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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1929-03-20

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 20 mars 1929

Description : 1929/03/20 (Numéro 79).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k295812h

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Pour le salut <<~ ~@ y de la Russie

Pie XI I et Itïsieuk

De par la volonté du Saint-Siège, une .prière quotidienne doit désormais s'élever, au sanctuaire de Lisieux, pour les détresses spirituelles de «l'Europe orientale et du nord de l'Asi.e.». La prière, telle que l'a rédigée la commission pontificale pour là Russie, donne de ces détresses un raccourci saisissant. ̃

« Tous ceux, dit-elle, qui veulent làbas maintenir la foi chrétienne sont exposés journellement aux pires supplices ils sont systématiquement livrés à la faim, aux maladies les plus péni,bles, à de longues tortures dans. les neiges et les eaux glacées, à d'intermina.bles peines en des prisons obscures fidèles, religieux et religieuses, prêtres et évoques, sont enfermés en compagnie des .coupables' les plus èn,<Jurcjis- Leurs souffrances durent depuis bien des années, et beaucoup ont déjà scelle de jsjjf sang leur fidélité au Christ.» »

Ainsi se déroule le tableau tragique il paraîtrait défier toute espérance, s'il n'y avait, à l'arrière-plan de ce tableau, un autel, vers lequel la prière montera. Elle montera, volontairement optimiste comme l'est toute prière et dans son ascension elle emportera avec elle, en un essor de confiance, les gémissments de la vaste chrétienté, qui se sent impuissante, par elle-même, à venir en aide aux frères de Russie.

Pie XI les place sous la mystérieuse protection de cette petite Carmélite de France qu'il a proclamée sainte. Ces Lexoviens et ces Lexoviennes qui l'ont connue enfant, et qui maintenant s'age-, nouillent devant sa statue, auraient été fort surpris, il y a quarante-cinq ans, si on leur eût dit que de leur vivant même cette jeune fille serait suppliée par le Pape de sauver la Russie, et qu'elle serait appelée par lui à couvrir de son intercession le peuple que le tsarisme n'abriterait plus de sou sceptre.

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« baignez jeter un regard de compassion », demanderont à sainte Thérèse de l'Enfant Jésus les Sœurs que derrière elle elle laissa. « Obtenez de l'Esprit Saint qu'il soutienne en Russie le courage des survivants, leur foi, leur piété, leur patience obtenez qu'il garde en leurs cœUrs, avec le pardon et la douceur pour leurs bourreaux, la confiance que leurs larmes et leur sang, en union avec le sang du Christ, attireront les miséricordes de Dieu sur la patrie aimée. »

« La patrie aimée Tous les Russes que la bourrasque a jetés aux quatre coins du monde ne pourront apprendre sans émotion que la mémoire de leur pays, d'autant plus présent à leurs pensées que plus douloureuse est l'absence, sera commémorée chaque jour par les Carmélites de Lisieux en ces ternies d'une discrète tendresse.

La prière se poursuit elle réclame pour les confesseurs de la foi, qui sont toujours à la veille de devenir des martyrs, la confiance que tant'àe sBUrfrânces, « délivreront la patrie des monstrueuses erreurs du matérialisme, du communisme et de l'athéisme, et prépareront son retour à l'unité de la foi dans l'Eglise catholique ». Elle évoque J'image de « tous ceux que le Christ iS'est choisis, en Russie et au dehors, pour coopérer au salut des âmes russes » on dirait qu'elle veut les grouper sous les yeux de la petite sainte, comme déjà Pie XI en personne a voulu naguère mettre en sa bonne garde les étudiants de ce Russicum, par lui fondé, où se préparent des apôtres pour la Russie de demain.

La fraternité des âmes chrétiennes, la mystérieuse communion qui les unit entre elles-surtout lorsqu'elles souffrent l'aspiration vers cette heure de salut commun qui doit tôt ou tard les unifier, trouvent dans cette prière une émouvante expression et pendant qu'elle s'attardera, là-bas, à Lisieux, sur les lèvres des contemplatives, nombreuses sont, dans l'Eglise et hors de l'Eglise, les âmes qui la salueront comme on doit saiuer un grand acte, et qui la commenteront comme on fait un symptôme d'avenir.

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Cette initiative papale coïncide avec un lot de nouvelles, plus douloureuses ( encore, petit-être, que celles qui les pré- cédèrent. Dans Moscou,, à la fin de février, il ne restait plus que deux -prêtres catholiques romains. Le .troisième, au moment où il se rendait à Mojaïsk pour dire une dernière messe dans une église que les Soviets viennent de désaffecter, était, sur le chemin même de la gare, arrêté et jeté en prison. Le jugerat-on ? Attendra-t-on qu'il meure de faim, comme c'est le cas, en ce moment, 1

dans certaines geôles de là-bas ? Cela, c'est le secret des bourreaux.,

Les prêtres qui sont enpoïè en liberté sont prévenus que là nouvelle taxe sur, les,. loyers, exigible du commun des citoyens à partir du., 1er septembre 1928, pèse sur leurs -épaules, à eux, dès le 1" janvier de la même année, par l'effet d'une onéreuse exception. On espère que les exigences fiscales, que les atroces conditions du logis,auront raison de la- ténacité qu'ils mettent à rester parmi leurs ouaijies. Ils s'obstinent, quoi qu'il leur en doive coûter car l'afflux des pénitents les emprisonne dans leurs confessionnaux, jusqu'à ce que les accueille une autre prison. Récemment, enrfine séance du Soviet de Moscou, tous lies membres russes du Soviet inclinaient à décider que les clergés de toutes les Eglises chrétiennes devaient être invités à quitter la ville. Ils reculèrent, lorsqu'ils virent se lever des Tatars musulmans et des Juifs, qui déclarèrent que si l'on touchait à leurs prêtres, à leurs rabbins, des émeutes se produiraient Les Soviets ont assez à faire pour réprimer les soulèvements que suscite çà et le manque de pain ils ne voulurent pas affronter d'autres troubles, ',oit s'exprimerait l'autre besoin qu'ont les hommes, celui de la parole de Dieu.

C'est grâce à cette menace des Tatars, grâce à cette menace des Juifs, qu'il y a encore des prêtres du Christ, dans Moscou. J'imagine que Renan, voyant survenir ces auxiliaires imprévus, aurait conclu, avec un sourire et peut-être un tantinet d'émotion religieuse, que décidément le « Démiurge » est plus fort que Lénine. Et voici se ranger auprès d'eux, par la volonté du Pape, en réponse aux prières de son cloître, la petite sainte de Lisieux, pour venir en aide à ce qui reste de chrétienté moscovite.

Mme Maurice Vaussard, dans un livre révélateur qui pour la première fois entr'ouvre aux curiosités du monde, avec ,un infini respect, cet « au delà du monde» qui s'appelle le Carmel, nous montre la Carmélite, « dans sa pénitence comme dans,son oraison, gardant présents les multiples besoins des âmes du monde entier»; De même que sainte ThLétèsfi .d'A-vila. écrivait h un 'Carme du Bër.ou «TCés Jpàttvres ïftdiens me coû^ tent bien des larmes », de même, à Lisieux, on va prier, on va souffrir, pour ce qui était hier la « sainte Russie ». Thérèse de l'Enfant Jésus avait promis de passer son ciel à faire du bien sur la terre puisque, à Moscou, une lutte est engagée, dont l'enjeu est la dignité même de l'âme humaine, c'est là le coin de terre que Pie XI lui confie.

On nous met sous les yeux' la Vetchernaya Moskva (Moscou du soir) du lundi 4 mars 1929. Elle annonce la nouvelle de l'expulsion de tout l'élément non travailleur hors des logements. Le lecteur comprendra ce que signifie cet hypocrite .et perfide « élément non travailleur ».

'̃•.̃'̃•'̃> Georges Goyau,

':̃̃ de l'Académie française.

Les Soviets

et le Désarmement

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Un aspect curieux du problème du désarmemcnt, c'est la « guerre du prolétariat ». Le gouvernement soviétique a adressé, en décembre dernier, au président de là commission préparatoire de la conférence du désarmement de la Société des nations, une lettre dans laquelle il insiste sur la nécessité de convoquer au plus tôt ladite commission afin qu'elle puisse aborder sans retard l'examen du projet soviétique de désarmement.

Derrière cette manœuvre démagogique se dissimulent les véritables projets du gouvernement de Moscou, qui ne songe qu'à poursuivre le sabotage de l'œuvre de désarmement" entreprise par la Société des nations. Avec l'aide de la IIIe Internationale, les Soviets conspirent contre la paix du monde. Dans ce but ils désarment entièrement la bourgeoisie et concentrent toutes les armes entre les mains du prolétariat. C'est l'Etat du prolétariat armé ». Dans un mémoire qu'elle adresse aux gouvernements, l'Entente internationale contre la IIIe Internationale, le démontre lumineusement. Le gouvernement des Soviets proclame, dans ses statuts, la nécessité de fortifier son armée rouge, de former les masses laborieuses aux exercices militaires. H ne désire pas le maintien de la paix internationale, car il pense que c'est à la faveur de la guerre que la dictature du prolétariat sera instaurée.

En attendant, Moscou prêche, dans les pays capitalistes, la trahison à l'ouvrier et exploite tous les mécontentements, en travaillant à la décomposition des armées nationales, à la révolte des peuples coloniaux. En même temps que cet effort de désagrégation est poursuivi à l'étranger, les Soviets mettent chez eux tous leurs' soins à l'organisation méthodique d'une puissante armée rouge.

Leur manœuvre est claire, dit l'Entente internationale contre la IIP Internationale dans sa conclusion. D'une part, désarmer les autres et se servir pour cela des pacifistes et du mouvement de désarmement d'autre part s'armer soi-même et « réaliser par tous les moyens les conditions qui rendront possible la guerre civile, la révolte coloniale et la conquête violente du pouvoir hors de Russie. » Voilà comment le gouvernement de Moscou envisage le problème du désarmement `

Le Travail 1- a., dm Experts

Les experts entrent, dit-on, dans ^^||||f les jours décisifs^ Ils ont déjà ob<d[^\ tenu un résultat qui mérite d'être approuvé ils ont réussi à travailler dans le silence et même dans le mystère. Quelques communiqués et quelques nouvelles ont rappelé périodiquement au public que les experts étaient toujours là, et qu'ils poursuivaient leurs études. Mais on a eu peu de renseignements précis. Cette discrétion était la condition d'un labeur technique très ardu, dont toutes les étapes n'avaient pas besoin d'être discutées sur la place publique. ̃ Autant qu'on puisse juger par ce qui a été publié, les experts ont construit toute une architecture à la fois vaste et délicate, dans laquelle ils essaieront de loger des chiffres encore incertains. Comme les plans de cet édifice n'ont pas été révélés dans tous leurs détails, ils n'ont, servi qu'à des commentaires de parti. La presse, de gauche les a admirés les yeux fermés. Les nationalistes allemands les ont déclarés ca* tastrophiques. Le parti socialiste a cru discerner dans les conceptions des experts quelque chose qui est emprunté au collectivisme international. Mais l'Economiste français nous apprend que dès le douzième siècle, et bien avant Marx, les créanciers de la République de Venise avaient fondé une banque pour opérer « des virements de parties », qui avait quelque analogie avec la Banque Internationale des Experts. Le problème principal est celui dont il a été le moins parlé. Il s'agit de fixer" le mon-, tant de la dette. Par l'effet d'une méthode bien compréhensible, les experts ont exa-i miné d'abord les modalités de paiement et les questions de transfert. Mais il faiït'bien en définitive venir au fait essentiel quelle somme totale paiera l'Allemagne? Les Alliés ont fait connaître dès le premier jour, et avant la réunion du Comité, quels étaient leurs besoins. Ils doivent payer leurs propres dettes, et toucher des annuités déjà réduites, mais indispensables pour les réparations. -̃;•; Tout l'inconnu du travail des experts .dépend des intentions de l'Allemagne. Estce que le Reich est cette fois résolu à pren-, dre des engagements, à les tenir régulièrement? Est-ce qu'il préfère gagner du temps et voir quelle sera l'évolution de la politique dans les pays alliés ? Personne n'en sait rien. Les experts ont avancé prudemment dans leurs travaux. Au moment de conclure, ils vont poser à l'Allemagne la question décisive.- ANDRÉ CHAUMEIX.

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La Température,

Vent de sud-est, faible. Ciel brumeux le matin. Température stalionnaire.

La « surcharge » dans les autobus.. Très explicite, et même disert, sur les obligations des voyageurs, le petit guide de la T. C. R. P. "est malheureusement muet sur le problème de la « sui> charge », cause chaque jour de multiples contestations. Celles-ci se terminant trop souvent à la confusion- de l' « usager », un conseiller général a-eij l'heureuse idée de soumettre la question au Préfet de la Seine ..̃:̃>• « Lorsque la plateforme d'un autobus est déjà occupée par neuf voyageurs, le receveur et un autre employé de la Compagnie en uniforme, un voyageur a-t-il le droit de monter sur la plateforme et d'y demeurer ? ».

La question est nettement posée. Souhaitons que la réponse soit aussi claire et que le voyageur, qui jusqu'ici n'a guère entendu parler que de ses de-;voirs, soit par elle mis quelque peu au courant de ses droits. A supposer, bien entendu, qu'on lui en reconnaisse.

~Y~

Une occasion ? »

Deux fois par semaine; la cour de l'Hôtel Drouot est consacrée aux ventes d'automobiles. C'est là que furent adjugées la tragique conduite intérieure de Mestorino et les voitures de la Gazette du Franc.

On y fait parfois de belles affaires, témoin ce marchand d'autos, qui ob- tint hier moyennant 2.500 francs une confortable limousine 24 chevaux, en parfait état de marche, quoique datant de 1914..M'- Peut-être aurait-elle été plus disputée si elle avait appartenu à une vedette de la Cour d'assises..

Magistrat clairvoyant.

On a évoqué, à l'occasion^du çente-rnaire des gardiens de la paix, la figure du préfet de police de Belleyme, dont la population parisienne conservait la mémoire grâce à une rue du quartier du Temple qui porte son nom depuis 18(i5. Mais de Belleyme (ou Debelleyme; selon les plaques bleues) fût surtout connu", de son vivant, comme magistrat, président du tribunal de Paris et juriste éminent à qui l'on doit plusieurs réformes de la nrocéaure. ~l' Il

•/̃• LA POLITIQUE 25 ans après

On;a commencé hier la discussion. générale des projets de loi autorisant neuf congrégations missionnaires. Le débat, dans l'ensemble, malgré quelques vifs incidents de détail, n'a point eu la violence que souhaiteraient les 'allumeurs de passions éteintes. Ce n'est plus qu'en fouillant la cendre des années 1901 et- 1904 qu'on pourra trouver quelque étincelle qui durant une heure les ranimera. Un seul orateur, M. Frossard, mandaté par les socialistes, a jusqu'ici combattu les projets. Il n'a pas été sans véhémence voulue dans son attaque anliminisiérielle et anticléricale. Mais il n'a pas cu ce ton de fanatisme étroit qui est celui des anciens bigots de gauche. Ces retardataires, au nom de la tolérance et de la libre-pensée, applaudiraient à des autodafés pour peu qu'on y brûlât des cléricaux et des réactionnaires. La discussion, il est vrai, ne fait que s'ouvrir. Nous aurons, aujourd'hui ou demain, dit-on, un grand discours de M. Edouard Herriot. La laïcité est devenue pour Mi un fait personnels Quand on parle de Combes, il demande la parole, comme s'il était l'héritier de ses pro.eé^és. Son-, géant peut-être au peu de crharices* qu'il a de retrouver la présidence de son parti, de la Chambre ou du Conseil, le maire de Lyon se préparerait-il i d'autres fonctions, et rêverait-il cette place gardien de la statue mutilée du Petit Père, à Pons ? Il est intervenu hier sous prétexte de défendre le rôle libéral du successeur de Waldeck il s'est attiré une rectification de M. Briand.

En vérité, on ne peut se battre autour de, ces projets qu'en polémiquant dans le passé ou en intentant un procès de tendance au gouvernement. Le rapporteur de la1 loi, M. Marcel Héraud, l'a très bien déniontré. La nécessité des autorisations est évidente laisser disparaître les congréganistes missionnaires ce n'est pas travailler pour les missions laïques, mais pour d'autres religieux anglais, italiens ou allemands. Immenses sont les services rendus à l'influence française à travers le monde par les missionnaires, de France. M. Henri Lorin, grand voyageur qui a beaucoup retenu, après M. Marcel Héraud, a fait un pittoresque tableau de leur activité.Le rapporteur avait raison dans ce débat, il y a d'un côté ceux qui ont vu et admiré, de l'autre ceux qui ne veulent pas voir.

,Êti,ce'ux7là,ap,rès av.oir, .tpu.t. fait, pour

éviter ^euxrlà, ..après av.oir .tfluj fait, pour

éviter la bataille, maintenant qu'il faut la

livrer en la sachant d'avance perdue, essaient de se faire peur à eux-mêmes et, pour crier ,au péril, s'inventent des fantôinies qu'ils habillent de robes noires. Henri Vonoven.

i En deuxième page La trente-neuvième liste de souscription pour le monument du général Mangin.

Son passage à la préfecture de police fut éphémère; il démissionna à l'arrivée du ministère, Polignac, prévoyant et prédisant la débâcle qu'allaient provoquer les idées rétrogrades du nouveau ministre..

̃ INSTANTANÉ

LÉON LEMONNIER

Se sang qu'elle n'avaitpas versé Certes, Léon Lemonnier est un auteur que toute la critique française surveillait avec! sympathie. Tout.de même, elle ne s'attendait pas à ce que ce jeune maître nous donnât si tôt -i un livre d'une telle force.'

On peut dire dès aujourd'hui.que du pressentiment au remords l'auteur du Sang qu'elle n'avait, pas versé a écrit, le premier, le grand roman de l'épouvante intérieure et qu'il a découvert un frisson nouveau, arraché des cris inédits aux profondeurs du mystère humain.

'Le petit monde qui fréquente l'aprèsmidi le Champ de Mars est en effervescence. Un arrêté vient, en effet, d'interdire dans ces beaux jardins les jeux de balle, de cerceaux et de patinettes dont les enfants sont si friands.C'est à la suite d'un accident survenu dernièrement à un gamin imprudent que cette mesure aurait été prise. Quoi qu'il en soit, les parents ont décidé l'envoi d'une pétition aux autorités pour le rétablissement de ces jeux innocents.

Trop honnête.

Rue de Dunkerque, un modeste marchand d'antiquités liquide son inaigre stock. Le beau temps lui a permis d'installer son exposition sur, le trottoir. La pièce capitale, celle qui doit retenir l'attention du passant, est un minuscule chapeau de paille, à la mode de 1848, une.pauvre petite chose fripée, ridicule et touchante. Une pancarte manuscrite fait savoir qu'il s'agit là d'une relique « Chapeau ayant appartenu à Sarah Bernhardt enfant».

Le commençant n'a cependant point osé se montrer trop affirmatif. Aussi a-t-il ajouté en-dessous ces deux mots « Sans garantie ».

On s'explique que le brave homme ferme boutique il était trop. naïf pour faire fortune dans les antiquités. Scenarios.

Par les soins des « Amis de Guigriol » le répertoire du théâtre des marionnettes s'enrichit chaque année. Au cours de leur dernière séance tenue à Lyon, les «Amis de Guignol ont distribué les

prix aux lauréats dû concours de pièces 't pour 1928." 1

« Parmi jes.jjie'ces, reçues, nous dit le rapporteur, il y en ava.it quatre qui ne répondaient pas à {'article demandé, Dans deux autres pièces on fait mourir 'Gnafron, ce qui est c traire à «toute les traditions. On ne meurt pas ait théâtre Guignol ».

Une pièce montre Gnafron- à son lit de mort. Il veut faire1 pénitence et se déclare prêt à accomplir un grand sacrifice. On lui tend un vei're d'eau, il l'embrasse et le boit.

Il y aura de beaux jours cet été au Guignol des Champs-Elysées.

–<

Aliborons.

Nous avons souvent mon l ré comment la langue française s'enrichissait de mots nouveaux et'inàttendus. Nous ne pensions pas que des instituteurs pus- I sent eux-mêmes collaborer à ce nouveau vocabulaire.' II est vrai qu'il s'agit des instituteurs communistes qui, ne sachant pas ce qu'est la pédagogie, ont créé pédologie. Tout ce qui est colonial également leur échappe. Aussi ont-ils inventé ces néolpgismes colonialisme et colonialiste. Il est vrai que pédagogie, colonie, colonisation sont des mots de « bourgeois », Alors, n'est-ce .pas ?.

-4»*

Dans le Métro. v-.j Dans une voiture de 'premîêï'e classe, cet artiste ingénieux expose. Assis sur un strapontin, ses genoux formant chevalet, il présente aux voyageurs sa dernière production. Il ne dit mot, et disparaît presque entièrement derrière le paysage aux vives couleurs.

Saris cesse il roule, allant de BarbèsRochechouart à Denfert-Rochereau et de Maillot à Vincennes. Une savante étude des correspondances lui permet de promener jusqu'au soir son chefd'œuvre aux quatre coins de Paris. Il finira bien par trouver un amateur. '̃̃̃ Le Masque de Fer.

-«y^s<>

J\JJ JOUR LE JOUR Pour les cinquante ans d'un demi h dieu

A vous 'entendre, à'vous regarder, vous paraissez navré qu'on ait fêté les cinquante ans d'Einstein! H'est-ce pas infiniment naturel? Navré, non, mais un -peu -agacé- par ce rapprochement disproportionné les noces d'or d'un savant avec la Mathématique.

Je croyais que vous le teniez .pour un demi-dieu.

Des mots, tout ceci, des mots, cher ami. Vous dites « infiniment naturel », ce qui ne signifie rien du tout, et dans votre infini vous ajoutez, un demi-dieu (pourquoi demi ?) tout naturellement. Des mots, des mots. Votre infini, poète, est un petit territoire, une circonscription électorale, et vos dieux ne sont pas beaux, car ils vous ressemblent. Ecoutez-moi, ou, si vous le préférez, rêvez que vous m'écoutez. Alfred Capus a écrit quelque part «Le dix-septième siècle fut l'époque où l'esprit de l'homme osa, pour atteindre les lois naturelles, un bond qu'on ne lui. croyait pas permis et qu'il n'a pas dépassé. » .Eh bien, grâce à Einstein, la courbe d'un nouveau bond commence à se dessiner. Nous voici un peu plus loin dans les espaces vierges, nous voici, en sens inverse, un peu plus près des essences pures. Un même calme règne sur les frontières de ces empires immenses, sur les limites des principautés minuscules. Plus de passion, plus d'amour, plus un bruit. Il faut tendre l'oreille pour percevoir dans le silence un battement de cœur qui indique la vie et rien de plus. Or j'imagine mal, parmi ucè,â, ^ysages lointrdtiSj une bonne petite fêts.jderçfarfyl/ç, une. cérémonie, pour célébrer les cinquante ans d'un étrange voyageur. Ça, non Tenez, je me rappelle trois vers que je ne vous cacherai pas plus longtemps

Il n'est point de brouillards comme il. n'est point [d'algèbres.

Qui résistent ait fond des nombres et des cieux A la fixité calme et sereine des yeux.

Qu'on laisse donc en paix ceux qui regardent paisiblement.

Que le diable m'emporte, mais. vous parlez, vous aussi, comme les poètes Et ̃ si, à mon tour, je vous répliquais des mots, des mots D'abord vous pourriez dire «Que le demi-diable m'emporte. Ensuite, ne vous y trompez pas. Tout en récitant du Victor Hugo, je pensais à une formule connue. Même en ajoutant la vitesse de la lumière à sa propre vitesse, on obtient

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la limite ne peut donc, pas être dépassée. Ah certes, je ne saurais, traduire en alexandrins. Un vers rampe toujours sous les étoiles. Une formule, c'est autre chose; bien autre chose.

Une jeune femme qui écoutait, demanda doucement

Vous ne pourriez- pas- parler- d'autre chose ? ?.

Robert Mirepoix.

LE FIGARO

Fondé le 14 Janvier 1826

Anciens Directeurs H. DE Villemessant, F. MAGNARD, G. CALMETTE, A. Capus, R. DE Flers.. ̃

ADMINISTRATION RÉDACTION PUBtlClTè ANNONCES 14, ROND-POINT DES CHAMPS-ELYSÉES. PARIS Téléphone Elysées 98-31 à. 98-38

ABONNEMENTS 3 mois 6 mois t an Paris,Dcpartemenrs & Colonies. 30 » 54» 1OO »

KTRAKPER ̃- .»_.

Pays à tarif postal réduit 52 :> 1OO » 190 » Pays à tarif postal augmenté. 72 » 140 » 260 a On s'abonne dans tous les Bureaux de Poste de France Chèque postal 242-53 Paris

Les Sanctions en --Rhénanie

Les officiers généraux et supérieur qui avaient été- reçus lundi matin par M. Painlevé, ministre de la guerre, pour s'expliquer sur les incidents qui se produisirent dans diverses garnisons de l'armée du Rhin, ont regagné leur poste.

Ils ont été officiellement avisés, dès hier, des sanctions prises à leur égard, en conclusion des enquêtes menées en Rhénanie. Comme nous l'avions laissé prévoir, le général Çoubeau, commandant le 30* corps d'armée à Mayence, reçoit un blâme le général de Partouneaux, commandant la 4e division de cavalerie et la place de Trêves, ainsi que le colonel Marnrinia, commandant la demi-brigade de chasseurs casernée à Durren, sont relevés de leurs commandements. ̃ lia prime d'alimentation La commission des finances a entendu hier le ministre de la guerre sur le projet ouvrant des crédits supplémentaires en vue du relèvement de la prime fixe d'alimentation.. ̃ Elle avait pris l'initiative, la veille, de doubler le relèvement de la prime- -proposée, "par le gouvernement, en ce qui a trait aux troupes de l'intérieur, et de tripl-er ce relèvement en ce qui touche les troupes des théâtres extérieurs d'opérations. La commission désirait savoir s'il y avait lieu d'établir une distinction au point de vue du relèvement entre les troupes de Syrie, du Maroc et de la Rhénanie.

M. Painlevé a donné des indications sur l'emploi des crédits relatifs à l'alimentation. Il a rappelé pour quel motif le gouvernement avait été obligé d'envisager l'augmentation de la prime fixe soit, pour les troupes de l'intérieur, 1 fr. 50 au lieu de 1 franc. Il a accepté la proposition de la commission tendant à doubler cette augmentation, c'est-à-dire à la porter à 2 francs, ainsi que le relèvement de lit prime en ce qui' concerne les troupes des théâtres extérieurs d'opérations, aussi bien pour la Syrie et le'Maroc que pour la Rhénanie. M. de Monicault a fait observer qu'il convenait aussi de mettre- les troupes de Syrie et du Maroc en mesure de se préserver de la chaleur, comme celles de Rhénanie de se protéger contre le froid. Le docteur Péchin, contrôleur de là commission de l'armée, a également insisté auprès de la commission pour le vote des crédits.

Le rapporteur du budget de la marine à demandé l'extension de. la même mesure à l'armée de mer.

La commission a porté alors les crédits supplémentaires pour l'alimentation dès troupes à 90.500.000 francs pour la guerre, 18.300.000 francs pour la marine, 11 millions 200,000 francs pour i'ak\- soit au -total 12Ù millions.

Lta grippe en Rilemagne Le grand nombre de victimes faites par la grippe en Allemagne est signalé dans un journal allemand. Le professeur Ullmann note que dans les grandes agglomérations de plus de 100.000 habitants il y a eu, du 15 décenïbre au 22 février, environ 16.000 décès dus à la grippe, ce qui porte le chiffre global pour l'Allemagne entière à 56.000 victimes en l'espace de ces dix semaines. Le nombre des malades a été particulièrement élevé dans l'Allemagne du Sud. Le maximum a été atteint en Westphalie et dans la région industrielle de Mayence. Les Munchener Neueste Nachrichten demandent qu'une étude approfondie internationale soit instituée en vue de combattre ce fléau.

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Xi_À. CHAS SE

L'Ecole des Gardés

Par LOUIS TERNIER

M. Roger jjuérin, l'aimable président de l'Association des Lieutenants de Louveterie, qui 'est en même temps président du Comité national de là chasse et de la Fédération des Sociétés de chasse de Seine et Seine-et-Oise, me fait savoir que l'Ecole des gardes va ouvrir ses portes, cette année, à titre d'esssai, sous le patronage et le contrôle de l'Etat. Cette école sera dirigée par M. Gouilly. inspecteur principal des Eaux et Forêts, directeur des chasses de la Présidence.

