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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1929-03-09

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 09 mars 1929

Description : 1929/03/09 (Numéro 68).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k295801s

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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I^a Musique j et la Pitié

Je viens de voir l'une et l'autre, réunies, à la prison de Fresnes, calme, immense, impeccable, silencieuse comme .-une petite ville de province, ou un cime-

tière:

La chapelle, vaste, claire, haute et blanche sur des gradins étagés, devant l'autel voilé que précèdent l'harmonium et la tribune, des centaines de cabines de bois, stalles et cellules tout ensemble, jumelées, dorit aucun des occupants ne peut apercevoir les autres. Dans chaque cabine, une tête d'homme, coiffée d'une cagoule de toile, semblant surgir d'une cangue. Mtitisme absolu. Anonymat. ÀutoUr de i'harmonium, quelques visiteurs et visiteuses se groupent, devant ces captifs amenés sans explication. •Un violon, un violoncelle, des partitions. En quelques phrases simples, un jeune homme donne le mot de l'énigme. ,̃« L'Equipe musicale des prisons » vient ̃ offrir un concert aux détenus. Elle se (compose d'artistes renommés qui, depuis deux- ans, ont entrepris cette bonne

oeuvre. et quittent tout, périodiquement,

'pour -Ja' continuer. Ils viennent en amis I dé ceux dont chaque jour de peine, accompli, refait des innocents. Ils ont, pour les toucher, confiance en la musique qui seule a le pouvoir d'aller au plus profond de l'illettré comme du raffiné et de remettre le plus aigri et le plus désespéré en présence du meilleur de lui-même, sachant qu'il n'est pas maudit et que des êtres nobles songent encore à lui. Ce que le jeune homme ne dit pas, c'est que ces êtres ont aussi leurs :angoisses et leurs chagrins, et que, le matin même de ce jour l'on m'a convié, une de ces musiciennes a perdu son père, et a voulu, bouleversée, quand' même venir.

J'observe les visages sans noms. Sur certains, l'hébétude, ou l'espoir d'un plaisir gratuit, d'une dérogation à la terrible monotonie des tâches et du silence infligé. Sur d'autres, scepticisme, défiance, honte et révolte. Ces étrangers qu'ils supposent célèbres, riches, heureux, sont^îîs venus dans la geôle ]wiir faire" pàratWaVcW humanitarisme Bourgeois dont on leur a appris à exécrer l'Hypocrisie, et leur imposer cette aumône, de fausse compassion qu'ils n'ont point demandée ̃ Les artistes ont prévu cette rébellion d'âmes farouches, c'est en partie pour la vaincre qu'ils sont venus.'

La musique 's'élève la plus belle, là plus pure, Haendel, Mozart, Beethoven, "(ïliïck, Marcello, ce que nous jugeons iê plus digne des meilleurs d'entré nous. Il lie s'agit pas d'une « distraction », mais d'un réconfort et d'une prière en çoimnùn, admirablement jouée ou chantée. La bonté s'est faite sonorité pour saturer l'atmosphère. Je ne cesse de considérer les faces, à la dérobée, dans chaque box de bois blanc. On a rassemblé au hasard, sans choix des conditions ni des fautes, des tâcherons ignares et des intellectuels, des égarés et des endurcis. A tous, que demandent les musiciens en échange de leur immatériel bienfait'? Ce qui, pour eux, sera sans prix des larmes, trésor laissé aux plus pauvres.

Et ils les donnent Les viSagës se aëtendent,7 les'- 'défiances s'èvarioùissërit", les nerfs frémissent, les sanglots se répriment' mat Le miracle s'affirme. J'ai' beau feindre l'indifférence, éviter de faire peser sur tel ou tel mon regard qui le scrute, il sent que je reviens à sa pâle ou dure figure; et plusieurs ramènent la cagoule sur leurs yeux, mais le tressaillement de la nuque ou de J'épaule m'avertit "̃: ils pleurent. Et d'autres n'hésitent pas à laisser voir leurs joues baignées. Sur cette s^rie de masques de chair, blêmes, imberbes ou déjà mûris, je lis les âmes apparues, lentement évadées du suaire du silence. évoquant le remords, les impressions d'enfance, la femme pour qui l'on a volé, la rixe qui a tout perdu, la résolution de ressaisir l'avenir au delà des grilles, ou la résignation in'compréhensive et bestiale, mais toujours, toujours, le re- merciement de cette douceur qui aura passé, la stupeur vague d'ignorer pourquoi elle a bien voulu descendre en rayon céleste dans ce jour d'hiver. La musique s'achève. Les gardiens font évacuer les cellules, dont les portes claquent, parodiant tristement l'applaudissement interdit: Les formes de bure brune aux loups de toile blanche disparaissent à pas feutrés. Une des musiciennes, au seuil qui les dérobe, met dans chacune des mains une petite image fleurie où il est écrit Des amis inconnus ont pensé à vous. » Et c'est •fini-: la graine bienfaisante peut-être

aermera.

̃ ̃ f

Nous avons traversé, dans la taciturne cité pénale, bien des préaux et des cours pour recommencer le concert au quartier des femmes. Elles ne sont point encellulées, elles vivent, et travaillent" ensemble, sous la surveillance des

sœurs hanches et bleues, auprès de 1 claires nurserys où les mères détenues e soignent -leurs enfants jusqu'à quatre ans et où tput est humainement prévu pour dissimuler l'idée de prison. Dans ` la chapelle des femmes, j'ai presque l'impression d'une église de village. Surdes bancs ces prostituées et ces voleuses assises coude à coude, avec leurs chaussons, leurs vêîeiiients gris, leurs fichus et leurs coiffes d'Où s'échappent parfois des cheveux gris et parfois de beaux cheveux d'or, soht dociles et quiètes. Je m'attache aussi à leurs visages rusés, obstinés ou atones de paysannes ou d'épave des rues. Une criminelle fameuse, dont on a épargné la tête, est devant moi, avec son petit masque aux yeux bruns, au sourire figé et impénétrable. Le chant s'élève, pathétique, le trio ou-1 vre à l'âme déchirée la lumière. Les femmes sont plus têtues ou plus accessibles que les hommes. Ici, clles s'abandonnent presque aussitôt et 'nulle, ne se cache de pleurer et de frémir, la musique émeut en elles le tréfonds mains jointes, fronts levés, ou quelques-unes lovées sur elles-mêmes en état de semihypnose, elles avouent l'obscur délice. Et je m'en suis allé vers la liberté et la vie^ le cœur1- un -peu grelottant. En | autorisant puis encourageant une telle plfre et une telle tentative, l'administration .pénitentiaire n'a pas seulement été ibuablement humaine elle a fait une bonne expérience sociale, un pas de plus vers le remplacement de la pri- j son qui châtie par la prison qui relève. Elle engage, à l'issue de chaque concert, les détenus à écrire aussitôt au directeur leurs impressions, signées ou non, et librement. On publiera sous peu un recueil de-ces lettres. Je les ai assez lues pour pouvoir dire qu'elles sont parfois admirables et irrésistiblement émouvantes, et toujours révélatrices d'un réveil des consciences et tout concert rend les fautes et les punitions de plus en plus rares.

Ne me demandez pas les noms de « l'Equipe musicale des prisons ». Ce sont des noms d'artistes de haut rang, que vous applaudissez depuis de longues années dans les concerts. Une d'entre. eux, femme au grand cœur, les a recrutés," organisés. Ils ne veulent pas être nommés. Ils s'en offenseraient. La chjcrité. de. leurs âmes a aussi son masque blanc; ils sont la Musique miséricordieuse qui passe, bénit et s'efface, ayant apaisé la douleur corrosive et la brûlante honte.

Camille Mauclair.

r~^r -<^s*K*i*-

UN PROCÈS LITTÉRAIRE I*es Lettres

de JVIallarmé à Zola

On la croyait définitivement tranchée cette question de la propriété des lettres missives, -par la jurisprudence. Une let- tre a somme toute deux propriétaires, celui qui l'a écrite et celui qui l'a reçue. Mais la question est éternelle sans cesse débattue, rebattue et cela chaque fois qu'on publie des lettres sans le double consentement de" l'auteur (ou de ses héri- tiers), et du destinataire.

On invoque tour à tour le droit des écrivains et celui du public, celui de l'His- toire.

.< Mv t-éon» Deft"ôùx a publié dans le Cenlentiire; diximaf lettres' de Stéphane Mal- larmé Emile Zola. Le gendre du poète et son exécuteur testamentaire, M. le docteur Bonniot, a assigné en référé M. Léon Deffoux et l'éditeur, M. Jacques Bernard, pour faire mettre l'ouvrage sous séquestre, car il n'a pas consenti à cette publication. L'affaire a été plaidée non pas à l'audience des référés, mais dans le cabinet de M. Watjtinne.

M. le 'bâtonnier Aubépin se présentait pour le docteur Bonniot. Les lettres de i Mallarmé ont été écrites à Emile Zola de 1874 à 1896. Elles n'étaient pas, disait M0 Aubépin, destinées -à la publication. C'étaient des lettres intimes que l'auteur de VAprès-ifiidi d'un faune, écrivait le soir, par' délassement, en fumant une cigarette. Au surplus, M. le docteur Bonniot n'a pas de raisons à donner. Il ne veut pas, lui, héritier, que ces lettres soient publiées. C'est son droit absolu, et cela suffit

''̃M* Maurice Garçon, au nom de M. Jacques Bernard, soutenait d'abord que les lettres ayant paru après la mort de Mallarmé, ses héritiers n'avaient sur elles aucun droit, celui-ci n'appartenant qu'à l'auteur vivant. Mais, ajoutait-il, pourquoi M. Bonniot s'opposerait-il à cette publication ? Il a autorisé le Mercure de France à publier des lettres de Mallarmé à Mistral, beaucoup plus intimes que celles adressées à Zola.

Jacques Mourier, pour M. Léon Deffoux, plaida à son tour que les lettres à Zola n'avaient aucun caractère privé. Elles ,n'avaient qu'un simple intérêt histprique, celui de montrer l'amitié de Mallarmé pour Zola et sou admiration le symbolisme ne rejetant pas le naturalisme. M. le président Wattinne u remis à huitaine le prononcé de son ordonnance. Georges Claretie.

En deuxième page: La trente-quatrième liste de souscription pour le monument du général Mangin.

La Sagesse #. de Genève

L'Assemblée de Genève a eu le bon sens de renvoyer la question des minorités à une autre session,

et dans des conditions qui réduisent le problème à de justes proportions. M. Stresemann lui-même, après avoir soutenu les théories les plus contestables, n'a pas insisté. Il a compris qu'il irait à un échec par esprit politique, il a préféré s'exposer aux critiques des pangermanistes plutôt qu'à une erreur de tactique.

Le problème des minorités risquait de se présenter dans des conditions un peu inquiétantes pour la cause de l'apaisement européen. En décembre dernier, à Lugano, M. Stresemann avait frappé la vtable du poing et annoncé son intention de saisir la Société des Nations de ses griefs. A Genève il a commencé par un exposé prudent dans la forme, mais en réalité fort d^-rgereux. Au fond de la thèse de M.:5;resemann, il, y a en effet tout ce qu'il faut pour troubler la nouvelle Europe. ̃ ^•Tous les orateurs qui ont pris part au débat, M. Zaleski, M. Titulesco, M Austen Chamberlain. M. Briand ont montré combien il serait périlleux de créer un état de polémique permanent entre ce qu'on appelle les minorités et les nations dont elles font partie. Ce serait instituer des controverses chroniques et provoquer des incidents, ce serait inviter tous les groupements exaltés ou manœuvres à er. appeler à. une espèce de juridiction d'apparence « supërnationale », ce serait pour certains prépaj rer de subversives demandes "cle revision des I traités. Le Pacte a déjà fait ce qui était possible pour des minorités, d'ailleurs définies. et la procédure existante est le résultat d'une concession accordée par les gouvernements intéressés.

Exception faite des journaux pangermanistes, la presse de tous les pays a compris l'intérêt de la solution qui vient d'être adoptée à Genève elle exprime partout son approbation. Nos confrères italiens, en particulier, ont fait à "ce; Sujet des remarques qui méritent d'être retenues Ils louent là réfutation de la thèse de M. Stresemann faite par. M. Briand. Ils observent que ta nature- des choses amène la France et l'Italie à défendre les mêmes idées à l'égard de certaines tendances allemandes. Malgré beaucoup d'efforts et beaucoup d'idéologies, la situation de l'Europe, comme le note un journal romain, n'a pas profondément changé depuis dix ans c'est ce qui fait que, s'il surgit un problème capital comme l'affaire des minorités, les positions diplomatiques sont aussitôt celles que commandent les intérêts permanents des nations dont l'union est la garantie de la paix. André Chaumeix.

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La Température

Probabilités pour aujourd'hui

Vent faible; àe-sùirést à Suit. "l '̃>-

Beau ciel nuageux.

Température en f aible hausse. •-•• ̃̃•

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Quelques chiffres. |* La direction de la statistique générale de la France communique le mouvement de la population dans les 90 départements pour l'année 1928. On y relève 339,014 mariages,'18,822 divorces, 745,315 naissances, 675,110 décès. En 1927, on comptait 741,708 naissances et 676,666 décès. Nous gagnons donc en naissances et nous perdons en décès. Tout va bien.

» » ̃"

Les travaux du lac Némi.

Les grands travaux d'assèchement dii lac Némi se poursuivent et on espère que la poupe de la première galère commencera à émerger vers le 25 mars. Si tout va bien, le 21 avril, anniversaire de la fondation de Rome, on compte qu'elle se trouvera à quatre pieds audessus de l'eau. On se garde néanmoins, de tout ,Drpnostic sur le contenu des fameuses villas flottantes de Caligùla. Pour Moment, la vase épaisse du lac Némi soustrait aux recherches des scaphandriers le secret de.s galères.

'11,«

Nos ennemis. Le sanglier, bête essentiellement prolifique et malfaisante, a exercé cet hiver, à la faveur du froid rigoureux, des dévastations exceptionnellement graves qui ontxtnotivé de légitimes doléances. Mais la lutte contre ce dangereux destructeur de la production agricole se complique du fait que le sanglier est considéré plutôt comme gibier que comme animal nuisible, si bien que tes règlements sur la chasse neprévoient aucune mesure vraiment efficace pour sa destruction.

Plusieurs députés des ferions intéressées vont donc proposer que soient pri-

LA POLITIQUE

Lu défense républicaine

Les professionnels de la défense républicaine et cartelliste veulent-ils, décidément, détruire le régime parlementaire ? Quel fourrier de dictature, en vingt-quatre heures, serait capable de lui faire plus de mal que les gauches vociférantes jeudi soir et hier après-midi ? Les communistes, en ce moment, se tiennent tranquilles. Les radicaux travaillent pour. eux.

Ne parlons pas de la séance du matin sur un des 133 amendements à la loi des loyers, faute de s'entendre, il a fallu interrompre le débat et renvoyer les textes à la commission. 'Cétte impuissance législative qui appelle d'urgence une réglementation nouvelle du droit d'amendement, du moins, n'est pas toute volontaire. Mais au début de l'après-midi les radicaux ont créé un furieux incident de procédure sur l'adoption du procès-verbal de la précédente séance, à propos du projet sur les congrégations. Le gouvernement a fait sien, on le sait, le texte sur lequel Maurice Barrès a écrit un rapport en 1923. La commission des affaires étrangères, délibérant sur cet iincien texte, a adopté un rapport provisoire de M. 5L Hécaud-i. L'Officiel annon-, çitit hier que ce rapport allait être imprimé. Scandale Infamie Procédé indigne. Il ne peut y avoir de rapport, puisque le texte du projet gouvernemental n'est pas connu! Peu importe que ce texte soit la copie de ce'ui sur lequel la commission a Jclibéri. î.c rappi.Fi de M. M-ircel Héraud ne- co..te j, .u'il a été rét" d'après des textes qui ne sortaient pas de l'Imprimerie ni.tio. '2.. Les radicaux so. t comme ces r.ts qi ne savent lire dans leur alphabet et pas dans celui des camarades. Ils ne veulent pas que le 'rapport Héraud soit imprimé. Il faut recomcncer l's éludes en commission, nomme/ un nouveau rapporteur, etc. «Quel maquis » s'est t M. Poincaré, que cepeniant n'effraient pas les subtilités de la procédure, mais que ces praticiens de l'obstruction ont résolu d'exaspérer et de lasser tour à tour. «Vous vous êtes promis de me renverser, a ajouté le chef du gouvernement mais vous avez donc bien peur de discuter au fond ces projets d'intérêt français ? »

Un devine les cris que poussèrent à ces mots les conjurés démasqués. Quels gestes indignés, quels élans, quels emportements concertés. Ils poursuivent l'échec de ces 'projets d'autorisation aux missionnaires" ~coiiïnïc"VU s'âgïssfi'Jt* de 'vengeances personnelles. Ils sont prêts à tout. Hier, ils ont nommé une sous-commission chargée de fabriquer les engins anliministériels. Ils vont embouteiller d'ici Pâques tous les'débats. S'ils 'n'arrivent pas à étrangler la loi sur les missions, dans les couloirs, ils présenteront sur chaque alinéa de chaque article des motions préjudicielles, des amendements, des demandes de scrutin public, etc. Tout le jeu que pratiquaient, dans la précédente législature, les partis révolutionnaires, le groupe radical, aidé des socialistes, prétend en user pour empoigner le pouvoir avant les élections municipales. Réussiront-ils ? Ce qui est sur, c'est qu'ils pratiquent la défense républicaine en ruinant le régime parlementaire. Ils bombardent la place qu'ils veulent reprendre.

Henri Vonoven.

ses les dispositions législatives ou administratives propres à remédier à une situation préjudiciable à nombre de cultivateurs.

Il semble que la construction de la première île flottante de la chaîne qui doit relier l'Amérique à l'Europe via les Acores, soit un fait presque accompli. Les plans sont faits, l'argent est là. On va commencer

Mais on ne sait comment l'appeler les Américains proposent seadrome, car sea en anglais veut dire mer. Les Espagnols pensent à marterreno. L'un et l'autre, peuvent se discuter. Thalassodrome serait correct, mais non élégant. Vous verrez qu'on trouvera, pour baptiser cet immense travail, une minuscule abréviation

INSTANTANÉ

''̃ MAURICE GENEVOIX

Cyrille

U v a vraiment un certain réconfort à enregistrer le beau départ vers le succès du nouveau et magnifique roman de Maurice Genevoix Cyrille. Tandis que trop d'auteurs, sous prétexte '• ;d'atteindr.e le> grand public e.t les forts tirages, font des concessions qui sont autant .d'Injures à la foule des lecteurs français, un grand écrivain peut poursuivre sa carrière paisiblement. Une belle œuvre, sobre, claire, émouvante, humaine, se suffit à elle-même. La preuve en eit- faite une fois de plus.

Vendredi dernier, à l'Opéra, Alceste électrisa la salle entière. Ce chef-d'œuvre unique était interprété- par des artistes de premier ordre et mis en scène avec un bonheur peut-être sans précédent. Si une troupe étrangère nous offrait un pareil ensemble, la critique crierait au prodige et l'on ferait un gala. Lundi prochain A Iceste. simple représentation nationale.

Un radio le Nauen vient d'annoncer qu'à l'occasion de l'exposition de Barcelone des navires allemands vont aller croiser sur la côte est de l'Andalousie

et jusqu'en Catalogne, afin de montrer leur pavillon dans les eaux barcelonaises et d'honorer, un gouvernement ami. Avons-nous moins, d'amitié pour la noble Espagne que n'en éprouvent les Allemands ? Transmettons au nlinistère 3e la marine le vœu qu'an nî^iis de mai, à Barcelone, le pavillon français ne.brille pas par son absence, mais soit largement et dignement représenté, lui aussi, au beau soleil de la Méditerranée, parmi les innombrables pavillons ̃ flottants sur la rade. ̃'

Le problème de la circulation.

Pour obliger les véhicules à pratiquer la circulation giratoire, M. Chiappé a fait édifier au milieu de la place du Châtelet une haute borne cylindrique, qui semble faite d'anneaux verts et blancs empilés les uns sur les autres.

Ce poteau de croquet géant intrigue: fort les passants, et beaucoup n'hésitent pas à se faufiler à travers les voitures pour aller l'examiner de près. On espère cependant que la curiosité de la population sera satisfaite avant qu'on n'ait eu, par la faute du- poteau, quelque accident à déplorer. Alors, mais alors seulement, il remplira parfaitement son office,

Mais d'ici là.

INSTANTANE

PHILIPPE ERLANGER `

ce Se Cygne rouge ù

10e édition

Une rigueur psychologique impitoyable, des mises en scènes audacieuses, parées d'un style étincelant, des situations très neuves dont l'intérêt ne faiblit jamais et comportant une leçon amèrement juste, sont les qualités qui valent à ce roman son éclatant succès. Elles promettent dès à présent à son auteur le plus billant avenir littéraire. Editions Argo.

L'Exposition actuelle des Toilettes Printanières et des Nouveautés de la Saison, au Boit Marché, marquera une date dans tes annales de l'élégance parisienne. Révélons quelques occasions sensationnelles de cette collection de haut goût une robe popeline de laine à 175 francs, un deux-pièces cashmyr fantaisie à 178 francs, un costume tailleur sur mesure à 380 francs, une délicieuse robe, crêpe de Chine imprimé à 250 fr., une blouse chemisier, toile de soie à 49 francs. Pour jeunes filles, un charmant deux-pièces jersey, 95 francs, une robe de lainage à 148 francs, un mantef|U draperie a 175 francs, etc., etc. v Le Masque de Fer.

AU JOUR LE JOUR

Le calendrier d'Ubu

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On tient de plus en plus à modifier c'est chambarder qu'il faudrait dire le calendrier grégorien. Les projets expédiés de Genève à tous les journaux, à toutes les revues, ont fini par séduire la Confédération Générale du Travail et elle vient de donner « un avis favorable pour la poursuite, par la Société des Nations, de l'étude relative à la réforme du calendrier ». Cela tourne à l'obsession. Il est en ce bas monde de singuliers personnages qui mourraient de chagrin s'ils ne pouvaient diviser le temps à leur fantaisie. Notre semaine a-t-elle sept jours, les uns la veulent augmenter, les autres diminuer. Problème. Problème teinté de politique afin de le rendre un peu plus confus. Serions-nous toujours au lendemain de la Révolution ? Qu'on se rappelle au moins la précédente et comique expérience de 93. Dans Je vieux calendrier, les saints prenaient la place au jour le jour, les rois et les fêtes religieuses tout de même. Quel toupet Si le Père Ubu, brandissant la, chandelle verte, avait pu jeter quelque clarté, dans ce problème, il eût tôt fait de dépêcher ce joli monde à la trappe Or, il y eut une sorte d'Ubu dans cette affaire, un Montagnard nommé Gilbert Romme. Ce citoyen pensait. Ses principes étaient déjà nivelés par la base. Un. jour que ce Romme (son prénom devait le dégoûter) assistait aux débats de la commission sur. la. nomenclature des jours, il s'écria

Le premier jour de la semaine du calendrier républicain sera celui des Epoux 1 Ce fut un beau tapage.

Tous les jours sont les jours des époux i hurla l'assemblée.

Sans plus attendre, le poète Fab're d'Eglantine fut prié de supprimer ces époux et de s'occuper avec calme de ladite nomenclature. Ma foi, le poète fit ce qu'il put. Il proposa Primedi, Duodi, Tridi, etc, comme l'eût fait n'importe quel danseur.

La discussion fut longue. Après les époux et Primedi, un malin préconisa des noms de légume. Chacun se flattait de savoir diviser 365, et même 366 chacun était convaincu que le pape Grégoire n'avait jamais su faire une opération si compliquée. Résultat le 2 septembre 1805, sur le rapport de Laplace, le gouvernement supprima le calendrier républicain sans diiffussion}

Gilbert Romme n'y -a rien compris. Robert Mirepoix.

1PI. Dumay et Pierre Bertrand sont inculpés d'escroquerie

̃ f

Sur la plainte de M. Boris, directeur de la « Lumière », M. Glard, juge d'instruction, a inculpé d'escroquerie et d'abus de confiance, M. Pierre Bertrand, rédacteur en chef du Quotidien, et M. Henry Dumay, ancien directeur du même journal. M. Pierre Bertrand sera défendu par M" Henry Torrès et Guespin, M. Henry Dumay, par M" Moro-Giafferri.

LA RÊVÙLVïïàN MEXICAINE

Le gouwnement fédéral l'emportera-t-il ?

On déclarait hier, à !a légation du Mexique à Londres, que le gouvernement fédéral mexicain avait localisé la. rébellion et que de forts contingents de troupes étaient en route pour réprimer le mouvement.

Dans les milieux .officiels mexicains de Londres, on envisage la situation avec confiance, à la suite de la prise de l'Etat de Vera'-Cruz par les forces gouvernementales. On estime que le mouvement sera réprimé à une date très rapprochée- Une dépêche de New-York, parvenue dans la soirée, signale que les dernières nouvelles reçues sont toujours des plus contradictoires. Il convient d'insister sur ce point. Se faire une opinion est bien difficile, à la lecture des télégrammes de différentes sources.

Alors que le gouvernement mexicain annonce que les troupes fédérales ont repris aux rebelles le port de Mazadlan et les bourgades environnantes, et que pour la première fois depuis cinq jours le port de Vera-Cruz a été ouvert à la circulation maritime- -normale, les dernières dépêches reçues de El Paso disent au contraire que les rebelles continuent à avoir le contrôle de la majorité des grandes villes voisines de la frontière américaine. Un télégramme de dernière heure dit, en effet, que les rebelles ont occupé Ciudad Juarez après cinq heures de combat et qu'un grand nombre de soldats fédéraux battent en retraite et se préparent à résister désespérément aux attaques des rebelles, qui auraient fait plusieurs centaines d; soldats fédéraux prisonniers à Ciudad Juarez.

Les journalistes américains qui se trouvaient à Ciudad Juarez sont rentrés à El Paso, et avec eux un grand nombre de familles américaines il paraîtrait que les rues commerçantes de la ville sont remplies de cadavres et de blessés.

Plusieurs projectiles sont déjà tombés en territoire américain, mais les rebelles affirment qu'il s'agit là d'une ruse des chefs fédéraux, afin de provoquer l'intervention des Etats-Unis en leur faveur.

Les liaisons aériennes transmédirerranéennes

Entretiens îraheo-italiens;

M. Laurent-Eynac, ministre de l'air, â quitté Paris hier soir, se rendant à Turin, où il doit rencontrer M. Balbo, sous-secrétaire d'Etat de l'aéronautique italienne. Les conversations entre les deux ministres ont pour objet l'élaboration d'un accord franco-italien concernant rétablissement des lignes aériennes transméditerranéennes. Une collaboration intime des deux pays est nécessaire pour la bonne exploitation des liaisons vers l'Afrique orientale et vers l'Orient.

.I,a gare principale de liaison serait à Turin.

