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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1927-07-16

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 16 juillet 1927

Description : 1927/07/16 (Numéro 197).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k295198c

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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CHRONIQUE DU r> FÎGARG ̃». iiÂRBàiiiANIE

Autrefois, tout allait encore tant bien

t ;gù;e ma;l> et pi«t.ôt, niai -qye.^>iérii.i-tan-

-dis qu'aujourd'hui: etc. On connaît

;lâ jérémiade. ,1

i > II n'est, écrivain pourtant qui ne soit •las; (et le lecteur, donc !) de cette ren,'gâihe, ,de ce cliché, de ce pont-aux-ânes. Néanmoins, quand dès faits non 'pas des raisonnements, s'entend, mais ;de> simples faits, faciles à contrôler, et .'connus de tous viennent démoli trer iqûë ,1'on a trop raison de passer et repasser sur le pont-aux-ânes, que le 'cliché n'est point. absurde, ni sans vérité rengaine, comment n'y pas revenir ̃? Fàùt-il nier l'évidence, faut-il mentir? Un homme de bonne foi et de bon (sens-, peut7il ne pas constater que les /Finançais, éprouvent désormais la plus ,;vile tendresse pour la faiblesse et le désordre,' que l'élite dit pays rebute ses «saints, bref qu'elle veut mourir, appaÇrèmmënt ?; Et tout le r.este --Enfin, et en offrant nos excuses pour scette lamentation nouvelle, qu'il nous soit permis "de rapprocher Une fois encore ce -gui était îiagdère de-ce gue l'on 'ivoit maintenant. L'actualité, d'une part, "nndu|s,;y invite; puis, cela prêtera toufjo^r^à rire pendant un instant com^Bë^rîâit Figaro, voyez notre titre, afin '#é ne pas pleurer.

Un admirable filnt fait en ce moment courir Paris, et c'est justice nous ne Je nommerons pas, on nous accuserait de publicité. Déclarons cependant que c'est un chef-d'œuvre, presque un miracle de cinématographie vous l'avez tous reconnu. Et puis, d'ailleurs, peu importe son mérite, la question n'est point là. "Mais'quelque surprenant, quelque extraordinaire qu'il soit, ce merveilleux film,, qui se passe sous Auguste et Tibère, n'en a pas moins, pour un Français, pour un Latin, pour un homme Civilisé, quelque chose d'odieux la force romaine,' eh effet, y est ridiculisée, bafouée, insultée, changée en fléau social, en catastrophe historique la belle race qui a donné à l'univers une organisation. et des lois encore en vigueur, se trouve présentée comme un ramassis de brutes stupides, féroces et, à peu près abjectes. Tandis què-Vb.Umaaité faMe» pleurarde- et désorganisée, est ail con" $(âire montrée^. sou^ les traîts les plus sympathiques et les plus émouvants. L a foule, jjui ne sait rien, et qui voit cela, eh conclut :aussitôt « Les Romains ? D.es<militaires, des gens à panaches, des soudards à expéditions lointaines, des brigands qui commandaient aux pauvres petites nations innocentes bref, d'ignobles truands. Tandis que les vaincus, au contraire, les Asiatiques ignorants, les émeutiers soupirants, et toujours occupés de révoltes confuses, ah voilà la partie la plus aimable et la plus délicieuse du genre Humain. » Reconnaît-on bien là cette basse tendance d'aujourd'hui le vainqueur intelligent n'est qu'un butor et un profiteur, tandis que le vaincu débile, sentimental et anarchique a toutes les séductions ? 2

̃>&?," '̃̃̃>̃ ̃̃

{ II y. a même pis en ce dédain qu'il.deTietit si élégant de témoigner aux Roipains car enfin nous en descendons, de" ces Romainss intellectuellement et moralement. Ce sont eux qui ont civilisé les Gaules, les Espagnès, discipliné1 le jaonde méditerranéen^ et plus tftFd enfermé eh dés cadres solïâes le cKrïstianisme encore vague et flottant. Ils avaient l'âme noble, hardie, méprisaient ce qui était chétif et manqué. Ils aimaient à s'instruire, à comprendre, mettaient Rome et l'Etat au-dessus de toutes choses. De beaux ancêtres, en yérité.

Et les, Gaulois,. dirà-t-on ?. Eh qu'en reste-t-il en nous A peu près rien, sans doute, et tant mieux: ces barbares n'auront été qu'une assez bonpe race de croisement. Un habile éleveur infuse parfois ainsi un peu de sang trouble et rude pour mieux conserver une race pure. D'âme et d'esprit, ce qui seul compte, nous sommes des Latins.

Cependant, depuis des semaines et des mois que l'on nous montre en plein boulevard ce film -magnifique, d'ailleurs personne encore ne s'ést avisé de regretter que l'histoire s'y trouve si scandaleusement travestie, et que les

lorts et lumineux Romains,, jiqs ancê-

tres intellectuels et 'politiques, soient honteusement traînés dans la boue au profit de tout le désordre orientât ou SefViïè, avec ses revendications perpé»- tuelles et contradictoires, son anarchie émue, et autres préparations au communisme.

En revanche, il y a cinquante ans exactement, en juillet 1877, le peintre Ghartran obtenait le grand prix de Rome avec un tableau bien connu qui représente une scène inoubliable de l'histoire romaine. Elle remonte aux premiers temps de la République, alors qu'une invasion gauloise se rua sur l'Italie et descendit comme un lourd torrent jusqu'à Rome. même. En arri,yant devant la Ville Eternelle, bien pe-

tite ^.ericorej les vairiquéurs sauvage^ trouvèrent; cette -cité déserte les habî-i tants s'étaient, en- effet" réfugies sûr le Capitole, presque inaccessible. Seuls, sur le For-tun» Uéiaiëni restés ceux des ̃vieillards qui avaient eu l'honneur d'être naguère Magistrats de la République "ils 'demeuraient là, assis sur leurs 'chaises curules et le bâton' d'ivoire a- la main, immobiles, muets, impassibles–^ admirables.

Les Gaulois eurent vaguement peur de, ces imposantes statues humaines. Par malheur, quelque chef couvert de peaux de bêtes ayant, par dérision, tiré la barbe d'un de ces vieux héros de la patrie, celui-ci rie;- put supporter qu'une telle offense fût faite par un rustre étranger à la noblesse latine il brisa son bâton sur lé visage du géant roux. Sur quoi, tous les vieillards superbes du Forum furent, massacrés, bien entendu.

En 1877, époque naïve; le sujet d'un tableau avait encore quelque importance. Celui-ci souleva l'enthousiasme. On prenait alors le parti de la civilisation. Aujourd'hui, c'est le barbare. bête et pouilleux, qu'on aime. Il y a peut-être quelque raison pour cela.

J Marcel Boùlehéer.

'«~

Uingratitude *r organisée

Nous disions l'autre jour que le

^jpk$ jeu du Cartel consistait à faire

<â(^ augmenter les fonctionnaires, sans diminuer leur mécontentement le commis. de l'Etat doit demeurer hostile à l'Etat. Cette affirmation se vérifie une fois de plus. Le Journal officiel n'a pas encore promulgué la loi portant ouverture des crédits en vue de la réforme des traitements, que déjà, la presse socialiste s'efforce de présenter les sommes attribuées aux fonctionnaires, comme l'acquittement tardif d'une dette. Il; semble que l'Etat leur ait seulement depuis plusieurs années payé: des acomptes et qu'il va sur les excédents de 1926 et 1927 régler des factures en souffrance..

H' n'en est 'rien; Et là-dessus, au cours débat de samedi, il n'y avait pas eu de discussion.

II est entendu que les fonctionnaires devràiepbêtre, istgenient {>ayés, qu,lé sànt maL et Qu'on, leut a fait des proftiessefe électorales sans rapport avec lès possibilités budgétaires. La réforme de leurs traitements est à l'étude. Le principe en est acquis mais il n'en reste pas moins vrai que le milliard qui va leur être distribué, pouvait fort bien- .et devait même, peutêtre recevoir une autre affectation. Ces sommes, comme les 900 millions accordés aux retraités, comme les 688 millions destinés aux mutilés, elles sont enlevées au dégrèvement possible ou à l'amortissement nécessaire., Le Figaro l'a fait'remarquer dès le dépôt du projet de loi. Si nul à la Chambre n'a développé, après nous, ce point de vue,. c'est sans doute que les vacances qui 'commencent ne sont qu'un prologue de la campagne électorale prochaine et qu'on n'ose guère, en pareille période, critiquer même théoriquement « une marque, de bienveillance à l'égard des fonctionnaires ». Mais au Sénat le rapporteur général de la Commission l'a fait observer. II .a paru redouter le sacrifice imposé au contribuable, alors que l'excédent des recettes pour l'exercice en cours n'atteint plus, par suite d'autres dépenses supplémentajrçsj mê,me,TUft4mjHion ,r « Le GpUrVérnèment a épuisé toute l'élasticité de l'exercice 1927. a déclaré le rapporteur, et nous pourrions lui en faire grief, si les crédits proposés n'étaient destinés à permettre aux serviteurs de l'Etat de supporter les conséquences de la cherté de la vie. » Est-ce que ce grief éventuel évidemment fondé aurait ombre de sérieux si les excédents étaient appliqués au remboursement d'une créance réelle ? Nous sommes en matière financière, et l'obligation sentimentale, voire l'engagement moral n'y peuvent être synonymes de dette née et actuelle. Le relèvement du traitement des fonctionnaires fut un acte facultatif, qu'il eût été sans doute politiquement dangereux de ne pas accomplir mais la question se pose et M. Poin.caré ne l'a pas cachée de savoir si budgétairement le geste n'était pas une imprudence.. Seulement cette manière de voir, est électoralement inadmissible, à gauche. On y, présente le vote de jeudi comme le paiement d'une échéance en retard et déjà l'on répète aux'pauvres gens qui vivaient avant guerre avec 800 fr., qu'ils ne pourront «ubsisterj l'an prochain^ avec 8.000. Sils avaient par hasard la sagesse d'être satisfaits de ce peu qui est quand même une insuffisance décuplée, s'ils se contentaient de leur humble sort, leurs voix seraient perdues pour les candidats du Cartel. C'est pour épargner à l'Unjon des Gauches un tel accident qu'on préserve le fonctionnaire contre tout mouvement de gratitude voire de justice à l'égard de l'Etat, son patron.

AUJOURD'HUI:

Supplément littéraire

De grades émeutes ont asiate à ïiemrë

"̃' Viënn-î- 45 juillet. & la suïte du vér"'diet d'acquittement rendu en/ faveur des» trois nationalistes allemands'' accusés d\\ ̃̃meurtre- d'un socialiste et d'iyi enfant aq cours des échaiifourées ^de jScliatteridorff (Bur'gen.land); de très graves émeutes ont éclaté dans la capitale autrichieTuie. Un mouvement, qui a pris naissance dans les milieux socialistes, s'est répandu de bonne heure; ce matin; coinrneunetraïnée de poudre, dans les usines, déterminant les ouvriers à quitter le travail et se rendre en masse vers le .centre de la ville pour manifester. j Les manifestants tentèrent d'abrtrd d'attaquer l'Université, puis le Parlement. La police réussit à dégager à ieraps ces deux édifices. La foule se porta alors en masse vers le Palais 'de Justice. ,rv •: La police ne réussit pas à • l'empêcher de démolir les portes en fer forgé de l'édifice. En peu dfi'temps les' vitres des fenêtres furent brisées, "et les dossiers étaieiit livrés aux flammes:' ̃

Les détachements^ des- -organisations socialistes en uniforme semblant incapables de rétablir, l'ordre; la) police reçut' des carabines, et dut -en faire usage pour dé',gager .le Palais de Justice» Les pompiers travaillent à éteindre l'incendie. .11 y a de. nombreux blesses de j>ârt et d'autre et quelques' mort§, ''mais -il. est impossible de les dénombrer actuellement. :La fnsilladfâ; à! contiîMïé-tttùt'-i'après-midi.i Coflle a /également endommagé pai- tiellement les installations des journaux Reichspost et Nsueste Wiener Nachrichien.

Dans l'ensemble, le mouvement apparp.ît comme une explosion de fureur populaire contre l'institution du jury en ma-

tière de procès politiques.

La direction de la police publie la note suivante

Les événements dont Vienne fut aujourd'hui le théâtre, au cours desquels dés crimes graves violences, incendies, etc., ont été commis, nécessitent l'intervention sévère de la police en vue de rétablir l'ordre.

Les rassemblements sur la voie publique, manifestations contre les autorités sont interdits sous peine de.^répression immédiate. La police a reçu l'ordre d'agir contre ceux qui transgresseraient ces ordres avec toute sévérité' et faire respecter la loi avec toutes les forces coercitives légales à sa disposition.

La note invite la population à rester sur le terrain légal et à ne pas permettre que des éléments criminels perturbent l'ordre de la République d'Autriche. La carence de la municipalité f socialiste r -f ̃[

Berlïh, 15 août. D'après une dépêche de Vienne à la Gazette de Fossile notobre «tes mort^ r vtetinies ctçs miSUiîflïs?

tatiohs de' Vienne oattiQiiitcîtjÙ. ? :>

II .y aurait ien outre- 200 -blessés.' Le; Palais de' Justice est en flammes» ot les flammes atteignent 20 mètres devliauteuri. Les journaux ne paraissent pas, la circulation des tramways est interrompue et le serr vice des chemins de fer n'est qu'impar. fait. La presse berlinoise prévoit que les manifestations d'aujourd'hui auront 'de graves conséquences pour le parti socialiste autrichien dont les chefs n'ont' pas été maîtres de la foule. Il aura de la peine à se remettre de la perte de prestige ainsi

subie. '?.

On annonce que depuis 20 heures '15", toutes les communications téléphoniques' et télégraphiques avec Vienne sont inter>, rompues.

La Conférence Navale de Genève

<t*^ '•

Conversations privées

Genève, 15 juillet.. La, conférence, na^ vale continue. Les conversations ont été reprises ce matin entre les membres des trois délégations; elles se poursuivront jùsi? qu'à ce qu'un accp.rd quel qu'il soit, soit ,it>T tervenu sur la question des croiseurs. jÔç est convaiiiÇiU dans les milieux officitl§ de la conférence '-et' l'on affirme que conférence navale ne peut pas aboutir'i un éehëc.uSirén>ifrêt,feLf^unWh plénïé^e # de jeudi a fait apparaître encore de sérieuses divergences entre les délégations s.ur cette question des croiseurs, on a pu constater d'autre part chez toutes les délégârtions un désir de conciliation et même de" concession manifeste.

On souligne, en particulier* que la Grande-Bretagne et le Japon ont jeté dans la discussion des idées 'nouvelles (fixation d'un programme* maximum de constructions navales suggestion anglaise abaissement du chiffre des gros croiseurs, suggestion japonaise, qui méritent d'être attentivement examinées. Elles-sont précisément l'objet des conversations qiii se poursuivent et dont on attend pour la fin du mois l'heureuse conclusion. Pour ïe moment la situation reste stationnaire, L'impression aux Etats-Unis WASHINGTON, 15 juillet. Un foncnaire du Département d'Etat a déclaré que le gouvernement des Etats-Unis n'accepter ra pas qu'on limite le nombre des destroyers et des sous-marins à Genève si la conférence ne réussit pas à; limiter celui des croiseurs. •̃-̃̃ Le porte-parole du gouvernement a fait remarquer que si l'on n'arrivait, pas à diminuer le nombre. fdes< cr(ojseu»s pour lequel la Grande-Bretagne fés|) la plus forte, les Etats-Unis ne pourraient pas accepteiqu'on réduise le nombre des destroyers pouiji. lequel 4e&l.Etat^-Uni•s̃: sont les^pjus forts.' •!•̃̃' ̃ r- -*<(,\tt ;»̃̃̃̃ «i

LE FIGARO

Fondé le 14 Janvier 1826

Anciens Directeurs H. DE ^iixemessakt,

F. MAGNARD, G. Cauiette, A. CAPUS. ADMINISTRATION RÉDACTION PUBLICITÉ AJfïiONCfiS- 14, ROHD-POINT DES CHAMPS-ELYSEES. PARIS. '̃̃ Téléphone Elysées I2-B8, 12-6|, 02-65 -.<-̃

ABONNEMENTS

3 mois émois- 1 an

Paris,Départements& Colonies. 30» n 54» 100» »

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Pays à tarif postal réduit 52 » iOO.» 190 ».. Pays à tarif postal augmenté.. 72 » 140 » 260 »̃ On s'abonne dans tous les Bureaux de Poste de France. Chèque postal 242-S3 Paris

la Défense je l'Aïgonne

̃•"̃' «mu

Le 13 juillet 1915, à quatre heures du, .matin, le 66° bataillon de chasseurs à pied, qui cantonnait dans les ruines de Clfirmônt en Argonne, fut alerté par son général de 'division Arlabosse et dirigé en toute hâte, ver s le. bois de la Gruerie où l'armée du Kronprinz, devançant, notre attaque prévue pour le 14, déclenchait une violente offensive avec gaz toxiques et solide accompagnement d'artillerie. Les' carrefours de là, forêt étaient pilonnés par les canons ennemis. Un bataillon du 4° régiment d'infanterie, surpris et entouré, avait été fait prisonnier.

Six cents mètres de profondeur venaient d'être emportés par un bataillon dé, « lœger •» qui s'avançait en terrain libre vers là Fille-Morte, enlevant la coté 285 et le carrefoûr de la Haute Chevauchée', une des clef s de la forêt. Nos artilleurs,. sjirpris, rattelaient leurs pièces et fuyaient en, désordre sur le chemin de crête de l'Argonne, la vieille route romaine, celle que suivaient Goethe et les Prussiens en 1792, avant Valniy. Toutes nos munitions, prêtés pour l'àssant du lendemain, étaient .daptwéas par l'ennemi. La' si-

< toattofc était critique et le front d'Àr-,

gonne aUaU être peroé.

? r*v

Le général Arlabosse, avec son étatmajor, s'était porté vers les premières lignes dès qu'il avait appris le danger. Avec un sang-froid imperturbable, à genoux dans une petite tranchée qui l'abritait fort mal des obus asphyxiants et des souffles de laboratoire dont la forêt était imprégnée, il assistait à la débâcle de sa division, prêt à se jeter sur la grand'route avec les débris de ses bataillons et décidé à ne livrer la forêt d'Argonne à l'adversaire, que si celui-ci' lui pâs'sàit^sur le corps. Le 66°' bataillon dé chasseurs a pied ne le rejoignit, qu'à onze heures du matin par des chemins détournés à travers la forêt. En deux mots le général expliqua au chef de bataillon Leclère et à ses commandants de compagnie ce qu'il attendait d'eux. Mission de sacrifice

Il fallait, sans tarder, se jeter au devant de l'ennemi, briser son élan, reprendre la cote 285 et se maintenir, coûta. ^ùe céutei?sur lasposition en attendant des renforts.

ia canonnade faisait rage,,L.e§. avions allemands ronflaient- dans 'le "ciel. Le èoUverrde la 'fo^êt était la ëétyë bnâhcë 'de réussite-, pour notre contre-atta'r

que. (f: '!)) •̃•̃;̃•̃

Le cdmmà'ïidàftt Leclère prit son dispositif 'de combat, rangea ses compagnies en quatre colonnes d'assaut et fit sonner la charge par ses clairons. Douze cents hommes se précipitèrent dans la fournaise' ̃

'J'

.< .r*î? •-1' ̃•

Il y a dans tout succès militaire une part de mystère et d'inconnu. Les chefs réfléchissent et combinent l'heureuse manoeuvré. Les hommes exécutent avec plus ou moins d'entrain. Mais, tout à coup, un élément féerique entre en jeu, qui décide de victoire ou de la défaite^ Ce jour-là les fées de l'Argonne furent dans notre camp. Sous les chênes la clameur aiguë des cuivres résonnait, .entraînant les hommes d'un bond vertigineux. Fossés, chemins, creux, arbres renversés, tranchées, déjà retournées contre nous,.mitrailleuses en batterie, le bataillon culbuta tous lès obstacles avec la vi|éss£ d'un cheval au galop.Sans avpjr le temps de i;essai,sirj,f.lesj Allemands tournèrent le dos, lâcliârif la position qu'ils venaient de çônqjuéwr. Les plus tenaces furent cloués sur le sol: Deux canons, pris par l'ennemi avec nos artilleur? furent délivrés par l'aile gauche, du 66° qui se trouva tout à coup au sommet de là côte, nez à nez avec l'ennemi, séparé de lui par un jet de grenades, le fusillant à bout portant. Il y a eut même des, corps à corps. Le 66° bataillon perdit dans cette affaire 350 hommes, tués ^ou blessés, et une partie de ses meilleurs officiers. Là mourut le lieutenant Olive, chargeant à, côté de, son capitaine Alexandre Eerthier de Wagram qui conquit ce jourlà sa légion d'honneur. Là fut blessé à mort l'aspirant Crtailland. Porté sur les épaules de deux'de ses camarades, il eut encore la force de se raidir devant son chef de bataillon et de le saluer avant de mourir. Là périrent 150 braves qui sauvèrent l'armée de l'Ar-

gonne: !->î 3

•'Le 66° bataillon ne reçut de ce brillant exploit qùe de modestes récompenses.' IFméritàit la fourragère rouge. On n'en distribua qu'en 1916. Il fut oublié. Son-'héroïsme fut passé sous silence car, huit jours plus lard, le général Sârrail, qttî commandait la III" armée, était relevé de son çoip,mandeipent pour s'être laissé surprendre par l'attaque é du

TABLEAU DES CHANGES:

X* PARIS;

à 18 heures Le Dollar vaut 25,54 'La Livre vaut. 124,02 La Lire vaut .z 1,38 Parité New -York.. 3,91 y2

VOIR IE COURRIER DE LA BOUllSE £7 LA COTE DES VALEURS A PARIS. LONDRES El NEW-YORK PAGE 4

Kronprinz. Les bataillons qui Savaient contribué le 30. juin (16° et 8"-batâillons de chasseurs), fet le 13 juillet "06o'hatâijl-i' Ion de chasseurs) à enrayer au prix de cruels sacrifices l'avance de- l'ennemi, furent engldbés dans la disgrâce du chef. On peut aujourd'hui leur rendre justice slans- soulever }es passions politiques qui n'ont jamais uffrinè t la! victoire à aucun peutole.' ̃ ̃ Georges: Ducrocq.

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La Température

Probabilités- pour aujourd'hui Vent variable. Ciel nuageux, avec écldircies.̃ Même température.

La grammaire au :Palais-Bourbon. Les augmentations de traitements qu'exige la progression générale des prix ont donné lieu à un mot nouveau, si nouveau même qu'on ne connaît pas très bien son orthographe.

Doit-on dire- réajustement ou rajustement ? M. Poincaré a posé, avant-hier matin, la question à la tribune, mais il ne l'a pas résolue.

Les dictionnaires rt'eint enregistré jusqu'à présent .que le mot rajustement. Quant à réajustement, il a toutes les apparences d'un intrus.

Le Tour de France va se terminer.

Les favoris se sont effondrés en route, et des coureurs de second plan, auxquels nul ne songeait, ont fait une performance honorable.

Le plus joli garçon de la troupe a recueilli déjà trois demandes en mariage. Mais les coureurs sont, en général, plus sensibles aux primes monnayées. L'un d'entre eux fut ravi, l'autre jour, à la fin d'une étape particulièrement dure, quand un automobiliste lui remit un billet de. banque en disant Je viens de vous suivre en automobile et je suis plus fatigué que vous!

La prédiction du temps.'

La vague de chaleur qui vient sévir aux Etats-Unis, où elle a occasionné nombre d'accidents mortels, est à peu près terminée. Nous en' sommes heureux pour nos amis transatlantiques. Mais ce qui est moins réjouissant, c|est qu'au dire d'un savant la terrible vague ne tardera pas faire son apparition en Europe. qu'une fois enoore la scrc,

Mérons qu'une fois encore la sçîen-

,éôrblpgfriu,è,L^o^prouve>àiqir*'e.tle

~Pt"H., ,.PhfHrilJ. !p ,9,LlIlL~

Ji'est pas ihfaUlible. :i;

.ut.e~è. r,i:~ -i!" `.

L'éternelle beauté.' ̃' Tf: Une actrice américaine, -Mrs Fanny: Ward, paraît toujours- vingt-cinq ans bien qu'elle soit beaucoup plus âgée. Elle vient de faire,' à Londres, une conférence au cours de laquelle elle donna les règles d'hygiène, assez simples, qui lui ont valu cette jeunesse prolongée.

Le trait le plus piquant de cette conférence, c'est que Mrs Fahny. tVard avoua à tous les auditeurs présents •̃ et ils étaient nombreux qu'elle avait soixante ans. Ils n'en recueillirent que plus avidement' les prescriptions qui leur étaient communiquées par la jeune sexagér naire.

Corfou, île de plaisir. ̃ Un groupe de financiers grecs, anglais et allemands a offert au gouvernement grec de lui louer Corfou, y compris l'Achilleion, la villa de l'ex-kaiser, gui deviendrait un casino; '̃•̃ De grands hôtels seraient construits, l'île transformée en une station d'hiver extrêmement côhfdrtâble. ""• Le gouvernemeirt- -grée n'a pas encore fait connaître sa réponse, mais oh dit que les conditions proposées sont acceptables.

Le cobra. ̃:̃> '̃̃' Nous nous plaignons parfois de nos autobus. Nous sommes sûrs pourtant de ne pas y être mordus par un serpent. Cette affreuse aventure vient d'arriver a Madras. Un cobra s'était introduit, pendant la nuit, dans un autpbus, et était resté caché sous les banquettes. Quand la voiture fut mise en marche, il sortit de sa retraite et mordit quatre voyageurs, dont deux moururent pendant qu'on les transportait à l'hôpital. Le cobra a été tué, trop tard.

A l'heure du crime.

M. Steffens, le grand- auteur dTamatique allemand, va fonder à Berlin un théâtre où l'on ne jouera que des auteurs débutants. Pour que les frais soient réduits autant que possible, les représentations ne commenceront qu'à minuit. Ainsi les acteurs qui devron interpréter les pièces auront eu le temps de jouer d'abord dans un autre théâtre et le cachet qu'ils auront touché leur permettra de, nfe pas être exigeants avec le caissier des jeunes auteurs.

Désarmement.

Un nouvel avion de bombardement entièrement métallique a fait à NewYork des essais satisfaisants. L'armement de cet avion est formidable. Six mitrailleuses établies dans des tourelles blindées, puis des milliers de kilos de bombes, torpilles et autres engins, car, mû par deux moteurs de 600 chevaux, l'appareil peut emporter une charge totale de 8.000 kilos dont il faut déduire le poids d'un équipage de dix hommes.

Le Mascue de Fer.

AU jrOUJJR; LE ^OCHRrrrf

l t ,1 I ~1)

Faute de quelque obole municipale, bien des Parisiens ont été empêchés de danser ces derniers -jours, ..et les petites -places désertes ,-étaient bien tristes aux carrefours, sous le ciel .délavé. Celle, qui s'enroule pour la .valsé et' les girandoles autour de la jolie statue de Gavami. paraissait plus morne encore. Baigné -pat uff pâle rayon de lune, l'artiste, au haut de sa colonne, le bloc-notes et le crayon en mains, "attendait visiblement les sarabandes joyeuses de la jeunesse et les heures .s'écoulaient, muettes! Je passai vers minuit, lorsque Thomas Vireloque, s'arrachant de son socle, jeta bas. sa hotte d'un coup d'épaule et sauta sùr le trottoir. Ah ça s'écria le vieillard sordide, tout va donc de mal en pis Peu me chaut, au vrai; que votre République célèbre, elle;même ses fastes.. Mais ne savez-vous pas que. celui-là que vous > délaissez est le ̃ Maître du bal. Et vous l'ignorez peut-être, :parce que vos yeux ne savent -pas voir, c'est à cette date que, faute d'une autre, il rassemble ses amis d'autrefois. Ils accourent de bien loin, ombres légères, mais'ils étaient- tous là encore l'an dernier, les étudiants et les débardeurs, les .grisettes et les loréttes, les pierrots et les colombines. M. Chicard était là, qui promenait bras dessus, bras dessous sa belle Junon, ,et M. Baloçha-rd, et Pétrin, et M. Floumaiï, et M. Cabochet. L'austère M. Çocarfléau lui.rnéme' n'avait pas -manqué- -au rehdez-tfcjus et avait arboré son plus bel habit. Tous étaient présents, vous dis-je, ceux de la Grande-Chaumière et de la salle Valentino, ceux de chez Musard aussi, et tant d'autres. Ils dansèrent sous les lampions et il fallut, pour qu'ils s'évanouissent, les premières lueurs de l'aube. La polka et la mazurka, la scottish et le- qùadrillè des lanciers n'étaient pas, il est vrai, tout & fait passés de mode, et vos musiciens savaient encore nos vieux airs d'autrefois. » Ingrats que vous êtes, tonna le père Vireloque, déserteurs et apostats, vous avez bien choisi votre année pour abandonner Gavarni, et voilà donc votre façon de célébrer le centenaire du romantisme. » Cependant, dans une, rue voisine, un jaizband insolent étouffait les flons-flons tout prp.ches d'un orchestre suranné. C'est notre charivari d'aujourd'hui. On avouera qu'il ne vaut pas l'autre." Jacques Patin.

La Mode Française au Lido

–a.

Par JAMES DE COQUET

Le Lido-Vcnise,' 10 juillet. i "*»^b.{<p di px. \màhéx «

'•' ï>e sa voix qyï chante comme son pïûs

ee&u, le peintre Brunellèfeehi -vient <ï'ànnoncer liiie robé dusqîr. tJn manneqjiin français paraît sur la scène, et d'un pas si léger qu'elle semble marcher sur des bulles de savon, descend parmi les soupeurs. Des murmures d'admiration lui font escorte. On s'émerveille de ce.ttp silhouette mince, de cette robe aux .lignes strictes qui porte dans ses ..plis tout le prestige de Paris. II y a ce soir, à l'Excelsior, un- gala, des modes françaises dont l'initiative -&^t due à M. Campione, administrateur délégué de la Compagnie d'ei grandi Alberr#/uY un" grand ami de la France, et dont l'organisation a été confiée à Femina. La ,veille, il y avait eu un gala des modes italiennes, pour lequel tous les couturiers de Milan, de Rome, de Venise avaient envoyé leurs plus somptueuses créations. Hier, 'la salle était pleine. Ce soir, elle déborde. Dans -le domaine de la mode, tout ce qui vient de Paris exerce un irrésistible attrait. C'est justice, d'ailleurs. On a pu se rendre compte par ce parallèle entre les industries des deux pays combien la mode" fïançtafee, d'un art si sobre, si iépmùHéi ~étart inégalable.

Les robes que présentaient les;" Italiens étaient magnifiques. Tant 'qu'elles étaient sur la scène, on les louait sans réserve mais dès qu'elles descendaient dans la salle, au milieu d'autres 's robes du soir et d'habits noirs, dès qu'elles entraient dans la vie, enfin, elles semblaient trop magnifiques et, quelquefois même, un peu roriiantiques. '̃•'

Les nôtres, au contraire, gagnaient à se mêler à la, foule des soupeurs, à n'être plus des objets de vitrine, mais des robes, des robes pour danser, pour boire du champagne ou montrer qu'on a de belles épaules. Le défilé continue. A ces baigneur qui ne s'habillent qu'une fois par jour, pour le diner, on montre des toilettes pour chaque heure du jour, pour, chaque circonstance de la vie pouf- le théâtre, pour le bal, pour le thé, pour lé golf, pour le flirt ou pour la migraine!. Les robes dusoir, les pyjamas, les maillots de bains, ils les admirent sans/ réserve, mais quand passent les robes de l'après-midi ou du matin, on lit dans leurs yeux cette muette détresse qui assombrit le regard des culs-de-jatte quand on leur fait admirer des patins à glace. Les femmes ont la gorge notïée d'une secrète envie. Elles hochent la tête, comme pour dire: « Mais il nous est défendu d'aimer Voici maintenant une évocation de toutes les grâces du passé des costumes français et italiens du quinzième siècle à'1850, exécutés d'après des maquettes de Brunelleschi. Paniers,- vertu.gadins, crinolines peuplent la salle. Ils ravissent et ils étonnent à la,fois. Comment pouvait-on s'habiller de la. sorte Personne ne songe que, dans deux ou


trois siècles, cette robe de cent grammes dont la simplicité nous enchantait r il y a un instant sera pour nos arrièreneveux un. objet de musée. Peut-être qu'un soir, pour une fête pareille à celle-ci, une jeune femme la revêtira en disant à son habilleuse « Dieu que les costumes de cette époque étaient donc compliqués »

Minuit. Dans le jardin du Chez Vous (en français dans le texte), les jets d'eau offrent à la lune leurs gerbes multicolores. Car il y a là une lune à poste JBxe, let quand l'autre, la vraie, apparaît derrière la toile de fond des sapins, on dirait d'une imposture.

