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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1927-06-24

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 24 juin 1927

Description : 1927/06/24 (Numéro 175).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k295176x

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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CHRONIQUE DU «FIGARO » Le point 4e vue des Iles Fortunées

La scène est aux îles fortunées. La beauté du décor passe, comme il fallait s'y .attendre, toute imagination.

-SoCRATE. Qui donc aperçois-je là• bas?; N'est-ce pas Adimante et Glaucon ? 0 amis, je suis charmé de vous vôjuy mais un peu surpris. Le soir des Bèjididies, lorsque, nous étant rencontrés chez le vieillard Céphale, nous eûmes sur le juste et l'injuste un entretien dont votre frère Platon a tiré un volume de plus de trois cents pages. GLAUCON. 7– Tu ne saurais avoir idée, b Socrate, de tous les ennuis que nous a causés notre frère avec ses dialogues à "clef.

Socrate. Je m'en doute.Ce soirlà, dis'-je, vous avez tous deux plaidé contre moi la cause de l'injustice avec tant d'âpreté que je pensais que le dieu vous dût, après votre mort, retenir aux "enfers dix mille années durant. Adimante.– Notre peine a été com= muée.

GLAUCON. Et nous voici.

^Socrate. Ne vous félicitez: pas trop V d'avoir obtenu cette grâce. Vous ne vous amuserez pas tous les jbiifs. Adimante. N'es-tu pas heureux ? So'Crate. Profondément. Ce n'est pas ce que j'appelle « s'amuser ». Glaucon. De quoi te plains-tu donc ?

SOCRATE. Je me plains que le décor est trop beau. J'aime en tout la mesure.

ADIMANTE. L'enfer est horrible .jsans mesure.

SOCRATE. Alors, je ne m'y plairais point mais j'y trouverais peut-être des compensations.

Glaucon. Par le chien lesquelles ?

Socrate. La société y doit être un peu mêlée. bien -agréable. Ah je suis puni d'avoir dit à mes disciples que je ne regrettais pas de mourir et de les q,uitter,-parce que j'allais faire désormais ma compagnie ordinaire des grands hommes de tous les temps. Dans Péternité, cher Glaucon, cher Adimante, les grands hommes deviennent paréils à de vieux garçons. Ils sont affreusement maniaques. Ils ne s'intéressent plus à rien de ce qui me passionne. Ils se figurent que. le monde a cessé .d'aller son train dans le moment qu ils cëss'aient «de. vivre et que jien n'est arrivé dëpifisVIIs îié lisent pas M journâF Jô~ ne veux pas me singulariser, on me regarde déjà de travers, et'j'ai dû rompre avec la terre toutes relations, je suis entièrement privé de nouvelles.

ADIMANTE. Nous t'en apportons de toutes fraîches, et elles sont bien honorables pour toi, ô Socrate.

Socrate. Bah ?

ADIMANTE. Tu n'as jamais tenu, dans les discours des hommes, une si grande place. Tu es tout à fait d'actualité, comme ils disent en leur jargon d'aujourd'hui.

SOCRATE. Je ne comprends pas bien ce que cela peut signifier, mais j'en £uis aise au delà de.l'expression. Adimante. Les uns te louent.

Socrate. Dans l'état où me voici, iu'ayancé-je d'être loué ? ?'

Adimante. Les autres invectivent contre toi..

"• Socrate. A la bonne heure Glaucon. Tu n'étais pas plus discuté de ton vivant.

Socrate. C'est cela survivre Et puis-je vous demander, ô très bons, ce qui me. vaut cette rare fortune, cent fois préférable, entre nous, à la félicité morne des bienheureux ? Glaucon. Tu la 'doïé, ô Sbcrate, à,là politique. H paraît que tu -fus un précurseur.

^ocrate. Je suis bien content de l'apprendre. Mais il ne me souvient pas d'avoir annoncé les choses futures. Glaucon. Les dieux t'auront sans doute inspiré à ton insu. Le jour que nous avons si longuement parlé du juste et Ile l'injuste, n'as-tu pas tracé le plan d'une république idéale ? Certains hommes d'à présent se sont mis en tête de faire une réalité de ta chimère. SOCRATE. Quelle imprudence

Adimante. Oh ils ne se flattent pas d'accomplir ton dessein point par point et à la rigueur.

Socrate. Je respire.

Adimante. Ils en prennent et ils en

laissent..

Socrate. r– Mais c'est que tout se lient! J pas

Adimante. Ils ne pensent pas «Hnsi. Par exemple, ils veulent rendre tous les biens communs c'est à leurs yeux l'essentiel de Mon programme mais ils laissent dans l'ombre, pour le moment, la question de la communauté des femmes. L'union libre leur suffit. '•- Socrate. L'union libre Maisrien n'est si contraire à ma doctrine! Tu le Sais bien, ô Adimante, à. moins que la

zpémôi><e. ne te Fasse étrânneDient de~

jnémôire ne te fasse étrangement de*-

faut J'ordonne. que toutes les femmes soient communes à tous les guerriers, mais c'est le magistrat qui est chargé d'assortir les couples. Il férait beau voir que chacun fît librement son choix Il n'y aurait plus que fantaisie -et désordre dans la cite.

Glaucon. -t- L'ordre, ô Socrate, n'est pas précisément ce qui soucie les communistes tel est leur nom.

Adimante.– De plus, le mot cité n'a pas pour eux le même sens que pour toi Tu voulais une république petite, avec un petit nombre de citoyens. Tu disais, je me rappelle tes propres paroles, qu'un Etat trop peuple ou trop étendu n'est pas sain, mais gonflé d'humeurs. Tu voulais une république ja-

louSe et toujours sur son quant-à-soi, toujours sur le qui-vive, prête à, défendre ses étroites frontières; Aussi donnais-tu le premier rang aux gardiens de ta cité, aux soldats. Les communistes n'ont point' seulement reculé, mais effa*ce les frontières.

SopRATE. Alors les gardiens de la cité n'ont plus rien à garder, ô Adimante ?

ADiMANTEfi Rien. Ce sont des bouchés inutiles. Tu conçois que la république se lasse de les nourrir. Voilà du coup résolue la question des repas pris en commun, qui t'avaient suscité tant dé critiques. Les communistes ne veulent plus des repas en commun. Ils -voudraient bien aussi supprimer la caste des soldats mais de même qu'Athènes et Lacédémone ne se sont pas Bâties en un jour, ce n'est pas en un jour que la société sera démolie. La plupart des nations s'obstinent à entretenir de> coûteuses armées. Les communistes prennent les militaires un à un, leur prêchent l'indiscipline et la désertion. Ils espèrent qu'à la longue les patries et les guerres finiront, faute de patriotes et de guerriers.

Socrate. Que m'apprends-tu là, ô Adimante ? Mais qu'ont de commun avec moi ces communistes ? Ils m'ôtent l'envié que j'avais peut-être de retourner sur la terre, où je. les rencontrerais. Je pïësseiis qïiè ]'f fè'gretterais I'erihtn

des îles fortunées..

des fles •̃•- Abel Hermant.

La caste des 45.000

Le Garde des Sceaux ayant fait enfin connaître, à la Chambre, son intention d'arrêter M. Ca-

chin d'ici dix jours, la Chambre, par suite d'une fausse manoeuvre des communistes, n'a pas mis son veto à l'exécution de l'arrêt. Elle a permis oh à deux voix de majorité que le chef du parti bolcheviste au Palais Bourbon, fût traité comme un simple citoyen-

Deux cent quarante et un députés ont bien voulu laisser porter cette atteinte à la majesté parlementaire. Ce fut une surprise que tant de braves- se soient rencontrés prêts à affronter avec les colères de l'Humanité, les reproches de 239 collègues choqués de ce manquement à la camaraderie parlementaire.

Cette fraternité de couloirs, cette entr'aide des élus ne connaît en effet d'ordinaire ni parti, ni opinion, pi intérêt natioB&l j^léudéputé d'abord, le dfcutî .«Un dèssus de toiis. En défendant le' voisin, chacun croit, se défendre. C'est cette camaraderie qui a rendu possible ce découpage des cantons, dont le scandale éclatera bientôt à la-tribune. et par quoi les, sièges sont devenus propriété électorale du 45.000. Hier, si les communistes ne s'étaient pas abstenus, la motion de protection en fa- veur de M. Cachin était adoptée et, au nom de la défense corporative des élus, le Gouvernement tenu en échec. On n'eût pu lui en imputer la faute. Le ministre, hier, n'avait d'autre pouvoir que d'exposer les points de droit. M. Barthou en usa avec clarté. Mais il dut laisser la Chambre libre d'accepter toutes les solidarités et de couvrir toutes les condamnations. Le hasard lui procura le succès.

.Depuis qu'à la voix de M. Sarraut le Gouvernement est parti en guerre contre le communisme, il demeure loyalement empêtré dans des textes et dans leurs commentaires. Son; souci naturel de la légalité stricte fait lever sous ses pas, des lois édictées contre l'abus de pouvoir et qui permettent à présent tous les abus de. droit à peux contre Jèsqjiels- il mène le combat. Il efl^niJraP^vÀ.J^, tête. Mais frapper un député même coupable de provocation à la; désertion ou à la guerre civile. plus de la moitié- de la Chambre en frémit Elle ne voit plus dans les agissements ordonnés par Moscou que délits de presse véniels. Elle saisit les armes de protéction contre l'arbitraire que la Constitution lui a données et dont elle a fait un arsenal de lois pour privilégiés. L'instance est-elle introduite ? La Chambre se montre hostile aux poursuites et nomme une commission qui se charge, en ricanant, de les paralyser. La justice va-t-elle pouvoir mettre la main au collet d'un condamné qui a épuisé toutes les voies de recours ? une motion est présentée pour empêcher l'arrestation, et c'est miracle qu'elle ne soit pas votée à 30 voix de majorité. Ce miracle s'est produit hier. Et M. Cachin paraît devoir être arrêté dans dix jours. malgré la pétition des socialistes accourus naturellement, au secours du collègue communiste. Mais quel spectacle donné cette Chambre, même assagie. Pour voter un vague ordre du jour contre le Bolchevismê, 350 mains se lèvent, le 10 juin; pour valider jun acte, le 23^ ij s'agit HW député la" majorfté n'est plus que de deux voix.

LE FIGARO

Fondé le 14 Janvier 1826

Anciens Directeurs H. DE VillemessanT, F; Magnard, G. Calmette, A. CAPUS. ADMINISTRATION RÉDACTION PUBLICITÉ ANNONCES 14, ROND-POINT. DES CHAJ4PS-ÉLYSÉES. PARIS Téléphone 'Eysées, 1 2-58, 12-61, 02-65

ABONNEMENTS s

3 mois o mois *ui

Paris,Départements & colonies. 30 » 54 » iOO D ÉTRANGER nn an « pays à tarif postal réduit 52 » 1OO D 190 » Pays à tarif postal augmenté.. 72 » 140 » 260 »

On s'abonne dans tous les Bureaux de poste ae f rance .• Chèque postal i^-tt Paris i

LE Ç^MMË};&M^0^ 'Q©mm&nt on «nous fabrique des Imaçals ?

18 février 1927.

Si l'on vide Ja.F-rance,uen.ïpaix comme en guerre, de fee qui faisait M richesse de son saîîg, la solidité de son âme et la sève de sonigénie, c'est parce qu'on veut y planter autre chose. Cent mille naturalisés par an, promet le gouvernement d'union nationale.

En 1927, le chiffre ne sera pas atteint, parce que les rouages bureaucratiques n'y suffiront pas on ne îïous fabriquera « que » 72,001) Français de papier timbré ;mais, à paii:ir_de l'année prochaine, régulièrement, implacablement, cent mille par an.

Qui donc peut garder des craintes pour l'avenir de la race et de Ta patrie? Entre l'Atlantique et les Alpes, entre les Pyrénées et ie Rhin, entre la Manche et la Méditerranée, il y «aura toujours un hexagone de terre que les géographies appelleront la France, et là^dessus des bipèdes sans plumes qui, possesseurs de la Erançe, porteront, le nom de Français. Alors; comme disent les ministres' dans les inaugurations d'hôpitaux et de nécropoles « Viveia France êtèrrielle

Déjà, par les droits de sceau qu'acquittent les naturalisés, le Trésor vient d'encaisser huit millions il est prévu que cette recette pourra s'élever dans la suite à quarante millions. Si c'était pour verser quarante millions de francs-papier dans un budget de quarante milliards qu'on vend la France, la sottise paraîtrait énorme. Il doit y avoir d'autres raisons.

Il faudrait les demander aux Puissances dont la volonté règle les gestes de nos gouvernants.

D'abord, l'étranger naturalisé devient un citoyen complet il a sur la terre de nos aïeux- les mêmes droits que nous le naturalisé est wn étranger que la police ne peut plus ,expulser grande commodité, grande sécurité pour la horde qui doit toujours craindre ici l'avènement d'un ministère patriote. Et puis, en moins de dix ans, les intrus s'imposant par leur inévitable solidarité, les voies leur étant frayées d'avance, et les brèches ouvertes, et les positions dominantes livrées par l'Organisation occulte qui les appelle ici, le vieux peuple français ne sera plus qu'un troupeau résigné sous le bâton du: conquérant,. s •̃̃̃• ~>r- Quand la .France était le. pays le plus peuplé de l'Europe, et peuplé de la* race la plus vigoureuse, elle'assimilait sans peine de nouveaux éléments aujourd'hui, presque épuisée, elle -subira leur jOUg. •̃̃ ̃

Deux millions de? nos hommes, les braves, les forts, se-sont fait tuer ou mutiler. pour sauver notre patrimoine, pour défendre contre l'invasion le sol sacré de la patrie. En fait, ils seront morts pour laisser le champ libre à l'invasion. C'est parce qu'ils sont morts qu'on prend leur foyer. ` `.

On vole jusqu'à leurs |idm% dont Ift chancellerie camoufle impudemment les usurpateurs.

Pauvres aveugles de guerre On leur a fait crever les yeux pour les empêcher de voir ces nouveaux Français qui ne ressemblent pas aux camarades de la tranchée ces masques, ces crânes, ces mâchoires, ces silhouettes de toutes les peuplades, bandes et tribus où nos pères, qui ont combattu et souffert quinze siècles pour nous laisser une France, ne reconnaîtraient pas leurs petits. ̃̃̃• -̃'̃

Les Etats-Unis, qui sont une patrie depuis ceaff; ei,aqu«n|je m\Sja, ferment leur porte aujourd'hui; et nous,. après quinze cents ans, nous livrons notre sol. En trois ans, à cent mille par an, on va nous remplacer trois cent mil? le morts de Verdun. Ils ont eu bien tort de mourir Avant peu, les nouveaux Français apprendront à nos enfants que les deux millions de martyrs de la Grande Guerre étaient des xénophobes, et que la France, trop belle, est de droit la proie commune des Barbares.

̃̃ ÉC H O B :.==

La Température

Vents d'ouest modérés.

Ciel nuageux avec éclaircies et ondées.^

La loi sur les assurances sociales donne lieu, au Sénat', à d'interminables débats. L'éloquence,, parlementaire sé,vit. De ce collier, gracieusement égrené détachons cette perle Il « La commission de l'hygiène est pavée de bonnes intentions, mais celies-c| ne coulent pas souvent de sa plume.' V; Le çomB.te. rendu analytique ajoute: discrètement :,« Sourires » -ti-

ai»

Le pont de la Concorde. Il va être élargi. D'après le projet retenu par le ministre des travaux pu,blics, la largeur d'un des ponts les plus fréquentés de Paris sera portée à 35 mètres, dont 20 mètres de chaussée et deux trottoirs de 7 mètres. Le pont Alexandre-HI, le dernier construit, n'a que 34 mètres.

Grâce à l'élargissement du pont de la Concorde les voitures pourront le traverser sur sept files.

1 II est question, en outre, de compléter ces travaux par une décoration magnifique. Sur les nouvelles piles* seraient érigées des statues représentant les

V. '̃̃:̃>̃̃̃' 24 juin 1927.. « Nous -sommes, dans l'incohérence, disait M. J&eorges Clemenceau, restonsy ̃!̃/» M. Clemenceau était monté trop tard au pouvoir il y faisait de la polémique. S'il avait eu l'œil d'un homme d'Etat, il aurait vu que la déliquescence française n'est pas incohérente, mais au contraire logique, ordonnée dans sa marche, aggravée de jour en, jour, suivant un certain .plan, par une certaine volonté.

Ainsi la destruction de notre race et son remplacement sur notre sol par des races étrangères s'accomplissent étape par étape, exactement comme l'ont décidé les Maîtres occultes, les TroisCents du sanctuaire qu'a dévoilé l'un d'eux, Walter Rathenau.

Première étape;: massacre ou mutilation de trois millions de mâles adultes, xles plus sains, les plus braves, les plus vigoureux on avait choisi, pour y présider, un sous-ministre de la guerré embauché dans les empires ennemis. Deuxième étape. naturalisation en masse de tous les déchets hUniqin&jejetés par les autres pays, des intrus décidés à détruire en France tout ce qui fit l'honneur de la France, des Barbares qui seront demain les pseudo-Français. Au mois de février, nous avons commenté ici la nouvelle loi des « cent mille naturalisés par an ». Nous avons montré que nos morts; qui avaient cru mourir pour sauver le patrimoine de la race, sont morts en réalité pour laisser le champ libre à l'invasion.

Troisième étape: déguisement des envahisseurs.

On n'a pas fait crever les yeux à tous 'les survivants de la tuerie et ceux qui ne sont pas aveugles refusent de reconnaître des compagnons d'armes, des compatriotes, des congénères, dans ces « Français de papier timbré » que trahissent leurs visages, leurs crânes, leurs mâchoires, leurs silhouettes, leurs peaux d'exotiques.

Lés chiens de notre pays grognent sourdement ,quand ils flairent ces odeurs insolites. Les hommes de notre pays dressent l'oreille avec inquiétude quand ils entendent résonner ces noms sauvages. Il n'y aura pas moyen de tromper les chiens; on va tâcher de tromper les hommes. Y Les mêmes politiciens qui ont fait ëHregTstrer "par un Parlement' insensé la loi d'invasion en masse vont lui faire enregistrer la loi du camouflage distribuée à la Chambre sous le numéro 4369. C'est M. Lambert, député radical socialiste du Rhône, qui avait signé la première proposition c'est M. Lambert qui signe la seconde il a donc une mission, et il .la remplit fidèlement. Un nombre ijïfirii de métèques, surtout dans le monde parisien, se cachent sous des noms français que les Français n'ont pas le courage de défendre mais il y a des cas où la ruse est éventée .par exemple quand on met les aventuriers en prison ou dans la-Légion d'hon'néur. Alors le véritable état civil apparaît.

La loi nouvelle en consacrera, même en provoquera la falsification.

Sous prétexte de sauvegarder «la musicalité (sic) de notre langue », en réalité pour endormir, notre méfiance, le naturalisé" pourra « franciser » ses noms et prénoms par traduction ou par adjonction, suppression, modification de plusieurs lettres ». Traduction M. Blum devient M'Fleur ;,modification: M. Blum devient M. Blin. Et comme on a tiré (hum !) cheval de eqqus, on finit par tirer 'NWaiè' de FinCkeRféin et Jacques Bouljtuome de iirâpoulopoulo. On nous prend nos biens, notre terre, nos industries on nous prend nos emplois, nos foyers on nous prend notre droit de souveraineté sur notre patrie. Réellement, il serait absurde qu'on ne nous prît pas nos noms.

Mais le masque est un aveu. Ce sont les cambrioleurs et les voleurs de grand chemin qui couvrent leur face d'un foulard ou d'une couche de suie.

principales colonies françaises. Elles compléteraient celles qui, sur la place de la Concorde, sont les figures allégoriques de nos grandes villes.

Hippisme et gastronomie.

On prend de plus en plus l'habitude, dans la'haute société- française et étrangère de Paris, de profiter des élégantes réunions hippiques pour se réunir à la campagne l'heure du" déjeuner ou du dîner. Cést ainsi que T Hôtel du Parc à Ville-d' Aurai], les jours-dé courses à Auleuil et à Longchamp, attire sous ses ombrages, grâce à son confort et à son-restaurant, le Tout-Paris habitué des pesages et des réunions mondaines.

Un de nds.abonnés de New-York nous envoie une .coupure de journal relatant les circonstances d'un suicide qui témoigne de la sympathie que l'on ressentit, de l'autre côté de l'Atlantique, pour1 le malheureux sort probable de :Nungesser et de Coli.

Le désespéré était âgé de trente-neuf ans. Il ne cessait de répéter à sa sœur: « Quelle effroyable différence entre la .gloire de nos aviateurs et le sort cruel de ces pauvres Français, »

Et dans sa mélancolie incurable le

pauvre homme se jeta par une des fenêtres de son appartement, situé au cinquième étage, dans Madison Avenue. Pour inaugurer ses Galeries d'Exposition du bbulevàrâ Hâûssmanh, M. Siegel donnait, hier, à, l'hôtel Ambàssador,: une soirée où l'on remarquait les personnalités de la- haute couture, du monde artistique et des industries de luxe.' Siegel, mondialement connu pour ses installations de magasins'et ses mannequins de 'style, a réalisé, dans l'agencement de ce nouvel emplacement, une merveilleuse conception du magasin moderne, où il expose ses dernières créations de mannequins, tous habillés par les grands couturiers de Paris. Une bonne nouvelle.

Mariette, ex-directeur de l'Ermitage, vient de prendre la direction du Château de Guigneville, hostellerie, à la Ferté-Alais (S.-et-O.), téléphone 28. Sous cette habile direction, ce délicieux but de promenade va bientôt devenir le rendez-vous sélect du monde élégant.

Un bon conseil aux élégantes.

Lia dernière hausse qui s'est produite dans les pays d'origine fait que le^ fourrures seront certainement très ̃ chères cet hiver. Faites donc vos achats ou vos transformations ayant les vacances et allez voir pour cela Henri Vergne, le-maitre-f ourreur, 18, rue Royale. Le Masque de Fer.

Le discours de M. Stresemann

Le discours que M. Stresemann vient de prononcer au Reichstag est, dans la forme, plus doucereux que véhément. Au fond, il est audacieusement insinuant. Renversant les rôles, M. Stresemann présente une Allemagne nue, désarmée, innocente et' pacifique; en face d'une France dont il ignore les intentions. Pour le public allemand, c'est peut-être un excellent discours. Pour toute l'Europe, c'est un document plein d'enseignements qui montre l'Allemagne rétablie, ayant oublié ses fautes et travaillant à accroître sa puissance, sous la protection de l'esprit de Locarno.

M. Stresemann, conformément à nos prévisions, a commencé par rassurer l'Allemagne sur ses rapports avec la Rusajp, Il ne prend pas parti dans le Cèntjîianglo-xusse il affirme qu'il; n'y à iieiji de changé entre. Moscou et Beirlin il ajoute qu'à sa connaissance il n'y a pas d'action concertée des nations européennes contre les Soviets. La .collaboration germano-bolcheviste continue. Ce n'est pas au hasard. que M. Stresemann a placé ce morceau d'éloquence en tête de son discours., Il savait qu'il toucherait ainsi au cœur de son auditoire, et qu'après cette déclaration essentielle le reste serait aisément accueilli.

Le reste, ce sont les travaux de Genève et les rapports avec la France. M. Stresemann n'a pas insisté: la modestie est parfois une tactique. Il sait parfaitement ce qu'il a gagné depuis l'entrée de l'Allemagne dans la Société des nations. Il n'est pas mécontent de lui. Mais il veut plus. L'Allemagne veut toujours davantage. Elle réclame la diminution des effectifs rhénans. Elle réclame la reconnaissance publique de sa bonne foi, de son désarmement et de sa vertu. C'est à M. Poincaré que cette, requête e,st adressée tout spécialement. M. Stresemann a jugé plus habile ou plus, prudent de ne pas répondre directement au discours de Lunévjll.e^ ,1,1 a; fait ise,rubj,an(t de croire que M. Poincaré n'était pas très bien informé des prodiges qu'a faits l'Allemagne pour observer les traités. C'est une figure de rhétorique un peu hardie. M. Stresemann est certainement le seul homme d'Etat qui croie M. Poincaré mal informé. Et au moment même où il s'offrait le, plaisir de cette hypothèse inattendue,; il donnait lui-même une preuve éclatante de ses propres lacunes. Il disait, que pour le bien du rapprochement fr,ançp,;rallemand il ne fallait plus parler des origines de la guerre, qu'il juge à sa façon, d'après les documents germaniques. C'est la phrase capitale de son discours, et c'est la plus grave. Si M. Stresemann veut que les 'relations des deux peuples dépendent de sa propre opinion sur les causes de la guerre, il les compromet, et il met tout le monde en défiance. Le rapprochement est une chose. Les responsabilités, les origines de la guerre, la culpabilité de l'Allemagne proclamée à Versailles par. viftgt nations en sont une autre. On peut n'en pas parler, Mais il n'appartient à personne d'effacet l'histoire ni d'en faire oublier les leçons. A. C.

TABLEAU DES CHANGES A PARIS:

â 18 heures

Le Dollar vaut 25,54 La Livre vaut. 124,02 La Lire vaut. 1,46

Parité New -York.. 3,91 y 6 VOIR LE COURRIER DE LA BOUiiSE ET LA COTE DES VALEURS A PARIS. LONDRES El NEW-YORK PAGE 4

/M. Paul Valéry; a pris séance hier à l'Académie i

Le succès de M. Paul Valéry a été ttbi grand. Le public d'élite qui remplissait, hier, la salle de la Coupole où l'Acadêniiie recevait Je .successeur d'Anatole France, a souligné de vifs ou de discrets, appaudissements maints passages de son r remarquable discours, lu vite et fort-bien. La réponse élégante et fine de M. Gabriel Hanotaux au récipiendaire n'a été ni moins goûtée, ni moins applaudie. Son remerciement fait, M. Paul Valéry a magistralement exprimé l'histoire, ^du monde littéraire à l'heure où commençait d'y briller Anatole France <.

Le temps de notre jeunesse et celui de notre vigueur ne s'est pas évanoui insensiblement, et, par une altération imperceptible, il a péri d'une mort violente il ne peut plus s'apercevoir qu'au travers d'immenses événements. Le monde au sein duquel nous nous sommes formés à la ;yie et à la pensée, est.un monde foudroyé. Nous vivons comme nous pouvons dans le désordre de ces ruines; rui«jies elles-mêmes inachevées, ruines qui 'inenacent ruine, et qui nous entourent de circonstances pesantes et formidables, au; milieu desquelles le visage, pâlissant du passé,: nous apparaît plus doux et plus délicieux que: si le cours indivisible des choses n'eût fait que nous ravir paisiblement quelques dizaines d'années.• ~{ Au sprtir d'une cr.i'se. si violente, après <uri'" 'si grand bouleversement et une tension si prolongée des esprits, la littérature s'est faite bien différente de ce qu'elle fut. On .trouvait autour de soi, vers 1890, une disposition tout autre et beaucoup plus simple des ambitions et des pensées. Ce peuple d'écrivains -qui dresse et gite devant chaque époque une:gUantité de miroirs divergents, n'a plus les mêmes coutumes ni la même constitution qu'il avait. On observait alors une variété de ;confessions et de sectes plus nettement séparées qu'il ne s'en trouve aujourd'hui. L'adolescent qui s'essayait aux lettres et qui s'égarait tout d'abord, quelque peu ébloui d'œUvres et d'idées, ne tardait pas à discerner les partis et les doctrines qui se divisaient le présent cm se disputaient 1 avenir. Bientôt, sur les degrés de l'amphitéâtre intellectuel qui s'élève de l'obscurité jusqu'à la gloire, il pouvait aisément choisir le côté de ses préférences. 'toutes les factions de la politique littéraire avaient alors leurs quartiers généraux et leurs places d'armes. Il y avait encore deux .rives à la Seine sur ces bords ennemis, les salons dissertaient, les cafés résonnaient, quelques ateliers bouillonnaient du mélange ecumant des arts. Même un, grenier devint illustre, et le seul grenier au monde capable d'une telle fécondité il enfanta une Académie excellente qui s'accorde aimablement avec son aînée, et dont il vous plaira, messieurs, que je salue les gloires et les talents au passage.. Je ne vois pas à présent d'aussi claires catégories qu'il s'en voyait au temps de notre ingénuité. Les volontés et les systèmes s'opposaient plus exactement. Toute la nation littéraire s'ordonnait en un petit nombre de tribus selon- les lois naïvos des contrastes que J'on croyait exister entre l'art et la nature, le beau et le vrai, la pensée et la vie, le vieux 'et le neuf. Chacune de, ces tribus avait sort chef incontestable, je veux- dire qui n'était oontesté que par quelqu'un du même drà-s

peau.

