl. Westerlan» (Red Star Line) Cherbourg et Southampton 27, Halifax 5 octobre.

Xjassa (Hamburg Amerika Linie) Southampton 27. pour Las Palmas, Walfisb.-Bay, Sao^4t.


Le suffrage universel

et les troglodytes en Turquie Pariant l'autre jour <hi programme politique de Fethy bey, r-ambassadeur à Paris démissionnaire qui se présente maintenant comme le régénérateur de la Turquie, en opposition à Ismet pacha, le président du conseil actuel, je citais un article de ce programme où il est question de l'introduction du suffrage universel, agrémenté de tous les droits politiques accordés aux femmes, et j'ajoutais,: « Quand on sait que les neuf dixièmes du la population turque sont absolument illettrés, que les paysans de i'Anatolie qui forment la masse de la population ne comprendront jamais ce que signi-. fient les mots suffrage universel, ou même le simple mot suffrage, on a le droit de penser que Fethy bey va un peu vite ». Eh bien, je ne croyais pas si bien dire, j'étais même au-dessous de la vérité, car voici que les journaux turcs renchérissent. Ils nous apprennent maintenant qu'il y a des populations troglodytes en Turquie, des populations absolument primitives qui mènent encore la vie des peuples antédiluviens.

̃•̃ ;A ̃ •̃

r Après Erzéroum, dit un des collaborateurs de ÏAkcJwm qui vient de traverser ces régions, plutôt sauvages, les villes commencent à s'effacer du regard, les maisons construites avec de la bouse de vache disparaissent aussi. En vous rapprochant de Bayazid, l'aspect du pays change complètement. La population de cette région est tout à fait primitive. Les habitants vivent comme des taupes dans leurs taupinières creusées dans la terre. Ils assurent tous leurs besoins par ]e troc, Us se couchent et se lèvent dans l'obscurité. faute de bougies et de pétrole. Vous ne pouvez jamais concevoir le genre de vie que ces gens mènent dans ces villages. Un village Mais on ne voit rien, rien qui ressemble à des habitations humaines. Seulement de la fumée s'échappant de quelques tas de terre. On s'arrête devant un de ces tas de terre. Un vieillard sort du trou une odeur nauséabonde s'exhale du trou.

Le vieillard explique « Un cheval a crevé hier, nous n'avons pas jeté la charogne dehors, > Et c'est dans cette taupinière que vit toute la famille de ce vieillard, femme, enfants, petits-enfants. bru, gendre, bêtes, à côte de la charogne du cheval crevé Deux bœufs ruminent dans un coin. un chien de berger sommeille la tête appuyée sur le ventre de la charogne. Tout autour, des poules rôdent en tout sens. »

Le journaliste turc continue son chemin. Monts et vallées sans rencontrer qui vive ni un homme, ni une bête; calme effrayant. Plus loin, les habitants de quelques villages disséminés ça et là mènent la vie la plus misérable. La monnaie dans ces lieux éloignés n'est pas un moyen d'échange. Donnez un peu de pétrole et vous aurez en échange dix poules, mais si vous donnez cinq livres cinquante ou soixante francs il vous serait impossible d'avoir un œuf. Le journaliste rencontra un pâtre. Curieux entretien avec lui. 11 apprend beaucoup de choses, entre autres que la polygamie existe toujours dans ces régions de désolation et de misère. Comment, et la nouvelle de l'abolition de la polygamie en Turquie qui a été tambourinée partout ?

Et voici la conclusion du journaliste turc « Ce pâtre est un spécimen vivant de tous les pâtres et de tous les villageois qui vivent dans l'extrême Est. Ce que pense celui-ci, tous les autres le pensent aussi. Ils n'ont rien à porter sur eux ils ne savent pas parler ils n'ont aucune notion de la vie. Ils sont nus, affamés, mais il ont chacun dans tous les cas quatre femmes ».

Et c'est à ces troglodytes ce mot forme le titre des articles des journaux turcs -<– qu'on accordera maintenant le droit de vote, en application du programme politique de Fethy bey et à toutes les femmes de leurs harems aussi!

'¥-̃ C. C.

Un Congrès des jurisconsultes catholiques Un congrès qui s'adresse à tous ceux que préoccupent la désorganisation de la famille et la baisse de la natalité se tiendra à Pau, les 27, 28 et 29 octobre les jurisconsultes catholiques y étudieront, sous la présidence de M. Louis Guibal, ancien député, « La protection de la famille par la loi ;>. MM. Léon Bérard, ancien ministre de l'instruction publique, sénateur Lamazou-Betbeder et Vallat, députés, prendront la parole à l'assemblée générale du congrès. Dans la matinée du 28, les congressistes se rendront en pèlerinage à Lourdes et y tiendront une séance sous la présidence de Mgr Gerlier, évêque de Lourdes, que le barreau de Paris s'honore d'avoir compte parmi ses membres. Le programme du congrès peut être demandé au secrétariat des jurisconsultes catholiques, 14, quai Tilsitt, à Lyon. Les congressistes bénéficieront sur les réseaux de chemins de fer de réductions dont les programmes indiquent les conditions d'obtention.

LA SITUATION AU NICARAGUA

New-York, 23 septembre. On mande de Mexico à VAssociated Press

Des exilés "nicaraguayens déclarent qu'ils ont reçu des nouvelles annonçant des succès des partisans du général rebelle Sandino, qui ont défait, le 9 septembre, près de Baraguzco, une compagnie de la garde nationale, tuant cinq hommes. Le général Sandino serait blessé.

Feuilleton de FIGARO du 24 sept. 1930 (2)

Parmi les pêcheurs bretons

Je ne pus m'empêcher de sourire la police de Kernéol? un pauvre diable de garde champêtre, bon à bannir les chiens perdus au son du tambour. Et alors, comme ça reprit Paulapaguer plus âprement vous n'en faites pas, vous, de la politique ?. Non ? Sans blague ? Alors ? Tout ce que vous leur donnez, les outils, les couchages, les leçons, la médecine, la bienfaisance et « pis tout ». c'est pas de la politique ?.

Faites-en autant,, nous ne nous en plaindrons pas.

C'est pas notre « busness », et vous le savez bien. Pourquoi on s'est réuni chez vous ? Ecoutez. c'est pourtant logique. le pêcheur, c'est ici qu'on le paume à coup sûr. L'Abri, dame, c'est, censément, instruction, discussion, solidarité, rassemblement et compagnie, c'est l'Abri. quoi Que répondre ? C'était, en effet, logique le meneur s'était emparé sans coup férir d'un auditoire, là il savait le trouver, là où sa parole porterait juste et loin. Paulapaguer s'était tu; dans la pénombre de la salle, je m'aperçus qu'il fixait avec insistance, sur la boutonnière de mon veston, son œil vif, grand ouvert enfin ce fut simple et inattendu la montrant de son gros index boudiné

C'est bien, ça Quel régiment ?.

Sa main droite, à la paume striée de sillons noirs, traces indélébiles du travail, s'était ouverte, les doigts écartés, simplement, largement offerte puis, toujours avec ce même regard lourd insistant. -Je crus qu'il était ivre, mais il ne l'était pas i

LA SALSON 1 SOIRS BASQUES

Plaignons ceux qui viennent à Biarritz comme ils iraient dans n'importe quelie station à la mode. Une plage, un casino, un palace, des night-clubs, suffisent à leur désœuvrement. Ils ignorent le pays basque. Chaque soirée n'est pour eux qu'une soirée de gala. Des lampions électriques éteignent devant leurs yeux la nuit lumineuse. Ils sont comme les oiseaux qu'aveuglent les phares. Mais ils n'ont pas d'ailes.

Soirs basques. L'auto roule entre des collines vertes, d'un vert avivé par les ombres. Un toit triangulaire incline son auvent vers la fraîcheur du sol, tel un grand coquelicot. L'air a le goût un peu acide des fruits. Il y a sur les prés comme un apaisement. L'envie vient d'oublier, d'oublier le bruit, le tumulte, le monde. Fraî- cheur sur le coeur. On attend le seuil d'une maison amie. Allons ensemble vers celle où je suis convié. La Soulc. Dans un village qu'on traverse, l'ombre s'allonge déjà sur le sol où des gars en blanc font de beaux gestes. Les filles et les garçons qui dansent ne sont plus que de mouvantes taches de couleur. C'est dimanche. Un dimanche sans vulgarité. Les guirlandes de papier ont l'air de fleurs et de feuilles, à cause de Ja lumière. La façade de l'église fait trois échancrures aiguës dans la soie du ciel. Un nuage blanc, léger, s'attarde.

Cependant, la nuit vient, piquant des feux aux fenêtres des maisons, sur la montagne.

Et soudain, la route semble finir. La vallée se recroqueville sur ie flanc de deux sombres mamelons. On est arrivé. Tardets. Des danseurs sur la place fêtent notre hôte qui les tutoie et nous les présente. Ce sont It ses amis d'enfance. Et ce gentilhomme basque fraternisant evec ces montagnards évoque toute la simplicité rustique des mœurs de ce pays où la politique n'a pu tuer les traditions.

Et voici la maison des d'Arhampé. Ce n'est pa» un château, pas une villa neuve. Une simple maison basque dans laquelle une famille a vécu depuis des lustres. Les meubles sont patinés par des souvenirs. Ils ont la noblesse des choses demeurées.

C'est sur la hauteur, dans une dépendance, que le repas est servi. On franchit un ponceau sur un ruisseau' endormi. La pente est raide. Mais derrière nous surgit un paysage émouvant, d'une- splendeur un peu farouche, que la sérénité du ciel aurait apaisée. Les pay-ages façonnent les âmes.

La mère de notre hôte nous attend. Son sourire d'accueil crée déjà l'atmosphère de l'hospitalité basque. Les ans n'ont pas courbé son corps. Une gaîté intérieure lui fait une jeunesse.

Nous nous excusons.

J'ai l'habitude. Depuis son retour d'Amérique, Maurice amène ici chaque jour huit ou dix de ses amis. Maurice connaît tout Buenos-Aires, tout Paris et tout Biarritz. Ces Basques Sa bonne humeur rayonnante lui vaut tant d'amitiés.

Une bonne odeur vient de la cuisine. Le chef ne s'in- digne pas de notre invasion. Lui aussi a l'habitude. Il prépare la piperade, ce régal. La cuisine basque, la vraie, est toute saveur et couleur, avec mesure, piment doux, comme le pays.

Pendant le dîner, une sonnerie de trompes monte de la vallée. Ce sont les sonneurs de Tardets qui viennent nous honorer. La nuit vibre, éveillant la légende. Echos de Roncevaux.

Nous allons boire avec les sonneurs. Puis ils viennent dans le salon, comme des amis. De vieilles chansons basques sont reprises en chœur.

« Les trompettes guerrières sonnent et l'on voit au lointain la flotte hollandaise trembler. »

Un chanteur traduit et commente.

Soirs d'Euskaria, vous dissipez l'inquiétude. .Je me souviens encore d'une autre soirée. Sur l'Adour, dans le port de Bayonne, à bord du yacht Monica. M. Soulas, Argentin d'origine basque, recevait aussi ses amis. Il y en avait d'Angleterre, d'Espagne, de Russie, des deux Amériques. Tandis que les verres tintaient. que le jazz explosait, tout était paix et silence autour du yacht. Bayonne commençait de dormir sous~ ses arceaux. Un cargo s'en allait vers la haute mer. Et je songeais à tous les Banques qui sont partis. A tous les étrangers qui viemtentV Rayonnement. Soirs d'Euskaria, vous nous rendez la confiance. Louis Daney.

DE CABOURG

La saison artistique du Casino de Cabourg, qui vient de s'achever sous la direction de M. C. Revil, fut particulièrement brillante.

Une troupe sédentaire, homogène, parfaitement coordonnée, composée d'éléments de premier plan, a rendu possible, par ses qualités professionnelles, cette réussite. Elle était d'ailleurs composée du baryton d'Aurlec, jeune, à la voix chaude et bien timbrée, au jeu sobre et intelligent de la divette Simonne Harriett, parfaite musicienne et chanteuse agréable de la fantaisiste Lisette Isaye, chantant à ravir du petit ténor Bailliez des comiques irrésistibles Gueffier et Lami, qui tous concoururent au succès des représentations données. Un corps de ballet charmant, dirigé par une ancienne étoile de l'Opéra, Mlle Josette Garcia, la nièce et la meilleure élève de la Sandrini. fit valoir la grâce et la science des étoiles, Mlles Tamara Alexandrowa et Géo Martinet.

A chacune des représentations, une vedette vint rehausser l'éclat du spectacle. Ce furent, entre autres André Baugé, Maguy-Warna, Marthe Ferrare, Andrée Vavon, Christiane Dor, Yvonne Yma, Micheline Grandier, Henri Dufreyn, Cécile Sorel, Jules Berry, Suzy Prim, Lilian Greuze, Devoyod, Arquillière, Gabaroche, Hélène Pcrdrière, Musidora, Huguette Duflos, France Martis, etc.

Il convient d'associer à ce succès de la saison de Cabourg les deux collaborateurs de M. Revil le chef d'orchestre M. Louis Kruger et M. Michel Ducros, régisseur de la scène.

Alors, comme ça, vous ne trouvez pas que j'ai « cherré » en les abîmant, les galonnés, les types à ficelle, système Marine et compagnie ?. Dites, vous ne m'en voulez pas ?

Mais non, pourquoi ? Une égratignure. vous avez été aimable, en somme bienveillant même. Mais Paulapaguer ne perçut pas l'ironie son visage s'était soudain étrangement altéré un tic douloureux, une grimace pitoyable avaient clos l'œil vivant, tandis que l'autre, le mort, semblait s'éveiller de son sépulcre et s'emparer de toute sa face àprement il m'interrompit

Aimable, bienveillant ? dites ? Alors, vous « m'achetez », vous aussi?.

Il se tut brusquement, comme si les mots s'étranglaient dans sa gorge il faisait tout a fait sombre maintenant la maison était vide, et l'on n'entendait plus que le tic-tac monotone de la pendule. Oui, peut-être rêvait-il, autrement on irait de l'avant. on les posséderait. et puis. arrangez ça comme vous voudrez, on flanche. ainsi, moi, vous voyez. « c'est un monde, hein » ? hé biçn, « j'aime les aristocrates » 1

Ce jour-là, sans doute, j'entrevis un peu de l'âme populaire peut-être le coup de sonde d'un entretien dans la pénombre confidentielle effleurat-il les remous d'une sensibilité de manieur d'hommes, mais ce que mit en pleine évidence, l'expérience vivante de cette journée, c'est une indubitable certitude si le meneur syndicaliste avait marché droit à l'Abri, c'est qu'il savait bien y rallier l'élite des pêcheurs c'est qu'il savait que sa parole y rendrait un son plus vaste et plus profond c'est au cœur du chêne que s'enfonce la hache c'est au coup de pic que se décèle la veine d'or la main mise accidentelle du socialisme sur une organisation, n'était-ce pas la démonstration péremptoire, et la consécration de son rayonnement, de son prestige, de sa valeur sociale ? Organisation complexe et complète, comme la vie même, dont André Chevrillon contait, en 1921, aux lecteurs de l'Illustration, la naissance et l'enfaacq gs d^s pjges inoubliables, §£ âonj on, sou,-

REVUE DE LA PRESSE

Les cartellistes et cartellisants devant la politique allemande

Les articles et discours de MM. Herriot et Painlevé ont traduit un sensible revirement de l'état d'esprit radical devant l'Allemagne. Mais, dès qu'il est question de radicalisme, on a peine à ne point reconnaître les divisions du parti. Ainsi la « vigilance patriotique » de M. Herriot n'a-t-elle point eu encore d'écho chez M. Daladier. La critique de la République à l'adresse de M. Briand, inspirée par les thèses de M. Blum, allait à la modération du ministre et la feuille daladiériste se ralliait au renversement de la fameuse trilogie le désarmement d'abord, la sécurité ne venant qHi'ensuite et étant d'ailleurs assurée par le pacte Kellogg.

Cette divergence essentielle aurait-elle échappé à VERE NOUVELLE qui s'offre des certitudes fort légères ? '?

L'accord est donc complet entre les chefs républicains, à la fois sur la nécessité de continuer Locarno et de mettre la France à l'abri de toute surprise.

Réaliser toutes les aspirations pacifiques de notre démocratie, mais mettre cette démocratie en sûreté, telle pourrait être la formule qui, résume la volonté des hommes d'Etat de gauche. (La position est d'une haute raison, mais le malentendu du locarnisme a été d'une virulence telle que par exemple le vote des prochains crédits militaires par les radicaux sera

accueilli outre-Rhin comme un abandon de la

politique de Locarno.)

M. Briand trouve un adversaire qui a bien moins de ménagements en la personne de M. Jean Hennessy. Tout arrive. Le patriotisme de M. Hennessy se découvre sans retenue dans le QUOTIDIEN. Première constatation qui ira au cœur de notre ministre des affaires étrangères la faillite des chimères genevoises.

Il apparaît qu'à vouloir trop forcer nn organisme, si bien construit soit-il, on risque de le faire craquer le désir de franchir trop rapidement les étapes est peut-être le défaut de ceux qui voient dans le développement de là Société des

nations la seule mnnièr£<-ric renforcer la- .paix. Il

est- une autre sécurité (fjiie, .les temps, Jiéla* ne nous permettent p;fs d'abandonner: c'est d'avoir, pour faire respecter les' 'droits nationaux des méml bres de la Société, un armement suffisant. Partisan, dès les premières heures et avant même sa naissance, de la Société des nations, j'avoue n'avoir jamais compris et ne pas comprendre aujourd'hui encore quelles pouvaient être la portée, la force et la sincérité de conventions relatives au désarmement ou à la limitation des armements. et notamment des armements aériens ou terrestres.

Où commence l'armement? Quelle en est la limite? Quand les productions industrielle et chimique peuvent fournir presque instantanément aux hommes le moyen (le propager la mort, qui prétendra mesurer l'armement?

Qui oserait affirmer que les clauses des récents traités relatives à la limitation des armements ont été fidèlement respectées, et qu'elles pouvaient l'être?

Ceux qui doutent de l'impossibilité de conclure une' convention précise sur le désarmement ne sont-ils pas éclairés par les palabres qui, à Genève, depuis dix ans, ont été tenus autour de cette question ?

Ce n'est pas tout. M. Hennessy a un mot aussi sur l'opportunité de l'initiative de M. Briand pour Paneurope, il est à souligner Dans l'atmosphère de Genève, où des discours de bonne compagnie s'échangent, tandis que de dangereuses et secrètes intrigues se nouent, où parviennent les retentissants et orgueilleux appels de la race germanique, oit le, fascisme italien, quoique apparemment éloigné, ou le Communisme russe, quoique apparemment écarté, font tout de même sentir leur puissante action; où la Grande-Bretagne poursuit sa politique forcément égoïste d'insulaire, il semble que la proposition de fédération européenne lancée par le gouvernement français ait eu, pour principal effet, de poser, avec une plus grande acuité le problème du désarmement la fédération européenne est entrée dans les limbes des commissions préparatoires, mais le problème du désarmement tend à en sortir.

Contre la France et ses alliés naturels, toutes les rivalités sont dressées.

Contre la France, les ambitions se pressent. Des Etats dont la population s'accroît et qui ne savent comment employer tous leurs membres, dont l'économie est troublée, prétendent redouter la force armée d'une nation peu peuplée, et qui n'a aucun désir de conquête! Nous désarmer, c'est préparer pour eux une proie facile.

Si incrédule que soit le lecteur, cette attaque sans voile contre M. Briand est bien signée de M. Jean Hennessy.

Si l'on passe à 'la REPUBLIQUE, on y voit le socialisme internationaliste s'étaler. M. Jacques Keyser apporte une incomparable conclusion aux élections allemandes où il n'est point question de sûreté nationale et d'armements défensifs

Il y a régression des pacifistes; il y a progression des nationalistes,€'est incontestable. Le nationalisme allemand atteint le niveau de 1924. Pour amener une décrue, il a fallu pratiquer une sage politique de détente et de collaboration. En face d'une crise nouvelle, le remède à administrer doit être le même.

Ah si le collaborateur de M. Daladier avait dans sa poche la Sarre, le couloir polonais, la Haute-Silésie, la créance du plan Young, ce ne serait pas long.

drait esquisser ici, non plus les destinées exceptionnelles d'une journée de tumulte, mais l'existence normale et quotidienne, lorsque le déclin de la saison de pêche y fait affluer le peuple marin. C'est aux premiers jours de novembre ciel maussade les grains qui montent annoncent le coup de vent.

Les vents ont « surouestc » c'est un « temps vert», observent les vieux marins accotés au mur du phare, au bout de la jetée et, hochant la tête il verdira encore.

Cette mer aux vagues glauques, endimanchées de collerettes blanches qui, ce matin encore, gambadait et jouait lourdement à rouler et bousculer les barques, se noircit et se fronce elle entreheurte maintenant, avec un grand rire sauvage, de lourdes vagues d'ardoises et de schistes dorés dont les crêtes neigeuses s'effritent au vent plus fort, plus froid.

L'espace d'un instant, les bateaux en fuite vers le port se profilent en ombres chinoises dessinées à 1 encre de Chine, sur j'écran lumineux, d'un vert livide, qui cerne encore le couchant un « gars de Lechiagad vient d'amener son flèche «en pagaye » et se balance en une danse hagarde à la cime de la dernière vague à l'horizon, une barque de Poulgoazec a largué ses écoutes « en bande et bat des ailes comme un oiseau blessé. Ceux de terre ont les yeux fixés sur la barre, cette redoutable barre d'Audierne, si prompte à briser, et qui, déjà, s'enfle, exhausse une échine squameuse, marquetée de, remous neigeux. Dans une heure, on ne passera plus et les retardataires fuiront en perdition à travers l'immense baie, et ses redoutables abords qui, sur quarante lieues de côte, de Douarnenez à Guilvinec, n'offrent pas un abri sûr.

Déjà les plus vites ont doublé la Gamelle ils accourent, à grand largue, moteur en marche, bousculant de l'étrave la meute liquide qui saute en aboyant à leurs flancs, s'engagent à toute vitesse dans le sinueux canal, bondissent en saut-demouton par-dessus les hauts fonds, raclant le sable de leurs guilles.j, N'imgorte. Ils ne font pas de

Il v a deux tendances radicales, La confiance qu'a l'éditorialiste de l'AMI DU PEUPLE du matin dans le revirement de MM. Herriot et Painlevé lui fait écrire

Voilà donc deux hommes, deux parmi les trois as du Cartel de 1924, qui renient, au nom de la sécurité française, celui qui complétait le triumvirat célèbre du 11 mai.

Ce que nous ne parvenons pas à concevoir, c'est que des hommes comme Herriot et Painlevé, et bien d'autres, qui après tout, sont des nationaux, aient pu songer à gouverner la France avec la collaboration étroite du métèque et internationaliste Blum.

Faire campagne pour que la France désarme seule, en tout cas la première, s'offrant ainsi comme une proie facile aux convoitises de l'étranger, cela n'a qu'un nom c'est de la trahison. U semble qu'Herriot et Painlevé commene.ent à' lo comprendre. Nous n'eu dirons pas autant de Daladier dont le journal continue à prétendre que les véritables responsables des menaces de guerre sont les « chauvins » français qui ont l'audace de mener « campagne contre M. Briand ».

Le congrès de Grenohle promet un bel inté-

Devant les misérables embarras et divisions du parti radical, le point de vue de M. Charles Maurras {ACTION FRANÇAISE) est ferme et clair

11 n'y a d'apparence de réalité que dans l'un de ces deux partis ou montrer de l'énergie et mettre Briand en accusation; ou mandater Briand pour ajouter des concessions nouvelles à ses con cessions de toujours.

Cette dernière thèse est tenue avec une passion puérile par la presse briande. Arrosée, engraissée, elle veut reboire, elle veut remanger. Toute sa raison est là viscérale, stomacale, ventrale. Cette presse sans cœur, et sans esprit, exhibe ses entrailles béantes. Tant que Briand sera placé pour l'empil'rer, tant que Briand pourra jeter les fonds secrets de notre propagande extérieure dans la gueule des dévorants de l'intérieur, leur sale gueule clamera tous les mots qu'il veut qu'elle clame

• Cédons, cédons. Et continuons à céder! Il est cependant clair qu'un peuple étable au point est l'Allemagne, et constitué comme il l'est, excité comme il l'a été par le mauvais traité, en possession d'une supériorité numérique énorme, ne îpeut être arrêté- dans sa voie d'agressions el. d'invasions brutales que par une crainte: la crainte de la violente résistance qu'elle a rencontrée de 1914 à 1918. Que la résistance s'annonce faible, c'est pour elle l'encouragement le plus fort. Nos pacifistes à la Herriot auront de la peine à obscurcir l'éclat de cette vérité par un rappel aux nécessités de persévérance locarniste. A GENEVE

A la lumière du débat sur les minorités i la S.D.N., Locarno trouve une fois de plus sa vraie figure. La presse allemande s'étonne ou gémit de la résistance pourtant modérée de M. Briand à la manœuvre Curtius et KochWeser.

La GERMANIA plaide pour notre ministre L'intérêt que Briand prend subitement à la question des minorités nationales s'explique par le fait que, sous l'impression des élections allemandes, l'opposition contre lui s'accroit en France. Il voulait s'assurer également un écho dans les milieux de la droite française en formulant, d'une manière particulièrement tranchante, le point de vue français relatif aux minorités. Le gouvernement allemand ne s'était pas proposé, pour cette année, une grande offensive en faveur des minorités. Par l'intervention de Briand, il a quand même fallu s'y résoudre, et les représentants de l'Allemagne seront désormais obligés de sortir, plus énergiquement que jus«.ujici,dc leur réserve.

La Germanlà nous semble traduire parfaite-^ ment l'état de l'opinion allemande acquise a Locarno. OutfB^Rl|in on a souvent l'occasion d'entendre le Tôcafniste « moyen », professeur ou fonctionnaire, déclarer « Monsieur Briand est un homme d'Etai intelligent, il a compris qu'on ne pouvait laisser l'Allemagne souffrir des injustices et nous priver de terres allemandes comme le corridor polonais et la HauteSilésie. » M. Briand est l'homme de confiance des Allemands qui se déclarent pour la paix mais entendent y trouver la satisfaction de leurs aspirations nationales.

La GAZETTE GENERALE DE L'ALLEMAGNE est fort mécontente

Une fois de plus, la France s'est montrée dans le monde comme la puissance la plus comme l'obstacle à la justice, comme l'adoratrice de ia violence elle n'éprouve de respect pas même pour les droits de l'homme les plus élémentaires, la religion et la langue. Il est très curieux de noter que, par suite des élections allemandes, la position politique de Briand se trouve menacée. En fait, elle aurait dû se trouver extraordinairement renforcée, car ce n'est pas la trop grande bienveillance mais une insuffisante bienveillance pour les légitimes revendications de l'Allemagne ce n'est pas l'évacuation de la Rhénanie, mais l'évacuation trop tar| tive, qui ont dressé h?s masses allemandes contre le rapprochement franco-allemand.

C'est aussi, on l'a vu plus haut, l'opinion de la ,R1publiqll,c daladiériste. Seulement la Gazette Générale de 'l'Allemagne se nourrit de pangermanisme. ECHOS DE PROVINCE

Les résultats des élections allemandes n'ont pas échappé à la presse de province et de très vifs appels à la prudence s'élèvent.

M. René Haudot, de l'ECHO DE LA MARNE-, s'arme d'une ironie cruelle, mais qui n'est que trop fondée

cas » dans une heure la mer sera intenable mais eux sont « à jour » ils sont au port Le port. Après le tumulte glacé des vagues et des embruns, il apparaît dans son intimité close et tutélaire comme une grande chambre tiède et parquetée d'eau où le vent, exclu par les bourrelets des quais et des jetées, s'est apaisé soudain. Celui-ci s'enfonce très avant dans les terres, par l'estuaire étroit du Goyen sur !a rive droite, les quais modernisés et bien achadandés et les maisons cossues d'Audierne sur l'autre se pressent humblement, autour de la vieille église, les pauvres toits gris de Poulgoazec.

Or, ce long ruban d'eau tranquille est déjà fort encombré de tant de robustes barques noires qui, de loin, semblent couronnées de fleurs par leurs équipages vêtus de vareuses rouge brique, rose passé, bistre, bleu ciel.

Dans leur hâte, elles ont mouillé pêle-mêle et un peu au hasard puis, comme les eaux ont baissé rapidement, chaque coque s'est flanquée de ses accores qui la maintiendront en équilibre sur le sable les bateaux ont « béquille » ils flottent côte à côte et parce que, même dans le port, la mer < travaille encore, prêts à s'entre-choquer en engageant leurs beauprés, entremêlant leurs chaînes, « survolant et « surpattant leurs ancres. D'étranges accords, se scellent, en cette confusion.

L'Esclave-des-Ricïies caresse de ses bords le Sursum-Corda le Berceau-de-V Exploité taquine de son bout-dehors les haubans du Deo-Juvanfc et le Lenitje, qui porte blason blanc à la faucille et au marteau entre-croisés sur le champ bleu de sa voile, embrasse de son étrave VAmour-du-SacrcCœur tandis que "reléguée à l'écart, échouée à même les sables, cette grande barque exhale comme un repentir l'aveu de son nom singulier Châliment-de-V Impureté.

Le triste soleil de novembre s'est éteint et la nuit tombe dans l'odeur sombre et froide de la mer, les fumées du soir insinuent la caresse de leur émouvant et tendre parfum de racines de pins calculées, de. s peii-scpssou la Qéuômbre

M Briand ne peut certes empêcher l'Allemagne de nous faire la guerre, mais il peut, pendant un temps, lui enlever les raisons de nous la faire. 11 reste certainement dans le sac aux abandons assez de choses pour contraindre notre voisine à patienter, au moins jusqu'à la mort de M. Briand, sa mort parlementaire, bien entendu. Après, ses successeurs acculés aux limites des concessions se debrouilleront comme ils pourront. Pendant ce temps, M. Briand, retiré à Cocherel avec son auréole pacifiste, se campera dans l'histoire comme l'archange éblouissant de la paix.