M. Laurent-Eynac est accompagné dans son voyage par le général PiCcio, attaché de l'Air italien, le colonel Duseigneur, le lieutenant de vaisseau Pecqueur, officier d'ordonnance, ainsi que par M. Camerman, directeur de l'aéronautique marrchande, et M. Porquet.

S. Exe. le comte Manzohi, ambassadeur d'Italie, est venu saluer, au moment de son départ, M. Laurent-Eynac qui doit être de retour lundi. ̃̃̃'̃

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lies Loyers

ha protection de l'épargne

Discutant la trentième loi sur les loyers, la Chambre en était restée, jeudi matin, à l'étude d'un amendement de M. Fougère qui ne tendait à rien de moins qu'à modifier de fond en comble le projet de délibération.

Que voulait, en résumé, M. Fougère ? 2 Etablir « un plafond correspondant au coefficient 4 et maintenir ce coefficient pendant une durée suffisante pour que les locataires puissent s'adapter à l'état actuel des choses ».

Nous croyons utile d'éclairer un peu ce texte les loyers seraient augmentés de telle sorte qu'un appartement de 1.000 francs en 1914 coûterait demain 4.000 de location. Ceci entendu, en 1931, les loyers de 6.000 et au-dessus .seraient rendus à la liberté en 1932, ceux de 5.000 deviendraient libres en 1933, ceux de 4.000, etc., etc.

Avec ce système, déclare M. Fougère, on ne risquerait pas de voir brusquement jeter à la rue un grand nombre de loéataires.

Il a prévu, de surcroit, des majorations annuelles de 15 0/0 (au lieu de 10 0/0 que propose la commission), jusqu'au moment serait atteint le coefficient 5, c'est-à-dire au moment où il n'y aurait plus aucun péril à décréter le retour général au droit commun.

L'amendement de M. Fougère, modifié dans la, nuit de- jeudi à vendredi, n'avait pas été, dans son texte définitif, soumis à la commission de. législation civile. Ce détail de procédure provoqua un débat assez vif et une intervention du garde des sceaux qui déclara,. au nom du gouvernement, ne pas donner son adhési-ui au texte proposé pour plusieurs raisons dont la principale est qu il porterait trop haut les prix de location.

De son côté. M. Cautru, qui avait signé l'amendement Fougère, le défendit avec véhémence

Si l'on ne veut plus avoir à voter de nouvelle loi sur les loyers, dit-il, il faut accepter nos propositions.

Il demanda le renvoi de l'amendement


à la commission, renvoi que n'accepta pas le rapporteur. On dut voter par 289 voix contre 206 le renvoi fut ordonné. Cet incident, qui remet tout en cause, permet de penser qu'il est maintenant fort peu probable que la nouvellle loi sur les loyers puisse être promulguée avant le 1" avril. S'il en est ainsi et si l'on considère que le Parlement, en 'raison des élections municipales, ne siégera pas pendant les mois d' avril et de mai.

v-w ;;̃•̃̃ >&̃.̃:̃̃.

tin autre incident de procédure bouleversa la Chambre au début de l'aprèsïriidi,. On devait discuter les interpellations sur la protection de l'épargne», mais, auparavant, et comme d'usage, un secré- taire donna lecture, ou feignit de donner lecture du procès-verbal de la précédente

séance. ̃ ̃••

C'est alors que M.. Daliuiier prenant la "p%Tà\c, s'étonna que des rapports aient pu être déposés la veille au soir. au nom des (commissions; de l'administration générale êt des affaires étrangères, comme le signalait le Journal officiel, alors que les pro. jets de; loi avaient été déposés en cours de séance.

M. FlflndJn, qui présidait, déclara que cette façon de faire était conforme à tous les précédents, mais il lie convainquit personne, et le débat prit une forme si aiguë que l'on entendit M- Poinçaré s'écrier au .milieu du vacarme »

pb i messieurs quel maquis t Et il ajouta dans les protestations Si personne n'a peur du début au fond, pourquoi emploic-t-on tant de moyens pour l'esquiver ? Le président de la commission des affaires extérieures a donné i'ésppir au gouvernement que cette eortunission serait réunie mardi. Comme la ration de la discussion doit précisément avoir lieu mardi, chacun pourra, à ce nio. hjfent, 'prendre ses positions. Le gouverne. îiient engagera sa responsabilité. Il ne {iomprenij d'ailleurs pas qu'une question (IM cette nature et de cette importance française «oit l'objet d'expédients qui peu. vent faire croire qu'on ne veut pas la dis» etiter au fond.

Et le débat s'anima davantage. M. Marcel TïèraucJ, rapporteur provisoire, tenta «d'expliquer la situation ». Ses arguments se perdiretit dans le tumulte, et le prési- dât dut suspendre la séance.

."i'appj-obâHon du procèstyécpaî ,ne lut jîas :votée fait extrêmement rare. L'incidçnt peut avoir pour conséquence de jétard;^ nouveau le débat, sur les congregations missionnaires. Comme oii le voit, tous les procédés d'obstruction sont bons pour lés partis de gauche.

;3

,j ,.̃ .;̃

À ta réprise de la séance, le sùeiàlîsle Ghastanet prit la parole pour « défendre l'épargne». L'ancien collaborateur de la Gazette du Franc, celui qui n'a point hésité ̃ à écrire: « mon maître Anquetil», éleva une longue protestation contre la facilité savec laquelle les pilleurs de l'épargne se livrent a leurs méfaits.

Rien n'était original dans l'interminable discours de ce socialiste. Ses meilleurs arguments, il les a empruntés à ce journal même ou à l'Ami du Peuple. Un passage de son discours est cependant à retenir, celui où reprenant une question que nous posons depuis deux mois, il demanda au gouvernement de lui dire qui avait fourni à Mme Hanau les premiers millions nécessaires à son entreprise d'escroquerie •.> J'ai invité le procureur général, lui répondit le garde des sceaux, à rechercher ce mystérieux personnage ou ce mystérieux groupement. Je pense qu'il ne tardera pas à me le faire connaître.

Retenons cette déclaration et marquons ce jour d'une pi«;i*re: bl.an.che. Mais ne re- gardons pas ̃̃jçettP l'èvéïation comme devant nous être faîte demain, ni même après-demain. w

M. Fernand Engerand, deuxième jntorpellateur, fit une critique sévère de la loi dii'l" juillet 1901 sur les associations à but désintéressé; loi qui permet trop souvent d'échapper aux prescriptions de la loi sur les sociétés, de couvrir des manœuvres qui frisent l'abus de confiance et de favoriser des campagnes de diffamation. L'orateur s'éleva contre les lenteurs de la justice en matière d'escroqueries, et il cita ce curieux exemple pendant une information un inculpé n'a-t-il pas trouvé' le temps de divorcer et d'épouser une autre femme dont la dot a servi à désintéresser son plaignant "?

Contre le front unique du chantage et de l'escroquerie, conclut M. Engerand, je souhaite que s'organise bien vite le front unique parlementaire. L'union de tous se.rait bienfaisante.

Au nom du groupe des démocrates, M. Pèzet prononça ces mots

Les jours de fièvre et d'indignation sont loin Cette fois encore, la justice consentira-t-elle à dériver le courroux populaire et à épargner certains inculpés ? 2 Nous lie voulons pas croire qu'une telle affaire finira par le légendaire tout s'arrange

J'ai dit au Sénat et Je! dis à la Chambre, répondit M. Bàrïhqu, que je n'ai rien à craindre de la Gazette du Franc. La justice accomplira tout son devoir. Aucun parlementaire n'est mêlé à cette affaire. Si on, prétend le contraire, qu'on donne des noms

"M. Pezet regretta que le gouvernement ne soit pas intervenu plus tôt dans les entreprises Hanau. Il estima que les moyens de la section financière du parquet devraient être renforcés et que le parquet devrait pouvoir poursuivre même, quand les plaintes sont retirées.

Il, importe de sévir, dit-il en terminant, de sévir contre tous les agioteurs, sans souci de gêner la liberté économique car, derrière ces fléaux, il y a des larmes et du sang. n faut s'en souvenir en légiférant.

D'autres interpellateurs parleront vendredi prochain.

..4ÇSJ3k. EST JL*^=L

L'assemblée générale annuelle du Syndicat central des agriculteurs de France se tiendra le mardi 19 mars, à 10 hçures du matin, 40, rue du Louvre, à Paris.

?£' Devant ,1e succès considérable remporte, hier, à l'Université des Annales par la double conférence de Albert Sarraut et-de M; Pierre Benoît, sur la question du Pacifique, question pleine d'interrogations et de drames, bien palpitante pour l'avenir des peuples et de la France, l'Université a obtenu que cette leçon prophétique, d'une si haute portée et d'un intérêt souligné par les applaudissements enthousiastes du public, soit répétée le vendredi 22 mars, à 5 heures, par M. Albert Sarritùt et M. Pierre Benoit. Elle ne sera publiée qu'ensuite dans Conferencia. On peut retenir ses places de suite par téléphone Trudaine 0-60.

J* L'inauguration de la 4* Exposition dii< meilleur Artisan de France aura lieu à 15 heures, au Grand Palais (entrée rue Jean-Goujon).

Cette exposition restera ouverte au public jusqu'au 31 mars inclus.

| Four le Monument du général Mangîn

Trente -quatrième liste de souscription

Souscription^ recueillies par le Sous-Comité du Finistère (6° envoi)

M. le docteur Auregan. 20 » Cercle Naval de Brest 50 » Elèves commissaires de la Ma-

rine 100 » 3VI. l'enseigne de vaisseau

Boucher ̃• 5 » M. le général du Ifretay 100 » M. le commandant de Penfen- ̃ tenyo. de Kervereguen. 100 » M. le capitaine de vaisseau Paque i -r ;J0 ? ;<> Mme Le Tellier 50 » Mme Bobilîard Si) » Mme de La Sablière 50 » Mme la vicomtessej.de Jacque-

lot 10 » Mlle du Vergjer 30 » Mlle Hardouin 10 » Mme Ansquer 10 » M. le colonel et Mme Regard. 20 » M. et Mme Moreau de Lizo-

rçux 10 0 » M. le commandant et Mme Pa-

villon 10 » Mme de Iverallain » 25 » Mme Le Mob)e 5 » Mlle de La Subliore » M. le vicomte et Mme la vl»

comtesse de Ppuipery 5 » Mme la baronne de Turgy.. 5 » M; le général et Mme Chapluin 50 » M. le lieutenant et Mme la vi-

comtesse Le Boutellier 10 » Mme Chausse 10 » M. le- vicomte et Mme la vi-

comtesse de Jacqueiot 10 » M. Je commandant et Mme

Marchand 20 » M. le commandant et Mme

Duinont 20 » M. le vicomte et Mme la vi-

comtesse de Parscau 20 »

Mme Jaquer 10 »

M. le capitaine et Mme Nujan. 20 » Mlle Gaude 10 » M. le., capitaine et Mnw la ba- i

ronne.d^Honiiicthun 10- i I M.le capitaine ut'-MnïeO'Norhe 10 » Mme Malherbe de ta Bbuexière 10 » | Mme de Chfibre 5 » M. vl Mme de La Villegle, 10 » M. le capitaine et Mme Lan-

gery .1. 10 » M. Genêt, ingénieur 20 » M. le docteur Chauvel 20 » M. le comte et Mme la com-

tesse de Manol 50 » M. et Mme de Couesnongle.. 10 t> M. et Mme de Malherbe 20 •» M. Foui-dain 10 » M. le général et Mme la vicom- tesse de KervenoaCl 100 > Souscriptions recueillies par

le Sous-Comité du Finistére

(7° envoi)

M. le capitaine de vaisseau

Crespit) 20 s' M. Crosnier 20 » M. le commandant Radenac. 10 » M. Blanc a » Souscriptions anonymes re-

çues par M. Broulet 60 »

Mme Broulet 5 »

M. Gele-Abalan 20 » M. le contre-amiral de Boi-

.san~er 100 s. .Mlles de Boisanger En sou- venir de leurs deux frères <̃̃̃ .mort(i pour \tt France. V '̃̃'• W) » M. Je.docteui- CaséeJ* .> ̃ 25 » M., le cjipitjiine Piot. ,i 25 » M. des Déserts, conseiller gé- >v !nf»br>ii. néral 20 » Mme des Déserts En souve-

nir de son fils mort pour la

France 25 ̃» M. Emile Kervella » Mme la comtesse du Rusquec 20 » Mme la vicomtesse de Lesguem 100 » M. et Mme1 Goulin En souve-

nir d'un frère ",0 3>

if. Villiers, ancien sénateur

du Finistère 20 s> M. l'enseigne de vaisseau

Breart de Boisanger 30 r> En souvenir du capitaine

Henri de Boisanger :>0 » M. et Mme de Couttarel 50 » M. Leroux 5 » M. Thomas, maire de Plou- gastel-Daoulas 10 » M. Joseph Le Gall 10 » En souvenir du capitaine Tanguy 5 s> M. Michel de Boisanger 10 » M. André de Boisanger, élève

à l'Ecole spéciale militaire J0 » M. le lieutenant-colonel Bon-

nin, intendant militaire 20 » M. André Derrieii 5 » M. Sauveur Fauchoa, officier

mécanicien en retraite 5 s Un ancien combattant de

Mangiri 5

Mme la yicôintessq de Cuver-

ville 20 » Un ancien Gabonnais 5 » M. Léon de La Menardière.. 50 » Mine Dupouey 25 » M. R. de La Menardière. 25 » M. Caradec 20 » M. de Bonneville 10 » M. Lemeur 10 » M. Rochemuler 5 » Anonynre 5 » Total de la 34e liste. 2.200 » Listes précédentes 360.259 50

Total général 362.459 50 Erratum. Tout le début de la 33e liste, jusqu'à « Souscriptions recueillies par le Sous-Comité du Finistère. (5° envoi) », constitue le 4" envoi de ce même Comité. Nota. D'accord avec le Comité pour l'érection d'un monument au général Manain, la souscription ouverte dans le Figaro, le Gaulois et l'Ami du Peuple sera définitivement close le 25 mars.

Les personnes qui resteraient désireuses de souscrire après cette date devront donc adresser leuf souscription directement à Mme la comtesse de LacombeMaury, secrétaire générale du Comité, 18, rue Louis-pavid, à Paris (16°). Les dons qui nous parviendraient après le 25 mars seront remis par nous au Comité, mais nous aurons le regret de ne pouvoir les publier dans nos colonnes.

WAGONS-LITS

Le « Gothard-Pullmann-Express », train de luxe composé de voitures-salons de Dremière et de deuxième classe, sera remis en marche à partir du 15 mars.

En correspondance avec les trains de nuit venant de Londres (via Ostende ou Calais) et de Paris, le « Golhard-PullmanExpress quittera Bâle à 7 h. 10 pour arriver à Milan à 13 h. 55. Dans l'autre sens, le « Gothard-Pullman-Express » partira de Milan à 16 h. 10 pour être à Bâle à 22 h. 44, avant le départ des trains de nuit pour Londres (via Ostende ou Calais) et Paris.

Billet du Matîn

Le mois dernier, dans une charmante chronique, Mme Marie-Louiâe Pailleron écrivait « A force de penser au vase de Soissons, nous en sommes venus à nous demander comment sont faits aujourd'hui les livres scolaires. Est-il bien vrai le bruit en est venu jusqu'à nous que l'anecdote en est bannie. » C'est bien vrai» PU plus exactement certaines anecdotes en sont bannies. Dans le dernier numéro de l'Intei-7.médiaire des Chercheurs et 'Curieux, M. Gaston Prinet donne tout le passage ayant trait aux deux fameux coups de hache, selon ÏHistoria Francorûm de Grégoire de Tours. Retenons ces quelques lignes. Rémi, évêque de Reims,, avait réclamé le vase à Clovis, et le roi avait promis de le lui ren^dre

« Eh arrivant à Soissons, le' roi fit déposer toute la charge du butin au milieu des soldats, et dit « Je vous prie, mes braves » guerriers, de vouloir bien m'accorder, 3> outre ma part, au moins le vase que » voilà ». Les plus sensés répondirent « Glorieux roi, tout ce que nous voyons ici » est à toi. » Mais un des soldats. homme léger, jaloux et emporté, se récria d'une voix forte, leva sa hache à deux tranchants, et frappa le vase 'en disant « Tu n'auras » rien de tout cela que ce qui te sera vra.i» ment donné par le sort ». Un,an s'étant passé, Clovis fit assembler toutes ses bandes, en appareil militaire, à la revue du mois de mars. Comme il s'apprêtait à faire ie tour des rangs, il vint à celui qui avait frappé le vase et lui dit « Nul autre n'a » d'armes aussi mal tenues -que les tiennes: » ta lance, ton épée, ta hachée; rien de tout » cela n'est bien ».. Saisit-on pourquoi cette anecdote ne se trouve pas dans certains manuels ? On tient évidemment à ce que les enfants ne sachent plus très bien ce qu'est un mauvais soldat et, ignorent ce qu'an entend dans toutes les armées du monde, et depuis toujours, par* hiérarchie et discipline.. v Artigny.

Le général Normand se tue accidentellement

Le général Robert Normand, directeur du génie au ministère de la guerre, a trouvé la mort jeudi soir, au cours d'un dramatique accident.

Chaque soir le général prenait le train à la gare du Pont-Mirabeau, pour se rendre à Versailles il habitait 2, rue de Noailles. Jeudi soir, il arrivait à la station à 7 heures et demi, au moment le train se mettait en marche. Il crut pouvoir pénétrer quand même dans un wagon. et s'élança sur le marchepied d'irne <ip.s voitures. Avant mal calculé son élan, et la vitesse du train étant déjà trop grande, il ne réussit pas à ouvrir h\ porlière. glissa, el finalement fut projeté sur le sol avec une grande violence. Les témoins dé cette scène 'dramatique se précipitèrent aussitôt et relevèrent le général qu'on transporta à l'infirmerie de la gare où. malgré les soins empressés qui'lui' furent- prodigues- il- tardaït pas à succomber. Le corps fut: transporté à l'hôpital Boupicaut, ̃:̃:̃>̃

1 p ̃

Le général de division Normand était directeur du génie au ministère de la guerre et commandeur de la Légion d'honneur. Il avait 55 ans. Il avait eu une carrière des mieux remplies, tant en France qu'aux colonies. 11 s'était distingué pendant la guerre, notamment en 1918, comme commandant du génie d'un corps de cavalerie. Après la guerre, il servit au Levant, y commanda des coloniaux pendant la période insurrectionnelle et prit même part aux travaux archéologiques entrepris dans cette région si riche en souvenirs du passé.

Avant d'être appelé au poste important qu'il occupait au ministère de la guerre, il commandait l'Ecole militaire du génie à Versailles. Pénétré de la nécessite d'organiser défensivement la frontière, il avait publié, ces dernières années, de nombreux articles sur la question.

Les Etudiants à l'Opéra

De la rue de Bûcherie au métro « Vavin », sur ce parcours jalonné par la maison des Etudiants. la Sorbonne, les grandes écoles. et les grandes brasseries,, il n'était question, depuis quinze jours, que du bal masqué de la Mi-Carème. Et, aujourd'hui, on continue d'en parler, non plus pour dresser des plans, mais pour enregistrer des résultats qui furent excellents. ̃̃̃

Du bal lui-même, simple prétexte à une recette, éminemment utile à la Caisse des Etudiants, que dire si ce n'est qu'il se déroula dans le cadre prestigieux de l'Opéra, avec un programme qui promettait beaucoup et qui donna davantage ? '?

Toutefois, on pense bien que la présence accoutumée des « Vedettes » de la scène et de leur spiritue: régisseur Saint-Granier, les danses classiques du personnel de l'Opéra, le cortège historique ne Constituaient pas un spectacle rare, non plus que le concours aimable, mais un peu défraîchi de miss Europe, et de miss France. Tolit cela n'eut pas suffi à galvaniser l'assistance et à différencier ce bal de ceux qui, au cours de l'hiver, l'ont précédé, à

l'Opéra.

Fort heureusement le Quartier Latin était là; ses chars cocasses, ainsi qu'une fantaisie humoristique- des Centraux, provoquèrent la vraie gaîté, par leur entrain, par l'originalité de leurs travestissements, les étudiants firent luire l'étincelle qui manquait, communiquant à la fête mi •mouvement, une chaleur, une vie intense\'qui n'allait prendre fin qu'au lever, de l'aurore. Au vrai, ce fut le triomphe de la rive gauche contre la i'ivé droite.

De nouveaux autobus et tramways

La sous-commission du matériel du Comité consultatif des transports vient de prendre quelques décisions qui feront plaisir aux Parisiens quand elles seront mises en application ."̃"•'̃ Elle a, en effet, admis le principe de la construction "de cent autobus nouveaux du dernier modèle; elle a invité, en outre, la T. C. R. P. à étudier et à mettre au point un nouveau type de voitures pouvant contenir 42 voyageurs, ainsi qu'un autre modèle plus réduit destiné à desservir les localités de la banlieue. Enfin, elle a voté la construction de 100 motrices de tramways destinées a remplacer une partie du matériel usagé. s ..1

LE MONDE ET LA VILLE

~t, 1

M$rt> de la princesse

Çqbriel de J}qurbon~3)euxSici/es pn télégramme, '4.6 Cannes nous annonce la mort, survenue en cette ville, de S. A. R. la princesse Gabriel de Bourbon Deux-Siciles, qui a succombe, à Tâge de vingt-sept ans. Fille aînée du prince Gzartoryski et de la princesse Czaitoryska, elle avait épousé à Paris, le 27 août 1927, le prince Gabriel de Bourbon Deux-Siciles, le plus jeupe fils de LL. AA. RR. MgE le, comte et Mme la comtesse de Caserta, qu'un deuil cruel vient frapper, la veille du jour où-doit -être célébré, dans l'intimité, au patais rdyal de( Madrid, le mariage de leur neveu, le comte "Jeà'rr Zàmo'yski, avec S. A; R. l'infante JsabellerAlph.onsinfi d'Espagne. D'origine polonaise, la jeune princesse "Marguerite était très çôji'nue et très aimée dans les milieux aristo.cratiques de la Côte d'Azur. Elle avait mis au monde un (prince, il a deux mois.

̃̃ .t-^ ̃ «

RENSEIGNEMENTS MONDAINS

5 Après un. séjour à Paris, Mme la duchesse de Guise est partie pour Madrid.

Musique ,ce soir, dans l'intimité, chez le comte et la comtesse Etienne de J3eauinont. Le comte Henning Wachtineister; gentilhomme de. la^çhambie du roi de Suède, est arrivé à Paris, venant de la Côte d'Azur, pour passer quelques jours chez son fils, le comte Welam i.Wachtmeister, attaché militaire adjoint à la légation de Suède.

La comtesse Wachtrneister et sa fille, la comtesse LoVvenhïelrn, prolongent leur séjour à Menton.'

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Mme J.eaÀ Mestre, belle-fille de notre

érninent collabo; ateur, M, Achille Mestre, a mis heureusement au monde une fille, Marie. 6 La vicomtesse Jean de Gaillard de la Valdène.a heureusement mis au monde une fille,

Juliette, if;i5 :,I: \'A.

̃- .MmeRoger'HaiÉét', Aé(3;HélèiW de Mar-: èfeeria, a^heiireusërneht: mis un fils

cjûi a réçiï'îé prénom de Patrick. ̃ •'

~~i,aiè~{i'~e'i)t~p,oitI,dehtrY¡¿:

MARIAGES '̃' ,̃̃'̃ ̃& C'est en l'église Saint-Louis des Invalides qu'au: lieu, lundi 11 mars, à midi précis, le mariage de Mlle Fabienne Deforge-Bernadotte avec M. Juïien-Jean Dessaint, ancien interne lauréat des hôpitaux de Paris, chef d'anatomie à la Faculté de médecine, chevalier de la Légion d-'honneur.

M. Jeanniri-Naltet, vice-président de la Chambre de 'commerce de Chalon-sur-Saône, èt madame, née Tommy-Mart in, nous prient de faire part deg^nançailles de leur fille, Suzanne, avec le marquis de la Maisonneuve. fils du capitaine de vaisseau, décédé, et de la marquise, née Hériot 'Vroïl.. :'̃̃̃'̃

Le mariage de Mlle Ghislaine Rater avec M; Jean Baguenault de Viéville, lieutenant au f chasseurs, vient, d'être célébré le mardi 5 mars, en la cathédrale d'Evreux, au milieu d'une nombreuse et élégante assistance. 'Les témoins étaient, pour la mariée M. Berlin et M. Roger Drion pour le marié M. A. Baguenault de Yiéville et le colonel

;S,a,got. ̃

Nous apprenons les fiançailles' de1 Mlle j Suzanne Legrand, fille de '-M. Emm. Legrand et de madame, née Leullier, avec M. Jérôme Richer, ingénieur I. E. N., fils de M. 'Léon Richer, décédé, et de madame, née Chabert.

PEVlh

Les obsèques de la princesse Alexandre de Caraman-Chimay, née princesse Bassaraba de Brancovan, ont été célébrées hier, en l'église Saint-Honoré d'Eylau, au milieu d'une très nombreuse assistance.

La levée du corps a été faite par le chanoine Labourt, curé de la paroisse, et l'ab- soute a été donnée par l'abbé Chevrot. premier vicaire/-

Les tentures mortuaires étaient relevées par ies armoiries conjuguées des familles de Caraman-Chimày"et Bassaraba de Brancoi'an. Le deuil .était représenté par le prince Alexandre de Çaraman-Chimay, mari de la défunte le prince Marc de Caraman-Chimay, son fils le prince de Chimay, le comte de Noailles et le général baron de Tinan, ses beaux-frères le comte Anne-Jules de Noailles, le prince Jean de Caraman-Chimay, M. Georges de Cocq, le duc de Gramont, le comte Robert d'Harcourt, le prince Casimir Poniatowski, le prince Philippe de Caraman-Chimay, le comte Georges Moniescmiôu-fézensac, iè" oo^mte Raoul de Montesquîou-Fézensac, le comte 'Gaston de Montesquiou-Fézensac, le comte Arnaud de 3îîontesquiou-Fézensac et M. Constantin Photiadès, ses neveux et cousins.

'Du côté des dames par la comtesse de Noailles, sa sœur la princesse de Chimay, la comtesse Greffulhé, la comtesse Ghislaine de Càraman-Chimay et la générale baronne de Tinan, ses belles-sœurs la comtesse AnneJiiles de Noailles, la princesse Alphonse de Chimay, la princesse. Jean de Caraman-Chimay, la duchesse de Gramont, la comtesse Robert d'Harcourt; la princesse Georges Bibesco, la princesse Çasjrnir Poniatowska, la princesse Philippe de Caraman-Chimay, la comtesse Raoul de Montesquiou-Fézensac et 1a comtesse Gaston de .Montesqutou-Fézeusac, ses nièces et cousines.

