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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1928-02-25

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 25 février 1928

Description : 1928/02/25 (Numéro 56).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k295422m

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LE COMMUNISME AUX CHAMPS ̃̃ »^ -̃̃̃ "striSL-tions de la, c3.ocrtrirLe .• iiiiimaiiiiia

Au cours de notre cànipa-

^^§I3l; gne Contre le Communisme, «fflx nous avons envisagé la propagande en action dans les milieux' industriels, dans les administrations publiques, dans l'armée et dans la marine qui sont les remparts de l'Etat. Nous n'avons pas étudié le communisme dans ses rapports avec la question agricole, ni la propagande communiste dans les campagnes. Il faut y venir maintenant la question agraire est au fond de la plupart des problèmes économiques la population agricole forme encore la majorité de la nation en France les communistes s'exposeraient à être écrasés comme les insurgés de 1871 par ceux qu'ils appelaient « les Ruraux », s'ils ne les avaient d'abord endoctrinés. Ils s'y efforcent réellement, par des moyens que nous examinerons, et qui échappent à l'attention du public parce que les agents révolutionnaires de cette catégorie sont nécessaireïrieiiè très disperses, et leurs manoeuvres très circonspectes.

De tout temps, les théoriciens socialistes ont disserté sur la socialisation de la terre. Ils sont partis de cette idée fondamentale que, la surface de la terre étant limitée, le propriétaire foncier jouit d'un véritable monopole au milieu des autres hommes Proudhon dit « Dieu a créé la terre alors, propriétaire, retire-toi » Ce socialiste qui parle de Dieu, et qui était un vrai Français, ne fait plus autorité chez les révolutionnaires matérialistes ils ont donc laissé sa formule en conservant le principe que la terre n'est pas susceptible d'appropriation parce qu'elle n'est pas la création de l'homme. Mais ils en ont tiré des conséquences variables. Dans l'antiquité, Aristote et Platon, qui admettaient les autres formes de la propriété individuelle n'admettaient pas la propriété du sol. Aux siècles où ces spéculations économiques revinrent à la mode, Thomas Morus, puis Payne et Holl taxèrent aussi d'usurpation et d'accaparement la propriété foncière, imaginant qu'il suffirait de l'abolir pour établir l'égalité parmi tes hommes. De même Ricardo, dont la théorie de la rente foncière a inspiré la thèse marxiste de la valeur. De même encore, StuartMill, Spencer, et surtout Henri George dans son livre Progrès et Pauvreté, qui garde beaucoup d'influence en Angleterre à la conférence tenue à Londres il y a deux ans (17, 18, 19 Février 1926) sur le problème agraire, les libéraux socialisants n'ont fait que paraphraser les idées d'Henri George mais les tentatives d'application qu'on en a faites en Australie ont piteusement échoué. Sur les théories de ses prédécesseurs, le Juif d'Allemagne Karl Marx a simplement greffé la lutte de classes il les a fait entrer ainsi dans une phase nouvelle, car les appels à l'envie et les excitations à la haine ont plus d'action sur les humains que le raisonnement objectif des philosophes, économistes et sociologues.

Dans le Manifeste de 1848, Karl Marx désigne le capital foncier comme proie à la collectivité entre toutes les sortes de capitaux il dénonce le prélèvement du propriétaire foncier avec. une partir çulière virulence i7 n'épargné pas la petite propriété que, d'ailleurs, il croyait en voie de disparition il déclare que « l'éterniser, ce serait décréter en tout la médiocrité » donc, « elle doit être anéantie ». Même il fulmine contre « le paysan qui fait partie de la classe barbare continuant l'état primitif avec les vices de la civilisation ». Bien entendu, son compère Engels écrit la même chose que lui, et lance l'anathème contre le rural qui solliciterait un privilège de respect pour la petite propriété terrienne.

Au Congrès socialiste de Marseille en 1880, Jules Guesde soutint la même doctrine, avec moins de brutalité il édulcora la pilule, et promit au petit cultivateur dépouillé les vagues félicités de la cité socialiste en compensation.

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Depuis un demi-siècle,, les partis de destruction sociale ont pris un déveldp-/ pement formidable ils veulent se croire à la veille du triomphe et la conquête de la clientèle rurale est la dernière étape à franchir. S'ils enrôlentla classe agricole, ils sont vainqueurs presque sans combat s'ils n'y. réussis^ sent pas, ils seront probablement écrasés. •'•

Même en Russie, les tyrans bolchevistesont eu beau faire d'effroyables pogroms de paysans, ils ont dû capituler à la fin devant une classe agricole qui, pourtant, était déjà familiarisée dans ses villages avec le communisme. En France, il n'y a pas de village communiste; la petite propriété paysanné est extrêmement développée. Nous

avons insisté sur ce fait à plusieurs reprises, notamment lorsque nous avons réfuté par avance les arguments que la propagande communiste ne manquerait pas de tirer de la Révolution agraire en Roumanie. Et l'attachement du petit propriétaire paysan à sa tprre est un solide obstacle aux spoliations marxistes. Même le paysan qui ne répugnerait pas à socialiser pour son compte un morceau de la propriété d'autrui n'aura pas l'héroïsme et la logique de remettre lui-même son lopin de terre au fonds commun.

Les tableaux statistiques dressés en 1892 par l'Administration dénombraient en France 4.792.814 cultivateurs (exploitants directs, 70 1/2 pour cent fermiers, 22 1/4 pour cent métayers, 7 1/4 pour cent) sur 34.720.000 hectares cultivés.

Après la guerre, répondant à une question écrite de M. Roger Grand, sénateur (14 décembre 1927), le Ministre de l'Agriculture s'est reporté d'une part à cette enquête de 1892, d'autre part à une enquête effectuée en 1908 par l'Administration des Finances, et il a renvoyé pour le reste à une enquête qui se fera.en 1930.

De ses déclarations il ressort que, en 1892, sur 6.702.753 propriétés foncières, on trouvait seulement 138.171 exploitations de plus de 40 hectares, et 711.118 exploitations de 20 à 40 hectares, contre 4.852.964 exploitations de moins de 20 hectares mauvais terrain pour une propagande communiste franche et nette, à la manière de Marx et d'Engels.

D'où nécessité d'une propagande hypocrite, tortueuse, adaptée aux régions et aux milieux, d'un mot opportuniste.

En 1893, M. Jaurès proclamait « Si nous sommes collectivistes, c'est que le collectivisme, loin de détruire la propriété individuelle. est aujourd'hui le seul moyen non seulement de l'étendre mais de l'universaliser 1 »

C'était un de ces oracles qui font merveille auprès des foules parçe qu'ils

,ont Tair déc,isjfs. et sont (proprement

absurdes, paç-la. contradiction lèÙfs termes.

Non moins absurde, surtout du point de vue socialiste, est la formule favorite des socialistes dans les campagnes « La terre à celui qui la travaille », ou « le champ au laboureur, la vigne au vigneron, la forêt au bûcheron », etc. Car cette formule aboutit sans doute à des mutations 'de propriété, avec ou sans indemnités mais elle aboutit d'abord au maintien de la propriété individuelle elle multiplie considérablement les propriétés individuelles les ouvriers agricoles sont substitués aux propriétaires « capitalistes », et deviennent propriétaires à leur place. Rien de plus contraire au communisme 1

C'est même la réfutation de la théorie de la concentration, inscrite dans l'évangile marxiste une sorte de sacrilège. •̃̃̃̃̃̃

Depuis la guerre, le député CompèreMorel a été promu à la haute direction île là politique agraire dans le Parti socialiste. Or, dans le Populaire (10 Septembre 1927) il soutenait que jamais les socialistes n'ont voulu socialiser la terre, parce que la propriété privée agricole n'est pas une forme d'exploitation capitaliste. Encore un démenti à tous les pontifes antérieurs Et le député du Gard, en qualité de rapporteur de la commission d'agriculture, proposait à la Chambre une série de réformes qu'appellent de leurs vœux beaucoup d'agriculteurs adversaires du socialisme. A la vérité, M. Gompère-Morel subordonne ses réformes à l'établissement préalable d'un certain étatisme, qui réduirait les possi- bilités de l'initiative individuelle mais il recule bien loin des conceptions communistes.

Dans le parti communiste, c'est le député Renaud Jean qui tient la férule pour la propagande aux champs. Il se montre aussi doucereux que l'autre. L'Appel aux Travailleurs de la terre, lancé par son organe La Voix paysanne pour les élections de 1924, ne faisait même pas allusion à la nationalisation de la grande propriété. Dans la préface qu'il a donnée à, une brochure de propagande répandue à foison, le porte-parole du communisme va jusqu'à écrire: « Aux champs, la diversité dés conditions humaines s'ajoute, pour dicter aux communistes la prudence, à l'impossibilité de violenter les conditions économiques. » Alors ?

La Confédération Générale dn Travail n'y mettait pas tant de façons. Au Congrès de Limoges, 6 avril 1920, le métayer Larouy demandait la substitution du fermage au métayage le 1 secrétaire général de la Fédération de l'agriculture lui répondit « Nous vou-

Ions vous faire comprendre que vos formes d'exploitation, métayage et, fermage, sont absolument sur le même plan et assujetties aux mêmes métho-f des de travail. Vous devez comprendre que les conséquences sociales et économiques en sont les mêmes, et que ce n'est pas seulement de la forme métayage au fermage qu'il vous: faut passer, mais du métayage à la forme collective ou communisme. » Et la C. G. T. constitua, en union avec d'autres organisations, une section spéciale pour étudier les modalités de la nationalisation du sol. Mais dans son dernier programme agraire, la C. G. T. n'en parle plus.

Mêmes évolutions dans la C. G. T. U. En son premier congrès, 23-24 janvier 1926, la Fédération unitaire des Travailleurs agricoles réclamait explicitement « la Terre aux Paysans », c'est-àdire la dépossession sans indemnité des propriétaires non exploitants, l'attribution de leurs terres à des coopératives de production agricole, ou à des travailleurs agricoles, .totalement dépourvus la nationalisation des forêts, qui deviendront propriété publique et seront exploitées par des coopératives d'ouvriers forestiers sauf certaines détendues, attribuées aux communes pour les besoins de leur population' Mais en septembre dernier (1927), au cours de la conférence tenue par la Fédération unitaire de l'agriculture après le congrès d'ensemble de la C. G. T. U., il n'en est plus question.

Evidemment, une consigne générale a été donnée. On a senti la résistance du paysan français aux conséquences absolues et logiques du marxisme. On a résolu de laisser les principes en sommeil, et de doser le poison suivant l'état économique des régions, l'état d'esprit des auditoires, le résultat des coups de sonde antérieurs. C'est de l'opportunisme le plus bas, au niveau de la plus basse politique électorale.

Nous le suivrons à l'œuvre.

François Coty.

Elections d'Alsace

Demain dimanche auront lieu à Haguenau des élections municipales qui présentent un particulier intérêt en raison des luttes de partis dont souffre l'Alsace. Le "Conseil municipal a été dissous en janvier, à la suite "(ï'inbiclents multiples qui ont tous eu le même caractère ef là même cause. Le maire était un « autonomisant » et laissait passer peu d'occasions de marquer» ses sentiments antinaticnaux. Malgré les efforts de l'opposition du Conseil et malgré l'émotion soulevée dans la population, la municipalité se livrait à des manifestations qui ont paru intolérables. C'est dans ces conditions que le Conseil a été dissous.

L'élection de demain mettra aux prises deux listes une liste d'autonomisants qui, pour donner le change, se présente comme la liste de défense religieuse, tandis qu'elle est en réalité la liste antinationale, avec l'ancien maire à sa tête et une liste d'union nationale où figurent des catholiques nationaux, dès* radicaux, et même des socialistes. Par suite d'une entente entre les diverses fractions de l'union nationale, cette liste de 27 candidats comprend neuf catholiques, neuf démocrates, neuf radicaux-socialistes. Chaque parti a fait preuve de bonne volonté pour obtenir ce résultat. A vrai dire, la ville de Haguenau compte, sur dix-sept mille habitants; quinze mille catholiques, et on a pu sé demander si. c'était assez que de réserver neuf sièges aux catholiques nationaux. Les radicaux efleS socialistes se sont engagés à ne pas toucher au statut religieux et scolaire de l'Alsace. Ainsi a pu se constituer la liste d'union dont tous les patriotes espèrent le succès.

La lutte sera très vive, car les deux partis en présence disposaient précédemment d'un nombre de voix presque égal. Bien qu'il s'agisse d'une élection locale, elle emprunte aux circonstances une importance spéciale et son résultat sera examiné avec attention par tous ceux qui comprennent la portée de ce qui se passe présentement en Alsace. A. C.

LA POLITIQUE

ILS EXAGÈRENT

A la faveur de la bousculade finale, les députés veulent faire passer d'ici quinze jours toutes sortes de projets qu'on ne discutera pas, qui sont inscrits à l'ordre du jour « sous réserve qu'il n'y ait pas débat », dont le président marmottera le texte en le faisant suivre, dans le bruit des conversations; d'un « Adopté » pur et simple. La dernière conférence des présidents a ainsi réservé un bon rang, et pour passer comme lettres à la poste, à vingt et une affaires dont beaucoup ne sont que des formalités législatives, dont d'autres méritent l'attention, et dont une, entre autres, exige le plus sérieux examen c'est la proposition du professeur Pinard, relative au certificat prénuptial.

Les intentions qui inspirent cette mesure sont excellentes. Le rapporteur, M. Nicollet, qui a consacré à la proposition uni. étude sérieuse, intéressante, y voit « un bienfait social » c'est, dit-il, une œuvre salutaire entre toutes. « Le but à atteindre est sublime. » Nous nous garderons de le contredire. Nous noterons seu- lement que te professeur Babinskî, de qui

l'on sollicitait l'opinion, avant de se prononcer, demanda à voir le texte exact du projet de loi. Ce texte, le voici x Tout citoyen français voulant contracter mariage ne pourra être inscrit sur les registres de l'état civil que s'il est muni d'un certificat médical daté de la veille, attestant qu'il ne présente aucun symptôme appréciable d'une maladie contagieuse. » « Citoyen- s>, porte le texte. Et la citoyenne ?

Et quelles maladies contagieuses viset-on ? « Il ne faut pas prendre le mot au pied de la lettre fi, dit le rapporteur. Il s'agit de savoir seulement « si le candidat au mariage porte sur lui le cortège symptômatique d'une maladie contagieuse ». Qui décernera le certificat ? » Tout docteur en médecine muni de son diplôme. » On frémit à la pensée des erreurs et des complaisances 'possibles. Et l'on demande, quelque bienfaisant que puisse être le principe, si pareille disposition ne vaut pas d'être minutieusement discutée. Non, dit le rapporteur à ses collègues « Vous ne prêterez ni souci ni attention pointilleuse aux mesures d'exécution et de mise en pratique du certificat. Elles échappent forcément au législateur, et sont d'ordre particulièrement médical. » Et voilà une dictature de plus celle d'Esculape. Ne se trouvera-t-il pas, au pays de Molière, quelque député pour se refuser au vote à l'aveuglette d'une proposition qui regarde tout le monde 2 Henri Vonoven.

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La Température

Léger vent sud-est.

Ciel clair, quelque brume le matin.

Température stationnaire.

A cheval

Au moment où cinq amazones parties de Paris se dirigent à petit trot vers la Croisette, le Conseil municipal se préoccupe, à juste titre, de l'avenir du cheval de selle. La plus belle conquête de l'homme est, en effet, menacée tant par l'automobile envahissante que par la disparition des manèges.

On songerait donc à créer une sorte de grand manège municipal sur le terrain des fortifications.

Gardons ses cavaliers et ses amazones à l'allée des Acacias.

Le secret diplomatique.

Le Foreign Office étudie actuellement une nouvelle machine à écrire >pour correspondance secrète', q«ùi serait 'appelée'iâ'¥eAu're aebg'f'à1nds services. Elle a été inventée par un fermier de Brighton, il y a quelques années, au moment où les socialistes, avec cette candeur qui leur est propre réclamaient « la diplomatie au grand jour ».

Plus de fine « maison ».

C'était évidemment un peu trop commode. Sous l'appellation de « fine maison » ou de « fine » tout court, des mixtures variées nous furent, hélas souvent servies.

Le Journal officiel a promulgué, hier, une loi qui réglemente l'emploi du mot « fine » dans le commerce des eaux-devie.

Désormais il n'y aura plus que de la fine-champagne, de la fine-calvados et autres fines à étiquettes géographiques, viticoles ou cidricoles.

Au nom des amateurs, merci 1

Centenaire d'Henri Lasserre.

Aujourd'hui, 25 février, marque le centenaire d'Henri Lasserre, le célèbre historien de Notre-Dame de Lourdes. fiuén au cours d'un pèlerinage, cet avocat périgourdin.consacra'jjar'vie à faire connaître^, .Je.s, prodiges, miraculeux accomplis à la grotte de Massabiel. Ses ouvrages connurent, vers 1860, un succès considérable.

Dans la tradition.

Le Russe Alexandre Zubkoff, époux de la sœur de (juillaume II, a, dans un établissement de nuit berlinois, frappé si'violemment un jeune homme qui refusait de se conformer à ses ordres, que celui-ci a perdu connaissance. Il sera poursuivi en justice pour injures, coups et blessures. Ce bouillant jeune homme, avant de traverser l'Atlantique, se distrait comme il peut. Et l'ex-Kaiser doit penser que son beaufrère est tout à fait dans la tradition de la famille.

Pourquoi les « Monopoles Kressmann » obtiennent-ils un succès mondial si considérable ? A cause de leur qualité irréprochable et de leur présentation impeccable.

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AUJOURD'HUI

Supplément littéraire

Pour les Veuves des Auteurs

Mes amis Maurice Donnay, André Rivoire et Henry Bernstein ont déjà, dans le Figaro, qui à bien voulu accorder à leurs émouvaâts articles la plus généreuse hospitalité, fait appel, ^chacun avec son tempétament et' selon sa nature, à notre cher et grand public pour le convier à venir en aide à la Société des Auteurs et Compositeurs dramatiques, qui vient de créer une caisse de pensions pour ses veuves et ses orphelins. Ils lui ont signalé de la façon la plus touchante l'occasion qui se présentait à lui de témoigner son affection et sa reconnaissance aux écrivains de comédie légère ou dramatique, aux musiciens de théâtre qui l'avaient enchanté. En effet, Henry Bernstein, avec cette spontanéité fougueuse qui le caractérise, s'est fait une joie d'offrir, vendredi prochain 2 mars, en soirée de gala, au théâtre du Gymnase, à cette Caisse des veuves et'des orphelins, bénéficiaire pour cette représentation sensationnelle de tous ses droits d'auteur, la première de la reprise du Secret, l'une de ses pièces les plus puissantes et les plus profondes, sinon son chefd'œuvre, reprise à laquelle une interprétation incomparable conférera un éclat, tout particuJieç,».

De nombreux souscripteurs ont déjà répondu à ces appels, et c'est un agréable devoir pour le président de la Société des Auteurs et Compositeurs dramatiques de leur adresser à tous un chaleureux merci. Cette soirée comptera parmi les plus belles de la saison un grand nombre de membres du gouvernement y assisteront et tout ce qui porte un nom dans la politique, dans l'art, dans le théâtre, dans la finance, le commerce et l'industrie s'y retrouvera avec les personnalités mondaines les plus représentatives de cette haute société parisienne, qui constitue la plus rare et d'ailleurs la plus enviée des élites. D'ores et déjà, le gala du Secret est un succès, un gran^iisuMès nous voudrions excusez-iftJtMU^a1 charité rend ambitieux nousf¥ôûdfîons qu'il fût un triomphe et c'est pour cette raison que j'adresse cette dernière supplique aux retardataires, à ceux que le souci de leurs affaires, le désagrément d'une indisposition heureusement passagère ou la diversion d'une absence avaient jusqu'ici empêchés de souscrire.

Ont-ils réfléchi mais réfléchit-on I ces choses à tout ce qui se cache de..poignante réalité derrière les portants du rêve et les décors de la fiction ? Bien que les -Grecs, avec leur imagination ailée, aient voulu les faire passer, sinon pour des dieux, du moins pour les favoris des puissances célestes, les poètes (tous les écrivains dramatiques, tous les musiciens ne sont-ils pas des poètes ?) sont des hommes comme les autres c'est d'ailleurs pour cette raison qu'ils connaissent si intimement les hommes c'est parce qu'ils les ont observés sur euTt-ribêings qu'ils peuvent s'amuser de "leftrs travers, s'émouvoir de leurs infoi-tùnes, s'apitoyer sur leurs passions. Comme tous les hommes, ils sont assujettis aux plus strictes, aux plus mesquines nécessités de l'existence. Malheureusement, -emportés par leur imagination dans un autre monde, ces « voyants », selon l'expression antique, sont rarement clairvoyants c'est dire qu'ils ne sont jamais prévoyants. Epris du succès et, quand ils sont de noble race,.amoureux de la gloire, ils courent après ces deux chimères avec une parfaite et magnifique insouciance.

Plus ou moins semblables à ce fou sublime de Bernard de Palissy qui, sous les yeux consternés de sa femme, alimentait avec son mobilier le plus essentiel ses fours magiques, d'où devaient sortir ces poteries et ces émaux, mystérieux produits des amours de la terre et de la flamme (et cependant il se croyait un simple « ouvrier de terre » et s'intitulait, avec une modestie charmante, « inventeur de figulines rustiques »), beaucoup d'entre eux travaillent pour leur temps en vivant hors du temps, sans se soucier, pas plus pour ceux qui les entourent que pour euxmêmes, des contingences. A force de rechercher l'absolu, ils inventent, à leur insu et pour leur compte., sans rien connaître d'ailleurs des iMôrïés d'Einstein, la relativité. Us ;1ne,jH,se.JXt qu'à leur œuvre, comme si ette ïès" justifiait de tout et suffisait à résoudre tous les problèmes, même celui de la vie humble et quotidienne. Dès l'instant qu'ils l'estiment conforme à leur vision et qu'ils s'en délivrent selon le cri et les exigences de leur nature, ils éprouvent une joie étrange, qui serait cruellement égoïste s'ils n'avaient en même temps reçu la mystérieuse mission de la faire partager. Et' cette joie ne sonne à aucune horloge terrestre; elle est d'hier et de demain, aussi bien que d'aujourd'hui. Que représentent, pour ces travailleurs .p4yilégiésr et déshérités, ces expressions dont les autres se servent et dont le sens leur échappe le présent, le passé, l'avenir ? 2

L'Avenir Mais il viendra et reprendra toute sa signification impérieuse et humaine, mon pauvre poète, quand tu seras parti. Celle qui fut ta compagne, le témoin de tes efforts et de tes luttes, la confidente de tés espoirs et de tes déceptions, celle qui fut ton aimée aux heures de la jeunesse, celle qui fut ton amie aux heures' îdé 4a maturité, celle qui fut ta co'MSo'Mion aux heures de la vieillesse, celle tfai fut ton soutien aux heures de détresse, celle qui t'apporta des raisons de vivre aux

heures de découragement, celle qui mit toute ta vie autour de toi la douceur d'une présence ou l'exaltation d'un sacrifice, voici que, malgré toi, tu l'abandonnes et tu n'as rien prévu A la douleur d'avoir perdu l'être qui lui était indispensable s'ajoutera pour elle l'angoisse déprimante du souci journalier. Tu comptais sans doute sur ton œuvre pour la faire vivre après, toi ton amour-propre n'a pas été bon prophète et ton orgueil a mal calculé. D'autres sont venus qui t'ont remplacé dans la faveur capricieuse et peut-être justement changeante du public, et tu ne laisses à celle qui te survit qu'un nom qui ne se monnaie plus. Est-il même nécessaire d'évoquer ici les enfants pour attendrir ceux qui lisent ces lignes ? Il aura suffi, j'en suis sûr, de faire passer devant leurs yeux le cortège impressionnant des mères, ces veuves, dont quelques-unes portent la punition d'avoir cru au génie de l'homme qu'elles avaient choisi et dont la dignité en larmes ne saurait s'accommoder de requêtes, qui restent toujours un peu humiliantes, puisqu'elles doivent s'adresser à des confrères de l'époux disparu.

C'est parce qu'elle a compris toute la détresse morale de cette situation, dont on n'envisage souvent que la Isère matérielle, que la Société des Auteurs a tenu à constituer une Caisse (pour laquelle, hélas il faut beaucoup d'argent), dont le capital est destiné à assurer à toutes les veuves, sans exception et sans distinction, des, pensions annuelles, qu'elles n'auront pas à solliciter comme des secours, mais qui leur seront versées régulièrement comme des droits, analogues à ces droits d'auteur que touchaient leurs maris. Libre à celles que leur fortune mettra à l'abri du besoin d'abandonner à cette Caisse, pour augmenter le patrimoine des autres, la part qui leur reviendra. Personne n'aura à connaître de ces libéralités. Veuves et orphelins de tous les écrivains et musiciens de théâtre seront égaux devant notre commune volonté de les aider à faire dans la bataille de la vie une défense moins incertaine et moins précaire. Commune volonté, puisque nous avons souhaité que la volonté du public s'associât à la nôtre dans cette entreprise d'humanité.

Cher public, si compréhensif et si sensible, solidarise-toi avec nous dans cette œuvre de bonté et de généreuse prévoyance pense aux familles de ceux qui te distraient, de ceux qui te font rire, de ceux qui t'émeuvent. Le soir de la reprise du Secret, Henry Bernstein te dira un douloureux, un tragique secret. Permets-moi de t'en révéler un autre celui du bonheur. Il est tout entier dans le don de soi, car nous n'avons de véritable ennemi que nous-même et il faut que nous allions vers les autres pour trouver des amis donne donc un peu de toi-même si tu veux être heureux et, comme. tout le monde veut être heureux, le Gymnase, vendredi prochain, sera trop petit pour contenir tous ceux qui m'auront entendu.

Romain Coolus,

Président de la Société des auteurs

et comnbsiteurs dramatiques.

–s~

AU SOCIETE DES CONFERENCES,

Robert de Flers

par Francis de Croisset La jolie, l'étincelante conférence, fine, spirituelle, toute fleurie d'anecdotes et de souvenirs, et si sincère, si vraie, si cinourvante M. Francis de Croisset y a mis tout le cœur d'un ami, d'un ami de toujours, car Robert de Fiers avait été non seulement un des compagnons les plus chers de sa jeunesse, mais, durant dix années qu'il a «embellies», un incomparable collaborateur de tous les jours. Pour qu'il n'y ait point d'ombre sur son portrait, je veux, dit M. Francis de Croisset, écarter mon chagrin. Je veux vous restituer Robert de Flers dans cette clarté qui était son essence. Lui-même n'aurait pas voulu que son souvenir pût attrister, lui qui n'a jamais fait de peine à personne. S'il était là, il dirait « Mon ami, ne vous laissez pas assombrir. J'ai eu le destin que je souhaitais. Ma vie a été belle, et j'ai obtenu tout ce que l'on peut désirer eu ce monde. J'ai connu la gloire, et tout de même j'ai connu le bonheur, et, ce qui est plus rare et plus précieux que tout, j'ai connu un bonheur amusant. J'ai toujours eu de la chance, j'ai même eu la chance d'apprécier la chance que j'avais. J'ai gardé jusqu'au dernier jour ma fraîcheur de cœur et ma jeunesse d'esprit. Ma maladie a été courte, ma mort presque instantanée c'est ainsi que je voulais finir ;.je n'ai jamais aimé les longueurs

Et le conférencier évoque sa première rencontre avec Robert de Flers en un dîner donné en l'honneur de Mme Aubernon. Personne', alors né connaissait ce jeune hotame, et chacun s'en faisait une idée différente.

C'est qu'il y avait en lui un administrateur et un artiste; un diplomate et un bohème, un organisateur et'un frondeur, un honime de cœur et un homme d'esprit et, ce qui est moins banal encore, un homme de théâtre et un. écrivain.

M. Francis de Croisset retrace la jeunesse de Robert de Ffers son mariage, son voyage à Constantinople, son entrée aux Escholiers dont il devait être le président le plus brillant, le plus actif, enfin' son entrée dans la littérature. Il rappelle ses premiers livres Vers l'Orient, Entre cœur et chair, la Courtisane Taia et son singe vert, Usée, La princesse de Tripoli, enfin un Essui critique. «Journaliste, il donne au Soleil des chroniques éclatantes, eutre comme critique littéraire et dramatique à.la Liberté. Avec l'influence, lui venait déjà le goût d'obliger. Déjà l'on com-


ïcençait à lui demander des services ou devait lui en demander pendant trentecinq ans, et jusqu'à son dernier jour. » Et pourtant il ne trahissait jamais un moment d'agacement ou d'impatience. Son infatigable politesse était si spontanée qu'elle paraissait affectueuse.

On s'est souvent demandé, ajoute M. Francis de Croisset, comment critique, chroniqueur, auteur dramatique, directeur de journal et tant de fois président, il pouvait faire à la' fois 'tellement de choses. La recette est bien simple les choses qu'il faisait, il les faisait avec plaisir. Comme il n'était jamais préoccupé de lui-même, le monde c .térieur ne cessait pas de l'intéresser. Tout captivait son activité toujours jeune et, chaque fois; il était •au seuil d'un travail comme un collégien au seuil des vacances.

Il fut le type parfait de l'homme de 'théâtre, mais c'était aussi un écrivain. Les mots, ces beaux mots français malmenés trop souvent par maint plumitif barbare; Retrouvaient leur rac© sous sa plume. Tant d'îpSthètes, au jourd'liui, oot»3'air de fleurti coupées t, lies siennes, plongeaient leurs racines au me'il-'

leur de notre terroir, « Celui qui n'emploie

pas" les mots propres fausse les âmes », a dit Socrate. Lés mots de Flei's étaient toujours de; bonne naissance. r -Ses •substantifs^ précis* ees adjectifs mesurés, ;ses verbes rigioureux* restauraient les, plus beaux ffcuroijs -de iiotre lanKagei Son discours sur M. de Ségur, celui sur les prix de vertu, sa réponse à M. JBstaunié, sont, à proprement parler, dés chefs'-d'œuvre. Et combien ises feuilletons du Figaro avaient de sagesse, d'ingéniosité et d'agrément Il était né pour être critique, il ne lui manquait que la malveillance.' C'est qu'il savait trop l'effort que, coûte une pièce pour ne pas le respecter. S'il fendait compte d'une œuvre malheureuse, l'on selitaitque l'échec d'un confrère le désolait, né fût-ce que parce qu'il songeait «-L'animal, il m'a gâte mon sujet de feuilleton s Si une pièce réussissait, elle avait beau •heurter- ses goûts ou sa manière, il ne discutait pas avec sou plaisir. Dans un temps où tant de pontifes se prennent pour des apôtres, il lie s'était pas donné de mission. C'est qu'il •possédait cette jeunesse de regard, ce don de s'étonner, cette innocence de spectateur qui sont le charme de pareilles études. Ses critiques sont de' prestigieuses promenades littéraires, des prétextes a imaginer, à philosopher, à se souvenir. Et, en cela, il fut le disciple d'Anatole France, qui disait « La grande bonto des œuvres des maîtres est d inspirer de sages entretiens. »

Si son théâtre est cousin de celui de Meilhac et Halévy, uu abîme pourtant les sépare la souffrance, et M. Francis de Croisset rappelle sa longue et affectueuse collaboration avec Arman de Caillavet. Comment ;ravaiHait-il ? Lui-même a pu s'en rendre compte. ̃ %™*m ?*»'? Le travail avec Robert de Fler/s ne ressem-' î>)ait à aucun autre.' Avant la .gffertB/.ïl rn'étaiU aVrivè parfois de collaborer avec ^eifaiiis'1 auteurs dramatiques. Sans doute, leur part était importante, .mais elle était définie. ,,le pouvais la discerner, je la discerne encore. Avec Flers. rien de pareil. Jamais il ne nous 'est ar.riyé d'écrire une scène l'un sans l'autre. C'était iifiiie causerie, la plume à la main.