'L'air est tiède et chargé de tous les ^parfums de la nuit. Chaque couple qui danse semble uni pour la vie; et l'on dirait que le pris du charlëston va l'ff-i franchir les lois de la pesanteur, M'il ^va s*ëléV6r yets! ï£ Çfràiiçle Cm 'se, sa p;a-i fronne. Les femmes fouettent leur Champagne d'une main plus nerveuse et leurs sourires font plier les' cœurs sur lesquels ils se posent.

..Ç'èsi Venise! Les plus malins s'y laissent .prendre,

James de Coquet.

s r~r·r·

LA VIE^EUGIEUSE "•̃ ̃- .̃̃' EN 'COREE

sacre de S. G. Mgr Larribierre, de la Société des Missions étrangères de Paris, coadjuteur de S.. G. Mgr Mutel, vicaire apostolique de Séoul, vient d'avoir lieu dans la cathédrale de Séoul. S. Exc. M. S. iYnasa, vice-gouverneur de la Corée, fit à cette occasion, en japonais, un très bel éloge de l'influence bienfaisante et profonde des missionnaires catholiques dans J'anciien empire du Matin Calme.

pe toutes les religions chrétiennes, dit-il, le catholicisme a été le premier introduit en Corée, et maintenant il est répandu dans tou• tes les parties du pays. Les efforts des missionnaarcs pour répandre leur foi n'ont pas été perdus, certes, et le nombre des fidèles s'est toujours accru d'année en année, en même temps que peu à peu se développaient les oeuvres de bienfaisance, si bien que maintenant l'Eglise.catlioliquc tient une lres.gr.ande place) par,mi les autres sociétés religieuses chrétien-,

Bepy^èoï«eî' ':«'\<iSl.-( itl «tft *•«»&? '<

Je me réjouis de ces heureux riSulttrtV 'dus

à yo^re esprit, d'abnégation et à vos bonnes

"BiéUddes de prédication, et je profite déoette

''1nétl\odes pour affirmer et espoir, que, ton-

occasion pour affirmer mon espoir, que, tou-

jours vous continuerez à déployer vos meilleurs efforts pour le développement de la civilisation religieuse en Corce.

A la Fédération protestante de France Le conseil de la Fédération protestante flé France (47, rue de Clichy, Paris) vient de renouveler son bureau président, M. 'le pasteur Emile Morel vice-présidents, M. le comte Paul de Pourtalès et M. le pas'Jeur André Bertrand.

Au MEXIQUE

La persécution religieuse sévit toujours 'au Mexique avec une grande acuité de nombreux prêtres ont, paraît-il, été dernièrement encore fusillés.

Paul Lesourd.

Le cardinal Charost présidera les fêtes de Sainte-Anne-d'Auray

Le cardinal Charost, archevêque de Itennes, assisté de dix évêques et autres prélats, présidera les 25 et 26 juillet, à Sainte-Anne-d'Auray, les fêtes solennelles ;de bénédiction de la crypte du monument élevé en souvenir des 250.000 Bretons tués pendant la guerre.

Elle a repris là* cause de canonisation de la Bienheureuse Jjçan^îPiQur^-fçnjiatrice de rinstitut-d«s.-s«eurs de charité. ,,cElle a procédé, à. la révision,. des éç^ts 'du serviteur (^e,P|eu Etienne P^rnet,,4es Augustms de -l'Assomption, fondateur de l'Institut des Petites Sœurs de l'Assomp-

Mon. ̃ v- ̃̃'̃

PETITES NOUVELLES

L'Association de Notre-Dame de Salut prépare son 59° pèlerinage national en Terre Sainte. Il aura lieu du 30 août au 6 octobre. Les pèlerins visiteront la Palestine et les (Contrées les plus intéressantes de l'Orient. Pour les renseignements s'adresser au sejerétariat des Pèlerinages Nationaux en Terre Sainte (4, avenue de Breteuil, Paris).. Le R. P. Ubald d'Alençon commence, dans les Etudes Franciscaines, une très intéressante étude sur la Spiritualité franciscaine les auteurs et la doctrine.

Comité national des pèlerinages, sous la présidence d'hohaeur de S. Em. le cardinal archevêque de Paris. Organisation vers Rome, Assise et l'Italie en 1927 1° Pèlerinage de l'année franciscaine (13-24 septembre). Modane, Turin, Gênes, Florence, Assise, Cascades de Marmore, Greccio, Rome (5 jours), Sienne, Pise, Gênes, Turin, Modane.

2° Pèlerinage national des vacances (9-28 septembre). Lucerne, Lac de Lugano. Séjour à Milan, Venise, Florence, Assise, Rome (6 jours), Xaples, Pise. Arrêt à Padoue, Bologne, Marmore, Greccio, Pompei, Sienne, Gênes. Pour les programmes s'adresser au Comité national des pèlerinages, Basilique du SacréGœur.j-Paris (18°).

Notre éminent collaborateur M. Georges Goyau, publie dans la Revu^é) dés '36un'£&ttse conférence faite par lui lors des fêtes mariales de.Chartres, sur le rôle reHgieUKTîle Chartres aujç xi6 et xn° siècles.

Jl. l'abbé Baudiment vient de publier une étude' sur l'action sociale de l'Eglise à travers 'les siècles.

Mgr Batiffol publie, dans la Revue d'Histoire de l'Eglise de France, d'intéressantes lettres écrites par Mgr Devoucoux, évêque d'Evreux, au secrétaire général de son évêché, l'abbé Gabriel Amette, frère aîné du futur cardinal Amette, pendant le concile du Vatican.

Il vient de se fonder à Paris, avec les encouragements du éardinal Dubois, un Comité catholique du cinéma dont le président est M. le chanoine Loutil (Pierre l'Ermite). Ce comité a pour but de servir à la fois le public catholique et l'activité nationale du cinéma. Les Pères Dominicains belges vont publier une traduction néerlandaise de la Somme ihéologique de saint Thomas d'Aquin. Le prochain Congrès eucharistique italien se tiendra à Bologne au mois de septembre.

Le R. maître général des Dominicains vient de nommer pour six ans le R. P. Dhorme, directeur de l'Ecole, biblique de Jérusalem. -Les Acta Apostolicae Sedis publient l'approbation à titre temporaire pour sept ans 1° de l'institution des Frères de Notre-Dame de Lourdes, avec maison-mère à Gand 2° de l'Institut dit des Sœurs Carmélites de SaintJoseph avec maison-mère à Autun.

LA'

r<ê* M. Pierre de Ljipommërayé est' nom-j iné chef des secrétaires rédacteurs du Sénat, en remplacement dei M. Charles Grandjean, atteint par la limite d'âge. M. Laine est nommé chef adjoint.

Le Congrès National de la Ligue des Droits de l'Homme s'est ouvert hier matin, dans la salle des Sociétés Savantes. Après le discours d'ouverture de M. Vietor Basch, président de la Ligue, on a èntendu les délégués italien et russe, et le Congrès a voté l'ordre du jour. iJt C'est le 30 juillet, irrévocablement, que sera tirée la grande loterie au profit des « Gueules cassées ». Le billet de souscription ne coûte que 10 francs (52, boulevard Haussmann 9, boulevard BonneNouvelle, et à la permanence, 47, avenue de l'Opéra).

Le Congrès de l'Union Nationale des Mutilés et Réformés

1 1 ',1 1 a-,

M; -Louis Marin, ministre des Pensions, a présidé, hier, à Nantes, la séance d'ouverture du Cçfngrès de l'Union Nationale des Mutilés et des Réformés. Après avoir exposé brièvement le programme du gouvernement sur le reclassement social des mutilés, M, Marin a dit notamment « Le projet de budget de 1928 prévoit en vue d'une augmentation des taux des pensions des invalides, des veuves, des orphelins, des ascendants, un crédit de 664 millions, auxquels s'ajoutent 143 millions déjà accordés dans le budget de

1927.

» Ces dispositions, pour importantes quelles soient, ne constituent. qu'une première étape et le gouvernement, dans l'ex- pose des motifs du projet, marque dans les termes les plus nets son désir et sa volonté' déf réaliser, dès que l'état de nos f inanCes. -Je ''permettra, lé complément du rajùsïè'rrrentef'fiè 'rétablir ainsi ceux que l'on' appelle à juste titre, les créanciers privilégiés de la nation, dans l'intégralité des droits qu'ils tiennent de la loi du 31 mars 1919.

» La situation matérielle des victimes de la guerre, au cours de la période de transition qu'impose une politique financière prudente, sera d'ailleurs grandement améliorée par les augmentations qui viennent d'être allouées sur les excédents de la séance de mercredi dernier, le projet du gouvernement accordant aux mutilés et réformés, aux veuves et orphelins et aux ascendants, pour la période du premier août 1926 au 31 décembre 1927, une majoration variant de 20 0/0 à 30 0/0 des taux de base de 1919, faisant remonter également au premier août 1926, les dispositions prises par la loi de finances du 19 décembre 1926 en faveur des grands invalides et des tuberculeux.

La Fête Nationale à l'Etranger A Madrid

Au cours de la réception de la colonie française à l'ambassade de France notre ambassadeur le comte de Peretti de La Rocca a prononcé une vibrante allocution au ,<:ours. 4e laquelle ,j,l a célébré l'union;

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parlant de^ noire, politique extérieure, il j

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Les affaires marocaines', grâce à une collaboration féconde, qui doit continuer parce qu'elle est nécessaire, ne donnent plus, ni dans s la zone espagnole, ni dans la zone française, aucune inquiétude. Administré des deux côtés de la frontière des protectorats avec une égale intelligence et une égale bienveillance, le peuple marocain va pouvoir se développer dans la paix de façon à faire honneur aux deux grands pays qui ont pour mission de l'amener à la civilisation moderne.

M. de Peretti de la Rocca constata avec plaisir, devant ses auditeurs, la reprise active des relations commerciales entre la France et l'Espagne et déclara Quand, dans les deux pays, le travail tarifaire en cours sera achevé, il sera possible de favoriser ces relations si profitables de part et d'autre, par des ajustements et par des concessions réciproques.

La colonie française de Madrid n'a pas ménagé ses applaudissements à notre éminent ambassadeur.

AU CONSEIL D'ETAT

L'Office des Biens et Intérêts privés ne porte pas atteinte aux intérêts des créanciers de la Russie

""M'. "GrbJFfë, isbûs-dirçcféùr hôriôràife'.Vàu

ministère de l'intérieur, exposant .ferit'eq son' iibm;' personnel" qu'au nom"tft' -2oinrnîe président de ̃ FAssadation desT5"1 pW^ teurs français d'obligations de chemins de fer garantis par l'Etat russe, et comme vice-président de l'Association des porteurs de fonds de l'Etat russe, s'est pourvu en Conseil d'Etat, contre un décret du 27 février 1925, chargeant l'Office des Biens et Intérêts privés de représenter, en jqualité d'agence technique, les porteurs d'emprunts émis s par le gouvernement russe bu garantis par ce gouvernement avant le 1" juillet 1918.

M. Groffe soutenait, par l'organe de M" Talamon, que l'ingérence de l'Office dans les rapports entre les créanciers français et leurs débiteur^ n'a pu être légalement ordonnée par un simple décret du Président de la République et que le chef de l'Etat n'a pu faire mtervenir entre l'Etat et les créanciers de la Russie un organisme, sans porter atteinte aux droits de ceux-ci.

Le Conseil d'Etat a rejeté hier la requête de M. Groffe, en motivant sa décision comme suit

« Considérant que le décret attaqué a eu pour. objet de confier à l'Office des Biens et intérêts privés la mission de représenter en qualité d'agence technique, les por teurs d'emprunts émis par le gouvernement russe avant le 1" juillet 1918, auprès de la délégation nommée en vue de conduire les négociations relatives aux dettes russes et d'ovganjser à cet effet la consultation "dèsdits" porteurs, isolés ou Constitutués', en groupements que cette mesure, destinée à mettre à la disposition des créanciers de la Russie, sans l'ériger en intermédiaire obligatoire, ni d'ailleurs exclusif, un organisme chargé de faciliter la défense de leurs intérêts par la délgation française au cours des négociations susindiquées, a pu être également prise par le chef de l'Etat que dès lors le sieur Groffe, opposant tant en son nom personnel qu'es qualités, n'est pas fondé de demander l'annulation du décret attaqué.

DERNIERE HEURE SPORTIVE

Le raid aérien San-Francisco-Honoklu sans escale

-.t-

Smith contraint d'amerrir

à 800 kilomètres du but

Le pilote américain E. Smith et son navigateur Emory Bronte, qui avaient quitté jeudi, à 6 heures 39, San-Francisco pour tenter d'atteindre d'un seul vol Honolulu ont été contraints d'amerrir à 800 kilomètres du but.

Ils ont fait savoir par T. S. F. que leur provision d'essence était épuisée, ce qui les contragnit à amerrir. Un autre iriessàge réclamait du secours, En, attendant, on signale que le paquebot Çalaipaï, sb trouve dans les parages de .rejjdroit <jù Favion a amerri. Le raid sans escale San-Francisco-Honolulu avait été réalisé une première fois il y a environ quinze jours par tes aviateurs de la marine américaine Maitland et Hengenberger.

L'avion de Smith transportait à bord un appareil émetteur de T. S. F. qui lui permit de se tenir en communication avec la terre ou avec les postes navals situés sur son parcours.

A signaler également que Smith se disposait à entreprendre son raid au moment où s'envolèrent les lieutenants américains Maitland et Hengenberger. Des difficultés de moteurs l'en empêchèrent. îl prit cependant sou vol deux heures après ses compétiteurs, mais fut obligé de retourner, à son point de départ par suile d'avaries légères à son appareil.

Courrier des Jl'e1ttré~

-•*̃- ECHOS

Le Times publie Uh « supplément littéraire » qui est fort bien fait, et dont" on peut dire vraiment qu'il reflète: exactement la production littéraire de chaque semaine.

Il paraît chaque jeudi, mais il est vendu à part du numéro du jour,' et son tirage dépasse trente mille. II contient exclusivement des comptes renJ dus, parmi lesquels un -bon nombre sont con-'sacrés à des ouvrages français.. Dans le dernier numéro, des articles d'une colonne et plus sont consacrés aux deux -livres de M. Maurice Pernot Sur la route de l'inie et En, Asie masulmané, au recueil ̃dé8"P6tiiés François Maynard, publié par M. Ferdinand Gohin dans les Classiques Garnier, à, la monographie de Camille Mauclair, sur FJpreiice, traduite^par l'une des filles du poète Çiuybn, conservateur des estampes orientales. aù.British Muséum, aux deux savants ouvrages de M. Henri Dau-> din De Linné à Juïsiea', 'Méthodes dè'la] classification et idée de-série en botanique et en zoologie, et Olivier et JUûnarekn lis classes zoologiques et l'idée de série animale, au roman de M. François Fbsca Derechef. ? :>"< Un résumé est donné des deux articles de M. Paul Ballaguy, sur là Ténébreuse affaire, de Louis Balsa, cet oncle de Balzac, qui fut condamné à mort et exécuté pour le meurtre d'une servante do moeurs dissolues, sur des témoignages qui eussent été fort insuffisants pour qu'un jury et un juge britanniques prononcent un verdict de peine capitale. L'indication bibliographique renferme une coquille amusante, la voici La Revue Universelle (Paris, 157, boulevard Universelle). Le boulevard Saint-Germain ne paraît pas être la voie qu'on puisse dénommer « universelle » ce qualificatif conviendrait mieux au boulevard des Italiens et mieux encore au boulevard Montparnasse, aux environs de son croisement avec le boulevard Raspail.

Une note sur les livres à paraître à l'automne annonce une Vie de François Villon,. par Mr D. B. Wyndham Lewis. D'autre part, il est question d'un livre dont la version anglaise paraît avant le texte frapçais original ce livre, qui porte le joli titre de Sdnds, Palms ant Minarets et contient de nombreuses illustrations, donne une série visions africaines, d'impressions et de descriptions qui révèlent une compréhension originale de notre Afrique du Nord, où tout est contraste et où la France poursuit une oeuvre admirable de civilisation. Le pseudonyme de l'auteur Madeleine Vernon, dissimule une Parisienne qui a parcouru longuement l'Algérie, la Tunisie et le Maroc, et son. volume si.pap^yant e^si.nourrjdémbntre aux' lecteurs d'outré-Mahche que le Français, comme l'affirmait récemment M. Lucien Hubert, est tin1 excellent colonisateur. Notre confrère Henry D. Dàvray a éorit pouç:jCet ouvrage une substantielle- "préface. «S* La radiophonie et les hommes de lettres.

Dans la Revue de France, M. Georges Lecomte proteste contre la mainmise de l'Etat sur les émissions radiophoniques « Nous ne voulons pas que, du haut d'un monopole parfaitement injustifié et dangereux, le gouvernement puisse, selon sa fantaisie et ses intérêts, choisir et imposer une littérature d'Etat, un art d'Etat, et réserver les merveilleuses ressources de la radiophonie à des écrivains et à des artistes privilégiés. e

» II s'agit d'un mode nouveau d'expression de la pensée, qui doit être soumis aux lois actuelles, non seulement sur la propriété littéraire, mais sur le régime de toutes les publications. Ce régime est celui de la liberté, que des révolutions nous ont conquis. La radiophonie doit être aussi libre que la presse. Prétendre, sous prétexte du monopole d'Etat, faire peser sur nous des préférences et directions officielles ne serait pas moins révoltant que si, demain, le gouvernement osait décréter que désormais les seules gazettes tolérées seront le Journal officiel et le Bulletin des communes. » p -,v>-

'<£ M. Antoine Albala,f RUblie dans l'a Revue Mondiale une série ffe lettrés inédites de Victor Hugo à Flaubert, qui lui, ont été communiquées par Miae,,Frapklin,, Groult. L'auteur' de Salammbô voyait très bien les défauts du maître, mais il se faisait iin devoir de ne pas les avouer etson àdiniration n'admettait pas d'objections. ` Il lui resta très fidèle dans son exil, se faisant un devoir de lui envoyer tous ses ouvrages. Victor Hugo lui répondait toujours avec empressement. La correspondance entre les deux écrivains s'étant étaJ blie régulièrement, Victor Hugo prévient Flaubert qu'il en abusera.

« Marine Terrace, 18 septembre.

» Je veux le correspondant, et j'exigé la correspondance. Tant pis pour vous, Monsieur, c'est votre faute, pourquoi m'écrivez-vous les plus spirituelles et les plus nobles lettres du monde? Prenez-vous-en à vous-même; désormais, il faut que vous m'écriviez.

» Figurez-vous que j'ai sottement égaré l'adresse que vous m'aviez donnée à Londres. De la, le retard de cette réponse; de là, l'envoi tardif du discours que vous trouverez sous ce pli.

» Nous sommes pleins d'espoir et de foi ici. Tout va bien pour le moment. Je don- ne encore deux ans à l'homme. Après quoi, l'éternité sera au peuple. Je vous serre les deux mains.

» Victor Huoo. »

•3* A l'occasion du centenaire des deux, illustres sculpteurs de,Yatencie&nes, J.-B. Carpeaux et G. Grauk; Septentrion, ̃ la vivante revue rëgioftale''qtti:lviiéW:; d'être fondée à Lillë, publie un numéro spécial.

Ce numéro comprend huit hors-texte représentant des œuvres inédites des deux maîtres et de nombreuses lettres également inédites tirées de la correspondance si pittoresque de Carpeaux. Madame Clément Carpeaux, fille du grand artiste, y évoque la vie tourmentée et glorieuse de son père, et M. Paul Gsell, historiographe de Rodin, 'y fait un curieux rapprochement entre ce dernier et Carpeaux. De nombreux articles d'artistes et de critiques d'art complètent ce bel hommage aux deux glorieux enfants de Valenciehnes.

•£ Au cours d'un banquet, sous la présidence de M. Léon Bérard, les « Amis des lettres françaises ont décerné leur prix annuel à M. Xavier de Courville, pour son roman l'Ile des Misanthropes.

M. Xavier de Courville est l'auteur de Liancourt et ses jardins: Il a écrit pendant qu'il était sur le front le livret d'une comédie-bouffe, le rêve de CyntrasJ dont le maître Vincent d'Indy a écrit récemment la musique, et qui vient d'être réprésentée avec un vif succès par, la «'.Petite Scène ». L'Ile des Misanthropes eslt-une fantaisie philosophique, de l'humour' vie plus savoureux. ̃̃̃*• v -»« La commission qui a décerné le prix était présidée par M. Jean Vignaux et s'e composait de Mme "Rachil'dc, MM. Bér,aud, René Bizet, Pierre Bonardi, Benjamin Crémieux, Drieu la Rochelle, Erlandg," Mac Orlan, Marsan et Mauriac, m <: •̃<( On se souvient que les. deux romans couronnés en 1925 et 192(5 furent Homù> vide par imprudence, de M. Pierre Bost, et Le Navire aveugle, de M. Jean "Barreyre.

PETITES, NOUVELLES

J* On vient d'éditer luxueusement avec' des illustrations de M. Mirabo, Sertoria, lé très beau drame de M. Daniel Baqué, qui a triomphé successivement sur la scène de l'Odéon, au théâtre de l'Exposition des Arts décoratifs et, en plein air; à Luchon et à Cauterets.

Les Alguazils.

LA SAISON

DE CABQVRQ

'lies aviateurs américains Bert Acosta, George Noville et le professeur Gibbons sont descendus, au Grand Hôtel.

Ils ont assisté à la représentation du Casino, où; ils ont été acclamés par l'élégante assistance qui sly trouvait.

Ds ont apposé leur signature sur le livre d'or du Grand Hôtel.

ïls sont repartis le lendemain pour Chèr-

:bbnrg. ̃

!> DE BIARRITZ «Le Casino Bellevue prépare de grandes fêtes dont le programme comprendra les premières vedettes de Paris. Les Qrchestres Pizarro et Jack Rayio,opd\spnt engagés pour toute la saison. Les .galas,'dépasseront tous les précédents. Ce géra,. comme, toujours^ tla «Grande Saison», oeilé de' Biarritz, qui .vient en apothéose des Stations estivales. et véritable centre de toutes les! élégances; françaises >et 'étrangères.

,P, 'J' "h'Jl? 1. ,1 'Jf;, pB VICHY

̃ r:: jïï&iïvà S ï. dbvic™

Ce qui ajoute au charmé dé Vichy, en tant que villégiature, estivale,, c'est que la vie. de société à laquelle la continuelle trépidation, de l'activité, moderne porte de si rudes atteintes, n'est pas abolie. Après les visites thérapeutiques aux Sources et à l'Etablissement thermal, le public élégant qui afflue dans la Grande Station Française a' le loisir de savourer sans contrainte, dans les Parcs, dans les jardins du Casino, un repos délicieux, agrémenté de récréations artistiques, dans une ambiance d'élégance et de bon goût.

Sont arrivés à Vichy

S. M. l'empereur d'Annam, le prince Vin-Can, son cousin M. Charles, gouverneur des colonies, et Mme Charles; la princesse MarieAnne de Bourbon la comtesse de Lovary, S. Exe. Mohammed 1el' Mokri, grand vizir du gouvernement chérifien, et Hamed el Mokri, son fils S. Exc. Morcos pacha, ministre des affaires étrangères d'Egypte M. de SalignacFénelon, le colonel Philips, M. de Castries, M. Sanz-y-Sanz, M. et Mme Van de Putte, Mme de Montbrial, M. de Moirlaincourt, M. et Mme Ditterhoffer, M. d'Andria,' Mme Van tandpuck, M,,I)ewaïin,,Mmes ,y,ffner,- de Roy ;t Baer,,Mj. DiderichSji député dut/uxerabpurg N$^et Mmft,S}gre,,de Qliwira, >M. etr-Mme-.de loriol, M. et-Mme Mufillo, M.1 Qwmtina-Gosta, Mme Colovatchesky,' M. et Mme Edouard ?ercy, M. Scortzesco, Mme de Gainza, M. de Fontaubert, MM. Blumberg et Gouraud,'M. et Mme Laite-Brun, M. Prieto Enrico, M. de Carralho, M. Jekelheimer, Mme Kellog-Shirley, \î., de Lières, le comte de Gray, M. de Lignenare, Mme de Castries, M. del Valle, M. et Mme Allao-Verga, M. de Billy, M. de Courois, M. et Mme Mazzini, M. Tamayo, le gétéral Marjoulet, M. Albert Boucheron, M. de 3àt, le comte Oppersdorff, M. et Mme Balbur, M. et Mme Sheridan, M. et Mme Rocha«ima, M. Saprice, M, Le Seyeux, M. et Mme chevalier, M. et Mme Labey, M. d'Aillières, âme de Lafory, M. et Mme de La Rica, )rince Navrocordato-Ghika, M. et Mme de toiehorena, général Salis, M. et Mme Panizta, dme Gischini, M. Garbinsky, M. et Mme Le'assort, M. et Mme Finnigan, etc.

DE BRIDES-LES-BA1NS

Grande animation à Brides-les-Bains, où les arrivées sont chaque jour de plus en plus nombreuses.

';Reconnu aux Sources et Etablissements therrnaux, ainsi qu'au Casino, au Golf et au Tennis: Duchesse,, ,de Westminster, Mme Maurice EphrussjjiM. "Sojnersefc Maughan, 'hon. Mrs H. Kickers^Naoum pacha, Mme et Mlle Mr-Walter .Buins,Mmei9WHtbn-Schiffi*Mlle "R. de Ganay; t Mine- > (Edouard1 > ÎPorges,' Mme 'Pierre Laffitte, Mrs H. Rawitser, M. et Mme Gavin, Mme de Meïenciano, Mrs H. Gilliat, Otis, baronne de Leclila, M. et Mme Sanday, Mme Contant, Mr Byk, M. et Mme Dazin, M. Breteuil, Mme et Mlle d'Aillières, baron de Bussière, Mme de Gelder, M. et Mme Léon Goetz, Mme Henri Helbronner, comtesse Orlowska, Mrs Philippson, Mme Clément Simon, comtesse Truchis de Varennes et fils, Mme Soubiran, Mme Salvestre de Largentaye et mademoi1 selle, colonel et Mme Evans, Mrs Mary Murray, comtesse Forceville.

-^̃^•^̃^

La situation actuelle de l'année italienne

Il est intéressant de se rendre compte de la réalité des craintes que d'aucuns manifestent parfois chez nous relativement aux projets militaires de l'Italie actuelle. A ce propos, la loi de réorganisation de l'armée italienne en date du 9 mars 1926 _yient d'être mise en application, au moins dans ses parties essentielles.

C'est à la lumière, de cette application qu'on peut se rendre compte avec exactitude des intentions ou mieux encore de il attitude de l'Italie à l'égard de ses voiisins. Les renseignements qui suivent sont j déduits de l'examen des empiacemeflts de troupes de l'armée italienne.

î g D^s quatre^ arméftsripréjvsu^s <par le commandement, la composition est forcément fonction du réseau ferré de la péninsule; néanmoins il semble que l'on se soit appliqué à obtenir un dosage symétrique entre les différentes frontières. Face à la France, la première armée comprend les troupes des corps d'armée de Turin, d'Alexandrie et dé Florence. Face à la Yougoslavie, la troisième armée se compose des corps d'armée de Trieste, Bologne et Bari. Entre les deux, la deuxième armée placée face à la Suisse et à la frontière d'Autriche est formée des corps d'armée de Milan et de Vérone. Enfin, une quatrième armée groupe les corps d'armée de Rome et de Naples, les troupes d'occupation de la Sicile et de la Sardaigne. Cet équilibre entre voisins de l'Est et voisins de l'Ouest est encore plus apparent si l'on dénombre les effectifs placés en couverture à proximité immédiate des frontières intéressées 12 bataillons alpins, 2 régiments de bersagliers, un régiment d'artillerie de montagne face à la France e^ exactement autant face à la Yougoslavie, 3 bataillons alpins, 2 régiments de bersagliers, un régiment d'artillerie de montagne orientés face au nord du côté de la Suisse et de l'Autriche.

En résumé, tout le dispositif résultant jde la nouvelle «lise 'Bniplace des troupes irévèle un souci réel dfé1 protection du ter,ritoire italien; aucune manifestation ne semble trahir des projets d'agression tant d'un eôté que de: l'autre; Cette attitude, qui est en opposition: flagrante avec les excitations de .certaine presse anti-italienne montre combien le 'gouvernement de Rome et ses eonseillers techniques militaires paraissent en ce moment éloignés de tout esprit d'aventure. C. P.

La future Cité Lindbergh

Pour remplacer les baraques malsaines construites sur l'emplacement des fortifications VÇEiwre de la zone dont nous avons signalé à plusieurs reprises l'activité généreuse construit à la même place des immeubles sains à sept étages qui formeront un village la cité Lindbergh qui aura pour marraines les villes de Paris et de, Détroit.

LE MONDE ET LA VILLE ̃ i >i i i min f.

DANS LES AMBASSADES

S. Exe. le prince Antoine Bibesco, ministre de Roumanie à Madrid, et la princesse Bibesco ont donné avant leur départ pour Saint-Sébastien, où ils passeront l'été, un dîner ,en l'honneur du- président du Conseil, le général Primo de Rivera.

Parmi les invités

La duchesse de Durcal, la comtesse de Welczeck, S. Exc. l'ambassadeur fle France, et de nombreuses personnalités.

LE MONDE OFFICIEL

Le ministre des affaires étrangères d'Afghanistan, Mahmoud Tarzi' Khan, accompagné du ministre afghan à Paris, a quitté Stamboul 'pour Paris, ',̃< >'̃" ̃̃,>

..o~ YV .'i ,tn/JI,; ;'}~'

LL. AA. RR. le prince de;" Galles, le prince George, le duc de Connaught, le premier ministre et plusieurs autres' membres du gouvernement ont assisté hier à une grande réception suivie d'un déjeuner qui a été donné au Guild Hall de Londres par le lord-maire en l'honneur du duc et de la duchesse d'York, pour célébrer leur retour du voyage qu'ils viennent d'effectuer aux antipodes.

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RENSEIGNEMENTS MONDAINS

A l'occasion de la visite des intellectuels américains en Roumanie, S. M. la reine Marie a reçu en audience solennelle, au château de Pelesh, à Sinaïa, la Société des Amis des EtatsUnis.

#i Le duc et la duchesse de Leeds ont quitté, Paris pour l'Engadine.

La princesse Amédée de Broglie s'installe au château dé Chaumont-sur-Loire.

:*i La duchesse de Gramont est arrivée à Londres. La duchesse de Westminster fait actuellement sa cure à Brides.

La comtesse Sophie de La Motte, encore très souffrante et dans l'impossibilité de répondre aux nombreuses personnes qui ont bien voulu prendre de ses nouvelles après son récent accident d'autômbbïïé; 'îe£ prîè°aé vouloir bien trouver ici ses vifs remerciements pour les marques'de sympathie priàïpiëps.éi'^Qài, .çjli ajété profondément touchée. /(|i ̃•i'

NAISSANCES ̃ '>

*i M. et Mme André Galey nous prient de faire part de la naissance de leur fils, Michel. M. Henry Davezac et madame née Carpentier-Gonse nous prient de faire part de la naissance de leur fils, Jean-François,

BIENFAISANCE

.$ Sous les auspices du ministre du travail et de l'hygiène, sous la présidence effective du préfet du Puy-de-Dôme et des maires des stations thermales, Un mois de la Santé » a été institué en Auvergne.

Cette heureuse initiative est due à l'Office national d'hygiène sociale, au Comité national de défense contre la .tuberculose et à l'Office central d'hygiène sociale et de préservation antituberculeuse du Puy-de-Dôme. Nulle région n'est à l'abri de la maladie, la tuberculose exerce ses ravages partout. Des ressources suffisantes sont indispensables pour étendre les bienfaits de l'organisation départementale. Une vente de la double-croix rouge, insigne universel de la lutte contre la" tuberculose, aura lieu airiqourb de différentes manifestations £ à.ChâtelrGuyon^Ie dimanche < 17 juillet' à Royat le dimanche 7 août à Saint-Nectaire le dimanche 7 août à La Bourboule le lundi 15 août au Mont-Dore le dimanche 21 août. '->

CERCLES

Le Comité France-Amérique a donné à la Maison des Nations américaines », son premier dîner consacré à l'Amérique latine, en l'honneur des personnalités d'Uruguay de passage à Paris, et notamment de S. Exc. M. José Serrato, ancien président de la République de l'Uruguay, et Mlles Serrato docteur Alfredo Navarro, doyen de la Faculté de médecine de Montevideo, président d'honneur du Comité France-Amérique de Montevideo, et Mme Navarro S. Exe. M. Julio M. Sosa, membre du conseil d'administration de l'Uruguay, et Mme Sosa docteur Enrique Pouey. Le dîner était présidé par M. André Gilbert, ancien ministre de France en Uruguay, et Mme André Gilbert.