Dans l'assistance: "•̃"

S. A. R. la .princesse Georges de Grèce, M. le maréchal et Mme la maréchale Lyautey, IX. Exc. le baron de Gaiffier d'Hestroy, ambassadeur de Belgique M. Diamandy, ministre de Roumanie général du Bois, attaché militaire de Belgique duc et duchesse de Noailles, duc de Dpudeauville, duc et duchesse de Bisaccia. duchesse de Maillé douai- rière, duc de Luyues, due et duchesse de Lévis- Mjrepoix, princesse Lucien Murât, princesse Amédee de Brbglic, comte et comtesse de 'IJialjrilhuh,. duc et duchesse de Duras, due et duchesse de Dalmatic. duchesse de Mornj-, duc ci duchesse Pozzo di Borgo, mar-quis et marquise de l'Aigle, marquise de Ïalleyrand-Périgord, prince et princesse Robert de Broglie, |nfui"truis et "marquise" de 'Pbmëreii,- marquis et Iharqiiise de Saint-Sauveur, prince et princesse E.-G, de Croy, S. A. le prince Samad Khan, comte et comtesse Gaston de La liochefoucauld, princesse Marguerite de Broglie, princesse E. d'Arenberg, princesse Etienne Galitzine, princesse de Wagram, princesse Anne Galitzine, prince et princesse Octave de Broglie, marquise de Massa, duc de Morny, M. et Mine Henri de fiegnier, duc et duchesse de Broglie, comte Gabriel de La Kochefoucauld, prince Gérard de Faucigny-Lucinge, prince Dominique Radziwill, princesse Ghika, née princesse Bibesco, Drineesse Albert de Broglie, princesse de La Tour d'Auvergne douairière, duc de Fézensac, princesse Biiesco, M. Abel Hermant, prince et princesse Vogoridy, princesse Gortchâcolï, princesse Jeanne Bibesco, j prince et princesse Gérôme Murât, princesse Catherine Bineseo, princesse de Ligne, née La Rochefoucauld; ¡

Princesse Ed-. >de Polignac, prince et princesse Philippe. Bibcscoe comtesse Adhé-au me de

Chevigné, comte et comtesse Stanislas de Casteliane, marquis et marquise de Mareseot, comte et comtesse Jacques de La Rochefoucauld, marquis ef marquise de la Tour du Pin, ̃ comtesse, Jean de Montebello. marquis et marquise de Noailles, duc et duchesse de Maillé, prince et princesse Humbert de -Faucigny-Lueinge, comte et comtesse de Praeomtal, marquis et marquise de Mun; M. et Mme Paul Morand, vicomte et vicomtesse J. Rotier de Coun\y, S. E,xe..le ministre. diiv.Pérpu et. Mme Corne jb, M, et: Mme Francis àe:iGroi|sct, comte de Lasteyrie.

Prince Rodolphe de Faucigny, duc et duchesse d'Ayen, vicomte et vicomtesse Obert de Thieusies, professeur Fourneau, de l'Institut Pasteur, marquis et marquise de Lahorde, marquis–de Maussabré, cumte «t comtesse Etienne de Beaumont, vicomte et vicomtesse de-Koeheçhouart, M. et Mme Forain, AJ, André Chaumeix, prince et prïncesse R, de FaucignyUieinge, M. Olivier Tuigny, coitite et comtesse

F, de T''lontesquiou-Pézen5ac,*cdmtessé Margue-

rite Miin, marquis et marquise de Lambcrtye-Gerbeviller, oomtosse de Boigne, Mj et Mina Jean Rostand, marquise Louis de Montebello, M. et Mme Pierre Sardou, baron et baronne Edouard de Barante, Mme, Paul Dûpuy, M. et Mine Xapoléon Màgpe, baron et baronne Robert de Rothschild, comte et comtesse Allard du Ghollet, comtesse Louis de Montesquiou-Fézensac, M. et Mme de Coudekerque-Lambrecht, comte et comtesse de Savigny de Moncorps, comte et comtesse de Rostiing, Mme Péguy, général de La Vlllestreux, comte et co.ntesse de Viel-Castel, Mme Legroud, née de Fournès, Vicomtesse' de Petiteville, baron et baronne Ernest Seillière, M. Lucien Corpechot. Marqujsc de Laborde douairière, marquis de Saint-Péricr, marquis et marquise de Montferrier, comte et comtesse Ph. de Ségur, M. et Mme Nicolas Xantho, M. et Mme M, Cantacuzène, née Bibesco, Mme Alexandre Falcoyano, Mme Hochon, Mme Alphonse Daudet, "M. et Mme Robert Chauvelot, général de Brnntes, M. Lucien Daudet, M. et Mme E. Grosclaude, M. et Mme Renault de la Templèriè, M. Gaston Rageot, comte de Germiny, M. et Mme Georges Kolin, comte et comtesse: E, de Nalèche, M. et Mme Watel Dehaynin, comte et comtesse d'Hareourt, comte et comtesse Jean Pillct-Wili, M. et Mme \yilly Blumenthal, baron J. Sautereau, marquise d'A.igre, niarquis de Baye, comtesse du Petit-Thoûars, comtesse de. Maupeou, comte et comtesse Armand de Kergorlay. marquis et marquise de Citstéja, M. et Mme J.-E. Blanche, comte et comtesse de Balleroy, chanoine Mugnier, marquis et marquise de La Fressange. comte et comtesse B. de Vogué, comte Biaise de Montesquioul'éjieusac, comtesse Blanche.' de Clermont-Tonnerre, comte et comtesse de l'Aigit, comte de la Maseliàre, M. et Mme Jean Balsap, ceinte et comtesse de- Boi^Mïnïi,y,5 )>hy*(?y|-1bar8nne

-Mallet, M. Eldniomyiesse,, iL René|Lft}-a. f

̃ Jîarqiiis et 'm'hrq'irise! d .^rfenstftiv'^rifarquisé d'Autichamp, comte de Bourgoing, vicomtesse G. de Buysieulx, baronne D. Léohifto, M. Jules Charles. consul (le Belgique baronne Raymond de .Ravijnun, comte Jean de Montesquiou Fézensac, M. et Mme Ternaux-Compans, comte et comtesse de Piolant, Mme Joseph Weneker, comte et comtesse Bruneel, général et Mme Féraud, marquise de Mouteynard, général et Mme Hély d'Ôissel, baron et baronne de Mandell d'Ecosse, comtesse de -jTanlay, vicomte 0. de Brimont, comte et comtesse de Durfort, M. et Mme Jean-Louis Vaudoyer, comte A. de 1 aborde, M. et Mme E. Jaloux, baron et baronne Jacques de Soucy, comte et comtesse de Bourboulon, général baron Peltelle, Mme Charkv Max, baronne de Vaux, docteur et Mme Robert Proust, M. et Mme Binct-Vahner, comte et comtesse d'HunoIstein, comte Pierre de Viel-Castcl, comte et comtesse de Miramon-Fitz-.lames, M. et Mme François Pictri, M. et Mme Joseph Simon, comtesse Jean d'Oultremont, M. et Mniï Edward Stern, M. Abel Bonnard, M. Olivier IJurchemin, Jl. el Mme Marcel Ballot, M. et Mme Maurice de Wendel, Mme Claude Debussy, baron et bnronne de Fontenay, JI. et Mme J. Macslracci, vicomte et vicomtesse de Bourboulon, comte et comtesse de Bru;y, M. et Mme David Weill, M. Daniel Hiientjens, baron Jean de Soucy, etc.

Au milieu des innombrables couronnes de ` .fleurs naturelles qui ornaient le catafalque, on iréffià'r'cjuait celle envoyée par IX. MM, le roi et.' '.la reine .des Belges! i L'àihumation a,eu lieu au 1 cimetière du Père-^ îLaobaûe, dans la sépulture des princes .Bibesco. On annonce la mort de M. Adolphe Pichon, chevalier de la Légion d'honneur, ancien professeur agrégé de première au lycée Charlemagne. Conformément à son désir, les obsèques ont eu lieu en présence des seuls membres de la famille, en l'église Notre-Dame des Champs, et l'inhumation au cimetière Montparnasse, dans le caveau de la famille. De la part de M. Ad. Pichon, maître des requêtes honoraire au Conseil d'Etat, secrétaire général de l'Union des industries métallurgiques «t minières, et de Mme Ad. Pichon, de Mme Alfred Pichon, de Mlle Amy Pichon, de M: et Mme Rémy Guinefolland, de Mlles Jacqueline et Françoise Guinefolland. Le présent avis tient lieu de faire-part.

Nous apprenons la nïort de' M., Victor Amy, notaire honoraire, ancien président de la Chambre des notaires de la Seine, chevalier de la Légion d'honneur, pieusement décédé en son domicile, 107, rue de la Pompe, le 7 mars 1929. Les obsèques seront célébrées le lundi 11 courant, à neuf heures et demie, en l'église Sâint-Honoré d'Eylàu, Ton se réunira. Inhu- mafïon au cimetière de P^ssy,

De la part de Mme Victor Amy, sa veuve de M. Henri Amyr-4iotaiFe-à..ParisT-et.Mme, Henri Amy, ses fils et belle-fille de ,1a. générale Gillet, sa sœur du bâtonnier et Mme Chenu, ses beau-frère et belle-sœur.- Le présent avis tient lieu d'invitation.

On annonce la mort de Yves Cubain, rappelé à Dieu le 7 mars, à l'âge de huit ans et demi. Les obsèques auront lieu le lundi 11 courant, à dix heures très précises, eh l'église Saint-Ferdinand des Ternes où l'on se réunira. De la part de M. et Mme Félix Cubain, ses père et mère. Le préserit avis tient lieu d'invitation.

Nous apprenons la mort de Mme Heurteau, née Solacroup, décédée le 8 mars. Elle était la veuve de l'ancien directeur de la Compagnie d'Orléans, président de la Compagnie des Mines d'Anzin et de la Compagnie des Aciéries de la Marine. Les obsèques auront lieu lundi i mars, à onze heures, en l'église de la Sainte-Trinité, où l'on se réunira. On est prié de n'apporter ni fleurs ni couronnes.

Nous apprenons la mort de la baronne Doé, pieusement décédée le 8 mars, en son domicile, 6. rue de Téhéran. Les obsèques auront lieu lundi il courant, à dix heures précises, en l'église Saint-Augustin, où l'on se réunira. Ni fleurs ni couronnes!' Le présent avis tient lieu d'invitation. L'inhumation aura lie» ultérieure- ment à Rouilly-SainULoup (Aube). "• ̃'$? 6n annoncé le ctéces, à Cannes, de M. Ch.> Masson, officier de la Légion d'honneur, médaillé cinquantenaire du travail, président du conseil d'administration des Sociétés des Magasins Réunis, Paris et province (anciennement Sociétés Corbin et Cie). Les obsèques auront lieu à Nancy, le lundi 11 mars, à onze. heures, en l'église Saint-Léon.

Nous apprenons la mort de Mme Sylvain Blot, née Marie-Aymée de Baillehache, pieusement décédée à l'âge de quatre-vingt-treize ans. Elle était la mère de Mme Henry L'Hopital, de Mme Fragonard et de Mme E. Bigo. Les obsèques auroat lieu le lundi 11 mars, à dix heures, en l'église Saint-Symphorien, à Versailles. Le présent avis tient lieu d'irivitation. Ni tleurs ni couronnes. r

« M. Jean Messager, M. et Mme Jean .La rtigues, dans l'impossibilité de répondre aux nombreuses personnes qui leur ont témoigné leur sympathie à l'occasion du décès de M. André Messager, les remercient pour la part qu'elles ont prise à leur., deuil.' s ,-̃ ̃

v Sérighy1. ̃'

ï V' Pf3Trfrr., CAWrNKX'Vs a

L'élégant Marny-Etoile du 48 de l'avenus Victor-Hugo connaît actuellement une vogue du meilleur ton, car il présente, dans un cadre de goût,- toute, la gamme prestigieuse, des jolis bas de -soie à des prix honnêtesi

(4 --t~r-

^jParmi. les collections; des grands couturiers,- il ̃ est. rare de trouver d'aussi charmants' modèles que chez •Francis, surtout a de têts prii, puisque certaines 'rob'.è^ 'de lainage' sont sacrifiées à ï.000 francs. '5,; avenue Matignon. Jane Duverne,

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présentera sa collection pour les Parisiennes à partir' du 15 mars, à trois heures les jours suivants à 10 h. 1/2 et l'après-midi à 3 h. 1/2. Louiseboulanger, ̃

3, rue de Berri (Champs-Elysées).

présente actuellement, matin et après-midi, sa collection de modèles pour le printemps et l'été.

Ruzé (Henri Négrier), 23, boulevard Haussmann, présente sa collection de renards argentés en provenance directe du Canada. La Maison sera transférée, à partir du 15 avril, 223, rue Saint-Honoré. Le couturier Claude-André, 23; rue La. Boétie, fe:a aujourd'hui seulement une venteréclame de robes et manteaux de printemps. Une élégance raffinée à des prix extraordinaires. Robes depuis 150 Manteaux depuis 300^

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Au Restaurant Napoléon.

L'inauguration du Restaurant Napoléon, aux Arcades des Champs-Elysées, a été un éclatant succès. Tout Paris était là et il n'y a eu qu'un. cri pour vanter la beauté du cadre, proclamer l'excellence de la cuisine et admirer l'étonnante modération- des prix. Mardi 1.2 mars, il y aura grand gala, paré de la gracieuse présence de Miss France et de Miss Roumanie et de tant d'autres Reines de Beauté quelques beaux cadeaux seront en outre offerts aux heureux dîneurs, mais n'attendez pas mardi c'est tous les jou:s gala au Restaurant Napoléon. & Aux Merveilleuses.

En sortant, du théâtre, il est de bon ton de se rend: au, 3 de J'avenue des Champs-El>> sées le salon de thé réputé reste ouvert jus»qu'à une heure du matin.

LA SAISON

DE Nice

Au Palais de la Méditerranée, les déjeuners et dîners du 2 mars ont réuni la plus brillante assistance.

On remarquait au déjeuner, à la table de M. et Mme Davan, née princesse Bibesco S. A. S. la princesse héréditaire de Monaco, S. A. S. le prince Piene de Monaco, comtesse de Louvencourt, comte de Vienne. S. Exe. le baron Beck-Frus," Mme Bartholoni, Mme Fleury Hérard, M. Douine.

Et au grand dîner de gala du même jour A la table du colonel et Mme de Balsan. S. A. I. et R. la grande-duchesse Hélène 'de Russie, princesse de G:èce, S. A. R. la prin-' cesse Marina de Grèce, lady Wiston Chincill, Mme Wilson, lord Somerset, S. Exc. M. Savinsky, colonel Henky.

DE MONTE-CARLO

Parmi l'assistance nombreuse qui assistait, au Monte-Carlo Country Club, aux finales du « Butler Trophy », gagné par Cochet et "Brugnon, et de la « Beaumont <3.upt», gagnée par; miss Nuthall. et miss Cavelt- nous avons re$ connu ̃ ̃-̃ ? ,S.<,M_le.j;oL..de Suède. LL. AA. SS. la princesse héréditaire de Monaco et le prince Pierre] Mr et Mrs Harris, Mr et Mrs Wilcock, Mr et Mrs Mainville, Mr et Mrs Green, Mr et miss Marc Brauh, commandant et Mme Sarlat, M. et Mme Léon Renier. Mlle Colombel, M. Rossler. sir Walter et lady de Frèece, Mr et Mrs George Buttler, Mr et Mrs Martins, Mr et Mrs G. W. Henley, comte Jean Pastré, lady Wills, comtesse Hunyard, général Mansfield, Mr et Mis Kasterine, Mr et Mrs Gillou, Mr et Mrs Lisborn, général Campbell, Mr et rhiss Bennett, etc.

A l'Opéra, Rigoletto, chanté par le baryton russe Golovine, a été chaleureusement accueilli. Au Monte.-Carlo Golf Club, le 9 mars, le prix de sir William Yarworth Jones le 16 mars, le prix de l'International Sporiing Club le 28 mars, le prix 'du Royalty Bar.

DE MENTON

L'Hôtel Impérial a donné mardi dernier sou troisième grand gala. Pour cette fête « Neige. et Frimas », les Salons de l'Impérial avaient été magiquement transformés en paysage d'hiver, avec des montagnes neigeuses, un chalet suisse, etc. Les travestis évoluèrent sous des sapins tout blancs, des flocons de neige et des guir-landes de givre. Reconnu parmi les travestis •-̃̃•̃

Miss Jackman. en Martiniquaise, qui obtint le premier prix par vote public .miss" Moséléy'en Espagnole, Mlle Zegers en Précieuse,. Mrs Bevis en Perruque poudrée, miss Bevis en Marianne, Mrs Bfiï:kiier en Gommeux, Mr Pursér en Martiniquais. Puis, la gracieuse danseuse Myriam Forster, avec ses danses de caractère miss Jackman et Mr Purser. dans leu- impromptu de danses martiniquaises, ravirent l'assistance. "•.

Les fausses traites soviétiques M. Audiberti juge d'instruction, a rejeté la demande de mise en liberté provisoire de Lifvinoff et de Leborius, auteurs de fausses traites tirées sur la représentation commerciale des Soviets. Tous deux avaient invoqué des raisons de santé, mais le docteur Paul a affirmé qu'ils pouvaient rece.voir en prison les soins nécessaires.


̃ ̃ ̃ Ifet z- /?'̃̃̃.̃. u- ̃

LES DEBATS DE GENEVE Les Etats-Unis se feraient représenter à la Haye

repres ter a

Genève, 8 mars. Le secrétariat général de la S. D. N. a porté il la connaissance.des membres de la Ligue, qu'il a reçu du gouvernement des Etats-Unis, par l'entremise de l'ambassadeur américain à Berne, une communication qui a été adressée à chacun des signataires du protocole de la cour permanente de justice internationale, établissant les conditions et stipulations sous résene desquelles le gouvernement de Washington pourrait signer le protocole du statut.de la Cour permanente de justice internationale.

Les. Etats-Unis seraient disposés à participer à cette cour, en conservant, pour chaque cas particulier, le droit de se retirer du tribunal si une entente était impossible entre l'Union et les autres Etats. 'Le Conseil a procédé à un premier échange de vues sur cette proposition, désireux de contribuer, dans la mesure du possible, à l'adhésion des Etats-Unis à la Cour de justice.

Le Conseil a décidé qu'au cours de la séance publique de demain samedi, il prendrait officiellement connaissance de la proposition américaine, laquelle sera renvoyée au Comité des juristes, qui doit se réunir lundi à Genève, dans l'intention d'étudier une revision éventuelle du statut de la Cour de La Haye.

L'assistance financière

aux Etats victimes d'une agression "Genève. 8 mars. Au cours de la séance publique qu'il a' tenue ce matin, le conseil de là S. D. N. a décidé de communiquer à tous les Etats membres de la Ligue le projet de convention que le comité finander a élaboré sur l'assistance financière aux Etats victimes d'une agression. Le conseil a déclaré qu'il considérait ce projet comme étant d'une grande importance, et il a exprimé l'espoir que le plan d'assistance financière puisse être réalisé avec te concours du plus grand jiombre possible de pays.

La question des minorités

Genève, 8 mars. Le comité de trois membres qui comprend M. Adatci, sir Austen Chamberlain et M. Quinones de Léon, à qui le conseil a confié le soin d'examiner aussi largement que possible, d'ici la prochaine session du conseil, le problème des minorités, s'est réuni aujourd'hui.

Les membres de ce comité ont procédé à un échange de vues sur la méthode de travail ils ont demandé au secrétariat de leur fournir certaines informations. Un nouvel entretien

Chamberlain-Stresemann

GENÈVE, 8 mars. M. Stresemann a renidu, ce soir, à sir Austen Chamberlain, la visite que ce dernier lui a faite hier matin, l'entretien s'est prolongé assez longtemps.

Les travaux des experts

Les experts ont tenu hier deux séances plénières. Ils ont pris connaissance du résultat- des conversations qu'ont ..eues, ;̃ ces jours derniers, les ;inenibres des trois s©uscomités, au sujet de la constitution d'un vaste organisme financier qui s'occuperait des réparations et servirait d'intermédiaire entre les banques d'émission des divers pays.

Le comité se réunit de nouveau ce matin. Ji est possible qu'un communiqué soit publié qui indique, dans ses grandes lignes, ce que serait l'Office envisagé.

-V^<s^O>-

Le corps diplomatique américain et le président Hoover

Washington-, 8 mars. Selon une ,vieille coutume inhérente à l'entrée en fonctions d'un nouveau président delà République des Etats-Unis, tous les ambassadeurs et ministres américains à l'étranger, ont donné leur démission. Aucune mutation dans le personnel diplomatique américain ne sera faite avant l'arrivée à Washington du colonel Stimson, le nouveau secrétaire d'Etat actuellement aux iies Philippines, et dont l'arrivée est prévue pour la lin du mois.

L'OPINION DES AUTRES

[.]]̃ Le néo-cartel en bataille L'offensive contre le ministère se poursuit. Les néo-cartellistes trouvent, en toutes choses, occasion de bataille. Les quelques commentaires de la presse de gauche tendent à déconsidérer le Cabinet. LA VOLONTE- écrit L'attitude prise par M. Poincaré il propos des articles 34 et 44 du collectif contribue fortement à mettre les choses au point. Le président du Conseil, suivant sa propre expression, « se cramponne ». C'est son droit. Pendant ce temps, sa majorité se dilue, tandis que s'esquisse la majorité de demain. Le fléau de la' balance oscille et s'apprête à changer de côté.

Habile comme à l'ordinaire, M. Eucène Lautier (HOMME LIBRE) se plaint bruyamment que « le gouvernement nourrit la Chambre avec des boulettes de papier. »

Tout est possihle avec cette réunion où régnent l'imprévu et la fantaisie et avec certains groupes de la Chambre qui aiment à se laisser

berner.

D'ailleurs, d'ici jeudi, avec les loyers, l'épargne, le collectif. et les missionnaires, nous aurons fait bourgeoisement notre petit tour du monde.

C'est même tout ce que nous aurons fait. En dehors du dessein de vivre, je veux dire de croupir dans l'équivoque et la stérilité, je voudrais savoir au profit de qui le gouvernement et ses complices procèdent a ce grignotage du Parlement '?

Les radicaux suffisent à ce grignotage! Car, au-dessus de J'agitation s'élève une évidence la décadence du parti radical et la petitesse d'esprit de ses meneurs. M. Charles Mnurras (ACTION FRANÇAISE) ¡

̃Présidé, inspiré par ue gros profiteurs tels que Cailîaux et Herriot, ce p::rti a perdu toute raison d'être désintéressée, ce n'est plus qu'un syndicat dont la seule marque distinctive. es! cette tendance anticléricale particulièrement odieuse dont M. Daladier a donné la mesure dans sa. réponse à l'évêque de Strasbourg. Le programme d'abord, dont M. Daladier a paru se prévaloir, fait donc rire le monde et, de toutes parts, même dans son parti, les voix les plus discordant' se rencontrent peur lui dermmder « Quel programme ? »

Car il n'y a pas de programme radical.

Il y a un intérêt radical.

Parce ou'ii y a un syndicat radical.'

EN GRANDE-BRETAGNE

Les prévisions budgétaires de la marine pour 1929 Londres, S mars. On publie aujourd'hui en livre 'blanc, une déclaration du premier lord de l'Amirauté donnant certaines indications sur les prévisions budgétaires de la marine pour l'année 1929. M. Bridgeman déclare notamment que la réduction de 1.435.000 livres sur l'année précédente 'à"'été effectuée, bien qu'aucune diminution des effectifs de ,1a marine ni de ceux de l'aviation affectés la flotte anglaise n'ait été envisagée. Au contraire, ]a construction de nouveaux hydravions a été jugée nécessaire.

Les crédits nécessaires la construction de nouvelles unités navales se monteront cette année à 8.021.626 livres sterling et accusent une diminution de 1.008.231 livres sterling sur l'année précédente. M. Bridgeman explique que cette réduction est due au fait que les trois croiseurs prévus au programme de 1927 et 1928 n'ont pas été construits. Les travaux de la base navale de Singapour ont nécessité une augmentation de dépenses de 200.000 livres sterling.

Les crédits envisagés pour l'aviation affectée à la marine accusent une augmentation de 220,000 livres sterling.

Le nouveau programme naval pour l'année 1929 comprend les crédits nécessaires au commencement de la construction des nouvelles unités navales suivantes Trois croiseurs, 8 contre-torpilleurs, 1 vaisseau commandant de flottille, 6 sousmarins, 2 bateaux auxiliaires et 6 sloops. Les prévisions budgétaires pour 1929 pour la flotte, l'armée et l'aviation anglaise accusent une diminution de 2,090,000 livres sterling sur l'année précédente.

̃•̃ ENCORE UN FAUX

'~Ji~'L~ ,i -H

M. Zaleski dément l'existence d'un traité secret polono-roumain

Genève, 8 mars. M. Zaleski, ministre des affaires étrangères de Pologne, a démenti formellement la nouvelle publiée par le journal officiel de Kovno, Liotuvos Aidas, de l'existence d'un traité secret entre son pays et la Roumanie.

Ce prétendu traité, a déclaré M. Zaleski, peut être rangé dans la même catégorie que le traité d'Utrecht.

C'est une mystification

dit le ministre de la guerre roumain Bucarest, S mars. L'Agence Rador dit que le ministre de la guerre dément l'existence d'un prétendu traité secret militaire polono-roumain dirigé contre la Lithuanie et les Soviets. Le texte publié a Kovno, ajoute VAyence Rador, et reproduit par le Berline r Tayeblatt, est considéré comme une mystification.

̃>*̃̃<>- -j» ̃

Les relations des Etats-Unis avec le gouvernement des Soviets

Londres, 8 mars. On mande de Washington au Times que, selon certains indices, il semble que, dans un temps peu éloigné, le président Hoover s'occupera des relations de l'Amérique avec les Soviets. Une certaine pression dirigée par d'importants centres d'affaires a déjà commencé à se faire sentir en faveur d'une augmentation des exportations, en capital et en marchandises, vers la Russie. Quoique n'étant pas encore prêt à s'engager dans cette voie aussi loin et aussi vite que le sénateur Borah, le nouveau président est disposé à étudier le problème des relations avec la Russie avec impartialité. Il est déjà question de l'envoi possible d'un comité d'experts économistes en Russie.

M. Hoover souhaite de voir s'accroître encore le chiffre des exportations américano-russes.

Grave accident d'aviation Un avion de bombardement s'est écrasé, hier soir, sur le champ d'aviation du 21* régiment, à Essey. près de Nancy, par suite de l'arrêt inattendu d'un de ses moteurs. Le pilote, lieutenant Martin, qu'accompagnaient les sergents Ermont et May, ont été tués sur le coup. Un quatrième passager, le soldat Charentier, a été transporté à l'hôpital dans un état peu grave.