Cet essai mérite d'être encouragé. On sait que, dans les grandes chasses, le garde-chef et ses auxiliaires jouent un rôle prépondérant et que c'est d'eux que dépend lé succès de ces administrations cynégétiques, si je puis m'exprimer ainsi, que représentent les chasses à grand. rendement soit de la région parisienne, soit de la Sologne et autres provinces vives en gibier.

Dans les chasses de moindre importance, c'est encore par le garde que vaut la propriété, aussi, de tout temps, les gardes ont-ils, à juste titre, été considérés comme des auxiliaires dignes d'égards et, dans quelques grandes familles, comme d4 véritables amis. Avant la Révolution, les gardes-chasses se succédaient de génération en génération et, pendant les guerres de la, Vendée, les gardes ont fait preuve envers leurs maîtres d'un dévouement qufl ces derniers leur ont rendu. Stofflet, l'uq des premiers chefs des Vendéens, plu^ tard. l'un de leurs généraux, était le garde. chasse du comte de Maulevrier.

Alexandre Dumas, qui passa .une paBtië. de sa jeunesse auprès de Villers-Cotterets, avait pour les gardes de cette forêt un véritable culte et il a tenu à raconter leur histoire dans ses mémoires et aussi dans quelques-uns de ses roma.ns.

Mais tous ces braves gens n'avaient guère, autrefois, à prendre de leçons que de leurs parents ou de leurs anciens, et leurs connaissances étaient surtout plus pratiques que théoriques.

Depuis l'organisation des grandes chasses à production intensive de gibier il en est autrement et un garde-chef doit être surtout un administrateur et un directeur d'exploitation cynégétique, comptable envers ses commettants des résultats de son administration au point de vue de l'agrément et des satisfactions d'amour-propre que procure à ses propriétaires une grande chasse, et, aussi quelquefois, des résul-


̃fats» pi5cûnîaire.s de ̃̃l'affaire, puisque, ac- luellement beaucoup de propriétaires sont obligés de vendre une partie de leur gibier. >̃

Or. organiser une grande chasse n'est pas à la portée du premier venu. Il faut au garde-chef des connaissances pratiques, très différentes de celles qu'on demande aux gardes ordinaires, et aussi des connaissances théoriques.

L'KcoIe des gardes qu'ou vient d'établir a pour but de donner à un certain nombre dé jeunes gens, se destinant à la carrière, ces connaissances. En effet, l'enseignement de l/J|Jçole comporte des exercices pratiques journaliers et des cours de théorie. Chaque* élève est adjoint à un garde des Eaux et Forêts de la brigade des chasses, qui lui sert de moniteur dans '.toutes les opérations rentrant dans les attributions. du personnel des chasses' de la Ire sïdence. '.Les* cours théo-

iiqiles sont faits ''paiV' jes officiers du ser-,

vice, des chasses et' "'par dés spécialistes. Les études des élèves portent sur l'élevage du gibiéiv l'a^raiuage, la destruction des animaux nuisibles, l'entretien dés tj- rés,: la conduite, de,s battuejs, la, reprise du gibier, cerfs, chevreuils et autres animaux. On leur apprend aussi à faire l'estimation dés bois ils doivent être un peu de vrais

.forestiers. ̃

Comme premier essai, cette année, le ;-njombrie.d'élèvfis a été fixé. sept pu huit seulement. L'enseignement est gratuit. Les ̃candidats devront avoir au moins dix-huit -ans et seront admis par ie président de la Fédération de Seine-et-Oise, avec l'agrément de l'inspecteur des Eaux et Forêts. ,Le régime sera l'externat mais. les élèves pourront, sur demande, être logés gratuitement dans, les bâtiments du grand parc de Rambouillel.

II s'agit maintenant de recruter ces élèves aussi serait-il utile aux propriétaires que jlft question pourrait intéresser, d'aviser M." Roger "Guérin de leur intention de présenter un protégé qui pourrait plus tard devenir soit leur propre garde-chef, soit celui d'un de leurs amis. Ils pourraient, pour ce faire, s'adresser au siège de l'Association des Lieutenants de Louveterie, 99, avenue du Général-Michel-Bizot, à Paris. II serait il désirer que cette école prît de l'extension. S'il y a encore en France de bons gardes, soucieux de sauvegarder les intérêts de leurs maîtres, il en est, dans les nouveau^'hiilieux cynégé-;•tiques, de fort infén'eui's quant aux cori--

nailSfaJrtîés'.iii'aiitu'ies et lbeQr*i(îi^*|de leur:

métitr et'quahtà à leur tefruéeM leur déféTence envers, les hôtes de leurs maîtres, et envers ces derniers eux-mêmes, qualités qui étaient la caractéristique des gardes de la vieille école.

Il est certain que les élèves de la nouvelle école des gardes, qui auront pris les leçons des fonctionnaires des Eaux et.Forêtsy qui sont toujours fort respectueux de1 la hiérarchie, tiendront plus tard à exiger de leurs subordonnés la même correction dans l'accomplissement de leurs devoirs professionnels.

Il ne faut pas oublier que ces élèves gardes sont appelés à recevoir une certaine instruction et seront bien au-dessus de la moyenne de leurs confrères. On n'ira sans doute pas jusqu'à leur demander de suivre ceux de leurs confrères qui ont abordé avec succès la littérature et publient des livres remplis d'érudition ou écrivent des articles de journaux très documentés sur les questions cynégétiques. Mais on leur enseignera certainement un peu de droit et de législation, dont la connaissance est maintenant absolument indispensable aux gardes-chasse. M. l'inspecteur principal des Eaux et Forêts, qui dirigera l'Ecole, est ̃très.yersé dans les questions de. réglementation de la chasse et connaît fort bien la jurisprudence cynégétique. Il saura mieux ̃que tout autre» ifttire' donner 'au*' élèrës de

̃son école 1'eusedgnenient juridique qui. leur

̃est néces$air*$>»puisqu'ils. ««-ont..souvent appelés par la suite à témoigner devant les tribunaux dans les procès intéressant les droits de propriété de leurs commettants. L'administration des Eaux et Forêts, en se prêtant à la formation de l'Ecole des gardes, a prouvé qu'elle s'intéresse aux chasses gardées comme, du reste, il faut le •reconnaître,, à tout ce qui touche à l'avenir de la chasse en notre pays.

Souhaitons que la Chambre et le Sénat .veuillent bien suivre cet exemple, au lieu de décourager, par l'établissement d'imjjôts injustifiés et par des vexations de toute sorte, ceux qui cherchent à donner "de l'extension aux chasses gardées sans lesquelles le gibier disparaîtrait bientôt

de notre territoire.

-territoire. Louis Ternier.

Académie de Médecine

Deux élections hier le professeur Douiris, de Nancy, et Guigues, de Beyrouth, )pnt été nommés par l'Académie de médecine, au premier tour de scrutin, correspondants pour "la division de pharmacie. ̃Le professeur Léon Bernard a communiqué à ses confrères un travail d'ensemble, en collaboration avec M--Oiarles .Maymv résumant quatre annôes~^rexpeHence"s"Tttï~ ̃trailejiient de la tubert-iflêse pulmonaire •par le thiosulfate d'or et de sodium cent .̃quarante-deux cas suivis par les auteurs ont prouvé que ce traitement. agissant surtout dans les formes évolutives fébriles, iarrêle l'évolution dans une proportion de 43 p. 100, bien .supérieure à celle des arrête spontanés, dont le taux est de 5 p. 100 seulement. L'étude des courbes de température et des- autres symptômes apporte une preuve objective de l'efficacité du thiosulfate d'or et de sodium.

Le professeur H. Vincent a appleé l'attention de l'Académie sur l'action considérable, attestée par de nouveaux et de nom̃hréux cas, de la sérothérapie antieoliba.icillaire et anti gangreneuse dans l'appen*;dicite gangreneuse. Elle apporte d'ailleurs ̃̃au- chirurgien, dont elle seconde l'inter"vention. une aide précieuse, en prévenant la péritonite et la septicémie toujours mortelles.

A J-'ordre du jour encore, note de MM. Delbet et Cartier sur la nature des arthropathies tabétiques.

M. Charles Achard, secrétaire général, a été chaleureusement félicité par ses confrères. à l'occasion de son élection par l'Académie des sciences.

En ouvrant la séance, M. Quénu, président, avait ''sïlûé la mémoire du regretté professeur Bélier, dont l'éloge sera ultérieurement prononcé.

M. iiosset à.domié lecture d'une notice par lui consacrée à la vie et aux travaux du chirurgien Dubar, correspondant de la "CompagnlëVi Lille, récemment décédé. ̃ ï -̃•̃̃̃ Ch. Dauzats.

notre Siipplémiit Artisiiaue de DemaiD

Adolphe Boschot, de l'Institut Tkéopkile Gautier à 25 ans

"Mate Logé Le mouvement artistique i l'étranger L'Exposition d'art hollandais à Londres;

Jacques Reyliane Dcnx grandes venles à Leipzig Les collections Julins Mo^et et von Pasiavant-Gonlard Denis Cosjer L'Enposilion G. Parenti

Maurice i^londa Revue dés Ventes.

Calendrier des Ventes et des Eipwitionl d'Art. v 21 Illustrations

Pour le Monument dtiu général Mangin

¡~

Trente-neuvième liste de souscription

~r~

Spus-Comttë du Finistère. Souscriptions recueillies par M. l'amiral Excelmans 1

M. Jean de Kermenguy 10 » M. Tabural, président (le lfl

Section de Saint-Renai». 5 »

M. Guillaume Ler'cop, officier

des Equipages E. R. -r ;> 10 »

M. Joseph 1< loch, ancien com- v

.battant • ̃̃ ° » Un groupe d'anciens combat- t ta nts' de Saint-Rçnan ÎS » M. Louis Bergot, ancien com-

battant :,v: 20 » Ecolo, No.tre-D.anif de P>on-

Secftui* ;ll1 A- <'».. ̃ -W- i\. 50 » a M. Lecoq .̃'̃̃ i>0 »

M. e"M,flie Richou.. r, .,2ff' »

>Cet"Mnie.Wbpqc.li. ,5 £>

Lç Carré, supérieur clés Oïfi-

ciers de J'Jïcolç navale 100 » M. Filjol, ingénieur, en cher

de classe .• ̃ :>- a M." le capitaine de frégate

Derrien 10 » M. le papitajrie 'de frégate

Le Franc ̃ 1. 5 » M. le capitaine de corvnltc

Le Pivain 1.0 ». Un Groupé' de dames de l'Of-

fice central des Syndicats

agricoles de Landc-rneau. '25 » Groupés d'employés de l'Of-

fice central des Syndicats

agricoles de Landerneau 27 » M. R. Bésson, directeur des

Syndicats agricoles' de Lan-

derneau, ancien combattant 20 » M. H. Salliou, ancien combat-

tant 5" » LVI. Jàc.tf, ancien ̃combattant..̃ r> » M. Bories 20 •» r Sa Grandeur Mglr de Gucbrnmt 100 » M. le cointe de Guebriant. 200 » M. le vicomte de Guebri'ant.. 200 » M. le comte Alfred de Gue-

briant, 100 » M.le comte A.-lP. de Granunont 25 s> ..Un Marsouin de Qtiimper. 10 » Sa Grandeur Mgr Duparc, évè-

mie de Quinip. er et de Léon 100 »

'.$W-' X4hiiGay,ii .i..i>i.ï.'i. 20 »

,3*1. Je, (¡11Jl~\oi\J.t~>o :Sa1~Ón: 10 &

̃if;Goiïil,<3nstituteur?libre. 5 »

MM.L. et H. Dcrrimi .< 20 2> M. l'abbé Le Ster 10 » M. Yves.Le Ster, instituteur li-

bre 5 » M. le commandant Carbonni. 20 :> M. Trochet 20 » M. le capitaine de vaisseau

Fougerousse 10 » M. l'abbé Rouf 5 » M. l'âbbé Morvan ô » M. le l)àron de Vincellès. 10 » M. Palault 10 » M. Ch. de Prcissac 10 » M. Guichet 25 » Mlle F. de Flotte. 10 :> M. Le tour 25 » M. le comte Costa de Beaure-

gard (2* versement) 10 ;> M..Yves Le Bon. 25 » M. Etienne Le Bon 25 » M. de Dieuleveuit 5 s M. le docteur Maimon 5 » 'M. de Kermenguy. 5 » M. Vincent 10 0 :> M. le comfe de Beaufort. 50 ;> M.le vicomte A. de Kermeuguy 10 » M. Jean Arthur 5 » M. de Rochebouct 5 » M. Rivoallan 10 » M. Omer-Decugis ^tû- » M. du Halgouët 'A ieeM » M. Fraritz; Aiorize .>- .V. ̃' -5 H » .M. The^en de Gueberan, en, >. ..sauvenir.^ du Poste do se– ̃•> •• ̃»i cours de la Maison Blanche ï««i>"K"i (Verdun) J> no'iiH)- » M. Léon Tailemant, officier de

réserve 10 fi » M. Georges Jaôuèn' 10 :> M. Yves Jourdrain 10 » M. Théophile Geffroy 10 » M. Tanguy 1 0 » M. Rouau de Kermadec 20 » Mlle dé Kermadec 5 » M. Ch.de Kermadec. 5 »

Total de la 39" liste. 1.750 » Listes précédentes 377.106 35 Total général 378.85G 35 Errata,, à la 34" liste. Au lieu (le Comte et comtesse de Manol, vicomtesse de Lesgueni, capitaine et Mme Nujau, M. et Mme de Coula rel, lire Comte et comtesse de Massol, vicomtesse de Lesguern, capitaine et Mme Bizcul, M. et Mme de Coatarel.

ATota. D'accord avec le Comité pour l'érection d'un monument au général Mangin, la souscription ouverte dans le Fiqaro, le Gaulois et l'Ami dn Peuple sera définitivement close le 25 mars.

Les personnes qui resteraient désireuses de souscrire après cette date devront donc adresser leur souscription directement à -Mrtre-fiv^-comtossve' dtr-Lacombe-Maurv, se,-cçétairi'; général du Comité, 18, rue LôiiisDavid, Paris (16e).

Les dons qui nous parviendraient après le 25 mars seront remis par nous au Comité, mais nous aurons le regret de ne pouvoir les publier dans nos colonnes.

-s^-

T-A-0

Maison de couture Lieu privilégié qui voit naître quotidiennement de nouveaux chefs-d'œuvre du bon goût. Tao est justement appréciée des milieux aristocratiques. AnnenkolF qui combine les modèles possède; don précieux, le sens du coloris allié à une fine compréhension de la beauté .des lignes.

Ses ensembles de printemps sont d'une attrayante fraîcheur et les délicieuses soies imprimées d'après des dessins de Fujita nous tentent par leur originalité. Dans l'intention de parer à l'inconvénient des robes de longueurs inégales, dépassant disgracieusement les manteaux du soir, Mlle Aniienkoû" vient d'inventer un séduisant vêtement, dont le haut est en satin noir et le bas en mousseline très légère non doublée, qui, recouvrant toute la jupe, complète n'importe quelle toilette d'une manière harmonieuse.' Cette innovation était- indispensable aux exigences de mode actuelle.

Uii porsage en paillettes bleu de nuit, de longs panneaux de tulle vaporeux le nom de. Libellule- n'aurait pu être mieux choisi pour, cette 'merveille.

Mais tdut est à retenir dans cette collection qui nous offre des toilettes d'une distinction rare que porteront demain les femmes, les plus élégantes.

̃ ̃- L.T. T.

3EST* LA

J* Un certain nombre de critiques d'art se groupant autour de M. Camille Mauclair, qu'ils ont choisi comme président, ont fondé une association ayant pour objet la défense professionnelle, et la protection du goûtirançais.

-,«• Au Musée Galliera, l'exposition générale d'Art appliqué fermera le samedi 30 mars, pour la préparation de l'Exposition des Arts de la Bijouterie, de la Joaillerie et de l'Orfèvrerie.

Billet du matin

L'homme s'accommode mal de vivre;

L'homme s'accommode mâl de vivre seul. C'est pourquoi il a inventé le mariage qui n'est parfois, il est vrai, qu'une solitude à deux. C'est aussi pourquoi il saisit aVec empressement toutes les occasions de se sentir encadré par ses semblables. On, a supprimé les corporations, mais nous avons les syndicats. Et les associations de toute nature foisonnent. S'il ne suffit pas de se grouper .pour .dresser vers le ciel la cité future, comme l'affirment avec une présomption un peu niaise les cantiques révolutionnaires, du moins cette floraison d'amicales et de sociétés sert-elle à favoriser le goût des titres hiérarchiques et à pavoiser les 'rioitririès de distinctions honorifiques. Et voici une nouvelle àssbbiatïôn qui ne manquera pas, certes, de sympathies, et dont la naissance sera, comme il convient, fêtée le verre en main. Ce sont les « barmen qui l'ont fondée. .Mais dès qu'on s'assemble, qu'on élit un bureau, qu'on rédige des statuts, on est pris d'un besoin de sérieux, d'un désir d'affirmer qu'on poursuit des desseins tout autres que d'aider un camarade besogneux ou de manger en commun chaque mois un poulet aux olives. (Quoi de mieux, pourtant?) Nos « chevaliers du shaker » affirment qu'ils favoriseront le développement du tourisme et qu'ils feront des « bars » qui sont déjà les académies de la jeune littérature autant de foyers pour les étrangers.

Après tout, c'est bien possible. Et je crois sans peine qu'ils ne manqueront pas d'alliés– et de « petites alliées ». Je pense aussi qu'ils voudront donner un beau titre à leur société la Confrérie du Dernier Cocktail, par exemple. Je le leur livre volontiers contre deux « Martini » à la prochaine assemblée générale.' Artigny.

La,:t~ úe::[i~ôur:rmstructioD

,r ·,i '~ry,

des ~~I~ettres ":j

« Pas d'illettrés se nommait fièrement. avec un rien de panache, une ligue, qui se fondait il y a un an environ. Et, avant même que les indispensables formalités de constitution, officielles et administratives, ne fussent accomplies, elle se mettait hardiment à l'œuvre.

Sous l'active et intelligente impulsion de Mme Morel-Chailly, on vit bientôt des professeurs s'occuper des illettrés de France. Des cours de propagande furent donnés dans les casernes, dans les centres ouvriers, dans les campagnes éloignées, chez a les « arriérés de tous âges. Les résultats dépassèrent bientôt toutes les espérances, Les directeurs de l'enseignement. les chefs ¡: de notre armée, les ministres même furent les témoins d'une révolution étonnante dans la manière d'apprendre.

En vingt-quatre leçons, enseignées par les professeurs de la Ligue avec leurs méthodes particulières, des illettrés absolus, des ignorants complets comme il en existe encore trop, déchiffraient des textes, assemblaient des mots suffisants pour exprimer leur pensée, toute simple.* toute nuCj, dépouillée tlu moindre artifice. Nous avons

lu "des lettres tbûchante»s::dy' simplicité et

d'émotion' écrites" pa>' des' soldats- 'tjuï

n'avaient jamais tenu da^ns'lîpûfs! doigts des objets alïssi fragiles qu'un' crâyîon,' des en- fants, dans leur naïveté charmante expri; maient des désirs sur des feuilles volantes}. Le succès était complet. i II devait s'accroître encore. Les ininis*- très de nations amies, soucieux d'importé^- chez eux une méthode nouvelle et pratij que et donnant d'aussi heureux résultats) demandèrent à assister aux séances d'instruction pour pouvoir en toute conscience les proposer chez eux. C'est pourquoi aux cours d'illettrés assistaient, témoins im-i passibles mais convaincus, les attachés ou secrétaires de maintes ambassades. Et venait hier la consécration officielle de tant d'efforts, de tant de dévouements! Officiellement, la « Ligue pour l'instruction des illettrés tenait sa première assemblée générale en la mairie du IX" arrondissement, sous la présidence de M. Paul Escudier, député de Paris, et en présence de personnalités éminentes du monde diplomatique, politique, administratif et juridique.

Des rapports furent lus par différents membres du comité provisoire, et le conseil d'administration fut ensuite élu par l'assemblée. A l'unanimité, cela va sans dire, le bureau fut ainsi formé

Présidente Mme Morel-Chailly vice- 1

présidents Mme Jean Chiappe, MM. Geor-

ges Lecomte.André. Franjgpijj^Poncet, Pieiv-

Godin.TTêïii-r de ^VeTndel trésorier r, M.'Aupetit ^secrétaire' "général M. Elle Mossé secrétaire adjoint lI. Claude J Georges Bossière. ,1

Notons qu'à .l'issue de la séance, la Ligue ayant fait appel à toutes les bonnes volontés, la plupart des ministres de l'Amérique Latine qui assistaient à cette assemblée ont tenu à assurer Mme Morel-Chailly d'un appui qu'ils n'ont point marchandé jus-

qu'ici. :•

qu'ici, Raoul de Givrey.

Dans les P. T. T.

Des journées des P. T. T. sont organisées aujourd'hui et demain jeudi par le comité permanent de « la semaine des Postes, Télégraphes et Téléphones ».

L'ouverture des travaux aura lieu aujourd'hui, à 10 heures et demie, sous la présidence du^sous-secrétaire d'Etat des P. T. T., et la première séance sera présidée par M. E. Fougère, député, président de l'Association nationale 4'exPansion économique.

Dans l'après-midi, seconde, séance. Les travaux seront clos le lendemain jeudi, au cours d'une séance du matin.

Le rapport général sera présenté par M. Aymé Bernard, administrateur-directellr de l'Association industrielle., commerciale et agricole de Lyon.

A midi trente, un banquet aura lieu en l'honneur de M. Germain-Martin, sous- secrétaire d'Etat des P. T. T.

A l'issue du banquet, les congressistes visiteront, sous la conduite des ingénieurs de l'administration des P. T. T., le secteur automatique « Carnot ».

LA POLOGNE

La Vie technique et industrielle vient de publier un intéressant ouvrage sur la Pologne, où sont développées toutes les documentations relatives aux produits du sol et du sous-sol, à l'élevage, aux industries et à toutes les questions de la vie polonaise dont il a été donné de contem- pler un aperçu au cours de la projection v, du film: documentaire présenté Je mois dernier aux invités du banquet donné par la Vie Technique et Industrielle. sous la présidence du comte ChJapowski, anibas- sadeur de Pologne à Paris.

LE MONDE Effi LA VILLE

̃•V'î <jy ̃ .i. v;- ̃

̃ Jtmrtage princier

Hier opt commence, à Oslo, les fêtes grandioses organisées à l'occasion du mariage de, S. A. R. le prince héritier de Norvège avec S. A. R. la princesse Martha de Suède. Ainsi que nous- l'avons annoncé, les premiers hôtes royaux, le duc et la duchesse d'York, sont à Oslo depuis samedi dernier. Hier matin sont/arrivés. les deux comtes Bernadette, cousins de la princesse Martha, le prince Valdemar, qui représente les souverains, danois et, g Je prince Georges de Grèce.

Ils ont été -reçus à la gam-par le Roi et ont été l'objet d'un accueil des plus cordiaux. Mais le 'plus grand événement de la journée •i été l'arrivée du prince hériter, et de'.la'prin^cesse ̃VIartlu.vec les parents de la princesse, prince Charles et ,1a, princesse Ingeborg ` /de. Suède, la princesse Ingrid, fille unique du prince héritier de Suède, le prince Charles, :ifrère,de la princesse Martha, -et sa sœur, la ̃princesse Marguerite, accompagnée de son mari, le -prince Axel de Danemark, et de leurs deux jeunes fils.

Xa capitale présente la plus vive animation jes monuments et les maisons sont décorées de Ja. façon plus pittoresque.

Dans la gare ornée de drapeaux aux couleurs des deux nations, le train spécial a fait, à ii h. 20, son entrée.

La princesse Martha, ses parents et les hauts personnages qui les accompagnent sont reçus Car le Roi, la Reine et le prince Olav.. La foule massée leur fait une ovation. Après un court arrêt dans le salon d'attente, où les I autorités ont été présentées aux princes suédois;- 'le cortège royal se dirige vers le palais. L'enthousiasme de là population ne connaît plus de borpes, lorsque les membres de la famille: royale et les hôtes paraissent au balcon. Les galas se succéderont pendant trois jours. Hier; s.oir. une grande réception a été donnée par lés souverains au palais royal aujourd'hui, une représentation sera donnée au Théâtre Na-

tional.

I Le mariage du prince Olav avec la princesse

Martha sera célébré demain jeudi, en T.église

(.4u SaintnSfeu^Wr. •̃•;̃• Kir ̃• ass /ajuji; l'~glise

',7.t' nO7Y .ui~ bi" ly

~A,y~`-Es' An~të~ss~bE~` 1 I IJ~II ¡ji:Í ~'1''u

;̃* S: Exe. M. de Chambrun. ambassadeur de France en Turquie, qui était arrivé dimanche à Constantinople, est parti hier pour Angora.

S. Exc. le ministre de France en Suède et Mme Armand Bernard, ont offert un dîner auquel assistaient r. LL. Exc. ̃]« ministre des Etals-Unis» et Mme Leland .Harrison, le ministre du Japon et la vicomtesse Mushnkoji, Don lMiilippo Caffarelli, chargé d'affaires d'Italie et Dona Técla Caffarelli. le commandant de la marine et la baronne Tamni, 'le commantlant et Mme .Bjiirrisyierna, le baron et la baronne Plate n,, le. comte et la comtesse Trolle-Wachtmeister, i M Hubert Wichfeld, conseiller à la légation :iàti Danemark, et Mlle Wichfeld M. et Mme Alexis de Aminoff, comte Adolphe de Rosen, commandant Still, attaché naval près la légation de France M. Folmer Hensen, le comte et la comtesse Eskil Spai-re.

RENSEIGA'EMENTS MONDAINS

Après un séjour à Rome, S; A. R. le prince héritier d'Italie est rentré à Turin. ]' ^V,S. A., R.. la duchesse d'Oporto rentre, i1.J>aris,,iaprèR;un séjour, en Italie. t j · •f0"- De\Jànt"pa'rtir"poùf' lé'Midî! la baronne D. Léonipo.nq .recevra, pas.yendredi dans l'après-

midi. j

̃'̃• Sont arrivés à l'hôtel Helios Mme Com̃ bris d'Assonville et Mme Beaumont Thomas, M. et Mme Alfred de Mattos, Mme de Vigo, Mnie Beauregard, Mr et Mrs Grifin, Mrs Burt, etc.

M. Jean Pierre Lapointe a donné samedi un thé-dansant.

Reconnu

Prince André Galitzine, M. et Mme Chamberlain, M. P. -A. Crozier. marquis de Migré, comte et comtesse Gérard de Fossa et Mlle de Fossa, comte Morand, comte de Kersaint. M. René Clair. Mlle Simon-Juquin, Mlle de Verchamps, M. et Mine Raymond Aubcrt, MM. Maurice hindou, Jacques Azémar, Guerbilsky, 1\-O, Lapic, Jean Chauvy, Féau, etc.

NAISSANCES

M. et Mme Pierre Lasserre. M. et Mme Alfred Pose sont heureux de faire part de la naissance de leur petit-fils et fils, Pierre. v M. et Mme Etienne Fels sont heureux de faire part de la naissance de leur seconde fille, Hélène. Paris, 18 mars.

̃ .i.

"BIEVFAISANCE i

Une .vente, de charité en faveur des jeu-, Triés garçons infirmes recueillis par les Frères i -Saint-Jean-de-Dieu aura lieu aujourd'hui mer"j-credi et demain jeudi, de deux heures à six .heures, à l'asile, 223, rue Lecourbe.

Un déjeuner a été offert hier matin à 'soixante grands blessés de guerre de l'hôpital des Invalides, par le docteur E.-H. Schwing, | MM. Mark Bâtes. 0. H. Gropper et Maurice Blanchet.

̃ .1..j.

CERCLES

Ont été reçus, en date du 18 mars, comme membres permanents du Cercle de l'Union '"•̃• M. Gustave de Geer, secrétaire de la légation ,'de Suisse, présenté par M. Dunant, ministre de Suisse, et M. Gustave Schlumberger le comte Stanislas de Montébello, présenté par ,le comte de Rohan-Chabot et le comte Hervé d'Hunolstein le baron Louis du Quesnoy. présenté par le' baron du Quesnoy et le marquis de Sàporta,; le comte Pierre de Jouvence!, présente par le comte de Jouvencel et le comte de Rohan-Chabot M. de Ciechanowski, présenté par le prince Dominique Radziwill et M. de Panafieu.

1 Au Lyceum de France, 17, rue de Bellercliasse, aura lieu aujourd'hui mercredi, à quinze ^heures, une conférence de M. Matei Roussou, sur l'oeuvre d'Henri Duvernois, avec intermède de danse et une comédie de François

'de Nion.

MARIAGES

On annonce les fiançailles de Mlle Mimi Dreifuss, fille de M. et Mme Sali Dreifuss, avec M. Robert Amerongen, fils de M: et Mme Guy Anierongen.