Au cours de la guerre, M. Painlevé, après notre échec du Chemin-dcs-Dàmes et la mise en disgrâce du «énéral Nivelle, s'était écrié à la tribune de la Chambre que c'en était fini des offensives de grand style à conceptions napoléoniennes et qu'à l'avenir on se contenterait d'objectifs plus modestes. Les Mlemands profitèrent du renseignement. Ils prirent leur temps pour monter cette attaque colossale qui, en 1918, faillit, à leur avantage, mettre fin aux hostilités.

Voilà maintenant ces mêmes Allemands assurés que, tant que M. Briand sera au pouvoir, ils peuvent tout nous demander. Ils ne se gêneront pas. Au lieu de leur signifier que nous étions au bout de nos concessions et de marquer le coup d'arrêt répondant aux clameurs guerrières que l'on entendait de l'autre côlé du Rhin, c'est tout le contraire que M. Briand a fait.

Vraiment, les résultats de la politique de M. Briand n'ont pas jusqu'ici pour résultat de mettre la tranquillité dans les esprits. La liberté de la presse

Au tableau, d'honneur de l'indépendance de la presse et de la loyauté de son information, A LA PAGE, l'hebdomadaire sportif de la rue Bayard

Le 12 juillet 1929, Costes et Bellonte faisaient leur première tentative avec le Point-d'interrogation. Cet avion, il ne faut pas l'oublier, fut construit sur l'ordre de M. Coty qui en fit don par la suite à Costes pour lui permettre de tenter les records qu'il détient maintenant et de réussir, en 1930, le raid Paris-New-York pour lequel l'appareil a clé construit.

Le même scrupule hautement honorable anime LE MONDE LATIN, que dirige M. Npble-Gex Il

Faut-il rappeler que le merveilleux Poinl-d' interrogation fut commandé par M. Coty pour tenter la traversée l'Atlantique. Le directeur dit Figaro en fit don à Dieudonnc Costes. Après avoir doté l'aviation française d'un instrument -de premier ordre, Coty désignait l'homme qui devait s'en servir.

Il mérite d'être associé au triomphe.

Les dérisoires conspirations du silence n'ont certes point l'applaudissement du COURRIER DE L'ALLIER

Quels griefs nos gouvernements peuvent-ils avoir, contre M. Coty

Des concurrents le détestent. Il vend un prix modique son journal, dont l'expansion a été rapide et formidable. Le public a fêté cette innovation et a bien accueilli ce succès.

M. Coty ne rompt pas en visière au régime actuel. Il ne sert pas la cause d'un prétendant. Ses coups visent haut et portent loin. Il dénonce des abus, des excès, des tripotages, des scandales financiers, des attentats contre l'épargne ou le patrimoine national. La République aux mains pures ne devrait pas s'en offenser.

Ce qui est pire que le silence, c'est-à-dire l'exploitation frauduleuse du succès, trouve chez nombre de nos confrères des commentaires sévères. Deux témoignages pour aujourd'hui celui de la GAZETTE DE BRUXEL* LES

On affirme que Costes et Bellonte ont réservé, moyennant un bon prix, cela va sans dire, à un journal parisien, le droit exclusif de publier ie récit de leur randonnée. A quel journal Au Figaro de M. Coty, qui a payé l'avion vainqueur et les frais du voyage ? Non pas. A l'Intransigeantj le plus acharné adversaire et concurrent de M. Coty Celui-ci n'a pas attendu d'autre remercie-! me ni.

Et le CRI DU JOUR des « points d'interrogalion » gênants pour le ministre de l'air M. Laurent-Eynac communiqué à la presse unei note singulière, qui fixe à cinq millions les frais du raid de Costes et en attribue la plus grande part à l'Etat. ZD

Or, M. François Coty publie deux lettres autographes de Costes, attestant que l'avion, spéciale- ment construit pour son objet, a coûté, prix d'achat et transformation, un million trente mille francs. intégralement versés par M. Coty, les reçus du pilote en font foi. Ce dernier, en juin 1929, il lai veille de la première tentative de traversée do l'Atlantique, déclarait que l'appareil était « au degré de perfection le plus complet », « digne de tous les éloges et capable de tous les exploits». Depuis lors, le pilote et son commanditaire ont rompu leurs relations, en raison de l'acte d'ingratitude de Costes, qui réserva à M. Bailby le récit de sou exploit manqué depuis lors, le Point-d'Interrogalion a battu les records de distance, de durée et de vitesse au compte des constructeurs de l'apj pareil et des moteurs.

A quelles dépenses furent donc employés les millions que M. Laurent-Eynac affirme avoir mis à la disposition de l'aviateur ?

Voilà un nouveau et inquiétant point d'interro» gation.

Si les collaborateurs du Cri du Jour lisent l'Ami du Peuple, leur point d'interrogation se transformera très vite en point d'exclamation Ajoutons enfin que NEUILLY-JOURNAL, dont nous louions hier l'impartialité, est lo journal de M. Edmond Bloud, maire de Neuilly, el députe de la Seine.

Maurice Noël.

est lucide et vivante, l'eau frissonnante s'allume de reflets c'est que chaque barque étrangère à ce port vient son foyer, mijote la daube (le poissons corsés d'oignons et de pommes de terre, la « cotriade a.

Peu à peu, tandis que descendait l'ombre noc-> lurne, le présent semblait s'aholir les apparaux du port, les hôtels et les débits des quais, témoins de ce présent, se sont effacés les tares de la laideur industrieuse se sont rachetées dans la grande rédemption de la nuit.

Seuls demeurent, des hommes et des choses, les traits essentiels ces marins, vêtus de bourgerons bleus ou bistres, ont cessé d'être les soldats uniformes à la livrée de l'usine sur leurs visages et dans leurs attitudes, la nuit fait apparaître, comme au mystérieux révélateur d'une plaque dans la chambre noire, les traits indélébiles des anciennes peuplades, de ces clans celtiques, jaloux, particularistes et toujours prêts à en venir aux mains pour sauvegarder leurs droits.

Voici le clan de cette terre, celui des « goyenanizi », des hommes de ce « goyen » que la géographie administrative qui partout, et ici plus qu'ailleurs, violente le parler populaire, a dénommé « Audierne » trapus et bruns, loyaux et frustes, honnêtes et prompts il s'encourager d'un cordial « Urroâ, urroà », ces Celtes hispanisés s'apparentent d'accent et de physique à leurs cous.' s les Cellibères de Galice; tout comme les collines pelées du Ferrol évoluent les hautes landes de la rade de Brest.

Très proches de terroir, mais si distants d'allures et de mœurs, rusés, entreprenants, progressistes, les « Douarnenistes » arborent de solides- vareuses de toile bistre leurs mâles carrures jurent avec ces voix aiguës de vieilles femmes, qui vous clouent aux oreilles leur glupisasnt « Iyyah Iyyah gast garun ».

Albert Touchard.

(4 suivre,.)


LETTRES, THEATRE, SCIENCES ET ARTS

Les grandes manœuvres au temps du Grand I(pi

Ce que Saint-Simon appelait l'image de la guerre, c'est-à-dire les grandes manœuvres d'armée, vient d'avoir lieu en Lorraine. Cette image s'est accomplie gravement, laborieusement on ne tergiverse pas, en effet, avec ce qui est la sauvegarde même du pays.

On ne tergiversait pas non plus, autrefois mais les grandes manœuvres se réduisaient, plutôt, à n'être qu'une superbe parade.

Cela d'autant plus que Louis XIV, âgé de soixante ans, aimait encore et voulait, comme un jeune prince frémissant,, plaire à Mme de Maintenon qui, malgré ses soixante-trois hivers, s'appliquait sans cesse à être toute grâce et tout charme.

Que fallait-il. donc offrir de palpitant à cette maîtresse que le roi avait fini par épouser secrètetes les dames de la Cour, toute la foule des courtisans.

Ces grandes manoeuvres eurent lieu à Compiègne, en 1698. Il y avait soixante mille soldats. C'est le jeudi 28 août 1698 que commença l'exode de la Cour tle Versailles vers Compiègne. Louis XIV y arriva le samedi, après avoir couché à Chantilly. Comme il avait fait comprendre qu'il serait heureux que tout se passât magnifiquement, tout avait été préparé ainsi que pour une fête.

Pour loger tous les invités royaux, le maréchal de Boufflers avait fait installer des tentes et des maisons de bois. Toutes ces habitations avaient été meublées avec le goût le plus exquis et ornées avec les attentions les plus galantes. Alors « Louis XIV s'amusa fort à voir et à faire voir les troupes aux dames, leurs distributions, en un mot tous les détails d'un camp ».

On était venu pour assister « l'image de la guerre». Louis XIV en offrit le spectacle il ordonna le siège de Compiègne. L'assaut eut lieu le "13 septembre. C'était cinq heures de l'après-midi. Le temps lui-même se mêla à la fête, Le ciel était ;meht.? Rien de moins que de vives opérations mi"litaires, fort bien ordonnées,, puisqu'elles devaient ̃avoir lieu sous le commandement du maréchal do Boufflers, mais aussi les plus opulentes, puisque devaient y assister, outre Mme de Maintenon, touclair, le soleil très doux, l'air était tiède. Il y avait, de plain-pied, avec l'appartement du roi, un ancien rempart qui dominait toute la campagne. De là, on pouvait suivre toutes les péripéties de l'assaut. Le roi, les dames, les courtisans et les étrangers de marque se rendirent ensemble sur le vieux rempart.

L'armée donnait un spectacle grandiose. A leur tour et en même temps Louis XIV, Mme de Maintenon et leur élégante compagnie donnèrent aux soldats une curieuse représentation. Mme de Maintenon était en face de la plaine et des troupes, dans sa chaise à porteurs. A gauche était assise la duchesse de Bourgogne; du même côté, en arrière et en demi-cercle, la princesse de Conti et toutes les dames de la cour derrière elles, des hommes. A la glace droite de la chaise, le roi, debout, et, un peu en arrière, encore en demi-cercle, les principaux personnages du royaume.

Saint-Simon, prince des reporters, modèle dont devraient s'inspirer tous les «envoyés spéciaux», relate

« Le roi était presque toujours découvert, et, à tous moments, se baissait vers la glace pour parler saà Mme de Masitenon, pour lui expliquer tout ee: qu'elle voyait et les raisons de chaque chose. A chaque fois, elle avait l'honnêteté d'ouvrir sa 1 glace de trois ou quatre doigts, jamais de la moitié. Quelquefois, elle ouvrait pour quelque question au roi mais presque toujours c'était lui qui, sans attendre qu'elle lui parlât, se baissait tout à fait pour l'instruire, et quelquefois qu'elle n'y prenait pas garde il frappait contre la glace pour la faire ouvrir.

» Jamais il ne parla qu'à elle, hors pour donner des ordres en peu de mots et rarement, et quelques réponses à Mme la duchesse de Bourgogne, qui tâchait de se faire parler, et à qui Mme de Maintenon montrait et parlait par signes, de temps en temps, sans ouvrir la glace de devant, à travers laquelle la jeune princesse lui criait quelque mot. » Seulement, il n'est si beau spectacle qui ne finisse par causer quelque lassitude. C'était à l'instant où la ville capitulait. Mme de Maintenon manifesta le désir de se retirer. Les porteurs vinrent, qui soulevèrent et emportèrent sa chaise. Peu de temps après, le roi aussi s'en alla. La duchesse de Bourgogne et les autres invités suivirent l'exemple. Mme de Maintenon vécut assez retirée. « Elle se produisit fort peu au camp et toujours dans son carrosse, avec trois ou quatre familières, et alla voir, une fois ou deux, le maréchal de Boufflers .'• et les merveilles du prodige de sa magnificence. » Louis XIV quitta Compiègne le lundi 22 septem¥'hre. Il demeura le lendemain à Chantilly et arriva le mercredi suivant à Versailles. Toutes les dames de la Cour vinrent l'y rejoindre. Elles avaient été heureuses d'assister « à l'image de la guerre ». En guise de remerciements, le roi fit donner cinq cents livres de gratification à chaque capitaine de cavalerie et de dragons, trois cents à chaque capitaine d'infanterie, aux majors de tous les régiments, et cent mille au maréchal de Boufflers. Saint-Simon constate « Tout cela coûta, ensemble, beaucoup, mais, pour chacun, ce fut une goutte d'eau. »

A ces fastueuses grandes manoeuvres, officiers et maréchaux s'étaient presque ruinés. Mais le RoiSoleil avait ainsi fourni quelque distraction à sa secrète épouse et à ses «familières».

Puis Mme de Maintenon qui, quarante-cinq ans auparavant, sans fortune, sans avenir, disait-on, consentait à épouser ce pauvre infirme de Scarron, « un raccourci de la misère humaines, s'assit dans son fauteuil de damas rouge, fermé de trois côtés, daigna recevoir les grands seigneurs, les ministres, les maréchaux, et, telle une véritable reine, `,, témoigna de sa satisfaction.

Jean Mélia.

LA PROTECTION DE CAPRI

Un comité patronné et soutenu par le gouvernement fasciste vient de se fonder à Capri, sous la direction du professeur Maperi, afin de protéger le site admirable de l'île, qui fait l'admiration des touristes du monde entier et d'où l'on a une vue magnifique du golfe de Naplès.

Ce comité se propose également de restaurer les nombreux souvenirs de l'antiquité et les richesses artistiques qui ont rendu Capri justement célèbre. On sait que l'ile de la mer Tyrrhénienne fut le séjour favori de l'empereur Auguste, qui y fit construire des palais et des thermes. Plus tard, Tibère passa à Capri les dix dernières années de sa vie et poursuivit l'oeuvre de son prédécesseur. Il fit ériger notamment douze villas en l'honneur des dieux de l'Olympe. A la visite de ces ruines fameuses s'ajoute l'attrait toujours vif de la « Grotte d'Azur » et de ses curieux effets de décomposition de la lumière solaire.

L'évolution de la..̃ locomotive. a)

V. Hj'éleatri£ica,tion des grands réseaux

Il nous reste à examiner comment, en France, a été résolu le problème de l'électrifi- ̃) cation de certaines lignes des grands réseaux de chemins de fer, suivant quel mode la solu<tion a été appliquée, à quel point on en est arrivé de cette application, ce que l'on peut entrevoir de son développement futur, questions qui intéressent au plus haut chef la prospérité de notre pays dans l'avenir.

Ce n'est pas ici le lieu d'entrer dans la dis- cussion des avantages respectifs des trois genres de courant directement utilisables en traction électrique le continu, le monophasé et le triphasé. Qu'il nous suffise de dire qu'en ce qui concerne la France, après un examen approfondi de toutes les circonstances y intervenant, la question a été définitivement tranchée par l'adoption du continu à 1500 volts. Le courant triphasé à très haute tension venant des grandes centrales électriques est transformé en courant du genre et de la tension voulus pour le fonctionnement des locomotives par de petites usines, dites sous-staîions, échelonnées tout le long de la ligne, à des distances les unes des autres dépendant de la grandeur de la tension. Pour le courant continu à 1500 volts,,l'espacement de ces sousstations a pu être fixé à 20 km.

Mais comment assurer l'alimentation du système en énergie électrique ? Une idée qui semble a priori assez séduisante est celle qui consisterait à emmagasiner l'énergie produite par les usines, hydro-électriques ou thermiques, en des sortes de réservoirs électriques l'on viendrait puiser suivant les besoins mais, en l'état actuel de la science, une telle conception n'est pas réalisable. Il existe, il est vrai, des appareils, d'ailleurs bien connus, dits accumulateurs, où l'énergie électrique est transformée en énergie chimique qui, elle, est emmagasinable et peut être ensuite retransformée en énergie électrique malheureusement, ce processus n'est pratiquement utilisable que pour des quantités minimes d'énergie. Arrivera-t-on dans l'avenir à découvrir le moyen de réaliser en grand l'emmagasinage de l'énergie électrique ? Ce n'est pas impossible, et ce sera là un heureux progrès. Mais il ne saurait en être question quant à présent. La nécessité s'impose d'une alimentation permanente des sous-stations de traction.

On s'est dès lors trouvé en face de cette alternative de créer des systèmes spéciaux de transport d'électricité pour alimenter les lignes de chemin de fer, ou de lier cette alimentation à l'électrification générale établie en vue de satisfaire à tous les besoins industriels du, pays. C'est, à la suite d'études mûrement ré(1) Voir Figaro des 27 et 31 aQÛt, 8 et 14 septembre.

L'UNITE DE L'ËXPmiTION ANVERSOÏSE

"-¡,CO,' r

La Belgique, avant la guerre, devenait la terre d'élection des expositions « universelles et internationales ». Elle y contentait un goût des voyages sans déplacement et elle y voyait la facilité d'échanges commerciaux sans excès de risque. De la concurrence chez elle des spécialités et des fiertés étrangères elle prenait le sentiment de sa destinée laborieuse, servie par une situation géographique exceptionnelle. Hélas elle y oubliait en même temps son triste privilège de terre convoitée et ses vieilles expériences de champ clos.

Bruxelles deux fois, Anvers deux fois, Liège et Gand une fois, de 1888 à 1913, furent le siège de ces « grands concours appelés bientôt « World's fair ». Des particuliers en faisaient les premiers fonds, les villes cédaient le terrain, le gouvernement autorisait une loterie. Les exposants et le public assuraient la rémunération de ce capital, géré par l'industrie et le zèle d'une administration bénévole. Heureux temps où la politique étrangère de la nation se limitait à trouver des débouchés à ses prorduits et à pratiquer les devoirs d'une hospitalité fastueuse aux pays dont la neutralité belge avait à respecter jusqu'aux appétits dangereux! La France triomphait par la séduction de toutes ses élégances. L'Angleterre se tenait sur une réserve protocolaire. L'Allemagne ne fit un véritable effort qu'en 1910, à l'exposition de Bruxelles du Solbosch, si tragiquement interrompue par l'incendie. Ensuite, quelque fatigue se remarqua. Liège et Gand ne furent point des succès financiers. Les participations étrangères se montrèrent plus en façade. Par contre, la Belgique se révélait davantage à ellemême. Les côtés scientifiques, artistiques, voire littéraires, de son activité furent mis en valeur. On peut reprendre utilement aujourd'hui des catalogues, des publications, des conférences et des manifestations dont les dernières expositions universelles furent l'occasion quand on cherche l'aspect de la Belgique morale d'avant guerre. Plus d'un trait y annonce la force qui permit à la nation de traverser l'épreuve cruciale.

Une fois les plaies pansées, dans la renaissance du pays grandi, on se remit à souhaiter le retour à la tradition des exhibitions périodiques. L'approche de l'année fatidique du centenaire suscita l'émulation des cités rivales. II eût semblé que Bruxelles dût l'emporter. Tout l'indiquait, et le renforcement de son rôle de capitale siège d'un gouvernement plus centralisé et la crise de croissance de son agglomération, mutilée au centre sans doute par les incertitudes d'une jonction ferroviaire laissée en suspens, mais débordant du côté de la forêt de Soignes d'une part, et au delà du palais de Laeken, vers les hauteurs de Koekelberg, d'autre part.

Anvers et Liège refusant de lui céder le pas, Bruxelles s'est inclinée avec la promesse formelle qu'elle aura sa revanche en 1935. Ainsi dans la Belgique sauvée le particularisme, raison de son indépendance séculaire, reprenait ses droits. Mais comment départager la métropole du commerce et la cité industrielle,- le

Tif ""̃̃-̃ i' l'ij»; lift' «̃̃̃̃»«

fléchies, à ce dernier parti que l'on s'est définitivement arrêté.

Cette politique, qui il ne faut pas craindre de le dire fait honneur à notre pays, tend, pour le plus grand bien général, vers l'unification et la concentration des moyens de production et des systèmes, de transport d'énergie sur l'ensemble du territoire, d'où dérive le rendement maximum des ressources nationales. Donc, les chemins de fer français prélèvent l'énergie électrique qui leur est nécessaire sur les réseaux de distribution existants, quittes à les compléter lorsqu'ils sont insuffisants. Leur alimentation est ainsi assurée avec une entière sécurité, car, par cette unification dans la production et le transport, ils peuvent utiliser l'intégralité des sources d'énergie éparpillées sur le territoire. Il en résulte également une économie notable sur les dépenses de production. La superposition, sur un même réseau électrique, de la charge nécessaire à la traction et de celle que requiert l'industrie se traduit, en outre, par une économie d'environ 30 0/0 sur les dépenses de premier établissement des lignes de transport, grâce à l'emploi des très hautes tensions.

Pour assurer le service de traction au point oit il en est arrivé aujourd'hui, l'énergie électrique nécessaire est de

50 millions de kilowatts-heure pour le réseau de l'Etat

80 pour le Midi

110 pour l'Orléans

soit, au. total, 240 millions de, kilowatts-heure, alors que la production globale des ..centrales Électriques est d'environ 12 milliards d^'kilowatts-heure. Par conséquent, l'alimentation des réseaux français n'absorbe présentement que 2 0/0 de la production intégrale du pays.. On voit que, si les chemins de fer français étaient entièrement électrifiés, étant donnée l'équivalence en traction de 1 kilowatt-heure et de 2 kg. 5 de charbon, la consommation d'énergie électrique nécessaire au remplacement des 12 millions de tonnes de charbon actuellement dévoras par nos chemins de fer n'atteindrait guère que le chiffre de 4 milliards de kilowattsheure. Comme, d'autre part, d'ici l'achèvement de cette électrification, les besoins industriels et privés, vu le rythme constant' de leur progression, seront devenus de l'ordre de 50 milliards, on peut se rendre compte que, dans la consommation globale du pays, les chemins de fer n'entreront jamais que pour une proportion de 7 à 8 0/0. C'est de quoi justifier, haut la main, la solution qui a été adoptée.

Là où la création de lignes de transport électrique a été poussée bien avant que ne se soit amorcé le mouvement d'électrification des chemins de fer, l'effort d'installation est rela-

port en passe de conquérir la première place dans le monde et la vallée hérissée de terrils et de hauts fourneaux ? La préférence donnée à Anvers, où le flamand est en usage officiel et constant, ne susciterait-elle point des récri- minations wallonnes ? Liège satisfaisait-elle, de son côté, aux légitimes fiertés d'une Flandre soucieuse de son épanouissement spirituel ? Ainsi prévalut l'idée d'une double exposition, universelle quant à la spécialité de chacune des deux cités, internationale de part et d'autre. Anvers a la navigation, les colonies, les transports et l'art flamand du passé. Liège l'industrie, l'électricité, les recherches scientifiques et l'art mosan.

Qu'on ne s'attende point à voir ici la palme du succès décernée à l'une ou à l'autre. Il faut aller se rendre compte sur place, suivre ses préférences et ses goûts et apprécier la vitalité d'un pays capable de mettre sur pied deux entreprises à la fois si semblables et si disparates..

,̃̃̃ :M *.< m-

t~ ~,¡¡~ t. {*•̃̃̃̃

Pour aujourd'hui, essayons de ramasser quelques traits par lesquels Anvers offre aux visiteurs la synthèse d'un effort coordonné. On ne devrait aborder une cité maritime que par la mer. Je ne sais rien de pins magnifique que l'arrivée à Anvers au crépuscule, après avoir remonté tout le jour l'Escaut, depuis la passe de Wielingen. Le fleuve se rétrécit à peine entre des rivés effacées. Rien ne le commande avant d'apercevoir la flèche de la cathédrale. Mais on devine au balisage des eaux' étales l'importance des profondeurs et des passes entre les bancs que la marée descendante ferait apparaître. L'écluse nouvelle de Kruischans met une brèche triomphale dans la rive droite, avant la dernière courbe, ouvrant loin devant la ville la porte à des bassins dont l'étendue rejoint et le canal de l'écluse Royers et la vénérable et prestigieuse extension de Bonaparte.

Quand la ville surgit, les quais la ceinturent des grands navires d'escale ceux des lignes d'Amérique, d'Afrique, d'Angleterre dont elle est le point de départ. Un initié retrouve la longue série des hangars du Lloyd allemand servant de lieu de déchargement aux bateaux à pavillon belge. La rive en, face est toujours déserte, offrant le riant asile de ses roseaux et de sa plage aux mouettes fatiguées, et amenant tous les quarts d'heure le va-et-vient régulier des lourdes carapaces des transbordeurs. Ils doivent être remplacés par un tunnel et la « tête de Flandre » annexée légalement à la ville d'Anvers va devenir à son tour une cité.

L'exposition n'est point visible du fleuve ou à peine. On doit traverser la ville pour s'y rendre. Elle est dans un parc aux arbres vénérables et englobe les fossés de l'ancienne enceinte fortifiée. Et les premières galeries qu'on trouve, en entrant à gauche, sont consacrées au povi d'Anvers. On en voit l'histoire, les développements, l'organisation. On y suit le fleuve, on y comprend ce qui le menace et ce qui lui confère aux yeux de la Belgique des droits internationaux indescriptibles.

tivement limité, ne portant que sur le matériel de voie, les lignes de contact, les sous-stations et les lignes de haute tension qui les relient au réseau industriel.

Tel est le cas du P.-L.-M., dans le Sud-Est, où il n'a eu qu'à conclure des ententes avec des sociétés de production d'énergie électrique déjà existantes.

L'Etat, pour l'alimentation de ses lignes de la banlieue parisienne, reçoit du courant à haute tension de l'usine de Bécon.

L'Orléans, pour ses lignes de banlieue, n'a eu aussi qu'à s'adresser aux producteurs de la région parisienne. Pour électrifier ses lignes principales, il lui a fallu chercher de l'énergie dans les régions qu'elles desservent, et, faute de système de production et de transport préexistant dans le Massif central, il a été conduit à créer deux importantes centrales hydro-électriques, l'une à Eguzon, sur la 'Creuse, d'une puissance de 50.000 kilowatts, l'autre à Coindre, sur la Rhue, affluent de la Dordogne, d'une puissance de 25.000 kilowatts, ces deux centres de transport étant complétés par un double transport de force, l'un à 90.000 volts, l'autre à 150.000 (pouvant ultérieurement être portés à 220.000), le premier destiné à desservir les sous-stations de traction de la compagnie, le second à faire bénéficier la région parisienne de l'excédent de la production des deux centrales. Pour le Midi, la situation est tout à fait analogue. Vu l'insuffisance des installations préexistantes dans les Pyrénées, la compagnie a été amenée à construire cinq importantes centrales hydro-électriques Soulom I, Soulom II, Eget, Miegebat et Hourat, représentant une puissance globale de 120.000 kilowatts. a, L'alimentation en énergie électrique de cette compagnie fournit, en ce qui concerne la fusion des besoins de l'industrie avec ceux de la traction, un modèle d'organisation de transport des plus intéressants, grâce à une entente intervenue entre la compagnie et une dizaine de sociétés productrices d'électricité, ayant leur champ d'action dans la zone comprise entre les Pyrénées et la ligne Bordeaux-Toulouse-Montpellier, entente ayant pour but l'utilisation en commun de leurs productions respectives. Ainsi l'évolution de la locomotive, au point où elle est maintenant parvenue, après que le mode en a été totalement renouvelé par l'avènement de l'électricité, se trouve avoir comporté des conséquences, de prime abord imprévues, touchant la mise en œuvre intégrale, à toutes fins utiles, de nos ressources nationales. Bel exemple des répercussions que peut avoir, dans l'ordre du progrès matériel, l'adaptation rationnelle des données de la science à la solution des problèmes posés par la pratique. Maurice d'Ocagne,

T ,rfe l'Académie des sciences.

Comme si les autres nations avaient saisi dès l'abord où le concours d'Anvers aurait sOn nœud, c'est dans tous les autres pavillons la place d'honneur faite à la puissance des ports. L'Allemagne, sans participation officielle, délégue aux villes hanséatiques Hambourg, Brême, Lubeck, le soin d'exposer le rêve, à peine interrompu, de son expansion maritime. Et la Hollande, en possession des boucles des trois fleuves aux multiples deltas, étale avec maîtrise dans un souci de modernisme curieux ses tran- quilles et impérieuses richesses. L'Italie est la seule à évoquer l'héroïsme guerrier qui lui a valu la conquête de nouvelles bases navales. Des galères romaines au sous-marin de Pola, c'est un défilé de tous les types de vaisseaux. Pour l'empire britannique et pour la France, l'exposition maritime est inséparable de l'exposition coloniale. Le public ne se lasse pas de faire, grâce à eux, le voyage autour du monde. L'exotisme l'emporte en intérêt sur la technique marine. On voit des gens tituber.en .sortant, les yeux éblouis par des dioramas. qui ont mis l'univers dans leurs prunelles. On a placé justement le pavillon du Congo belge au centre du territoire improvisé. Les visiteurs y convergent. On y trouve, en clichés lumineux, l'histoire des débuts fabuleux. Mais la place d'honneur est faite au rôle civilisateur assumé par Léopold II et par son héritière belge. Les œuvres pour l'éducation des indigènes, pour l'amélioration de la race, priment les résultats acquis par une exploitation pourtant si intensive déjà. Et les missions religieuses y règnent magnifiquement.

C'est une église, d'ailleurs, à Anvers comme à Liége, qui est le seul monument construit en matériaux définitifs. Elle sert, avec un grand bâtiment scolaire annexe, de sûr asile à l'exposition d'art rétrospectif. Le soir, dans la féerie des illuminations, ses lignes massives et hardies l'emportent sur son aspect extérieur un peu heurte. L'intérieur est sans reproche. Et pour énumérer les merveilles d'orfèvrerie, dé broderie et de sculpture qui y sont enfermées il faudrait tout un article.

Et que dire des merveilles de la peinture flamande ancienne réunie à côté ? Pas un tableau de musée ne fut déplacé. Rubens et Van Dyck sont chez eux à Anvers, les primitifs à Bruxelles et à Bruges. Mais Breughel, Jordaens et Sustermans, dans cette exposition témporaire, apportent au centenaire belge des rayons qui manquaient.