Parce qu'il a subsisté, selon le mot de Bar-1 rès, des « cadres x d'un parti radical. Des cadres qui n'ont et ne peuvent avoir qu'un but des places; qu'une politique la politique de clientèle! L'AMI DU PEUPLE du matin écrit Les radicaux, c'est un fait d'évidence, ont une véritable fringale de ce pouvoir avec tous ses revenants-bons qu'ils ont laissé bètement échapper. Mais ils ne sont que 120 à la Chambre. Or, pour avoir la majorité, il faut plus de 300 voix, puisque cette Assemblée compte 612 membres.

Daladier ne s'embarrasse pas de cette vulgaire arithmétique. Il se borne à dire aux socialistes et aux membres du groupe Loucheur Qui m'aime me suive

Mais personne n'aime ce lourdaud bourru. Les hommes qui, parmi les radicaux, ont quelque expérience, ie redoutent comme la peste. Ils le tiennent pour un terrible gaffeur, et s'ils pouvaient le déboulonner de la présidence de leur parti ils n'y manqueraient pas. Mais il parait qu'il a l'appui des jeunes radicaux réalisateurs. Combien sont-ils ? On ne sait pas. Une douzaine, peut-être, qui font du bruit comme cent. Ils comptent sur le radicalisme pour leur faire des situations, pour les gaver de mandats électifs. En attendant ces mandats difficiles à saisir, ils peupleraient vo- lontiers les cabinets ministériels. Voilà sur quoi comptent ces hardis réalisateurs. Ils poussent Daladier, qui n'est encore, comme eux-mêmes, qu'une espérance, un figuier sans figues, Ce qui choque Dubarry chez Daladier c'est l'insistance avec laquelle il parle de son programme. Voilà dix-huit mois qu'il crie « Programme d'abord »

Cela ne va pas sans un parfait dédain de l'intérêt public s'il en fallait encore une preuve, nous la trouverions dans la manœuvre du néo-Cartel pour écarter la. j discussion des projets spéciaux concer- nant les Congrégations missionnaires. Les radicaux se réclament soudain d'un zèle démesuré pour les mesures budgétaires du collectif. LE TEMPS écrit

^e parti radical socialiste a d'aillecrs la mémoire courte. A aucun prix la discussion du collectif ne doit être, d'après lui, interrompue. Le souci financier prime tout. *I1 oublie que, quand il avait le pouvoir, les budgets n'étaient pour ainsi dire jamais votés à temps. Sans remonter trop loin, la législature de 1910-1914 fut une législature éminemment radicale socialiste- Budget de 1911 vote le VI juillet 1911 au. lieu i'.e décembre 1910 six mois de rsfard. Budget de 1912 voté- ie 27 février l!H2:dcux mois de retard, liudget de 1913 voté le 30 juillet 1913; sept

REPETITIONS GENERALES

A LA eOMÉDJE-CAUMAjmN Débauche, comédie en 3 actes de M. Jacques Deval. Du Musset e-. espadrilles. L'auteur a eu une idée légèrement teintée de poésie. Craignant sans doute d'être accusé de romantisme, il l'a traitée avec une trivialité déplorable qui enlève toute vraisemblance à l'aventure, un parti pris d'être moderne qui lui ôte tout son charme. Et sa comédie n'en demeure pas moins entachée de romantisme, mais sans en avoir le bénéfice. Dans. son château de la Gironde, Armance de-Bonnelle, jeune fille attardée, vit tristement auprès d'une mère qui la rudoie. Un journal trouvé par hasard lui apporte une annonce signée Fortunio. Son esprit bâtit un roman sur ce nom riche de promesses sentimentales. Elle répond à F inconnu.

Fortunio est un garçon de vingt ans. Pâ1. trice Varin. C'est le type classique du jeunp homme au stylo entre les dents avec lequel on effraye les personnes d'âge. Un affreux chromo où l'on chercherait en vain un trait juste. Ce Patrice est une manière de jeune apache, sans le pittoresque et la vigueur. Poussé par une curiosité assez inattendue, il débarque- à l'auberge de Bonnelle, flanqué de son ami Maurice et d'une petite poule, deux compagnons à son image. Voici Armance c'est Mme Marthe Régnier, un visage charmant, désuet, des .émois de provinciale et une assurance de châtelaine. Elle est déçue de vaut son Fortunio. Tout son rêve est anéanti. Et, cependant, elle s'ennuie tant, elle a un tel désir d'avoir au moins un souvenir dans sa vie, que, profitant de l'absence de sa mère, elle invite à diner les deux goujats et la jeune pérpnelle qui les escorte. Au diner, on la .grise, .on la fait presque déshabiller. Elle n'a que la ressource d'aller se réfugier dans sa chambre.

L'alcool, le clair de lune et la hauteur des plafonds ont éveillé soudain, en, Patrice une âme d'amoureux. Il ne veut plus quitter le, château. Il s'abîme en supplications contre la porte de l'inflexible Armance. Et la porte, puisque sa destination est d'être ouverte après avoir été fermée, s'ouvre enfin. Une jeune femme paraît, vêtue d'une robe à paniers, en drap de soie vert d'eau. Elle se fait passer pour le fantôme de la tante Anaïs, qui se noya pour l'amour de Lamartine. La comédie offre cette fois tous les. symptômes de.;bi poésie. Les dialogues avec une ombre sont au-dessus des moyens de Patrice. Il prend congé, et Mme de Bonnelle, en rentrant chez elle, trouvera sa fille écroulée auprès d'une fenêtre et sanglotant à la lune. M. Pierre Brasseur, qui a des qualités, car il a un jeu tout spontané, est néanmoins aussi factice et aussi déplaisant que son personnage. M. Pierre Etchepare sauve le sien par sa bonhomie naturelle et une gaîté sympathique. Mlle Gaby Basset est une petite femme comme on en voit beaucoup, Mme Mady Berry, une mère maussade, sans grand relief. Enfin, Mme Marthe Régnier, grâce à son art d'une radieuse simplicité, in.fuse la vie a Armance de Bonnelle.

James de Coquet.

DERNIERE HEURE THEATRALE La « Belle Aventure » au répertoire de la Comédie-Française

Le comité de lecture de la ComédieFrançaise a reçu hier La Belle Aventure, la comédie célèbre de G.-A. de Caillavet, Hobert de Fiers et Etienne Rey. La pièce a été lue devant le comité par M. Etienne ;Pev.:

M. Renard entre aujourd'hui en fonctions

Cet après-midi, à trois heures et demie, a lieu l'installation officielle de M. Ed. Renard, le nouveau préfet de la Seine. M. Paul Bouju lui remettra les services et lui présentera les principaux fonctionnaires de la Préfecture.

Puis aura lieu dans le salon des Arcades, la cérémonie de la remise à M. Paul Bouju de la médaille d'or de la Ville de Paris, par M. Georges Lemarchand, président du conseil municipal, ainsi que de la médaille du département de la Seine, par M. Paul Fleuriot, président du conseil général.

Hier soir. les directeurs et chefs de service sont venus, au nom de leur association. présenter leurs adieux à M. Paul Bouju, auquel ils ont remis une édition des œuvres de Leconte de Lisle et une phototypie de l'édition de Bordeaux des « Essais» de Montaigne.

mois de retard. Budget de 1914 voté le 13 juillet 1914: six mois et demi de retard, Et ponr ce dernier, à la veille de la guerre, la France, gouvernée, par les radicaux socialistes^ risquait de n'avoir pas de budget. Quand les radicaux socialistes refusent aujourd'hui d'interrompre la discussion d'un simple collectif, ce n'est pas l'intérêt finan^cier qui les guide, c'est la passion politique qui les entraîne. Il suffit que le gouvernement demande une chose pour que, dût l'intérêt gérnéral en souffrir, ils demandent le contraire. Que conclure? M. Raymond Cartier (LA NATION) juge que l'appétit radical n'est peut-être pas chose si heureuse qu'on doive lui céder

Le parti radical sent bien qu'il ne peut pas vivre loin du pouvoir; il n'a plus assez de jeunesse et de confiance en lui; il lui faut l'étai des institutions, l'aide des pressions officielles, l'investiture en quelque sorte ouverte du gouvernement et de l'administration. Et les élections municipales approchent Nous n'avons pas fini, d'ici à la fin de la session, de voir s'échafauder des combinaisons multiples avec l'app-.i et sous le couvert de personnages plus ou moins consulaires ou plus ou moins officieux.

En tout cas, si les radicaux ne peuvent plus vivre loin du pouvoir, le pouvoir peut désormais vivre sans et même contre les radicaux. Nous ne sommes plus aux temps d'avantguexre, où le radicalisme s'imposait à tous les gouvernements par son prestige, le nombre de ses suffrages et le nombre de, ses élus. Il est par trop lamentable de voir notre situation politique troublée sans arrêt par les convulsions d'un parti qui n'est même plu. un parti d'opposition. Nous demandons à tous les hommes politiques d'aujourd'hui et de demain qu'ils prennent conscience de l'évolution des idées dans notre pays et qu'ils échappent enfin à une obsession assez forte encore pour frapper de paralysie et d'impuissance le pouvoir exécutif.

Autre conclusion elle est toute dans ce titre de M. Gustave Hervé à la VICTOIRE « Si M. Poincaré voulait. » Les assemblées, comme toutes les foules, ont besoin de chef elles aiment se sentir conduites et commandées.

La majorité d'union nationale ne commençait à se troubler et à hésiter depuis quelques semaines que parce qu'elle ne sentait plus de chef à sa tête, et que Poincaré lui semblait avair l'esprit et le cœur ailleurs.

Mais elle ne demande qu'à se ressaisir, et à soutenir à fond Poincaré s'il veut rester son chef.

« Quelle chance est celle de M. Poincaré! » écrit également M. Martin-Mamy (AMI DU PEUPLE du soir).

Il a contre lui tous ceux qui, consciemment ou inconsciemment, sont contre les grands intérêts français. Il a pour lui cette masse, au fond si raisonnable, qui a toujours joué dans

A la Société des Conférences

La vie parisienne au théâtre « Parisiens d'hier », tel est le titre qu'a donné M. Francis de Croisset à la première de ses conférences sur « La vie parisienne au théâtre ». Conférence Cauesrie plutôt, tant' celui qui parlait devant le plus brillant, le plus amical et le plus nombreux des publics, était maître de son sujet et mettait de bonne grâce aisée à le traiter.

La période charmante que -"auteur de la,Féerie ciriyalaise a évoquée est celle qui va des débuts du second Empire aux heures récentes et déjà si loin de nous de l'avant-guerre. Epoque délicieuse, pittoresque, que celle où- Paris (un, tout petit Paris où la vigne poussait dans la plaine Monceau) ne comptait que quatre ou cinq grands journaux, quelques théâtres, qui tous faisaient recette, et où toute la vie de la ville avec son esprit se concentraient. pour s'y épanouir pleinement, sur le « Boulevard » Epoque souriante, l'on pouvait se permettre d'être frivole, car tout le monde avait le nécessaire. Ceux qui se sont faits, au théâtre, les heureux interprètes de cette douceur de vivre et qui ont reflété l'agrément de ces jours faciles, c'est Meilhac et Halévy qui, avec OfFenbach, dans la Belle Hélène, ont, pour la première fois, fait entendre sur la scène cet esprit narquois, cet esprit frondeur, cet esprit gavroche, l'esprit du Boulevard, Meilhac et Halévy, dont la fantaisie s'apparente à celle de Musset, et qui ont paré l'ironie du plus joli des sourires c'est Pailleron ensuite qui a porté au théâtre de vraies jeunes filles, et qui, pour les chaperonner, a inventé les grands'mères. Tableaux spirituels, aperçus ingénieux et souvent profonds, complaisance amusée aux mœurs d'autrefois, coups de pattes à celles de maintenant, tout cela par la voix de M. Francis de Croisset a pris le tour le plus divertissant. Pas un de ceux qui hier l'ont applaudi ne manquera d'assister aux deux autres conférences, où il évoquera la période des Lavedan et des Donnay, et où, après avoir parlé de la vie parisienne de jadis, il dira ce qu'il pense de celle d'aujourd'hui.

Les Alguazils.

Cette conféreiiep, comme toutes celles de la Société d-eS', Conférences, sera publiée in e.cfgnso, nians Ja- fi évite Hebdomadaire.

GAZETTE DES TRIBUNAUX

L'affaire des titres hongrois Quand dans une affaire qui se termine par une poursuite en escroquerie devant le tribunal correctionnel, on voit jeter aux débats le nom d'un parlementaire, quand on entend les prévenus l'accuser pour se disculper, prétendre affirmer que ce personnage politique leur a donné des conseils, leur a déclaré que ce qu'ils faisaient, était correct et légitime, il faudrait entendre à la barre cet honnorable parlementaire, pour que chacun soit satisfait, mais la justice n'est pas complète.

Or, depuis deux audiences on n'entend dans le prétoire que le nom du sénateur Reynald.

Eh bien on ne verra pas, on n'entendra pas le sénateur Reynald, le parquet ne l'a pas cité comme témoin. Et ce procès restera toujours enveloppé d'une atmosphère pénible qu'on n'a point cherché à dissiper.

M. Reynald est responsable, disait en effet un des; prévenus* ,M, de -Fallois-, vous' pensez bien que ce n'est pas à moi à lui apprendre à interpréter le traité de Tianon dont il fut le rapporteur. Même défense de l'ancien consul Lacaze: Un jour, raconte-t-il, mon ami M. de Fallois lui téléphone et lui demande s'il consentirait à dire qu'il est propriétaire des titres hongrois de M. Blumenstein et à les faire estampiller. Il y consentit, dit-il sur la réserve de son avocat, M. le sénateur Reynald, trouverait l'opération licite. M. Lacaze va le voir, et son avocat lui aurait conseillé de faire une opération de vente à réméré. Blumenstein vendrait ses titres à Lacaze, puis celui-ci, après estampillage, les lui rétrocéderait.

Et c'est pour cela, dit le président, M. Gauthier, que Lacaze toucha 75.000 francs.

Et, s'écrie M0 Torrès, M. Reynald n'est pas même cité comme témoin Vraiment on est en droit de s'en étonner. Et ce n'est point cette absence qui rendra l'affaire moins confuse. Personne n'est satisfait.

Les débats continueront pendant plusieurs audiences encore.

notre histoire, sous tous les régimes et à toutes 1 lès époques de grandes crises, le rôle d'arbitre I et de pacificateur.

Ses adversaires ont des appétits, mais ils n'ont pas de programme. Quand le chef du Cartel, M. Dal.ad.iei', fatigué d',avoh.inv£ctivé les personnes, pense qu'il serait peut-être temps de faire figure d'homme politique, il ne trouve à prononcer que le mot « programme » sans dire les précisions qu'il entend mettre sous le mot, et M. Pierre Bertrand est obligé d'avouer lui-même dans le Quotidien que les leaders de l'opposition n'apportent aucune solution dans leurs mains vides. M. Poincaré est un homme heureux. Heureux d'avoir les adversaires qu'il a. Heureux d'avoir une majorité assez affectueuse pour rendre au chef en soins dévoués les infidélités ou les distractions du chef. En déclarant hier que sa politique à pour but de sauvegarder l'équilibre financier, en déclarant surtout qu'il n'est nullement étonné que ses adversaires d'hier restent ceux de demain, il a pris une sorte d'engagement nouveau avec sa majorité.

Gouverner.

he problème des minorités

Le débat sur le problème des minorités ouvert à Genève, s'est clos sans dégâts «L'offensive de la propagande germanique, écrit M. Auguste Gauvain dans le JOURNAL DES DÉBATS, préparée depuis des semaines, a fait fiasco. Qu'il en ait eu ou non l'intention, M. Stresemann n'a pas cru devoir, au moment critique, prendre l'attitude que les nationalistes et la droite du parti populiste prétendaient lui imposer. Il a été averti qu'une pareille attitude provoquerait une réaction dont certaines conséquences seraient pénibles pour l'Alleiiiagne. »

Cependant, la presse allemande exprime un vif mécontentement pour certaines feuilles'du centre, il faut mettre en partie cela sur le compte de la politique intérieure pour les feuilles nationalistes, sur une déception mêlée à une belle occasion de faire œuvre d'opposition.

Les journaux, même les plus modérés, comme la GAZETTE DE FRANCFORT, la VOSSISCHE ZEITVNG et la KOLNISCHE VOLKSZEITUNG, critiquent l'attitude de M. Briand ils lui reprochent d'une manière générale de n'avoir consacré que des sarcasmes et des réflexions ironiques à un problème de la plus haute importance.

La KOLNISCHE ZEITVNG, organe officieu}: de M. Stresemann, écrit Briand, avec un suobisme avantageux et

Nouvelles Diverses

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Coup de théâtre dans l'affaire des tableaux du Havre

Les inspecteurs de Ja Sûreté, continuant leur epquète sur le vol dés trois tableaux de maîtres, commis au Havre, dans les circonstances que nous avons relatées, avaient convoqué, il y a deux jours, le propriétaire des toiles, dans les locaux de la Sûreté générale, pour obtenir des précisions sur la façon dont le vdl avait été commis. °

Après un interrogatoire de quarantehuit heures, mené par les commissaires de police Charpentier et Garanger, les' déclarations embarrassées de M. Fernand Laffitte, propriétaire et plaignant, et du témoin Abraham Schkrop, voyageur de commerce né à Elisabethgrad, en Russie, révélèrent des contradictions formelles. Les" doutes n'étant plus possibles, les commissaires retinrent à la Sûreté MM. Laffitte et Schkrop, sous le motif de présomption de culpabilité et transmirent d'urgence le dossier au Havre.

Le juge d'instruction, M. Guchen, après un examen attentif et un supplément d'enquête effectué au port, délivrait alors un mandat d'arrêt contre le propriétaire et le témoin, inculpés tous les deux de vol, complicité de-vol, tentative d'escroquerie à l'assurance et recel. Ils sont au Dépôt.

La santé du maréchal Foch

Les docteurs Heitz-Boyer, de Genne et Davenières se sont rendus, hier matin, au chevet du maréchal et ont pu constater l'amélioration constante de son état de santé. La nuit ayant été excellente, les médecins ont autorisé le maréchal à se lever pendant une demi-heure au cours de l'après-midi, et à s'alimenter légèrement dans la journée.

La température est de 37°2 et le pouls marque 86 pulsations.

Au cours de la journée, le maréchal Foch a signé la lettre suivante, qu'il a fait adresser à la municipalité de Vincennes-: Monsieur le maire,

L'honneur que me fait le conseil "municipal de Vincennes en donnf.nl mon nom à une de ses avenues m'est très sensible et je vous en exprime mes très fi' vifs ̃remerciements. Mais. il m'est particulièrement 'agréable que vous ayez choisi l'avenlu.'C!;Mangny,, car le séjour que j'y ai fait «'est. pas prés diî s'effacer dans ma mémoire et compte parmi, les meilleurs de ma carrière.

Les sentiments que vous m'exprimez me touchent. Soyez assuré qu'ils sont réciproques et veuillez trouver ici l'assurance de mes sentiments bien dévoués et de mon attachement à la ville de Vincennes.

-4> *̃*̃*+̃

Le raid transsaharien

du lieutenant Loiseau

Le Figaro avait annoncé à la fin. de janvier, le départ de Paris d'une mission privée, organisée et commandée par le lieutenant Frédéric Loiseau, et qui avait pour but d'atteindre la Côte d'Ivoire, par la boucle du Niger, sur voitures de tourisme Bugatti.

Ce raid, qui comportait la traversée du Sahara, entre Adrar et Gao, vient de se terminer avec plein succès. Le lieutenant Loiseau, avec M. André Labouret et M. de Poufilly, est rentré à Alger, après avoir accompli le circuit de la Méditerranée à Grand Bassam et retour, dans des conditions de vitesse qui n'avaient pas été réalisées jusqu'à ce jour, en dépit des obstacles opposés par des tornades rencontrées dans les parages de l'Atlantique et sans aucune avarie à sa machine. Le passage à travers les 1.200 kilomètres de désert, dans chaque sens, n'a' donné -liéii aucun incident notable.

Le retour du général Gouraud Le général Gouraud, gouverneur militaire de Paris, est arrivé hier matin à Marseille, venant des Indes. Il a été salué, à bord du bateau qui le ramenait, par le général Clémenson, commandant la base le général Carron, commandant la place, et les officiers d'ordonnance du général .Mangin, commandant le 15e corps, actuellement à Paris.

On sait que le général Gouraud avait été invité à visiter les Indes par le gouvernement britannique. Parti de Bombay au début de décembre, il a suivi l'itinéraire Bombay, Haiderabad, Calcutta, Bénarès, Lahore, Delhi, Bombay. Il a retrouvé des officiers britanniques qui combattirent à ses côtés aux Dardanelles.

Le général Gouraud, qui comptait séjourner quelque temps sur la Côte d'Azur, a quitté Marseille à six heures, hier soir, pour Paris, il est arrivé ce matin.

sous les applaudissements delà galerie a ( montré comment il conçoit l'oeuvre positive ( de la S.D.N. Il jugea nécessaire de tenir un discours dans lequel il s'est efforcé à mas- quer sous des traits d'esprit et des réflexions sarcastiques la lourde importance du problème et la négligence dont la S.D.N. a fait preuve a cet .égard. D'une manière tout à fait haineuse, il a jeté la suspicion et le ridicule sur les chefs du mouvement minoritaire, il s'est agréablement moqué de la profondeur de pensée et du grand sérieux dont a fait preuve Stresemann. Il a tenté de prouver (juj les Etats majoritaires sont obligés de se aéfendrç contre les minorités. Le caractère tranchant de ce discours et les pointes délibérément diiigées contre Stresemann sont expliqués dans les milieux français de la façon suivante M. Briand aurait été profondément irrité du passage du discours de Stresemann touchant à la révision des frontières. Il en est de même quand on explique le ton glacial de Chamberlain. II. n'y a aucune raison de donner une autre valeur qu'une valeur de propagande aux conceptions de Stresemann. En fait, ni Briand, ni Chamberlain n'eussent parlé autrement si la phrase incriminée n'était absente dans le discours qu'elle s'y soit trouvée nous n'avons pas à le regretter, mais nous prenons bonne note de la maladresse et de l'impolitesse pleine d'embarras du délégué français lorsqu'il a répondu à la déclaration de Stresemann, laquelle n'apportait, pourtant, rien de nouveau qui puisse surprendre sur le point de vue du peuple allemand.

Quant à l'argument apporté par M. Briand sur la souveraineté de droit des peuples majoritaires, la GAZETTE DE FRANCFORT n'en veut pas

Quand un Etat a pris une, fois des engagements il n'est plus souverain par rapport à ceux-ci. Ou la conception de la souveraineté absolue est-elle encore pleinement en vigueur ? Briand semble avoir envisagé toute la question du point de vue « amusant » ceci est-il indiqué, voilà ce dont on a le droit de douter. Mais on peut douter de tout, en général, quand on se demande si les hommes d'Etat de l'ancienne école sont, tout simplement, accessibles aux nouveaux droits des peuples, comme ils le devraient, afin de ^necer l'affaire à bonne fin.

Cela, c'est la discussion, mais un autre état d'esprit se fait jour la KOLNISCHE ZEITVNG donne pour titre aux interventions de MM.. Zaîeski. Titulesco et Chamberlain ces mots «Réponse des oppresseurs. »

La GAZETTE DE FRANCFORT (7 mars) fait mi"?ux

Sans plus de vanité, mais avec satisfaction, on peut dire que l'Allemagne s'est pla- j cée, dans les débats de Genève, du côté du progrès et de la liberté. Combattre en-faveur 1

La réorganisation

de l'aéronautique marchande M. Lnurciil-liynac, ministre de l'Air, a, conformément à la décision du Conseil des ministres du 5 mars qui l'y avait autorisé, déposé sur le -bureau de la chambre le projet de loi portant approbation de la Convention et du Cahier des charges relatif aux lignes aériennes du réseau d'Orient qui doivent relier Paris ù l'Indochine. Cette réorganisatiun repose sur la constitution de trois grands réseaux, le réseau Oriental de France vers l'Indochine, objet de la première convention déposée, un réseau continental de Paris vers les capitales d'Europe et un réseau occidental vers Alger, l'Afrique et l'Amérique du Sud. Ces réseaux sont constitués "par le regroupement des entreprises existantes, l'apport de concours financiers nouveaux auquel1 participent des sociétés de transports maritimes, ferroviaires, des banques, de divers groupements et institutions d'intèi'êl public.

L'Etal accorde aux entreprises une concession trentenaire révisable, dont la durée totale est proportionnée à la durée des amortissements tant industriels,que financiers. Il donne sa garantie a leurs obligations.

Elles sont dotées d'une charte définissant d'une part l'aide que leur apporte l'Etat, et d'autre part, leurs charges envers lui, les conditions de leur exploitation, les modalités du contrôle de l'Etat.

En rémunération de ses apports, l'Etat recevra le quarl du capital; fixé pour le réseau d'Orient à 60 millions.

Il est en outre associé aux bénéfices de l'entreprise par la remise de parts bénéficitaires.

Pour engager et maintenir la société concessionnaire dans la voie des progrès techniques et commerciaux, le régime des subventions prévoit le taux décroissant des primes de parcours et une prime de gestion déterminée par le résultat de l'exploitation. Si, malgré cet appui, un déficit subsiste, il pourra le couvrir, mais par des avances remboursables.

Le contrôle sera assuré par un commissaire du Gouvernement dont les pouvoirs sont détaillés dans la convention et comportent en particulier le droit d'imposer a la Compagnie l'examen de toutes mesures susceptibles d'améliorer son exploitation.

L'action gouvernementale sur les corn- pagnies, sera appuyée sur un conseil supérieur des Transports aériens où seront Représentés les grands intérêts nationaux, les compagnies elles-mêmes, le personnel naviguant, et l'industrie aéronautique. Ce conseil sera assisté de deux comités, l'un technique et l'autre commercial.

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LEGION D'HONNEUR

Ministère du Commerce

M. Desenfans, négociant à Cambrai, juge au tribunal de commerce, est nommé chevalier de la Légion d'honneur.

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Informations politiques

Les radicaux-socialistes et les missions Le groupe radical-socialiste a tenu, hier, deux séances pour prendre ses dispositions en vue de retarder la discussion des projets sur les congrégations missionnaires et de la faire échouer.

Non seulement les radicaux avaient décidé avant la séance de créer un incident à propos du protès-verba] de la séance précédente afin d'obliger les commissions compétentes it revenir sur leurs décisions antérieures, mais encore ils ont résolu plus lard de faire de l'obstruction par tous les moyens.

Le groupe a chargé une sous-commission « ouverte à toutes les bonnes vplontés » pour préparer,». çn.catjnuni. » des.'embûehes et des traquenards. les « volontaires on citait complaisamment MM. Herriot, Daladier, Aimé Berthod, François-Albert et quelques autres.