A la fin du dîner, S. Exe, le vicomte de Fontenay, ambassadeur de France, vice-président du Comité France-Amérique, a remis les insignes de grand officier de la Légion d'hon« neur à M. Serrato, qui a remercié en termes émus. M. Gilbert a exposé les liens déjà anciens qui unissaient les différentes personnalités 'présentes à la France, et S. Exç. -M. Guani, ministre de l'Uruguay en :Frànçe,*a: exprimé' le§. sentiments de l'Uruguay pour la France et a rappelé les efforts faits par son pays en faveur des alliés pendant la guerre.

MARIAGES

Nous apprenons les fiançailles, à Lyon, de Mlle Lucienne Guérin, fille de M. Henri Guérin, décédé, et de madame née de Larchamp, avec le lieutenant Guy de Vandière de Vitrac, du 9e régiment de cuirassiers, Croix de guerre, fils du comte Henri de Vandière de Vitrac,.officier de la Légion d'honneur, et de la comtesse née de Martrin-Donos. On annonce les fiançailles de M. Charles de Lansalut, fils de M. de Lansalut, chevalier de la Légion d'honneur, bâtonnier de l'ordre des avocats près la cour d'Hanoï, décédé, et de Mme de Lansalut, née du Beaudiez, avec Mlle Odile Taylor, fille du colonel Taylor, chevalier "de la Légion d'honneur, Croix de guerre, mort au champ d'honneur, et de la baronne Taylor, née Villebois-Mareuil.

On annonce les fiançailles de Mlle Jenny de Lassence, fille du capitaine Mortimer de Lassence, chevalier de la Légion d'honneur, Croix de guerre, mort au champ d'honneur, et de madame née Duboys d'Angers, avec M. André/ de Fresse de Monvaî,- enseigne de vais- seau, fils et/ beau-fils (de M>. de->Monvsl et demadame née de toùrnadrer Nous apprenons les 'fiançailles de Mlle Hélène Trùchet, fille de M. Henri Truchet et de madame née Boigeol, avec M. Jean de La Porte, inspecteur d'assurances, fils de M. Joseph de La Porte, et de madame née des Cour-, tils de Bessy.

S. G. Mgr Crépin, coadjuteur de S. Em. le cardinal archevêque de Paris, a béni mardi 12 juillet, en l'église Saint-Léon, dansla plus stricte intimité, le mariage de Mlle Simone de Dax d'Axat, fille du marquis de Dax d'Axat, ancien consul, et de la marquise née de Fréjacques de Bar, avec le comte Jean d'Arnoux, frère de' l'écrivain Jacques d'Arnoux et fils du colonel d'Arnoux, commandeur de la Légion

d'honneur,; décédé des suites de la guerre, et,:dé la comtesse René d'Arnoux.

Les témoins étaient, pour le marié le comte d'Arnoux de Fleury, capitaine à l'Ecole de guerre, son cousin, et le. coloneL comte Bernard de Vesins pour la mariée le comte de Da* d'Axat, son frère, et le marquis de Châilibera 1ndi son cousin.

Le cortège était ainsi composé Comte et comtesse Jean d'Arnoux Bernard de Dax d'Axat, Marie d'Arnoux, Jehan de Saint-Savin et Monique d'Arnoux tenaient la traîne de la mariée'; marquis de Dax d'Axat et comtesse René d'Arnoux, comte d'Amoux de Fleurv et marquise de Dax d'Axat, comte de Dax d'Axat et. Mme de Chateauvieux, marquis de Chamborant et baronne de La Barre de Nanteuil, colonel comte Bernard de Vesins et Mlle d'Arnoux, S. A. le grand-duc Alexandre1 de' Russie et :comtessef de La Frèsn'ave, marquis d'Abbadie d'Arrâst et Mlle Madeleine d'Awioux, comte d'Habloville et Mîlé- Anne'Marie d'Arnoux, comte Louis d'Arnoux et Mlle Anna d'Abbadie d'Arrâst, baron de Maghanville et Mlle Suzanne de Saint-Sàvin, lieutenant d'Arnoux et comtesse Charles de Saint-Savin, comte de Latenay de Lissac et vicomtesse de La Monneraye, baron de Niort et comtesse de Fels, capitaine de Chateauvieux et comtesse de Dax d'Axat, vicomte do La Monneraye et comtesse de Saint-Savin, comte de Fels et Mme Paul Fontin, colonel Bienaimé et marquise d'Abbadie d'Arrast, M. Paul Fontin et marquise de Chamborant, M. de Laborie et comtesse de Germont, M. d'At de Saint-Foule et comtesse d'Amonx de Fleury, comte de Saint-Savin et Mme d'At de Saint-Foule, M. de Noiseux de Trina et baronne de Magnanville, etc. ·

Après la cérémonie, la marquise de Dax d'Axat' et la comtesse d'Arnoux ont reçu dans l'intimité les parents des deux familles, ]**r

DEUIL

*i Plusieurs milliers ae fidèles ont assisté hier aux obsèques de Mgr Monmer, évêque è$ Troyes. ̃'̃'̃'

Mgr Chesnelong, qui présida la cér'émonfei funèbre, était entouré de NN. SS. Tissie^ êvêque de Châlons; Baudrillart, recteur àti, l'Institut catholique; Legasse, évêque de Péri^ gueux Chatelus, évêque de Nevers Pagetj évêque de Valence Gaillard, évêque de Meaux, T* ;M. Alphonse 'Gilliot, ingérùeur, .ancieiji conseiller général de,, la Basse-Alsace, anckti député à la^euxiçme Chambre, chevalier de la Légion d'honneur><:£st décédé a Strasbourg à l'âge de soixante-dk-neuf ans.

M. Gabriel Cordier, MM. Charles, et Ernest Cordier, et toute leur famille, dans l'im.possibilité de répondre à tous ceux dont ils ont reçu des témoignages de sympathie à l'oc- casion du deuil qui les a frappés, les prient de recevoir l'expression sincère de leurs réméré ciements.

On annonce la mort de M. Amédëe' 3$ La Valette de Monbrun, ancien directeur di| domaine commun à la Compagnie de Suez. Un service funèbre à la mémoire de l'în-, tendant général Deverre, qui a succombé dans les tragiques circonstances que l'on sait, ,a été] célébré hier matin, à dix heures, en l'église Saint-Louis des Invalides.

Un catafalque avait été érigé dans le haut de la nef, recouvert du pavillon tricolore. L'ah» soute a été donnée par le chanoine Verdrie, curé de Sainte-Clotilde.

Le deuil était conduit par les cinq frères "du' défunt et M. Alfred Saglio.

L'intendant général Blondel représentait le» gouverneur militaire de Paris, On remarquait également le contrôleur général Guinand, secré, taire général- du ministère de. la guerre, une députation du « Souvenir français», ayant à sa tête le général Feraéy«président, qui-a-pro.tioncé un discours %KWM& la^feémonje. { L'inhumation a eu lieu mercredi à Nantes," ît la -suite des: obsèques.

On annonce de New-York la mort 'de S. Exc. M. Henry White, qui fut ambassadeur des Etats-Unis à Paris de 1907 à .1909. Membre de la délégation américaine à la. Conférence de la paix, M. White fit partie e4 cette qualité du comité de vérification des pou. voirs du bureau de la Conférence de la pai^ constitué en janvier 191 9.

*i Les obsèques de notre regrette confrère,' André Heyman ont eu lieu hier à Barbizon au milieu d'une grande affluence.

M. Souchon représentait le président de la| Chambre M. Lavanant, le ministre de l'intérieur et M. Mony Sabin, le résident général au Maroc.

Toute la presse de Paris avait tenu à envoyer des délégués pour rendre un dernier; hommage à un camarade qui, durant sa car-» rière, ne fut qu'entouré de sympathie. Au cimetière, des discours furent prononcé^ par M. Maillard, au nom de la direction du «Matin» Dibie, rédacteur en chef; Thinet/ au nom des inforjhateurs judiciaires.^ Villette^ président de l'association des nouvellistes parisiens,. et Abel Henry, président de l'Association des journalistes parlementaires.

r. ,i Serigny,

p~,l,I't' CAR1V)E,'I`

Madame,

voici le beau temps, il faut apprendre à conduire, allez donc, 162, avenue Malakoff,' consulter Versigny, qui, seul, sur de luxueuses' voitures de toutes marques, pourra, en peu de temps, vous faire conduire d'une façon par-' faite, adroite et élégante., "<

LEGION D'HONNEUR

'II -•

Sont nommés chevaliers MM. Lambert,' Levy, directeur général de la Compagnie « l'Est-Lumière » Emmanuel Gondon, ingénieur des Ponts et Chaussées à Arles j Hippo., lyte Guillot, conducteur de travaux publics, ¡

Informations politiques

.1,

Le budget de l'agriculture

La commission des finances de la. Chambra' avait à désigner, hier, un rapporteur du bud-, get de l'agriculture, en remplacement de M, Compère-Morel, démissionnafce. Trois candidats étaient d'abord en présence:, MM. de Monicault, de l'Union républicaine démocratique; Astier, de la gauche radicale, «fe Valière, socialiste. M. Astiev ayant retiré ;sa- candidature, la commission avait leuchoix en*. -j ire un républicain national, entièrement dé-'voué aux intérêts agricoles, agriculteur. Jui-. même, d'une compétence indiscutée et un so-. cialiste, ancien instituteur. C'est ce dernier qui a été élu par 15 voix contre 10.

Au début de la séanee, la commission avait nommé deux nouveaux vice-présidents MM. Léon Baréty, de la gauche républicaine démocratique, et Candace, républicain socialiste.

Les lignes aériennes nouvelles

-.a.~

Un nouveau service d'avion fonctionne depuis ce matin et jusqu'à fin d'août eu-' tre Londres et Le Touquet. Le' départ dti- Croydon a lieu à 16 h. 30. L'arrivée au.. Touquet à 17 h. 45. Le retour est effectue le lendemain matin.


DERNIÈRE HEURE

Les nations balkaniques réagissent contre les. menées de la IIF Internationale

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!,r Belgrade, 15 juillet. Les journaux publient des comptes rendus des travaux "clandestins des .bolchevistes qui se concenvtrent actuellement en Grèce pour s'étendre ensuite dans tous les Balkans.

1 Au début, les autorités grecques ont con-

'sidéré avec calme l'agitation bolchevique,

cal' ejlès. ëspéra|e,fit que le mouvement s'é-| teindrait de lui-même,, Mais les événements; ^ânglants de Saïonique, deDrama, de Ca- .sala* ont,"au contraire;- prouvé que ̃̃̃l'agita-; .'tion gagne peu à peu du terrain, de sorte! que le gouvernement d'Athènes se'v.oit obli-::'gë" de prendre des mesures décisives- Tous les partis de Grèce, que ce soient les royalistes ou les républicains, réclament d'ailleurs des mesures énergiques pour prévenir un coup de main communiste. Au sujet de l'organisation de la Troisième Internationale en Grèce, la presse de Belgrade assure qu'il s'agit de la création d'un système de cellules de 12 membres chacune, soumises aux cellules centrales des grandes villes. Les décisions sont prises par un comité national et par la Troïka, instance suprême. La Troïka grecque se'compose d'un chef et deux assistants. Le- directeur de tout le mouvement a été homme par Moscou. L'organisation d'une armée' communiste aurait été ébauchée. L'agitation bolchevique semble prendre également un nouvel essor en Bulgarie on signale des agitateurs de la Troisième Inter.nationale dans les ports de la mer Ncĩ$e. Le gouvernement de Sofia a publié un manifeste dénonçant le péril bolcheviste, toujours menaçant, et on pense que ce sera Te! signal d'une action de répression plus

•énergique.

̃ > En Roumanie, les tentatives de création idé cellules communistes ont eu un maigre s.uecès, car les autorités roumaines surveillent très rigoureusement les frontières et expulsent ou arrêtent tous. les él,çmgnts fUspects- ou' dont eux. '̃̃<̃̃• ̃'̃'̃-

-,·r. C'I' s:.a.

-J-Ji?"- LES DECLARÂTÏ<MfS '• ii W-'DE 'M. DE BROQITEVÏLLE {:

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̃ «. La réponse -de la Belgique à la démarche allemande

BERLIN, 15 juillet. Les journaux annoncent que'la note contenant la réponse du ministre belge de la guerre, M; de Broqueville, au sujet des récentes accusations portées par lui contre l'Allemagne, est arrivée ce matin à Berlin. On n'en connaît pas encore le texte.

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EN IRLANDE

l Une tentative de sabotage DUBLIN (via Londres), 15 juillet. On mande de Dublin au Morning Post que, hier soir, à la tombée de la nuit, tous les fils téléphoniques et télégraphiques qui relient la ville de Cork avec l'extérieur ont été coupés par une bande de révolutionnaires que l'on croit être des extrémistes. Les plans de ceux-ci ont été déjoués du fait que les communications ont été rétablies avant la matinée. Dans lés milieux gouvernementaux, on garde le silence le plus complet sûr cette. affaire. ̃̃̃. '̃<̃̃̃ ̃' "̃> '̃̃ ':['

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La i>i>Ktîquc extérieure •>

.-Let 1- de la Tchécoslovaquie

Prague, 15 juillet. M. Bénès a déclaré devant la Commission sénatoriale des affaires extérieures que les relations entre la Tchécoslovaquie et l'Angleterre qui, depuis la fin de la guerre, avaient été des plus amicales, ne cessent de s'améliorer. « L'article de lord Rothermere, a ajouté M. Bénès, n'a pas l'importance qui lui a été attribuée. Une telle propagande s'avère de plus en plus stérile. »

Les rapports avec la Roumanie sont des plus intimes. La dernière conférence de la Petite Entente a démenti toutes les allégations contraires. Le gouvernement, roumain poursuit sa politique traditionnelle. Un certain apaisement s'est produit dans l'évolution des problèmes balkaniques malgré l'existence du différend résultant du traité de Tirana. La France et la Tchécoslovaquie souhaitent une solution pacifique aussi prompte que possible.

L'OPINION DES AUTRES

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s A la lueur d'Uù inGideût Permëttra-t-on à l'Allemagne toutes les audaces et toutes les prétentions? Ce serait la pousser, dit notre confrère, ,«à Joutes les démences ».

'Poignantes sont les réflexions de M. Jacques Bainville- dans la LIBERTE, à propos de l'incident germano-belge

La. querelle qui est cherchée à la Belgique par l'Allemagne du maréchal Hindenburg rappelle les temps où l'Allemagne de Guillaume ÏI collectionnait les casus belli et se ménageait toute une réserve d'incidents diplomatiques comme une poire pour la soif. La ressemblance s'accroît par l'indifférence des démocraties voisines. Faûdra-t-il encore des coups de tonnerre pour les réveiller ? Voilà la troisième démarche à laquelle M. de Keller, d'ordre de son gouvernement, se livre à Bruxelles pour obtenir la rétractation de M. de Broquevillè ou la production des documents auxquels le ministre de la défense nationale belge a fait allusion dans son discours. M. de Broqueville a pu avoir des rapports dont la source doit rester secrète. Mais il a dit ce que tout le monde sait, ce que tout le monde,a a lu, dans les révélations, du Manchester Guardian, entendu par les interpellations social-démocrates au Reichstag, vu, enfin, par la manifestation des Casques d'Acier. Les réclamations du ministre d'Allemagne prennent ainsi le caractère de sommations. C'est une épreuve de force appliquée au point le plus faible. L'Allemagne, aujourd'hui, parle haut et roide à la Belgique; Si les Alliés ne réagissent pas, l'Allemagne sera fixée. Cet état de choses commencera alors à ressembler â: celui qife nous avons connu avant 1914, lorsqu'on allait de l'alerté de Tanger au coup d'iAgadir en "passant "pât 'des/ sériés" <r"irï-. cidents divers. Les gouvernements qui furent alliés regretteront un jour de ne pas avoir arrêté, dès le début, ces velléités agressives. fce Parlement en vacances

Le JQURNAL DES DEBATS analysejes raisons de l'apathie de l'opinion devant l'agitation parlementaire des dernières semaines». A vrai dire elle n'envisageait la proportionnelle que sous l'aspect d'un problème dont la solution était incontestable.ment exacte, mais qu'elle ne comprenait pas très bien. Elle approuvait, mais sans entbousiasme. Par contre, elle eut compris et; applaudi d'emblée le scrutin uninominal à un seul tour. Mais revenons aux commentaires si judicieux de notre jcpnfrère

Dans le cimetière de Laeken un soldat inconnu français a été inhumé hier

Bruxelles," 15 juillet. Le corps du Soldat Inconnu français tombé sur le sol belge a été transporté ce soir en corbillard automobile d'Ypres à Laeken, où il est arrivé à 7 heures 35. Le cercueil,, entouré d'un drapeau français et recouvert de; fleurs a, été aussitôt transporté dans le hall d'honneur de ^l'hôtel communal, aménagé en chapelle ardente. Ont pris part la cérémonie M. Herbette, ambassadeur de France1,1 le! Collège ;échévinal, des déta-; chem'entsuées' armées belge et- française, des délégations de sociétés patriotiques et militaires./ ̃̃ Le public, très nombreux, a été admis à défiler devant le cercueil.

A 8 heures et demie a eu lieu la translation du corps du Soldat Inconnu de l'hôtel communal au monument élevé dans le cimetière à, la mémoire des Français tombés sur le sol belge. Le cercueil était porté sur une civière par huit militaires et encadré de seize porteurs de torches,et des soldats français en armes. On remarquait "dans le cortège l'ambassadeur de France, les membres du Comité du monument conduits, par le baron Steens et diverses associations.

Le cercueil a été déposé dans le caveau du Mémorial, tandis que la Marseillaise était jouée eh sourdine.

La police assurera la garde du monument jusqu'à; la fermeture, du caveau, qui aura lieu demain matin samedi. Dimanche, à dix heures, un service solennel sera célébré en l'église N.-D. de Laeken pour le repos de l'âme des soldats français tombés en Belgique pendant l'a guerre.

L'après-midi, à 4 heures, l'inauguration du Mémorial aura lieu en présence de S. M. le roi Albert et de M. Poincaré.

M. Poincaré part aujourd'hui

:!t)tt'"jï j1fp(~a:J?,~¡n";(auüjourd'hwo'

r.t: "Aii\iw PPWj Bru^eUes/» wm-

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'Le pré'si'de'nt. cju ÏJQhseil, accompagné de Mme P6incâi'é,"pàrOTa''cet,aprëg-rtijdi ppur Bruxelles, où il arrivera a 5 h. Ï5l"lï sera reçu à la gare par M. Jaspar, premier ministre, et M. Herbette, ambassadeur de France.

Ce soir, au Palais-Royal, un dîner intime sera offert à M. et Mme Poincaré par les souverains belges.

.·.r~m.

EN HONGRIE

Est-ce une nouvelle affaire

de faux billets de banque ?

BUDAPEST, 15 juillet. L'Agénce Télégraphique honaroise communique la note officielle suivante Dans la caisse d'une banque de Budapest,, on a trouvé un faux billet de 1.000 fr. La Banque nationale a ouvert une enquête rigoureuse pour établir la provenance et l'origine du faux billet unique.

La police a ouvert également une instruction.

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Six mois de prison pour avoir blasphémé contre le D Stresemann

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ciste, "qui, a; Plauen :(Saxe), accusé rfavoir blasphémé contre M. Stresemann,, ministre des Affairés étrangères du Reich, le procureur d'Etat a exigé aujourd'hui, comme en première instance, la peine de six mois de prison.

riEN" QUELQUES MOTS

Changhaï. Le Yarig-Tse-Kiang a débordé et a inondé la province de Anhwei. On estime déjà le nombre des victimes à un millier. Plusieurs milliers d'autres personnes sont sans abri. on craint la famine.

New-York. Un violent orage a éclaté à New-York, mettant ainsi fin aux fortes vagues de chaleur qui s'étaient abattues dèpuis.quelques jours sur la banlieue et la ville. Certaines rues ont été complètement inondées, ce qui causé des dégâts consisérables. Rome. D'après les journaux, des accords économiques seraient intervenus entre la Grèce et l'Italie, accords, dont le Conseil des ministres s'occuperait prochainement.

i iiv.'isil;1" "̃; iMiïiuu fc'

Les électeurs, «au. foad, ji'ont pas d'illufions,. Ils s'intéressent de moins en moins, aux dé!tâïfs''#èlïàvi:ië pMëmeiîï'aifë: Ils' ne retienri'ént que l'essentiel des affaires publiques. Et l'essentiel- pour le moment, c'est encore, c'est toujours l'équilibre de nos finances et la tenue de notre monnaie. Tel est le secret de la force durable de M. Poincaré.-Le président du Conseil n'a pas laissé partir la Chambre sans lui faire un exposé, qui a été très applaudi et sans s'expliquer sur le budget, et sur la démagogie qui consiste à le grever pour améliorer le sort des fonctionnaires au delà du possible. Il a obtenu un très vif succès. En outre, il a, par scn discours, remis les choses au point, et, après le vote de la réforme électorale, rappelé que le problème financier demeurait au premier plan.

Voilà sur quelles impressions s'est terminée la session parlementaire. La situation du mi-'nistère tout entier a souffert par contre-coup de la bataille sur la réforme électorale. Le chef du gouvernement, dès qu'il se manifeste et s'explique, arrive encore à imposer par le raisonnement la nécessité, de ses conceptions, et garde une autorité personnelle incontestable. Tout le monde sait que l'œuvre de redressement financier n'est pas finie. Tout le monde sait qu'elle réclame du temps, des desseins continus. Tout le' monde craint le lendemain d'une crise ministérielle et l'aventure d'une* crise politique générale.

Mais, en même temps, à mesure que le temps a passé, il est devenu de plus en plus évident que l'union nationale, indispensable aux finances, ne suffit pas à tout. On a entendu le ministre de l'intérieur reconnaître lui-même les divisions du ministère au 'sujet du scrutin d'arrondissement. On a> devina^ d'autres divisions, qui se sont manifestées par des dé-1 marches contradictoires au sujet des coïnmunistes, par des poursuites hâtives, 'des arrestatjioijs ipiîécipité«fi 4t' qui -ne spaùvoierit* être maintenues, toute une érie d'actes, .^ssez désordonnés qui ont donné une certaine impression d'incertitude. Le ministère a forcément contre lui les socialistes. Ce n'est pas un mal. Ce serait même un bien, si les radicaux avaient à l'égard du socialisme une attitude nette. Mais toute la situation politique est faussée par le double jeu du parti radical qui soutient â la Chambre le ministère d'union, et qui le combat dans les arrondissements par son alliance avec, ses adversaires, socialistes. Les vacances éclaireront-elles ces problèmes politiques? Le gouvernement trouvera-t-il le moyen de faire. l'unité de ses membres et de sa doctrine? C'est toute la question qui remplira les mois d'été. De la réponse qui y sera faite dépend la politique à la rentrée. C'est l'éternelle question Tant qu'elle ne ser*à' pas 'résolue, il faudra renoncer à la constitution, en France, d'un grand par- ti d'ordre, de progrès administratif de réforme sociale et d'union patriotique qui,

POLITI·~L1E ~~l®IQ~~E

Les relations franco-suisses

Au milieu du mois dernier, lès gazettes nous, ont appris que la Suisse/ intéressée par le projet du nouveau tarif douanier à l'étude en France, avait saisi le gouverne^ment français d'une série de demandes destinées à favoriser le maintien, des boji^ nes relations commerciales entre les çleux; pays ultérieuretnent, nous avons appris] l'arrivée à Paris d'une mission composée de fonctionnaires helvétiques et d'experts,: venant discuter à la fois la réponse que le gouvernement français croirait devoir faire aux propositions suisses :ét les demandes reconventiqnnelles "fl'ue la France ne pouvait manquer d'introduire dans la négociation, à titré*' de eôi'ntrèp'artîe: La presse ̃ de là-is^ accbmpaglfè lés" politessessquer~setsont faites ,les;:aélégaUons: des deux pays de commentaires moins ai-j mables sur. les. <tendanc.es de notre sèîomie douanière et sur les effets qu'elle aurait au" point de vue des importations essentielles de la Suisse. en France.,Plus sérieux et scientifique de ton, iç'Biufetin de la Chambre de commerce suisse en France qui est un organisme plein d'àctivité.a présenté, sous un jour éminemment favorable à la thèse helvétique.bien entendu.quelques pages de statistiques dont l'étude est bien intéressante au moment où vient de s'ouvrir une négociation importante. On rappellera à ce propos que pour conclure la convention commerciale du 20' octobre 1906, qui est le statut des échanges franco1-, suisses, de laborieuses tractations sVpôUr-: suivirent durant plus de dix mois c'est que les négociateurs suisses menaient à cette époque une dure offensive déjà contre nos tarifs douaniers et non sans' succès puisque, entamant l'orthodoxe doctrine représentée par les délégués français, ils surent obtenir des réductions sur notre tarif minimum, arche, sainte du protectionnisme, réputée intangible, et le's; consolidations qui leur 'assuraient que pour certains articles spécifiés la France, ne pourrait appliquer de majoration de tarif que douze mois après avoir averti Berne. Ces fortes concessions étaient coin- pensées par le relèvement de nos droits sur les appareils électriques, les br,oderïes et les. tissus de soje et par ,<jes .réductions des fariifs'sùisses'!siir %s;trlritsrçpnsërves,

Sardines,' :beuiire^irgm&gé",lic'ogrtàcs,- vins

mousseux» .ffêteirt«Bt3,iTarfumeries, été. Tout cet iégijilîBrej'a^lieurs a.'sJtè' détruit :par la guerre et par la crise économique S qui suivi, au cours de laquelle les gottvernements se sont libérés des engagfe- merils pris et ont rectifié leurs régime.s d'importation par des coefficients doua-! niers par des prohibitions d'entrée et 'de sortie, moyens de 'fortune qu'imposaient des circonstances anormales. ••'̃ >r D'après nos statistiques, la Suisse aurait | absorbé en 1926 pour 3 milliards 536 mil» t lions de francs de produits français, Içs principaux articles étant les soies (ijfà millions), les céréales (102), les vins (137), la houille (163), les fers et aciers (167), lés produits chimiques (163), les fils (1'47), les tissus (451), les confections (134), l'es peaux préparées, (112), les outils (107), les autos (181), les pneumatiques (12.8) mais, comme le fait judicieusement remarquer 1 administration des douanes impuissante devant l'inexactitude des déclara- tions faites par les exportateurs, une par- tie considérable .de ces marchandises n'ont fait que transiter par la Suisse, fournissant ainsi.un aliment à son trafic et l'aidant à combler le. déficit ahroniqu'î des chemins de fer fédéraux. Les chiffres suisses qui se rapprocheraient davantage de la vérité, fixent à 495 millions de francs suisses nos importations polir* 1926, soit au cinquième de la Valeur totale des marchandises reçues de î'éh*anger. ̃' Naturellement il Inéipeut fÊtre-questîôa' de balance égale. "-entai deu'isnpays, êdnt Itj

puissance jndustriellçnet fo^ninèrciale est

dans le rapport de 1 à 10 cqmnie'leur pot pulation (la Suisse compte 3 millions 880 mille habitants). Aussi le total de plus d'un milliard de francs français atteint par les achats dé' la France en 1926 est il fort appréciable. Si l'on réfléchit que'

l'horlogerie compte là-dedans po 83 mil*

l'liorlogerie corttpte là-dedatis pour 83 ni

lions de francs, et que cet article, si parttt culièrement suisse, est pourtant soumis des restrictions d'entrée, condamnées à disparaître avec l'application de notre nouveau tarif,, on constatera que la Suisse a autant à espérer qu'à craindre 'de notre révision douanière les droits ad valorem, si modérés par rapport à ceux de l'Amérique et même de l'Angleterre, qu'a1 réclamés l'industrie française de l'horlb- gerie, ne sont pas une menace aussi brutale que le prétendent certains de nos confrères helvétiques, et il y aura, avant comme après, beaucoup de .montres, suisTl ses qui marqueront l'heure dans les gilets ou aux poignets français. Seigny ,loan,

Seigny -Joan. i

fatalement, par sa définition même, exclut les socialistes. Mais, défaut des hommesj> l'instinct populaire c'est, heureusement^ dans le destin éternel de la -France tsaxira bien imposer -un jour prochain des^ S solutions fiaiiiatricesb ii^r«'e.s9l t' i'<y*b

'J'1t!I:' <t'jj~1 :r,t

̃•̃ techniqtte1 'du' Botehevistue

La REVUE DES DEUX MONDES public! ̃ un fort curieux article d'un <s TroisEtoiles » qui, déjà, signa en avril dernier' iun.e étude rematqu'ajile et, que nous avons^j citée, sur l'Héritage romflin et le bplche-, visme. Cette fois, il s'agit, de Technique: révolutionnaire du holchevisme. L'au-/ teur insiste sur cette.erreur trop répandue, 1 et qui fait considérer les, excès du bol- chevïsme comme des manifestations^ d'anarchie confuse La caractéristique initiale, du bolchevisme;, c'est d'être l'œuvre personnelle d'un, petit nombre de chefs essentiellement technicien}! et hommes d'étude. Ils ont délibérément déchaîné et exploité la violence populaire mais, par essence, c'étaient des hommes d'étude et de science science spéciale évidemment, puisqu'il s'agit de science révolutionnaire, et ils avaient poussé l'étude de cette science de façon méthodique aussi loin qu'il était possible. Ils ont réellement créé de toutes pièces un type nouveau de révolu^' tion. On peut discuter la rigueur scientifique, de- leurs conceptions sociales on ne saurait' discuter la rigueur «scientifique de leur technique révolutionnaire, qu'il est- essentiel de*' connaître si l'on veut y fairei«chec. ̃̃>̃ « L'insurrection: est un art »v dit Marx. r « Ce ne sont, pas les peuples qui [préparent les révolutioonSj^cmnBréjianf Jep, pépies ai.,

les faire ,éçr,ij, .Lfipinp. \H^ vt

Suit, pendant près de '.vingt-cinq pages, 1 un examep njjniitieux de*, jnéthodes d'organisation l'é-volutiqnnan'tfe enseignées eti; pratiquées parles agents de;3(fosoou. Nous;* ne pouvons donner de larges- (extraits de- cet exposé: qui -confirme d'ailleurs, sur. un grand nombre de points, les révélations" de notre directeur politique, M. François Coty. Citons toutefois les bases de la technique de préparation révolutionnaire et celles de l'exécution -ri ,• f | Technique de préparation. Action sur la masse. A. Classe ouvrière 1° L'éduquer par a) La presse de propagande, tracts, brochures,, journaux, films b) Les conférences de propagande, semaines de bolehevisàtion; c) Les écoles et cours de propagande. 2° L'organiser, a) Dès' la jeunesse par les jeunesses communistes; b) Dans la nation: par, l'organisation» du parti en cellules, rayons, fédérations. » 3° La tenir en haleine a) Par I'inimix-j ¡ tion dans tous les conflits du travail; b) Par les procès d'opinions. i

NOUVELLES DIVERSES

PC '̃̃ .?̃ On arrête

une bande de voleurs d'autos M. Michel, commissaire de police du quartier de laMùettej a arrêté Roger Schlechtel, 20 ans, les trois frères Radul..çâjer, Edouard! Je^n,- Jacques, Vincent Roger et Camille Freulon qui appartenaient à ̃une baade "MOjeurs d'autompbiles. Un complice nommé Michaelis, qui a échappé aux recherches de la police est activement recherché.'

'1

~~ipnç~nt d~ncendie L'explosion d'un: réchaud à alcool provoque- un. commencement d'incendie au ̃ôeusiièmë étage,1 '1H)-, rue Mirbel dans "l'ap'fe'àrtfehjeht dë.M'ï'i'^érie'CrOss.et. t~ ,>

,11 a été éteint ''pa^/l'çf'pôhîpïërs'de'îac'ca-:

«enne d,u..ijBort-Royal>\ o.vi •- i;

s* .>s ̃'̃̃•̃£ ̃̃!<• nh< 'nyrc' ";>} i, ̃

̃a .? v > Arrestation de l assassin présume <Je l'intendant général

̃̃ ̃̃'̃̃-) i, r, ;'». rjpvpri-e

.t.j.~L~C'VC~ÊC.

GrenobiJe> 15!juillet. -r- La police de Grenoble' vient d'arrêter un individu suspect que l'on suppose 'être l'auteur du crime du rapide Gi-enoble-P.aris. Cet individu est celui qui, à Dijon, le matin même du crime, avait, demandé à M. Sauzet, industriel à Autun, de le conduire en automobile jusqu'à Tournus, sous prétexte qu'il était sans ressources, ayant perdu son portefeuille et oublié ses bagages dans un train. Il se dit Grec et a sur lui un passeport au nom de André Orebger. Mais on croit que ce nom n'est pas le sien. On a de fortes raisons de penser qu'il -parle- lé français, bien qu'il prétende l'ignorer. L'enquête continue.