Puis, ce sont les souvenirs de la guerre. ia hâte de Robert de Fiers de s'engager, ses premières armes sur le front français Tout: l'hiver de 1916, il devait le passer sur Je- front de Verdun. Quelques mois plus tard, il partait pour la Roumanie comme agent diplomatique, mais il emportait dans sa cantine un uniforme de lieutenant, pour l'heure prochaine 'où la Roumanie se joindrait à nous. Avec les Roumains, il fit la dure retraite, vivant de la vie sublime et précaire de cette armée magnifique. Tragique traite de la Dobroudja, pendant laquelle, décimée par le typhnS exanthématique, en butte au froid et a Ja faim l'armée russo-roumaine se battait 1 • Retour des Balkans, il fut envoyé sur le front italien, puis, en 1Û1S, sur la demande' du comte de Saint-Aulaire, ministre de France à Bucarest, Robert de Fiers, en compagnie de M. Emmanuel Chuumié, repartit pour ta Roumanie. Depuis la trahison de l'armée russe, la si-1 tuation y était tragique. Isolée de ses alliés, la Roumanie, comme une île battue par la mer. était assaillie d'ennemis. Pour l'atteindre, il fallait traverser tout l'immense pays holchevicjue. Déguisé sons un manteau de peau' de mouton, et un bonnet de fourrure, Robert de Fiers réalisa ce tour de force. Porteur de documents secretîi, il îrisquait ita«tôt:' d'être :fttsillépar les- bolclwvistcs 'et tantôt pur les -A-Hemands. La Russie franchie, restaient deux cents kilomètres, à parcourir en territoire ennemi. Enfin, c'est l'arrivée à Jassy des deux Français, l'arrivée miraculeuse 1

En octobre 1918, le lieutenant de Flers devait gagner sa quatrième citation survolant toute la Bulgarie, il réussit à faire la liaison entre les Roumains et l'armée de Salonique, facilitant ainsi la magnifique offensive qui devait libérer la Roumanie. Le souvenir qu'il y a laissé est inoubliable. Aussi, comme l'a écrit dans un magistral article Mi de Saint-Aulaire, «le Parlement roumain, en apprenant la fatale nouvelle de sa mort, a manifesté sort deuil oopime pour la mort d'un souverain. ami. » Mais quelle fut la clé de son succès? r«ll croyait à sa chance, note M. de Croiss^et, il ne, s'y (fiait pas.» D Il avait un charme infini. C'était un causeur éblouissant.

Pourtant, tous ces dons éclatants, toutes ces solides et brillantes qualités. ne restituènt pas â son portrait sa véritable lumière. Son meilleur rayonnement, il ne le devait pas à son mais à son coeur, et ce qui l'eusoleillait, c'était sa bonté. Une bonté non seulement active, mais adroite, qui empruntait pour réconforter toutes les formes, et pour ne pas froisser, toutes les ruses. Quand, alourdi de soucis ou de tristesse, on allait le voir, il vous guérissait toujours un peu. Sa vie entière a été ce don quotidien une offrande de bonne humeur;

Et M. Francis de Croisset se demande en terminant pourquoi son chagrin de tout à l'heure ne ressemble plus tout à fait h "sa douleur présente et pourquoi. il éprouve maintenant un pén'.pev^écôrifbrt et de douceur. « C'est, dit~tL~q~I.jt4i ,liassé une heure avec 'lui. »

:6e fut aussi le sentiment de tous les amis de Robert de Flers qui se pressaient dans la salle, et dont les applaudissements chaleureux remercièrent M. Francis de Croisset d'avoir fait revivre devant eux celui dont le souvenir si cher est toujours 1 Vivant parmi nous.

Jacques Patin.

Pour les veuves des auteurs

Cinquième liste de souscription

M. Alfred de Chlapowski, ambassa- deur de Pologne Fr. 200 M. Raoul Péret .».. 200 M. François-Marsal 1.000 M. Laroze, gouverneur du Crédit • Foncier de France 1.000 Société des Auteurs, Compositeurs et ̃ Editeurs de musique 5.000 M. Louis Cartier 5.000 M. Otto H. Kahu 5.000 Banque de Paris et des Pays-Bas.. 2.000 Banque Transatlantique 1.000 Hôtel Ritz 1.000 Mme Georges. Stem ̃ 1.000 M. 'Lucien Sa nphar, maire 9e ̃ kr- '• rondissement l.OÛQ M. Robert Cienaimé >. I.00O M. Maurice Haphaët 1.000 Anonyme • ''T.006_ Anonyme e' ,1,000 M. de Porto-Riche, de l'Académie

française 500 M. Jean-Victor Pellerin 500 Lady Mendl 500 Sir "Charles Mendl 500 M. Jacques Bousquet 400 M.Domicilié 300 M. Tauber 200 Le journal Vo~Me 200 Ahonvmc 200 M. le comte Clary 100 Total Fr. 30.800

Liste précédente 255.140

Total c.KSân&h Fr. 285.940

P.-S. La Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques a eu la rare bonne fortune d'obtenir du grand artiste J.-L.

Forain qu'iltillustrerait le programme de la première représentation de la reprise du Secret donnée au Gymnase, en soirée de •galaVié, vendredi, i2 mars. prochain. Ajoutons quelle Maître a très généreusement fait don, jaux organisateurs-du Gula, de l'original de son admirable dessin qui sera rni^âxrk %njchères, entre le deuxième

et le troMèM! afcte, par les soins de Mmes

Simotie' e^G^-by^Morlay.

Nul douté que cette maîtresse page n'atteigne un prix considérable, qui viendra grossir la recette de Ja représentation donnée au -pi'ôfit des veuves et des orphelins des Auteurs et Compositeurs Dramatiques. Nous rappelons que l'œuvre célèbre de M. Henry B^rnstçin jouira d'une interprétation* particulièrement éclatante avec Mmes Simone; Ga'by Mbrïay, Lucile Nobert ̃ MM» Charles- Boyer, Blanchar et Vargas.

Le prix des places est ainsi fixé Logè's et''bai£rioirês 5.000 ''ir."la loge ou la-.teignoire Fauteuils d'orchestre ou de-bïlcph/prèmîèf'f'isérie 500' ïr. la place; Fauteuils d'ôrcIieistre'-GÙ de b'alcdn deuxième série ̃:̃ 200 francs1 la place; Le ..prix; des. f&uteuHs de foyer premier -rang a é\ié\iixé à âO^franas, les autres ̃rangs restant au prix habituel du théâtre. La location est; ouverte au Théâtre du Gymnase-. v.

Prière d'adresser: les dons particuliers ^i M. Lucien Gleifce, 'trésorier de la Société des Auteurs et Compositeurs Dramatiques. 12, rue ,-Henner, .Baris (IXe).

Le total -des premières listes de souscription a atteint 255.140 francs. ̃̃

A L'INSTITUT

••̃ »b lualufi ̃̃#±' ̃̃

On ̃•̃dll&ity H^î"(âii Palais Mâzarin. que M. CogrikftQ a\îr¥ft légué à l'Académie française une sbriSnie de 'cent millions pour augmenté?- ;la dotation de la fondation Cognacq-Jay en- faveur des familles nombreuses. ̃̃-•̃ ̃̃'̃ ,•• L'Académie française disposait déjà de 90 dotations Cognàfcq-Jay de 25.000 francs et de 203 dotations Cognrtcq-Jay de 10^000 francs, soit de 4.280.000 francs de rente pour les- ''faiêî'll'es Bômbrpusefi. ̃

•̃̃ ̃ str ̃̃' ̃̃ :“̃ ̃̃ v:

̃ ,̃,• ? r'1^ •"̃'

L'Académie des inscriptions ne s'est réunie hiejj,, que; pour entendre son .président, M; Glotz, saluer d'un dernier hommage la mémoire de son regretté doyen ..d('^t!«ti0»»'JÎ4«ite5SfrTOirt,"r(C|iui était aussi'ile a^°y#o J.fJ'ftimUo» tdfi.j;i*lStiytut .dfij.Fraacej

tfofj$McMo yw>wi-ï<.q ̃'•̃̃̃̃ 'J

M. Paul Pelhot, sej;qn<un vœu. exprime

t'élégraphjiquement par çello-pi, a associe à cet hommage l'Ecole française .Extrême-Orient. '̃;

Puis, la séance a. été levée en signe de .deuil. '"̃

;̃̃• ̃.̃il- '>̃ 'A-

C'est ̃ aujotofl^hûi que l'Académie des sciences nforales! et politiques doit élire un historien '<fen remplacement du regretté Fagniez. Les candidats lui sont présentés dans cet ordre MM. Funk-Brentano et Edouard '< Jordan en première ligne M. Geoffroy de Grandmaison en deuxième ligne MM. Camille Bloch et de Guichen en troisième ligné M. Henri Hauser ajouté à cette liste en vertu de l'article 10 du règlement tde la Compagnie.

iii.n ̃) ;• < 1 Ch. Dauzats.

-nrvA Z'.ikkM*»- ̃

Uanibassadeur du, Japon

a présenté ses lettres de créance Le Président, de la République a reçu, hier après-midi, à 16, heures, en audience officielle, S. Exe. M. Adatci, qui lui a remis les- lettres par lesquelles S. M. l'Empereur du Japon en qualité d'ambassadeur ex.:traordinaire.;et plénipotentiaire. ..Mi.xle PôuqùièreSj:i;ntro'du0tèU}-;d^SIIa^bassadeurs, 'est; allé; chercher .MJ'IA^rfïëi à l'hôtel de l'ambassade et l'a ÇQndnâtj^hvric personnel de l'ambassade, dans lesisvoïtures de la présidènge» au Palais de l'Elysée. 1 .• ̃<.̃•• A l'arrivée de l'ajnbassadeur au Palais, les hqn.ueurs militaires lui ont été rendus par un bataillon du 24° régiment d'infanterie. ̃̃;•

M. Adatci a été. reçu au bas du perron par le colonel Audibert et le colonel Brosse, cotnmandant militaire du Palais. L'ambassadeur du Japon a été aussitôt introduit par M.; de Fouquières auprès du chef de ï^alKfl^.ayait à ses côtés M. Aristide Briaiul, i^jnjstçe des affaires étrangères Al^jujggfpichel, secrétaire général de.la présidence le général Lasson, chef delà maispn .militaire M. Georges Michel, directeur du cabinet.

En remettant ses lettres de créance, l'ambassadeur a prononcé une allocution chaleureuse, à laquelle le Président de la République a répondu en assurant le nouvel ambassadeur qu'il trouvera toujours un appui sincère et sympathique auprès du gouve.rnQinfnt français.

Aprèsi ,^]êlre ^entretenu pendant quelques minutes avec le Président de la République, M. Adatci a été reconduit par M. de Fouquières à l'hôtel de l'ambassade.

LES CARNETS DE ICTOR HUGO

.;j.Y'R.

il Le-^présidcntdu' Conseil municipal, M.

*o*isr HôelsblJ^ftewati^hier à l'Elysfe-,

où il a été reçu par le Président de la République..

11- a fait -hommage à M. Dotimcrgue du premier exemplaire de l'ouvrage de M. René Weiss La Maison de Victor Hugo, à ûuerne'sctf, ïlauteville-IIouse, consacré à la demeure qu'habita le poète de 1856 à 1870 et que ses héritiers, sa petite-fille et ses arrière-petits-enfants, dans un geste magnifiquement désintéressé, ont offert à la Ville de Paris.

Ce livre contient un grand nombre de documents inédits qui ont été communiqués par Mme Michel Negreponte, « la petite Jeanne », immortalisée par l'auteur de l'Arl â'êtPè^fMud-pèrc

C'est p&sT:mFtlésl donne de voir pour

î donné de voir pour

la prè.mî§?ej|ff||s^^nl'f;!C similé, des extraits

des carnets, journal intime de Victor Hugo, commencé en 1820, interrompu en 1333 e,t repris en 1856 à Gilerneséy. Victor Hugo a consigné dans ces carnets ses comptes, ses achats, tout ce qui a rapport à l'a vente et à la décoration de HautevillerHousc, ainsi que les faits importants où les menus incidents de son existence de proscrit et par la suite de sa vie politique, .1

De plus, de nombreux documents photographiques, fournis par Mme Negreponte et par MM. Gtistase Simon et.Hay?mond Eschulier, ;fignrtnt dans ce bel ou- vrage, illustre par M. Paul Méjat et'imprimé par les service^ de Plmjjrimerie. Na-

tionale. '[̃ "• '<! ~l ̃'̃

,Sarville 4e Balzac.

1 LE FICJAEO

Fondé le 14 Janvier 1826

Anciens Directeurs ̃:̃ H. Dr. ̃VjixïMESSANT, 7, F. Maonard, G. CAi.METT-EÎ ''&• "Capus,, R. jpE Flers.

ADMINISTRATION RÉDACTION PUBLICITÉ ANNONCES 14, ROND-POINT DES CHAMPS-ELYSÉES. PARIS, Téléphone Klysccs 12 58, 12-61, C2-65, 98 31 ss, S8 34.

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Obsèques de M. Cognacg

Au milieu d'uT}&"§*yfiÉlce considérable ont été célébrées, nier matiji, les obsèques de M. Cognacq, le grand philanthrpp.3,fondateur et directeur de la « Samaritaine », commandeur de la Légion d'honneur. La cérémonie religieuse eut'lieu dans la chapelle paroissiàl€BaeJ,Saint-H6noré d';Eylau. ̃ w •'̃•, .• •̃ -̃•̃'•̃ Le Président de la République s'était fait représenter par l'amiral iVcrdel, de sa maison mihlaiie. L'Académie finnoise avait envoyé une délégation composée de MM. Ernest Picard, duteleui René Doumic, sewétîur^ perpétuel, et Pieire de Nolhac, chancelwi^ nh 'l'1' Les insignes de Commandeur de la Ltgipn. d'honneur et la médaille de 1870 de 1«. Cognacq etaien' épingles sur un coussin aupics du toftafalque. LÉi levée du corps n été faite et l'absoute dpnhéé pai le thanome Laboiut, cure de la p.icpi.sse, Ln maîtrise, dirjgep par M. Orner tetore>, nKUlre de «•hjpellc, a c\j|-

çufé les chants liturgiques.

Le. deuil était conduit par JM. et ,ilme Gabriel Cognacq, xi<d\ eu et nièce du défunt, par leur fils et par l'abbé Jaj, ciné d'Lvian, son beau-trère. < Une délégation d'officiers de la place de Paris rendait les' donneurs militaires. On remarquait parmi *les personnalités présentes '̃: ''̃

M. le maréohal' Foch, M..et Mme Millerand,

M. Bouju, .préfet, de ta Seines M. Grignon, chef de cabinet du président du Conseil, représentant M. Poincar<5; M. Chiappe, préfet de police; colonel Binder, M. GuicUard, directeur de la policé municipale, et une délégation de gardiens do la paix; le vjce-amîràl Besson, au nom de la Lijîue des familles -nombreuses; le général Borie, directeur :da l'Alliance nationale M. Poulalipn, maire, et la municipalité du 1er arrondissement; M. Rebelliau, de l'Institut, directeur d,e la fondation T)i|ers, et une délégation de pensionnaires, des délégations de l'Union des artistes, de l'œuvre des Petits Savoyards, du Foyer français, de TAutomobileClub, de la Maisoh des journalistes, la' fondation Gognacq-Jay; de; nembfdux "représentants du Parlement, du haut commerce parisien, les chefs de services et employés de la

Samaritaine, etc. v

L'inhumation a cu lieu au cimetière.' de •Pàssy. '• ]"' ̃ S.ujv^fWs?iI^îi*i*in3PJiifrr.h, gpgnacq'

j^ii^fj^ p&q,9yssi:$p,,#é) Renoncé, m^.j

,li> r,r;^<^Jt*£'* nn'i .i.t. ̃ 1 Vu.

MORT m GE0R6ÉS WM

Après 'avoir travaillé- "jusqu'-à- 82» &j&, après avoir écrit au Figaro durant un denfisiècle, notre vieux collabor.ate.ur Georges Grison avait pris, un peu malgré lui, sa retraite en 1923. Il eut youlpt' travailler encore. L'idée du' repos loin du pot de colle et de i'enc^iér t'effrayait. 11 était de. ces journalistes d'autrefois pour. qui l'exil commençait au seuil .de. la salle de rédaction. « Je vais écrire mes mémoires » dit-il en nous quittant, et il s'en alla, non sans mélancolie, loin de la vie, chère, croyait-il écrire son livre Un demi-siècle de journalisme. Que de souvenirs il a pu conter, à partir de 1865, date à laquelle il avait délaissé son guichet des contributions, en Charente-Inférieure, pour apporter sa première copie au Moniteur et. ses premiers romans aux éditeurs Rouff et Fayard. Depuis l'affairc Troppmann jusqu'à l'affaire Landru que de faits divers grands ou petits il a contés, prompt en son enquête, clair, concis, pittoresque eii son récit exact. Deux fois lui-même faillit être le héros de ces « Nouvelles » qu'il contait quodionnement.. Pendant -la' comiminp, il acconiplfssïfit une démarche profes.sionnelle quelconque quand les "insurgés. <!«̃ pHront^paiir' un

agerç,t dpgQjivejifiitînteiJtiHte'àl. ?.Thidï*i,.Et

la çarrièrb;)de ïnoti;ft;*lojiCiaiBi|tiiV.té .pr.éîmartur'ément interrompiie si Vallès et I^ngùet

apt'rçus ,r:ïu hasay n avain,nt py fittest.é,z"

aperçus par hasard, n'avaient pu atteste,

son identité et son innocence politique.

Cinquante ans après, en Ï920, il fut l'objet d'Une attaque nocturne. Trois malandrins, rue des Martyrs, l'attaquèrent, pi'ès de chez lui, vers minuit, lp renversèrent et faihirent l'assommer. Grison se défendit, ajpj pela au secours, fit "arrêter ses agresseurs, et après être allé se faire panser, le front bandé et saignant, la face :écorchée, il redescendit rue Drouot conter ^ùn aventuré aux lecteurs. Georges Grison, entre temps, a composé plusieurs romans, fait jouer des comédieSi écrit des études crimineiles, J! était memr bre de la Société des Gens. 3e Lettres, de la Société des Auteurs Droniatiques et de l'Association des Journalistes Parisiens. Envoyons un salut à ctt. ancien collaborateur.à cet homme de 'lettres qui disparaît après avoir aiint; notre .nuHier, toute sa vie. Adressons à sa veuve, et à. ses enl'unU toutes nos condoléances.

OBSEQUES DE M. EMILE SENÂRT

̃ ̃ 1, ¡-

A Saint-Pierre de Çhaillot ont eu liei| les obsèques de M. Emile Sénaf t, ih'i'mbr.Q de l'Académie, dks .fefidptjojig et Belleslettres, président de la Société açiatajuç, président, du f98inM AAJ>¡1}~ ~.r~ô4u~se, presiclent du conçeu d aflminlstrafjon ̃ da musée, Guimët, président de l'Association 'rançàise des amis de l'Orient, officier ,d*e la Légion d'honneur.

La cérémonie religieuse était présidée par S. Gr. Mgr Courco'ux/êvttque d'Orléans qui a donné l'absoute.

Le deuil était représenté1 par M. Sénart, neveu du défunt, et les autres membrés de la famille. ̃̃•« ̃ Le Président de la République s'était fait représenter par le contre-amiral Vedel, et M. Aristide Briand par M. Chartier, membre de son cabinet, secrétaire d'ambassade. Une délégation de membres de l'Académie des Inscriptions et Belles-lettres et le bu 1, reau présidé par M. Gustave Glotz, par M. Goelzer,' vice-président, et M. Gagnât, secrétaire perpétuel, étaient aux premiers rangs de l'assistance.

A l'issue de la cérémonie religieuse, le corps du défunt a été transporté dans la Sarthe, où doit avoir lieu l'inhumation.

OBSEQUES DE M. YVES GUYOT

Les obsèques de M. Yves ^Guyot; ancien ministre, président de la Société d'qconpmie politique, directeur de l'Agencé économique et finanaiqra?<<mh<-»tu j?Heu hier après-midi, au cimetière du Përe-Lachaisé,' Le Président ds>, la. République était ./re-î( p.rés|ntê .par, M. Paal Vinson, chef dp.spfl'j secrétariat particulier le président de la> Chambre des députés, par M. Cain, directeur de son cabinet. Au cours de la .ç^rémoniÇj,"J<çs. discours ont., été. pr.oiioncés,\a«rMur>pi1Sff*^i'î"c par. MMi.. Delspl;- prés! d»nf: dîi-dooi&ïlî :m uftîci-pal, au nom de cette assemblée Goison, président du Conseil d'Etlit.iaiî nOta de la

Société d'écon6miç'lW8Kïf|B|«efôrit il esf

vice-président Trfcîiyî.fflÇfèSseiir à la Faculté de droit, au nom de Ja Société de statistique, dont il est le président Armand Schiller, vicer-président de l'Association des journalistes'républicaïns Weisgerber, directeur de i'écolé d'anthropold-gie Henri Coulpn, au .nom de l'Agence économique et financière- et du. Journal, des Economistes.•'̃•̃.̃ -,̃̃ 1

Billet dti matin

.j"

Un chef d'orchestre a, paraît-îf, l'intentioif de ;forme!r* à; Lyon une société dont l'objet serait de faire représenter, dans des ..conditions aussi parfaites que possible, les œuvres théâtrales- de Mozart. Il faut souhaiter que ce projet réussisse. Les Lyonnais gérant à .féliciter r de ,leur chance, car c'est vi aiment une bonne fortune de, pouvoir entendre, quand on en a envie. Don Juaji ou Les Noces. C'est un plaisir qui ne.nous est, à Pans, dispensé qu'avec parcimonie sans qu'on en puisse bien voir la toison. Soyez sûr que si Je chef d'orchestre lyonnais réussit dans son entreprise, Lyon y trouve! a son compte. Et je sais plus d'un amateui qui volontiers se fendra' aux bords

,r wr !)tt.i'<).<

du Rhône pour ouïr la musique qu'il pré-

fère.

Ce ne serait pas la première fois qu'une ville de province montre la bonne voie. Et l'on a dit souvent, au surplus, comme il convient d'encourager cette décentralisation qui conservé à ia province une activité

intellectuelle nécessaire et qui contribue

intelleèÚ{~lIe et qu contribue

aussi à .son, activité économique. Â notre époque de déplacements faciles; une ville, une région n^ont jamais trop de moyens d'attirer, les visiteurs. > Et puisque nous regrettions tout l'heure de ne pas voir représenter aussi souvent ̃qu'il^est 'souhaitable les oeuvres du divin Mozart,, profitons-en pour. réclamer aussi en faveur d'un autre génie, littéraire celuilà Shakespeare.Certes,' on, Consent que ,nos théâtres 'de,, répertoire songent d'abord aux auteurs français et qu'ils inscrivent sur

l'àfhchë.'èn quelqüe sorte par priorité,

l'affiche, en quelque, sorte pair priorité,

Corneille, Racine, Molière. IVÎais. yraïinent nous négligeons Shakespeare à un point incroyable. Et pourtant quelle collection de chefs-d'œuvre Quelle variété to'ue les publics trouvent leur compte. On y a lire

au jôurd'hùij • dans" notre Supplément liité-

t `!`!71'tlnfrt,t1 t$~~ P,ia~t npj~'a' ~~ç 1~tr.

~ft:r8, ~n. es~~t~°t~a~;di~ ;flt~, °f3 tilt~~tn~' il.a^'

Juite rr ,mm » q»s% i ws^w® r' -7 wv jMarqel 1 S&wbhJiGomtwi a&i souhaiterait ijue la pièce entière fût représentée dans cette version du grand' écrivain. On ,,nous le.promet presque, mais.

.Peut-être, pour avoir cette joie, faudra-t-il fonder un Théâtre Shakespeare. Mais si Mozart est honoré à Lyon, deyi;ons-nous aller. applaudir à Rouen ou à Nîmes La Tempête, Le Roi Lear ou

Othello} •̃̃-•'

̃̃-̃ \,r. ̃'• ̃ '̃̃ Artïgny.^

U 9n ,)," n t..

~Y. .vJVI~'I'J~r~~

Le lancement d'un sous-marin 1 Le rancement du sous-marin de lrt" classe; Redoutable, s'est effectué hier nia.tin dans l'arsenal de Cherbourg, en présence des autorités maritimes et d'un nombreux public, avec le cérémonial accoutume. ^'opération s'est faite avec un plein succès, par un temps spleodide. .Le Redqutçtble est le .premier sous-marin ^ljUJie série de 1.5(50 tonnes, filant 5,8 ncpiids. est le plus grand sous-marin construit jusqu'ici en ̃̃ France, mais n est beaucoup moins grand uque le, «; X-l,

4Bglais'iria,2#.5fli).ionnosv<ati<îU(e. lo, çjj^tA..»

^iméricain, >dp 3*000 'tônàesii Ila>ité .atis

'4jn.»chaBtièfc cn'M25fci<»;"Vji fio'imnifi'-i <>r. <

'il, ^•^J^m^C^iWr,- ;;̃<̃

r, 1'1"

Les conférences sur l'Indochine

à l'Ecole des Hautes-Etudes sociales

«

M. Octave Homberg vient d'inaugurer brillamment, le 22 février dernier, le cvcle die èpnférënees consacré à l'Indochine par l'Ecolè des Hautes-Etudes Sociales. Après avoir souligné la progression continue du commerce indochiqois passe ^le 400 millions.de francs en 1906 à près de 9 milliards en 1926 l'éminent conférencier montre que ce merveilleux développement est la conséquence des efforts poursuivis par la colonie; en particulier dans les^jdoniaine* des travaux publics (plus de, luQ millions de piastres durant les trois dern'ièj'rjes années) de l'enseignement et de l'assistance médicale.

M: Octave Hombcrg définit ensuite, avec Un libéralisme • clairvoya-nt, la façon dont il convient de réaliser l'élargissement du rôle politique et social des indigènes. Et il insiste sur. 1^ part capitale réservée à = l'administration dfins le§; progrès ultérieurs de, cette Indochine quiest, pour la France, lin admirable balcon sur le Pacifique .et la base de sa pénétration économique d^ns l^mmense et féconde Asie.

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:1: -j'ï~c. r1, ut, rrr >Tf r,rm <i*t)(~

Nous avons reçu du secrétaire des Dolly Sisters quatre pages émues au sujet des quelques lignes que nous leur avions consacrées l'autre jour. Ayant fait large part, ainsi que nous Je- commandaient, tout à la fois, la courtoisie et>-la vérité historique, à l'inégalable générositf. des charmantes arlites, nous ne pensions pas qu'il pût être discourtois, non .plus q'u'inexact, de ci.nstater qu'au bacrara de Cannes, la fortune leur avait pliitôt réservé ses sourires que ses reverS. C'était,, paraît-il, une erreur. Nous déta'chons, en effet, des quatre pages du secrétaire des Dolly Sisters la rectification suivante,: « Non, seulement miss .frnnie Dolly n'a pas gagné quinze millions, mais elle a perdu une somme bien supérieure à ce chiffre, ce qui ne l'a pas empêché, entre temps, de soulager bien des misères cachées, et de prendre à ses frais, .comme toujours, le gala elle s'est prodiguée avec sa sœur, pour les œuvres charitables de Nice-et de Cannes, s. Evidemment, nous sommes un informateur déplorable. Au lieu de gagner une quinzaine de millions, miss Jennie Delly a perdu une somme bien supérieure -à ce chiffre Nous être trompé de plus.de trente millions, c'jçst trop, et notre coi.fusîoii e'str^trènie. C'est saij5. dout(?c chez nous^un petit mànque^d'hahituile de iongler avec les millions.'5 ""ml" ̃ V

( « Quoi qu'il eh soit, ajoute le secrétaire,

<if f ht\%f %f %jre: guiries.'regftndetpersoni-'el-

l&meit,.et dimt elleà rie dQÎvenî' compte à personne. Elles ne recherchent, après leur trayail, aucune publicité, et elles souhr.fter aient à mèt|re.en pratique le précepte, du bon La Fontaine Pour, vivre heureux, vivons cachés. '» ̃• Bien que contenant une très'ie^èré'fâùt'e" de français, cette phrase, nous l'avouons, nous a Qaru être une perle.- Mais nous cous hâtons de proclam-er qu'il est- extrçlttémpnt naturel que des personnes comme les D^lly Sisters aient' .un secrétaire en or, U'ou y s'échappent quelques .perles.-t- J. Traripux. ̃Toute demande de chanqement d'adrmse doit être accompagnée de la

sàrnme de ;ùn franc cinijûantè en hm-

bres-pôste, pour couvrir une partie des frais de renaaveUemen t de la bande.

LE JtQUDE ET LA VILLE

1 W~ 11t1üWA,l~f,;1

t w,

DANS LES AMBASSADES ">̃̃• 'V v S. Exe. le ministre dé la République dominicaine étant encore &;bsen|§ laj, réceptipn annoncée pour le 27 février naura pas lieu. Le chargé d'affaires, M. Franco Franco, recevra ses compatriotes à la légatiàn £'jûïi?e h&îfes du

matin.

matin. 1– -1 t

RENSEIGNEMENTS MONDAI^

S M la reine d Espagne -et les infants sont attendus aujourd'hui a Mâhga, ou la souveraine fera un séjour auprès de S. A. R. la .princesse Béatrice S£) mère.

S A R, la pnnce=ae Mary, vicomtesse LT-celkv et \0 vicomte Laàfcellcs'pâïtjronlL pour

H*pu.b7«nai, .»; '••

ni 3~;q,ol H! ~i.tjU.M

» La vicomtesse det Petiteville et sa -fille partiront la semaine prochaine- pour les Etats-

Unis. 1 ••«> ( r

« Elégant goûter, mercredi' flernîer, chez Mme Paul Chapu>.

Reconnu aux dîners et aux soirées privés du jeudi, à l'Union Interalliée

S. Exc.'k: Guani, pVcsidént' i la-' Société des Nations S. Exe. le ministre de Grèce et Aime Politls S. Exe. M. de Ces|>cçfes, ministre de Cuba M. de Peralta, duchesse' de-<Barccm\ duchesse" de Blsaccia et Mite dB!,Jjii Rochefoucauld, vicomtesse Benoist -d'Azy, M.: et M«»e Nicolas Raffalovitch, Mme de Esteban, çotntesse et Mlle de Gramedp,- comtesse Çh, d'Huart et Mlle Viiigtane, comte et comtesse llqaanbo, niariquise et Mlle.de. Triquerville, edmtçsse F. et Mlle de Cossé-Brissnc,1 baronne R. et Mlle de Rothschild, etc.' ̃ Le peintre et Mme Stoenespo, ainsi 'que le comte et la comtesse de Cheyigné,, viennent de quitter Paris pour Florence, Assise et .Rome. BIENFAISANCE ° ~}'^ f Rappelons çnj,'aujourd;hui samedi» a neuf heures ̃èrois'qiiarts', aura lieu; en régHse NôtreDame, sous la présidence effective de S. Em. le' cardinal Dubois, archevêque de Patis, au profit du Petit Séminaire, l'exécution ihtçgrale de la Messe en si mineur de J.-S. Bach. ,«&̃, §ous' Je hàut.jjatré'nà^i7â^ai<llH"

icnbsse d'Uzès s dou»irièrey, ,^turdi <}\eu,, jkhvet^ir^i

-3 mars, à s^ize ̃ heuieîi et. fdditnfàjvà- ÇS(>)»icÛe

'dés Ghamps-filyséeSj"Hn'15eDnô«rt<*de,-chà«té-!a(U

profit de la caisse de secttùrs immécSat 'de Yseàvré de l'enfance'. ..i: Au programme Jean Wiener, Clément Doucet, avec Claude Lévy et Mlle June Roberts, qui dansera la «Panse de l'éventail» àt'RoseMarie. Une vente de charité au profit des œuvres de Drésftncourt, paroftse de 'M. l'abbé Aubry, aura lieu salle de la Concorde, 2 74,7b6uleVàrd Saint-Germain, le jeudi 8 mars, de une heure et demie à sept heures. v Une fête de bienfaisance (nïaiînée enfantine et bal) organisée par le Comité des fêtes da io" arrondissement, aura lieu dimanche prochain, à deux heures, dans les salons de la mairie du 10°, 72, JFaubourg^Saint-Martin.

oEgcjjsL *^te- ̃̃̃

Dans sa réunion d'hier, le bureau et le comité de -l'Automobile Club Féminin ont élu comme nouveau membre du, comité Mme Georges Leygues. .̃'̃ é[ Une soirée( a;rtjstique aura lieu, à l'Interallié le 27 février, à vingt et une heures et demie, avec le conc.QUK' de Mlle ZambelK et M. Aveline, de'fOpm îaWdeCRailwéfà^'cié

rpfîera'Comîqtie,"ee' Mt» Saint-GraTiier.

!n\}~3 ~?"a!t~~a

MARIAGES-

En raison d'un deuit récent, IV mariage de'Mlle Chris'tiane' Bartholotti ̃ave'c'Sf. JeanCharles Napp été célébré dans la plus stricte intimité mardi dernier, en la chapelle paroissiale -du palais de Monaco*

S. A. S. le Prince souverain,. LL. AA. SS. la princesse héréditaire et le prince. Pîeirre avaient daigné prendre place dans la'trifaune, ainsi que S. A. R. le duc de Ccjnnaught.

La bénédiction nuptiale fut donnée par' S. G. Mgr Clément, évêque de "Monaco.

Les témoins étaient, pour le ^maHé; la princesse de La Tour d'Auvergne Lauraguais, née princesse de Wagram, et le marquis de Barthélémy'; pour la mariée': le lieutenant-colonel comte Gastaldi et'le vicomte'de Courtivron. Récemment a été béni par S. G. Mgr Grente, évêque du Mans, en son église cathédrale, le mariage du comte Thibault ide Follin et de Mlle de Sàinf-Léger. iv- Les témoins du marié étaient le marquis de Follin, ingénieur en chef des ponts et chaussées, et le marquis de- Kefline, capitaine '311 8° régiment d'artillerie, ses cousins ceux ,de la mariée le vicomte de Monhoudou et lèbarën des R!otouxsn-àêputé!^uî)l6td.-sp5,pincl§s, t i La- quête a été faibe spar-ifllfes- Colette-? et itarialys de Folli«;; 't$H^^Mst^.$ Anne de Monh,oudou,,acc6mf|agriees de flïMr'de Juge-Montespieu, .de Saint-Léger et de Monhbùdbu. On annonce 4ês fiançailles de Mlle Eisa Diximier avec M. Maurice Altmeyer, architecte. diplômé, par le gouvernement.