Le naturalisme triomphait sous Emile Zola. Autour de la noble figure de Leconte de Lisje a rimaient exactement les poètes du Parnasse. On remarquait aussi, souriants ou pensifs, un petit groupe de grande influence, .philosophes ou moralistes, dont les uns plutôt sévères>et même soucieux, les autres qui se faisaient de l'ironie une méthode universelle, jugeaient» disséquaient ou raillaient toutes choses divines et humaines.

Je crois bien que de ces auteurs idéologues, critiques, théoriciens, humanistes, nourris' de lihilologie, d'histoire et d'exégèse, q'hi se réclamaient des grands noms de Renan et de Taine, il n'en est point que la Compagnie n'ait accueilli dans ses fauteuils..

Zola, Leconte de Lisle, Tainc ou Renan, "il suffisait alors de quelques noms pour s'y réconnaître assez vite dans la mêlée des doctrines et des personnes. C'est en quoi de grands hommes sont fort utiles. Comme les noifts illustres s'inscrivent au coin des rues et nous enseignent où nous sommes, ils s'inscrivent aussi aux carrefours et aux points multiples de notre mémoire intellectuelle. La gloire cesse d'être vaine, la gloire sert à quelque chose si elle consiste à devenir symbole et convention commode dans les esprits.

Mais ces écoles triomphantes, ces constella-? lions d'écrivains si hautes sur l'horizon, commençaient à manquer dans leur triomphe, des forces qu'elles avaient consumées pour. l'obtenir. Leurs vertus et leurs arguments s'épuisaient, car il n'est guère de vertus que c.ombai tives qui gagne, les perd. Et quand à nos argument;», ;ce hfi sont, pour la plupart, que des armes de, jet qui ne peuvent servir deux f«h»r-IiB àSaWi-altsine et le Parnasse étant au plus haut période, ils devenaient la proje.passive de l'inertie ils se trouvaient, sans le savoir, dans toute la faiblesse "des apogées. Un jeune homme tenté par les lettres nenouvait douter (c'eût été douter de soi-meiiae) qu'il ne se préparât dans les têtes les plus actives de son âge, je ne sais quelles nouveautés extraordinaires. La jeunesse prophétise a par son existence même, étant ce qui sera. On commençait de saisir dans l'air intellectùel la. rumeur d'une diversité de voix surprenantes et de chansons encore inouïes, le murmure d'une forêt très mystérieuse dont lés frémissements, les échos et parfois les riparnements pleins de présages et-de menaces inquiétaient vaguement, persiflaient nettement les puissances du jour qu'ils pénétraient peu à peu d'une sourde persuasion de leur ruinç. Les lacunes et les vices de ce. qui existe nous sont merveilleusement sensibles à l'âge pu nous-mêmes nous n'existons presque pas encoro. Une foule de publications éphémeres, de libelles ^singuliers, d'opuscules, où l'œil, l'orêille, l'esprit trouvaient des surprises extrêmes, paraissaient et disparaissaient. Des groupes naissaient, mouraient, renaissaient, s'absorbaient l'un l'autre, ou se divisaient à*chaqiie instant, témoignant d'une vitalité océahiinje dans les profondeurs de la littérature imminente. Je ne dissimulerai pas que le plaisir de rompre avec la coutume, l'intention parfois de choquer, n'étaient pas absents de toutes les âmes. On assumait assez volontiers le rôle do démons littéraires tout occupés dans leurs ténèbres de tourmenter le langage commun, de torturer le vers, de lui arracher ses belles rK nies ou ses majuscules initiales, de l'étirer jusqu'à des longueurs démesurées, de pervertir ses mœurs régulières, dé l'enivrer tte~*sonos rités inattendues.

Mais si sévèrement que l'on ait pu jadis apprécier ces attentats, ces étranges sévices, il faut prendre garde qu'ils répondaient à. quelque nécessité. Les hommes- n'inventent rien qu'il n'y soient contraints par les circonstances. Les damnations ne sont que des expédients qui répondent à des expédients. Elles n'émanent que je juges extérieurs qui ne sentent pas ce que nous sentons. La sévérité est nécessairement superficielle.

Après avoir formé un intéressant tableau des cénacles d'il y a quarante ans, M. Paul Valéry ajoute Le jeune homme d'alors séduit aux enchantements de poètes purs et maudits, hésitant sur le seuil de cette littérature înquiétânté- dont tout lé monde lui enseignait les périls et lui dénonçait les folies, pressentait dans l'air de son temps cette excitante émotion, cette disposition intime que l'on éprouvé. au concert cependant que 1 orchestre s'essaye,


et que chaque instrument cherche pour soimême, et pousse librement sa note. C'est tout un désordre musical délicieusement déchirant, ijfl, (chaos d'espérances, un état primitif qui ne peut être qu'éphémère mais ce trouble vivant a quelque chose de plus universel et peut-être de plus philosophique que toute symphonie possible, car il les contient dans son mélange, il les suggère toutes. Il est une présence simultanée de tous les avenirs. Il pro-

jphétise.

Enivré, ébranlé de toutes ces promesses, le poète naissant s'apprivoisait aux étrangetés ̃ de son temps, et se laissait, comme Parsifal immobile, transporter par une succession d'enchantements jusque dans le temple illimité

du Symbolisme.

Et voici Anatole France

Cependant, les divinités sages et constantes qui prennent garde que nos Lettres ne soient Jamais brusquement et totalement altérées · ni'qu'elles s'assoupissent trop longtemps dans l'ennui de la perfection, avaient'-déjà formé, et déjà fait paraître avec honneur.dans la qjjy(Fiêre, celui-Jà même qu'il fallait pour ranimer,1- au milieu de la confusion des tangages, quel-flues-oinejs des grAces des .plus ̃ purs auteurs d'autrefois. Ces grâces, fort' délaissées, n'en .̃étaient pas moins incorruptibles. -L'ott ̃Vit" livres plaisir, et, sans trop de surprise, quelqu'ulilfes' reconduire' au jour qjjelgu'un- qui vint! bientôt se placer sans effort au premier rang. des écrivains de son époque quelqu'un; Messieurs, qui n'ignorant du tout ni les charmés ^ni les mérites, encore moins les faiblesses, les 'excès et lés' défauts des entreprises du' moment, se distinguait par une sorte de prudence, par une modération rare et même téméraire en ce temps-là, par un tempérament fort habile des moyens consacrés de l'art. Il prenait insensiblement la figure et l'importance d'un classique, entre tant d'inventeurs et de fauteurs de beautés audacieuses dont il jeprésentait la négation la' plus élégante. Le public sut un gré infini à mon illustre [prédécesseur de lui devoir la sensation d'une Oasis. Son œuvre ne surprit que doucement et agréablement par le, contraste rafraîchissant <d une manière si mesurée avec les styles éclatants ou fort complexes qui s'élaboraient de toutes parts. "Il sembla que l'aisance, la clarté, la simplicité revenaient sur la terre. Ce sont des déesses qui plaisent à la plupart. On aima tout de suite un langage qu'on pouvait goûter tans y trop penser, qui séduisait par une apparence si naturelle, et de qui la limpidité, sans doute, laissait transparaître parfois une arrière-pensée, mais non mystérieuse j jnais, au contraire, toujours bien' lisible, sinon toujours toute rassurante. Il y avait dans ses livres un art consommé de l'effleurement des, idées et des problèmes les plus graves. Rien n'y arrêtait le regard, si ce n'est la merveille. "même de n!y trouver nulle résistance. Par les diverses perfections, de ses ouvrages,

^ar la variété et l'étonrMtel éWHflufe' 'M ses

:<JtrtTages,' par la variété et l'étonnante étendaei de sa culture, par la suprême Jibortéide sani «spijt, votre confrère sfesteiavanicô; idluftéfccjjf-; (Ution modeste à la situation la plus écl^ /fgnte, et d'une aube assez qui éclaira ;èes premiers temps, ses travaux, ses talents, :BÇn destin, le conduisirent enfin à'un crépuscule magnifique.

Il y avait en lui une souplesse et une diiversité essentielles. Il y avait du spirituel et du sensuel, du détachement et du. désir, une grande et ardente curiosité traversée de profonds dégoûts, une certaine complaisance dans la paresse mais paresse songeuse, paresse aux immenses lectures et qui se distingue mal de l'étude, paresse tout apparente, pareille au repos d'une liqueur trop enrichie de substance et qui, dans ce calme, se fait mère de cristaux aux formes parfaites. Tant de connaissances accumulées, tant d'idées qu'il avait acquises n'étaient pas quelquefois sans lui nuire extérieurement. Il étonnait, il scandalisait sans effort des personnes moins vaïièVs. Il concevait une quantité de doctrines qui se réfutaient l'une dans l'autre dans son esprit. Il ne se fixait que dans les choses qu'il trouvait belles; ou délicieuses. et il ne retenait «n soi que des certitudes d'artistes Ses 'habitudes, ses pensées, ses opinions, la' poli-:tique enfin qu'il a'suivie se composaient dans ,iyie harmonie assez complexe qui n'a pas laisse ^'émerveiller ou d'embarrasser quelquesr

uns.

,11 faut considérer avec une attention cuneurse,- cette nature d'oisif, ce liseur infini, pro. duire une oeuvre considérable; ce tempéra; ment assez voluptueux s'astreindre à l'ennui ïJ^une tâche constante; cet hésitant, qui s'avance comme à '.tâtons dans la vie, procéder de sa .inodestie première, élever au' ^ominêt parles joiouveinents: indécis; ee'lJalbutmnt, en venir £ il. "Jdiciârer ln'èinç* yioremménl les ehoSés les plUs .hardies1; cet pVV'fe'd'esprit^.elA'un.eSprw'Si nuancé, s'qcconiriiodcr- d'être simplifié part'ïii gloire et de revêtir dans l'opinion des couleur assez crues; ce modéré? et te tempéré par excellence, prendre parti, avec une si grande et étonnante vigueur dans les dissensions de son temps; cet amateur si délicat faire figure d'ami du peuple, et davantage, l'être de cœur et tout fi fait sincèrement.

.Son œuvre existe et subsiste. Ses mérites sont aussi clairs qu'elle-même. Tout le monde connaît, tout le monde apprécie les perfections d'un art accompli jusqu'à l'exquise simplicité. (/Mais voici cette circonstance singulière dtuis la fortune de cette oeuvre, qu'elle a obtenu la gloire si répandue que vous savez; et davantage, -une gloire, presque populaire, par l'éniĩçente séduction d'une forme très pure. Ceci est presque incroyable. C'est un phénomène sans exemple dans les lettres modernes où l'on doit s'attendre toujours à ne voir accueillir par v.n immense public que les livres, dont le fond dévore* la forme, et dont les effets sont indépen-i dants de la délicatesse des moyens.

Cette manière de prodige s'explique sans «toute par les vertus de notre langage, profondément possédé, légèrement écrit par un auteur si expert. Il a démontré qu'il demeurait encore possible, dans notre langue, de faire sentir tout le prix d'une culture prolongée, et de combiner les, héritages d'une suite ininterrompue d'écrivains admirables. Nos grands écrivains, Messieurs, ne sont pas chez nous de grands isolés, comme il arrive en d'autres contrées; mais il existe en France une sorte d'atmosphère pour les Lettres qui ne se trouve pas ailleurs, et qui lut toute favorable à votre confrère.

L-ui'Hiême n'était possible et guère concevable1 qu'en France,, dont il a"*>Ms lcpriottiASttu» ceraioni, difficile à porter; ot-qu'il'-fallait tant d'espoirs pour oser le prawâre/dlia .eapiilJlsfiJtt faveur de l'univers. Il lui présentait, à la < vérité», une France ayant les qualités spécieuses don;t l'univers souffrirait qu'elle se contentât ·. qui lui plaisent, et qui ne le gênent ni ne l'inquiètent.

Le, jardinier du Jardin d'Epicure, qui unissait ce grand don de choisir à sa prodigieuse lecture, ne pouvait manquer, en tous points de ses .créations, de faire sentir une conscience très éveillée de tous les prestiges du discours, et une présence prochaine des plus beaux et dès plus purs modèles de notre art. Sa puissante mémoire en était tout ornée. Ce que nous avons de plus musical, de plus léger, de pîus limpide dans notre langue, lui était tout à fait intime. Il n'était pas moins imprégné de ce que nous avons aussi de plus vif, de plus offensif dans nos monuments littéraires, de plus alerte et redoutable, et de plus délicatement mortel. Ses romans, qui sont bien plutôt des chroniques d'un monde dont il n'a pas laissé de faire paraître tout le mépris qu'il en concevait facilement, sont écrits dans le ton de l'ironie classique qui lui était une manière naturelle, et comme instinctive de s'exprimer, si constante chez lui, que dans les endroits, qui sont rares, où il dépose un instant la sourire, il a l'air d'être moins soi-même il n'a pas l'air d'être sérieux.

Il faut avouer que la société de ce temps-là, qui se prolonge dans le nôtre, lui offrait une riche et favorable matière. Il trouvait en soi et autour de -soi un mélange des plus impurs de circonstances et d'idées, qui pouvait inspirer les jugements les plus' sceptiques.

u Esprit délicieux et délié jusqu'à l'excès, j amant passionné de ce qui ïut de plus bedu1 ea tous les "genres, et' toutefois "àmi des hoçi- •̃ H»es,it restera dans l'Histoire "de nos halttsi, celui qui a rappelé à notre temps la relation1 remarquable et singulière que j'ai essayé" de vous exprimer, entre l'indépendance de la panSée, le système d'art le plus rigoureux et lo plus pur qui jamais ait été conçu, et notre na- lion. même, libre et créatrice. ̃ Au discours longuement applaudi de M, Paul Valéry, M. Gabriel Hanotaux.a fait cette réplique Vous êtes un auteur difficile. Le nombre est t grand des personnes qui, vous ayant peu lu, tout; décidé que vous ne pouviez l'être et se sont ainsi privées négligemment d'une des jouissances intellectuelles les plus fortes et les plus exquises de notre temps. Tel est le sentiment 1 de l'Académie qui, en vous nommant, a surtout considéré, dans votre œuvre, cette recherche ardente de la forme, cette volonté de l'expression, qui vient d'une décision entière de l'esprit, cette résolution d'aller, par une telle recherche, jusqu'à l'extrême profondeur de la pensée, cette hr.ute conscience et es dur labeur

qui, ne è'èn tenant pas aux sujets faciles, s'é-

puisent à décQuyrir dans les sols les plus se-

crets de 1,'esprit humain, le métal le plus pur et lër jjllft fin, ci à le façonner, et à le sertir en un [Orteînenl précieux destiné à se transmettre cpitimé;Un bijou de famille dans l'héri•tage -dfâ^jperà'tiôns. Cet effort, cette difficulté vaincue, c'est le sacrifice à Vénus. Une vie entière y v 'Consume. Et c'est ce que l'Académie à' honoré en vous appelant à siéger parmi ses membres elle a mis au rang qui est le sien, un 'générateur vigoureux, quoique un peu altier, d'une nouvelle beauté.

Après avoir rappelé l'origine corse de la famille- de -M. Paul Valéry et évoqué les débuts littéraires du nouvel académien ,M. Gabriel hanotaux passe à son installation définitive à Paris en 1892 Pendant de longues années, silence et méditation. "Vous tendez l'arc des mathématiques pour exercer vos forces, pour ïâirb vos muscles. C'ëtt* en 'vain que vous prenei goût à la vie et au monde rien n'amollit le dur métal de vos résolutions. Vous fréquentez chez H<rjédia. Sch\yQb vous apprend l'érudition; vous

suivez rés:ètt'irîèërts Larntturéux. Et"- c'est tou-j

jours ce silence-obstiné. Tour ibuïbillbnine en vous et autour- vous, tout vous' oppresse, l'art, la pensée, la science; ïè iiftDnaêV'Ia1' p'élHl- que .mêroe. -Husjeurs voyages en Angleterre. Votre 'vision s'élargit.

Nulle exigence, d'ailleurs, nulle ambition; Une modestie charmante conjure avec vos tourments. Pour suivre le conseil de Huysmans et dans l'espoir d'unt vie unie sans tracas ni fracas, vous entrez 'dans les bureau* du ministère de la guerre. Vous vous pliez à la loi commune vous fondez un ménage. L'art .vous entoure par le choix que vous faites. Avec le soutien et le devoir d'une famille, vous participez aux joies et aux soucis de l'existence. La lassitude de la besogne, machinale vous vient; vous quittez le ministère; et les circonstanèes vous mettent à un admirable poste d'observation, au secrétariat de là direction de l'Agence Havas. De là, les yeux mi-elos, < vous écoutez le murmure1 universel. La Nanoelle vibre pour vous d'abord.

C'est toute. l'ijiiinanité qui vient en houle, dé-

f erlA JLvos .j'i^çls. Nous voilà, loin de la scien-

ferler 1I-Yo's ,)i~ë,Q.S. Nous voilà. du toùf. scien,- y'

ce et d^la'liiïosQphie.^ Pas du tout. Nous y'

sommés; îitééfiéinèht.

̃ « Cë<1900 à lBlfl, écrivez-vous, je poursuivais des i5tudés"blen abstraites 'je voudrais bien revenirj,J« dois à;ces recherches; tout éloignées d'un dessein de publication, une certaine -manière 'de penser. Etudes sur l'attention, sur le rêve et la veille, sur le temps, le nombre, le langage. » Cette recherche de la pierre philôsophàle qui vous passionne est trop difficile pour moi et je dois m'en tenir à ce qu'il m'est loisible d'aborder ici La Pféfaçe d'Euteka, La Coniieiiatlàn', àOèc M. Tester Vlntrodiiction à la Mitnàde'de Léonard de Vinci sont les jalons de cette enquête, conduite par une vaste injtiuiétudçjet q^iy après ;un énorme circuit, eu rer Iviant à s^îj* point. il&. départ, une négation.

Vojis A'vfii, che.cc.b.â ,et vous,.n'»yc! nàs, J.«ju.vàl.

•Vôukz-vorik puïk iria-peflsfeV'MoKsieur râans .cc$tia^reiftiè?&<niM{îc*Hld'A<otre vie, vous n'avez :»*{# *t'>Mt6f:4if qWïâ niéiUé s-do' vous-même. "Vous vous êtes dépensé, vous avez creusé jusqu'aux jpuches, pro,fonde;s,_ vqus avez jeté de jiuissânjfes foncJaUoris, vous avez posé quelques pierres d'attente. Et c'est tout! Il couve en vous 'quelque chose que nous attendons. Vous êtes arrivé au plein de votre carrière, si souvent traversée. La guerre vous prend à l'âge où; les territoriaux gardent les voies et la convocation; vous .rétient à peine. En 1917, U Jeune Parque paraît tirée à 600 exemplaires cils est épuisée en trois mois. Charmes s'élabote. Le' Vohinte est publié en 1921 vous êtes sacré poète," le poète de la génération qui reçoit, des .mains de la victoire, la tâche de l'aprèsguerre. 'Un; groupe d'admirateurs et d'amis se forme au^çurj^dc vous et vous aide à supporter, parmi les jpeines. de l'existence, le pire de tous les rnqii?,' la", souffrance de ceux qu'on aime. Car cette gloire à son aurore ne va pas sans de longues ombrés.

Mais, îî'y a aussi, dans l'acclamation sourde qui gagnait de' proche en proche comme un murmure confidentiel, je ne sais quel adoucissement. Des mains se tendaient; les salons s'ouvraient une élite vous recherchait. Les capitales de l'esprit se répétaient votre nom. Votre sagessévvotre douceur, votre aménité, la finesse socratique que vous tenez des belles races qui s'unissent en tous. ^développaient peu à peu les conquêtes de l'amitié. L'oiseau de Minerve-.se met. à. voler dans. le grand jour. M.. Teste découvre l'Humain dans l'humanité.

C'est' alors que le grand 'passé doht'voùs êtes le fils monte de votre sang à vos lèvres, Vous laissez Wàge philosophique et vous enlrez dans

Pèjfe-]ttslorïqw!:iA'mrtitiûk ce moiniifltuitKtttes

:5l>é.«eu,v4-es.^pnt'{fcelleSr^Ior^sie,urj etjaô'jccsifffl

spiènt rpndùçS à l'histoire, elles ^Iji^|^|

*'À- son tour, rï.' Gabriel îta'nôtà\iîf^âlué

la mémoirc du prédécesseur de son nou- veau confrère ̃

Anatole France était, lui aussi," et avant tout. un humaniste; ainsi, la séance "il m'est don- né ̃ de vous recevoir s'affirme dans sa forte unité. Essayant de ramasser dans ,ma pensée les traits qùi vous caractérisent, vous et votie illustre -prédécesseur, je ne me demande pas si vous êtes, l'un ou l'autre, un poète, un romancier,' un 'philosophe, un historien. Vous êtes,' l'un, comme:' l'autre, chacun selon son temps et sa naissance, des quêteurs de forme, des trouveurs de verbe. Votre affaire, c'est la langue Atotre œuvre, c'est d'accroître les puis-. sances de l'esprit humain en lui apportant l'achevé dé l'expression. Vous, Monsieur, vous n'êtes satisfait que quand vous avez martcli l'idée jusqflfS' en' faire un acier bruni et veiné d'or Anatole France n'était satisfait que s'il ] l'avait coulée en un pur cristal. Vous êtes né sur les bords dé la mer Anatole France est né sur les rives de la Seine. Vous avez vu le jour devant l'horizon infini et vous avez été berfcé au chant des sirènes Anatole France a ouvert les yeux, devant le ciel dentelé de la plus chantante des capitales.

Guidé par une grande affection, il était entré dans le monde; il avait vu Florence et Venise, la Grèce et les Cyclades; même, tenté par les beausnvQyages,- il avait touché terre en Amérique finalement, il avait établi, ses pénates au 5pjs djv.Bqulogne et trouvé un asile souriant sur les tords de "la Loire. Mais, le cycle ache- 1 vé, il s'était retrouvé le même; ayant changé J te'lîtviàrie, il rt\a»ait"pttSïéhangé d'Ame. Le Paris 1 âè-'sp nttisiàncé'/ëtaJt en, lui à jamais. Gn-le ré- j 1 t-rou^âttV-.çoiîînié'çi^devariti ârtii des Hvres.VtUs' ] boîtes' et: des horizons restreints. "• i Dans, -San œuvre immense, tous les- aspects des ehbSds s'étaient reflétés; mais, pour son plaisir, il venait se chauffer les pieds au bon 1 feu flambant de la rôtisserie de la Reine Pédau- I qUeét prêtaituhc oreille complaisante aux pro- ] pos philosophiques et vains de Jérôme Coi- ( «nafd, L'auteur de Thaïs, l'historien de Jeanne t d'Arc, le vigoureux satirique des Dieux ont soif, le navigateur de 17/e des' Pingouinç, faisait de t M. Bergèret' ïe héros de l'Histoire contemporaine. Humoriste et humaniste, il restait du 3 troupeau d'Erasme et de Rabelais et ne sépa- 1 rait paS'îe génie latin du quartier latin. 1 Qu0ndA»ptf)!e,li'rance parut, la langue allait j s'alo^rd|s^aBt,aijs la traînée oratoire du ro- j < mantisnîtj'ou $è' matérialisant dans la vulgarité naturalisfe.'ïl fut envoyé pour maintenir ses qualités essentielles, la fluidité et la clarté. ( Champion de ces vertus, il ne montre nulle indulgence, je dois le reconnaître, pour l'école 1 littéraire dont vous venez de* vous réclamer, t Monsieur, le symbolisme. Il écrivait « MM. j José Maria de Heredia et Catulle Mendès ont t beau mé traduire à l'envi les sonnets de la nouvelle école, je n'y entends absolument rien. » Et encore « Plus je vis, plus je sens qu'il n'y a de beau que ce qui est facile. » T De ce verdict, vous en avez appelé, Monsieur; 1 vous vous êtes énergiquement et loyalement rattaché ceux qu'Anatole France condamnait s et il se tpéuve que vous remplacez, ici, ce juj;c r sévère de vos maîtres. Faut-il dire que l'Académie- Française, en vous nommant, s'est mon- f Irée, Qpnjme l'esprit humain, un abîme. de coa- f

tradictibns?. f (

C'est ,.à la icompagnic dans laquelle M; PauljiValéry-iivient' d'entrer, que M. -G.&- \m briei'HanôtaUx a consacré- sa péroraison Quant à l'Académie française, selon la règle w que lui aidiètée son fondateur, elle a, de tous I temps -apprécié, parfois couronné et accueilli ces belles ambitions pt ces nobles entreprises. » Tout ce qui tend à soutenir l'effort commun, tout ce <Jv<i contribue à l'achèvement de l'œuvre qu'elle poursuit elle-même avec une lenteur r i-éflééhie, tout ce qui élève, ennoblit, purifie langue, tout cela l'intéresse et l'attire et, si C l'usage s'y soumet, elle l'admet. fi -N'est-ce pas l'esprit de son institution? L'esprit de votreDescartes_qui rompait avec l'Ecole: pour .ehérf her, dans les sciences, les ncuvellsé procédures Se la raison? N'est-ce pas l'esprit de notre âge classique qui aiguisait le style étincelant et nu de Voltaire tandis que Saint- b Sinion maniait encore la lourde massue hêris- sée de',po^n.tes, arrachée il la panoplie féodale? A"eslrce,ït»aiïl&j$t)ritide la France en un mot, P jamais immobile,: jamais isolé, jamais fermé? C'est- lui qui, confié à la langue, souffle du carrefour de Paris, sur tout l'Univers. Partout, il pénètrgles âmes qu'il a une fois touchées. Il

survivait au. cœur des -provinces séparées, main-

tenant réunies; il vit sur ces terres lointaines

d'où s'envolait vers Paris « l'oiseau blanc ». Le voilà qui fait de nouvelles et immenses enipii-i

voilà qui fait de nouvelles et immenses 'e:tnpI'i-

ses sur d'autres terres lointaines, languejet es- il prit, partout unis, et, partout, une fois semés, s'enracinant reverdissant. » C'est bien cet achèvement et élargissenroiit de l'unité et des conquêtes françaises quemi-jchelieu avait dans ses vues quand il créait l'Académie des Quarante. Mais, pour que des .tels succès se confirment! et se -développent, il1 faut à la langue, sœur de l'esprit, non seule- ment la pureté et la fixité, il lui faut aussi,' une vie, une richesse, une souplesse, une àm-i pleur capables de répondre a l'exigence fies temps nouveaux. Et c'est ainsi que le passê!'et; l'avenir se rencontrent' et se^bàlârfcent parmi nous sans qu'il y ait, contradiction le pas?é| offre la sécurité de son expérience à l'avenir! qui ouvre les horizons indéfinis, A l'heure où nous sommes, l'humanité', à l'étroit sur cette planète-terre, devenue soudain si petite, l'humanité est comme en suspens. 'On' ne sait quoi de grand ou d'extraordinaire ".$& prépare et va naître. Le monde est aux écoutes 'et settait, dans une attente anxieuse. Ç'est^pjyi i ces. lendemains, disputés entre le, cr^pusçiije, îçt l!aurore, que nous nous tournons, M6risieûr,ên in saillant, en vous,' le. poète, des musiques inêftlélidilèsi IMcWvain' impéïèBble et .•sécret,i le philosophe aux clartés profondes.' :i W De vifs applaudissements ont: reinër- cié M. Gabriel Hanotaux et îsori boaû discours. ( '̃'̃• Après la séance,' le1 secrétaire1 perpétuel de l'Académie fi*ariçaise et Mme René Doumic ont reçu' au' pavillon' de Caen le£ invités de la Compagnie.1 1

"̃̃•'•̃' Ch. Dauzats.