Le délégué chinois à la S. D. N. est révoqué par Tchang Tso Lin

;r-

Londres, 15 juillet^– 'On mande de Pé-

kin

Le maréchal Tchang Tso Lin, chef du « gouvernement » nordiste de Pékin, fait savoir qu'il révoque M. Chao Chin Chu de sésf'foricii-ç«s"d;e,r(îéjé>gtteib Chinois1 à la

D. d pas-

'"> Cette déjysiqn^.yîenii.à, Ja'SAi'îte du pàs-

ssage' de Chao Chin Chin'au ';i§ervice du gouvernement, jsïidiste i de Nankin. En effet, tout récemment, M. Chu avait à l'occasion de la conférence navale fait cette déclaration Je suis chargé par le gouvernement nationaliste chinois de déclarer que le gouvernement et le peuple de la République chinoise 'refuseront de reconnaitre toute décision prise au sujet de la Chine par la' Conférence actuelle ou toute autre où là; Chine n'est pas représentée ». '̃̃'

M. Chu, ministre, de Chine à Rome, avait été accrédité à là S. D. N. par le gouvernement de Pékin;

A ce titre, il devint membre du Conseil en 1926.

Son rôle était assez délicat. Lors de son élection ail Conseil, quelqu'un lui demanda au nom de qui il parlait. Malin, il répondit « Au nom 'du gouvernement auprès duquel vos ministres sont accré. dités. »

Abrogation de l'accord sino-hollandais Londres, 15 juillet. On ̃ mande de Nankin à l'Agence- Reuter

Le comité nationaliste pour la revision des traités' a décidé que l'accord sino-hollàùdais &e 1911 serait abrogé et que le ministère des affaires étrangères entrerait aussitôt,- en négociations, avec le gouvernenîent hj^Rml^is à- c-e Sujp:tr"; ̃;̃•. !\y> '̃¥në''protestati(iiv. Ses puissances .'XpNDRipS.r Î5J juilîéi. '.Suivant" correspo^dani'du'^A'es ̃' a Pékih.'ies puisgiihcps.jàyantj.dèsj^intêrêts ,en" Chine se seraient mises "d/açcord pour protester contre les impôfS[. additionnels et les taxes annoncés par lé. gouvernement de Nankin.

"çkl"

LÏTÉ SUT LA^GOTE DES MATO C'est une" région très pittoresque et l'été y est très agréable. A la Croix (Var) on jouit à la fois du soleil, du repos, des fleurs et d'un climat sec et -vivifiant, grâce à la brise de mer.. Pas de casino, mais une belle plage et de nombreuses excursions. Vous trouverez, au Grand Hôtel, bonne table et bon accueil.

.T.oute demande d< changement d'adresse doit être accompagnée de la somme de un franc ̃ cinquante en timbres-poste,- pour couvrir une partie des trais de renouvellement de la bande.

4° L'aguerrir par des .manifestations progressives.

3. Classe bourgeoise Détruire les influences' bourgeoises i a) Clergé; b) Famille

(mouvement féministe) c) Œuvres bourgeoi-

ses ^spécialement charité).

̃ •Action teS»î?é'^tfrfooliî*. ^J'i^jPbs de p'a'rti-1 j oipation- .au-p,pwoir,« pour ne pas y comproinetfre le,«ar,ti,î,^i&ijijMmi>.(«, tautp, action des ga,uches,; En revaiielie, conquête des or-> ïganes administratifs, en particulier municï-

palité.

3" Assurer sa liberté d'action en s'appuyant survies lois bourgeoises liberté d'opinion, liberté de presse; liberté de réunion,- liberté d'association.

i" Affaiblir Iq^uolonlé du pouvoir, en lui arrachant- des capitulations successives dans toutes. les questions ouvrières, spécialement de grèves (non-intervention, amnistie, réintégrations) et en l'habituant à des « manifestations pacifiques' ».

Affaiblir l'armée, en appuyant toute mesure de nature à diminuer sa puissance. Si l'on ne peut la pénétrer, accentuer la défiance entre le gouvernement et l'armée (spectre du coup d'Etat prétorien). Obtenir sa non-intervention dans les troubles ouvriers (protestations contre les « provocations militaires »), annihiler l'esprit d'initiativé par la question de subordination stricte aux ordres du pouvoir civil. Action sur les rengagés, sur les réservistes, sur les mutilés et les pensionnes.

Technique d'exécution. -Action sur les masses Terrifier, ale bourgeois par la descente en masse dans; la, rue. Postes, patrouilles, mitrailleuses, autos blindées.

Le désarmer, en supprimant les journaux 'afin qu'ij ne sache rien, l'argent en fermant les banques; le' priver des moyens de transport (autos) et l'empêcher de s'organiser (contrôle desi\réu-nions.)J •̃

̃ Nationaliser banques, usines, industries, maisons privées (rôle des cellulesX. < >:> §'assnrer de l'drggntaifécessaire par main'nyse sur les.. banques, par contributions sur. Jes' .caisses .publiaiijes.et j>ri\;é,e,s. Établir une police et une" justice populaires, régler ljç cii'culatîùn par l'exigence d'une .«•carte <d'ideiiïité iV A.pàf tir de ce moment, le (bourgeois ne peut -*)dUs' s'échapper. .Contrôle des armes privées, prétexte^ à per-

qùisitions et à amendes.

,:Action sur le pouvoir. >– r-; Isoler le pou-

voir central par1 la mainmise sur les commu-

nications P. T. T., transports. (Rôle des cellules correspondantes.)

Isoler par. la même- méthode les organes Bubordonnés, provinces, commandements militaires, .supprimer,, les, personnalités, gê-

nantes.

Dresser Un pouvoir des soviets en face de Pàhcien pdu'vdhy partout où le 'mouvement a'une supériorité évidente, et seulement alors renverser les. -anciennes autorités. ̃ ». [Ne pas toucher ̃ aux points (campagnes, provinces) où le parti gouvernemental a la supériorité,. mais se borner à les isoler complètement. Ils tomberont faute d'ordres, de nouvelles, d'argent, de ravitaillement et se-

CHRONIQUES DOCUMpTAIRES

'_t.¡Jt~;

LA ^ERDUriATMl » DES EAUX JETABLES

L'irritant problème de l'assainissement des eaux potables, qui passionne à bon droit les hygiénistes, semble enfin résolu, de la façon tout à la fois la plus élégante, la plus simple et la plus radicale, la plus économique aussi, car elle esta la portée des municipalités les plus pauvres et les plus mal outillées. `'- Il s'agit, en effet, de la stérilisation par les hypochlorites à dose infinitésimale, longtemps connue sous le nom de « javellisation », mais qu'on a fini par baptiser verdiihisation, parce que sqn application;

sutunç grande .échelle a, .çpntrihué, ù.-la|

victoire de Verdun, enj$r£i?ér,vanf japs., soldats, déjà vaccinés-, contre la, ï;ièyxe ty-' phoïde, de la eontagipni. de la'dysenteriet ,amibienne, importée^ pari les .aitKiMaire.s* annamites. '•̃ ̃̃̃•̃̃ C'est la ville de Reims qui ouvert la marche. Mais nombre d'autres villes Carcassonne, Aix-les-Bains, les Sables-d'Olonne, Monte-Carlo, Compiègne, Bellegarde, etc., etc., ont emboîté ou se -«disposent à emboîter le pas. Tout porte à croire que son emploi, intentionnellement laissé dans le domaine public, va se généraliser ce ne sera ni le premier, hi le- dernier, ni, le moins précieux, cadeau que .la science francaise aura offert à l'humanité.. Il .'me sera permis d'en: témoigner personnellement une satisfaction particulière., Depuis tantôt vingt-cinq' ans. que je n'ai; cessé von clamantis in deserto de' préconiser cette méthode '(sous une, forme rudimentaire, il est vrai), jîai peut-être acquis sur elle une sorte de droit, -non pas de paternité, mais de parrainage.

'1

"•̃̃•' 1.. ̃>:>̃ "̃̃•j:i r:î:j

J'ai rappelé, naguère, ici mênie (voir Figaro du 20 décembre 1924) que, sans préjudice de quelques essais fragmentaires, trop limités dans le temps et dans l'espace pour être décisifs, le mérite de la première expérience dans les conditions mêmes de la pratique courante, appartient au docteur Igonet,, directeur dés services hygiène du dé'pa^éiHglit'ae.yaÛéltfse. V £; En 1,912. et Xm, ;£ÇHfïwi. l'NfflVi #.°?si consécutifs, les 5Ô.0l)0 Tiabitanfs .âJAy\r gnon n'eurent, à consommer, que.de Teaui stérilisée par 'l1addition d'une quantité d'hypochlorite de soude, ne dépassant. pas un neuvième de milligramme p.ar litre. Quant aux résultats, ils furent réellement miraculeux. Au moment où le système fut inauguré, une effroyable épidémie de fièvre typhoïde décimait la population civile et militaire. Quelques mois, plus tard, la mortalité de ce chef était tombée à zéro. Chose curieuse, personne ne s'était aperçu du changement, si bien que si la vérité ne leur avait pas été .ultérieurement révélée, les braves Avignonnais auraient pu croire que, si le fléau avait disparu, c'était par l'effet d'un heureux hasard, ou par l'opération du Saint-Esprit. Par le fait, cette « micro-javellisation ne laissait derrière elle aucune trace perceptible au nez le plus fin, au plus subtil palais. Si le docteur Igonet crut devoir ultérieurement ajouter un soupçon d'hyposulfite de soude, dont on connaît l'avidité pour'le chlore, sous le prétexte de neutraliser l'excès (?) de réactif, ce fut uniquement par acquit de conscience, «et pour, ne pas prêter le flanc à des récriminations inspirées peut-être de l'autosuggestion. Mais ce luxe de; précaution n'était pas nécessaire j'ai pu m'en rendre compte par moi-même, en goûtant Peau chlorée à la sortie des

rabyi#ts, eJ,,à'l'entrée d,ans( la ca^a^atùjn.

LuElkiÀien.nét«L;fiaWre.;ia^,guer.de d

UftlfiPJSiw- "ït y, seyait .mein^inàlqpnne,

Rftjq rapS9rt m pr,Wçijie i^ial.i j ;,>, (.

.•,̃̃ .••y. '>:̃:»:̃>̃

Tout le monde croyait à cette- époque et moi, je l'avoue, tout le premier, que l'effet stérilisateur était dû à l'oxydation des matières organiques, inertes, ou animées, entraînant naturellement le flambage » (pour ainsi parler) des microbes, germes et spores. Si, au lieu de ijousilaisser hypnotiser par les résultats obtenus, nous avions pris la, peine de (réfléchir, nous aurions été obligés de conclure que la faible quantité de chlore dont il était fait emploi était mathématiquement ;insùffisante, pour cette simplet raison' que;l'action chimique de l'hypochlorite exige un poids de chlore double du poids de l'oxygène libéré par sa décomposition. Le%calcul montre que, dans ces conditions, il ne faut pas moins d'un milligramme de chlore pour oxyder un demi-milligramme de matières organiques ou de flore microbienne. Or, l'eau d'Avignon contenait évidemment beaucoup plus d'un demi-milligramme d'impuretés par litre. Comment

ront réduits aisément une fois que le régime soA'iétique aura pris de la solidité ailleurs'. Au point de viie administratif; n'y pas toucher substituer dans chaque 'administra-'tion noyautée la cellule d'administration à la direction corrçsjppn/lante,, Le re,ste( serft exécuté à la phase, d'exploitation. i An point de' vue armée, rie pas chercher [m conflits. Isoiyr'i:ï«!'c'6inmHild>nHènt.s'sfo^ ler les casernes, empêcher lés chefs dé rédre leurs postes pour paralyser l'ensemble. Tâcher d'obtenir des défections d'abord d'isolés, ensuite de groupes 'constitués,' et les regrouper aussitôt pour montrer que la révolution est soutenue par l'armée s'en servir pour débaucher d'autres unités. Propagande, ruses.

Comment se fait une révolution

L'auteur de, .cette, étude documentaire était en Russie dans les premiers temps de la révolution, et il rapporte des exemples saisissants qui témoignent, des: résultats obtenus par cette technique "ministres, gouverneurs, chefs d'armée isolés, soudainement et ne:pouvant plus- passer; un ordre téléphonique ou télégraphique, transports arrêtés, etc, et la substitution des autoriés réalisée1 presque sans coup férir.

Ce serait une souveraine injustice, et une injure la mémoire d'honnêtes gens, dont beaucoup sont morts à leur poste, d'imputer ̃à. leur impéritie, à leur faiblesse,. à leur igrio-, ;ranee, l'incapacité où ils se sont trouvés d'i-i naugûrer une riposte heureuse à une attaque aussi' • savante qu'imprévu. La vérité c'est que la partie est à peu de chose prés perdue,' avant que d'être engagée, si la faiblesse gouvernementale laisse mettre en place aux; points vitaux les troupes .de, l'adversaire., Or, qqu'on ne s'y trompe pas, les. pqijiis, :yitau,Xi ;soni avant tout les organes transmission d'ordres, les P. T. T.; ensuite les transports, chemins de fer, puis autres trattgp'ttfts en

commun; enfin l'eau, l'électrieiïé,le jfaesliquii

permettent da réduire merci. une .ville, en quelques ,.jours. Les cellules dons-la marine ou dans la troupe, utiles par la .suite pour entrainer des défections, n'ont qu'une importance de beaucoup secondaire. Il n'a pas manqué de régiments fidèles, eh" Hussie; mais ils ne savaient- que faire ni comment faire, qui tes eût transportés et ravitaillés. En revanche, les régiments passés aux Soviets, ayant Reposé leurs officiers et confié le. commandement au comité, lisez cellule, de régiment, étaient abondamment ravitaillés^ transportés partout leur présence était utile et parfaitement renseignés sur tout ce qu'il leur était utile de savoir. Par rapport1 aux régiments fidèles, ils, étaïenf dans la situation d'un homme clairvoyant 'en atta-' quant un autre qui aurait les yeux bandés. Partie inégale, et perdue d'ayancél ̃.̃-̃. Nous serions, pour notre part, sans excuse si nous la ̃Les Russes n'ont su que faire. Ils

eût-il été possible qu'un neuvième de milligramme de chlore en assurât la destruction ? 7

Cependant, le résultat n'était pas contes.table. Que signifiait donc cette énigme, que 'personne, d'ailleurs/ ne s'était posé? ?.

•̃ .;?;̃ ̃;

Il était réservé à M. Philippe BunauVarilla et à ses collaborateurs, les. docteurs Cathoiret, Téchoueyres, Blanchard, Blanc, Calmette, d'en trouver la clef. Le soptilège de la « javellisation » n'opère pas oxydation mais par radiolyse. En d'autres termes, la décomposition de l'hypochlorite ne se solde pas par une combustion banale, sous l'influence de l'oxygène libéré, des matières organiques et des ferments pathogènes, mais par leur fulguration, sous l'influence du dégager ment concomitant de rayons ultra-violet^ dont l'action physique' embrasse une spïiè* re bpaucoup plus «.tendue que Jes; réao ;tions c/u'nijgHçs., ,;Lat preuve «n est qaé cette action .s'eixpr.ce à travers un, .tube, quartz, 'perméable, on ]le sait, aux seul) Payons l ultra-violets. ï A' ce compte-là;1 pîtig' devait êtrePÎîë-» soin "que de-doses imperceptibles- d'hypo* chlorite. Effectivement, l'expérience a dé- montré que, avec quelques centièmes dai milligrammes de chlore actif, la stérilisation est complète et parfaite. "Elle ne. commence à'devenir incertaine qu'au-dessous de cinq centièmes. ̃

Iljn'y avait, plus dès lors qu'à régler automatiquement 'le débit de l'incomparable <̃< radioïyséur ». On y est arrivé grâce à l'emploi d'une pompe sui çjeneris, combinée de telle façon que, dans l'unité de temps, il- s'écoule environ dix millions de fois plus d'eau que de chlore, et que l'arrivée du réactif s'interrompe dès- que lai pompe s'arrête. ` v '•

,t

Comme autrefois à Avignon, là fièvre typhoïde-n'aplus reparu ni Reims, ni à Carcassonne, où elle régnait à l'état endémique. La cause est entendue. Elle est, gagnée. Grâces en soient rendues aux animateurs, qui ont réussi à codifier et à indus. trialiser ce système si paradoxal. Mais ce n'est pas une raison pour refuser un hommage mérité à l'intuition divinatoire du docteur Igonet, qui fut, il y -a1 quinze ans, l'ouvrier de la première heuret :•̃̃ > ̃:̃ ̃'̃ Emile' Gautier.

1 ~.h~ th~fr~; i)~ oz

Jjçrin.fe lj,€omtesse Markîewiçg

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'̃̃ Losdhes," l!>, juillet "'̃ Oij Annonça la' mort; à Dublin, de la comtesse Markiewjcz. On se souvient qu'en 1916 elle prit part à' la rébellion de .Dublin et qu'elle fut condamnée à mort. La peine fut commuée en celle des travaux forcés à-perpétuité et; en,' 1917, la comtesse fut libérée.

La comtesse Markiewicz avait été réélue député au 'Dail Eirèan lors des dernières élections générales, sur la liste du parti ré» publicain de M. de Valera.

r-

Le commandant Charcot à Copenhague

.Copenhague, 15 juillet. Le Pourquoi'Pas est arrivé le. 13 juillet à Copenhague. Le ministre de France a offert, à cette occasion, un grand dîner auquel ont pris part le ministre des affaires étrangères, la directeur du ministère de la marine et lei préfet de la capitale.

Le 14 juillet, le commandant Charcot ai fait une conférence sur' ses explorations au pôle nord. Il a obtenu le plus grand succès. Le même soir, sous la présidence de .M. Hermite, ministre de France Copenhague, a.eulieu un grand, banquet,. se.sqntj réunis tous les amis de la France.

•Retïaitde'Éomaies d'argent belges

.nJ111J4J JII ¿~jc..u.&. JW ,~y,

'Eé^ ïtton,riaiës' a*ar^e'nt belges- (écus 'flë é^'H'q,<1ftanps et' pièces diyis>ïonnaires) cëssfcront Ravoir cours, l'égal en Fraiic,e, et seront plus 'acceptées par les caisses pu-> bliques à partir du 1" octobre 1927.. Jusqu'à cette dernière date, la Banque de France rachèterai les pièces helges au poids du métal fin, et dans les mêmes conditions que les monnaies d'argent natio- nales.

–L–,

Imfor'jQGie.tïoinLS

Banque Russo-Asiatique

L'assemblée annuelle de 1' « Association des porteurs français de titres de, Banque Russo-Àsiatique s'est tenue 'le 2 juillet sous la présidence de M. Pierre Noël. Elle a décidé de rechercher, à l'assemblée générale extraordinaire qui doit être .tenue, en exécution d'une décision de la Cour d'appel de Paris, toutes les responsabilités prévues par la loi et d'y faire voter la fin du régime des administrateurs judiciaires,

n'étaient pas avertis, mais nous qui lia sommes, nous qui connaissons notre adversaire, devons savoir 'ce que nous pouvons lui opposer. A technique nouvelle, riposte nouvelle, dans, le cadre national ç^nmie,1sur-,l4, pjan international.. •̃̃

;'Y,f' ~1-

p'()1tHaf} .~tE~(e ~éo1i11 des Soviets ?

M. Si de,Sivet, dans V AVENIR, souligne l'intérêt des nouvelles parvenues de la Russie Rouge et qui, en concordance avec tant d'autres, nous montrent le régime des Soviets réduit, pour; se maintenir, à' d'abominables procédés de terreur.

Ainsi à Pétrograd les, ouvriers eux-mêmes s'élèvent contre le pouvoir central et prennent fait et cause pour le membre le plus en vue de l'opposition à l'intérieur même des, Soviets, commissaire du peuple disgracié" et en querelle ouverte avec le Kremlin. Les masses populaires les plus avancées, commencent donc à se dresser contre les dirigeants de Mosqou et à échapper à leur influence.

Sur le Dnieper, c'est l'armée qui s'insurge contre eux, qui se révolte contre les chefs politiques de l'Union,' 'cette armée qui, seule, a'permis jusqu'à présent aux commissaires du peuple de courber soùs: leur volonté l'immense masse des populations de l'ancien empire des tsars, de la réduire au silence, de l'enfermer dans une sorte d'immense ̃ nécropole. A Kieff, la contre-révolution gronde sourdement, car, même si les personnes arrêtées sont faussement inculpées, les Soviets et le Guépéon ne se sont- livrés à ces arrestations cjife' parce qu'ils sentent qu'un vaste mouve» ment s'organise contre eux en Ukraine.- Ainsi sur trois- points de TU. R.- S. S., trois éléments essentiellement différents se manifestent, menaçant le? ge^s^de Moscou le prolétariat, l'armée et ja contre-révolution, Tout?f4?i? l'est 'l'ind'îpi^Kjàu commencement de Ja-ffir.-fl"iftè- s'agit sans doute que de signes précurseurs. Mais dans le fait, la lutte est d¥fià,.en£aSée. entre ,,lfi; Jiremlin et les .forces de toute nature qùï sôùttrènt des abus,commis par le' « gouvernement »'bu qui ont assçz des hommes qui le composent.

Cette lutte peut être longue et l'ëcroulement des Soviets peut ne pas se produire avant beaucoup de mois. Mais dès maintenant le déclin est visible; ̃' S'en suit-il que la lutte contre le bolche* visme doive être abandonnée:? Bien loin de là. ̃ Nous l'avons toujours dit le communisme, dès qu'il, sentira son influence -décroître en Russie, multipliera son action à l'étranger, histoire de maintenir les restes de son prestige. En ruinant cette Influence on sauve son pays. d'une révolu» tion intérieure, et d'une guerre internationale. En même, temps on hâte la chute l'un gouvernemeat de terreur et d'oppression. f Pierre Villette.


Les exportations de graines compromises par la fraude Les semences de trèfle violet et de luzerne donnent lieu en France à un important commerce. Nous en vendons k l'étranger nous en achetons à l'Italie, la République Argentine, l'Espagne, et 11101116 le Turkesitan et le Cap. Les Semences d'origine française, surtout les luzernes de Provence, sont les plus recherchées. Si bien que certains commerçants, poussés par l'esprit de lucre, n'hé*sitent pas à les mélanger avec. des grsihès étrangères. Ces fraudes compfoniettent nos exportations et les cultivateurs français en sont euxmêmes victimes. ̃

1} fallait trouver un moyen de les

ertjpêcher, de déceler facdlemen(t ^çs;

graines étrangères le. gQuvflçnpT

allant propose de n'admettre désormais en France que les 'senjçri'ceS •de'vtrèflè Violet où de 'luzerne, renfermant une proportion d'au moins 6 pour 100 de graines teintes en royge.

En prenant une semblable mesure, la France ne ferait que suiyre l'exemple des Etats-Unis. Le gouvernement des Etats-*Unis exige, dans les graines provenant de ( l'étranger, «ne proportion déterminée de graines de trèfle ou de luzerne colorées çn vert, rouge ou violet. C'est ainsi que les graines provenant de France -doivent être colorées en vert. La commission de l'agriculture de' la Chambre, sur le rapport de M. Barthe, a jugé indispensable que cette loi puisse être appliquée cette ançée et soit promulguée à cet effet avant le 1" août. "l'

H. N.

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85. a. Paris & Pays-BM.. 2160 22W 3% AMort!.«abl. 68 80 W O Roum.nl. 4 A B3O 59 T .60. 12 ndust de I °Afr. duNord -»« 425 45 EpinacCHouillèrBs&Ch.fer d'>. 27a !280 Balia-Karaldin 247.. 25S..4% !9I7 .13. 13/

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2625 Tranoatiantiquo- 375 388 3i/2% Amortls.abl. W 50 93^. 4$ Hl! 54 '55 .] ndu'triîl e ,d. Ohin. M4 '50 55 60 HauU-UireCHculllères do la). 039. S!QO ̃ 10 ah.. EMkpan “̃ i-653.656 4% 1918 13 3/4.13.7 8

55., de,I'Union Parisienna. 1365 (444" 6,% 19,15',1916. 7, 75 77 ~30 Russie 04% 1698. 14: ~5, Indu.tri.lle de¿~"1:>in. ~4L. .55, po, Hau, Seraudière. la). !OB9.. ¡ 'Oa, 10.h, Brakpan (S'* Financière.. ~653 g56 4% 1916. 13 3:4, 13.7/8.'

55«.. de-l'Union Parisienne. 36= .-1444 ..5% 9 5-1916 /g « 62 30 Rus4ie 4% 186°-i869 10 55 1135 5 FrVnco-Japonsiî». ?'»̃• 59S 75 V. MoniramJwrVet la Beraudière. !620 !658 35 b. Caoutchoucs CS" Financière de) ,.544, 559 Comiolîdés. 545/854.5/8. 75- Compagnie Algérienne.. 993 2060. 4% 9 7 .«. M « .|f |^ s"l'!Fé 5% 19fo.T 1628* £48 30 d« Payt du Nord. 493 49? Samt-EtîiMèHyouillères do). '-10 111- | sh.. 6 Cha«a>edal:v;iiSSS.UV:P.l.1îT6' Î3-9 .-1 ArBoh.tin 1.ÇS6. 100 100 J.. 60 ComptoirNationald-Escompte..464 530 «% 91S « » « g |=nta FèSYo £& 3 ,,s 15 V » r « Artloh.,(M,nwado !«0 738 h. 6 «ty-Deep, :2i2 |W Brêéil raSS' 59 Va 59 !/2

2Z 50 Fonoi.r de l'indo-Chine S9O.. 60S 4%19~5 (chenge garant,). 93 3C 93 ~O Su,sse 190<1. '5 .p$' :tt!"CI,dA, IlIér\ 54~ '3$1813lan~yanc. 10 ¡9fg. Concord,I' t?4' 1?, ChIne ,41/2. 59 1(2 i2 59 :14,

km roncio^-de|̃lndo.chin^72o-•2M^?91f7(:hm^TS^ »» .»»T^Ui.c«;;i.d«MV89o: 20 s»:. 35 cffiîu^^tjgcr. «.. «tacrmïux s«g ••!$•• « f s1*?" Min#5. ••••̃•̃ iift-fâ- 1^*=^• ». «:

90 Lyonna.s. M! a ~.T~°'.f;%)Q'30 5)8 5)8.. Do~anè.,1902. 390., 390," 5~ SO, r 826, 73.c.rvin. 5)0 .~539.. 30 .h. De Beers ordinaire. 8G6..7;2 76 76

4090 M.bitier Francs. !C68 ..1(9).~ Bons du Tr~.r~t9~ Tribut d'Egyptb. 5), _n.. oBi .0" 65.. p~g. !MO..650..20 .h. preference. 1?'O .5.7.n )9/.)8.

135 Société Générale Foncière. t475 sjo 8Spt,1923. 512 5!4 PrioritéTomb.o. 367.Soii.C'B.nq~s'd.P~~nee.2!)3rai:Ma9c. 465 .'4&5. Engrais azote~ ,.4~ :50.japon)899. 64!(465j.

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60" Midi. 1138.250 1922-32. .9250 92 60 1871 3% remb. 400, 337 ~7"" ACTII 4~S ,1 Algérie-Tunisit, (Omn,um). '5~" 359" 5.h.. J~gersfonte, ':18 ':¡; East ~and. 22110/~ 24(1./2

ro..Nord.145..2240"Ceiesesutonome,49.. ,4.. !1! 187540remb.~500, 403:; 404 et; jeu 482; 'SIO' Qi.,Boleo"parts"2395':2305': 7.~=~d- 4'0" ;2 i

(Xi ort6ons ,13S 1200 0: 1876 4%emb, s 500 .¡. 206 20' 30 Chemin de fer,E. joa11J, ~6S'~ '466 L ,1 Bor (Mines de)'ord. 405 404' 7 Molaccu, ord 59'" 608 Rand M,nes. 73/1,,275/

65 ••Orléans Af n™id.n( Franc 30/0 310.. 3!4.. g 1892 2 l/2 remb. à 4001. 206.. 20! 35. Est-Algén.n 466 1. 30 Cuivro «Pyrites 77m 7900 Mal°P°lska •' '%?,*̃ §?f De Beers '̃••? f 3- l'

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100 Sente.Fé<Cie fr. ch, fer ProvJ 22.0 22SS l.do-Chine 3 0 1909 .155' ..281 276.. CL 1894-9602 1/2 r. à 4C)of. 2W-19à ï: S5.. L¥o! jouis 7ÓO" '700 235' M.ol<ta.el.¡'b. est. de 500 fr. ,640 643" Maltzoff 2~1 ~53.. J~ger~fontein. 3..7/16 3,1~6

100 ..Santa-FéCCiefr.ch. fer ProvJ ..Uii •• Indo-Chine 3 O/O19O9. f> 3t9 898 2 rémb è SOO1. 225 50 22« 35. M,d,, jouis ,?,$̃• 70° "5 Ulle-Bonnières. ord 'tS" •• ,-• Mexican-EagU Oil, ord.. f 00 ̃̃ Rio Tinto 38,1/2. 39; i, 4. 35 ..Métropolitain de Pari» 694" Ki' VjBs°l<iPX3 59 75 59 50 "j 899 2% \flet r 4 5OO1. 2! 217.. 74. Nord, joui. 55 Pétroles (C" Industrielle) ,S?"oi" «h. Mexico Mines of el Oro ï 19 50 ;23 Mexican Ea lo 15/3. 16/ 65 ,1625 Madagascar '903-1905 343 345 ° §04 2 i/2Mét.r.6SOo'. 230 232 15 50 50 NordlSud de P«r,s. 2tt •• •>• 100 Dynamite<S" Centrale) ?67j> 2685 ,8L. MBntecatini 247 25! ̃ Roya, Duten 2815 15 28.7/8.

65 ..Distr. Parisienne d'Eleotriçlte. 16» Maroc 4* 1914. ̃̃ 405 405 u,, îgSs 2 3/4 remb.4 4001. 374.. 374 50,. Orléans, joui. S4*» 50 Electro-Chiml» Métal inw nsn Moz*mb\v«> ,62 75 75 «.-Shell .4 25/32 4 25/32

70-" Thomson ~~I(~nG'nérole d'). ~275.. ¿190.. 5 %~1892 405 405 i-J à1 910 23/4NIét.r.à43o'. 374 "'Oé'$' ',50 cOrléans;joùis.¡: ~85 267 ..¿g, Ele.tro,Cl1i¡nle Métal. i030 ¡080" Mozambique. ,,8275 g4.. Shell. ,4.25/324.25/32'

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20 Thomson Houston '•• =JU>- Xu"'» Sk, ênm'ioio 436 442.. d 1910 3% remb. à 4OO1. 205 206 3250 Ouest-AlgéneH. •̃ :i; •• 162 75 Le Ripolin, jouiss isï-ïrm'" ,•• •• North Caucasian 4J 25 5U Rusoian Oil 3 9, 3/9.

115 Dives Z45S 250, oblig 500 f 5 ()Io 192o. 442 44, > 19123% remb, a a oof. 203 50 33~ SO 30.. TUnls,e" 576. ~91 131 65 St!lnt-GobDtn, 4995 508a 130.. Pedang (Caoutchoucs), 1400 ,4.8 Vemezuelan Oil, 3/.3/32 3i.7132

ll5..Div«. ••TIT-VVe t 'm" 442 :'̃ Bonilo/oM"/ «f:: 49! 5 91%^ .SOO; 338.. 339.. I6 Parisienne Ind. Eleotriqu »••̃ 252 87 Soie artificielle 5«0 ,7» .Pékin Syndicale (Shansi) -60 7= 61. 15 Forg. & Aciéries du Nord et Est. *«̃• Bons 6 0/0- 1921 1921 S 3/4% r. i SOO1. 48! 482 70 Magasins Généraux da P«ris.. •• ïl\ 30 Usine du Rhône Ç>\ ̃̃ ;5iï 15 Phosphates. de Constantine. 580 Anaconda 8/7/8 8.. 3/4. 5fJ Courrièreo n56 985 Z ïfiln \%îo 505 507 80 Eaux <C" GT[) ^?5 •• ?.fi* 52 50 Salins du Midi 1235 .230 20 Phosphates tunisien 420 425 stM, Common 27. 129. /2 50 Courrier» S# Y. Z Z o 0 anv 1923* ^6 m Com.1879 260% r.SOo' «$..460.. 50 Vichy Œtsbl. thermal) 22^5..2390.. 24850 25250 V £" g8"^0'" 464 469 50 MarC°ni vlu IVU' M •̃ Lens. Tftï ill 5 nm J- ".«?•?= 470 469.. w Fonc 1879 3% r.à SOO1 473 50 47! 30 '930 450 Port du Rosario f*?°- foin 5 sh. Rand Mines ̃ 469 M Malacca 2/. 3/4. 2/. 3/4. “̃̃ BÔhBo l'nâ"\y0" Tv^S^ISi? 470 470 « Corn f 80 3»/° r à loo'! 462.. 465.. |35 Air comprimé »» •̃ 3'f" Chargeurs Réunis (parts)..1. If» •• 1940 •̃ 3 .h. Robinson Deep A 144 '43 Kuala 75/ 75/

.4ZS0p.narroy* |S6 I20O i.' n7 4°bJ '"N^rd 6 0/0 192Î" ̃'̃ H~ < Fo^c sis 3% r. r.SoS' 235.. 235.. 30 05 Cêbles Télégraphiques! S? '• îmo «.. Havrai.e Péninsulaire .(B) $6. Roumano Belge de Pétrole. « 50 98 50 Esoompte hors banque 4.3/6.4.3 8.