DEUIL 'r r 4 ̃}̃̃̃ ''f;_

Mme Doulcet et son fils,, M. Pierre Doulcet, ont quitté Rome hier, accompagnant en France la dépouille mortelle' de l'ambassadeur près du Saint-Siège, dont lès obsèques auront lieu à Palaiseau (Seîne-et:Oise)." Conformément à son désir, Mme Doulcet'n'a été saluée à la gare que par quelques intimes et par les plus proches collaborateurs de son mari. En quittant Rome, Mme Doulcet laisse dans la colonie française et dans les milieux diplomatiques bt religieux d'unanimes ïégrets. On annonce le décès de Mme Henri Lagarenne, survenu le 22 février, 17, .avenue Gourgaud. De la part de Mme Perrio, sa fille de M. André Lagarenne, du docteur et Mme Lagarenne, ses fils et beÙe-fillé.' Les obsèques serpnt célébrées. ,aujourd;Çhùi à Chargeyrie|-Gr^ :(Ha«te-Saôrie)i'iLe"préser/t- avjs tieh'drâ'lieu1- de-

f aire-jpart.

,Part,.

rNous apprenons la mort du vîccfmtë 'J0-" se|îtï,ï'ae! ïL$î BATte~Ql$Çfjàfettiti ÏM-1 oÊsèqufë' seront-célébrées- le lundi 27 courant, à dix heures et demie, en l'église cathédrale Saint-Louis de Versailles/ l'on se réunira. L'inhumation aura lieu le mardj 28j à.dix.heures: «t demie,

à4arc^pélieëU:'Bois:!des-Faux (Eure>. Le pré-

sent avis1 fient" lieu d'invitation. •'• Mme Ed. Nadaud et ses enfants expriment leurs sentiments de reconnaissance émue à tous ceux qui leur ont témoigné des, marques touchantes de. sympathie dans leur grande douleur. •̃'•̃̃̃ Les obsèques de la baronne Michel d'Alexandry d'Orengiani, née Lemercier de Nerville, ont été céléb.rées avant-hier "gp. l'église Saint-Pierre de ChaîUot. •• :'̃ ̃' 'La levée du corps a été faite par le cha-

noine Allés.; l'absoute a été donnée p'ar FâBbé Berthaud, chevalier de la Légion d'honneur, décoré de la croix de guerre,, premier vicaire de Saint-Nicolas 'des Champs, ami. -âeifà fahftille. Le deuil a été conduit par le lieutenant-co.lonel baron Michel d'Alexandry d'Orengiani, son mari le lieutenant d'Alexandry .;d'Orengiani, du 11e cuirassiers le baron Çred d'Alexandry d'Orengiani, ses fils le comte FStnex de Mongex, son beau-freie le commandant de Chambine, le comte de Fouomd et d'Aure, le baron Hippolyte d Alex<mdr\ d Oiengiani, ses neveux. Du côté des dnmes Mlle e Inès d'Alexandry d'Orengiani, sa fille la baronne Paul d'Alexandry d'Orengiani, sa bellefille Mme Aubernon de Nerulle, la baronne de 'Ma'umi, ses sceuis Mlle \ubcrnon lde Nervil^jè, Mme Maurice de Ch'mbine h baronne

Ëfyiipojyte xl,Alt,wndry dOrpnfiwni, ses nièces.

L inhumation ,1 eu heu hier, a Clcnnortt

(Q^e), .i l, ,.`,

Nous, apprenons la'THort de M René Pépin Lehùlleur, ancien agent de change près la Bourse de Paris. Ses obsèques auront Jiçu lundi 27 février, à dix heures précises, en l'église Saint-Philippe du Roule, l'on>vse réunira. Ni fleurs ni couronnes. •;̃ <• La famille du lieutenant Jean Fortin tnôus prie d'exprimer sa gratitude à toutes les' .per- sonnes qui lui ont témoigné leurs sympathies, Une messe anniversaire pour le repos, de l'âme de Mme Ursulina A. de Sàtitistevàn sera célébrée en l'église' Saint-Ferdinand des Ternes, le mardi 28 février, à dix heures, Ser3gnp~ Serlgny»

F»BTIT CARNET

Le Trocadéro-Luxe qui vient de Vouvifir 83, avenue Klébef, répond vraiment. aux besoins de la clientèle élégante dé jèe. quartier. Su Confiserie offre un choix remarquable .de toutes les friandises. >̃•r r- Ses Fruits, dont Texposition >est déjà- nh régal pour les yeux, sont des' plus fins et des plus recherchés, à des prix raisonnables. JSa Cave a été étudiée spécialement pour les gçHWiets,et pti^que scru est digne, d'être, «àpp^ér ciévpaK,a}x.u.r:i. :».;̃; ;•̃, h\nû^^u

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De M. René Onze, à Choisy-le-Rbi Je ne suis pourtant pas buveur; Ni homme aimant à- s'attarder, *H Mais j'oublie assez vite l'heure,

Quand je bois du « Cherry-Rocher i't

EDMOND CLEMENT

.1.

Avec Edmond Clément disparaît un des niaîlres les plus remarquables de.. l'art du chant et un des ténors les plus aimés du public de jadis. C'est en 1889 qu'il çbtïnt un éclatant premier prix au Conservatoire, et il ne tarda pas, après son "début retentissant dans Mireille, à devenir l'artiste lyrique le plus en vue de son temps. Doué d'une voix au timbre exquis, d'un, physique, agréable, travailleur. infatigable • Edmond Clément aborda, à tour, de roï& L'a Dame Blanche, Le Barbier de Séville, Ma- fffi/i^.tQiit.Je.i'jétBertoiîîo.classique il créa

~l~tl ~c!~ de ReytM! dp H ahn ;~7t~R.c,

cTe S'aut Saens R.. ~.Y~ !.dq.J.~l\hIt,fh~lJP<4,

de Sâiht-Saens ^«e^, ^«iS^ô^

dtère, Xavière, etc.

Edmond Clément* avait quitté l'ÔpéraComique .peu de iteiiips avant- la- guerre. Dans l'interprétation des mélodies classiques et modernes qu'il chanta depuis, dans les séances de Musique de .chambre^ il apparut comme un maître incomparable.

l, LA SAISON

̃' ̃ DECADES

Le' gala au profit des aveugles ̃'̃

Dans une ville de luxe comme Cannes, 0$ se rencontrent, chaque saison, tant. d'étrangers fortunés, une fête de bienfaisance, est toujours bien accueillie. ,Celle organisée mardi, soir au Cercle Nau-! tique, au profit de, l'Hospice-Ecole d'aveugleS de Cannes, a été, comme on pouvait le prévoir, une des plus élégantes et des plus .'réussies'. de la saison.

La' composition du Comité dè patronage et d'organisation suffisait 'du reste à donner à cette soirée son caractère de mondanité, et toute la société de Cannes avait -tenu â-{érhoigner son intérêt à une œuvre aussi 'utile: La réussite de ce gala fait le plus gr^ik^ honneur à M. Raymond l^zard,qtti;. en fut tinstigateuret <juise dévoua sans compter: pour lui-- doritter le". plus -grand éclat. ̃̃ En plus des dons nombreu-- qu'il reçut deseê amis, du produit de la vente des programmeset des fleurs, des oboles généreuses versées "eh échange des numéros qui servirent à ïasdistribution des cadeaux, du prélèvement jur ies gains du tournoi de bridge et du bénéfice réalisé sur Ile- dîner de gala, M. Raymond Lazard recueillît ,1e, prix de la vente aux enchères de trois ebarfe mants tableaux signés du comte Clémansin du Maine et offerts par ses fils, le vicomte Roger et le vicomte Emerau Clémansin du Maine. Ces tableaux, remis plusieurs fois en vente par les acheteurs successifs, rapportèrent près de neuf mille francs. De sorte que c'est une cinquantaine de mille francs qui furent versés par le trésorier, à l'issue de.la fête, à l'œuvré si intéressante de la rue Braille. "1 De nombreuses attractions animèrent la soirée les danseurs Carr et,Parr, Mlle Emmy.' Glenn, autorisés à prêter leur concours par la direction artistique des Ambassadeurs le chanteur Onegine, de T « Aima viva»,. ainsi que le directeur de ce « Night-Club », le spirituel chansonnier Skarjinsky, qui divertit rassïstânïfe par ses improvisations enfin Mlle Georgettb. Myrris, de l'Opéra-Comique, et rextraordmaireacrobate en avion, Roland Toutàirf, aussi sur- prerlant dans" ses fantaisies' chorégraphiques tjue'.

rdans ses, acrobaties. î,aérienBes, .7-

M. André de Fouquières, après avoir fait' rrtOnler "le? /enchères, présenta, avec humo.ui et; entrain, les divers numéros Au programme. Dans l'assistance, nous avons reconnu;.1. ̃•̃ S. A. I. et R. la princesse Nicolas de Grèce; grande-duchesse Hélène de Russie, et S. Â. R. je prince Nicolas ^^«Grèce, S. «A; R. leprincePhilippe de Bôûrbpr.-Siciles et la princesse de Bourbon, princesse Ghika, marquis et marquise du Bourg de Bozas, baron et baronne de Mey- ronnet de Saint-Marc, Mme de Derviès, M. et Mme Vagliano, Maud lady Orr-Lewis, M. et" Mme de Saavedra, comte de Castèja, -MrsLaidlaw, comtesse-de La Salle, baronne Oppen- v heim, Mlle 4e Rivera, comte de Gabriac. Mrs Thompso», captain et Mrs Bradlay, M. Clément Ogden, marquis de Vanssay, Mrs Tyndail. Mme Fritch-Estrangin, Mme Mignon, Mrs Moss, M. Raymond Bamberger."


DERNIÈRE HEURE

LES ARMEMENTS CLANDESTINS

A l'attitude de la Hongrie

est sévèrement jugée a Genève Genève, 24 février. réponse du comte Bethlen, président du Conseil de Hongrie, au télégramme -de sir Eric Drummond a surpris les milieux diplomatiques de Genève on la juge peu conciliante. Depuis le début de, l'affaire dite des mitrailleuses, le gouvernement hongrois a pris une attitude de défi à l'égard de, Société des Nations. Mais On, pouvait stfpposer qu'il ferait un accueil plus courtois à- l'avertissement amical du président du Conseil. Le comte Bethlen cède parce qu'il y est contraint, mais il cède avec mauvaise grâce.. On constate, en lisant avec attention 'le télégramme du comte Bethlen, que le gouvernement hongrois, en lançant par son agence officielle la nouvelle de la destrucrtion des mitrailleuses, entendait, en quelque sorte, légaliser l'opération. La mauvaise humeur avec laquelle le gouvernement hongrois consent à une concession produira sans doute un mauvais effet et sera assez sévèrement commentée. D'autre part, en invoquant en sa faveur le silence dés règles fixées par le Conseil pour les investigations, le comte Bethlen soulève lui-même une double question qui n'avait échappé ni à la Société des Nations, ni aux membres du Conseil. La première est l'opportunité d'assurer à l'exécutif de la S. D. N. une permanence d'action destinée à permettre de promptes interventions.

La seconde est la nécessité, reconnue par M. Briand dans son récent discours au Sénat, de mettre au point la procédure des investigations arrêtée en 1926 par le Conseil de Genève.

ha vente du matériel saisi' à Saint-Gotthard BUDAPEST, 24 février. Selon l'Agence Télégraphique Hongroise, la vente aux* enchères du matériel 'stflsl -à'^SaMMGotthard et rendu inutilisable pour. des buts militaires, a été terminée aujourd'hui à midi 30. :>: ̃»-• ̃' Il n'y a eu qu'un seul aequ'éiNeur, qui a obtenu le lot entier pour la somme de 1.800 pengoes.

Les chemins de fer hongrois l'ont prié de laisser provisoirement le matériel sur place à la disposition du gouvernement ce qui a été accepté.

*̃̃+**

Les débats de la S. D. N.

sur l'arbitrage et la sécurité Genève, 24 février. Le Comité d'arbitrage et de sécurité a tenu, cet après-midi, une nouvelle séance sous la présidence de M. Unden (Suède), qui remplaçait M. Bénés, souffrant.

Il a examiné le mémorandum de M. Holsti, et cette discussion a eu surtout pour résultat de constater que le Comité avait chargé son sous-comité de rédaction d'élaborer un modèle de traité collectif d'arbitrage, s'inspirant du système des traités de Locarno et pour lequel le projet du gouvernement suédois pourrait être pris comme base de discussion.

Le sous-comité de rédaction a été chargé également d'élaborer un ou plusieurs modèles de traités particuliers d'arbitrage. Une nouvelle aura lieu' deiiiaih matin pour* 'examiner le mémorandum de KF.rFoîifis sur là •sécurité, '̃̃

̃ -+.£2

Les relations austro-italiennés

M. Mussolini répondrait prochainement à Mgr Seipel, au sujet du Haut-Adige Rome, 24 février. Un groupe de députés a demandé à poser une question au gouvernement, dans le but de connaître la pensée du ministre des affaires étrangères, « sur la manifestation de haine dirigée contre l'Italie, qui s'est déroulée à la Chambre autrichienne, et sur la campagne de mensonges conduite par les milieux responsables autrichiens contre la simple application des lois italiennes dans la province italienne de Belzano.

« On se demande, ajoutent ces députés, s'il n'y a pas lieu de voir dans ces manifestations, désormais intolérables, une ingérence d'un Etat étranger dans la législation intérieure italienne. »

Selon les journaux, M. Mussolini répondra à la prochaine reprise parlementaire. Bruits de rappel du ministre d'Italie à Vienne

Rome, 24 février. -.Dans une édition spéciale, le Giornale d Italia annonce que le bru\t courait ce soir que M. Mussolini aurait décidé de rappeler le ministre d'Italie à Vienne. •' ,< -Le journal ajoute M ,M3" Nous croyons que le peuple italien accueillerait avec satisfaction l cette '-ré- ponse digne d'une politique qui affecte de ne tenir aucun compte de l'attitude amicale que l'Italie a observée jusqu'à présent à l'égard de. l'Autriche, s

L'OPINION DES AUTRES

t-Efc Voilà assez »

On sait l'autorité particulière de la FRANCE MILITAIRE. On sait qu'elle passe pour être l'organe officieux et préféré des cadres de l'armée française. Or, sous le titre « Vers d'inévitables représailles » et sous la signature J. F. cet important organe vient de publier l'article suivant Le parti communiste prépare ouvertement des épisodes de guerre civile.

Nous ne nous laisserons pas faire. Il faut nue VHumanité sache bien que les cadres de ï armée française, officiers et sous-officiers, indissolublement unis, ne sont pas disposés à se laisser traiter comme les cadres de l'armée russe, qu'une poignée d'agitateurs cosmopolites a massacrés ou jetés hors de leur pays. En France, les cadres sont Jssus des ,proTfondeurs même de la race française. Ce ne sont pas des aristocrates. Ils ne forment pas une caste, ils appartiennent au contraire à toutes les classes sociales, et s'ils sont -une élite, c'est parce qu'ils ont su s'élever moralement et conserver une incomparable dignité de vie, même en devant subir-les pires privations matérielles. Les attaques qui sont menées contre eux ne sont donc pas seulament injustes, elles sont odieuses. Mais les stigmatiser n'est rien, il faut qu'elles cessent.

Si le gouvernement et le Parlement ne trouvent aucun moyen de les arrêter, les intéressés finiront par entreprendre eux-mêmes la besogne d'épuration qui s'impose.

La circulaire que vient de faire paraître l'Humanité, sous le titre « Comment dénoncer les galonnés doit être la dernière et elle doit, sans retard, déclencher une violente offensive du gouvernement. Sinon, elle déclanchera des représailles individuelles. Et les cadres ne se tromperont pas d'adresse; ils ne s'en prendront pas aux comparses, à ces pauvres bougres de Polonais, Italiens, Slaves et autres étrangers qui constituent en France le gros fies trpjrpes communistes; ils s'en, prendront

POUR LA GUERRE DES CLASSES

Un appel de la « Pravda » aux soldats de Farinée rouge

Moscou, 24 février. A l'occasion du dixième anniversaire de la création de l'armée rouge, la Pravda lance l'appel suivant aux soldats bolchevistes

« Gardez votre poudre sèche pour vous en servir dans la prochaine guerre de classes. Le>. monde' entier se dresse actuellement contre vous vous êtes h jïs et craints tout à la fois par les barbares impérialistes qui veuTenl' vous 'massacrer. 1 ,.r r » Soyez confiants des- forces puissantes vous protègent la phalange d'acier du parti bolcheviste et les bataillons sans nombre des armées: soviétiques, ainsi'que des millions de frères, encore voués à l'esclavage, sont avec nous. »

Démission de M. Smirnov

f

Rioa, 24 février. On mande de Moscou que M. Alexandre Smirnov, commissaire à l'Agriculture, un des plus chauds partisans de M. Staline et l'un de ses conseillers intimes, vient de démissionner. Cette nouvelle a provoqué une très grosse sensation à Moscou. La démission de M. Smirnov est la conséquence des mesures que parlent de prendre les cercles dirigeants de Moscou contre les paysans pour leur faire donner leur blé, mesures qui ont provoqué une vive effervescence dans les milieux de l'armée rouge composée pour la plus grande partie, comme on le sait, de fils de paysans.

Les négociations franco-suisses

̃̃̃

Berne, 24 février. L'Agence Télégraphique Suisse publie l'information suivante

La discussion des divers projets douãh'îer's' f Hàn'çaïtf p'âVla'iGHanibre des' députés

̃ayâïrt-d«mft'rtdérr;îplus""<}e" 'temps qu'on

̃̃n'avait* pi-évuvoH'ôneï sera pas possible de procéder, »fet'a5firfé'\mierv â '^échange des instruments- de ratification de l'arrangement commercial franco-suisse du 21 janvier écoulé.

« Les deux gouvernements » ont convenu, en conséquence.d'ajourner cet échange au 1èr mars, le Sénat français devant se prononcer le 28 février sur la ratification de l'accord. Toutefois, sur la demande de la Suisse, l'arrangement franco-suisse déploiera ses effets dès le 25 février à minuit. Pour les marchandises suisses que les offices douaniers français' dédouaneront à ce moment, les importateurs auront droit au remboursement de la différence entre les droits du tarif actuel et ceux du nouvel arrangement. L'entrée en vigueur définitive de ce dernier est prévue pour le 1" mars 1928 it minuit.» o

Un succès des conservateurs en Angleterre Londres, 24 février. Dans l'élection législative partielle, qui a eu lieu aujourd'hui à Ilford, le candidat conservateur, sir George Hamilton, a été élu par 18.269 voix. M. Comyns Carr, libéral, a obtenu 13.621 voix, et M. Degruchy, travailliste, 8.922 voix.••̃

II s'agissait de remplacer sir Frédéric Wis.ÇjB,çpnservat%ur, décédé. r -w-ùt. ,,< ̃ "ii'n'^i'ït)* 'u.v->:3-r.-tit]O'! L'envoi ûfûtr ruSSê ~mx Etats-Unis

Washington, 24 février. Le département d'Etat a informé la Trésorerie qu'il n'élevait aucune objection contre la frappe de cinq millions de dollars au moyen des lingots d'ôr'qui ont été récemment envoyés à New- York par la Banque Soviétique de Moscou.

La Trésorerie avait demandé des instructions à ce sujet au département d'Etat en raison de l'embargo qui fut placé, en 1920, par les Etats-Unis sur.l'or russe.

M. Titulesco a quitté la France

«

NtcE, 24 février. M. Titulesco, qui est parti ce soir, de Cap-Martin, en automobile, pour San Remo, était accompagné de Mme Titulesco. Ils doivent séjourner quelque temps à Sari-Remo.

r f a- f

EN QUELQUES MOTS

Berlin. Les ouvriers de l'industrie métallurgique allemande ayant repris le travail, la Fédération des 'industriels métallurgistes allemands a renoncé à prononcer le lock-out général.

Berlin. Le Russe Zonbkov, mari de la princesse Victoria, qui a été arrêté pour brutalités énr "un jeune Y êroom <l?un établissement de nuit, a été condamné à 300;.marks d'amende pour"'défaiit'de pasSepoi't.'

Berlin. Le président d'Empire a rendu visite au chancelier Marx, malade.

Casablanca. Trois chefs du parti communiste au Maroc ont été arrêtés, un à Rabat, un à Casablanca et un à Meknès.

aux chefs, à ces gros et gras bourgeois dont certains sont multimillionnaires et qui mènent une bataille sans péril à coups de subventions moscovites et en bourrant le crâne d'un tas de malheureux, dont ils exploitent la crédulité ou les déboires.

Ils viseront l'état-major les Vaillant-Couturier, les Berthoh et les Marty, et ils leur montreront que si, d'après leur circulaire, les officiers sont tous ou des gueules de vaches, brutaux..et. haineux; ou des soi-disant pères de famille, fourbes et hypocrites, ils ne sont pas des «' nouilles ».

Nous leur disons carrément en voilà assez! 1

Le gouvernement n'a plus une minute à perdre.

Il ne faut plus qu'ils comptent sur les éternelles vertus de ia discipline militaire et de l'abnégation. "Ils ne sont pas du tout à l'.nbri de représailles collectives, et qui leur coûteraient fort cher. Les jeunes officiers commencent à se demander si l'heure n'est pas venue de briser par l'action directe ce .mouvement, qui n'est plus une lutte d'idées, tuais un appel aux pfus vils instincts des pires malfaiteurs, en le mouchardage, la dénonciation, l'espionnage de Ja vie privée, des opinions, des fréquentations et même des vices, merci pour nous.

Le gouvernement n'a plus une minute i\ perdre s'il veut éviter de très pénibles 'incidents. Comment ne comprendrait-il pas que les cadres, trop mollement défendus, se trouvent en face de deux seules solutions également dangereuses ou se faire justice eux-mêmes; ou passer avec armes et bagages aux partis extrémistes de droite. II faut parler clair ce double danger existe, il est réel. L'opinion publique doit s'intéresser à ces graves alternatives. Elle doit faire pression sur les pouvoirs publics. Et les anciens combattants, n'ont-ils rien à dire? Je parle des vrais anciens combattants, non pas des tristes embusqués qui se sont groupés dans certaines « fédérations qui font un énorme volume et marchent dans l'ombre des chefs communis-

A LA CHAMBRE

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Les tarif s des douanes et ceux des chemins de fer

La révision des tarifs douaniers n'est pas terminée elle a occupé toute la séance d'hier matin et se poursuivra mardi. Il est donc désormais impossible que la ratification de la convention franco-suisse intervienne à la date du 25 février. Aussi le ministre du commerce a-t-il, en vue de donner à la Suisse les satisfactions qu'elle attend, propose de faire rétroagir loi: du 25 février le gouvernement ordonnera que les droits perçus, de cette date au jour de la ratification, soient reversés. Dans ces conditions, les avantages matériels que la Suisse et nos producteurs escomptaient /seront> en fait, acquis dès le 25 féysier. La commission des douanes a accepté; cette suggestion qui démontrera à la Suisse* que nous sommes résolus à tenir nos engagements.

Au cours de l'examen des tarifs, on assista à l'inévitable éclosiou d'amendements tendant, les uns à l'abaissement' des droits de douane, les autres à leur élévation et les arguments invoqués pour ou contre paraissaient également convaincants ce qui prouve qu'une question aussi complexe que celle des tarifs douaniers devrait échapper à un débat public, nécessairement confus et passionné. Les droits sur les vins ont provoqué surtout un débat fort animé. Notons que la viticulture alsacienne, qui avait émis des doléances parfaitement justifiées, a reçu pleine satisfaction. Les intérêts de la métallurgie ont soulevé également d'ardentes controverses et la Chambre s'est arrêtée aux solutions qu'elle jugea les plus favorables à l'industrie sidérurgique française. On se demandait pourquoi la suite de la discussion avait été renvoyée à mardi. C'est qu'il y avait urgence on ie verra par la suite à s'occuper de l'augmentation de 12 pour cent sur les tarifs de marchandises, proposée tout récemment par le Conseil supérieur des chemins de fer.

Or, M. Dutreil avait déposé sur ce sujet une interpellation qui fut abordée hier après-midi.

M. Dutreil constata que, depuis la guerre, les tarifs de marchandises ont déjà passé de.l.QO.àÇM.franc^, Il,,enrr§$ujte que le montant des% tonnes- kilométriques transportées qui était, en moyenne de 4,5 pour cent, de 1903'a 1913,' est tôftrbè, depuis la guerre, à> 1^5 pouiveent. ̃ N'est-ce pas la preuve qu'on est arrivé au point de saturation qui entraîne obligatoirement la diminution du trafic ?

En terminant, l'orateur demanda au gouvernement d'appliquer les solutions nécessaires.

M. Georges ^Veill interpella, lui, sur les salaires des cheminots il estima que la situation financière des réseaux ne serait pas en péril si la majoration prévue pour le 1" mars 1928 entrait en vigueur au 1" janvier prochain. Puis il développa ses idées sur la réorganisation des réseaux. La réponse du ministre des travaux publics fut fort intéressante. Répondant d'abord à II. Georges Wéill, qui s'est étonné que les compagnies n'aient pas fait davantage en faveur de leur personnel, il constate que la dernière augmentation représente 420 millions par an c'est un chiffre qu'on ne saurait dépasser sans écraser les usagers.

Entre la question des salaires et celle des tarifs, il y a, d'ailleurs, une liaison dont on doit tenir compte.

Evidemment, cette augmentation aura des conséquences économiques regrettables et l'on ne peut persévérer dans cette voie car on arriverait à tuer certains trafics. La concurrence vient de la voie d'eau, du cabotage, de l'automobile.; il faut donc assouplir, adapter les tarifs et ne pas procéder à une majoration générale. C'est dans ce sens que le ministre a dirigé ses efforts. Il est arrivé à faire supprimer certaines incohérences, certains frais accessoires, à réduire les délais d'expédition. II conviendrait aussi de diminuer l'impôt sur les transports. Le ministre conclut ainsi

II ne faut pas oublier que les chemins de fer sont une très vieille maison, qu'ils ont eu pendant longtemps un monopole de fait. Aujourd'hui, la concurrence est venue, le public est devenu majeur, les Compagnies doivent rechercher le client. Un esprit nouveau doit animer tout le monde.

Le gouvernement, a conscience d'avoir une politique des chemins de fer; il a exclu la majoration de tarifs massive préconisée par les Compagnies; il a fait pour les cheminots tout ce que permettaient les circonstances présentes, en ce qui concerne leurs salaires et leurs retraites; et puis il a aussi pensé aux usagers; la réforme tarifaire d'aujourd'hui a été répartie le plus intelligemment possible.

Tous ces résultats seront certainement appréciés et des cheminots et de l'opinion pullique. Si la Chambre veut bien dire vendredi prochain que nous avons fait ce que nous pou- vons, nous nous efforcerons de faire mieux. A ce discours très applaudi, le président du Conseil donne une suite immédiate en demandant à la Chambre de voter, d'urgence, un projet de loi exonérant d'impôt les augmentations de tarifs. Et la séance est suspendue afin de permettre à la commission des finances de rédiger un? ipagpartdrs g\ A la:ré|)rasô; M."de Chapped'elàine fait connaître que la commission approuve le projet et la Chambre l'adopte à l'unanimité de 400 votants.

Séance mardi.

Saint-Selve. <•

tes, comme on l'a vu à Versailles; fédérations dont trois pelés et cinq tondus constituent l'effectif.

Les anciens combattants n'ont qu'à se rappeler leurs souvenirs de guerre et se demander si les officiers qui les ont conduits au feu, et dont trente pour cent sont tombés pour la France, doivent être traités avec ces ignominieux procédés.

« Les anciens combattants les vrais doivent être « tous à nos côtés, conclut M. J. F. dans, la lutte que nous mènerons contre les farceurs et les gredins de l'internationale. »

Nous nous garderons bien d'affaiblir du moindre commentaire la portée de ces réflexions poignantes qui révèlent les sentiments d'indignation de nos officiers devant les incessantes provocations communistes. Nos lecteurs se souviendront certainement de la circulaire « Comment dénoncer les galonnés qui a provoqué l'article de M. J. F. i

Nous en avons reproduit ici-même les principaux passages en les faisant suivre des observafib'fts justement indignées de: notre confrère M. André Pironneau. rIte front commun de la latinité M. René Lara (GAULOIS) analyse les déclarations faites par notre directeur sur les possibilités d'un rapprochement frarico-allemand et que nos lecteurs connaissent. Il ajoute

Cette thèse, que développe avec autant d'énergie que de lucidité le directeur du Figaro ramène, par un raisonnement irréfutable, à préconiser le front commun de la latinité, dont la base est l'entente franco-italienne. Il ne s'agit pas et M. François Coty insiste sur ce point d'opposer l'un à l'autre des groupements militaires, mais bien de créer « une masse commune d'intérêts, de sentiments, d'aspirations, de possibilités, qui balance la masse germanique et qui fasse comprendre aux Allemands la parité de nos droits respectifs ».

Cette évidence, que les politiciens imbus du;

Le débat sur renseignement

(1'

anSenat

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M. Léon Bérard avait, hier, exceliemment défendu la cause des humanités, M. Héry, sénateur des Deux-Sèvres, s'est attaché particulièrement, hier, à montrer combien déplorable' 'est l'abandon des études grecques par notre jeunesse universitaire.

La culture grecque. est, a dit l'orateur, supérieure' à toutes. les autres, c'est aussi la meilleure des disciplines. Déjà notre pays ressent le préjudice que lui a causé le dédain de cette langue mère, des agrégés d'histoire et de philosophie ne connaissent plus la langue de Thucydide et d'Aristôte.

M. Lémery fait ensuite une spirituelle critique de l'enseignement actuel, si complexe avec ses divisions polycellulaire et cet amalgame qui bientôt aura vécu.1 L'orateur voudrait que tout cela fût remplacé par deux sections sans distinction entre cfassiques"ét"iïfod'ërnè'sï'L'e français serait, dans les deux cas, le principal élément de culture, également partagé. Dans la seclion littéraire, le latin et le grec seraient en honneur. Dans l'autre, seraient abordés sans retard, les études techniques. Les scientifiques pourraient, d'ailleurs, choisir le latin ou le grec aussi bien que l'italien ou l'espagnol.

M. Lémery en vient ensuite à l'école unique, il approuve le principe du choix des élèves, par la voie d'examens, après quoi il résume en ces termes son argumentation.

Je voudrais un temple très simple à la base l'enseignement primaire, au-dessus les deux piliers des enseignements secondaires, littéraire et scientifique, au fronton l'enseignement supérieur. Que ce temple ne soit pas trop indigne du souvenir du Parthénon.

M. Farjon se fait ensuite le por!e-parole des parents. Ceux-ci ont formé déjà 57 associations dont certaines ont plus de 2.000 adhérents. Le nombre total des adhérents est de 15.000, groupés en une association générale.

L'enseignement de la grammaire est d'après eux négligé dans les classes inférieures.

L'histoire ancienne n'est plus revue après la 5% le professeur de langues anciennes devrait la> rappeler -du -cdUrs Be ses explications. Le texte des devoirs devrait être remis polycopié et- non" dicté. La suite du débat est renjMyée à.mardi.

̃• ~1 ̃' l t Î'*IE. Gascoïn.

Informations politiques L'élection municipale de demain

Au scrutin de ballottage qui aura lieu demain au quartier des Grandes-Carrières pour l'élection d'un conseiller municipal, en remplacement de M. Desvàux, décédé, le candidat du parti radical-socialiste, M. Gaston Pinot, qui a obtenu au premier tour 2.044 voix, reste seul contre M. Cat, candidat du parti de Moscou.

La très grande majorité des socialistes fait campagne pour M. Pinot, dont l'élection parait assurée.

Les « Jeunes » de l'Alliance démocratique M. Yves Le Trocquer et M. Paul Reynaud ont pris hier la parole au dîner des Jeunes de l'Alliance républicaine.

« Je comprends que le spectacle qui vous est donné aujourd'hui dans ces petits théâtres électoraux que sont les 612 circonscriptions de France ne soit pas pour vous plaire », a dit M. P. Heynaud faisant allusion aux candidats déguisés en partisans de l'Union. Et M. Le Trocquer souligna la uécessité de la vraie Union nationale.

--+- 01

Les artisans. de la bonne cause

.~)"iij.: ,It~

Trop .souvent, hélas, on doit se faire 4'échotfè's. 'manifestations bruyantes de

certainsjl;igltatc?nfs;pô'ul1' nc'pas se pen-

cher en retour avec une sympathie fraternelle vers l'effort tenace, hautain, silencieux, de ce peuple qu'un amour profond du métier met heureusement à l'abri des contagions sociales.