Le mariage du marquis de la Serraz et ̃ de Mlle Yvonne Chanteau a été célébré hier, 1 en l'église Saint-Pierre de Chaillot, dans la plus stricte intimité, en raison de deuils récents. La bénédiction nuptiale fut donnée par le R. P. de Vauplane.

DEUIL

# Aux obsèques de Mme Georges Saint ̃ Paul, née Poliakoff, célébrées lundi en l'église

Saint-Pierre du Gros-Caillou, on remarquait, dans la nombreuse assistance

S. Kxc. M. Mvron ï' -Hcr'rick,, amtossadeur des ,Etats'-Unis M. et Mme Parrrielf Herriek M. Norman Armour. chargé d'affaires M. le maréchal Franehct .d'Espcçey, duc de Montmorency, .prince de Béarn et- de Cliàlaiç, duchesse de Morny, Mme deGuznni'n filanco, M. John J. Persing, M. et Mme Nazarc Aga, S. A. le prince Samad Khan. princesse Aymon de Faucigny-Lucinge, amiral de Lostende, Mme Vesnitch, M. et Mlle Maklakoff, marquis et marquise de Créqui-Montfort de Co.iirtivvon, Mme Elisabeth Raffalovitch, née Poliakotl, comtesse de Heiset, comte et comtesse de Pracomtul, comte et comtesse Subérviolle, comte des Touches, marquis Le Gouëslier d'Argence, M. et Mme Raphaël Georges Lévy,

Mlle Chaplal, baronne, Le, passeur, née .Janzé,

baron> 'Chaptal. b,aro, Le 4-k%S(~llr. M'. eL Nïiïié "li-

liqrpn et baronne Le Lasseuf. M. et Miné Pi-

chon, Mme Claude UUtreil, M. 'et Mme Ternàux'Coitipaiis, Mme'"Ët1m6nd Dollfusi Hari>n et bã l'Ohne Locré, M. et Mme 'Fojifiiier-'SarloVèze,: M. Ludovic de .luge, comte et;toriitessejde Ro,stftng,,M. et Mme Alexandi-»:,SJJfger, ,,M. $. VngliaiK). marquis de, Baye, Mlle de i Baye, M. André Dézarrnis..}>arôn de Rayignan, M. Pierre Lyautey. général et. Mme Paul 'Azan, M. et Mme Lucien Allez", M. Pierre Schommeï baronne D.Léonino, barbnne M-érlin,"née Saugy, baronne Henry de Grandinaisoli, comtesse de Saint-Blanquat, vicomtesse de Petiteville, vicomtesse G. de Buysieulx.- contrôleur jféuéral Leconte, M. Jean Kineij, Mme. Juhflvl, commandant de Kergariou, M. et Mme Krnest Goüin, M. A. Mimerel, Mme et Mlle Hochoii, M. Edmond Hesse, M. et Mme Renault de hi Templerie, comtesse de Roufiemont, Mrs Rutheri'ord Stuyvesant, général et Mipe Dumont, Mme Hébrard de Villeneuve, M, George A. Gordon, etc.

L'inhumation a eu lieu 4U cimetiçre de Mont.martre. ̃̃ ̃ "̃'

*̃ Nous apprenons L'ii.mort de -M°j Gustave Abadie, bâtonnier du barreau de Bagnères-deBigorre, ancien président àyt conseil général des Hautes-Pyrénées. •;̃ :• 1 ̃̃ '.̃ Nous apprenons la niort de' Mme Maurice Foulques de Jonquières, décédée à Niort. M. Polo de Ber>iabeK ancien ambassadeur d'Espagne à Berlin, est décédé y, Madrid.. Une messe anniversaire pour le repos de l'âme de Mme Malézieux-Dehçn,née, de Marisy, sera dite le lundi 25 mars, à dix heures et demie, en l'église Saint-Pierre du sGroâiCaïllou (chaiJeltélduïiSaeréi-eeeur^ïJO'j ̃$̃* ¡

̃ ̃ -ni ;"» >')•> K.i'iitMnihro xnrr

..•̃ -Une messe anniversaire pftyg.Jp rçpos, jdp l'àmc du vicomte de Froid«joni;\40-)flçfism sera célébrée le mardi 26 mars, à dix-.heures et demie, en l'église Saint-Pierre du GrosCaillou, chapelle du Sacré-Cœur.

Nous rappelons que les obsèques de la comtesse de Montmarin, née Montgon auront lieu demain jeudi 21 courant, à dix heures et demie précises, en l'église Saint-Honoré d'Eylau, où l'on se réunira.

Nous apprenons la mort de la. baronne Dupéricr, née Hélo, déçédée chez sa fille,, 5, rue Pomereu. Ses obsèques auront lieu demain jeudi 21 courant, à midi un quart précis, en l'église Saint-Honoré d'Eylau, -,a 'paroisse, où Ton se réunira. Le présent avis tient lieu d'invitation et de faire-part.

M. Félix Jeantet, M. et Mme Louis Jeantet, Mlle Elisabeth Jeantet, MM. Claude et Gabriel Jeantet nous prient de faire part de la mort de Mme Félix Jeantet, née Chavin. Les obsèques auront lieu à Saint-Lupicin (Jura). Il ne sera pas envoyé, de faire-part;. Mme Louis Bloch et ses enfants, M. et j Mme Louis Ochs et leurs^ enfants ont- la dou^"leur, de faite, part xlç /lâ-rh'orj;. dé'^ M. Louis Ëlocji, aiicïen officier*, chevalier' de' k Cégion d'hohneur, décédé le 17 mifrs,;en' sori donnH.ll^, ..11, rue Gouiiod. Suiva,nt la volonté. du défunt, les obsèques ont eu. lieu dans 1* plus stricte intimité. ̃ ̃ Nous apprenons la mort dé Mme Charles Petit, pieusement décédée le 17 mars, en son domicile, 77, avenue de la Muette, Paris (16e). Ses obsèques auront lieu le vendredi 22 courant, à dix heures et demie, en l'église de Lambersart (Nord). L'inhumation se fera au cimetière de Lambersart, dans le caveau de famille. ` & On annonce la mort de Mme Gouitty, née Joubert, veuve du commandant. Les obsèques auront lieu à Versailles, demain jeudi 2i, à dix heures et demie, en l'église Sainte-Jeatined'Arc. De la part de M. et Mme Georges Gouilly, de l'inspecteur des eaux et forêts et Mme Paul Gouilly, de. Mlle M.-L. Gouilly, ses enfants. Il ne sera pas envoyé de lettres-, Nous apprenons la mort de Mme Andres Rodrigucz Aspura, née Ida Planas, décédée après une courte maladie, en son domicile à Paris. 27, avenue George-V. Ses obsèques auront lieu vendredi 22 courant, à midi, en l'église Saint-Pierre de Chaillot..Prière de considérer le. présent avis comme .une invitation. On annancerJa •rmoeb. du._vlcomtE.Pierxc: de Fragmer, pieusement décédé à Lourdes le ..17- mars.- ̃ ̃̃:̃- 1 On nous prie d'annoncer que M. Paul Legendre, agrégé de l'Université, professeur au lycée Montaigne, a succombé le 15 mars à. la suite d'une longue et douloureuse maladie. Selon la volonté du défunt, les obsèques ont eu lieu au cimetière du Père-Lachaise, dans la plus stricte intimité.

Le présent avis tient lieu de faire part,Sérigny.

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lia collection d'été ayant été présentée le 15 mars, Mme Jaiie Duverne s'excuse auprès des nombreuses cliente^ parisiennes, qui n'ont pu trouver place en ses salons du 18 de la rue I Royale et ceci par suite du vif succès obtenu | par ses nouveaux modèles de robes et manteaux.

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Allez passer vos vacances deTaques au soleil et parmi les fleurs. A Grasse, sur la Côte d'Azur, vous trouverez, au Parc Palace Hôtel, la meilleure hospitalité, le confort et le repos nécessaires à quelques jours de bien-être. L'Hôtel dit Louvre et de la Paix, l'un des plus confortables de Marseille, avec ses 175 c-ham•bres et 100 salles de bains, est sous la même direction.'

Jusqu'au 31 mars, ̃

Liquidation d'antiquités. ̃-•>̃̃

Pour cause de cession de bail, liquidation rapide de Meubles et Objets d'art ancien, Por< celaines. Faïences. Lehmann, antiquaire, iô4j Faubourg Saint-Honoré;. Paris. v.: A Nice, le Grand Hôtel de Cimies et Pavillon Tictoria, au milieu du plus grand parc de la Riviera, est l'endroit rêvé pour un séjour de repos. Malgré son luxe et son' confort, les prix sont modérés.

-̃^̃̃^«l».

Pâques au Touquet Les premiers beaux jours nous adt'es̃fri'^ùV inVitâttiiç atf -S'oï-age; Le Touquet -est- l-'éh'droit' desighé pt>Ur: y pusser'lës fêtes de Pâques, car sa vaste forêt de plus, qui l'abrite des vents froids; lui assure, dès le premier printemps, un climat particulièrement doux. Le Casino de. la Forêt et l'Hôtel Westminster ouvriront le 27 mars pour ne plus fermer avant octobre.

Un gala en l'honneur de Franklin

Nous avons annoncé qu'un grand gala, présidé par M. Myroii T. Herrick, ambassadeur des Etats-Unis, aurait lieu vendredi prochain, à 8 heures, à l'Odéèu, pour commémorer le 150' anniversaire de. la présentation des lettres de créance de Franklin à la cour de Louis XVI, comme premier ambassadeur des Etats-Unis. Une comédie en quatre actes de M. Louis Shipman, relatera des épisodes de la vie de Franklin pendant son séjour à Paris. Rappelons que cette soirée de gala, pour laquelle' l'élite de la société parisienne et américaine a retenu ses places, est organisée au profit de l'Œuvre des Mères et. des Enfants qui, sous la présidence do Mme la générale Pallu, recueille dans ses asiles les mères et les enfants abandonnés. On trouve des. billets à l'Odéon, au Cercle interallié, 139, faubourg Saint-Honoré, aux,,3Iagasius du Louvre et au siège de TCEïïvrê, 40 bis," rue Càrdiriet.

LA « GAZETTE DU FRANC » M. Glard a terminé hier soir l'information qu'il avait ouverte sur les chantages de l'affaire Hanau, et a transmis le dossier. au Parquet.

Prochainement, le magistrat instructeur, saisi par le réquisitoire de M. Cassagnan, signera son ordonnance de renvoi.

-s·r-

LA SAISON

1

DE NICB

Le grand Gala Franco-Russe organisé au « Palais de la Méditerranée » par S. A. I. et R. la grande-duchesse Hélène de Russie, princesse Nicolas de Grèce, a obtenu le plus brillant ̃succès. Une assistance suprêmement élégante emplissait la salle du restaurant. On notait, à la table de la grande-duchesse Hélène S. A. R. la princesse Marina de Grèce, S. A. S. la princesse héréditaire de Monaco, princesse Galitzine, prince et princesse de Beauvau, M. et Mme Benedetti, Mlle Benedetti, marquis et marquise de Mohlédn, Mr. et. Mrs Berry Wall, comte de Hochberg. M. Becq de Fouquières, M. André de Fouquières, Mile de -Fouquières, M. Voïodimèroff, M., Chïpoff, général Gdudine, S.- Exc. M; Savinsky. ̃̃ S. M. le roi Gustave V était à la table »de M. et Mme Vanderbilt Barton, ainsi que le prince William de Suède, miss Nash, Mme Raggio, miss Portman, Mr et Mrs Mauvillej "M. et' Mme 'ReiHer, M. et Mme Harris, M. et Mme Konutze; comte et comtesse Constantini, baron et baronne Beck-Friis, docteur Nàuchkoff. A la table de M. Weissel avaient ptis place .1 Miss Allen, M. et Mme Karterine, Mrs Maq Gibbon, comte Michel de Bumeret, Mlle dt Bumeret, M. Jeffoin, major et Mrs Bukley Levette, M. Macombre, M. Hanlèy Mitchell. On remarquait également aux autres tables général de Tinan, capitaine aviateur Barbotin, lieutenant Duverger, lieutenant Lafaille, M. et Mme Dedeyan, M. et Mme Orr Lewis, M. I Burton, M. Vagliano, M. et Mme Warner, M. et Mme Aletti, etc.


DERNIÈRËMEURE

i~i~ m w m jt~ JD 1- ii j~ u i\

Venizelos et les' protocoles gréco-yougoslaves

Athènes, 19 mars. A l'occasion de la signature des protocoles gréco-yougoslaves, le Président Venizelos a fait a la presse les déclarations suivantes ` « Je désire manifester ma joie très vive de l'heureux aboutissement des pourparlers concernant les facilités que nous nous étions engagés, par le traité de 1913, à accorder au comm'erce yougoslave transitant t par Saloniqu& 'Les pourparlers ont» 4uré -de- longues années> ils -Se sont heurtés à des obstacles instrrmôrrtatiles et ont failli, par leur échec ou simplement par une mauvaise < solution,' empoisonnera sans remède les rapports de deux pays, qu'une forte amitié avait liés dans le .passé et dont l'alliance pendant les guerres balkaniques et mondiale avait servi avantageusement les intérêts communs. Nous pouvons saluer .la solution intervenue avec une satisfaction d'autant plus grande que tout en procurant au commerce yougoslave toutes les- facilités possibles elle maintient intacte la souveraineté hellénique et ménage ses susceptibilités. Elle pose aussi des bases solides pour le, maintien entre les deux pays: de rapports amicaux que consacrera dans peu de jours, plus solennellement encore, le pacte d'amitié qui est en voie de négociation.

» L'heureuse solution des questions relatives au commerce et au transit par Salonique, et la prochaine signature d'un pacte d'amitié entre la Grèce et la Yougoslavie achèvent de consolider la paix dans le Proche Orient, que le pacte d'amitié italo-grec vise aussi à sauvegarder. Les amis de la paix ne manqueront pas de reconnaître avec une joie sincère le service que rendent à son maintien ces deux pactes. Nous serons heureux si nous parvenons à les compléter par des accords anagogues avec nos autres voisins. »

'1. .H'H~ij.)~ ç

'0 La révision du starat r >J;, de la Cour de justice internationale

Çrnève, 19 mars. Le Comité juridique chargé de réviser le statut de la Cour permanente de justice, a commencé, ce matin; l'examen du rapport présenté par MM.. Fromageot et Politis.

• Comme des objections ont été faites à ce sujet, Sir Cecil Hurst a traité de nouveau de la question de savoir si, en vertu du statut a -tuel, les Dominions faisant partie de l'Empire britannique ont le droit d'exiger qu'un juge de leur nationalité siège à la Cour dans une affaire les intéressant.

Suivant l'opinion de Sir Cecil Hurst; le statut de la Cour et la Constitution de l'Empire britannique ne laissent pas de doute que les Dominions possèdent ce droit et que ce droit n'est pas épuisé par la présLence à la Cour d'un juge britannique. Quelques membres du Comité, tout en admettant que, dans certains cas, la présence d'un juge ressortissant d'un Dominion puisse se justifier, ont exprimé la crainte qu'il ne fasse double emploi avec Hé juge britannique.

Un unembre a exprimé l'opinion que, si l'interprétation proposée par sir Cecil Hurst était acceptée par le comité, certains Etats pourraient y. voir une raison pour ne pas adb,erç£. à,.l.a clause .facultative *à\i statut.,eoncema.nj Uarbiir-age, ^îîgatoirè de la Cour. '<•' ̃̃:̃. •̃•- ̃ v ••>;[>i1. ',| Un autre membre, tout en admettant la thèse d'après laquelle les Dominions ont le droit d'exiger qu'un juge de leur nationalité siège à la Cour dans une affaire les intéressant, a rappelé que le statut luimême contient une stipulation touchant ce point. En effet, l'article 24 dit « Si le président estime. qu'un des membres de la Cour ne doit pas, pour' une raison spéciale, siéger dans une affaire déterminée, il en avertit celui-ci. »

Finalement, le comité a décidé, après une discussion prolongée, que, même dans le cas où il aurait pu se mettre d'accord sur la question soulevée par sir Cecil Hurst, l'interprétation demandée aurait dépassé son mandat. Sir Cecil Hurst s'est déclaré d'accord avec cette attitude.

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La situation en Espagne

>V4

Londres, 19 mars. L'ambassade d'Espagne dément les nouvelles publiées par certains journaux sur la, déloyauté d'un régiment d'infanterie espagnol.

Elle dément également qu'une réunion de conservateurs ait eu lieu à Tolède dans le but de former nii groupe de républicains modérés. ̃ .̃•

̃ ̃̃-̃(̃̃•n<-i U ̃̃̃»<

L'OPINION DES AUTRES

• La concentration à gauche

Les .derniers rêves d'une concentration à gauche, qui avaient trouvé pour champions les feuilles cartellistes et certains parlementaires avides1 du pouvoir, se sont écroulés. Cela par l'attitude prise à Dijon par l'Alliance Démocratique..

M.ÎEugène Lautrer (HOMME LIBRE) en éprouve une vive amertume

II s'agit de nous. Et il s'agit du pays républicain.

L'Alliance démocratique nous dit « Choisissez entre la réaction et la révolution. Choisissez, sur l'heure, et soumettez-vous. » Quelle aberration dans notre pays de sagesse,et de mesure Quelle folie de pratiquer la politique du pire 1 Quelle imprudence de provoquer, avec l'intolérance qui s'est manifestée à Dijon, te sursaut toujours irrésistible de la mystique républicaine 1

Si l'Alliance démocratique répudie son passé (comme elle vient de le faire), si elle n'est plus que le paravent même à terme des partis rétrogrades, quel crédit peutelle conserver, queUe .personnalité pçut-elle .affirmer dans la .lutte politique?

Plus 'M. Paul Reynaud aurait raison dans la nécessite du ;chois, et plus l'Alliance démocratique, repoussant les radicaux-socialistes, est contrainte de recruter à droite, et plus se fortifie l'entente inévitable dés' partis 'de jjauclie pour sauver le régime, Mécontentement aussi à VŒUVRE. Sous la signature de M. Jean Piot

Des républicains modérés, mais qu'on peut croire siiicères, comme MM. Pierre-Etienne Flandin ou Le Tronquer, s'imaginaient vraiment que la formule de « l'Union nationale » « ce n'était qu'une blague ». Au congrès de l'Alliance démocratique, Dijon, M. Paul lîeynaud s'est 'appliqué à les détromper. ̃ II leur à prouvé, clair comme le jour, qu'il fallait mettre désormais « l'Union nationale » au rang' des vieilles lunes, et qu'elle avait.fait son temps, puisqu'elle avait permis aux réactionnaires de s'emparer des leviers de commande de la République.

M. Tlandin et M. Le Trocquer en sont tout éberlués.

Qu'attendent-its pour quitter l'Alliance déjnocratique, qui n'a plus (ils ont pu s'en rendre compte) de démocratique que le nom ?

te faux d'Ulrecht est évoqué flJiihamljre belge

Bruxelles, 19 mars. M. Mathieu, socialiste, s a; 'interpellé aujourd'hui, à la Chambre,,le ministre de la défense "nationale et le ministre de la justice, au sujet du faux- d'Utrecht, et demande dans quelle mesure la' Sûreté générale était impliquée dans le faux'. Il a déploré que le chef d'ctat.-mafcfjr ait' ignoré l'existence de' cette machination ef^quç; jbendîint dix jours, la Sûreté niilitairç;ait. pbseijvë, le s'i)èinçe).s.ur l'aJraipe.CpmiflentiJfî'goÛYernement.esplique-t^il cela ? ̃ •• ̃•̃• ̃ •- ̃•

[M. Piëj'apd' es^ dnsuifé intervenu -pour

,M. "Hi'é,rd,. "'e,st,.é!1SUi,t,é, i,I~tdr,vem1,-P().ur

déclarer' 'gue, l'Upinio'n publique à' été ïn-

dighée tfe.la, mise eh. liberté de Franck. Répondàntaux deux Orateurs, M. Jaspar a exposé que le gouvernement avait fait toute diligence puisqu'il avait saisi le Parquet dès' 1" mars. Franck a été arrêté le Parlant de J'enquête ouverte par la Sûreté militaire, M. Jflspar a ajouté « Nous savions que le service-de renseignements pouvait être mis en cause. Nous n'avons; pourtant' pas hésité à agir. Nous n'avons eu' en vue'. que'1 l'intérêt du' pays. » A son tour, M. Vandervelde a prononcé un discours où il a rendu hommage à la bonne foi du gouvernement

L'Allemagne et la guerre des gaz

Berlin1, 19 md'r's. La commission des affaires étrangères du Reichstag s'est occupée aujourd'hui, sous la présidence de M. Scheidmann, du projet de loi portant ratification du protocole de Genève interdisant l'usage des gaz en temps de guerre. A cette occasion' M. von Schubert, secrétaire d'État, qui remplace M. Stresemann au ministère des affaires étrangères, a rappelé que ce protocole avait été adopté par 35 nations et que, sur ce nombre, huit nations, y compris la France, l'Italie, la Belgique et la' Russie l'avaient déjà ratifié. Le gouve«»e'mfenirdU!)Ré.itth sattache/uà prix particulier à ce que ce protocole soit •ratifie scvM'fi l-a^'rSÛ'iiï'éi de la conférence du' âésârriieme'ril.' '̃'

Après une discussion assez longue, la commission a adopté le projet de loi. Elle a entendu ensuite le rapport de M. von Schubert sur les travaux de la dernière session de Genève.'

La situation au Mexique

MEXICO. 19 mars. On annonce officiellement que les rebelles ont fait, par l'intermédiaire du consul mexicain à El Paso, des propositions de paix au gouvernement mexicain, mais que cette offre a été rejetée par le Président Portes Gil. Selon des nouvelles de Guadalajara, les insurgés Ont été expulsés de la ville de Zapotlanerjo après un combat de trois heures.

Trente-huit rebelles et quatre soldats fédéraux ont été tués. Les rebelles ont emmené avec eux des blessés, mais on en ignore le nombre.

La guerre civile en Chine

..>• ̃̃• 1~~

Londres, 19 mars. Suivant une,déj>èche de Changhaï au Tiines, quoique,

'1^aWjes,,mili.êuxrôfflp.i,e^s chinois on pré-

~ep~~e c~yç ~e drtl~érerid enfre ,~4iuan ~Iân:

iènde.qiié le différend .entre Wuan et.San-

:iri, 'soit 'réglé, '"liés prèparatïfs riiîli't'a'ires

n'en continuent pas moins. Les forces gouvernementales, concentrées sur divers points le long du Yang Tsé, s'élèvent à 150.000 hommes. Celles de Wuan, concentrées à Kiu Kang, à Wuan et en bordure du Hou Nan, s'élèvent à environ 100.000 hommes".

La même dépêche signale également divers mouvements de troupes effectués par Tchang Kaji Chek.

Les pourparlers des experts

Les sous-comités chargés de s'occuper de la constitution de la future Banque des paiements internationaux, ainsi que des livraisons en nature, se sont réunis dans la journée d'hier. Le Comité tiendra cet après-midi une séance plénière.

Mais tout l'intérêt de la conférence se porte actuellement sur les pourparlers qui ont lieu entre les experts, au sujet de la •fixation des annuités que le Reich aura à paver. Il est évident qu'on ne peut connaître encore le résultat de ces entretiens, puisqu'ils n'ont commencé qu'hier; mais nous croyons savoir qu'ils se poursuivent dans une atmosphère favorable et dans un sens qui peut laisser prévoir un accord.

Est-ce sur l'espoir de voir accourir un nombre imposant de transfuges que la VOLONTE base sa conviction qu'une concentration 'à gauche est possible ? La feuille cartelliste agite le spectre de trois ans d'opposition pour les radicaux Etant donné la répartition des partis à la Chambre, telle qu'elle est issue des élections d'avril, il n'y a que deux majorités possibles celle du Bloc national ou celle dite de concentration républicaine. Rêver d'une reconstitution du Cartel est mathématiquement impossible, même si d'autres raisons ne s'y opposaient pas.

La deuxième majorité possible, c'est celle de ta concentration républicaine à gauche. C'est celle qui, sur un programme hardiment démocratique de réalisations positives, unirait autour du parti radical axe de cette majorité les socialistes enfin décidés à ne plus s'isoler dans les nuées du Mont Sinaï et tous les républicains résolus à ne pas subir plus longtemps la dictature de M. Marin. Par cette concentration à- gauche et par cette concentration seule le parti radical peut revenir au ppuvojr, sa.115 abdication et sans équivoque. Sans cette concentration, les radicaux ont devant eux1 trois aiiip d'opposition. Qu'on le veuille ou non, voilà la situation vraie. Mais M. Blum parait fort désireux que les socialistes-demeurent isolés « dans les nuées du mont Sinaï ». Il déclare dans le POPULAIRE « La' concentration à gauche est enterrée. » Mais son commentaire laisse penser que, s'il se réjouit de n'avoir pas à faire alliance avec les radicaux, visiblement il ne voudrait non plus que ceux-ci revinssent à une politique nationnale, et sa manière de dénoncer le péril renferme une expectative menaçante. Le jeu est adroit, en tous cas fort averti de l'esprit radical. M. Blum écrit Cette aventure apportera-t-elle une déception définitive à ceux des radicaux qui, comme M. Caillaux dans son dernier discours du Mans,- tablaient sur le renfort, non seulement de la gauche radicale mais de Pierre-Etienne Flandin et de ses t-jmpagnons anonymes ? Je n'en sais rien, certaines illusions sont tenaces. Mais ce qui est sûr, c'est qu'en. rev..nche l'Alliance. Démocratique, n'a pas de plus cher désir que d'attirer à elle une fraction des

A LA CHAMBRE

Lés Congrégations

missionnaires

Le Collectif i

Tout semblait avoir été dit sur les Congrégations missionnaires. Il n'en était rien. 'La Chambre; de nouveau, à discuté à leur 'sujet, hier, dans l'après-midi.

Un socialiste, M. Frot, avait demandé l'ajournement du débat obstruction suprême jusqu'au jour où le gouvernement se serait expliqué sur sa politique d'ensemble à l'égarçl des congrégations ensei- gnantes. A là dernière minute il retira cette demande d'ajournement, estimant qùé' là discussion "générale "du projet fournirait au cabiïiet l'occasion d'éclairer la 'Chambre. •• ̃̃ M. Paul-Boncour, président- de la commission des affaires extérieures* précisa alors l'attitude de la commission et fit l'historiquc de ses travaux.

-Il v a eu jusqu'ici deux débats, dit-il, l'un sur la date, l'autre sur la question préalable. La commission n'avait pas à intervenir. Elle ne s'est placée qu'au point de vue de la politique extérieure. Des imbroglios de procédure ? S'il y en a eu, c'est grâce à elle qu'on en est sorti. De l'obstruction ? Il n'y en a eu aucune devant elle.

« J'appréhende que des fautes accumulées ne transforment un débat de pure politique extérieure en un débat d'une autre sorte. ̃ « Dans quelle direction la commission a-t-elle travaillé ? La forme primitive de l'article 71 était inadmissible cet. article avait le double défaut de se substituer, contrairement à la loi de 1901, le décret à la loi pour les autorisations et de prétendre régler en quelques lignes une question extrêmement complexe. A l'article 71 on a substitué les articles 33 à 43 qui, tenant compte des principales critiques dirigées contre lui continuaient à substituer le décret à la loi comme acte d'autorisation. Les textes proposés aujourd'hui sont l'application de la loi de 1901.' Ils constituent un hommage p'osîhtune et tardif au grand républicain à qui est due cette loi. Aujourd'hui, son! les .partis aiii avaient le plus vivement' attaqué' cette -loi qui s'en saisissent pour régler un problème important. Rien de' plus élogieux pour la mémoire du grand homme d'Etat qui a voulu qu'aucune des forces légitimes du pays n'échappât au contrôle de l'Etat ré-

publicain. »

Une intervention du rapporteur, M. Marcel Héraud, provoqua des observations sans intérêt de M. Herriot, qui profita dp l'occasion qui lui était offerte pour prononcer une apologie d'Emile Combes. M. Marcel Héraud, une fois de plus, dit le rôle éminent que jouent à l'étanger les congrégations missionnaires françaises et le prestige'que leur doit la France. Sujet épuisé sans doute, mais qu'il est bon ,de plaider et de plaider encore devant une Chambre où les sectaires abondent.Il continua en ces termes

L'Italie encourage ses missions, l'Allemagne subventionne largement ses religieux, partout les missions s'affrontent avec leur caractère national. Si nos missions disparaissent, les autres s'accroîtront au grand détriment de l'influence française. La même religion sera enseignée, mais elle ne le sera plus dans notre langue. Pour que demain ce soit Racine et non pas Gœthe qu'on récite, pour que ce soit la « Marseillaise » et non pas l'hymne dUin autre pays qu'on chante,, il -faut que nous aidions nos

missions. '• ..V

» Quellé'&sl l'économie, 'quel' 'e$ l'esprit des projets soumis à la Chambre ? La loi de 1901 déclare qu'une congrégation peut être autorisée par une loi qui en fixe le fonctionnement. Et l'article,2 de la loi de 1904 autorise'le gouvernement à maintenir ouverts les noviciats des congrégations missionnaires. Aujourd'hui, nous dcmàn-dons l'ouverture d'un nombre limité de maisons où seront instruits un nombre limité d'élèves. C'est ce qu'a voulu faire M. Combes lui-même.