La commission des Affaires étrangères qui, comme l'observait hier soir M. Paul-Boneour, a travaillé avec uu souci de ménager toutes les opinions et de sauvegarder l'intérêt national attaché au recrutement des congrégations missionnaires, accepteni-t-elle de se laisser brimer par ces agités. M. ̃ Paul-Boncour entend ne pas s'associer il des manoeuvres puériles. La majorité de la commission s'il n'y a pas trop d'absents du côté des républicains nationaux, maintiendra les textes précédemment adoptés et repoussera tous les amendements soit en bloc, soit un par uiî, au prix d'une séance de nuit s'il le faut.. Tant mieux, disait dans les couloirs M. Tardieu, si l'on nous fait de l'obstruction systématique nous aurons vingt voix de plus dans notre majorité

L'état sanitaire de t'armée de Rhin

La commission de l'hygiène a procédé à un échange de vues sur l'état sanitaire de l'année du Rhin. A la suite des observations présentées, elle a décidé d'envoyer en Rhénanie une délégation composée de-^MM. Emile încent, président de la commission, Caujole et Georges Faugère et chargée de présenter un rapport de contrôle. ̃̃̃̃

Foch.

des faibles et des oppressés passe toujours pour une bonne cause

Quand, on sait l'arme qu'est devenu, outre-Rhin; le problème des 'minorités,- de-

telles proclamations font sourire.

Le débat est clos à Genève la propa- gande allemande continue.

"'• Trotskyjn frange?

M. Bliira a plaidé pour Trotsky • il a demandé qu'on l'accueillit en France, au nom des vieilles traditions.

M. E. Gascoin (AMI DU PEUPLE du soir) répond. au rédacteur du Populaire « La France, jusqu'ici, accueillait les victimes, mais non pas les bourreaux. » Ce qui rendait, en l'espèce, cette prétention particulièrement révoltante, c'est qu'en signant le traité de Brest-Litovsk, Trotsky, non seulement a trahi notre pays, allié de la Russie et qui s'est en partie ruiné pour elle, mais qu'en outre il a prolongé la guerre.et demeure ainsi directement responsable de la mort de milliers de nos soldats.

Sur les boulevards de nos villes, sur les routes de nos campagnes, « l'assassin eût rencontré des orphelins et des veuves qui eussent été, qui sont toujours ses victimes. Tout cela le sang sur les mains, la trahison abjecte, nos compatriotes et les meilleurs, sacrifiés à l'aberration la plus folle, les injures mêmes dont chaque jour le couvrent personnellement les communistes, rien n'a arrêté M. Blum.

Il s'agissait d'empoisoniiêr"'ùn peu plus la France en y introduisant un ferment de corruption plus que tout autre actif, automatiquement M. Blum, l'arrière-train chaud encore du dernier coup de pied de Cachin, s'est levé- et a répondu. « Présent »•

Et derrière lui c'est ici que le fait de- ̃- vient grave, car les réactions personnelles de « l'antipatriote ne nous intéressent pas en elles-mêmes derrière lui il y avait, se taisant mais complicé, tout le Cartel, depuis Herriot, qui a rétabli ce foyer de pestilence qu'est l'ambassade des Soviets, jusqu'à Daladier autre ventre qui, hier, déplorait ouvertement la défaite des communistes, c'est-à-dire des ennemis avoués de son, pays. « Soyons des défaitistes », écrivait ce .matin même Maurice Thorez, dans l'Humanité. « Qu'on expulse les missionnaires qui vont faisant briller partout la claire lumière de France, qu'on accueille Trotsky, propagandiste révolutionnaire et agent de trahison, voilà l'essentiel de leurs vœux, voilà ce qu'ils nous imposeront demain s'ils sont nos maîtres. »

Maurice Noël.

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-55 de l'Union Parisienne. |2S?5 ..2^5 }^° »--v. •_]_ m |,9 60 |uèd. 3 ï/2% 1895. 37 ..Wéd. Fonc. ^aérie-TU*!».. •«* •«»>' 35 ISC.rmaux .a. 1831 ,.|l840. ,v V Crédit -Gé«. des f?êtr4lee 1676 1670.. Chine 4 1/2 7o 2 76 1,2

80 .Compagnie Algénanne 2900 2830 Amortis,ab|e, |07 10 107 40 Suissu 1903 •••• ̃'•'• •̃ ̃ Crédit Foncier Arg<Mtirt.. M, ̃ ̃ 65 75; Çarvin 2l/'3 .2I05 6 sh.. C--own Mines 395 -389. Eaypte unifiée -• 85 1;4 85 1/4 70 ..comptoir National d'Escompte 2690.. 2670 ..|* ||7 Amort s sa ble 1 95 20 ?Urquie consolidées 189O. 465 465 -57 50 •- dt.B.rieii. S?.!?I25#fl255- 75 Bourges: 2905' 2850 IC ih. dW B«rS ordinaire .i'». 740 ..| 722. Extérieure 80 ,80 50 Crédit Commercial de France. 2070 ..2040 go°s *u Tre.or fevr 1923 95 Douanes 1902 380.. 375, 55.. Colonial S.< SB99f.-JrfP? Graïssessac: 5J0. 504 ..20, préférence, 1528 ..15 I Italien 19. 19.

120 Foncier de France 6075 ..6010 B°™ du Tr^or f^; '»« M5 50! 681 50 THbut d'Egypte Banquesde Province. I25ifr- 404 ..]40§ 40 Grand'Combes I43C 1475 I d. Fra.nco-Wyoming; 6rd' 6J6.. 616 japOn 1899'. 71*4 71 '3/4 .1,

2z ..e Fommer~'aF e ..ance"fJJ75 "16010" Bons du Tréao.fév. 1923. 539 50 54()-Priorité'Tombac. 380" 375., ;5.. iL Colonioll'ï~f.t~ 2<1, GraissesGec: 5JO, 65L' 2Q"b.. préfé..enca"11528 "11511 PIrtug,,i3 19 ~2 19.1,

22 50 Foncier de l'Indc-Chine 698. 698.. ̃ foj.|l| 539 50| 540 ̃ Pr orit.?iT ?mbac: -526 528,. 55 ..Isoc. alsacienne de Bin.qu..|l423 ..II420 .iLigny-les-AÏres. 650.. 650 7 ,h;6Grfdui3. v. Uv' 466.. 469 Portugais 41 ,1/2 .41 j 12 2

,90 -Lyonnais 4250 420O 4 192V 558 557 Tabacs du Portugal 710.. 706.. 50, SociéU Marseillaise. ij ..j., .jU5Q {&> Loire- «Mines de. I,) 790. 790.. 3 ,h.. Goldfields. Consolidated 365 3à0 Russe 19O6 512 512 1.

40. Mobilier Français °^ •• i 9 obligations 6 ?u 1927 ràSOO. 504 50 505 50 528.. 30.V immSlifière des Voiture* Hr:9î3: <M'.l 35 ;.}Mârrei 1258 ..1260.l'Holding -Français» 247 2A5 50 1909 5 '5 [12

r25 ..Soc.Financ.-franp.etcolon.3 00 ..3 I5..g° |"Chfe°état « f912-14- »' 50 362.. OBLIGATIONS .0= .S -37 tE slinElg S65 Ostricoùrt. 2325 2280. 80 Hotchkiss. 2400 2371 Turc. 4 22 !/<. 22 1/2 112

35 ..iSociété Générale 2170..2155.. _a 5%,9,9. 398.. 394.. 0, ,,fi ,7, ACTIONS INDUSTRIBLL£$|- ,f ̃ •̃ Huanchaca ̃'• '273. 265 51121 51,12

-S S3ÏUFSiï£S;>v^ KS o- -n– »£«& «*•̃ /!S?k3A:| » g:: »;\£minEtt.MairieJS^ .d," 1>' mo.:n«> ^fîSSïïâ?!T^i:g .g S.TKS:m: §î| qîWi!j?

Û2..S.c.étéGén.F.~r. ))39..U35 .Obh..d~ 1922.32. 96 "96 05 '8754% 474 50 4'2 3;ch~inE.t-At9.r.en.L~n.3.A~r,Tuni.~ 7 7»00~ILi'anosoff .396 ..3 ..East Rand, )2,9/.)).'6.

577 52 s«» •• ̃ 25770.. 25840.. Caisse autonome.! 623 50 622 50 «j ]*£ 4*.»M %j J55O ^,t tjb^fui de J-j^ l&f 0 V.Lf- B<°' part5 "SS :2'AHM"»oo.. ord ,r,410 404 Goldfijld. 9 57 9..

111 S^S.:»n°:^9^^ 3 383 378 ¡¡: 1894-96 £il:i: 236:: 238.: ".25 ':1 ,c Óy-e.t'1Wis~ -504; '1,0' ..¡Bo~ (Minos ,de: o..d, 4835 ,'Ii ^«!i^| f gif ;jgr^f!flfc|6

1130 Est j~ j~ ~B~ 18982% 270 298.. 25 "l" ,e~t,:A;n~j~~J, )11fft,J.. 1 "IC,ulv",e,et'PY~ltes,1 4-i~0r. .1,80., ~6r5!6

"1 •" «ï? «g M-il8,îl^.iS?. 7o » -If « S -il |te; g "• | "-•̃« -W^i^ta: te .tr£^X™ï: |i^ ™5:: ^l^^Zîtâ: | !°| g->: rî! »2«

•̃ Ly°" •"•̃ 270 |282 Maroc 4% 1914 435 435 g- 19O4 2 1,'2 Met. W 299 ̃̃ ,aasinvGWrau*-de P. arKi'-WOV.-i'tïi»- C9..U'Pétrdles ÎCie Industrielle) jlOOl ..1001 18 L.iMontecatini 387 384 Mexican.Eagle 12/9 ..12/9,

S-fd' ̃ 2640 2725 S% 88 484.. 490 "1 '9°S 2 3/4.. f> 386.. ̃ «Cornp. Générale des). 2300 .:£&̃> 100 Dynamite (Ssciété Centrale)..3430 .,|34OO -JMowmbique 1?+.. 97 75 Royal Dutch 32 1/2. 32.3/S.

*y.°,r.d ,.••̃••̃• |33§ W4 Tunis S% 1892 307 309 ^1 1910 2 3/4 Mât. i. 255 255 vichy tltabl. thermal).. i 2845 ..2870 60 Electro-Chimie Métal. J3I0O .13100 10 /Navigation de l'Afrique du Nord 402 .392 ..Shell. 4 11/164 19/32 .,1

65 •̃ Orléans !̃>» •• Tum» 5 1B3.J 484.. *> -Jf ,910 3% 242 5U 241 50 ;iE,â»%teot. lndo^Cham.«T,. 7&8C J7690, v<(2 .iRhôna-Poulenc 3800 ..j3775 69 10 Padang CCaoutchoucs) 1223 1J94 North Caucasien 3/9. 4,

65 Orléans 1338 ..1344.. Tun'$5% 189:2, 307.,309., .J 1910 3%1 24l,5tJ ,24150 '60 ..tVÍC.hY(Eta¡;l.the.a1J.I~~ "12870.. ,60 ..¡Ele:t,,0.Ch,m,eMAta'131°O ..13100.. 10.. Nav.gabondaIAf.queduNo..d 402,. ,J9l Sh.II.111I614,19132

130 Santa-FéCCiefr. Ch. far Prov.) 3930 ..3930 ..Crédit National S% 1919. 563.. 558. 19123% 229.. 226 W »-, ̃•̃"̃̃ bh .}j 73 Le Ripolin, 'bpis. 3555 ..3545 Ipekin Syndicale (Shansi) 83.. 82 Rués,an Oil 3/ 3/

35 Métropolitain de Paris H15 1101 oWifl. Sop' S 192O.. 520 519 >j ,919 S% 455 454 ',2!)3 Air co^Mrt.ï.• V.Î.V;: 5331i^350H< l(34 14 SaintlGobâin/Chauny 8645 IV 8640 20 Phosphates de Constantin». M65 1155 Venezuelan Oil 4 .3/32|4 .5/32

65 Oisir. Parisienne d'Electricité. 2940 ..2925 30ns 6% 1921 .540.. 540.9215 3,4% îaî im 43 17iC6bles Télégraphiques .«. -830, ) 8»s^ 275 84lsoie Artificielle 13850..13750.. 20 Phosphates Tunisiens .627 619

35 ilerfricité de la Seine U&HiînS" 6%1922déoen 515. ,924 6 1/2% •• 503. 505.. ^disànl,PJ ,t.J800 .1725 65- (Salins au Midi JI995 ..JI96O- Randfontein 5175 51 25 Anaconda 321/432.5/6; 1Ô5 Electricité CC" Générale d'). 4320 4300 6%1922 •̃•̃• 527 50 1879 2 60% 492 496 30-|Electrici-tê et-jGaa: du ^^N6rd;.V.'ïl320 ;1330 "ji 600- .iPort du -Rosario J34675.. 134450.. 5 Rând Mines. ;i. 400 3V» Steel Common 188 190 45 Energie Littoral Méditerran 452 •• £6.. 6 janv. 1923 525.. 525 Corn- |79| bq 498 757;. Electricité de'Paris'• ,4585 ..V4|5a .| choeurs Réunis, p.rta 1950 ..1950. ROUmano-B.lg. de Pétrole, 66 25 .66 50 Marconi J. 15/16 3 1/32. 1" 35 Energie Electr. Nord France.. 260 ..245 6 juin 1923. 536.. 537 50 cômi 1880 3 '495 -«9^. 103- Electricité de-gtraèbourB '̃'̃̃̃̃l^ ̃ •'™»z '•̃" 35 Havrïise Péninsulaire CB) 440 447 Steaua Française 483,. 4»..Malacca 2 3/16 2 3/16. 36 Thomson-Hou.ton li^-ilil" obliS. 6% 1924 540.. 544 z ^™" H3 | C 281 181 20+fl4iv, de Varsovie ord i: 48». 48»; r, 52 59|r™nspbrts en commun 8M> 824 ITanganyika. 539 09 Kuala 63/9/ 65/ L

125 Dives 3590 ..3585 Départ, du Nord 6% 1921. 505 5J0 < Fonc. B»| 3 .0 300 300 Sr^Forces Motrices du Rhôn,? .J4175 ..4190 .30 ..Transports maritimes 947' 919 I .h.S^Tavoy Tin 104 |02 5U Escompte hors, banque .5 .5/16 5 .3/8.

25 For. & Aciéries du Nord. tEst|2O35 ..2030 ..Ville d'Albert 6 507.. 506 £ Fonc. ibbs 00 /o m 268 M5-8j^oW1,Mbiî.ic-dcfRMrieC ^SOOÛ. Penmsulalre 440 ̃ 22 50:f erres Rouges .V. 720.. 70O..prêts 4.3/4.. 4 1/2.

655 1637 Ville de Reims 6% 503.. 503.. wm ibm J)0 3)() ..>Havr«t.e d'EnerBie E^ctriWè. 1520 .1523., 265'ï: B'iHédictirie 1 1980.. 12000.. 3 «h.6 Tharsis. 778.^ 785 s Paris.. Cchange) .124.235 124.24..

•50 Courneres Ville de Verdun 6 50: 506 fis 2 80% 313 ..312.. 125 ..flhdo-kinoise d'Eléetrieit^ 3775 3HS. '435 ..tirass.rie (Jujlmés 7950..7950,. 3 .h^Tin Selectiop trust .1*8. 166 S/NeW,York -> 485.16. 485.09

1S ..Lens.•̃̃••• Asturiennes dea Min. 506 }||| 2 60% 298 302 30 ..ÎMaroiStne Distribution 2030 ..12040 ]25 Distillerie Cusemer 3095 ..3050.; 1 ,h.9|Transvaal Consolidated Land '285 275 Rio. 5 7/8.. 5 .7/8.

18 5 a 1467 ..1421.. A~t~"i:nn:e~M¡~ .i 51 506:: Fonc, 1699 2 60. 31 ;3IZ 125 "Ii'ltjo.Chi,noised'EIe,ctr,icit; 5 760 2W bi. Qujlmés.7IJ;0 ..17950. 3 ,h,3¡Tin 273 $JNew,yo..k. ,J185.16;¡485'09

35 V.ço.gneetNmux. >- 412 411 Atolier Conatruct. Ueumont.. 511.. 507 ..uj ^103 3% 327.. 327-, ,22 50 Nantais*;d'éclairag?5ord .,t'.l', .v|?760 200 ..Distillerie de l'indo-Chine «M5: 4800 10 I.Tubas et.F. de Soanowice 352.. 3* vilpa'raiao 39 52. 39.46

..Bolet, ,™ ̃ ç\e d'Energie Electrique 503.. 504.. o c°™' J|o6 3 '316 50 316 50 '22 50 ¥ priprité- M IË. 50 Grand, Hôtel 1030 1025 45 b. Tubize prïv ̃ 945 -9.32 Bwen.os-Aires 4731, 47.34 35 '• PfWrcya •'• 2290 '2285 EBlls«« dévastées 502 518 z £om; ',9093% 170- 169 75H.. Ne^LurBftre, A w i.J.: 4NQ. "42» ̃• 20 V. Grands'Moulins de Corbeil ord. 320 3!2 5 .h.. Union Corporation' -55! 536 Argent Cmétal) (comptant) 26 1/1626.

•Platme .•̃ •̃ Grosse Métallurgie 6 509 SJ £ Corn 1912 3 .17250.172 .vr;. "ih '̃; ̃£> < 5i V. 35: U Sucreries Brésiliennes 924..910. < CuivreCcomptant).J82.9,M682.9.'32:

v pabrowa-CPetrolas). 405.. 406.. 6 ,,e6 505 u^ Co^ 92 3/0,^ T .pyrtn^nne ^Eheriië eWtr-- ?^ •' 2S0-. Ciments Français.I930U 9150 .COMPTANT,, ..r, r. ̃

40- 1'e 405.. 406.. 6% nouvelles. 505..U. >- Com, 19123%Ó" 175501:17~ Radi- r¡" n;7'{i" ;"¡"s&:¡'¡J5iJo' 3S;S~cre.asa"ésdlennes'1924.. 910, <:uiv..e'(comptantJ'i82.9,16182,9'32:

= 4o:W^l. ;i2g.Fp^î;922:^ | || E-^fe±:i7?:;i7i^ .R"d,o;;el.t;<~¡' 67IJ" 23",45.. tt&Sùt^ :ai» ::© ;4B.ouW.Pht.d.H,«m.1o6u.,bi,ïw:Y0^8M^ n v|,0

35 ':iGafs8 1325 "iI32~ t ,as;, e~ ère Française..5 50 505" 503" -IJJi Emp. 1917 5 1!2. 2L ',i 430;,50 ~5,IRadi9.F.fance 'b"¿J~ 432 ..11~ "10'de l'Indo.Ch,lne¡¡.125U ~20, ,Bekou fN.phtel'!e> ,¡IQ6tJ 'c ÍÍM' ;112 1. 110,

'7,0 :t~4~ 4060 l~d~:t~I$ ~1~~ciens19:2d. 496 500 a:i Com, 19:2C 5 11,2 :97' 9'1' "15 432 'l\jï35O" ojQ :~r~n.85Ô ?. 64~c' .650.h~ '485;031485 Ô¿'

25 lProduits Réunis" 940.. 930.. Maison Alsac 6 498 505.. 0' Emp. 1921 6 0~i2. 4 5mo 50 ..T~le,Q..apnle sans~l~ 1375 >il350' ,75 ,}3rande Malsor. de Bla~c 18S!! '"11850.. 64'Cesso,!s tCHà",bbn) t645, 1650. a es 5..«, fées "390 1. 134 l'

.;|S^1:K^>^ 509 510 Com, 1922 670 t, p. g.fect^é: ~q, 138~' --t50 50 ",iN6uvelle. Gale. "v. 89> 894, [0 péutilete ,j4u~ "1 955 %0.. iJ1 ~ges, 3 1)2 "<"1 91jj~' 7~/3~

'30.. Ai.. Liquide .1472 "11490.. Usines sinist..ée. 6112' 518 ..AleaceÕrorra,ne310<'Ch,de f.) -,301 7"" 16ï'1" 8O"Agence~ H,sYi's.1515 ,1530.. .Kelol (Le) 9;3 74 '5\) Beltimore,et Ohi"31 ¡'8iI3 l'

'Caoutchoucs Indo-Chine 1606 tao AI 3 0/ 1902 367 37; É;s+.6 ,0. .414 jJ .100, Alsacienne ,'ndu,st.el,1~, t'l'II\13!UQ .1090.. 80.. ¡D,dot.Bott,n' ~H"" ,1188ü .,11865, 17 5Ûiomnium-Pét!les ,T' ~41 '"1I2ü,, Canadien P ,,0, ""747 3 "4'2J i 8 ¡

20:: Citroën, B 1685 ..lt80.. ~a 6 1921 512 515:: 4 ancienne 34~' "1 342: 30- A"C~~YJén~f.trifç¡' ét,M~2615' =' .i+:t:F.iga,.o~> 8500 l," Î40 175('Om~ium.PAt~ea, T' '341 '1.339, Ch~iapeake,& 0 220 j221 i

,SS«: T~ 360.. 356..Ly.n~ 855 n. ,,34. 3~ ;At~Cn~ 7.5: M Occidenta!, (C,, 37oo.. 3725.. »::ta^ i^r ::ESSr!l i f I

6 OroBdi.Bacl(i; 799 795 Tunis 1902 299 305 "1'342" 1AteL ha e¡,CI!V"ï2695+'U' 90 Afrique ache te. 370e 3725 72~ i 282 8975 289 c" R' "Bf$IW'11''8'

'106 Pathé.Cinéma(cap,). 799.. 7.5. 6% 469.. 4 ,Atel,&"Chahtle..sdelaLo.e"1 9O..AfriqueOcc'denta,.(C),3700..3725" 725..Monacc.n.8950..@75.. Central 141 3~4~l

Peauge;t?.e.m.a ??: «« :• «g A,,ema8ne.924(Dav,es)10OL. 13040.. 12715 II": .408 «I 55 ..i r- Co^Nord'd^, F«*^P 54:27. Air Liquide (parts) 807 79 0 5 D.Jutah Copper 8050 6150 {^l^ 44 m\Z t ïï ï SSiïSaSES. S. S ::I *&$%=. H:°* z MEE= &£ÏsSS l 'f I &%&̃£= | :Bl ~mM,s i £?– '^= 1 ^1 «

100 Union Eurooêenne 2235 2225 A..gent.n.s igo7 24W 3 F~,s.on ane, 332 ..13 0 Ch~n,t1I>s Sa.nt.mz.,re'J62j)¡) 1200c <Etab(rs!ements). 5450 5450 ~7' York Cent. 77 114 1 7 ,l,'

)OO..Un.onEuroMenne. '5 ~9~9.23)0 2)/2% 31 30.. 85 ..CnttiHon~omm.rttry.J62ÛO,6200. 70.Orag.sFrancais.995 .990.. C.' nsylvanla. ¡ 1~4

Russe Consolidé 1 16 70, 46 70 4670M.d.B<,nsd~nn.u.6% 5)0:. 5)0:)2..D~ 394 (parts) 575.. 566 CHANGES l' ~h~R~ay'46:)~

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'] 5~)906. 16143 95 '0 )48ÛBr~4%<889. 6 :(0. 27 7 ~468 4,j5 ::503'" ,it'.i,EI~C~I¡Je (o\,d¡;wres)"¡,tIJi tO7O ~25, ..igaveau Continentale Cc nipteurs à Gaz, ~6.. 532.. Lonores 124 25 ,M23S~rnP~ifi~ )303:~

;«à?;ïlS-™"t' '»"̃ D 50 z i5,psSï^ï:i6»::i8B:: !&=:̃§. S*1^ f :$Z% o.r:|||i;:Sii; '"Sïs^rSvv;: HftgiS

•• •̃ s%19',4 103 102 20 Bulgarie 5 1896. 630 Nord 6 série F 471 479 .85l.F,iveS,un.0,v. ,vf.V..v f290 .,2S0 35 ..jMarocXC" Générale du).|IS85 1643 Allemagne 607 50 utah Copper 320 320

5 Unifié. 113 11240 1909 (Pernambuco), 1099 Nord 4% 37.0"" 479 385 L -) ,(dl~lë~ep.rt~'1229Û" ,3,. 70 ..)aecA~er.1610 1640.. New.Yo..k 25 61., 2561 A Union Pac,f,c. 1583\'15

Banque NatTonaé dû Mexique. 725 729 I 4 1/2 1907 660 656 •• S% série E 400 405 | T. for8/* Acier HutaBanK^ ,.1660,jTaBacs.(C- Générale dea) priv.- •• -j Argentin.v, y »£ V^ ̃; 213-f 4l2l4-i;-2:

Ottomane 250fr. 72? 19ÕÓ" 41/2 1907. 656.. 5 sèrie E. 400.. 3'10" 3o Fo..g.'& Aci; Hutit:ij'ank~22OÓ ~'1219O"" .[Tatlacff,(C" Géné..ale des)p..iv, 7995 A..gentine, 5 5 A ah, oPP~13 i,l'121~ j'z

l'S Ih', 1 Crédit Ottomane 250f. 190) "1 5%)9o2. 5a6. 4:ro sé.e D, 334906" 344 -i0.e~tmont.Y~ 425.. ¡Tabacs du Mf,oc. ,j799g 7995828 Belgique (\00 be.lgas). 9 ~'°"a.t,.hA.T-(. 29~ M5,R

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Cours et Conférences

Aujourd'hui:

A l'Université des Annales, Colisée, 38; avenue des Champs-Elysées, à 3 h." « Un novateur Claude Debussy », conférence et concert par M. Robert Lortat. (Cette conférence sera répétée lo ,11 mars, à 5 h.).

Au Musée du Louvre, 4, quai des Tuileries, à 14 h. 45, conférence par M. Pierre Gauthiez, docteur es lettres, sur « Bronzhio ».

-j1-' A la Mairie du XVI" arrondissement, à 5 h. 30, conférence sur « L'Acropole d'Athènes », pur M. L. Hourticq, membre de l'Institut.

M. le.gouverneur des Colonies Cayla, commissaire, général adjoint de l'Exposition coloniale internationale de Paris -1981, fera le mardi 12 mars, dans les locaux de l'Ecole de législation professionnelle et de pratique coloniale, 6. rj&e.-ilatîïïév une^icanféréTteie saivic: Mxas inédits sur ^'Exposition coloniftle dç'Pai'is, syhs la préside]. ce de M. Louis Pirtoust,' député, mcinll)re du conseil su-

périeui: de. l'Exposition. '"•'

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Cérémonies, Fêtes et Réunions

"7- Rappelons que c'est ce soir samedi a 22 h. qu'à Heu dans les salons de la Mairie du X' arrondissement, le troisième bal de.la: Médecine française, au profit des veuves, et orphelins des médecins.

DiinahchelO mars, à l'Hôtel Continental, bal organisé par les anciens élèves de l'Ecole J.-B. Say et les anciennes élèves de l'Ecole Octave Gréard, ail profit de leurs œuvres d'assistance. L'Institut Colonial Français donnera le lundi 11 murs un déjeuner en J'honneur de M. Maginot, ministre des Colonies, sous la présidence de M. Raymond Poincaré.