L'Exposition du Meilleur Artisan de France, qui sera inaugurée ce matin, au Grand Palais, par le ministre de l'instruction publique, vient à propos témoigner de ces vertus profondes d'une masse laborieuse sont demeurées, intactes, les plus jolies traditions de chez nous. Les bois découpés en dentelle, les fers forgés, les aciers ciselés, les étoffes peintes, les cuivres luisants, les joailleries délicates, les jouets ingénieux, les « chefsd'œuvre ̃» fignolés, fouillés, chantournés avec amour, tout ce qui fait la « manière » inimitable des artisans de France est réuni là et présenté dans son parfum de terroir. Il y a aussi, derrière les comptoirs, les visages francs, aux yeux assurés, de « compagnons » venus des lointaines provinces montrer ce qu'ils savent faire de leurs mains diligentes, seuls, et presque sans moyens matériels. Tous ne sont pas de là, vieille école, il en est de jeunes, des apprentis, des écoliers qui ont recueilli pieusement l'héritage savant des anciens et apprennent à leur tour la religion du travail heureux.

Ceux-là spftt îjnmunjsés contre les coupables chimères. ̃ ̃Et c'est pourquoi oh sort rassuré^, coivfiant, de cette assemblée des «Meilleurs Artisans de France », qui sont aussi les meilleurs garants <jle sa santé morale. Georges Ravon.

préjugé cartelliste s'efforcent de dissimuler à l'opinion française, est fatalement destinée à devenir la vérité de demain. On ne va pas impunément contre l'Histoire. Ainsi que le remarque fort justement notre éminent confrère, « les productions, comme les génies des trois nations, se complètent et ne peuvent se suppléer ni se supplanter ».

Espérer la paix de la seule générosité allemande alors que le Reich a tant d'intérêt à diviser pour régner serait ta plus dangereuse des illusions. L'union latine apparaît comme l'unique moyen pour la France et l'Italie de traiter d'égal à égal avec l'Allemagne condition essentielle d'une paix durable. Finira-t-on par le comprendre chez nous ? he Pape et la PaiX

La CROIX public une interview prise à Rome au cardinal Dubois, lors du séjour que l'archevêque de Paris vient de faire dans la Ville Eternelle.

Dans cette interview signée B. Sienne, le cardinal Dubois proteste contre l'idée que le Saint-Siège pourrait être politiquememt hostile à la France.

Ce' qui est <v»aisrtrtesttv»}ucHle Saint-Siège travaille sans cesse, partout, à l'a(fermissement de la paix. Avec quelle constance, quelle sagesse, quel tact, il n'est, pour en juger, que d'observer l'admiration qu'en ont conçue les esprits les plus éloignés du catholicisme. La Papauté en est devenue sympathique à plus d'un gouvernement qu'éloignaient d'elle des traditions séculaires.

Le Saint-Siège y travaille, assurément, avec les moyens qui' lui so'nl propres. Son objectif est le même que celui des nations pacifiques, mais ses méthodes sont différentes peuventelles même s'appeler des méthodes « politiques »? Les gouvernements nationaux délimitent leurs frontières respectives ils concluent des traités d'arbitrage; ils'signent des alliances. La Papauté, elle, recourt à la persuasion elle s'adresse à la raison des peuples et de leurs gouvernants, à la. «conscience de ses propres fidèles elle sait que, « tôt ou tard, les paroles des Papes deviennent les pensées des peuples ». Qui se croira capable de cultiver, comme elle, chez les peuples les plus divers, une « volonté de paix »? C'est bien à elle que convient une pareille fonction mais, en la

A NOTRE-DAME

Le Carême de Mgr Baudrillart

Depuis Lacordaire, les fjàré^e^prêchés dans la chaire de Notre-ajn£,ypn|; une renommée universelle, ua rretefitissement mondial. L'oeuvre d'un P.Mônsabré, d'un Mgr d'Hulst, d'un P. Ollivier, d'un P. Janvier, d'un P. Sanson, pour ne. citer que les plus illustres et les plus récents, sera continuée, cette année, par S. G. Mgr Baudrillart.

C'est une vie à la fois bien simple et bien remplie que celle de Mgr Baudrillart. Depuis soixante-neuf ans qu'il est sur cette terre, son activité s'est exercée de manières bien diverses mais toujours pour la gloire de Dieu, le service de la France et l'amour de la science. Bien, des titres se sont accumulés sur ses épaules, bien des lauriers sur sa tête, qui sont tous la consécration de sa carrière, sacerdotale, universitaire, historique et oratoire. C'est un prêtre élevé à la plénitude du sacerdoce avec la dignité d'évêque d'Himeria.

C'est un normalien parvenu à l'un des sommets de la hiérarchie universitaire avec la direction qu'il assure, avec tant de maîtrise, depuis vingt et un ans, de cette Université catholique de Paris à laquelle il a donné un essor inconnu avant lui, dont il a développé l'enseignement, à laquelle il attira des élèves, dont il a fait un des premiers Instituts d'études supérieures de France.

C'est un historien pourvu de,, tous les diplômes universitaires, auteur de travaux considérables sur Philipfwi V, fit, la Cour de France, sur le Cardinql' Quirini, sur l'Eglise catholique, la Renaissance et le Protestantisme, sur Quatre cents atts de concordat, sur l'Enseignement catholique dans la France contemporaine, sur Mgr d'Hulst, etc. historien parvenu au faîte des honneurs littéraires puisqu'il est membre de l'Académie française.

C'est un orateur qui s'est fait entendre et applaudir plusieurs centaines de fois, en France et hors de France, dans toutes les chaires d'églises, dans toutes les salles de conférences.

Tout son enseignement, tout son apostolat, toute sa carrière universitaire,'sacerdotale, épiscopale et oratoire, toute son oeuvre historique èt:peli'gie!u8e' vont 'se'tfcotiver résumés, condensés, couronnés par ce Carême qu'il va prêcher dans la 'chaire d*e Notre-Dame de Pâris. •;•;• « L'histoire, disait-il, un joui1, il' y" à' près de cinquante ans, n'est pas simplement une science, c'est une science morale celui qui l'enseigne droit avoir des sentiments afin d'en inspirer le professeur d'histoire, si l'on me passe cette expression, doit tenir du prédicateur de morale ». Il sera dans la chaire de Notre-Dame cet historien prédicateur de morale. Dans ces six conférences de Carème.'en traitant de la vocation catholique de la France et de sa fidélité au Saint-Siège à travers les âges, il ramassera en un raccourci certainement clair, net, lumineux et prononcé de cette voix forte, saccadée, incisive et ferme que nous lui connaissons bien, tout ce qu'il n'a cessé de professer, proclamer et écrire, tout ce oui se trouve épars dans ses innombrables leçons, articles, conférences, panéey/imjpS et dis-

cours.. ''̃?'WTïtti

Quelle admirable fresque et pleine d'enseignements que celle qui dessinera devant nous les grands traits de la cité chrétienne, la monarchie spirituelle et la Gaules des origines à Charlemagne de la monarchie chrétienne, la France et le Saint-Siège de Charlemagne à Saint-Louis; de la crise de la chrétienté, du quatorzième au seizième siècles, de Philippe le Bel à Henri IV de la France catholique, 1~. monarchie absolue et la Papauté au ;d*XfSf!ptième siècle, d'Henri IV à là mort -ile/iLpiiss XIV de la conjuration des Galacansv Jansénites et' philosophes contre Rome du martyre de l'Eglise de France pendant la Révolution du triomphe de la fidélité française à l'Eglise romaine, et du retour, après la tourmente, de notre pays à Dieu, à l'Eglise' et au Pape du combat livré dans le monde moderne pour le maintien et l'extension du règne de Jésus-Christ de la grandeur et du rayonnement de la France contemporaine des œuvres de la France catholique et de la France laïque des rapports entre la France et Rome de NapoTébri If'nos jours. Dans les trois Ca'rèriièy' qu'il prêcha dans la chaire de NotrorDâWpOur tenter de résoudre le problème dé notre destinée et donner un sens et un but à nos vies, le H. P. Sanson prenait comme base et point de départ, notre nature humaine notre être, ce que nous sommes, et peu à peu nous élevait au-dessus de la terre vers l'Infini. S. G. Mgr Baudrillart, oratorien comme celui auquel il succède à Notre-Dame, emploie la même méthode, part du même principe, quand il fait défiler devant nous les faits et sestes de nos ancêtres, de nos aïeux proches et lointains, de nos ainés et de nous-mêmes. Ce sont des réalités qu il nous expose et d'où il dégagera des enseignements. Cette histoire résumée de la France religieuse, par les vertus et les vices, les qualités eties défauts qui y sont enregistrés et seront commentés, sera la source d'enseignements» et de leçons dont notre temps et ceux qui viendront après nous devront profiter s'ils veulent devenir meilleurs, et rechristianiser la France. Par cet enseignement, Mgr Baudrillart,

remplissant, elle n'a jamais empêché les nations de pourvoir à leur sécurité. On s'est indigné à froid contre les très nobles discours prononcés par le nonce de Paris, comme doyen du corps diplomatique. Qu'a-t-il fait, en réalité, sinon rendre un hommage retentissant à la sincérité de la France, qui s'est mise au premier rang des puissances pacifiques ? Combien était précieux ce témoignage si désintéressé, au nom d'une autorité si haute, et dont tous les peuples entendent ,1a voix le

président d'âge de la Chan}bnË.)– j-. peju suspect

de cléricalisme, pourtant -'l'a reconnu en

présid,el~t d:âge de la CI~anÜ)Jift~¡;- geconnu en

5.927, et le président de la Répfiîilffiue l'a souligné, en termes particulièrement heureux, le 1er janvier dernier. Je serais fort étonné si les rapports des diplomates n'avaient pas signalé à notre ministère des affaires étrangères les services que nous ont rendus de pareilles déclarations du nonce de Paris. Elles ont sûrement contribué à balayer les accusations de militarisme, d'impérialisme, qui, auparavant, étaient accueillies jusque chez des nations amies.

Le mot de paix ne vous fait donc point peur Eminence? Vous ne craignez pas d'être classé parmi les tenants d'un pacifisme pernicieux ? Ne va-t-on pas1 vous accuser de vouloir désarmer les âmes?.

Mon éminent interlocuteur me regarda en souriant

Vous savez bien, répondit-il, que ceux à qui vous pensez l'ont déjà dit, et qu'ils le répètent à satiété. Ce n'est pas sérieux. Prêcher une paix basée sur la justice et sur la charité, ce n'est pas affaiblir le ressort moral d'un peuple comme le nôtre, ni énerver son courage et son esprit de sacrifice c'est lui prouver qu'on a compris son âme et qu'on mérite sa confiance. Car aucun peuple ne veut la paix d'un vouloir plus profond il se détournerait des chefs les chefs religieux comme les autres qui lui paraîtraient s'en désintéresser. Il n serait plus irrémédiablement acquis aux partis révolutionnaires, et ce ne serait pas pour accroître la sécurité du pays.

Aucun peuple, en effet, ne désire plus la paix que le peuple français; Ja.paix établie dans la vérité et dans .te > justice. Une politisa Mif ûàtionale

La NATION BELGE constate que M. François Coty a fait du Figaro un grand

dont le talent, la renommée et la personnalité jetteront un éclat nouveau sur la chaire de Notre-Dam(# en même temps qu'il couronnera sa carrière et résumera sa vie, réalisera pleinement la devise do son blason Pro cruce virtusque viresque Pour la Croix, mon courage et mes

forces.

forces. Paul Lesourd.

Les souverains afghans à Berlin

a.

Beblix, 24 février. Les souverains d'Afghanistan ont été l'objet, aujourd'hui* à midi, d'une réception à l'hôtel de ville. Ils ont visité cet après-midi l'Ecole polytechnique où le Ro: a reçu le diplôme de docteur honoris causa.

Les souverains ont assisté ce soir à une représentation de gala offerte en leur honneur par le gouvernement allemand à l'Opéra de Berlin. Le président d'Empire, les ministres d'Empire et de Prusse, le corps diplomatique et de nombreux représentants du inonde politique, financier, et de la presse étaient présents.

"nouvelles diverses Les menées autonomistes

Sur mandat de M. Mitton, juge d'instruction chargé de l'affaire de complot contre la Sûreté de l'Etat, M. Boltz, chef de la Sûreté de Mulhouse, a arrêté hier matin Fritz Schweitzer, géomètre, et Marcel Sturmel, rédacteur à l'Elsaesser Kurier, journal de l'abbé Haegy, où il avait remplacé Rossé, et à l'Echo de Mulhouse..

Sturmel, ancien cheminot révoqué pour avoir signé le manifeste du Heimatbund, avait fondé la section locale de cette organisation dans laquelle il représentait l'élément de droite, tandis que Schweitzer y personnifiait le communisme.

Après avoir subi un interrogatoire d'identité, tous deux ont été écroués. Le juge d'instruction, chargé de l'enquête concernant les menées autonomistes, a. fait arrêter aujourd'hui M. Sturmel, journaliste à Mulhouse, impliqué dans l'affaire des autonomistes.

Les menées communistes

y> Oii reçoit (te Casablanca des détails complémentaires sur les arrestations de diverses personnes inculpées de propagande communiste parmi les indigènes et les

troupes.

Dimanche, un Européen, distribuant des tracts communistes, ayant été arrêté dans les environs de Rabat, la Sûreté arrêta sur ses indications un entrepreneur de transports à Rabat. Celui-ci déclara qu'il agissait pour le compte d'une cellule communiste de Casablanca. L'enquête permit d'arrêter dans cette ville un membre de cette cellule qui a été transféré hier au soir* à Fez, pour une confrontation avec certains arabes ayant participé au mouvement wahaiste.

1<1 1

Le prix du pain

Hier matin, la commission consultative départementale a relevé la cote officielle des farines panifiables de un franc, la portant ainsi à 213 francs.

Le prix du pain, cette fois encore, ne» changera pas.

L'affaire de Malherbe

Le corps de Mme de Malherbe, qui a été autopsié hier matin, à La Rochelle, était très bien conservé. Il était presque momifié. On apercevait encore à la tempe droite un hémotome produit par la chute sur le tapis, mais il-n'y avait aucune- trace de -fêlure ni de fracture du crâne.

Les conclusions du rapport du docteur Balthazar ne seront pas connues avant ua mois environ.

Hélène Chalmin a été mise en liberté. LES PRODUCTEURS DE VIANDE

Sur l'initiative du comte André de Con-i tades, les producteurs de viande, c'est-àdire tous ceux qui élèvent ou engraissent des animaux pour l'alimentation nationale, se groupent comme le firent les producteurs de blé, de betteraves, de lait et de vin, en association générale, dans le but d'apporter un équilibre meilleur entre les prix de détail très élevés et les prix de gros très bas.

L'assemblée constitutive de ce nouveau groupement se tiendra le 1 mars, à 15 heures, 5, rue de Las-Cases, au Musée Social. Toutes les personnes que ces questions in* téressent sont invitées à y assister. LONDRES^CANNES

A partir du 1" mars, AIR UNION organise tous les jours par avions, un service Londres-Cannes. Départ de Londres 7 heures arrivée à Cannes 17 h. De co fait se trouve établie la ligne aéronautique reliant' en. quelques heures l'Angleterre à notre bellerBiyiera.

Ainâï seïa'dbnné, une fois de plus, l'élan, touristique si utile à l'industrie et au com1merce francais.

Cannes est la Ville des Fleurs et des Sports élégants.

journal « conservateur dans le sens le plus complet de ce beau mot et après avoir fait allusion au succès du livre récent de notre directeur, notre confrère ajoute « Détesté et craint par les communistes qui voient en lui, avec raison, un de leurs plus dangereux adversaires, M. Coty n'a pas davantage trouvé grâce devant les Allemands. »

Suivent des extraits de l'article où fut rapportée dans ce journal la campagne des nationalistes allemands contre notre directeur et le boycottage dont son nom a été l'objet. Cette offensive sur un nouveau terrain n'a pas, faut-il le dire, arrêté l'activité politique de M. Coty, ajoute notre confrère belge. Dans le Figaro de jeudi, il publie, sur le « rapprochement franco-allemand », des déclarations du plus vif intérêt.

Adversaire de la politique de Locarno et des <c fabricants de paix à tout prix », M. François Coty dit leur fait à ces quelques hommes politiques, pour qui « l'exploitation des ehances de paix est devenue un métier. », « grands pacificateurs, qui n'ont jamais enregistré que des succès éphémères et dérisoires. » Et M. François Coty constate que c'est au moment où l'Allemagne redevient plus forte que jamais qu'on veut, au nom de Locarno, obliger la France à « évacuer ses dernières positions sur la rive gauche du Rhin, c'està-dire les uniques protections de ses frontiè.res. »

A la place des accords de Locarno, en face de la puissance allemande, M. Coty préconisa une entente franco-italienne.

Cette entente permettra aux deux pays unis d'aborder l'Allemagne en pleine confiance pour négocier avec elle d'égales à égales la vraie paix qui annoncera et garantira le bonheur universel. « Attendons l'écho, dit le grand organe belge, que ne manquera pas de rencontrer de l'autre côté du Rhin comme au delà des Alpes l'ingénieuse proposition de M. Fran.çois Coty. >

Pierre Villette.


L'ART ET' JAJDURIOSITÉ A l'Hôtel Drouot

La Bibliothèque d'un amateur du village de Passy

Hier commencé, à la salle 8 de l'Hôtel Drouot, la vente des livres anciens, romantiques et modernes, composant la bibliothèque de M. "A. amatour du village de Passy.

I/anonyinat de M.. A. nous est dévoilé par une très spirituelle préface en. vers de-Tris.tan Derème; qui commence ainsi

« Vendes vos livres, cher Allix Que d'autres yeux les puissent lire. » Hâtons-nous d'ajouter qu'une très importante partie du catalogue est réservée aux œuvres de ce charmant poète, avec dédicaces autographes. Ces .volumes seront vendus lundi. '• La vacation d'hiéi; comprenait îes livres anciens et romantiques. M" Edouard Oiard la dirigeait, assisté de M. Georges Andr'ftux. ( Les Œuvres rte 73oitèarr (La Haye, Néaulîne, 172»), dans une reliure aux hrmes^ de la Euiie de Ijiyry, furent adjugées 1.050 francs Les Œuvres de Flor toi (Paris, Didot 1788-1802), avec un autographe dt; Florian, dans une reliure ancienne genre Bozerdiane, 480 francs; Les. Fables, de La Fontaine (Paris, chez l'auteur, 1765-1775), dans une reliure d'époque, 1.700 francs; Les 'Contes et Nouvelles de La-Fontaine. Edition des Fermiers. Généraux, dans une reliure en veau de l'époque, 5.000 francs; Les Œuvres de Molière (Paris, Denys Thierry, Claude Barbier 'et- Pierre 'TrabDu'îHet, T682);; dans une reliure ancienne; 3.000 francs ;>Les (Euurcs de Rabelais (Paris, Garnier, 1873),, exemplaire sur hollande, cartonnage de l'éditeur, 1.600 francs; Les Œuvres de J.-J. Rousseau (Londres, Bruxelles, 1774-1783), reliure d'époque, 2.900 francs, et les Œuvres de Racine (Paris, 1760), reliure d'époque, 950 fr. .Tableaux anciens et modernes .la salie 0, M" Henri Baudoin et M. F. Marboutiii ont dispersé un excellent ensemble de' gouaches, pastels, dessins, tableaux anciens et modernes.

On paya- 1.300 francs, une toile de l'Ecole; française du dix-huitième siècle ftanué et Jupiter; 1.500 francs, une toile de l'Ecole italienne du dix-huitième siècle Jésus expliquant la Loi aux docteurs; '1.400 francs, une toile de lîEcole de Nâitier 'Jeune femme assise au nii- lic'u d'un, parterre de fleurs; 2.000 fr.^ une toile de Jules Adler Les Remparts de MonireuHr-sur-Mer; 2.000jfr4ncs,_ une

toile de Chocarnc Moreau La.-î^artU^da,

tOj'c. fr Cf¡oc¡t\,I¡-e 2fics; U. .z: q.p¡..r.t. ~dlJ.

bittes,' ^t '1 :ï>W 'fçarics, une' gouache, de

MahkowsKî! :~Là Grande 'sdleé^du- àhû-

te.au. ,(. ;,• -V ,i"!71'