.Platine S S 2f«i Km 44?.. 449., a. Fohc. 188S 260% r.SOOf. 235.. 235.. 40.. Edison v-m. •?£ !«To ̃ '0 Transports en commun iSfi"i5««" Russian Oil » 50 jS 25 p^êts ji/4 3.. i /2

.Dabrowa (Pétroles) *| Î95 ^e d'Albert 6 0/0 Com 1891 3% r. r SOO1. 235.. 235.. 25" Electricité et Gaz du 'iJprd. -S!9 48 12 Transports Maritime 1280 .288.. 30 Steaua française. «3.. 42>S/Paris Cchange) 124 0. 24 02.

Pétroles Premier 48B.. 495.. Ville de Reims 6 0/0.. 440.. 4493" Com. 1891 3% r. r 500'. 235-Ele tricité ét Gaz du Nprd 2:><0" 2" 48 12 Transports Maritimes.280 !288 30 Steaue française. '4.35" 4-' S/Paris, (change) 12401 12402

.Pétroles Premier «H w V; la da R eim s60 /O. '453.. c 1892 260% à.SOO1. 264 264 6S,. Electricité de Paris. ,w 2450 2480 Tanganyjka 385 39S s/New-York .4.8)50 4.8550.

40 Kuhlmann îOSS 1095 Astur.er.ne des M.nes 460 0: ,com S99 r i i.SOO1. 244.. 241 116 Fore" Môtric"du Rhône (parts). 6390 3500 125 Distillerie Cusenier S™jw" ? =" Tharsis 350 3» Valparaiso 39 81 39 79.

44..Qafsa.. «5 093 Ateliers Conatruct, Jeumont y A(A u pÔnî ,903 3% r. à SOO' 277,. 277. 47 50 Havraiso d'Energie Electrique. •• ,§?. •• 200 Distilleries de l'Indo-Chin ÎÎSS" '*• 9 Transvaal Consolidated Land. 326 50 33> Buenos-Airos..

Gafea:, irm. ;j'At:i~'F¿~ 18,0 1650 Cie d'Energie Eloctrique- 4~3.. 4645" Õ' Fonç. 19033% r, sool. '27,75 2~ '47 50 Havraise !,S? d:Ene, rgle Electrique. 19iô 200.0 Oistilleriee de l'indo-Chine. ~i~g i~&i" ah.9 Transvaal Consolidated, Land. 326 5,0 335., Buenoo,Air~s..

60.. Produits ohim.d'Alais, Forges. 18'0 1850 ..g ,e d'E nersie Eleolnque. ™> 455 o c°m 19O6 3 r a 5OO1 255 255.. 125 indo.Chinpjse d'Electripité. ?IO 900 90 Grand Hôtel !"? 1200 Tubes et F. de Sosnowice 251 25a A t (métai) ( comptanO 25 7 8.25 7/8.

25 Chargeurs Réunis *g •• Sj Eglises dévastées «* •• 447 Z. «m «°6 | ./» r à 5OO, ]% p^^W^EnerSiellectr.. i!70 1175 20 Grands Moulins de Corbeil, ord.2* 45 b. Tubize priv. tOO bjA Cuivre fcomptant) 53.3/4 53.3/8.

IS T«n?«t.p.rtipue ord 1089 IÎ40 Gr0S" «'ofo n^ùveMes 440 Y. 450.. g com. 1912 3l/2%r. 25O1 ̃ M2 1* 20 Radio.ElecMqUè1..B.uÇ: 23?- •• •• •• Sucreries Brésiliennes 506 5.0 4 «h. 9. Union Corporation 4-. 50 472.

Produ,te" ,m, '970.. 995 E liae. 010 nouvelles 4,8' 45.. 1 Com, 1912 3% r. 250' 2.. ,,125, Indo.Chlne"e d:Eleotrlp,té. 'I75" 9 Grand Hôtel. Tubes et F, de SOSMw,ca. ,251 25, Argent<métal)(comptent> 25 JI8, 25 716,

50 ..Voitures à Paris lus».. i,w.. 6 OT Un ou velles 460 50 454.. Fonc. 19133% r. a SOO1.. 274 272 46 .60 Rad^-Fronce ,». 604. ̃ fi COMPTANT t~ b¡4.. NEW-YORK. 15 juillet 53.3/4. 53.318.

27 50 A.1r,t~iqpide. 585 Nord Fivos.Lilia 6 010. 455 50 454.. 1- Fono, 19133% 4 r, ¡, 500'. l' 225 3P" 46,80 Red~.FrM~è 63ri i' 330", du Boulonnais '7' COMPTANT, 135,0 13W NEW'YORK, 15 juillet 41

r»À.r.u,d.«- ^ife: 455.. 460 g «.«^go» g:: | ^?.i^nù:i; l: K^ | B, «, -Z. i3,i3«. Cai, Honey, ç, m;f; ,4;

120 Caoutchoucs ''l'd' ..C' h. ~n"e" 1790 :825 Industrie "'1.10' r', 're Française.. 442.. 4~8.o~' Emp. 1917 6 1/2 r.à3Ôof. 2~0;. 3262°5' 45.. Télégraphie surit ifil. H. 7~20' rH 1,45; Li 'du Boulonnaie. ,174250' ¡' Bakou (Nephto de). 13.50 1390. Cail Money ç', m" "4, 1

335 335 ,340 Indu' tr"e'l"Afs'a' 0' ¡ "ns' ""22' 45Z 4),2~ Oond920 51/2,11 500' 2 52 ,1 ,,3; de Ilndo.Ohme. 1,4300 '300 71 25 Brosse (La). Càb i as transfer. 48) 4t55*' 53

m. âSÈi^iâSg?^ «g :s| M&3ssajfjaS!ît: %̃̃ | *&™*Vfi%ï*$ f f ^tsfsSKta! ^&»œ2£ï! i I ïïs;$?<zixx?.ï ^i; » Î&5S5T*

Orosdi-13*cw 6-e ,189.. :88 Maiton Gréguet 6 0/0. 480 80.. \),cmpr.1921612r,.500. ,,< 39' ".11 on dclectrlc'h; 6250" Pofliet& hausson. '8?3" 520 rediLeen. des'Pétrole. l' )." Changesur,Paris.,vuè. 391 Il2391"l/l,

.Orosdi.Baek- m •*? Ma.son Breouet 60/0 -•̃••̃ J 60 480.. W cX 1922 6% t p. 395' 39o. y ̃ >>'| 1)3 f62 50 3rande Maison de Blanc. 823 ^20, ,-̃ :.ty f, ,,(par^) «50 y. 16600.. y, s. Libert y. 3 ,/2% 100 7/.8 K.0 7,"8-

,Cinéma a\ 6?1 682 fPÎ é\Â2e V- 9 507 506 (i ̃ 160 Alsacienne Industriel!» Textile. ?35 93C v 50 Nouvelles Galeries., ,.U, -615 615 £ 50 Omnium-Vétràles .•350 ..33».. Atchisbn TopeVa. 185 5V8 185 1/2

.35 ..Pathé-Clnêma (Jouis). «I ..682 Sa.nt.Sob.rrtJ'ÇMiÛn/» m £ 6% 392' .r • ̃̃ •̃ 25 Acétylène & Eleptro-M^taL. !375 UlO 100 Agence Mavas 2l6'205;^ ,^fta,-Roy3|D4tc.h,fr .v!£.0*J |^|°- 3g0p,, Baltimore el.Ohio U9 1/2 l!8-

100 ..Raffineries & Sucreries Say.. 15)6,^95 •• Usme. wnisfrees 6J./2- O/O. ;|J m -'4% tH '3M.. 322 20 Aciérlesa Forgés 'de Flrminy. 255 .2821.U î 75 didot-Bottin 1420- 1450 .80 H. F. de Saulnes !*5 1925- Canadien Pacific. 183 183

59 09 Sucreries coloniales. f* M -• Algene 3 0/0 19O2 £ | 463 3% âne mne 3I9 319 50 ,,i.. de Fnance.uu. 22° ̃£&-̃• •• Le Figaro. ̃•• -y* 5 .h. ̃ Shell ̃ -593 .587 chesapo^ke.&.Ohio 182 183 1/4

100.. Union Européenne i,"™ irq&S 240 246.. 2 1/2% 3^ -• 65.. de Longwy, -;• •• •• 200 chaix 567a 100 1. steaua Romana 319 3.7 Chicago Milwaukee C lu. 16 1/4 .f,

100 Sucr., IÓIO ,1650", 60/01921" 463,.463.. -,3,%encl.nne. 324' deFl'a,nca.¡, ""1' 2W Chat. .7' 100 1. Steaue Romana. .58, "Chesapcake&Ohio 16l 11831/,4

C'o olldè 2140 21 20 "jO"?K on? ? 220 227 [Ton "3% 855 293 300.. 37*30 dl MfchevIlleV.: ^•̃min" 60 •̃ i-ibralrie Hachette. 1340 725.. Monaco. Î25Û0.. W7sO. chica go Rock Isldnd 115 U8 i 14 3/4

Russe Consolidé l"a,2# séries. ?! 40 21 Wo-Chme J9.0^ v"' 7 2?2 |% Bons jéc r.. Soô'. ̃• 4^9 •̃ 61 40 .oVSambre.rt-Meusa. 1020 !°« ̃ ..5 D. utah Copper 290U 29DU Erie Railroad 55 5 8 58 :/2

RuSBs 1906 .976% Tunis 3 1902-1907 Z87.. 272.. 6% Sons déc.r. ¡, 50? ~90.. j83'" 61 40, -dtl'Sombre.~M.1euae. 621 85 Afrique Occidentale (ci,) 3575 3610 5 D, Utah Copper.29O'J 29"v Erie Reilroad. 55 58 58 :/2

». 5%19O6 -970 19 10 Tunis 3 0/0 1902-1907 <• |% .-ns aec- 7, °°r 376 383 Atel. & Chantiers de la.Loire.. 62! 85 Afrique Occidentale <Clè) 3575 ..3610 ̃̃ ^^r^ Illinois Central 133 !33

IS bIO4 (,“ «1 «jqî?,, .o^y'c'n iinni 13050 13050.. ̃ s% 330 330 25.. Const. Nord de la France. 510 ••••̃ 48 02 Air Liquide (parts) loi» •• -̃̃' •• CHANGES New-York Central 48 1/8 52.3'4.

4 0/0 Serbie 4% amortissable 1895. ;38 60 .39 25 Allemagne 1924 'Dawas) 100 L. >»»»̃̃ |f° 300 306.. |00 Bonneville ̃>» •• •!« •• » •- Borgougnan ^??"i«-' CHANGES pensy|vania t4J 64 ,/8

Turo Unifié '"•• -S45 89 25 An8'et.°rrî:»/ Ϋn7 2295 3% Fus on anc.. »« •̃ 267-, Chantiers de Scint-Nasaire. £$ ̃̃ 5O5 •• 200 Chapal (Etablissements) 4515 4580 Londres 12403 124 02 Readi I9.l!8l,2 S%1914.. ̃•••̃ •' 8' L ^Argentin 6/0 907 2353 2 i/2% 276 278 75 Châtlilon-Commentry 240O 70 Cirages Français 1230 (230 New-York.; 25 54 jb 54 Southern Pacifio i9 5,8 119 3,8 feo-nquo de Londros et Mexico.. -&̃̃ ̃ S/o 1909. y œ décennaux 6% «9 506.. ,10 Decauville. «».. le6 •̃ g 50 ContinentaleCompteurs àGaz. 344. Allemagne .606 Union Pacific. 76 77

Nat!oM!eduM.exi(jue.°"°~"ae~ueie73. 41 74 42 80 Midi Béons décennaux 6% 509.. 376,Dyte&Bacatanpr!y. 52506aveau&C" ~0.- 590..Araent.ne.AnecondaCopper. 433/84478

i 1 SStsK: m M-ïf-Ss: » e% 374, ^e^an p^ j ^̃̃T2- £ | »»'ïk:=: 355 a ̃& sêHrSpS^ t f. t If. -8

Ottomane 160 5% FUnding, S% .330 03" -0. 650" 650" .HeourŒtabll.eements). '8Ó"8'Belg,qUe(¡008cI9~).3S550 3,525ChinoCopper, 75 1. 25 .1.

£,.2.7 crédit Foncier Egyptien «40 «35 I &&&£&£" g»" ^E; g" ffl ËyI^Y^Y U Y^^j^^YYYY. Y ^Y.YY.Y.:Y.Y^ZZ:^ 436.. 437 \t .1.

)O..C.n!)o.uer.nd.t-aM. "B"'B<r.<.S~)896. ~%str.E ~9.. 340.: .50..For9M&Ac""Huta.'B.nk. ..TabMs(C"eéntr.!edM).79..F!n~nd.Anier.MnT~ophcn.64 5;e)67);8

,0 .Congo au Grands tacs. •• Bu^ 338.. 3 -50; -^Ac^Hut^kovva. | « g « «^ gj«

60 b 'd 975 10154396-4 4% série D. 338.. 32'" 35., Forg & Ac:Marin, Homeo; 30'" 40" 37, Tabacs au 5900 0900" Grèce. American Car & F, 9611' ~2 99

6Ûb. vVaacns-Litsord.. 975. 1015 Chine 4 /o Or 1895 •• m «$ «^ '• '°- 324.. 32. 27 50 Jeumont ..i. ,«0 440 50 Union Comtnerc" Indo-Chino1". 628.. b35 Hollande KW !02> British American Tobacco 25

L. I Central Mining ̃ r5* 4M0 tvltnï .365 2 1/2% série C.. 295 50 30U 55 8! (part) :•• ]T& •'• •• lc Italie !38 95 !J8 95 Central Leather !3 ;4 5,8

50.b. Rio-Tinto -('9' --4860 S%19O3 6% 1921 tran Ai. 372 ..378, Méditerranée (Forg"A Chant.). 450 ,449 £0.15.3 Land Bank Egypt '^̃̃Â6f? --Norvèse General Electric !73'4I!7 1,2-

.,» ,n t \}'ï/? l908 "} 4!l Orléans Bons décennaux 6% 498 493 25 Forces e. Fond"" Montataire. ,«5 428 .375 Crédit foncier Franco-Canadien .9393.. 91Î5. Pologne (1OO zloty) .U. Bethlohem Steel 51 1,4 49 3/4,

41/2%6 6/01921 tran. A. 374-0.1 Méd¡terran6e(F~~g ¿Chant.), ~4 £0.15.3 Land Bank. Egypt. 161°. 1~19.. Norvege. General ~ICct"IC. !!7 ),~4 !:7 1,2.

U0.10 1 A«te (Norvégienne) ̃• '"° •• ]"° •• Egypte Unifiée. «•' 3t0 6«T .?. 372 H& 40 Denain-Anzin !810 •̃ ̃• 28p. 50 Nord Espagn Portugal U. S. Steel Common 125 3/8 125.3/4. 15«b. Lautoro Nitrate im ̃ Privilégié “,•̃̃ 337.. 3,9.. 52 50 Lorraine Min" & Métail. 35O p. -iz- ̃ ̃ l£ïï ̃ ® P-» Saragosse ^Prague ••• Royal Dutch 473/4 473/4

e 490 «5 Hâ?t-85%eWo°Ur<> .7Ô0:: .705.. itY.Y.Y.Y" |00 305 55 Matériel de Ch. de fer ̃ (C/' FrJ. «» 890 Rouina (Algérie)..590 .596 Roumanie « .45 !5 /O Shell 45 1/2 44

4teô!gM*ig::| :f^gy: ̃«» &£*& %>o§y »& SSSiWBSSSfes:ïS-» < 1^ 110 !u~ .68425 .684 Royal ..».«..

i,o..i Pitrof in, .6ueo, 3% ane.03 50 ~'I 100. Métaux (cJ FI'On911l.a>1'4'5 ..1!500" L. Suc, Ref, d Eg¥~te (parts). 1600 ..11609 uu 1 4912, ,49. 5C Affaires tot.ales, !.807,QOO

UC2.4 Sucrer" et Raffinerie d'Egypte. l'OO 1072 Japon 4/é |O5 ^.Q •̃ UJ | V2 !IImÎ..I. 273 2?) 60 Senelle Maubeuge H>5 500 85 p. T«bae» des Philippine .6245 Vienne (1OO shillings) 49 1251 ~491 51JAff ires totales. !.807.C.00 J J '̃«»» Tabacs Ottomans ..(. > < =/o "»'"«' •" 401 21/2% .1273 --W-Senelle Maubeuge i. 455 ~500 si p, des l'hilipp;nes 6?45 Vienne (100 ahillin'*g»&)~ titrer.

LA VIE UNIVERSITAIRE Professeurs des lycées dé jeunes files dé la Seine

Les professeur^ dont les noms suivent sont inscrites sur la liste d'aptitude, aux fonctions de professeurs dans les lycées de jeunes filles de la Seine et de la Seine-et-Oise. Lettres. Mme Alexandre, lycée de Nimes Mllé Broussas, lycée de Nantes Mme Bruhat, lycée de Lille Mme Bnffard, lycée de Beauvais Mlle Hucher, lycée d'Amiens Mme Monnier, cours secondaires de Neuilly Mme Thomas, lycée d'Aix. Histoire. Mlle Bonnardot, lycée de Bordeaux Mlle Caillière, lycée de Londres Mine Delaon, lycée de Chartres Mme Guehenno, lycée de Lille Mlle Jarillon, lv.cée de Tours ^foïe Larat,lycé'e"de' Nancy riMlles Mtihiétfe et iyîfyia!fs'iycée da ;Bor>; dèàte^ Mlle Venteux, iy'çéo Acftouen

11911o Robin lyoéo Âç`G~`~nPblë;r

Sciences mathématiques. Mlle

Chaumont, lycée de Reims Mlle Guitel, lycée de Rennes S Mlle Martin, ly* cée de Mulhouse Mme Pick, lycée de Chartres Mme Rousselet, cours secondaires de Meaux.

Sciences physiques et naturelles. Mme Assaiit, lycée de Brest Mlle Auger, lycée de Metz Mlle Chatelet, lycée de Lille Mlle Grillet, lycée de Marseille-Longolianip Mme Jean, lycée de Beauvais Mlle SagolSj lycée de Nice.

Allemaiidi Mlle Lenoir, lycée de Nancy Mlle Pegouvier, détachée en Afrique occidentale française. Anglais. ̃>̃̃ Mlle Hitzel, lycée de tours Mlle Liron, lycée de Nice. Dessin. MUe Fougeat, lycée de Charleville Mlle Mamelle, lycée de Chartres Mme Sauze, lycée de Nancy Mlle Taifaz, lycée de Reims. CHRONIQUE MILITAIRE Etat-major général de l'armée Par application des dispositions de l'article premier de la loi du 8 juillet 192Ô, le général de brigade Mou-

riep, Commandant lé' deuxième' ''groti*'

pe de sub#yisi<jMjsTiii[î la1 iSfréghair

a été placé. A, Qonipter., du 4i6 juillet 1927, dans 'la..dfeuxièJtiè: section, (né-, serve) du cadre de l'état-major général de l'armée.

2455 2505 ^V^'c'rfAf C0/Oicf5o" 442 436 445 > 912 3% remb à 3001. 203 50 :«5 50 30.. Tun.sien" "6 5?6 131 65 Somt-Gobain. Chauny "™" 130 Padang (Caoutchoucs) 1400 !438 Venezuelan Oil .V." 3/. 3/32 3/ .7/32

S30 845 V,lle d. Verdun-6 0/0 ̃• 5Og « | 280%r 4001. 25.1 26 37 50 Forces Motrices du Rh6n M UÀS ?62 50 Bénédictine iSnn0" i«2°-" «.. Terres Rouges -f> .925 Rio 5.26/325.27/32

Mlle flobînKïycéè de Gceri.Qfte,

COURRIER DE. "BOURSE

,T-t~.<t't«!tB:t' >

̃ '< ̃•' 15 -juillet»' •̃'

La Bourse a salué la fin de la session parlementaire et la victoire du gouvernement au-sujet de la question du traitement dés fonctionnaires, par une hausse générale des valeurs- nationales. Bien qu'intercalée entre des jours de chômage, la séance à été très animée. Aux achats lôèafe' étaient venues s'ajouter des deman- des pour compte étranger en rentes,1 banques, chemins de fer, charbonnages et valeurs d'électricité. Lcpàpier étant relativement rare, le déplacement des cours se -fit assez 'brutalement. La Banque de France a- gagné) près'de 1.000 francs, la Banque djf, l'Algérie 400, la Banque de Paris 100, ile Crédit Lyonnais 80. Une4 dès; prinçjp^ies, valeurs du groupe "èlfecfrityueïv' la Distribution Parisienne d!E.leciriéitè, ii' à pu être..co% faute 'djôlfres

Suffisantes. Les titres"; imérnâtioûaux

fcrit aussi' progressé; Mais dans cîe' moindres proportions. -̃; La liquidation de quinzaine, qui s'eil"ectuait aujourd'hui, a été. des plus faciles. L'argent des reports n'a pu s'employer qu'au taux dérisoire de 1 3/4 0/0.

Au sujet du bilan de la Banque de France de cette semaine, on remarque que deux postes seulement ont subi des modifications valant la peine d'être signalées >cElui' de la dirculation des billets,qui est en dimiimtion de 460 millions, et celui des comptes courants et de dépôts, qui s'est gonflé de 627 millions. Ajoutons que le compte « divers, de l'actif, qui comprend, comme on le sait, les devises achetées par la Banque, est en diminution de 57 millions. Ce poste n'avait cessé de grossir" depuis ties semaines.

Très activement traitées, nos Renles gagnent un point et demi en moyenne.

Fonds étrangers soutenus. Ottomans plus calmes, Brésiliens en nouveaux progrès, sur l'annonce o[flcielle que, le gouvernement brésilien accepte de soumettre à l'appréciation de la Cour de iia Raye la question du service en or des emprunts

4'OXu") 10/4 0/0. 191.1 jt.^ O/jU; lfJQJ).

(Periiamb'oûc). j '.['

Vivë-'aVaAceifléi' étMmis'sëïiïénf de'

crédit Banque de France, 16.600 Rmi'que de Paris, 2.260 Lyonnais,, 2.800 Union Parisienne, 1-444 Comptoir d'Escompte, 1.530 Mobilier, 623 Crédit Foncier, 2,800 Compagnie Algérienne, 2.080 Banqlle des Pays du Nord, 497 Crédit Commercial de France, 1.358. L'Union Européenne passe à 1.650; la Générale Foncière à 1.510. Chemins de fer très recherchés Nord, 2.240, contre 2.145 Lyon, 1.398 Est, 1.090 Midi, 1.250 Wagons-Lits, 1.015 Sant'a-Fé, 2.255. Groupe électrique animé Générale .d'Electricité, 2.345 Thomson, 545.

Charbonnages et mines métalliques beaucoup mieux disposés: RiOj 4.850; Penarroya, 1.310 Platine, 1.200 Courrières, 985. Les métaux sont en hausse à Londres,

Aux phosphates et produits chimiques, Kuhlmann s'avance à 845 Péchiney, à 1.850 Air Hquide, à 585 Gafsa, à 1.095. Engrais composés, 150.

Pétrolifères mieux, tenues que ces jours derniers Royal DutcÉ, 36.00$.

ft Wlairitttftifères loiïrdesTpar^suitr^fe

lfttiâiik}i£idytiion d'un spéculateur défjUUftBt,au,Stock Excïiftjfjjge, pe

liyyT^Fpfmeté des "autres fifres sud-

africatns Randmines, 469,50 Goldfields, 313,50 Transvaal Land, 335. Réprise des caoutchoùtières Pàdaiiff, 1.438 Terres, Rouges, 925 Caoutchoucs de l'Indochine, 1.825. Au comptant, Vichy gagne 135 fr. à 2.390 part Electri'cité et Gaz du Nord 245, à 8.675 part Minière du Congo 250, à 16.950 Molda jouissance 275, à 7.300 port du, Rosçvio 400, à 25.250 part Poliet et Chausson 500, à 16.000 part Paris-Marac 600, à 13.400 Charbonnages dn Ton- kin 450, à 13.550 Crèdit'gènèral des Pétroles 1.100, à 16.600 'Ouasta 275, à 6.275 part Equateur 350, à 8\950 1 Monaco 250, à 12.750 Immobilière des Voitures, 798 Pernod; 1.9Ï5, etc.

INFORMATIONS FINANCIERES BANQUE DE FRANCE. Principaux chtfpiti'es-de la situatioïr-dil î'-jMlft au 15 juillet 1927 ";•' 'ACTIF r '•

feN Milliers de francs

3rëh France. 3.882. 5i3-|- 106 Orlibre et diBponyi ̃ ̃ l)}lités-pr à Xê* ̃'• ̃ *•" trariger 'S' 4Dâ.î7t t » Or iion disponible il l'étranger i .401 -540 Argent 344 5'1 12 0rèp'bnîbilités et »'

^y^ir 4 dfoJWanBèt. 5a.3ï3 4- rÀ-fati. Achat or, argent çt

'devises .̃?'fT-aU9t.'5St «H Sv367 Portefeuille rW;»'. '̃̃ ̃! ,iL6i(j,65qrt :fc -:t8(ji54i: Avances sur ifyycs,ij(iS>3.8gi ̃ i7,.8«j AyUnces pbVma-" s •'•'•'̃ '• ̃'̃' rentes à l'Etat j. ,(?oo. ooû » .Avances nouvelles I

à"-rEtat. fffl0. 880. 6ôp'- •ÏÔôÇébo- `

&rEtat.a0.9So.&&0" 4~6t)o-

̃ Bons d'il Trcâojp ,:<?'t a li'up .français escomp- :-f.

'•Wâ'ipotir' tfyances, "̃'̃' ̃«'»>̃'«̃•̃' ̃-

d«>; l'Etat *->Ides-i, .•/̃>;• ;,v < ,{{ou.y,erncnients étrangers S. 746.060 a.ooo Divers si. 460. 36; -v ̃ 57.720 '• I'assip

Excédent affecté à )

l'ambi'tijsemetit J des avances à

l'Etat 618.486 -H 8.734 Compté a n n 0 Se

d'intérêts du. compte d'amorr

tissement ig.^S1-1-' « a Billets en circula-

tion 53.4go.3i8 4Co.23o Compte courant du

Trésor 173.730+ 28^86 Comptes courants

particuliers J2.5a3.36S + 627.128 Divers i.ooS.684 4" 2O.125 CREDIT LYONNAIS. 1 Bilan au >31 mai 1927

Act^ '• ,<-•̃• ̃• Espèces en caisse, chez

les trésoriers et dans

lps banques Fr. 2.63o.7oa.N,6 1g Portefeuille et Bons

de la 'Défonse natio-

nale 4.4oi.3o5.66gi8 .Avances s"Uf garanties- ̃ ij( > -> !<

ver reports ,̃517.111.37507

Çomptes"courÀ«its.j. i.59».o()à.i84 ob

^Pdrtéfëùille titrés ,(àoS.. M-' JUi~;

̃ tlôn'si» •-•bôrisj-. o-hKgB- rt,r.; .,<• tions, rentes). a. l. 4.911. rit 45 Comptes d'ordre et' dl*r (

vers ,ii.isi».'ï.t, i59.74j.1(|3 5G Immeubles ~.̃••1VL* 35.ooo.ooo .'̃.ii'o-J4M§O-iPj9l:? s Î"AsSip

Dépôts et bons à vue;. 3. 509.11a. 280 06 tomptes courants ii 4-7oa.a6i.85'3 38' Comptes s exigibles

après encaissement 129. api, 848 67 Acceptations .1." a4.l)33.i63 19 Bons à échéance 166,693.83720 Comptes d'ordre et di-

vers '••* 2431526.4948a Dividende de l'exercice ̃

1026 {solde) 25.000.000.. Solde du compte « tro*

fits et Pertes des

exercices antérieurs.. i5. 120. 172. 21 Réserves diverses 227.^50.000;. Capital entièrement

versé 2SS.000.000 Ff ..9j46;iS9.j>J:9j>3

CHEMINS DE FER D'ORLEANS AU PAYS Ï)E gSEOEGÈ SAND

^^ii^T enIuto^I l

D'AN^'iA

(v~{JæE~ÆÊ1~Â ~??~1

Les lundis, "înardisî =jeudis, samedis et dimanches du 14 juillet au 30 aepteftibrêr 1927; ,|u départ de la gare'WARGENTOKf-sUr-CREUSE Le ̃fàeux-Pont, Le" Moulin-Neuf, Badecon^ Le Pin, Gargjlesse (déjeuner), Cuzion, La Roche, Saint-Jallet, Grozant (.ruines), Egiizon-Yillç, Viiitc nu barra?o d'Eguzon, Le Pont des Piles, Ëaraiio, La Prune-au-Pot, CcauUnont (panorama, sur Ia. Creuse). Départ àHO h. 15 Retour vers 18 h. 30, trix du transport. 25 francs par place ̃ Location moyennant 1 franc par place aux Bureaux de la Société Générale "floi Transports Départementaux, 1, rue de la Gare, à Argenton-bur-Creuse.

La situation des marchés agricoles i ̃ ̃ iinaupi

Nous allions couper Une belle récolte de blé les orages sont venus l'abîmer sur de grandes étendues, les blés sont couches en tous sens, les tiges blanchissent, rongées par le piétin. La moisson est retardée, sauf dans les régions méridionales, où elle était commencée elle sera longue, difficile, coûteuse, et il ne faut plus compter sur un fort rendement global. Que sera-t-il ? Il est impossible de le dire. On peut croire encore qu'il sera moyen, en raison de l'excellente situation des blé.s aupara- vant. Cet état de choses a provoqué Un léger mouvement de hausse, de 1 à 3 francs par quintal, suivant les vègions, au marché libre de Paris. Qn IJrat'iqVait, cette semaine, les prix rl<)' 170 à 172 f rancis' en Mes de Beatïte, du Nord, Pas-de-Calais', Oiset Aisne,Somme 172 à 174 Totirainc, PoJtou 168" à;ÏG9 région du C'èntre-Ëst i69 WVfi) 'Normandie. "̃̃'

•̃ Dans les pays exportateurs, .Canada et Etats-Unis, la tendance est, au contraire, faible. Les rapports officiels sur la situation des récoltes au iur juillet sont excellentes. Au ̃ C:inada, la récolte est estimée à 325 millions de bushels, c'est-à-dire presque au chiffre de l'an dernier à la même date (348). Aux Etats-Unis, à 579 millions de bushels pour les blés d'hiver et 274 pour ceux de printemps, contre (S27 et 205, chiffres définitifs de 1926, qui fut, on le sait, année de grande abondance, puisqu'elle laisse, en fin de campagne, ce stock disponible qui pèse sur les cours du marché mondial. Le cultivateur français est menacé de se trouver deux ans de suite en face d'une récolte déficitaire pour lui et abondante dans le monde. 11 ne peut être protégé que par le droit de douane, et les paroles prononcées à la tribune de la Chambre, en fin de session, peuvent laisser croire à un relèvement imminent de ce droit, si les cours baissent tant soit peu. Mais, plus prudent que dans des déclarations précédentes, le ministre de l'agriculture n'a pas voulu donner de date. Il est donc permis d'Uiivisagef le maintien dé1^ cours aux environs dès prix'ïtctuel$. D'siil'Lléui-$, -'lesnipays! exjwn'tatéu.rs comptent sur le, retard de la moisson et un rendement inférieur en Europe pour rendre de la fermeté ait marché. Ils se trompent peut-être, car, en dehors de la France, la récolte donne de belles espérances en Italie, Hongrie, Roumanie. moins belles en Allemagne, incertaines en Russie.

Malgré son retard, la soudure sera faite cette année avec nue rare facilité la meunerie n'est pas davantage empressée aux achats, ce qui prouve combien elle était approvisionnée en blés exotiques.