La Fédération nationale des anciens- chasseurs à pied et alpins organisera pour le 15 mars, à 20 h. 30, au ̃Gaumont-Palace, une soirée de gala au profit de ses oeuvres de secours.

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L'Heure du Déjeuner

et du Dîner

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L'Heure \iu[ Lunch

DELMONICO, 39, avenue de l'Opéra. Bonne cuisine. Très joli cadre.

L'Heure du Thé

CHEZ FASTV X3, rue Royale. Elys. 22-03. CLARIDGE'S, 74, avenue des ChampsElysées. Orchestre symphonique.

COQUELIN-COURCELLES, 1. rue de Chazélles. Le thé élégant du quartier Monceau.

LA COUPOLE, Montparnasse. Ses thés dansants avec deux orchestres, jazz et tangos.

GEORGE V, 31, avenue Goorge-V. Son orchestre symiilionlque.

MEDOVA TEA-ttOOM, 3, rue de l'Echelle. Lunehes et dîners, prix fixe 10 fr. LE PRADO, 41, avenue de Wagram. Ses thés, avec le fameux orchestre des 14 Balalaïkas. Wag. 04-10, 04-11.

RITZ, 15, place Vendôme. Central 43-1)9. RIVOLI, 2, rue de l'Echelle. Tea-Room. Ouvert tous les jours. Lunchs.

RUMPELMAYER, 226, rue de Rivoli. Gut. 22-22.

LOUIS SHERRY, 6t rue de Castiglione.

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L'Heure du Cocktail

AV CERTA, 5, rue de l'Isly. Dégustation de Porto cocktails.

CHATHAM, 17, rue Daunou. Bar des tur- fistes et des hommes d'affaires.

LE COMMODORE. Nouveau boulevard Haussmann. Son bar. Ses cocktails. L'Heure du Souper

LANGER, Carré Mariffny, aux Champs- Elysée». Tél. Elysées 28-48. Déjeuners et dîners thés et soupers dansants. Toutes les spécialités étrangères sur commande.

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L'ART ET LA CURIOSITÉ

A l'Hôtel Drouot

Beaux meubles, bronzes, etc.

Journée calme, avec de rares vacaiioit!» intéressantes, mais en revanche de superbes, expositions idpajb ljàjvfcntes élit lieu aujourd'hui.

A la salle 12, M" André Giard, remplaçant M"-K. Lair-Dubreuil, dispersait un bon ensemble de meubles de style. de sièges vernis, de bronzes d'art et d'ameublement, de tableaux, dessins et gravures.

Un vitrail représentant L'Adoration (le l'enfant Jésus, dans un cadre de forme architecturale en bois sculpté, fut adjugé 2.000 francs une grande vasque sur colonne polygonale en marbre blanc SQuljité, 1.500 francs; un groupe en bronze patiné La fuite en Egypte, par '(Jérôme, édition Siot-Decauvilïe, 1.720 francs un groupe en bronze patiné et doré Le fauconnier, par Mine, 2.400 francs une garniture de cheminée en marbre noir et bronze, pendule de Barbedienne, 2.020 francs un ameublement de salon couvert en tapisserie d'Aubusson à décor d'arabes- i

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ques, style Louis XVI, ll.«K)"func^-

deux fauteuils et deux chaiseï en #£. ironnier et marqueleue, époque LouTi- Philippe, 9.000 fi.mcs; un ameublenteVr de salle à mander .en itiinnmei e-l flFnifments de bronze, 9 4-50 francs liîl ameublement de chambre a coucher en noyer sculpté, style Louis XVI, maison Drouard, 7.050 francs »;i piano demiqueue de Steimvay, 3.500 francs V" M/T meuble à hauteur d'appui en bois de placage, à deux portes garnies de pan! neaux en laque, 16.000 francs; lll% jtçf't e bureau dos d'àne en marqueterie/' Me bois à carrelage, 6.600 francs, et un lit sculpté doré, capitonné de soie bleue, avec sommier, matelas et traversin, 2.720 francs.

'Tableaux modernes

A la siille 10, M" Roger Wnlther et M: Fabre A. ont obtenu dans celte originale vacation 1.820 francs pour un dessin par Marie Laurencin 1.400 ..fr., pour une aquarelle' par Rodlii 2.230 francs pour unu aquarelle îpar^Si'gBîié'ï' 1.05O-1 francs, pour un. \P.ay«çget- par lioyer; et 1.450 .fKanç,s, polir- ,mie,,t,q(}i;. .par.-Degorce Bâtè'utixr.' Les livres de feu M. Eugène 'Jore'l" A la salle 8, M™ Raymond Warfn 'et 'èT M. Lucien Goùgy' contlnudicni-Mii dispersion des livres- anciens x>t modeili»es provenant de la librairie de feu. M. liu-, gène Jorel.

Un certain nombre de suites des eaux-fortes pures sur différents papiers, des illustrations d'Edmond Hédouiu pour le Théâtre de Molière (Morgaud 1888), furent adjugées 8.900 francs; il h exemplaire sur grand papier vélin de Histoire du chien de Brisqtlet par Chairles Nodier (Pelletan 1900), avec un dessin original de Steinlen et une double suite des épreuves d'artistes:, signéos,, 6.900 francs, et un exemplaire sur, .yipon de Le Rouge et le Noir de Stendhal (Conquet 1884), 9.65 francs.

A la salle »-,Léon- Flagcl et M.: André Portier ont commencé une vo-ate d'objets d'art d'Extrême-Orient flui prendra fin aujourd'hui.'

Maurice Mondas*

Succession de Mme K. M" Raymond Warin,; eoinmissaircM» priseur, assiste de M. Joseph -Logé, e. pert, dispersera les jeudi 14 et vendredi^ 15 courants, à la sàllcr 1 de l'Hôte'^ Drouot, un superbe ensemble de mc-ubles anciens et de style. Citons pur {ni les pièces principales un lit garni de, tapisserie au point de Saint-Cyr,' des porcelaines de la Chine des époqu'es M.ing, Kwig-Hi et Rien-Long,- des .Vases

et objets en célfidon iujigMsSiîÂïR'PJ»»

Bçaux en tapisserie aw^cUt ytâ^ij^ objets antiques, et un' îrhjxMahT rràjfi; ment de tapisserie lotWqlfV'f^péVMn^ nngcs. L'exposition .«Ui'a>' lieu,; Ifi ".nu'i" cmti 13 mars, de 2. heures à < lu; ur.es. -C ` Expositions

et Ventes d'aujourd'hui VEXTES}:-

HOTEL DROUOT. Salle h" 1. Vente. Tableaux anciens, dessins, aquarelles et gravures. ̃ M" He$hi Baudoin, eommissairc-priseur M. Mijrboutin, expert. HOTEL DROUOT. Salle n° li Vente. Succession de Mme X. Importants bijoux. ̃M0" Lair-DiîisitEun. et Baudoin MM. Reinach.ct Gharraud. '>

HOTEL DROuOT. Salle 11» Vente. Gravures, Tableaux modernes, Argenterie, Faïences, Porcelaines, Ivoi-res, Objets de vitrine, Cheminée marbre et bronze, Meubles et Sièges, Tapis^ de la Savonnerie, Tentures. il' Edouard Koiîhnier, commissaire-l»* seur M. Robert Gandouin, expert. -,v EXPOSITION D'ART t

GALERIE VINCENT, 13, rue de Seine Exposition « La panse a, dessins de Rodin, du 9 au 23 mars.

GALERIE D'ART LKGKDE' (Le 'Crank î\V«à%isAh r«e Drouot la plus import>wt«r e,MY>sitii>n de*' s-er'vit'ds^-çlc »labh«, tisû'vw's '(«?" 'nos. 'Vnra^ïtttmf «irïiitps «r. tStoï<<"»e Lalique, Cr'e^el,r,]).n'fii, ~PÙtWS ,piuuiune, Gilet, Thibaut, Beaunxônw

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antérieurs, soit f 18,5421*219 francs, for-

\1 Il t,£orieurs, SOl,t rio ~~iddlimts~ Et8,ltgüSB

njtf'-àil un ̃total de smliiillionsî tf8,U*«S8

Mmes 87. »<Lè' -conseii' dVdmht}s4i%tièn' proposera à l'assemblée de prélever sur cette dernière soni'Biurs2il,760i000--francs pour les porter aux réserves le solde, soit" -:4;32(l,053 fj\f8î<«erait fçpcrt» à .nouveau- -Le conseij propose-ra; ég.alei()e.nt a l'asVéniblée de -porter aux réserves ̃lmi,<i(ttl,00u' de franes;' repr.ësl'iilanti"des >î*6visiotis' âïicie:niie's,S)eon!stflS^ue-iA)* titmiïietit auiçô»U's ..d^s;e.14eCTJf«jSiJ*V^'aS4rj gueu;rc;et, qui dtaii'nt devenjU^ s#ais objet.'Ainsi,;coinptc.tenU d(S ïaU^O.OTir1

francs à provenir ^lg 1^, prime d'émission des actions A uCîi correspondant à l'augmentation du capital en cours, les réserves du Crédit Lyonnais s'élèveront à 800,000,000 de francs.

Lé dividende de 100 francs par ..action A et de 33 fr. 33 par action B serait "distribué comme suit Un acompte de 45 francs par action A et de ta francs par action B payable- le 25 mars 1929 le solde, soit '55 francs par action A et 18 fr. 33 par action JB, payable le 25 septembre 1929, moins les impôts. En conséquence, l'acompte net, impôts déduits, mis* en payement1 le 25 mars l'J2i) sera pour les actions A nominatives i,de 36 fr. 90 pour les actions A au porteur de' i31 fr. 05 ,-̃•> pour les actions B de 12' fr, 30.. Le payement de l'acompte sur, Jés j}ctipns;:Ar%ii, jporteur sera effectue contre/, remise du coupon n" C7,ile' coùpisn n";<fiB servant- à la' soiiscripfian fiux ̃Iictîoiis A .maaivélles- Ce .payement aura .lieu.; ydunSi.^o^s \e$ .sièges et agences du Crédit lyonnais en France et;, à l'étranger,- à Bâle, 'Berne et Zurich, ,aux: sfèges et agences des établissements'' suivants Banque commerciale de Bâle; Société de banque cuisse, Banque cantonale de Berne, Banque commerciale tle>Bcrné, Crédit suisse.

CriÊMIN DE FER DAKAR^KAYES-NIGER, Le Capital public dans son Edition Economique du 9 mars une -'lettre de' M. Albert Lebrun, ancien ministre des Colonius. L'cmincnt vice-président du Sénat, actuellement en voyage en Afri.yjie bçcidcntalo /M-ançaise, signale l'im- 'portance de la îigne ferrée Dakar-Kayes̃NiKcr v. -.•̃̃

« Quelques cfiWits pour fixer l'importance Au, trafic. Ue 1905 à TJ23, le Kavcs-N'igér a vu le nombre des voyã geiirs passer de 72.000 à 390.000, le tonnage de- marchandises de 20.000 à 70.000,. les, recettes de 5 -«îillions à 14 millions de francs.

» Le "l'hiès-Kayes de son côté a vu les fihêmcs chilïres -moHter, de 1910 à 1923, de 130.000 448.000 .pour les voyageurs, de. 78.000 à 133.<M)0 pour les tonnes de marchaiidises, 1 million a 11 millions de francs pour les recettes.: ̃ « ;Pour ^ensemble de la Hgnp, le nombre des A'ovageursrkHomètres s'est

élù^c de 65.ÙOO.0OO à 75.000.000- de

1923 a 1927, et le nombre de tonnes- ¡ kilomètres tle 27.000.000 à ,8«.,OOO.O.Q0. djins le ^mèjiie temps.

,,î «îiÇièslj.as.'ie^ (dir:ç. que. HouXil dont a ̃'éïé; ainsT (fofée .'l'A.Q.V.. report^' rt-des'i '*¥i*«te %disian"«r( 'êtl, àSliaïvfà Jaj-ge-. JUBifc'apoup («).-fii>i)tiiîa»j»ldév|îl,oppamçnt

;~t")omi,()Ue,jdc la çn~Orllyim,.td, 4

̃ftcanoiiWI^ende l{i çtfpn\f. » \A\ u (

Le registre du commerce,

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L'socialion des présidents ,des Cbamlnçs de commerce de France, qui Vient de se tenir à l'aris, a demandé qu'à l'avenir les nouvelles inscriptions, lés radiations et modifications au registre du commerce soient communiquées aux Chambres de commerce tous les trimestres. Elle a également demandé que toute inscription au registre du commerce fit. l'objet d'une publication sommaire dans mi' journal local désigné par le juge. Elle- enfin exprime le voeu que les .commerçants aient la possibilité de i'ournir toutes justifications vis-à-vis cic l'Ailniinistra'ion des Postes pur simp(e production tl'un extrait du registre commerce.'

FOmîrDÎrHAVRE

-'(' •̃ ) > y^~

Les pavillons de la 5° Foire.du Havre, qui aura lieu du 30 mars au 14 avril prochain, sont terminés et livres dès maintenant aux -exposants qui peuvent» procéder à l'installation et à Kaménagèriicnt de leurs stands. j>[-j(|' iVn. 'tnès |i'and nom-b^t'l trexposants ^«auvajios^'ii)- <iî« 'tyiSPRilV11' ccttc ma"

(pif~t, fltio~¡,¡ tCÇpnunudtl~ 'i~

tfïsBr/nftrs au' nombre d'fS grinutes Iqi'res-'dè- YtiïiKe. Les démi(ndè*i'1ft><;niplaî' cément peuvent être faites; "jusqu'au 15 mars. à M. le président du Comité d'organisation de la 5" Foiré, du Havre, Hôtel- do- Ville. Le Havre. Tlnu permanence est établie, chaque jour, de 10 h. à midi et de 15 h 17 h., au bureau du Comité, place Guynemer,

dujiS'vlV'nceinte de la Foirt.

'~J¿:~=t: de la Foir!

CHEMINS UK K*R ANGLAIS

DéliviiiiiH'e de ^billets spéciaux à prix réduits, de Paris pour Londres et certaines mitres villes anglaises, à l'occasion du grand sti'epît^cliase. à Aiutree et les- fêtes" ue Pâquc,

Pour tous renseignements, s'adresser tïmiipaKiiii^ dû1 Soutlirrn Bailway, 14, rue

du <4-SeptjCinbte, Paris. Tél. Gutcmbcrg

du. 4"Sçpl1'mbJ'c" Pttrla. Tél. GlltL'nlbCl'g '1

iuri3.

COURRIER D ES TH Ê ATll E S ̃ imimii'

Croqué par lui-même M. PEUILwLJÈRB

:(/ai vie/it de créer Pipe et Madame, de M. Roger Ferdinand, au GrandGuignol.'

Répétitfon! générale EN ^Af^p ̃̃ ,:)(1, ;tit Au TUKATBE, RE LA .SeNAISSANCK (Dlrection intérimaire)' a 2 h. 3(i, répétition générale de ̃Ctrcê, plètp en quatre actes de M. André Pascal, avec M. Constant Kémy et Mme Vérà Korène; SlmÇs Charlotte Barbier-Krauss,! 'Marie Laur,e, Jolyri^, Maria Nice, Monique. Ersan, Lise Bertnier,. Giliane, Noroy, d'Aryplà; MM. Numès, Ai-vel, Begèoi'ge, Dartoiss Was^cp, Nersey et Beliéres. ,< ̃ .P.remières, repr^sîentàtioijB i

Pnemlères representâttone

EX SOlHEEff: ̃̃'̃;̃ -̃̃

X.'fc.-Aifia'à^jii'fBnr DBifR*ws, à; (S.i&eures 45,

i~Y cTjit~rib'1Lu(tvc~t; lttl.p'iltét~él qualr4 .t\<l\9~\

yfcftHf titlVaffv (le, MMlâibfcl-'PagnoI, mise1'

dr.téri«Î5dtflî9</BwlfI!«rir. ')' Vlljp 21 Ult

"1 ~)I('¡'¡¡,WÍ;'7!J~llil'f J-0'; ,l!iAl ,'At'c;¡¡'" ¡j~

D ~r~r~f 't^

n matinée

A In Coniéiîlc-Frnin'iiiNe. à '4 lieu les •>. 1 10e înjitini'e poctifiae, poème,? dits par MM. Jean Hervé (J.-M. de Fontuubert), Paul Gerbault (Edmond HaraitcOurt), .Tean \Veber (Gauthier l"erri(',res, Gaston de Huyter), Maurice Donneiiud' (Marcel Hauriac), Jean Marchut ̃ (Baudelaire)* et Mmes Mary Marquet (Marcel Haiii'iiic), Aijdr^e du Chauveron (Paul Fort), Ilretty (Suzanne liucliot). Poèmes chantés (Edjiïoud. Upstànd, Rniniaiiui'l Chalirier), ..l>ar Al. Pierre Ber-

lin.

L'Obole.' il'iUi' soiït'Wh'ciett, p'oèm«| dialof/iie de M. Jçan Sai'mcnt. Musique de Claude Debussy (M. Paul Nùmn, Mmes Eniilienne Unx, BertliK Bovy)J •'

Notices d»;MM..I.JI, .osny allié, Krnest Pi-cvost, Denis Amièi, J. Valmy-Baysse, lues par Mi Dessonnei: ̃̃'̃< '•-̃

A l'Odéon, ii 2 h, .H0 (aljiJU. moderne. sério orungë), le Père^ L'ciïoniùù'd, la Hosc de Jéricho. > ">

.\n Thviilre des ChsimiKS-lïlprsvts à 2 h.,

'l'I.él\tre du C'laml'E't~e. it 2 Il,,

re])résentntion du Tliéùtre (les Picooll.

Au TflHinHi-I.jrlqUc, à" 2 li. :!0, Mar-

ina- -•••: > ̃̃•• •̃

•(* •̃> ;i- ̃

L Même spfectacle .qii'pn soirée

Au Nouvel- Ambigu», .à, 2 h.iU au Théù-" tre Antoine, A' heures 30 Un Théâtre ciu (rrand-Gnignol, à 2" h.. ̃>; uit ThlK-tre des Miitliiirinsi a 2 ,Ii. ^J0; au Théâtre SajntGforges,' 2' h'. "JU. ̃

.Ir¡., ab r. Í 1

il ii'p A ~l~Î j 1 o',¡,

A l'Oiff-ra. A' -S Beurfs, tl-'attit, .(Slin'e' 3. Cfos, MM. Vergues, A. Peniet. Dutîlfls;; -Sllles Y. Gervuis, JUontîoM. M'. Nèf?re. Dan»•• Mlle, ('.anilHif Bost-, .Mlles Lorçja, Lamballe). Oreh. M.1- Hiililmanu.

4 In CiîniÉilîi– firsinetiiti*: a S heures H0, /(• Marcluuul de Paris (MM. M. île Fcraudy, G. Le Boy, B. Monteaux, Yonnel, 1*. Nu- jnu, Lafoiii P. (lerbaiUt, Lraloux, A. Bucque, .1. Weber, Chaiubrciitl. 1j. Dnbosq, AI. Le Marchand; Mn>és M. Bell, A. de Chau- veron, Brettyi J. Faber, Mi. Barjac, J. Thouisen). C'" "l' "'10 (11'

A l'Oiiér.i-Coniinur. « "S h. ;10 (11° rpprés. de Tabou, sïétic A), le- lïiirbier de Séville (Mlle F. George; MM, A. Allard, Cliuulel, Koqui', Tubiatià). On commencera par l'Invitation à la ,}"afse, orch. M. G. Lauveryns. ̃̃̃"̃

A I'6il*onv'"à'"8 h:'M:Mademaiselle J<>~

nette, ma femme (MM. Darrn», P. Œttly,

ti. I;usiu, H. Glrurd, t)'~L n;irrar',P. ,ŒtUy,

G. Cusin, B. Girard, Cailloux. L." Kaymond,

R. Got, Bâtonnet, J: Sèol, L. Seigner; Mmes A. Bouv!trd,,E. Keyn^ï,P..Marinier, M. Cazaux). J"

Aux VarfétéK. S h. 30, Topaze A). Provost, À. Leraur, Pauley, Marcel Vallée). An Gymnase, relâche.' Lundi 11 et mar- di 12, répétition générale et première de ,\lélor'.]}iyce nouvelle en trois actes .et 12 tableaux de M. Henry Bernstein.

An Tlirfttre Sar.-ih-ll<ri)li:tnlt à S heures 10, L'Aiglon, avec Mme Simone, M. AIcover, Mme Paule Andral, M: Puylagarde, etc, Djm. et fêtés, mat:! à 2 lî.' 30. ,À In- 6n>té-l-5't)tinft,; à 8 hÇ MO, Paga~̃nini (M. Gèrberl î/Mmea* Louise Dhartjarys, Caniia, M. Mortpn). ̃'«

Au Tli«Sntre"Ant«.inp. à 8 h. 13, l'Exaltation (Mme Germaine Dermoz, Mmes Mady Bcrry, Llne Noro, M. Lurville et J. Briey). Feu la mère de Madame (M. Marcel Simon, Mlle Betty Daussniond). A l'Athénée, à 8 h. 45, Homancc (Mlle Madeleine Soria, M. Lucien Rozenbers, Mlles Stella Rho» Yvonne Hébert et M. Paal .Bernard). Ali TKfaité dri'Pritnis-Ro^iil â:'8 HrU) rejs- 30, le .Bouif àltàt thon ̃ Cure (MM.1 Aî;bert. Brasseur,, Ll.uyallès, Robert Hasti, Paul 'I'aiVré et Charles Lorrain; Mmes Jeanne -^niat, ''Renétf 'Vai'viiîd); '•• •• t 4>ij( n..uUcs-1'niiNi.iis ù S heures i38,

néshabtllct-vous'! (MnVeV Mireille Pèrréy,

.Jeanne .PerrJat, Jacqueline Fianccll MM. .ii. /ia'l4i_j^ .-r, ̃̃]̃

"•l,f'J^^2{S};l'l

Il': THEATRES"]'

RENAISSANCE Ce soir, première représentation de

C2 IRC ie

Pièce en 4 actes de M. A. PASCAL Kéception du service de Première (Billets bleus)

DEMAIN DIMANCHE, MATINEE

flBHHB Location Nord 37-03 MHBÉI

M COMEDîicAUMARTïN J 25, RUE CAUMARTIN

♦♦♦•

UN TRMMPHAL SUCCES PEBAUCHE Téméraire,; sensuelle, impertinente, ïa, iiuovelle coidrdii; «lo ,îac<(u<:s' T^çVal est tout cela. î1 tout ̃ Ih'mvi: pour 'ÏVcrirÇi- J>our ̃ fixer au .théâtre cettf: ,griniuivîv- tnuîi-romHiuo tlii 'désir sûr le visage de de !iî'.ij£'&ii<is6e, ^Jinf pins1 encore qtre l'en-

̃/a|^rvr^uf,W ̃̃V|n.s' pHu1. ^X'h-,

/appel, le Mus pur* siiscitr "un ei'ho, le "phi^ troùiilti; ïa ̃̃ tristesse d'une âme sç! neurte à .lu trisU'sse de la chair; \}ii cœur de feinnic st; eonsiune et se délivre en un seul soir, & la flahime des rires, des vins et des caresses de ce cœur, le retour sans remords à la paix la plus vide. <ï'est

DEBAUCHE Les hardiesses de. cette oeuvre n'en exigeaient pas moins un« grande: artisl« et (les comédiens de grande classe,' c'est Marthe Régnier, entourée de1 Pierre Ktchepare, Guliy Basset, Àdy Uerry, Cre.mieux et Pierre Jîrasseur, qui jouent

DEBAUCHE. Demain, première matinée BBB


K0V3L Efttnond Roze, Lucien Baroux, Roï>ert ABcelin, Gabin).

Aiî TliSfltre Qilu'uiirir-f'H. à 9 heures, h'Âflivâpeuse aventure, comédie en trois acleà et 6 tableaux de MM. Arment etiGerhidun (Mlles. Spaielly, Sim Valbelle et.Re- né«j Bartout; MM. Uebuçiurt, Morins et J. Stati'ry). 'd,

Au 'I!Iieâ<rc Marlk'15", à 8 11. 30, Coups de --roulis] (Mlles Maguy Warjia, Yvonoe Faroclief MM. Kobert Burnler, Marcel Çarpenlier, G- Nelson, Jean Deiss, d'Ary-Brissaq, etc., et. Pierre Magnlér)',

Ajj Tiic-airr MlHici à <J heures, Le Baptême, U-Qj.p" actes tl<; .'MM. Alfred Savoir et Fernànd î^'ozière (M?ll. André Berley, Jean Wall, Arvfcl, E. Mauvel, ̃ Prévôt et Robert Clermont; Mmes Marthe Mellot, Gisèle Pi* card ot iany Cazerieuveï.

Au TliÇfllre i|e !:i 1|rMl<-li-ii>c à S h. 45,' Vflonwûe Me joie (MM. Jjiles Beri'y, Hcmitry et M. Marcel André; Mines f}"§uc"e exDullos, Lucienne Givry et Mme Marguerite Iforéno).

A l:i. Cçnî^<1lo-Cfi»iiMî»i"1?i. à 9 heures, Débauche" "filmes Marthe Régnier, Gaby Bas^gf^, JVIady Cerry.; Mi!P;éwSrEtclier)àri.>, Crdniieux et Pierre Brasseur).

An Gr.-ij.l?«nlg«MSÏPi8*«ï)éflî'è's'45'i»^' 2 août iiiiiï ,1-e Cheval de cirque, te Baiser

de sang, Pipe et MadnmWÏ «S *.>'

An T]K-fit|» des <'lifl«U)*t4!?.J#|!é«»j£fiMUJ!}s,, saison d'onfea russe), a 8 h. 30, le Tzar Sultan. 3

Au 'l'Ii <ri (fo- de Si Mirlio.l.^rc ù S h. 30, ,he Tn-it Idliàs le^mur (MM. Victor Boucher, Berlhicj', Serge Nadapsi Robert Tourneur Mmesr Blanche îlonlel ei, ^ijrrfiuerUe Piei'ry, Alice.' Bey 1^1, Jeanne f^ftini.. A|i TlfêSJre l):nlii.iy. à 8 Ki •̃43, Jean V V (MSI. Ferriaiîd Gravey, George, RognonI ef Henry .lul.jie'n; Mmes Arlttly, Edith jlcra, Junie Mar'ése et M|le Davia).

Au T|ii-a«ic dos !Vi)iive:uités. à S Ji. 30, VAle est à vausl opérette <MM. Miltpn, tirip"; bon, Pierre (iJannant; Mmes Gabrietje ltis*ori, Elianç' de Cççus, Simone Cerdan, et Suzanne IJfchelly), -:|

Au TJiéaire «iiiii*-Oet>iKts. à S h. 45

(l'épouyanle'içl je .rire), Une Nuit d'Rdgar

(J'éPOllVallle'et D~stinalion inconnuc, hE

Poe, Harmonie, Destination inconnue. Le

Vejeuner marocain'.