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LES GRANDES VENTES PARISIENNES

j~J~

Les deux premières vacations de la vente de Mme de Polès produisent 11.796.000 francs

.̃•̃ “• '̃̃ "̃•> -.}.

La deuxième séance, 'comprenant la seconde partie des objets de vitrine; !leâ émaux, quelques sièges Mèt quelques meubles, avait attiré à la GàleHè Georges Petit une foule peut-être plus ^compacte encore que la veille; et là course aux en»; chères se prolongea quatre heures1 durant^ dans une atmosphère surchauffée, nerf veuse, semblable de tous points à celle d'une salle de jeux çw cours' deila'.gtandé

quinzaine.^Oëtïê ?W§f!W^itéïbSeV! manifesta

li'aineiirsiii pï-opos de Is.mise ^n^^atc d'un charmant secrétaire de ;dai»e! Louis .jj, attribué ë'iRogei'1 iVaiideFcrulei.L^ Qç/aix. 'Après son estimation à 400,000 fr.i M. Camille Gronkowski, conservateur du Palais des Beaux-Arts de la Ville de Paris, mit une enchère en annonçant à très haute voix le désir qu'avait le. Petit Palais d'acquérir ce meuble( et M. Guiraijd insistant, manifesta bruyamment son contentement à l'annonce de cette destination. Cependaiiti lés enchères montèrent âVec une rapidité vertigineuse, p'oûssées par M. L. sr'biéi? que M. Founès, de qui la générosité s!èst déjà manifestée, il y a. deux ans, dans une circonstance analogue, annonça qu'il fuisait don de 10,000. francs au Petit Palais pour lui permettre de continuer la lutte; puis à son tour M. Blumehthal donna 50,000 francs, puis enfin M. Hamburger ajouta 10.000 fr. II en résulta q-ie devant cette manifestation élégante et unc"au[fe manifestation traduite par quelques sifi- flets, la petite table demeura au Petit Palais, moyennant 706,000 francs, dont .il faut déduire les 70,000 francs de ces trois donateurs, qui ont droit à la reconuafei sànce des amis de nos mliséés nationaux. Nous faillîmes dire « adieu' à nbtrè petite table ». Etonnons-nous seulement qu'M étranger vienne chez nous pousser des <$£chères contre un établissement public. .f ''̃"• Citons ces quelques prix atteints par

quelques, ,u|«'ces re^u^rauables umïè gr'àiuM t

armoire a deux portes pleines plaquée ïfe bois de'ro,sf et grn,ée Jie bron es àttrPbù'93 l à Cfessenl,ilt, ;adiufié.e ^O^.OO; flancs; tllÛ avait été payée 40,100 francs en mai #89>fj à la vente dti Pommereau et achetéoHÔ fr. à un paysan qui la tenait de sa^anJille4 deux meubles d"e7!<re-deu.E tf époque Louis XV, estampille de Carlin, furent vendus 390,000 francs une tabie de dànxâi formant liseuse, époque Louis^ XV, ;estann pille de Roger Vandercruse La Croix, 350.000 francs; une commode d'époque Louis XV, estampillée #hut, atnj.OOO fr.; deux commodes d'époque Louis XV, estampille de Migeon, 360,000 francs, et un bureau à cylindre .d'époque Louis XVI, portant la signature de David Roentgen» 290,000 francs. V r La vacation d'hier se termina sur un total de 5,996,000 francs, ce qui porte a 11,795,000 francs celui des deux premiê-' res journées. t Aujourd'hui,, dernière et sensationnelle

vacation.

vacation. Maurice Monda; •. :-iî !i

-1– 'V«*^ ̃ '–r-K

Une manifestation d'amitié franco-britannique

̃ ̃̃. :->j

Le lord-maire de Liverpool, coonciiror j F.-C. Bowring, actuellement l'hôte de Pa-S ris, a offert' hier, à Th-ôtèl' Ritz, un«<dé^ t jeûner aux-représentantsrrdeHl^sectati©ifc z Francc-Grande-Bretagnp, et au Cercle In- i

terallié'

On remarquait dans- l'assistance la lady mayoress, la comtesso de Derby et lord 1 Derby, M. Wilson, ancien, lord-maire dçj Liverpool, le maréchal Foch^j'M. Philippe' E Crozier, ambassadeur de Fr.^jiçe le comte» de Beaumont, vice-président du Cercle In-' terallié, etc. ̃'̃̃̃ -̃'̃ •̃ Au dessert, après des toasts portés par j M. E.-C. Bowrinig, à M. Je président de la République, et par le maréchal Foch à S;f j Majesté le roi d'Angleterre et à' famille, royale, l'honorable lord-maire de l'impoiv tante cité et du grand port maritime britannique a prononcé un éloquent dis-- cours.̃̃ Lord Derby a pris ensuite la parole. Dans une improvisation. pleine d'esprit é.t, très Justement applaudie, il a affirmé sa joie d'assister à cette cordiale manifesta- tion d'amitié franco-britannigue. (, Au nom du Comité Français des Adop- tions britanniques, M. Philippe Crozier a remercié le lord-maire pou» l'intérêt que! Liverpool porte au relèvement de notre" village de Givcnchy, et'pOUr'ïa part personnelle si large qu'y prend l'honotabie^ magistrat. i} Le comte de Beaumont, au nom s-dU!> Cercle Interallie a ensuite pl-oclaméi.'sai i foi dans l'amitié franco-britannique; vèûè-i dès^garanties lès plus solides du maimièif j- de la paix. ̃ ')..• :r|

~iu

notre Supplêmeôf Ttttéraire de liai!:

.w–jt.~

Maurice Levaillant. Un gentilhomme pacte l Gabriel de Pimodsn. ,i

Fernand Vandéicm. Cluues et Gens de Lettres ifO Fêfe sons r.oas. •' ,1

Comte Joseph Primoli. Derniers vers. < Armand Godoy. A Verlaine, poème.

̃' PAUL VERLAINE V< PAGES OUBLIÉES > [ y

Mauiicc Beaubourg Les rancœ-jrs de M. Gerlrude j 1 Bonjour, Papa! (Nouvelle).- t

Pierre Lœ?cnbruck. Tallion, consul de Fraace 1 à 41icante. i t

J' P 1 Chroniques de Manrice Ltvaillant, Jacqqe» Patin. 1 1

La commission d'exportation des vins de France à Bordeaux A la demande des adhérents bordelais dB." la Commission d'exportation des vins de France, M. Bertrand de Mun, député de la Marne,, et président de cette importante organisaïicm,» accompagné M. Je$.n Couprie, secrétaire, s'est rendu mardi dernier

à Çor^e&jûjx, pu il, i fait;aiuSyn.dicat; des

à I?~1~'a~, ,pù .iI/.f. fait; "al;1~Syn,~ica~; des

négociants en. vin^/ét spiritueux de Bordeaux et de la Gironde, un intéressant exposé de la situation présente du commerce 'Ûç nos vins de marque et des efforts que ̃poursuit la Commission d'exportation J»dur l'améliorer. <*

c'Âuk1 côtés du président du Syndicat, M. Christian Cruse, assistaient à cette conférence- ;r MM. Jeaji..Calvet, Louis Eschenauëfj, Roger 'de Luze, Roger Descas, DangiâdeÇ Danîel-M. Guéstier, Ginestet et' de 1nom&reûsès;<pérsonna'lités: bordelaises. ̃'̃ ï'< M- Bertrand de Mûif exposa avec élo^Men;çedes>supc-ès de pso.pagajtide déjà açr quis par la Commission, rd'èxportatipn des vins de France et résuma, puissante actrVitè'idç 'dfe groupement* f>our la^défense de

no's'vinsy '<'̃̃' "'ia '•'̃ ̃'•'

De'Ce't'eKposési cdinplet nous nous bornerons à; souligner cette question qui a paru, à juste titre» -préoccuper davantage le grand commerce bordelais et.qui est celle de nos relations commerciales avec l'étranger et spécialement avec l'Allemagne. On sait qu'il y a trois mois un accord provisoire conclu avec ce pays avait fait, sur l'intervention de la Commission" d'exportation des vins de- France et du Syndicat de Bondeaux, une place, d'ailleurs contingentée, auXîïS'Ajîs français pour l'exportation,*n jA^lenjagiie, Cet accord vient à expiration à la fin de ce mois et les négociations pour son renouvellement paraissent laborieuses. Nous nous sommes rendu compte à Bordeaux qu'il s'agissait là, cependant; d'une question absolument vitale pour cette magnifique région; c'est pourquoi viticulteurs, commerçants et, d'une faço.n générale, toutes les industries qui gravitent autour de cet élément important de la" prospérité nationale que sont les grands vins de France, suivent-ils les évé»- nements avec une émotion compréhensible Nous voulons espérer qu'une solution

heurêaseîp'ouFlSJgilbmpmftcnt intePve:iirl

ritr?-*uih an mmàmmm wt m:- :̃>> il

-10.;04.

Le Congrès la proïwiété bâtie

"):».i\ iuWt >>;ir>!rs> »*"|*yr '(' &rsl> ir\t

.^Bordeaux, 23 juin. Le Congrès national ide>la propriété bâtie s'est ouvert ce matin à Bordeaux. Il a voté une protesta^tion contre le projet actuellement en discussion, à la Chambre, qui aboutirait, à la suppression du droit de. reprisé mais admettant-la réquisition. -.̃.̃. •̃:̃̃; Jeudi, vendredi et samedi auront lieu le travaux des commissions samedi so|r, banquet de clôture*

'-j»>»^–

Le Concours du Conservatoire ^̃Instrvffleïflsuji cordes Violoncelle. morceau "de--«oitcours premier mouvement du 'Concerto de Dvorak.

Le jur*y, présidé.. par M. H. Rabaud, de l'Institut et assisté de MM. Alf. Bruneau, Lefort, Kuhlmann, -Salmon, Hekking, Marchai, Croque, Marnef, et J. Chantavoine, secrétaire, Y â ̃ décerné vingt' récompenses sur vingt-sept concurrents.

Premiers jprix :,MM. Navarra, Barbouk et Quattrocchi (Lé,pri),

Sèctàds prix 'M. Bergmann, Mlles

Duthu et Lafra. :•

Pr~)~rs~(jt~c&&~s TM~l~~B~uclot, MM.

Ptèûikérsi)q£casyits jMJle'^D.Uclot, MM.

Cùran, S&rgeant, Ventura et ^ïlle Marqui»

^âu^4 r; "̃ï.i:<'0 ""i11!1'' ->r\të. %econf/s "accèVs'ïs. ""Sïlle Màrtiiiet, M.f Moudain, Mlle Courcouclis, M. Sassi MHe^'acot, M. Lutzhoft Petersen.Mlle Pey. haûd.'M. Tassel, Mlle ïhillaye.

LA SAISON

D'ANNECl

r'

L'Impérial Palace,' à Annecy, grâce à sa merveilleuse situation^ sur le lac, à son parc séculaire, à son confort, à sa cuisine, aux facilités offertes paV.( ses prix spéciaux, sans compter la possibilité' d'y pratiquer tous les sports, est' le rendez-vous du monde élégant. v

s;~r,

Fêtes Franco-Anglaises au Tpuquet-Pans-Piage Comme prélude aux events sportifs et mondains de juillet et d'août de grandes fêtes franco-britanniques auront lieu ce \v.eek-end au Touquet-Paris-Plage avec le concours du Comité Françe-Grqnde-Bre-

tqgne et la présence dès' cadets uritanni-

up,s,dë,la Duke, ôf York s- ,cad~.ts. brit.a, nni-

gues de^la Duke, o-f, Yorfc Military schôol

dé' Douvres. M. Joririart et lû^d Derby présideront le banquet du d{mari"éhe !Iéoir au

^fSsraarâTn'dO- esKirro-te: Ia~Forêt.t:

i--J»b '̃̃; ;,T-^if^ r,v.>

L'èî|(jsîtioff;M Pastels français, E La remarquable exposition des Pastels .Français, du dix-septième et du dix-huiUième" siècle, qui. a obtenu un si brillant i succès dans le bel hôtel de M. Jean Char-, jpentier, 76, FaubourgrSaint-Honoré, fermera définitivement, dimanche prochain, î 2.6 juin, à 6 heures. Cet ensemble unique de chefs-d'œuvre laissera un souvenir inoubliable à tous les visiteurs qui sont venus en foule et ont îdontribué à la magnifique recette qui servira. f& f!ï tiqbl'é' cause de la reconstitution; du .miiiicc, de la Tour à Saint-Quentin.

-if-

LE RENDEMENT DES TABACS

Le conseil d'administration de la Caisse Autonome de Gestion dés Bons de la Défense Nationale, d'exploitation industrielle

des.Tabaés et d'amqrtisseniefit de la Dette

;pii£lïquiç réuni le 2%, juin, sous la présidence de M. Albert Lebrun, vice-président jdutSénat, a examiné divers projets établis |par"'îe Comité technique et présentés au |H«f$î de ce ^comité1 par-son1 président,

iiyrMoiitou. /•̃>̃ ia .•̃••

-ii-O' 'Conseil; îa -adopté" le princip&d'utte' réo^ganisatidn des Services centraux de l'Exploitation Industrielle des Tabacs. Il a^ijuàinis l'organisation, en faveur des débitants de tabacs, /d'un systèine de vente à crédit qui doit avoir pour conséquence de faciliter notablement l'approvisionnement et l'achalandage des débits et d'entraîner par suite ùh certain accroissement des recettes des Tabacs.

Le directeur général du Service d'Exploitation industrielle des Tabacs a expose ensuite la situation des recettes des tabacs, situation qui se présente actuellement sous un jour favorable les recettes des cinq premiers mois de 1927 dépassent, en efet, de 403 millions lés recettes de la période correspondante de 1920, et de 31 millions les qui avaient été fai^ tes fin 1026 pour 1927: et s'élevant, pour l'année entière à environ; 3.500 mil-

lions.

LE MONOE ET LA VILLE

£e voyage du ropd'§spagne

S. M. le roi d'Espagne, accompagné du duc de Miranda, grand intendant du palaiï, a quitté Madrid par le Sud-Express, se rendant à Londres, via Paris. Le souverain a été salué à-la_ gare par la famille royale, le général Primo dëi.Riverav.4èsi; ambassadeurs d'Angleterre et. de France, le ministre' de l'intérieur, les autorités civiles et militaires et de nombreuses personnalités. Sur le désir du Roi, son départ a revêtu un caractère d'extrême simplicité. On n'a rendu aucun honneur militaire.

• A la frontière française,-Je Roi a été reçu par S. Exe. M. Quinones de Léon, ambassadeur d'Espagne, qui 'voyage avec- lui jusqu'à Taris..

En gare de Bay'orinéw^|J :^ipt9f|sé':XI|i «̃̃ étér.salu^ .au^nom' .%V;g<)iUvërn^|nr}par M.Mireuç/. -préfet; des Bassesrjpyrériées. ,-( '^ÎLêSud-Express sfest-arrêté à-quatotze heuïes et demie en gare de Bordeaux. Le roi est desr cendu sur le quai de la 'gare et s'est aimablement'enttetenu avec le' préfet de la Gironde, les professeurs Moure et Portmann, qui étaient venus le saluer à son passage, avec le consul et le président de la chambre de commerce ,e espagnole à Bordeaux. Comme on demandait au souverain s'il avait fait 'un bon. voyage, roi Alphonse XIII se déclara enchanté du parcours fait d'Hendaye à Bordeaux sur le train électrique récemment inauguré. Le Roi est monté pendant une partie du parcours 'sur la locomotive qui l'émerveilla par sa simplicité de conduite. ̃̃̃"̃ S. M. Alphonse XIII est arrivé à Paris, à la gare d'Orsay, à dix heures vingt-cinq; II a été salué par le général Lasson,' représentant le Président de la République M. Becq de Fouquières, directeur du protocole, représentant M. Briand, ministre des. affaires étrangères l'infante Eulalie, sa tante, la princesse Sixte de Bourbon-Parme, sa cousine par le haut personnel de l'ambassade d'Espagne et de nombreuses personnalités de' la colonie espar gnole.

Le roi s'est fait conduire; dans fe, âpparter ments qui lui ont iftâ J^mh iftM^a&PM de la rue de Rivoli. •v.s>'[ t. •; 'i

tl|Le<iPïeSiaèiîlrdfe^*f R^plibliqaéi oMii au-

jourd'hui un déjëun>èrs I jf "Ëlyflfe" eri 'i'hthfwsff îJil RôSVVét le soir,li:uii 'è^Ha' 'dîfaér^' Suivi M réception, sera donné à. l'ambassade d'Espagne!

•̃'̃ ̃ II Wli.i

A L'ELYSÉE ̃̃̃ Kï' Le Président de la République a reçu hier matin M. Delsol; le> nouveau, président du Conseil municipal de Paris, ainsi que les membres du nouveau bureau de cette assemblée, qui venaient lui rendre visité à l'pççasior| de leur récente élection! DANS LES AMBASSADES •;

S. Exe. M. Myron T. Herrick, ambassadeur des Etats-Unis, s'est embarqué' pour NewYork.

Rappelons qu'une garden-party aura lieu aujourd'hui vendredi, à cinq heures, à l'amba.ssade d'Angleterre.

RENSEIGNEMENTS MONDAINS ->̃̃̃̃̃ Le trente»troisième anniversaire de S.A.R. le prince de Galles a été célébré hier à Londres. S. A. R. le prince,! Olaf.de Norvège est ̃ arrivé à Londres pmr^gs^teila i'iaausuratip^ i d'une nouvelle église norvégienne. Le prince

1 ~fr'ie}iïn?¡;1n.S~'Çi~Ws

gùéIting'ftam.

Buckingnam. [t\-

Le "duc 'efla:cîuèhé>sséîrde:Leutbtenberg sont arrivés en leur villa d'Anglet.

Dîner suivi de musique, mardi, chez le baron et la baronne Tossizza. Les convives étaient

S. Exc. M. Cbrnejo, ministre fiu Pérou prince et' princesse jtobert de Broglie, princesse R. de Faucigny-Lucinge, comtesse Festetics de Tolna, comtesse F. de Chateaubriand; M. et Mme W. Freeman, Mme J, Wencker, M. et Mme de Magnanville, marquis d'Argei)- son, baron L. Pichon, baron Çopron, M. L.

Weckec.

NAISSANCES S. A. R. la princesse Yolande de'.Savoié, comtesse Calvi di Bergolo, amis heureusement au monde une fille.

M. et Mme Jean Gérardin nous prient de faire part de la naissance dé leur fille, Clotilde.

̃* M. et Mme N. de Villeroy nous prient de faire part de la naissance de leur fils, Francis. Louveciennés, le 19 juinr

BIENFAISANCE r;ïV^ C'est demain soif qu'aura" lieu à TOpetaj, le Bal du Grand-Prix .Le succès de cette "fête ïsT'd'ores et déjà" assuré. ̃Lës^îùrlta'utêr^per"sonnalités*- de la société-' parisienne et-^de. la colonie étrangère y: assisteront .• '^0 Nous rappelons que ̃ le' 'bal confoieheera à dix heures et que les .entrées, à 100 francs donnent droit à tout le spectacle.

Dimanche 26 juin, à deux heures, aura lieu à l'Orphelinat des Arts, 14, rue de la Montagne, à Courbevoie, l'assemblée générale de cette oeuvre si intéressante et la distribution des prix et des livrets de Caisse d'épargne aux en-, fants, sous la présidence d'honneur de M. Paul1 Doumer, président du Sénat, et de Mme Marie Scalini, présidente de l'Orphelinat des Arts, entourée de ses comités.

Cette réunion se terminera par un concert auquel de très éminents artistes ont bien voulu apporter le. concours de leur talent MM. Gerbault, Chambreuil, Mmes Suzanne Devoyod, Catherine Fonteney, Madeleine Barjac, de la Comédie-Française, joueront un acte des Femmes Savantes Félia Litvinne groupera autour d'elle quelques-uns de ses plus brillants élèves MM. Léonoff, Zarine, Mmes Jessie Black, Yvonne Barreau, Kikou Fauché, Rachel Mas-,sin, Ralia' Tonchevan, Vera Vagevska. Mme Chasles- a réglé un délicieux- divertissement directoire dansé par Mlles.dapalti et :Gévy, avec accompagnement ide r.harpie,ipart,MlieXiIy Lgskine M. William'-Marie conduira les ¡c1~urs; ._des g¡1fan~ J\~lds: P~~é~, 1,1h'~ Stré: venart, -Mme*> Boulnois, -MM. Àsselin, Pierre. ̃" Chapelle/ Héritier, Georges Race et.- Fursy se feront également. entendre.. En présence du succès obtenu' et à la* demande de nombreuses, perspnnes qui n'avaient pu assister la .première fois, le concert dé musique ancienne organisé le 15 mai dernier, à l'occasion de l'Exposition Marie-Antoinette, sous les auspices dés « Amis de la Bibliothèque de;" Versailles», dans la salle des Traités de l'ancien hôtel des .affaires étrangères (aujourd'hui Bibliothèque de Versailles), 5,, rue Gambetta, près de la grille de l'Orangerie, pour là' remise en son état primitif de la salle historique où fut signé le traité de Versailles de 1783, sera redonné demain samedi 25; juin, à cinq heures. II reste encore quelques billets pour la tombola de l'Union des Arts, qui sera tirée le

5 juillet, et'qui'comporte, parmi les principaux lots un portràit par le maître Albert Besnard, un poème de la comtesse de Noailles, un piano à queue Pleyel, une pendulette de chez Cartier, des robes,des grandes maisons dé couture, etc. Ces billets sont'en vente au Figaro, au prix de 2tt. francs.

Aujourd'hui vendredi 24 juin. à quinze heures et demie, M. Sacha Guitry, Mlle Yvonne Printemps et plusieurs artistes éminents viendront visiter la pouponnière créée par l'En- ` tr'aide des Femmes Françaises, 55, rué'Dehferti Rochereau, à Bpulogne-sur-Seine. r

cercles, ̃ ''̃ ]"̃"̃-

r. :J,Ó~fH. l,

:Uné -matiriëè-ide gala-^era donnée lenrier* çt,¿~i 2'Q 'luih, à trô*4 heures et. demie, :iM~I<y< deum de 'Fran'cë,ï7~ru&'de 1Mlecnà5se- !ivee tiîie|piè,ç^ iné.dite' de Mme ïat duchesse d'^ièsî héè'Moftemaft. t!" :il"6 ^}>jr'i- ï">

-'̃̃i.i'»

La prochaine sortie de l'Automobile Club Féminin aura lieu le jeudi 30 juin, à Compiègne. A quatre heures. et demie, un thé. sera- offert, au Théâtre de verdure, par le Gaulois, aux membres du Club et à leurs invités. Une brillante réunion a eu lieu mardi er. forêt de Saint-Germain, où la Société « L'Etrier » avait convié la Société «Les Guides » à assister à un rallye. Le rendez-vous eut lieu à la Croix de Noailles', d'où les mails purent s'engager à travers bois et suivre jes évolutions d'un nombreux peloton d'amazones et. de cavaliers franchissant, dans un train soutenu, une quarantaine d'obstacles impressionnants. L'arrivée eut lieu au Pavillon de La Muette, où l'Etrier avait fait dresser 'un buffet champêtre pour ses invités.

Reconnu sur le coach de M. Henri Viguier Mmes Viguier, Lebel, Bonzon, Mlle Pouquet, MM. Roger Guérin, Pouquèt, Busson. Sur celui de M. Hector Franchomme Mmes de La Maisonneuve, Perrodon d'Hqrnano, Parturier, comtesse de Roiialle, M.' Maurice Desmazières.

A cheval uMihe9<!dir!fPren, aRpUquesrDuBgrp, Arnayon, S.olboi«g, Ledeirjvn, ^jnipg^j Mlle ,beciiaux'Mp- ceau, > MJL. Bôjjfiôii, i>ouques-Puparc, tjiïa-

lïÀi QîaËPlW^ÏÏÏi #ccIue^i A1IeÇ> conite Jd'tei

H~I,r,{,' 4"e,P,~1IJ¡ê\9)~ J,' !jcqu7~ Alleg, 'è,olrite,, :d'HüT,

tftètîudftrï^MàM ^Veyniàre, M.JéàuSsbs^

aér; 'a}nsr :î|ue de nombreux officiers 'àèk W? dragons et 12» cuirassiers. ̃̃<'̃ ̃ Aujourd'hui, vendredi, au Polo dé Bagatelle, à la sortie d'Auteuil, final du prix des Drags, dont les coupes sont offertes par M. Ro-' bert Lebaudy. Joueront Les « Enthousiastes » M. Victor :Rpsen-; thal, major Jung, M. P. W. Dollar, baron J. dfr Bonstetten.• V Les « Crocodiles » lieutenant Levêque, MM. Hubert de Monbrison, Henry Coùturié, J. F. Macaire. "<

MARIAGES

Le mardi 28 juin sera célébré, en l'église Saint-Augustin, le mariage de Mlle Andrée Lair-Dubreuil, fille de M. Fernand Lair-Dubreuil, ancien président de la chambre des commissaires-priseurs au département de la Seine, officier de la Légion d'honneur, et madame née Cortot, avec le docteur' Louis Ferrer, ancien interne des hôpitaux de Paris, croix .de-j guerre, fils du docteur Jules Ferrier, médecin; principal en retraite, ancien prof esseur :agrégé du Val-de-Grâce, chevaKer de la Légion d'hon-

| nep, ^^e, .Mmé,r J«le| Ferrer, 'd¥

icÎKtiNoUs.iapprehQnsîi'Jes «fiançailles. Ifèllf?

jde.Guenyveau, '^llendu-foeante-, de;;éuçnyveàuj- ct'tie la comtesse née Palluel, avec M. Georges- J. Wehry,, fils de M. Georges Wèhry :et de madame née Cassalette. La bénédiction nuptiale leur sera donnée le mardi 12 juillet, à midi/ en l'église Saint-Philippe du Roule.

deuil • A On annonce la mort du comte Gérard deJChevron-Vilette, décédé à Morgine (Ha'ute-r Savoie). ̃ .̃ Les RR. PP. de la rédaction des Etudes,, les familles Loyzeau de Grandmaison, par- douin Duparc et de Geuser, dans .l'impossibilile'' de répondre à toutes les personnes qui ont bien voulu-leur témoigner leur sympathie à l'occasion- du décès du R. P. Léonce de Grandmaison, les prient de trouver'ici l'assurance de leur bien vive reconnaissance. '̃ -s :J Lundi ont eu lieu, en l'église de Foug'è-" rolles (Mayenne)j les-obsèques de M. Jacques Durand de Saint-Front, agent fies Messageries Maritimes, décédé à l'âge de vingt-sept ans, muni des sacrements de l'Eglise. ''̃ ̃ ̃* ̃ Serigny.