Le mauvais temps a porté aussi préjudice aux avoines, mais l'apparence générale n'est pas mauvaise. Dans l'incertitude du rendement, les cours du disponible ne Changent pas et on hosite à s'engager sur la nouvelle récolte, pour laquelle il faut voir les prix de 108 à 109 en grises de Beauce, 106 à 107 en blanches et jaunes de la région du Nord. La moisson du seigle, presque terminée, laisse escompter un rende- rifint supérieur, et les prix du disponible n'ont pas varié. La récolte des escourgeons est jalouse, bonne ici, médiocre là les escourgeons nouveaux passent à 129-130 en Beauce ;j 124nJ£J> ep.. Poitou, Charcutes,, pour livraisons sur les 3 mois d'^ji^

*i&igtaQésêipa)l{ea. '•– Le%<$a&îh+

ges nouveaux arrivent en abondance sur les marchés l'abaissement du droit de sortie doit en favoriser i'écoulemeïit mais on doit envisager quand même un tassement des cours que les exportateurs attendent pour acheter.Les sainfoins et luzernes nou- veaux varient de 280 à 300 fr. les 104 bottes de 5 k. rendues franco à domicile dans Paris en vieux fourrages Iuzerrie,: 360 à 380 regain, 340 à 360 foin et trèfle, 330 à 350 paille e de blé, 165 à 185 de seigle, 160 à 180; d'avoine, 130 à 145. Dans les gares P. V. d>j la région parisienne, on cotait les 100 kilos, en balles pressées, sur wagon luzerne, 44 à 48 foin, 41 à 43 paille de blé, 16 à 13 d'avoino, 13 a 15.

'J

Bestiaux. Légère hausse à La Villette, particulièrement sur les moutons mais le dernier marché de jeudi, jour du 14 juillet, rassemblait moins d'animaux. Cours officiel du kilogramme1 de viande nette pour les trois qualités -bœufs, 9,10,840, 6,40; veaux, 11.60,10, 8,20; moutons, 16,50, 12,80, 10,80 porcs (poids vif), 8,80, 8, 5,70.

Sucres. Le marché" américain est plus ferme, les nouvelles de Cuba étant moins favorables au sujet des plantations de canne, qui manquent de pluie. En France, les betteraves semblent profiter merveille de l'humidité actuelle; bien qu'il y ait quelque retarédaiis- végétation. La ile-

niaadeïdejja- çQjns.ommatip;! §gt. sa-Hs*'

•faisante, Il en.. résulte,. des .cours1 très, soutenus pour le rapproché;- faibles star-la -,if (jehaifté canlpagne. Cote officielle des courtiers assermentés pour le disponible, 253. francs les 100 kilos. Cours en Bourse juillet, 253,50 août, 252 septembre, 245,50 3 d'octobre, 219 3 de novembre, 220. Vins et alcools. Les maladies cryptogamiques sont favorisées par le lemps orageux. Les vignerons multiplient les li-aitements pourries enrayer et sauver mie récolte dont on leur contestera âpivment le prix. Les milieux commermuK croient qu'elle sera normale, et les détenteurs de stocks cherchent à liquider leurs excédents ils n'y parviennent pas sans nouvelles concessions la^ baisse s'est poursuivie, mais les affaires avec la propriété sont nulles seuls quelques rares vignerons se laissent impressionner par la KOb> officielle, A Béziers, les vins rouges n'i nt plus été cotés .qui' de 200 ii. 230 à Montpellier, les 9 à 11 "5, de 200 à. 220; à Narbonite, 210 à 230, soit une baisse de 25 à 30 francs; en huit jours. Panique inexplicable, le déficit de la récolte subsistant et la consommation n'ayant pas diminué. L'i prochaine récolté est encore trop incertaine pour l'expliquer. Mais dans urt mois et d,emj«j0n e»mme.nD.jaraJe3;.vJn.danv ges dànjs le Midi.J^t ..ces'rnêmeiS s^tt ̃gôeiàhts qui, au début 'de' cette cani-" pagné;Ps#omi'rMMs ;ttiiît*rés! des

slocksi maair S^iksusséfiïe ^u^ent-ils

pas qu'il est temps, de commencer la" baisse en vue des achats de la prochaine campnjnie, afin de refaire la même opération ? Ils y auront d'autant plus d'intérêt que la récolte sera moindre. Ainsi la baisse actuelle peut avoir une tout autre raison que celle, trop simpliste, d'une bonne vendange en perspective.

Le marché des alcools est inactif. Il n'y a pas de cote dans le Midi, où les alcools de vins sont rares ce qui montre que la distillation n'a pas enlevé de vin à la consommation, comme on l'a prétendu pour expliquer la hausse.

Fruit à cidre. La récolte de pommes sera inégale dans. les. différentes régions. Les orages auraient fait tomber beaucoup de fruits. Les Normands ne sont pas contents ou, du moins, le disent en envisageant des prix assez élevés. A Gournay-enBray, tin lançait celui de' 320 francs la tonne de pommes, mais on'ne connaissait pas d'affaires ce taux. En Eure-et-Loir, en Sarthe, pommes et poires seraient abondantes. Dans la vallée d'Auge, les bons cidres'5 de•grés, -presqu&?>épùisés,- étaient- 4qj$&< 100 à 105 francs J'hecto et les Cidres pur jus 120 à -125 les eaiixrde-vie'dè cidre ;:84'ft' à '870' rçan'cs/ b>Se $0 de- grés les 'alcools neutres, î-400 à 1.450 francs l'hecto à 100 degrés. Bois. La tendance est nettement baissière. A part le -Midi, il y a partout ailleurs plus d'offres que de de- mandes. Le commerce, après avoir recherché les bois à n'importe quel prix, avant la. reprise du franc, se voit maintenant avec des stocks formidables qu'il a de la peine à écouler et dont il ne saurait exiger des prix en rapport avec ceux possibles quand la livre dépassait 200 francs. Nous, ne redonnerons pas les prix indiqués ici, il y a un mois, et qui ne constituaient que des limites, qu'on doit voir seulement plus basses. Le peuplier lui-même, le bois recherché

par excellence, aux multiples enu plois, a baissé de 30 0/0 en quelques' mois. Résineux et bois de mine ont subi aussi une baisse importante. La mévente du chêne s'accentue. Dans deux mois vont commencer les adjudications des coupes domaniales. On n'atteindra pas les prix de l'an!

dernier.

deniiCr- H. N. ]

««=• ̃•-

Au Théâtre Antique -d'Orange II ne sera pas sans intérêt de voir, l'admirable histoire du retour d'Ulysse à Ithaque, qui forme, comme on sait, le sujet de la Pénélope do Gabriel Fauré, jouée, avec tant a& succès, il y a quatre ans, à Orange, transposée cette année du domain» t lyrique dans le 'domaine tragique. Avec. ce surcroît, toutefois, que, 'selon;.formule même-dte'la tragédie antiw,* que, la tragédie de.Ponsard s'acçom- pagne de nlusltlue de scène et de chœurs, et que cette, jjartitiûn orchestrale et chorale a pour auteur le grand musicien qui s'appelait Chat1- les Gounod, et qui n'a jamais rien1 écrit de plus suave, de plus frais, de plus délicat et, par endroits, de pllïs élevé. Voilà désormais un poète dramatique et un musicien de, plus qui acquièrent droit de cité à Orange, et dans la manière même qui était celi'o du drame grée.

C'est le samedi 30 juillet que cette magnifique manifestation artistique aura lieu, avec Mme Madeleine Roçh, M. Albert Lambert et leurs camarades, et le concours de l'orchestre Cdlonne, dirigé par M. Gabriel Pierlié, et des chœurs de Genève.

Dimanche 31 juillet, VIphigènic., da Racine, avec le concours de l'orchestre Colonne, qui exécutera la sy.u-, phonie en ut mineur de Beethoven. Enfin, lundi 1" août, le chef-d'Osuvre de Gluck, Orphée, avec le concours de l'orchestre Colonne et des chœurs de Genève, interprété pat; l'admirable Alice Raveau.

CHEMINS DE FER DE L'ETAT

.ETE~7"

~,>r.TE 1927

'Relations Sordeàùx-Rôyan

et Limoges-Angoulênie^RoJ'ân '̃' "l?- Pôiir faciliter pendant la saison d'été prochaine les déplacements vers Jloyan, de Bordeaux d'une part, de Limoges, Angoulême et Cognac, d'autre part, les relations rapides suivantes seront établies aux dates ci-après, en plus des relations > ordinaires ̃ Bordeaux-Royan via Saintes,

avec changement de train à Saintes Aller. Tous les jours du lor juillet au 5 octobre; départ de Bordeaux-SaintJean à 8 h. 5; arrivée à Royan à 10 h. 45. Retour. Tous les jours du 1" juillet au 5 octobre; départ de Royan à l(i h. 30; arrivée à Bordeaux-Saint-Jean à 19 h. 12.

Limoges-Angoulême-Royan

(voitures directes toutes classes)' Aller. Les samedis et veilles de fêtes du 25 juin au 24 septembre ainsi que les mardis et jeudis du 13 juillet au 17 septembre (inclus) départ de Limoges-Bénédictins à 16 h. 29, d'Angouléme P.-O. à 19 h. 40, de Cognac à 20 h. 41; arrivée à Royan à 22 h. 1.

Retour. Les lundis et lendemains de fêtes du 27 juin au 26 septembre (inclus) ainsi que les mercredis et vendredis du 15 juillet au 19 Septembre; départ de Royan à 6 h. 32; arrivée à Cognac à 8 h. 4, à Angoulême-P.-O. à 9 h. 10, à Limoges-Bénédictins à 12 h. 4.

"'fclRCViTSlibËimjSSË-BRETAGNE PARTANT JQÇ BREST; El MORLAIX.j à, Jusqvj'jm 24( ^eEtambre 1927, des. seÇ-. vices réguliers "de èars'dê tôiiriSWie pailtant de Brest'ou de Morlaix, permettront de visiter agréablement l'une des plus intéressantes régions de France. De ses caps avancés au cœur du Finistère, leur réseau groupe de la plus heureuse -façon les aspects caractéristiques de l'Armor, ce légendaire « Pays de la Mer des vieux Celtes où la Nature et l'Art ont accumulé des merveilles. La durée de validité des billets d'aller et retour pour Brest ou Morlaix peut être spécialement prolongée sans frais ` pour effectuer les « Circuits de BasSeBretagne ».

S'adresser aux Bureaux de tourisme d,e Paris-Saint-Lazare et Paris-Montparnasse, aux principalçs gares du Réseau de l'Etat, aux Agences de voyages, aux Syndicats d'initiative de Brest et de Morlaix ou à la Direction des « Cars Armoricains » Morlaix (Finistère).


COURRIER DES tHÉATRES

Aujourd'hui

Même srectacle que le soir

A la Porte-Saint-Martin (2 h. 45), au Nouvel-Ambigu (2 h. 45), à la Re- naissance (2 h. 45), au Grand-Guignol (2 h. 45), à la Scala (2 h. 45).

Ce boîi"; s

,r^ A l'Ctêiu, à 8 h. 30, Thaïs (Mlle Mireille Berthon, MM. John Brownlee,Gille, Mmes L. Barthé, Lalande, M. Itaybaud, Mme Moiufort MM.: Madlen, Guyard. Danse Mlle Camille Bos, Mlles Y. Franck, Ellenskaïa). Orch. M. Fr. RuhJ.mann.

A LA. Comédie-Française, à 8 h. 45, Les Marionnettes (MM. Siblot, A. Luguet, P^ Gerbault, Dorival, Drain, Ledoux, Chambreàil, Yonnel, J. Marchât; Mmes M.-Th. Piéràt, J. Faber, C. Fonieney, M. Samary, T. Fédor, M; Romée). Jt A l'Opéiu-Çomique, Il 8 heures, Carmen (Mmes Lecouvreur, Corney, Leibûrd, Bernadet, Mona Païva MM. Marcelin, Espirac, Roussel, Héreht). Orch.: M. Cohen.

<ât Au Gymnase, 'a 9 heures, La Pom<me (Mmes Armande Cassive, Renée Bartout, Marcelle Deslane; MM. Paul Amiot, Jean Sky, ~ouis Scott, Pierre Brasseur, Angély, Walter).

Au Porte-Saixt-Martin, à 8 h. 45, Le Chemineau (MM. Joffre, Pierre Morin, Almette, Glénat, Fluet Mmes Gina Kiclos, Cazaux, Borgos, Favier, Lafourcade).

̃J& A LA Gatté-Lïuique, à 8 h. 30, La Marraine de l'escouade (Mmes Dhamarys, H. Gérard, A. Castclain, J. Boycr; MM. Nabos, Jean Autié, Détours, avec R. Allard et H. Jullien).

05 Au Théatiib îmiiaii-Behnhardt, à 8 h. 45, Pour marier ma fille (Mme Aug. Leriche, M. A. Dubose, Mme Alice Tissot, MM. Monteux, Bédouin et Mlle Germaine Bisse). Dhn. et fêtes, mat. à 2 h. 30. «Jt A L'ATHÉNÉE, à 8 h. 45, Maître Bolbec et son mari (Mmes Renée Pierny, CamiUe Vernades, Germaine Auger MM; Bender, Robert Lepers, Marc Roland et Fertinel).

«S* Au PALAIS-ROYAL, à 8 h. 45, On ne ironie pas Antoinette (MM. Ch. Lorrain, Larquey, G. Gobet, Michel, de Livry Mmes K. de Bedts, P. Landaics, Marg. Peuget).

̃^ A LA RENAISSANCE, à 8 h. 45, Monsieur de Saint-Obin (M. L. Bélières, Mlle Yvonne Rozille, MM. Janvier fils, Marcilly, Marthès et Georges Martel). Ot Au THÉATRE DE LA Michodière, a 8 h. 45; Les Vignes du Seigneur. Matinées dimanches et fêtes à 2- h. 45. >"<• <â* Au Théâtre Edouard- Vil, à 9 b. 15 Désiré, .comédie de M. Sacha Guitry (M. Henry. Trévoux, Mlles Alys Delonde, Claire Nobis, Renée Sénac, Renée Pignon, M. Charles Chanot et M. Jean Peyrièrc).

4fi Au GRAND-GUIGNOL, à 8 h. 45, fia Prison du vice, L'Homme de la nuit, Le 'Passé .d'Aurélie, Nounouche. (Matinées sam. dim. et fêtes.)

Jt Aux BOUFFES-PARISIENS, à 8 h. 45, Trois jeunes filles nues (MM. Camus, Gabin, P. Faivre, G. Nellson, Dumont Mmes E. Pommier, Lidy Stern, Noréen Lesley, Line Marjac).

<£t Aux Capucines, à 9 heures, L'Herbe tendre à 9 In 30, Mesdames (Mlles Janine, Merrey, Pascaline et Marg. Ducouret MM, Hiéronimus, Defrenne, Fenonjois),

Au THÉÂTRE Marigny, à 8 h. 45, Venise (MM. André Baugé, Gilbert Moryn, Carpentier. J. Deiss Mmes Danielle Brégis, Tarfol-Baugé, Jane Pierly). Jt Au Théâtre DES Nouveautés, à 8 h. 45, Un bon Garçon, opérette (Mmes Simone Cerdan, Germaine Kym, Reine Leblanc MM. Borels, Gildès, Champell, Charles Cardi, Sergy, Numès fils). vJt Au Théatr/. Mogadoh, à 8 h. 30, Rose-Marie (MM. Boucôt, Burnier Mlles Cloé Vidiane et Flore George, en alternance June Roberts, Cecilia Navarre et M. Félix Oudard).

Jt' Au Théâtre DE LA MADELEINE, à 9 heures, Spirit of Paris (Mmes Nina Myral, M. Perrey, Tera Guinoh, S. Chatelier, Peggy Vere, MM. JMorton^ Beaulieu, P. Dorly, les danseurs Lydia Wisiakova ét'VeHchêk et Henry Laverne). J* Au THÉATRE Fkmina, à 9 heures, Par le bout du nez {ÏT. Paul Ville, Mlles Simone- Deguyse, Alice Soulié, M. J. Devalde, Mlle F. Despernay, M. J. Dumontier et M. Marcel Vallée).

'dt Au THÉATRE Daunou, à 9 heures, Wanny et ses gens (Mmes Jane Renouardt, Berthe Fusier et Jeanne Fusier-Gir MM. Constant Rémy, F. 3ravey, L. Dayle et Gabriel Jacques). jt A LA Scala, à 8 h. 45, La Petite grue du cinquième (Mlles Andrée Delaval, Henriette Darthel, Elise Puget, S. Réai s MM. Schneider. Ceuille. Garriel).

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r«5? Antoine, à -8 h. 45, L'Inconnu Avenue, à 8 h. 30, Mon gosse de père; Arts, clôture Atelier, clôture Châtelet, clôture Comédie-Caumartin, clôture Comédie des ChampsElysées, à 8 h. 30, Knock Déjazet, à 8 h. 30, J' marie ma femme Dix-Heures, à 9 heures, Déboutonnonsnous, revue Nouvel-Ambigu, à 8 h. 45, La Garçonne Mathurins, à 9 heures, Pour avoir Adrienne Michel, clôture Œuvre, clôture Potinière, clôture Studio des Champs-Elysées, à 9 heures, Maya Théâtre de Paris, clôture Théâtre des Champs-Elysées, relâche Variétés, clôture.

NOTES ETJÎTOMÂTIONS Opéra. On annonce pour le mois d'octobre la rentrée à l'Opéra de Mme Olga Spessivtzeva, la célèbre artiste, qui a pour la première fois paru devant le pu- blic parisien sur cette scène lors de la récente et magnifique reprise du ballet romantique de Gisellc, et depuis lors n'avait cessé d'y remporter les plus beaux succès, unissant les dons les plus rares de l'expression et du style à une virtuosité sans rivale.

Opéra-Comique. Mlle Marcelle Stach et le ténor Villabella seront lundi les principaux interprètes de Manon, à l'Opéra-Comiqué. MM. Musy et Baldous, Mlles Ertaud, Lebard, Cernay et Mona Païva, MM. Roussel, Jysor et Payen feront également partie de la distribution.

L'orchestre sera dirigé par M. Cloez.

qa-OO

Portë-Saint-Martint. A 2 h. 45 et à 8 h. 45, Le Chemineau, avec MM. Joffre, Pierre Morin et Mlle Gina Niclos. Matinées jeudi, samedi et dimanche.

Grand-Guignol. Aujourd'hui et demain, en matinée et en soirée La Prison du Vice, le plus grand succès de la saison.

THEATRES'!

FTH.SÂRÂH-BEBNHARDT^ Augastine LERICHE dans | POUliBiiÂILE

avec

LAndréDUBOSC-Germ. RISSE

'MOGADOR' Demain Matinée, Soirée de l'immense succès 1 o~~ ari~ 0

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STUDIO DES Champs-Elysées. M. Gaston Baty a reçu, pour la représenter au Studio des Champs-Elysées, au cours de la saison prochaine, une nouvelle pièce de M. Simon Gantillon, intitulée Départs, spectacle en 17 tableaux.

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Le Théâtre Antique, d'Orange donnera, le 30 juillet, Ulysse, avec Mme Madeleine Roch et M. Albert Lambert.

Dimanche 31, Iphigénie, de Racine, le lundi 1" août, Orphée, de Gluck, avec Mlle Alice Raveau et l'orchestre Colonne. Maxime Girard-

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Spectacles et Concerts 1 Aujourd'hui r ^j -i;: i ̃;

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Même spectacle que 'Ip-'sb^r.1'- ll~?- Aux, Folies-Bergère (2 h. 30), à l'Ôlympia (2 h. 30), à l'Empire (2 h. 30), a la Cigale (2 h. 30), a Madeleine-Ciriéma (2 h. 30), àMarivaùx (2 heurdâ);

Ce soir

< Aux FoLiES-BERGÈnE, à 8 h. 30, Un Vent de Folie, hyper-revue de M. L. Lemarchand, avec Joséphine Baker, Fowler et Tamara, Jack Stanford, René Rudeau et Nicolskà.

<Jt Au Casino DE PARIS, ce soir, à 8 h. 30, Paris-New-York, (les Dolly Sisters, Hal Sherman, les Lilliputiens, miss Florence, Pasquali, Zoïga et Rachel, et Gerlys et Lysia).

AU MOULIN-ROUGE MUSIC-HALL h 8 h. SO, la grande revue Ça. c'est Paris (Mistinguett, Randall, Earl Leslie, Cebron-Norbens, Marthe Berthy, Yvonne Legeay, le Spark's ballet, les 40 Jackson Girls et les Lancashire lads).

J* Au PALACE, à 8 h. 30, Femmes et Sports, nouvelle revue à grand spectacle avec Georges Carpentier.

JX A L'EMPIRE Music-Hall Cirque. La Revue de Rip, avec Marguerite Deval et la troupe 20 attractions, et « Voulezvous faire du cinéma ». (20 minutes de fou rire).

«ât A l'Œil DE PAnis (4 bis, rue de l'Etoile, avenue Wagram tél. Carnot 36-82), â 9 h. 30, Rosse. mais ris 1 (Marie Dubas, Ilenée d'Yd et Maurice Poggi), Jules Moy et les chansonniers

Roméo Caries, ^n.yo^Dijrjfe^ç.

ÇÔURMEÉteK^L

Mlle Marié de l'Isle se repose dans son château à Voiron, après une saison brillante de professorat à Paris, et de récitals de chant à Paris et en province.

Les deux auditions de chant de ses élèves, à la Salle Comœdia et à la Salle Pleyel, étaient d'un véritable intérêt artistique. Il y a parmi ces élèves un très beau bouquet de. jeunes artistes que les directeurs de nos théâtres à Paris feraient bien de cueillir pour parer nos scènes. Ces jeunes. artistes chantent avec une aisance et une autorité qui font honneur à leur professeur, et leur jeu est d'un charme et d'une sincérité qui rappellent parfaitement la grande comédienne qu'est Marié de l'isle.

L'audition du cours de mise en scène de Mlle Marié de l'Isle aura lieu, au mois de novembre, au théâtre Femina.

L. de Crémone.

.a

Chronique de T. S. F. Radio-Paris (1.750 m.). 12 h. 50 Concert 1° Cantilène (Marsac) 2° Le Bazar des Souvenirs (L. Pouget) 3° Radamisto. (Hiendeljj 4* JU^Çh^mjn, l'Alhamftra (J. Turina) 5°. Air de( Xii (Enfant Prodigue) (Debussy) ;,6°}.Ç4<price andaloji (Gonella) I", Galajjte, aventuré (GulYn'ù'at B* Vnls"è ëîf Ut uiè's'd (Chopin); 9° Pepita Jimenez (Albeniz) 10° Madrigal (Chapuis); 11» Les Maîtres Chanteurs (Wagner); 12° Berceuse (A. Catherine) 13° Plaisir d'Amour (MartiniSalabért); 14° Ronde française (Boollmann). 16 h. 45 Concert. 20 h. Causerie. 20 h. 30 Concert, avec Mmes Yvonne Demay, La Houppa. Favier; MM. Hagenbach, Montei!, Danin, Georgers; Chardy, Artamonoff, les Mclady's Six.

P. T. T. (458 m.). 14 h. Concei!. 21 h.: Soirée de chant Airs rouergats 1. Regret montagnard (M. Sebrié) 2. En passant par le bois; 3. La Fiouairo (la Fileuse) (M. Valat).; 4. La Saint Jean; 5. Lou Bouye (Le Bouvier); 6. La Moulinierro (La Meunière) 7. Joui Pon do Mirabel; 8. Œuvres de l'ahhé Bessou, par M. Lestrade; 9. L'Aure de la Cambo Torto; 10. Bourrée (M. Sebric) 11. Il a sonné minuit; 12. Rossignolet du bois; 13. Jardin d'amour; 14. La Chanson du Paysan; 15. Lou Roussignol. Mu- sique de danse jusqu'à 24 heures. Petit Parisien (333 m.). 21 li. Concert avec Mme Guionie, M. Georges Genin et M. Jean Pernot, de l'Opéra-Comique, dans Fortunio (Messager). Ouverture de Fortunio.

Tour Eiffel (2.650 m.). 18 h. Le Journal Parlé par T. S. F. 20 h. Concert 1. Danses espagnoles (Laparra); 2. A la fiancée (Maurice Duhamel), Mlle Panle Bertrand: 3. Chant hindou tBem-

berg, Mlles Elisabeth.- Janovtfc et Made-

i h~rg~, Camlio~nia;, 4; 4~~ a,, ~Il Rdndo 4 "ibert

leine Oc Campoëtnia j; 4j a'J Rdrido O$lbert

Fournier); b) Les Carnavalettes (Alexandre de Brojhm), poème&jûùsi iparJJMîne ,Tane Hyram; 5. Au bois de misère (Sylvio Lazzari) 6. a) La tristesse (Chopin) h) Comme la nuit (Carl Bohm), Mme Elisabeth Janova; 7. Gopale (Moussorgnky). 21 h. 15 à 22 h. Université populaire par T. S. F.

Londres (361 m. 4). 19 h. 15 Chansons de Brahms. 19 h. 45 Napoléon (Bilton); Patrouille militaire (ValerN tine); Les jumeaux (Bonnisseau) Travail et amour (Percy Fletecher); Leanin (S. Bernnett) Humoresque (Trumau) Chant; Revue de mélodies, pot pourri (Rimmcr) Parade des éléphants (Bosque). 22 h. 30 Musique de danse. Marchés commerciaux Métaux précieux. Paris, 15 juillet. Cours d'achat au kilog. Or 16.550; argent 460; platine 46.000.

Métaux bruts. Londres, 15 juillet. Par tonne de 1.016 kg., en livres, shill. et pence. Cuivre :'cpt., 53 18/1; il terme, 54 9/7; Etain cpt., 286 8/9; à terme, 280 3/9;' Plomb cpt., 22 16/3; à terme, 23 10/; Zinc cpt., 27 17/6; à terme, 27 12/6.

Blés. Chicago, 14 juillet. En cents par bushel. Cour., 142 3/4; sept., 140 1/2; dée., 143 3/4.,

Avoines. Chicago, 14 juillet. >.En cents par bl.Gour., 45 l/J;î,septoqibEev 45 3/4; décembre, 48.A/2. Seigles. Chicago, *t£ juillet. Eni cents par bl. Disp., 110 1/4; cour., 106 5/8; sept., 96 5/H; déc*.89 !/2,<Maïs. Chicago, 14 juillet. En cents par bl. Cour., 99 3/4; septembre, 105 1/4; décembre, 108 3/4.

Farines. Paris, 15 juillet, Farines de consommation, 238 (contre 237 précédemment).

Sucres. New-York, 14 juillet. En cents par' 100 lbs. Cour., incoté; apjil, 275; sept., 280; déc, 288;' janv., 2S2; mars, 274; mai, 283.

Cafés. New-York, 14 juillet. En cents par lb. Disp., 14 3/16; cour., 12,95; sept., 12,25; déc., 11,87; ,janv. 11,80; mars, 11,73; mai, 11,56.

Cotons. New-York, 14 juillet. En cents par lb. Disp., 17,75; cour., 17,49; août, 17,52; oct., 17,80 à 17,81 déc, 18,04 t à 18,05; ianv., 18,13; iuars, 18,32; ma-,

18,46.

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Pari mutuel à 10 francs. Gagnant 53 francs. Placés Juste Assez 27 fr.; Kadi Kpran, 28 fr. 50; Popaul, 113 fr.

1

PARIS-LA 3AULE

La date à laquelle sera disputée l'épreuve hippique militaire internationale d'endurance, sur le parcours Paris-La Baule, a été changée.

En raison de la température trop vigoureuse pour les chevaux et afin' de permettre aux concurrents de parfaire leur entraînement, la date du départ de 'Paris a été fixée au 12 septembre, l'al'rivée à La Baule le samedi 17 septembre.

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̃:}.̃ AU BOUQUET Vaiangéruille, monté par le lieutenant de Foulongue, a enlevé, dans un style superbe, la Coupe militaire, devant, Hforluth, au lieutenant de Peyrelongue et Sé.qalaise,, au lieutenant de Brothonne. La Coupe civile est revenue à Talipse, à M. Dubart et de Vienne,, fort bien montée par M. de Vienne. Vert Galant JI, à M. de Cheffontaines et Sherry Golden, à Mme Ginepsel, monté par M. de Laissardières, ont pris les places d'honneur. La société du cheval de guerre. Saumur SaumuK, 15 juillet. II fait très beau temps aujourd'hui, le général Brecard, inspecteur général de la cavalerie est arrivé, ce matin et assistera aux deux dernières journées du concours général de la Société du cheval de guerre. Il a assisté notamment, ce matin, à une re-1 prise très applaudie des sauteurs, présentés par le cadre noir; auparavant on avait examiné les premiers chevaux de 4 ans parmi les anglo-arabes. Le si joli Belfort, un limousin, à Mme Benard, ne fut que second derrière une pouliche des Basses-Pyrénées, comme' poids léger. Parmi les poids moyens de demi-sang, un Charolais, au comte Jacques- de Vienne, eut le pas sur un Calyadosien, à M. Conard. Cet après-midi il y a foule à Verrie pour les épreuves de qualité; les autres' ont amené" de nombreux amateurs: ̃ si pittoresque1 hippodrome unique' au amande, r.i :-v

CE

>.> Eté VICHY "P'« V'

n" a~&t~')-t)'tf.b

Préside :,pâr le baron oé'Neuffize, le

Concours- hippique de Vichy, organise par la Société Hippique Française, a, rentporté cette année un succès plus' considérable que celui des années précédentes, par le nombre des engagements des chevaux d'élevage et des concurrents dans les épreuves d'obstacles ne furent aussi nombreux.

La qualité des chevaux présentés a fait l'admiration des connaisseurs. Le concours a consacré la grande réputation des chevaux du Charollais. De nombreuses ventes ont été réalisées. Une mission belge, présidée par le général vicomte'Jolly, et une mission italienne, présidée par le 'colonel Ubertalli, directeur de l'équitation à l'Ecole de cavalerie de Pignerole, ont suivi les présentations et ont effectué d'importants

achats.

Parmi l'assistance, toujours excessivement nombreuse, ont été remarqués Les généraux Brecard,. inspecteur général de la cavalerie Degaud et Mme, le colonel baron du 'T«il, président' de la Société Hippique Française les généraux Marion, Detroyat, Lafont, Forqueray, Joannard, Kervanoel, Sautey les colonels Marey-Mpnge, jôbert, ,Watel, Petiet MM. Duché et Radas,1pecteurs généraux du Haras; M. dety^aulchier, directeur du Dépôt d'étalSns de Cluny duc et duchesse de Brissac, comte et comtesse Pierre de Sampigny, comte et c&rtrteâse deBrîdiéu, Mf fet MME' de Vazdhes.'le commandant; -et- ̃'•Itt istm*' tes'se- de ̃Fçiig'-onde, M., et Mme Verfies,' M. et i Mme Allez, M. et Mme Viguieç, com'teiet comtesse Cburet de Villgiieuve, 3fv'è> Mmé.Mâriejouls/.M. ert\AïMFd3'La Cheshay, comte et'comtesse 'de 'Champs grand, M. et Mme Alfred Descamps commandant et Mme dcuSsïint-Pouloff, M. et Mme Verjon, lieutenant et Mme de Fonlongues, M. et Mme Lambert, marquis et marquise de Batillat, M. et Mme de Santenac, M. et Mme de Riberolles, M. et Mme Robert. Sarlin, commandant et Mme de.Varu, capitaine et comtesse d'Indy, capitaine et comtesse de Monbrison, M. et Mme de La Mazières, comtesse d'Humières, comtesse de Vibraye, Mme Paul Lede.rlin, Mme Soub^ran, Mme Gauthier de Baj'on, Mme Arnavon, M. Lasteyras, maire de Viehv M. Emmanuel Riant, comte J. de SaintGenys, M. J. Guichai-d, M. G. Gaudet, M. M. Chalus, M. L. Bot?.], vicomte de Felcourt, M. Hector Franehomme, M. A. Legrand, conite de Cordon, M. Houx de

1 ̃•- 'i -li

Béziet,x;- M. de r- Vàaellles, M, Michel Wachter, comte Jacques! de Vienne; Charles Pillivuyt, M, thierry-Mieg, M. Desihamps de Vern^ix,: M. Desboudet, capitaine d'Aymefy, M. :Serge Balay, M. Bonjeaii, M. de Lacroix, commandant Alainde Gbhtensôn, vicomte d'Armaillé, comte )-Êestèrps, ̃: vicomte de Montli-

vauM;i t v.-c r-ii-1- i-

̃̃ ;;̃ i,.wi^ j

Le Sénat ajourne le vote ̃ de crédits olympiques

'̃%(!:̃.̃:̃ ;>:̃ i-'iiijis.