» Quelles critiques apportera-t-on à ce projet? Sur le fond même, à la commis- sion des affaires étrangères, il n'y a pas eu d'opposition de principe. La majorité de cette commission a été inspirée plus par des raisons de droit que ..par des .raisons de sentiment, mais celles-ci, toutefois ne l'ont pas laissée indifférente. M. Briand a déclaré avec raison c'est un débat posé devant le monde entier Le monde entier se demande, en effet, si la France est. animée, après la guerre, d'un esprit nouveau, C'est l'avenir de l'inlluence française â l'étranger qui est en cause. »

Au nom du groupe d'action démocratique et sociale, M. Lorin apporta son adhésion au projet du gouvernement.: Ce que la loi proposée apportera de particulièrement précieux aux mission-

,t'uM "il 'M~

radicaux pour les incorporer dans une nouvelle formation d'Union nationale. Elle spécule sur l'impatience du pouvoir, sur la lassitude qui. accablerait déjà certains radicaux devant une opposition trop longtemps prolongée. Elle vise en réalité l'unité même du parti radical. J.

Voilà visiblement l'objectif. Maintenant que la concentration à gauche est enterrée nous allons voir à quoi cette tentative de concentration à droite aboutira.

Concentration à droite ? M. Georges Romary (PETIT CHAMPENOIS) la définit en ces termes

On admet très bien l'union des républicains d'ordre autour d'un programme positif de réformes et constituant un grand parti central ayant sa droite avec M. Marin, son centre avec M. Tardieu, sa gauche avec les radicaux libérés de la collusion socialiste. Un tel parti trouverait à la Chambre des députés plus de 400 voix pour assurer la stabilité d'un gouvernement auquel seraient permises enfin- les grandes réalisations de l'esprit moderne. Dans le pays, ce parti républicain grouperait l'immense majorité des électeurs. Ce serait la fin des querelles fratricides et la collaboration des bonnes volontés pour l'œuvre de progrès politique, économique et social.

Les radicaux valoisiens s'v refusent encore. Mais ces récalcitrants sont-ils si nombreux ? La plupart des Français sont las des disputes de chefs, des rivalités de clans, des divisions qui n'intéressent que des états-majors plus avides d'avantages particuliers que du bien public.^

Reste à savoir ce que feront les radicaux de cet encombrant programme d'Angers. M. Ch. Ritz (LE LORRAIN) pense qu'il y a dans le radical un bourgeois qui s'ignore et que l'amour du « rouge » dé- prave

Prenez, par exemple, le parti radical-socialiste vous trouverez, dans ce parti, une immense majorité de bons bourgeois ou d'hommes de professions libérales qui sont, du point de vue social, aussi réactionnaires qu'on peut se l'imaginer. En paroles grands réformateurs de la société, amis du progrès, émancipateurs du « peupte »; en pratique <: les pieds dans les pantoufles dans leurs salons et jolis parleurs de clubs et salons sélects. En paroles partisans de hauts salai res chez le voisin chez eux mauvais payeurs de leurs ouvriers et employés. La peur de ne point passer pour un homme aux idées avancées et de passer, pour un homme de droite fait dire et faire les-.plus

naires, dit-il, ce sera le réconfort moral -qui résultera de 'leur reconnaissance" officiéHe.Trop souvent 'des concessions leur ont été refusées simplement parce qu'ils faisaient partie d'organisations non autorisées. Le problème posé aujourd'hui est le problème, non des Congrégations, mais dé l'influence de Texpan'sion française. Le devoir du Parlement français est clair. Mais le socialiste unifié Frossard ne renonçait pas aux « chicanes misérables ». Il s'attacha à dégager les aspects politiques' du problème posé devant la Chambre et le fit dans la forme et dans l'esprit que l'on devine. Il protesta que nos missions ne sont, nullement en péril, que la crise signalée est une crise généraleide vocations ecclésiastiques et qu'elle atteint aussi bien les. congrégations autorisées que les non autorisées. 11 prétendit en outre que lès projets du gouvernement ne sauraient y porter remède et s'en remit pour la sauvegarde du prestige;, français au delà des mers à ces, mjssipns. laïques sordides dont on a dit et redit les échecs suc.cessifs et piteux 'i!l! ;"K »̃• Nous ne permettrons pas, S'éeria-t-il 'avec une emphase-grotesque) nous ne permettrons^ pas que l'on touche à, la. loi de 1901 pas plus qu'à. la loi. de 1904, Elles forment un bloc que nous ne cesserons de défendre. Nous resterons toujours fidèles à la doctrine de Jaurès car nous estimons que les lois de laïcité sont, aussi nécessaires au développement du socialisme qu'à la République elle-même. Sur ces mots la Chambre décida de renvoyer le débat à cet après-midi.

La discussion du projet de loi « portant ouverture et. annulation de crédits sur l'exercice 1928 », appelé « collectif », s'était poursuivie au cours d'une séance matinale.

Mandaté par le groupe de l'union républicaine démocratique. M. ChassaigneGoyon prononça un excellent discours sur la réforme nécessaire de notre système fiscal, plein d'iniquités et d'incohérence. -–De tous les contribuables, dit-il, ce sont les porteurs de valeurs mobilières qui, sans doute, sont le plus lourdement et le plus injustement atteints et comme un nombre de plus en plus considérable d'épargnants recule désormais devant les investissements normaux, l'économie générale du pays en souffre gravement. Presque plus'" ̃ d'émissions d'obligations. Les Compagnies de chemins du fer. pour

-leur's^tfa^M soàU«biigd**à|i!e Irecaurir

aux capitaux étrangers ou au Trésor*. L'allégement d,es £tjarj5eifib Qui accablent l'épargne s'impose. Le fisc^sera le premier à y trouver son compte car la matière imposable se développant et les fraudes diminuant, les recettes du Trésor ne pourront qu'y gagner. ̃ Le gouvernement est prêt à une réforme on le sait, répondit le ministre des finances, mais dans le cadre budgétaire.

M. Chassaigne-Goyon n'en itisista pas moins sur le caractère de spoliation que revêtent certains prélèvements fiscaux et appela l'attention du gouvernement sur la crise des capitaux.

La France est le pays du- monde où le taux d'escompte est le plus bas. Comment expliquer que les capitaux à long terme y soient devenus si chers? La fiscalité, dont les excès aboutissent à supprimer les patrimoines mobiliers en quatre générations, est la vraie coupable. L'orateur, en terminant, déclara fermement que la réforme fiscale urgente dont dépend la restauration de l'épargne française ne doit, pas être indéfiniment ajour-

née.

Une thèse analogue fut soutenue par M. de Lasteyriei ancien ministre des finances^ Il étudia les méthodes propres à permettre au Par;lemen.Ljde résoudre, .le^ problème

îposé.et.de voter lés, réformes dgsirfi.es par

tous les paptisv,i,,i> i i ;t u ̃̃ ̃ Après lui. M. Evain déplora que la: sta.bilisaliou du franc. ait eu pour conséquence première un renchérissement du coût des denrées. Il se dit partisan d'une politique de dégrèvement, mais surtout d'une politique générale de la fiscalité. Enfin, M. Dessaint plaida en faveur des commerçants et des industriels, pourtant en règle avec la loi, qu'un fisc impitoyable surtaxe, sous le prétexte que les coefficients qui leur étaient appliqués dans les années dernières étaient trop faibles. A tous ces orateurs, le ministre.répondit longuement. Il se souvint que les sacrifices imposés aux contribuables français ont sauvé le pays en permettant la stabilisation de la monnaie.̃> Il parla des opérations d'amortissement qui réduiront le fardeau de la dette publique. A M. Marcel Cachin, le ministre affirma qu'il n'est pas question d'aggraver les charges fiscales. A M. Chouffet, qu'une loi prochaine réglera la question de l'adoption. A M. Brunet, que le budget de 1930 serait déposé au mois de mai prochain. A M. Chassaigne-Goyon, que le régime des valeurs mobilières est l'objet des soins attentifs du, gouvernement. Mais pour tout cela il faut de l'argent et se garder de creuser un trou. dans le budget! 1 i ̃̃;̃

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solennelles bêtises à; nombre d'exaellents .Français. '.̃ La démonstration est à faire on attend encore du parti radical la preuve de son attachement au bon ordre ou celle de son abandon définitif à la révolution. Jusqu'à présent, c'est cet abandon qui s'est le plus souvent manifesté et rien n'indique que le ̃redressement soit possible. Par exemple, M. Archimbaud, dans la PAROLE, organe officiel de la rue de Valois, écarte toute pensée d'accord avec l'Alliance démocratique.

Le JOURNAL DES DEBATS écrit Ou devrait bien nous dire de .-quoi serait fait ce célèbre parti avancé, qui est tout prêt à prendre le pouvoir et qui est si mélancolique dans l'opposition. Communistes, socialistes, radicaux extrémistes, tous ensemble ne font pas 250 voix. Il leur en faudrait trouver soixante à quatre-vingts dans les autres groupes. Et si d'aventure ils les trouvaient pendant trois jours, ou trois semaines, nous, voudrions bien savoir sur quoi les membres épars du nouveau Cartel seraient d'accord. Si les formations politiques ont cliangé, c'est que les problèmes eux-mêmes ont changé. Le coiiibisme a pu trouver pour nos malheurs une majorité il y a un quart de siècle. il ne s'agissait que de faire la guerre religiçuse.. Nous avions des finances qu'on .malmenait,, mais.qu} résistaient. Nous avions une armée qu'on démoralisait, mais jtjui tenait bon. Nous n'avions pas de syndicats de fonctionnaires. Nous n'avions pas de bdlchevistes. Et le parti socialiste, tout heureux de se voir livrer les portes de la cité,, ichWait -discrètement dans la majorité pour préparer l'avenir. Les temps sont révolus. Le parti socialiste est plus -fort que le parti radical. Il n'est plus un appoint complaisant et réservé. Il est le maître du parti avancé. Voilà l'événement capital qui a profondément modifié toutes les dXlrinéas daTte- politique. L'aventure du Cartel a été significative. Pour la première fois, un ministère socialisant a surgi et a en la prétention d'appliquer son programme ou du moins une partie. Il a suffi de sa présence et de ses déclarations pour amener les plus grands dégâts.

Le programme d'Angers est un retour résolu à l'aventure du Cartel.

ftadicatrâ et socialistes

Les radicaux resteront-ils asservis à- la S.. F. I. 0. et se résignerônMls au simple rôle de lui ouvrir les voies du pouvoir ?

Le ministre traita, ensuite la question des emprunts-or -à l'étranger j: j, .V v La ligne de conduite du gouvernement, dit-il, arété; d'appuyer constamment les, revendications -de l'association; nationale. dès porteurs français clei^alèÛri mobilières, grâce à son action un grand nom.bre d'affaires ont été ̃ peureuse. niant réglées. Entre Français, et étrangers il faut pour que le paiement ait', lieu en francsor qu'il y ait dans le contrat une stipulation de paiement en francs-or, stipulation expresse ou implicite ? La cour de cassation est actuellement saisie de la question et il ne semble pas qu'il ait lieu de légiférer de nouveau à cet égard. Le gouvernement a fait tout ce qui dépendait de lui. Et le ministre termina' en 'exprimant le vœu qu'après cette discussion générale « le collectif » sera voté .rapidement,, « dans une atmosphère sereine ». Le débat continuera ce matin'.

AU S^ÀT/

Petite séance au ,cdiir.s de lâgiréllc on vota toute une série de projets' d'intérêt local dont M. Dqumer U'orina lecture au milieu de l'indifférence générale.

Vers la fin la séance s'anima un peu. On discutait en effet un projet de loi destiné à donner aux fonctionnaires et employés communaux des garanties de stabilité. La loi du 23 octobre 1919 réglant le recrutement du personnel .communal et fixant son statut a déjà donné une première satisfaction aux intéressés, mais cette loi ne s'applique qu'aux communes de plus de 5,000 habitants, elle laisse donc en dehors de sa sphère une quantité considérable de communes d'autre part le conseil municipal constituant à sa guise le conseil de discipline, ce conseil peut être suspecté de partialité..

La loi que le Sénat vient d'adopter étend les bénéfices de la garantie à tout le personnel communal et modifie la composition des conseils de discipline, qui soron'. présidés par un juge de paix.

–s~

tnformaticns politiques

Au groupe radical-socialiste

Les radicaux-socialistes ont longuement, discuté, hier matin, sur' l'attitude qu'il.; prendraient à l'égard des projets sur les congrégations, pour parvenir -à se medtfk d'accord. M. Daladier, qui entenl tra1têli*4efc tWèj>es avec la rigide discipline -dont'oi* use au parti socialiste, s'est heurtéiià>!didiv.i.vés, Résistances. Il ii cherché à maintenir, toutgroupel/dans une opposition systématique et à faire adopter, par des votes de.,surprise, des décisions hostiles à toute autorisation. Mais il a dû céder et réduire ses exigences il n'a pu obtenir notamment l'engagement définitif du groupe de voter contre les projets, si le gouvernement pose la question de confiance. Beaucoup de membres ont réclamé leur liberté d'action; ils ont manifesté leur désir d'accorder au moins l'autorisation à quatre congrégations; deux de religieuses celles de ,1'EnCant-Jésus du Puy et de Notre-Dame des Apôtres, et à deux autres aux Pères Blancs et auX'ïtilssionnaîres africains de Lyon.

Les amendements au collectif

Les radicaux-socialistes ont soutenu -un amendement de M. Léon Meyer, qui constituait une embûche pour le gouvernement il s'agissait de supprimer l'impôt sur les transports de produits agricoles. M. Ducos s'est' efforcé notamment de justifier ce texte; mais M. de Monicault a montré qu'il constituait un trompe-l'œil le dégrèvement qui paraissait porter sur une grande quantité de denrées ne s'appliquerait en réalité qu'à un petit nombre de produits de consommation courante dont le transport est supporté soit par l'agriculteur, soit par le consommateur. Lés gros mandataires et expéditeurs seuls,en bénéficieraient. La vraie politique à suivre pour t favoriser a la fois l'agriculteur et le consommateur, a dit M. de Monicault, c'est celle des «prix fer-

mes' ». ̃

'Akissi les cartellistes n'ont-ils pas insiste pour le vote immédiat, et opt-îîs' dtmiiiiVdé séutlement la prise en considération' qui'' fte leur a été accordée, qui} par 9' Vowt, contre; H, -et en demandant au gouvernement de préciser l'appljfjafion de ce texte. ̃ i.i

La santé du maréchal Foch,

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Le maréchal Foch a passe hier une journée meilleure que les précédentes., La température était de 37°3 et le pouls battait plus normalement au rythme de, 88.

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Un monument au général Mangin sera inauguré dimanche à Metz

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Dimanche prochain, sous la présidence du général Weygand, sera inaugurée à Metz une statue du général Mangih. Cette œuvre puissante, que l'on -a tant admirée lors de son exposition chez Susse, est l'œuvre du sculpteur Guern. Elle est offerte à la ville de Metz par' les soins dii comité Dupleix et par « La Garde au Rhin » Le train partira de la gare de l'Est dimanche matin à 7 h. Retour à minuit. Les personnes désireuses d'assister à la cérémonie, sont priées de s'inscrire, afin de retenir leurs places, chez- la comtesse de Lacombe-Maury, jusqu'au vendredi midi au plus tard, 18, rue Louis-David (16"). Passy 42-37.. < ̃-

̃- i>i'T,'?»'v ̃̃̃̃•̃^> 'y -•̃̃• ̃“

L'élection de Narbo'nnfe ^ëVa''Kité'rbs^atïté à observer à ce sujet.

Le, TEMPS écrit ̃̃'̃̃>.

Prétendre collaborer aS'.ec \e marxisme, c'est se mettre à son service d'abord, à sa discrétion ensuite; c'est courir au suicide. La force d'attraction démago'gitjUe du socialisme est incomparablement plus puissante que les pâles et vagues effusions d'un radicalisme sans doctrine, sans ossature et sans suc. Dans l'association cartelliste, où le socialisme joue les Robert Macaire avec un cynisme nittoresque et parfois réjouissant, le .radicalisme était fatalement condamné à se contenter du rôle subalterne de Bertrand. La H" Internationale ne menaçant pas encore le parti valoisien dans ses œuvres vives, les .dirigeants radicaux semblaient s'accommoder''d'une situation qui n'était encore catastrophique .que pour Je pays.

Mais voilà que; brusquement, le rideau se déchire. Voilà que les socialistes, gentilshommes de fortune qu'on ne prend guère par les sentiments, partent a l'abordage de la flotte radicale et, par une curieuse -ironie du destin, s'en prennent, pour commencer, au vaisseau amiral. M. Léon Blum,'à la fois inspirateur doctrinaire et stratège en ,'c'hef de la section française de l'Internationale ouvrière, pose sa candidature à Narbonhe. Narbonne n'est pas seulement une opulente cité qui peut se recommander d'antiques et glorieux souvenirs historiques; Narbonne est, en quelque manière, une capitale seconde de la France, en tant que sous-préfecturc de cet aimable et beau département de l'Aude; terre d'élection du radicalisme socialisant..MM.Maur*ce, ,et Albert Sarraut, représentent, fort brillamment, on le sait; l'Aude au Parlement; riotrç- grand, confrère la Dépêche y a sa plus fidèle .'clientèle pplitique. Et c'est dans cette Mecque du raflicalime (l'autre Mecque étant apparemment Angers) que M. Léon Blum prétend se faire élire dé'puté. Les organisateurs du tournoi de Carcassonne, auquel AL., ftoumergue présida, l'été dernier, avec sa bonne grâce eoutumière, n'avaient. peuRêtre pas prév^i cette: Tencoiitre de grands' chefs, ce champ clos où, bkrdés'de. fer et retentissants d'armures, vont s'affronter, sous le ciel de Narbonnaise, le duc Maurice Sarraut sur son blanc palefroi; le baron Léon Blum, sur son noir destrier. Car les chefs radicaux de l'Aude, qui s'entendent si bien à réaliser le cartel politique à la Chambre et le cartel électoral- dans le pays, sont bien résolus à ne pas laisser le dirigeant socialiste s'installer chez eux en pays conquis.

Il y aura bataille et nous saurons si le radicalisme a le goût du suicide.

DERNIERE HEURE SPORTIVE

Les six jours cyclistes

Faudet et Louet

ont pris le commari'dement

Les onzièmes Six Jours cyclistes de Paris ont passé le cap des 24 heures. Il ne l'ont pas passé sans incidents, puisqu'en cette première journée la place de premier passa en plusieurs mains. Tours pris et repris, démarrages, « chassés », tout y passa,, le tout mené à une allure endiablée comme il n'est généralement pas de mise en un début de Six jours. Les concurrents de 1929 ont bousculé ce qui était devenu une tradition et vingt-quatre heures après le commencement de la course, nous trouvons une équipe, celle que forment Faudet et Louet, en. tête avec un tourr d'avance sur ses adversaires.' Grassin-Richir 'viennent ensuite. Au train où vont les choses, on peut s'at̃tehdr'c à de grands changements dans lo cjas.s'ement, lequel est en perpétuer remaniement. =

Commissaires, chronométreurs, officiels en un mot 'ne peuvent 'en croire leurs yeux et sont débordés d'ouvrage, tandis que du sommet du vélodrome tombent toujours les mêmes cris de eclère ou d'enthousiasme proférés par les populaires, en joie pour la plupart devant un spectacle qui promet C'èlre pendant cinq jours encore particulièrement attrayant.

De nouvelles mœurs sportives s'iniplanteraient-ellcs dans nos courses dé six jours ?

S'il en était ainsi,' nous n'aurions qu'à n^.us en féliciter.

A minuit, 25° heure de course, 668 kilomètres 750 avaient été couverts.

Le Raid aérien Angleterre-Australie Rome, 19 mars. A 16 h. 15, les aviateurs Moir et Hoven ont atterri à l'aéro.port de Littoric, venant de Marseille.

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» +^

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'̃< i ifa protection de l'épargne Un député, M. Lamoureux, a fait, sous les espèces d'un nouveau texte d'article de loi, un sort aux fermes critiques de VAMI DU PEUPLE du matin sur les empruntsor à l'étranger. Ce nouveau texte donnait toutes garanties et réparations aux épargnants français.

Notre confrère prévoyait l'argument dilatoire du gouvernement exactement celui qu'a apporté M. Chéron à la séance de la Chambre hier matin et y répondait à l'avance

On affirme qu'il demanderait à la Chambre, de surseoir à toute disposition législative nouvelle jusqu'à ce que la Cour de cassation eût statué.

11 userait, avec la force convaincante qui lui est propre, du cliché si commode, dont ont tant abusé les gouvernements qui veulent fuir leurs responsabilités

« La justice est saisie, s'écrierait-il, faisonslui confiance. Nous ne pouvons modifier la loi, alors que des procès sont'en cours. Attendons que la Cour de cassation se soit prononcée sur la portée de l'article 2. Nous verrons alors s'il y a lieu ou non de le modifier. Si nous nous empressions aujourd'hui de voter un texte nouveau, nous aurions l'air d'obéir aux légitimes sommations qui nous sont adressées de toutes parts. Je demande à la Chambre <ie surseoir à toute décision, Jusqu'à ce que la Cour de cassation ait statué. »

Voilà le langage qu'on prête à M. Poincare l'intention de tenir. Et le tour serait joué. Le beau temps des écumeurs de l'épargne continuerait, 'pendant des mois encore, peutêtre des années, •̃•

La créance de la France diminuerait un peu plus. Mais les financiers internationaux, nos maîtres, auraient tout loisir de poursuivre leurs fructueuses opérations aux dépens de notre épargne. Est-ce donc ce que l'on veut ? 1 Comment M. Poincare, dont l'intégrité personnelle ne fait pas questitfttf ine voit-il pas,ces, évidences _? ]5gî Comment laisse-t-il le pays tout entier livré à la spoliation lorsqu'il a le pouvoir et le devoir d'y mettre fin ?,

Disons-le-lûi nettement rien n'excuserait de sa part une telle attitude et nul ne serait dupe des prétextes juridiques dont il couvrirait sa défection.

Sa responsabilité personnelle est ici nettement engagée, et les conséquences de sa décision représentent pour la France appauvrie des dizaines de milliards à perdre ou à sauver. ̃ On attend une protection effective et ef- ficace de l'épargne.

Maurice NoëL


L'Heure du Déjeuner

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Cérémonies, Fêtes et Réunions La -deuxième assemblée générale de La vie au grand air pour l'enfance malheureuse » aura lieu le 24 mars prochain, à 20 h. 45, à la Salle des Sociétés Savantes, 8, rue Danton, sous la présidence d'honneur de M. Loucheur, ministre du travail, et la présidence effective de Mme Ja marechale Lyautey.

La promotion « des Drapeaux » (SaifflUCyr. 187-9-81)- à l'occasion- -du cinquantenaire de son entrée à l'Ecole fera ''têrëbrer "TF'sapiçdi 18 avril, a" 9 h. ,'30, dans l'église-* Sfcint-boaiV aes« Invalides, une messe il la mémoire des 200 camarades défunts, dont 53 morts pour- la France.

Les familles des camarades décèdes sont instamment priées d'assister à cette pieuse cérémonie.

La promotion se réunira à dîner le 1 soir du même jour, à 19 h. 30, au I Cercle; de la Renaissance, 12, rue de e Poitiers.

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3o;o m, n* 25 FoNDsD.ÉTATs ̃ |V,S?! ••- S" S-: BAN9UES g«SîïïSïï^dï-T^te: TERME,, M.ô r4050,rDRESl9M"r* .4 .m «4,J

59101915.1916. 99 40 99 35 5% 1910. 1720 1760.. 299 63 Charbonnages du Tonkin. 13200.. 13300..

SP/O191S-1916 9940 W 35 PoToanf 7% 1927 2655 2695 290 Banque de l'Indochine. 14100.. 14100.. 70 Commentry-Four.hambault 2730 26» Mexique intérieur S 36 3p 40 S França.s 978 934 112 S-0O192O amortissable 118 40 118 60 3 ̃ •̃ 77 g ^«"V-Vf" Jéri, "III .•• 25. française de l'Afrique 854,. 60 ..jDotnbrowa (Houillères) parts.. 2135.2145 3% 27.. 26753% 714 712 426 AQ/O1918 8720 66 95 3 Amortissable 77 70 77 IU Portuga 3 o 1 sén e. •̃• ? m ,4 ,ndust. de rAfr. Nord. 820 810 40 ..ÎEpinacCHouillères&Ch.ferdO. I3M 1384 •. Baiia-KaraTdm ITO 189 4 a, 97 17 2/8 I7--3/I

55 '= NOational; 'C'Ó,lt :2040 :\49-10 4 J~, '1917 W' :1; "~M, ,[~kO,5, 86 90 0.4% 1898 ,94: 50, 9-05, 17 50, =, Fr.nco-.Japonei,n. 71 ;~Yt., 75 .I~o,tr. bert et .Ia Beraudière, 2700 2700.. 25 b,' caout,c, hO, ucs (S" F, inanciè:e do) 293 .29~ C,o~lnr~ 55,1.'4~ 55,.1!4

85.: Nationaiede Pay.:8as'4570 ~935 4 4,7 1918. 86 90 Russie ~Nl~67-1869. ,'7 9,~),9 I,O/3O,¡: i, des r;>ays du Nord. 710.. 7i< 85 .1>:f1'r~M,"es d) 3275.. 3230.. 1 .h.Í!j\\l\l\r~1ôi.U' ~t9 24-' II.rs¡è1\trnTS13~ 100 11- 100 112

525(J T Plaris a Pays "~19I"l.1t1!\j1 5.ù 1920 Amortlssable. 11680 Sent a-Fe 5% 1910. I~ t715 t'> i Privie non cum ~59 35).. 75.Ahtln. 3195.. 3195.colombla ,3Ob: 301 ,BresII1889" 61112 61 1/2

55 /i'ùa, a ~qu,e. "12635 ï2635" 6 1920. lo~ 15 103 25 Serbe 5% 1913. '120, 121 100:. Crédit Algérien, 3625.. 3695.. 37 ''l'Blanzy. 1500 ,,505 25 loi.. Concordia .234 ,232 50 Funding. 85. 85.

00' de ['Union arr.,onne, 2805 "12610 4 4% 1925 (change garanti).. 120 15 120 45 Suède 3 li 2%1895 37.. Créd. Fonc, d'Algérie.TUoi"itie'I"60 1170.. 35 18 Carmaux. 1870 ..1850. Crédit Gén, des Pétroles "1575..1573.. Chine 41/2 71 3/~ 763/4

80 Compagnie Algénenne ..2805 ..2810 1927 Amortissable 108 25 108 80 Suisse 1903. •••• •̃ ••̃ •• ••• Cred.t Fonci er Arfl^ntm °i 61.. r> Marvin ^Q ..2910 10 th..De Beers ordinaire 1785 1790 Extérieure 80

W.. Comptoir National d'Escompte 2655 ..2660.. %28 96 20 5C Turquie consol.dees 189O. 475.. 475.. 57 50 colomal 965 970 21 Oraissessâô 493.20A.. préférence 1535 1534 Italien '? 19. 50 Crtdit Commerçai de France. 2025 2050 Bons Trésor févr ,923 Douanes 19O2 3»4 55 p ?°i"n ^'j;; 4Î5 415 43 Grand'Combes 1510 1506 1 d. Franeo-Wyoming, ord 630 643 Japon 1899 « 3,4 72

~< Fonc!er de "Ir&dnooC'h' 676 680" 5 1924. 68750 50 688 Tribut d'Egypte. BanquesdeProvince.125 fr, 415.. 4b.. oK).. Grand'Combes. 1510..1506.. 1 d. Franco.Wyoming ord 630.. 648.Japon 1899 713/4 72

22 50 Foncier. de no- one 3320 3340" 7,% 19 2 6. 551., 555.. Priorité Tombae. 509.509.. 5fi Soc.G"Alsacienne de Banque. 1415 ..14<]0. Ligny.les.Aires. ..690.. 7 .n.6Geduld. 4>4.. 455.. Portugais. 42 [/2 421/4

40 Mobilier Français 1089 ",1069" 7 1927. 563.. 568.. Tabacs du Portugal 702.. 703.. 50 .Société Marseillaise. :251 1250 28.. Loire (Mines do la); 765.. 770 3 3 .n.Gcldfields' consolidatod. 363 365 50 Russe 1906 1124112

91),. 0 "or .nçals 3340 0(.7 507 30, 939 915 '1270 .280

r2$"S-F' f et ,3070"'3035 Obligations6,01927r.à500. 507 507 30 Immobilière des Voitures 939 925 35..Marles.1 ..1. .HoldingFrançaise.222., 222 50 1909. 5.1.4l12

35 S oc: 't~n~e,Ó ral-"90 e co on. 1935 ..11940 Ob¡ig. Ch. fer Etet 4% 1912.14. 365 365.. OBLIGATIONS 65 Ostricourt. "12200 2250.. 80..1 Hotchki. 2385 24:)8 Turc 4 22 112 23

|SÛ^i::g:ci-^îiî|^ 3^ «:: J?^™ ».. AenoN» «oust^e, A ér[e.Tunisie(ûmnium) 7m. ^i=:= f | ch-^ ^«g-f.