PETIT CARNET

(''W Al!'ra'ïstnï dhi -'centenaire1 'de" la' •Maison''

-?©»w#ë«3^E¥6*a£ils -£t.Mâraquinerie),

ii, boulevard de la Madeleine, M. Duvellerqv», fils; successeur, fera, jusqu'au-. 15' juillet? 'rabais très important sur tous ses articles.

1 1

Pour faire apprécier l'étonnant résultat de- ses ondulations permanentes, et à titre de réclame, la Maison Noirat fera, jusqu'au 1" octobre, des prix spéciaux (250 francs) pour toute la tête. Prendre rendez-vous '7, rue dçs ̃• Capucines. Téléph. Central 47-59.. '̃'̃ m Les Parisiennes se souviendront lpng- temps de la semaine d'ouverture des magasins Chez Véra, 20, Arcades des ^Champs-Elysées. En effet, cette élégante maison débute par J une vente sensationnelle des dernières créations de la mode parisienne, à des prix tels que, venues pour acheter une robe, vqus. en empor-,terez quatre.

Commencée cette semaine, cette vente se prolongera pendant quelques jours seulement, pendant lesquels tout Paris défilera Chez Véra, -20, Arcades des Champs-Elysées, ,7 U faut à la plage un corps impeccable t commencez donc de suite une série de 12 bains.Clarks; qui -rendent' le eerps'svelfe, -sûuple et- gracieux. Munisse/5-vpus .d'un b^'cllpilàlcure"' pour. Jes ..bras étales;, jambes .et -d'une) !eein£We«. i Môhica en -caoutchouc imprégné, invisjblé-s'ôus' îe 'maillot. Le" tout' chez Clarks, 16 "bis, .rue Vivienne, Paris. 12 bainsj 42 francs ceinture,- 150 francs dépilatoire, 18 francs.- Franco.

J .T;r. .)

ABONNEMENTS DE VILLEGIATUaES

,1

PENDANT la période DE viLt-ÉeiATUHE, C'EST-A-DIRE DU 1" JUILLET AU 15 OCTOBRE, LE «> Figaro »• pourra servir' A CEUX DE SES LECTEURS QUI LE désireront DES abonNEMENTS D'UNE durée QUELCONQUE, .comMENÇANT N'IMPORTE QUEL JOUR DU MOIS ET ·' FINISSANT AU GRÉ DE L'ABONNÉ.

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DERNÏËfcÈ HBUKB

ft Stresemann expose àtt Reichstag M politique extérieure de l'Allemagne ntTT- ̃ r– r

"Berlin, 23 juin. Les grands débats feur la politique étrangère ont commencé cet après-midi au Reichstag, à 15 heures. Les tribunes étaient combles. Dans la loge diplomatique, on remarquait notamment les représentants dé l'Angleterre?- de la France, de la Russie, de l'Amérique et de l'Italie. L'ordre du jour prévoyait une_4éclaration ministéçiplle ,,sur, la, .politique étrangère* liée aux'. interpellations des partis gouyeTPenient^ux, des socialistes et «dés communistes sür la "'sitiia'titm ^JsStëfcieure.

̃̃ Les relations germano-soviétiques Prenant la parole à l'ouverture de la feéancè, le ministre des affaires étrangères, M, Stresemann, a abordé en premier lieu le problème soviétique. Il s'est attaché à démontrer que, dans le conflit anglo-russe. l'Allemagne n'avait pas à prendre position. 1\ & souligné, que, du côte étranger, rien n,'avait été tenté en vue de détourner le Reich de sa ligne politique. « Au contraire, a-t-il dit, les conversations de Genève ont contribué à 'clarifier le but de notre politique. Il est certain que les informations relatives à une condition contre la: Russie ou à un front unique contre cette puissance sont dénuées de fondement. flous les Etats auraient à supporter les suites d'une action dirigée contre les Soviets. L'occupation de la Rhénanie 'Après avoir passé en revue les diverses questions intéressant particulièrement ^Allemagne, notamment la question de Memel et des mandats, M. Stresemann a abordé la question de la réduction des effectifs jd'o'ccupatioji.' >

'« A" ce sujet, a-t-il déclaré, je voudrais 'dire quelque chose à l'adresse de la Fran'ce. C est une opinion que nous rencontrons constamment dans .la.tpneîsseirfitançaise que la réduction des effectifs d'odeupatién est' une preuve de]1af;bonttè';vplolrtte

dei;la.T'raae,el l'égard oV ^^éinagiv^.fli^

doit être en quelque sorte compensée par une preuve de notre bonne. volonté. Mais il ne s'agit pas d'une concession quelconque dépendant de notre bonne conduite, mais d'assurances dont dépendait la signature jdù traité de Locarno. Ces assurances ont été données le 14 novembre 1925. Parmi fcelles.ci figure en premier lieu, en raison de son importance, la réduction des effectifs d'occupation^ • » Objectivement, nous devons reconnaître que les assurances d'autre nature ont été loyalement remplies, que la, situation de la Rhénanie par rapport aux autorités d'occupation s'est améliorée. Mais si nous voulons que les promesses relatives à la Réduction des effectifs soient tenues, c'est que cela a une signification formelle l'éclaircissement de la promesse faite. » La réponse au discours de Lunéville Passant au discours prononcé dimanche dernier à Lunéville par M. Poincaré, dé ministre des affaires étrangères a' annoncé que, quoique cela lui soit très facile. il; voulait épargner à l'assemblée un examen détaillé des accusations portées inâr le président du Conseil français. II est d'avis, a-t-il dit, qu'en rappelant es événements passés, on li'avancé pas' la solution du grand problème actuelle torpblème des félaTOArffônca-'âllttotadës;'

>'ïK StTesemann;adéclacé:>rei?oncer., aussi j

& contredire" a'ttOUveBUîiJes jdédaraw1^:

5e M. Poincaré relatives- à- la conduite ̃ 'de la guerre de la part de l'Allemagne, < la publication des documents officiels étant trop avancés pour qu'il soit nécessaire de insfifier l'Allemagne. r » Les paroles du président du. Conseil français disant qu'en France on n'envisageait pas la vengeance, mais le rétablis^ sement de relations normales, ont trouve en Allemagne un grand écho. Les déclarations premières de M. Pomcare affirment malheureusement trop son point de vue qu'il est nécessaire, pour aboutir à !ce but, que l'Allemagne modifie profondément son point de vue politique. » Je crois aussi, a ajouté M; Stresemann, que M. Poincaré ne trouverait en France aucune approbation, s'il voulait affirmer que je ne suis pas un partisan sincère jdë. la-, politique de Locarno, car les dis.jçoiifs que j'ai prononcés depuis des années en sont une preuve.

> Pourquoi le président du Conseil ïcançais ne s'en rapporte-t-il pas aux détlarations faites par, le, chancelier lors de, la constitution du gouvernement allemand

gctuel?»

Le désarmement du Reich

Il en est de même, dit M. Stresemann, 'de l'opinion de M.- Poincaré sur la question du désarmement. Cependant la conférence des Ambassadeurs a reconnu que

L'OPINION DES AUTRES

De cause à effet

Eës incidents si caractéristiques du camp de BoUrg-Lastic, dont nous soulignions hier toute l'importance indignent, a bon droit, Curtius du GAULOIS. Il rapproche ces manifestations des scènes scandaleuses auxquelles se livraient à Besançon les réservistes du 16" R. T. T., à Douai, ceux du 15° R. A. L., au camp de Valdahou Ja compagnie du 152e R. L.

Messieurs les députés, vous demandiez des îaîts sensationnels, de vrais scandales, ? Ceuxlà ne vous suffisent-ils pas ? Et que la feuille de M. Cachin les puisse glorifier, les donner en exemple chaque matin à tous les réservistes ifle. France,. n'est-ce pas. un surcroît de -scandale capable de vous tirer de vos préoccupations égoïstes' et de vos soucis électoraux ?. Vous votez les articles d'une loi militaire, à quoi bon si vous pouvez tolérer qu'une abominable propagande commencée à 1 école, poursuivie par la presse, par les affiches, les Irochures, les livres; vienne démoraliser et en quelque sorte « démanteler » l'armée gue Vous préparez. "• •/ N'y a-t-il pas une 'hypocrisie révoltante de la>:part des. socialistes, à donner, -d'.une, part, leur. adhésion à des-projets organisant la défense nationale, et a refuser,' d'autre part, fiix gouvernement et *au commandement, tes moyens dé faire respecter la discipline et d'ar- rêter le sabotage de l'instrument nécessaire de cette défense nationale ?

On disait autrefois que, dans une armée, la discipline devait peser comme un bouclier et non comme* un joug. Le peuple français a-t-il à ce point l'esprit faussé par l'enseignement pacifiste qu'il ne puisse plus s'élever à la compréhension de cette vérité élémentaire ? Qu'il prenne garde qu'une servitude étrangère ne. vienne alors remplacer. ce que nos pères appelaient une « libre et fière obéissance». < Si vos âmes ne peuvent porter la paix, disait Blanc-Saint-Bonnet, Dieu vous remettra à la guerre »

Le JOURNAL DES DEBATS montre jfcombien seraient ignorants, sots ou comtolices ceux qui s'étonneraient d'un tel état de choses. La propagande communiste porte ses fruits

l'Allemagne a donné au monde une garantie pour la paix. ̃ ̃< ̃̃ L'orateur a déclaré que les deux questions 'encore ouvertes lors 'de la note du 12 décembre ide. la conférence des Ambassadeurs,: la: question relative aux; fortifications orientales et la loi sur le matériel de guerre ojit-, été, réglées définitivement le 31 janvier dernier.' ̃ ;i '•;•• de

À Th'ëùre actiieîïe, il ne '̃> s'agit que de

l'exécution, dans les délais prévus^de cerISins' poin'ts,régléspar éccor^s^La police allemande a été, réorganisée. Le projet de loi sur la police allemande a été dépose à la Diète de Prusse. Lés organisations inadmissibles ont été dissoutes. Les stipu:lations sur le trafic des munitions ont été exécutées. Les ̃.casernes, dans la mesure où elles appartiennent encore à l'Etat, doivent être liquidées d'ici cinq ans. Les forteresses orientales. ont été détruites et leur vérification été réglée à Genève. M. Poincaré ne- peut donc plus'trouver le moindre prétexte pour mettre en doute l'exécution par l'Allemagne de ses obligations.' t

« La France veut-elle la paix ?» » M.: Stresemann ajoute

M. Poincarè peut réaliser tout de suite ses intentions politiques et donner à l'opinion .allemande, la preuve de ses bonnes intentions en employant sa grande influencé personnelle à nous donner satisfaction, par exemple, dans la question de la réduction des effectifs d'occupation. Le discours de M.'Poincaré contient des, to.urnures ren- dant cette conclusion, possible, mais éveillant,, l'impression que le ministre français se considère comme étant incompris par l'opinion allemande.. Quel est son but? Politïquè'dG' la Ruhr ou politique de LocarttbyLHrtié-ou Yàxm-è est -possible, mais pas l'une et l'autre. H: x Lieiâé d'Espitid» la grande, ffiaiprité^u

peuplHi'èHemTO^i^st .#a»ftr,ab^e ft J ^t^ntç.

Lie neuple- allemand a.suiv.i le cheinui de Loclnio. et de O.ënèw. Il salué 1 idée un rapprochement francb-aHemand. Il est prêt~â-srafsirla main qui lui sera tendue dans l'esprit de réconciliation, mais pas la main du vainqueur tendue au vaincu. « '̃̃'̃

» On nous parle, toujours de la sécurité française. Il n'y, a .pas un homme responsable en Allemagne qui serait assez criminèl pour pousser le Reich dans une guerre contre l'est ou l'ouest. Après huit ans, nous voulons enfin le rétablissement de la souveraineté allemande. Nous voulons être un peuple pacifique, mais libre.

» Notre peuple est déçu parce qu'en ce qui concerne la, solution' d'ensemble, nous sommes restés sur place ;.et avons même reculé. » Notre attitude est claire. Mais nous devons adresser à la» France" cette question Quo vadts? mène ton- chemin ?,L esprit de psychose de guerre doit-il dure,r éternel;tement ? Ou choisiras-tu la devise « Pour la paix et la liberté »? Non seulement nous autres, mais tous ceux qui désirent la paix attendent ta réponse ». 'M. Stresemann a été, à- la fin de son discours, très applaudi. A sa descente de la tribune, il a été chaleureusement félicite par le chancelier Marx.

~i.Nl:;&'J' iJ~J~j ~Iu~. SJiuir

i :k ̃ .-̃̃ •̃ j, ̃'•>̃' ̃•̃• on anu'b

Un exposé de M. Michalaco|W\ito^ sur la politique grecque

M. Michalâcopbulos, ministre dés affaires étrangères de /Grèce, actuellement à Paris, a reçu hier matin les représentants de la presse, auxquels il a exposé la situation financière et politique de son pays. Le' ministre s'est étendu principalement sur les rapports de là Grèce avec ses voisins. Les actes du gouvernement hellénique, a déclaré M. Michalacopoulos, montrent que la Grèce cherche à établir partout des' bases de paix. Avec la Turquie, elle a passé une convention régularisant la question dès propriétés des ressortissants de l'un et l'autre pays. Avec la Bulgarie, elle est entrée dans des relations commerciales normales par un traité coinmercial provisoire. Elle tient à l'amitié de la Yougoslavie. En ce qui concerne les) •> rapports avec les Soviets, le..général Pangalos avait passé une convention commerciale que le gouvernement, actuel a jugée trop onéreuse. M. Michalacopoulos a demandé l'annulation de cette convention et- proposé l'immunité diplomatique pour un seul représentant soviétique et pour un seul immeuble soviétique; 2° la renonciation à toute propagande réciproque. Il a confiance que les Soviets se. montreront accessibles à un arrange-

ment' ̃̃:̃̃̃'̃ ]r"" "v ',•

L'ordre de Moscou été d'utiliser toutes les organisations de la société pour la détruire. Des cellules, des rayons, des disciplines secrètes, des infiltrations continues. Echapper le plus possible aux lois, en les invoquant, échapper' a la police. S'introduire dans l'armée, dans'la: marine, dans les arsenaux, dans les administrations. Déjouer les perquisitions et les enquêtes. Lutter contre la société avec ses armes.

M. Doriot applique le système consciencieusement et non sans succès. Les amis de M. Doriot; appliquent également le système. Chaque jour apporte son petit résultat. Rébellion â Bourges, incidents à Bourg-Lastic, lettre mystérieusement subtilisée au ministère la justice. Et, quand l'autorité intervient, on lui oppose la loi. Pour préparer, la révolution, tous les moyens sont bons. Mais, pour jouer avec l'Etat, retours à la chicane, à tous les moyens réguliers de • la société bourgeoise. Au pouvoir, les Soviets, se conduisent comme; l'on sait et exécutent sans jugement., Dans l'opposition, ils se résignent â se moquer des pouvoirs publics ién imitant les personnages des Plaideurs; En. vain, un ministre a dit que le communisme notait pas une opinion, mais un délit. Distinguons,' réplique le communism<v*.j'en appelle à vôtre code, et voici .la.séri«-des piocie^uces-quiixomnïfincfi. tout- cela >mène-t-il ? Un >Etat faible, quj A laissé se, constitué des pouvoirs à côté'; ides synàiciits, dès fédérations et' 'fles ^éoaf edT- rations de toutes sortes, est condamné à une lutte inégale avec ceux qui violent; les lois et qui les invoquent pour leurs commodités. A Fextrême limite de ce système, H y a fatalement la dictature. Les peuples veulent vivre. Quand les Constitutions et les Codes ne suffisent plus a les défendre, ils se confient a ceux qui leur offrent de« les protéger par d'autres moyens. Nous .n'en sommes pas la. Mais, ajoute notre vieux confrère libéral « N.qhs risquons d'én,.venir là si l'Etat ne ressaisit, pas toute son 'autorité1 et ne; fait pas la preuve que-'les ;lois bien appliquées lui suffisent». ̃

Gôiitfàdietio'ns et incohérences Les commentaires aigres-doux dont les cartellistes ont salué le discours de Lu.iiéville et le parti qu'ils essaient de tirer

L'Italie commémore

la bataille de Piavé |

M*– -•<

̃• ̃ •-•'̃ •• ̃̃ ̃>̃

Cosenza, 23 juin, -r- A l'occasion de, la I' commémoration- solennelle de: la bataille de la Piave, le maréchal- 'Badoglio, chef dJétat-major général, :a /pronoiioé,' un; im- portant discours. ̃ <r- '̃< Il a exprimé sa profonde admiration ppur. la, yaieur du soldat italien et a .rapr pelé, quelques, èp^9desV.4ptoigiia,nte,™de,̃grande bataille' de la Piave, a laquelle il participa e-n -qualité de collaborateur5 'im- médiat de maréchal Diàz. ̃ •̃ '̃>» (

(,

Le maréchal Bà(|oglio., a repoussé la, cri- tique adressée au commandëmén.t, italien de ne pas avoir déclenché immédiatement' une puissante offensive au delà* 'du 'fleuve; il affirme que'Parmée" italienne était à ce momént-là sérieusement épuisée; elle avait besoin dé repos, de renforts et de ravitail- lement, .tandis que l'artillerie 'ennemie était en parfaite condition. L'opération" de forcement de la Piave était très -dangereuse et il fallait une préparation soignée pour donner un coup décisif ,à.un -moment opportun. Celui-ci vint enûtifûe ,24i:octobre, apportant à rita^'î^lûs grande victoire de l'Histoire. •'̃̃' Le maréchal a conclu en faisant à nouveau, l'historique de la lutte» pour J'unité italienne depuis 1848^ II; a. proclamé que la dernière période de la ^renaissance ita- lienne est due à' I.L MussoliriiJ qui a su réellement mettre eh valeur là victoire italienne. «Suivre, cet homme, a-t-it dit, signifie ajrejer, réellement -la patrie, »

'<

Les travaillistes anglais protestent contre les assassinats de Moscou

du congrès des Irade-U nions, réuni hier avec le Comité exécutif du Labour Party, a voté une'protestation contre les assassinats pratiqués par les Soviets. En voici le texte'-îH; '̃̃̃=̃̃'• .̃̃̃ •̃ .̃.̃ 'Tout eni reconnaissant les difficultés exceptionnelles et les dangers'de la situation politique en Russie.' soviétique et tout ;en appréciant la légitime indignation du, 'gouvernement des Soviets à la suite de l'assassinat de M: Wôïkoffi son ministre à Varsovie, le Labour Party et là C; T. U. se sentent obligée de protester contre la politique adoptée ouvertement par le gouvernement des Soviets d'exécuter des personnes innocentes du meurtre .de.M.Woïkoff, par..manière de représailles pour ce meurtre. Nous sommes d'avis que, répondre à l'assassinat par l'assassinat, est une politique qui dégrade le niveau de toute nation civilisée et qui ne peut produire- que du- mal pour la ;Russie soviétique^ et mous exprimons l'espoir fervent, que la ^pratique d'exé.7 cuter des personnes, avec ou sans procès, pour des délits politiques, va' -cesser.

v. ~7

LA SUISSE ET ÎÊS SOVIETS Berne, 23 juin. Dans sa séance d'aujourd'hui, le Conseil national s'est occupé des «relations de? la Suisse avec les Soviets. Le. député catholique fribourgeois Per* rier a développé l'interpeUation suivante :Sl,L^'tpnse1f^^râl^1#ié:ay)'re§sei- gner le Conseil national sur lès raisons qui onti.engagç, àncpnclure l'accord^ de Ber-

lin. n •'̃

s> La question de- nos deVQÏrs v^-a^is de la Société des nations domine fous le débat. Nous devions être" d'autant plus prudents que nous eiïgâgions l'ayëhir dans une large mesure. Nos devoirs internationaux'peuvent-'être en!cojftllit avec, nos devoirs nationaux. L'intt-pdûcticm des Soviets à la S. D. N. est un régime de dissolution..

» L'orateur espère que le président de la Confédération déclarera qu'il n'y' aura pas de reconnaissance, des Soviets, que les agents, russes ne s'immisceront pas dans les affaires helvétiques et, que. la Suisse, au sein de la Société des nations, défendra la civilisation contre les Soviets. »

Le président de la Confédération, M. Motta, chef du département politique, répondra demain matin- •̃

DERNIERE HEURE THEATRALE

>i^

Afin de ne pas surmener les artistes, M. Léon Volterra, a décide ,de reporter à ce soir la répétition générale de Venise, au Théâtre Marigny. En conséquence, la préfeière qui avait été annoncée pou^ce soir est remise à de'1

matn,3,sotr §atp~di Í'

1 ~l~(".tii't_ !¡.~u(;(~~d

contre le gouvern'ejiie'htvdë certaines dé- clarations du président du. Conseil font apparàitre, une fois de plus, le manque d equilibre des certains milieux politiques. Ils en arrivent à contrecarrer les intérêts français les plus évidents par simple ignorance ou insouciance; Ils ténu»-1gneht d'autre part ;d'une extraordinaire faculté d'oubli et vont jusqu'à contredire et nier leurs propres jugements. M. Jacques Bàinville met" en lumière dans l'AC-' TION FRANÇAISE, ces lamentables incohérences •.

Oui ou non, a-t-on fait' tuer des millions d'hommes pour la justice«t pour le, droit? Oui ou non, a-t-on. ameuté le morieja, centre là barbarie allemande et le militarisme prussien pour fraterniser ensuite avec le mai'éc'hal- Hîndenburg, l'idole aux clous, et avec M. Stresemann, flétri dans toutes les langues pour avoir voulu des annexions à l'Est eti'à.l'Ouest? Outou non^ a-t-on imprimé le mot scandaleux; chiffon dsv papier », autant de fois qu'on a imprimé de francs, sinon de marks de la « colossale escroquerie » qui, a été tout .simplement ,1e produit de la démocratie socialiste?: Qui ou. non, est-on

passé d'un extrême à l'autre?

Nous ne sortons pas dp "(à. Et il n'est; jamais repondu à la question parce que la «"jisychose de paix équivaut exactement, à la « pSych'ose de guerre ». ~y- Dé 1914 à ,1918, en viérs et en prose, les'Alle' mands ont été considérés comme «tn peu moins-

;que des anthropoïdes. Alors on admettait sans,

'discussion qu'ils coupaient la main des petits

enfants belges et français. Aujourd'hui, le Ger-* main tedeyient' le «) neb.leiîfils dejla- ffipa-yC/Jillemagne », l'Aryen. s,ans tache, le dolichocénljale! blon,d, élite de l'humanité selon Gobineau.- A sa; dextre loyale, l'on ne voit plus de sang, nii de poings de petites filles, ni' le « chiffon dé' papier » déchiré", on confie le pacte des nations, le serment de Locarno. '̃̃"•" Avant la. guerre, on disait « 'Le pays de Luther et de .Kant ne peut pas attaquer le pays do Victor Hugo et de Pasteur. » Age -positif, en comparaison de celui où nous sommes. Luther et Kant ne suffisent plus. Nous voilà arrivés -d'un bond au Graal et au Walhalla, chez les héros de la mythologie germaniques Sans trari-. sitiori, on est allé du gorille à -Lohengrin, qui est peut-être Hindenburg, et, à Siegfried, qui est sans doute Stresemann. A quand la méta-Vmorphose de Guillaume II, ïç pur dément, der reine Thor, en chaste Parsifal '?' Les excès dans les deux sens dégoûtent tous les hommes raisonnables. « Ils font qu'on ne-croira plus à 'rien parce quo 'l'Allemand n'est pas plus un saint qu'il '1 n'était un singe ».

A LA CHAMBRE

III

pMvCachin ira en prison dans un délai de dix jours

>/î .'̃ >

Le cas -du député communiste Cachin provoqua au début de la séance de l'aprèsmidi un débat qui fut rapide et correct. président, îyï.' Bouisson, donne lecure d'une, lettre, du garde des sceaux l'informant que M. Marcel Cachin, député delà Seine, dont la condamnation est de-,venue exécutoire, sera invité à se constituer prisonnier dans un délai de dix jours. tLé socialiste Uhry développe alors 'une motion, portant que l'arrestation ne pourra pas avoir lieu avant la fin de la session. A cela,le garde des sceaux, M. Louis Bartfiou" répond, que la. Chambre, ?'de par la Consfitution,' est maîtresse de'preriiire la j&'écisj.qn, qu'elle jugera bonne. Il résume ainsi: l'état der la iquestipn deux dé.putés, MM. Cachin et Doriot; ont été condamnés. Laispeinedu premier est;. devenue définitive ;>,cellè du second ne l'est pas- encore. Le gouvernement ne soumet à la Chambre que. le .cas de, M. Cachin. Dîaprès la jurisprudence, la con.damnation d'un député l'emprisonnement peut être exécutée pendant la session, si la Chambre ne- l'interdit pas. La Chambre doit donc, en pareille occurrence, être avertie par le garde des sceaux, et elle péi}t.requérir la ,suspensioh;du cours delà justice jusqu'à la fi"n_deja session. Le gouvernement, s'est strictement conformé:.»* (cette jtteis'pruden.ce. ̃ II fait ce qu'il devait, faire d.'après la Constitution, très largement çt;l,irbénàle~nt,intérprétée. L'arrêt qui a frappe M. Cachin a frappé en même temps /d'-âutres :personnes,. qui vont être arrêtées; L«; gouvernement estime que la loi doit être égale pour tous. Concluant, le garde, des sceaux dit qu'il n'ajoutera pas un mot, la Chambre étant seule maîtresse de sa décision.

C'est maintenant au principal intéressé à donner son, avis.: M. Cachin déclare qu'il ne demande rien jà: la Chambre. Il est prêt à, aller en prison et. ne se sent pas diminué, puisqu'il est frappé pour. ses idées il exprime simplement le voeu que le délaûqui lui est accorde, le^ soit aussi à; ses camarades, jappes çwimèJui. iiVîd!. l'ë'tiàr'fà déS:SBèaiix,«Mi"3q .rondsiibonr•iSage 'S' la lajteiatié tie MiiCSacliiti^ mais, puis-

çm'tai' déM'>luioosH<tacebrd<5u>*lti'$î l'Aoeepte.

Quant* à 'ses camarades, ils en bénéficieront -également c'est de stricte justice. ,:<$. Renâudel. Je comprends parfaitement la situation du gouvernement qui laisse', a Ta CHâmbrè sa pleine liberté, mais .pour 'les socialistes, le point de départ est mauvais; attendu que la condamnation est motivée par un délit' d'opinion, Aussi, les socialistes ;voteront-ils la motion et, lorsque la session, recpaimencera, ils déposeront. une autre motion permettant à M. Cachin de reprendre part aux travaux parlementaires.

'M. le garde des sceaux. Un "délai de dix jours avait été accordé à M. Léon Daudet il sera accordé aux> camarades de M. Cachin. C'est l'égalité devant la loi..

ÎPour M. Cachin, si la Chambre ne s'y oppose pas» il sera arrêté dans dix jours.