Après avoir pieusement complété, auprès des invités des salles où ils sont si heureusement groupés, ce qu'on sait de la vocation de l'art flamand primitif, sorti des missels et des incunables à traduire la ferveur d'une foi solide, allez d'emblée à cette prodigieuse marine, revenue de Vienne, où Breughel l'ancien dépasse déjà toutes les recherches du plus vibrant modernisme. Et puis, sans peur des contrastes, montez par les yeux sur la barque où Jordaens entasse sur « le bateau de passage à Anvers », revenu de Copenhague, une grasse, éclatante et vibrante humanité. N'hésitez pas, enfin, à vous asseoir longuement devant la « Claudia de'Médicis que Juste Sustermans, Anversois exilé

volontaire, peignit au cours de ses voyages. Même si vous n'avez pas le loisir d'aller plus avant, de' retrouver le Rubens de la kermesse du Louvre, si bien éclairée ici, et le Van Dyck du couple, peint à mi-corps, de Snyders et de sa femme, venu de Cassel, d'une si intense pénétration, vous saurez pourquoi ce peuple à travers l'histoire, sous des dehors fougueux, garde le sens des réalités cachées.

Aujourd'hui, dans le tumulte et les contradictions d'une vie publique difficile, elles agissent plus qu'on ne croit. Une rumeur d'admiration et de gratitude entoure, avec les foules avides de s'instruire et de se divertir, les statues des trois rois sous le triple arc de triomphe placé à l'entrée de l'exposition. Trois mots, qui en disent long, ont été placés sur chaque vb-. lute la Sagesse, le Progrès, l'Honneur. Henri Davîgnoh.

LES PREMIERES THÉÂTRE DE LA SCALA Six filles à marier. Avoir six filles à marier, ce n'est pas petite affaire. Et quand pareil destin échoit à un homme par décret d'un vaudevilliste, il est fatalement riche d'aventures. Le principal est qu'elles soient drôles.

M. Jean Guitton a imaginé qu'un gardien du Louvre, Adolphe Craminet, hérite d'un million, ù la condition que dans un laps de temps assez bref, il ait marié les six nièces à lui léguées par sa sœur en même temps que le million. Un notaire cupide s'emploiera à empêcher les mariages, afin de rester maitre de l'héritage. Tout s'arrangera pourtant au cours d'une traversée du Havre à New-York, grâce à la complicité d'un pasteur de farce. Et le dernier tableau montrera les six mariages célébrés à la mairie du neuvième, non sans quelques anicroches supplémentaires, destinées à retarder, COïigrûmcnt le couplet final..

Cette historiette n'est pas d'une fraîcheur éclatante. On y salue au passage plus d'une plaisanterie éprouvée, honneur des almanachs. Mais l'auteur a réchampi avec adresse les situations et sa bonne humeur est sympathique. M. Pujol a parsemé la pièce de couplets exactement adaptés à la musique de M. Moretli. Celle-ci dévide avec facilité des airs aux rythmes qui entrent vite dans l'oreille. Si elle enrobe bien peu d'imprévu, du moins est-elle d'une habileté soigneuse. La mise en scène est ingénieuse. M. Martin» Gardas entraine énergiquement son orchestre. Et l'interprétation a l'entrain requis. Dranem là conduit. Il est la colonne qui porte ces trois actes. M. Lenoty est un aimable jeune premier et Mlle Rouvière est fort agréable. Mlle Charley est excellente en un rôle très court. MM. Moriss, Genin, Fred Marche, Robert, Delaval, Arsac, Mlle Bouvet, sont fort bons. Quant à Mlle1 Çhristiane d'Or, avec ta malice sournoise de ses regards, l'imprévu de ses mouvements et sa voix corrosive, elle est toujours la fantaisiste à qui le public doit beaucoup de gratitude. Et les auteurs

Intérim;

NOUVELLES ARTISTIQUES La direction du théâtre de Bayreuth

La famille Wagner dément l'information lancée par les journaux allemands, concernant la nomination de M. Arturo Toscani comme directeur du :thé!àtre de Bayreuth. Ce théâtre annonce Comù;dia érigé grâce aux largesses du roi de Bavière, est, ainsi que la Wahnfried, propriété privée, et Siegfried Wagner, qui a institué sa femme légataire universelle, aurait, dans son testament, manifesté le désir de lui voir prendre la direction effective du théâtre.

A la Commission des Monuments et des Sites Notre collaborateur et ami M. Hubert Morand vient d'être nommé, par M. le ministre de l'instruction publique et des beaux-arts, membre de la Commission supérieure des monuments naturels et des sites instituée par la loi du 2 mai dernier. Un monument à l'explorateur Gentil

Un monument à Emile Gentil, explorateur du Tchad, sera inauguré à Vollmunster, dans l'arrondissement de Sarreguemines, le 28 septembre, à 15 heures. Ce monument est à une souscriptionlocale. Le buste qui le surmonte a été offert par le ministre des colonies.

L Exposition du Livre à Tournai

La ville de Tournai va transformer en collection publique permanence l'exposition dlu livre (miniatures, enluminures, incunables) actuellement ouverte à la bibliothèque communale. Les œuvres rassemblées à cette exposition appartiennent toutes à la ville et la plupart d'entre elles sortant ,des 4»te,|iers iQurnai,siens..

ivu •• Xjxhéôlogues et scaphandriers Accompagné de six scaphandriers, un groupe d'archéologues vient d'explorer dans le port de Kherson, sur la mer Noire, les vestiges d'une antique cité grecque.

Les scaphandriers ont trouvé, sous treize mètres d'eau et à une Centaine de mètres du rivage, les restes de vieilles murailles et d'un donjon. Les savants croient qu'il s'agit de l'enceinte fortifiée de la ville et que la cité elle-même doit se trouver plus loin au fond de la mer.

L'Exposition Van Gogh à Amsterdam

M. Kammerer, ministre de France à La Haye, vient d'inaugurer l'exposition des œuvres de Van Gogh et d'artistes contemporains, organisée dans le musée communal, par la municipalité d'Amsterdam.. ̃̃. Cette intéressante manifestation montre là collection de Mme Kroeller, qui comprend plus de 250 peintures de Van Gogh, et environ 120 toiles prêtées par d'autres amateurs.

̃ Calendrier des Expositions

Musée du Louvre Exposition Eugène Delacroix, jusqu'au 30 septembre.

Musée de l'Orangerie (jardin des Tuileries, terrasse du bord de l'eau) pastels de La Tour. Musée des Arts décoratifs, 107, rue de Rivoli La vie du Palais-Royal de 1630 à 1930.

Musée Victor-Hugo, place des Vosges Exposition du centenaire du Romantisme « Victor Hugo raconté par l'image ».

Musée Galliera, 10, avenue Pierre-Ier-de-Serbîe Le décor moderne de la table.

Musée de l'Armée (Invalides) Souvenirs de la conquête de l'Algérie, jusqu'en octobre.

Musée Gognacq-Jaij, 25, boulevard des Capucines: tableaux, meubles, tapisseries, objets d'art du dixhuitième siècle, ouvert tous les jours (excepté le lundi), de 10 heures à 18 heures.

Galerie Siiiiorison, 19, rue Caumartin Cent ans d'art graphique de Daumier à Forain, jusqu'en octobre.

Château de Vincennes, pavillon de la Reine nulsée de la Grande Guerre. Dans la nef de la SainteChapelle, exposition des souvenirs des maréchaux et exposition des artistes de la banlieue est de Paris.

Château de Compiègne La voiture c'autrefois, jusqu'en octobre.


COURRIER DE LA BOURSE

23 septembre.

Il y avait encore de la marchandise à vendre aujourd'hui, au début de la séance, par suite de la mauvaise tenue, hier, de New-York et de Berlin. Les premiers cours furent les plus bas de la journée. Par la suite, la résistance s'organisa, et le portefeuille profita des bas prix pour s'approvisionner. La tendance se trouvant alors retournée, la cote put se relever vers son niveau de la veille. La lecture des cours de clôture donne donc l'impression que la séance a été seulement irrégulière. Nos Rentes ont montré de la fermeté les Banques et les Caoutchoucs sont nettement en progrès, ainsi qu'un certain nombre de valeurs faisant cavalier seul. L'obligation Young s'est relevée à 880. Tous les bobards susceptibles d'influencer défavorablement la Bourse semblent avoir été exploités à fond hier. C'est du moins le sentiment qui prévalait aujourd'hui. Les vendeurs à découvert, en effet, manquèrent de munitions.

La morale à tirer de ces deux ,dernières journées, c'est qu'il ne faut jamais se laisser influencer par les bruits qui naissent à la Bourse. S'ils se reproduisent si souvent, c'est parce que leurs auteurs savent parfaitement qu'il est presque impossible de s'assurer de leur authenticité avant la clôture des séances, qui est toujours proche. Il vaut mieux compter sur son bon sens. Les marchés européens se sont ressaisis.

r-

*.•

Nous retrouvons nos Rentes aux cours de la veille.

Un peu de recul aux fonds ottomans Unifié, 56 15.

Fermeté des établissements de crédit Banque de France, 22.225 Banque de Paris, 2.680 Lyonnais, 3.020 Union Parisienne, 1.705 Comptoir d'Escompte, 1.865 Mobi.lier, 773.

Suez, 17.400.

Le groupe électriquef-abandonne encore'; quelques francs sD£i3Mbu-'tion, '4-9QO Seine, 890 Littoral,

1.386.

Mines métalliques résistantes Rio, 4.335 Tharsis, 484.

Les produits chimiques s'écartent peu de leurs cours d'hier Kuhlmunn, 846 Péchineg, 2.790 Air Liquide, 1.689 Azote, 1.720. Pétrolières soutenues Royal DutçK; 3:680 Shell, 535.

Hausse des caoutchoutières In-

BOURSE JDTJ S 3 SEPTEMBRE 193O

y) TERIV1E.. JSflTi COI^^H^T^T^ COMPTANT I^IrTrl COMPTANT ]SÎ^r|'S-l ̃ARCHE EH BM0UE==[S.|r' MABCHËJËTHAIIG^iïâ^y

1 brut l TF-RPlF-; précéd'. cours COMPTANT préeen". cours COMPTANT précédl., cours brut' COMPTANT précéd" cours brut COMPTANT précéd" cours brut MARCHE EN BANQUE pr;¡:éd" cours MARCHESETRANGERS¡pracéd". cour

̃*̃' te^;ë: g g ~5 £| ^f^ SS:: BAN<?UES ï^& 'ZZZ~

50'/01915-1916. toi iA loi Pologn9 7/0 1927,75..2670.. 164 63 Charbonnages du Tonktn. ,,52, ~505 TERMF LONoREs 23 Septembre

¡' .ISg-lSg,»» ^Sl^A^v^i- %8>. SÏSsSiïî,.3^ ?. 3ïl Ba^° 1^tf£7M^ 9I2i::9!00:: 75 £^:S:^ ISS •• -s% « 3%Françai3

5 ofo 1920 amortissable 131 30 137 33 3 Amort,.sable 94.. ~3 do Roumanie '4~1890 35.. -française de l'Afrique. 75.. Dombrowa (Houillères) parts, 1525 DM 3 24 65 24 60 5 10 21 20 718

«mb-p*- 22,75.. 22^ If^^r^r: ,«'» .0.» = «iiSi: -à:: 1 êSTo^1?»^2^ S-g'^ïïïïr^ir^ïffi.ïîS: sïrfai-s6éi'ii: gî- &••*$ ii!F:lÉl

%m. z ^»t-sïdK::i«i-uiS°::î^lS12: Z1' Zt, 1 -4 «g lS* » m.r^v^ 3^ J 55 Jioîo^™8.?.?!?»2?.

~e-c~iY::)477' !o~~ 101 95 1 Renteunifiee4 j0590 jo~6o 748 ~n~e_e~Beraudiere~ ~a:K~ !5.111

100.. d..P,ris*P.y3.Bas.2655..2b8Ç.. 5% 1920 Amortissable 137 25 137 35 Rus3i. 4% 1867-1869. 3 55 3 50 ZQ.. Franco-jlponaTso.tr. 295.. 293" 90 AnL°n i" 2630 V. 2510 V. 8 6 irâkrtn 9yP 370 370 S^ÎSft?88 ?n'!i i i 70.. -mB,.nP^«.7U,6j«y,£_i_ ,«» ,3 80 33^10. 30.. --JP.J-N- 45 J3J0 ,305 12^.6 %%?. ^i^; S" g T" £%-=- 73 |!j 112

41925 (change garanti). :29;. i29..Serbe5%1913. 128.. :2780 15.. Privée non oum. 302'302.. 5550Carmaux.14'J9.4:¡3.. Chine 73 liz 83;/2

Compagnie Algérienne "07" 2000 6 1927 Amortissable. 1060J 10450 Suède 3 li2'% 1895. Il 100 Cal'Vin ~g7~ ~adO 48 p.e. Cairo-Héliopolis, 1550 15H Egypte 4 unifié; 1/2 733/4 73 112

55 Compag.nle Algerienne -9" 104.. S~i~~e 19C)3 i25.. Crédit Algérien 3 0.. 95 ~s: 09" 8, l'?.. 191 Extérieurs 62, 62.

5:> Comptoir National d'Escompte 1"60" '865" Turquie consolidées 1890. 215.. 219.. 37.. Créd. Fono. d'Algérie-Tunisie 8,.9.. 896 23.. Gralssessao. 31 370.. 7b. Caoutohouos(S"'hnancierede) 12> 129.. Italien 18,1. 18.

80 ..Comptoir Nations-Escompte, «5 5, 5, 5Q Tu™. ^O. 2,5.. f,9 37 ^T™^ «» » «* » l^ 1 ÎSI .Su V. ? =^^ -«^ -> ;^f '•'̃ j; ^1 li2 -60 Crédit ConWroa, de France. ,335 1335 P-IrT;?/"o Mil ISS" 5 1 5 Zr^t ?'f"«î' 292 '2% I? dr.U,Bré6," 'Z 'iS « l-™ » Jg •• 2 V Z:W.:Y:. 20? 199 50 &%$?* 43 2 43 I

t>O..CredltCom,rolaldeFranoe'5350"5305" 4~01929,r.il500. 5i1.. )11:. 'PrioritéTombac. 292.. 296..5, -Colonlal" 720.. 7?, 33..Lolre(Mtnesdela). 1120 600.. "Colombia. il? 50 114:,RusseI906. 2.1,2

^50 = ^sr.R^K,™5S:B--ÎT^VnVj|^ ™l » ^̃̃̃̃̃- %̃̃ ™" "r^r^ï^l". H*r^™^ 50'iti: C.n~o,dia !»" ii2»R-yjl§| ••• j--

100 1 «ormais de 3025 3020 du 7 /o 1926. ^? ïii" Tabacs du Portugal. ~75.. 45, 55 Soc. G" Alsacienne de Banque. '3« 13J> ,j Ostricourt 2075..2093.. ..50 c 33 35 75 t Iv M su 11 in

,1750 Lyonnais IIndo-Chlne 302' 3020" 7 1926. 56~)0 504.. «. 55.. Société Alsaolenne de Crédit. n 1105 13h.. 22() Ostrloourt. 5390 ?ü90.. Corococ 33.. 3~ 75 Tu~o 4 113/4 Il 1/21

100. Lyo,nals. > 7 7 1927.1566.. 566"1 OBU~O.S 55.. Sooiété Marseiliaisedp. Crédit. liO~ III?.. 220.. Algérie.Tunisie (Omnium). )390.. ,390. Charte~ed 32/3, 3211:;f

40.. MobllterFrançats. 9C,6 gli Obllg, Ch,ferEtat 4% 1912.14. ~32.. 43Z OBLIGATIONS 65.. Foncière Nord de France t,p. 8;5.. 835 ,,6 10Soléo, parts 445.. ~20.. 6 ,n.6Crown Mines 4>1 4~ East Rand. IJi3. 11/3,

SU.. 0, Finan,o..fra,nç.et oolon. 1698 '692" 5% 1919. 4/2.. ~S7,S. 45 Immobilière des Voitures* 661 ~5.. 297 .Bor(mines de) ordo 4200 415~ 15 oh.. De Beersordinaire 890.. 89, Goldfields 31/10/ 31/10Y;

,:45.. Sooiété Gen,rate lOb9 j050 Oblig, décennales 1922-32. 100 75 1871 388 50 393" 315.. Mokta.el'Hadid, act.de500fr. ~60< ..809, 2a ,h.. p~éférenoe .1336 13~4 Rand Mines 31110y~' 31 10~

Al Rente Foncière. 1«W 1U5O autonome 4 1037 ,03/ 187S 4% 50| 506 Crédft â.n des Pétroles »rt ?995 7905 >h-- Préférence 1336 ,384 Rand Mines bOL. 60/

:~i ~J~ 461 Caisee autonome 4}, 1037.. 50 434 50 16754;,?" 501.. 506. Credit g6n, des Pétroles, part 99, 7~5.. East 71.. il 75 De ~?.

32 Société Générale Foncere. 461 4,5 Afrique Occ,dent. Franc. 3 439 50 434 50 JS76 4% 508 •; m ACTIONS INDUSTRIELLES 65 V. lIÏ^.9*1.?. «I East Ra"d 71 °e B..r.. 7 1/6.. 7 3/16.

s.er ¡ Indo.Chine3%1909. 422)0421, 1692212. 303.. 3~3.. 35 Chemin Est-Algérien '(" 593 581 .Pétroles(Ciel,strielle).I?O~IOOO.Equateur. 73 50 7775RioTînt"3> .1 ,.1/2, 35, 11*8.

737 47 Suez. (part da fondateur~ Madagascar 1903-1905. à' 84,1> M 15 1898 2~? 355.. 35d 15 50 Nord-Sud de Pà'ris. 5!5. 513 ,,70 Eleotr~Chimie Metal. 11130 IB65 1750 Extrême-Orient, '480 484 Royat Duton. V.5/S, 29'3/4:.

,;= a (olvlle) 1IÏ5 S 1918 515 517. < 1904 2 1/2 Met 374 fr> J" V.R <W IU 7} £?̃=-. tu* lii^ l^j?- ••-̃ Franco-Polonaise Pétro 10450 50 104 Shèll.• 41/4' 49/32

55 Est. 1 n 5.. 5 ~o 1918. 5t~ 517419042 2 1 ? Met. ~74.. ,3[1.. Ouest«Algérien 538.. 537.. 114 72 Kali S alainte -Thérèse.. 12405.. 1237, ci. Franoo-Wyoming. ord 428.. 434 North Caucasien. 00115. 4/3114~. 4 9/32.

85" îêiê !iiî TUnisl%, 'lâf h* 3»::». j|°f23/4. *> %t:: ̃ z ?ï^r:n. SIS:: 1" n. 5: ï.sr^r'St*: '^i;v. lîi?:: §S' £fo ^rWyomin3- ord îll~ ̃• Rorth c-ria" #•̃ \'H- ̃62 50Mid».< 1233 ..1226. 1 S =o?'4 Met 33? •• 32J •• 20 Parisienne ind. Électrique 540.. 538.. 50 Rhône-Poulenc 2230 2220 j'ifS I ï, 2 u"™ X-' V î;V; 105 ..Nord 2350 ..Crédit National S%1919. 610.. 609 Q 9 ° f 307 310.. 90 Tram, de Shanghaï ̃. 1790 ..1800.. 195 30 Le Ripolin, jou 364, 3650 lA r «L rïVV \rX '«•• Venezuela,, OU I 11/161 11 16 ̃7Z 50 Orléans: 1440.. 1449.. oblig. SOO' S 192O.. 556.. 550 50 UI I 9 2 3 268.. 2'0 80 Magasins Généraux de Paris.. 2260 2210 143 72 Saint-Gobàint Chauny 4470 4455 1 kLI*' ° fw" 113 Anaoonda ,?,"f-,?,-S

H(1 <= P-rr.fr Ch fer Prov ) 2745 2750 3ons6%1921 560 56! -J J91? S A ••̃•̃;••• 510 515 85 Eaux CComp. Générale des). "25 1727 2/0 05 Soie Artificielle CGivet). 5710 5730 sh'b Gula-^l^pong 109.. 1 13 Steel Common Io7 164. 1/2

150 Sareta-FeCCiefr.Ch.ferProv.)^/« ̃•> ̃• 6 .1922 décen. 523.. 523 50 Obhg. decen. 1922 6, 523.. 523.. 80 Vichy CÉtabl thermal) 2000 2010 113 16 cDart) 2420 2405 r- Marconi 23Î/2. *3.6

15g ..Sal"àa.Fé(Cief,Ch.ferProv.)2~65 "f7~ 6%1922 déoen. 523.. ~23 50 Obhg, décen. 19226, 52.3.. 523.. 80.. Vichy Œtabl, thermal).20q0 ..2010.. 11316 16 (part) 2420 .405. Holding Française 13350 50 131.. Malaooa. 0 .3/4. 1¡/l6

3, Métropol,ta,n de Par.s .1262 130. 6%1922 54c 50 546.. > 923 6% 5I8 200 Eaux'éleot. Indo-Chine 3950 3900 90 09 Soie art. d'Izieu* ?. 2185 1|5Ô V. 90 SoïïlSS»1""19* 1945 I TT* W*' °> 'i' '& «.. Eaux et Éclairage (Lyonnaise) 2950 ..2950 6 janv..1923.. 555.. 5a4 1924 6 534.. 535.. 35 Usines Dior 6/1.. 671.. w Hotchk.ss 19 45 1.45 Kuala Uib. Ulb. 70 ..Dirtr. Parisienne d'Electricité. 2930 ..2900.. 6 juin 1923. -570 57J.. 1924 6 12% 135 Air comprimé 5250..5175.. 80 Salins du Midi 1539 1551 2",k" h"Z 1 r' ?" ?S 3 76 = hors

17 50 Electricité de la Sein 892.. 890.. oblig.6%1924 .575.. ï73.. |2| 7 ,0- •̃̃ 511 5il Bourguignonne Energie 260.. 250.. 800 Port du Rosario 24030.. 23»0.. 40 2 ?, 5 S?fr î 50 "!g •• Escompte hors banque 2 I /I6. 2 1/ 6.

S::i!=œfr%«P^rA,i^«»,Ma. 540.. 545.. SS ^40% 'SS8 'SJS «::i^™î^rt".S:S8:: S g^irPiï!ïï!L'& d9! ?93 A:: «WJT^S: %Wk^k

85.. Electricité CC' Générale a') 3325..3215.. Départ, del'Aisn".7U/0'926, 540.. 54, 1 ¡;om, 5496 4Q.. Ed,so" 1335 1330 35 Havraise Pininsulaire (B). ~:¡9" 4 th Jagersfontein. 176.. 170.. S/New.York. 43j 94.46595.

55 ..Energie Littoral Méditerran.. 1396 ..1386 70,0,927. 630.. 629.. Fonc. 1879 3% 507.. 507 85 Electricité de Par s "730 1744 55 Transports en commun 999 IUÛO «h.. Jagersfontem.. 176.. j?û ̃ s/New- York. .435 94.455 95. Sr. orâlm^ = ^J-TO'Sg-'SIriisi^îSSl^ flv. S:: ffi»3^1"^?!® 35- «.. m.. îfc^t;ï: 50 5fcï»: z' l~ ̃» S- Z- SJ-SSfôM 1S:: 1S::| ^lUt^- g:: g:: 2^58F:r:pai> 1: SJS- » « ^•̃^• 6 | jùS^s ^plani: £,»

25..t..rminy. 477.. ,juN.rd6%)92). 537.. 537. ~892260% 383.. 364.. 2250F.rcesM.t Va~d- 47t.. 47).. )25..D.sti!Cus~r '2725"2/33" ~T~pr.v. 3950 .~65bcuivreC=.~ptant).45.5'8.45H/32

30 Thomson.Houston 2595 804.. du Nord 6% ,6 515 537F% 33¡j()3' 3833~" 50.. Forces Mot. Vallée Rhône. t~~5". t~o" 34;5 Benedlotlne. 2125 81)0. 20 ~o Lohdon Tin ord. 70 50 72 5U Argent (m.tal) (oomptant). 17. 17.

~A:~du-tE:t 60101923.. 537 535: ~2~ 389 384 50 33 33 = d.V.J-0:: ~d' 1104 :W.Y0~23s~.

SoSrs.l^.T:.d.r.r.:r: | S –• « •« «"> ̃̃ ̃̃ 2 Se JS§2 1^ g !? g-» » M °-- 2%0 •• ,8 25 iï&™'»<z^ j & MS»T. JS c, m 23 Septem b, 2 2 ^̃̃•^̃ 5!f fS § SS J|,?a3fc: S:: g- l^S^ iïï=!= Sr::Eii; Sîii'iS" ? ^A"= |»\§»^ïï.5*8

40 Vicoigne et Nœux. ¿ 1 Z8-? Ville de Reims 6; ,17 515.. Õ Com. 1912 3 0 "0" 202.. 20 3? 50 Marocaine Distribution 114~ 11tiD. Sucreries Colonrales. 184.80.. 50.. Moteurs Gnôme. 802.. 8.d U. S, Liberty, 3 1/2 101 10U,

20 Boléo <part> 18? •• 183 Ville de Verdun 6% 516 £ FonG. 93 3 /2 418 415 25 Nantaise d'éclairage ord 655 650 250 Ciments Français 7400 740O ° MOteUrS Gn°me m 8' ?: LlbÎTty' 3 l/2 '»•– iïi W V

p Asturiennes des Mines 52> 522.. 1913 4%. 460 4o& 25 priorité 629.. 629.. 45.. du Boulonnais 844 835 m k. -a Atch.son Topeka 2,6. 216 Ii4 45.<Penarroya 760" 746 Atelier Construct. Jeumont.. 520.. 520 t Empr .917 S 1 2 309.. 309.. 75 Pyrénéenne d'Energii aectr" »« •• 2305 45.. de l'indo-Ch ine" 795 ̃"» ^llnt^ 2'B,ltir,,Ohio 96.1/2 98 1/2

KenarrDy 2260 224i Cie d'Energie Electr.que -g gcm. 192O S 1/2 510.. 5.5.. 15 Radio-Electrique 190.. 198.. 10 Financière des Ciments 164 50 164 50 NaviaationdeVAfrio.T^'M 249 50 J248 ^nadlan Paolfit: !?° 3',4 '«' j/^

Platin "•••: ̃" Eglises dévastées 508 50S Empr. 1921 6 1/2 521.. 521.. 35 Radio-France 501.. 501.. 100 Polliet & Chausson 2300 2800 Ih 2T î- Afrique du Nord 249 SU I24H Chesapeake & Ohio 4ol,4 47 1,2

30 Crédit Gén des Pétroles <* ̃̃ Métall ie 6 o/, 514 513 g Corn. 1922 6 t. p 512 5|2 25 Radio-Mar?time ^l 314 315 3b Bon Marché .V" 570 569 H paris ^Caoutchoucs) ^83 397 chi(=ago Milwaukee c |3 ,7 13 i/2

30.. I;rédlt Gen',des Pétroles, ~32 Grosse Métallurgie 6% ;'14.. ,1, tr Com. 1 922 6 'Yo t. p. 51 5. 2> Radio-Maritime 31, 315.. 36 Bon Marche.) 570 069.. i 4Paris-Foncier 207 50 285 Chioago Rock Island ~4 ,j, 93 112

̃• Dabrowa CPetro.lesJ AK Âm 6 nouvelles 510 U 1923 6% 503 510 16 22 Sud Lu.-nièr. prier. 485 4/4 250 Chapal 4345 4300 A') Ph u T"ô 20' 50 JÇ5 50 Chicago Rock Island *94. 93 1/2 1,2' 25 B«e.-Malétra 615 609 Caj| Fives.Lj|,9 6 5,0 510 l Empr. 1926 7,5. 730 731 269 47 L ° ErT. 8100 8000 60 Ccty^Socieié a^nVmV; 936 V. W5 20 Phospha lit T^M^l" "m 380 "1a0 m"6 RarrOad' ,,? 3? ,?? ''2

M 850 846 Nord Pas-de-Calais 1922 5 2 5 5 V Corn. 1927 7 581 583 50 Télégraphie sans Fil 830.. 830.. Il Galeries Lafayette.. 160.. 160 S-l Tunisiens. 380 380 |hnors Central U.̃!

40 Kuhltnann ??,•• ?7? IndustrieSucrière Française.. 51 1 511 Com. 19277 10" 581 583.. 27 Téléphones «0 965 9333 33 I (part). 146000. 145000 R^ndfonts A' 12£ •: ''« ;• Louisv,lle-iMashville 115. Ib.,

40 Kuhifilann .ÍÓI 761 Industrie,Suoriere Française.. 5!1 511 ,01 ~7 Téléphones ':170.. 96, 933 33 (part). }OO..45000. Rancifontein 85 7', ~4 5u New.York Central 15à li2 159 1/2'

f5 ̃• Gafsa ̃">* '61 ,ndustr|e|s Alsaoiens 1922. 511 5 5 Alsace-Lorraine 6%CCh.de f.) 497 497.50 30 Union d'Electricité' 1215 I2IC 100 Grande Maison de B 1625 625T 5Vb" RanS Minés 374 V3 50 ~ew-York Cent^ (2 I" '/2' 90 Produits chim. d'Alais. Froges «"« •• "*> •• Mai son Bré quet6% 512.. 512.. S% 940.. 940.. 50 Nouvelles Galeries 774 770 S Mines. 3<1-: \{ Pennsylvania 72 /17,d 40 Chargeurs Réunis g7 524 Mines«de J^^CàiZ' 510 510 3% 370 366 100 Ancienne tadu.tri.il. Textile. 43 58 Printemp^ord ?20 7.5 Roum.no-B.lg.-d. Pétrole. 34 2, 33 75 r ding. 105 105 I 80 Transatlantique ord ™u «' Saint-Gobain. dhauny 520 519 Est 5O2 497 370 Dollfus-Mieg 9125..9100.. 42 50 Rouff 420 4B qhanci Scuthern-Railway 82i/2 84. 125 Voitures à Paris 25W ^2Û Usines sinistrées 6 1/i 531. 529 | «••••••••.•••• 3S *4M I! <30 Industries Textiles (Généra..).1131 85 Agences H ava 5 ;h/; |nX ••••;•••- jfj 25 & •• Scthern Pacific. i 6-1,4 14 5,H.