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'"iïî -TERME /jSfrrl COMPTAT. |S£?".y| -COMPTANT g ̃^f: W^î^l. ':e°B^^T- 'turo,' !~DC!ler 30/O TERME '6750 67 10 FONDS d'èTÂTS- Maroc S%\9OA i 448.. 445- BANOUe^i '"• 200 4 séthume <C" de) nouv. 5825 5875 ̃̃'̃"H TERME; LONDRES24 F*v. V" 'f' J .| 5 o/O I92O cmortissabl !02 90 102 90 S% (910 1900. 1845 ̃ y ,270 .i-Charbonna'ses drf Tonkin 15605.. 15000.. ̃ Mexique intérieur S% 46 50 48 15.- )/:̃: 3% 67 55 67 20 Pologne 7 1927 2535 2540 245: Ba«-qlM-d8 rtndo-'G^i.i.,|6Q0 7550 55 Commentry.Fom-chsmboult .l260 .T 3% 35 05 34 50 3 *o Français "f !3 -7.t 13" 402 43] Banque do Fronce 16240,. 16425.. 3 Amdrtiesabte -78 20 78 20" Portugal '3 série. 187 25 v 55 -française, ^«^Iriqùe. 50 bo'mbrowa (Houillères! parts.. 1564 ..1.561 Balia-Koratdin" v 243 ,243:505%: .Wi\W:$t&J,'nfS!&: 3% 14 do l'Algérie1. .12280.. 12225.. 3 1/2 Amortissable. < W Roumanie 4% 189O. ,12.. indust. de l'Afr.Nord 570.. 559.. 45 Epinac (Houillères «..Ch.ferxi1') 1819 ,.|18» 10ali.Jerakpan 58S 586 4. t917\ 14 14 .̃; .-50-w ̃̃̃•̃̃ Nationale de Crédit. 1060 1100 S 19IS-1916. 86 35 55 86 60 4% 1896.V..J.•̃̃ 95 l. .T., M^ustriMisiïdedh^i.^ ,,135 135 55. 60 Hauie-Loire-CHouillères de la>: -̃̃ 'JI2/1 35 -bi'lcàoirtchouds ̃ <S"Fi'naneiôre-"d8l '386 .405, 4. «i. ̃ .1916 14 %l'6.M.\fe: 85 de Paris fi, Pays-Bas. 2845 .2820 4% 19)7.. ̃•»>̃ 74 95 75 4-%iB9a «?. 89, |7 50 >– frrw=o-Jaft4*|isyT. 682 680 75" Môntràrribèrt et là Bera'udière 1600 ..11620, 1 .h.^Cbentcred, Se»». -irtf.!?0-163-50 Consolidés Î5. ?/4 H5.3(4> =26 25 Transatlantique 910 895 4. H 1918 ,74 10 74 50 Rgssi6:A% 1867-1869. 14 80 14 30 des. Pays g-u.Mond:t.wj 569,. -.t 56Bb-i Bi^v. Aftio^ï CMioçèx«».ïi.t I67O,|'Î665 3'ih.^icïty-bee»:?. J"IÎ. "!65 ^\m- 'A^dWitih^tS'Se.1.v»ai'fîor;/2 ,55 -r- l'Union Parisi9nrte.rUC0.ii. 1680^*4 6 U |92p'ArnoHWable .«.. 103 25 ,0ï Santa-Fê S 1910 .V.i:, l?35 '.r?HW« :«!» .{ '&il>JpViv<à«nôn;o«)o 275V, j^rt" ,( 7Ï, An,m.. 1490 1475- =.; ôao^DiiSUI..d.&l£UÛUl..ïSÎÎO ]|338..U ÈS,3»jh«ftB9 *-»̃ :i'.v,Ak*-»ÎJ»bl Wftit-' 26.2,5. "̃̃• >"̃•£«, -L -̃• <i$%19*S^i-iiW.i.ïï: W^M 97 35 serbe S 1913. Ji5^^p,« tl(»w»*CMjMt«iWoéri.m.i(>. ̃ "?"?.:> 3548 Blënzy/anp, '1 IQ4P 1025. 41 là. Consordja. T. t.««.Tf,Tî. “> 222;5Q;22t'ffi -J, "Funding ,i^5 !/2! 87 '75 ..ïeSompàgme Algérienne ..̃L'JzJB.VjSlOÛ"1. 4% 193S,.C0h»n«e'B«r.iinlî):dif K«Jffi "108'60 Suide 3 1/2% 1895. \&.J§.rz<i. Fc nc.A'^lgérid-Tlinirfie" -7l9'U-il7« >i SS>18jCam.fetîi .v. I555: J53O .f'ffepiaU ^n.'&s^é^As^.tfëfeOj .»fe4lKC-i XîhWéi4.m't?- ,V 74(?2l ;4'1.4 ̃70 i.iComptoir National dIEscQM3«l'68î».W739U ë% 1923 .AmoftiG8sJ>fe .} J05^5ft fiij5.75 Suiase 1903- ,A ^ii^jMU-ih Ponfcfer* A^è^rl. ̃̃ »05 MO ,^S'1c>arvi,i-•.̃ .-s».' 1537 '6sh.| Sr6y5n#neMR"»-S-fJ^«i1®4! •- 43J' Efeïlfts. Unifiée 90.1^1 89-1,2 ,50 Crédit Commercial de France. 1515 1692 Bons du Trésor févr. 19*23. 526 52? Turquie consolidées. 1890 585, i, ,615 .4 57 50 ,-j- duBrési .939 .r 935 65 Dourges .11660 .ih, De Beers ordinaire Î1755 ..nl75Oi. Éittèrieure .1 77' 77 4 100- Foncier de Franco 3375 3340 sept. t923. 532. 533.. Douanes 1902 463.. 462. 55, ..I r- .Colonial ..Sh.fW.. 830. 23. GraisseVsae .».441 447 :.W*h. prifér^nce. .ij 1576 (560 italien J9 1,'2 1,9 HZ 22 50.. t-. Foncier de l'Indo-Chine 701.. 681.. du S 1924 649.. 649.. Tribut d'Egypte. ̃ Soc. C* ;BanquéB-do1f*r4viw-t .89.87.50 40 (ïrand'Combes .787. .Engrais azotés.. J !5jJ ..| 149 japon ia99' 7l: '1/2 71 l/î .1. 90, Foncier de 2850, 2830 x- -7 192e .555 560 Priorité Tombac. -685 660- 125 ..Soc. fjjrig.nc franc; e«';colon. 26S0 ..2675 Liony-les-A-ires .< ̃ ̃̃̃̃ 1 d. 12 Franco-Wyomina ord.» '{ 593 .604. Portugais.̃1 149- I/Z 49:i;2 40-.? Mobilier Français. 711 712 7 19:27, 561 562 Tabacs du Portugal 55 Soc, G1' Alsacieinne de ëanque '020 lu20 28 Loire (Mines de la). 511 500 7«h. éiSoduld: «, 1 -430 497 RUSSe 1906 •. i.6.6. 35 .JSociétà Générale v. 1275 ..1265. Obligations 65? 192? r. à SOO 49) 492.. .̃̃, '45 Société Marscilfaisè'X-.l 875.. 87j.. 35 50 Maries -S00 690 35h. ".tè'oldfields.conso[idàte*d'r3l8 .317; 1909 .1 5'3,-4' 5 3.'4 1 .ipente Foncière 985.. 983 OWig. Ch. fer Ètot *%Î9»2^I4 323 5B 32i OBLIGATIONS 30,llmmobiJière-des.-Vôi*urai 65 Ostricourt 1540.^1550, Hartmann. i -235 ^232_ v Turc 4, ïo.125.3/^25^3/4. Î3Î-.V Sotiétè Générale Foncièro. 1117 1103 .j$,fJi919.. 363.. 367.; I ̃ ".? i '• 35 .iîvïcoigne et'Nosux.V. ?" 800.. 60 Hotchkiss.11950 1950 | ̃' | Oblig. décennale» 1,919-59. 99 50 99 50 /186S4% A TIONS, ,v3! .925 (ACTIONS INDUSTRIELLES ->' ̃̃ ̃ ̃ Huanchooa* 841 842 Chartered :2(>l')>.i.l'26l6.lj 54401 Suez. 16850.. 116840.. :.i922-32. •̃ •• ^55 /'i87r3%- 382' 382 ,1,, --• .,j-t" ̃' 175 Algérie-Tunisie (Omnium) 500° •• 5M0 5sh. 6 Jagersfont^in AI 386. 50 398 ..• Eait Rand 11616, IJ6/7J2 593 »Suez Cpart de fondateur) 16600.. 16300.. Caisse autohome.. -650., 649 1875 4- 460 453 35 Chemin Est-Algérien 4»;v 505 .ii v* Baléo, parts 401 398-jLlanosoff >\ 545 534, Goldfields.i..V. 5aj7'-v2t50/7-2 1065 03Suez<civile> 25800.. 25360.. Afrique Occident Fra.nc. 3% 355 356.. 2t 18764% 458.. 458.. 15 5ftic"– -Nord-Siidd* P^rïs. 266. 2H •• W7A Bor (Mines de) ord. 2990 2960 5sh. ôJMalpcca, or« .̃1.401 400.. Rand Mines 6IW9.jl|68/.I,/2 50 .Est 005 ..000 Indo-Chine 3 0/0 (9O9 344.. 340.. 5I189221/2 ». 239- 23g.24, Ouest jouis, 338 '.s -336 l50. Cui'vre et Pyrites. J&J21-- "iMalopolaka 720 *.?n De-Boei-s .r. *4;tVft;1*;î/tè 75- Lyon 1301 ..jl292 3 1/2 1913 3/6.. 370.. ?Ii894962i/2 240 239 28 75. Ouest-Algérien! ̃£[ ̃̃ 495.. 235 Moktavel-Hadib.act. de 5OO fr) 9000 ..19000 Maltzoff 275. 27s j0asr6fontein -̃(3.. l/4;b-:1£4- 1 60 Midi IM6 1087 Mad.8ascar 1903-I90S 73 90 73 85 °;,li898 2% 291 294 30: I- TunisienV.i.. 7i$ '25 •̃ Lille-Bonnieres.-ord 933.. 803 Mcxican-Eaglo Oil. ord.1 !24 50J 127 RioVtinto.T.T. 45.3;'l6j44.7/8. ̃ »- Nord 1975 ..iI985 Maroc 4% 1914.Ui.| 404 404 g 1899' 2% Met 280 .279 50 16 Parisienne, lnd. Etectriqèe ,490 '.>?82 '55 ..['Pétroles (Cielnduatrielle) 7'24 -̃- :7I8 '4.K. Mexico-Mîri'es' of el Oro.| 268 ..272. M'eicicàn Eagle .)19,'6.i20/6. i 65- Orléans. 1090 K)98 S% t8!8. i. 462. 46J )|9O4 2i/2 Met 287 '28, '80 Magasins Généraux"de Parts' 220*. i"?200 ,100 ..(Dynamite (Société Centrale).. ••••• .•̃•• 18 L.. Montecaiitii 312 321 Royal Dutch i29 1/4. 129.3/16 65- TunisS%l892 298.. 298.. g/i9O523/4,: 395 '392. 80 eaux (Cofep. Générât* dès) 2.175 V!2I25., ,50 K.),Elect ro.-Chimie Méfal S?"'552'" ••.• Mozambique. V.I:» 25 .99 Shell |4..I/2.I4..7/I6 120 ..Çants-FéCCief r.Ch. fer Prov.) 2905 2800 ̃ jf 1910 2 3/4 Met 248,.r248.. 50- Viohy-(Etabl. thermal).. !|550,g2O' •. -60 Poulenc. 1351 !345 9 Navigation; I^Afriquedu Nordl-254 50 25i North Caucasien.- j.3/9./ J3/9/. t~~ 35-IMétropolHain de Paris 651 ..650 Crédit National .S?fi919 I?9» 499 cf 19to 3 245 245 200.. Eaux élect. Indo-CWne ].6flOTJ ?, 6675 J62 75 te Ripolin.. jouis. 356> Î55O 130 Pacfano {Caoutchoucs) .1(106 ;jl 130 Russian Oil !4/r4/ 65. D»str. Parisienne d'Electricité 1525 -.1511 oblig. 5QÛrS% 192Q, 498 500 .5 "'j 19123% *»- 229. ̃ V :'̃<* | 131 65 Saint-Gobain, Chauny 5700 -|5670. 'iPckinfeyndîcate^SKansi). «> 80, Venezgelen-Oil .V.i«.'»/*6}^V.. .JEièctricitéde ta Seine 545.. 538.. Bons 6^^«.i|'I..W.. 524 525 «1919 5% J 405 40S J35 Ajr comprimé .r,.4 3775 -.3850 259 90 Soie Artificielle 14*».. 4240.. 20 ..iphosphaUs de Constantine. 53u 532 'n."gls 70 Electricité tC" Générale d'5. 2245 2210 6-5MSB2 d*5jf. j5Û8 ̃• 508 \i921S3/4-% 501 W. 38 35 Câbles Télégraphiques^», VUa .tS '"• ;«30 ̃̃• Usine du Rhône 1795 749 20 Phosphates 'Tunisiens 442 ,440 Ariaconda1 :lt.V/4;iH.;l/4. 45 ..Energie Littoral Mediterran.} 846 835 6 f&-1952. uit, v 513 |IS "Joe 40 Erfison; .J :ï>.f 120 1150 52 50 Salins 'd,î Micji ^20. .1405. Randfonteip « 75f, 73 Steel Common U^.t.'MJ-- 1*2 35 ..Energie Electr. Nord France. É|6 693.. 6 f^îarM'-lSè.î.v' 505 505.. /Corn. 1879 26O 49! 495 27.50 Electricité et Gaj dwhflord .L|,s! ,§25 •̃ 456 Port du Rosario 30200.. 3&O00.. 5. h.. Rand Mines.. 425 .,U|6 50 Marconi. '.l'ïSlkïr.&i 32 20 Thomson Houston l»0 66! 6%jufn f923 » f •• 5 6 W, Fonc. I87"9 3% **> ̃̃ "499 70 ETectricîté de Pari's.»^ .2730 .• ̃ chargeurs Réunis, parts 2035 202O .3,1, Robinso« D.eep. A-, Hj i'f Malacca vj2.,4M<i2,3/C I 115 ..Oîves 2515 2505 ebijs. S?» 1924 5!5 515 "i Gom'. 1880 3% '494 .-4s9;v 125.. Electricité, de StrasbbWg ;2490 35,IHavraise Pénînsulaire.CB) 429 46U Roumano Belge de Pétrole 84 » 81 -,0 Kuala. 72/6/ 172 6./ l' [ 20 Foxg.fi. Aciéries du Nord et Est 631 625 Départ. <iu Nord 6% 1921. 500 497 5 Fonc. 1883 3 |80 ^280. 222 78 de Vsftsovie 'prà.< ̃̃ f!*0 '"̃ Su ..] Transsorts en commun ,!̃̃, -,• •̃• 35 :.l Stèaua' Française' r..W.i..l '*0 ..462 Escompte'hors banque. 4; .3*16 4.3/lé Ville d'Albert 6% 496.. 50U a Fonc. -18S5 26O% 308 "308 37 SOjForces Motrices du' Rnôns l!30/ •• !?™ 59 30 Transports maritimes .,«.11335 U3I5 .TanganyikaV. 445 '50 448 prê.s .4.J 3. -3j4 50 .Cou^rières. 931 .945 ville de Reims 6 490 494 50 u. Corn. 1891 3 -|7» 271 u ;J 16 «feorfc" Mbfric"du RhâneCparts):»-- I6uc!0.;a ̃ I sh.4 Tavoy Tin. '|23 122 s/Paris.(chah ge) .V..̃ 124 02. I24."02- 15 Lens 570.. 563 ville de Verdun 6 491.. 496 50 1892 260% 304 304 47, 5Q Havraise d'Energie Electriquei:^ .-•••̃». 265 Bénédictine 'iTi?7'0^ 65 Terr.es Rouaes. ,806 .81- s/New- York. 4.879?. 4.8797.Boféo- ,2??-1^ •• Asturiennes des Mines 515 510 Fonc. 1895 28O% 315 .315 ..« *|25' Ihdo-Chinoîsè d'Ilectrické. 2480 2470 338 K Brasserie. Oûilm.s. §890 .:[ê8» 3sh' Thar.isV. 401 '400 Rio. M'5.15/16 S.ISHti 42 50|Penarroya S I!3S <• Ateliers Construct. «Jeumont 500 493 g Com: 1899 26Q% 2W 30Z ;r25 Marocaine .DiatrlbùtWn f°° ̃» ïiS- ••, ,125 Distillerie Cusenier 2250 .? .;r..Tm Seleciiôn trust :-2l6 50 .216 vaiparai6(, ̃̃ .•• 39'38' 39Ï36 .Platine. '150 1136 Cie d'Energio Electrique. 488.. 490.. ïï Fonc.19O33% 325.. 328.. 2! 25 Nantaise d'éclairage ord 505.: "1 50Z 200 Distillerie de l'indo-Chme 4500 4^00 1 «h. 9 Transvaal Consolidated Land 320 31? Buenos-Aires. 47 90. 47 90 .Dsbrpwa (Pétroles). *9. 470 Ëgll*es dévastées 502 508 Com. 1906 3 325.. 32).. -2125 -> pr.or.té ..502 4V> 90 Grand Hôtel U£0 f, 1070 Tubes et F.dèSosndwib'e -3<ft..« Argent (métaD (comptant. 26 H4. 26-3AÈ ̃ Grosse Méta1lurgie"6%V .491 '492 ;.̃ g Fonc. 1909 3 75.. 75 Nord-Lumière i.H 3175 ..3100,. 20. orands Moulins de Corbeil ord. 290 .285 45.K Tubize-priv.. 1506 .1590 Cuivre (comptant) 6I..1V8.- é0i5 te 4O..Kuhlmann 910 887.. 6% nouvelles .490 491 ̃ u. Com. 1912 3 1/5 .Sucreries Brésiliennes ̃' '̃"̃̃ l?™ SA." .|Unibn' CorpoVation: *̃. '472 474.. 44 Gafsa 1105 1105 Cail Fîvee-Lille 6 494 '490. Fonc. 1913 3 1(2% 329 325 50 47 50 Pyrénéenne d'Energie Eleolr.. ••£ -• >'<* ̃̃ 250 ..Ciments Français 5300- 5060. COMPTAtJT' ̃ NE>V-YORK 24 Fév, ̃̃' 60 ..Produits chim. d'Alals, Forseu 2055 ..2030 Nord Pes-de-Cflleie 1922. 500. 498 C ,913 A MZ 50 412.50 20 R«dio-EI*t*rique Ht"! S?" 45 •• du Boulonnais 716 "Linê '• I COMPTANT ,472.. -̃•- 25- .a»r^eursfR«unis < ,1§?5. 1079 industrie Suerjère Française.. «d67. •. 489 O, Empr. 191,7 S 1/2 259.. 260.. 46 80 Radio-France 683 .681 35.. dc l'Indo-Chine 1606- 605.: ̃• èakbu '«Na'pKte-d'ei i 1370. 1310 Cail Mônïy c. m. V.: 1 f \:4 :-4- 1/4 72" ..Transatlantique ord jg>> jf30 industriels Alsaciens 1922. '»» tt Com- '920 6 1/2 420 420 25 Radio-Maritime "••••xvS'.vSÏ •• m ̃̃ Polliet A, Chausson 1350. 1335 n,2i BrpsB» (Ue).. i^.».l .». 689 Câbjds trarisfei-s .». v..w.i- 4881 Mi487fi|, 50' V=oiturea-à Paris 1042 IQ42 Maison Bréguet- 6 K. «81- 497 ol Empr. 192)6 1/2 ̃ 470 50 "Télégraphie sara Pû.J?P ̃•T9* •• 62 50 erantj« («a.son de Blanc I-P»" -••̃ 50- dinzano.̃•̃ 94S-I'966- ChanVa 'sû> ̃P'arféî'vul^ 393^3,1 393 '"ïi'é 27-56Air Liquide. ,685 680 Mines de Laps 6 5922 fb7. 50> A Com. 1922 6% t. p 449.. 450., 40 TélWttMs, -j; ̃• 50 hfouvelfes Gaferies iS1'' fSn •'•'•' ̃̃•̃•-• es^uliêta ;». -.975 'L940, u. S.-Liierty. %lz\i- i»121iaj0W«i6 120" Caoutchoucs. Indo-Chine 1771 -.1778 Sairrt-Gobain. Chauny. 513.. 510.. ,2, 2ï'P OMHWÉIectriclti 680.. 679 |oo Agence Hâves t 1340 1330 Crédit aên. des Pétrole^ parts 15490.. fT52OO.. Atchison Tooeka Itf5 'r 185-l/i -=.. eultures Tropicales. 245.. 245 Usine» sinistrées 6 (/2 .̃••• 512 6st:6%- •.•̃• 6/u »- *S *t& n: «"• 75 Didot-Bottm ,1700 Í~ Kétol (Le) .vC.r-H2 ;a«*0 Baltimore et Oh™ iù7'i/tf)îl +6 10 ..OrosdiiBack .̃> 216 '21B Algérie 3% I9O2i.< 3/S;374 t –.4%> 354 3X 140 Alsacienne Industrie»» Textile ;•" •• -.y^x •̃ ̃• Le Figaro •• •• -i; 17 50 OmnLum-Pétroleï ••] 380s..L3S4 cana4ian Raciftc ̃ « 203 Jiu3..t;2 ,ni AWÏ efeiggl, 501. .50! ^,3% ancienne |ff "S 30 Acétylène Electro^é&WUl^ ->Ml#t- WO i. CH. 3 :• l ™».. -If ttKt èiV.W«\ &&&?. 35 Painê-Ciriémà (Joùis.5 "701 •• 675 Indo-Chine 1699-1905 ;». 299 '-297 .:• 2 1/2% 311 50 313 65 Aciéries de Lon8wy.i.s,»,f.{W, v- ffig •• 90 Librairie- Hachette !652 1660 ]s. |M. A. R. E f.294 :292 Chicaao Milwàukee c4 ;l7- '-I 17- 7 41; Pathé-Cinémàteap.). _760 •• 725 t9O2.. :2J7 ,277 50 Cyon 3% ;issS. |1| -• W> •̃ 35.. de Mwheville. '• |SS" ÎSS «w ''5.b.' .jshell' V .V. 574.. 570 Chicago Rock'lsiand .V! IOS 'i,"4 |08 MO.. Raffineries et Sucreries Say. 1805 1794 Tunis 3 1902-1907, B0 330., 6% Bons déc 505 505.. 5794 de SamDre-et--Meuso.-J. > 1239 e5 Afrique-Occidentale CC"> 3&05- -;•. 3f 20.75 1 -gteaHirRamana. JI6 ..r. 326- Erie Rai|pO3d f iu 3/4 .55 :j 59 09 Sucreries Coloniales.. 556- 557.. ̃ -v- ,277 50 6 422 422. Atel. & Chantiers *1« la Loire. J* 624.. 48 02 A.r Liquide (parts) 2420/ 2345- 72s Monaco 11750.. 114 0.. ijiintsis Centfol j. Ili5 1-4 Î36 1,2, igO.)Jçion'I:uropiem» .1825 1821 Allèmasne 6 1924 m»W«) 100 L I2%5.. I2940.T S% 372 .̃̃̃ 25 Const. Nord de.la France «g •• 5«» 50 Bersouanen 825- JH4 -• T-én^9t Ci?: ;• .145 !60 LôulviHe-NaThv inV 146 J. 46 j “«, AnSl«t«n«eai/2%. ^?73 272 4% 344. 346 jpç Howyifl b,i. I3j9 130U 2flO Chapal (Etablissements) f£S $S <••' Cparls^ NewrYorkCentraJ.̃ 157 I59\ Russe Consolidé l"et 2' séries 22 50 22 Arsentin 6% 19O?i 2340 ̃ 3% Fusion >«. 319 312 °*f#r^e ?»»PWftP1i«?» &l 7P •• Cirais FrSnça,s !3W T3tO-.v- 5 p. -put, Çapper. .£̃>;̃. ;• 3550 ;v; PeniyJvania. ?: 63 7.8 65 5 I9O6-- 21 05 21 -s |4l9o9,> 2385 ~yo 2il2%i. 289 284 fj|S03'Onîii»onlCotnni6fttrf7.4.[2890 287d Cltroén «g. -w. ^±=^r±=^==^r-rrr^ ̃.̃̃ ) «, Reiafftgî .<r.C.98.9* .h 4 0/0Serbie4-%amortissable»895. 44 25 45 Belgique 1873 46 75 4,6 75 Midi B»ns décennau» 6 Vo 5| 51g ^j > dtroên (part) W V. "• ̃ CH,NBF- ̃- Southern-Railway 143 144 1,6 Turc Unifié !24 10 U4-5C Brésil 4?"5 )689, •• •̃• -• 6 418 418 10 Decauvllie 203 203 22 5Q Continentale Compteurs.à Gaj 415- -402.. .CHANQES r- Soutnern Pacific' 120 174 H9 H SS519I4 103.. 10380 S%Fundin9. 5% 375 .375 .50. Electro-Cêble (ordîn'aires) MS? "}•• 45 ôaveau C" 529 543 Lonàns 124 02 124 02 SnJon Pacific ?- 95 2 95 'j Banque Nationale du Msxîflue. 920 916 1908 <Pern'ambuéo). 1480 1450 4% 353 349 50 M RveS-WjU «M ..4600 55 Bec Auer 1020 t«» New-Yofk ̃̃?.̃ '25 41' "25 41 Ar^acondfcoppër i: 54 7/8 S l'A 5 A. '• Ottomane 2S0* p. 1842 .,1838 Bulgarie 5% 1896. ». 606 605 Nord 6 %'sérl» F 428 426 pj &'Ac,ér. Huta-Bankowa l«5 ..1425 30 Maroc (C" Générale du) 780 780 All e 6% .607 50 Ut;h Copper.. T- 442 14g- 3 ,• ^nn"'L« &V!a.%«»O7.. fi b3 S-%séri»E 415 416 <t, 17»O''ïifl' M.r.ne .t HmMc 685 ITabacé (C" Générale des)priv. •"̃ 7i22, Ar3entL A Am^anPTelephon; î!' 177 i 2 f? O 6I.2J. Crédit Foncier Egyptien p. fS"? •• Chipe 4% Or 1895 449.. 445,. 4%E*ri«,0 398 394 V Ajeumopt '}or. H."ta. -•'i^* "m/ 3S -Tabacs du Maroc 70» Beigiaue (1OO Belge)- -i,M 354 -354-. -American Car B, F. ;JKM !,2l«44,2 60 b; Wagons-Lits ord. 1262.. 265.. S% 19O2 570.. m 3 ^ancienne 334 334 55 ef (parts) IJ52 mi 50 y mon Comm'<. |ndo-Ch,no,se. 740., 738 Espagne 000 B. 430 25 430 62 Bristish American Tobacco. 26 14 .26 3,6} L. (.Central Mining 2355 2370 e% 1903 ;̃.». 396, 400 u_; 2 1/2% série C 308 3t| -Méditerranée (Fora. & Chant ) 608 ̃• fSI £0.15.6 Land Bank Egypt ̃;̃- ̃ -Grèce;v. u -S* LeatHer ..V. f'23' .r .23 J-d i 50.1».!Rio-Tinto 5555 5560 4 1/2-% moa,». -̃•̃ ̃̃ 6 %.<921. tran. A. 423 423 25 ..Forge? & Fondent Wiontatairî 580 ..575 575 ..|créd,tfoncierF«nco.Canadien,85CO ..8490.. Hollande 4023 1022 75 Seneral Etertrie 127 i'r& \& M krJ.88 Azote (Norvégienne)- ..••"??» ••il???-- Eflypte UnifiéejmÇlà.S! ;445 50 445 10 Orléans -Bohs décennaux 6 505 505 40 ben^.Anzin 1855 ..1B50.. 28 p. 50 Nord Espagne ItaHe. ̃• "f34 55 134,70 Bethlehe^ T'StJl .l.] .l 57 'l^'l'i! 5 îh.jt-sutaro Nitrate, 555 ,551 PriviléB«è4jfil»st.391 50 392 -T ,V. 6 «5 S" J 5 28o. SOSaragosse ̃•• t. Morvège.̃ »..677 50 y. s.Steel Common Il 39 7/8i 13,9.: 1,2; I'f Espagne extérieure -mi., ,.«•>. •; 50 S% 382 3°? >- 91 46 Urrame Min"B< dMtalt.3S-O-p. 2B00 ,JOTJ 28' Rouina (Algérie) w. 6!5 600 Pologne (100 zloty). Royal Dutch i 46 3,4i 46 |>' ..v ..(OrJenLl C«rpet~; .575 ..( 570- HuTti S% 1SIO .H.ilHH.Î'i'. '874 870 4% 353 349 50 -Matériel de Ch de fer (C" FrJ -.1 990, Sosnow^e. 1189 ..ÎI26D Prague .• :i. '.l ..[..75 40 shlll .?.̃ l \'Û 7 er42:5-S |7ûb-50iPêtrofme. 965 967 Italie 3 i/2 -.i.». -99 *0 1<» » 3 a'nc. K? A S! •̃ -fMaUn»! d. Transport L^J »• !,]«0 Kreugar et Toi) 5630 56?6 Roumanie- 115 55 j.. (5 60 j |. ia.2.4.Sucrer"- et Raffinerie d'Egypte H » •- 1095 «Japon A.% I9O5. <• •• 467 iO Ouest 3 %.snc. » «.I 325 50 323 100 .-Métaux (Cie Française). 2m 2|75 t.. Suc Raf. d'Egypte (parts). H™' ̃' Suède .V.i.i.v;r: M3 ..K682 50 Affaires totales.1.783.01)0 42' )',tJi I.iTabacs Ottomans 215 -.J 210 S% 1907. •̃ 437 75 «. 2 tl2% i 2^8 .b 60 .enelle Maubeuoe, «.1755 .-Jj/tf,Suédoise Allumettes. 2575 ..J258- Syi*»». v,w-snJ>il.s>i.>1.^8?50|-489 ..J tîïïs l: "[ .~ri j :• t.:|

¡a~2,4,$ucrer" et RaffineHe d'EgYPte¡IIIO 2M.. ..Japon 5 %t907. 4377; 2t/2%t2~8..j~ -.60.n.Ue'Maub.uee. Suc, Raf. .>~516 le ':683 .1682 50 Afrai;.es.totalés. 1.78.3.ooo! j

pour, un surtout de table en argent ciselé de Bacheleï, style Louis XV. Meubles, objets d'art et tapisseries anciennes

Enfin, à la salle 1, M" Lair-Dubreui et M. G.-B. Lasquin ont terminé la vente commencée la veille.

Un e pendmel d'applique d'époque Louis XV, signée3: Bouton, à Rouen, fut Adjugée 4.400 francs^ ~ttr£fauteui{, d'épo- que Louis XV, signé ."Cresson, 2.850 fr.; a ne grande commode en marqueterie, époque Lopis XV, 7.100 francs; un régulateur, signé Jacob, époque Empire, 7.600 francs; tin 'tapis persan, décor de fleurs et patines multicolores, 18.000 francs; deux tapisseries des Flandres, à grands personnages, à sujets, tirés de l'Histoire ancienne, dix-septième sièc}^, 23.100 francs une tapisserie d'Aubusson, présentant un Empereur à cheval, précédé d'un héraut, dix-huitième siècle, 21.200 francs, et trois tapisseries d'Aubusson présentant des épisodes guer- riers romains], "dïx-s'éptiènié siècle, 39.100 francs. ̃̃ .̃• ̃• ̃" ,Nous parlertMïs deùiain. de la vente que dirigeaient M" Marcel Waltz et M. G.'

Guillaume, à la salle 11.

'̃'• V'iirîce, Mandé.

L'Association vdes élèves pt^ anciens élèves de l'Ecole du Louvre, 4iencjra sa. première séance le lundi '2(7 février, dans la salle de l'Ecole dii Louvre. ` Tous les élèves., et auditeurs- &ont cordialement invités .à; prendre- part à> cette réunion. <

Le Comité Directeur.

Expositions

et ventes d'aujourd'hui q'inùimu:' Rentes ̃ HOTEL DROiéO,'ÇoBtrilSa«<! 6. Vente- TapisaeraiiSjÂi; jjeauvuis, des Flandres et d'Aubùséon, objets de curiosité du dix-huitième siècle et autres, orfèvrerie appartenant M.,X. M"" Henri Baudoin et, TiLcmiçn, commissaircs-priseurs; MM. Mannheim, experts. "'• '•̃ ̃

HOTEL -DHOUOT. –is'tiiïc n" 10. Vente. Belles et rares dentelles1 des dix-huitième et dix-neuvième ̃ siècles. Me LAm-DuBHEuax.commi1ssaire-priseUr; M" LEFÊBunB, expert^/

Réunions, Cours jelf Conférences

,r:

Aujourd'hui': -'3 '•

r- l'~ffl~et^to l~PS(°~~IttàT~ç;1'Côli=

séèî )38| *j*«aiê éeinaïïàinf&EiyiSespïh

,:j,,h. «L.%BF*zg p|ja»(,^siaae*;iÏ40nf?î-

rpnee, et ,dUTon $ deux ^pj.qjio^», par,

̃M. Jean WieMi^ci'-M. Clénîent î)ou'-

icet,. Cette séance' dçnrtéfc a bureaux fermés. sera répé|éç le;lundi 27. février,

à 5 h.).̃

Technique :voc|ile, pal- M.- Frossard, 15 h., rue de Ta Sorbonne, 16. Les Journaux, par M. Hauser, 16 h. 15, ruede Sttfbôftne, 1K.

Pratique ofatoire, ,.par MM.. Sarran et de LachapctTe, 17 h. 30, rue de la Sorbonne, 16.

Le Christ à Gapliarnaiini, par M. -Lebreton, 17. h. 35*.rue.;d'Assas, 10.' Le monde des corps, par M, hacoul, 17 h. 30, rue d'Assas, 19. Oiotto, par M. Hourticq, 14 h. 45, quai des Tuiierieaj 4..

Les Finances tchécoslovaques, par M. Stadola, 17 h. avenue de Messine, 23. La rctraite"tfes"Veùves de guerre, par le R. P. Gça&ailSqi.JjBO «'14 h. 30s

église Saint-Rochi B jÏII'I' 1'

église Saint-RochJ j> Jiqi i:

jConcoùrs âjg-séleç.Ûon de la Reine

de Paris, 21 h., Palais des' Expositions.

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L'Association' des étudiants catholiques donnera sa Revue annuelle le 28 février, à 20 h. 30, square Rapp, 4.

Elégance, grâce et beaqté s'opati nouissent ile nouveau dausjles splen-, I, dides' ExpbsrMo"ns; ouvertes ce; niatfn

.même, dji",Mjgh ijjiio î-Tniloi'Efi- dépit

de toutes tes crises, ses CoStHmte-tait~lcur, Manteaux, Coniplets .'et PardessUs, restent' cette saison -'encore à 250 francs. lia -brillante qualité dèé* étoffes, le charme indéfinissable de la coupe et la modicité de prix, ameuteront Paris entier à ta porte des deux vastes magasins, 12, rue Aùber' et '112,

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seigher à l'Agence spcclale'dp 1a Compagnie d'Orléans, lfi"borile»ôrd['aes Capucines, aux bureaux de renseignements de la gare du Quai d'Orsay,, et 126, boulevard Raspailj & Paris, ainsi qu'aux gares du réseau.

COURRIER DJE Lft BOUflSEi » ̃•'•

1 '.j24; février. M

Après la bousculade d'hier,1 et à. mlP veille de deux jours de;.«chàinKge,on pouvait s'attendre à une séance assez agitée. Il faut reconnaitre pourtant que, sans intervention d'aucune sorte» le marché, livré; à lui-môme, s-'êst-ÏBtmtré. remarquablement résistant.

On a beaucoup liquidé pendant la première heure. La lecture decote' d'hier-semble, en effet,- avoir jeté Kàlaf-i me en province, de sorte que les,, fùt^jj niédiaires- avaient pas ,maj à yendrà. au début de la. séance. Mais û restait cJa^'s les carnets bien des' ordres d'acKaï'^à- des cours limités. Et,' d'autrevftpsjct, l'ètfànger ne s'est, pas laisse émottyq|p« Bruxelles, qui est en train de faire sa liquidation, était même mieux 'disjjo'sé que la veille. _i- ïïi.' '.i*'t "Sft Si 'împortanteSj.gtu^ f uîs^nt^le^' pffçg^ J elles ont donc été ahsprl^ée^. *a,ns grandes, concessions de1 priXs et, ^aussitôt <t,prèji', la tendance; s!«st;"nct*enWhtiapiéri; lierée. Ajissi, les, vendeurs décDu.vefft n'çint-ils pas renouvelé leurs attaques, Le spectre de' la l'evalôrisiiliori'a' été* renvoyé a magasiw des iecéssoi^ès'et le voyage ile M. Moreau à Londres ̃ a, tout d'uii "coup, perdu, de .son. iinpor-. tarice^ Ce n'est pas la question de -là.\ transformation des dévises en or Qui- *a' été discutée entre le gouverneur .de Ja. e Banque de France; et celui de la! Banque. d'Angleterre. D'après les derniers bruits de "Bourse, c'est' la participation ilç la chance française à l'emprunt' roumain tic' stabilisation qui a.:rait fait l'objet principal de ces entretiens; ,s Ó, Quoi qu'il en soit, le marché a été en se raffermissant jusqu?à la -clôture.' qui s'est effpctuée au-dessus des cours de la veillei en général.. •'??̃ '-̃'3'

;> --J ♦•̃. "1

Nos Rentes 'gagnent encore quelques centimes.. ̃ Fonds ottomans et serbéj en reprise. Le Roumain 1922 progresse a 617. 1: Etablissements de crédit irréguUers Banque de. Paris, 2.820; Lyonnais, 2.830; Union Parisienne, 1.680;. Comptoir d'Escompte, 1.692; Mobilier^. ,71.2; Foncier, Egyptien, ,4.835; Banque des Pays du Xord, 568. .'«•• ̃̃: à.. ̃<̃'̃̃•"̃ C^ieminB 4e fer «^-soulepuE. <$Uez, ̃Cfllmtoi- ̃̃̃ :i ̃̃Si-- 1-1- ̃̃̃

Valei,m^'él(ectricit4^V^nèRt

k.htlD:iT ~1

Uw3g,,f ..ithgmson, 68.Î Distribution, Hjm^èïïic: hs-, LiltoraUm^ «.,U',c Mines ttëttilliques et jpfeUfju.^csj MstetmtwA Rio. 5:660 XU,Ç4"itiïw9* `°..

1.138; Conrr/.ères, 945.,

Phosphates et produits '-chimiques hé-' sitdtots Gafsa, 1.105; Kuhlmann,, 8,87; l'échincjf, 2.030; Azoté Norvégienne, ,1.708. ̃̃̃•"̃ ""• r Valeurs de navigation bien tenues Transatlantique, 1.830.

Fermeté des pétrolières ,Royal Dntch,, 36.700 Eagle, 127"; Wyoming, 604; Steaua française, 462.'

Peu de changements aux Sud-Africaines.' i;- ̃«. Légère reprise des caoutchoutières Padàng, 1.130; Indochine, lù?78. -Tu bize, 1.590 contre 1.50*ï

Au comptant, les Tabacs au Maroc gagnent 150 francs à 7.000; pdM Hé'rdclée, 1.300 à 33.600; Fratica^éerlan-daise, 125 à 3.000; Sumatra.' 100 à 3.950; Générale des Colonies, 20 h 755; Kreuger, 5.675; Suédoise des Allumettes, 2.585; Gaveau, 543. :-«>• La Soie d'Izieux abandonne 100 fr.

à 4.-SO0; pari Soie de Gioet. 225 i>.150;

Electricité de Varsovie, 225, à ,3.900 part Forces > Motrices do Rhône, 300 à 16.000; part Minière en Indochine; .1.500 à 27.500 Charbonnages du ̃To.niiin,. •605 à .15.000" ̃ .v ~r

M HE UNIVERSITAIRE y Pouj^ l'j^(,i}iction des enfants anormaux

j^oBcbfoji, p"rHès«eii^<te:4'é&*<rtféè;

ent!uits" anprmaux d'Asnièrcs, évalue à '39.0"ê0«°Jè!?«t)mbre des "petits, Çraîigais (jiii, sansfûtre complè,tçment^ dépourvus d'inteilîgcnct, sont incapables dfc* "profiter de I'enscig-iémént primaire., Aussi 'tlemande-Tt-il que, des classes -spécialesi en nombre suffisant, soient, ouverte^, pour recevoir ces .deshérités.. Il affirme que toutes les fois qu'un enseignement appropriera été organisé, il a pvbduit des résultats excellents 85,70 rp/0 .des- enfants qui ont reçu cet enseignement sont, parvenus à gagner leur vie; '77,03 070 complètement; les autres^ soit 8,6? 0/0, en partie », -f,

Toute demande de changement d'a- ¡ dreSse doit être accompagnée de la somme de un franc c..uante en timbres,posté, pour couvrir une partiè'des fraie de renouvellement de ia bande.

jCOUR*&f|ER DES THEATRES

[~ Yl i 'ft ̃̃ ̃̃ M.MIIII.. ']'

Effgêmi#s:|«nérti«s

r ( *j-T~w*»_(.J.n._ t < THÉÂTRE SARAH-BERNHÂRDT Le Pttftage d»-~Vénus, coiuc'dic-bou((c en 3 actes de M. Georges Berr.

ï* Vouloir' occupé* la s'ce\ie "diti" ̃th€a"tiic 5^1'aj^-Bernli^rdt; aveci-.v;i»nfe, i comédie, rext'iîrié entreprise aûssAhardié que de f*ô«ld}r'B'tKtér"PaUentfôiï-des,.Martîen.s- ;n agitant un: ;rnauiîhij)iï*{ïie"p.ôciie-.P:Ou.r. ]u'iin spectateur, s'îMniusCjiraaçhemenl H uïMfflvtrifne éointtiiie,! ir|a'uf que lès ;acJjspr^j^ent sïiifkanim^nt', près "de, 'ïv&* BQur qu'il a jt /Ijiii^press jaa.,dc participer.

M-mèriié a l'action..SL'icétte act'ion se

iéro.ul& daaie î-wri moi)de>.qnt l^ipiirtlît Uor? ,de po^w,,lsgÇ.¥l,ptoifîpî«è,Bt être !pie èelUî uOTpI-oTlienbur séduit par les s KltteV'.ot^:ssni^4îiihë'Sfôï§ftîi«#'ç.:al cherche le sens 'de. cejtt^*<âgitatioiX il ,1a

devine même, "axaAi ce n'est jamais que

SUi CJiriojsité. 'fnwjertCBif jeiÎKCt'tiiute émo-

ÛpjvJui.est.inigsaitc.i s'ri., Vi. < .m,

tlSmJUl.~st.1 qt.ç.¡ ~,¡..6,

'Le" hérps W Pag!;aff.e"*(te"Vénns~èsi'xin astrdïiome: di'JaiMt«rifc :PLi*iIi|;a. mairim: au .jniUeu de |ilauètpsi hoiî^.é-sVjifc ^u^ le eomtnun des nioWels lûijpêrm'et év{i*em«fcnt' Jdo .leoSSidérer-'lè's^Tijecta^é'ûrs commey, 4e?s v0isinS| -II- .çsit •jregrpîiî'biç" qùéMa réciproque ne soit pas.raie^Les appà#ei'l«-; d'optique !!qùi èncomb?ont's'cn' lç^b*i-n2!tCferiiie.jvt;bjeji mis-uxT not-re aÇfni-; fe'que'ïa sierinê. .•

aîoiic M. Ghantoiseàu est uii •membre de l'Institut'. Un. soir' qu'il'- présidajtjTUn, ianquet, aux cotés :de: son vieil aujj Virgile Sdgiiin, iioh nWiiis académfcicn qiic lui, ce saint homme ^a hti plus que^.de- raison. Quand il se réVeiU<| leleudemain. matin, il nc sait plus m où, tii'à quoi/ ni. comment il a passe la nuit. Et parce "qu'il découvre quatorze mille francs

dans son portefeuille, il ,en conclut, _cn(

lisâ'Iit )c?s jiJùbîaux/.ti'ii'il.cstlî'â.uteûf; deî l'agression dont une dame a été victime dans les jardins1 !IL: uxelïibourglTSi son orgie avait eu lieu la nuit que.Lindbw'gh se' 'ïfb'sa au 'Bourgetj H aurait pu croirV' flafT même qu'il venait de traverses» rAtlantique eu-ATi'Ion, sou« prétexte qu'il était, Jui aussi, à Paris,.

Sien entendu, ce1 n'est pas ce savant habitué au, commerce des étpjles qui 's'est* cbfrdûît com'ijle; un forc^àS" îltrls ̃les' jardins' Xîu* 'Luxembourg. Mais, tan-

dis que, nous, np.us-lé savions dès>Ie.-dé-

bùt, lûj, (rie ̃l'apjïiJénUra que tout la fiiijttpreàiïonib're'rfcjpéripéties gu'il se-, mit déloyal dU'î-êVélef puiscme.'jC'^t 'ftllgs,' qfclidOTvenfrii'airtfulMniérêt àc la pièce.