JUne.voix a droitc. Ce n'est. plus l'égali-

̃; '̃̃ •, ,4

M. le garde des sceaux. M. Cachin étant député, son cas est différent 'et la décision du gouvernement est la suivante. respecter le principe de l'égalité de tous les citoyens devant la loi, sous réserve des privilèges que le principe de l'immunité, parlementaire reserve aux membres des deux Assemblées.

On passe au .voie, qui donne lieu à pointage la motiofi .portant que M. Cachin ne ppurra pas être arrête avant la fin delà session est repoussée par 241 voix contre 239.. ̃ Toutefois, l'incident n'était pas cômplètement cïps en fin de, séancç,.les social&tes,; par'l'prgatie" de M1. Vincent Anrïcrt; âfipflsèçent pnë. jnotioi; .réclamai^ .là.gçâce

ï6iis/.ce,U3(jlgui|(Jont. iét.é:,çondamn,éii ppup

tiôlits de presse cf deiitSipolîUlqU^s. .'Jjë; président fit observer que la. motion n'était ;pas recevable. t ̃ j M.' Aùriol déclara alors que.» ses amis provoqueraient dans les divers', groupes de la Chambre une pétition qu'ils enverront au Président de la République.

LES LOIS MILITAIRES

Là Chambre revint au projet d'e'loi sur l'organisation générale de l'armée et adopta les articles 10, 11, 12 et .13. Seul, l'article 11 donna lieu un débat prolongé sur un sujet essentillement technique. M. Rènàùdel développa un amendement en. vue d'accentuer le principe de la séparation territoriale des forces permanentes.

M. Jean Fabry émit un avis diamétralement contraire et ajouta qui si la Chambre donnait raisonna M. Renâudel, le projet (pi; .gôtiverrtempni perdait. 'i toute sa "vigueur et toute sa signification.

Le général' Debeney,. chef d'état-major général et«èommissairé du gouvernement, combattit aussi l'amendement.

.On assure, .dit-il,, que le système des centws 4!!instruction permettrait de séparer les trompes du t.^i;rit9|r.ej^t de tenir l'armée active

jy' '•' Pfopagaiifie aïiéinahde

1 ,Eé Courrier de Bayonne attire l'atten-1 tion sur la^propagande allemande en -Espagne; II rapporte que de nombreux Espagnols publient la note suivante

r,

Aux étudiants espagnols désirant visiter. l'Allemagne en voyage d'étude, l'ambassadeur d'Espagne à Berlin fait savoir à son goùvernement que les autorités allemandes sont disposèies à accorder de grandes 'facilités aux étudiants espagnols qui désirent venir en Allemagne. :••̃ 1 'Parmi ces facilités, il y a lieude noter visa gratuit du passeport, diminution de 50 0/0 sur les tarifs de chemins de fer, et possibilité de profiter de tous les avantages dont jouissent lés étudiants allemands vie en commun, coopèratives, bourses, etc.

M. Alfred Caradessus, commentant cette information; fait 'remarquer que Dégagée de i ifcoùte considération politique, l'information ne 1 .présenterait qu'un caractère, strictement relatif, de courtoisie internationale. Mais si l'on considère la démonstration n'est plus, à faire que la Latinité et l'Allemagne (le terme est de "Fichte) sont incompatibles;' que, depuis la guerre le germanisme « transcendental »'de Hegel, de Fiehte et de Herder- rei prend du poil de la bête; que l'Allemagne s'emi ploie à i;uinar partout (Curtius dixit) cette i <f: notion; dç. civilisation, stylisép ;à.(a..rqmaii^e, I et fondée sur la perriianérice" de la ratsofl .qui' 'est la forme officielle de l'idée nationale franIçaise »; et qu'enfin"i-et»'saftout si l'Allemagne iaime l'Espagne, c'est contre nous,, il y a lieu t»ûvrî«"ï'oéjl et le bon. M ••"••: 'IPu.issjïfcs-aious, Espagnols et Français, ne jàîmais oublier le mot du fameux philosophe allemand Herder Les Latins ont àpporté au, monde une"niiit dévastatrice » et reprendre, pour la paix et le bonheur des peuples, une politique: conforme à notre intérêt commun et' à, notre tradition sliirituelle.

Cette politique. consiste d'abord à. con-. 'trebattre l'influence de l'Allemagne partout où, elle s'exerce à nos dépens,' 'c'està-dire aux dépens de la paix et de l'ordre européen. Mais malheureusement l'observation de M. François Coty que rapporte M;* Alfred Camdessus reste vraie « Pour compenser « l'immense organisation de sympathie » que fait l'Allemagne au delà' des Pyrénées, la France ne fait rien ou presque rien »•

Pierre Villette.

sur la frontière pourfaire seirrir de cpp.verture. '.̃ ,v h ..••-• Mais, prétend-on nous .garantir avec une couverture de -100.00.0 hommes .çoutEfs une irruption brusque qui peut se n'j\ononceç sut- un point quelconque d un espace dp 950 -.kilomètres '1 Le rideau serait iné.^ftjpm^njt cçevé et les divisions arrivant des ceïitres d'Instruction devraient être tout 4e suite, engagées dans la bataille /cela, le gouvernement, s'y oppose absolument. ̃. > M. Renâudel revint néanmoins à la charge et M. Jean'Fabry, également, dans le sens opposé. ̃>: -> ̃̃̃ :•<Quant au ministre de la tguerre- il déclara •̃̃.••('•̃ ̃ En ce qui concerne la couverture' si l'on n'admet pas l'appel des disponibles, 'lé projet du gouvernement est impuissant assurer la défense nationale. D'ailleurs, aucun autre pro- jet, ne, l'assurera davantage. Sans, l'appel des disponibles, il faut renoncer au service d'un

-an.. '̃̃ <

te gouvernement repousse donc ranlendement. .̃̃a .•̃̃,

,.#̃< If président dç, ,Ja canunïssj'oji. %,&

commission,, aûssif ;̃̃•. •i-).W. •̃

̃ M.- le président du Conseil, -r- La question .(tef.cpriflan^.esi; ppséeé><, ,Vï<i'k\ mi m • Par 355 voix cdritrë; 125 l'aniêtidêment Renaudcl est repoussé." La suite, cet après-midi;

T" 'r-

LES LOYERS J

rLa Chambre avait employé sa matinée à continuer l'examen 7 de l'a loi sur les loyers. Après clôture de la -discussion générale; elle aborda l'article premier étendant la loi du' 1" avril 19^6; à toute la France. M. Cautru démontra que cette extension était abusive ̃ et- dangereuse et qu'il n'y avait aucun' intérêt à appliquer la loi à trente mille petites communes de France. Il, ne demande, .rien/ 'Le garde des sceaux partagea cet à,Vis,<car si le texte de 1926 est trop restrictif, celui ,4e la commission est trop absolu» -entee les deux, la. conciliation est possible. Donc la suppression de l'article .premier s'impose. Par 380 voix contre 168, 'Chambre se rangeai» à cet avis. On continuera mardi inatin..

r • rSaint-Selve.

'•"̃'̃'

l' "'}'"

SELECTION DE BELFœ

.I,! ;))!

On sait qu'une sous-Commission' ^^êté s noitlmée par le ^bur^àu^dii Sê&at «ôlir k `

n tl ttêter' §` ui' fi 9 e i t,

îfion qui,, le 9 .janvier îder.nieri.îà.jKepQrt,

,IOn ql,ll,. le 9 ,Ja~mr,der.p'leJ¡o;>~etfJ(H.t, `,

.porta- .au- Se nat'iMv Louis» viéllard-cdfltli>e! M: Laurent Thiéry. •• •̃"> 'iii" «i'. Après', une longue' discussion;" le président d4 bureau, M. ,'Bienvenu-^âHïn, mit aux voix les cOnclùs^pns,fprmulé,ës par ,1e rapporteur de cette sous-commission, conclusions défavorables à M. Viellard. Sur 19 membres présents; dix' se1 prononcèrent pour la .validation et 9 pôiif l'invalidation. Néanmoins, M. Bienvenp-Màrtin, hostile à M. Viellard, annonçait. 9. vpix.cjohtre 9. Les dix partisans de l'élu protestèrent et le président reconnut sort ërreiir, ̃> mais déclara que le vote res:tàit: 'aôitùïsi' Dans ces conditions, 'ïiQÛs^omtnis- sion a décidé de présenter lés résultats de l'enquête sans conclusions, laissant à -la Haute Assemblée le soin de se prononcer.

^̃^̃̃^̃• t,-

Les assurances sociales au Sénat

'"1

̃̃ i.

La séance d'hier a été entièrement consacrée à des discussions théoriques sur la situationi que la loi sur'les assurances sociales'fait aux médecins. Nous disons théoriques, puisque* ts'i .M. Roche déposé qn amendement a ^'article: 4, permettant aux assistés de choisir leurs médecins et de les, payer, suivant les règle du droit

commpinrr le: docteur1' ChauveaU, ra'ppof1-

teur^Tépond- qi;è cette "réfWnje est. rfiêfà

rètm^yif ;tfril nouvelle'' fMàMon fae

l'arti<;le(S,i après quoi,dailleuFS* on votera un nouveau texte de l'article 4. L M. Labrouste a prononcé à' ce sujet un vif et éloquent réquisitoir,e, contre la ̃«̃fonctionnarisation.» du., corps., .médical. Le sénateur de la Corr.èzei y voit justement un nouveau triomphe du collectivisme qui nous .amènera à la médecine au rabais, à l'examen rapide etsupetflciel, bref, à l'abaissement du corps médical. M. Strauss n'est pas de ^cet avis et Jl invoque à l'appui de1 sa thèse le précédent des lois sociales déjà existantes.

M. Fernand Merlin estime que la loi, telle qu'elle se présente, permettra au corps médical une vie digne honnête et laborieuse. ̃̃"ijiiVÏ'ij^ '̃•̃̃' M. Delahaye voudrait qu'avant; le ;vPte on. s'entendît avec le corps médical. C'est l'avis de M. Roche, qui1 ajoute M. Roche.– Le -contrôle rt'est p'assuffisaniment organisé par le texte de la. cpnimilssjoii; le ticket modérateur n'aura pas une action efficace je demande q_ue les frais iftédiçajix soient remboursés mais non payés par les caisses d'assurance sous cette réserve, j'àbcepterai le texte de la commission.

M. Gaston Menier fait préciser par le rapporteur .que l'assuré choisira également son pharmacien. ̃ •'• ••• •-̃••̃•iii- Fraà'lement, l'artidle 4'est fyotê,9ii§.,une forme nouvelle que voici.! Art. 4, I 2;i -+ ^sgu^êjjgligjBit! ^bBôçjei* sgn .praticiejj, 3., -tt-. Les .CQppuA.taJipnSi ip.édî«âjes ;sQnt données, a^d^pypil,e,,d»vpriaiicjen, sauf lorsque "assure ne; peut .se déplacer ;çn raison de son état. Toutefois, ;jjqur Ijçs visites à domicile, le «hoix de l'assurq est liniijé aux médecins pu, aux sages-f emmes;<le, la commune où il réside. S'il n'y pas de.praticiens domiciliés dans. la 'commne.de'l'as$usé, celui-ci choisit parmi les praticien; résidant dans Jlà commune la..plus, rapprochée. Àyi cas où- il désire faire appel à un,autre,.prat_içién ou,en général a tout praticien demandant des honoraires supérieurs à ceux des tarifs locaux prévus au paragraphe suivant, le. supplément de frais pouvant resulter de l'iippel de ce pra- ticîén, est laissé, à- la :charge de l'intéressé. Les paragraphes 4 et 5 egal^inérft Votés

fixent le mode d'évaluation Sè^îrlis'inëdi-

caux, ainsi que le mode et le ïàux p$s 'rem- = boursements, de ces. frais par lès .assistes". 1 On passe ensuite à l'article 5, qui établit le délai pendant lequel l'indemnité, n'est pas payée au début de la maladie. Ce délai est fixé à six- jours, après qu'a v été repoussé un amendement dp: M." Màuger le. réduisant à quatre jours.

La séance est ensuite renvoyée à aujourd'hui, trois heures.

E. Gascoin.

^̃̃^̃^̃d*-

Groupe agricole du Sénat

̃'•- .••'̃.

Le groupe agricole du Sénat a adopté à Puri'animité' une proposition de résolution' ainsi conçue: :1 j :k Le"'Sénat invite le gouvernement à à Rassurer, la, liberté .d'expoptation-fléS'p'ro-. i duits agricoles ej ̃: supprimer les., 'droits.: ;( de sortie qui les frappent. ».

M. Marcel Donon a appelé l'attention du groupe sur l'augmentation considérable. ] des impôts sur les bénéfices agricoles ré-

sultant de l'application de la loi du 3 août

sultant de, ,l'~pplica~ion de)alÓ,i d't;1, 3 a~ût,

1926. Il a été chargé de préparer ùji. projet maintenant.le régime du forfait, et mieux adapté aux conditions .actuelles de îlà-pro- ( duction agricole.

Informations politiques La réforme électorale

Tandis' que la ^commission- du ̃ suffi'âge universel adoptait, par 14 voir contre 6, le rapport de M. Baréty, concluaut au râtaïAissJerneïit du scrutin d'arrondissement, la Chambre", sur Ja proposition de la conférence hehdoBiadaifè des présidents, a -fixé au l^r juillet, «après-midi, l'ouverture du débat- sur la réforme ̃éiecïdtaie.'

La conversion des dettes .`~ commerciales extérieures

On" s'entretenait beaucoup, hier, à Bourse, de la lettre que,M. Poincàré aurait adressée à M. Malvy, président de la coinmission des finances, pour lui demander d'être autorisé «à procéder à. des opérations de conversion ou de consolidation de la dette commerciale extérieure par l'émission de rentes ou de valeurs du Trésor, soit en France, soit à l'étranger >. Au ministère des finances on nous "a confirmé l'envoi de cette -lettre qui précise que les opérations envisagées ne porteraient pas sur la dette politique,' d'Etat £ à

'Etat. •'̃ 7,

.par la \qi du 7 août 1926, le ministre des finances était seulement autorisé, émettre des emprunts que pour rembour-

iS^i- uniquement 'les' dettes intiérieurés du

^rêJsor et du Crédit National. '1 ̃.Àvëçià 'faculté' nouvelle demandée,' "M •iÇoincaré, pourrait, poursuivre^ son œuvise die redressement financier en aménageant, pour le plus grand profit du Trésor; certaines dettes commerciales extérieures particulièrement onéreuses.

• Notre ministre des finances serait ainsi à même d'engager des négociations en yijèf d'obtenir la conversion d'emprunts émis dans le public américain, à un taux élevé, comme l'emprunt Morgan 1920 de 80 millions de' dollars à 8 0/0.

Tel est le but immédiat auquel Semble vouloir tendre M. Poincarè.

Plus ta>xd, notre ministre des finances pourra, en utilisant la prérogative demandée, s'occuper, à l'heure propice, du •règlement de notre dette commerciale avec l'Angleterre et du remboursement de 'la dette des stocks américains, venant à échéance en 1929, en contractant "tout emprunt extérieur jugé avantageux ou en procédant à toute opération de trésorerie 'intérieure susceptible de procurer, les; '"devises libératoires.

GAZETTE DES TRIBUNAlà

««'

Une tentative de suicide au Palais Dans le box de la quinzième Chambre, il ?y5 âtfaiWHwA dizaine de prévenus. L'un ^d!,eiw» nommé Darthoud, poursuivi,, pour >ura vol lîanal, menait d'entendre son avocat M' PsWs'ërîett, plaider pour lui, affirmer qu'il ̃è'fà'ifirr'espiShsable, alcoolique inf|téré,1 et non un simulateur comme l'avait ditmédecin, légiste, et le tribunal; était en train de délibérer. Soudain. Darthotid tira,de sa poche un petit poignard, qu'il avait pu dissimuler, on ne sait comment, à la prison de la Santé, et il s'en porta un coup en pleine oitrine. Dans l'assistance, ce sont des cris'd'effroi une femme s'évanouit, une autre qui tient, un enfant dans les bras pousse des hurlements. Ce sont la mère et la maîtresse de Dàrthoud. On appelle en hâtele médecin: du Palais. Darthoud- a peu de chose >:>une petite plaie superficielle, et le tribunal» le condamne à deux ans dé prison. L'accident 'de Me Charles Comte Le 10 novembre 1924, M° Charles Cointe, avocat à la Cour d'appel, sortait du Palais de justice, et traversait le quai de l'Horloge. Soudain arrive un taxi' Si" Cointe recule pour n'être point écrasé il glisse, tombe et se fracture la jambe. Estimant que sa chute était due la faute du taxi, .il demandait 150.000 francs de dommages-intérêts à la Compagnie. Quelle faute avait bien pu commettre le chauffeur, ? Excès de vitesse ? Or, il avait freiné et arrêté à un mètre de M° Cointe. Celui. avait vu, à temps puisqu'il avait î^çulé. Personne que 'hn-même ne pouvait

êtfë" responsable de sa !'màle.nco!ntreui5ë

iliS^ile., C'est, ainsi q'ii'a jugé le trihurial %i* k' déb'ôtfté' -W Cointeiâe" sli demande.' L'auto de M. Painlevé

C'est l'accident parisien banal, classique •qUi est survenu à l'automobile' de M. Painlevé le 14 mai 1925 junde'ces accidents qu'un signe de la main d'un chauffeur prudent ou un signal arrière lumineux, pourrait, devrait; éviter. Il était neuf h;èurès du soir, et trois automobiles se suivaient; tenant leur droite le long du boulevard iSébastopol. En tête, une voiture de Préfecture, de police, puis un taxi-auto et derrière une voiture dans laquelle se trouvaient M. Painlevé et sa sœur, Mme Lamyi Soudain, la voiture de la Préfecture tourne à gauche, son chauffeur fait le signal réglementaire de la main. Le taxi l'aperçoit et ralentit, mais son conducteur oublie, lui, de faire le signal montrant aux voitures qui peuvent être derrière lui^ qu'il freine et ralentit brusquement. Si bien que la voiture du ministre de la guerre qui le suit, le heurte brutalement. La voiture est, abîmée elle eut besoin de 1.800 ..fp. de réparations; elle fut indisponible pendant un mois M. Painlevé dut en louer une pour 3.000 francs, et Mme Lamy fiit .assçz sérieusement blessée par des éclats de verre, et elle réclamait » 40i0Q0 francs. tJ "i La première Chambre du tribunal a WSihBrsrde «aaise la voiture de la Préfec^ture q«i étaitven' tête, et avait' viré :réguliêpenient, «mais- telle rendu responsable le taxi qui avait négligé de prévenir de son ralentissement, et'elle a condamné la Compagnie aux dommages-intérêts réclames.

Georges Claretie.

̃•'̃:̃: '̃̃̃̃ '.]

Dans certains comptes rendus des débats qui se. déroulent actuellement devant la 11" chambre correctionnelle, l'un des inculpés se trouve désigné sous le nom de « courtier, d'assurance ».,

Le Syndicat national et la Chambre des courtiers d'assurances terrestres protesi terit énergiquement contre cette qualification ;,la personne en question n'exerçant pas et n'ayant jamais exercé la profession de « courtier d'assurances ».̃

Les Championnats d'Angleterre de tennis à Wimbïedon

Championnat simple. 3° tour R. La^ coste, ï). Mac Inlosh, 6-0, 6-2, 6-2 H. Cochet b. Kleinschrolh, 7-5, 9-7, 6-0, Ch. Bous, sus b. Mac Guvie, 7-5, 6.-0, 6-1 Timmee b. P\ Landry, 7-5,, 6-4, 3-6, 8-6 J. Borôtra b. Higes. 6-1,- 2-6; 1-6, 6-2,' 6r2, ̃ Championnat simple de dames. 4e tour r

mips i vBetty N,uthall b. Mrs M^llory, 2-6, j6t2,

6,*Q- Mlle de Alvarez b. Mrs Mavrogordato,

6 .6-û ?,1!l"e de A,lva,re, Z ,b. b, ,?~avr,o, gOrd, ato""

6-a, 6-0 Mrs S. Godfree b. miss Tapsiiott.

6-2, 10-3. mjss Hardy b. ïllle Xlontoslavos!

'§-% 6-4. ̃ ̃ ̃'

C'est en deux manches, 6-0, 6-4, que Mlle de Alvarez avait, hier, battu miss P. Drangfield; L. V. •'

•– j^ f- f

Mlle Thion de La Chaume

est champion de France de Golf

Hier, au Tpuquet, Mlle Simone Thiôn de la CnaUme a gagné très facilemept la .-finale.* du Championnat international flle France féminin de golf en battant- sur 36 trous miss' A. C. Johnston, par 15 trous d'avance et 14 à jouer.

Mlle S. Thion.de la.Chaume a donc mis à son actif, la même année, les Championnats internationaux d'Angleterre et de, France, réalisant ainsi un exploit sans précédent. P, C ̃ ̃ ̃


1 1

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HHHj Vient ̃ de par HH| WERRE MILLE

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MBHH !̃<" Ed- de France ̃̃̃̃̃ ̃̃̃B 20, Rapp 12 fr. H^HHI

'Obligations 6 4, Wi]

Amortissables en cinquante ans

` La loi du août 1926 a autorisé le Ministre des Finances 4 procéder à des opérations, facultatives pour les porteurs, de conversion de la dette Intérieure du Trésor et du Crédit National. En exécution de cette disposition, le Trésor va entreprendre la conversion d'une partie de la dette flottante intérieure par l'émission d'Obligrations 6 OIO amortissables en cinquante ans. Les souscriptions pourront être acquittées soit en espèces, soit en Bons de la Défense Nationale émis avant le 3 juin 1927 le numéraire versé directement par le public ou provenant de l'escompte au Trésor par la Caisse' d'amortissement d'une partie des Bons de la Défense Nationale présentés en souscription permettra d'abaisser la limite maximum des avances de, la Banque de France

$. l'Etat..

SI le montant des Bons de la Défense Nationale présentés en souscription excède les possibilités d'escompte de la Caisse d'amortissement, t'excèdent donnera lieu à un abaissement du plafond de rémission des bons. Cette opération n'a donc pas pour objet de procurer au Trésor des ressources destinées a être affectées au payement des dépenses publiques; elle constitue essentiellement une opération de consolidation de la dette flottante' qui marquera une étape impartante dans la voie du redressement financier.

CARACTÉRISTIQUES DES OBLIGATIONS s

Typ». Obligations amortlssables.lnscrites au Grand-Livre de laDette publique. Prix d'émission et date de louissance. Émises 4 460 francs par 600 francs de capital nominal, avec jouissance du 10 juillet 1927.

Intérêt. Intérêts à 6 O/o l'an, payables à terme échu, les 10 janvier et 10 juillet de chaque année.

Amortissement Obligations amortissables en cinquante ans au moyen d'une annuité constante inscrite au budget de l'Etat, soit par remboursement au pair à la suite de tirages au sort semestriels le 10 mai et le 10 novembre de chaque année, soit par rachats en bourse à toute époque.

Convertibilité. Le Trésor s'engage à ne pas faire usage de la clause de remboursement anticipé avant le 10 juillet 1931.

Forme. Titres au porteur ou nominatifs.

Exemption d'impôts. –.Obligations exemptes /•

̃̃•'̃̃' De l'impôt sur le revenu des valeurs mobilières»

Des droits .çle timbre j

Des.d"roïtl'>"de'!tràiismisslqn. J.J

Coupures. 500 francs, 1.000 francs? 6.000 francs, 10.000 francs et 50.000 francs, selon la volonté des souscripteurs.

Cotatton. Les obligattons seront admises la cote officielle de la Bourse de Paris. souscB~rr><o~

SOUSCRIPTION

Mode da souscription. Les souscriptions devront obligatoirement être

acquittées

soit en numéraire;

soit en Bons de la Défense Nationale émis avant le 3 juin 1927. Dans ce cas H sera versé par le Trésor ou payé par le souscripteur une soulte égale à la différence entre la valeur de reprisa des Bons et le prix d'émission des obligations pour une même valeur nominale. (La valeur de reprise des Bons correspond à leur montant nominal diminué des intérêts restant à courir du 10 juillet 1927 jusqu'à leur échéance.)

Durée de l'émission. 27 juin au 23 juillet 1927.