35. A)r.d. '669 443. 449 408 Z5 industrie te.ti.e. 2)75 2.35 6. Dido-Bottin ) 55 .75) 58 ,5 A~ond~-e'r- '43.) 2~~)~

|l::l::œ^fe^ | g 5= ^== » = 400 l^zZlZ: 1%^==% ^?=B^ i" i'= W*

7' Caoutoraoucs Indo.Chlne blù 823 Indo-Chine 1899'1905. 384.. 383.. 0' 30 Acétylène & Electro-Metal 0.. 1650.. 2~3 Chat x. ùloO 61) 6 pTanganyika 207 ;;¡4 21:

40 ..Citroën, B. e'^ •• °fg 19O2 362 357 50 Lyon 3 18S5 390 390 Aciéries de France 436 110 Librairie Hachette 2100 21 10 9 ?>, jâvoy T n 29 50 26 25 Amerlcan Je le'îhonB 10J- J'>4 2'l ̃' .îô::aœ §•̃ l-îïïS.îï.'SSSSfe; 1|g:: S:: -iiîss3si:SS::as .«..a^o- »s .».. ^ïé?- i$ I Sïji S-?;.S- p^a^Sntma^p^ | | -• *°<>™ «»•̃««••• ^^0^ | | 'SriAt-T.c^ïïî^ltr.: «:S!?^« (,PaMs). 74LI-i 1325:: ]PïESiïEiïF<:50 â^e|Ç-i; i r fc ?!«

41.. Patt.Cinéma(cap.).¡.. 1" 3¡{,o Fusion a,o" 390 50M 25 ..Atel,.&Chantle,rsdeJ~o,e.. 555.. 59.3. 60 ..B~l"gougnan. J03) ..IO{Q.. 12.. Tubes etF.de Sosnowloe. 131.. 130 5u Bethlehem Steel, ~) ,!b' 8> I/~

.00 Raffineries et Sucreries Say ",0., 1867 Allema eI924(DawesI.100L. 1¿4CO.. 12150.. 3;0 F~slon nouv, 96 50 396.. 80.. Const. Nord dela France, 1215 1215.. 80.. Clrag,?s Françats. 1420 '267 5'~ S -Hpo ~21 ~on- 160 'IIÓ~ 31"

100.. Raffineries et Sucreries Sa)'. :1635 "1~1 1Anglei~erre 2,1/2% 270.. 27! = 21/2 ~g3.. 3d~ ou Bonnevine 1~40 1603 '.j(¡" Citrcân (~ar.ts~ 2b4 267 5'sh 6 Union Corporation 3,j 5 398 Royal Dutc!:> 47 1. 41

100 Union Européenne l63i 16" Argentin S 19O7 2315 2325 6 0 0 1921 484.. 484.. 25 Chantiers de Sain^Nâ;. Vr..Y. 580 575 40 Colonies (Générai; des)" 1265 12^5 lôpuP^ny..? 415 4ul s^u 6t> f,1' ̃,» »o. ̃̃ 63G 655 5%1909 2320 2325 3 0/0 1921 36i 367 100 Châtillon-Commentry 52dJ 5160 100 Consortium du Nord 1351 1330- Verm"nk 1 3 lU 50 «I 3,8 41 J;a .Russe Console 1 et 2 séries 6 3- 6 55 2 1/2 W0 ««*» Midi Bon. d«Mnn.u» 6 ».«».. 503 ^> » D«..u»iM. 324 320 180 part. 5650 3553 2Q0 f. Vieille MccntagnV. 2340 Y. 2300 :.2300.. Titres traités » .910.000

5 1906. 30/01895.19051'8. 5b 75 57 9C 60; 49; 496.. 50 Eleotro.Cable (ordinaires) 86-> 869 200 V'¡lemagne~ 96" 94..

̃• ̃• o i»uo t'n tnQ )'t 3 0/01895-1905 1 s. 50 /5 5/90 K jqj 4% 3U •• Electro-Câble (ordinaires) °°3 •̃ °69 Villemaonc uft q4

Serbie amortissable 1895 \$y 109 5 s|/2o/o,923 520 520.. Z' 482!: 480 f, Estampage d. la Vence ;• 30 Continent. Compteurs à Gaz.. 545.. 541. "d" v ns^ SpWtu.'û; 25250 262 TuroUmfie. «/S « Brésil 4 1889 %&"̃ 445" 441" 4179 CdUième part). 610 Cultures tropicales 1135.. 1100.. opintu.ux o- 30 20. CHANGES

S%1914. 540 5% S Funding 4 ,o Z ?!! §? •• Fivàa-Llll. l>90 |58D 90 Dragages et Trav. Pub ̃ 1500 1529 H,

5701914 "8" 540 45 5o Funding o.0 00 505 85 Flves-Llne.o..o.oo.0 Dragages et Trav. Pub 1509 1529 Londrefi 123 741 12?

Banque Nationale du. Mexique. 540 .536 19O9.(Pern|mbuc£,)#_ |80O 1790 Nord 6 série F 5St"5°f" S Forg. 4 Aci.r. Huta-Bankowa '? •• »» » 3? •• GaviaS & C" 391 402 ===================: Londres 123 74 123 82 5.h. Ottomane. iïS l^ Bulgarie 5 1896 622 622 S série E ¥l~Ai\" 50 Marine et Homéo. •• 1200 75 Beo Auer 1580 1555 £ Yo^k ̃,2* f(. 1.4.8 Crédit Foncer Egyptien «ïo' 4 J/2 19O7 610 613 4 série D 466 462 37 50 Jeurn0nt f 83b 835 40 Mar00 CC" Générale du). 1489 1410 Allemagne 606 5t 606 5j "rS^riï: Chine 4 Vo 0,.1895. 497 75-3io /0 a~cle!1~e. 4Ô9" 41 S !? M^^sr^i-ëK^: « -1S Ss^^J^r-^s,»^; ?S 'SS C0M,TANT gr W^ » »

20 b Wa ons-Lits orcl 482 u 482.. 5 %.19.02. 640.. 635-2112 /0 série C. 480.0 48: Méditerranée CForg.«C Chant.). 815 t~05 30 Union Co mm lndo-Chinoise. '402 o. COMPTANT Brésil "o.

L.1. Central Mining 2020 2015.. 5 1903 172.. 17950 ~6 'Yo 1921 tran. A. 4t3O 484 019 '650 Espagne '21850 _16

»u^aM^.r.r.rjr.r.gal" = Ste=:| =-i(WîS.î^ »:: S:: ^L,ndB^Eg^ «« ?^2»iô-i»: ^t ^I3Sïïœïï?::nn: i '1 iSSLÎ1- » | °--| •* 509 509 » ;S 5^as^ -îî: | 1| Z g ÏWIXÏÏZZZ?- ^m 8:f? lî b: œraïiïïT. »» .«$ !ïïîr?. 'ÎSS i ]t ï

K. (>4 Rlo.Tlnto.I" 1705 1720 E Unifiée. 3tO 50 364 Ode ans B?,%ns decennaux 6 495 495 495 495" 100.. Denain.Anzin. ¿,705 2600 28 28p. 50 1 Nord Espagne 60.. Cessous (Charbon) IO~5 1035 Italie. 13:; 55 13J .35,1

Lautaro Nitrate 1in"^l" P"1^ 310 50 310 10 |^ 481 482 "S Lorraine Min" a, Métall. 35OP. f60Q 2580 U p. 50 Saragosse ÔO.iCzeladz 1500 1495 Norvège

5 sh. Oriental Carpet «0 4^1 Espagne extériaure. 4 5o.i: ̃ «7 ,43/ to "Matériel de Ch.de fer CC'FrJ. 'f|| •• ,320 Rouina CAIgérie) 233 24 60 Franco-Ang aise P"1 499.. 503 Pologne C1OO zloty) ""̃ 286. ']

60 b. Pétrofina 562 .563 Haïti 5 191O 710 710 3%^ Y YY.YY 403.. •;•••• Matériel de Transport. '« 174 Sosnowic 1260, .1245.. 125 Hutchinson 2835 2830 Prag9ue « 5U /5 50

sb. Orientai Carpet 562 563 Espagne 1910. 710 710 4% 403" .431 Matériel de Transport.ol 174.. ou Sosnowlceo. 1260 l24) 125.. Hutchlnson ir. P"* 499 ..2830 Prague .00. 155U /551J

24 li. Royal Dutoh (dixièmes) 3680 3680 |ta|ie 3 1/2% 88 90 •• 3 /o ane" "• 20 Métaux CCie Française) 2530 £400 30 c. KreuB.r & Toll 4I9J 4150 17 50 Omnium-Pétrole 158.. 157 Roûmlnis 15 15 1515 23 ». Pertuouesa de T.bacos f'f f '1 Japon 4 19QS.i. •• Ouest 3 anc. 403.. 402.. 100..CreuSot 20-0 200Û Suc. Raf. d'Egypte (parts) .•(•••• •• Steaua Romana. 112.. 11.0 ..Suède 664 vS ¡ t Su9rer"et Raffinerie d'Egypt J" '"̃ 5 1907. 442. 440. 2.1/2%. 3». 390. 5/. Senelle'Maubeuge.̃ ~i°" ̃̃ j560. 15 Suédoise Alium.ttes. 2340 .t,330 645 Monaco 7425 ..17450 Suis50 494,. 49459

dochine, 498 Padang, 397 Terres-Rouges, 269.

Au comptant, la Foncière du Nord de la France s'échange à 835, le Consortium du Xord à 1.330, Poliel et Chausson à 835, Gaueau à 402. Mokta j. gagne 185 fr., à 8.090 Bénédictine 135, à 8.950 part Ciments d'Origng 205, à 13.5,00 Per-

nod 195, à 4.265 part Cambodqe

300, à 7.600 part Padang 600,' à 8.450 part Terres-Rouges 450, à 5.550, etc.

INFORMATIONS FINANCIERES TIRAGES. Crédit Foncier, Obligations communales 1892; 1J12 etfoncières 189Ô.

Les obligations numéros 438.040 de 1892, 42.133 de 1895 et 1.068.581 de 1912 ont été appelées au remboursement chacune par 100.000 francs l'obligation numéro 189.207 de 1892, par 30.000 francs l'obligation numéro 365.897 de 189.5, par 25.000 fr. l'obligation numéro 1.804.656 de 1912, par 10.000 francs.

202 autres obligations sont rembour- sables par des lots de 500 à 5.000 fr.

̃ «.

Le développement du service des chèques postaux

Le trafic des chèques postaux se déve] loppe de plus en plus.

Pendant les huit premiers mois de | l'année courante, 25,089 nouveaux comp- j !tes ont été ouverts, ce qui porte à 400,029 le nombre actuel des titulaires. Plus de 65 millions d'opérations ont (été effectuées, au lieu de 61 millions! pendant les huit premiers mois de 1929. Le montant total de ces opérations s'est élevé à 283 milliards 84 millions, alors qu'il n'avait atteint que 261 mil- j Isards 891 millions au cours de la pé- riode correspondante de l'année précé- dente. Le montant des opérations réglées par compensation a été de 2iit milliards 169 millions, représentant ainsi 83 p. 100 du montant total des opérations.

Les meilleurs médicaments

trouvent '̃'

A LA PHARMACIE NORMALE 17 et 19, çtfé? îftouHt"

1 VOTRE I NTERETlIMilWEaSr .M WLflk

| VOUS COMMANDE ^rjflt raBLl ME jBffB»

| DE CHOISIR fl^ii ^BB> TpP^Sir'^H

1/2 Amortissable. 4% 1696. Afrique Oooidentale'" 275D.. 2705.. 33.. Epina~(Houilleres&Ch.ferd') 7'0.. 75:). Bons Moxi~.ins 6 1913 673 680.. 4 1917. 20 718 20 i!8

Spectacles i

'<̃̃' »»̃̃̃̃̃ :r"

Théâtres

Première représentation

EN SOIREE v

APOLLO, ce soir, A 9 heures, première représentation de L'As, pièce en trois,' actes de M. Yvau Noo, Mme Blanche Alix et de M. Cliarles Poidloue, avec M. Jean Toulout, Mlle Simone Dulac, pour les représentations de M. Maurice Eseancle, avec Jacques Tarride, Mlle- Hélène Terpsé; MM. Mïireac, Prévôt, Lorière, Jacques Berger et Camille Corney.

Mise en scène de M. Abel Tarride. En matinée

Mémo spectacle qu'en soirée

GRAND-GUIGNOL, i j 2 h. 45.

En soirée

OPERA, à 8 h. 45, Le Chevalier à la Rose (Mme Tirurcl, M. Huberty, Mlle M. Ferrer, M. Mnuran, Mlles Laval, Tcssandra, M. Warnery, Mlle Hamy; MM. Mègre, Morini, de Leu, Ouyard, Madlen, Jobin, Ernst ̃Mlles Jabeiiudou; Me-slih, Descamps; MM; l'avreau, Cartel, Delmont, DUmanj1, Mme Kerval). Orcli. M. Gabriel Grovlez. COMEDIE-FRANÇAISE, à 8 h. 45, Moi {MM. Ch. Uranval (rentrée), Lcdoux, Cliambreuil, M. Le. Marchand. J. Marchât, 1'. Faubert, Le Oorr, P. Dux, J. Martlnelli; Aimes H. Perdriftre, 1. Brillant, Lherbay). Les Honnêtes Femmes (M. J. Guillienu; Aimes B. Bretty. ;izan, Lherbay).

OPERA-COMIQUE, à 8 heures, Pelléas et Mé.isande (Mlles S. Berriau, Calvet, X. Roussel A1M. Gandin, J. Beckmans", F. Vieuille, J. Vieuille). Orch. M. Cloez. GYMNASE, a 9 heures, Félix, pièce en trois actes de M. Henry Bernstcin, avec Gaby Morlay, Constant Remy, Jacques GréJillat, Bertnier, etc.

THEATRE SARAH-BERNHARDT, à 8 h. 45, Mon Curé chez les Pauvres, avec Félix Oudart, François Rozet, Henri Monteux. Yvonne Hébert, Line IVoro et Alice Tissot. Djmanches et. Têtes matinée à 2 h. 30. GAITE-LVRIQUE, à 8 h. 30, Haënsel et Gretel, opérette en trois actes et quatre tableaux. Version française fie Catulle Mondes. Alusique de E. HumperçlliiçR.' PALAIS-ROYAL, il 8 h. 45, "Les' Sô^UfS Minette (AIM. Le Gallo, Duvallès, Charles .Lorrain, Robert BosBis, Lepers, R. Guillon; Mmes Germaine Risse, J. Fusier-Gir, S. Montalet, A. Janvier).

ATHENEE, à 9 fleures, Pardon, Madame!, (Mmes Henriette Marion, Jany, Clairjane MM. Lugné-Poe, Pierre Stephen, Robert Clermont, J.-P. Martin).

THEATRE ANTOINE, à 8 h. 45, L'Autoj ritaire (M. Signoret Mmes Ch. Barbier| Krauss, Linirys, M. Louis Allibert) Bouton d'Avril (Mme Marguerite Moréno, M. S. varennes).

BOUFFES-PARISIENS; à S h. 45, Arsène Lupin, banquier, opérette en trois actes, de I M. Yves Mirande. Musique de M. Marcel Lattes (MAI. Koval, L. Blanche, J. Gabin, KerI ny, P. Faivre Mmes Jacqueline Francell,' iles Lemonnier, Simona).

THEATRE DE PARIS, a 8 Il. 45, Marius, de M. Marcel Pagnol (MAI. Raimu, Berval; Mmes Alida Bouffé, M. Charpin, etc., et Aille Orane Demazis).

THEATRE EDOUARD-VII, relâche.

THEATRE MICHEL (Gut. 63-30). à 9 h. j Bloomfield, de AI. Charles Lafaurie (Pierre Frcsnay, Huguette ex-Duflos, avec Jean Wall et Irène Wells).

MADELEINE, à 9 heures, La Pèlerine écossaise (AtM. Ch. Boyer, P. Laloz L. Kar| ly et A!. Alerme; Mmes AI. Lambert. J. Ronj ceray). Un type dans le genre de Napo-

léon.

THEATRE MARIGNY, il 8 h, 30, la célèbre opérette de M. Léo Fall, Madame de PompadoUfi 'et tous ses créateurs (Aille R.

Vécart. n. Rurnier. J. Alarèse, R. lièrent,

M. Thibaut et Curpentier)

NOUVEAUTES, a 9 heures, Langrevin père et fils (AIAI. JolTfe, Roger Tréville, Carette; Ailles Suzanne Dehelly, Suzet Maïs

jet Luçlçijpe,. ,Givry).

MIC^9Çj|BE, a S h. 45, Le Sexe faible, de AI. Edouard Bourdet (Jeanne Cheirel, I Victor Boucher, Alarguerite Moreno, Pierre

Brasseur, Jeanne Grumbach, Joïë Noguero et Suzanne Dantès).

GRAND-GUIGNOL, à 8 h 45, 1 Sur la dalle; 2° L'Aventure; 3° La Marque do la Bête, de Rudyard Kipling; 4° Lo Bonheur.

DAUNOU, à 9 heures, Par le temps qul court, revue de Rip (Jane Renouardt, Arletty, Fernand Gravey, Barencey, Josylla, f.vec Pizani, Marcelle "Monthil, Lucien Baroux et Alaurieet).

THEATRE SAINT-GEORGES, à 9 heures Etienne (Mme Marthe Régnier MAI. Jacques Baumer, P. Bernard; Mmes Alice Ael, Véra Ossipova et Henry Trévoux). THEATRE DE L'AVENUE, à 8 h. 45, precises (spectacles de Mlle Falconetti) Terre d'Israël, troi» actes d'Edouard Ilelsey et Jean Botrot .(Maurice Varny, I. Kloucowsny).

COMEDIE DES CHAMPS ELYSEES, à 8 h. 4 5, Le Prof' d'anglais, trois actes de M. Régis Gigiious, avV»'c'- Valentlne Tessier, Louis Jouvel, Romaitt Bouquet).

MOGADOR, a 8 n. :;o. Le Chant du désert (MAI. Couzinôu, Gilbert 'Kabos, Gerbert, Steber, Despuech Mmes Marcelle. Denya, Aiona Païva, Tlielma Edwards, Dejoing). FOLIES-WAGRAM, à S h. 45, Cihésonor (André Baugé, Henri Beaulieu, Jean Alonet et Robert Casa; Mmes Cébron-Norbens, Solange Cardet et Tariol Baugé).

MATHURINS, à 8 h. 45, Mon Député et sa Fomme (Pierre Finaïy, M. L. -Berger, L. Callamand, Lestac-Fenonjois et Pas'calinc). THEATRE DES C.4ANiPS-ELYSEES, clôturc,

ALBERT- à 8 h. 45, On the Spot (en anglais).

ARTS, à 8 h. 30, Le Divin Arétin. ATELIER, clôture annuelle.

CHATELET, à 8 h. 30, Malikoko, roi negre.

COMEDIE-CAUMARTIN, clôture annuelle. COMCEDIA, à 9 heures, Les Vignes du I Seigneur.

DEJAZET, à 8 h. 30, Une bonne position. DEUX-MASQUES, a 8 h. 30, Une Belle Gosse.

NOUVEAU-THEATRE, clôture.

ODEON, clôture annuelle.

PIGALLE, clôture annuelle.

PORTE-SAINT-MARTIN, a 8 h. 30, La Tour de Nesle.

RENAISSANCE, relâche.

ŒUVRE, clôture annuelle.

POTINIERE, à 8 'h. 3 0, spectacle anglais. STUDIO DES CHAMPS-ELYSEES, a 8 n. 30, Maya.

SCALA, à 8 h. 45. Six Filles à marier. TRIANON-LYRIQUE, a S h. 30, La Fille de Mme Angot.

VARIETES, clôture "annuelle. '̃' THEATRE DES DEUX-ANES, à1 9 heures". La Revue, de MAI. •- Jean "Rleux eV- Georges Merry.

THEATRE DE DIX-HEURES (Marcadet 07-48), à 10 heures,- Le Texte faible. THEATRE DE LA CARICATURE, clôture annuelle.

MOULIN DE LA CHANSON, clôture annuelle.

APOLLO

Ce soir à 9 h. 1ère représentation JEAN TOULOUT

SIMONE DULAC

~Y\~Em~

,J

L AS

S^ «le M. "Vvan JiOB

Mme. Bl. ALIX et M. Ch. POIDLOUE Pour les représentations de

MAURICE ESCANDE JACQUES TARRIDE et CAMILLE CORNEY Dans le hall, exposition des souvenirs glorieux de l'aviation

1 Location ouverte Central 72-21 1

Notes & Informations Opéra. Vendredi, La Walkyrie. Comédie-Française. Le Barbier de Sévilk aura pour interprètes, demain (tarif des matinées classiques), MM. Dehelly, André Brunot, Denis d'Inès, Lafon, M, Le Marchand, Lé Goff, Pierre Dux, Mlle Berthe Bovy.

Le Médecin malgré lui sera joué par MM. Croué, Ledoux, Pierre Bertin, M. Le Marchand, Pierre Faubert, Jean Martinelli, Mmes Andrée de Chauveron, Béatrice Bretty, Nizan.

En soirée, dans Robert et Marianne, paraîtront MM. Alexandre, Jacques Guilhène, Mmes Marie-Thérèsa Piérat, Berthe Cerny quiiïerasa rentrée.

r

Vendredi, Le Gendre de M. Poirier sera joué par MM. Denis d'Inès, Charles Granval, Jacques Guilhène, Lafon, Paul Gerbault, de Rigoult, M. Le Marchand et Mlle Nizan.

Dans La Vieille Maman paraîtront MM. Ledoux, Lucien Dubosq, Mmes Berthe Bovy, Jane Fàber, Tonia Navar, Lherbay.

̃

Samedi, pour la continuation des débuts de M. Jean Martiiielli, Hernani. Opéra-Comique. Mlle Jane Guyla, l'une des plus brillantes interprètes du rôk de Louise fera sa rentrée, demain jeudi, dans l'œuvre de M. Gustave Charpentier. Mme Mathilde Calvet fera, également sa rentrée dans le rôle de la Mère M. Raoul Girard (Julien) et M. Félix Vieuille (le Père) seront leurs principaux partenaires.

Avec M. Verdière dans le rôle de Weriher qui lui vaut, à chaque représentation, un succès considérable, c'est Mlle Rose Pocidalo qui chantera Charlotte, vendredi prochain. Les deux rôles d'Albert et de Sophie seront respectivement interprétés par M. André Gaudin et Milc Lebard.

Mlle Leïla Ben Sedira, l'une des plus délicieuses interprètes du rôle de Lakmé, chantera l'œuvre de Léo Delibes, dimanche prochain, en matinée.

Lakmé formera spectacle avec Le Sicilien ou l'Amour Peintre, l'œuvre de fantaisie charmante et de gaîté, que M. André Dumas a tirée de Molière et dont le compositeur Orner Letorey a écrit la partition. Variétés. Après-demain, réouverture Topaze; de M. Marcel Pagnol, avec tous ses créateurs-^ Location (Gut. 09.92).

Nouveautés. Mardi 30, en soirée, répétition générale de Cœur, comédie en 4 actes de M. Henri Duvernois, interprétée par Mlle Régina-Camier, M. Roger Gaillard, Mlle Suzanne Dehelly. M. Carette, Mlle Suzet Maïs, MM. Guy Sloux, Champell, Numès fils, Carle, Germaine Prady et M. Saturnin Fabre.

La formidable opérette à grand spectacle Le Chant du Désert (Desert Song) est acclamée tous les soirs par le public enthousiasmé qui se presse toujours au Théâtre Mogador. Dimanche matinée, à 2 heures 30, même interprétation que le soir.

Mattcurine. La direction du Tr/ëâtre des Mathurins nous prie de .rappeler que, conformément aux conventions arrêtées avec l'auteur dès le mois de juillet, les représentations de Mon Député et sa Femme prendront fin irrévocablement le mardi soir 30 septembre.

Le Théâtre DU Petit-Monde fera sa réouverture aux Folies-Wagram, le jeudi io octobre, en matinée, avec une eomédie féérique en cinq actes Le Petit Poucet, de Mlle Thérèse Lenôtre, musique inédite de M. Edouard Favil, couplets de M. A. de Montgon. Cette première représentation de gala aura lieu au profit de, « .L'ÇËuvre de la vie au grand air pour l,'?hf,ance malheureuse », sous le patronage de. M. Désiré Ferry, ministre de la Santé publique, et la présidence d'honneur de Mme la maréchale Lyautey.

M. Georges Biscot vieriï '"aT"rentrer à Paris, de retour d'une grande tournée en France. A nartir de venHrprli nrnrhain pt

jusqu'au 2 octobre., il reprendra Pomme d'Amour, à Ba-Ta-Clan, puis jouera Le P'tit Marmiton dans quelques théâtres de h a périphérie. Ensuite, il "créera à l'Alcazar de Marseille une pièce en quatre actes de M. Emile Codey, intitulée Dédé la finance.

tmm^^mm'

TOURNÉES OFFICIELLES

L'Opéra donnera, demain jeudi, à Genève, un spectacle de danses qui réunit Coppélia, La Tragédie de Salomé, Les Impressions de Music-Hàtt et L'Eventail de Jeanne.

Vendredi, à Genève, Castor et Pollux. Maxime Girard.

.2- r

Muslc -Halls

Cabarets et Cirques En soirée

FOLIES-BERGERE, A 8 H. 30, Un Coup de Folie, nouvelle revue en deux actes, et 80 sensations d'art et de joie, de M.. Louis Lemarohnnd

CASINO DE PARIS,, irelaehe pour répétitions de la revue Paris qui remue. PALACE, 8 8 D. 30, La Revue de la femme. en deux actes et 45 5 tableaux, de MM. SalntGranier, Henri Varna,, Earl LeUle, avec Raquel Métier. 300 artistes, SO g-irls et boys. EBIPIHE-IHUSIC-HALL-CIRQUE, a 8 n. 30. Pour la première fois en France les 12 indies de Palm Beach. Les 5 Kentuky Singers, Jean Sorbier et Bobby May. CONCERT MAYOL, a 8 n. 30, t-a Parade du Nu, revue en deux actes et 45 tableaux, de Mil. Léo Leliôvre. Henri Varna et Marc c.jb, Pcggy Vere, Maryse Choisy, Paulette Franck, etc.

LUNE-ROUSSE (58. rue Pigalle), Trud. 01-92. A 0 heures, chansonniers la revue do Bonnaud, Michel, Secrétan Du Nouveau. à l'Ouest!, avec Mlles' L. Florence, J. Ford, J. Blanc, G. Loiret et les chansonniers

NOCTAMBULES, a 9 heures, La Revue navale.

CIRQUE MEDRANO (téléphone: Trudaine 23-7S), à s h. 30, Antonet et Beby, les Rainât, les Grix-Grig-ory, la cavalerie Glasner et six attractions inédites à Paris. Matinées jeudi, samedi et dimanche. CIRQUE D'HIVER, à 8 h. 30, les clowns Dario, 20 attractions. Mat. j., s., d. LUNA-PARK, t. les jour-s, mat. et sOIr. Attractions, dancing.

Les FouEs-Bercère. Le plus beau music-hall du monde, présente la plus merveilleuse revue Un coup de folie (80

Tous les Jours à la li. et à 22 h. l'émouvante chanteuse DORA STROEVA

et

les deux célèbres duettistes

de Londres

MARINÔ et NORRIS se font entendre au Cabaret du BŒUF SUR LE TOIT 26, rue de Penthièvre

Tél. Anjou 11-10

CASINO de PARIS; C'est S

IRREVOCABLEMENT t, DEMAIN JEUDI | que MM. Dufrenne et Varna s présenteront à bureaux ouverts

en grande première de gala

PIEU QUI REMUE 1 avec

la eélèbve étoile internationale {j

10~f ~~K~,

visions d'art et de joie) de M. Le Lemar- chand, un point c'est tout

Les obsèques de Paul Briquet. Hier après-midi ont été célébrées, en l'église de la Trinité, les. obsèques de Paul Briquet, le spirituel revuiste qui fut, notamment, un des collaborateurs les plus brillants de Rip et dont la mort prématurée a douloureusement surpris tous ses amis.. j M. Fernand Rouvray a pris la parole au nom de là Société des Auteurs et Compositeurs dramatiques. ̃

.-œa. a 1

Cinémas

AGRICULTEURS (8, rue d'Athènes) ̃; Les Jardins merveilleùx, Rapsodie hon- groise.

ARTISTIC-CINEIHA, Une grave erreur. AUBERT PALACE, relâche. Ouverture; prochainement.' ..». CAMEO, Tonnerre.

LES CAPUCINES, La Nuit nuptiale.

COLISEE, Haï Tang.

ELECTRIC-AUBERT-PALACEy Force, _r FOLIES-DRAMATIQUES, L'ImmortSl -va- gabond. GAUMONT-THEATRE, La Chanson Pa-i, ris. :̃̃̃,•

IIHPERIAL-PATHE, L'ÂrlésieWhe.

MADELEINE-CINÈMA, Le Droit d'aimer. MARIVAUX PATHE, matinée et soiree, Accusée levez-vous.

IV1AX-LINDER, La Mégère apprivoisée. rcoULirc-ROUGE-ClNEMA, La Mégère apprivoisée.

ŒIL-DE-PARIS, relâche.

OLYMPIA-CINEMA, Les Deux Mondes. OMNIA-PATHE, Chiqué.

CINEMA DU PANTHEON (13. rue Victor. Cousin (5e). 9 heures: Bulldog Drummond (en anglais).

PARAMOUNT, La Grande mare.

RIALTO-CINEMA, (angle du « Matin »)<. Séduction (Erotikon).

STUDIO-DIAMANT, relâche.

STUDIO DES URSULINES, réouverture 26 septembre.

STUDIO 28 (10, rue Tholozé) 9 heures, Un chien andalou (surréaliste); La chute de la Maison Usher, d'Epstein, d'après £d'gar/i Poe.