37': R:t'" Fo:~è~ 1515:: 14'10:: 5%1919. 398.. 395.. (16713% 380.. ACTIONS INDUSTRIELLES 7'00 385 256.. 252,. 58! 1112 58,'l 112

^g!u«<p^dêVo^û;g:^ caisse autonome I50 1, | iigiate: 1 f II:: z §±1»^ f fâv ^soo^ ::Ka^j: h^i:P| UW

636 64 SÜei (part de fomateur) 23850 23ffl.. Afrique Occident. 'F 3.' 383 384 Ln 25-ouest iouis 330 '38 14 Cuivre et Pyrites Malopoiska 516 525 Rand Mines 6319.1. 63j9l..

63664Sue"é'(p~~tdefondateur). .¡>uvv..ArlqUO,OCcld,ont. ranç, o~1894~96 2 1/2 240" 240., ue. 'ou l,S. 505" "T..Culvr,eet, yrites.MaloPolska. .RandMinas. l"

1 130 04 Suez (civile) 38000.. |ndo-Chin« 3% 19O9 •• »J < ,898 2% 286.. 284 40.. Tunisions 771 40 Lille-Bonnières. ord 530 ..M70.. Mexican-Eagle O.l ord 150 151 5U Jagersfontein a! i 2 A9 S

W^Est UBO W •̃ 3I/2%1913 394.. 394 0. 266.. 266.. ̃ P,risi.nne "nd.' Électriqu. 730. 738. Pétroles (Cie Industrielle) 1070 1.20 4 sh..Mexico-Mines of el Oro. 210 50 213 R,o Tinto. 64 1/4 62 1,2

75 Lyon; |?M •• g* •' M.daoaocar J9O3-19OS.. U 75 25 g 19O4 2 Ma 294 292 £ y ^raux de Paris.. 2570 2500 100 ..Dynamite (Société Centrale).- 3350 3425 18 L. Montee.lini 4M 401 Mexican Eagle «2/6 L. W.I..

60..Midi X-ïï\"rrfn"M*roaiê\î\i~ 490 4iï D]i9OS2 3i4 335.. 385.- » omP. Générale des). 2225 220D 60 ..lEIectro-Chimie Métal !i?f t™ ,7, '• Mozambjflue ••• y- -'? ,7? 25 g°y.f Dutch 4 5/8 4 1 1 '16

1:i!IrïSEran:?^ z 1 88K-«»:: S." I".u/gs. ïKSi«°*S:: S:: S::gsaS2£?^g:: 100 » SSS; g ::̃ g 5.:h: fcïïïïs^y/pii^ |i» |»^f.^Ç,/i6

90.. Nord. 2715..2720.. 5 1818, 490 435., W 19102 3Í4 M: 254' 250' 80.. Eaux (Camp. Générale des). 26 0" 220:> 60.. Electro-Chimia Métal. 3175 ..¡3Iq5. Mozambique 99.. 98 25 Royal Dutch. 32.518 .32 112.

65.. Nord.; .1340.. 1363 Tunis 5% 1892. 310.. 312.J wigilo _j 2 314 Mét "241 244', 60.. Vichy (Étabi. thermaf)"ï7~ 2835 42 ..IRhône-Poulenc. 3775..137)0.. 1O.NavigàtfÓndel'l\frique'duNord 38, 377.. Shell. :3 4 518. 4.11!16

130 Sanb,Fé(C¡efr.Ch:ferProv.>i383O "13&35.. Crédit Nation@15%1919.560..560"19123%225:. 200 Eaux élact, Indo.Chine.7 7825 16873iLe,Ripolin"jouis. 3b55 3680 69p adang (Ca.qutcho,ùFs~II50 ..1145.. North Caucasien. .1123 1 7 .112

130 troolitaindeParis.I08O..1075.. obli,50015%1920.. 520.. 517..> 19195%455'455. 13414Sa~nt.Gobar~.Chauny.853(}..8 ,PekinSyndlc~te(Shan.'). 6125 8150RussianOif.3/1.3/ 1.

35 Métropolitain de Paris 1080 1075 oblig. 500' 5 ?/o 1920.. 52o 517 919 S% 455' 5100 5075 275 84 Soi. Artificielle 14100 435C-». ~p~

63,DM~t Pp d'El t, ,t'!3005 3035 Bons g 'X 1921 540 535 50 1921 5314% 501 504 135..Arrcomp..me.51~584075.. 27584lso,eArt'ftC,elle,149QIOO..1435Û.. 2O.PhOsPhates,deconstant,ne.1241..1240..venozuelanOii. 3,1/164./16,

65 Distr. Parisienrse oe rtcr 118 1133 .,ons. ?56 5~° /0. 505 40'~d~ MO 5 600:00:; 610 ~0~333M

Er de la Seine 1118 1133 60(.1922 dé.-n. 51550515 192461/2°" 505 505 Edison oS ag~ap ,ques. 1 600 Port du Rosario 34090.. 33800.irandfontein Tun,sro,ns 51 'O 5OAnatonda 33.518. 33 314

105.. Eloctricité (C" G~énérale d '11490'' 1500" 6 ,922192'3" 527 526 {Com. 1879260% 498,. 4~ 75: 126() Chargeurs ) .n..IRan'd Mines. -100.. 400. Steel Co" 19'31/2.192

i^SSr^ïS-iS:: = o^ll^l92! SS.: g::s |H iSîf": S::ia:VSâ4H-ï:îœrK:g:: I1!9rr=^r!ï=: 11:: SS:: :Ta^r– Sî" |p^ n:

t«"S .T ^3690 368U..Départ du Nord 6% 1921. 510.. 50 < Fonc. 883 3 7o -m 300 50 37 50 Forces Motrices du Rhâne 4450 4500.. 1 thJ|Tavfty.,Tjn .• •̃̃ .-• .H» •• Escompte hors banque. 5 3/8. 5 H 32

l:A^sd^ordetEstS..2,25..vld^b^e& g* | £ ^11^ ^50 267 50 «-5^ g » ^SST^ fc £.: ?$^=^. SS | V. ^l^ii^ W | $

125 et 3690 3680 Vi d'Albert 6 6%1921. 510.. 510.. « Fonc. 1883 3 o"ô, .301 300 37 84 Farce ',a Motrices Yarsovle ord"'14450 4500" 30 .Transports marlt,mas. 926.. "Tang.nY~ka. 541 547.. Kuala. 65,.3 .612,6..

25' Courrières For. & Aciérios du Nord et E 2100 2125 VV!I'lle dd'ARlbe,rt 6 loi" 510 LL Corn. 1891 3\ 267 50 306267 50 145 83 For. Motric'*du ~r\t;):2650000:: 250W. 265 Bénédictine. 12215.. 12900.. \2nS~II+: Rouges 64ô:: 631 ~pte hors banquo. ¡%8, 5 m

50 Courrières. 1690 1731 Vi de Reirns 6; 505" 560" \892260% 306 306 50.. Hevmise d'Enorgie Electrique. 1 1.. 1 -.v.. 435.. Brasserie Quilmès. 8000 8025 3 .n,6Tharsis. 86'3.. 844 S/Paris (change) 124.28: 124.31

18 15lî Alte ,e erdun M,0"507 "'0 Fonc. 1895280% 312.. lli.. 125 ,lndo;Phinoi.a d'Eloctriqité. 32710025.. 32710005" 125 ..IDistilieria Cusenier. "3045 3 on,3 Tin Sélection trust 165..

35 "y' "cOi'gne ot N..ux. 1540..1559.. Asturiennes des tln~s"t" 506.. ~7' Com, 1899 2 60% 298 50 3<27" 30 Marocaine Distribution. 77 2105 2W 200 Disti eri dal'lndo-Chine.4765 -1750.. 1-h-9 Transvaal Consolidated Lard 28\. 2W Ri 5 5 '71'8 5 7/6'

35 ..Vi=.!en..tNt.ux.0-r Con.truct.Jeum.nt.. 406.. S07..m ~'9~3%° 328 327. 2250NantaiMd-tc).ir.9e<'rd. 770 780.. 50 .SrandHote).99. 993 10 Tub.a~tF.deSo~now.ce. 1 344..v.~p.r..so. 39.56 39 58.

35, Pentrroya ,1429574 2255 Eglises dévastéos ~I Z Com. 1906 3 .J! 169 170 '75 50 prlorfte.. 4270 4?'5 20.. Grands. Moulo~s, ~e Corbo,t ord, 690314 890 45 b. Tubize priv 90 995 Buenos-Aires, 47.31 47 3-1,

35 asîsr: $> 1 » gssr Mfe; e% ̃& -S r. l p- $»&̃•<<"•"̃ •• \11 75 Nord-Lumiè ° 4 gîïïïïvsrsr" » 5 sh- Umon Corporatlon cu^SX^f^ ̃faJièg.ïfe

Debrovve (Pétroles) 434 435 Grosse Métallurgie 6 ?le 506 502 c>1175 U- 9 O/C' 171 71 Nord 250 Ciments Français 9250 9245 Cuivre (comptent) .71l6

"•.•.D'itrowaCPétrol^ w..«..O«M.^q< c^ |||f;i^ gi; .MB.. SO..Pyphl*.nn.-d'E^I.E.g. 45.. duBouionnais ^•̃ CPMRTAH^ NEW YORK 19 Mar.' 9,7!169..4116

1216 CaiIFives-t.:iI1~u6' 5Oi! 506 Fonc, 1913 3~/2 112 41.0" ,410" 1 Pyrénéenne d'Enorgie Electr.. 220" 225" 45.. du t;3°ulonna,is. 25 5.. 121 "cPM.R:rA~T,

40~. Kuhl,l'I1arln' 1225 1216 ..c rd Pd C"I"19:22" 512 508. 0 19134/0, 272 15 5.. Rrldlo.Eloctrlq'ue. 660" &5" 40.. de Ilndo-Chme"1 2500 2500 NEW.YOR~ 1,9 Mare

*k*w; •»..j|«.&ï-.ftiï: g:: |"ë I-P^i: 28:: f S::Kï!S!r. |" |" |:>?S:?f: I:: S:: «•̃^i^«-l^|SS--«i.r. !!l.a.8. P ?^s^ d^-F^s ^S^S^^T:: f | g IZ ^fe | | !° f S %!»:ïïi™ g ̃ g i &MÏX£ «~ i i $* | >§. .| 0^ f

~5 Charge,U,r, '9, f3~unis 93U.. 938 Maison Bréguet 6 505:: 505 ~~9226~ 50 25:d~ i. w. 631 680 50. Nouvel"le"s Ga:'ori,os 889. ,,880 0 6480IC,.SSOUS(Charbon> 1755. 1760. Cibles Leur Paria 485 3~537

.Cultures Tropicales S £5 Indo-Chine 1899-19O5 S? *o 2i7a% 328 lll 35 ̃ «lf;Micheville «50 5*M m “'̃ ,,r-> 3725 37"5 « r";«" 277 276 Chicago Rook Island 128 2 129

30 Air Liquide 5(15 14~5 Usines sinist'rées 61/'2 '521 Alsace¿Lorralne3 471 471 100 Alsacienne Industrielle Textile 1670 80 D,dot.BoUln. 82 Kétol (L¡.? 7650 78.50 Atchlson, opok~ 5 51 26

50 caoutchoUCS,' "I,ndo.C,hrne .1505..149.> AI 3 522 385, Est 4% 37a 379 30 ..AeétyMne&Ë!.ctro-MMa).3200..3t~. 200 ..Cha.x. "7~0mn,um-F'etro).B .chMapea)<.& Ohi. 2)6 5;82,146 3¡4

20..Citr.~B.<S" 6%192t. S22.. 520. 346 343.. 65 ..Aci<r!.sd.L.ng<.y.70 ..2675.. 100.. Librairie Hachette. 2420.. ..2400..2409..Roy~Dutch.40700..4~ 2~~ il..

.Cu~urM~rotic~s. 85.. ~ggg.,go5.325..325.. 328 335 35 Ot;M'oh.vint.2°50.-2600.. 'R"277" 276"Ch.c.g.Rock)s~nd.2S)2)29,.

6 -Or«sdi-Baek •••• \°l'- i?4 1902 -1907 SI '• ï^ #" 1 von 3% 18SS. 339 •• 33J •• 100.. de Sambre-et-Meuse 2'50 2550 90 Afrique Ocadentale <C*) «25..«;»•• Steaua Romana gojA •• ofAg Erie Railroad 711/4 II 3,4

100 ::Pathé.Cinéma (jouiss.). 719.. ~¡~ Tun'3 1~02:19ëj: 360 360:: Lyon 36° 1855. ~78 .100 ,de's~mbre-et-Mo~sa' ho" 2~25" 90.. Afriq<;e <?ccidontale (C" 3725 37!)~ Steaua Romana. 277 276.. Chlcago,Rosk Island 3

100 Pathé.Cinéma (jouiss.) 719 724 19o2-i9o7 360 m Lyon |/o 185& 479 Atel. & Chantiers delà Loire.. »». 7i> 54 27 Air Liquide (parts) « 50 8525 725 «. 8800 9600 |4Q ;2 14g

106 Pathé-Cinéma Ccap.) «ï"Mn" “», mm 407 40j 55,. Const. Nord de la- France. ,'J» •̃ '*{ 50 Bergougnan 1160 M8U 5 D.. Utah Copper W0 Louisville-Nashville 141. 140 1/8

60 PeuB.ot 2^5 ••22*t''Tf9n 22/t% 269"'270'i5 Z tt" M •- ?5? ii 100 Bonnevill '«70 ?* '«? 200 Ch/pal (Etablissements) «gg » «g •̃ ̃_ NeW^brk' ^eSral ̃ .• 188 1/8 190

100 ..Raffineries et Sucreries Say. 2285 ••«»•• Angleterre 2 12,0. i%Fùsïon «^ ̃ i28 •• ̃•-•• Chantiersde Saint-Naïaire. -870 •• «> 651 70 Cirages França.s 2000.. 2025.. Pennsylvanie 1 Central :«:«, 763/4 767/8 -1.

100 ..Union Européenne 2150 2165 Argent)n s fo 1907 2340 2325 f 1/2% .• |?4 •• VA 85 Cnâtillon-Commentry •• 5«0 Citroën Cparte). ;H| 587.. CHANGES Reading.106 34 107 3 a

Russe con" l~dé 1!et> 2'séries 15 75 15 55 Belgique 1873 1909,2340 47 Midi 2112 décennaux 6 300 ,85.. cn;¡t,lI~n'Commentry. ~381 596 C,trean (parts).)75 ¥l7 CHANGES Pen'1sylvan,a. 76 3~4 7678.

RU1I"se Con. lT,¡é 1~"ot~' séries 15 75 15 55 Bal,gique Ja73. 47.. 47 50 Midi B~!Js déconnllux G ~56:' 12.. Docauvllle. I~I 25.. Continantal~.Compteurs à Gaz. ,539 ?27 ,MANGES. Read,"g. 106 3 1~7 ~/d

-5%,1$06, 1470 14 55 29Z.. 293, 41t) 452 «' 408:: 50..Eloctro-Cible(ord'natr~s). 601}..1 1060 25..Gavoau8<C. 526..526.. SouthernRa'l~ay.147-('117 J-

4010Serbia 4%moMIssabI01695 163 25 164 Brésil 4% 5 Vo Fundl.ng. 5 369" 366 50 35.. Estempaga do la Y~nce. 798" 6()o 70.. Sec Auer. 1630 16~5 Londres ,124 29 1243. Southern !7actf,c. 147- 129 3.,41f:l .1

:.°!o?urc^I?^??b! Il 75 5 = ^SF^S::iS:lfeF:r S:: ^11! ^fr.| \"§ .35:s^^S^ ^gS «SS2!*1:: tssrë^r. Itf7!8! îiï

5% 1914 10260 60 10-125 Bulgarie 'S09~n.mbuM3.02).4~ "73.. :{O" 85.. ¡::ives.Lilla. r~ ..223?. 35 Marco (Ci* Générale du). Allemagna 60775 61 .u~°~ .35i.<.350.

:l;eX^Jwi25^||S- 6-19.. 642.. 5 sèr~eE. 407.. 1" %ï£^^ 425.. Tabac& du M~ros, 7800.. 7850.. Arge,ntino. Uteh ,Copper. 351 ~5O ,1..

;5,h: Ottomana 250fr, .1870.. 1895.. Chine 4% Or 1895. ,458.. 586" 4 .ér~o,D. 349 391 346 30:n~ 'Il 84U «' 50.. Union Comm" Indo.Chlnois,e.. 825.. 820 Belgique (100 belges)., 355,0 355 50 Amor~cen ,Tolophone. 213 3,4,14.1.

;'5.h: -? Ottomane 2S0fr.1870 .«« .-Ch.ne 4/o Or 1895 0 ^.nni. •• f^5 3O..Ueumont •• •• Espagne. « "• British American Tobacc0. 29 3,4 29 5 4

1 39 erédit Foncior Egyptian. 4640 4.5115.. 5 l~p3. 31).. 306.. 2112 s'roa C. 445'" 63 33 ,(perts). 5 £O.l9.4j'Land Ban4 Egypt. Grèce, British Amorlcan Tobaoco. 29 3,~4 29 314

M.3.0 Crédit foncier Egyptien 4640..4585.. Z ijjjfâg'^ ,S Z ift^6* &. °.?.*â^^

i5 ¡" Wagons.Lits ordo 763.. 778.. 41/2~ 1908. 1200 1225.. 6 l~2 9o série A. 444.. 06: ~terranie (F~rg,8<Chant,). 7.>q 74. 375.. Créditfoncier Franco-Can a de i n 8050 8000," Hol!ando. 1025751025 50 U, S, Leetner. 29 1/4 25 .1

̃2hSS^X^i"i: 3S05 ^50°^lr^!r^ S:: %22SZ£^Z% "1 "StSSïiSSïï: pgv: SS ^05-mm; jig.ïglgi: ^%ZÏÏÏ^ 31~~ Espagne j'xtérieu1;e. 770" z if: S:: g:: lo* ::&^ Pologne <100 zloty). 287 90 187 52 3;0 li SSKSSS :=: |3-^E: »îî 75 4^Ou-t3fc; %»8*-iiï*^&TZtt:^™ Sosnow,ce. 2805.. 28 0.. Pragua i^«-Btota 4M 55, 2 ¡ 4

7Sb',1?,' étrofina. 979 975 Japon 4 ro 1905. ~25 Ouest 3 %,âne 310.50 310, 112 50 Mhaux (Cie Fre09,a.sO) 4090 4090 .iSue Raf. d Egypto (parts) 142, :1455 uède 683 25 684 SO Affaires totales.4.436.000,

75b p^'rs^ïnèrièà'Ë'ipx iiœl'io»:: ^s^jIw' «i»-««; a»^ 3|°- w- »..8tn.H.rM«Ub.uB. ,4O9o.4œo. 12.0.. suédois» AiiUm.«.s.337o.. 3325. Su,«, 4927 4927^ tltr.s I

L'ART ET LA CURIOSITÉ A l'Hôtel Drouot

Calme plat hier, à l'Hôtel Drouot, la majorité des salles étaient occupées par des exppsitions dont, les objets seront dispersés aujourd'hui.

Avant-hier, à la salle 10, MI René Hémard a vendu des bijoux et des meubles. Nous n'avons 'pu donner le résultat de cette vacation hier, faute de place, le voici ne broche en brillants fut adjugée 29.000 francs un bracelet zigzag en brillants, 15.000 francs un bracelet rivière brillants et saphirs, 9.050 francs un collier de 131 perles fines, 8.500 francs une bague brillant solitaire, 26.500 francs deux pendant d'oreilles brillants, 11.850 francs une bague brillant, entourage brillants, 11.850 francs Une bague brillants et saphirs, 9.800 francs une petite commode en marqueterie, époque Louis XVI, 5.020 francs; un. bureau à cylindre en marqueterie, époque Louis XVI, 5.500 francs; une table- bureau- en'acajûu', époque Louis XVI, 2.600 francs une commode en ,marqueterie et. bronzes,- époque Louis XV, 5.800 francs une tapisserie personnages, 6,800 francs, et un tapis chinois à fond jaune, 6.800 francs.

A la salle 12, Me Aulard et M. Logé ont obtenu également de bons prix. Deux pastels par Fantin père Sujets galants, ont fait 2.000 francs un salon Louis XVI, 3.400 frapcs un, lit chinois en bois laqué, de Nimpo, 4.Q0O francs un paravent en laque de Coromandel, 2.000 francs une salle à manger Louis XVI, 5.350 francs; une commode en bois de placage Louis XVI, 3.200 fr. une armoire provençale, 2.010 francs, et cinq vitrines, 14.000 francs.

Vincent Van Gogh et la ville d'Arles Nous apprenons que M. J.-B. de la Faille, d'Amsterdam, auteur du catalogue raisonné des œuvres de Van Gogh, vient de prendre l'heureuse initiative de réunir à Arlei, le grand et pauvre Vincent travailla de 1888 à 1889, une collection de dpcuments et de reproductions qui y commémorera son souvenir.

M. de la Faille a tiré des matériaux, dont il s'est servi pour sou catalogue raisonné, ceux qui ont trait à la période d'Arles, notamment les photos des œuvres et dessins datant de cette époque ainsi que des reproductions en couleurs et les ouvrages qui furent publiés «or le célèbre peintre hollandais. M. B. de la Faille a fait don de cette collection à la ville d'Arles et elle sera gardée k- l'Hôtel- de' Ville- 'dans; ie Cabinet ides adjoints, i.L On pourra de' -• mi-me allât visiter à Saint-Rémy, â l'hôpital SainW'ol-leMausolée, une petite collection de reproductions des œuvres que Van Gogh a brossées lors de son passage dans cet Institut.

Maurice Monda.

Expositions

et Ventes d'aujourd'hui EXPOSITION

HOTEL DROUOT. Salle n" 8. Exposition publique. Dessins, gouaches et aquarelles anciens et modernes, estampes, M* H'émahd, commissaircpriseur M. Max Bine, expert. VENTES:

HOTEL DI\OUO1\ Salle h" 1. Vente. Sièges et meubles anciens. Objets d'art. Tapisseries anciennes d'Aubusson verdure et personnages. M" Roger WalTheb, commissaire-priseur M. de Boissieu, expert.

HOTEL DROUOT. Salle 0. Vente. Collection Marcel Zambaux. Sièges et meubles anciens. Tableaux. Dessins. Bronzes. Tapis d'Orient. M" LAin-DuBBEUiL et Baudoin MM. Schœller, Mannheim et Lasquin. EXPOSITION D'ART

-GALERïE D'ART LEGEDË (Le Ih-and-

DépôQ, 21, rugj)roupt la,'PiUs-irnpor-v

&nte^ exposition "de, services de table,, œuvres Ûe nos' mèuleurs artistes O Suzanne Laliqne. Crevel, Dufy, Palou,- Dumaine, Gilet, Thibaut, Beaumont.

CHEMINS DE FER DE PARIS A LYON ET A LA MEDITERRANEE

Le Stmplon-Orient-Express

comporte des' wagons-lits de 2' classe sur tout son parcours

Dans le but de faciliter l'accès des pays d'Orient par. la .VDi&jdu « Simplon-OrientExpress », ce train» qui comprenait, jusqu'à présent, de$ wagons-lits de deuxième classe uniquement sur", :1c parcours compris entre Trieste, d'une part, Bucarest, Stambpul et Athènes, d'autre part, en comporte également^ dès à préseat, entre, Paris et Trieste'et Vice vctsij.

Les voyageurs qui. l'empruntent peuvent donc, sur tout «a' "partie de *ôn trajet, voyager en wagon-lits, soit de première, soit de deuxième classe, à volonté.

Nord 03-13

COURRIER DI

«f

C'était aujourd'hui le jour des règlements pour les comptes débiteurs. Cette échéance semble s'être passée, sans accroc et; pendant toute la séance, le marché s'est montré anime et bien disposé. Les Banques et valeurs nationales, qui paraissaient discutées ces jours derniers, ont été parmi les plus recherchées et, chose curieuse; ce sont les valeurs étrangères qu'on offrait. Il est vrai que le Rio a fait un plongeon de près de 250 francs qui a fâcheusement impressionné le groupe des cuprifères d'abord et, par contagion, l'ensemble des titres internationaux. Pourquoi ce fléchissement brutal alors que le cuivre vient de monter d'une douzaine de livres en une semaine? Ce n'est pas à Paris qu'on peut répondre a cette question. Et il est ridicule d'évoquer à ce propos les troubles politiques en Espagne.'En fait, la fixation du solde de dividende du Rio Tinto est imminente et la même comédie se renouvelle chaque année. Nos bons amis anglais ont l'habitude, à cette époque, de prélever un petit supplément de rémunération sur le, dos des porteurs français en faisant courir des bruits tendancieux au sujet du montant de ce solde. Puis ont répétera la manœuvre pour la De Beers. Le truc est vieux, mais il n'est pas usé. A quoi bon se mettre en frais d'imagination, puisque Paris s'y laisse prendre chaque fois?

V Wy ,y

Nos Renies gagnent encore 'un peu de terrain.

Fonds ottomans et serbes en progrès: Turc Unifié, 114 fr. 75.

Les établissements de crédit sont mieux disposés Banque de France, 26.360; Banque de l'ans, 4.935; Luannais, 3.340; Union Parisienne, 2.035; Mobilier, 1.089; Société Générale, 1.940; Comptoir d'Escompte, 2.660 Financière Française et Coloniale, 3.035; Banque des Palis du Nord, 710. Fermeté des chemins de fer Nord, 2.720; Lyon, 1.524; Wagons-Lits, 778. Avance générale des valeurs d'électricité Distribution, 3.035 Seine, ].133; Littoral, 1.500; Générale d'Electricité, 3.960.

Après la hausse du cuivre-métal de ces jours derniers, la lourdeur du groupe cuprifère semble'paradotiaJie-j oisr le recul des métaux d,'aujou.çdi'huij esf ner

.r.t. :i.

Cours et Conférences

Aujourd'hui

A l'Université des Annales, Colisée, 38, avenue des Champs-Elysées, il 3 h. « Les poètes de la guerre », par M. Roland Dorgelès. Mme Hania Routchine chanlera.

A 5 h. « La Sociéti] sous le Directoire-Brumaire. Le Coup d'Etat », par M. Louis Madelin, de ljAcadémie française.

Société des Conférences, 184, boulevard Saint-Germain, à 2 h. 30, cours de M. André Bellessort sur Victor Hugo « De l'Année terrible à l'année fatale ».

A la Mairie du XVI" arrondissement, à 5 h. 30, conférence sur « La sculpture grecque », par M. L. Hourticq, membre de l'Institut.

Les lignes aériennes

France-Corse-Tunisie et Lyon-Genève i*# "partir du 18 mars 1929, la tête de ljgg£yd°ii~ service aérien « Fran.ccrCors.e-. Tunisie » sera" transférée d'Antibes à Marseille-Marignane. Ce service fonctionnera dans les conditions indiquées

par' Tluiraire suivant

1). #h3Iarseille (Marignane), 15 h. 45 A. À. 11 h. Ajaccio, 12 h. 45 D.

D. 11 h. 45 Ajaccio, 12 h. A.

A. 16 :i. 45 Tunis, 8 h. D.

Périodicité (sans changement)

Aller les mardis, jeudis et samedis. Retour les lundis, mercredis et vendredis.

D'autre part, à partir de la même date (18 mars) la ligne aérienne LyonGenève, interrompue pendant l'hiver, sera ouverte à nouveau au service et fonctionnera tous les jours, dimanches compris.

Son horaire sera le suivant

D. 11 h. 30 Ly on, 10 h. 45 A.

A. 12 h. 30 Genève, 9 h. 45 D. Ce service sera en correspondance a Lyon avec la ligne aérienne Paris-LyonMarseille (départ du Bourget à 7 h. 45).