Lieux de souscription. On souscrit partout au Service des Emissions de la Défense Nationale (Pavillon de Flore);, a. la Recette Centrale des Finances de la Seine aux Caisses des Trésoriers-Payeurs Généraux, Receveurs des Finances, Receveurs-Percepteurs, Percepteurs et Receveurs municipaux; aux bureaux des Receveurs de l'Enregistrement, des Receveurs des Douanes et des Receveurs des Contributions indirectes; aux Recettes des Postes et Télégraphes; à, la Caisse des Dépdts et Consignations,; d la Banque de.France, siège central, succursales et I I bureautx auxiliaires; dans les Banques, Etablissements de Crédit et chez lesAgents 1 de change et Notaires.. M

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brut- itKFIti ̃ prècéd» cours ̃ WJmr TANT prfcMi. tm% CUPIF'TAHT prtcèd» coure brut COPH-TANTT ytow coure brut .COMPTANT precè'd" cours brut t BAKbnt tN DAHyUt friM" tours IHAnUnt» tlnANbtnb pr£C6ct>» Mars

brut' 'prêcéd" ',cours, précédu çoura prêcédu cours brut coun brut" pré~ cours brut, cours précédt cours

363 63 Banqu» da France 15250.. 15490.. FONDS D'ÉTATS Marc* 5% 1904 435.. 431 BANQUES 150 Béthune (C" de) houv 5550 5515 TERME ̃ LONDRES 23 juin 363 82 de l'Algérie 12450.. 12370.. S%'191O !725 1799 240 Charbonnages du Tonkin 12055.. 11950.. 50.. Nationale de Crédit. 821 829 3% 59 25 59 Portugal 3S'o )" série. !SO50 ',79 50 195 Banque de l'indo-Chlne 5300 ..5340.. 55 Commentry-Fourchambault. 1080 1075 Mexique intérieur S% 56 75 .57 40 3% Françaie Il .1/2 !l Ml 85.. de Parie a. Pays-Bas.. 2025 2045 3% Amortissable 6860 68 55 Roumanie 4% 1890 67.87.. 55 française do l'Afrique. 780.. 50 Dombrowa (Houillères) parts. !510 1501 3%. 3860 38 50 s% t.. 17 16;7/8 23 75 Transatlantique 362 31/2% Amortissable. 93. 4%, 1896 .56.. 58.9.. Indust de l'Afr. du Nord 409.. 409.. 45 EpinacCHouillères&Ch.fer d'). ''299 1298 Balia-KaraTdin. 240.. 241 4% 1917 13 55 de 1-Union Parisienne. 285 1315 5%1915-1916 76 10 75 75 4% 1898 54 53 Industrielle <ie Chine.. 146.. !42 É 55 60 Haute-Loire (Houillères de la). '-050 1040 10 A.. Brakpan 6!6 .618 4% 1918 13.3/4.13.3/4 70 ..Compagnie Algérienn 86j '.870 4% 1917 63 75 63 30 Russie 4% 1867-1869. !0 75 !0 75 15.. Franco-Japol«ise 609 $U 75 Montrambert et la Beraudière. !600 1500 35 b. Caoutchoucs (S1" Financière de) 556 .562 Consolidés 5315/16 53I5/Ï6

60 Comptoir National d'Escompte. 371 ..)ô85 4% 19i 8 .< J>1 25 62 75 Santa-Fé 5% 1910 I5S7 30.. des Pays dulfard •>!•̃ Saint-Étianne (Houillères de) HO v; !IO 1 sh, 6 Charteréd.. Î72 .171 Argentin 1886 101 J/210lrt/2

.50 Crédit Corâmercial de France. 1]45 U6U $% 192O Amortissable. 87 70 87 60 Serbe S% 1913 ..t. JOÔ Îll Il Banque privée non cWn 264- 270 65 Anicha CMines d1) 1585 1585 3 ,h. 6 City-Deep !85 50 185 50 Brésil 1889 58 .7. 58 .12 !80\. –"Foncier de France. 25tt.. 2525 6%j92o 86,-95 66 60 Suède 3 -(/2% 1895 préd.t Algérien ,2+00.. 55..ATOin 138T.. 1380 Colombia. 345.4 337.. FunfMng 83. .1. 83; 20.. Foncier de l'Irido-Chine 570 585 s 1927 amortissable 9870 98 70 Suisse 1903 .̃'̃̃̃ 33 Créd.fonc. d'Algérie-Tunisie.570 570.. 35 92 Blanzy anc .920 .920 Concordia., 204 50 203 50 Chine 4 1/2 591/2 58 1/2 90.. Lyonnais 2560 k. 2595 4% ]925 (ohange garanti) 93 60 93 50 Turquie Consolidées 1890. 510 515 Crédit Foncier Argentin 50 06 Carmau* 1400 1455 6 A. Crown Mines 453.. 454 Egypte Unifié 83. 83. 4390 Mobilier Francai ,596 594 Bon8 du Trésor 6% 1922 518.517, Douanes 1902 372.. 375.. 52 50 -r– du Brésil 830 5Ô..Carvin. Î445 1443 30 h. De Beers ordinaire 2032 20:>5 Extérieure 77./ 77. 27 50 Société Générale lOW. 060 févr.,1923 5 6 516 Tribut d'Egypte 55.. Colonial 856 830 65..Dourg j. 1385 !595 20 th. préférence !58S 1587 italien 18 ̃'• 16.7. 135 Société Générale Foncière. '481 '.495 sept.1923 515 515 Priorité Tombao 394.. 370 Soc. Q' Banques de Province..93.. -92.. 20 Graisse.sac..460.. 460 Engrais azotés Î47 50 .!42 Japon 1899 65 !;2 65 ,/2 .̃. 5% 1924 594.. 594 Tabacs du Portugal 13S0..I380.. 125 Soo.Finano1- franc, et colon. 2475 2475 40 Grand'Combes -800 .786 1 d.. Franco-Wyoming. ord 6™ 668 Portugais 38 3/4 38 3/4 4^98Suei 342j.. 13500.. 7%1926. 525 52s Uruguay Or 19OS 55 Soo, S1* Alsacienne de Banque..898 .898 30 Ligny-les-Aires -800.. 810 7 »h. 66 Geduld 556 .558 Rusé8 1906 5 5 464 77 Suez (part de fondateur). -2675 7%1927. 526.. 526 40 Société Marseillaise. 665.. 665.. 21 50 Loire (Mines de la) .532.. 521 2 «h.. Goldfields, Consolidated 292 50 292 50 1909 3 1/2 3 1/2 824 96 Suez (civile) ;•"••••̃;••• Oblig. Ch.fer Etat4% 1912-14. 290 292.. OBLIGATIONS j ̃ 30 .,|nimobillère des Voitures 748.. 749.. 28 50 Maries. -625.. 625, Hartmann 190.. 187 Turc 4% 25 3/8. 25.1/4. 50,. Est J. lOOO.. 1014.. S% 1919. 335.. 336 ,f. ̃ 50 Ostricourt U59 1460 60 Hotchkis 1340 1351 •70. Lyon. .«••"• >?£[•̃•• i3 0 Obi- décennalee 1919-29 ̃* 95 V- 1865 4% remb. à 500' 770 785.. S ACTIONS INDUSTRIELLES 25 Vicoigne et Nœux ?02 •• 695 Huanchaca. '-55.. :55. charteréd 27/3. 26(10/2 575OMidi '•"•\mî "Ulf •• 1922-32 .jW 23 <to 1871 3% remb. à 4OO 352 352 175 Algérie-Tunisie (Omnium) 575° ;• "00 5.h.. Jagersfontein *3 .464 East R3nd 23 13.1. 23 3. 80..Hord •. 2055 CaisM autonome 569.. 567.. M 1875 4% remb. à 5OO. 400 4p5 .30 Chemin d. fer Est. joui. 480.. 480. Boléo. parts 374 50 388 Lianosoff 418 .409 Goldfields i.̃ # 102 47 1.2 65,. Orléans 1100 1094 Õ,' 5 1876 4% remb.è SOO' «0 «0 35 Est-Algèrien 4M ..̃•;•• 102 Bor (Mines de) ord «Ç° •• 2«§ ̃• 7 ,h. Malacca, ord 433 439 Rand Mines 71/10 2 71/10 2 Afrique Occident Franc- 30/0 3!0 jI4 .< 1892 2 i/2remb.i 400 210 205 50 Lyon, jouis 800.. 795.. 27 50 Cuivre et Pyrites.. J}'0. -M. Malopolska 61! 602. De Beers 16.5/16 16.5M6 6

100 ..Santa-Fé (Ciefr. eh. fer Provj2U5 2125 |nd0.Chin, 3 0;0 ,go9 283.. 290.. 0.' ,894-96 2 1/2 r. à 400 •• v'g 32 50' Midi, jouis. ̃̃• •̃ M ̃' 235 Mokta-el-Hadib.act. de SOOfr. 7?5O 7440 Maltzoff 2a3.. 245 Ja fontoin 3.12/63.1216

35 ..Métropolitain de Paris -682 685 3 1/2 ç/O 1913. 315.. 315.. ,898 .2% remb. è 50O 220, .226 64 '.ii Nord, jouis. 1670..1650.. 45 Lille-Bonnières, ord ̃&" .656 Mexioan-Eagle Oil, ord 1?| •• ??. rj" Tinto 38/.S/8 38,5/8: 7 ̃ Madagascar 19O3-19O5 ,*° •• ,Ç° 0 1899 2% Met. r. è SOO 222. 225.. 15 50 Nord-Sud de Paris. 249.. 246.. 55 Pétroles (C1* Industrielle) ,f?2 ,»o 4 ih. Mexioo Mines of el Oro »£ 50 !j> Mexican Eagl 15/9. 15/7/2

65 ..Dif.tr. Parisienne d'Électricité. 1495 ..1480 ,.Mlm"4> ,9J4.Jk.V. 351.. 3al.. a 1904 2 l/2Mét.r.à5OO'. 230 50 230, 50 Orléans, jouis.. 65B 668 100 Dynamite (S" Centrale) »» •• }&> •̃ I8L. Montecatini ̃2» Royal Dutch 3! 30 .3 4.

70 ..Electricité (C" Générale d"). 2110.. 2115 s 18I8 408 413 u! 1905 2 3/4 remb. à 4OO 365 370 24 Ouest, jouis ••- •- 286 45 Electro-Chimïe Métal 'Ai? !SS Mozambique « 50 .79 50 Shell 4.26/32 4.27/32

70.. EI.'ctrieité (C",Générale d?. 5 1818. 4 UI 1905234remb.à400, 24.. Obest-Aig6rien~». 46Q 45.. Elsctro.Cfumie Métal. 'W H.. Mozambique. 7 50 '7 50Shell. 4.26 324.27/32

.Thomson Houston. 520 525 Tun,s 5 f0 1a92 247.. 243.. J 1910^3/4 Mét.r.i43o'. 2 0.. 2 0 28 75 Ouest-Algérien. 460. ,V 460 60 Poulenc ;2£ i«n -9 •• Navigati" de l'Afrique du Nord. 279.. 2?6 North caucasien 21.1,. 21. M

̃̃>̃̃̃ t-uLn Crédit National S 0/0 1919. 456.. 434 d 191O 3% remb. à 4OO. 212 ̃̃ 210 30 Tunisien» .80.. 154 Le Ripolin, joui 2870 2860 North Caucasien .4125 40. RUSsian Oil 3 9. 3/9.

H5..Dlve3 2$?"22$-- obli9.6OOf.6O/Oi920. 444.. 440.. > 1912 3% remb. à 300 204 50 202 16 Parisienne Ind. Electrique. 370 375 102 27 Saint-Gobain. Chauny «™ •; ™ •• 130 Padang (Caoutchoucs). !4&0 1468 Venezuelan Oil 3/ .3/16 3/.3/16 15 Forg. 6. Aciéries du Nord et Est. 421.. 425.. Bons 60/0 1921 J93 491.. 1919 5% remb. à SOO 34! •• 70 Magasins Généraux de Paris.. 2120 2!2j 252 87 Soie artificielle. 5350 .1 5475 Pékin Syndicale (Shansi).62 25..60 50 6 0(0 1922 décen. 498 499 1921 5 3/4% r. à SOO1. 460 476 72 EauxXe.fth.™2440 -2445 24 Usine du Rh6ne..v..<«5 753 15 Phosphates de Constantine. 575 572 Anaconda 9 1169/

30 Courrières •• -gg •• -6 0 0 1922 52o ..526.. 455 451 50 Vichy (Etabl. thermal) 2240 2180 52 50 Salins du Midi J220 I2!O 20 Phosphates tunisien .^0 .419 steel Common 124 1/2 123.1/2

12 .Lens US"Î2S" 6 0/0 janv. 1923-. 473 Com.1879 26O% r. 5OO 455 451 3945 23400 Randfontein. 67.. 69 25 Marconi I9/4./2 Î9/4./2

.Bo"éo ,i5? ".S??" 6 0/0 juin 1923- j74 50 474 50 g/ Fonc. 1879 3% r.à SOO «J 472.. 135 Air comprimé 3850 3945 325 Port du Rosario S^0"?^" ? J.. Rand Min 448 448..Ma|acca 3/ 3/ 1

4250penarroy lui \?À 0WI9. 6 0 0 1924 471 30 471.. g Corn. 18SO 3% r. è SOO 4/4 468 3g 05 Câbles Télégraphiques.; 605.. &I0. chargeurs Réunis (parts) '9™ ̃• "J» 3 ,h. Robinson Deep.A 50 '.28 50 Kuala 80/ 80/

20 ..Platine. 'l6. •• l"* •• Départ, du Nord 6 0/0 1921.. 475.. 470.. < Fonc 1883 3% r.r.5001 243 245.. 37 50 Edison ̃••?$•• 35 Havraite Péninsulaire (B) 400.. 400., Roumano Belge de Pétrole. !°* Escompte hors banque 4 .3/8. 4..3/6. .Dabrowa (Pétroles) 410.. 409 Ville d'Albert 6 0/0 ̃•; 455.. a. Fono.1885 260%r.500j. ?31 235.. 25 Electricité et Gaz du Nord. -4S2.. 465 45 Transports en commun ,S! ;Si •• Russian Oil 38.. 36 prêts 3-3/4 3 1/2 PèS-Te Premier 506 507 Ville da Reims 6 0/0. 47! 472 U-l Com. 1891 3% r. r SOO 235 228 65 Electricité de Paris 2325 2250 48 12 Transports Maritimes 295 1293 30 Steaua française 429 426 S/Paris Cch, à 124 02. 124 02. 30 Kuhlmann Ville de Verdun 6 0/0 4lZf A'7'- 1892 260% à.5001. 269.. 269.. 37 50 Forces Motrices du Rhône. !000 -993 Tanganyika 378.. 384 s/New-York 4.8553..4 8553 30..Kuhlmann .«§ .$! Astûrtnn. d« Mines *$̃̃ -y.- l\ Fonc 1895 280% r 400 266 269.. 116 66 Foro"Motrio«'duRh8ne(parts). 8075 8005 262 50 Bénédictine 9700 IOÎOO.. 65 Terres Rouges -9?2 .975 Rio .K. 5 27/32 5.27/32 4r..Gafs™ WÀ- •• Ateliers Construct deumont 480»..4/4,. -g^-Cm.-ISSS °A p. è è.5oo 254.. 254.. 45 Havralee d'Energie Electrique. 765 765 120.. Distillerie Cusenier 2J» 2490 3 ,h. ̃ Tharsis. 350 354 Valoaraiso 39 84. 39 81 50.. Produits ohim.d'Alais,Foroes. 760.. 785 cie d>E nergie Electrique- 4>8 456.. ïï Fonc. 1903 3% r. è 500 264.. 283 125 Indo-Chinoise d'Electricité. }840 «0 17.5. Distilleries de l'Indo-Chine, 4!5O 4120 1 h. 9 Xransvaal Consolidated Land. |3! 328 B,Uenos-Aires.. f .75 47 75

25 ..Chargeurs Réunis '£g •• 10* v Eglises dévastées fJJ V fl'r Cojm. 19O6 3 %T.-a.600Î. -'f» 252 ,47 50 Pyrénéenne ^'Energie Electr.. «gj ̃ «060 ®y^ Grand Hôtel. 1210 !200 ̃ Tubo9 et F. de Sosnowice. 247. 245 Argent (métal) (comptant). 26 I 6 25Î5/16

9 Transatlantique ord. :?* '• Grosse Métallurgie-6 0/0 j54 450 ̃ £ Fonc. ,9O93 ̃% rh 2S01. \f • \f 15 Radio.Ërectrlque.ii. •• •'• Grands Moulins de Corbeil.ord. £0 248.. 45 b. Tubize priv. 590. 590 Cuivrs (comptant) >313.' 16 54.5/32

50 ..Voitures à-pari6.i. 1025 1030 6 0/0 nouvelles 465 u. Com. 1912 3i/2%r. 2Sp' 143 142 30 Radio-Franc 629 62> Sucreries Brésiliennes. 5!7 514 4, h. 9. Union Corporation 448 50 449.. CUivre (compta,no. ,3.3, 16 5,4.5/32

50 Voiturea'à'Parle. \0.. ? OID 4&7- '465- '465" U.Com.1912 r. à 600' 260 275 275 Radio-Maritime 629.. 340' !lionnes Srés,llennes. 57 5.7. 4 9. Union Corporation Corporat,on. 448 44850 449.. .j3'.3116

22 ..Air Liquid*. ,|28 •• ,5» Nord Pas-de-Calais 1922. j6| •̃ *f g 1913 4 260% SOO 373 373 45 Télégraphie 'sans Fil 715 711 200 cimenta Français 4«0 4800 COMPTANT 1. 4 120 Caoutchoucs Indo-Chine. :f20 1945 )ndustrîe Sucrière Française.. 463- 461 ;g Emp. 1917 S 1/2 r à3OO |21 22! 50 TéléBhpnes.î|i .«. 650 644, 40. du Boulonnais ;«] •- 745 Bakou (Naphte de) 1400 1400 Cail Money. p. m 4. 4. .CuUures Tropicales. ?54 359 ,ndustrie| A|saèi8n8,l922. S .Corn. 1920 Si/2r àgOO 1%, --M 20 Union d'Electrîc(té.W;.ïî.. 475.480. 45.. de l'Indo-Chin '5f| Î55° -• 71 25 Brosse (La) Câbles transfers 4d59,'16 485 5/8 .Orosd"-BBOk?°. •• :S85O.I89 Maison BrégUef 6 0/0. ,[j™ ̃ f% •' oîjEmpr.1921 6i/2r.àSOO( ^f d lectr # ,Q,^ 95 Po/liet ^Chausson '3'5 l|90 Crédit gén. des Pétrel |880 1655 change sur Paris, vu. 3915/8 3915/8 urosoi dbo ̃"̃••" o, Mines da Lens « OiO 1922. 480 .4/6 |Com. 1922 6% t. p. J. 390 381 », |60 Alsacienne Jndus|rie»Textlle. !930 -920 62 50 Grande Raison de Blanc. 824 «6 Cparts) '-575O.. !5650.. u. S. Liberty, 3 1/2% !Û0 7/8 100.7/8 25 Pathé-Clnéma (Jouis). 6" 6?; ̃• Saint-Gobsiri, Chauny "5 503 J| t -.25 J,. Acétylèn»r& Elecjrdjiétal. !345 50 NouvellesÏGaleries 610.. 610.. 17.50 Omnium-Pétroles. 356.. 359 Atchison Topeka 180 .1. 178 1/2

lS Rafflner «a Sucreries Say.. 1»5 1555 Usines sinistrées 6,1/2 0/0. 474:50 4/9 e8^% i.. 400 410 20 Aciéries «.Fcirses^irminy. 29250 &>:<. 100 Agence Havas. 1295 129a 230H. Royal Dutch. 3S600.. 38700.. Baltimore et Ohio Ii7 5/6 116 1/2

59 09 Sucreries coloniales, ,7J8-- M -Algérie 3 0/0 1902 îll lit lia in ??9 « de 'F«nea. 223.. 228,. 72 Didot-Bûttin 80 H. F. de Soulnes 1915 1915 Canadian Pacific J79 179 1.2

100 Union Européenne '*« 1520 6 0 0 192U 4M 463.. ;_» 3% ancienne 319.50 319. 65 de Lcngwy. !»0 1100.. 10 Le Fiaarô. ̃- 4 sh. 6. Shell 608 .607 Chesapeake a, Ohio 180 1/2 178 1/2 *2 Umon turopeenn Indo-Chine 1899-1905 |4» 241 2 i/2% ?05 306.. 37 50 èi Micheville 975 -9» 2OO..fehaix.. ̃̃•• f280 100 1. steaua Romaha 318.. 316 Chicago Milwaukee C 17 1/2 17. Russe Coneolidé 1"& 2* séries. 20.. Jf Indo-Chine 1902. 225 227; Lyon 3% 18SS -95 295 61 40 de Sembre-et-Meuse. 1040 1^5 80 Librairie Hachette. 5 1350 725^, Monaco 12000.. Ï1800.. Chicago Rock Island '2 111 1/2 .1 5%19O6 19.. Î8 t0Tuni8 3 0;o ,902-1907. 285 285 v 6% Bons déo. r. à SOÛ^i 5g ,|p7 i. Atel. Chantiers d*fa, Loire.. 6 3 614 3590 5.D. Utah Copper. 2890 2680 Erie Railroad 52 3/6 « 3/8 ̃• .• 6% 398.. 39550 Cbnst. Nord de la France. 543 85 Afrique Occidentale (C") 3a90 .3465 Illinois Central 129 1/2 128 !/4 4 0/0 Serbie 4% amortissable 189S. ||? 15 !46 50 A|, n6 ]g2A. <& ^a s) l00 C. l?«0.. 1270)^ 5% M,.r..|«M 342 100 BonnevUle.. 164 60 29 27 Air Liquide (part.) I?S- /CHANGES New-York Central 152 15! T4 '4 T.iro Unifié/ !22 75 !23 50 Angleterra 2 1/2 0/0. ^65- 265 25 4.% 3.U 311.i. (nouv-) < 1084 I'J« 50 Bergougnan ,740 .745 i/nanut».. Pensylvania 62 7/8 62 1/2

^5% 1914 -85' 10 » Argentin If 907. 2350 2320 3% Fusion anc. 292 292 j, Chantiers de Saint-Nazaire. 500 ..«»;• 200 chapal (Etablissements).4625 4505 Londres. 124 02 124 02 Reeding I!7 1/2!I5I8

Banque de Londres ei Mexico.. -• -.•̃«• 5% 19O9 ^IS 23IS cA 2 '/2% ?S 50 S-50 K •̃' Chàtillon-Commentry^i. 2500 ..2490 70 cirages Français 121', ̃ 120! New-York. 25 54 25 54 Southern Pacific ,113 1.8 114 5,8

i. B-qUNot1ona^ du Mexique. ,884. 88! e6,Biqu, ,873* ̃» « 39 50 Midi Bons décennaux 6% 507 50? .5 Decauv.iHe i^v. 193 .91 » 50 Continentale Compteurs à G. 339. 335 Allemagne 604 75 .604 50 Union Paoific 172 1/2 171 1,2

(Dationale du M,exlque.I!~4 '66. i3olglqu..o 1873.. 287'tO 60 284 50 M,dl Boons déoennaux 6% 376" 362' ,.5.. Dscau~,lIe. .¡r. )9~ ;102 50 22 50 Cont,nsntaly.Compteurs è Ga~. 339, S3~ Allema~ne.604 7:> ,604 50 Un,on Pac,f,c. 172 1!2 171 102

Ottomane 25O1 p. '5:5 •• 15i6 •• Brésil 4% 1889..?. 287 fcO 284 6% |76 38- .4. Dvle a. Bacalan priv.. 102 102 50 52 50 Gaveau & C1' 600 ,58S Argentine.i. Anaconda Copper. 3/4 43 C :s%Fmd.̃̃̃̃̃̃̃- 5% !??-'?H50 ̃̃ •̃ ord l2--&50 •• --Haour (Etablissements) 166 j. Belgique (1OO Beiga). 355 354 75 Chino Copper. 26.1.25.1. £ 1-2.7 Crédit Foncier EayRtién..r. 3865 3B75 1909 (P.rnambuco). ?45 536.. 4% 311 3P Eleçtro-Câble (ordinaires). 638 ..63. -55 Béo Auer .i.; 884 i, &S3 Danemark Ray Copper .45/8 143,8

10 CongoauSrândsLao" U55 UI0 Bulgarie S% 1896. 595 595 Nord 6% série F 420 i. 413 85 Fives-Lille ;.g. 499 485 30 Maroc (C", Générale du) 590,. 595 E.p,gne. 43650 433 Utah Copper. 115 115

10. Congo au Grands Lac. 1155..1<:10 Bulgarie 6% 1896. 1 671 57 Nord 6% série F. 40" 34J ..65.. F,vas.L'lIa. 499.. 65" 3O.Maroc (C Génerala du). 59.0 j9 Espagne. ,.43650 .3., Utah Copper. Ih .1. 115

A «'̃- 41/2% 19O7 671.. 671.. s% aérie E 340». 341.. 50 Forges & Ac""Huta-Bankowa. l]75 U85 Tabacs CCU Générale des).83 .82 Finlande.. American Téléphone 163 5/8 161 5/6 60b. WaJone-LIts ord, 912 .915 chine 4% Or 1895.. 388 382.. 4% série D. »1 35- 25 Forg"«Ac"" Marine & Homéc. 650.. oj/ 225 Tabacs eu Maroc 38» Grèce. American Car a F 102 3/4 1011/2

L CenÇaT Min'ng.II. 2165 ..2165. S% 1902 460.. 441 3% ancienn 316.. 31- 20 Jeumont. A 5 v. 4!5 45 Union Commercé Indo-Chino"1. 675 682 Hollande 1023 50 1023 50 British American Tobaèco •'• ;•

5Ô«b. R^TÎnto. ,4760 ..4780 5% 1903 ;3f0 379 2 1/2%. série C 277' 278 3190 (parl) |4|, v. 1445 ,t.,ie. !44 90 !46 30 Central Leather !4 1/2 14 1/2

50th S 4,/2%,908 !»•̃•• 6% 1921 tran, A .# 371.. 372 Méditerranée (Forg"a?Chant.). -445 40, «).15.3 Land Bank Eayot ..Norvèoe General Electric 05.». 104. L0.101 Aiote (Norvégienne). 1455 1455 Egypte Unifiée 4.0 35 4jO 35 Orléans Bons décennaux 6% 50> 5W 25 Foraea & Fond"" MonialDire. -505 500 360 prédit foncier Franco-Canadien 6350 8300.. Pologne (1OO zloty) Bethlehem Steel 49 1/4 48 1/2 15.b.Lautaro Nitrate 391 395 Privilégié 362 50 6% 364.. 3.| 40 Denain-Anzin 870 Î842 28p. 50 Nord Espagn .t ..Portugal. U. S. Steel Common !20 3/4 UO 1,8 -Lautero Nitrate Espagne extérieure .i.. -i- ̃̃ -y. •• 5% lil ÎH •'• 52 50 Lorraine Min" S. Métall.35O p. 1360 28 p. Saragosse 4 ï Prague 75 90 Royal Dutoh 48 7/6 48 7/8 5 .h. Oriental Carpet 49! 487 Haïti 5% 1<5lO 729 .720 4% 3;3.. 3 | 55 Matériel de Ch.de fer (C"FrJ. 958 .930 35 f. b. Rouina (AlgérieX ,6G0 .596 Roumanie. !"> 20 15 25 Shell 45 3,4 45 5/8

7Ob75ÔparXa^.r?. 1076 ..1088,. |la|le 3 1/2% fi* «205 3% ano 3i3 312 M,atér,de.Tranaport.91 -95 gosnowloe. j 0?Ô Suède 685

LO.2,4sTc<.r%t«af^ 1/2, ,1 fi?*40Ç'»^«»t.»r-«V.v 274 270 ° M ^"T m''?1"8"591^1-' M9 I^ 85'' %"t R*ï ^4 %£̃:̃ JS'- Sul,sei.i,rl.i. 49125 491 25 Affales totéle». 2.I55.C00

Tabacs Ottomans. 205/ ;21I 5%19o7.i. 391.- 3S1 2 V2 %». U* •• *'V •̃ w ̃• Senelle Maubeuge. m. I5w >W 83 -p. Tabacs des Philippines 325 6380 .iiViann» <1ÇO shillings). titres, totalles. 1 i

Tabacs Ottomans gypte ,ZU.. 570'1-907.391.. 39" "2 1/2 *< 1 Senelle Maubeuge. 1.54 If es. Tabacs des Phillpp!n, 6)25 ..6360 VIenne (1*00 shillings). titres.

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Claridge's, 74, avenue des ChampsElysées. Orchestre. Thés dansants. Coquelin-Courcelles, 1, rue de Chazelles. Le thé élégant du quartier Monceau.

Iran, 7, rue de Ponthieu. Elysées, 44-36. Verrerie artistique. Chant. Musique. Balalaïkas.

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L'Oiseau Bleu, 47, Bd Haussmann. Gut. 62-18. Lunch. Pâtiss. viennoises. Ramy, 43, avenue de Wagram, Tél. Galv. 04-27,-lè vrai salon de thé des familles.

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Rivoli, 2, rue de t l'Echelle. Tea Room, ouvert tous les jours. Lunches. Rumpelmayer, 226,'rue, de Rivoli. Gut. 22-22.

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(Décret du II juin mi).

e,Q Cail Fives-Lilîe 6 0/0 .467- 465. Fon0. ,9,33«/, r. è sooi 275 275 22 Radio-Maritim ??' ̃• rî? “« i«v, COMPTANT NEW-YORK. 23 juin juin

COURRIER DE LA BOURSE

23 juin.

Là séance a été meilleure que celle de la veille. En arrivant en Bourse, le bruit courait avec persistance que la Banque de France allait réduire d'un demi-point le taux de l'escompte officiel. L'abaissement du taux d'intérêt des Bons de la défense à deux ans (ramené hier à 4 50 0/0)' et la réduction du taux de la Banquenationale de Belgique. (5 0/0 à partir d'aujourd'hui, au lieu de 5 1/2) avaient sans doute donné naissance à ces rumeurs. Et la mesure paraissaithabile à la veille d'un nouvel emprunt. ̃;̃̃̃: -,• Mais l'attente générale a été déçue. Le taux de l'escompte, n'a pas été modifié, de sorte que le mouvement de reprise esquissé pallie marché pendant la première demi-heure n'a pas eu de suite et on a piétiné sur place jusqu'à la clôturé. Ajoutons toutefois que, malgré son inaction, le marché s'est montré beaucoup mieux disposé que ces temps derniers. II n'y a, manifestement, plus rien à vendre. Le bilan de la Banque est bon et ne comporte pas de remarque spéciale.

Nos Rentes abandonnent quelques centimes. Il se pratique déjà des arbitrages en faveur du nouvel emprunt. .> ;>

Vive avance des Serbes f le 4 0/0 1895 gagne 7 fr. 35, à 146 50; 5 0/0 1913,111; Ottomans soutenus.