̃-»»-a-i»

Le premier spectacle que donnera le Studio des Ursulines, cette saison, sera" composé de cinq film-, de court métrage, tous inédits, et du film Car West qui vient d'obtenir, à Londres, sous le titre Hell's Heroes un énorme succès de curiosité.

La réouverture des Ursulines est fixée à vendredi prochain 26 septembre.

Ux NOUVEAU Cinéma Palace. Le Le Roxy Cinéma ouvrira prochainement une. galle, entièrement neuve, spacieuse, confortable et somptueusement décorée;f' dans. le 9e arrondissement, '65 bis, rue RoW- chechouartra Paris. Programme de premier ordre, équipe- '̃̃̃• ment sonore et des innovations

Le directeur, M. Gaston Groner, nous promet des merveilles.

Attendons octobre, date d'ouverture. Courrier Music ai

f

GONGERTS PRSDEltOUP' ¡

Roniltf Drf lirO samedi 4 octobre à ."> h. S

C Re'Du"erlure s.~me<1i 4 oeÍobre à 4 h. 30

m HCUUÏCf tUlc dimniichc 4 uctob. à 4 h. 30 m

1 IIU THEATRE DES CHAMPS ELYSEES | S .Renseigriem., abonnem,, 6, r. CvuksoI J- S Roquette S9-U0 3

̃̃ ̃̃ ̃ ̃- ̃ ̃̃ "ZÎZ

REUNION D'AUTOMNE 1930

DE LA FOIRE DE LYON

La Foire do Lyon comprend cette année trois manifestations une exposition internationale de T. S. F. (tenue du 6 au 14 septembre) une exposition caprine (4-17 octobre) une exposition générale agricole, j du bois et des industries connexes (4-12 octobre).

A l'occasion de ces manifestations, les î coupons de retour des billets aller et~ retour délivrés à destination de Lyon du 3 au octobre sont valables jusqu'au 13 octobre i inclus ceux délivrés du ^î au 12 octobre sont valables Jusqu'au, -l-i octobre inclus.» Sur les réseaux d'AIsace-Lorraine, '.de(, s l'Est, de l'Etat, du Nord et du P.-L.-M., il est, au surplus, accordé aux groupes d'au moins dix personnes justifiant de leur parij ticipation à une même organisation commerciale, industrielle ou agricole légalement constituée, une réduction de 50 0/0 sur le prix du voyage à plein tarif.


LA VIES PO R V E )i 9

–̃̃̃•«̃̃ l

Ceorses à Maisons-Laffiite

Aujourd'hui, à 2 heures, courses à Maisoos-LaffHte. Gagnants de Figaro Prix de ta Saône. Pervenetz, Bulle. Pria; du Danube. Orsova, Lutin. prix da Rhône, Majunga, Soif d'Amour.

La Coupe d'Or. Arbalétrier, Wliltf Clover.

Handicap de la Seine. Loriot V, Elme. Prix de la Méditerranée. Blanblan, Primitif.

Prix de la Pieardi*. Krakatoa, Ma Pépé.

Courses à Rambouillet Prix de la. Boitsicre (à réclamer, S.flOO francs, 1.600 mètres). 1. Zivie, à M. I.. X. André (E. Boissay) 2. Guillaume de Sillé, à M. Joseph Bofla (F. 'Hervé); 3. Bérat, à M. le comte H. de Montcy (R. Kaiser) (3/4 de long., 1 long;, 3/4 dp long.) Pari mutuel à à francs (unifié). Gagnant 743 fr. 50. Placés Zlvie, 163 fr. Guillaume de Slllé, ,ti fr. 50'; Bérat, 19 francs, Prix de Voisins (10,000 fr., 1.20O mètres), 1. Fille Royale, à M. A. Hoffmann (C. Herbert); 2. Tyran, à M. J.-E, Widener (J. Ma>shali) 3. Sixounette, à M. G. Gounouilbou (R. Kaiser) (3 long., tète, eneo- lisre).

Pari mutuel à 5 francs (unifié). Gagnant 15 francs. Placés Fille Royale, 10 fr. Tyran, 24 francs.

Prix de Bonnelles (apprentis, 8.000 fr., 2.200 mètrss). 1. Monroe, à M. A. B. de Puchesse (M. Lerov); 2. Le Huila, à M. Georges Cahcn (S. Rochet) 3. La Parigotte, à M. S. Scvadjian (L. Maillet) (2 long. 1/2, 1 long., encolure).

Pari mutuel à 5 francs (unifié). Gagnant Il francs., Placés Monroe, 8 fr.; Le Huila, 13 francs.

Prix de la Croix-Saint-Jacques (haies, 13.000 francs, 2.800 mètres). 1. Gros Bleu, à M, 3, Poisson (G. Wapren) 2. Mer Rouge, a M. F. Ma*y (R. Trémeuu); 3. May Bec à M. le marquis de Triquerville (M. Bianeo) (ï long. 1/2, 2 long. 1/2, tête). Pari mutuel à 5 francs (unifié). Gagnant 94 fr. 50. Placés Gros Bleu, 31 tr. 50; Mer Rouge, 16 francs.

Prix de V Abbaye des Vaux-de-Cernay (steeplc-chase, 16.730 fr., 3.400 mètres).. 1. Rodos, à M. Pau) Zivi (R. Lock): 2. Le Havre, à Mll« D. V. Feyd (J, Costadoat) 3. Saint-Loup de Xaud, à M. Léon Tacquet (H. Howes) (4 long., 6 long., 1 longueur 1/2).

Pari mutuel à 5 francs (unifié). Gagnant 14 fr. r>0. Placés Rpdos, 7 fr. 50; Le Havre, g fr. 50; Saint Loup de Naud, 11 francs.

Prix du Baville (steeple-cliase militaire, 2. série, 2.308 fr., 3.500 mètres). 1. tadderic, à M. Bonrcler (Durand) 2. Digne Ami, M. Dumesle (de Champral) S. Lilloise, a M. Laine (Lainé) (G long., loin), Pari mutuel à 5 francs (unifié). Gagnant JO francs. Cadderic, 5 fr. 50; Digne Ami, 0. francs,

AU PARC SPORTIF MUNICIPAL P'AGUILEBA

U dernière journée e

de concours hippique de Biarritz Le Concours Hippique international de Biarritz a pris fin .lundi par un aprèsmidi radieux que n'annonçait pas une matinée grise, fraîche et pluvieuse, Le Parc des sports d'Àguiiera est une eréation municipale très réussie. Le parc comporte un terrain de rugby mis à la, disposition de Biarritz olympique, un fronton de pelote basque, des courts de tennis, le terrain de concours hippique. L'arrangement est techniquement remarquable, le eadré est joli, élégant, Le tout est cpTOçt il est dommage gue çg parc ne soft pas complété pgr upç piste de courses a pied et des installations d'édu«At-isn çhysjflue et d<? concours athléti-rques.

Le terrain et le parcours des tournois hippiques est excelIant. H faut bien qu'il le soit pour n'avoir pas été fâcheusement épwjuvé P9F les pluies de ces derniers i

Favoriser par Je J?,eau te;pi>s, Ja dernière iréufljpn SB concours avait attiré line nombreuse assistance laquelle trois épreuves ont offert un spectacle attj'ayant et lors du prix Miche) Bignpn réservé a.U5 dames assez fortement émouTitnt. Les concurrentes y ont en effet fait preuve d'un cran qui a soulevé l'admira- îIqïi de, l'assistance et forcé Jcs applaudissements, Miss MiW Carthy, Mme (iarat pt la comtesse de Castries se montrèrent en effet intrépides. Désarçonnées, elles remontèrent courageusement et achevèrent, vaillamment leurs parcours interrompus. Miss DoBohoé, qui montait Malieorne, fut moins heureuse que ses ad- versaires. Une brusque dérobade de sa monture lui valut de tomber dans la rjviçrç, Pans le Prix des Dames, la vic- toire est aliée à Mlle de La Croix qui, sur Gipsy, a fourni une très jolie carrière, ainsi que miss Mac Carthy sur Torpille et que la comtesse de Castries »«r Mademoiselle de La Pichoiserie. Le Prix du Gouvernement, handicap.a fourni l'occasion d'une lutte très sévère. Deux concurrents ont tout particulièrement été remarqués et applaudis, M. d'Ogny, qui a véritablement porté son cheval au succès, et le comte de Castries, Le vainqueur, M. Auber de Pcyrelongue, a fait accomplir à sa monture Msdçmoiselle de La Pichoiserie, un parcemrs magnifique de sûreté et de correction. JI a été acclamé.

Dans le Championnat de puissance, la lutte fut sévère et serrée. L'assistance a suivi avec intérêt -et émotion,, parfois avec quelque anxiété, les péripéties des tr,pis compétitions.

.Oserai-je formuler quelques critiques? On ne se soucie pas suffisamment dans îes concours hippiques de soutenir l'attention de l'assistance en renseignant celle-ci. L'affichasrc est borné au numéro

= MEBBLES & IMMEUBLES^

-s- PARIS ̃»

1.JL1 u .I..H1UIJUIUIIIII iu- j-.jin iijiii.ii.iiil! ji .i ini.iiimj .I.ULIH .jiu-i »̃̃! IH.I.I1. i. j m-j.il»'.

immeubles

-r-^ JVeullIy, porte Maillot Bon im£-£A meuble, une boutiaue, 2 appartem. Wjr libres. Jardin et pavillon. Unique. sSTmkmj. Jurâmes, 11, rue La Fayette.

SQUARE MOPrmOLOÎV (Près) Tr*« bel IMMEUBLE, parfait état, gds locaux commer. ciaux libres et aménagés en bu-

reaux, entrée coenere. sup. buu mq env. Prix avantageux. (262J 2656) MA-TB» et dA0$TiAULT Frèrea, 18, rue Royale.

Muette i Immeuble p. de taille nv. app. Uhren, soleil, vue sur jard. l-"M»U^»0O ïr. SAIfltTwPAlJjL, 48, rue de Passy. Ai Tendre, TB.OCAIJKRO, bel 1mm. neuf, p, de taille, tout conf., 2 faç,, 7 étagés, 14 »dp, 5 et 6 pièces libres, haut. sous plafond 3 m. 50, au T, mngin. nnii, a-Vec 2 studios et gr. terr., 11 boxes, asc. dom. Rap. éventuel 43û,O0#. Conviendrait à adtninist. Prix i 4^00.000 fr. S'adres.; 'l'ernon. 65, r. ChêLteaudun (Trin, 14-56).

jt '• ._j._

Jlppatrtei3Li.e]nits i ppartenientt! luxueux k «onscrtre ou h A louer. Vue splend. sur Bois, tout dernier conf., chauffage central et froid central, téléph., boxes pour autos, libres de suite. Voir 59 bis.Bd Murat,Paris(16') Près QUAI D'ORSAY, à vendre tr. belle gar«. Tt cf. Gde terras, au 8e et S* ét, Téléphoner le matin Ségur SS-15. Ûrand appartement av. superbe atelier. U situation uniq., à vendre. Ségur 83-83. Nenillr, proximité du mois, vue impr. o fli-anda et petits appartements k vendre. Occupation novemb. 1930. S'ad. sur pl. de 15 à 17 h.: 11 bis, av. de Madrid, Neuilly.

du concurrent. On ne tient pas un tableau public des fautes, des points, des temps. Pourquoi les organisateurs ne s'inspirent-ils pas de l'organisation si poussée et je puis dire modèle qui a été inaugurée et pratiquée en 1924 au Jeux de Paris pour le concours hippjqu? olympique ? Cette organisation a été renouvelée aux Jeux d'Amsterdam. Elle intensifia l'intérÇ-l de l'épreuve. A Biarritz, le jury a une estrade couverte qui lui est réservée elle n'est pas très gracieuse avec ses toiles de différentes couleurs et elle est surtout mal placée. Elle cache aux speetateurs une bonne partie du parcours. C'est un détail facile à corriger dans l'avenir-, Freiitz-Beicbel, v Les rallies de Chantilly Rendez-vous à La Table. Les cavaliers partent par la route de Commette, la première route Ronde, le layon de Condé, la route du Héquet,4e> poteau SaintLéonard, le carrefour du Chapitre, le poteau des Bruyères après un arrêt de dix minutes, ils repartent par le poteau de l'Entonnoir, le carrefour du Gâteau, le pare à Pourceaux, le Connétable, la route de la Fille-Morte, traversent la route des Lions et finissent par une arrivée de 800 mètres route Milliard, après avoir sauté une quinzaine d'obstacles. Les vainqueurs ont été MM. Marcel Henry et Jean Ranard.

L'épreuve des dames a été enlevée par Mlle Odette Lazard.

Reconnu M. et Mme Alfassa et leur fils, M. et Mme J. Renard, M. et Mme François, M., Mme et Mlle Lazard, M. -et Mme Marccron, M. et Mme Georges Lévv et leurs enfants, Mme et Mlles Sarda, M. et Mme Lévy Reiss, M. et Mme Eugène Blanchet Mme Simon, Mme et Mlle Caumel, M, et Mlle Brasseur, M. Béjot et son fils, Mme Simon, M, Rometin, docteur Roussel et M. Tony Roussel, M. Richard Faivre, MM. Brunchwick, M. Civet, M. Marcel Henry, M. de Valroger et son fils, lieutenant Monton, commandant Lippman, M. Beaudrier, M, Kulp, etc.

Samedi 27, dernier rallye de la, saison. Rendez-vous Croix de Pontanné, à 15 heures. Coupe des rallies de Chantilly.

Voisin bat le record des 45.000 km. La 12 cylindres Voisin continue sa

r.o.nd«i II MooifcliiW*et-s:>e«fcidj; reprend»

un jiouvcau reBord.a,us Américains ceiui des 45.QÛ0 kilbmètresîqu'îls. détenaient ave'c' le temps dç Wj> h. m, et la moyenne de 109 fcil. md à l'heure:

ta Voisin a abaissé ce record à 369 heures 41 minutes, avec la formidable moyenne de 121 kiL 725 à l'heure. Cette voiture a également battu le record de durée des quinze jours avec 43.737 kil, 566 et une moyenne de 121 kil. 943. Après le Grand Prix de i'A. C. F, Les moyennes prodigieuses réalisée* pendant lé Grand Prix de l'Automobile-. Club de France ont mis en vedette, uac fois de pius, une qualité chaque joui plus nécessaire WMJs voulons parlei de la tenue de route. Ne nous étonnons donc pas que tant de .coureurs aient fail appel, cettp fois encore, à ce précjeuîi auxiliaire qu'est l'amortisseur Hepusseau>-SiJentbloc, Çi^ns notamment te: trois premiers du classement générai (EtançeJin, Bipkin iet Zanclli) et le: premiers de chaque catégorie.

lielle victoire qui confirme celle dv Grand Prix de Monza Afif Jrois Masc- rat'i, claesées en tête, possédaient aijss: des amortisseurs Repusseau-Silentbloc La Coupe de l' « America »

La lutte des millions 1

'Le defender 'aînériba-Fn, •E'riterpvisg, n'àvarit -pas « cncore">rtmp«i*é: «« &$4^. druplc Tktxïire, que': la. jcjuc.stion était déjà -posée « Quelle- peut-être raison de ce succès ? » Et la réponse' est venue aussitôt « ce fut le triomphe des millions, dépensés des deux côtés par les compétiteurs.

Une autorité bien renseignée, car elle était à bord du cbalienger &ham>ock V et fut invitée à visiter, en connaisseur, le défende»' Enterprise, dont il tint la barre pendant un instant, au cours d'une sortie avant les épreuves, M. le major lickstall Smith, secrétaire général de la Yacht Racing Association, d'Angleterre, a fourni quelques détails précis à la Chicago Tribune, qui sont véritablement suggestifs et impressionnants.

Suivant l'opinioa bien nette du major Eckstall Smith, la victoire Américaine fut bien celle des millions que dépensa sans compter un syndicat de Yachtmen millionnaires pour la construction é'Enterprise et dont le total s'est élevé à. 730,000 dollars, soit environ 19 millious de francs tandis que le yacht anglais, Shamrock Y, n'aurait coûté, k sir Thomas Lipton, que 150,000 dollars, soit environ 3,800.000 francs.

Rien que le mât d'Enterprise, construit en duralumin, a entraîné une dépense de plus d'un million. Mais l'éco- nomie de poids équivalait â huit tonnes Is de plomb dans la quille et lui procurait une meilleure tenue et une supériorité de marche dans le près du vent. Le duralumin permettait une réduction de poids dans raAtuye d'environ une lop- ne, par rapport au mât .creux, en bois, du Shamrock .i: ̃ ̃̃•̃ Une innovation très remarquée fut forme de la bôme, avec ses traverses à coulisse par lesquelles ou pouvait mo-

PRÈS PLACE CLIÇHV

5 pièces, cuis., off., bains. Grand confort. Const. lux. pierre term. janvier. 35O.0OO. Vis. jeudi 8 4 S 53, rue Lemereier. Rens. Sébert, 3, r. Borda (Arch. 80-58). l,uieml»ouriur (pr. jard.). Jard. d, pluntex, Pare Monceau. Pnssy, Trpcadéro Apport. 2, 3, 4, 5 et C pièc. pr., dern. cf. Lib, Axoiice VEM1OME, 1, rue de la. Paix.

RUE DE L'UNIVERSITÉ

PRÈS QUAI D'ORSAY 1 Façade niidf. 1

ji.pparTeni, ae « et i prf pixiit:. uien uia-

tribués, nombr. dépend., haut. piaf. 3 m. 30. Arch.: MM. Plousey et Cn«n»nii. Prix de vente, plans et renseigrnements envoyés par constructeurs.

MATER et JACQ,UAUI,T Frères,

.18, rue Rc-yale.

Porte MAILLOT, sur avenue Appartement 5 pièces prinçip., 2 sal. de bains, ̃ lingerie. P. 0. P., 44 bis, rue Pasquier. A LTEUIL, face Boi» Spiend, ttpp. de 7 p. au et., 2 s. de b., gd conf., belles terrasses. Vue unique. A vendre avec facilités. S'adresser de Léon, 92, av. des Ch.-Elysées (Elysées 83-76). Auteuil, sur gr. voie, 530 mq, libre, à vend. prix intëress. avec facil. de paiera. Ec; Sté Imi»ob.,14,r.Cavdinal-Mereier(î)'') Fin 193« s lniiii. p. de taille, gd conf., l' garage, S, rue des Eaux (M" Passy) Appartements 3, B, 6 pièces, à vendre 105.000, ano.OpO, 370.0CO fr. Beaux appart, L de 9 et 11 pièces, hauteur sous plafond 3 m. 40. Prix 570.000 et 070.000. Frais réduits. Constructeurs B. H, F. P., 55, r.Chateaudmi <Trinlté 44-92 et 14-56)

""J*- 'L *'J ̃' .iiuii

Ï ~6'~C~$~O~àB ,1

NIPI Bel a"B>> s p' bain, COI?fi 40.000, lnlCC ss rep.Donnefoy, 49,av.Montaigne

difier la bordure de^ la grande volte à/Enterprise. Or, la confection de cette t bôme compliquée, a forme triangulaire, 1 en coupe traversale, n'a pas coûté moins » de SlS.000 francs.

Enterprise avait huit grandes voiles, d'un prix* trois millions. Trente nu- tres voiles avaient coûté trois autres millions. 'Deux mâts de rechange, en bois étaient du prix de 760.000 francs, j Les gréements, des trois mâts, y compris les barres en acier, avaient cntraîné une dépense de près de 900.000 francs. Enfin, la coque d'Enterprise, construite en bronze, sur membranes en acier, avec ses agencements intérieurs, a coûté 250.000 dollars, soit #-362.250 francs. Par contre, le prix de la coque du Shamrock Y, n'a pas dépasse 2.295.000 francs et pour ses voiles et espars, une somme de 1.275. 000. francs a suffi.

Ce fut bien, au moins en partie, car lès règlements et les formules de mesurage y sont bien pou. uclque chose, la victoire du plus grand nombre des millions dépensés, que celle d'Enterprisc. Et cela continuera forcément, comme cela a continué depuis qu'on a cherché l'amélioration des formes par des formules de mesurage, et l'admission des artifices de construction.

C'est l'histoire du yachting de course depuis un demi-siècle, depuis que le congrès de 1886 a décidé de l'unification de la formule de jauge française, et rendu plus chère la construction des yachts, en les perfectionnant, il est vrai, mais en déclassant les anciens, ce qui faisait dire au Dr Jousset, propriétaire de la grande goélette Stella, dans un langage imagé « nous allons encore être victimes ». Cela remonte à 54 ans. L'introduction, vers la .même époque, des voilures de soie, avec le Condor du peintre Gustave Caillebotte, a commeiiei l'affaiblissement du yachting de ri-

vière.

Très sage est la proposition qui est .soumise au New-York Yacht Club, aujourd'hui, par laquelle les defenders et challengers de la coupe de V America se rencontreraient, en 1931 ou 1932, dans les éaùx anglaises, mais avec des restrictions, quant au gréement et à la voiture des compétiteurs, dans un but d'économie et d'équité. E. Toulot. AVIATION

La caisse de secours de l'Aéronautique M. Maillard a fait parvenir à la caisse de secours de l'Aéronautique une comme. «Je 2.000 francs, don de MîjL. Joseph et Louis Asscher, en soUvenjr du raid Costes et Bellonte.

Rappelons que cette fondation, qui vient en aide par des secours immédiats aux victimes civiles et militaires de l'aviation et à leur famille a distribué depuis sa fondation 1.200.000 francs^ dont 15Û.000 francs depuis le 1" janvier dernier.

Cette oeuvre, fondée en 1911 par l'Aéro Club de France et la Ligue aéronautique de France, est présidée par M. le maréchal Franchet d'Espcrcy.

Dons et secours doivent être adressés ê M. Georges Besançon, trésorier général de )» Caisse de secours de i'Aéronautique, 35, rue Françojs-I".

NAVIGATION

AUTOMOBïlE

Le record mondial de vitesse

La jeune Anglaise, miss Betty CasSairs, qui a déjà dépensé plus de 100,000 livres sterling à construire -des canots automobiles pour aider au prestige de l'industrie britannique, a exprime l'intention de s'attaquer au record du monde de vitesse sur le lac de Wintermere, où le malheureux major Segraye a trouvé la mort.

Une décision finale sera prise, à Southampton, à; l'arrivée de la 'jeune sportswomBL&w}' paquebot « Berengaria s>, venant 4ë.?îe^¥ork.

Miss Càstaîrs revient de Détroit où %lle a' participé il des coursés contre le epiunidtfore Gardwood, cbâiepiofl des

Etats-JJnis,

~u.

~i~~s

LE MEETING DE LA COUPE POSEE Les Championnats de France juniorp Le meeting de Ja Coupe l'orée commence aujourd'hui sur les courts du 11a«ing Club de France à la Croix-Catelau nu Bois de Boulogne avec les Championnats de France juniors, qui réuniront l'élite des jeunes espoirs français, y compris Marcel Bernard et Mlle Berthet. Tous Jes jeunes gens engagés dans le championnat simple sont convoqués à 8 h, 45, et les jeunes filles engagées, également dans le simple, sont convoquée? à 10 h. 30.

Le Tournoi de Monte-Carlo

Les demi-finales du'tournoi d'été du Monte-Carlo Country donnèrent lieu, en simple, des luttes de trois manches où, chaque fois, le vainqueur dut concéder la première à celui qu'on désignsiit généralement comme favori. Lotan, ce jeune Anglais qui habite Nice presque toute l'aunée, a fait, certes, de gros progrès, mais sou adversaire, Ed. Garcia, un des meilleurs joueurs du Brésil, ne s'était jamais encore fait battre sur la Côte d'Azpr que par des joueurs de première classe et sa dernière brillante 'partie contre Tildeii, il enleva aisément la première manche, est encore présente à toutes, les mémoires, La- victoire de Lo^ tan, classé à 3/(5 en seconde série, a été donc très |f^t>ée par ses nombreux anii-s» Quant à la rencontre entre de Thomasson et de Poligny, son issue surprendra moins, étant donné que ce dernier, dans

Xontparnasoe, bel app. 6 p., cf., 20.000, ss J repr. Bonnefoj-, 49, avenue Montaigne, t

Bel appart. Ç P., bain, eau eh., 1S.O0O, ss i rep. Vr conc, 15S bis, av. de Suffren. Quartier Vietor-Huso, Muette, 6 pièces, ) 1 appartement, 26.WJ0, libre de suite, sans ] reprise, cenfort. Appartement, 2<i.0fl0, libre 15 octobre, sans reprise, confort. = Appartement, 32.000, libre 15 mars 1931, 3 sans reprise. Confort. Visible et à retenir immédiatement. S'adres. JVicolI I Immobilier, 42, rue Pasquier. Ht-Geurgf-K, prof. lit. ou mixte, 4 p., cuis., ̃cf.,1. S. 900. Mnrtin-Bavid, 60,r.St-Lazare A JLOrF.K, MBBE DE SUITE (ss repr.) PARC MONCEAU: APP. ï^| env. 600 mq, sc-mpt. récept., nomb. dép. Tt grand conf. 49, boulev. de Courcellés. Cherche louer 2 p.,s.de b., pet.cuis., S«, 7°, ler,6M6',17'. Ec.: Chamant,20,pl.Vendôme.

Petits et grimils app. à louer oétc-bfe e1.

janvier. Bertrand, 95,r.3t-jLazare(18c an.) Près £qn, liasuartine Bel app. 7 p., 4* et., 1.: 36.000, as reprise. HAR.VBI, 33, r. Ville-Ijévêaue..

SPOiftTE SAIXT-CtOUD, 4- pièces, cuis.,

bains, depuis 9.000 fr.; 2 pièces, cuis., depuis 6.000 fr. jYeven-Vuicfcojid et Cte, 41, rue Poussin (Auteuil 09-32).

I ftlIPI? GB.ISD APPAB-TEMÊÎVT, L<l/UCI\ luxe, vue sur parc. 2 sal., sal. à mang,, galerie, 5 ch.. matti-fes, 4 tell,, 2 bains, 3 chanib. doroeet. Libre j.anv,1931.S'.ad-: ^.av.Qén.-Maijginde') A lover présent., pi. St-Sulniiee Bel appart. fi p;, 32.000 plus charg. S'adr. sur 1)1. Foyer Français, 78, r. Bonaparte. Muette, pr.Bain, 4 p.,bs,tt cf., loy. 14.000, ss rep. Av.Ge»rge-V, 6 p., bains, cf., lib., loy. 22.000. Indicateur, 25, r. Mai-jgnan. ^lÎARïGNANÏCHÂNOE 19, rue Marignan, offre h éclinuser > Av. Mwsart, 5 pièces, tt confort. 13.000. 3H, FrérciJMït, 5 pièc:, tout conf. 12.GOO. », de Veirn««H, fi -pièc, tt conf. I5^O0. Hd-p»i»t Ch.-Kl»»,, hOt. part. louer, mixte ou bourg. Elysées 44-22. à

classement de la Fédération, se troue placé à 1/fi suelemenj. plus haut que on adversaire de Poligny a, cette aison, de nombreuses victoires, à son ctif et on comptait qu'il ferait mieux. Voici les résultats de cette avant-deriière journée ·

Championnat simple. Demi-finaes Lotan b. Garcia, 3-6, 6-2, 7-5 de 'homasson h, de Poligny, 1-6, 6-0, 6-2. Championnat double. ••“ Demi-finale iarion Crawrord et Cqrtwright b. Berîheim et Mirkin, 6-0, :fi^4.

Championnat double de dames. Deni-finale Mmes Marjollet et Franke j. Mines Triviér et Clavier, 6-1, 6-3. GOLF

Le Prix Sans-Souci à Chantilly Au golf de Chantilly, le Prix SansSouci réservé aux dames avait réuni 12 engagements. Les huit premières ont été qualifiées pour la finale disputée iur 18 trous, par éliminatoire. Cette finale a été gagnée par Mlle P. Foucher, battant difficilement Mlle D. Oppenheim. Résultats

l«i- tour Mme.P..lUgnaiild, b, Mme J. Florand au 18 ;Mllc, D- Oppenheim, b. Mme A. Thibaud.s? d'avance Mme R. Bechmann, b. Mme A. Carlhian, 7 et 5 Mlle P. Foucher, b. Mme A. Wisner, i et 3. iL

Demi-finales Mlle D. Oppenheim, b. Mme P. Régnauld, 4 et 3 j. Mlle P. Foucher b. Mme R. Bechmann, 5 et 3. Finale Mlle P. Foucher, b. Mlle D. Oppenheim, au 19e trou.

La Coupe Halphen

Réservée aux jeunes gens de moins de 21 ans, la Coupe Alphen jpuée au Golf de Chantilly sur 36 trous a obtenu un succès marqué. MM. J. P. Boucheron et J. de Saint-Sauveur se sont classés premiers à égalité. Voici les résultats

1. J.P. Boucheron 88 90 (36) = 142 2. J. de Saint-Sauveur 78 82 (18) = 142 1 3. S. Dufour. 90 97 (40) = 147 4. M. Cai-Hiian 74 82 (8) = 148 ̃ 5. D. Mouick. 93 99 (36) = 150 fi. P.de Saint-Sauveur 89 SI (22) = 158 7. J. de Gramont. 86 91 (9) = 139 8. H. de Gramont.. 93 100 (24) = 169' Au Golf Ciub du Lys

Au Golf du Lys,' la première réu- nion interclubs de la saison d'hiver «se donnera le dimanche 12 octobre prochain sous la forme suivante 1" Simple handicap pour Messieurs sur 18 trous par coups handicap limité à 24. 2° Sùiiple handicap pour Da mes sur 18 trous par coups handicap limité â 30. Ces deux épreuves ti-des.sus se disputeront le matin, les; déports- commçnçepout à 9-,lv ,45. .OomWômixlç handicap sur là trous par eo*ps, handicap limité.