An Théâtre Fcnilna, a 8 h. 15, Trio

1^ TH. DE LA MADELEINE m horImeLI!™ de fitlGUETTE ex Bufios ^JDIE a«3C Mars. UOBtl

I ?splt^aldy st MABCEWNO&É

et SPIt.Z~1' il il

^p Dimanche, Matinée ^p

KllllpIlilWnifi THEATIΠflOBHBHB

I ~M*Q--&AV OR ̃' m ^.jijui –!̃̃_ F CWI E

,t > < dr !C ¡{'-Ir' 'If, ~;dj¡¡;,1U

SsE-MÂRIE

OSE. MARIE

Matinées à 2 h. 30. Soirées à S h. 30

Vr *m+~~ r-

BMP TH. DES CHAMPS-ELYSEES 810 t iJPICCOLI i

tt) ~!i' 6ah~ et ta Servante Mattreesp M

|\ïï Saha, et la Servante Maîtresse H

en MAT.: Ahj. 2 h., dern. dim ̃ B 1 h. -80, jeudi M, *h.M 1

en SOIR. SJl^h.: Cundi U et lies 17,18 H S LE BARBIER DE SEVILtE 1 Adm. de ta tournée F. Delgrange, ̃ B 18, rue La Boétié ̃

N~~JS~QU~;

Cc-ncerts Pasdeloup cuan'ôs-Ki^ées, CO^CERT^ DE CALA Aujourd'hui s:mip<H. 17 li. TrUtan et Yseult (prélude et mort) Wagne: Thème et Viirlntions, Fauré (orch. par D.-E..inghPlbrecht); IX» Sj-ni1) II 011 te avui chœurs (Beethoven) Mme Campredon, Mlle (.apeyrette, M. Oger, M. ̃G.liénoi et les chœurs de l'4 C. P.M exécutants, ,sous la direction W D.-E. lnghellHeçht,

Cc-ncerts Pasdeloup cuan'iIs-Ki^ées COSCERT^ DE GALA Aujourd'hui samedi. 17 h. TrUtan et Yseult (prélude et mort) Wagne: Thème et Viirlntions, Fauré (orch. par D.-E..ingheJbreeht); IX» Sym11 II on te avui chœurs (Beethoven) Mme Carnpredon, Mlle Lupeyrette, M. Oger, M. ̃G.liénoi et les chœur» de

l'4 C. r\JiiÛ) exécutants, ,sous la di-

l'A, C, P.. -W eXE,Cu. tants, 'SOU. S la, di-

rection W D.-E. lnjfhellweçht,

c ~t~~ 5tA!SOX .G~Tsa~

(Grande Salle des Concerts)

D&RNIEK RECITAL DONNE PAR LE JEUNE ET CELEBRE PIANISTE FRANÇAIS JACQUES-DUPONT CKonln, Liszt, ScUumnnrt, Balakirew /• ç PJaCeS de 8 à 30 francs

l,E RECITAL

a IVfARCELLE

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jÊ. repirrtiS EU 21 MARS

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g '3HÀN<fÂIËL>J

inTmra 4 inédits mëh

Les Grands h Êôîels Européens

Feuillèton du FIGARO du 9 mars 1929 ~v~ ao)'

La Sonate du printemps

<*i y.

||i (Suite)

f" 8,

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Elle lui tsuiiia le dos et se dirigea vers le buffet. Chamerlat y discutait affaires, avec Je.général, un verre de porto à la main. Mftie Chamerlat s'était emparée d'Iresverry :'et déployait auprès de lui ses grâces les plus murés, tandis qu'oubliés dans un coin. Touze s'était, assis et-uj;cik noyait ses ldfortun.es dans du Champagne. Les jeunes gens s'efforçaient de faire passer à travers la hâiê-pressée des épaules nues les verres d'orangeade et les pi'.es de sandwichesl

liite hésita nu instant et, voyant les salons désurfs* elle entra dans la rotonde, où Luc avait déposé sa boîte à violon. Elle était ouverte sur le canapé, et la nuance fauve des instruments ressortait: dans le double écria de prluche bleue.

Rite contemplait le stradivarius avec

<Mlle Falconetti; MM.- André, Luguet, La,- DU BRU X EMUS >p i

Ai> i'isfJitrp '^saii/jr. à s h. so, liane- Le Casino lyriquede Bru&slles, dirigé par

Marie <MM. Ouâsrt. Gèei "flcry, Combe»; M. Schauten, vient de donner avec un Krand

Mjoes Cloé ïidiane, Julie Roberts, Cceiiia succès. le Beau 'Voyage, opérette viennoise

tv rvarre el M Dreanl. en trois actea, de lŸfM. Charles Quinel e~ i,

^"MiJ-àWiW.?^ tfe ««rB en trois actes, de HU- Charfe. Qumel H^ P,««an«. Harry Bawr.Sfmc Jane Chtevreli Pierre d'Aujiuer, musique de M. Frantz MAI. Andr«5 IJurè'ue, P. Geoffroy» Mlle Cjc- Jacobi.

leita Conti). I Maxime Girard.

Au l'liffitrc <lr l'Aretinp. à 9 heures, ̃ < ^> ̃ .i i

Au 1 de; de S,lmon OantillQI1. mise en jjjj

Départs, de &ï. Simon Gantillon, mise en

"z^to^ "S t, l ot Musîc-Halls

lf.U 'l'l'¡aIlOIJ~r.i<IU", a 8 heures 30 l.es l, l1

Dragons de Yitlars (Mlles Beeker, Meunier, VyOUlUUlOÙ 01 IfiUÙIO SIC1II0

Mi|. ijerroja, Bozani, COusiu, MoiiUé,' filci- Q.ee ae USIC a

zcsl.

*jik lioïîjE-Aiie» ,(nii' P.. Ferrpul. T)M.: e* -i. 1 Marc" 10-2C). Martini, Gabaroclie, Jean tn matinée •• fiièux, fifo 'Cliarley.-Ooijpil. Jean Mangier. ,̃.̃ y-, faillis, Le. Chemin ̃.«/??: TJeitx-Ancs, revue m spepiad(, qu'en soicÈe ()c MM. Jean Hi«t|ï et (ieor-j?ps Mi-rry, Jpuce » f s.

pnr MaucT Ginsv", les chansonniers et les Aux Folies-Bergère (2 h. 30), ù l'Olympia; auteurs. ̃ "'̃ •• (2 >>• 30h.au Mo|.i!in-Houge (2 h. 30), au Au Théâtre de nix-H«"«rFS' 'ei> «lianson- Po|uce, (2 heures 30), a l'Empire J2 lie»niers Maurice!, Vlnpefjl Hj'gpa, <Jeo Ctiarr res 30), au Concert J.Iayol (3 heures), «H ley, Victor Vallier. faut Maye et Jean Bas- Circjui; jl'HIver (2 h. 30), a In Salle Marilia. (ilard Suint-l.azare! revue de M;iuri- vaux (2 h. 30). à Madeleine-Cinéma (2 heu< >;x»'t* et" ̃ P.i.iirré^TtflWltoW-1'*1'*1^ ̃ •«'•̃- ̃•.•̃̃.re». 30), au Paramount (2 h. 30).

AU'.TityiJUre N.itional de t:i Cnricatiirc ~v'>s*'>'<<>p'V>f*~«Yv>*<Jj>» j, ,'ijt.

É ̃?: (Dir.î'R(gjSr FeWëol.TSlS. flffrMotiftnartre. ,v v '1 Téléiihrfii'ei: Provence 37-82). Les chanson- > En SOiree '̃̃' '̃• ̃'̃•̃

'.1I1Íers'~f~; 'rlh;N"b~Nl5tf; -i!llt'd'éf'G(~Ú'Jf¡j1 .t M

Trémolo. Max Bill, avec Paul Colline. p, n»».»» ̃' •-•» *•̃̃ 'in Ta

C/rmReonsi revue dc l' Colliué, MusiquE!' ~x Folles-ner¡;&re" ""à S i,. 30 ha,l,

de André Renaud, jouée par: 'L<m{ou Hé" e Pure, en delp~ 'lùlrtl_es' cf fi0 ,sensllbor¡s¡, II

gofcuru, Carlos Conté, les chansonnier* ^V^SÎ'ï.^fet r

s{'u~ës iD0 artistes 60 dtcorp, 1800 cos

avec l'auteur et Eaulette ..Dartjv tûmes, 15 trucs inédits et une mise en ••' ̃̃i i- -xL£ q '?̃ 's ?** i'1 scèiïe formidable. ? |. .̃• -"̃ *>r#.< -j^y" V Ail Casino de Pnrîs. ce soir, à S h. 30, la s •)(, it,pr fininrn<n !(• «raii'tle revue d'hiver: Tout Paris i/ajie Alber!-f", a 8 h, 3^ Mater (Iplnrosa, le M Snlnt-Granier. Mitty et Tillo, Nina

SS'~ "S h, 31!, pnlpaue, "ence ~3. LaH~ne, B~ch,les 16 L~"

Cu""pur,¡nrs, Sj"b-"),lI',es<, ,1" t oacHetlc :1; ".Ienee 1111er, Stars, et Flurell,e ,et D(}',r,7'

•ChâUlct, à;;t i. 3fl. Wicliel Slroaoff: Co-, ville. ..r niédie (fcs:ChampS-Eli4r*rs, à 8 li. 30, Su- Mon In-I«oiiçe. Alto ici Pans k znnne; Déjazct, à il heur.-s. Tire nu Flanc: %\4° < }-ifi'e ̃ mIs. ^S'"8' Eal1 Lesl|e, K dorade, a S heures 30, ««»« de Valse: Tosh Twin; Diane lielli et Ryany, Cure»-. Frjies-Dramatlqucs, ù S I). -ir>, ^̃.4ni«nf zie, Lisa Loruld, les 40 Jackson, girls et Mathurins, à 8 II. -l">. l.a Demoiselle de ma- aanaj). n .i ru ̃ M'.îtn.i Hn ï'tKiivrc ;i X li -i^ 1/ Ati l'ilnnc. a iS 11. ;>0, la revue La licaiiï ou r "soJtt^* HWc% ffiuvi- « de P«™ (Edp.on.de Guy, Van Duren, An bIKu a S h. 30, fe Gttilôn <tn foyer; Tin» Mebler, Domnel, les comiques "'belges Porte-Sàinl-Martij,, à 8 h. 30, le Retour de Henry et G. Etienne e PIssaro uvee son Jérusalem; Wtinlère, relùche. orchcslre argentin, assiste de Alino.de Ml- ̃«»-•-•» A.l'lîmnire M»i«i'?-llnll-rfftv> --Pour MATUC CT IWKftPIUI ATÏAWÇ la première fois en- Fruiice, le plus célèbre nUlHi? Xi 'InFUIlilInlIvnd jazz du monde, « les Ingénues >>, 20 attraclions inédite. et les 10 english daucers

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,i, r -it., .l", "< 9 h !0 Pp)-essona lo M(I,nl!he:en'(fl.lc,¡J!H, 1."

;f M, if.» ;.iw» ""̃̃«•'< Â,j. "ver, les l'i-ïlellini, mat. j.s., •il.i.'CiMue de

.CoSiBDïE-FwWfçArsKf.-ï-* Z.<! MarchuM- de ;"p_Hjf, 8 hi'îiO, mat. j., dim., 2 h, 3O.ffle M Paris -4em donné pour -ie soecta'Clc d'abolir 14 ffo; i.ùna-I'ark,' à 9" heures, dancing, nement (billets rosés) le mardi -I -i niais. sam., dim., attractions, matinée; NoctamMerCredi t3 mars. Cil soirée. Ruv Blas l»rles, à 9 heures, llmum. Sanette. M. Ocrées Berr qui a reuaru à la Co-

médie-Francaisedans le Mariage de Fiearo. Fomes-Bergërë. Avez-vous vu aux à l'occgsïon du Centenaire de la Société des FoliesrBergére « La Belle et la Bête î> avec Auteurs et Compositeurs dramatiques, ioue- l'étonnante Gienn Ellyn ? C'est une des fo ra-'de, nouveau le rôle de Figaro, le diman- j sensations du nouveau super-spectacle « De che 17 mars, en matinée. j la Foin- Pure dont le triomphe est indesi^y-A-jB; çriptiblé. Aujourd'hui et demain matinée. OFËRA-SoMiaTfE. -T«s<|?î,mancte', en soirée, »–Mlle Germaine' FéraldiJ chantera le rôle de j Paris aura l'occasion d'aoplaudir bientôt Lakmé* MM. Claudel et Guénot seront. la célèbre danseuse Eisa KruKer, qui, en ensuite, les principaux interprètes ru chef- plus de son talent, possède une beauté qui a d'œuvre de Léo DeUbes. avec Mlles TiDhaine fait parler toute l'Europe, depuis plusieurs j 1 Ducuînii -Andrée Comtêi MMV Jean Veuille années. et de Creus.. "*♦

M. Georges La~werYllS dirig~J:a l'orches- ~,OURRmR MUS IC"AL

JL Geo.es ^™*<ff Arches- ÇQURRIER MUSICAL « ̃̃ Samedi '«5 mars. Manon Dimanche il, PAUL EMERICH en matinée; Sfàdamc ^Uerflp en .'soirée, j^ pianiste Paul Emerich vient de donCarmeii. _̃̃•. m (lcl. :L Vienne un récital sur le nouveau pia? Porte-Sainï-Marxins Mme Vera Ser- no .^double clavier Moor, son succès a été sine et M. Henri Rollah devant, par con- considérable. L'ambassadeur de France ,qui trat, être à la disposition du théâtre Femina, assistait à ce concert a vivement félicité ee Le Retour du férusalept ne sera plus joué merveilleux artiste gui se fera entendre lun•que jusqu'au ai ̃ mars,* date à laquelle on di sciir jg mar?i Eajie Chopin.

fêtera la joo° de cette magnifioue reprise. t x ,.™

jusqu'à cette date, le chef-d'œuvre de .;̃ > ft

1VJ Maunce 'cette sera loué chef-d'œu\'re de; T% ~~n a

^O^AT^SJP^ Hc^renstem a Pans •r^>v%^ê^iife?|W>a§^*1^l»'iSF,e' célèbre chef d'orcHestre ^maad.JaSç.,

~i-3^:J^l^SBB^Z dCL JHfiwr^ein. recteur de 'la" Musique l"

l "T*' *"?" Dusseldorf, qui lest .considéré dans toute GaiïE-Lvriquiî. Ce soir Pagantni rAUenu(nie et à' Berlin ou il conduit ou

(,~ annee).av~ son ¡ncQmparab!e¡nter-

^tSi'M^eSt.^SSeS: 4conc^rchaquCsaiSo»,Tn,eil^des manSt Caraia et M. ilortpp. &™ bn!la^s « Kapellmeisler ». dinwra Demain, en matinée, $i j'étais: roi; en le mardi io_ mars, à 0 heures, salle Gaveau, soirée Chanson d'Amour, l'orchestre des Concerts Lamoureux..1 ̃̃ !+̃'•> r~>' Masda Tagliafero, la cé'èbre pianiste, in- TjiUaïrE As'foise. Aujourd'hui sa- terprétera à (e concert le Concerto de Schu-

medi, matinée de l'Exaltation, J'œuyre in- man. jasçha Horenstein dirigera SvmPha-

comparablè de M. Edouard Schneider, le n^. \QWi> de Haydn; Nuit Iransjiwrée, prix Brieux1 de 15)28, et de feu la Mère de de gchœnbei^ et Symphonie du « Nouveau

ATatiunre, fe'chef-d'teuvré de Georges Fev- ~e.Dvorak, Bi)!ets de M i 40 fr

CTvef^llTIant ETA" We^, 4e Dvorak. BiUets de » à 40 fr

tations. de. en vente salle Gaveau et chez Durand, Grande Saison d'Opéra Rugs*. (Théâ- ». _i;A

tre des Champs-Elysées), Ce soir, avant- matinée dernière représentation, du Tsar Sallan. De- main soir, dimanche |fe avajit-dernière de Aux Concerts-Colonne, a s neures, SU KUèt>e, avec Mme Mena K,0usnezoff-Mas- Châtelet,» vingt et unième concert. avec le «enet. ̃ concours de Mme Cesbrons-Yiseuf, proies"•" 'J? seur au Conservatoire Euryanlhe, ouvert.. DArxotr. Demain, à 2 h. 4s, Jean V, Weber; Psyché, Franck; La Flûte enchante nouvelle et triojiwtiale opérette de. M. tee; Mcr?àft.fiir de Pamina, Mme Cesbron- j

Maurice Yvain, avec tous ses créateurs. -y'm\K^§<zPMème symphonie en la, Bee-

Maurice » 1 thoven. Trois Odeîeff «(première audition)

pivcn KFCUË ,̃- "̃» L. Beydts.'Mme Cesbrons-Viseur. Raf-

f, t TV. v. (v: '.Tlïa4. sodie Norvékienne, Lato. Concert sûus M. Jack Jouvin, directeur du_,XhVatre;du direction de M. Gabriel Pierné. Grand-Guignol, vient de recevoir une pièce Aux Concerts Lamourcux. Salle. Ga- '1

dramatique Li F aaf, perdue, adaptée; de veàtl_.à heures, avec le concours de -Mlles-

^nouvelle fie Wck lAn^i^paj MM.! P. gLja :Ruhlmann, Lina Falk. MM. Saint1 ï,. Palan et h. Postit. çrjcq et Mo^turier. Neuvième symphonie »+-̃ 'Wjfi2!8BJMby| '»-•̃••» y --v. avec chœur.», ïg&ses (Beethoven) ..orfheslre -et

t ̃CffÊ&:I<.l^ieSÊ^BSB^t'str^ chœurs '-2Qp, exécutant*. A 'ce .corteeri MHe

F? mm^T^wfrW^ <iuzettZïkk\: France ̃Ellègaa-d jouera 'le Cà-.këHo ;b,qur..

l éS^i^emiStl^1^»»^ l!t I sir., tirée de leur romary Un komme, deux direction de M. Albert W*fff9 nol,.f.u.j

I femmes.

i Triant-le aura pour interprètes Mmes Société DKS Concerts du €onservaïoiI Marie Valsamaki et Madeleine Linvai. RU; 2 ôiV, rue du Conservatoire. Demain Di-

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une sorte (le fascination. Elle aimait le charme spécial des violons, leur galbe en fonné-de lyre, leur silence dorment les enchantements lorsqu'ils reposent dans ces-boîtes longues: comme de petits cercueils d'enfant. Hite songeait à toute la musique qui avait chanté sur ces cordes, aux heures où ils avaient vécu de lu ;même vie. l'instrument et; Je virtuose. En contemplant ce violon, il lui semblait entrer dans une intimité secrète, pénétrer ce flu'il y a de plus insaisissable dans une personnalité d'af liste, et elle en ressentait une jokî trouble. Elle s'approcha ,-et effleura les cordes dans un pizzicato- léger. Le violdn Jfiaeilc rrfesonna, mais J$ite se relourjia brusqucmcnl en entendaht niar• i'h»'p elle. et se trouva neaj'à nez i "àverlr'e'vveri-y. Un flot de sang luianonla au visage, comme s'il l'avait prise en faute. En même temps elle eut le vertige de cette seconde de tête-à-tête, la certitude que des paroles importantes devraient être dites, qu'elle 'ne pourrait pas les dire, et ellt ^çwitil,, à l'avance- découragée et

vaincue.

Cependant Luc la regardait et jouissait de .ce trdublë comme d?une caresse, Mon violon vous intéresse, Mademoiselle C'est un Antoine Stradivarius de 1735. Voyez comme il a conservé sa jmance et les têtes d'or gravées sur les chevilles. Tout en parlant, il avait mis l'instrument entre les mains de Rite, il eii parcourait la galbe, tendait une corde et effleurait comine par niégarde les doigts de !a jeune iïl\M^X les paupières battaient

nerveusèmehl à chaque contact. Cette sé-

duction inconsciente était devenue chez

lui un réflexe, aussitôt ^u'iï'ç'kpproçhait d'une femnie jeune et désirable. 11 n'y a pas de pires coquettes qu'un- '"Homme vani- teux et comble.

Rite se reprit par nïi effort de volonté. Comment pourrai-je,, assez vous remercier, monsieur, d'une pareille soirée ? Quel encouragement pour ceux qui travaillent, quelle récompense surtout. Je vous dis cela bien mal. Pardohnez-inoi. D'un mouvement spontané, elle saisit le. stradivarius et le porta à. ses lèvres. gresque aussitôt,- elle eut le sentiment: du pidiciilp,,iuais.l>uc semblait, l«:a en elle •̃"•:̃:̃ ̃èr-, Voilà, dit-il d'une voix grave, un homi magei que je n'oublierai pas. J'ai été' moi-1 même heureuS hIe 'vous, entendre. Vous a.vez un jeu très persaanel,- vous ne deve# ]iiis> jîoti.'plus re.s'se'ui'blép aux aiitre*. ̃nfetH ce pas ,•' •̃ ̃• •'̃̃.<̃ ̃ ̃̃̃̃ ̃• -•'̃' A combien de femmes Luc "n'a vait-il ̃']):• persuadé qu'elles étaient des phériôn'vèncs d'originalité. et jamais il n'avait îiianquc son but. Jl prit la main* de Rite. J'espère que vous vous souviendrez de moi. "Si vous avez besoin d'un conseil pour votre travail, je. serai toujours heureux de vous le donner. Ce n'était rien, mais les yeiix ..•magu-éliques donnaient une puissance étrange aux moindres paroles et Rite se sentait faiblir devant eux comme un oiseau; charmé. Le murmure des vois- qui sij-ïapjjr.ophaH le fit retirer brusquement su, majn, pas assez lot cependant pour qut!t;'£&iize, qui Ih cherchait et venait d'appia^ltr^ sur le seuil de la rotonde, ne s'en aperçût. Il pâlit un peu.

.̃'îJ«ï3 aHwu l:a«. -.c? ? -v .('. imancnEî'4'3 -heures, concert sous- la; .ch'rec* tion\fJei<St. ShiliRpp Gaubeit, avecj le ç<?ncours de M, Henri Me|çkeJt Au programme: Symphonie Héroïque n" .| (Beethoven) 'Q'oûèêfMï pour violon et orchestre (Menr. tleiSSOhTl)' Çkani Eléniagtie, première audituiii (Cbopola) r'A«W/»é;' ïragments sv'm-

phfl.nitjue.s'(C;. Franck) j Rédemption, mor-

ceau- sympbçmique ,(C. traiick). ̃ /Demain, après-midi ,^à! 3 heures, arches- tre symphonique de..Paris, sans PleveJ, ..le le pianiste Beveridge Wflbster jouera le cinotiiimè Concerto de Bàint-Saëns. Fourestier' dirigera Simpffanijï. héralqile (JSeetflpyen) ̃Le Chasseur Mauàif,(le Fratiek, içu,vre de Borodine. »

L'Orchestre symphpnique de Paris nous communique que fa- répartition des Rrix; de places'pour les concerts habituels du diman- che sont 277. places à .<fr.; zop places à 8 fr 284 places à !to-fr. .164 places à ia fr.: 688 places à i.fr'; .307 plâcé^ a 18 îr.; i3i.3-.JDteces,è ?O,frrt, 1371 placés a 25 fr.: .places.: à. 3D fr. Cea.i-ioilcerts ont lieu à }a"

Salle .J?%çJ« dçnt to.u^eâ les «places sont, de

faces. P,9,lJt" tqqy;,pe, .'19i",II<;e8 SO,P,t",ùc,'j

faces. j^ m

'̃' Salle, Gayeiu, roârtli, soir, .{à. mars. Messe ̃en-' si avec de, Baéîi, idiçiaœ rja.r Rôfjért

Siphan, avec le ,dôncours;de. ïrfnjes'' Mâlnbrv,

.Marseillac. etc. Location" à Ia^sàHè, chez M., Durand etiM,Pand.elot.

Maj«=] Giàmpi (exclusivité Coluij\bia) donnera ui» récital mercredi soir. -13. njars. PalIc. Gaveau. Au programme Bach, Beethoven (Sonate au clair de luffe) SçhurAann (Kreigjeriina) Chopin et Liszt, 1.0- cation salle' et Durancî.

Wanda Landowska donnera un dprnier récital de clavecin et ^pjano, jeudi soir, 54 mars, ^alle Pleyel. ̃

̃̃ r-V^1"

\ehdred! soir, saile du Consen^atoire. troi-; sièMê'-èt'î'^rtelîmé'r' récital d'orgue 'William Mtintillet. ÇEuvres' eje Lis?t, Rogfcr, Fjaiiçjc. BjjleJâ à&ijpi% 2Ç! francs-

,-r. r- •» *r*

Le 1" mars, .Edouard Bernard a donne. sallefiGafeau, 'un récital qui, a définitiviement affirme. Jaijilaîtrise de ce virtuose- du claV'iA.^1 -.•SeSftB.t une salle' comble d'énthon- siiiste|)ja,U(iitenrs. Edouard Bernard a manifës'/e..|ôh .^îp'ryeilleux insfinct du rythme en inferpiâétarô de. façon; pénétrante des 'isù\' v^yb Çiiopm, de Liszt et de Beethoven; ,J J L, de Crémonéî1

~~r.

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'.dw'itv; iAiiheM.^Paliïce, Iq ClwJ'teur de i/tfis;,

,lKl(«Hi-ii:vPalg(;e.-A.ulA'sO Peau" de Pêche; C.&liu-o,, .Jtajiifru'jore -Cojîéùe, Bncfc U1 loyal? tjuuinhiit-Pnface, Un ,àei;lain jeune fionitne; Impérial, le CapitaVUe .Fracasse; Mndeleir lie-Cinéma, Onfb.r^f^M'IaUtihés; 'Marivaux, Kuill Jamiings, dans Ir Patriote; Max-Lin^(1er. Ips Espions; Oiniiiu-Pa'fhé, le liourrcan; Paraniount, Visayes ^îibliès Rialto-Cinéina, Press l'arude (Son beau (jeste) Sdidio 28 (10, ïiii> TIicilozi'), le Dernier avertissement rrsiiliiiiïs, !) hcii|-es.v J.nnesoine (Sol it a fit). la .Jqfoufie du ISarhouitlê, i

Chronique militaire

vf.Vî' ̃•̃- ha citation ̃' ll«, maréchal des logis Claverv ̃îl.fes-jôiir-nâux d'Algérie nous apportent, avec le compte rendu lie l'érnouvante eértUnbiiie du 2)r> février, dans le Sud-Qr^nais, le texte? de la citation a l'ordre de l'armée, accordée au maréchal des logis Clavpry. par le ministre de la guerre, avec, attribution de la médaille mililiiilre.

« Sous-officier au moral admirable» ment trempé, qui tombe dans une embuscade au cours d'une mission où il accompagait sou B^re, le cornmandaut militaire du territoire d'Aïn Sef^a, a pris la direction delà lutte avec >$ttnifc froid, un courage 'cii une énergie magniliqUc alors que jtoùs les officiers étaient tombés rnorlstôù-blessfi.