Redressement sensible des établissements de crédit Banque de France, 15.490; Banque de Paris, 2.045; Lyonnais, 2.595; Union Parisienne, 1.315; Comptoir d'Escompe, 1.385; Banque Française de l'Afrique, 780. Financiere Française et Coloniale,: 2.475. Le droit de souscription aux nouvelles actions vaut 38 francs. Union Européenne, 1.520; Générale Foncière, 1.495.

Suez, 13.500; Nord, 2.055; SantaFé, 2.125.

Valeurs électriques mieux Générale d'Electricité, 2.150.

Fermeté des charbonnages et des mines métalliques Rio, 4.780; Penarroya, 1.275. Le cuivre, l'étain et le zinc sont en hausse à Londres. Phosphates et produits chimiques en progrès Kuhlmann, =763; Pèçhi-: ne; 1.785.

Sucrières fermes. Les prix du produit s'améliorent. Say, 1.555; Sucreries d'Eoypte, 1.068.

Pathé-Cinéma jouissance gagne 24 francs, à 581.

Pétrolifères et Sud-Africaines soutenues à leurs cours précédents. Les caoutchoutières s'améliorent en sympathie avec les prix du produit Caoutchoucs de l'Indochine, 1.945; Padang, 1.468.

Au comptant, Sud-Lumière gagne 300 francs, à 6.800; part Laurium Français 150, à 2.625; Soie de Givet 125,.à 5.475; Port du Rosario 250, à 23.400; Bénédictine jouissance 500, à 10.000; Ciments Français 140, à 4.800; part Héraclée 500, à 38.500; Cairo Héliopolis dividende 300, à 7.900; part Sidro 200, à 9.950; Immobilière des Voitures; 749; etc. =

La situation des marchés industriels

La crise charbonnière

Le ministre des travaux publics a fait au début de cette semaine«'d*in1«* portantes déclarations à la commission sénatoriale des mines sur notre situation charbonnière et sur"la politique gouvernementale du charbon. M. Tardieu a fait connaître que les mines françaises avaient actuellẽme.nt en stock près de 3 millions de tonnes de houille.

Des explications fournies, il résulte que la restriction d'importation de charbons étrangers ne s'applique que pour les grands services publics (chemins de fer, centrales électrir ques, usines à gaz) qui devront employer en presque totalité des charbons français.

Pour les petits services, publics, le ministre autorise la continuation des contrats passés.'Bien que M. Tardieu n'ait pas parlé des consommateurs ordinaires, c'est-à-dire des indus-

̃ ̃ ̃ ̃ ̃ B ̃ ̃

̃ ̃̃̃

triels et des acheteurs de charbons domestiques, on doit déduire des expiiatitioas fournies queuiajwpç»bue-, tion sera réduite^au minimum pour ces deux catégories^ de consommateurs.

Reste la question des prix qui est tout aussi importante que celle des débouchés. <îf,\ /'•

Il ne faudrait pas, en effet, imposer aux Tés^aux et producteurs; d'électricité et de gaz,;a'<émploi de charbons français, déjà inférieurs comme qualité' à ceux de Certaines catégories anglaises ou belges -en exigeant, par surcroît, un prix égal ou même supérieur; :*̃.̃̃ ̃̃̃̃

•> vu- ̃̃ ̃/ ̃-

Une telle politique tendrait,; en effet, à augmenter; ,1e déficit des compagnies de chemins de fer et dès centrales- et aurait^OuF résultat de- faire' payer par la collectivité des usagers des transports, du gaz et de l'électri-

t.MJt.t~

INFORMATIONS FINANCIERES LA BANQUE RUSSO-ASIATIQUE. L'Office des biens et intérêts privés communique la note suivante

« L'attention du public,, et ..gpécialeihentvdes i actionnaires de la TSànque Russo-Asiatique, est appelée à nouveau sur situation de cet:, établissement, qui vient de faire Kabjet de deux arrêts importants de> Ta Cour d'appel -de Paris. ̃'

»A. ce propos, les' intéressés sont mis en garde contre toute convocation d'assemblée faite en dehors de M. Benoist, liquidateur judiciaire de la Banque Husso-Asiatique; de, MM., Doyen et Levieux, .administrateurs ad hoc et dé l'Office râes biens et intérêts privés, ainsi que contre "toute information donnée en dehors des mandataires de justice et de l'Office, en piairtfculîër, par l' Association, dont leijsiêge est &>•, Paris,1; £2, avenue 'Montaign^ ^iu par le groupement se disant Conseil de direction.' de. la Banque et auquel les arrêts de la Cour de Paris n'ont pas reconnu cette qualité. i'" » Les mandataires de justice et ,1'Offlee des biens et intérêts priyés se sont mis d'accord pour assux-er.'dans toute la mesure du possible, la sauvegarde des droits des actionnaires de la Banque RùsSb-Asiatique, qu'ils tiendront au courant de toute éventualité susceptible de les intéresser.

» Ils le feront, notamment, dans l'assemblée générale, qu'en exécution de .l'arrêt de la Cour d'appel de Paris du 27 mai dernier, ils ont seuls qualité pour organiser et convoquer et dont la date est fixée au 15 septembre 1927. » La convocation de cette assemblée fera l'objet d'une publication distincte et ultérieure.

''̃̃' BANQUE DE FRANCE. Principaux chapitres de la situation du 16 au 23 juin 1927 .,̃̃̃̃ '(-̃̃ ̃- ̃̃̃̃ '.̃̃ > ••̃ .^ctip

;»" MILLIER» DE FRANCS 3r en France. 3.68a.5oj » Or libre et disponi-

bilités-or sa l'é-

franger 4"a-37E »" Or non disponible à

l'étranger i.4oi.5 g » R

Argent .] 344,644 » Disponibilités é ï t •̃

avoir à l'étranger 49-997 i-43a Achat or, argent et a

devises. a. 176.349 4- 0.840 Portefeuille 1.829.213-]- ig5.654 Avances sur titre» 1.653.423 S3.3ao

Avances ̃'périma-* S C

? .nm'tcs a l'Etat. soo.oop ~.)

iJMîntes à l'Etat.. # 200. 000 M

.ftvances_i.j9o.uv.el!es\t, ̃,•> ̃ _,±. ? ;̃̃ à l'Etat a6. 65ô.ooo 3oo.ooo Bons du Trésor

français escomp- ;r. _.i >uiî. tés pour avances •̃"•'•• de l'Etat à des

gouvernements

étrangers 5.~3a.ooo-)- 6.000 Divers 22.014.805 -f 314.889 Passif

Excédent affecté h

l'amorti.isement

des avances à

l'Etat 563.3g; + 19.643 Compte annexe e

d'intérêts du

compte d'amor-

tissement 19.41a » Billets en circula- .1 :~· tion 52.i07.33a.– :i2j4.io3 Compte courant du

Trésor 398.904+ 134.261 Comptes courants

particul iers ia 678 678 -f- 670 .917 Divers 848.702– 193.546

cité, une prime artificielle au seul & bénéfice des mines. d Déjà les réseaux se voient dans n l'obligation d'accorder pour le trans- p port des charbons des tarifs de fa- r veur, dont la réduction va jusqu'à 50 0/0. Cette réduction ne profite b nullement aux consommateurs de charbons mais permet simplement aux mines françaises de lutter contre la concurrence des charbons étrangers dans certaines régions de la France.

On attend donc comme complé- C ment nécessaire de cette politique a gouvérnem'entale un abaissement des p prix de vente des charbons français. e M. Tardieu a déclaré qu'il avait ob- 11 tenu des Houillères une petite réduc- E tidri des prix de vente à la mine, nous a pensons que cette réduction sera en ll rapport àvecla situation actuelle des mines etrdes autres industries et j, qu'«llfe, s'appliquera également aux

différentes zones: q

Les trois cent mille mineurs fran- li çais sont certes intéressants, mais le e chômage partiel que subissent de- j, puis des mois les quatre millions d'ouvriers des industries textiles, mé- talîurgiques, de la chaussure, etc., est é tout aussi digne d'intérêt. p Toute politique qui tend à main- 1 tenir le charbon cher est anti-écono- k mique et, par là-même, dangereuse c et condamnable. 1 Nous serons du reste bientôt fixés J sur les nouveaux prix appliqués par les mines pour le trimestre juillet- 1 août-septembre, j Rappelons que les mines de la r Sarre chôment un jour complet par semaine et que la crise sévit avec en- i core' plus, d'intensité en Angleterre; t t en Allemagne et en Belgique. f Baisse des prix des fontes j La métallurgie attend une baisse 2 des prix des cokes. F Pour cette raison, les producteurs de fontes phosphoreuses ont décidé 4 de'maintenir jusqu'à nouvel ordre le 3 prix de 400 pour la P. L. n° 3. 3 Par contre, devant la concurrence a étrangère et plus particulièrement s anglaise et scandinave, les usines fa- r bricant des fontes hématites et fon- ] tes spéciales ont dû de nouveau bais- 1 ser leurs prix.

JÇn fontes hématites une réduction 5 1 da 5 à ljt a été appliquée avec effet J raroactftt, partir du 15 juin. On l -cote Moulage, 585 à 635; affinage, 560 à 610, suivant régions. 1: En spregel la baisse est de 15 s francs par tonne,: soit 760 francs pour 1 le 10/12 Mn., et 965 pour le 18/20 T Mn., franco destination. En aciers, aucun changement ap- t préciable, tendance faible. Les prix sont ceux indiqués par nous la se- C maine dernière. a A signaler la hausse du fil machi- d ne, conséquence de l'entente qui vient d'être signée entre les princi- c paux producteurs des divers pays. j Le Congrès des carburants 3 9 Nous avons tenté d'esquisser, dans F notre dernière Revue des Marchés, f la question des carburants et son importance pour notre industrie au- j, tomobile. ti Un Congrès des carburants vient d'avoir lieu à Montpellier où des c communications du plus grand inté- 1 rêt sur cet important problème ont été exposées et discutées.

On a particulièrement insisté sur la nécessité d'une politique nationale des carburants et, entre autres, sur l'absurdité d'un régime fiscal qui frappe certains mélanges où entrent des carburants nationaux, de droits supérieurs aux taxes appliquées aux carburants d'importation

étrangère.

Les chiffres fournis au Congrès ont = confirmé ce que nous laissions prévoir touchant les possibilités très prochaines d'approvisionnements en carburants français comme Je benzol, l'alcool ethylique. On a parlé d'une production annuelle de 100.000 tonnes de benzol et de 100.000 tonnes d'alcool ethylique..

A ce propos, M. Kimpflin a très justement dénoncé la pratique déplorable du goudronnage des routes au goudron brut au lieu de goudron épuré qui se chiffre par une perte annuelle de 2.000 tonnes de benzol, de 8.000 tonnes de naphtaline et de 1.000 tonnes de phénols « tous produits, a-t-il dit, qui seraient beau-

coup plus utiles comme carburants de moteurs ou comme matières premières pour les vernis que sur les pneumatiques des roues et les carrosseries des voitures ».

Il y a donc, de ce côté, encore beaucoup à faire.

.̃>

Marchés commerciaux Métaux précieux. Paris, 23 juin. Cours d'achat au kilog. Or 16.550; argent 470; platine 46.000.

Métaux bruts. Londres, 22 juin. Par tonne de 1.016 kg., en livres, shiïl. et pence. Cuivre cpt., 53 15/7; à 3 mois, 54 8/1; électro, 59 15/ à 60; Etain cpt., 298 12/6; à 3 mois, 286 7/0; anglais, 295 10/; Plomb cpt., 24 5/; à terme, 24 10/; Zinc cpt., 28 8/9; à 3 mois, 28 6/3; Antimoine Régulus, 74 10/ à 75; Mercure 20 7/6, à 20 12/6 par bout. de 75 lbs..

Blés. Paris, 23 juia. -r- Base de liquidation, 177; cour, J71 et 171,25; juil-

let, 165,50 et 165.25; juillet-août, 162,75

et 163; 4 dern., 160.

Chicago, 22 juin. En cents par bushel. Juillet, 145 1/4; sept., 142 3/4. New-York, 22 juin Blés roux d'hiver durs, disp., 163 1/8 cents par bl. Avoines. Paris, 23 juin. Noires. Base de liquid., 131; cour., 128,50; juillet 126; juillet-août, 121; 4 derp. 111,50 k 112. Diverses. Base de liquid, 128; cour., 128 N; juillet, 124 N; juillet-août, 119 N; 4 dern., 110 N.

Chicago, 22 juin. En cents par bl. Juillet, 48 1/4; sept, 48.

Farines. Paris, 23 juin. Base de liquid., 241; cour., 224; juillet, 232 N; juillet-août, 232 N; 4 dern, 220. Farines de consommation, 245.

Sucres. Paris, 23 juin. Cour., 246 et 246,50; juillet, 248 et 248,50; août, 250 et 250,50 sept., 250,50 et 250 3 d'octobre, 232; 3 de nov., 232 à 233. Cote officielle 246 k 247.

New-York, 22 juin. En cents par 100 lbs. Juillet, 268; août, 274; sept., 279; déc, 288; janv., 281; mars, 271; mai, 278. Centrifuge Cuba, prompte livraison, 458 V.

Cafés. –r Le Havre, 23 juin. Cour., 414,75; juillet, 410,25; août, 405,75; sept., 397,75; oct, 395,25; nov., 393,25; déc, 388; janv., 385; fév., 382; mars, 380; avril, 377,25; mai, 374,25. Ventes 1.750 sacs. New- York, 22 juin. En cents par Ib. Disp, 14 3/4; juillet, 12,66;, sept, 12,03; déc.. 11,79; janv., 11,65; mars, 11,53; mai, 11,35.

Cotons. i?j- "Xé Havre, 23 juin. Cour., 550; juillet,- 548; août, 549; sept., 552; oct., 557; %oy, 558; déc, 561; janv, 563; fév, 564 ni&rs, 568 avril, 569 'mai, 570. Ventes 450 balles.

New-York, 22 juin. Eh cents par lb. Disp, 16,95.; cour., 16,67; juil., 16,70; sept., 17,02; oct., 17,07; déc., 17,29 à 17,30; janv, 17,34 à 17,35; mars, 17,54; mai, 17,63 à 17,64.

Laines. Le Havre, 23 juin. Cour., 1.7,00; juillet à octobre, 1.700; autres termes, incotés.

Alcools libres. Paris, 23 juin. Cour., 1.310 à 1.330; juillet, 1.325 à 1.335; août, 1.325 à 1.355; sept., 1.175 V; 3 d'oct., 910.

Huiles de lin et de colza. Incotées. Caoutchoucs. Paris, 23 juin. Cour.j 20,90 à 21,25; juillet, 20,95; 3 de juillet, 21 à 21,15; août, 21,05 à 21,253 d'oct, 21,50 à 21,70.; nov., 21,50 à 21 90 3 de janv, 22 à 22,50; fév., 22 à 22,75. Londres, 22 juin. En pence par lb. Plantation, 17 1/8; Para, 16; fumé feuilles, 17 1/8.

Riz. Paris, 23 juin. Cour, 195 N juillet, 195 N; juillet-août, 195 N; nutres termes, 190 N.

Brisures de riz. Paris, 23 juin. Cour., 165 N; juillet, 165 N; juillet-août, 165 N; autres termes, incotés.

SETJLES

les femmes élégantes sont o u deviennent les élèves de

VERSÏGNY

Marc Nody.

Sports et Villégiatures Est-il plaisir plus agréable, lorsque a sonne l'heure des villégiatures, que de fuir eh auto le long des routes parcourir la France par petites étapes, en s'arrêtant où l'on veut, au gré de son. caprice, dans les villes et les villages? C'est une vie de nomades, les roulottes étant remplacées par des quarânte-chevaùx 1 Et quel raffinement dans le confortable 1 Je ne sais pas de manteaux plus chrcs, plus pratiques, que ceux de Georges, en lainage uni ou de fantaisie. Ils protègent les délicieuses petites robes de crêpe de Chine qu'il vient de créer uniquement pour les villégiatures, et dont le succès

est des plus vifs, ces robes qui vous permettent d'arriver fraîches et jolies à destination, comme si l'on sortait de chez soi. Le grand charme de ces robes vient surtout de leur extrême simplicité. Quelques-unes s'accompagnent de sweaters charmants, ces sweaters que toutes ,les joueuses de tennis et de golf, que toutes les ferventes du yachting et des ascensions en montagne vont demander à Georges avec ses différentes ceintures appropriées à ces différents sports. Le secret d'«être chic, souple, ondoyante, c'est-à-dire d'être bien femme, c'est d'adopter ses ceintures. Je l'ai dit. Si j'y reviens, c'est qu'il n'y a pas de ceintures capables, en dehors de celles-là, pour donner le cachet de la ligne actuelle sans nuire à la santé. La santé. La met-on assez en avant pour contrarier nos coquetteries ? Cette fois, pas moyen. La Faculté a donné son visa, comme pour la ceinture amaigrissante de Georges qui, supprimant tout embonpoint, se trouve plus que jamais d'actualité au moment où nos robes exigent tant de finesse, demandent tant d'allongement dans la ligne. Certaines grandes artistes en ont d'ailleurs consacré les mérites. Elle est particulièrement aimée des cantatrices, qui ne sauraient en porter d'autres; en un mot, de' toutes les femmes élégantes, qui né craignent rien tant pour la. minceur de Jeîjîr silhouette que le laisser- aller, des villégiatures et l'appétit que donne le grand air.

Aussi, avant l'heure des départs, ferat-on bien d'aller :chez Georges, où les femmes seront encore heureuses de trouver des blouses et des lingeries qui a elles seules, vaudraient la visite. ̃

Rosine. '̃>

F. Georges, 35 et 87, boulevard âei Capucines.

RESTAURAJVJ^^fJ^i 2Tuv,VictvrNu o 'q

vARis

ET01 ~,andsVins;= K\||^rCUISINE RÉPUTÉE.:?


P CALEPIN Prévôt, la modiste en vogue de la tue Saint-Honoré, préparant sa collection d'hiver, 'solde actuellement tous ses modèles; chapeaux partir de 8o francs.

Prévôt; 346, rue Samt-Ugnorl (près Ja place, .Vendôme).

•Avant de partir en vacances, allez voii; les derniers modèles de sport de Marie lodko, 10, rue Caumartin. Vous y trouverez de charmants « ensembles » adaptés à tous les sports que vous pratiquez, au prix les plus raisonnables,

A quoi reconnaît-on la femme vraiment élégante ? Au parfum qui émane' d'elle j; Wrvana,' ^oûntàla, Bouquet Bichara; à ses yeux, chargés, d'une langueur spifi» tueùe-par le-Cillana et le Mokoheul. ^Bichara, parfumeur syrien, 10, Chaussée

d'Antin.

Vous avez désespéré, Mesdames, t're trôîtver des rubans de crêpe de Chine dont le grain ne s'altérât point au bout de quelque temps d'usage. C'est que vous n'avez pas encore utilisé les plus ravissants qui soient ceux des 3 Pommes de Pin, que la maison Calemard a créés spécialement pour pouvoir être lavés sans inconvénients.

c. a

.s:hcr ̃̃<•̃•{ jop. ;• ^Mm 4- :• f /Urstit-tpa ifr rt-i>VVf .rtfhn •-> T

? i f R ÂVERS3Î.E MONDE-

Ces jours derniers, Mme Suzanne De- voyodj sociétaire de la Comédie-Française, avait organisé un gala artistique pour l'œuvre des Enfants du Spectacle. Un charmant acte de notre regretté confrère, Georges de Buysieulx, commença le spectacle. il fut interprété avec beaucoup de talent par la comtesse de Forges, des c Tréteaux Mondains », qui avait revêtu pour la circonstance une robe de crêpe Géorgette blanc mat, toute droite et dont la jupe était formée de volants en forme donnant un peu d'ampleur. Mme S. De'voyod, qu'on applaudit ensuite dans des adaptations symphoniques, avait une robe de fine dentelle noire, posée sur un fond ` de satin pétale de rose; Mme Mary Marquet, de la Comédie-Française, était aussi en noir, dentelle fine et satin.

Lès fêtes de plein air, ce mois-ci, sont nombreuses: Il y eut mardi celle des Gui- des, organisée avec le concours de VEtrier, çt donnée à Saint-Germain. Mercredi, la ;•*

^LÊ.PARPUM MAX" tA DERNIERS < ÉLÉGANCE PELA FEMME CHIC

Grande Course de Haies qui est toujours, par son intimité, une des plus agréables de la grande semaine aujourd'hui, celle des Drags, hélas de moins en moins nombreux et que peut-être on va voir pour la dernière fois. Ensuite, on se rendra dans le beau jardin de l'avenue Gabriel où la marquise de Crewe reçoit. Dimanche, le Grand Prix terminera. la saison des courses. Samedi prochain, le baron et la baronne Fouquier ont convié leurs amis à une garden-party dans leur jolie résii dence de Ricquebourg. Le dimanche 3 juiU let, le Grand Prix de,Saint-Cloud réunira les fidèles habituées des réunions sportives, et cela sera une réunion charmante, car elle affecte des airs de campagne, qui en sont un des attraits. Enfin, quelques jours après, le comte Robert de Clermont-'Tonnerre, ce grand ami des Arts et des Lettres, réunira ses amis dans le joli théâtre de sa folie, de Maisons-Laffitte, comme on disait au dix-huitième siècle.

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COURRIER DES THÉÂTRES

LES PREMIERES.THEATRE DES CHAMPS-ELYSÉES. (Festival intcrna'.ional du Théâtre) Jeanne 'd'Arc, de M. Bernard Shaw.

< Miss Sybil Thorndike, l'une des 'plus grandes artistes d'Angleterre, vient de jouer, au théâtre des Champs-Elysées, au cours des représenta lions organisées pour le festival international du théâtre, la Jeanne d'Arc de M. Bernard Shaw. ̃ Quand cet ouvrage fut représenté sur la scène du théâtre des Arts, Mme Ludmilla Pitoeff jouait le rôle de Jeanne nous en avons rendu compte. 11 ne saurait' donc s.'agir que d'une question d'inter-

prétation. <t

[i: Miss Sybil Thorndike nous ̃présente un personnage d'une conception toute nouvelle. La Jeanne d'Arc de Mme Ludmilla PitoefT était une mystique celle de miss/ Svbil Thorndike trouve son inspiration dans sa seule intelligence et sa seule vplonté. La première semblait se détacher d'un vitrail; la seconde demeure constamment dans, réalité. Elle porte l'armure avec la simplicité d'un homme d'armes.

11 est malaisé de savoir, car sa pensée se masque d'ironie, quel était le dessein précis de M. Bernard Shaw et quelle Jeanne d'Arc il eût préféré, mais nous avons longuement applaudi miss Sybil Thorndike, dont. l'autorité, la sincérité,

][TEË~RESY

̃HHOHrai c'est ̃̃̃̃̃̃̃

CE SOIR

que M. Léon VOLTERRA présentera

nflARiGNY

en

GRANDE PREMIÈRE ANDRÉ BAUGE de l'Opéra-Comiquef -1»" v

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1 -•̃ dans ̃̃ •̃ ̃" ̃•

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«RCHESTRE de 40 MUSICIENS sous la direction de

PAUL LSTOMBE

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^̃i 4 dernières mêêê

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FESTIVAL INTERNATIONAL Théâtre des Champs-Elysées DERNIÈRES de

SYBIL THORNDIKE la célèbre tragédienne anglaise

CE SOIR et Dimanche en Matinée MËDÊE, d'Euripide DEMAIN et APRÈS-DEMAIN SOIR SAINTE JEANNE de BERNARD SHAW

L'Opéra Italien GALA UNIQUE organisé par Romolo ZANONI BU Théâtre des Champs-Elysées MARDI 28 JUIN 1927, A 2O H. 30 J9 Sous lo direction du Maestro MELLI LES VÊPRES SICILIENNES, de VERDI

(Première exiculion en France depuis 1870)

AJUE $1 DANZE (1 6' et 1 7°) rfeQUorino RESPIGHI LE MARIAGE SECRET (Ouverture) ÇIMAROSA; 20 LA TRAVIATA (2« acte), avec,

ROBERTO d'ALESSIO GIULIO FREGOSI de la SCALA de MILAN

et

Raymond/ VISCONTI

Feuilleton du « « Figaro du 23 juin 1927 ̃•̃ ?, r w> Sous la Croix du Sud

E:OMAIT

--• « -VU beloping y ou always

̃ yVith a lovethal's true always. »

•̃ '•̃ ̃•" in

Une proposition tentante

te jours, depuis, avaient passé. Elle avait appris, par Paul Tessier, qu'André avait reçu de Paris des demandes de renseignemcnts complémentaires et qu il avaït dû transmettre à la Société des Forges de l'Hérault un compte rendu détaille de ses expériences et des résultats obtenus. Puis, quelques jours avant le bal, Robert Lancelot, au cours d'une partie de tennis, avait dit à 'Paul, sans avoir l'air d'accorder à ses paroles une importance particulière Savez-vous si M. Bernard viendra à soirée des Nielaux-Corville ?. Mon 'oncle y assistera et serait heureux de faire sa connaissance. Lucette, immédiatement prévenue,, s e•lait écriée

Je vous en prie, allez dès ce soir a Poht-à-Mousson 11 faut qu'il vienne! Mais ne mêlez pas Lancelot à l'affaire. Vous savez qu'il en est jaloux; le pauvre André, et

pourtant!

l'émotion dans la dernière partie, donnaient à l'ouvrage un relief particulier.

Elle fut acclamée, au baisser • du rideau. M. G.

̃ Répétitions générales

E.V 'MATINÉE' ̃J* Au- Théâtre Maiugxy, à 2 h. 30, répétition générale de Venise, opérette en trois actes et quatre tableaux, de M. André 'Mouezy-Eon, lyrics de M. Albert AVillcmetz, musique de M. Tiarko Riche-;pin, mise en scène de M. Paul Clerget. -Distribution

MM. André Baugé (Gianctto), Gilbert Moryn (Ali Hamud), Jean Deiss (Màréanlonio), Lafond (Le Tailleur), Jean M'onet (Un matelot), Rauzéna (Un matqjpt), Georges (Le Glacier), Pierrel %(Lc liQliîangcr), Guillet (Le Propriétaire), Vàlettc (Le Luthier), Charles Doux (Le Laitier), Anlony (Le Messager), Raimu' (t-e Xolairro),-etc. ̃ finies Daniclle Bré|is (Stella), Taèlol-: Baugé (Mariettii), J^çe Pierly (Jacomina), Leblanc, dénient, Florelly, etc. (Donzelles)., ;̃̃

Danseuses • Mlles j Maria Ley, Maud Burgane, Kikiro, lçs, 16 ballerines de Marigny. •̃•̃

Vénitiens, deutelljcres, gondoliers, noirs, etc.

En somËB

v*t Au Théâtre SAHAH-BEnNHAnpT, à 8 ly 45, répétition générale de Pour niaricr ma fille, comédie en trois actes, de M. Lucien* Empis et Mme Augustjne Leriche.

Distribution

Mme Augustine Leriche ( Mme Gàillardin), M, André: Dubosc (Le Général de ValmoritviUè), |lAjfenri Monteux (Le Marquis de' Yatmohuille) Mmes Alice Tissot (La Marquise de Philandre), Jeanne DelyS (LàM'arquisc do Valmontville) MM. Hédouin (Gaston de Valmontville), Henri Mairet-(Grattoir), Augereau (L'Abbe Rosette), Garandet (La Perdrix) Mmçs Violaine (Isabelle de Valmonlville), .Marcelle Bailly (Mme de Gérollin), Betty (Stéphanie de Philandre) Silva (Blanche de Chaville), L. Fernier (Anna), Desfond (Suzanne d'As-

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Cinéma- Madeleine

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2 h. 30– 8 h. 30 ̃̃̃̃

A quoi. le jeiine homme avait répondu _Soyç? sans inquiétude, il viendra!-

,9rffjlqtl TT.