Dans le but d'évtiMr .-̃ l'encoiubrement constaté lors des dernières épreuves disputées à Lys; lcCDiuilé a décidé de limiter les engagements à 100 dans l'ordre de réception. ̃̃»••"̃

Toutes les épreuves sont accessibles aux joueurs des Clubs reconnus dûment munis d'un certificat de handicap. Droits d'inscription 20 francs par personne et par épreuve. ̃ .̃" Engagements à M. J3andevilie, Golf Club du Lys par La'nvprlaye (Qise). Au Golf de Chibert*

Voici les résultats des dernières com- pétitions jouées suivie parcours de Chiberta

Coupe Poole. Demi-finales Mlle M. de Anchorena (18) b. Mme Dupuy (15) par 2 à 1 Comtesse d'Areangucs (22) 1). Mme Lambiotte (20) 7 et 5.

Finale Mlle de APel^rena b. comtesse d'ArcaJïgiics .6 et 5,

Coupe 0' Briej]. Jtoui-finales A. H.j Vincent b. 3. Léglise 1 d'avance A.; de Fore s t b. comtesse .de la Cimera fi- et 14. Finale sur 36 trous A.-H. Vincent b. de Forest 3 et 1.

Coune du Président (36 'trous Eclectic) • 1. Mlle M. de Anphoren.a (iti) 67 2. Mile C. de Rothschild (15) et Mlle Houjget (18) «8.

Coupe Chapon {Intsr-CfuJAs • sui' 3B trous). 1. Chîbcrta_iA. H. Vincent 16-4; iMBrqjft5i«tëWWw«i-16ii; A -de Furest 15*. ïltal 482) ï, Chaa^co (R.-E, Morrisp». 105, cap.' Siuclaîr; \U, G. Wkigham I(f9. Total 488)

Le Prix Cadum

Pour le pi'ix Cadum, réservé aux dameu, au Golf do GlJantijly, la clôture des cBgagivi>ents a été fixée au vendredi septembre. t»ie première épreiive par coups, aura Jieii le samedi 21. Scratch- ElimiBatoirc.Toe des messieurs. Une deuxième épreuve sera organisée le lundi 29, D'après le .classement de l'éliminatoire les concurrentes seront classées en trois séries. La l1'" série jouera un handicap par éliminatoire contre le Par. La 2" série jouera nu handicap contre le Par par éliminatoire. La 3* série jouera un prix de consolation handicap par coups.

Une troisième épreuve sera disputée, le mardi 30. Les joueuses ayant gagné les 1'" et 2" séries le lundi, joueront un handicap par éliminatoire. Les joueuses classées secondes dans les 1" et 2» séries le lundi, joueront également un handicap par éliminatoire.

ATHLETISME

Le match France-Hongrie

la Fédération française d'athlétisme a formé l'équipe nationale qui défendra nos .couleurs dimanche prochain, à Coi lombes, contre l'éqtripë de Hongrie. i 100 mètres. M, Mojrrlon (U. A, L),

A. Heise (S. H..Cp]nj3â!)."R«»pJ, ̃̃ A. Fi-

a&i "("Cl -<C S. G,).

̃ 2ft0,onètres. A, Mourlon (V; A. L), R. Beigbeder (C. A. S. G.). Rempl. P. i Pringuet (R, C. F.).

si 400 oiètres). R. Féger (M. C.), M.

1

L louer, Piaiue Monceai|proxr]ji'c.Carnot, 1s irnm. uf, app. 5 p., s.de b.jCf.irltra-m., )aus long-, durée. Auc. paiem. anticipé. 3Hêm£, areb., 3:5, r. Jouffroy. Wag.2£-8fi. \pp. a 1. av. rep.,4 p.,tt cf.juod., prè« av. «,-M:iM»», 1. 13.0.0.0 j)-an.«roif, Flgaro-Im. Ûouceau t Appart. 5 p., bel. iust., tt cf. l^oiig -bail. Conc, 3, rue Desrenaudes. WjJ.ISjK «'AiJTBLj; 5 p., h-, confort, 14.500 (repr. bail 9 -ans, 18.000 francs). PQJïTï: ChlGXAXCOVUT, 7 grandes pv n., cc-iif., 23.000 net, sans reprise. SEGONDI, 4, rue de Clichy.

Cu?)iup-jde-3lnrg, libre de suite, 5 pièces, 22.000. Libre de suite, 5 pièces, 18.400, charges compr. Métro: Muette, libre de Suite, 5 pièces, 24.000. Métro Ranelag-ii, libre de suite, 4 p., 21.000, chajg.es comp. S'adresser xiCOI.iL, ^2, rue Pasquier. Pte d'Autcui), ï"arc~dëH Prineex Hôtel particulier, 13 pièces, tt cf., beau jard., 45.000 U; SAiafT-PALTy, 48, r. Passy, Ranelasit A»p, 7 p., 2 b., t. cf., lib. Loy. 30.000. Vannier, tj4,r.M-iromesni-l. Lab. 74-80 MOSiCBAf; 1" et. k. j-Ue, lifc.t APP. bel, pièces, cuis., conf.l(r.OOO, plus .clia-rg. Auc.rep. Ag..s'abst. ;TB1.: Wagr, 7(i-ï7, ni«.s Souare fcamartjuc Bel APPAiRT., 3 S cb., 2 s. de b., 2 saïons, s. à maag., conf., serait libre 1er mars. Visible et engagement dès maintenant. Très joliment décoré, ss rep., loy. 32.000. S'adr.: Vau «en Braeck, 138, av. Victor-Hugo. t louer, prêx av. Foch j Cluirnuiati appart. 1 et 2 p., dernier conf., serv. par immeub., à J)rix réduit. S'adresser c ̃M. Yun deu BriKek, 138, av. Victor-Hugo Avenue H.-Hurtjji <Prêjs), S tr. gr, p, grand confort, loy.: 20.000, immeuble avant guerre. DL'ftlST, 11, r. Mogador. PI1PADP S™»1' "»"̃' *• s. de b., c- de LfURvrrLi t., vaste récept., 3« ét., ch. cent., 25.000 plus ch. ( Repr. bail 9 ans, -20.000). Tout A neuf., SfcXiONIH, i, rue de Clichy XCeijtral 34-07).

j_t__ Spontiui i Rei a»p., « p., coaf.,

«jtpfj 30.000 net. B.ue tjjivcrs.. studio

.3Q,OOOrtet., cuis., 'l:nh'erM.. studio fr.

*TJr*-plus 2 p., cuis., bains, 20.000 fr.

Banque Immobilière S*i«t<-Auga«tiB, 41, rue Laborde.

Moulines (C, A. S, G.). Rempl, F. fiaj-; fer (S. F.).

800 mètres. ? J. Keller (M. C), S. Martin. (S. F.). Rempl. F- Galtiçr (S. F.).;

î ,500 mètres. J. LadoumêjgWe (C. A. S. G.), G. Leduc (C. A. S. G.). Rempl. F. Lvonnet (M. C.).

5.000 mètres. M. Cuignet (M. C), P. Boitard (C. S. Coutances). Rempli. M. Micheot (L. P. A.).

110 mètres haies. A. Adelheim (M. C.), H. Bernard (C. A. S. G.), Rem/pl. H. Roth (A. S. S.)..

Hauteur. C. Ménard (Lywn), Philippon (S. F,). Keni-pl. Brumwu (A. S. Bourse).

Longueur. V. Barlier (Ut S. Belfort), R. Paul (C. A. Béglais). Rempl. C. Heim (C. A. S. G.).

Perche. P. Ramadier (R. G. F.), R. Wintousky (Ctermont-Ferrand). H«mpl.:

Crépin (S. F.).

Poids. J. Noël (S. F.), P. Wînter 'A S. S.). Rempl. R. Drecq (A. S, P. P.). Disque. J. Noël (S. F.), P. Winter (A. S, S.). Rempl. E. Lasserre (S. B. U. C.).

Javelot E. Degland (C. A. S. -G.), A. Gassner (C. 0. B.). Rempl, H. Simon

(A. S. 5.).

Relais "ÏOOx 2(>Oxt!Ô0x40O mètres. Mourlon (C. A. L), R. Beigbenler (C. A! S. G.), M. Moulines (C. A. S. G.), R. Feger (M. C.).

La commission a dû tenir compte du règlement du match qui n'autorise que la mise en ligne de vingt-trois athlètes au maximum.

G. Auvergne, E. Max-Robert" et G. Sempé ne sont pas disponibles à cette

rlo + n

DÉPLACEMENTS ET VILLECîlATORES DES ABONNES DE FIGARO

̃ ̃ JMUMJI4MMI r-r- =

M de Vatimesnil, au château de la,1\ Carrière. "M. Hubert Vitalis, au château des Al- ft pilles.

Mlle Paule Volland, à Pcxonne». a Mlle Rosalie Whebler, à Zurich. î M. le comte J. de Vibraye, au château de Freschines. 5 M. Pierre Yvert, à Amiens. a M. Ernest /Tvromski, à Maraejilc. S. Exc. M. de Mayol de Lupé Girifaico, i aux Pradeaux. M. Simon Arbellot de "Vacqueur, à Mangou. î M. André Alvarez Calderon, à Biarritz. 3 Mme Amaury de Lacretelle, à Mont- î fort-1'Amaûry. ï Mme la baronne d'Acher de Montras- J sotî, à Mei»in.

M. Georges Billaùdot, à Glja,n-sur-TerT î ïîfèt;" "'̃ ̃ ••! Mlle -Fernande Berger, a Marseille. î Mlle Chasl.es, à Versailles. î M. le docteur Couetoux du Tertre, à ? ? Troyes.

Mme la comtesse de Courson, à La. J Haye.

M. Jacques Chabrol, à Croissy-sur- I Seine.

M. Charles Couzi, à Bordeaux. I Mme Ernest Chausson, à Rochetoirin. i M. R. Oufresnc, à Compiègne. J Mme Dcvé, à Bourses. 5 M. Louis Deshors, à Saint-Mandé. Mme H. David de Sauzea, à Saisit- Priest-en-Jarez.

Mme Henry Delçourt, à Lille.

Mme Deycard-Dclçstréc, au château de Terre-Neuve.

Mme G. Dervieu de Varey, au château des Morcaux. M.' Albert Ferrand, au cliâfteau du1. BaJet.

M. H. de FpydÊau, au château de Grazay. Mme la vicomtesse L. de Fçntenaj', au château de la Va?en."e. Mme des Forts a Sedan.

M. Marcel Faucheur, â Lille. 'j

Mme la comtesse R. de Galbert, au châ- tcau de Vaugçj.as, Mlle Gaillard de Witt » Clairefontaine.

M- Juillard Htirtmana, à Epinai- Mme Louise Joliot, à Vicjjy i- M. le comte Christian de JuniHltàe,' à l>acy»!e-Mont. ''̃'̃ M. E. krafft, à Mulhouse, -'•' ^faie. fiila. de Kohl-Kohlcuesr?, k'Gœc-' f donc-Rivicï'al' ^rnie Ed. Loewejjgard, a Vichy. M. C. de L« Cliarié, au cliâteau'.d'AMiis. M. L. de Longcvialle, au cMlSfii de Najirenard-Gleizc. de Lsngchaur- à Bourg-la-Reine, M«iç la comtesse Pij. de J^a Loge d-'Aus* son, au .château de Lauiotlie,

M. H. Latte, au château do Pinson. Sîipc LaiJié-Condé, à Quijjjper. M. le docteur Legendre, à Gespuflsart. Mme de La Tour, M Bordeaux.

Mme M. Laporte-Bisqait, au cMle*»; de la JJ«kj-

Mme la comtesse de Laiour de Geay, à Robeltes.

Mme la marquise de La ChapelleCros ville, au château de la Faye. Mme La Rivière, à Na«cy,

M. Francis de Luze, au château du Paveii.

M. le baron L.-N. Locré, à La ButteRochecorbon.

M. A. Loubet, à Pau.

M. Jean Maugras, au château de SaintPierre-dc-Varenge ville.

M. le marquis et Mme la marquise de Mflntebello, à Moulin-de-Stors.

M, le vicomte de Montrichard, au château de Kernevez.

Mme André Maurois, à New-Jersey. Mlle Léa Mulquia, a Bexhill-on-Sea. Mme Moret ils Rocheprise, à Ay-Chsinpagne.

M. le docteur Henri Maa^enot, à SaintJean-de-Luz.

M. Charles Néraud, à Pau.

M. le ^d*>ctepr .A.-F. Nagy, k Aix-les•' f Bains .<̃•̃< i., ?•̃

Mitte Mj.Th. Emjle OHivier, à SaintTropez': ̃ M. Alfred Oulman, à Saint-Cloud. Mme la .conitesse du Pctit-Thouars, née Lambrecht, à Roiffé.

A louer, <1s note) part., appart. 3 pièces, | s. d« bains, tout conf. S'aâ.: Passy S7-0« 1 Locations

â_l(l~eu~l~

CHAMPS-ELYSEES I,nx. sar<.« 2 p., salle de bains. T. Laborde 74-80/SjL ITAe^-de-cU' 5 pièces lux. nieub., It conf. •» S'ad.: Concierge. S, square Av.-du-Boïs. /JAÏtCOSXIEKK neub., stud., lux., s. bs, tout cf., 1.000 fr. p. m. Vaug. 48-38. Hôtels

particuiliers PARC DES PRIXCK6 H«tel d'angle, 415 mq terrain, .p. -et atelier, façade 40 m. «00.00© Sx. Xe»e«-VuiehojJ.« et Cie, 41, rue Poussin (Auteuil 09-32). ÎFÂSc"iïES PjRIXCES, bordure bois Boulogne Joli hôtel, 7 p. priiic., tt conf., garage, parfait étal, SSMMMM) èxsmcit* fiP.VEi-VVlCliOVB «* Cle. 41, rue Poussin (Auteuil 09-32). liWîBL ANCIEN F^ade*7 ^tV"ato» classes, parfait état de conservation. Limites du et î" arrondissement. Prix a 1.7:50.00» francs. H- liECC VISU, 49, boulevard pannes (Trocadéro 14-35).

Pr. da Mois: HOt.jJOrt., b. réc Gde ha-ut.plaf.,5 ch.m., 3 bs. Cf. Jardin. MA1.L.KVILI.E. RIBO*, MOKKKBP%, 51, boulevard Malesherbes.

A vendre liôtei particulier, squîir-e Ch.Dickens (Trocadéro), 4, r. des Eaux). Hall d'entrée, gr. salon 9 m. X 5,50, Petit sal., haut. plafond 3 m. 50, s. à m., 5 ch. à couch., 2 s. de b., cab. toil., ling. Gr. terras.- jardin, cuis., off., 4 cii. dom. Carage p. 5 voit. Prix 950.000, actes en mains. Propr. B. M. F, P,, 55, rue de eh-âteaudun (Triniio 14-56 et 44-92). Ranelagrli: H. part., sal., s.â. m., 4 cl), de m., gar., tt cf. 700.000 fr, T, Lab. 74-80,

Le TiMHmoi 4e 'Lùgano

Le Tournoi de Lugano qui mettait aux prises des équipes suisses, françaises et allemandes s'est iteraniiié par lu victoire de l'équipe de Heidelbei'.g qui a battu en finale de F. C. de Lyon par 5 buts h 0. 'Score un puu dur qui confirme cepen- ( dant les -immenses progrès accomplis par les équipes allemandes.

Au premier tour, Lugano et Lyon ont 1, fait mutteh nul 2 buts à 2 et une sélec- q tion de la Suisse romande se faisait bat- t tre pat- ileide'lberg 3 I)uts à 0.

Le F. C. Lyon a paru à court d'entraî- nement en face d'équipes beaucoup plus au point qui avaient déjà un sérieux en- A traînement. L'équipe lyonnaise était commandée par J'international Gutmann, Henri Cochet, notre grand champion de l tennis, jouait .avant-centre.

–t, 'u {

A TRAVERS LES SPORTS 1 Les cours d'equitalian et d'éduca- tion -phy&igue de l'Escadroa de Saint- Oeorges, fondé en 1899, recommenceront le 1er octobre. (

Les résultats obtenus au cours de l'année 1929-1930 sont les suivants Brevet de préparation militaire élémentaire 25 élèves présentés, 21 re- çus.

Brevet armes montées 19 présentés, U xecus.

Autres spécialités 16 reçus.

Pour -tous renseignements, s'adresser 104, rue de Richelieu, tous ies jours (sauf le dimanche) de 17 h. 30 à 19 h. s Intérim.

Ime Parioo, tua Crau-du-Roi.

Ime Porée-iSexuar.est, à Versailles. I. C-arie'1-Louis Pringué, au château des Perrais.

1. Paul Pelegry, à Uslc-siur-Tarn. 1. Jesifl-Pierre Poliallon, a,ux GrandesBourdinières.

111e G. Rousselle, à Montsoult. Ime Bruno Rivière, au château de Trakkalon.

I. et Mme il. Roux, au Vésinet. Ime la vicojHtes-se &uy de Rol-land, à Chatnpchevrier.

il. Léon Robert, à Grenoble.

ni. L. Ropers, à Bourg-la-Reine. d. Guillaume Roblot, à Aaglet. d. U. Hoche, à Saint-Maurice.

il. Renault de La Templerie, au châtenu de Lave.

\i. ̃Guililau.më Rivât, à Mo'ntembœuf. tfme JilaxSra» Siciainci A Bordeaux. lime Etienne Sabouret, à Versailles. il. Octave Thomas, à Salies-de-Béarn. iliue la comtesse Henri de TalhouetRoy, au Lude.

ime la comtesse TristaJi du Périer de Larsas, à Annemasse.

U. Pierre Trolley de Prévaux, à Strasbourg.

Sif. le vicomte Louis de Vaux, au château du Plessis.

il. Joseph VulJioii k .Lyiij». ·

ilme la vicomtesse E. de Villiers de La Noue, au château de Grosbois. Maître Henri Vincenti, à Avignon. NI. le comte de Vesdegies d'ftust, à Troyes.

Vl.roe Louis Vésigjiié, au château de Gâché.

ARRIVEES A PARIS

M- Paul Avcrlant, Mme E. Audra, Mme la comtesse J, d'Aramon, M. Louis Bruno, M. Georges Bernheim, M. ptienne Sonnalre, "Mme J. Borderel, Muj(C H. Bo^idi1- Mme la marquise de Bons, Mme Jcat) Bazin, M. le général Burekhardt, M. le colonel comte de Beaumont, M. Maurice Bottrcl, Mlle 5, Bouter Mme Bernard, M. Bléry, capi-taSuè de. vaisseau S' Mme Brou, Mm,e Ai>el Ç.ouvreux, Mme Jules Caubert de Cléry, M»ie Maurice Chiray, M, J, de Coiilhac-M»"»zeiieHS, M. Marcel Cordier, M. 3. de Coarmont, Mille ja colonelle ï}£port, Mme T.ony Dreyf-ii*, Mme F«i-re4^ M. Feltot, Mme la vippratesse de Germes, M. Miguel1 iïnxi-ÏK, ilmc E. Gascoiu., Mme la comtesse Raymond de Geoffre, M. Giçules, M. le comte de Germiny, Mme Paul Garnon, Mme Génères.

M. Hess, Mme G. Hecley/ Maître Miarç£l-le «net, Miss C. Haltiday, M. Henri Hurel, M. Jacques, M. Je. Jieuteoant-coionel Janssica, M. Paul jamot, Mme la comtesse de lierhallet, Mme Georges Kinen, M. Kpetz, Mme Jacques Leleu, Mme Max Lesourd, Mme dfi }^aeoste-Larieyiaoadié, Mme Lucie» Laufer, Mme Georges Lakhovsky, Mme l^efebvr.c-Dcspé.iux, M. Louis Lecharisj', M. H. Lefeu.- vre-lVU'a q lie, Mme la comtesse de La Motte, Mme J. Mustelier de Boyat, M. Renaud Maurice, M. Claude Monnier, M. René Me rai, Mme Marinojwuio, Mme Mouteilh-et, M. Pages Maravai, Mme I-a

marquise Albert de March.ena, Haut

mal'~¡uise AJl1el't la ~b,l'dJ"na,' Gian-

Martin; Mati, Mme la marquise Gian-

carlo-Nagliati, M. Obreclît.

Mjnc la comtesse du Périer de Larsac, M. et Mme Jean Pt'liison, M. Emile Picard, Mlle Marthe Périer, M. Denis Prunct, Mme Hubert Pierre, Mme de Pistoyç, Mme René Revillon, M, Jacques Rebour, M. Régis Ribes, M. G. Renard, Mme Raillard, Mme RaymondPeytral, Mme F- de Sioca- M. Nicolas Savon. M. V.-K. Stevenson, Mme G. A. \V. Simon, M. D. Serruys, M. H. de Sandol-Roy, Mme Emile Savar Mme SaintRené TaiHandicr, Mme Rocloluhe Schwartz, Mme la conitesse de Sazjlly, Mme Trentesaux, Mme G. Vcrdé-DeHslp, SL Henj'j Voaôven,. M. le vicomte de VîgaaijX, Mtae Js' 3»iiï.ofme de W«brouck. `

A LA RELIGIEUSE DEUIL WMEOIAT 2, Rue Trooc^ct 32, Placo<lelaHAd«J»JJie.PÂRIS

HOTEC, PAKriClXIEH à vendre, mmarr Ci– Dickens w, r. des Eaux), près square Alboni, 7 pièces, belle récept., 2 s. de bains, terrassa st petit jardin, tout conf., ehamb. domest. 750.S00 fr,, tous droits compris. B. H. F. P., ES, rue de Châteaudun (Triij. 44-92).

Locaux

C<~MH3~Cï'c4~~X

HAI«S.-FRIKm.AM) Bureaux 10 piè- ces, conf., loyer 50.000, sans reprise. ISTSICATEl-'R. 25, rue de MarigaiW.

EMLVÎlTOriLS

de IPatris

et province

Propriétés

3Pr£s Vernon (Eure) Tr, JoJL proii. avec pièce d'eau et paa-c lo b., belle hab. av«: 10 ehamb. de malt, et tt conf-, communs et paviJ. pr jardin, et p&iîsonn. UÎ5«*«t>- LIujkIn Caiiltans, ? à 5 jti., 5, r. Boud:'«ar.

SOHM A XlilK €hftt. l.onis XIU entouré douves, eau t. cour., bel. allure, pet. ferme lierb. lib., riv., chasse, pêche. Superf. totale 52 hect. Prix intéressant. (3Î-C7)

uA:i'i'L'1i 8i d141i.l.9Utli 1'i'.CFCnr'

18, rue Royale, Paris.

BO Km. BOHUS *KI.M0 lUteu au- vlenne, beauc. de cachet, 5 chambras. Gd studic. Confort. 8.500 roq. 33O<0«* àfraiirs, entiÈremeut meublée, linge, vaisselle. 3F'.i:.<K)lV»:îS", 7, r. d'Artoîs (Elys.2S-!40/41) AjmUXOS: CÏUrtcau n»oST"tt ~co»vfr., -et di««el5t h., tK>ié, plaine. Fx à flél>. I,es Châteaux de France, 9, r. du Cirque.

Sélection radiophonique du Jeudi 25 Septembre 1830

Opéms*O.pérettes

»0 11 Madrid. Sélection sur « rclléas et Mélisande », de Maeterlinck, niu;=ique ac..Bebussy.

20- h. 30. Bordeaux-Laf. « Le -LOime Obligudo », opérette <le Morctti.. Si) U. 4 0. Milan (Turin, Gènes). -<« AVertlier », de JIns'seiiet.

Concerts symphoniques 2 h. Baventry SXX. Concert rlirigé pur sir Henry W'ood « Rapsodie pour orchestre », (le F. Bridge Havriet Cohen, pianiste, dans « Symphonie concertante », tle W. Wiilton Chœurs par Euplisli Singc.fi ̃ Musique de Th. Morley Woelises Orchestre « Symphonie >'» 3 », de A. Bax. 40 h 15. Veltheim. Concert sous -lu direction .de M. A. Meulemu-ns, avec la collaborutimi de Mme .Rouihout et de M. Muuiiynck 1.. Prélude au troisième acte de « Inrwaldc », de Max Scliillings î. « An-tar », suite symphonique, de RiniskyKorsttlcov i!. Fragraeuts -d'opéras a) « Chaut du (Iraal », h) « Adieu de I.ohenRTin >•. de Wagner, chants avec orchestre par M. de MminyncK c) Rêve tl'EHse », de Wagner, chant avec onchostre par Mme Rompoiit ̃ A. « Bapsodie hongrorise 2 »; de Liszt û. Introduction au troisième acte et scène .de la chambre imptiaie dans « I.ohengrin », de Wagner -6. Ouverture de « IUeuzl », de Wagner.

Mécitcds-Mélodies

2 0 b. -iS. Radio-Paris. Chœurs russes.

Théâtres-Divers

20 11. 30. Lyon-la-.Doua. Soirée littéraire.

80 li. 45. P. T. T. Soirée de comédies et pl&ce.

P. f. T. Diïrusion des discours prononcés à l'assemblée générale de la Société des dations.

Musique de danse

15 i\. 4 5. Badio«PaHs. Musique de danse.

18 h. 2 5. Radio-Toulouse. ̃ Orchestre argent in.

1 h. Madrid. Musique de danse,

MOTS CROISÉS

X» 377

Horizontalement. I. lraite pour con- naître Ja «nise de la luort IuWiale d-UA grand quotidien. II. Cor d'ivoire qui rendait des sio.us cfl'raya'.ils. IJI. <->lor.ir

j-jej-a. jy. Pj-.onora Oicf-lieu d'aiTojir dissement (Ainl Déesse de l'Aurore.Y. Yillc du Maroc Rôtie de pain. A*. Fin de verbe Placer pour surveiller. VII Ecouter la respiration ou les bruits on cœur. VIII. Enlrc deux mers Initiale flt Xiflale du nom d'un roi de Crète, I-V Deux lettres d'« Evangile »; Entre deux coteaux. X. Conjbnetioïi Malmener. XI. Adjectif possessif Ycn'ilée.

Verticalement. 1. Despotiquesi Hoi d'Israël Coutume Règle. 3. A<3- iectif possessif Chose de peu de valeur, t-, i. -Remplaça, à A-thèiies, la i-oyairfë pri^inMive. S. Phis nuislHe Initiale -m, filiale du nom d'une villp foi'te du Wnrrtfaiberg Adjectif possessif. «. Ville 4«; Tunâsie Enveloppe le poumon. 7. A*" l'iiuuation d'outre-Rhin t'nmiirtcment •; Hessemlilance. ''S. l'ronoin,; Hanle rt'ùu coût acide- 'J- Iteeuejl des J).ièce,s Artiete.!i-i.lt),££iâiî'S»r"ùu Joigt. ni Porté par un maître d'armes Dans l'aiphal>rt Ji-ec.

Pour détruire chez wuus PUS^A§SES PUCES, VERS, MITES et leiirs œuis

ABRESSEZ-VOUSA UN

Opération radicale GARANTIE 1 AN Par gaz Gudetoïne sans danflisr MèitoVààe et réfection de t-itèrie

l'Ai-US et PROViXCE ̃>

LUBIS, Si, rue ©ecarops, PARIS (16') j Téléphone Troeadéro 33-32

SIPEltBE PKOPnil'.ÏT, YlLl^A pierre taille, 5 km. Paris, gr. bel. piêc, sal. billard, studio, serres ch. et ,1'roidP, 'i pet. con'struct. coquet, pr poulailler!; pt lai)., etc.. Mais. garde et au t. chùiif..tél., tt cf. 4.000 ni.clos. «C0.«©0. av. 108.600 si g-ar.,â. déb. «lrar«,lS,i-.Station,VHlien<s.- ` JM., ou 10, r. d. HaHes,Pai-is(jLouv. 54-S4K ^SJ^:B^™"CHÂilAU "•

nOD1br. f"ut.

17° s. Belle récept., nombr. ch., vastes coin m. B. parc boisé JS ha. Pi à debaft. MiHot-Grnffi», 95, r. St-Lassare (dp arr.) A vejiiirou A louer (pr. garo) Pavillon, cf., 7 p. p., jd. Gar. S'adr. 4, ,'a.v. Djaveileroy <12, Gde-ïlue), Nog-ei)t-s.-Marjio A vendre 125.000 tr. i«ii ren«.rvs «Musse style rust., for. Kambouillet, Autouillet, prés Les Yvelincsi, 5 ch., vaste s«lle chas., 2 ch. dom. Grenier. Pet. l.og. gard. 3 p. Eau, éi., 7.000 m. Gds arb, Pc-tag-. l'iv reus., tél. mat. av. 9 h. Maillot U7-C7-, "CHÂSSlEno^

V' 70 kl)]. l'ari D)iél;<BU:

Cottage, t. conf., 'J eh. m. Com.t->ai'c > h.. 150 h. lab., prés, marais. Ktàuo; 'iO Jl.TïJis.- ]80 h. Cha.s.s-ur 32-5 att.P.: J.T0e*«9 inj>. «• Millot-Griifflii, 95, r: Saint-Laîrarfe jS< Ur* lS«~k. Paris: Sujt. ichfrt. styl^ 16 p. princ et ijép., .04 ha. 5îSi).«»Bj meublé; T50.GWI. Droit de chas, ds forêt, 3.S.00 li. Très giboy. GBAN, 3, rue Treilhurd.

3L«ocaLttoxis

Saîiit-Gernïn-ii-eiL-îjaye. A louer l*ro- priété meublée. Vue splendide. Comp. Sal., sal. à m., fumoir, s. de toi]., B ch. maîtres, 3 sal. de bains-, 3 ch. doives t., cuis., office. Garage. Tél., élect. Grand parc. Tennis. Potager. Tél. pr visitf-i' Louvre lfl-flî, ou 11, r. Caumartïn<l" it.)

dlia.sses ̃̃

Ol .VEliTI'HE jCHASSK FAISAK^ 28 courant, BAMBOVIM-ET. ['liassegibc-yeusp, riche en faisans, tous g'ib.icTs,* trois actions disponibles. Urgent. 15<;r..5. Cligrny, 159, avenue d'Italie, Paris US"),


Marchés commerciaux BLES. Paris, 23 sept. Cour., 172 75 et 173 oct., 172 nov.-déc, 172 75 et 172 50: 4 de nov., 173. Cote officielle 166 à 168.