Car il v a bien^uïie idée »<JaUs«.WQtfts;

!«oièé>îft$\r' maiS'WfW tasse presouft. lua-

i^Cnçnp. ;Gotta>Jd*oCVst que la. vertû^est"

'corb~l\(r, i'nai1!é\£' as se prc\\qR~' #3a-

M>e!rèriW,tMidi»'>a<ijl*e Jle vi(JëiJes'P YùnVaï- vJil.fi-.M.Çlia.ntai5ie% omme delSieïj," éét bougon et alrabilairej; criminel, il n'est plus-qièB bonne ktùn^ur et" 'SoUri'rc's. Si •Herauie, xavant dfeShcisir sa voie," 'avait' vu Le J'assauc^cfal \îénus, il n'eut pas hésite cutre ]ln.fi|i)fjsÇe et le.^laisir. Il aurait clioisi Té" plâisjr et cp;la nous auïiiitti privée de. ;bQblliombre"dC tabléa"j|x ôh^WÏ™ 3M '̃̃'̃" "̃'̃̃'̃

,f. Ta.Saturnin jrahrq, a cause de son

..t~I.,S¡ltl,ml,¡,1l f'tr~ il. cause' dC'SOl1

Jirjnom, était dês{îjié< à incarner un astronome. Il àfaît tfer M. Chantoiseau une ainusante compositicui. M. Berlc}'; Mllïe Chrîstiane d'Or, M. Maxime Léc^soirt excellents et fort bien entourés. EiifiHj MuGalipaux, <}ua;I'oji a trop.jreu s,qu-

STe^t, Poccasipn d'ai«>laudir, trouve le

jinoyen, dans leur|iie fepisodiqucîde-'Vir-

IJlQ.). 'Cil. dans leu l'&\c !C¡'pisûdiquc ;de.'VÎI'-

gne Seguin; de remplir de sa manue-per^ sonne toute lîi ski- tl c s il u théâtre Sarab,̃ Be-rohardt. Il,a.juj\^ inimiquc.si- exprès-. sïv.p qu'un. cligncjiiteèt de ses yeux se propage à travers, -jinje salle comme des ondes sur unïacï I .'̃

,̃-̃̃ -«^* f A fc'ÉLDÔRADO:|« '̃'L)e Pompier du Mou-

iirt-/îbJBg'é,v*udé4i3c|n 3 actes de MMAÀ1-

'li1t~,1i'Úgè.\>à\id.~¡. île ~n 3 actes~i zc~,C, 7y,-

inBoi ,Ve^coUlf>,etJe«i çever. w ,.r',t

̃ Le -^Âir oùtn^<îWr^ une école y«udcville.iîfe/'SuïS'ipimujadé qu'on donnera aux élèves le. sujet suivSBti'1altrsitei> -j Un M. Ciboulette est fiancé BVee^JiB' fil-lc d'un lieutenant de pompiers. Partant de V^^W^4^Mf^£rf^6^i'ë^i~^«Avè», au second acte, à la situation suivante

GibfiiiIeUe ,%ic<>rf$rÉ v.fï^i<M8jj£]Jë;meiil.

en. qualité1 de p,0mpier ^^çElaTpjMipn dé-

srtii fùtuVll>eai^père, n^t«||B,' iise| Beure, 'avant'soii' marià$<« çi'pbinifte de TescaiJier qujicondttit; àii'^ppartemont du susdit. Lt céréniqHie.. devra quand ,.m,çi;u,e avoir lieu a l'heîirjî ^prévue et dans ces condîÉons ijorniy»ïes,ï au troisième acte.. €e:> problème astf cielui qu'ont posé et

résolu ^fgrt. heujçeMsjeni'eht, Mîîï. Alffetf

Vercpuj't et* Jéaji $pter-i.dansîla 'nouvellp" pièce de l'EldoraTafe.ï Ils. l'ont, fait avaç-, !«ne «onstantd -Btftniô bumeur-et si peu tj'inj:ra4semblajicç^if'on peut penser que le ^pompier dif^ipi/lin-Rauge preitSia; place parmi lès classiques. Ils ont eu pour les aider la'grà'ce de -Mlle, Suzanne Berni, la truculence île M. Jîarcel "Vallée -et-tes mines .ahuries àeîtt. 'Marcel Simon;; vi, J[altÂés de.'1 Coquet. '`~

r

Théâtre de Dix-Heures ÇA VANt-PREMIÈRE)

liouis. Bald> le -elèbre imitateur souillaguais, de retour en France, après une tournée triomphale en Amérique^ débutera au Théâtre de Dix-Heures, aux côtés de ce génial humoriste. flu'ist Augustin Martjiji, de "cet "èx'ttaa^diriâifc' "fantaisiste qu'est Noël'Noël, de ceâ spîrituels:chânsonniers-que tout Victor :VaUjer-et Jean JNÏaugiér, qui tous auront des, chansons nouvelles. "G'ést Vrai 1' ,'• Ce" sera également "la' piëniière '"dé" la housvellé nîsjufe; de j'ftui JMarinier .et Jean.Deyr-:mon, musique.4c Paul, Maye, qui sera jouée par les; délicieuses Janett'-FÎo et jHuguctte HeKy, ràDr^càâàbraiit .iéonec" Corne, le fin iômédieh "Léofi Hèhry' et Surtout 'xet'unj* flijo:iî<Qël-?jnC' S^ui ya,i aîteittoiSliréatiDûs étourdisf^rttœ. ^nfii}.; ïlOu^ aij^Sj, daps!r cette revue, j'allais dire dans cette 'œuvre", les' debiits; fft Mlle' B6Hys"isriqâih§érOTït une léyélajtiori.' .5ÇV- ̃̃,̃̃• ̃' ] II -•< r^iù La, ,:pr$mière: à bureaux,. ouvert^, de cç, spectacle vraiment unique est fixée au Hindi !'27, à heures'du soir. 5- Bravo Roger Ferréol. ̃̃?- >vï PN.ÇŒUR TOUT NEUF A LA COMÉDIE GAUMARTIN t Trois actes, de M. Paul Vialar une ̃pointe ̃d'émotion, est mêlée ,à une grande gaStérvoila ce qui explique le succès dèj cette" •ïôittédie jouée 8e varit' des salles ènthousias-teSi'Bemain dimanche, matinée. .••̃ Répétitions générales

En matiniSe

t .jt. Au Thûaibe JJavxou-, à '2 heures 30, » iùîpsKltion gl'iiévalc" de L'ilonnêle Madame Clieyney, pièce nouvelle en trois actes, dû*M.~ Eoufs Verneull, d'après M. Frédéric Lonsdale, avec Mmes Augustiiie Lericbc et -Jtttib Renouarilt, "Amlrée Daneirn, Sinw>nB Siindré; MM. ;Fernand Graycy, Paul Amiot, Cbuslii, Jean Hubert, Janvier fils, et Pierre JiT\r«nrt. ̃̃.

J.« soir, soirée de gala.

•'hé service de première sern reçu dimanclie, en soirée; lundi, réception du service de 5£Qo,iîde.. Ex soiréu JfVA. la PETiTK->SÔf:NE; a heures 30, répctitlon générale de On.' ne\. t'avise jamais dp tout, ,<le. Monsi^ny Oii i\e saurait, pen$ev.à. ibiiSflUct Musset;. Oh ne saurait pen•tfePfe Sf»y<iVle*ï»lM'iiG'éra'rd rt'H^ryi-Ue.

inMoïKl uuTjEÏÏUï. •«winsijotti^î????'

\t;:lf~t~},~ij,~r~pr~~(;ii't~Jri~?0r;i.i¡

i^ HV'it*ftXTKKfrr;vïY'18 tXV'Û, ̃'prcniiçrç ..ver r«r««énti»t}oi! i1 de> Sa, Majesté ilnaitàse,' ̃pièce à grand spectacle en trois acte*: et treize taWiSius, 4" MM. AndrÈVi: JIouSzy-Eôh et Aleiandrt; Fomancs, musique éi 'M. Jean Verljiit.\ ̃ ̃ distribution

MM. liiscot (Anastase), Marcel île Garèin -.(Serge Nntichefl"), Déan (Houl>lefl), Haniilton ((ll^ef du protocole), .Coquelet (D' Zakaroff), Uarbel (préfet de police) Mmes Macly Ber̃rj-* (îs'ataeha), JeauISc Boltël (Xadia). ̃^îïle's1 Ma<leleine'Vasty' (première danseuse travesti), Mauricctte DeUiumteau (preMiferé danseuse), Jîeânnc 'Fâbrizé (Etqjle des ̃énl'ahts). tr

"̃• Ordre des labieaux

1" tableau, Lii Nusery i'oyalcs; tablçau, Le Cabinet de travail du Boi taïïl'èau, Le jardin devla niaisbn de Natacha1; "A* tableau, La fête du Couronnement (Gd ballcl) tableau, Le jardin de la maison <ie_ Nataclia. tableau,. L'Aiiberge «le BofiBltfi" tableau, Une chapelle en ruines; .8? tableau, Le cabiiiet de travail -dû Roi; '11* tableau La ïlaute Cour de 'justice; 10» -tableau, Le cabinet'de travail au Roi; 11» taWeau, La qlmmbre du Hpl; | 12e tàblqau, .L'Orangerie (lé palais en itaiiunes) 13» tableau,' Une 'placé publique (La révolution) grand ballet.

""«STAu TuÊrniK Davxou, à 8 heures 30, première «le L'ilonnêle Madame Cheyney. Au TjniATnE dus Arts, à 9 heures,, prijniière représentation de Les -Fruits de Z'-liMorii', ̃ i>iccë' cli trois actes de M~. Lucien Descaves, avec Mmes Madeleine CarlleP, Jeaiintï'frGrufmbach, Renée Ludger,! Desper-:

:«%•«; iP6pâe4«j JettJiiWuifiBiCfi.KBJajiclu^îDais»

Madeleine Farna a MM. ArquillièïeUWWB1.

:ijvr.?ïfcrri=r:;i: ̃•̃ -bm Ufilù

Le service de première serai reen ce^spjjr.

'f'

Reprise t '̃> »:<< i}t A t.\ Maisox de « i.'ŒuvàE »,:&- 8 heures 45, Maison de poupée (Mlle Madeleine Soçiàj M: Lugné-Poë). ;( Aujourd'hui^

^t •' A I.A CoMlÎDIE-FRASÇAtSK, à '̃! h. 30; dixième matin.ee poétique, consacrée à Victor Hugo A propos, de M. André 'Dîinias "dit par Mme Segond-Weber poèmes,' dits par. MM.,Jîu:ques Fenoux (/.e Feu dit Ciel), Chaiiibrèutl (tes Djinns) Jean Marcha) (Paris); Mmes ^egbndAVeber (Le Crapaud), Madeleine Hoeh IL'Aigle du casque); Yvon-né Ducos iL'Eitfant arec, La Fiancée du Timbalier) Bretty (Vœu, Beaumarchais) Jeanne Sully (Lai Chanson d'Eviradifus) Marcelle Renée (Waterloo) Notices, "de M.

J. Valmy-Bayssc, lues par M., Paul Xuma.. U* A l'Odéox, à 2 h. 30, ÊÏOteeau bleu. jt Au ïuianon-Lyrique, à ? heures, 30, Lu Fille du Tambour-Major.

Tf'

'̃̃}̃-

Même spectacle que le splij: »" A la Portc-Saint-Martln (ih-h>T 45)>- à FAmbigu (2 h. 30), au Grand-Guignol (2 h. 4u). r ÇesojnT A i.'Opéha, à R heures, Siegfried (Mme Germaine Lubiii, MM. Franz, Mi Journet, Mflc "Mont fort; Mal.- II. Fîibëft; Dûclos1, Mme Hnrambinirc, M. Xarçon). Çrch. :M.. _l*h. 'Gaûbei't^ •' ̃ ̃ ̃ | -*5 A ̃ Cq-MÉniu-EnANçjysK, à' 8 ;h. 15, Siipho (MM*. Sibfôt, -lîVsspnnési PJ- Numa, Hoiival, A". Banque,. CHaJiibreuil,. Yo'nnel, L. Dubostr, Mmes Cécile Sôrel, M. Renaud;' M'. hèll.'A. de Chùuyeron, M. Barj&e, M. Saf mary,.ri"Kavar,.4e peut JbnepU)* "ât'"A j.'OpÉHA-r.oTnittVfe,' a 8. Ji. 30, lOftiref)Pés. ab6h; sérife.A. JM .Tàscd (Mlle M. 'Sihillc MM. M. Oger, Lafont, Paycn, TubiaLiur; d'Arjac).. Ôrch. M. Gl LauS\*erynst .t.A i.'ODÉdXfltà. 8 heures.ïSO, Xa Rtisaire* '(Miité \pdri;ê~*Jjëfârd,7ltrM'. Fabi^j A-'CiVr' >3lapS, ^WilWliIMvSatlJtewSK» Mt>*ï">h ]Lcliijmnn; Mmes H, Moi-et, F. Robiabe/ijas

Il)'cé,' P.JI1. R~11,O~ M')I,A\¡\.qa!lQl!;

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PSii',Iey7 Lôuvigny, Gëorgé, Hogerr TiéyjMç

'«• SE'iÇoil^arib léttifi; Minss-Bjoite Dcvil1ers, Arlejty, Lijy Mpuoet, jâiîine..Merriey.)." ̃ -Jj8 Au UiMNASE,' a 0 heures; le Venin, ,de. M. Henry ".Bernslcln, avec ^IJllçs Yvonne de" Bray, Gaby Mbrla'y,: Volande Laffon -MM.-eharies-Jioyer,-Jiart;eJ Andr<5;

^S, AU ^l'iIÉATUIi SAlVAII-ilEHSlIAlipT, à S 11. 30, Le- Passage de <vinus: (Saturnin I'abre, Christianc Dpr, avec G^lipâux, Henry Trévoux, Giall<!t et André Berley. Dite, et Çêtcs mat- ..et soirées. .j

J* A LA GAifÉ-LYniQUE, à 8 -|». 43, J^es P'illes Mictui" ÎMmks ̃ Jâne Pyrâié, Suzanne Laplace, Hélène Gprard i MM..HenryiJul- llen," "Nalibs, 'Castiïi, avec'"MM. 'Détours et ̃H." Allard). •,̃ •;• ̃̃'̃• jt A L'ATHÉNiiE, à S ti. 30, Sicole et sa vertu (Huguette ex-Dullosj Uèbucourt, Armaud. Morius, Jane HeJly, Glady^ Carlisle, àvtc Marguerite Ducoiifcl 'et Arnaudy). i ^8 Au .Tpiii\TiiBi Antpïse, «à .S h. '4o, Amants (MM. Ahcjré Brûlé, Scvcrin, Bénàrd et Ai Duïôsc^ Minés "Jeanne Provost, Fabry, H. Petit et .Clara, Tambour). jt Au THÛATnb bli Paris, à "8 'n: 45, Coiffeur pour Ùames (M. Max. Dearly, Mmes G. Risse, H. Deiannôy; M.' PTeuget; J. Liezer, L. Scott, S. Armtlle-étMîiI.'Jo6vSâint-BonBet et Callamand). ̃̃•̃̃̃ ̃'̃'jB Au TiiÉATitB du pAI.Xis-RoYAt, à S h. 45, Le Gailô^DuvalJè^j Ch.- .Lprraiu Mmes Marg. ïeinpley, Denise Gi-ey, Simone Oulac, -Jeanne Lion).. ,̃• ̃" Si AUX 150UFFI!S-PÀHlsilîN'S, & 8 h. 45,. Au temps de Gaslbunct, :.(Jlmeâ. Marguerite DevaJ, Renée. Marsa.; MM, ;Ed..llpze, Gabin, Henidey, P. FaiVKr, &. Jvefson et Koval). ,jt.Au. ThiSatkb MAincs'Yj.âj. -8 h.- ;45', Venise (M. Râiriiu, Mmes Yvonne Faroche, Janff Alorlct, Suïamla Duvali, ttact MM. ïn»

ft\h~, .<Hn~5ffiq<f~SYlfNi~'NY ~11rffi)~~

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£e.^K^"e"A^îr?f(iuWe nVMS «Je! SacJia

G*it*«s. «!WttSTO-l«s»JanjyJrt«|n4'v>«Ué% «Mines Suzanne Dantès, Alys Dolonde,! Liuira •r>nAyv/-àt<l"etl!tei\mttàe)l'i ùn'nTJ "w "̃& Au Thkaijuï MîonEi. ,(Gut. fl3T30>à i! ̃91' heures, Le ̃ Baptême '(Çheirél, '•• Mautoy, Çleemorit, -.T. AVail-.et WU<:M'ellot). jt "Au' Théâtre de i-a Madeleine, à 8 heures K'r L'Homme « VHîsjfàno, 'du M. Pierre Frondaic,, avec M- Harry Biuir.

Jt Au GbXnd-Guignol, a S h. 45, La Chambre ardente, Le Hmicot vert, L'Homme qui a tué la. morl, Le Vhàrniacien. Ji Au Théâtre -de i-A-rMiCHODifeRE, à 8 h. •10, Vient de Paraître ,(Viqtor Boucher et Blanche Montel, Jacques Baihner, Berthier avec Luoien.Baroux efRpgcr Gaillard). £t A La Comedie-Cauhâïitin, a 0 heures, tin cœur tout; neuf (M. Paul Bernard et" Mme Marg. Plçrry avec Mlle Lucienne Pari?«t et M. AHcoviéi'K Jt Atx Capucines, relâche. -••. 1 '-$t Au riiEATKB MoOAbon, S h. 30, Kost-Marte (MM. Oudarl, .Çurnier. Mlles Cloê Vidlane, June Roberts, Cécilià Navarre st M. Dréanh *Jt AU TKÉATnE DES tyO^VEAUUÏS, à S h. 30, Comte Obligàdo, opùrélle (Milton, Davia, Urban, Robert DartheZj iCHairpell, José Sefgy, Numès filsi Madeleine Sùfi'elot, Marthe Fer-

̃ rare)-. ̃ -̃̃̃- v ̃' -'̃

S Au Théâtre, Fémiija, à S, h. 45, L'Image

{Mmes Suzaiihe Després'j-Càmille Cùlvat, Su^ (Je 1 zanne Bernl MM. Jean Wornts, Jean Gat-

land et Hucliet).

J{ Au Théâtre de la- Potinièkîî, à m lieui'es, Ma Femme I, opérette en 3 actes, de P. Briquet et P.' GoKJeauXj-mûsiquë dé-Pi de Meure et i. Paris,11 avec Pierrette Madd. Ch. Fallot, -• R; Ancelin, Y. Yina, Carette et Pierre Juve,net.' -̃̃- ̃'̃ .•'̃̃•' tSt A LA Compagnie Pitoeff (M^thu^]ns)r il' S 11. 30;"i«c maison dts *<KliSrS brisés. ^e'kahlMrr^iik^i^tr^^mlk de. ÏL

(i ^i-jffln^Mkàijsep Mt.ïuh».S*sri<. M.mSs ,Su«y

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I 10â|1%yK|©Eu|P«T*s3<dii<Mr^g>rtt, Fei-l-ébl,

Marc, 10-28). Dpjin, Jean Rieux, Georges Merry, G<!o Charlèy, de SOittter, -Trémolo. KifrKif bourricot, revue de Doriu et Meiuy, avec Dallo; les chansonniers, et les auteurs. jt Ad Théâtre de Dix-Heures; 30, boule'̃ vard de Cllchy (Tél. Marc 07-48), dir.. Rogar ̃ Ferrdol. Les chansonniers Martini, Noël-Noël, V. Valtier, J. Maugier, P. Moye et Paul Colline. Ah lia febrine '/lettre /,rcy«e de P..Cplline M Oeyrœon.

^t Au TâiAxoN-LYniQÛE, à 8 heures 30, Les .Mousquetaires r(tucoiweiit (Mlles Brévil, Froger, Stress, Feiny MM. Jouyin, Péraltlij Cardon, •Sainprèy). :S: t£ Atelier, à S heures 45, Les' Oiseaux Théâtre Albert-l» s 8 8 h. 30, spectacle en langue anglaise; Comédie des Champs-lïlyséçs. à 9 h., Liopolil le Bien-Aimé Comédiens ile la Croix-Xlvert, à 8 h. 30, Œdipe et fc Snldm-; Béiazf.t,à.-8 h, 30, Le Fils improvisé; Eldorttflo, Vl S! h. 30, Le'. Pompier du

.̃I ̃̃̃ "'VWfiy

-Moulin-Rouge; Madejeine, à S Ji. -45, LiBanir

me à VHispano; Porte-Sftirit-Martflï, à 8' H. 30, Le Carnaval de VAmoiir,îiaa,\fi Ajnbigu. o'8-li. 30, Le Pire Lampion; Œuvre, à S h,- 45, Le Cocu magnifique; Renaissance, à 8 h. 45, L'Arpite; Scala, a 8, b, 45, En bordée; Studio dçs"Champs-lîlysées,'à 8:W, ie Dibbonit; Vieux-Colombier; a «^heures,

MiSue^Mnnara. -f~ ''̃

.~o~

NOTES ETJNFÔMÂTOS

Opéra.- Lundi, l'Opéra* donnera- le Crépuscule des Dieux. avêc-M.'ïratjz, MHo Marcelle Bunlet, M. Martel TWumet1, Mmes Campredon. Lapevrette, MM. Carbellv. Duclos dans les principaux rôles, sous la direction de M. Pli. -Gaubert. Ce 'sqif Siegfried.. 't ^s Comédie-Française. IMÈçe .Cécile Jjp.- rel.- acclamée da.\is- Sa-fiho àVec^ùn «nthbu.siasme unaminje, anrèaayoir Réalisé, d^ns 1p Pfrsonnase dé, Fanny Lesr[i.nd,: la pjus ($moJu vante, et la' pjœiuttffiiné des ftmmeè, 0fK*a" A&tfèwi LwerwÇi ;djinawhe .'ènf!n%-

~Ûj¡P°f,1il1¥;\Il}Hfvçr~ir~pe) V ~çt~r, I~uRa,

.~aSITD iI7Cr ~7~biTâ~'f'~ y,y~~S.'sr~' ~y~~ïaifi.

B'iib ipp .Li-gBjacfîA ^îr<c'W ^&*&

ha "L~4ûléc~iC a~chbtijMnam~o~ l¡;¡:,#f

api.vaf^âîre la hafsSancê W Victor 'HûÊGvin-'m'àtinée,- ̃'̃SfWdti Btlçrmv ùt^A-imè^illçp.i en soirée, LesjBurgrasies.J'iç..sççcjtacle se terminera par Le Couronnement. Lundi S7i" Rut Bios dans la nouvelle -pré- sentation. --̃ '̃• ̃ .•<"̃̃».̃ •' Opéra-Comique. •Dettia'ift en natinë*, M. Roger Bourdin ,(Pelléas),-MUe Çcviflb (Mëlîsande), seront', avec Mmes Càlvet, Gauley, MM, Guénot. Félix Vieuillc -«t Dilpré, les principaux interprètçs-du -chei-d'^u.vre de Claude Debussy. ;i M. Albert Wolff dirigera l'ofthesltë. '"̃

En soirée, les trois rôles "d'Anfeiftà, d'Olympia et de Giuletta, .dans Lus Ceinte s '̃d'Hoffmann, seront chantés par Mlles" Gondv, Marcelle Stach et Andrée Cortot; Kfe rôle d'Hoffmann sera chaulé- par. Jç.,ténpr Micheletti. Avec ces quatre artistes, la" distributioncomprendra Mlle Estèves MMiDiipré, Rous?el, Mesmaecker.et AzéniSi. ̃̃ v,A-r^r ]. Samedi,. ̃?. mars, :WcriJiet,:iX:Psiusifi:nai>ielot dimanche 4,. en matinée, $fanon,t\\ soirée, 'Ansielo, tyran de •̃' Padoitë* ̃•̃<•'

̃– B.q-1- "1.Vrv.. :r:V

Variétés. Demain. ;pr«mière-, matinée du triomphal succès Yès l'bpcrettc de MM. Pierre Soulaine et;René. PuioL.DJ.Usique de M^ Maurice Yyain.,

Théâtre .de Paris.. -.Mœrijus, ,.v)èce en ttnatre actes de M. Marcel Pâeinol,' Vient ifêmstliçac^ar' M. Léon- Volterra; vpout.'Être >5Léfoï'li c^§i'fe^aJ^|^2g qfff.^9c- "Am h. fil Timimtàts ,<fe >MM..Eéli.>iGaôdém::i.et

~y~15ex~ trTOnt~ç "~etté,,aa!~pt~, l i\)a

'ëbtftétbe-C':J.iJmârtur.' ..c,

.̃;?. 'w rrr" :-̃'̃. n- f>im?t Çrand-G.uign.oi; Au|p,ind'}ivi et: demain, erï' matinée "et en soirée" L'B^pinifie qui. -a tué/la Mort. Eclatant snccè's. Capucines. Mlle Jàhine Mérréy fcrfcra, aux côtés dc.Mlte,;Maud Loty,nii:;dc3 jôles principaux .de- Mjmd- ,et_j.Qii.. bçinmtKr,, la pièce de MM. Robert Dieudonncict'Hcn.ri Géroule, ̃:̃̃̃̃; -i?., a'.îï à.j.V-

̃̃ ,̃£..̃̃ •<, «au ,a?r.

C'est au début^de la saison. ï>rôoliftièe;qùb sera créée l'opérette de MM. Jacques Bousquet et" Albert VVillèmetz, musique- dev -Si, Chantrier. ̃ j_ ̃ ,cf suk-'j M: Raymond Poîhcaré. "président -Su Cokseil. et Mme Ray-mond-Poincaré, la^sistaient hier soir à la répétition Kenéraïe des Fruits de' l'Amour, la ̃'• belle pièce '̃̃ de Mi.: iûcien Descayes, qui a obtenu, un sucoèf -.trieniphal au théâtre des Arts. 'A' Chez MS CoirÉDiEN-s de i.a Croïx-Nivert-. La semaine prochaine. lés Côméâiens de la Croix-Nivert- donneront une 0iète riôhi velle de M-. LuieL Pirandello, qui ai opu^ titre Comme avant. Mieux qu'avant, avec Mme .Paulette Paxr ̃̃> "̃̃ 'Théâtre de Dix -Heures '(t)ir.ïto^er 'Férrëol). Ce:soir!et dernairiv eiï^feiatinée à ̃?. h. -\p, "et/en soirée, trois dérnières:K-

présentatïpns. Lundi, première; à bureaux

WûVertir dë'ndtfréatf et >éeiiaàtionnel spectà-

t1ÛV~ dú' no~tl' et ~nsationnet"5peèta-

~lfdè'1J.w,q¡Íig~~ ~P\¡t~s;~Ji ):Maf-

ca,dèt .07-48. t

~i& 1 v n -I~àtAï~ri-i^r~ ~'1:

̃ D.ë/Lyon. -Mr«L.q7i,Ba1rKy interçtétieyà. dimanche et lundi^ Le Marquis dc'Priplaj '•'̃' '*̃' ̃' ;Btkxittie Girard.

AV^NT LE THÉATRi -T r ALJLEZ DÎNER ALâPOULEAÛPOT >;·,

A t&POULE'ÂtlpOy

DuàîGWOS. P.: EàC&LïiS- ̃? .10, aye.nuq Trudaine

Ses spécialités et pUith rêgionimu: {rangaii Rendez-vous de la colonie sud-tra&'icalne j


Speelaeles et Concerta ^Aujourd'hui ».

Même spectacle qu'en soirée

Aux Folies-Bergère (2 heures 30), à l'Olympia (2. heures 30), au Mouliu-Rouge (2 h. 30), à l'Empire (2 h. 30), à l'Apollo-MusicJHatl (2 h. 30), au Théâtre des ChampsElysEcs (2 h. 40), au Cirque d'Hiver (2 h..10), au "Cirque Médrano (2 h. 30), n la salle Marivaux j(2 h. 30), à Madeleine-Cinéma (2 h. iiO>pail-Paramount (2 heures).

Ce soir i ̃

,5t. Aux Foi.iESTBBnGÈRB, ft S h. 30, La Grajide. Folle, nouvelle byper-revue en deux actes M* 40 tableaux de M. Louis Lèmar-

chand. .-•"• ̃ '•: ••̃•̃• ̃.

Jt Ad Cabinci de Pahis. a 8 h. S0, les Ailes de Paris I Maurice Chevalier, Thérèse Dornjv Bach, Danielle Brëgis, Miss Florence/ Pasquall,Juck Forestier», lesRocty Twins, les Mi .Lawrence, TilJers girls. et Horam et Myrlll). `,

mm THÉÂTRE DAUNGU MB Ge sôfr, à 9 heures, SOIRÉE de GALA I j âtJGUSTINE LERICHE 1

nBHHMMHnMIta t1 mWfÊÊHKÊKHÊBtUMÊÊIKIKKStM

I- Me renouardt | comédie en 3 actes de M. L. VERNEV1L

fl'aprps M. Frédéric LQNSDALE

ave. fernAND GRAVEY [cousin I

| ANDRÉE DAHElRfl| | SIMONE SANDRE {

JEAN-HUBERT |JftNMftFilî|

~f7XuLAM;~Ti

-&Mm

im M Og'a DO R ffii Demain uftufecli» et Jeudi I" Mars, Matinfai a 2 heures

tous des- sàirs à 8 h. "30

RoSé-Marie ̃ SUCCES TRIOMPHAL ̃

1~11~®1

THEATRE DES ARTS Directeur Rodolphe PARZENS Ce soir Samedi, à 9 heures Grande Première de Gaia

iFllfTIfll

Pièce en 3 actes, de L. Descaves Mise en scène de M. Arquillère

a..V6Cr'

MADELEINE CARLIER =A«PtLERE

Demain dinu.nche à 3 heures

Première matinée

~1~~ IK1 I~ l i~i'r9.n~

MATINEE"- >| I' V-M D I A ^OIREL

-0 L .Y.M., .p..1, A' ,OIREr..

A 2 &. "<J L 11i P I f~, A x h. 25

FRëtat FOURNIER > J. SEVRANE

f% AW&E-G >«-* OITJUIE JOSELITO 0

D,#1i e7n~Lâ~Rormanit9 RE110L·rd~0

U AJ!lfiM&«>: Loef HormanSS REVOLTOSO

tTm &fTtm<! ~BS MEWMNG

~1~1111~5' LES KIEWNING

A 1 1 nnbllli fta les beknaschi

Les DJARAH J. PALMER DE COSTA TAKAHASHI Les SAUATOS Les 8 IDA Miss KÏXTY L'EAU QUI DANSE l C H. L'heure enchantée iill FRANC fi U 30, Touto la MUSIQUE UN «Tenti-oe

~A~ARETS~

MMBBy TOUT-PARIS BBBSBBB ,n'a pas encore vu le

spectacle d'ouverture du

THEATRE DE MINUIT tjuais Tout-Paris sait déjà que le

THÉÂTRE DE MINUIT se trôïtyé près de la place de l'Opéra "30, rue du Quatre-Septcmbre

et que

CLAM TAMBOUR, R. ANCELÏN PMRE DUBOUT et CARETTE dans la revue

MISSIA, 1. ROGET et POL RAB dans leur numéro

remportent un succès fou

i CINÉMAS

11

PS.E)!<EE!E:<Et.'

tR '1.1"»,£

Aaj.zetdem.aiat: 2 h. m. S. 8 h. 30 f

liSSis le ss&tl

I~SES L ZE 25 f.

~p~ T~E

"ISIENTOI "1

L'HEURE |

SUPRÊME

avec jànet Gaynor y.,

CONCERTA PA^DËLOUPJ

»,(j ~A-~t-.tt~M.it 2~<M~ :lt

£t Au MouLiN-Rpucn, à 8 h. 30, Paris > aux- Etoile» (Jane Aubert, Doilie e< Billlè, Maurice), les 10 Albcrtina Kascb Girls,' Jolinny HudRins. Dandy, Marthe Berthy, Gayto, les J.-W. Jackson Girls, le Spark's ballet et Harry Pilcerï.

Jt.hv r-AUACRȈ 8. h. 30,. Palace aux Nue. (.lenny Golder. Boucot, Spadaro. Rose aray,

Damla).

jt A l'Empibe Musig-Hali Cirque. »Four la première foJs en France, les célèbres chanteurs noir- Laytou et Johnstone, les ballets russes Gamsakdurdia et Demldotr et 20 attractions.

Jt A 1,'Apou.o-Music-Hai.i,. L'orchestre argentin Bianco Bachicha, Mndia, le chien qui parle, Paqulta Pagan,15*ttr. Mat. jeudi, sam. et dim. Orch. 10 fr.; baie, 5 fr. prom., 5 'francs.

Au Théâtre obs' Champs-Elysées, a 8 h. 50, Le Siège de Troie. Attr,, Domingo et Raquel.

iH>'» u LiiNn Roussit (Trud. 61-B2r,'ft' 9 heures, les chansonniers V. Hyspa. LéonMichel» Secretan. -Wyr» Cor Spark, Jlonolly et Pierre Dàc. présenfés par D Boiinaud. La revue Suivez la Fouillé (Mlles Nane Carty, Galden. Vianellyl..

Jt A LA Boite A Fursv (13, houlev. de, Clichy, Trudaine C9-67), à 9 h. J5, les chansonniers Joûssain, flcfbërt, BÉrtrande,' l'astia, Dalil, Lucien .Bbyer eiaBûTsyi: •; $. 10 h. 40, Paramount' là-dessus 1 revue gaie,' Sim. Rouvlère, Le Vigan, Sldinac, Brochard, $ A L'Œil, niî,.PAnrs, à S..p.i Glos.ons! rc-vue en un acte, de MM-" Jean Rieux et

tîèrirl Bumôiit (Mlle Yv» Lotlis; MM. Carol,

AL Pojjgi et'P. "ASséliri), les chansonniers Jean Baatla, Pierre Dacj Goupil «t Marc-

Hely..