::>r ̃-̃̃ ̃

..Irons-nous ,f Amsterdam'^?' Sénateurs et députés 'sont partis en vacances san^J que le Sénat ait^ voté^ileif crédits -néejessaires à ltF prépaPâ'tion olympique, ̃"̃ ces'crédittr altcniitt*! ïdepuis.iifes Inuxis déjà et jq«èB ;to'> Ctomtorë, ^urr^r^xoellent-

rapport 'de M^;KSâatoÇ)Bjayait- votés?

suns) 'discussion^ à^'î'iinanimité.

oî--M.-lè!sénatéur R^yflal était le rap-

Ü1!M!'Ie-;)Sénatè'urPf{i\lnrl éta,' it,le `~lït

i)prteur du prôjÇf"-Wej ïdl deVarit'W

«WTfte^s^fhlîïéè.1 Très- au' èoûrànt tfes"ëhd^s> de 'l'édhcqtib'h ?physïq«é et des 'sports, dont'^r éêft M cknsë dépû'ls'bien des années, il apportait à l'appui du projet l'autorité sup-! pjémentaîre de son expérien.cé! ° Ttfût laissait supposer que le Se-' nat tout comme l'avait fait 'la Charnbrè approuverait purement et 'simplement le projet de loi, dont le rapporteur venait de développer l'intérêt et 'l'ùrgencjî.

Mais |uniienateur,! M. Joseph Fàure (Côrrèàe)/ se leva, pour s'opposer à 'la ''diisfcusSion immédiate, et en vertu 'dti protocole, cette discussion' se trouvait automatiquement ajournée à la' session de fin d'année; les crédits nécessaires à la préparation et l'organisation olympique ne polii-ront être votés que dans les dernières semaines de

1927.' M '̃•̃̃̃ ̃ ̃̃

II n'est pas inutile, de reproduire5 tiré de ^Officiel, \ès passages ayaijt trait au catastrophique' ajournement. :i ̃ ''̃ M. le président. pv«M. Joseph Faure s'étant faire inscrire j.sur <;e. projet dans l'intention de s'opposer à la discussion, -i* Sénat est appel* à se brdnortCe» stir*' 'l^JoUrnênïÉnt' lk'Wsciissidn à;rà'^roï" 5 chaîne: tiessioir, (Asst'a&rnèhtfc 'iWi./ 'M-t'JoiSKph. Faumii- JîaL.en. effet} Mirwc

l,ç;nt|ofl, sM,: le, ,prê5if}9nt»j- 4e m'opposeri

au vote du projet,

M. le président'. TJansqes conditions la discussion de ce projet est ajburnfc M. le rapporteur. Je regrette ce renvoi qui sera préjudiciable à rentfaîneHient <le nos atli-lçtbs. s.

̃•-M:1 le pres!'denf. C'est pour 1928 f M. le rapporteur. Nous sommes jus-: tement à un moment où il est indispensi»ble de faire de- l'entraînement. Je regrette que M. Josep|i, (Faure nous oblige a remettre une décision que je considère comme très Utile..

Que M. Joseph JÇftufe veuille s'opposer, au vote du, projet, c'est parfaitement son drpi,t, et ce peut être aussi si _ses ideçs- sont antisportivés et antiolympiques son, devoir. V j;

Mais ce qui dépasse la mesure, c'est la tactique employée. Si en novembr.© ou en: décembre prochain, le Sénat ratifie ce qui est une certitude projet de loi, nous connaîtrons évidemment les ,II idées de M. Joseph Fàure ce qui n'est pas rien, certes mais,,npus aurons perdu 4, 5;ou 0 mois. Nous aurons pàvM bien davan-j

tage-o{Nous auron*i."nbh sepemen^!

përdu;>ôomme on l-'â)sji .sagement fait ;? pbserv«r.inae montât particulière- ,J

ipeniq iJrripiée à ïâ^préparatioji de

nos athlètes, mai»'îltous,,àurons.'peiv

Ipentq l'ro~ÎJée à M:>prép'p.rati.9D.: per:

aU3{|)lit;,lftil)èiiéficé)'4norM de l'vmu, «tiô». cW'Mrait ri¥byQq4é .Je vj* e

ries crt«fts. -'•̃̃'•/ :r! i

'l\1.,Joseph~Fa:urë'1drio~e' ,~e 7e,

M. -Joseph-Faure' igno?e ,qye le.lité il vaut aussfc par l'âmp qui l'anime. L,é croc-eh^jàmbes q.ua' M. Joseph Faure a passé au projet de loi des crédits olympiques, aura une répercussion tfe décourageineat dans les milieux sportifs, qui travaillent avec quelle- Toi, quel dévouement, quel désintéressement à servir une ̃ cotise d'inïpprtance nationale, ne fût-ce que par l'incomparable propagande que font à la France nos victoires internationales. <•̃'̃•̃̃'̃:>̃̃

Que cette cause '-est donc loin d'être comprise. On ne demande certes pas à nos ;|énateurs d'être, des techniciens es sports, mais du moines' de faire confiance à ceux qui depuis des ariHées et des années s'occupent de'ces questions de culture physique. M.. le président -Doumer a pu dire sans qu'un de ̃s'e$: jcollègues ait protesté « Mais tfës't pour 192& » comme si des athlètes allaient participer aux jeux" ëqntre leif plus beaux, les plus vàmants, «ïes meil- lturs athlètes diifiltoiide, de la mêï»e fô^tiiiqu'on d^£?end au théâtre, ^lB&'re-iàieMu 14^jjîlletyvt)ù; eft'vfll'é-- gàaturô<Fatf)îbord >de lâsmëf*^ n Le fait brutalestile suivant l'ajournement du votétdes crédits entrave toute action'du Comité Olympique français et des fédératiôtis. Le premier né pent s'occuper 'ni du logement des athlètes à Saint-" Mpritz et a Amsterflam, ni de l'acquisition de matériel, ni de l'équipemènt de nos représentants par exemple les secondes doivent renoncer à l'exécutio^ï des; programmes de préparation olympique qu'elles avaient élaborés*. ,̃. > M. Raynal a rappelé en vain d'ailleurs les efforts considérables faits" ;en Allemagne, qui vont marquer d'une triomphale empreinte germanique, les jeux d'Amsterdam; *<•̃ >,

Or, les jeux commencent en janvier 1928, par les sborts d'hiver, à Saint-Moritz, se contmuent à Amsterdam- en mai pour0 'prendre fin en juillet, et chez nous tout est arrêté, rien ne va; plus

Sur la situation désespérante; que lui fait ̃' l'intervention stabUisaùlice» de- Joseph Fau*re, Je ;Comité Olyjïïpifoé' Français1 et ita-iFédécff-r, tion Fra.nç&feë seront appelés à c se

pronïftitîétt 'ftiè'i'credi prp(?hainl au'

crtatuiia'ûhë sëàflbè'îbiejjière conw-;

quée" d'urgence: ̃ ̃ Iia.iquestion quîiîsê pose est celle-, coJid'Jb •)' Vr Hqr.î oi } .'•, y-r- |fr'onsfcnous & ftmsterd,êm ̃ -t J'ai bien? peur que1 non. 'Front--

Reicliet, i

*•• ̃ ..rjl..i

AUTOMOBILE

SUE LE CIBCtTIt BRETON

La Coupe Florio

(DimancheyiT juillet) Demaiu dimanche. 17 juillet sera disputée, sûr le circuit breton de SaintBriéuc la Coupe Florio, remise en compétition par' la maison Peugeot, L'épreuve a, rappelons le; réuni 26 engagements 5 voitures Bugatti, 4 Salm- son; 3 Tracta, 3'J&tJ*i 1C-; â Peugeot; 2

Ariès et 1 voiture de chacune des marques.. suivantes Lorraine-Diétrich, Gendroiî, Donnet, d'Yrsan, Christlane, de Coucy et Talbot.

La Coupe se disputera sur trente tours du circuit, soit 407 km. 250.

te classement de iépreuve est réalisé suivant une formule nouvelle ainsi établie

Pour chacun des concurrents on divisera le temps total de ce concurrent par le nombre de tours de l'épreuve, ce qui donnera un temps moyen au tour. La comparaison' de'ce temps moyen et des temps réels sur chaque tour permettra ^d'établir un total d'écarts. Le concurrent pour lequel cette somme aura la plus faible .valeur sera proclamé vainquenr il lui sera attribué la Coupe Fîàrip pour une année. Ij-y aura en 'outré" dans chacune des cinq catégories >àe TénVeuve un classement basé sur le meilleur temps.

M. Bokanqwski, ministre du Commerce, assistera dimanche la coupe Florio et présidera, le soir, au banquet noffertcpar la -municipalité.

""̃ Paris les Pyrénées Paris

.il.:L ,(.¡;

',yé Tàjd|.id',endprance touristique an-'

nuel feâius-ics. Pyrénées-Paris commèft'i'

cera demain, 17 ,^t se continuera jus-' qu'au ¥£ 'juillet t'oijrarit, sur le pàrtio'ùrs- W2.5Ô0 kflomèt'res jaTohrré par lés: étapes suivantes Bordeaux. Pau, Tarbes <{*ar>les cols), Perpignan, Toulouse, Clerrtont-Ferrand et Paris.

Le 17 juillet, à Bordeaux, exposition des .véhicules sur la place des Quinconces, repqs pour les concurrents.

Le 21 juillet, après-midi, à Toulouse, 'exposition et repos,

"iLê 23 juillet, a Clermont-Ferrand, exposition et repos.

V '(* Dunlop et les records

c.

Tirais records viennent d'être battus

5D~'kilamètres k 188 dc moyennc.

500 "kilomètres à 188 de moyenne.

500 miles à 189 de moyenne.

1.000 kilomètres à 176 de moyenne. Voilà la performance que vient d'accomplir Voisin sur l'autodrome de Montlhéry.

Naturellement, sa voiture était équipée .avec des, pneumatiques à tringles sur jantes base creuse Dunlop, dont le! palmarès s'allongé encore de trois nouvelles Citations. ,1

'̃f.Ç' TENNIS

y ..y ̃̃ Après le conseil

'••'̃" de la L. T. A. britannique Le conseil de la Lawn-Tennis Association de Grande-Bretagne vient de décider, en principe, que des champiohonaiSiSUE- court de gazon, réservés aux rjoùeurs «femsiiônaUté britannique, se-

raient jc»rganjaé^ en -1928 apçàs !esicham-t

p^o^i^lS cffitejcnationaux ,4? WimbleOn espère ainsi donner roccasion à de jeunes joueurs de disputer des matches intéressants et de progresser: Il est aussi question de réserver des tournois à des joueurs classes, car beaucoup de dirigeants de, la fédération erpient que le déclin des joueurs tient pour beaucoup aux adversaires faibles qu'ils rencontrent trop souvent au cours de là saison d'été. Jusqu'ici, la L. T. A. 'n'avait jamais voulu faire un classement officiel.

v Une autre' décision du conseil de la Fédération britannique est la reconnaissance de la L. T. Umpires Union. Ce groupement a été formé par M. A. R. Davey dans le but de mettre à la disposition des clubs organisateurs de tournoi des arbitres professionnels. Les services de'ces arbitres -payés, toujours par conséquent, à la disposition du juge-arbitre, d'un tournoi, ont donné pleine satisfaction cette saison. Beaucoup de ces, arbitres professionnels sont des blessés de Hi grande guerre, membres de la « British Légion ».

Le tour du monde de Jean Borotra pThç Sporting Li/e croit savoir que Jean Borotra ne rentrera pas directement à Paris après avoir représenté la France dans la Coupe. Davis et les championnats dés Etats-Unis. Il irait au Jãpqn, dans l'Amérique du Sud, puis eh 'Australie pour rentrer en France en (PjMsswtnpar^J.Wwîae-dpnSiid} Mivtat/te iMïun,y,oyag,e d'affaires, majs s'il tteltàtàm ̃jse,' -il .est- •.ecrtsuir.Tiue-. notre ]«od«HD »j

.ixouyera..le ^mœteja .de- jouer au'iAÉ|ttiiis

'îpûrs^l MfS'îandonnée mofldiaW, 3

JIt'1. ~ç~Úrs 'l1è 'C'~ttè' r~ndonnée mopdtale,

LeB Championnats militaires ̃ ̃•"̃ de Paris

Hier, au Tennis Club de Paris, première journée' des Championnats du gouvernement militaire de Paris. On a ̃jtftié de nombreuses parties éliminatoire,^ dont quelques-unes furent particulièrement intéressantes. Le soldat Estrabeau fut la révélation du tournoi. Il a passé facilement trois tours, battant en dernier lieu le capitaine Malterre. Estrabeau est professeur au L. T. C. dei Biarritz et a un jeu qui rappelle en certains points cejui de Jean Borotra. Il a .une bonne chance d'être dans la finale,

Le lieutenant Debarre a éliminé au second tour le capitaine Francou par 2 manches à 1, 20 jeux à 15, après une très belle partie. Roland Bou'ssus a passé. trois tours facilement ainsi que le polytechnicien Glasser. Nous les retrouverons en demi-finales. Résultats. Championnat simple. Premier tour lieutenant Pascal (32° R. A. D.) b. capitaine Varrier (23e R. I. C.), 6-1, 6-3 ,·' capitaine Soulié (E. A. Chars) b. brigadier Defayet (182° R. A. L.), 6-1, 6-3 lieutenant Lionnet (E. Génie) b. lieutenant de Castriez (12° cuir.), 6-3, 6-3 lieutenant Huet (5" génie) b. soldat Depàty (34» RCA.), 6-0, 6-2; Joessel (Polyt.) ̃b. maréchal des logis Saïicholle (11e c); '$-̃6, e-Q, 6- ;>atiltainé"R.' Haies (34' R. A,>-4>«icapitaine Denolle (S. E.), 6-3, 6-0; Glasser (Polyt.) ,b. mar.échal des logis Du Pàs'aiierd" Ô.E. A; Hlj; 8-1, fi^\ soïilns& Estrasbcàù.tû'>fâ«A. A.) i. soldat A. Busson (22° S: L), 6-1, 6-3 >; lieutenant Barbot (503° R.,C. C.) b. soldat R. Cazenade (L G. 0. A.). 6-2, 7-5 Chevalier (19° train) b. ,lieutenant de Berchbux (Saint-Cyr), 6-0, 6-2 capitaine Malterre (Polyt.) b. brigadier Thomas (16° dr.), tr- 1 i 6-1. Le? autres PTPmnts

v Deuxième tour, R. Boussus (19* H.) b. lieutenant Gauthier (12° cuir.), 6-0, 6-2; lieutenant Debarre (A. F. V.) b. capitaine Francou (Saint-C3'r), 11-9, 3-6, 6-0 Pascal (Polyt.) b. lieutenant Jannequin (11e cuir.), 6-0, 6-3 lieutenant Pascal b. lieutenant Miron (16° D.), 6-1, 6-1 capitaine! Soulié b. lieutenant Lionnet, 6-0, 6-1 soldat Pfister (Météor.) b. capitaine Foucher (Saint-Cyr), 6-0, 6-4 lieutenant'Huet b. Joessel, 6-3, 7-5 capitaine Halles >b. lieutenant Perin (E. G.), 8-6, 8-6 lieutenant Rebourseau (32° R. A. D.) h. brigadier Gravereaux (L. G. E. A. M.), 6r2, 6-3 Glas,ser b. lieutenant Baily'» o-j. 6-1 Estrabeau b. lieutenant Barbot, 6-2, 6-0 capitaine Malterre b. Chevalier, 6-1, 6-2 capitaine Lambert (Art. 1" D. C.) b. 'brigadier Manier (6° G. A.. A.), 6-2, 6-2. capitaine Maurice (C. WO. C.) b. lieutenant Thuerte (5° G.), b-4, 6-3 R. Douillet (Météor.) b. lieutenant Aldebert (Art. I. D. C), 6-1, 7-5 Troisième tour Boussus b. lieutenant Débarre, 6-2, 6-0 capitaine Soulié b Pfister, 6-0, 6-1 Glasser b. lieutenant RtlJqUrseau, 6-2; 6-3 Estrabeau' b. caIutaine Malterre 6-0, 6-i capitaine rambertb.Dervauxr> 6-0,0-0 R. DôuiiPtgb^MaW-iee, G-% 6,2, V

Championnat double. Premier tour:

•Jauncquïn-et- SanpHolle-iJ.' Du PàsOuèr >dt GravereauX» 6^3.i7-:5 Bousius M Maurisson -b; Baurdiaux et «Magne, 6-0 .6-1, Berde et Defayet b. Francou et Foucher, 6-3, 3-6, 8-6 Lambert et A.. ,t»ernon b. Bar et de Casjries, 6-0, 6-0 •' tstrabeau, et Lenoble b. Gautier et de Castriès, 6-1, 6-3 Daviu et Lafaury b. Thomas et Miron, 6-4, 6-4. Les autres exempts.

Ocuxième tour.: Malterre et Glasser b. Hepqurseaux et Pascal, 6-2 6-4 Lami.)eirt leto Ageron b. Berde et' B. Deffayet, felfl H- >' Widnar et Huet b. Barbot et Maurice;, C-l, 6-3 Estrabeau et Lcnoble b. Devain-Laffauriè, 6-2, 6-2 Fromageot et Hermann b. Dervaux et Devrics 4-6, 6-3, 6-2 Bailly et de Taurrene b! Vallaseca et Breuillet, 6-1, 7-5 DouiU et .ef Pfister b. Perrin et Lionnet, 6-0,

Le tournoi se continuera aujourd'hui a partir de neuf heures. Les finales se

joueront raprê.s-ttudî a trois heures. P. C. C.

Les Championnats du Palatinat A Mannheim, le championnat simple a été pour le joueur hongrois von Kehrling, battant Prenns par 6-3, 6-3, 2-6, 7-5. Dans le championnat simple de dames, Mme Reznicek a triomphé de Mme V. Petery, une bonne joueuse hongroise, par 6-0, 6-3.

Le tournoi de Cologne

Le tournoi de Cologne s'est terminé avec une demi-victoire française car en double Boussus et Fisher triomphaient. A propos de la défaite de Ch. Boussus par l'Allemand Moldenhauer, il convient de rectifier le résultat. Ce n'est pas par 6-1, 6-1 que ce dernier a gagné, mais bien 6-1, 3-6, 6-1. La défaite dé Ch. Boussus est ainsi moins sévère. Résultats Championnat simple. Finale Hanneman b. Fischer, 6-2, 3-6, 6-3. Championnat simple de dames. Finale Mlle Aussem h. Mme Friedlebcn,

̃ .Championnat double. Finale :jGh. "Boussus -et 'Fisher,. b.Hanriêman, 6-1, f-î, ï-fi, 6-3. ̃̃'̃̃'̃̃ -i •̃̃ ii- '̃'̃̃̃ Championnat doublé mixte. Filiale Mlle Aussem.' fet'MttiaenTià'tter'l*. Mme R.

iMathieU'et C1î;"Bôussusî; 6i-2,>7r5. >;i

̃;̃̃ ̃̃̃<̃:̃• y< U -^t--

ÇOLF `v

Le championnat de Grande-Bretagne A Saint-Andrews, après te second tour en 18 trous, du championnat de GrandeBretagne, Bobby Jones l'amateur américain, qui détient le titre, a terminé en tête avec 68 et 72 = 140, devant B. Hodson, 72 et 70= 142 et J. Kirkwood 72 et 72 = 144..

Tous les concurrents ayant 15 points de plus que Bobby Jones, soit 155, sont éliminés. Il ne reste donc plus que 54 joueurs pour terminer la compétition sur 36 trous.

Parmi les qualifiés Aubrey Boomer, qui est quatrième avec 146, à un point de T. Cotton, un jeune professionnel de 15 ans, la révélation du championnat; C. H. Tolley, 150; E. Roy et A. Herd, 151; J. Braid, 152; J. Barnes, 152; J. Gassiat, 153; A. Marves, 154.

R. Golias, 156; H. Vardon, 156; l'Américain W. Mehlhorn, 157 sont parmi les éliminés.

1

CYCLISME

LE TOUR DE FRANCE

La 2?,° étape: Metz-Charleville La 22" étape du Tour de France, MetzCharlevi'Ue (159 km.) disputée hier a été. gagnée parrtHeetor .Martin qui:a çpuvèrV

lar distaopeijen.;5,h, 29,jS, D^iis ,1e in.ême

temps j^on^-jj Arrivés. yaa S(emïlf,0!ucl4i Y^r%eg(upi,,<j!eltpiof .'ci Decorté.. du clas-

Frantz' est toujours en tête du clas-

sement général avec'175 h. 8' 9". Il précède Dewaelé de 48 minutes.

Aujourd'hui vingt-troisième et avantdernière étape Charleville-Dunkerque (270 kilomètres).

a– i– i #

LA VOILE

Les régates de Deauville

Malgré le mauvais temps, la première réunion des régates internationales de Deauville a obtenu un grand succès. Dans la série des grands yachts notons les victoires de « Norada », â Sir Howond « Frank III», à M. Iglesias; dans les 8 m. 50 « Ciboulette II ̃», à M. Thubé handicap national « Smalah », & M. Laverne; dans les 6 mètres: « Cupidon », « Viking », à M. Ph. de Rothschild.. Le déjeuner des bleu et. blanc réunit 165 convives. Au dessert, les orateurs M. Louis Bréguet, Sir Rosney, MM. Lemire et Payne vantèrent tous l'animateur du meeting M. Edmond Vidal.

̃ ̃̃» ̃̃

BOULES

Un concours international

Le concours international de boules qu'organise le Journal, commencera au-

j9nrù'imi mn^hifM tiardindios .ïuiJpries.*

L.'fiSfllflnflde,oH,,se.,dér.9JMeKont.les1ô;ife

ferent« matçlxes,le!'lQi)Èp7.dfi Ja rue de Rivoli;, a été transformée en un, boulo-, ironie modîêlefîae'1 32; ïèuxW'tJrië ^déteinte: spéciale- entourée de gradins et de tribunes a été aménagée pour les dernières parties. Cinq mille spectateurs pourront suivre les évolutions des quadrettes finalistes.

Voici l'horaire des parties pour la journée d'aujourd'hui samedi première partie, 8 heures; deuxième partie, 10 heures troisième partie, 14 heures; quatrième partie, 16 h, 30. Ces quatre parties se joueront en 15 points. TIR

Au tir aux pigeons de Deauville Prix du Conseil Municipal (12 pigeons). 1. Sessa, 15 sur 15; 2. A. Mihuva, 14 sur 15; 3. Paul Herbelot, 12 sur 13.

Prix Pol Royer (3 doublés). 1. A. Mihuva, 5 sur 7; 2. de Laiglesia, 4 sur 7. Frantz-Reichel.

Les distributions de Prix Petit Lycée Condorcet La distribution des prix du Petit lycée Condorcet a eu lieu hier, sous la présidence de M.; Chacornac, proviseur du lycée, *g4 '̃̃̃ ;<), lï'ji s ̃' .M,Chaeorn^c aïte^a à.renare, tout d abara,Ç,>un,(,^fimma"ge,pul}iA(i; finx, professeurs et aux maîtres de l'établissement. Puis, s'adressant aux parents « Vous mettez, a-t-il ajouté, au rang qu'elle mérite la fonction éducatrice, et je sais que vous ne me contredirez pas si je dis ici qu'il faut être d'une certaine qualité d'âme pour vouer sa :vie. à l'éducation des enfants des autres. » Les mères de famille, surtout, peuvent imaginer « ce qu'il faut dépenser, dans une classe, d'activité, d'ingéniosité, de. présence d'esprit, de clairvoyance, de patience, de fermeté, d'indulgence attentive », II faut y ajouter « le savoir, l'indépendance du caractère, le respect scrupuleux des jeunes consciences ».

M. Chacornac, invite une fois de plus les enfants du Petit lycée à visiter la salle d'honneur du Grand lvcée. Ils y liront, sur les tables de marbre, les noms des huit cent vingttrois élèves d'hier qui, renchérissant sur tout ce que leurs, maîtres leur avaient donné à admirer dans le pas. sé, ont donné leur vie simplement pour que les' jeunes vivent libres dans la patrie libre. Ils verront mieux alors, pourquoi leur proviseur leur, a dit si souyent que ce, qui fait if.homiTO, fi'.est( la vpjprité, et c'est le caractère. .,̃

r y.oiej la, liste des .élèves qui ont iVÇPR?^ plus, grand! nombre de" tecpmpenses Prix Pierre Gobin 1 Marcel Martin, *? ̃ 3.

Prix Edmond Gusse Pierre Henrion 5e 3.

Prix de l'Association des anciens élèves ^Albert Klein, 5e 4.

Prix de l'Association des parents d'éleves Jean Crémieux, 6e 4.

Prix de la Défense Xationalc Simone Henrion, 7e 1 Pierre Grenier, 8° 1. Prix Guillaume de Saint-Maurice Jacques Borde, 10° 1.

Prix des classes .-̃

Enfantine Fabre Henri, Jacquette- Montiller.

Première année préparatoire, II" section Aureille, Rondillon," Leuormand. Première année' préparatoire, l" section Borde, Tricoïre, Franck.

Deuxième année préparatoire .ffirscht Fa'brègue, Lanfranchi.

Huitième 1 Greffier, Defourneâuxj Marin. Huitième Il Zinger, Flexer Gh., Va* lat.

Septième 1 Henrion Simone, Debierw re, Trotry.

Septième II Deléclux et Elix, -Lenormand, Perdrieu.

Septième III Bronsmiche, Le Véel, Ruff

Sixième I Flexer Paul, Le Penc. Choiset.

Sixième II Viali, Baillard, Mêra. Sixième III Dupard, Tordo, Bocquil» Ion.

Sixième IV Crémieux, Travers, Huet Sixième V Lebeau, Estève, Thébot. Cinquième I Vasseur, Giraud, Grum- ° berg.

Cinquième II Henry René, Garan» cher, Lemerle. Cinquième III Henrion Pierre, Lévj' Jacques, Hantescm.

Cinquième IV Klein Albert, Genkin, Vialard.. Cinquième V Gastaldi et Lemariéj Gigiioux, lîurand. :l ̃̃ Cinquième' VI r? Gauthier, Hamot». i,,

Labhé.. ,,(- ,̃;£- a^^

Cinquième VII J^àssinky Borisi"Ber»; nard, Gràveline. r, 'Quatrième I Cadert?ët THÔyér-ttozkVi Schmidt, Fontana: ,.j ̃< Quatrième II Klein, Naphtali, Poulin, Deprey.

Quatrième III Martin Marcel, Au-. dierne, Huppert.

Quatrième IV Grossetêtej Bléas, Ve-nlut.

Quatrième V Loir, Ammar Ch.^ Bourhy.

Quatrième VI Guénot, Prévost, Perry. Quatrième Vil De Biévilk, Levieux. Hébrard.

Grand Lycée Charlemagne Liste des principaux lauréats

Prix de fondation Jamet, Pflieger, Suavet, Bodin, Hilaire, Laplaiche, Rambaud, Loubet, Vienne, Mlle Lépinois,

Ruquay.

Mathématiques spéciales Spinninger, Dutreux, Laplaiche, Lebesgue, Levasseur. Mathématiques spéciales préparatoi4 res Pfliéger, Picquenard, Tessereau, Volckringer, Pierson.

Mathématiques Lozé, Chaudesris, Bidaux, Biseau, Bordeaux, Cuny-Ravet, Mlle Lépinois, Pons, Julien.

Mathématiques Misset, Bret, Ras, Cassé, Desforges, Reynaud, Chalmin, Tavlitzki, Lacroix Philos hie Vienne, Jamet, Bonnet, :Çreus.c>t, ,Jpijbowsky, Guérin, Jarchianj, "Albengue,.DubQscq,. Boudy. r A Hîlaire, Grivet, Leicéur,' Mli' V chaù'â, Suavet, Rigool, Daùtry, ,,Rpseri« berg, Levaique, Loublié, Tréplos." '̃*•̃̃ ̃ lro B. Rietmann, Bodin, Caen, Brft- me, Girard.

1" Cl Toulain, Leleu, Bloch, Le Tourneau, Hambaud, Arnoux, Gorce, v Henry, Rey, Sicat. r •̃• ̃,•• lr° 1 C2 Sylvestre, Lavocat, Cante, Plasse, Ponce i- 1" D Lévy, Marcou, Grizolle, Sigg, Sonnet, Tavernier, Giudicelli, Belimc, Ramboz.̃̃̃ 1" 1 D2 Gabarinoi, Bordereau, Pohoski, Segons, Simon, Hénon.

2° A Joyon, Ducrocq, Masson, Trapet, Podrisky, Raynaud, Devillers, Rivault, Marchandise. 2° B Lacroix, Goudot, Kalteumarck, Pigier, Schapira, Vignié, Thomas,

2° Cl Grody, Alfassa, Lazeraes, Bouillot, Witterkoër, Guidoux.

2" C2 Silvy, Arribehante, Agneau, Blot, Dumont, Redouin, Bernardin; Li. don.

2° D Badellon, Albessard, Bertrand, Le Gal, Périgault, Guéron.

3° 1 Fronsacq, Chémic, Lallé, "WulU lemnier, François. l- 3' 2 Radde, Loubet, Lorthioy, Pla.gnol, Persinette.

3° 3 Lesieur, Bertrand, Hutinel, La- bourayre, Fayol.

3" 4 Chevallier, Chassaing, Auschel, ̃ Piezza, Sebastiani.

4° 1 Violet, Maignon, Haguenauer, Borodkine, Péririaux, Demotte, Roussel; 4,« £ Martinet, Mçyei-jjVJlardi Clique/ Roos, Lecourt, Gaillot."

–ÎT3 rO,b-értyrB6rri;tttrwi(t, «.«.««ît^r-

Lévy. '̃-̃•• i.Vt^'îEspéret^Deuiïiftnt, fMaroiSj Gar- "-̃die, Larcelet, .'•

Petit Lycée Charlemagne Liste des élèves le plus souvent nommés 5° 1 Lessant, Sterboul, Dommefgues, Pasquet, Werlé, Besle, Fialon, Jussien 5° 2 Bisson Mignouneau, Rapaport, Jagut, Marantz, Bassola, Drobinsky, Khodoss, Ricard. 5° 3 Hochard, Cardascia, Secquesi de Botton, Quior, Girauld (A.), Girauld» (P.), Schneider.

5° 4 Bernager, Mey, Patte, Th.irion, Walusinski.

6* 1 Bâtonnier, Eberhard, Dibon, Philippau. Revault d'Allonnes, Grand, Cheinic, Campagne, Drizard.

6' 2 Riveline, Kommer, Mitzkorlaé^ Noal, Wetz, Auguereau. 6e ? Pluvinage, Grillet, Groumau,» Noël, Rémond (Charles), Hirsch/ Ôrtrmans. 6° 4 Dreyfus, Cudo, Ménard, Ritz, e Bordes, Marchand, Lartigue.

1 Van der Rogaert, Pistre, Goudard, Saillenfest, Schuster, Pigé, Sirven.

2 Weber, Mottis, Perron, Thii-_ haut, Baggio, Baldon, Joguet.

8° 1 Rouquel, Jurgensen, Périer, Giv" bert, Jacob, Mafteux, Peyrieux, Secquôs, Girvès, Dauphin. 2 Hirtz, Tessler, Bourgoin, Cfinif, pagne, Weinsfein, Le Gendre, MâxandeK "8* PeyrieuXj, Abouzerd, Bourdeix;

'Baltét, Garnier," Gouybt, Çtùillëmàrd;

1 SWnVftî, 'PeyKéux, Moreau, Hernoult, ̃ Wautier. 10° Sosson, Maignan, Ruquay, Mansot, Klapih, Cotte, Cahn, Robert. 11° Mlles Suzanne Maigijou, Gilberte '*̃ Ayral, Bloch, Perron, Mlles Paulette Bi-' bollet, Odette'Lecourty, Chertier, Voisin, Soubeyran de Saint-Prix, Jarry.

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Chemins de fer de P.-L.-M.r Pour visiter l'Avallonnais et -le MorvaH

̃ ̃ 7 t

Le moyen le plus pratique et à la. fais le plus économique pour visiter" toutes les curiosités que recèle l'admirable région de l'Avallonnais et du Morvan, c'est d'en, parcourir les routes en automobile.