ÂX'OINES. Paris, 23 sept. Courant, 50; «st., 85 50 et 85 25; nov.-déc, 89 «t 89. 50; 4 de nov., 90 25 et 90 75. SEIGLES. Paris, 23 sept. Cour., oct., >.incQtés.

ORGES. Paris, 23 sept. Cour., oct.,

ineiiteès..

MARINES. Paris, 23 sept. Cour., oct., incotées.. Farine de consommation: 252, ̃

CAFES. Le Havre, 23 sept. Cour., 238 75; oct., 233; nov., 226; déc, 222 75; janv., 222 75; févr., 222; mars, 211 25; avril, 209 25 mai, 204 75 juin, 203 75 juillet» 200 'Ventes 8.500 sacs. ÇÔTOXS. Le Havre, 23 sept. Cou-

HOTELS ET PENSIONS

viK1 ̃̃w:> paris

HOTEL BURGUNDY

8, rue Duphot O"), derrière place Vendôme Prix d'hiver. Prix spéciaux en pen- sion. Téléph. ville dans toutes chambres. ARDA HOTEL, 12, r. Julietts-Lambet. /*l?l|ACh.àv. s. de b.et tel. Pens. Px mod A^tS'SkTPI HOTEL, 30, r, Bienfaisance. flaJIOl'EI-» Calme, conf. Pens. dep 60fr. PASSY, 37, r. de la Tour. Pension famille JiQtèl particulier. Tt conf., jardin. Cuis très soignée. Depuis 45 fr. Repas.- Passy 81-58. j ̃̃̃, t~[ pension HAWKES

7, avenue du Président-Wilson.

renSon complète dep. 50 fr. Tél. Passy 99-14 Etàile, p, r. de Villejust (1er et.). Pens. fam; priv. dep. 45 fr. Passy 35-95. Repas. Parc Monceau, 3, rue Théodore-de-Banville. Dernier conf.. Cuisine soignée. Repas. NPI1II I V u bis, r. J-"I)uIud- Villa Pte nCUILL I Bois.Cf.Jrd.Gar.Ch.av.ou s.p. fft^MflS 14,. rue Lentonnet- (9«.arr.)» wvr^iTit/O rue calme, aérée pension Oomp. 50 f -av. s. de b. priv., 60 f. Lif t-Rég. MIRA MAP La meilleure pension, tout iTJI-RAiTlAn. premier ordre. 10. avenue La Bourdonnais. Ségur 79-36.

NEUILLY. Pension. LA RUSTIQUE, 7, aver.ué Perronet (137, rue Perronet). Instaîl. lutueusc. Dernier confort. Dep. 40 fr.

SiSSAINT =GERMAIN

Mme DESBULLEUX reçoit pensionnaires. S, avenue Gambetta, S.

IVPI III I V (P1-iIarcl>é),5,r.P.-DérouIède. l'ICUlLL, I P.de fam.tr.conf.,cuis.bourg Depuis 40 francs. Même direct, forêt de

fttAlMTIÏ I V Air pur, repos, rens- Pr

rf.'lA," NTILLY Air pur, repos, rens. pr

Wlinn 1 1LL, I vac.week end.\Vag.94-S4

fTI AMTIÏ I V VILLA D'AUMALE

VlltIIITILLY Pension de famille

MlANllLLl Pension de famille.

]^*sJaurantrThés. Garages. Prix modérés.

VPPQAII I P^l Primerose, !S,av.Ma-

~,ERSAILLES P^r'°eroae, lS,av.3la-

|Vd\0/\lLilvL>0 réch.-Pétain(anc.parc

Çlagny). Tél. 2?-:16. Pens. élégante. Tout cr.nfort. Repos, cure d'air. Joli jardin. Garage.

situations offres d'emp. (suite, DEMANDES INSTITUTRICES (suite) Franchis,' 31 ans. bachelier, conn. parfait, an- **?« éducation fillette 6 -ans, institutrice exjiàis, ans pratique importation, transit,ban- perimentee, 25 à 30 ans. catholique, piano, %», produits colon., sér., act., cap. initiât, et anglais. Mme RABEY; rue de la Ma<leorganjs. «k. réf., ch. situât. sec. chef mais., leine, VERNEUIL-SUR-AVRE. Uirect.comm.ou sim.il.. Ecr. 3251, Fig. (An.). Dem. institutr. aiisl.j interne, cap. instr. un enf. 8 ans, cours Hattemer. Soins physiques.

mSÈiSOttS Inst. ext., latin, angl., mus Se prés, mercr., «wmhmw_m^m 13 à 15 h. Poisson, 14, place du Havre. remptfWÊÊt9Ê3tftÊBrC9 Institutrice française, sacnant anglais, -piano, /nXi-T" *•- est demandée pour deux -fillettes. Interne. Bonnes référëricés. v » BAS VARICES Ecr're Mme MARX, 14, rue Beaujon, 14. SVELTA Gens de maison

Le seul sans caoutchouc, lavable, à talon

renforcé, invisible sous le bas le plus fin.

Notice franco et adresse du dépositaire le plus VALETS DE CHAMBRE pioche. Maxime LEGRAND, fabricant,

li. rue de Rivoli, Paris. Métro Saint-Paul. MAITRES D'HOTEL V.-m. d'hôtel, 40-45 ans, -long. réf. ex. Prés.

AMSAM»t0IMI>lf# matin Hayem, 161, avenue Victor-Hugo. WH,9,V*gneïïnen% Dem. valet-m. d>hôtH. Exe. rè'fér. verb exig. OLLIVIER, 72, rue Jouffroy, Paris. -«^̃ COURS ET LEÇONS V.-m. d'hôt. Long. réf. verb; ex. Prés. matin

Atlle.de Fevrer. t. Leçons de chant. Cours. Pose avant 11 9, avenue ̃ Emile-Accolas (7P).

lille:de Fcvrer. Leçons de chant. Cours. Pose

et rééducation de la voix. 52, avenue de On dem. valet de ch. pour >Ir âge ayant iñ La Motte-Picquet (15* arrond.). firmier. Achilie, 26, av. Foch, dé 10 à 14 h. ^7 M. d'hôt.-argentier expérim., sérieux, place m stable, demandé hôt. particul. Neuilly, octoGtilBitS et Ctt&tS bre. Excellentes références verbales exigées. _c Ecrire N° 3201, Figaro. (Annonces).

Befg,*als. et belg., bouviers, briards, Saint- On dem. conc. ou anc. val., 40 a., actif., pr Bernard, danois, griffons, loulous, papillons, mén. 2 h. matin. Prés.: 12, rue La Boétie. pékinois, sealhyams, scottisch, fox anglais.

CJàk-lU. av. dTtalie, Paris. Gobel. 6-99. FEMMES DE CHAMBRE Cause départ. Splendide BULL-DOG anglais, ̃

p«4igree,: 2 ans et demi. Prix modérés. On demande cuisinière et femme de chambre, Ecrire ROUSSEL, 9, rue de Budapest, ou 25-35 ans (avec femme de ménage), pour météléphoner Cent. 12-86. rage deux personnes, bonnes références. Cuisinière faisant s. à manger, petit sav., cuisine bourg. femme de chambre connaissant très

offres <f'Amil/AÎ bien son service. Se présenter le matin "CT v"'H'v* entre 9 h. et II h. chez Mme Mary, 25, ave"™~ ^m~ nue d'Eylau (16e), ou téléph.: Kléber 11-15.

Oa demande jeune fille secrétaire, ayant très! «nter ;Mmfi::Gatf, 41. bAUeyard SucljeL tf^Mne instruction générale, connaissant -bien Fr l'Isle-Adam. lr« f.'cb;. 2 mait.Sér.réf.êxig:. i'f.nglais, très bonne sténo-dactylo, française, Eèr; Montebéllot-ch. Stors; Meriel (S.-et-O;->. excellentes références exigées. Ecrire r; 7~ M, BRIAND, 31, rue de Rome, qui convoq. De!a- une fi™ de cn- et une cuis, avec réiér., "'̃ » ̃̃ î- pour 2 personnes, non couchées. •'̃ ̃'̃̃̃• VENDEURS V'HITRIDGE, 26, rue de Lille, 26, Paris.

On dem. fme de ch., environ 30 ans, bon

Importante maison décoration demande ven- serv_ tabIc 2 lnaîtres. Bnes référ exigées. «kfif.-metier.^Serieuses références exigées. s.adressfr 20, avenue. Friedland. 20, Paris. Ecrire CEPAS, ab. P. 0. P., 3, rue Saint- `- Philippe-du-RouIe, 3, Paris. T>em. 1" et f. cit. B. réi. Prés, matin .> r.y ~-t JAMES, 22, av. de la Grande-Armée, Paris.

.GOUVERNANTES D'INTERIEUR ÎTde"ch72oX3olns, fais. mén., serv. taDAMES DE COMPAGNIE bie. Bnes référ. Higgins, 17. rue Weber. 'ssfirJs^^SS^ D%.f^f,S5i^e^rT--

!nwrieur deux maîtres. Se présenter 119, 1 9, rue de l'Assomption (16- arr.).

•Bd Malesherbes, de 10 heures à midi. Dent, f. de ch., cout., lay., serv. table r) 5 bis, rue Eugène-M^anuel,. 5 bis. Paris. •-̃ INSTITUTRICES q.V DEMANDE pour place stable première

Ûh dem. personne parlant français, anglais, femme de chambre, personne très, capable, espagnol, pour instruction fillette 9 ans. Très habituée à voyager, possédant excellentes rébohne éducation et connaissance piano né- férences. Ecrire en indiquant âge et en cosaire. Ecrire Mme Gaston LEVY, envoyant copie des certificats .117,. av. des Champs-Elysées, pour rend.-vous. S, H. H., 14, place Vendôme, 14, Paris.

FfoiiUeton de FIGARO du 24 sept. 1950

Bulletins du baron de Hiigel

( 183O 1831 )

",̃ Publiés par M. de Guichen

V ̃ ̃ > (Suite)

Le seul fonctionnaire public dont la position est toute personnelle et qui parait avoir de l'étoffe pour. grandir, c'est M. Odilon-Barrot. Il ne livre pas son secret lorsqu'il parle, quelques fortes que soient yJes attaques contre lui et Pémotion qu'il éprouve. 'Avec cela, une imperturbable confiance dans les '•principes qu'il professe et dans lui-même. Il marche- vers un but qu'il n'indique pas, parce que le temps seul, qui marche aussi, peut le dégager. 11 serait temps d'user cet homme le moyen le plus .simple serait trois semaines de ministère ̃••̃̃ Vendredi 11 février.

La France a un besoin suprême, celui d'être gouvernée toute son existence en dépend. Il ne suffit pas de ramener les temps du Directoire, sous un Roi honnête homme, bon père de faiûille, ayant femme et sept enfants et économe avant tout. Chaque jour a, non seulement un compte à régler, mais aussi une difficulté à surmonter et, comme le dit le peuple en son langage énergique ̃•̃ "et poétique « La route de l'enfer est pavée de Bonnes intentions. »

rant, 360; oct., 359; nov., 360; déc, 362; janv., 363; févr., 365; mars, 367; avril, 368; mal, 370; juin, 371; juill., 371; août, 375. Ventes 500 balles.

ALCOOLS LIBRES. Paris, 23 sept. Cour., 1.480 à 1.490; oct., 1.470 à 1.500; 3 d'oct., 1.480 à 1.490; 3 de nov., 1.475 à 1.500; 3 de déc, 1.495 à 1.500.

METAUX BRUTS. Londres, 23 sept. Par tonné de 1.016 kgs., en livres, shill. et pence. Cuivre cpt., 45 6/3 à terme, 45 8/1 1/2. Electrolytique 49 à 50. Etain cpt., 131 17/6; à terme, 133 11/3. Plomb anglais, cpt., 19 5/; étranger cpt., 17 15/; à terme, 17 10/. Zinc cpt., 15/10; à terme, 15 12/6.

CHEMINS DE FER DE L'ETAT

Une journée à la mer

Le dimanche 28 septembre, le Réseau de l'Etat mettra eu circulation un certain nombre de trains d'excursion à prix très réduits et à marche rapide.

u":E.1,¡moNs

o COTE' D'AZUR

La Bonbonnière (cap Martin), Menton. Tout confort. Jardin. Pension 35 francs. lïôtèl-Villa Espérance, Hyères-Costebelle Confort. Hôtel 1" ordre. Près Clubs. Pens. 40 fr. Céline-Rose, Menton. Pension tranquille. Parc. Eau courante, chauffage central, As.censeur. Pension complète 50 francs. MER

HOTEL ET PENSION DES CORBIERES. D1NARD, près mer. Nouvelle direction. Depuis 40 francs (pas de taxes).

NOUVEL HOTEL, à AIX-LES-BAINS (Savoie). Bien chauffe. Ascenseur, eau courante. Parc près de l'établissement thermal. A partir de 35 francs, repas compris. STATIONS THERMALES

HOTEL-ET VILLA DES LILAS, à VICHY Parc privé. Tout confort.

HOTEL DE GRIGNAN7à à VICHY. Centre thermal, grand confort. Cuisine réputée. Prix modérés.

Pension dans famille

Près Bois Boulogne, famille distinguée, ayant d*ùjx chambrés disponibles, recevrait comme pensionnaires ,dames ou jeunes filles.. ïdu .mondé, Françaises ou étrangères.

Ecrire N0' 314.4, Figaro (Annonces). Chambres meublées

A louer, dans hôtel particulier, Iwlle chambre, salie de bains, tout confort. S'adresser Passy 76-45.

1); fam., 1 ou 2 ch. cbnî^, "s. de b., à louer avec ou sans pens. "Wagram 16-S2 ou écrire 3153, Figaro (Annonces).

Kiégante ch., salon, tél., bains, tt conf., de 500 à 1.000 fr. 186, Bd Haussmann, 186. Chambre av,enue Foch,.bains, ascenseur. Téléphone Passy 42-44.

Messieurs seulement. t.

Bans fam. dist., ch. meub. à louer. Eau courante, élect. (7e). Boulangerie,63,av. Bosquet.

Rivier, 18, rue Pierre-Curie. Odéon 08-71.

SECRET-AIRES On demande femme' de* cTianibre. Se pré-

Paris-Forges-les-Eaux-Dieppe. Aller Départ Paris-Saint-Lazare à 6 h. 30; arrivée à Dieppe à 9 h. <)0.

Retour départ de Dieppe à 20 h. 28 arrivée à Paris-Saint-Lazare à 23 h. 10. Prix des billets aller et retour deuxième classe, 45 fr.; troisième classe, 30 fr. Paris-Le Havre. Aller départ de Paris-Saint-Lazare à 6 h. 43; arrivée au Havre à 10 h. 30.

Retour départ du Havre à 20 li. 35; retour Paris-Saint-Lazare à. 23 h. 37 (avec la faculté d'effectuer le trajet le HavreRouen en bateau à vapeur).

Prix des billets aller et retour duxième classe, 60 fr.; troisième classe, 40 francs.

Paris-Trouuille-Deauuille. Aller départ de Paris-Saint-Lazare à 6 heures arrivée à Trouville à 9 h, 3.

Retour départ de Trouville à 20 h. 30; arrivée à Paris-Saint-Lazare à 23 h. 43. Prix des Billets aller et retour deuxième classe, 60 francs troisième classe; 40 francs.

Enfin, un train spécial est mis en marche à Paris-Saint-Lazare pour Lisieux, la cité de la petite Sœur Thérèse.

Annonces Classées P.Â.RAISSANT TO US LES JO CTRS SAUF LE DIMANCHE

̃ T

MONTAGNE

offres d'emp. (suito) FEMMES DE CHAMBRE (suite) Dem. jeune fnie de chambre sortant de maison bourgeoise, pour hôtel. Références exigées. 85, rue du Rocher, Paris. F. de ch., b. réf., mén., s. de tab., repass. Prés. auj. 13 à 20 h. R.. 6, rue Dufrénoy. MENAGES

Mén., bne cuis.-pât. et v.-m. d'hôt., sér. réf. verb. Place stable. Se prés.matin jusq, 13 h.: Hôt. part., 24, square Bois-de-Boulogne, où' téléph. pour rend.-vous Passy 65-05. £t-Germain-en-Laye. On dem. mén. sér., valVl\. d'hôt. et bne cuis. PI. stable. Bnes référ. exigées. Ecr. 2905, Figaro (Ann.). Dem. mén, valet et cuis. Exc. réf. Place stable OLLIVIER, 72, rue Jouffroy, Paris. On demande pour Vaucresson, 15 octobre ou' avant, bonne cuisinière capable et chauffeurvalet, bon conducteur, ensemble ou séparément. Gens sérieux. MUSSARD, 5, rue du Pont-de-Lodi (6e). Tél. Littré 46-01. M., d'hôtel et cuisinière, très sérieux, excell. réf. verb., p. g. famille. Se prés, matin 8, avenue Vion-Whitcomb (Métro Ranelagh). Mén. val. et cuis., sér. réf. Se prés. aujourd. et vendr.,10 à 12 h.: Demon,94,Bd Flandrin. Dem. mén.ou sép.val.ch.et b.cuis. 30-40 a. Réf. ex. 2 mait., f. ch. Léon, 12, r. Cambacérès. Chauff.-val. et cuis. -bne à tt f. Se présenter matin chez Grinberg, 32, boulev. Marbeau. Ménage, bon chauff.-valet et bne à tout faire. Sérieuses Téfér. Se présenter le matin IEGRAND, 52, avenue Victor-Hugo, Paris. Jiénage chauff. -mécan. et bonne cuisin. demandé pour jolie banlieue nord Paris. Ecr. àMme Henry Girard, Plailly (Oise), qui donnera rendez-vous à Paris.

Pour ville de l'Est, ménage, bonne cuisinière et valet de chambre, est demandé. Bons gagea et avantages. Se présenter SALLE, 11, rue Boudreau, Paris, aujourd'hui 24 et demain 25, de 9 heures à midi:

Cherche jnc ménage, valet et cuis.,aid. mén., 2 mait. Sér. réf. exig Se prés, entre 2 et 3 heures REUTERN, 16, rue de l'Elysée.

On demande cuisinière et femme de chambre, 25.35 ans (avec femme de ménage), pour ménage deux personnes, bonnes références cuisinière faisant s. à manger, petit savonn., cuisine bourg.; femme de chambre connaissant très bien son service. Se présenter le matin entre 9 et 11 h. chez Mme Mary, 25, av. d'Eylau (16e), ou téléphoner Kléber 11-15. Cherche bonne cuisinière, préférence Alsacienne. Passy 15-07.

Dem. cuisinière, excell. référ., place stable. OLLIVIER, i2, rue Jouffroy, Paris. Jne cuisin. faisant s. à m., 3 maîtres. Référ. exigées. Se présenter matin 30, avenue Henri-Martin, ou téléph. Passy 08-87. Cuisinière. 25 à 35 ans Bonnes références. HIGGIXS, 17, rue Weber, 17.

On dem. cuis. fais. mén., lav. et- fme de ch., serv. cour. Sér. référ. BRACLT, 3, rue Octave-Feuillet, de- 10- à-- 18 h. Place stable. Dem. îr. bne cuis. mén. 4 mait. Réf. v. exig. Prés. 10 b. à midi lS.ay.Carnot (17e) Or. demande (me personne pour faire la cul= sine dans' Maison de commerce, nourrie, Coucl éé. Bons gages.- Bonnes références exigées. M. GEOFFROY, Uv avenue d'Orléans, 12 (14e arronti.).

ifi-^

FILLES DE CUISINE

Fille de cuis.,av.réf..est dem.42, av.Gabriel. Se présenter aujourd'hui toute la journée BONNES A TOUT FAIRE

On dem. b. à tt f., cuis. soig., un peu mén. ci lavage. 2 maîtres. Se présenter 24, avenue Charles-Floquet, à partir de 11 h. Dame seule dem. b. à tt f. genre f. de ch. Se prés. Concierge, 55, Bd des Batignolles. Bne à tout faire sérieuse, 25 à 30 ans, sachant cuisine. Références exigées. LONGXON, 18, Chaussée-d'Antin (9» arrond.). Dame sér, capable, s'occuper, entièrem. intér. monsieur seul docteur- 3 pièces. Se présenter NACHT, 21, Bd Flandrin, ou téléphoner Trocadéro 37-06.

D.b.à tt f. act., sér..sach. cuis., bien trait. Référ. S'adresser jeudi Conc, 41, r. des Martyrs. On cherche bne à tt faire conn. bien cuisine. S'adr. de 10 à 12 et de 1 à 3, dem. concge 32, Bd Inkermann, Neuilly-sur.-Sne. Bne à tt faire, sachant bien cuisine, munie certificats. Se présenter le matin VEXTURE, 101, boulevard Malesherbes. On dem. bne à tt faire, 30 à 40 ans, avec f. de ch:, très sérieuse et propre, faisant très bien la cuisine, -lavage, repassage et couture. Feu de ménage, pas de service de table, libre dimanche après-midi maison neuve,, tout ttnfort. 2 maîtres, 1 bebé 3 ans 'ayant ;sa

bonne, place stable, très bons gagej, Longues

r«ér. esig.– Se présenter de 3 à ♦̃«' 3îme POISSON. 1, rue de TAmirâl.-ÇloiiS, J ̃' (pont Mirabeau). '̃' FEMMES DE MENAGE

On dem. f. de mén. S h. p. j., prés. b., anc. fme de ch. Référ. verbales. 18, rue Vital. On dem. f. de mén. sérieuse, veuve préf., pr dame seule pi. stab., agréable. Réf. verb. sér. exig. Très prop., soig., cuis., sav., mén., aidée. Se prés. de 9 à 11 h. matin Noël, 23. r. de Ponthieu (8e). Log. ou pas. B. gag. On demande femme de ménage, tous les matins, avec références. WALLER, 59, rue Spontini, 59, Paris.

NOURRICES, BONNES D'ENFANTS Bne d'enf. pr nouv.-né. Bnes réf. S'adr. chez VENTURA, 5, rue Champfleury, 5, Pari. On dent. bne d'enf. pr servir avec cuisinière et fme de ch. Réf. exig. Se prés. aujourd'hui après-midi Dr HUET, 76, rue Bonaparte.

Pendant que d'un côté on parle constamment, comme si l'on n'était occupé qu'à élever les murs de la ville de Salente, l'esprit de secte et l'esprit émigré, l'un aussi faux et aussi ardent que l'autre, agissent tout à leur aise, et la nuée de journalistes et d'avocats qui s'est nichée dans le colombier administratif agit comme s'il n'était question que de rédiger des articles de journaux et des plaidoyers et non de gouverner, ce qui est un-fait.

Dimanche .13 février.

Une solennité religieuse, qui doit avoir- lieu de< main à Saint-Germain-PAuxerrois, réunira tout ce que la société renferme de personnes-qui n'ont pas mis les pieds chez Louis-Philippe. <̃: Le service funèbre pour feu le duc de Berry ..n'est que le prétexte pour narguer*JfePaîlais-fi6yal..r' La joie de mettre le gouvernement dans l'alternative de faire un acte de faiblesse en permettant une solennité qui indispos©- le parti ardent de la révolution ou de faire crier à l'oppression ou à la peur s'il la défend, est toujours bruyante et l'on parle comme si les domestiques n'appartenaient ni au peuple ni à la police. Il est pénible de voir que l'esprit émigré ne s'est pas modifié le moins du rnoiide, et qu'au moment où l'Europe touche à une crise qui menace toutes les existences, on s'amuse à faire des niches et la nique au gouvernement à propos d'un prince assassiné et d'un service funèbre.

La faiblesse du gouvernement actuel, car il est impossible de prendre ce qui se fait pour de la t niaiserie doctrinaire, yient de porter son fruit.

POUR LA RENTRÉE DES CLASSES Abbé, professeur, prend chez lui, à Reims, dans belle installation, comme pensionnaires pour éducation et instruction quelques enfants. Ces enfants peuvent suivre comme externe les cours du lycée. N'accepte que peu d'élèves, d'où vie de famille et soins particuliers. S'adresser Villa Guy de Fontgalland, 17, boulev. Henri-Vasnier, REIMS (Marne).

Départ de Paris-Saint-Lazare à 6 h. 48; arrivée à Lisieux à 9 h. 29.

Retour départ de Lisieux à 17 h. 30; arrivée à Paris-Saint-Lazare à 20 h. 15. Prix des billets aller et retour deuxième classe 50 francs; troisième classe 35 francs.

Prix forfaitaire comprenant chemin de fer, déjeuner à Lisieux et entrée au diorama deuxième classe 75 fr.; troisième classe 55 francs.

offres d'emp. (suite) NOURR., BONNES D'ENF. (suite) Fers, sér., bne d'enf., 25-35 a., pr s'occ. entiùrem. 2 bébés dont 1 nouv.-né. Se prés. aujourd'hui HUBERT, 5, r. de Sfax (16'). VALETS DE PIED, GROOMS On dem. valet de" pied un peu au courant. Téléph.: Wagram 90-32, pu écrire à M. Aveline, 2, av. La Fontaine, Maisons-Laffitte. JARDINIERS

Or dem. un bon jardinier, marié, sans enfants, pour propriété Basses-Pyrénées Ecrire N° 2863, Figaro (Annonces). demandes d'emploi SECRETAIRES

Secrétaire, parlant anglais, régirait propriété, ayant occupé poste semblable campagne. Excellentes références. Ecrire

2524, Figaro (Annonces)

J. f. tr. sér., bne éduçat., instr. second., dipl. esp., dem: secret. -sténo-dact., franç., espagnol. Références. BESSIL, 16, rue du Chevalier-de-la-Barre, 16 (18° arrond.). Jeune fille, 26 ans, ch. situation secrétairesténo-dactylo. Excellentes références.

Ecrire 2822, Figaro (Annonces). Secr.-st.-dact.-compt., bne instr., prat. aff., dés. situat stab. Ecr. 3147, fig. (Ann.)v Jeune fille, 33-ans, sténodactylo, désire place. secrétaire particulière chez monsieur seul ou dame seule. Libre 1er octobre.

Ecrire N° 3132, Figaro (Annonces). J. dame, sténo-dact., pari, allem. pas perf. fisnç., ch. place comme secrétaire. Très bnes références. KOEHL. 25, rue Blanche, 25. STENO-DACTYLOS

Jne fme, sténo-dactylo, bnes référ., libre à psi tir d'octobre, demande place après-midi. Ecrire 130, Figaro (Annonces). GOUVERNANTES D'INTERIEUR PAMES- DE COMPAGNIE

P. dist., inst., caract. agr., bne maîtr. mais., gde exp., long. réf., désire dir. int., s'occup. enf. Ecrire 3176, Figaro (Annonces). Vve, 36 a., dist., exc. éduc., dés. place dame de compagnie. Ecrire MALLET, c/° Chevalier, 19, rue Vaucouleurs, ROUEN. DHe sér. ch.pf.gouv.d'int., dame comp., voy. Ecrire AXNY, 174, rue de Courcelles, 174. Dame sér. ch. sit. chez pers. seule, dirig. int. B réf. Mme Cochet, 2, rue Villiot (12r). Dlle sér. dem. tenir intér. pers. seule ou gde près mal. ou infirme, couchée ou non. B..réf. Ecr. M. M.. 15818, Ag. Fig., 30,r.Drouot. Dame dem. emploi de gouvern. après-midi, Ecrive MARY, 158, rue de Rivoli, Paris. GOUVERNANTES D'ENFANTS Gouvern. franc., 40 ans, dés. place près jnes er.fants. Anglais, voyagerait. Références. LENTELIER. 5, av. Quihou, Saint-Mandé. Gouv., pari. angl.. ch. pi. j. enf. Référ. Ecrire PINIOT. 62, rue Xicolo, Paris.' Nurse-gouv. expér.. Autrichienne, dés. place, parlant, franc,, anglais cout. Référ. verb. Ecrire 3131, Figaro (Annonces). J. fille b. faut., b. éduc, exe. réf., ch. place gouv. enf. Mallet, 54, boulev. Pasteur. CiGuv.-inst., b. éduc., inst. début, piano, s'occup. enf. quelq. h. par jour ou interne. Sér. référ. Ecr. N<> 3112, Figaro (Annonces). J. f., 28 a., tr. sér., bne éduc, ch. pl. gou? vern. près enfants ou Dlle comp. Irait à l'étranger. Ecr. N°* 3167. Fig. (Anri.). Dlle ch. place pour enf. Bnes références. JAEGER, 64,. avenue Philippe-Auguste, 64, !NSTITUTRICES

Personne de conf., 45 ans, excell. référ., ayt taminé éducation jeune fille, cherche situat. anal. dans bonne famille. Français, musique, anglais. Partie artistique. Externe ou interne; Ecrire N» 2713, Figaro (Annonces). Ir.stit., exe. réf. cour, cours Hattemer, augl., ail., dés. sit. ext. ou leç. Paris. Mme Beausergent, 23, r. Plaisance, La Garenne (Sne). Anglaise dist., expér.. tte conf., pari. parf. franc.. ital., allem.. mus., dés. sit temporaire ou stab. Yoyag. Exc. réf. Ecr. Miss Moore, 11 bis, rue Lord-Byron, Paris (8e).

GARDES-MALADES

Dlle cert. âge, Suisse franc., gde-mal. expert, capable diriger maison cherche emploi. Mlle BRECHT, 10. rue Turgot.(9e arrond.). JOURNEES BOURGEOISES

Cout.-ling., neuf. transf., dés. journ, boùr^. Rc.fér. JANTON, 36, rue de Seine, faré. Mme Saussier, 22, rue Saint-Antoine, déiji. |rn. bourg-, copie tous modèles htc couture. Dame, enf- robes, manteaux, lingerie.- i Pers. dés; jirn;:brg., ."qnu., race, repass. soie-

Ties; LEROY ̃ ̃ Mfr- t. ̃ ̃Faub.-St-Màrtm.