& Au Studio 28, 10, rue Tboïozê, direction Jean Maûdalre, Autour de Napoléon, Danse et Marine triptyque par Abel Gunce 3 dans un' sous-sol, film russe d'A. Room.

Fotiss-BBncÈRE. Aujourd'hui, matinée à 2 h. 30, soirée à 8 h. 30. La Grande Folle, fer nouvelle hyper- revue de M: Louis Lemarchand, ses Quarante tableau:, le trust des merveilles. >,

MouiiN-RouûE ,3ktisid-HÂi,i,. C'est dans le courant du mois d'avrit que<Mis{inguett fera sa rentrée au -Moulin-RouRe, et ce sera une rentrée sensationnelle si i'on en juge par les préparatifs de la" nouvéfte revue où elle paraîtra. Cette revue s'appellera Paris Qui tourne, elle est de Jacques-Charies et .Eari Leslie c'est Gesmar qui en a dessiné les costumes.

La prochaine soirfe orgânieée par «; La Chanson de Paris »« aura lieu le jeudi or mars, à 8 h. ,-îo, au Palais des Fêtes, iqq, rue e ,,âint-Martin. Elle sera consacrée aux œu,vres du célèbre coète franc-comtois Charles GrandmouRin. doyen de l'Association.

tOURÉÉR MUSICAL

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Aujourid'huî t 9f

tf$ ~j i ̃" ̃̃̃̃̃̃"• '̃̃'̃̃'•

**®t[ Ans CoffcERTS CotoNKE, au :€hâte-

letfjà s [heures, dix-huitième concert, sous la direction dé; M. Gabriel. Pierrié,- concours de Mme Lina'FattiJ, Carnaval Romain, ouverture (Berlioz) a) Couronnement de Poppée h) Orféofi: Elle est morte, o ma, ivre (Monteverde), Mme Lirià Falk Ouatrième Symphonie en mineur (Sçhu- mann) a) Chant Hébraïgué; première au-, dition (Algazi) b) La vie antérieure (Duparc) c) L'invitation au vovage (Duparc), Mme L. Falk Les heures dolentes (G. Dupont) Aux Concerts L'amoureux' (salle Ga-' veau), à 4 heures 4s, vingtième concert. La Fiancée vendue, ouverture (Smetana) Fragments des Maîtres Chanteurs (Wagner 1813-1883) Prélude, Danse des Apprentis. Marche des Corporations: Prélude à l après-midi d'un faune (Debus- sv 1862-1018) Symphonie Fantastique (Berlioz 1803-1860) I. Rêveries. Passion; IL Un bat III. Scène aux champs IV Marche au Sùpph'cé V. Songe d'une Nuit de Sabbat. "3> Le concert ,?em. djrijjé .par M-Paul- Parav. Aux CONCERTS Pasdeloup (Mocador). à s heures is, avec Mlle Madeleine Baillat, cantatrice, et M. Gabriel Bouillon, violoniste. Première Symphonie (Schumann) ̃; Pastorales pour chant (Carlos Pedrell), première audition Haensel und Gretel. prélude (Humpérdinck) Concerto eh si mineur. pour violon et orchèsi tre (Ambrozio) Impressions d'Italie (Na. poli). Charpentier. Chef d'orchestre M Albert Wolff, r ̃

A la salle Plevel, à h. ?Oiv dprni»r/i

'des. m~l!ét1$-'41:),¡t'5pt:lété ~o'.

sous la direction de M. Ph. Gaubert. Sym phonie Cn.. ut mineur (Beethoven) Sa-iammbô (FI. Schmitt) Miroir de Jésus (A. Caplet) Pftrouchka (Stràivinsky) Concerto (Liszt)' Mme Girod Mélodies (Haendel et Fauré), Mlle' Lamond. Billets il la salle.

Ce soîr ;»;- ̃

A la salle Pleyel. à S h. ts. Le Tsar Saltan. solistes, choeur russe, orchestre Colonne sous la direction de G. Pomerantzeff. Billets chez Pleyel. Durand, Deteranse et au contrôle, à partir de 7 h. 30.

A ,1a salle Gaveau (Société îro Atte de Pans). Sonates de Beethoven. par Capet et Lovonnet. Billets à la salle.

A la salle Chopin, à p heures. Premier récital, à Paris, de la'cantatrice Denise Descher.

Concerts Poulet. Grande salle Plevel. demain dimanche, à .̃; heures. Festival Berlioz, Debussy. Programme 'Symphonie Fantastique (Berlioz) Mer (Debussy). Intermède Concerto pour violon et orchestre. première audition (Darius Milhaud) Mme Suter Sapin. Chef d'orchestre "M Gaston Poulet. Places de 1 fr. go à 23 fr Location à la salle, thez Durand, etc. Lundi 27 février, à o heures du soir, salle des Agriculteurs. concert donné,par Yo-.lande Komhold. avec le concours de Jeanne Marie Gonty. dé'l'Opéra. et d'Albert ̃.Roussel.

.BiHett 3-â*)isalle4RthÈB-'©uram**«:'che^

Dandelot.. ̃̃̃ ̃<• -.•; -«îi-i'r; ̃.̃̃ ̃ihvt ,1

Société Puu.n,\mioaiQvx.. -i~. Ninon tVsft-

lin chantera, mardi soir 28 février, salle Pleyel. L'Amour d'une femme, de Schumann. et des œuvres de'Badn Mozart, "Vivaldi. Fauré, Carlos Pedrell, Grana-Jos, etc. Vlado Perlemuter interprétera la- Sonate en si bémol majeur de Chopin, et Fantaisie et Furik, de Bach. 1 J_ •;

Yvonne Giraud donnera un concert à la maison Pleyel, salle Chopin, mardi soir-2Sfévrier. avec le- concours Jean Wieïter. Billets à la salle, chez Durand et Dandelot.

-~a o.

Salle Erard. mercredi zo février, à g heures. Mme Croiza, dernier concert de la:ïaison. '̃- t -•- ̃̃' Le pianiste Beveridge Webster donnera deux récitals! salle Erard, les ieudis soirs 1" et 8 mars: Bii'ets à la salle, chez Durand, Kiesken et Delaet. ̃•̃̃

–5 «ii» ̃•

La harpis.te Lucienne -Prud'homme don- nera un concert, salle Erard, vendredi soir 2 mars, avec le concours de Mme BureauBerthelot. Mlle" Maïna RobuJ- et M. Marcel Movse. Billets -et programme détaillé" à la salle, chez Durand,_ Kiesgen et Delaèt.

~p~aA.

Le violoncelliste Maurice Eisenbere. qui vient de remporter d'énormes succès à Vienne. à Bèrlin»ret en Tchécoslovaquie, se fera entendre. salle Chopin (maison Pleyel). 8. rue Daru, lundi soir s mars. Au programme: Sonates de Sammartini et Beethoven, op. 60. Std(e eti'i'ut majeur, de Bach œuvres = de Ravel, Ijindemith, etc. Billets Jde 10 à ̃?o francs, à la salle. chez Durand, Kiessen

et -Djelaet. ':̃ ̃'̃:>̃

LES'GHAiiDS Concerts pe.Gala pe". MonTE-Carso. C'est un- des grands chefs, d'orchestre français Albert .Wôlff.ttùi' a été invité à diriger le prochain des concerts do.gala de Monte-Carlo. réseryés aux grandes baguettes' internationales. Albert Wolff. dont on connaît la grande maîtrise. dirigera un programme exclusivement ^consacré aux œu vos -de- Wagner, par- mi lesquelles. Le vàiseau fantôme, Loh'entrin.. Tannkauser. Tristan «fc YseHlt, Parsjtal et Le Crépuscule des Ùïèux.

La partie Vocale de ce festival Wagner a Sté confiée à l'éminente cantatrice Suzanne Balgueriei 4 de Crëmona

CINEMAS

Ursumnes. La Tragédie de la Rue,

URSUL1N¡¡$. ~a 2'raxédie de la Rue, ivec Asta Nielsen.,Demain..dinianch2 matlr- »% à 3 heures. L'otàtîow^ DaMtoh '81-69."

L. de Crémone.

̃IA VIE SBOBiWE G

SPORT HIPPIQUE

COURSES A ENGHIEN Aujourd'hui, à 2 heures, cotises à Enghien' Gagnants du Figaro:

Prix, du Ponthleu. Aniile, Balkan. Prix du Boulonnais. Faskal, Sàblnctte.' ̃ Course de Haie* de 4 ans, ̃ *rt-, Néarque» Dictateur VIII.

Prix ÊErtte>t d'Evry.' Brigûeil, P0T0. ̃̃̃Prix fShçrtftgn. BlaireaUiîiWinneï. ̃ Prix Intermède. Bas da..Laine H; Brièrc.

Prix Louis Baume, "•–̃ Salôt-Andrti Usu-. .fruit.• f -v

le r~r4a~.

Courses à Vincennes Prtk "fle Ilonnne (au trot monte, 8.000

francs, 2.250 mètres). 1;' Ciràf,' M. A.

Cavey (L. Eottier) 2. Colibri, à Mme Courtade (L. Boiideaû) 3. Chariot, à; M, F. Pigeonnier (Fuiriat) 3.. Camélia XVII) £ M. D. Surcouf (Jj. Dufour): ̃• Non placds Courtrai, Corhielles le Royal; Colombe, Chouchou, Cyrus II, C(gale II, Cathellneau, iClovis, Cent Ecus, Cassandre. Pari mutuel à 10 francs. Gagnurtt 27 50. Placés Cirai, 14 50 Colibri, 35Î1V 1 Chdrlot, 12 fr. Camélia XVII, 15 fr. Prix de Vlllef rnnehe (au trot attelé, S.OQO francs, 2,500 mètres). 1. Bas de Soie, à M. J. Borrher (Dessauze) 2. Bathuel, à M. A. Butti (Buttl)' 3. Bea'u Prtacc" ̃ IIj S M. Lccomte (Lepelletier)i ̃ Non placés Beauharnàis,' Bellegarde II, Béh'sane, Briséïs, Blamont, Balaklava, Boulangère, Batouala,. Brichambeau, Belle Etoile Il (2» distancée); Batailleur II (r. au pot.) Pari mutuel à 10 francs. Gagnant, 28 francs. Placés Bas "de Soie-, 17 fr. B<ithuel, 27 fr. Beau Prince II, 32 50. ̃̃̃> Prix de Ciistclnnndnry (au trot monté, 8.000 francs, 2.250 mètres). 1. Brochet, à M. R.-J. Fourny,(Chré«en) 2. Anarchiste, à M. F. Uuvlllier (A. Forcinal) 3. Bibelà^, à M. D.Jeanne (A. Choisselet)..

Non placés Barbe Bleue, Bëllonè IV,

Non places Barbe Blèue, Ëëiibnë IV,

Barcarolle, Iiulkys, Ali, Bolide X, Reine des Prés, Bonno (arrêté), Ambitieux II (arr.), Bologne (aiT.), Bidassoa (arr.).

Pari mutuel à 10 francs. Gagnant -f! 31 50. Placés Brochet, 15 50 s Anarchiste, 35 fr. Bibelot, .'10 50. Prix de .\iinaiit-le-Pin (au trot a,ttelp, 10.000 francs, 2.250 mètres). 1. AnlèÉvi il M. P. Godet (P. Gitton) 2. Auborive IÏI, à '-M. TftiérH' de Cabanes (R.-C. Simonard) U. Antiitea VIII, au. haras de Coudray (P.

yiel). ̃

Nojj plficés Vent uu Havre, Acrobate IV,

llaiotal~, Arthut,'faav)Ilo; Attenlion li,:Ve:

^Vision Ù; Arthur, Vauvillo, Attentioai II, Ve-

nette II, Aurore VJ, A'gBClffj Wtsplaibwft-Squeur Mai'lus, Amer PJcqru. yézuronce.. Au- igny, Wihdsor.' •' i Pari mutuel à iO francs.1 Wtt&iliitJÏ'i2 59 francs.* Placés .Vi Anlez.y,ltf 'fin ?, >*ulMrlV ve III, tl fr. Antim-a.VIW» 14 50, y,. ;.M; Prix de la Itoche-xur-Yon (an-,trpt attelé, 20.000 francs, 2.500 mètres). l.Cornëlia, il|. L. Dumontier (M. Dumontier) 2. CasqUQ d'Or, à lu baronne J. Issaverdens (Capdvilhi) 3. Capucine IV, à M. L. Jarlel (P. Viel).

Non placés Cette, Ciboulette III, jÇaïd, Chnpotln, Capadyp'He, Clair de Lune Vj'Clfde Caracas. •••̃ .• .̃̃>.•̃ .,è Pari mutuel à 10 francs. Gag«ant.-flE 33 francs. Placés Cornfilin, 14 50 Casque. d'qr, 10 50 Capucine IV, 21 fr.

Prix; île Limoges, (au trot monté, iC.OO'O 0 francs, 2.800 met.). 1. Belle Enfant' C, V M. H. Céran-MalllarU (R^C. Simonard)-! 2.As des -As, à M. J. :LaKbé (A. CholsseleJ) 3. Vertueux, à M. E. Marmousez (V. De?, vreese)., Non placés Uléa, Une Javanaise. Tamise, Antipile, Ariette B, Vieux Chéri, Baga-. telle IIÏ. 14)

Pari mutuel à "V> f varies:" >– Gagnant

60 francs. Placés r Belle Enfant C. 26.fr. As ,dts JU ç, 10 50 VertueuXj'lG 50.

Prix? d'Angle» Oaù; trot :'attëlé, 20.080:

francs, .2.500 m.).tT,l,V.aVKa XU à M..J: Rrayoull (LepelloHer) 2. Tfenneval, à M. G. Beàiivois (1^ Forcinal) 3. 'ifilly, à M. G. Derossy (Guéroult). 1y

Non -placés Templier. Alberose, Unann," Saint André, Argers, Roitelet, Turlurette. Pari mutuel à 10 francR. .Gagnant -s. 52 50. Placés Volga II, 17 50 Tlenneral, 2U 50 Tllly, 20 fr. ̃ .̃;•

'•'•' ̃; Paris-Cannes ̃ -•̃

Le (âïd hippique féminin "Pitris'-Can-

nes. ozonisé parî«'fe't»»}c<i-t(«^lsrti> VHts*

ï&RÊËmdc notre .s-po)<Ul'<W>tWii>M-l.'niiM!ifHW "M'aJBWU, a commencé jeuili riâUffi,^ îî î i i Cinq amazones ont pris le départ, ce sont Mlles "Gaïatry, Hasliel Grossi, Ço» dy, Eddy Wedd, Mme Mary Féraud. Mlle iÈifely. ;Wedd, qui était partie grippée, a '<&' abandonner .terrassé* pap^ Ja fièvre. r ̃ ̃ Parties à. htlit heures du matin de la porte de Choîsy, les trois premières concurrentes, Mlles Gaïatry, Grossi et Cody, sont arrivées nux Chartrettes à 15 heures 55. Mme- Mary Féraud et Mlle E. Wedd quelques instants après,

r.

AUTOMOBILE

LE RECORD DU MONDE DE VITESSE ai Gampbell le trophée

''Où nVtttïàô de .Daytqna Beach (Floride), qu'un troisième accident d'automobile s'est produit. Le coureur • Wilbur Sliaw faisait un essai, lorsque sa voiture prit -feu; le conducteur réussit à la diriger. dans la mer. Wilbur Shaw n'a pas été blessé, mais l'automohlle est endommagée Frank Lockhart, qui a été blessé hier; n déclaré que l'accident n'a pas été cSusé par un mauvais fonctionnement <lé sa voiture. Lockhart, aveuglé par la' pluie, a dévié de la piste dans le sable mou, puis, voulant revenir trop brusquement dans là bonne voie, il à été lancé dans la mer..

Au sujet de l'accident de LoÈkhart, il -résulte des nouvelles parvenues de Di\y ton, qu'il, roulait à 362 Tdlomètres ii Ilieiife-lofs'cjiie sa voiture;. iis fettfnrritij: pirouetta jinq fois suf .xeJU^inè-çfter.el;, 4b dérapage aidant, vint finalement s'arfêter au bord de la. mer.

:Lockhart a Idê'cl ai qu'il avait e'u

l'impression que" ses freins s'étaieiit bloqués subitement et qu'aussitôt ce fut ,1a culbute. Il pense que c'est son différentiel qui s'est trouvé bloqué, immo- bilisant les roues arrière, ce qui rompit l'équilibre de la voiture.

Le délai officiel fixé pour les épreuves;- ` de vitesse étant expiré et les deux concurrents américains éliminés, Locldlart, par son accident, et Keech, par les transformations qu'il a dû apporter à sa tria-' cliine, Malcolm Campbefl devient done'le détenteur officiel du record de vitesse, avec 333 kil. 982.

Le coureur Gil Anderson a établi, égnrlement hier, un nouveau record mondial, pour automobiles de série, en réalisant" une vitesse moyenne de 106 milles 52.463

à l'heure.

On prête fw major Campbell; ainsi v qu'à Lockhart, l'intention de venir cou- rir au Mans, le mois de juin prochain, le Gra,»d Prix des 24 heures.

Sur les quinze concurrents partis de Paris, treize avaient atteint et quitté Bourges pour Limoges. r

Certains ont été pénalisés pour retard de mise en marche dans l'épreuve de démarrage £ froid.. i Un des concurrents, M. Jagot, .tombé subitement malade, a s alitçi; à Limoges. ;•* Douze voitures sont arrivées jeudi soir à Pêrigueux. ̃ ̃ ?" Hier, elles eiit accompli- l'éiapo- Limoges-Bayonne #ar Bordeaux. Aujourd'hui, samedi, arriva à Pau.

.< .1. «'

LE RAID DEjL'AUSTRALIBX JHNKLER

̃ •' tfiS bon exemple j: L'aviateur .australien Ilinklcr, qui vient de terminer brillamment, dans un r temps record, le raid Angleterre-Australie à bord d'utte iivioitncttc de 30 CV, a repris' sa raniâonnée hier. Avec l'intention de voir sa mère à Bundaberg, il a quitté hier matin Port-Darwin. Il ira en- suite à Camberrà il remettra siu premier ministre une lettre du haut com- missaire d'Ajiatralie à Londres et finale- 1 ment il se rendra â -Melbourne. I A la suite du magnifique exploit fltie. i: vient d'aepomplir tlinkler, le premier wU ̃flrstrè 'australien annonce que le gouver-'

-m» ^b^^ <taM^>v^ m M tÉL^tt » A m M » c

Paris-Pau

AVIATION

¡

nement fédéral .demajidLejça à:; l'aviateur Hinkler d accepter une'jJOmn^e de deux mille livres en réCbmpenge de sa randonpée; soit. 250.00.0 francs.' ̃ C'est un excellent ^exemple que les pouvoirs dirigeants de l'iaéronautigae eu France pourront'; imiter, i ̃.<.̃• ̃[' Un journal de,5ydney égalempat ouvert une souscription. >, Contre le Record 4e vitepse ̃̃“<; c

Une tentative officielle de battre J Je]

record de vitesse pour avion, léqueJ^xisÉ àçtûeliement de 479 kilni. 2j)0 à i'hquvc, 'ain?a;lïéu- le-6 inàWproeliaïn à Soutl'iji;iipr, ton, surîwie distàricè de kiloroètrqsj Jlevnnt les représentants Se la f éd^ratl(5^ aéronautique internationale. ;l' Levpilote" sera probablement le lienté*nant»'Rinkéad tt'-îéèn! <ippa.reij-/£era du même -lype; .que Phydroplane ;du lieute-.

nant .Webst.ox<;qtjiiois'BdJHfiea ,n .Cpupp

Schneider, à Vinis^- îfetW 'dfefnieV;

"nan., t Planeurset avions léger» UP,

L'Association f*fapç£ istsi aérienne orga» nisera cette année," ave», la, concoiirsiJdB' la dirétîtion'- 'ééïiérale ri;asron.auj,ique, lieux gràn<Iëfcr ^épiSeùves. inte^pationales, l'une réëdrvéie auxi p^niféurs,1 l'autre à l'aviation légère.; ̃ ï Le concoure, dé, placeurs- sera'tiotu de 100.000 franps de pripies' 5 -le (Sàricours d'aviplis légers de iSOflOQ francs Ue'prix. Lès1 règlements sont à -l'étude; an collabôratioR avec le service technique et ̃industriel de l'aéronautique.

:• Le Suisse W>rth;. rendre en Suisse .̃:̃̃ •̃ parla voie Idjesairs, j.< ̃I^aviateur suisse ;\V3rth,- qui avait jacfeompli dernièrement le .voyage SuisseCasablanca en avloniiétte, est reparti hier matin à.9 h. 40 .dej Càsabïanca, & destination, dgicSévine^ i

̃f.r.jit/èiy'•̃)t Des matcKes internationaux à Paris v., Lp'imatch FrancerAngletèrre, qui aura J^u aujourd'hui à T,wjckenham, a inter-: ( ..rompu les matehes de championnat; La, 'plupai't des équipes' eh profiteront pour pin;faire leur entràîri'emént et dans^â région parisienne, troisfintéressantes rencontres seront disputées'. L'une au Pàïc des Princesiv.pppostJ'a le Stade Français- à l'équipe des Harleàuins, de Londres, équipe avec laquelle Vfert'en -actueljement en Angleterre,, a-.tlispptc.jquelqàjes motches cette saî^pn.t, 'é^iïipe'des ^visiteurs

est piU-ticulièrernenf ifqrtèV Efle'cqmurehd.

'h llitêteiUtibimux ahààis Wnyèt'ieîàv'

iHannilton*Witkcsii«Ijéiijd, Hubbard et Da-

mvoUîbA Bonnus-à.J(a 'i«j>ot(>on «o&oiap». jp^ojeraitHr/»1. e?Jpl«i}» tonsI-Mesi^natcbes internationaux. ^En qu rtjj/.Çliiçk eit'rremplaçant de réqUip'j>id'|Vi)iteterrg, et Rlce

Evans a joué duM Y équyje de Ttirmée..

Au JOIH!tj¡!!ï:eqU1Jl.e de Pllrn1ée.,

Au Stade Përshiiife, Ja'S. Primevères

se mesurera ÙVec -lé 8tàà"e ClermontoîS; A Colombes, enfin, jle Hncing Club de France essaiera une nouvelle formation devant unes sélection' de l'armée frai}-, çaise. Ces deux derniè-rçs: équipes seront-. les suivantes ̃•' Armée. Ar'rïêf rT Pîtluemal trois-"quarts B'atut, Ci^arjiéu, Artigue PonlV/fanne demis "i Léonetti (m.), Pasco%; (0:)' ;-avaiîts Bijîçtt Moureu, Deiiaula, Ambert; Brauct, Mire /0), Fabre (2iï: ̃Sagardoy. ̃̃̃:̃ .̃-̃̃ .•>•; R. F. ArWérc Chardonnet trois-quarts. Laurent," Flûguél, Laeavc,

Parade demis .Villilnùèva (o.), Gàrdè-

re (ni.) ..ayants. Iérot^Gônnet, Lpury, Lauk.-i, Duran, Blefc Darbt, François.. Après son très :i?M échec de dimanche dernier, le Haciiig Club do France, cher;che" ,u.ne nouvelle :t«rnvition susceptible rip;Jlui donner, salisjfactibii, et surtout de lui "assurer une placé honorable, c'est tout ce qu'il peut et-péj-ér, dans le Ch'apipionnat de Paris qù, jen.cas de nouVe)lès- défaites, il rfsqud de: prendre ari»ng en ^division d'honiiétiir. •• x,

.^sRANCE GONÏBe! ANGLETERRE Aajomrd'hui 25 février à Twickei|ham LiScAtatch Praticé-kîiàleterre. sera dis- :puté aujourd'hui •̃ïîinfcdï, '25 février4 i 3'm<(ksuliaffl. L'équipe Fraiice; qtii. di>-

fendra .:n,ostcj3iil.eursa c* -'dmit'h^ni^Btt^

4p,nnp,;J^,epnJî»ositi«fa hier; a quitté «Pa^1 çisjûpï à, Jflpheuresipar la gare du Nord. Vingtf^egt oaueun.iisè'so'ht éttbarqués

13 titulaire, 6 remplaçants, 4 sélection-

neui;sret 4 dirigeants. |D'autre part, Jau-: réçiu? (i.fait. le-vpj'Agc1 Paris-Lon%es en aviort' et Péîissier ;.4s|i dans la capitale anglaisé depuis lundi.' Nous avons émis des craintes sUÎ* la ,vttl«mr: de l'équipe d(*. I-ranèo qui se Meiir*. tera^aujpurd'hiii àvl'uii- rie ses plusT-edoutables adver-s-a^resj victorieux eeïte sais/3n du Pays de Gal^cs-'ct de rirlantje.

Ces 1-ésultats sont,- suffisamment éîo-

Ces ")'ésl1itnts sont; suffisamment qéÍo-

<iueats." D'autre part^, dfti fait que les Auglais jouent sur Ieurnerraîii, et qu,e noirji équipe est loin (Vêtrei la meilleure que nous puissions aiigiiei-) on peut ;cpordér ft nos adversaires un assez net avin-* tage.. ̃^̃ \TENMS' ;v' LES CRITERIUMS Dfc FRANCE -->' septième .journée :>. On a, au Tennis! Clyb de Paris, fort ^avancé; hier les compétitions de l'Om, nium, mais on est- énfpre.; loin ..des: sei-: zième, de finale a1 partir- desquelles oif verra nu peu elair.,K0us. y reviendrons, lorsque l'Omnium sera à ce poiiif. Dans le Çritériuôi Simple, Papâdopoulos, le vaiiiqvièui:, dje 'Eug. Broquedis,

.1~ ~OBH~ e ,r u 1

JLjëlU mEMMg%]l!!l^ :n.c.I~~f~1 wla," £-i M. l\fJi\JJL9M.M-im.M^M\

Le Code îdCÀ^riëlaire

La loi du 14 mar» 1010- s'étant révélée1 â ̃l'usage insuffisamment nricise) le Parlement ,a voté, le 19 juillet, 1924 un texte nouveau yiont l'article -2 précise de façon très nette les. personnes auxquelles sont applicables tes disparitions qui régissent les lotissements. Le propriétaire d'un'^aste termin aux en* virons de-Paris avait déctdé sa mise en vente piir parcelles faute d'a,votf pu s'en dèbarrasser ehbloc.Aitcnn plan, laucnne annonce aie" fiQuraient, -nulle part sur le? lieux. Le garde champêtre avuitj.au cours dé ses pronienardes. aperçu le hiorceltetneni dans ta propriété faisant l'objet. Intrigué, il avait fait son rapport, à la mairie. On 'y avait constaté que le plan d'aménagement et les protêts connexes n'avaient point été déposés' -et 'qu'aucune autorisation?', de lotir n'avait été tfemandée. Procès-verbal fut" dressé et leproIJliétaire fut traduit devant Te' juge de' paix. H .soutenait qu'il ne s'agissait nullement' d'un lotissement jnais d'une vente de terrain par parcelles, ce qui n'a rien, de- commun et ne tombe- sous It coup- d'aucune sanction lé<j(dc. Au surplus, il rappelait que les conditions delà vente comprfnaiint nolatamelit l'obligation pour, le preneur -se conformer aux lois sur les lotissements: La Cour suprême, "saisie d'un •pourvoi en; cassations >a' reconnu \ï«! contravention', "et,' Sans sfattfër qur}:itti.uàlidWè, -a Sbtre séàs

douietise,, des. ,Qbliqa.J;faps\ dévelyéex sur .tes

épaules des actfuéreûfs, « considéré qu&,M> <

vente par parcelles devait être assimilée a uu lotissement.

Il convient d'ajouter, paitr ̃' donner « cet

firre't toute ,\a valeur, que Jq, mise, en uente

par parcelles pst assimilable à' un lotisse-

par par~elfes:,ps( cprarmt6a ie a un lotisse-

ment mais seulement lorsqu'elle a pour but la 'construction d'hahltntwas ou, du moin- trrsqu'elle en laisse In faculté aux hci/hpriur.i, 'comme l'indique In circulaire' interministérielle du 'J.\ novembre Yïli.

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,poursuit ses succès. n .-ji écraisê, hier, X, FrançpiSi VçicS tes résultats ̃• GMtcrium- simlïlé; Deuxième' tour 4suit©)- Papadopoulos b. Y. François, 6-1, 6-1 Meunier b. M. Marc, 7-5, 2-6, 8-6. Troisième tour P. Joba b» Feuillet, 6-0, 6-4 R. Perreaw b. J. Perreau, '2-6,

6-1, 6-3. •'•̃̃̃ ̃

Critérium double mixte. Deuxième tour (suite) Mlle Neufeld et Deniau b.>'Mihe Hugues' et Brunon; 6-2, 6-2. ̃:̃̃. Grlfeirinni simple de dames. Deuxiè-: fè tour Mme Meunier -b. Mile Cerf,

"Espérance simple. Deuxième tour (âûîté) i Gilles b. J. Perréux, 7^, 6-3 ̃̃ -GuStin b, Girar4 ft-4i 10-8. ;Kspcranee%, double, -Premier Hour .i"

]dg-)J|))oinbi et Slarcji b. Burthe et Bor-1

idkL,4, IS-i et Èscaride et Bouvelot b.

,r¡{ii~d;'f,'6- Escande et Bouvclot b.'

Selle et Petit, 6-2, 6-4.

'Deuxième tour Frànqou et Conte b. Huard et Huré, 6-4, 6-4' Dubreuil et. Çàlamy rb.. -Depierre: et Varin, 3-6, 6-3,

.o* ?<> 0.- :'>> ̃ 1

JEspéra^c^. simple A$ dames. Deuxiè- le

me tour. f milite); Mme' Graux b. Mme

n1e. tow:~d~\li~eL M]nc-G.ramC' 11:'M~è<

Brion, fi-i 6ri. Mjlè H. Beaujan b:

TMffl^,Le.gràs, 6-Pfi6-t'

̃ On comîn"ûera""& ,i°uer àujourd'ljui toute journée. "Etant donné la multiplicité des; engagements, le tournoi ne ,se terminera pas avant le dimanche 4. mars.– P. C.

;•.• A A la-P; F. L'T. ̃

^'L'assemblée générale de la Fédération française de lawn-tennis se tiendra aujourd'hui, samedi, à 14 h. 30, il l'U. SI ;F. SU,A., 3, rue Rossini. Dans la soirée,' à 21c,^ieuKes, le Conseil tiendra', séance. "Lea Français en. Australie

L'étiiiipe française de tennis a commencé hier à Melbourne une série, da matehes; qui durera deux jours, contre l'équipe, tin Victoria.

Dans ,1e premier match, Gh: Boussus a battu Moinhes par 6-4, 8-6.

Le tennis de table «

L'équipé du 1 P. P. C. de Paris (Mlle M: Beyt, Verger1, Mouchet, Debruols, Colliard) a remporté la Coupe interclubs par 11 points à. 8 'au P. P. C. Eblé ̃(Mlle Villier, Vologé, Leresche, Alain Bernard,. Marcu). Le Spqrting Club de, Paris, (Mlle Gallëy, Gùisiinianiir Berthet, Foucault, Gérantpn) ot le Tennis Club rie Paris (Mlle Dévé, Jourde; de Buzelet; Desjoyaux, Zafiropoulo) se classent ensuite à éga- lité avec 3 points chacun,

La coupe est définitivement ncquise au Piijg Ppjig Club de ?Paris,j qui l'a: gà- gnép .troi$ fois. Ce club |yfl *ejnçUr«,en

Co},nfié(t~qÓn .¡ÿn9:n9uv~1lè:'ço\tpeJ"

li.ii^itourriotJhtiBeaùlieuiL. Ti Ç,. s.erpour-i

"SSait scuis iift SBleliradiêhx.. Voici-, guelqiies-

résultats, intéressant de '-la! qiratrièmè

journée t ":•̃-

Championnnt simple, -n- Stefaiiî b. .T. de Martino, 6-2, ti-1 du Rlaix b. Ostberg, 6-3,8-3 Gallepe b. Worm, 7-5, 6-8, G-4 D. Toralva b. Kogmieri, 6-0, 7-5 Kleiiischroth b. Szwède, 6-4, 6r2 Avon b. Luppe, 7-5, 6-2 Renard b. Czwcrlynski,

8-4, 6-2.- v ̃̃̃̃:̃

̃; Championnat, '.double: ̃ Parisbt et G.

Pasiré b.. lord jloundway et Wèaïnolsen, :pr2," 6-.î Acsçhliman et Cable b. Giassèr et Ed. Blsric, 8-6, 5-7, 6-3 Rogers et du Plaix b. J. et D. Torralva, 7-5, 6-8,' ̃ g_4_ .'̃•'̃; ̃ > Championnat simple de dames. Miss E. Ryan î>. Mlle Albarràn, 6-4, 6-1, miss Harvey b; jnigs Smailes, 6-0, 6-0.

Société d'entraînement au fleuret Le" Cliallengo Kirschofer, épreuve de fleuret réservée aux maîtres d'ûrmes ci'r vils et militaires, sera disputé lundi prochain-; à' 9 heures tlu soir àui Cercle Ho- che. Une autre épreuve d'ouverture, ré-jsei-vée aux amateurs, se déroulera «u .cours de la soirée.