^3EJOTJ3FS.S:E 13 XJ ±3 iMIAZES-g AQ2Q

19 mars.

ï LA BOUftSÉ

in» ii ̃

gligeable comparé a leurs progrès précédents. Le Rio abandonne 240 francs à 7.790; Tliarsis, 24 à 844. Par contre, les plombifères sont en avance sensible Pénarroya, 1.545 contre 1.474; Balia, 189 contre 170.

Les charbonnages font encore d'intéressants progrès Courrières, 1.731 Lens, 1.515.

Produits chimiques irréguliers Péchiney, 3.635 contre 3.555; Air Liquide, 1.400 contre 1.350; Kuhlmann, 1.216; Azote Norvégienne, 3.145; Phosphates Tunisiens, 610.

Valeurs de navigation soutenues Transatlantique, 1.331; Chargeurs Réunis, 938.

Nouvelle avance de Citroën, à 1.723. L'irrégularité règne de nouveau au groupe des pétrolifères Royal -Dutch, 40.500; Wyoming, ,648; Malapolska, 525. 111 Uoniiiig, 648; Maletp(,>Isl.

Légers progrès aux Sud-Africaines De Beers, 1.790; Chartered, 243; Goldfields, 365 fr. 50. r

Les caoutchoutières abandonnent quelques francs pour se conformer à la lourdeur des prix du produit Indo- chine, 1.495; Padang,, 1.145.. Au comptant, la part Charbonnages de Cessous, progresse encore à 2.565. Les Etablissements Marmonier sont recherches et s'avancent à 3.685. LevalAulnoye passe à 3.22,0. Aciéries de la Marine, 1.840.

Huileries Valabrègue, 2.820.

Vinicole de Champagne, 689.

C'est demain que seront introduites nu marché en Banque les actions de la Société. Biscuits Yignqh. C'est une des plus vieilles affaires lyonnaises d'alimentation. Constituée en 1928, sous la forme actuelle, elle a pris la suite de la Société en commandite Vignals et Compagnie, dont la création remonte à 1905. Elle est spécialisée dans la fabrication des gaufrettes et biscuits de- luxe. Le chiffre d'affaires de l'exercice en cours atteindra 18 millions de francs, et doit, comme les précédents, laisser un bénéfice net distribuable d'au moins 10 0/0. Le capital de la Société n'est que de 6 millions, en actions de 100 francs.

Demandes suivies en Tautheret, qui s'avance à 595. Ronff, 695.

Carvin gagne 100 francs 'à 2.250; Chemins de fer de Buenos-Airçs, 150 à 4.900; Tramways de l'Indochine j., 250 à 9.500; Soie de Givel, autant, à 14.350; Sud-Lumière, 400 à 13.700; Gaz de Mulhouse, 450 à 15.450; Guergour, 460 à 9.150; Bénédictine, 685 à 12.900; part Air Liquide, 375 à 8.525; part Gasse, 330 a 4.550; part Peugeot, 200 à 9.950; part Malopolska, 175 à 3.720; pàr(,.JIémdfanPW à 133.70,0, pte,

i '̃'̃-• ̃– ̃ m-i

Les syndicats agriculteurs de France

Le Syndicat Central des Agriculteurs de France vient de tenir sa 42° assemblée générale sous la présidence de M. Henry Mortureux, assisté de MM. le comte de Montureux et Ch. Desjardins, vice-présidents Saint-Marc-Girardin, secrétaire général colonel de Pu i neuf,- trésorier Imbart de la Tour, baron de Ladoucette, Dubmiil, Gueneau de Mussy, Monnicr, administrateurs baron Cliassériau, président de la commission de contrôle des comptes Brillaud de Laujardière, directeur général.

Après un très intéressant rapport dans lequel le président a retracé l'activité du Syndicat central au cours du précédent exercice, M. Charles Desjardins, ancien député, a exposé la situation faite à -l'agriculture par la nouvelle loi sur les assurances sociales. M. Beckerich, ingénieur agricole, a ensuite, entretenu l'auditoire des effets qu'on peut attendre du projet Loucheur au point de vue des intérêts agricoles. Enfin, le trésorier a rendu compte de la situation financière qui se présente très favorable. Comptes et bilan ont été approuvés et l'assemblée a constaté l'incessant développement de-cette puis-

santé association. :i

CHEMIN DE FER DE PARIS A OHLEANS ET COMPAGNIE INTERNATIONALE DES WAGONS-LITS

Services de wagons-l\ts de deuxième classe "v entre 'Paris1, et Toulouse

et vict versa

Dans les trains exjress de nuit 77 et 78 Paris-Toulouse, Toulbuse-Paris circule un wagon-lits (b première et deuxième classe.

Les compartiments ile deuxième classe de cette voiture sont plus confortables que ceux des wagons-lits, a classe unique qui circulaient il y a foi-t peu d'années. On peut y faire le Noyage de Paris à Toulouse ou vice versa avec un billet de deuxième classe, en pavant un supplément pour un voyage simple à place entière, le total du billet et du supplément ne s'élève qu'à 385 i'r. 80 contto 323 fr. 50 en pre> mière classe ordinaire.

COURRIER DES THEATRES

i ̃̃̃̃••••̃•'

Reprise s

jt Au Trïanon-Lyiuque; à 8 heures 30, tes Pêclteurs de pertes.

Distribution

Mlle Lcmichel du Roy, Leïla, MM. Sôverny, Nadir, Péraldi, Zurga, Marrio, Mourabad.

Répétition génerale

jt Au NouvkautComœdia, à 9 heures, répétition générale de Pour vouai opérette en trois actes de JIM. Barencey et Nancey, Première représentation

̃" ?. i ̃" ̃•/>

.$ A i.'Athknbe, à 8 heures 45, première de /( manquait un homme, comédie en trois actes de M. Félix Gandéra (Mme Madeleine Soria MM. Lucien, Rosienberg et Paul Bernard, avec Mlle Germaine Auger; MM. Lucien Dayles, Bender, lierly. et Abel Jacquin). En. matinée i °'

-t.

Même spectacle qu'en soirée

Au Grand-Guignol (2 h. 45), au Théâtre Saint-Georges Ci li. 45).

En soirée

A I'Opi-rn. à 8 h. 13, Rigolelto (Mme E. Norena, MM..1. Brownlee, W. Martin, A. Gresse, Mlle Montfort, M. Narçon, Mlle Blanchard, M. Madlen Mmes C. Rex, Uobéres; MM. Ernst, Guyard, Cambon), Orchestre M. Henri Busser. L'Eventail de, Jeanne (Mlles Tousmanva, M. lîourgat, Joyeux). Orch. M. J.-E. Szyfer.

tk lu Ooi>i<-<lip-l'riinvn*. à 8 heures 30, le Marchand de Paris (MM. M. de Féruu<ly, G. Le Roy, Yonnel, P. Numa P. Geibsult, Dorival, Ledoux, A. Bacqué, J. Weber, de Rigoult. Chambreull, L. Dubosq, M. Le Marchand; Mmes A. de Chauveron, Dretty, J. Faber, N. Bnrjac, J. Thomsen, M. Romée). La Nuit de mal (M. Pierre Faubert, Mlle Delvair).

A rOiifra-Comifiue. il 8 heures, IVerther (Mlles M. Sibille, G. Corney MM. Ch. Friant, R. Bourdln, Azéma, J. Vieuille, Genio). On conunencera par Evolution (Mlles A. Comte, de Rauwcra, Collin, M. Marco). Orch. M. Georges Lnuweryns.

A l'Ode. à S h. 30, l'Ane de Jlnriilan (MM. A. Clarioml, P. Morin, Baconnet, .1. Seol, Cailloux, Ch. Laviiillc; Mmes G. Cave, E. Reynal, R. Vattler, P. Marinier, G. Duurd, M. L. Laugier).

Aux Variétés S h. 30, Topaze (J. Provost, A. Lefaur, Pnuley, Marcel ̃ Vnlltffil Au Gymnase, 8 heures 'M, Mêla (Gaby Morlay, Charles Boyei-, Pierre' Blanchar èt ̃Varga's). ̃ Au Théâtre Snrnli-UfrnWo' 8 h., Tristan -et Iseàl, de MMj Joseph Bctfiér et Louis Ârtùs (Andié ̃ Brûlé et Mad» Lély). Dimanches et 'fêtes, matinées.

A la Gii!lé-I yiuiin- à 8 lie. 30, Si j'étais Roi (Georgette Simon, Suzanne Laplace, Capitaine, René Gerbert, Gilbert-Moryn, André Noël, Descombes).

Au Théâtre Aniline, h 8 h. 43, l'Exaltation (Mme Germaine Dermoz, M.nes Màdy Berry, Line Noro, M. Lurville et J. Briey). Feu la mère de' Madame (M. Marcel Simon, Mlle Betty Daussmond). Au Théûtre <!n Halnl«-Il«ynl a 8 heures 30, le Bouif chez mon Curé (MM. Albert Brasseur, Duvallès, Robert Hasti, Paul Faivre et Charles Lorrain; Mmes Jeanne Véniat. Renée Varville).

Au Théfttre de la Renaissance, (Direction intérimaire), à 9 heures, Cireé, en quatre actes, de M. André Pascal (M. Constant Rémy: Mmes Véra Koréne. Charlotte Barbier-Krauss, Marie Laure; MM. Arvel et

)tf)itr..<

Aux Ilonffes-PnrlKîcns. ù 8 heures 30,

Déshabillez-vous (Mines Mireille Perrey, I Jeanne Perriat, Jacqueline Francell MM. Louis Blanche, Lucien Baroux, Robert An- I ce! in, Gabin). I

Au Théâtre de Paris, à 8 h. 45, Martus I (MM. Baimu, Pierre Fresnay, Chnrpln, Dul- I lac; Mmes Alida Rouffe et Orane Dema- I zis).

An Théfttre Mnrlgrny. à 8 h. 30, Coups de roulis (Mlles Rose Nivel, Yvonne Faroche MM. Robert Burnier, Marcel Carpentier, G. Nelson, d'Ary-Brissac, etc., et Pierre Magnier).

Au Théâtre Bdounnl-VII, à 9 heures, Mariette, comédie musicale de M. Sacha Guitry, musique de M. Oscar Strauss (Sacha Guitry, Yvonne Printemps, Aquista-

pace)

.1 An Thëiltre Michel à 9 heures, Ma Dame de Compagnie (Spinelly, Le Gallo, R. Clermoiit et Palan; avec Marguerite Tc'mpley). Au TliÉÛtrerfle In lUndeleine. ft 8 h. 45, l'Homme- de joie (MM. Julem Berry, Hémery et M. Marcel André; Mme$,,BuKuette exDuflos, Lucienne Givry et Mine Marguerite e Moréno).

A la Comédic-CnumnrtSn. à 9 heures, I Débauche (Mmes Marthe Régnier, Gaby Basset, Mady Berry; MM. Pierre Etchepare, Crémieux et Pierre Brasseur).

Au Grand-GulKiiol. à 8 heures 45, Le 2 août i9U, le Cheval de cirque, le Baiser de sang, Pipe et Madame.

An Théâtre des Champs-Elysées a 3 h., Théâtre des Piccoli.

An Théâtre de In Miehodti're. à S h. 30, Le Tr-u dans le mur (MM. Victor Boucher, Berthier, Serge Nadans, Robert Tourneur Mmes Blanche Montel et Marguerite Pierry, Alice Beylat, Jeanne Lion). Au Théâtre Daunon, à 8 h. 45, Jean V (MM. Fernand Gravey, Georgé, Rognoni et Henry Jullien; Mmes Arletty, Editli Mcra, Janie Marese et Mlle Davia).

Au Théfttre des Nouveautés, à 8 h. 30, Elle est à vousl opérette (MM. Milton, Ur-

ban, Pierre Darmant; Mmes Gabrielle Ristori, Eliane de Creus, Simone Cerdan, et Suzanne Dehelly).

Au Théûtrè Saint-Georges., à 8 h. 45 (l'épouvante et le' rire), Une Nuit d'Edgar Poe, Harmonie, Destination inconnue, Le Déjeuner marocain.

Au Théâtre Femina, à 8 h. 15, Trio (Mlle Falconetti MM(, André Luguet, Lagrenée).

Au Théfllre Rlocàilor. 6 8 h. 30, lioseMarte (MM. Oudart, C'.éo Bury, Combes; Mrqea Cloé .'idiane, June Roberts, Céciiia Navarre et M. Dréan)..

A l'Apollo à 8 h. 45, Le Procès de Mary D/Kjan (M. Harry Baur, Mme Jane Chevrel MM. André Burgèrq, P. Geoffroy, Mlle Carletta Conti)..

Au l'Iiéfltre de PAvenne. à 9 heures; Départs, de M. Simon Gantillon, mise en scène de M. Gaston Baly.

Aux i>ckx-Aiii:h (Uir.: R. Ferréoi. Tél.: Marc 10-20). Martini,- ,-Gabaroche, Jean liieux, Géo Charley. Goupil. Jean Mauglrr. Mathis,' Lci 'jCheM&de%i ïfépçsAnts, 4-eVue

de MAI. Jean-«-lcuTci «t ttènr'flesf Mï-rry; jduee

par Maud Gipsy, les chansonniers rt les 'auteurs.

Au Thï-atre de Dlx-Hejnrçn, les chanson- niers Mauricet, Vincent Hs'«po, Gén Cliar-

ley, Viclor Vnllier, PauTMaye et Jeaii bas-

tia. Glard Saint-Lazare! revue de Mauricet et Pierre, Varenne.

Au Théâtre National, de la Cnrienture (Dir. lîoger Fèi-réol, 43, Fg-Montmartre. Téléphone Provence :i7-82). Les chansonniers: Dorin, Nofil-Noël, Balder, jGoupil. Trémolo, Max Bill, avçç: Paul Colline. Chargeons! revue de, P. Colline. Musique de André Renaud, jouée par Loulou Hégoburu, Carlos Conté, les' chansonniers avec l'auteur et Paulette Darty..

Albert-I", à 8 h. 30, Mater dolorosa, le Péril /aune; 'Arts, à 8 h. 30, C'est le dieu de la jeunesse; Atelier, à 8 h. 30, Volpone; ̃C.ipucmes, a 8 h. 45, Couchette n° 3; Châtelet, à 8 h. 15, Mississipi (Show boat) Comédie des Champs-Elysées, à 8 h. 30, Suzanne; Uéjazet, à 9 heures. Tire au l'Ianc; Eldorado, à 8 heures 30, liêve de Valse Frlie.s-Dramatlqiies, à 8 .h. 45, L'Amant Maison de l'Œuvre, à 8 heures 45, ,Wnsiqae. on la Sonate « Kreutzer; Mathurins, à 9 heures, le Docteur llacckus NouvelAmbigu, à 8 h. 30, le Grillon dit foyer; Porte-Saint-Miirtin, à 8 h. 30, le Retour de Jérusalem; Potlnière, relâche; Studio des Champs-Elysées, Une l'ie secrète.

.m.-

NOÏES~ Ef^RMÂTlONS POUR LA PREMIERE FOIS.

Mlle Marcelle Romée jouera ce soir, à la Comédie, le rôle de Fernande Rosègue, dans Le Marchand de Paris.

M. Pierre Faubert jouera le rôle du poète dans La Nuit de Mai.

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par M. Henry BERNSTEIN Gaby MORLAY

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André BRULE

et Madeleine LELY dans

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Orchestre dirigé par Gaston Poulet | H PORTE-SAINT-MARTIN fl| 100° Dem. jeudi mat. et soirée (DERNIERES)

Le Retour de Jérusalem VENDREDI 22 MARS

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SANS-GENE

avec

| MARIE LECON | jgB Mat. jeudi, sam. et dim. ̃̃̃

SERVICE DE SECOND^. •• ̃' ̃ -• Ce soir. réception du service de seconde pour Tristan et -Iseut, au Théâtre Satah- Bernhardt.

~w

PIECE REÇUE.

MM. Camille Choisy et Jacques Albert, directeurs du Théâtre Saint-Georges. viennent de recevoir une pièce en un acte de M. Henry Jeanson, intitulée Je t'épov- serai si. t m

Comédie-Française. La onzième matinée poétique aura lieu samedi prochain, à 4 h. 30.

Les répétitions d'Athalie ont lieu sous la direction de M. Albert Lambert. La tragédie de (Racine, sera donnée lundi soir.

de

OpÉRArCoMiotiE. Ariane et BarbeBleue sera donné jeudi en matinée, avec. Mlle Marguerite Sover. M. Félix Vieuille, créateur du rôle de Bârbe-Bleue. Mme Mathilde Calvet, M. DuPfé, Mlles Germaine Corney. Vacchino., Martin* Andié. MM. Ma,thvl et Jean .Vieuille. M. Albert Wolff djj; fierai t'orchestre. •̃. -̃̃̃̃'̃ uï.

Odéon.,tM. Arquillièrcfera sa rentrée à l'Odéon dans le rôle de M. Jourdain, du Bourzepis .Gentilhomme, jeudi prochain 21 mars, en matinée.

Daunou. Demain, matinée à 2 h. 4S, avec Jean V, la nouvelle et triomphale opérette de M. Maurice Yvain et tous ses créateurs. m

Théâtre Mogador. En dehors des matinées des jeudis et des dimanches, la célèbre opérette Rose-Marie sera également donnée en matinée supplémentaire, à l'occasion des fêtes de Pâques, le lundi i" avril. La location est ouverte.

Apom.0. Demain jeudi, à h. 45, matinée du triomphal succès Le Procès de Mary Duxan, avec la même distribution quetous les soirs.

Le comité de lecture des « Escholiers », après examen de 72 manuscrits a reçu, pour

ATHENEE ^S^^S Ce soir, première représentation Madeleine SORIA

Lucien ROZENBERG et Paul BERNARD IL MANQUAIT ON HOMME Comédie en 3 actes de M. F. Gamléra Germaine AUGER

et Abel JACQUIN

g™ Dimanche, première matinée S

I

1

M EDOUARD-VIÏ H MARIETTE ou Comment on écrit l'Histoire avec m

SACHA GUITRY Yvonne PRINTEMPS AQUISTAPACE triomphe toujours après plus de 100 REPRESENTATIONS

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être représentée prochainement, Mon âme est ressuscitée, comédie dramatique en quatre actes et six tableaux, de M. Lucien Rollin.

Le prix de 3.000 francs revient de ce fait au jeune auteur qu'ils ont découvert. Après Au 'secours 1 la Comédie des Champs-rElvsées donnera trois actes de M. André Lang, Les Trois Henri.

M. L. des Garets a terminé trois actes Paradis, qui seront joués vraisemblablement cette saison à Paris.

En même temps que le Tristan et Iseut, 3e MM.. Bédier et Artus, joué actuellement au Théâtre Sarah-Bernhardt, urçe, autre adaptation scéniqùe de la célèbre 'légende vient d'être produite par la compagnie des Comédiens Associés, qui en donnera une seconde représentation aux Folies-Dramatiques, jeudi en matinée. Cette dernière adaptation est l'œuvre d'un poète mort récemment, Toséph Lstrribaiii qui y manifesta' les plus beaux dons 'd.'inyfchtipn verbale et de lyrisme. Le çotnDOsitëùif "Àristidi; Marti" y a adjoint une importante mùàidue de scène où il s'est efforcé, tout tomme lè'poète; garder un mouvement'simple et mesuré qui accentue le caractèreili bien "français dudranie. •̃ ̃ ï'; *>-b ̃'• ;̃' ̃̃̃̃ ̃ C'est M. Francis Jacques au} conduira l'orchestre. Mme Valsamaki sera Yseult etM. Roger Weber Tristan.-

ETRANGER. ̃̃̃̃

L'écrivain anglais Arnold Bennett vient d'écrire le livret d'un opéra qui sera représenté cet été au Covent Garden. Le sujet est l'histoire de Judith, qui a inspiré déjà bien des librettistes- et qui a inspiré à M. Arnold Bennett déià une pièce représentée en 10 10 Judith. La. musique est l'oeuvre d'Eugène Goossens. LA SAISON PROCHAINE.

La- Petite Catherine, de M. Alfred Savoir, Sera jouée l'hiver prochain, aux Capucines.

1 «

PLEBISCITE.

Indépendamment de la tournée du Théâtre du Grand-Guignol qui circule en permanence en France. M. Jack Jouvin avait organisé en octobre dernier une seconde tournée qui vient de rentrer à Marseille après avoir obtenu de brillants résultats au Maroc, en Algérie, en Tunisie, Egypte et Turquie. Cette tournée- emportait 16 drames parmi les meil!eu,rs du répertoire.

M. Jack Jouvin. quirse prépare à donnei quatre semaines de représentations à NewYork, avait eu l'idée, ppinv composer spn futur spectacle, d'inviter Ié'p.ùb1i,c' à faire connaîtiîepsès'.pïoféfeïLcës sut'- lés pièces qui

venaient tfêtïé joules.

dans l'Afriapc du! Sîord. ;.̃) Les spectateurs ont nïàrcjcfê une préférence très nette pour L'Homtne Nu. de M. Charles Méré, Qui fut créé rue Chaptal la saison dernière.

Voici d'ailleurs les résultats

Vlimnme iiu,' àè' Jf. Charles Mérè t 3.211 volxj '̃̃̃

Le Baiser dans la nuit, de MM. Mau. i;icc Levcl' et Max Jlaurey 2.129 voix; '3° Lui, de Oscar Méténier 2.107 voix; 4° La Prison du vice, de M. Adriel 116

.Voix;

La Alargué de, la bêle, par Lautnann, d'après Ruydard Kipling 39 voix; La Maiii.tfe sinqe, de MM. Parkers et Jacob 18'. voix.

Ces six- pièces ainsi choisies composeront l'essentiel du' programma de la., tournée d'Amérique. Signalons que quatre de ces pièces ont été créées à Paris il y plus de quinze ans.' ï '<̃•

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An Casino «le Paris, ce soir, a 8 h. 30, la grande revue d'hiver: Tout Paris, liane Marnac, Sâint-Granier, Mitty et 'Tillo, Nina Myral, Bach, Henry Laverne, les 16 La.-wrence Tiller Stas, et Dorville.

Au Aloulin-Itougc, relâche.

Au l'alurc, à S h. 30, la revue La Etante de Paris (Edmonde Guy, Van Duren, Tina Mebler, Doumel, les ci/miques belges H. Henry et G. Etienne et Pissaro avec son orchestre argentin, assisté do Atina de Silva.) ̃•.̃

A l'Empire MnKlP-HalI-CîrqHp. Pour la première fois en France, le plus célèbre jazz du monde, « les Ingénues », 20 attractions inédites et les 1G" english dancers J. W. Jacksou.

A la Lune Rousse à 9'h. (Trud. 61-92). les chansonniers Léon-Michel, Secrétan, Cor. Wyl»; Souplex, Spari, Manelly. et Pierre Dac, présentés par D. Bonnaud. Pantins et Potins! revue nouvelle (Mlles Yvette Le Bailly, Christiane Michel et L. Forest).

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Foues-BsRgèrë. II y eut les 7 merveilles du monde. II y a les 60 sensations des Folies-Bergère présentées dans le plus beau spectacle De la Folie pure.

COURRIÊfeMÛSICAL

soirée

i– A la salle des Quatuors Gaveau, récital de violon' par Franz Degeri. Location à la salle, chez Durand et Pandelot. A la salle Gaveau, Beveridge Webster, Claude Lévy et Maurice Maréchal.

Demain soir, salle Chopin, récital du vio-loncelliste espagnol Benito Brandia. Mlle Carmen Guilbert, pianiste, se fera entendre dans des oeuvres de Debussy, vendredi 22 mars, à 5 h. 30, au foyer des artistes, Théâtre des Champs-Elysées. Billets à la salle, chez Durand et à Musica.

T '1 1

Orchestre S^mphonique Dt PARIS. Salle Pleyel, dimanche, à 3 heures, M. Ansermet dirigera Ouverture de la Grande Pâque Russe (Rimsky-Korsakoff) Concerto BrandebourReois (J.-S. Bach) Symphonie (Mozart) Les Maîtres Chanteurs (Wagner) Ibéria (Debussy).

Mlle Esther Johnsson, une des meilleures élèves du grand virtuose Emile Sauer, a donné récemment dans la salle de l'Ancien Conservatoire un récital avec le concours de l'orchestre de la Société des Concerts, dirigé par M. Ph. Gaubert. Son programme était fort intelligemment dévolu aux classi.ques, aux romantiques et aux modernes elle a su s'y faire et les faire valoir de la façon la plus heureuse. Mlle Esther Johnsson est, en effet, une virtuose accomplie i)et sj-^lle-a^-pu -irieœphet-des .-diffic-uUé&-4u ^.oncêrio-èn fa mineur, de "Chopin, die, "a j;èû ïmontrer, a^sj-, ̃dai^s. laj, N-$@eU±te afin 1a

"diè^c mineur ct| $KliuntanB"dSjïS yïmpromp-

tu _en si bémol Schubert, et aussi dans les.. Variations Symphoniques de César Franck, qu'elle apportait la lumière de son interprétation. Ce fut pour la jeune piai niste un très gros succès.

L. de Crémone.

CINEMAS

Agriculteurs, 8, rue d'Athènes, Autour de l'Argent, Cinq minutes de Cinéma pur, Hhanghaied; Artistic-Cinéxiia, L'Homme qui rit; Aubert-Palace,: le Chanteur de jazz Electric-Palace-Aubert, Sérénade Cami-o, la Marche nuptiale; .Coliséef l'Argent; Gnumont-Palace, Verdun,- visions d'Histoire; Impérial, les Maîtres chanteurs de Nuremberg; Madeleine-Cinéma, Ombres blanches; Marivaux, Emll Jannlngs, dans le Patriote Max-Linder, les Espions; Omiila-Pathé, la Femme d'hier et de demain; Paramount, la Dansé rouge Rialto-iCinéina, I. MosjouUne, dans la Maison du mystère; Studio 28 (10, rue Tholozé), le Dernier avertissement; Ursulines, heures, Lonesome (Solitude), la Jalousie du Barbouillé. CHEMINS DE FER DE PARIS A LYON ET A LA MEDITERRANEE

Des télégrammes privés,

envoyés aux voyageurs de certains rapides, leur sont remis dans le train mtme

JJn .parent,] un ami pris !'un desji'rands

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rapides 4ç fe Bojiraogrtp ou <JLu Bourbon-

-nifls. îîn le'qtiîttant; au départ du train,

»v(jusn'wez oublié de lui^dire^quelijiieîthosek Vous pouvez l'atteindre en cours de route, dans le train même, par télégramme. L'adresse du télégramme., doit comporter In mention « D train », le nom du destioatair.e, la,classe-dans laquelle.il voyage, le numéro du train emprunté et là gare où doit être effectuée la remise.

Exemple d'adresse: « D train. Durand, seconde 12, Lyon-Perrache. »

Les télégrammes sont reçus dans tous les bureaux de 'poste ouverts au service de la télégraphie privée et ils sont distribués dans les trains suivants

Par la gare de Lyo'n-Perraehe :'̃

Dans le train 11, partant de Paris à 9'h.; dans le train 25, partant de Paris à 8 h. 40; dans le train 12, partant de Marseille à 9. h. 40; dans le train 2<S, partant de Marscille à 6 h. 2.

Par la gare de Dijon

Dans le train 25, parlant de Paris à 8 h. 40.; dans le train 053, partant de Paris à 11 h. 15; dans le train 26, partant de Marseille à Ii h. 2; dans le train 654, partant de "Chambéry à 13 h. 45.

Par la gare de Nevers, l'été seulement Dans le train 1003, partant de Paris à 10 h. 30; dans le train 1004, partant de Saint-Eticnne à6 6 h. 18.

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Pari mutuel à 5 francs (unifié) Gagnant, 48 francs. Placés Wild Rip, 15 francs Hallatte, 33 francs Bois Chevreuil, 24 fr. 50.

Prix de l'Orb (course de haies, handicap, à réclamer, 10.000 francs, :i.000 mètres). 1. Combien, au comte de Férigny (J. Luc) J 2. Charmeur, h M. R. Me Cune (W. Butler); :S. Ma Chérie, à M. A. M. Kaifenburgh (M. Bonaventure) (3 longueurs, 3 longueurs). Non placés Semur, Pétrone II, Dutchulia, Argus II, Houblon, Roi René, Saboïn, Le Gouverneur, Béiiouyille (arrêtée), Bathildc, Pagode (tombée), Go Aliead, Cinébloc, Jugurtha, Sooner, Dam Flcet (arrêtée), Virus II.