» A, par son hémj^rjifj, sauvëi'les bles-

sés ^et contraint lés, aUresSçurs àiss,<re- 5- >t»ri> Â(wâBaUq !m taeitrtrjer def soir père. » (WW^ïdé gûVrte des JK).E. ajçeQ palme.) j u '•̃

~-<B4–r–

mouvement 4 1

de la population en 192$ D'après les statistiques offlcielles du ministère du travail pour 11)28; établies p«r; les services du l'état ̃eivjl, la popuîatjon, dans les 90 cTÉparternentSi a aug inentè de «5.042 fjUF.Tl927. Le chiffre- des décès p'piir l'année entière est en régrèsStmV'4ç ,1.556.

Les divorces sont eu légère augmentatiôj«;i18,8SRJ contre1 18.487 en 1927. J^uaowihr'é. dés mariages est, lui

aussi, encuingnicntaUtin 339.014 con>-

tre ,s,III. ri4f J,au¡¡mcnt&Uidll terminer, signaa

tre ;3§7.8i}£, gnfin, .pout terminer, signa-

Ions ,guf 1%-jaiortajlMé infantile est en diitiinutipjL.i, 704,284 contre ,70,5.550 polit' l'jiYfnee', précédante. `

en laveur de la Guadeloupe

".Les inihistres.deSiJr'iinances, des Oilo-

niés, du "CÔnimfercç((e( d,6 .l'Ajçricùltur.e ont été autorisés # .soujnettrç" la. signature du pr^sjdt'Mt idé' la République ira projet de "loi avirM pour otjet d'ac-- eordeïoâ !H'ÉJ«tà>iiel^#i)« l'admission d'un ûôijJjnqeDluiixeeptiô'iinel et temporaire1 Au rfiuiuj^j'r.oipondfint à .2Q.0Q^j]^ectçfj titres â «lçooi ,pur^j>Ge,fpisj,jet conipietera les mesures p^sba pour -.venir en aide aux bopiilatiojis siïiislréës de la Guadeloupe. ̃̃ x,

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Mademoiselle Rite, on vous demande 'là-bas, :.̃

j Là jeune fille s'éloigna, et Luc se mit à ranger ses violons.

Elle est gentille, cette petite, dit-il. Elle a de beaux yeux, et elle est bien douée.. Mes coihpliments.

lresverrj-, dit Jean-Jacques d'une voix si sourde que le virtuose le regarda avec surprime. Il allait ajouter « Ne joue pas de celle enfant ». La crainte de laisser. soupçonner la jalousie qui l'avait ronge 'tbufji' la spirée et dont 51 avait honte [l'arrêta net. Il dit seuteménl ;̃«- MmeiChahnërlat te propose, de te faire reepneluire *eîi,anto. j t- VçuXi-tu que je te dépose "chez.. toi qji

•Massant "? -.1,'ii'^t ̃ ̃̃ !r

j J -^Mérei. j'habite à côté; je j-éntrorai a Pïed.

Touze se mit à la recherche dv Wujcik qu'il trouva au buffet, vidant sa huitième coupe de Champagne. Il l'entraîna à grand' peine, et tous deux disparurent dans le Ilot des partants.

Sur le. seuil, l'auto démarrait, emportant la silhouette d'ïresverj'y cOifl'é d'un feutre > à" larges bordsi .̃•• Les. deux musiciensse retrouvèrent dans ila rue. Des flocons de neige, légers comme (des plumes, commençaient à tourbillonner et ils en sentaient sur leur visage la douceur froide.

Touze, dit Wujcik d'une voix légèrement pâteuse, connais-tu la ballade d'Henri Heine s

Es war' Mal ein Ritter trùbselig and [stumm.

-LA: VIE ^SPOIOTE

COURSES À ENGHIEN La- réunion qui devait avoir lieu aujourd'hui à Enghien est annulée.

LE SCOUTISME

Les Eclaireurg âe France an Trocadéro Le scoutisme, qui dérive, on j'a Jdit, on le sait, du vieux îflo't français cscoutc >>, quj sjgnifjs observer, éeoute;v permet aux jeunes gens de "mener, même aijx alentrjups' de nos ^cités les pjus modernes, une vie active et de plein air; ̃ '•̃ ̃'̃ ̃' ̃̃ Ses jeunes adeples, les lîi-lairéifrs, 11c. paradent pas! d'a'uâ- les., villes Ce i|e" sont p«p' clés «'ynioa.s.tes, ni des 'atUlètes, ni des ibatnjllons sçoliiires, Vêtus d'un uBtfOfn1^ -simftlc et pratiqiig, ils vivent le plus souvent en pleine iiature. Les preniiers Eclaireurs ont été forces en Angleterre, il y a une vingtaine d'années, sur i'iniliative du> général 6 jden-Powell, qui reprenait ainsi u^ic iniliative du baron Pierre de CoUbcrlin, créateur des « Débrouillards ». Àctueltemént, il y a plus de deux millions de scquls dans le1 monde, entier, pnr dans toutes les races, dans tous les milieux, ,011 a vu quelle merveilleuse ih<lj)b(ïc d'èdfication est le scoutisme. Si Jps pon-in'tiés ne voient- que des.garçons au chmieau bizarre; aux cris sauvages, tous eaux qui ont connu de près des Eclaireurs ont été conquis par leur mouvement.

En France, ce mouvement Se dévelpi>pe en s'adaptan^ à nqtre niilftu et à notre esprit. La Fédération des Ecjaireurs c|g France poursuit le perfectionnement d.ê rent'aut au triple point de Vue ..physique, intellectuel et moral. Au point de vue physique, par un système d'excursions, de campements, de jeux, de sports vai-jês, qui fortifient i'eiit'ant tout en l'ainusanl.

(iu poiftt de vue intellectuel, la vie deplejn air exige de 1'Jîçlajreur des çonlljajssanees variées hygiène, science île la1' nature, habileté manuelle, iiigéniositÈ, etc.- Tout est mis en œuvre pour développer ses facultés d'observation et de jugement.

Le spectacle fréquent de la nature et 4e "l'activité humaine lui sont la vi vante illustration de ses classes, et (a .meilleure 1 leçon de choses.

,,r ̃ f c ̃• ̃'̃

LE FIGARO IMMOBILIER ET IHOBItîEft

Le Code du Propriétaire

LES VAWÎt'BS MOBII.IKBES

I)t' COMMEHÇANT

J.orsqn'nh particulier possède un porte-

feuille, il connaît d avance, du moins à peu près,, exactement, le total des impôts qu'il

aura à payer, c'ett*a-dire le 1lml>re, la taxe

de transm' Jion ct l'impôt sur le revenu.

Mais les particuliers ne sont pas seuls à

posséder un portefeuille, les sociétés c.om- merclalcs aussi. Quelques-unes en font me- me, lefir principal objet. Celle situation soitlevé deux ordres de question.

Comme tous les éléments actifs, les va- leurs mobilières doivent figurer au bilan. II semble assez difficile de leur donner une estimation exacte, puisque leur prix varie chaque jour avec les cours de la Bourse ou •! les conditions des transactions hors Ilourse. Certaines entreprises ont l'habitude de faire figurer leurs titres au bilan à leur prix d'achat. On a demandé au ministre, des finances si celte façon de procéder était régulière et si l'administration pouvait leur atribuer une autre valeur, par exemple celle constatée, il la dalc de l'inventaire, c'esl*à- ] dire en fin d'exercice.

Le ministre a répondu que l'une et l'autre des deux méthodes étaient régulières, mais celle adoptée par le contribuable devait être ctmscrvéa pas lui d'année en année. Cette

(iécisioii, bien des fais confirmée, ne jUUAr^

pas en somme de celle prise à léijaçu' tifs

^stociis^en.^ i.jiuasiu. •'̃ <j<j .3»*. sUsj j ï

d! ••itBif.tyàe.,i¥ift:.iJà<:Çiu'ltHe forme de lai

contribution, à$s valeurs mobilières aux^bé-

'nêfïcés' tl(ilt~'él~ On~peMt nuncevùYr~Jd~iYé «litre façon leur influence sur le '-('tartBùSfc V (es titres, au lieu d'être conservés en porte* feuille aont vendus, et qu'ils le soient avec plus-value, celle-ci n'est pas susceptible de supporter la taxe de 18 0/0 sur le revenu des capitaux mobiliers. On a demandé au ;m'/i(s,tre si, par contre. elle devait supporter ce. lui sur les bénéfices commerciaux. H, a été tepondu affirmativement. En effet, « n'est pus niable que cette plus-value doive figurer eu fin de compte aux profits et pertes et, ̃ contme telle, supporter l'impôt au même ti~ ire; que tous les autres éléments dit béné-

fice commercial. ̃

Les Arbitres. commissaires-priseurs TABLEAUX MODERNES"

Lebourg-, Pissaro, Kaffaëlli. etc.. Tableaux anciens des 17« et 18° siècles. Meubles ancien», bijoux, argenterie anc. Tapis d'Orient, tapisser, anciennes. Vie. HOt. Drouot, sie 1, Je 18 mars, exi». le 17. 31e ïiecourijtrCliorot, c.-prls., 25, r. Laurlstèîi; M8 TUesmnr, exp., 7,r.Arbustfes. Succession de Mme K.

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•II traduisit brièveiuentle p'oèra'e::£: Il était un chevalier triste et muet ̃“ ̃ Avec des joues creuses ct blanches*- :̃̃ II errait, et vaguait en chancelant ;;i Perdu dans des sombres rêves. ̃ v -•̃ Dans le coin le plus sombre de sa maison H s'asseyait et fuyait les hommes,' J Mais lorsque tintait l'heure de "miiiiiït ~t Des chants s'élevaient, dès'clocHé$\sonII entendait frapper ù sajiorte.' VnàièhL Sa kien-aimée entrait en glissant. ̃ Dans une robe aux refletç-dê vague,

Elle briïle et .fleurit, cpjnnieunç petite vfàç.

Ils tomhmt'tians les braêV,l'un>'('de:>l'kiÛtre,- Le chevalier l'enlace avec .passion, ̃ Le 'timide s'cnfltiniine'y'ie rêveiir'^ s'éveilïe

Elle lui (t doucement recouvi'j-t la tête:

Avec son voile élincélartl.

Et le chevalier se sent transporté Dans un palais de cristal au fond d?s.:cqu,i\ Ses yeux soudain sont éblouis^ ̃̃•,̃;̃ Des lumières et des reflets, .̃<̃, Des chants si suaves autour de lyi Le. font, presque défaillir, enlace belle plus étroitement. =.;< Mais les lumières s'éteignent soudain.' Le chevalier se retrouve solitaire, `'- Dans la mansarde étroite -da~ poète. Le Polonais regardait Jean-Jàteques 'a-vec une finesse singulière, Rentre chez toi, Wujcik, dit eëhiUci, il fait trop froid pour réciter des vers | et il songeait à part lui « II est complètentent gris ».

Au point île. vue mofal, vtue Joi d'hoir neur,. correspoiidaut à.son âge, régi^ tous ses aetes l'Ec.laireur veut èti-a chevalier inoderue pbss'écier un idéal de droiture de loyauté, tia. ^service tlér xintéressé, Les Ec|aireurs de France "sont '.reepnnus d'utilité publique; car 'on a apprécié la vajeur du ,scouU&.ine .dans ̃ la fonnalion de l'enfant trop de forees dissolvantes sont à l'œuvre ail séîii de notre jeunesse pour qu'il ua soib pas fait ui| grand effort .pnur eJJ(;, .sans dislinction de confession ni de classe. La Fédération, absolument néqtre, se place hors et au-dessus des'Cônttbverses politiques et religieuses t sUT'Be'.dernjèr point-, elle respecte' absolument la volonté des familles, et a iuiSÇrit tdans aa -loi- le respect des i;onv.|ïtj»ns 3(|e cliacun. ̃̃̃ Le 1,0 marSj les' Parisït;ns niiront la rare ofcçasipjj. i|e poijvoir .assjjSJ.tr'. j[ Une,' fête dcrhni?e'par': lès' ̃ËclaireuH dé' Ffafc-1 ce «u'î!rÔfudérë,' tn moirée' Séiis- la pré-i fjideflej;;4i? M. ludBiiftPftba^ijtojjp.SJ.dentî «lu. Conseil nïunicipal. qui sera, r/jçu, pai îy maréchal Lyatitèy', président- ̃ d'hcinileur de lu Fédérarièn', -uniour-éiioràbrctises notabilitési/ Dans cette fètip, donnée au profit d; leurs camps de vacances. 611 venra le; Louveteaux! de "huit à' dou?e ans. les Eclaireurs, de douzetà stiiie.aiis,' les Koutiers plus âgés, montrant-, des épisodes (le leur vie en'p|e:n "air,, du jéurs féïes rie groupes." If sera également présenlé un film inédit sur la « Croisière Noire ;>. expliqué, par un membre de cette expédition, et par de nombreux chants de la cliorajp « Amiçilia. ».

L^S GRANDS MATJ>CHÇiSr DE .RÛ6B-Y Racing Club centre Stade Français

.̃VwJonrd'hHi à 15 h. au Parc des Prjnçes Aujourd'hui, U 15 heure», au VélodrQ111e du Parc des Princes, s-'e- jouera un match liacing -< Uni) de .Freinée contre Stade FrangaisiJe 7.3" depuis., la .fondalion des deux #lubs. doyens- de l'Athlétisine français.

Si l'un et l'autre r.'ont p;s eu do chances dans le Championnat de Franc** ils ont prouvé par ailleurs la valeur de leur quinze et se sont montrés grand:; spécialistes des :renuQntees"amioales où ils ont remporté dLi> victoires i"emarquables, démontrant ainsi "qiie lorsque leur «4vçjsfig|(jg|a^iWj|(i4y..ftpJde yrai

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.capables de battre les meilleurs.

Ce match sera' donc corrçctenieiit ,tt L rapidement joué, maître la rivalité tjai'

séjpare tes deux clubs et Fardetii- <{a£

déploieront fcrl!iini;rneiit leurs parlissijas à encourager leur favori. Les deux. ccjijîT/ | pes seront au grand con.ijpjct' a'vpc tons-'1 r"

lturs 'interuâlionaux et niÉmc, avec .çeç»1.

tains joueurs de haute vnieur »on <Jua«- j lifiés pour le Championnat. Elles £e, j présenteront comme suit -.Stade "Français, Arrière r CaffoSt Çtrois quarts Jauréguy, CIjarbonriât. j Bernadac. Houdct demis DandîI gnon. Caslaiiyjts avants JJcvrjft Ainciart, -Morand, Héi'tzowîtz, îlajérus, Pitfuiral, Courtejaire, lilond. Hrahea, Racing filiub' de Frajice. Arrière Pélissier trois-quarts, Deiory, Gèrald. Lavave, Médecin demis Maurjv Lj'Ui'pnt avants Lauga, Gonriet, Per«rot. Loury, Capellafii Frangois, Durand, Beit?.. •.̃ ̃ •; ̃ -.̃ v .h"!YrJi'k"->ti*Jfl}>-U£ l'M> .•(.;

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.AuJQiîrd'hui à ljt h,.f^l5U'ptaâc BijffsIp.T;-

f. îïAuipunlikui. ,k .1.8 ,JC;iHt iles IiphénticnS: de Prague, urie wiuipp.jiiïUj doueû^s fipfl? fessionneJs j'uuei'pnt contre une équipa mixte formée par le. Cercle Athléfi^iUo de Paris et le Hed Star Olyrhpiflup." L'équipe tchèque sti présc-nte -avefi' Une

bonne réputation. EUe a- fiiii'une tour-

née un Australie, ne perdant -qu/i"* match. Son avant -centre l'«jbl est un jouer international des. pjus-^ipt^s. Demain dimanche lus J^oliùniiens- jouc> ront à Charentonneau contre le C.A.P, LE FOOTBALL IXTÊRNAtlÔN^

Champions de Rome

eçntre çhampioûs # Parife Une équipe de footballeurs italiens jouera demain dimanche sur un stado parisien, celui du Vék '.rome Butfalo. Ce sera une occasion.. PQur le puiiiia sportifs parisiens, tout "en éontrintianl; à l'érection du Monument aux Italiens morts pour la France, d'assister- à un' match qui sera ardemment disputé eii^ tre la jeune et vaillante équipe de .A. g.. Kqmu et la non nioiiis vigimreuçp et nogfit. moins vaillante équipe- .du Club Fraii» çais. Les Homains se déplacent à l'tltrnngttf pour la première fois. Ils viennent- -"• de battre chez eiix la forte équipe hon^s.. ligroise ;U. T.- J£., les dhanipicrns. tchéco*ti.:

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v- ̃ y1' > ̃. ̃' .̃.̃̃• ̃•' Emilie Touze se versa un second "bol de café au lait, beurra uiie seconde tartine, et entendant dans la cuisine traîner les savates de la femme de ménage,' relife se leva pour aller lui donner un ofditpi Dans son caraco du matin, une marmotté nouée sur ses cheVeux pour les pnéservei* de la poussière du ménage* «Ile- avait l'ait! d'une ïnarée descendan'le. ` ̃ _ii:r Des qu'elle dût fermé la par W, Jean-Jac» 'i ques laissa 'tofltbéT \iï parti 'qu'il feigitai'f; •••' va'érulêtjei' et pris sa 'f ètè -dans ses mains. Une ininûte de silMÏcd"drfn;;> "cette/ €oà-"c triiiute (itimëstitîutvhii' 'sëih!Hîrrît1WJuj0lirs:|B'n.' infraîcliis.semiin(; I! "̃tï'esstfiHï'l <jUiiiid^;eHc' r: rçntra et porta- *ori-- bio}i&- ses- lèvres. Enn*'1 lie s'assit et reprit son bavardage •̃ ̃̃ •– Ces gens' d'ici s'oni. vMixri'éVit'frop»' saies. Cette pauvre Jusiihb '!n'a pas net- toyé la poêle depuis le jéu^'où nous avons mangé des pommes de 'terre frites, et c'était t .mercredi. Je aie sais ce que ferait :cetl'ér' '•̃ fille si je n'étais pas tout le temps stjr1 son dos. et hier elle avait oublié de fermer le gaz en s'en allant. A propos, as-Oi pensé à reprendre la lampe électrique ï Elle n'était pas prête, dit Jean-Jacques pi"udemmén1. Bepuis huit jours, c'est inouï J'y passerai moi-même cet après-midi. :Mais qu'as-tu donc ?. Tu ne manges rien, iij es malade ?. '(i>, Claude Cordés.

(4 satvreï


slovaques du Victoria Zigkor et les Argentins du Uarracas. Le match sera donc parfaitement équilibré, malgré ta présente des internationaux d'Aquin.), Barzan et Ferraris chez les Romains. La colonie italienne de la capitale nttend.la rencontre avec 'impatience. La location des places au Bureau des Chemins de fer italiens, 4, place de l'Opéra, en est une preuve.

Les Romains arriveront aujourd'hui, samedi, à 14 h. 45, à la gare de Lyon, où ils seront reçus par l'Union des Volontaires organisateurs du match La liaison automobile

Agérie-Lac Tchad

La mission automobile du prince Sjxte de Bourltfm est arrivée à Tchad-

tttëuigiin.' (

AVIATION

Miss Cleâvcr a' quitté Le Bourpcet Jtiès Cleàver, qui ;asl arrivée jeudi de Londres, a quitté F Le- Bourget hifer à midi 35, avec son; pilote, M. Drew, arrivé dans la matinée à onze heures, pour- suivant son voyage de tourisme vers les Indes anglaises. 'Son appartil. une avionnette 'munie d'un' moteur de 80 chevaux, ressemble à un avion de salon tant. elle est reluisante.

] Le vol à voile en Autriche

Dans la mesure où les moyens financiers le permettent, on s'occupe en Autriche avec intensité, au double point de vue théorique et pratique, du vol à voile.' ̃

II y a quelques semaines, un certain nombre de piioles éprouvés se sont groupes, dont le but est d'intensifier -Ja pratique de vol à voile en Autriche. L'administration de l'armée a mis à la disposition 'de' la Société, Tlgos, la contrée du Spitalberh, près de Bruck, où, provisoirement. la pratique du vo' à voile est assurée avec un appareil d'écold.

Le pilote à voile autrichien, ingénieur Steszin% a pris la direction des essais effectués sur le territoire autrichien. La mission Air-Afrique

La mission Air-Afrique, venant du Tchad, est arrivée le 5 mars à Kano (Nigeria.): Elle est repartie pour Niamey. Le comte de La Vaux au Chili

;ië comte de La Vaulx. président de ]a Fédération internationale aéronauti- ¡- que. qui vient d'arriver à Santiago-duChili, a été l'objet de l'accueil le plus àJmSble*dc îa; part des autorités et' jiu*.^WiniêrSt: J'Aèro Club Chilien, tipntt'i l'adhésion à la Fédération iulcrnation'afif

fSrâîr'pTïichalne:

Le cpmtevde La»- Vaulx- va regagner Biieiios^iires par la voie des airs.

TENNIS

Le Championnat de France de Tennis ™- de table

--Le -Championnat de France de tennis de table qui s'est joué sur les tables du Ping Pong.Club a obtenu un vif succès. -;1

En sii^nlé, le Français Raymond Verger a d>, îiné l'Anglais Farris par 23-21, 26-16, 21-15.

En simple dames. Mlle -M. :Beyt l'a emporte sur Mlle Fayard» par 21-12, 21-12,21-16.

Le Tournoi d'Asnières

Sûr les courts couverts du Tennis Club d'Asnières, les Championnats douont atteint les quarts de finale. Voici les résultats acquis dans la jour- née d'hier.

Championnat double. Martin-Legeay et Magâloff b. de Montlivault et P.epierre, '6-î, 6-1.

̃Championnat double mixte. Mlle J. Gàlla'y et Classer b. Mme Poupinel et Poulain, 4-6 7-5, 6-0 MmeJ.-R.Le Lc Besperais et R. George b. Mlle Beyt et Berthet, 7-5, 6-0 Mlle Flans et Magaloff b. Mme Michel Bernard et Grad,

6-4. 6-3.

On joue avec les balles DUNLOP. Les Championnats de la Ririera ''r'&u L. T. C. de Menton, les Champion- nats de la Riviera tirent à leur fin Dans le Championnat simple de dames joueuse suisse, Mlle Payot, fit unt grosse impression. Elle battit Mrs Satherwaite, 7-5. 1-6. 3-0 abandonné, mais fut éliminée 'en demi-finale par Mlle C. Aussem, victorieuse par 2-6; 6-2, 6 -S. Dans la Coupe Ho* Nations, H. Cochet et Mlle P. Marjollet triomphèrent au troisième tour de K. C. Peicrs et miss M. -.Thomas par 7-5, 6-4.

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Les Britanniques en Afrique du Sud A Johannesburg, le second match entre la Grande-Bretagne et l'Afrique dn Sud., retardé par la pluie, a vu à la tin de la première journée deux parties nu crédit: des Britanniques et une à celui de§ Sud-Afriqains. Résultats

Double. –r Docteur J. C. Gregory et I. G. Col lins (G.-B.) b. L. Raymond et M. Malcohti -(A. $.% 6-8, 6-1, 6-2. Simples. I. G. Collins (G.-B.) b. NS. MaTcolm- (A. S.), 7-5, 6-3 J. Condon (A. S.) b. docteur J. C. Gregory (G.-B.), 7-5, 7-5.

installat. générale. Entretien Courts. .BeIletrud,;5Ô bis, r. Violet. T. Vaug. 48-19 RUGBY

LE CHAMPIONNAT DE FRANCE Les -l'ouïes de trois en Excellence Demain dimanche la-^ournée sera des plus importantes dans les différentes compétitions du Championnat de France. En division d'Excellence, on jouera les matches du second tour des PouUs de trois. Voici la liste des parties, elles se disputeront sur le terrain du club nomme en, premier

t Poule A. Stade Toulousain contre R.' C. Xarbmihâis.

Poule B. ,S. U. Agenais contre Quins Perpignanais.:

Poule C. Section Paloise contre A. S. liontferrandaise.

Poule D. S. A. U. Limoges contre C. A. Béglais.

Pouk; E. F. C. Grenoble contre F. C. Lézigiiaiiais.

Poule F. C. A. S. G. contre A. S. Carcassonnaise.

Poule G. Sport Athlétique Bordelais contre-, SI- C. Albigeois.

Poule H1. Aviron Bayonnais contre U. S. Perpignanaise.

La Section Paloise, le Sport Athlétique Bordelais doivent gagner, mais Narkonne et le C. A. S. G. le seul club parisien qui soit dans la compétition n'ont que peu de chances de gagner. Agen, Limoges et Bayonne ont des matches très durs dont. l'issue est incertaine.

En division d'honneur, fin des Pou-

i les de cinq..Nous connaîtrons dimanche

les noms dès< seize' clubs appelés à dispute;' les matches barrages contre les huit derniers classés en excellence, et contre les' huit premiers de la division

de promotion.

Que ce championnat est d'une orga-

nisation cuijnpliquée. C'est à la Fédéra-

tion de rutfby des projets tendant à le simplifier et. espéfohs-le, à diminuer le nombre des Rencontres. Souhaitons qu'ils ahoutissent car actuellement touicv\i.i saison est prise par les parties de èiisSfpioÎHiat. impossible de trouver des dates libres pour des matches àniH eaux presque toujours 'plus intéressants. P. C:

BASKET -BALL

Le Championnat de France

Deux matches très importants auront lieu demain dimanche au Stade Duvignau pour les poules de quatre du Championnat de France. L'A. S. SaintHippolyte qui a toujours brillé au premier rang du basket français rencontrera l'Amicale de' Watrelos, jeune club nordiste qui vient d'éliminer dans ce même. championnat le Racing Club de France et la S. A. Montrouge. Le second match opposera la grande équipe du C. S. Plaisance an Stade Français, récent champion de Paris.

Au tir aux pigeons de Monte-Carlo Prix d'Eze (série), 50 tireurs. ,1. comte de (iramedo. Rietti, Bottini (22 mètres) 7 sur 7 4. Watson (26 mètres 25), comte de Prat (29 m.), Vercelloue (22. ni.), '6 sur 7.

Poules gagnées par Balestra, marquis Strozzi, baron Biedermann, Massier, Palawa, Frascolla, de Tullio. Prix de La Turbie, handicap. 42 tireul.s l. Ghirlanda, Russo (20 m:); W.sur, M ̃; 3. Botttni (21 m.}, baron Schilling (24 m-). 13 sur 14.

Les Poules ont été gagnées pp,ï | Sanz. comte A. de Lazara, Cittadini, baron T. de Waldner, Carmellch, Frascolla; de Tullio, Cardon, Palanca.

Lors de la dernière réunion du Pistolet tes poules au pistolet ont été gagnées par Lefranc (2), Salanson, général Flatters," marquis Le Goueslier d Aigence et celles au revolver par le comte de Vaussey et E, Sandoz.

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