;I.È/Ctt\SI3ÇWlJfNAT;i>E- 9RAN<hDù>

r<° "ieV-nieilie^rs athlètes au|c -pttWB"" le 4'tnSrs (O

Le Championnat de France de crïiss'countfy, appelé coùranvtnent « le NaUonal ». sera disputé le 4 mars prochain sur l'hippodrome de iVincennes, choisi, cette année, de préférence, à celui,de Maisô'ns-Laffitte, par la Fédération française d'athlétisme, organisatrice -de l'épreuve. C^fte classique épreuve, organisée pour la première fois en 1889J ni;ettra cette année aux prises deux cent cinquante coureurs, qui ont été qualifié^ à la suite des championnats régionaux; Tous les meilleurs, .spécialistes du crPss-country figurent parmi les qualifiés. Beddari, l'actuel détenteur du titre est parmi les engagés, ainsi que Leclerc, Pelé, Grenier; Chapuis, Gallet, Morisset, ̃Lahitte, Dartigues, Boue, Denis, Jolly, îjorland, Gouard, Auvray, Desnoux dont la réputation n'est plus à faire. Ce championnat sera précédé de deux courses, l'une est ouverte aux licenciés •do la -Fédération française dWlilétisme, Vautre aux rion-Ucienciés.

-1- ,̃: SKt Au tremplin de saut de Chamonix La saison se continue à Chamonix. Des exhibitions de sauts en skis ont été faites jeudi au tremplin, olympique. Au

1, 6-2 Mlle Beaugé. b. Mlle L,. Beyt,

i;f>-2'. ̃•" Bey t,

te Tournoi dcBÉauljieu* -̃/

̃ ̃>JÉi.li,-i-lull- "ii 1- -̃̃̃

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cours du dernier saut, le moniteur norvégien Ernil 'Pétersein a réussi' à égaler le fameux'record"établï parTulliii Thams en 1924 et debout depuis ce temps la en franchissant 58 'jjj. §0, .§es trois sauts précédeuts avaient été de 48, 50 et 57 mètres. Le" sauteur chamôh'iard Klëber Balmat a réussi. ides. S^syëe 62, 48 et

47 mètres. Maffioli .aiaautô 1 43 mitres

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̃̃̃;̃– ;;£/# ̃•••̃

Le Pistolet

La dernière tréunion; du Pistolet, au stand Gastinne. Rcnetteji a été très suiVie LèS poules au, pistolet ont été ga-> gnéei par le marquis Le Ooffeslièr d'ArKence (2), le marquis de Castelbajac, MM. E. Sandoz e\ LeÇrane. Le marquis de Castelbajac a gagne les deux. poules'

a li pistolet.

•Au Tir alrV pitfcdns de Monte-Carlo Prix Rof)inson (handicap). 1. Comte d8 Gwtmedo (24 mêlTcsi, éômte Sieis- torpff (2't, m.),. 12 sur 12. .S. marquis ̃AnO'iori (24 ii),)4 iiaron FalkcnhaUben

(.'11 m.), H sur 12. f

Poule gaçhee par crfmte Sierslorplf, bliron Falkenhauson, StrAssburger. ,1 Frantz-Keichel.

«-*tt ,>-̃̃ i<»-"t'f -•̃ '̃̃'̃ ̃

̃ CHRONIJQÎJES DOCUMENTAIRES ;Le pain à F index Le pain, pour. 4e quart. d'heure, jn'a pas une bonne préss^Onenonne presse médicale, s'en«£fadt»C*fllQJll'eUFS, personne ne s'est- ençareJxB>HitJirrê'!à' en iWjédirc, sauf peut-être, jp^r.éf^wjlalje. Mon Dieu l'.ôtiij.lè pà'iii. Notre pain quotidien est, depuis quelque temps, l'un des buts préférés -des foudres des mor-i ticoles. Non pas seulement, ce qui se comprendrait, sans peine,- le p'a sujet a caution, fabriqué a la six-quatre-deux, avec des farines' avariées ou -des raclures .de, grenier., et pétri, parfois. avec les pieds, de -sueur 'dé gçijijire, mais le pain de consOmriiatioh*. courante, le pain « en^soi.» devsaitj filrtiiêJScommunié, en tant que pain, g,9M-jS^î,prqpres péchéBi auxquels les inid'écuénts' bizarres qui, trop souvent s'y ̃ Jfr»le,nt compteraient powr assez peui'î;fJii! i'' ̃ I Après.ic- vin, p'étai| bien son,, jpTir..

-^i^ ̃ "̃"̃̃̃̃ ̃-<

-.t-'ui-o nos oinreuf, nip .001 ]

'"Aï- rBfltWiî* r Hn*<l> \1«KS( tmlp tàitb îlot »|qa>-t

-dc^n°uA/*¥^Se«fei1ft*u4ft¥é'/?'Iop| fl^

Pain, tlejsuis, que nous., .avons appris.

^àsuàiyif e •• «sPf 4|s- ic )<ïïmm&,»&

en apprécier la "SaVeur;1 1' A l'Académie de médecine, à.la .Société der thérapeutique, ailleurs encore, dans le, privé. Comme ex càth'eâra..Diafoirus et Purgon ne nous l'ériVéierib'ïp'aii diréi'Dur ou tendre, sêc ou JrpBÛrf ts|ilTOC ou bis, le pain est toujours nocilL., f Il l'est surtout' tour le nourrisson, n'ayant encore iît-ïé^jm#eiis ni l'habitude de niastîqueri:jjs<di»gïut.it tel quel, introduisant ainsi. d^iiis son petit estomac un pâtoii encombrant,' 'dont Iji fermentattbni acide parâlyse-lbs Sucis' digestifs, ralentit la nutrition: et' déchaîne < des troubles gastrprintestinaux d'autant plus graves 3U>'ÎS. finiSsçîit ''par provoquer la ̃phosphatùrii' la décalcification de l'organisme, en fonualiçh, •; le sacliitismé

l'eczéma^ tout Iqj .^eiffb^me,nt;

.P?; hesE. pas ;ii(},ns dangefeux.

pour radufftf: È'ïif'mWttlHôu't. Grille ou

en croûte ce4kvpét«l8lteore:allèr; car la nécessité de, niâvlier. -et, de Je laisser en contact avec les 4ia?£a^es, de la salive, dont la fonction estr da dissoudre l'amidon, le rend plus assimilable. 'N'oublions pas toutefois que le pain, en .particulier' le" pain frais, renferihu. une très «raudtj quantité d'eau, Cette eau de constitu-,tion se surajoute aux' autres liquides absorbes avant j pendant <»u après, et dont la ration, ne. .sautai impunément dépasser un Certain maximum.. Sans cottipter qiie le pain donne- soif, et par conséquent «fait boire.

Wfttfittf prouve enfin qu'il ne recèle

pas de--1*H*H"BrWfes tnfectîeuîC^r 'eWitour

*i .tour Tftc^sufflsant1: péut*% pas fouj«urs_ à le Wériliser jusqu'au 'cœur. C'était jadis l»~hantise de ce prince de la science qui, chargé d'aller étudier sur place air Havre, si j'ai bonne mémoire une épidémie de choléra, se faisait envoyer, chaque jour. son pain de Paris par son boulanger habituel, .seul investi de sa confiance.

̃̃».̃̃: .;̃ .lJ.

«.

Nous- voilà bien lotis V °

La viande, chacun sait ïa,' engendre •t'ii^S' felftPtiWfegnstrite, l'obé;site, 1 artérjô-sclérosg e^|s autres « ma1ladies de crvittsfatfôii T9-* la grande névrose, pof esse WSdôclèW' Pàscault, n'a -odpp; bj. ajjj-insd p *a!in«D sjjnc.p sud pulation sinon Ja..CFiminalite. N'étant nutritifs qu'à dose massive, les légumes prédisposent à' la dilatation d'estomac et aux misères cpnsécritivès. Les huîtres donnent la fièvre typhoïde, le poissqn l'icthypse et {e.ver sf}ljtaire. Les œufs regorgent de toXaîfeiiipines. Le lait est une purée d'ihfeétiôrisî le fromage une pourriture nmbulîfnte,* L'eau elle-même: aqua simple&sëH dé véhicule aux pires contagions ^t^x pû;es pestilences.

N'en, jetez plus I V

Nous faudra-t-^î 90'nç loger à, la même enseigne que ce" pauvre Sancho Pança, menacé de mourir' 'de faim dans son Ile

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de Baratariâ, devant une table richement

servie 2 '̃•.

ll'ndus restait encore, comme fiche de consolation et de réconfort, le ^ain et' le vin. Mais le vin a déjà ètè> mis.; hors t la loi, avec tous tes breuvaçes< distilles ou fermentes, par les Américains, dont le rêve est de refaire, sur le plan. pm;itajn, une humanité nouvelle. Cela rçfa, pas servi, au surplus, à gràrid'choSe, puisque là prohibition de l'alcool a'plù- tôt intensifié l'alcoolisme, en -l'aggra-; vant..Va-t-on, quand, même, essaye;- dp » nous 'ôter' le pain de la bouche, soûs, 1»! fallacieux 'prétexte de nous en faire' »p3&r ser le goût dépravé ? .'̃< i 'f i; Si, pourtant, .c'est uni poison,- ainst que l'affirment ces messieurs de Ja Faculté ?. ̃̃ ̃̃̃̃̃ ̃•••) '.<;̃̃ Oi en a déjà dit autant de I?aloo6ï;; eji tout cas, jc'est un poison ^ent et Jbén;in« car depuis tant d'années, et même tant de siècles que le pain est notre aliment, national et représente quelque chose comme Jet tiers <ati p\us bas mot) dq

l'aJimentatiQn de la race., le>, Français,

si mal, gouyernés qu'il", aient pu être cl

qu'ils «soient encore, nMnt pas eessé, qilo

9utiI,sMlenf-cnèOrë, fÍ'df¡t~P:i.s eessë,'qne-

fo biiulie, de falro asbfa bonne figuC«ri'

duns le mondfi .< (j.

Et puis, il f judrajj sVmtendre sur le sens mot e poibotl ?-. Dans un livres extrêlnenienf cnrieUN,- /-es Poi&ons in&~ccrnmi! dont il -fut question naguère à cette place (voir Figaro du 28, février 1922), deux éminents hygiénistes,' MM.' Marchndier et Goujon, ont démontré que « tout est poison »i et qùfe «̃ rien n'est ̃•- poispn » pure question do çon|ingen^ •̃ ces.. .Toutes ces 'histoires <?ffusçjueht 'tttt peu ïe bon sens. On on vient mémo à se .• demander si cette croisade contre lej^aiij; ne serait pas toit bonnement une diver- sion destinée. à détourner les esprits dé'" l'ët'rahgc tolérance affectée *pàr les ga-r- '̃' diens officiels de la santé publiqfue.'ffi^ ? nom d'on ne sait quelles doctrines ou. d'on ne sait quels intérêts,, à l'endroit" des poisons des vrais poisons, ceux-Jà dont la présence a été dénoncée (voir FiWro du 27 décembre '1927) -dans certwnes farines plus que suspectes.

'Tout arrive!

Tout arrive! l. Êto<le b#let; I.

WCEMENTS El ¥lLLË6iATUR£& DES ABONNE DP «FjGARO»

–<j

Mme la princesse -(«iulia AW<jbrandinl,' a\i~

château de l'Etoile Mme Slàrccl Bàrbèt-j Mnsiin, à BeauVallon M. -f. -Bluyséh.iiti' Çambo-lcs-BolnS Mme Chavês de J<oraBÇ, à Zurich et Mme A Çrapet Bènty, k Bois-tiôldnibé»'; SI. leconiti- S. dfc Cas*

U>ll«!Jiirià-:}«9WWt;' .M"»? ^Glp4bot,fci€a^

diUaç.-surî-Gar.çnnç.a Mpi.crBapal GunsMAlts,

,~orlte-C HÔ"; ;:ff, 'l'If '~om¡Îia'dd'1tnt b

J5fàrlnière,î*ï$iiwvcilz.l Mi.le nuirqujs dtvUMgv

"C\l8cJ'l.au. cj1¡Uf"~ ..d,.6.$l~ ttH'S. Y.

ï.yonî*â Cartne?» "iflle îarr'oti U. PeHKdetfxfif

M.. ̃̃Ife.j'vioomte: de Tocqucville, ((Ustfha^ejm.flp, '̃' Towfueville M. le comte H. de Vibraye, au château de la Houssière. Jt

̃ 1, '< ',1g. >

ARRIVEES 4 PARI»

Mme la comtesse de Blaeas, M.. tiharleSi: ,d<n Cerjat, Mme L. Kostio de WârROtTSta, >' Mme la vicomtesse de MaupioW; Mtrfa Rheims, M. Hakowska..̃ ,t A CARELIGIEUSE DEUIL IMMEDIAT 82 Place do la Madeleine 2 Bue i^rQnQhot. PARIS

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'P,l i W

!\Ini)i-lfln.-C8n. Ben H.ùr ,(K,g.m. Wpyarro) ̃ l'nranioiinf, Duel (afe'pliristjanij, GAbrto»?. l'r.snlines. La Trâsédio de la Tliè. -•• Cahiéo, Son plus beau combat.' ̃ .-̃;̃̃

TH RP MÏNÏ11T :Ses -ye-Jettea,;

IIÏ. 1ÏE fTHnUll,sa.révu« inédite. •.

e~·-r,

RENSEIGNEMENTS METEORQLOGIQ.UES

concernant

Iss Stations françaises de Sports d'hiter `

(transmis. tsar Tourîna Club' do France)

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Chronique de T. S. F.

Radio-Paris (1.750 mètres). 12 h. 30 Concert 1. Ballet du Roi de Lahore (Massenet-Mouton) 2. Gavotte des Moutons (Martini) 3. Chanson de Printemps (Mendelssohn') 4. Ave Verum (Mozart-l-anchoy) 5. Prélude du Passant (Paiadllhe-Mouton) 0. La Veillée de l'ange gardien (Gabriel Fauré) 7-. Joli Gilles (Poise) 8. Clocher du Soir (Ropartz-Chapeljer) 9. Caprice Valse (Samuel-Rousseau) 10. Plaintes (TurinaChapeliér) 11. Ferlane de Mignon (ThomasMouton). 15 h. 30 1. Les Ecrivains et artistes de Lille, Roubaix, Tourcoing (Jean Ott) 2. Foyers de Flandre (Plerre Vandeliévre) 3. Trois mélodies d'Albert Roussel a) Les Amants séparés b) Light c) Le Bachelier de Salamanque 4. Notice sur le peintre. Georges Dilly, 5. Chansons de Desrousseaux L'Habit d'mon vieux grandpère, vieille histoire (Nadaùd) Mélodie de Gustave Charpentier, sérénade à Wat* teau t-6. La Citt de Pascal (Charles Drou- iers) 7. Notice sur, l'aquarelliste Bertrand de Champeaux, de Tourcoing 8. Aubade (Laio). 20 h. 30 Le Demi-Heure enfan- tine Les Compositions », causerie de M. Pierre Humble «Gisèle veut monter sur les chevaux de bois », skech de M. Pierre Humble. 21 heures Concert La Chasse au. self, revue de MM. Paul Weil et Charles Qui-

nel.

P.T. T. (458 mètres). 14 heures Coneert 1. Scènes pittoresques (Massenet) 2. Beau Soir (Debussy) 3..Sigurd (Reyer) 4. Ariette (G. Pierné) 5. Le Roi s'amuse (Delibes). 15 h. 15 Concert organisé par l'œuvre « La T. S. F. à l'Hôpital » 1. Thaïs (Massenet) Hérodiade (Massenet) 2 Valse (Chopin) Onzième rapsodie (Liszt) 3. Mlle Noële Verges, des cabarets montmartrois. 16 h. 30 Matinée enfantine 1. Conte, par M. Elie Mossé 2. Poésies 3. Chansons enfantines, rondes et ebœurs. 17 h. 15 Concert symphonique Fasdeloup 1. Première symphonie (Schumann) 2. pastorales pour chant, Jimenez (Carlos Pedreli) 3. Prélude de Hansel und Gretel (Humperdinck) 4. Concerto en si mineur (d'Ambrosio) 5. Impressions d'Italie, Napoli (Charpentier). 21 heures Mutique de danse»

H JBÊBBÊ^" HHHH •̃ BSB_ <e '*̃ WBSBêŒBBBÊè^. BE8BSBSSfc_ ̃BBBKHBBBi IHB^_tLHHwB __ffl__H_i BBi– E »_ BSkh^. mSmmBÊm BHH–BKBifck. ^^B__S__ H

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1 _EL_OURS __?' SUIVAW"1'^ •̃ ̃ ;| ^^I^b ^B^v^E^RBi^H ^^Bfi^^BvH^^H59B^HBB^B^^ ^BJVi^l^^B^HHBfl^l^H ^B^ ^I^DH^^B ^^H^u^h ^h^h^b^v^^h^^h^b ^hSB^I^H ^B^^K^BKê^ê^k^ ^BI^hK.B^IS^9^v i ^h

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Feuilleton du c Figaro du 25 Fév. 1928 -~(49) U PETITE FILLE FRANÇAISE TROISIEME PARTIE

IV

(Suite)

II parlait avec joie et ardeur, avec le plaisir d'un enfant qui s'amuse à jardiner; ce fut la comparaison qui vint a l'esprit d'Alix, tout en lui souriant tranquillement, un enfant qui cueille des brassées de fleurs, de chardons, de plantes jolies ou communes, et les apporte pour les faire admirer. « Ravissant, n'est-ce pas ?» disait-il à chaque instant, sans voir les chardons. Il était beaucoup plus jeune qu'André. Elle en était contente, «ar cette ressemblance l'inquiétait. 11 lui plaisait plus qu'André, bien qu'il n'eût pas le jugement aussi délicat. Il suivait, dans ses admirations la mode," et puisque- la mode s'enorgueillissait d'être un pionnier, il "s'enflammait pour le nouveau et J'étrange, bientôt abandonné pour le plus nouveau et le plus étrange. Il avait l'air, s'aperçut Alix, de vouloir qu'on sympathisât avec lui au sujet du dernier peintre, du derjnier poète, du dernier compositeur. Peu lui importait, er. vérité, qu'on sympathisât ou non mais si on ne le faisait pas, on était sans importance. Elle vit que déjà Giles était sans importance et elle se demanda pourquoi il ne la mettait pas dans Copyright by, 19V8, Anne Douglas Sedgwlclc

Tour Eiffel (2.650 mètres). 17 h. 45 Le Journal parlé »ar, Tr"§» F. 19 h.. 30 · 1. Petite espagnole? jtturTJnatuor à cordes et Biano a) IntroiM&tïidfilfet danse de l'or ) Sarabande -«J Répeçis; d) Pastorale · 2. Eros, fantaisie, sélection a) Sérénade à la lune. b) Adieu les rosés, Myriosata, Etude c) Bourrée 3. Mélodie a) Gardénia b) La Chimère des baisers c) Lysbeth, ma payse 5. Pièces funambulesques « a) Devineresse b) Nounou c) Lallo d) Colombia. 20 h. 30 à 21 h. L'Université populaire par T. S. F.

Petit Parisien (340 m. 9). 21 heures Concert Les Mousquetaires au couvent (Varney) Ouverture de « Gillette de Narbonne (Audran) Valse (Komzak) Glroflé-Girofla (Lecocq) Ballet des « Saltimbanques » (Ganne) El Cap itan, marche

(Souza).

Radio-Vitus (302 mètres). 19 h. 30 Journal radiophpnique. ̃ 20 Jl. 10 Disques nouveautés. 20 b. 30": Concert Musique de danse.

Londres (301 m, 4). 16 h. 40 Merrie Enjçland, sélection (German) Musique mterdite, en italien (Gastàldou) ̃ La Fille du Devin (F. Bridge). 16 h. 55. Sérénade à in, poupée, Cakewalk dé Golliwog (Debussy). 17 h. 3 Demande en mariage* en Warwickshire (W.-G. James) Corne, Mss me now or neyer (Moffat) Un petit chapeau bleu (V. Hemery) Grand air des jMaitres Chanteurs (Wagner). 18 heures Valse mignonne (Palmgreen) Orientale (Cui) Danse russe (Tschaikowsky) Mon amour (Louis) Quittez ma fenetre (Somerville) Soyons joyeux (Lane Wilson). 18 h. 20 Mesure à trois temps, suite (Coleridge-Taylor). 18 h. 50 Le Printemps est à la porte (Quilter) Viens, mon beau trésor (Gluck) La Petite princesse (Dorothy Howell) En cueillant des jonquilles (Somerville). 22 h. 30: Musique de danse. Orchestre du Savoy.

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la même catégorie.Imaginait-il qu'elle possédait et retenait de évaluations plus nouvelles ? II n'en était pas ainsi, elle ne le prétendait pas, le regardant avec son calme,l5huxix£_et de temps en temps secouant dogcenient la tête. Elle n'avait jamais Aîperfetr»4fuè* ses évaluations pussent compter elle se considérait comme une enfant. Mais c'était peut-être parce que Jerry la trouvait belle qu'il lui permettait d'être indifférente.

Après diner, on dansa. Il arriva beaucoup de jeunesse et on poussa les grands écrans chinois du hall. Il y avait un piano et des violons. L'un des musiciens avait le visage si maussade, un visage italien ou français le visage de Jules qu'Alix aurait aimé Li demander s'il n'était pas étranger. Mais ôlï n'avait pas le temps de parler. Ses pas s'accordaient très bien avec ceux de Jerry. Elle dansa plusieurs fois avec lui, et avec d'autres jeunes gens. Jerry l'aida à éviter M. Fulham qui, voyant qu'elle avait tant de danseurs, voulait en être. Mais Jèrry était le danseur qu'elle préféraitr~ét combie- il était plus important d'avoir des pas qui s'accordaient que d'aimer les mêmes livres et les mêmes tableaux. Cela lui semblait, ce soir; parmi les fleurs, les lumières et la musique, ce qu'il y avait de plus important bien qu'une où deux fois, en rencontrant les yeux de Giles, elle comprit que cette extase s'enfuierait comme un mirage. Cher Giles Elle voulut danser avec lui, et ils rirent en faisant lentement le tour du hall, car il ne dansait pas bien.

Elle'lo vit.ensuite causer avec lady Mary

et M.'xHiHBblÇi II n'entrait pas dans le mi-

rag ~1 ié~ardait seulement. lady Mary

rage^'ïiJlWli'èjgardait seulement.

Lorsque' Alix s'endormit, cette nuit-là, à la lueur du feu, elle rêva qu'un frais ruisseau de cristal coulait autour d'elle, et

60 16/10 électrolytique, 06 5/ à 66 15/. Etain cpt 227 18/9 à 3 mois, 230 12/6. Plomb cpt 20 à terme, 20 6/3 anglais, 21 15/. Zinc cpt 25 à 3 mois, 25. Antimoine Regulus cpt 64 10/ à 65. Mercure 21 5/ à 21 10/, par bout.: de 75 lbs.

BLES. Paris, 24 février. Cour., 158 mars, 158 75 V mars-avril, 158 50 et 158 75 4 de mai, 158 95 mai-juin, 159 25. /•̃ Chicago, 23 février. En cents parîbushel. Disp., 136 3/4 mars, 133 mal, 133 7/8 juill., 131 3/4.

AVOINES. Paris, 24 février. Noires. Cour., 113 50 mars, 115 mars-avril, 116 25 à 116 50 4 de mai, 117 50 à 11.7.75.; mai-juin, 118 75. Diverses. Cour., 113N-; mars, 113 50 mars-avril, 114 50 N 4 de mai, 115 50 N mai-juin, 116 50 N. Chicago, 23 février. En cents par Mars, 54 5/8 mai, 55 7/8 juill., 52 3/4. FARINES. Paris, 24 février. Cour., 199 N mars, 20(PN mars-avril, 201 N 4 de mai, 202 N mai-juin, 204 N. Farines de consommation 2}3.

SUCRES. Paris, 24 février. Cour., 243 et 243 50 mars, 245 avrflj <2M <?«$»d« mars, 246 3 d'avril, 247 50 3 de mai, 248 50 3 d'oct., 233 50 3 de nov., 234. Cote officielle 243 à 243 50.

New-York, 23 février. En cents par 100 Ibs. Mars, 254 mai, 260 juill., 269 sept., 278 oct., 282 déc.-janv., 287. CAFES. Le Havre, 24 février. Cour., 529 mars, 522 50 avril, 513 50 mai, 508 75 juin, 506 75 juill., 497 août, 492 25 sept., 486 oct., 482 75 nov., 479 75 déc., 474 janv., 471. Ventes 3.250 sacs.

New- York, 23 février. En cents par lb. Disp., 16 1/4 mars, 15 08 mai, 14 45 iuill., 14 20 sept., 13 94 déc, 13 70 janv., 13 75.

COTONS. Le Havre, 24 février. Cour. 009 mars, 609 avril, 605 mai, 607 juin, 604 juill., 603 août, 599 sept., 599; oct., 595 nov., 594 déc.-janv., 595. Ventes 1.050 balles.

New-York, 23 février. En cents par lb. Disp., 18 50 cour., incoté mars, 18 01 à 18 02 mai, 18 25 à 18 27 juill., 18 27 à 18 30 sept., 18 22 déc,, 18 10 à 18 11 janv., 18 09.

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TIONNEL. 65. I)

TIONNEL. UWi

qu'elle flottait sur ses eaux d'argent. Des lumières dorées faisaient une chaîne de petits soleils sur es bords de l'eau, et ses mains, qui remuaient doucement dans le courant, sentaient passer des pétales de roses. Le rythme de la musique, doux, endiablé et bête, battait dans son sang, et la voix de Jerry résonnait à ses oreilles « Ravissant, n'est-ce pas ? » Et les yeux de Giles la suivaient. Dans son rêve, elle désirait dire à Giles qu'elle n'avait rien à cacher. Elle essayait de le dire, mais l'eau argentée coulait sûr ses lèvres souriantes et les rendait muettes!1 Si Giles la regardait ainsi, elle pourrait rougir. Mais même ainsi elle ne souhaitait pas son départ. Tant qu'il était là, elle était en sécurité.

V V

Vous veillefra -sur ̃ Biaise jusqu'à mon retour, Giles ? recommanda Alix, debout près de l'auto, -ie lendemain matin, en -disant au revoir à Giles. Et vous m'écriefez" ? 7 Nous n'aurons pas le temps d'échanger beaucoup de lettres, vous savez. Giles sourit pour la rassurer. Je ferai attention à Blaise.

Faites mes amitiés à tout le monde, dit Alix.

L'auto s'ébranlait lentement, et elle marchait à côté. Elle n'était pas malheureuse, pas triste,, mais seulement un peu effrayée de voir partir Giles. Si une nuit l'avait tant changée, quel changement pourrait apporter une semaine? Elle aimait presque Ruth et Rosemary ce matin. Quels que fussent leurs défauts, elles n'étaient pas fausses. Il est vrai qu'elles n'auraient pu, même si elles l'avaient voulu, dissimuler avec grâce, mais elles n'auraient jamais souhaité de dissimuler, nve" ou sans grâce. Et elles n'étaient pas insi-

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gnifiantes, comme les petites Wagstaffe. Si Ruth et Rosemary pouvaient être comparées à" du. gigot de mouton, les Wagstaffe, pensa Alix, ressemblaient à de la crème fouettée. Elle suivit des yeux Giles qui disparaissait parmi les hêtres.

Jerry et sa mère étaient sur les marches, car ils étaient sortis pour dire au revoir à Giles. Lady Mary la regardait, un peu, pensa-t-elle, comme Giles, la veille, pensivement, et avec une grande bonté, et c'était la véritable Alix qu'elle voyait. Maintenant, je vais vous apprendre à monter à cheval, dit Jerry. Maman vous prêtera un habit.

Un vieux. Je ne monte plus, dit lady Mary en posant la main sur l'épaule d'Alix, tandis qp'ils entraient dans la maison chaude et douce. Je crois qu'il vous ira bien. Nous sommes à peu près de la même taille, n'est-ce pas, Alix,? »;̃

Les épaules d'Alix sont plus larges que les vôtres, maman, dit Jerry, et j ai peur, chériei que ses jambes soient plus longues. Elle ressemble à une nymphe de Jean Goujon et vous avez la taille d'une délicieuse* mortelle.

C'était bizarre, pensa Alix, qu'un jeune homme définît la longueur de vos jambes; mais cela n'était pas mal élevé, comme en France. Jerry discutait les attributs physiques de ses amis, comme il aurait discuté leurs qualités morales.

Le costume sera peut-être un peu court, dit lady Mary, mais cela ne fait rien. La nymphe de Jean Goujon pourra le mettre. Nous habillerons un jour Alix comme l'Enfant Bleu de Gainsborough, Jerry, pour montrer ses longues jambes. Nous donnerons une soirée costumée pendrnt les vacances de Pâques.

Oh, je ne crois pas que je pourrai

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venir à ce moment, dit Alix. Giles est alors en vacances. Je le manquerais.

Vous reviendrez de temps en temps, j'espère, et Giles viendra, peut-être aussi, dit Lady Mary en souriant. Je vous enverrai l'auto. Où est Marigold, Jerry ? Pas encore levée ? C'est vrai qu'elle ressemble à7l' «'En- fant Bleu», dit Jerry. Mais il n'a pas les yeux bleus et son visage est plus doux.' Le visage d'Alix est plutôt farouche, est-. ce le mot ? La froideur de vos yeux bleus m'effraye un peu Alix. Marigold est encore couchée. Elle m'a envoyé chercher. Elle écrit des lettres, dit Jerry, et elle porte un adorable petit bonnet Wattenu, terriblement seyant. C'est pour cela qu'elle m'a fait appelèr, naturellement, pour que je le vois, bien que le prétexte fût le bal des Fairlies.

Méchant Jerry, dit sa mère en sou- riant. «- ~<

Pas du tout. Je lui ai dit 'que je la devin.ais. Je lui ai dit que Je. bonnet était ravissant. Il n'y a rien de souterrain-en moi. Est-ce vrai, Alix ? Ils l'appelaient Alix, comme si elle avait dix ans, ou com- me s'ils la connaissait de toujours. Tu devrais essayer dé parler fran- 1 çais avec Alix, dit lady Mary. Son accent J est bon, n'est-ce pas ? Mais ses verbes et ,1 ses genres sont terribles, et « souterrain » n'est pas correct, mon petit.

Ne trouvez-vous pas que Marigold est extraordinairement belle, demanda Jer- ry. Ses cheveux et ses yeux ont la cou- leur d'un conte d'Andersen.

Mais elle ressemble bien plus à un Watteau qu'à un conte de fée, dit Alix. Mais les personnages de Watteau sont des personnages de contes de fées. Vous voulez dire qu'elle est artificielle." Oui, je comprends. Mais elle ressemble plus à

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Publication de bans de mariage 23/28 II est porté à la connaissance du publie qu'il y, a promesse de mariage entre · le commerçant Gustav Hans Theodor Schnegas, domicilié à Berlin-Charlottenburg, Friedrich-Karl-Platz 12,

et Anna Dora Jœpel, sans profession, résidant maintenant à Dresde, Gustav-FreytagStrasse, 23, ayant habité Paris auparavant. Les oppositions qui pourraient être formulées à ce sujet devront être adressées dans les quatorze jours qui suivront la publicatlon de cette annonce à l'officier de l'état civil soussigné. ̃

Dresde, bureau de l'état civil, le 17 février 1928.

L'officier

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un Fragonard qu'à un Watteau. C'est « une jolie coquine en porcelaine ».' Lisezvous Meredith ? Je l'aime, bien qu'il soit démodé, maintenant.

Alix n'avait pas lu Meredith.

Une demi-heure plus tard, lorsque Jerry l'eut légèrement hissée sur la selle, et que le groom eut lâché la tète ardente du chevalbai, Alix sentit qu'elle avait découvert sa vraie vocation. Plus encore que pour la danse, elle était née pour cela. 11 lui semblait n'avoir rien1 à. apprendre. Elle ne' craignait rien. Ses mains se posaient aisément, comme le lui disait Jerry son genou et son pied étaient fermes. Aucun mouvement de ce charmant animal qui se mouvait sous elle, doux comme le satin et fort comme l'acier, ne la prenait à, Timprovisie. Elle le comprenait. « Oui, oui, je .v.ois.>, repondait-elle aux explications de Jerry.' Oui, nous marcherons jusqu'au bout pour que je m'habitue et puis nous trotterons sur lé gazon. Oui, je comprends; je tiens avec nion genou. > .'̃

Ce n'était ni nager, ni danser, ni voler; mais cela unissait les délices des trois. On flottait avec élasticité; on incorporait la beauté des .mouvements rythmiques. on glissait à une hauteur assez étrange pour sentir un tremblement léger et délicieux. La terre était nouvelle, vue de cette hauteur; on regardait les branches des hêtres, à la hauteur où les pinsons perchent et, volètent. •

On dirait que vous n'avez fait que cela, lui dit Jerry et elle répondit que son père avait été un excellent cavalier. Anne Douglas Sedgwick.

(Traduction de Mlle Fournier Pargoire). \A suivre.)