Pari mutuel à 5 francs (unifié) Gagnant, 40 francs. Placés Combien, 12 francs Charmeur, 17 francs Ma Chérie, 13 francs. Deux vœux du Comité olympique «.mirançais

i i .̃̃. -\j.̃̃ >[̃ ~-l-'r-f.i! «jT;vî:iT ̃.̃>*

A Fisslue d'e",la'.iréunibn..tciiine;'>sa'în'é4i'

îleriiicK par le-Camitê olympkiue français en vue di* wmdre compte de la'participation frtfnÇâ'ise aux Jeux d'Amsterdam et de la gestion financière, il a été adopté à l'unanimité, sur la proposition de M. Paul Rousseau, les deux vœux suivants

« Le Comité olympique français émet le vœu que le programme des futurs Jeux olympiques soit réduit à un strict minimum par le Congrès olympique de Berlin de 1930, sans supprimer toutefois de ce programme aucun des sports qui, jusqu'ici, ont permis d'assurer le complet succès des Olympiades modernes. »

M

« Le Comité olympique français préconise, pour chacune des épreuves olympiques individuelles ou par équipes le principe d'un engagement unique par nation, avec l'inscription d'une réserve pour un remplacement possible de l'unique engagé. individuel ou équipe. » Cette modalité déjà appliquée

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» Elle procure du reste les avantages suivants Encouragement moral aux pays participants, trois nations différentes étant obligatoirement victorieuses dans: cliaqud:épreuves (1", 2° ou 3° place) 2° Economie dans les déplacements 3° Mise sur un pied d'égalité des nations pauvres ou riches. » i ̃ A

Ces vœux seront- présentés à la session du C.I.O. qui va se tenir le 12 août prochain à Lausanne, par les membres français du C.I.O.

Le boxeur Harry Corbett reste champion d'Angleterre

~.H'¡ J,

Les boxeurs Harry Corbett, -champion d'Angleterre et Johnny Cutlibért, tous deux bjen connus dés Parisiens qui les virent tour à tour -aux prises avec les meilleurs boxeurs français, ont disputé lundi soir au National Sporting Club de Londres un match pour le titre britannique des poids plumes que détient Harry Corbett.

Joh'nny Cuthbert avait l'ardent désir de rentrer en possession du titre qu'il détint pendant une assez longue période et que lui ravit justement Harry Corbétt.

Ce dernier a réussi à faire match nul avec son adversaire1 après un combat' rudement mené. Par suite de ce résultat H. Corbett reste champion d'Angleterre.

La décision qui lui permet de conserver son titre est fortement critiquée et certains vont jusqu'à prétendre que les juges ne l'ont pus rendue en toute liberté.

Nous nous refusons à croire qu'il en est ainsi, et ces insinuations lancées par des partisans trop convaincus de J. Cuthbert n'ont pu être mises en circulalion par leurs auteurs que sous le coup d'une profonde déception. CYCLISME

LES SIX JOURS DE PARIS.

Grassin-Richli sont en tête

Les coureurs des Six Jours cyclistes sont partis avant-hier soir. ainsi que nous l'avons annoncé. Quinze équipes étaient au départ et entamèrent leur ronde qui ne prendra fin que ̃dînion-

.che'soir!"1. ̃' '.nl-> Vu»

Le premier soii' a connu son 'habitais!» P succès. Une grande foule avait envahi le Vélodrome d'hiver, qui s'attarda jusqu'à très tard dans la nuit, pour ne pas dire le matin. >̃> ̃̃ ̃̃• L'équipe Grassin-Hichli, après les sprints de la première heure, au cours de laquelle elle couvrit 38 kilomètres 500, prit la tête.

Après les sprints de une heure du matin, elle réussit encore Ci la conserver, avec d'autant plus d'aisance que derrière elle ses concurrentes paraissaient beaucoup plus préoccupées de prendre un ou plusieurs tours d'avance que de totaliser des points.

Mais c'est une tactique qui, si elle a sa valeur vers le milieu de la course ou sur la fin, ne vaut rien en son début La nuit écoulée, la matinée ramena le calme, un calme désespérant, au cours duquel les coureurs 'menèrent une allure. de tout repos, c'est le cas de le dire. Ils tournèrent alors à (! ou 8 à l'heure, en famille, et le sport là-dedans, on peut le dire, est absent. On ne se remit en train qu'avec l'apparition des premiers spectateurs.

A midi, 291 kilomètres 750 avaient été couverts.

Dans l'après-midi, le peloton reprit son allure normale, sé réservant cependant pour ce que l'on appelle les « batailles du soir », beaucoup plus intéressantes, parce que bien « primées », que celles de la, journée.

A 15 heures, 367 kilomètres 150 avaient

été,; parcourus. '•.•<:̃»;

1. ,),i 'irH'i t'.H' ̃ 1. 1 1 ̃ ̃»;

AUTOMOBILE ,,«'.

Après « Paris-Nice »

Marchai s'adjuge cette année, soit avec ses projecteurs 'frilux, soit avec ses dynamo et démarreur, la première place du classement général (Delage de M. Chauchat de Benmville) et les premières places des dqux catégories de grosses voitures intéressantes où il y a eu compétition sérieuse (cat. 3 litres Bugatti, de Mme Paindavoine, cat. 5 litres Hotchkiss, de M. Vasselle). Enfin, dans les cinq premiers du classement général, les quatre grosses voitures sont également équipées en Marchai. C'est un beau succès à ajouter à la liste déjà longue des victoires de Marchai dans les compétitions de grand tourisme.

De nombreuses voilures comme celle de M. Coppe'r-Royer, classé cinquième sur sa Ballot, étaient1 montées avec les nouvelles bougies Marchai à électrodes chromées absolument; indéréglables.

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-r NAVIGATION

J AUTOMOBILE

Pour la plus grande vitesse en mer Le major Segrave qui vient de ravir aux Américains le record de la plus grande vitesse sur terre va tenter, demain et vendredi, de batre le record (tu monde sur mer.

C'est au large de Miami, en Floride, qu'aura lieu le match sur les canots « Miss England » et « Miss AmericaVII ».

La tâche de Segravc ne sera pas facile car la puissance motrice du canot américain est triple de celle Miss England ». ».

Malgré cet. handicap Segrave se montre plein ,d,e .confia ace dans l'issue du match. ̃•'̃ AVIATION

Mermoz est arrivé à Buenos-Aires L'aviateur français Mermoz, qui pilote des avions sur la ligne FranceAmérique du Sud, et dont on était resté sans nouvelles, est arrivé à Buenos-Aires lundi s,oir,à.: 21 heures, a.prèj> un vol de .9 heures,

Il a traversé la Cordillère des Andes à une attitude de 4.2Ù0 mètres où il faisait une température de 13° au-dessous de zéro.

Le raid Angleterre-Australie

Les aviateurs australiens Moir et Owen, qui entreprennent le raid Angleterre-Australie et. qui étaient arrivés lundi soir à Marseille. venant de Lympne, ont quitté l'aéroport de Marignane hier, matin, à 8 h. 25, à destination de ̃ l'Italie.

Paillard et Le Brix rentrent en France Les aviateurs Paillard et Le Brix se sont embarqués lundi soir à bord de l' «. André-Lepon » pour la France. Avant leur départ, les aviateurs ont déposé une gerbe, de fleurs au monument aux morts..

MOTOCYCLISME

La ronde des 40.000 kilomètres

Hier, onzième journée de la ronde motocycliste, les pilotes anglais avaient couvert 7.793 tours de la piste de Montlhéry.

La distance totalisée s'élevait à 19.848 kilomètres et la moyenne de marche à 72 km. 970 à l'heure.

̃' TENNIS

.t.

j -Sia suîsoHJ.Bur la Gôte d'Aafiir ''lia' saison1'' â^s1' gWÂs tournois de là Côte d'Azur se terminera fin avril. Voici le calendrier Ses tournois qui restent au programme

18-24'.mars-: -Cttnlies L. T. C.

25-31 mars Beau-Site L. T. C. Cannes.

30-31 mars Championnats militaire et scolaire à Nice.

1-7 avril Monte-Carlo Country Club. 1-7 avril Saint-Raphaël L. T. C. 15-21 avril L.1 T. C. de Juan-les-Pins. 22-23 avril Championnats régionaux à Nice.

Les secrétariats des clubs feront parvenir sur demande le programme détaillé de ces tournois.

Le Tournoi de Pau

L'annuel tournai du L. T. C. de Pau se jouera du 1er au 7 avril. Il comporte les cinq championnats classiques. Les championnats simple et simple de dames comportent des coupes-challenge qui furent remportées l'année dernière par M. l\. Morales Velosi et Mme Bordes. Cette dernière, qui fut également victorieuse en 1927, deviendra définitivement propriétaire du Challenge si elle le gagne encore cette année.

Le comité du L. T. C. de Pau pour 1927 est ainsi formé

Vicomte de Vaufreland, président lUquoir; vice-préside!nt P. Verdenaï, secrétaire L. Durand, trésorier F. Noutary, secrétaire adjoint A. LoubejL d'Andurain, Lamy de La Chapelle? Y. ,.de Palaminy, J. "de Malherbe, P, D'ùfaU? .membres.i», M.- Y. de rPaïanùny sera le juge arbitre du tournoi; Les engagements seront;jrc-' çus jusqu'au 31 mars si 16 heures .•gît" secrétariat du L. T. C. de Pau, clte^lM.- Peyroutet. Jeu de Paume, Parc Beaumont, Pau. .> v GOLF

Sur le parcours de Saint-Cloud Au Saint-Cloud Country Club, la Médaille de mars (première série) a été gagnée par le docteur Lacapère (20) 84, battant M. Hennessy Cook (19) 95. Les médailles de Saint-Germain Le Prix des Primevères (handicap) sur 18 trous, joué sur le parcours de Saint-Germain, a donné ces résultats Première série. 1. A. Olivier (18) 72 2. W. W. Parsons (2) 77 et P. Canivet (8) 77 4. E. Ulman (18) 78 5. P. Arrault (12)' 79.

Deuxième série. -'1. G. Templier (25) 72 2. R. Lang (26) 77 3. A. Picard (20) 78 4, G. QuennoueUe (22) 79.

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Sur le parcours d'Ormegson

Au' Golf d'Ormessojx, .le Prix de Noiseau, offert par M. P. Ettlinger, sous forme d'un concours d'approches et de putting, a donné ces résultats Concours d'approches. 1. B. Aaltschuler.

Concours de putting. J. E. Sarrade. La Coupe Gounouilhou

La Coupe Gounouilhou, qui est le Championnat de France interclubs de l'Union des Golfs de France sera disputée aux dates suivantes

14 avril Premier tour éliminatoire. 28 avril Second tour éliminatoire. 6 octobre Demi-finales.

20 octobre Finale.

Cette année, TU. G. F. a fixé les dates des rencontres. Ce qui est bien, mais ce quiv à; mon sens, est fâcheux, est d'avoir prévu les demi-finales et la finale après les vacances tardivement dans la saison. îl eût été préférable d'utiliser les dimanches libres en mai et en juin, la Coupe Gounouilhou est une épreuve assez importante pour qu'on ne fasse pas languir son intérêt. P. C. Une compétition mixte à Chantilly Lundi prochain s'e jouera aii Golf Club de Chantilly une compétition mixte sur 36 trous.' Les équipts seront formées d'un joueur amateur 'et d'un professionnel. M; R. Cabaud et le professeur Dallemagnc gagnèrent l'épreuve 1'an dernier 'sur le même parcours. Le succès obtenu 'a incité' les organisateurs à continuer une compétition intéressante et à la rendre annuelle. Les engagements seront clos aujourd'hui mercredi au secrétariat du G. C. de Chantilly.

Un grand match de « pros »

en Grande-Bretagne

Pour un enjeu de 250 livres T. H. Cotton et Ch. Whitcombe joueront prochainement en Angleterre un match à quatre halles contre T. D. Armour et R. Cruickshauk, deux joueurs amateurs écossais devenus professionnels aux Etats-Unis.

Les Championnats d'Allemagne en 1929 Le Championnat international d'Allemagne amateurs et professionnels se jouera les 25 et 26 mai. Sur le parcours de Wannsea, proche Berlin. Le Championnat d'Allemagne de dames se disputera sur le même parcours le 28 mai. Enfin, le Championnat d'Allemagne réservé aux amateurs sera joué le 28 août et jours suivants sur le parcours de Francfort.

Les Championnats suisses de 1929 Voici les dates auxquelles se joueront cette année les Championnats de Suisse: 7 juillet et jours suivants Chain?,pionnats nationaux sitfsflesi réSOCvds aMx amateurs. Dames et messieurs!).sur>i>lc' parcours^ ide MoirtreuxTAigle. :•̃>, 19 juillet et jours suivants Ghanir pionnat international suisse amateurs, dames et messieurs, sur le parcours de Lucerne.

25 août et jours suivants Championnat de Suisse amateurs et professionnels sur le parcours de Lucerne. Louis Ghintran regagne Lyon

Louis Ghintran est rentré comme professeur au Golf de Lyon. C'est lui qui naguère fut l'architecte du parcours de Montlouis.

PAUME

Le championnat double des Etats-Unis Jay Gould et W. Wright ont gagné la finale du championnat double des EtatsUnis, battant E. M. Edwards et J. Bell par -6, 6-2, 6-4. C'est la. troisième victoire successive remportée par les vainqueurs.

CROSS-COUNTRY

Le cross-country international

Le cross-country international se déroulera samedi prochain 23 mars sur l'hippodrome de Vincennes. Ce crosscountry est un véritable championnat d'Europe et doit remporter un magnifique succès.

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Dix nations, en effet l'Angleterre, la Belgique, l'Ecosse, l'Espagne, ]e pays de Galles, l'Irlande, l'Italie, le Luxembourg, la Suisse et la France qui détient le challenge, sont régulièremént inscrites à cette splendide manifestation de.

cross-country.

La municipalité de Paris recevra les délégations nationales en son HôteJ;'de>v. Ville, vendredi soir.

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ESCRIME

L'équipe française d'épée victorieuse à Monte-Carlo

La France vient de réimporter à MonteCarlo un très impor1ta,nt; succès. La coupe Oautier-Vignal, nue. les Italiens avaient gagnée l'année dernière, est revenue cette année il J'équipe française,' composée de Cattiau, Schmetz et Rousset. En finale, cette équipe doubla l'équipe italienne formée de Rjccardi, Agostoni et Oornaggia; Félicitohs-hoù'sde ce succès qui constitue une bellc-rcy vanchc des olympiques.– R. D. René Haussy et, Potier champions de France 1&J29, '"̃ V~ C'est au sportif et sympathique mat* tre René Jlaussy qu'est ;r.i'venu une fois de"plûs;le titre de champion de France des maîtres. Il le remport» d'ailleurs 'en» core sans une défaite, ce qui ne nous étonne pas de lu part du brillant rival des frères Nadi. Suivent dans l'ordre Hazotte, et ex tequo Sehmalzer et Charrieu.

Quant au championnat de France des*amateurs, il fut également gagné sans une défaite par le jeune Potier, tireur très grand, devant Lemoine, Cautrot et Flacher.

Les performances antérieures de Potier ne faisaient pas prévoir ce résultat. En fait il a admirablement tiré contre tous ses adversaires, réussissant 'de nombreuses attaques d'allonge et de forlj belles ripostes à J'italienne. R. D;

BOXE

Les Championnats de Paris scolaires et universitaires

La Fédération française de boxe rappelle que les championnats scolaires et universitaires se disputeront demain jeudi 21 mars au Central Sporting Club, 57, faubourg Saint-Denis, en privé. Les matches seront disputés l'après-midi à. partir de 14 h, 30.

Frantz-Reîehel..

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j •ïCHESîINiïi DE FER X>E" -H'ETAT '̃̃̃

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s Va ewiçoHljs <i'appavetls 4t* çumge ̃• '?,»>- des ;fosscs et canaux,

A la demande des syndicats e marais de 'la Charente-Inférieure, des Peux-Sèvres et de la Vendée, les Chemins de fer, do l'Etat organisent il Rochefort, en juin prochain, un concours d'appareils de curage des fossés et canaux. Sur les lignes du Béseau de l'Etat, le transport des appareils et du personnel chargé de leur fonctionnement sera gratuitement assuré dans les deux sens.

Dans une catégorie spéciale de ce concours, des pompes puissantes capables d'épuiser, dans un temps déterminé, des fossés de dimensions données, seront admises à concourir entre elles.

Le règlement de ces concours sera communiqué à tout constructeur qui en fera la demande aux Chemins de fer de l'Etat, Service agricole, 13, rue d'Amsterdam, Paris (8').

CHEMIN DE FER DU NORD'

La Compagnie du Chemin de fer du Nord Jnforme le public qu'à l'occasion des fêtes de Pâques, pendant la période du 22 mars. au 3 avril inclus, des billets de toutes classes pourront être délivrés à l'avance, la veille ou l'avant-veille du départ, aux guichets de 3a gare de Paris-Nord.

Bien indiquer aux guichets, lors de la demande des billets, la date exacte du dé, part. ̃' 1

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PROPOS FEMININS! l

Voici deux "dimanches que le -printemps nous fait une visite de politesse, sans doute pour nous avertir que sa

venue définitive ne saurait tarder "et qu'il est temps de songer à nos robes I\' est vrai de dire que, pareilles aux marmottes qu'un rigoureux hiver a engourdies, les Parisiennes s'attardaient dans s leurs fourrures et remettaient d e jour en jour de choisir leurs toilettes printanières Maintenant qu'elles pensent n'aveir plus à redou- ter les grands s froids, elles courbent les maisons âd couture, elles commandent et exigent, en enfants gâtées, l'exécution presque e immédiate des inodèles choisis. Marthe et René é sont sur les,dents. On leur demande, pour r 1 les randonnées de Pâques, ces délicieux ensembles de sport qui, tels

,.<suKiiigoire» et « ueau Masque», n atten- dent que les fêtes de la résurrection pour se répandre sur les routes avec les nouvelles citrons six-cylindres. Pour les courses: et les après-midi ensoleillées, on n'a 'que l'embarras d"i choix entre i une de ces délicieuses robes de Chine ou de Georgétte, unis ou imprimés, toutes réalisées avec cet art exquis, tout à fois sobre et chic, par quoi se recommandent les créations de René. A Auteuil se montraient, sous les manteaux, les premiers tissus imprimés de la saison. La vogue en sera grande, •ce printemps, et plus grande encore cet <Hë. Des robes du jour ils s'étendent volontiers aux robes du soir. Aussi, fortes de ces pronostics, les femmes assiègent-elles! mais littéralement, les ̃ salons de Wilmart, où sont exposés .pour quelques jours encore crépes, satins et taffetas imprimés. A ces. tissus, «jui .évoquant les ,florajsons^bt Ié$ coloris des jardins et des1 verit'rrS" 'pendant •îêS mois chauds, s'ajoûteiït les' mêmes •tissus «'avec une collection unique de tussors et de shantungs aux nuances les plus vives et aussi le plus tendres. De plus, le prix en est un révélation des plus agréables. Que nous voilà loin de cette réputation qui prétendait la rue de la Paix accessible uniquement aux milliardaires américains 1

I/es imprimés ne sont pas à la mode seulement pour nos robes. Ils apportent grâce et gaîté dans nos appartements modernes sous les espèces d'un nouveau tissu éponge aux dessins aussi divers-que charmants et dont les coloris s'ingénient tout ensemble à délasser et à enchanter la vue. D'une qualité supérieure, ces tissus éponge imprimés, qui portent dans la- lisière la signature « Lisières fleuries », ont des reflets de 'velours qui font d'eux la tenture moderne idéale. C'est là une création rejnarquablc de Paul Dumas,destinée tout

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Paris (via. Plymouth), 27 mars Grasse, 3 avril Compagnie Générale Transatlantique, 6, jue Auber, Paris. 89, boulevard de Strasbourg, Le Havre.

CHERBOURG (Départs)

ikauretania, 30 mars Cunard Line, 6, rue Scribe, Paris GENES (Départs)

Çiinte Biancamano, 22 mars -̃iloyd Sabaudo, 7, rue Scribe, Paris CUBA-MEXIQUE

SAINT-NAZAIRE (Départs)

Mexique, :i avril -"•Compagnie Générale Transatlantique, 6. rue Auber AMER'QUE DU SUD

BORDEAUX (Départs) ]:'

Belle-Islt, 24 mars -î- ;• Compagnie • Sud-AUantiquè, Chargeurs JRtunis, 3; boulevard Malesherbes

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Lipari, 7 avril ̃ -'̃Chargeurs Réunis. 3. boulev Malesherbes CDER'âuUKti (Départs)

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LE HAVRE (départs).

Swialo'uiid, 15 avril -'̃Chargeurs Réunis. 3. boulev Malesherbes BOULOGNE- SUE-MER

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particuliérêïneiït aux salles de bains, dont ces tissus Supportent la buée chaude sans rien 'perdre de leur êc'at lumineux. D'ailleurs; ils-se lavent aussi bien que du linon. Leur originalité -piquante, leurs dessins artistiques'' permettent de réunir en une seule pièce la salle de bains et le boudoir, lorsqu'on ne dispose,pas d'un appartement très grand. Et c'est charmant.

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-Chez i tout ;hoiiime qui se fait le chevalier servant de l'élégance et de la mode, il doit y avoir un psychologue et un météorologiste. Ces deux éléments se trouvent chez Malborough, 59, rue Saint-Lazare, et assurent d'ailleurs sa vogue extraordinaire parmi nos Parisiennes les plus chics. Malborough a prévu ..(pie? le; .pfcinterrips viendrait nous surprendre et fliie ses clientes ne s'en soucieraient qu'à la dernière minute. Aussi a-t-il renouvelé opportunément sa collection de modèles des grandes maisons de couture les plus pressées et les plus difficiles sont' sûres de trouver chez lui immédiatement de quoi mettre leur beauté à l'unisson du printemps.

En attendant de s'effacer devant le soleil, les manteaux s'entr'ouvrent sur

les toilettes, plus légères qu'arborent les

Parisiennes. L'œil artiste jouit de la souple ligne, dos corps, tous minces et impeccables sous l'étoffe qui chante dans la lumière. Pourquoi la femme apparalt-elle ainsi toujours parfaite, ou qu'on la voit? Parce qu'elle porte fidèlement là gaine Parabère, cette création remarquable, inégalable, qui fait de toutes des émules de Galatée, dont tous les Pygmalions 's'enthousiasment. 12, rue Tronchet, près de la Madeleine.

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Alger, tous -les mardis; jeudis; samedis Tunis, tous les'mercredis Compagnie- Générale Transatlantique, 6, rue Auber AFR1QUE-W OPAGASCAR BORDEAUX (Départs)

Dakar, ConaKry, Grand Bassani, Port Gentil, Borna. Matadi

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Feuilleton du FIGARO du 20 mars 1929 > (16)

La Sonate du printemps

̃ "̃IX ̃"

(Suite)

la porte de l'hôtel Chamerlat, il n'y frit Ras à trois pas. La brume avait épaissi ten unes-heure jusqu'à atteindre la densité d'un brouillard du Nord. Toute la ville était plongée dans culte Vapeur tiède qui .mouillait les cheveux, suintait le visage, se déposait sur les lèvres avec la douceur humide d'un duvet d'oiseau. Touze aima cette brmne, comme il aimait `tout' ce qui l'isolait du monde et'le' repliait sur ses pensées. H se dirigea presque à tâtons vers son logis. Il avait l'impression de marcher contre un niur' opaque qui cédait sous lui, fondait, reculait et ne s'êca.rtait jamais. En arrivant sur la place de fa CàlHë-" drale, il s'arrêta surpris. Une musique mystérieuse chantait dans la brume, un' prélude d'orgue qui tentait de s'élever mais qui s'étouffait dans l'ouate humide du brouillard comme les cloches d'Ys dans les profondeurs sous-marines. Touze se souvint. A; cette heure tardive de la matinée, l'organiste s'exerçait souvent, dans l'église déserte. L'énorme cathédrale invisible était' ensevelie dnns la brume, et le prélude de Franck semblait venir d'un autre monde, de ce monde surnaturel où nous sommes plongés comme des aveugles. Il nous entoure de ses ondes, de ses rêves, de ses fantômes et la plupart n'en savent rien, mais pour ceux qui l'ont une fois

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Contre l'enseignement du grec

Voici un fait qui montre, une fois de plus, que les bureaux du ministère de l'instruction publique ont ,déf ittfe* de

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sosïeJïîr fille d'un de nos correspontfa^t? voulait apprendre le grec. Son père demanda qu un cours de grec fût établi dans l'établissement secondaire dans lequel sa iille fait ses études. En transmettant au recteur la requête de notre ami, la directrice du lycée exprima c l'avis que l'élève- pourrait être autorisée à' suivre le cours de grec du collège de garçons de la ville a. Le ministre, c'était alors -M. Edouard Herriot répondit « L'enseignement "du arec ne peut être organisé pour une seule élève. D'autre part,

pressenti, les choses réelles ont perdu leur valeur, elles ne sont plus que le conte dit par un idiot dont parle.le roi Macheth. Jean-Jacques fit quelques pas et aperçut une ombre assise sur un banc. En s'approchant. il reconnut Wujcik. 11 n'avait pas revu- le Polonais depuis la soirée Charaerlat. Celui-ci avait sombré pour quelque temps, s'enivrait tous les jours, revenant chez lui cuver son absinthe et dans l'intervalle de ses crises jouait du piano pendant des heures. Oublié de tous. oubliant le monde, il déployait pour sa propre joie les ressources d'un talent divin.

Il était, assis sur le banc, le buste droit, vêtu d'un vieux pardessus verdâtre dont le collet relevé; dissimulait sans doute I'ab->sence de linge. Une expression d'extase transfigurait son visage flétri.

Que fàis-fu là dît Touze.

̃ Wujcik mit un doigt sur ses lèvres c

n >T<- Ecoute, dit>)iL/*H à voix basse il' pro-

nonça le nom du prèludevconnu de-;Debussy « La cathédrale engloutie ». Il fit signe à Jean-Jacques de s'asseoir près de lui et tous deux lestèrent ainsi dans .la; bruine, é.coutant le..chant sublime de Franck, assez ardent pour couvrir toutes les passions des hommes, assez pur pour 'les en* délivrer. Musique séraphique qui a vraiment franchi l'abîme et porté la douleur ^humaine au seuil de l'éternelle joie. Touze la sentait pénétrer en lui, soulever avec une douceur puissante le poids de chagrin qui l'écrasait. Des larmes commencèrent à couler sur ses joues, silencieusement, sans qu'il s'en rendit compte, les confondant peut-être le suintement huiiiide de la brume.

L'orgue se tut et il demeurait sur le banc incapable d'un geste et d'une parole. Wujcik ne bougeait pas non plus. Le regard perdu devant lui, il parlait comme dans un rêve

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Les droits d'examens du diplôme de pharmacien

Les droits à percevoir pour les examens de fin d'études du diplôme de pharmacien sont fixés ainsi qu'il suit

Voilà ce que nous sommes, une musique dans la brume. Quelquefois, on écoute le chant, mais personne ne connaît le chanteur. Les êtres sont invisibles. Et il ajouta avec un mysticisme étrange chez ce dévoyé Nous' ne sommes pas ici dans la lumière.

L'horloge de la cathédrale sonna douze coups. Touze se leva enfin et, comme le Polonais semblait ne pas le voir, il rentra chez lui lentement.

Quand il se trouva assis en face d'Emilie, devant une blanquette de veau fumante, le fantastique de cette scène l'envoûtait encore, et il se demanda s'il n'avait pas été la proie d'une hallucination.

.•• ̃, -.̃ ̃ ..̃̃ ̃ ̃ ̃. ̃̃ -.̃̃; '4»fo'

-Après ce jour, de tiédeur voilée, il y eut des journées de soleil, si enivrantes au sortir de; l'interminable hiver que les vitales 'genèse demandaient quel bonheur,.ils se prenaient à espérer.

Sous les fenêtres de Touze, le vaste paysage terne se veloutait de vert tendre, une brume de verdure flottait sur les arbres nus; et jour par jour il voyait au-dessous dé lui les feuilles d'un marroiïnier écarter les bourgeons, s'épanouir, se colorer dans la lumière. Au marché, sur là place SaintPierre, on ne vendait plus seulement des fleurs de Nice mais de larges violettes embaumées d'un mauve pâle ou d'un lilas rosé, des jacinthes aux pulpes ^charnues, ,et, les tulipes allaient commencer.