̃–̃̃̃–̃ EMPLOIS DIVERS

PPItVTI 1RP APPart- I>aPier. Patinage.

PEINTURE ,ppart. Papier. Pati~ag:.

» CUllUIVCr Ta trav. Trav. tr. soigné.

l'x mod. Bassat, 7, pass; Gauthier (19e). DKIMTI1DR dappart." Décors très soig. F Clil 1 URC prix ,n0d. JOSE, 84, rue de Vanves (14«). -Tél. Ségur 78-94. Vitrerie, collage, patinage. r Crli~ 1 U1\C trav. soigné. Prix modér. Px spéc Gros travaux machine. Facil. paicm. Guillot, artisan, 64,*Bd de la Gare. Gob. 21-S9. Dame, 50 ans. exe. éduc, cult., pari, aiigl., allem., dem. situai, conf., interne, externe. Ecrire N° 3204, Figaro (Annonces)..

Dame. 2S ans, bonnes instruction et éducat.,

cherche emploi lucratif l'après-midi. >j Ecrire 3246, Figaro (Annonces). Veuve, 35 a., tr. instr., tr. cap.. apte direction, initiative, réf.. dés. sit..stable, logée si ooss. OGER. poste restante, bureau 1S.

CUISINIERES

Pendant qu'il cherche un équilibre dans un juste milieu entre deux partis, forts de tant d'existences détruites, de tant d'espérances déçues, de tant d'intérêts froissés et qu'il l'établit en phrases sonores, ces derniers ont agi.

La commémoration religieuse de la mort du duc de Berry, célébrée avec une pompe inusitée, -venait de finir lorsque deux groupes de jeunes gens appartenant aux deux opinions extrêmes sont entrés à l'église de Saint-Germain-l'Auxerrois. Un portrait du duc de Bordeaux, qu'un jeune homme du partiroyalîste fixa au* catafalque sous une couronne d'immortelles, devint, pour les républicains, le signal d'une explosiojrr Violente d'indignation. La nouvelle de cet événement, colportée dehors ay.ee les exagérations habituelles, attira. une .-grande* affluence de peuple îâïms l'église, et, aucune précaution pour le maintien de l'ordre n'ayant été prise, le porta à se ^ven-ger sur le temple d'une solennité considérée Comme séditieuse. La garde nationale arriva trop tard et, mal disposée, se borna à empêcher les voies de fait contre les pér-*1 sonnes et laissa faire le peuple. L'église et le presbytère furent envahis et la croix, ornée par le gouvernement déchu, des fleurs de lis, fut abattue aux rires et aux applaudissements de la multitude. Des orateurs pariaient d'im grand et vaste complot carliste, d'une proclamation d'Henri V faite dans l'église. La garde nationale resta toute la soirée sans recevoir d'ordres et, dans ses rangs, deux opinions bien distinctes se prononçaient, l'une, attribuant toute la faute aux carlistes et disant qu'il fallait laisser faire le peuple l'autre, déplorant que le gouvernement

Lundi 14 février.

dem. d'emploi [suite Gens de maison

VALETS DE CHAMBRE

MAITRES D'HOTEL

V. ch,,2S a.,dés.pl.st.ou ext., perm. cond., sach. t b.serv.tab.Voy.Ecr.Mardiros,119,av. de Clichy. Maît. d'hôt.-aigent., bnes référ., cherche pi. EUGENE, 3, rue ïlontenotte (17e arrond.). V.-m. d'hôt.. 30 a., cherche place. Ecrire "BENARD, 28, rue de l'Arc-de-Triomphe, 28. V.-m. d'hôt., 53 ans, dem. place stable. Reullier, 6, rue Boislevent, Paris (16e arr.). liait. d'hôtel dem. place. Bnes références. BABIN, 102, rue de l'Université, 102. Homme sérieux, ayant instr., parlant langues étrangères, honnête, travailleur, cause revers foi tune, cherche situation stable maitre d'hôtel ou service particulier, régisseur ou similaire. Bons certificats.

Ecrire 3128, Figaro (Annonces). Val. ch.-m. d'hôtel, bnes référ., cherche pl., parlant plusieurs langues. SCHINDELER, 20, avenue Victor-Emmanuel-III, Paris. V.-m. d'hôtel dem. place, 20 ans référ. même maison. Hippolyte, 5, place des Ternes. V.-m. d'hôt. et f. de ch.-ling. dem. pi. Référ. Ecrire PIAU, 103, rue Brancas, SEVRES. Maître d'hôtel-valet, 45 ans, référ. verbales, demande place stable ou avec valet de pied pour 1er octobre. Ecrire CHARLAT, 77t rue de Longchamp, Paris (16e arrond.). ;lait, d'hôtel ou valet-chauffeur espagnol, 1 m. 80,; 3-5 ans, très bnes réf. ch;' place stable maison américaine, préférence voyager. Ecrire GARRIDO, 161, aven. Victor-Hugo. V.-m. d'hôtel, 45 ans, dem. place. Bonnes rértrences. LOUIS, 52, rue du Four, Paris. Valet de ch. espagn., 29 a., conn. serv. tab., arg., dem. pi. stab. Louis, 5, rue Pomereu. Jne hme, 19 a., ch. place valet de ch., fait seivice de table. Très bonnes références. BEL, 60, rue de Maubeuge (9' arr.). V.-m. d'hôtel, 28 a., 1 m. 72, sérieuses référ., dés. place mais. bourg. Paris, au besoin comme ménage avec fme de ch. Raymond Houlle, 3, r. Fraizier, Plaine-St-Denis (Sne). M, d'hôt., 32 ans, et cuisinière, 30 ans, stylés, sér. réf., cherch. place ensemble ou séparément. Ecr.. N° 323S, Figaro (Ann.). Valet-m. d'hôt., 30 a., cherche place. Bonnes référ. Ohannès, 3 bis, square Lamartine. FEMMES DE CHAMBRE

Fme de chambre cherche place stable, très au courant service, munie bonnes références. Voyagerait. Ecrire Mlle GERMAINE, 27, quai d'Orsay, Paris (7e arr.).

F. ch., 34 a., sér., dés. pl. s. dame. Long. réf. Ecrire Balin, 82, r. Paris, Presles (S.-O.). F. ch., 30 a., long. réf.. ch, pl. av. val. Cout., repass. LOUISE. 79, avenue des Ternes. F. ch., conn. cout., dem. serv. part. dame, p. s. table. Long. réf. Voisin, 15, r. Presbourg. F. de ch., serv. dame, voyage, lingerie, p. service table. BLANCHE, 8, avenue Rapp. j'. de ch. jeune, conn. serv. dame et enf. 3 ans, un peu ménage, cout., repass. Campagne Jîidi. Walters, Mazenau d'Aix-en-Provence. J. f., sach>coud.,dem.pl,i. de ch. Paris. Réf, Leclèrè, r. Senicôùrt, Chauny (Aisne). F. ch. sér., conn. serv. dame, table, coût., rems, Référ. Ecr. 3071, Fig. (Ann.). Fme de ch., 35 ans, b. réf., ch. pl. stable avec valet. Mlle Ferrand, 51, rue Lauriston. F. ch., 45 a..libre 15 oct.. dés. pi. i. ch., cout., mén., voy. B.réf. Cécile,9,Rd-Pt Ch.-Elysées. F. ch., c.âge, act., simp-, gre inf., ch.pl. st.pr. pers. âgée. B. réf. Ecr.: N" 3129, Fig. (An.). F.ch. -gde-mal. d.pl.chez pers.seule. Très bnes rci. Ecr. Gentier, 19, Bd Beauséjotlr (16e). F. ch.-coutur.. tr. b. réf., libre prem. jours d'octobre. –Ecr. N" 3149, Figaro (Ann.). H" ch., 30 a.,sér.,ch.pl.ss s. tab., sait tr.b.coud. Rcb: et ling. Voy. S'adr. 27, r. de Lourmcl. F. de ch.. 26 ans. ch. place. Bonnes référ. COUTURIER, 80, avenue Foch, 80. j7~f. sér., 30 a., b. f. de ch., b. réf., dés. pl. stable Paris ou banlieue. Mlle Crozet, rue di la Çhaîne-Auregnard, Franconville (S.-O.). MENAGES

Mén. sér., v.-m. d'hôt. et cuis., dem. place. Ré-fér. Crozan, 70, rue La Boétie (8e). Chauff. et cuisin. dés. pl. mais. bourg., ens. ou séparém. Paris, province. Voyages. MICHEL, 4, rue Ramey, Paris (18e arrond.).

Ménage belge, valet-m. d'hôtel et femme de

chambre. Paris ou province. ̃ VILLEGOUREIX. 11, rue des Acacias, IL

Jne ménag., tr. sér., ch. place chez pers. stulc. 'parlant franc, et allemand. Stella PUZOSKI, 100. rue d'Aboukir, Paris. Mén. sér., 45 a., v.-m. d'h. et cuis., d.pl. st. Bhes. référ. Louis, 5, square Jasmin (16°)^ Val. -chauff :e€ïy'îe ïh. ch. place stable;' Ré-

jer. elâtrlellë(^Txt'toul.(Dordôgné);'

lien, yai.~ch.-st cois, dcm.rrir Paris libre ocl.. Ecr.: Delriyc, 1. de Luynes Ci"). Mén.- -v.-m. d'hôtel et bne suis. dem. pi. B. r^r. EUGENE, 37, r. de Villejust (16°)^ Mén. lorrain ch. pi. pour camp., hme valet ttes mains, fine cuisin. Bonnes références. EMILE, 45, rue de Bretagne, Paris (3' arr.X Mén. belge, cuis.et ni. d'hôt. ,30 a.,styl., d.pl. Lambert, Overnieire, PI. Orientale (Belgique). CUISINIERS

Chef cuis, japon., pât.-gl., d. pi. B. référ. S'adr. Y'ayashida, 21, rue Copernic, Paris. Chinois dem. place cuisin. ou valet. Bonnes rj;'ér; Paul LY, 133, rue d'Aboukir, 133. Ciief cuis.-pâtiss. dés. place, ferait extra. B10UX, 8, rue Marie-Benoist, Paris. Jne hme cherche place cuisinier dans maison bougeoise ou hôtel. F. D.. Hôtel Ancienne l'oste, RONCHAMP (Haute-Saône).

rfe/Hi d'emploi [suite) CUISINIERES

Très bne cuis.-pât., jeune, cherche extra 1 ou 2 mois ou même stable. Voyagerait. Ecrire Mlle MARGUERITE, 27, quai d'Orsay, 27, Paris (7").

Cuis.-pât., bnes réf., sans mén., dem. pi. ou extra. LINA, 7, rue Léon-Cogniet, Paris. Cuis. tchèque ch. place mais. bourg. Ecr. Anna, Ag. Figaro, 62, rue Boissière, Paris. Fine cuisinière-cordon-bleu, sérieuse, conf., garantie, htes référ., dem. place sans ménage. Irait banlieue ou Midi. Demande bonne chambre. Ecrire senseignements 2912, Figaro (Annonces).

D. pl. cuisin. fais. s. à m., pet. sav., cuisine bourg. SERVAIS, 7, rue de l'Etoile, 7. Jne fille, 26 a., ayt tr. b. réf., dem. pl. com. cuisin avec f. de chamb. Ecr. Mlle F. Le Benc, Trbvioe, Hanvec (Finistère). Cuis.-pât., ss mén., référ., dem. pl. ou extra Paris. Madeleine, 66, rue Legendre, Paris. Cuis. chef, cap., écon., d. pl. Tr. bnes réf. Mais. stable. Lucie, 4, rue Laferrière, 4. 2 amies, cuis. et fme de ch., dem. place ensemble. S'adresser le matin Concierge, 8, avenue Marceau, Paris.

Jne fille allem. dem. pl. cuisin. dans petite famille. Eçr. 3062, Figaro (Ann.). Bne cuis.-pât. vienn., 45 a., ss mén., b. réf., cUm. pl. Paris, Ecr.: 3175, Fig. (Ann.). Très bne cuis.-pâtiss. viennoise dem. place, peu ou sans ménage. Pas campagne. MILADA, 54, rue Saint-Blaise (20e arrond.). Cuis.-pât. ch. place stable Paris. Références, Mlle REMOND, 20, rue Copernic (16°, arr.). Bne cuis. d. pi. av. f. ch. 2 ou 3 maît. Bnes réîér. LAMBERT, 55, r- du Cherche-Midi. Fine cuis.-pât. dem 'pi. ou extra avec ou sans aide. Référ. CLAUDINE, 32, r. Poncelet. Fine cuisinière dem. place. Ferait extra. REXE, 28, rue de' l'Arc-de-Triomphe, Paris. Exc. cuis.-pât., réf. prem. ordre, dem. extra. MARIE, 46, rue Mathurin-Régnier, Paris. Cuisin. dem. place, sachant bien faire cuisine. MERCERIE, 25, rue de Beaune (7e arr.),. Cuisin., 50 a., dem. place avec fme de ch. Tr. b. réf. Mme Léon, 62, rue Caumartin. Bne cuis., prop.. sob., dés. extra ou place. Eéfér. HENRIETTE, 87, rue du Bac, 87. Tr bne cuis-pât. dem. pl. ou extra Référ. Ecr. MARIE, 14, rue Gustave -Courbet, 14. BONNES A TOUT FAIRE

Bne à tt faire dem. pl. non couch. ou extra ou ménage. Cécile, 198, av. Victor-Hugo. Bs.me sle, 42 a., sér., dem. p. t. int. pers. seule. Ecrire Mme li,. JANTZI, Hôtel Parisien, 62, rue du Château-d'Eau, Paris. FEMMES DE MENAGE

Dame, 32 a., sér., tr. propre, dés. faire mén. 4 h. matin, 5. h. ap.-midi, quartier Auteuil. Royer, 65 bis,* r. Danjou, Boulogne (Seine). J. f. de mén. dem. pi. de 8 h. à 5 h. av. déjcun. Tr.b.réf. Mme Borie, 62,r.Caumartin. NURSES

Famille Iï$jiçâî>er. recommande comme nurse

jeune .filfàl-iio&vJsgieaoe, parlant français, anglais, all(Hïîin1î'¥t'^tiorvégien. Mme Eisa S1EEN, .11, rue Moga<fer, Parte <9*-3iTond.>v NOURRICES» BOyNEff D'ENFANTS Nourr. expéivnibpe5"réf., dem. pi. pr nou.-né on jnes enfants. Georgette, 3, rue Brey. Xourr. expé'r., bnes référ., recomni. par maî- tres, cherche place près nouveau-né. PIGACHE, 21 bis, rue Daubenton, Paris, CHAUFFEURS-MECANICIENS Chauft.-méc, 40 a., perm 1910, réf. 1er ord. ch.pl.ser. Ecr.: A. BELIN, 9, rue Marbeuf. Méc. ch. pl, chauff. mais. bourg., îib.soir 6 à 3 h. Brunot, 7. r. du Centenaire, Puteaux. Cnauff.-méc., célib., 26 a., dent. pi. m. brg., accept. nourri, logé. Exc. réf. écrit. et verb. PELLERIX, 54, avenue Foch, Paris. Ch.-méc, 45 a., Russe, 20 ans prat., ch. pi. maison bourg. Herman, 23, r.de l'Avre (15e). Cliauff.-méc, 40 a. libre, ch. pi. maison bourg. ETIEXXE, 22, rue Scheffer, 22. Chauff., célib., 37 a., expér., sobre, sér., logé, ncurri. RENE, 51, rue Lauriston, Paris. Cliauff.-méc, 33 a., sér. référ., cherche place maison bourg., nourri et couché. M. Emile, chez M. Pariset, 271, r. Saint-Denis, Paris. Chauffeur-mécanicien, 31 ans, recommandé par patron, demande place stable Cannes, Paris et voyages. Très, bonnes références. Habitude des grosses voitures. MADELEINE, 73, boulevard de Courcclles, 73.

Chauff.-méc, marié, 25 a. prat., long. réi., dem. pi. Auguste. 46, r. Bassano ̃(8e-). Chauff., sér. réf., 7 ans pratique fortes voitures et gds voyages, dem. place stable sér. niais, bourg, M. Maurice GUILLAUME, 4 bis, rue.. È.ugènc-Manuelr Paris (16e arr.). Ch.-m.ec, «marié, 30 a^ sér., meill. réf.. lib. ste, ch:pl.sï,ala. Jean, 16,-pass.de. Ciichy (l~1) Chauff. -méc. italien, conn. espagnol,, .cherche place extra- 'ou stable,

Ecrire X° 3105, Figaro (Annonces). Chauff. -méc. 12 ans pratique, reconnu, par ir.ait.re, cherche place. Références. Ecr ALEXANDRE, 5, rue Bélidor, Paris. Bon chauffeur dem. place maison bourgeoise. Références, verbales. E. AVAULLEE, 8, rue Saint-Ferdinand, 8, Paris.

Ch.-méc, 48 a., 1. réf. m. b., perm. 20 ans. Champion, 128 bis, r. de la Tombe-Issoire. Chauff.-méc, 20 ans pratique voyag., référ. prem. ordre, dem. place stable Paris, voyag. L:brc. Pierret, 1, rue Lebouteux (17e). Chauff.-méc.. 39 a., 5 et 7 a. réf., dent. pi. y/c ou ext. Gallet, 48. rue Miromesnil, Paris. J. h., 19 a., ch. début., ayt perm. cond. Paris. prov. E. Lacombes, 15, rue Tronche t. Chauff., 34 a.. bne tenue, tr. sér., permis 1917. dem. place-maison bourg. ou pet. livr. Ecr.: J. Marceau, 37, r. Lorraine, Levallois.

ne profitât pas de cette occasion pour mettre la main sur tous les agitateurs qui venaient de se mettre en avant à cette occasion.

On est curieux de voir qui tirera profit de cet événement. Si le gouvernement ne perd pas la tête et n'est pas trahi, il le saisira pour se débarrasser du parti anarchique, mais s'il hésite les partis l'exploiteront et M. de Lafayette regagnera son influence sur la garde nationale et le gouvernement. -.•

̃̃- Mardi 15 février. De toutes les nécessités de la société, la: plus impérieuse est celle d'être gouvernée elle la'pourchasse jusqu'à la terreur, jusqu'à la tyrannie, si l'autorité etJ'ordre établi la lui refusent. <' Lés derniers événements ont prouvé qu'il n'y a pas de gouvernement en France, mais seulement une administration. Le Roi présidait son Conseil, les Chambres délibéraient, les tribunaux jugaiént, les bureaux administraient, mais une bande de mauvais sujets faisait son carnaval aux dépens de l'église: et.:deï>Pprdre->p«blic.' La garde nationale1 devint spectatrice deftenis les désordres qu'elle a protégés,1 comme elle 'protégeait jusqu'ici l'ordre. La plus grande partie de la population de Paris a joui de son carnaval aux barrières et sur les boulevards une petite minorité l'a fait par le pillage et le sacrilège les mêmes groupes ont tour, tour insulté les objets du culte et admiré le bœuf gras. Le pillage de Pàrchevèc'hé, qui a été repris ce matin en /plein jour et-a- fini, parla dévastation et la destruction de bâtiment, accuse la négligence, Vincurie la- plus complète de -toutes les autorités.

DENTIER SANS PALAIS

i1N 1 I~R snNS aav,rs

MTIE al SANS PLAQUE..

SYSTÈME NOUVEAU et MERVEILLEUX II MAXIME DROSSNER.CbimffiM-hitltUFMDP Broch. gniiinetf. 72, B* HaussmanJ»

AUTOMOBILES

OCCASIONS

Cabriolets

EfiPn Cabr. 1929, état neuf, à vendre. rURU Téléph. Fontaine, Gobelins 00- OC- 44 88, avenue Jean-Jaurès, IVRY (Seine). CABR. rCV FIAT 2 places et spider, bon état 6.800 fr. 7, place du Combat, 7.

TÂlBÔTlT^rx

Cabriolet 4 places 1929, accessoires, comme ne.uf.. BIRNBAUM, 55, rue Saint-Lazare, Paris.

HOTCHKISS

17 CV, 6 cyl., AM-80, avril 1930, à peine roulé, impeccable faux cabriolet 2 portes, 4 pi., malle, 6 roues, flasques, peinture noire. Prix intéressant.

NOVEX, 11-13, rue du Champ-de-Mars. Paris (7e). Téléph. Invalides 49-76 et 49-77. Conduites

intérieures

BUICKMASTER

Cond. intér. 1928, 7 places, parfait état 25.000 fr L'EXPANSION AUTOMOBILE, 101, rue Saint-Charles. Vaug: 14-34 et 15-95. f>ïflf*l/r Cbn'd: intër:, excellente aîMrè7. DUlVIV Cause doublé" emploi, S'a* C-encierg* lS, avenue'du Présidènt-Wtlson; PELAGE'. }4 CV, 6 cyl., conduite intér. parfait état. 25.000 francs. 54, rue Jean-Jaurès, Paris-Levallois. 8 CV RENAULT

MONASIX 1930, conduite intérieure 4 places, comme neuve, bas prix.,

3, rue de l'Aqueduc, 3.

DELAGE 14 CV

6 cylindres, conduite intérieure 6 places, état neuf 20.000 francs. 4, rue Robert-Estienne, 4.

A ENLEVER CE JOUR

C=6 BERLINE

Comme neuve. 15.500 francs. 23, boulevard Henri-IV. Archives 78-73. FÔRDlïT

Conduite intérieure, 4 portes, éclairage, démarrage, électriques, pneus neufs, mécanique et carrosserie très bon état. Peu roulé. MICHEL, 147, rue du Temple, 147. Archives 62-10.

PEUGEOT 201 t

Conduite intérieure beige, mars 1930, parfait état, bien équipée. Téléph. de 12 h. 30 à 14 h. Auteuil 41-33.

dem. d'emploi [suite] CHAUFFEURS-MECAN. (suite) Chauif.-mécan.; 30 ans, célib., 12 ans référ., cherche place Pari:; ou voyag. André, 13, rue de Sablonville, Neuilly-sur-Seine. CONCIERGES

Ménage, 2 grands enfants, désire garder maison rapport ou hôtel particul. Mari chef cuisinier. Urgent. Vivier, 6, r. Galilée (16e). Ménage, 30 a., b. réf., dem. loge immeuble ou usine, mari chauif. Foin, Saint-Martinsur-Oreuse, par Thorigny (Yonne)

Mén., 30 a., libre début oct., tr. b. réf., dem.

loge hôtel. particulier, fme seule occupée.

Ecrire 3230, Figaro (Annonces). agences

de placement

Ag. int. du BON MARCHE place très bons domest. 47, rue Vaneau. Littré 96-51. ÂŒNCËTRÔNCHËTc^ Ménages, valets, f. de ch., cuis., b. tt f., etc. Agence GARNIER, 4, P*3. Saint-Philippedu-Roule (El. 18-30). On y trouve les meill. servit. av.b.réf. Les bs serv. trouv. b.pL st.

A-G M--AR-I-G- 21, rue du Cirque

âgTmMgny (Place £±i" Elysées 50-26. Meill. mais. Bon personnel. agTst-honoré d'eylauSs procure place personnel choisi, 150, r. Pompt La Chambre des Gens de Maison, 6, rue Larribe. place vite et bien les bons serviteurs.

üE (~ plnce bien.- IS`, kg

St-Honore..Caro. 11..67.

Aa.:D^L'ET0ILE1%^6|îr e

U Passy 6\).89

M?lc€ftient persomiel- sérieux. EnêHsh spofcen rQTcXTHOUQlJr^^S 39-53 place tt personn. domest. sérieux. ÂGTMlLESHËRBËS^i^ë bcs. 20. rue Phalsbourg. Personnel choisi AGENCE L'AIGLON ppr,rr :neill. pers. Personnel alsacien recommandé. 46. rue de Prony (17e). Wagram 41-12. recherches

^Cf\T\ ANTÏ Détect've international.

3\A/1L»A1™1/ Toutes missions rapides.

S3. Bd .Malesherbes. Lab. 15-22 (St-Augustin)

de la Sùreté de Paris.

ï^7ynr\]U ex-chef de la Sûreté de Paris.

vlvHvvrl'1 Renseignements. Enquêtes. Surveillances. S, rue de Berri (Elysées 28-2S)

La garde nationale tout entière appelée par la « générale s'est laissé insulter par des groupes. On affichait des craintes exagérées pour la Chambre, qui délibérait, entourée d'un triple cordon de gardes nationaux on dit que des coups de fusil ont été tirés siir elle dans la soirée.

Le gouvernement est tout disloqué la pensée d'une dissension dans la garde nationale glace tout le monde d'effroi. Si le peuple trouve un chef, il faut s'attendre à tout. Mais ceux qui le font agir se tiennent1 à l'écart On est inquiet pour' la jflurjiée de demain, le gouvernement met toute la faute sur une conspiration carliste et a accorde des mandats d'amener contre des hommes que l'on sait être innocents.

Mercredi 16 février.

Le Roi a de la. finesse et du courage uersonnel, mais point d'énergie. Il permet, il ordonne d'effacer ses armes sous ses yeux, sur son palais, sur ses voitures, On a perdu toute confiance dans le gouvernement qui s'est annihilé pendant les derniers événements. On est tout honteux de s'être laissé faire la loi par une poignée de mauvais sujets, certes pas plus de quatre à cinq cents, sans compter les curieux qui agissaient visiblement d'après des ordres donnés et une impulsion étrangère: ̃ >••

La possibilité de la désunion, de la guerre civile se présenté à tous les esprits on a peur des nouvelles des départements et de l'effet que le carnaval sacrilège y aura produit tout le monde est honteux comme après une orgie. Baron de Hiigel. ̃= ̃ FIN

Paris. Imprimerie de Figaro

14, Rond-Point des Champs-Elysées L'imprimeuT-gêrant Detot, Papier dés Papeteries Navarre.

MATHISM. Y.

7 CV 1529, conduite intérieure 4 places, état neuf 13.800 francs. c (Box 13), 65, avenue Malakoff.

ÛR(F~CAUSE BÉP. ÉTÉ Hotchkiss 6 cyl., AM-SO, chàss., carr.sp., nb.. ace. Pens.fam., 49,Bd Inkermann, Neuilly (S.) 6 CV RENAULT

4 places, X. N" 4 portes 6.900 fr, MICHAUD, 34, rue Saint-Dominique, Paris.

Coupée

SIZAIRE SIX

Type 1929, moteur Willys-Knight S. S., 17 CV, coupé de ville Million-Guiet de grand luxe, a coûté 115.000, cause départ, 25.000 f. Six mois d'impôts payés.

BLANC DE KERVAN, 34, r. St-Dominique4

5 et e Clf

6 CV RENAULT

Conduite intérieure 4 places, sortie 5 juillet 1929, avec pare-chocs, malle, pneus neufs. Voiture excellent état.

Visible MARS-CLUB, 13, av. Rapp. PEUGEOT 5 CV

Conduite intérieure boule, 2 places, parfait état Vente à crédit. BOUND, 19, rue de Passy, 19. Téléph. Auteuil 83-63.

IMvers

FACKARD1 5 places, parfait état, à céder cause départ. Prix intéressant, De 11 à 19 h. MUSSO, 13, square Pétrarque (16<0. HOTCHKISS NEUVES

DISPONIBLES

ET OCCASIONS INTERESSANTES KOUGIER, 10, r. Anatole-Fraice, Levaliois. BUGATTI 3 LITRES

1Ç30, neuve, châssis. Cause départ. Bas prix, FORD SERVICE, 5. rue Emile-Aliez. Tciéph. Carnot 99-57.

OAKLAND SIX

4 portes, décapotable, 5 places, superbe occa-sion, vendue par particulier.

Prix 45.000 francs^ SARRAZIN, 269, rue Saint-Jacques. LORRAIXE SPORT. Carrosser. Labourdettc, type Le Mans. 2 carburateurs, parfait état. Visible 71, boulevard du Château, Xeuilly.

occasions

AMEUBLEMENT

Salles da Ventes Haussmann 120, boulevard Haussmann, "120. Vente très bas prix quant, mobiliers riches et simples, obj. d'art, tableaux, tapis, tapis.séries, argenterie. Expédit. monde entier. CABINET DE TRAVAIL moderne en acajou, comprenant grande biblioth., bureau double, fauteuil cuit. Coûté 22.000 fr., vends 10.000 fr., parfait état. Nombreux autres meubles bureau. GURLY, 157, rue da Faubourg Saint-Antoine, Diderot 39-51. (Métro Reuilly).

GALERIES pRZÔF"

41, r. de Châteaudun. Visitez l'exp-jsition de magnif. mooiliers, obj. d'art, prov. de gdes ventes publ. et châteaux, vendus 1/4 de Survaleur ANTIQUITES

i pu A TP de tous objets anciens intéres*AVllA 1 sants, aux meilleurs prix. D. Janvier, antiqu. 48, rue Jacob, Paria FOURRURES

ON CHERCHE

d'urgence CAPE CHINCHILLA,

ZIBELINE, TAPISSERIE VER-

DURE, pour corbeille de mariage,

à soumettre à

COMTESSE GAUTRON,

374. rue Saint-Honoré. Gut. 71-S0. VETEMENTS

NEUMEISTER ACHÈTE AU MAXIMUM

Vêtements d'occasion hommes et dames "Bibelots, objets" divers;

Se rend à domicile.

v Téléph. Archives 25-47,

12, rue Perrée, 12.

A VÊNDR.k7~MANTEAUX breïtschwanz, astrakan,loutre mer, hudson, ragondin, taupe, cape zibeline, vison, hermine d'occasion, boa état. Mme MARY, 21, rue Fourcroy (Métro Ternes). Tél.: Wagr. 76-02. Achète fourrures et bell.gde-robes dam. et mess. Se rend à domic. DIVERS

J'ach. boiseries anciennes et belles antiquités. DUMONT, 1, rue de Pontoise. Paris. capitaux

Avances maximum sur toutes garanties. Taux x modéré. Brisset, 3S, Chaussée-d'Antin. Belle situation en province à personne disposant capitaux. Appointements intéressants. Garantie très sérieuse. Ecrire M. LECLERE, 16, rué des Saussaies, Paris.