pendaient des êtres humains enveloppes de suaires. Ils s'étaient attaches eux-mêmes aux branches par leur chevelure et dormaient ]a dans le plus profond silence. Ce que j'avais pris pour des suaires, c'était un tissu formé par F allongement de leurs cheveux embroussaiDés et blanchis. Comme, je. m'étonnai.;
s'endormir a l'état de chrysalide pour se métamorphoser en papillons ailés. Il y a là comme une double race humaine, et les stagiaires de la première phase,'les êtres les plus grossiers et les plus matériels, n'y aspirent qu'à mourir, pour ressusciter dans la plus splendide des métamorphoses. Chaque année de ce monde représente envi-
d'une pareille situa!) non, Uranie m'apprit que c'est ià Jour mode habituel d'ensevelis-
~sementet de résur-
scmcnt et de résur-
rection. Oui sur ce monde, les êtres humains jouissent de la faculté organique des in sectes qui ont le don de