Un matin, dans le sommeil léger de l'aube, Rite entendit une sorte de cantilène aiguë et merveilleusement aérienne. Cela jaillissait, montait jusqu'au zénith faiblement coloré, et puis planait sur la ville noire avec des modulations si hardies et si fraîches qu'elles semblaient venir d'un temps pastoral. Elle se leva et poussa

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les persiennes. Il faisait à peine jour et le jardin émergeait lentement de l'ombre. Elle reconnut le sifflet du chevrier qui desifend en -ville chaque matin etchaquè soir dans la belle saison. Il marche vêtu d'une blouse bleue, -coiffé d'un béret basque au milieu du troupeau de chèvres, etrtoute la ;rue s'emplit d'un piétinement docile et d'une odeur sauvage. Parfois, l'une des bètes s'arrête, et renversant la tête en arfcière, fermant à demi ses yeux de prêtre syrien, elle se gratte le dos avec, sa corne. "-̃ 'Le chant bondissait, appelait tous les échos de la Ville et semblait dire': « RéïTeiile-toi, ville noire, usée' par lés hommes, par leurs chagrins d'uiie heure et leur *'ie d'un jour, je suis la voix de la -monUt,gne. Bile est belle à chaque printemps .comme aux premiers âges du monde. Elle est. calme, solitaire et sauvage. Je suis la *vofx des grands pâturages, des boîs de

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JçKânté "parmi les herbes de la latîde.^gue Je^'en apporte les parf unis '"et les s'ecrets*. » Rite demeurait à la fenêtre, les pieds mis, insoucieuse du froid.Le chant du chevrier la ravissait jusqu'au fond d'elle-même. Quelque chose venait de- naître, quelque chose allait changer, la vie n'avait pas encore dit son dernier mot.

''̃'̃ Le troupeau passa. Dans sa chambre de Hiisère et de bohème, Vujcik se dressa sur son lit et prêta l'oreille. Le chant du chevrier avait touché en loi la corde harmoSiieuse, sa tête s'emplissait de musiques confuses.

,:txr chant reprit son vol léger et, précis comme la courbe d'une abeille, et Touze l'entendit à son tour. Mais il sut que ce chant ne lui était pas destiné, et il cacha sa tète sous ses couvertures pour ne pas entendre appeler la voix du printemps. Ce jour-là fut pour Rite une sorte de

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trêve. Une griserie légère s'était emparée d'elle, une sorte de bondissement intérieur qui l'arrachait à. son inquiétude et à sa vie ennuyeuse et fade. Sa jeunesse chantait et tout devenait possible, tout semblait promis 'puisque rien n'avait été .donné, Elle remarqua avec délices la nuance dorée des nouvelles feuilles, la transparence des montagnes qui s'élevaient au bout du couloir sombre des rues comme une gaze bleu pâle. Sur l'un des puys se: dressait un château en ruines qui semblait dans cette lumière vaporeuse attendre je ne sais quel Prince Charmant. En se rendant au tennis, elle traversa le jardin public rempli d'enfants, d'oiseaux et déjeune soleil. Dans les serres c'était une prodigieuse floraison d'azalées; Certains àTbusle's aux fleiir.s d'un blanc pur, taclïêês 'par énjlrpits de traînées rouges, semblaient avoir été survolés par un oiseau blessé. Et Rite passa dans .cette, fêté printaniëre- en: fredonnant: le rondo de Mozart qu'elle avait joué le matin

meniez < ,-a -̃- '̃̃̃ v '̃'̃v= -̃̃̃•-» ;̃̃̃

Elle était si lîeùfeûse qii'én arrivant au tennis elle oublia de bouder le pauvre Tonnelier, qui en fut muet de joie et en conçut aussitôt les espoirs les plus insenses. Tiens, la 'voila crièrent une bande de jeunes filles.

Elles étaient groupées autouVd'uiie table de fer et se passaient de main en main un magazine illustré. Toi qui es une artiste, donne-nous ton avis ? dit Suzanne Lapie. Tu la trouves belle, cette femme-là. ? ̃ Elle tendit à Rite une Illustration où étaient reproduits quelques portraits d'une exposition rétrospective. L'un d'eux,jsigné d'un maitre célèbre au dernier siècle, représentait une jeune femme rousse d'une beauté épanouie. Le corsage de satin, éfroi-

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Tut, tut, .tut, tut !:infer*rtM. Lefort, un vieux notaire qui jouait aûpïënnis pour •combattre l'obésité. On n'y .connaît plus rien du tout dans votre génération. Vous avez le goût gâté par cessfemnies qui n'ont ni devant, ni derrière, ni cheveux, ni quoi que ce soit De notre temps on était plus difficile. On ne se contentait pas d'une planche à pain, coiffée d'une cloche à melon.

La jeunesse se mit à rire. M. Lefort tj'ne fois parti ne connaissait plus d'ObstaTeles et lançait son rond de cuir p^r-dessus les moulins, *1ù

Alors, dit Jeanne de Bej>»se, de votre temps, monsieur, on était comme les, Sénégalais ? Il fallait qu'il y en eût beaucoup, beaucoup ?

Trop plutôt que pas assez. C'était plus confortable.

Le lorgnon du notaire avait des remets égrillards.

Mais, en revanche, les modes ne l'étaient guère, confortables. Quel harnachement Un édredon serré par le milieu. Ça vaut mieux que d'être habillé d'un tuyau de poêle qui s'arrête aux genoux. Si encore on ne voyait que des jambes de

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Assemblée générale

MM. les actionnaires de la Compagnie du Chemin de fer de Paris à Orléans sont convoqués en assemblée générale, à Paris, dans i'hc il de la Compagni-,8, rue de Londres, pour le vendredi 22 mars prochain, à 15 heures, à l'effet d'entendre le compte rendu de la gestion annuelle de la tions qu'il est de règle de soumettrer chaque année, à l'assemblée générale.


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Kadin-Paris (1:744 mètres) à

12 h. 30. Radio-Paris-Concert Quatuor! (Haydn).

15 h. 45. Radio-Paris-Concert Danse française (Fr. Casadesus) Caprice en la (Mcijdelssohn).

18 h. 45: Demi-heure Pathé.

20'heures. Radio-Concert « Le procès de l'affaire mystérieuse de Neuilly » Chant de Géorgie (Pomasansky).

Tour Eiffel (1.485 m. 15)

19 ,h. 20. Radio-Concert Chanson géorgiennev(Balakirew) Triste est la steppe (Gretchaninoff) Consolation (Liszt). Paris P. T. T. (453 mètres)

12; h. 30. L'heure du jazz par MM. Léon Baitcr et de Buxeuil.

14 heures. Radio-Concert Petite Sérénade (Mozart) Andante du Quatuor (Tschaïkowsky) Scène d'enfant (Schuman).

1 5 Heures.– Une' heuremusique en-. regrisfrée. ,•̃̃

20 h.' 45. Soirée^de gala. Audition de 1! «Eté de la Saint-Martin », comédie en un acte de Meilnac.

Radio. L. L. (61 et 370 mètres)

12 h. 30. Prélude de Lohengrin (Wagner); (Mélodies populaires bretonnes. 21 h. 30. -,Concert avec le concours de JI. îvewspnne, ancien joueur de cornemuse ac .la garnie d'Ecosse.

Ratlio-Vitus (41 et 322 mètres)

20. b. 30. Concert de musique tzigane: Les, Cadets, marche (Souza) Czardas nuJDérb 2 (Michiels).

liéndces (358 m. 3)

Ij, heures. >– Gramophone. ̃>. l"

l%ïte 30. Gramoptioue. f

13 "heuresi Orchestre FraS?cati.,

15 h. 15. Concert classique..

16 h. 45. Récitai d'orgue par Edward

O'Henry.

18 h. 45. Mélodies de Brahms.

1!)" h. 45. Musique de chambré Quatuor cordes en ml bémol op. 127 (Beetho'v-çn). Mélodies de Schubert. de Sbuœann, de Heger et de Brahms.

21- h. 35. Le Comte de Cama ou la Fi4«cée du bandit, opéra-comique (Bul-

)ock)~

23.Jieures.: Musique de danse des amba*«adeurs.

Diane Mais les anatomies qui défilent dans les rues Des jambes de poteaux, des jambes de flûte, des genoux cagneux, panards. pointus, des tibias concaves, des mollets redoutables ou absents. C'en est

affligeant 1

Les jeunes filles riaient aux larmes. Voilà qui prouve, dit Suzanne Lapie, <rue;vous les regardez beaucoup.

_:̃̃ Ça n'est pas pour cela que vous les montrez ? ?, Kïté tenait toujours le journal la main €t -regardait le portrait avec une angoisse inexplicable.

Qui est-ce ? demanda-t-elle enfin. i^- Une princesse Kochinesco, je crois, dit Suzanntvjet elle ajouta tout bas avec une' pointe de malice « C'était la bonne araj© d'Iresverry, tu sais'! » »

§h Ah! dit Rite;

pile eut assez de sans-froid pour immobiîiser son visage/ mais la phrase lui était entrée au cœut-eomme une lame, Subitemêilt sa joie se brisa, il lui sembla quun rideau noir venait d'être tiré:sur le ciel, canhant désormais le miracle du printemps. Et la grande fille hardie poursuivait sur un ton un peu voyou.

Elle dôlt~être plutôt décatie maintenant, ça n'est pas d'hier ce portrait, et qui: sait si elle était déjà de première jeu- nesse au moment de cette aventure. Ils commencent tous par de vieilles toupies, et Us finissent par des pensionnaires. C est connu.

Mademoiselle, dit Tonnelier en s'approchant de Rite avec l'à-propos qui le catactérîsait, nous commençons à jouer, me: ferez-vous l'honneur d'être ma parte-

naire '?

Non, je joue avec M. Lefort.

Xa froideur de la réponse tomba comme une douche sur le dos carré du pauvre garçon. 11 n'y comprenait plus rien, et son-

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AVO1NES;: Paris, 19 mars. Noires: cour., VM 75;^avril, 136 50 et 136 25; juin, 139 et 139 25; 4 de mai, 135 75; jutll.août, 132 et 131 75. Diverses cour., 130 N; avril., 130 N; mai-juin, 131 50 N; -t de, mai, .Jâfl, juill.-août, 127 N; Chicago. 18 mars. En cents par bl. Cour., 109-; mai,: 110 1/2; juill., 110 5/8. SEIGLES. Paris, 19 mars. Cour., 133 N; avril., 133 N; mai-juin, 133 N; 4 de mai, 127 N; juill. -août, 126 N.. ORGES. Paris, 19 mars. Cour., 143 50; mai-juin, 135 50. N; autres termes, 138 N.

FARINES. Paris, 19 mars. Cour., 203 N; avril; 204 N; autres termes, 204 N. Farines de consommation, 216. SUCRES. Paris. 19 mars. Cour., 234 50; avril, 234 50 et 235; mai, 235 et 234 50; 3 d'avril, 234 50 à" 235; 3 de mai, 235 50; 3 de juill., 235 et 235 50; 3 d'oct., 22!) A; 3-de .«pv., 229 SO^USSO. Cote

officielle -t- 234~SB- à 235\

--Ne\v-ork, mars. En cents par 100 Ibs. CourJ, 193; mai, 199; juiV. 209; sept., 218; ocf.; 221; déc, 224; janv., 225. ̃ Centrifuge Cuba, prompte livraison, 374. CAFES. Le Havre; 19 mars. Cour., 516; avril, 510 25; ir.ui, 501 50; juin, •8)8 25;. juill., 488-/ août, 484; sept. 494 50; oct., 491 50; nov., 488 50; déc, 481 50. Ventes 4.750 sacs.i

New-York, 18 mifrs; En cents, par lb. Disp., 17 7/8; cour. 16 78; mai, 15 92; juill., 15 08; sept., il 50; oct., 14 37; déc, 14 13; janv., 14- .'06.-

COTONS. Le Havre, 19 mars. Cour. 659; avril-mai, 653; juin; 650; juill., 0 19

geait, après quelques illustres romanciers, que le coeur;: des femmes est une cruelle énigme.

La journée" parut interminable à Rite. Elle joua avec une sorte de rage, pour s'étourdir et surtout pour éviter de se mêler aux conversations. Ces causeries féminines, mêlées de câlineries et de rosseries, toujours pleines de mots à double entente, lui étaient odieuses, depuis qu'elle vivait cette vie secrète et passionnée.

Elle partit aussitôt qu'elle le put, acheta dans la première librairie le numéro de V Illustration, et après avoir arraché la page du portrait, elle jeta la livraison sous un banc de la promenade.

Après le diner, elle prétexta un mal de tête pour se retirer plus tôt dans sa chambre. Sous la lampe, le front appuyé dans ses mai lis, elle s'hypnotisa devant le poi'trait. Elle ne se dit pas, la pauvre Rite,, qu'à l'heure actuelle cette femme, si elle existait encore, ne ressemblait pas plus à ce portrait que le virtuose mûr et célèbre au maigre adolescent sorti du Conservatoire. Tout ce qui touchait à Iresve!-ry lui, était à présent comme une douleur. Malgré son travail, son imagination intense qui l'avait maintenue au-dessus du réel, elle n'était pas ignorante, pas plus qu'une jeune fille d'aujourd'hui, et. la vision de ce conple lui faisait un mal dont elle ne pouvait s'arracher. Les lignes, les accents de cette beauté si différente de la sienne lui devenaient plus familiers de seconde en seconde. Elle en vint à deviner la teinte de la carnation, le dessin du sourire, à la voir vivre, remuer, respirer devant elle. Quarante ans plus tard elle en eut la vision que Luc avait eue jadis, s'identifiant à lui; au point de pressentir avec une intuition, précise le décor du salon où il l'avait rencontrée.

Sa. tête brûlait. Elle' songea ^que le. calo-

août, 648; sept., 849;. cet.; 650; nov.-jan, 049; févr., 648. Ventes 750 balles. New- York, 18 mars. En cents, par Jb. Disp., 21 05; cour., 29 80; mai, 20 78;ii à .20.-79; juill., 20.31.; sept., 20 22; oct., 20 12 irW-tt; déc, 20 18 à 20 19.

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IUZ. Paris, 19 mars. Cour., 165 N; autres termes, 165 N.

CHEMINS DE FER DU NORD

Région de Senlis

̃ La Société de Transports auxiliaires de la Région du Nord nous fait part des modifications qu'elle apporte aux services des lignes d'autobus de la région deSenlis, pour préparer les horaires nouveaux qu'elle compte appliquer pendant la période d'été.

Sur la ligne de Verberie à Villers, le service, sera rendu quotidien à partir du 21 mars. A cette même date, le départ de Villers-Cottérets sera, chaque jeudi, retardé de 45 minutes, comme suit Départ de Villers-Cotterets, 10 h. 21; Arrivée à Verberie 11 h. 54.

Cette modification d'horaire permettra aux habitants de la vallée de l'Automne de disposer de plus de temps pour rester au marché de villers.

Sur la ligne de Senlis t Danimarti.n, le service sera rendu quotidien à partir du 30 mars et le. service de la ligne S'enlisNanteuil-Acy sera supprimé à partir "de la même date. r'

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1" Via Boulogne ou Calais. Prix des places aller et retour (sauf variations et non compris le droit de timbre), adultes: première classe, 630 francs; dèuxième-classe, 459 fr. 15; troisième classe, 326 fr. 40. Réduction pour enfants de 4 à 10 ans. 2° Via Dunkerque-Tilbury. Prix des places aller et retour (sauf variations et non compris le droit de timbre); première

rifère chauffait trop fort, et elle entr'ouvrit la fenêtre. Un souffle frais, chargé d'une odeur de jeune verdure, pénétra dans la chambre. Rite respira profondément et ouvrit les deux battants. Alors un frémissement nocturne emlplit la pièce, un mury mure indistinct et musical la fermenta-' tion du printemps, s "} Mon Dieu Mon Dieu songeait-elle,?; s'il était là S'il me prenait dans ses bras comme il l'a prise,-elle 1 ~l, Elle revit les yeux clairs, le sourire reste si jeune malgré la bouffissure du masque, tout ce visage qui,; ne pouvait plus que l'enivrer ou la déchjrer, et ses artères battirent comme s'il allait surgir de l'ombre. Elle repoussa la fenêtre et se dévêtit rapi- dément. Quand elle n'eut gardé que la chemise de. linon retenue par deux épan- lettes de ruban, eUe se dirigea vers l.i psyché. Elle hésita, une seconde et d'un simple moi)vement5d'épaule fit glisser la chenhise jusqu'à ses pieds. Elle se mit à trembler comme ;une feuille. Elle se \it nue, gracile et aiguë, gardant encore dans les hanches lisses et les seins grêles quelque chose de l'adolescence.Ses yeux agran-i dis et un peu égarés lui donnaient l'air dlune petite nymphe traquée, et elle eut. vers les recoins de la pièce le regard instinctif qui redoute l'ombre du faune. Mais en songeant à la beauté voluptueuse du portrait, elle se jugea laide et insignifiantes i « II ne m'aimerait, pas, se dit-elle. Com-i ment pourrait-il m'aimer'? » Et, malgré; tout, une voix reprenait en elle « S'il m'aimait, justement parce que je suis autre ? »

Un souffle de vent qui fit battre la fenêtre la rappela à elle-même. Elle tressaillit, éteignit la lumière et se jeta sous ses couvertures.

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CHEMIN DS FER D'ORLEANS

Un boit renseignement

pour les propriétaires d'automobiles « Le temps, c'est de l'argent », dit le proverbe; gagnera la fois du temps et de l'argent, c'est gagner deux fois de l'argent. Ainsi font les automobilistes qui profitent du tarif spécial prix réduits de la Coin- pagnit d'Orléans pour le transport des au- tomobiles.

Echappant aux fatigues de la route, ils prennent le train, isolément ou en famille, pour se rendre à certains centres de tourisme et de villégiature du réseau d'Orléans, pendant que leur voilure, chargée- snr wagon, les suit à des conditions exceptionnellement avantageuses.

Pour tous renseignements, s'adresser à Paris, aux Services commerciaux de la Compagnie d'Orléans, 1, place Vulhubert à son agence, 16, boulevard des Capucines; aux bureaux de renseignements de la gare de Paris-Quai d'Orsay, de Paris-Austerlitz et 126, boulevard Raspail; dans les gares et bureaux de vill~ .'de ladite Compagnie. CHEMINS DE FER DE PARIS A LYON ET A LA MEDITERRANEE

Le Maroaxj>e(r Marseille ,̃>̃>

Pour aller de France au Maroc, embarquez à Marseille. C'est la traversée la plus rapide. C'est aussi -la,; plus économique. Les confortables navires de la Campagne Paquet partent de Marseille les 5, 15 et 25 de chaque mois à destination de Tanger et de Casablanca.

Dans le sens Maroc-France, les1 départs pour hfarseille ont lieu "*̃̃̃ ̃̃ De Casablanca, les 5, 15 et 25 de chaque mois;

De Tanger les 6, 16 et 26.

A dater du 2 mars, le service hebdomadaire reprend dans les deux sens Départs de Marseille pour Tanger et Ca-

l'on ne peut plus être galante, eût été bien divertie par cette scène et un peu attristée par cette jalousie rétrospective. ̃ ̃ ̃'̃•̃ ̃ •' XII ̃ ̃ ̃"1

Cet accès fiévreuxlaissà Rite plus faible, plus découragée devant la vie quotidienne, et elle en garda une intuition aiguë de ce passé qui la hantait. L'habitude du repliement (t de la vie intérieure était si forte chez elle qu'en 11 voyant aller et lenii, litiv.u'lei son violon, poursuivre ses s occupations journalières, nul n\uii.ut pu soup- çoniiér qu'elle vivait ailleurs, obsecke par des fantômes et les sui\anL pas a pas. Chamerlat s'etonn.ul seulement de voir sa fille feuilleter avec ]«.i sivi'iam de vieilles collections de iouinat\ illtisti i s et (k recueils d'anciennes HMIL'S. Un jour, dans l.i bibliothèque il l'obsetva |),n rit ssii-» son lorgnon. Elle, était piongtr ri i n s un olumc 1 1 lie de 1 Illustiutinn d paraissait hvpnotistc depuis un quart d'heure par la même p ige.

Qut> lis-tu de si inltiessanl 9 dcinand î-t-il tout a coup. `

Rite tussaillit et îougit

(]li.unci Jal ne dit plus rien, ,mais il s'arrangea pour passer derrière la table et noter le chiffre de la page. Quand elle -eut replacé le volume, il compta son numéro dans la rangée de la bibliothèque, et, Rite aussitôt partie, il s'en empara. Il l'ouvrit à. la page remarquée. Il s'y trouvait des analyses de romans nouveaux, le récit d'une soirée chez la princesse Kochi.'esco, et la liste des invités qui lui parut totalement dénuée d'intérêt. La page opposée était occupée par une vaste composition romantique représentant la peste en Chine et les, cadavres dévorés par les rats..

Les hommes d'affaires apprécient la valeur du temps. Arrivant ai Bourget en Buick pour prendre l'avion if .•,•̃

Concessionnaire dans toute la France.

Concessionnaire pour Paris, Seine'et Sèine-et-Oise Établissements G.- LOISEAUj 144-146, Avenue des Champs-Elysées, Paris..

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sal)l«n<?9,toi«s les aan»edî*i à H heures; Départs du Maroc pour Marseille J)e Cfisa^l.anca, les samedis; ̃̃•̃

De Tanger, les dimanches.

Le prix du passage comporte la nourriture à bord,.vin compïJs; Les voyageurs n'ont pas à quitter le, paquebot pour emprunter d'autres moyens de transport nécessitant des frais d'hôtel.

Des billets simples, valables 15 jours, et des billets d'aller et retour valables 30 ou 90 jours donnant droit à l'enregistrement, direct des bagages, sont.délivrés pour Tanger et Casablanca dans les principales gares P.-L.-M. et dans les agences de la Compagnie Paquet.

CHEMINS DE FER D'ALSACE

ET DE LORRAINE

L'administration des Chemins de fer d'Alsace et de Lorraine rappelle aux porteurs de ses bons 7 0/0 1927, qui n'ont pas enencore présenté leurs titres au remboursement, que ces bons sont remboursables depuis le 1er janvier 1929, date à laquelle ils ont cessé de porter intérêt.'

Les opérations de remboursement peuvent être effectuées au siège de l'administration des Chemins de fer d'Alsace et.de Lorraine, à Strasbourg, dans les gares du réseau et dans les principales sociétés de crédit.

CHEMINS DE FER ANGLAIS

Délivrance de billets spéciaux à prix réduits, de. Paris pour Londres et certaines autres villes anglaises, à l'occasion du grand steeple-chase à Aintree et les fêtes de Pâques.

Pour tous, renseignements, s'adresser: eo)ikpsgnieV(luu Southern Railway, 14, rue du» 4-Septembre, Paris. Tél. Gutemberg 16-13.

Les meilleurs médicaments se trouvent à la

PHARMACIE NORMALE 17 et 19, rue Drouot PARIS 1

Moi papa ? Je feuillette

"Elle répond' instantanément, $Jâ moindre impulsion

ne perds jamais une minute éri voyage ..avec ma Buick. Avant de l'acheter, je n'appréciais pas autant le plaisir de conduire. Maintenant tout est changé, je me déplace confortablement et n'ai aucun: effort à faire pour être absolument maitre 'de ma voiture.-Que je veuille aller plus vite ou `. m'arrêter brusquement, je sais que ma Buick m'obéira avec une docilité parfaite; elle répond instantanément à la moindre impulsion. Son accélération foudroyante l'emporte comme le vint après une attente à un passage à niveau." Avec ma Buiçk^ je rn^,çh,appe toujours le !^rémiérsaîaii*mBâîfag dejcirëalStion- et rie. suis ,'v .ïamaiFdcpassé sur la rjiutc." ïyl. Aitalion, Banquier,

j2l;%u%CUmentMarp\, Pari£; ï: }"̃ -< ¡

•̃ ̃" '"Toujours en prise directe" "Ma première Buick ne m'a jamais cause H'énnui sérieux, bien que je in'en sois servi continuellement sur des routes souvent détestahles, sa solidité la rendait capable de tout. D'ailleurs de toutes les voitures que j'ai conduites, c'est la Buick que je préfère de beaucoup. J'ai souvent. une centaine de kilomètres à faire pour rentrer à Parts, ce qui n'est rien du tout, pour nia Buick; H y a plusieurs côtes assez mauvaises et je n'ai .'encore jamais eu à changer de vitesse. Lorsqu'il faut me faufiler en ville à travers une foule de voitures, je reste également toujours en prise.' Sans changer de vitesse, je passe de 5 à 90 kms.' à l'heure. J'éprouve un tel plaisir- à conduire ma Buick que je ne manque pas une seule occasion de m'en servir M. G; Laisis, Expert, 10, rue Le. Boëtie, Parts: .̃̃ ̃ ̃ ̃̃ ̃>

VISITE2

Belgique

| Au BÉNÉFICE du change s'ajoutent | les AVANTAGES des Cartes delibre ï circulation délivrées à PRIX RÉDUIT = par les Chemins de Fer Belges et per= mettant de visiter le pays entier Vingt plages de sable fin, villes I d'art célèbres, chef-d'œuvres de = peinture et d'archéologie, stations de î cure et de repos, sites etvillégiaz tures pittoresques des Ardennes. z Tous renseignements et notice illustrées: = Office des Chemins de Fer Belges 32, rue de Richelieu, Paris Goide-Urif des HoteU Horaire des trains

FjL 35.000 N6tôs'itt'AfffiaB«»î"|l^l 0 [ Dictionnaire des Pseudonymes V* [ Les Femmes décorées de la Légion d'Honneur I Plans de Paris, des Théâtres,»; J L. •Cn[ortïotaeiiMOOf»|(tt.Prii'r40ft»JCI fev J

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U LA SOCI~

II n'était pas plus avancé.

Cette petite a quelque chose pourtant, se dit-il. Dieu sait quelle nouvelle marotte Il soupira. Elle n'est pas équilibrée, c'est certain, mais enfin "j'aime encore mieux la voir ainsi que ressemblant à sa mère. Où est-elle maintenant ? Enfermée dans sa -chambre, sans doute. Elle y passe des heures, n'est pas naturel. Il rangea le volume avec méthode et monta ihe^ Rite1 Au coup frappé a la poiti, il pu eut un 11 oisse nient de papui et là fermeture biusque d'un tu on ¡

Lntic/, eht-el'e

Chaîne.] lat i einai i[tn sa pah'in et le liemblemeni ilt ses ni uns l îeke dune e cou esponelanii.' clandestine, il se sentit frenin de eokie ni n il se contint et dit seule-inent

\eu\-tu e ru te pioimmi j\ec moi. Rite'' L' mlo nous nu ni i i.isqi.'a la ionlaine du Htugu IJ fajt si bi.iu.

Mais in iman reçoit aujoui d'hui, tu sais bien.

Au diable cette réception. Et demain matin '} Demain matin, j'ai mon quatuor. Tu travailles trop, ma petite fille. Et c'est toi qui me le iepirches Mais toi aussi tu as travaillé toute ta vie. Ce n'est pas la même chose. Et moi j'ai travaillé pour que tu te reposes, et pas pour te voir ces joues creuses et cette mine chiffonnée.

Mais n'aimais-tu pas aussi le travail pour lui-même ? Je pense que c'est une des meilleures choses de la vie.

E1L; dit cela avec une gravité si triste 'que Chamerlat en fut louché et se reprocha ses soupçons.

Une des meilleures choses,- reprit-il'.

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Mademoiselle Rite, il faut avoir goûté à toutes pour connaître la meilleure. J'espère que la vie t'en réserve d'autres, et comme j'en serai heureux à mon tour

Rite sentit sa gorge se serrer. Elle fut sur le point de se confier, et puis elle imagina la surprise, l'indignation. Il ne comprendrait pas, elle le savait, il ne pardonnerait pas non plus, et la vie deviendrait une série de heurts continuels. Leur union familiale était fondée sur le silence, il 1 tllait avoir le courage de s'y enfermer. Chamerlat vit cet élan vers lui et le brusque îaidtssemeiit.

« \llons se dit-il, « Elle a quelque cimouiLlte en tète, et sa mère n'en soup(ontiL rien naturellement. Je saurai à quoi m en tenu, j'irai faire une exploration dans ce petit bureau, mais n'en ayons pas l'air » Et il se îclua sans insister.

Le lendemain, à l'heure où les harmonies romantiques du quatuor de Schumann réson Mutnt dans le saldn, Chamerlat monta dans la chambre de sa fille et entreprit une perquisition en règle. Il fut soulagé de ne trouver aucune correspondance. Le tiroir du bureau ne renfermait qu'un petit cahier bleu, format etolier, qu'il ouvrit sans vergogne. Il vit des dates; des lignes manuscrites

« Est-ce qu'elle écrirait son journal 1p. se dit-il « Ça existe encore ces machineslà ? Voilà qui sonne « coco par exemple. Mais en feuilletant les pages, il vit des coupures de journaux soigneusement collées, puis un portrait de femme la princesse Kochinesco par X. De plus en plus intrigué, il emporta le cahier dans son bureau et l'ouvrit à la première page.

Claude Cordés.

(A suivre)