Les autocars P. L. M., qui sillonnent cette région jusqu'au 30 septembre of-' frent, à cet égard, aux touristes, ioutésf.C les commodités désirables conl'o-t, ri-c gularité. des horaires et .choix judiçicu;ï: des itinéraires. ->̃ Les jeudi et dimanche jusqu'au 39 iiiittj' r des voitures partent le matin d'Aval-" Ion et y reviennent le soir n:êinc ,n ,` passant par Quarré-les-Tombes, la l'icr-. re-'qui-Vire, Gouloux, le lac dés Settôns. Montsauche, Lormes, le château' de' i' Chastellux, Pierre-Perthuis, Sai-nt-PtT!.1,1' Vézelsy et Sermizelles. Du 2 juillet au 30 septeriibf é, ce dut ''•̃' cuit sera remplace pâï deux autres, ï(in ••:• partirent également ^'Avallon.l'un nom-- la yjsite de l'Avallonnai's, l'autre '"poiii- celle' du' Morvan. Le premier atet lieu •• tous les jours et permcttfa de visiter la Pierre-qui-Vire, Quarré-les-Tombes,Cb<iB- · tellux, Pierre-Perthuis, Saint-Père, Vt- zelay et les curieuses grottes d'Arcy- ;i sur-Cure, une des principales attraclions du tourisme de l'Avallonnais. L'ae- tre sera effectué les mardis, jeudis et ïnnanches pendant les mois de. juillet ït de septembre, tous les jours en aôfit: :t passera par Mcluzien, Quarré-les-- Tombes, La Roche-du-Chien, Gouloux,- ̃ Vlontsauchc, le lac des Settons, Château- '• ^hinon, Lormes et Chastellus.

Toute demande de changement J d'adresse doit être accompagnée dp la somme de un franc cinquante "en tim!)res-pos(e, pour couvrir une partie des frais de renouvellement de ?a bande. ̃ ̃ > ) ̃- •


I vïïTTTP ¥3> 1 1R ÏÏD O W A CT TOUTcraSLiïEBI£ ^fk^SÊffiS

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18 V|| II JIJv JTw IL Jil/ 11 P r tX ir^ JrAx ^&^v ET SON ENTRETIEN catalogue franco

DEPLACEMENTS Eï VILLEGIATURES DES ABONNES DU « FIGARO » M. J. Monier-Vinard, à Royat M. J.-L. Martin, à- Villers-sur-Mer M. le docteur Maillard, à. Ault Mme veuve Ernest Mizard, aux Petites-Dalles M. H. Marciana, à Chartrettes Mme Albert Marinoni, à Vittel Mme Mathon, à La' Birochère M.. Louis du' Maroussem; a Pontaillac Mme André Mayer, à SaintCloud Mlle J. Mazon, à Condé M. Mérat, à Cabourg ,M. Paul Menget, à Babœuf- Mme la comtesse Guy de Miribel,à' Heri.ianville-sur-Mer M. Edmond Monnier, au château dé Cbmnïenailles Mme Monin, a Saint-Nectaire; Mme de Parceval, à Chaînant Mme Jules Pérquel, à De,uville-.surrMer M.> lç. com'tèïdu Pètit-ThouarSi au châtsa,u -du Petit-Thouars Mme la baropne Bjiymond Pinoteau, à Sainte-Marie-sUr-Mer M. Pjerre,.Pruyo5t;, à Neufchâtel M. le docteur Frât-FïcrtteV à-. eWqueiràraie -ï Mme Paguery, à Benodet M. Gaston Poulenc, à Vittel M. le comte René du Plessis d'Argentre, à La Baule.

M. W. Rossel. de Kavalinski, à Genève M. A. Ituyssen, au château de La Plantaz M. Marcel Rosenfeld il Dozulé M. Roussel-Despierres, à La Turbie Mme Pierre Raindre, à Clairefontaine M. le docteur Récamier, à Parissieu Mme A. Rouffilange, à Moustiers-Sainte-Marie M. le comte de Romilla, à Salies-de-Béarn Mme P. Rydygier, à Kolomca.

jf.. le, capitaine de vaisseau Henri Suisse, à 'Saint-Germain-en-Laye Mme Jeanne Schneider, à Boulogne-sur-Mer M. René Simon, à Athis M. E. Sanial, au Vieux-Moulin M. le colonel Sautereau, au château de Calviac Mme F. de ifinçay, à La Baule M. Elias de Sola, à Val-André Mme Pierre Sourdis, à "Compiègne M. Max Sair, à Sainte-Gemme Mme Henry Saffroy, À Tessé-la-Madeleine. w

M. André Taillefer; 'à Luzarches M. le général Targe, à Vichy M. le général- Taufflieb, à Andlaû M. Th. Thomsen, à .Cppenhague Mme Albert Trèves, à Uriage-les-Baihs M. Troùvin, à Fontaine-le-Port. ̃̃̃-̃̃̃ Mme Henry Ulmann, à Néris-lès-

Baijis.

Mme Raymond Vogèle, à Saint-Ger-

Hiafai-les-Bains M. G.. de Villepibn, à

Boulogne-sur-Séine Mme Jean. Van Minden, à .Trouyille-surjMer, Jiptie^ahan-Essmexiafi, ». pinard Mme 'Victortif; à Louveciennes M. Van 'l/hnsclipt, ji

Bréda;. •/ ̃̃;̃ ̃̃ ̃̃!

Mine H. Wiener, à Orgevâl Mi 'Hen- ry "Wiener, à' Houlgate. r'U. P. Ardillier, à Saint-Christophe-laGrotte M. Paul Audra, à Villervilf'e Mine Marcel Arrault, à Saint-Chéron M. Robert^ Aubron, à Villennes-sur-Seine Mme Adèle Adam, à Badnauheim M. L.Broclieton, au château des Hayes; M. Nestor Bbrday, à Plurien Mme C. de Boyssbn, au château d'Argèntonesse Mine Béchu, à Vizzanova M. le marquis de Boisgelin, au château dé Boisgelin M. G.-Th. Bourdier, a Bouce M. Breschard, au château de La Pierre M. Jacques Bille, à M6ussy-le-Neuf M.' Louis Bertrand, à Romainville M. Bônhardel, au manoir de Bois-Thillard M. René Brillatz, à Foiiesnânt M. Fernand Brunet, au château de Spulangy Mme Gérard de Buyl, au Pouldu Mme la marquise de Bérulle, à Basse-Gôulaine Mme Marie Blondin, à Royan Mme Joseph Boigues, au château de Brain ;M. Edouard Bordier, à SaintCyr. Mme-Ejnile Burnier, à VillarsTSurOllon M. P. Belzacq, à Etàmpes Mme Robert-Cottin, à La Mormaire M. Louis Constant, à Jard M. Jacques Çordier,-à à Fouesnant Mme Louis Cottin,'à Lyon Mme Christiani, à Ribeauville Mlle Véra Crookston, .à Weybridge Mme Marie Crozet, à Château-

neuf.

M. Albert Carpentier, à -Mainneville Mme P. Carron de La Carrière, au Pouliguen M.'WOnelf CazaMs, à MëgÈvie Ma»» GbftFpeirtier, à Ba»r Mme Abel Corbin, au château de Mangoux M. Chauvet, à Pélissanne M, Jeaa CoPette, à Dijon M. le docteur Michel Campana, à La Casabianca M. le comte de Catalan, à Villers-le-Sec Mme Armand Coytier, à Montreuil-aux-Lions M. J.F. Delmas, de l'Opéra; à Saint-Alban-dẽ Montbel M. Louis Dupont, à Thonon Mme Duport, à Meulan Mme la baronne Double de Saint-Lamberf, à Aixles-Bains Mme Ducoux, au château des Breuse M. Dardenne, à Angers M. Delbos, au château de Saint-Benoît »Mmes Jules Desucmont, à Paris-Plage Mme la comtesse de Durfort, au château ti'Ancenis-le-Bois M. Delmas, à Cauterets Mme Suzanne Duché, à Men,thon-Saint-Bernard M. Maurice Donnay, à Çuerville Mme Desormeaux, à La Rochefoucauld Mme Marc Dubosc, à Saint-Martin-de-Seignanx Mme J.-L. ,Duplan, au yal-André Mlle M. Dutil<loy, à Fontainebleau M. Desvignes, à .Laval M. Jean de l'Espée, à Martienia; .'M. Edouard d'Espelosin; au château des 'Basses-Rivières M. A. Fleury, à Ar•genteuil M. le vicomte Jacques Fleury, ̃ à Malbuisson M. Pierre Fousse, à Blonville-sur-Mer M. E. Froniageau à •Eaux-Bonnes Mme Octave Farkoa, au -Touquet ,Mme Pierre Gillou, à Deauville M. Georges Goyan, à Aix-les'Bains M. Gabillon, à Valinés Mme la marquise de Gabriac, au Fayet Mme Jean Gibert, à Evian-les-Bains M. le marquis de Gouvea, à Francfort Mme Roger Gompel, à Vichy M. Jean Guicrieux, à Locquirec Mme Iaf barbrine s:GuilliberU au château de .Çopyrelles b

v M- Fernand. Gampert, à..Th*?6'ul;èl'i: fil.

'-Alexandre Huneeus, à B'taitfitfe' 'i"»1^ -Maurice Hennessy, a Ridxan' ,t^Si. F*inf ?c»s Join-Lambert, à La ^lormairc M. le. docteur Jouffray, au château de Rougéver Mme Jorand, à Dieppe M. l'abbé Jarrige, à Saint-Savinien M. le capitaine Yves Jallot, au camp de Coetquidan Mme la comtesse de Kçrgorlay, à Clessy Mme A. Klincksieck de Willeret, à La Bourboule M. Paul Lambert, à Vichy M. le comte Lauwich, au château de Rastienac M. Henri Lauwich,

Feuilleton du « Figaro » du 16 juillet 1927

(28)

Sous la Croix du Sud '-̃̃̃̃̃ EOMAN"

é 77/ be louing you alwaijs

Wilh a love that's true alwags. »,

VIII

il est Question d'autruche et de pétrole Avec -un bêlement plaintif, rl tombait dans le liquide blanchâtre, na- géant immédiatement,, par instinct de conservation, vers le plan incliné qui, à l'autre extrémité de l'étroite baignoire', lui offrait le salut. Debout de chaque cote de la fosse, deux hommes armés de longues. fourches de bois attendaient les moutons au passage et, à tour de rôle, appuyant leur instrument bifide sur le cou, les submergeaient un instant en entier dans le" bain purificateur. Le couloir de sortie ,011 les mérinos parvenaient un 'à un, en s'ébrotiant, donnait sur plusieurs enclos vers lesquels d'autres bergers dirigeaient les bêtes pour les trier tout en les dénombrant au passage.

̃̃ vi_ Nous sommes en plein travail de re• îCensemen^ expliqua .Mr Beck en dési^gnant de" la main la baignade. Nous devons veiller à ce que la naissance des

au château de Ràstïgnàc< ;:Mme Robert Lallemand, au-Mqnt-Dore. r M.. Eugène Ladevie, as Vichy Mme Langrogpe, à Talloires Mme Glairp ,l,arrieu à Veuves-Monteaux Mme Robert Linzelcr, à Fràncéville-Plage; M.(lecomte de Lùart, au château de L'aunay Mme la comtesse de Christian de Lor.'èril Mlle. Lamare, à Auxerre.1' ̃" 1. Mme de Laoutre, à. Lai Bourio-ule, M. le comte de?La Vinaza, à Biarritz Mme Victor Lue, à .Versailles M. le comtb de La-Ferrière, au château de Marciat Mme Laillier, à Langrune-surMer Mme E. de La Motte Saint-Pierre,1

au château de Montnonsibn' M. Henri)

Layedan, âBiot M: le 'comte Humbert de Laubespin, à Frintonren-Sea M. F.j Monnier, aux ̃ S.ables-d'Olonne Mme Georges Morache,à..FourasTles-Bifips j Mme Wlaragej àljQiVjîui'eaudière M.. G^Iii-iet,Març;î4l, Ui~ qçt r,M& 'PÍ1U~ Marcliand, ù'OarcBes i Mme- là'comtesse de Maupa^aû;'clïâlèail'r'de La Tiffar-, dière MV MelWer, â'iIiaiReniigiessse.^ Mv 'Pierre M«sj)ni.(?rrf<à ïrojîesi.Mm,p ,1a.

comtesse Bii/r. Du;vMo«stier,, au château.

de Quillien, Mme" L.' Mirât, à Barbeton-les-Thermes M. Albert Monfray, à I Evian-les-Bains M. et Mme Joseph Melon, à Vichy M. le comte René des: Netumières, au château de" Chaltrait. M. Jean Noyer, à Rayonne'; Mme Henri Œsinger, à Ottrott; ;MUe O'Connor, à Levons M.' André Ollivier,- à La Baule Mme comtesse Pecci Blunt, à Marlia M. Po.uquet, à Orchaize Mme Perrault à' Saint-Nazaire-surCharente Mme la duchesse de Polignac, au château de Mercastel Mme la comtesse .de.i Ponton-d'Ajnécourt, au château de Touchebredier M. Albert Proust, à Royan. M. Paul Reboul, à Epinal M. Jacques Rebour, à Houlgate Mme Georges Rbusset,à à Biarritz; M. Redortier; à' Marseille Mme Armand Robert, à Fontaine-Daniel M. Randon, à' Bagnols-les-Bains M. Fran-,cis Santos-Suarez, à Berne Mme de Segbgne, au. château de: Vesly Mme la baronne André de Senevas, à Montaudin Mme Louis Sauvegrain, au château d'Escrcux Mme Emile Schwob, à Branville Mme de S'éynes-Larlerique, k Saverdun Mme- 3e -Sahuque, au château de'Maragon :M. EHe-i Saleh, à^Man- sourah M. Henri ,Simor.d,-àTrouville M. Jacques Sargenton, 'au château de Lieutel' M. Sauze de Lhoumeau, à Royan MmeF:JC.,dè Sàint-Chamarit, à'

Scuti.t,-Ho'noré-les7-Bïiiïis' ̃ m^ j£an- Thier-

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bëi't 'Thurne*'ssén),aii» château ;de -Vîtïyr'

GhînbaJs')V M. Aile^àn*refTai'îot,-au châ-' tea* de la Pi-airièl>M; "AlBert- mornes, à Ypdrt M. Emile Thuloup, à Sanarysur-Mer Mme Jacques, Ubald-Bocouet, à. Combloux ;'M. A.:R. -Vargas, a Biarritz M. Paul'^Virot, au Mont-Dore Mme Vermeys, Clamart Mme André Vincent, au château de La Ferté-Resnel; M. A.-M.-Wenger, à Borgheim M. 3.-O. Wessner, à Saint-Gall M. Raoul Weill, à Houlgate Mme Emmanuel de Witt, à Valais Mme David Weill, au château de Mareil-le-Guyon Mme Clotilde Wittgënstein, à; Vittel.

Mme là baronne d'Arige-d'Astre' à Luz-Saiijt-Sauvpur M. d'Avancourt, au château de Mpntmerle M. Jules Alriq, à Figeac Mlle André B., à Châtelguyon; M. Marc Angenard, à Ecquevilly M. le comte d'Aramohd, à Eornichet Mme Aubry, à Annecy Mme la duchesse> d'Ariop, à Guipu.zcoa.r Mme la comtesse Madeleine de Beaucorps, à Ahglét. i., M Jean Bartholoni, à Publier ;.M. le baron Tbëpd'ore de Berckheim, au château d'Eclimont Mme la comtesse Brossaud de »uîgné, au château de Juigné M. Ernest Bbnrieau, à Cabourg Mme la baronne F. de'Blonay, à Camaret' Mrtie'Willv Blumenthal, à Marlyle Roi Mme Bebin, à, Chartrettes Mme Georges Bouches, à Pontaillac M. le comte Pierre de Belloy, à La Bourboule..̃̃̃ i M. Edouard Champion, au Touquêt Mlle G, Cavaljeu, au château de Vàl«

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Bould-en-YvèUnés- v M.. Georges Cliac-,

bonrifeàux, à "Bourboule Mme Albert Chaudron, ùli1' Bourbosn-l'Archambault Mme Jean Cousin, à ViïIers-stir-Mer- Mme la comtesse du' Crozet, au château de Camignat M. Henri Chauveau; a Deauville Mme Collé, au Crotoy Mme Curt-Goldschmidt, à Dinard Mrat> H. Carvalho, à Valïérangue M. André Cohen, à La Bourboule M. Robert Cousin, à Tessé^a-Madeleine. ̃̃" M. Ch. Duptiis, à Pont-Saint-Maxence; Mine Joseph tlèchelette, à Saint-Mauricesur-Loife Rfme A. Delacroix,1 à Trouville M. '.lé' ticomte H. de Dampierre, à Rosnay ;M. P. Dutilloy, à.Itteville M. Paul DojlmeTgue, à Aimargues Mme Robert Darblày, à Dinard Mme Dela ttre, à rislé-Adam Mme Demachy, au château d'Ognon M. Robert Davis, à La Bourboule M. Félix Delapalme, à Juziers ̃; M. lîçrnard Ditisheim, à Bourbonne-les-Bàjns.

M. le marquis.de Ferrières, à Vittel; Mme Jacques Féray, au château de Jouy Mme la mangùise de Flers, à Ménars M. P. de Forton, à Bilieu M. Léon Fournier, à Corvol-l'Orgueilleux Mme la vicomtesse de Fontenilliat, au château de Beaumarchais M. Marc Ferraud, â Royan-Pontaillac M. Lino Filho, à Porto M. R. Fontanilles, à Hauteville.

M. Léon Garcet, à Annecy. Mme la comtesse Gramont-Lesparre, au château de Korn-er-Houet M. Léon Gcetz, ii Brides-les-BainB M. Guérinet, à Trouville Mme Jean Guichard, à Fontainebleau, ̃ .• •̃•.̃ ,i j.

M*'J, 'Ç. WSlwéB,' iuLtigUBO-i; .tL--Gsor-

̃ièV Hubert', ï'i;j9ï-a«t*EbtMt1f'; M. Ch. Hùaït, à' Montmétiy '•̃ ({< 'M».'v le' vicomte .d.'IJen'h.ëZél, au ch'âteati'éfr Marault Mme Maurice H :nnequin, à Bruxelles. M. le docteur Iselin au château de Thiverval;

Mlle G. Janin, à Vézelay M. le comte Josselin, à La Baule'-les-Pins M. le docteur R. Jaj% à Barbezieux Mme M, de Junca, a Biarritz.

S. Exc. le' chambellan Otto Krag, à Zonte-sur-Mer Mme' Kisielnicka, à Eaon.- ̃ '-̃• ̃̃

agnelets ait bien lieu au même moment pour obtenir une laine de longueur unir, forme le jour de la tonte. Et, abandonnant André et Mr White, l'éleveur s'en fut, suivi de sa fille, rejoindre les serviteurs qui répartissaient les animaux dans les parcs ceints' dé' barrières blanches. ̃' v ̃ Dés qu'ils furent seuls, James prit familièrement son compagnon par le. bras. Thômas Beck est un,excellent homme, commença-t-il, fort attaché au souvenir d'Arthur "Henderson, et qui défend les intérêts de ma nièce avec autant de vigilance que s'il s'agissait de ses biens personnels. Malheureusement c'est un homme un' peu routinier Tout ce qui ne touche pas aux moutons pu à la lainei le laisse indifférent. Que dis-je Il a pour l'industrie un mépris farouche et accusé îles, usines d'attirer vers la y il I e totfs lés ''félines 'gens qui se consacraient autrefois

à la 'terre' ou à l'élevage.' D'ans un sens, 'il"

u5a p~s;~9~t> e~f,la,'crisé ~l~ U,n" sens., il

n'a pas tort, car la trîsè-dc {a nTaiiv1d'œu|

vre agricole se fait sentir ici avec plus s d'acuité encore qu'en Europe. En France, vous embauchez des travailleurs étrangers et les moissons de Beaûce sont faites par des tchécoslovaques ou des polonais mais, ici, vous connaissez le principe, in-, tangible White Australia », l'Australie aux blancs. Défense d'employer sur le territoire du Comnlpnvv'ealth des travailleurs de couleur. et comme on ne pourrait trouver à embaucher que fies jaunes bu des canaques, celà ne simplifie certes pas là question

«Le. résultat, c'est que ce pays conserve un rendement ridiculement faible par rapport à ses richesses naturelles, à la fertilité de son sol 1

» Si nous faisons entrevoir à ce brave Mr Beck la découverte de gisements de

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naphte sur les territoires qu'il à en garde* il va pousser des cris perçants, car il verra aussitôt' son élevage en péril, ses prairies saccagées par les puits, son per» sonnel drainé vers l'exploitation nouvelle. Nous n'aurons pas de pire adversaire et 'nous avons encore besoin de lui j. 'A^chibald ffdonc préparé notre petite expédition en lui donnant pour but la recherche de terrains favorables à Tiristallation d'une ferme d'autruches. \\7^}ter. Reed, l'assistant de Beck, nous a signalé justement la présence de quelques }wn-. des d'émeus dans la région- «ù nous de- vô'ns nous rendre. Cela justifiera ploine- ment notre ràndonSrée^ s'atnèv risquer d'é- veiller les craintes de nfcti'é; hô^tè.; Ne par-

léz donc à personne de .pétrole 'n,i c(e pros-

lez don, c a p.e,}'s, o.ipI, d, e .p'E;,lrQle, !f,~ .'g.!J Pl', Ç),

pections. IVbijs êtèss |in âmi. de R.àisy qui nous accompagnez pour vous intéresser Bai!^ plj^enir; 4 la^entative de' M. HGpkms I quî^elle, plaît jnfinànehtku -squatter' aas-1' tralfen puisqu'elle "njest .qu'u-ne ,foi;me,4fp,

IJéffVajjfer. ïRfoiiJôn?; et! âuwuehes.r ̃Imw ,1

plumëy, ont assez de points .communs pour mériter l'agrément :de;J\fo Beck.. Ce- pendant, j'estime préférable 'rdè ne "pas: tarder à nous mettre rfn routé nous serons fixés plus tôt et éviterons ainsi l'bjV veil- de tou,t soupçon. Reed, nous a trouvé un guidé parfait; Une fois sur place, nous nous arrangerons pour opérer discrète^ ment et, nos recherches terminées,- npu> inventerons quelque fable rassurante à l'usage de l'éleveflr-! »-»

André avait écouté le vieillard sans mot- dire. Tout en marchant côte à côte. ils s'étaient éloignés des bâtiments stonte et avaient gagné de grands hangars de tôle ondulée où. les ballots de laine comprimée attendaient d'être emportés: par": les camions jusqu'aux entrepôts "ils

^NONÉS™^

a

RECONQUISTA 200

BUENOS-AIRES

D'accord, avec les .articles 27 ieË. 28<des statuts de la Société, MM. les,' fActionnaires sont convoqués par le Conseil d'administration 3 l'Assemblée générale ordinaire qui au^fl.JifiU dans le local dé la Banque, Galle. Reconquisfa 200,

le, 17,, août prochain, à 15 h. 30,àvec

V0rdrç, du Jour suivant

1" Lecture et examen des rapports et bilan général correspondant au 58° excr'Cice,- terminé lëSO juin 1927;

t,®* Attribution dds? bénéfices; ̃•̃'̃ "̃' 3:?".Eleetiçn de cinq administrateurs en remplacement derMN- Timotêo; Balbin, flftm;inS.P^ri*6eva«, Pjamir.o Ferjjsn^e^^e-

;V]IlQta,i(doçt^uj" CeKdpniq V. Pered^(et

Guillermô A. LTaaondoi sortants par expiration de leur iftiànaat et désignation id'un syndic ptVjd_'un: suppléant djp^syn^ die. •/BsEmi àesur administrateurs *<f éBcoj qyajre le serpnt pjourile te^rnie de^deux qn^ et 1 l'autre qui sera, désigné dans, s~ la forme prescrite, par l'article' '72, 'des s statuts, seulement' pour un. àh; '• 4" Modification ides articles suivants 'des Statuts sociaux' N" 13, 64 et 6«' sur la réparti tiaiv ̃ des -bénéfices, spécifiant qu'ils, doivent être liquides- et réalisés; nos 22 et 34 augmentant, le « quprum » qu'ils déterminent n° 39, sur le droit d'absence, et n1» SÔ^, relatif aux relations commerciales entre les administrateurs et la Banque, ces ttcûx dernières dispositions en coordination avec-les articles 353/4 du Code de commerce, pour la première, et 338 du même Gode1 pour 3a- seconde; ̃̃Désignation de deux actionnaires, pour approuver et signer l'acte de l'assemblée, en représentation de celle-ci. Il est rappelé à MM. les' actionnaires que, conformément aux prescriptions de i'article 23 des statuts, ils devront, pour pouvoir assister à l'assemblée, déposer leurs titres dans les caisses de la: Banque, au moins trois jours avant la date fixée pour la réunion." BJ«enos-AÏres,.le;l3 juillet 1927. Ramiro Fernandez de VilîÔ4a',

président

Jorge A. Santamarina,

secrétaire

Les p'orteui's fraiiçaîs pourront'déposer leurs titres en- Espagne, chez les succurisales du Bapco. Êspanol. deliJRio de la

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Les paroles dé James White5 dissipaient petit à petit les préventions du jeune hommes Le sens de la dépêche mystérieuse, il le comprenait maintenant Daisy craignait que Thomas Beck rie: contrariât ses recherches s'il en connaissait le véritable but. La propriétaire des terrainS une fois présente, il ne pourrait que s'inclineri Mrs Henderson ignorait sans douté que son oncle .fût au courant des sentiments -de son fermier. La divulgation de sa dépêche, {l'écho ,de ses recommandations auraient certainement provoqué des commentaires, nécessité des explications qu'il "fallait éviter. C'est pourquoi elle avait prié André 'dé ne pas parler de json j]tç}fgpà.nrtnei .y>V

Mais l;8stp,c,M3Jp:oJ:ames[, White avait tout

>¥a!s; l,làst}JC~~f. ~w:ames'h, ite. a,:aittou,t

prévovf L*s (̃DanléilS;:ide'- Daisy étaient su-i

pbfflus. N'ayHnf ^̃aVôlié sa communi-

cation télépKôtiîque,Jir était difficile a André de^jv^e(r-.TOaWtei).an^: la. teji^ùrfsjlé;, ;ce |ëlégria^aïrQ(4 fdemeuré Perth,) et -dbiij'' il n'avait eu -connaissance- que par surprise, v- ̃̃̃• '̃" ̃ Il expliquerait tout à Daisy* "dès son retour. Pour l'instant, le mieux était donc d'exécuter le programme tracé par James White qui, comme il venait de s'en rendre compte, ng- sacrifiait, rien au. hasard. ̃Aussi se bôrna-tUI à approuver les dispositions prises par le vieillard. Mon plus grand désir, vous le savez, est d'expérimç.nter, mon dé|ecteur sans tarder. Je suis prêt à vous isjiivre quand vous donnerez le signal du 'tfé-' ̃part. ̃ '̃' Si rien ne s'y oppose, conclut alors Mr White, nous partirons dès demain,' mais n'oubliez pas la consigne silence le-plus' abs'olu siir nos véritables projets.

ET SON ENTRETIEN CATALOGUE FP.ANCO PETAIN

.I,}'

LE .•'̃ t. •- ̃ ̃ II

Le Code du Propriétaire PRECAUTIONS

AVANT DE CONSTRUIRE

Tout un chacun par cette saison se promène. De-ci de-là des panneaux n'étalent qui 'annoncent des terrains & pe.ndre,i,La çonsfruction .y est qvuttta^ ffeuse, ^ait à -raison de, situation, soit de fa consistance des terres, spit. du point de rue qu'on- g découvre'. Mais, nulle indication n'^st donnée à Vitemïéreùr éventuel, avant de construire ̃son.; paviUpn pour que cette construc-:tion soit faite sans contravention aux. lois et règlements.̃,̃̃, Il u 'a deux catégories de mesures a prendre, les unes purement réglementaires, les autres purement fiscales. Les premières fendent à assurer une certaine harmonie dans l'ensemble des constructions. Ce sont des servitudes qui grèvent à perpétuité les terrains et les immeubles. Celles de la place Vendôme ou de la rnede'Rivoli sont bien connues; celles de la place de l'Etoile et de la-place de l'Opéra ont donné lieu récemment à des' procès qui ont eu, leur heure de retentissement.

Elles ont également pour but d'empécher des particuliers peu scrupuleux de s'assurer des bénéfices malhonnêtes en édifiant des constructions sur des terrains appelés à l'expropriation. Elles. assurent l'exécution des plans d'urbanisme aujourd'hui très répandus. Lorsque l'acquéreur d'un terrain veut se faire bâtir une maison, il doit obtenir avant l'ouverture du chantier an permis de construire. Cette demande, d'une façon générale, doit être adressée au préfet ou; la transmet au service compéteiït'A la campagne et pour les voies de peu d'importance, c'est le maire qui -a qualité pour^ délivret le permis.

,L&s secondes mesures à prendre con,cernënt les immunités fiscales. 11 avait \éé$ >tfAiiâ*5*Joi*'iil89Q.:que. fers; eanstruç-

tioris* -1 Hëêvèlles se-raient I « ieoBeropf es

id'îiinpôi^âkinfper^p^ndaat trois ans. Qe

•dé)ai â'effiif courir da'&l. janvier suivant I'aé'lié'iïément=dcs taaaauxa L~s de~nières lois sur les loyers ont porté èe délai « 15 pour ,(cs maisons d'habitation. Lorsqu'une aut6rAS<ptipn çte construire est nécessaire, la demande d'autorisation entraîne le droit' d l'exonération. Sinon une demande spéciale doit être' faite la mairie.

officiers ministériels Etude de M° R. Ransac, avoué v

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Entendu, répondit André en riant. En galopant pour rejoindre l'habitation, le jeune homme humait avec allégresse l'air pur de la prairie. L'inquiétude de la veille avait- disparu, la vérification de sa découverte n'était plus, maintenant qu'une question d'heures. Il goûtait une joie inconnue depuis de longues semaines.

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Ils se mirent en route le lendemain. Walter Reed devait lès accompagner jusqu'au lieu de camping d'où ils rayonneraient par la suite. Les chevaux les'attendaient devant le perron, près d'une charrette portant la tente, 'les', bagages, les armes, les provisions et que conduisait un vieil indigène qui devait les guider dans leurs ^recherches futures. Ce fut- ce singulier oompagnpn ,qHi,<attira tout' d'abord i'atteifftjçm d'Andçé -qûàiid il sortit' la

maiaoia." -,̃ 'i\')'^

Vêtus d'un' pantalon blanchâtre et dUiiie.

vieille; houppelande jaunq serrée à la taille par une ceinture de cuir, le conducteur de' la voiture, assis sur un ballot de toiles roulées, devait avoir plus de deux mètres de hauteur, tant ses jambes, pendantes, terminées par des pieds déformés, aux orteils allongés et au pouce détaché; .comme une main dft singe, semblaient gigântesques. Sous un chapeau crasseux aux bords déchiquetés, la face, d'une couleur brun chocolat, s'encadrait de longues mèches noires, onftùlêes, descendant}? 'jusqu'aux épaules. Surplombés par lès arcades sourcilières massives et' protubérantes,' deux yeux de jais luisaient dans l'ombre d'ôç- bites creuses que séparait un nez ériorme, aplati, sans consistance, retombant sur la boUche comme un groin. Toute la partie

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inférieure du visage disparaissait sous une barbe grisonnante, inculte, d'où s'échappait le tuyau d'une courte pipe génératrice d'âcres fumées. Le front et fies pommettes, seuls espaces de peau à découvert, .jetaient' sillonnés de tatouages linéaires en relief qui zébraient l'épidërme d'étranges rhagades. < Mr Beck surprit le regard étonné de son hôte.

Ah s'exclama-t-il, vous regardez ce beau garçon, Jim, le « black-feilow •». C'est un des derniers arborigènes de., la tribu des Yauroworka, une race qui -disparaît, victime de la civilisation. Le progrès n'a pas que. des bienfaits à son actif, grommela-t-il."

James White, discrètement, poussa le coude de son voisin qui se rappela leur conversation -de' la veille. Il sourit* d'un air complice à l'onclètdé DaisyV

Hello jiin appela Mr Beck. "i >^L 'indigène,- se laissa glisser dé la ,véifrè'éf"'S?hv*ânç*a \Ters rèleveur' "r"

< II ?êl?|tsi|i'm$^se, en yérité, et .ses;rongs

~Il t~~I*¡t~f~ ,eI!, ,Y,érit~et ses balàn-

liras" aux mains' noueuses qui se balan-

çaient mollement de chaque côté du corps maigre et musclé, aggravaient cette ressemblance simiesque' dont André avait été frappé au premier coup d'œil. ̃- Prends ton boomerang, Jim, commanda Thomas Beck, et montre-nous ton adresse 1. L'arborigèiie saisit une sorte de lame de bois plate et incurvée qu'il portait à/sa ceinture, puis, se retournant, considéra un moment la:pelôivse qui s'étendait deTfantïia villa, imprima à son" poignet jin njouvement'-jde rotation tandis que le corps s'infléchissait L;successivement en avahf puis en arçière.' .-̃ */?: (A suivre.') »:- Armand Mercier.