Maintenant, elle le cherchait dans ia cohue bruvante qui encombrait l'hôtel des' Niclaux-Corville. Les plus beaux échantillons de la production des verreries de Malzéville décoraient les salons et le hall-: lustres de verre coulé aux teintes opalines 's qui diffusaient, de leurs branches rayonnantes, une lumière adoucie sur les décolletés, les robes pailletées, les diamants et les perles dont se paraient ce^soir les belles invitées du maître nancéen, h-iuts vases gravés éclairés par une ampoule intérieure qui en faisait ressortir les coloris délicats, vasques profondes, aux reflets glauques, supportées par de grands trépieds de fer forgé. Dominant le grand escalier, une suite de vpiji^rès reproduisait, en teintes plates, la façon des vitraux moVienâgeux, ,la légende de saint Nicolas. •<•• .,<.̃ > Le. tout-Nancy élégant^ l'aristocratie industrielle des Marches de Lorraine, évoluaient dans les salons dont l'ameublement moderne, choisi .avec un; goût raffiné qui en excluait toute outrance et toute fausse note, ©harmait, «dès l'entrée, le regard blasé des perpétuelles bergères, du Louis XV ou de l'Empiré. De l'amalgame des habits noirs et des toilettes '.chatoyantes, surgissaient>çà et là quelques têtes caractéristiques^ quelques silhouettes connues que l'on se désignait au passage. L'entrée de Mine de Wurren, qui portait son célèbre collier de perles long comme un sautoir, fit sensation. Les jeunes filles se haussaient 'sûr la pointe des pieds pour entrevoir le mervei lieu» joyaux dont l'eslimation.-plusieurs millions, (iisaii-on1. se chuchotait de groupe en groupe. On se montrait aussi Alexandre Stauffcl, le brasseur, qui avait épousé,'

nières), Deberty (Mme de GeroUiii) MM. Ginet (Casimir), Jaurey (Dafloubert) et Mme Germaine Risse (Germaine Gaillardin). ,=.;̃

Première représentation :• ̃it Au THÉÂTRE Maricnv, à 8 h. 30, grande première de Venise, opérette en trois actes et quatre tableaux, de M. André Mouezy-Eoif," lyrics de M. Albert VVillemctz, musique de M. Tiarko Richepin, mise en scène de M, Paul Clerget. Représentation de gala:

<£5 A I.A GoMÉPIE DES ChAMPStElYSÉES, à 8 h. 45 (festival international), représentation de Le Masque (drame japonais), de MM. Albert Keim et Albert Maybon, tiré du drame japonais de M. Kido Okamato.

Ce soir

A.i.'OrÉRA,.à;8 \i? 30, La, Xu'it: en-

'.sofielée (Mme Anna .^lohnsson, '.31. A. AV'cline). Qrch. M. Gabriel ^Srovlez. Le Coq 'd'Or '(Mme Ritter- Ciampi, MM. .HulJOrtjvEd. Hambaud, Grommen; Mmes Dubois-Lauger, Marilliet, Guyard. Danse Mmes Giro, Salomon). Orch. M. Nicolas Tchcrepnine. <*t A LA Comédie-Française, à 5 h> 15, (Cycle romantique), Lorcnzaceio (MM. Alexandre, Denis d'Inès, Desjardjns.R. Monteaux, J. Hervé, A. Luguct, P. Numa, Lafon, J. Guilljènc, P. Gerbault, Dorival, Drain, Ledoux, Rognoni, P. Bertin, A. Bacqué, J. Weber, Chambreuil, Yonnel, de Rigoult, Donneaud, M. Le Marchand Mmes M.-Th. Piérat, S. Devoyod, G. Robinne, Yv. Ducos, M. Renaud, T. Navar, J. Sully, T. Fédor, M. Romée, Lherbay, Roussel). <5î A l'Opéra-Comique, à. S heures, soirée gala, Pelléas et Jlfélisaride (Mmes Mary Garden, Mathildé Calvfet, Gaulcy MM. Roger Bourdin, Dufraniie, Vieuille, Dupré). Orch. M. Albert Wolff. J* A L'ODÉON, à 8 h. 30. Le Bonlièur du Jour, (M. Maurice de Féraudy, MM. Charpiri, P. Morin, Cailloux Mmes Gh. Clasis, J. Verneuil, L. Giron, D. Mohy). Jt Aux VARIÉTÉS; à 8 h. 45, Mademoi- selle Flûte (A. Lefaur, Maud Loty, Pauley, J. Loury, G. Baron et Louvigny). «jt Au GYMNASE, à 8'- h. 45, Le'Venin pièce en 3 actes, de M. Henry Bérhstein (Mmes Yvonne de Bray, Gaby Morlay, Yolande Laffon MM. Charles Boyer et Marcel André).

<it A LA PORTE-SAINT-MARTIN, à 8 h. 15, Cyrano de Bergerac (Mme Jeanne Boitel, MM. Jacques Grétillat, Joffre).

J* AKtfATBÉNÉE, à® 'h; i*5; MattrtBtit' bec et, son mari (M.,ii\}cîen,.Rozenbarg, Mlles Renép Ludger, Renée, Ry^or, N.ir rianj Darfe avec MAf.. Pjerre' Stjjpb'gp: et

Arnàudy)..

<5t A la; Gaité-Lyrique, à 8, h. 30, La Marraine de l'escouade (Mmes Dhamarys, H. Gérard, A. Castelain, J. Boyer; MM. Nabos, Izar, Détours, avec R. AIlard et H. Jullien).

<£ Au THEATRE DE PARIS, à 8 h. 30, Tu m'épouseras (Mmés,Elvire Pqpesco, Paule Andral, Tatiana, Reine Déssort MM. Louis Verneuil, G. Tréville, P. Noyelle, J. Sky, Ch. Bernard et M. S. Fabre).

•£ Au, Théathe Antoine (direction intérimaire Northberg),. à • 8 h; 30, Les Montparnos (Mlle Suzanne Revonne, MM. Bolla Norman, Callamaud, Lesieur, Ravenne, Mme Rito et Mlle Fernande Cabanel. La danseuse Emmy Magliani). iSt Au PALAIS-RoYAL, à 8 h. 45, On ne roule pas Antoinette (MM. Albert Bras*, seur, Le Gallo, Duvallès, Géo Leclercq, Lluis Mmes Marg. Templey, Alice Cocéa. Marg. Peuget). Jt Aux Bouffes-Parisiens, à 8 h. 45, itfon cceur au ralenti (Mmes Germaine Dermoz, Blanche Bilbao, Alice Beylat, Gaby Benda MM. Jean Worins, Henri Beaulieu, L. Baroux, Gabin et Koval). <ât A LA RENAISSANCE, à 8- h. 30, Monsieur de Saint-Obin (M. Jules Berry et Mlle ̃ Suzy '̃̃ Prim » MM. Pierre Juvenet,. H. Richard Mlles Yv. Lyantis, Rialto et M. Bélières).

dt Au THEATRE DE LA Michodière, à 8 h. 45, Les Vignes du Seigneur (MM. Vigtçu; Boucher, Alerme, Serge Nada,ud Mmes Jeanne Cheirel, Renée LTevillers, Suzanne Dantès, Jeanne Lion).. 1

'-̃ a* jHÉATRB,EDpyARD-VII, à 9 h, 15 5~~

WsTtëf comédie de'. "M." ^âefia. GiRiffr

avec Mlle Yvonne Printemps, MM. Louis

Gauthier, H. Trévoux, Mlles Alys "-Delonde, Betty Daussmond, P. Carton et M. Sacha Guitry). `

<5C Au GRAND-GUIGNOL, à 8 h. 45, La Prison- du vice, L'Homme delà nuit, Le Passé d'Aurélie, Nounouche,; (Matinées sain. dim. et fêtes.)

J{ Aux CAPUCINES, à 9 heures, L'Hirbe tendre (M. Henri Crémieux, Mlle Arnoux) à 9 h. 30, Mesdames (Mlles: F.: Alfeany, J. Merrey, Pascaline, et Marg. Ducouret MM. Deschamps, Hiéronimus, Defrenne et H., Crémieux).

^5 Au THEATRE DES Nouveautés, à 8 h. 45, Un bon Garçon, opérette (Mmes Renée Duler, Davia et Reiijé Leblanc et MM. Milton. Urban, Gildes, Robert Ancelin, Sérgy, Champell, Numès fils). Au Théâtre-Michel, à 9 heures, Le Dompteur, de M. A. Savoir, d'après M. Jacques Théry (Mlle Spinelly, MM. Dcbucoux't et Alcover).

Jt Au Théatrb Mogadoh, à 8 h. 30, Rose-Marie (MM. Boucot. Burnier Mlles Cloé Vidiane et Flore George, en alternance June Roberts, Cecilia Navarre et M. Félix Oudard).

Jt A la Comédie-Caumartin, à 9 heures, JÎ,e Singe qui parle (M. Signoret, Mmes Lucienne Panzet, Marg. Moréno, M.-A. Morins, Lily Mounet, avec MM. Raoul Marco et Lerner). Jt Au Théâtre JJaunou, à 9 heures, Fannjj et. ses gens (Mmes Jane Renôuardt, tBerthe Fusier et Jeanne Fusier-Gir MM. Constant Rénry, F. Gravey, JL. Dayle et Paul Amiot). > .vJt--A LA PoTiNiÈRE, à 9 heÛTes, 'Kett'g Boxeur (Mmes Mary Mâflbôs, "E?'fd'e Creus, S. Dehelly MM. Gâbaroche, Asselin et Darmant).

JJ A l'Avenue, à 8 h. 30,' Mon gosse de père (MM. Mauloy, R. Tréville, P. Ichac, Loche, Ferdy, Lamour Mmes S. Dulac, S. Berni, L. Hayward, S. Miguel). Jt'A-U SCALA, à 8 h. 45, lia Petite grue du cinquième (Mlles Parisys, Lise Puget, Henriette Darthel, Suzanne Real;

à soixante ans, une jeune veuve n'ayant pas atteint la trentaine, coquette et provocante, qui entraînait dafts soh sillage une cour pressée d'adorateurs le premieTi président Chauvet-La,tour, au facies ascéti-! que, flanqué de sa femme, rebondie, s'éventant sans cesse, et de sa fille t,ydia, long squelette au regard hargneux derrière un lorgnon à chaînette d'or, et dont le petit chignon, la robe à traîne, et les souliers plats semblaient provenir de quelque exposition rétrospective. -> '«. A l'entrée du prerhier Tsalon, Mme Ni- claux-Corville recevait -ses invités. La flgûî re jeune, malgré sa chevelure d'argfent.dont elle entretenait par coquetterie la blanc cheur immaculée, elle avait le visage délicatement modelé d'une marquise xvtiif- siècle, ressemblance qu'elle accusait éiircore par une mouche posée au çqin de l.'œil gauche. Sa robe de crêpe rioir; brtMéê'* de perles de cnîstal tiiïi la: paràieWdé' flets étlncelântsj, semblait sortir, elle aUs^|f" ` des fours du maître verrier. ,-tiiî-iji(9j«ie^,j ses côtés, accueillait chaque arrivant avAcu un mot aimable, baisant la main des danies avec l'aisance d'un jeune homme. Son masque énergique d'empereur romain s'évadait d'un faux-col largement évasé que la cravate de la/ Lésion d'honneur ceinturait d'écàrlate. ?;

Lueette venait à peine de s'incliner de* vant la maîtresse demàison qu'elle se sentit, sans façons, prise. par le bras. Marthe Schwàrtz l'entraînait dans l'embrasure d'une fenêtre.:

Gisèle est avec Paul. André n'arrivera qu'assez tard,' car Je directeur des. Forges, qu'il accompagne, ne peut quitter Pont-à-"Mousson, qu'à dix heures. Mais Robert Lancelot est là depuis un moment avec un vieux monsieur qui doit être son oncle. J'accompagne Marthe dans-le bail, dit

MM. Sinoel, Charles Lorrain et Robert Bossis). S Au TniANON-LyniQ--E, à 8 h." 30, Monsieur Buniqllet (Mjles Soijia Alny, Duman, Verge, Lorys MM. Cardon, Mazzanti, Dçrrpja» Maiizoni, Weber, Hudson, Rouanjo).

;.̃ .;• ̃ l£: Arts, à 8'liëurës", 'Le ~Miiad.ç, [fie saint Antoine,- Le Marchand de r<é$r&ts,\ L'Indigent Dèj'àzet, à,!8 h. 30, J': marie ma femme Dix heures; à 9 heures, Déboulçnnons-nous, frevue Féniina; relâché Nouvel^ Ambigu, a 8 h-f ̃̃'43?-Lar Garçonne Madelejney-relâche,; CEirvrè, à 8 h. 45, Le Canard sciuuage. Studio dés Champs-Elysées, â*»'hcure,s, Maya;; Théâtre de la Barrière, à 8 h. 30, Animal triste, Le Bout', en train ^Théâtre des Champs-Elysées, 4,8 h. ""15,' Médée.

NOTES^ ET INFORMATIONS

ÇoMÉDiËTFkANÇA^Sfl.j– ta dernière mati. née classique du je^jdi. eu lieu jeudi 23; avec le Misattthrapc^^ les Trouvailles de Çqllns-r- Pour les futures matinées données le jeudi, "toutes les places seront à la disposition du public3au:.tàrif idcsTinatinéest clas^

siqùcs." ̃̃j- ̃

Demaii) samedi, ,Cbntinuatï6ri 'des spectâçlesî dû Cycle Roiparitique 'âve.c Louison, d'Alfred de Musse.t.; ̃.? Les Trouvailles te Gallus (Margarita),, .de* Victor Hugo, et A quoi rêvent les, jeunes filles, d'Alfred de Musset.

Dimanche, matinée (spectacle classique), Tartuffe et les Précieuses Ridicules le soir (Cycle Romantique) Lorenzaccio.

OpÉRA-CoMiQUE.fc Dimanche, en Soirée,, Mme Mary Garden ùantttsc^Résurrection, l'œuvre de Franco Alfano^dailsb laquelle elle à remporté un, succès triomphal, pour la' dernière fois de 'là saison. Elle aura pour partenaire? le' ténor René Maison et José Beckmàns qui ont créé" Résurrection à ses côtés. C'est M. Horanzoni qui dirP gera l'orchestre.- y,r ̃_̃ •̃ •̃

En dehors de Résurrection, Mme Mary (Jarden ne donnera plus que deux représentations à TÔpéra-Comique, avant son départ en vacances." Elle châjitera en soirée de.gala, Pelléaset Mélisande, le chefd'oeuvrt "3e Claudd'pebussy, ce soir vendredi et mercredi ^ochain 29 juin. _i< Avant de .qiiîttef, "Paris, ,1e .tçnor^'Kenç; Maison, fluj 'a obtepu un .succès CQn'sjîîer; 71 rable'>daîl9\sa çiéatioxn, de,. DimiW, ,deKaR5&-y surrection, chanteràiuBerseulDafbi&iîleiïnaÉ-i di 28 juin, le rôle de Mario dans la Tosca.

|* ^r; Siâï;n, 't wiV> "\tjitf^i

VARIÉTÉS. La?;^jPiture s annuelle des Variétés aura lieu .dimanche.MademqiseUp, Flûte, le 'très gros succès de rire àc^MMf Georges Bèrr et J.q.i}^; Verneuil, sera naturellement repris à. la réouverture avec tous .les artistes de' la création. •Ce soir et demain, dernièrék' représentations 'de la saison 'dé Mademoiselle Flûte, 1 avec M. André Lèf àjir,' Mlle Maud Loty, M! Pauley, Mmes. Jeanne Loury, Germai-, ne Baron, MM. Lapjuey, Gallet, etc., et M.' Louvigny. i K

Gymnase. Ciriç|jîérnières représenta-

tions du Venin. '>.

L'œuvre triomphale de M. Henry Berristein ne sera, plus' .jouée cette saison que jusqu'à lundi prochain, inclus.

Le Venin garde' "jusqu'au dernier' jourses merveilleux interprètes Mmes Yvonne de Bray, Gaby Mqrlày, Yolande Lîâffon MM. Charles; Boyer, Marcel-André,, Le sS, clôture d'été. ̃ '•. ;• Réouverture, le S 'septiembre, ayec Le Venin, et tous ses créateurSi ;i'.

Au Théâtre des Çli|nips-Elysées, le mar-. di 28 juin, en soirée, aura lieu' "un gala unique de l'Opéra, ifeh'én. Le programme comprend une partie» ide concert, sous la direction dû- maèstro^MelU, au c%,qâ,4à.,î,. quel sera exécuté fjSiir 'ià'lremiêre^iois, en France; depuis1 V&ï$i%<es Vêpres Siciliennes, deiVardi, et drieiW Muze, idc''L:ètfo-rmb' Respighi, ainsi que Le Maciage Secret (ouverture), -4v Gima«(StR La^rtie de "chant

comprend-le a~t~de ,<i:. &a!)tnta; jqni

coniprend^-le aet^à^La:. Xtaviata' jxpaï

sera chanté par les célèbres artistes de la ,Sçala de Milan,. Roberto d'Alesso et Giulio .Eiegosi, avec Mlle Kaymonde Vi^conti, |e 51î)péra, qui interprétera enJ outre" la Mort

vmsèuit. 'l~_y_- ̃̃"̃ '• •'•

Théâtre. Mogadoe:- ̃• La. célèbre opé^rette Rose-Marie, "-v<Jtti triomphe tous les soirs, sera donnée <"en matinée, après-de-' main dimanche, ;àpjj.fc. 30, 'avec tous les, artistes de la créadbh. n. 11

·. ~e"d.~ t~

Théâtre dss Arts. Aujourd'hui et tous les jours, à >$ 'heures; Le ̃ Miracle de saint Antoine, de'; M. Maeterlinck, Le Marchand de Regrfits,. de M. CrommeIynck,, musique de Mme C.-P. Simon, pièce dans laquelle. Mme Pitoeff fait ses débuts dans l'art lyrique aux côtés de Mme M. Bériza et de* Mf1 Georges Petit. On commencera par &7n<fjgent, de 'M. Ch. Vildrac.

D'Ajx-i,es-Bains/ .+;- Nous apprenons que c'est M. MjchelÈtti," le ténor bien connu de l'Opéra-Comique; qui a éfé engagé pour chanter, le is juillet'? au théâtre"du grand cercle, le Mario -:m|^fâ4osà,La tàsçà, avec' Mme Claudia. V'itrix.

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.Lin- ,i .f-f^? -•«̃ t"-tlflii^l Uli'-tfh

Réunions, Cours et Conférences

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Aulpurd'hul "i,.f

« L'Ame religieuse de l'Egypte », par M.,Mainage, à h.15, rued'Assas, 19. '.̃/•^ « Vie et'l'osuvre de Léon Toljstoï, par Mme Tatiana Souklïoline-Tolstbï, a 9 h., rue Serpente, 28. '?.

Lucette à sa mpre qui, s'était assise dans un' groupe «pérorait Mme d'Arréville. Bien. Ne danse pas trop et ne prends pas de glacés au buffet si tu as chaud Non, marnant.

Mais jdçjà f^Iarthe l'emmenait à travers,

les Salons/ O;.?

En passant,- elle aperçut M.' Bruriet en grande conversation dans un groupe. d'industriels parmi lesquels elle reconnut M. ,de Wiirren et ;lç directeur de "la Société d'électricité5 de1 wombasle. 11 ne la vit pas et elle n'osa pas le déranger.

̃ Je lui présenterai André tout l'heu-' re, pensa-t-ellc.: ̃ Mais elle étaitj; dès à présent, anxieuse de savoir ce qui "résulterait de l'entretien ̃^qu'allait avoir'sson fiancé avec cet homme qui détenait pour' l'instant la clef de

S9J avenir. =

.^T^e ryihni.e. épjleptiijue d'un charleston ;lneurlrissaîf les échos de la haute 'vioùté. quand les deux jeunes) filles parvinrent ;dains la longue' galerie ti'ansformée'éiî'sallë de bal. Le buffet était liistâlré'dans le hall' décoré de plantes vertes et de 'buissons de chrysanthèmes isolant les petites tables ,où les flirts ébauchés pendant la danse, pouvaient s'épanouir à l'aise. L'orchestre était dissimulé' daps une loggia qui domi-r jiail la- galerie; etf d'où émergeait 'par instants la grosse pipe de cuivre d'un sàxo.phone se penchant par-dessus la balustrade. L'affluence était telle que les danseurs, pressés lés uns contre les autres, -progrès-' saient' à grand'peine, rejetés d'un bout à l'autre de la salle comme par le remous d'une lente marée. Lucette et son amie se réfugièrent sur le, premier palier du grand escalier dc;- pierre qui menait à l'étage où étaient installés les vestiaires. Accoudées à la rampe de fer forgé, elles pouvaient, de lài-«u son du jazz, surveiller les arrivants

Spectacles et Concerts Aujourd'hui ['

Même spectacle que le soir S

A l'Olympia. (2 h. 30).

Ce solg

'-̃jf Aux Foljes-Beloère, à 8 h. 30,' Un Vent de Folie, hyper-revue de M. L. Lemarchand, avec Joséphine Baker, Fowlër et Tamara, Jack Stanford, René Riideau et Nicolska.

-'jï Au Casino DE Paris, ce soir, à S h. 30, Paris-Neffi-York, (les Dolly •Sisters, Hal Sherman, les Lilliputiens, miss Florence, Pasquali, Zoïga et rach/el,j et Gerlys et Lysia).

'-i* AU MOULIN-ROUGE MUSIC-HALL à 8 li. 30, la grande revue Ça. c'est Paris (Mistinguett, Randall, Earl Leslie, Ce'bron-Nbrjjens, Marthe Berthy, Yvonne Legeay, le ÇparU's 1>allet, les 40 Jackson Glrls et léstliancasftire lads}.. :̃'̃̃ ,& Au PALACE, à ft'h. 30, femmes et

Sports, nb'uvelle revue à farànd speçta--

cle avec Georges ÇàtpentieSi- '̃'••' .Ht 'A l'Empire JkWsic-HALi. GibqoeV Voulez-vous être star de cinéma avec Carjol, A, Loyal, Ouvrard, Chariot 2Q attractions.

is* A l'Aeollo, à 8 h. 30, Mary et son mari (M. Géo Burey, Mmes Sim Viva, G: de Reville MM. Bever, Daurày, iLittle Willy, etc., le danseur J. Piddock, les danseuses Iris Whyte et Moyle, et trente girls de l'Hippodrome de Londres).

-jt CHEZ FURSY ET MAURICET (Moulin de la Chanson), à '9 heures, Chez Raymond tout est bon, revue d'André Dahl, et ,tqurs de chant nouveaux. bis, rue de

1 îâ*; A l'ÇEil de Paris (4 bis, rue de l'Etoile, avenue Wagram tél. Carnot 36-8.2), à 9 heures,' Rosse. mais ris l (Marie Dubas, Renée d'Yd et Maurice Peggi Jules Moy et les chansonniers Romeo Caries, Jean Vorcet, Duric).

COURRIER MUSICAL

Ce soir

À la Salle Gaveaù, unique concert Arthur Rubinstêin, Paul Kochanski.

A. Cortot, J. Thibaud, P. Casals doninerbnt deux séances 'de trios les mardi 28 idteàmdi m.Sfi sqisée, à l'Q{>.4ra. Billets tde'dôi à tôo. "irancs,; à M'Opéra, chez Dul&ridï'IDandelcin KwSgew et .Dèlàet.

er,o.al iiJ 0.11{ n' le

1 •̃ siij.it-: lt1* °e v.reinone. :• E4RT Éï LA CURIOSITÉ

̃ t ̃•lr-rr:

L'exposition

de Mme de Lyée de Belleau Cette exposition,,qui n'est plus ouverte à la Galerie Georges Petit, 8, rue de Sèz'e, que jusqu'au 30 juin, a remporté un succès mérité.

Aussi bien dans les pierres que dans les bois ou les marbres, les sujets traités. s'harmonisent avec la belle qualité de la matière, et cette Tête de Négresse en granit noir,, ce Masque de Salomé en marbre rose de Milan ou ces bustes en pierre de Tonnerre et de Cénozan, sont des pièces s'affirment à nouveau un grand labeur et un beau talent. Auprès de ces sculptures, Mme de Lyée de,i Belleau. nous montre des ouvrages d?art décoratif qui méritent mieux que de. fixer l'attention et qui plairont aux gens de goût. Denis Coster. ·

Denis Coster.

» Expositions 1 et Ventes d'aujourd'hui EXPOSITIONS

PPTE6 DROUOT.' Salle n" 7. Exposition* publique. ;J2ent«lles et broderies appartenant à M. Xy, M" ïHw«t!ii%uDoiN et TARTiv^a3d3ôfiôs« saires-prisçurs ̃; M. Lefébure, expert.. ÏIQ.XEL PWWT,–1 Salle\n° iO. Exposition publique. Collection de MZ'G:U.7. ̃ Aquarelles, Pastels, Dessins. M* Laib-Dubreuil, commissaire-pri-

,seur 1\t.Schœller, eapert~

•seur p ) M. '̃•̃ Schœller, expert.- VENTES GALERIE GEORGES PETIT, 8, rue1 de Sèze. Vente. Collection de Mme de Polès. Objets d'art et d'ameublement du xviii" siècle, 'Ta- bleaux, Aquarelles, Dessins, Estampes, Objets de vitrine, Bronzes, Sièges, Petites tables, Meubles et Tapisseries. M8 Laih-Dubrbuil, commissaire-priseur MM. Ferai, Paulme et Lasquin, experts.

HOTEL DROUOT. Salle 2. Vente. Succession de Mlle D. Importants bijoux dont un collier de quatre-vingt-une perles, bagues solitaire, bracelets, broches, etc. Meubles' anciens dont un très beau lit de repos époque Louis XV-J. -,Belles Fourrures. r M"; JEAN MARLIO, commissaire-priseur MM" falkénberg, Linzelér, Reinach, Charraùd et'Pape, experts. HOTEL DROUOT. Salle n" 6. Vente.'1 Tableaux anciens. Objets d'art du dix-huitième siècle et autres, Sièges èf– Meubles, Etoffes, Ta- pisseries. M* Henri BAUDOIN, commissaire-priseur MM. Ferai et Mannheim^ experts., HOJEL; D,ROUbf. Salle n*X'

Xfildesj-ilffiljeciiçMilii pfinpe.d'Sssling.

~jIônnates et j4fedailles =_Consulat ét

Monnaies et.^edailîes, ^Consulat et

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et dominer le parterre- fleuri de petites' tables. Plus encore, que dans la galerie; la foule était dense autour du buffet. Affairés, les serveurs se pressaient derrière la grande table drapée de blanc, surchargée de gâteaux, de sandwiches, de petits fours, de ̃ glaces et de fruits. Les bouteilles de chaiii- pagne, débouchées sans relâche, étaient vidées en un instant. De l'office arrivaient d'autres paniers dont on. mettait le contenu à rafraîchir dans de grands seaux remplis de glace. A ce train-là, murmura Marthe à l'oreille de sa voisine, la cave, du père- Ni- claux-Corville sera mise à sec ce soir. Il a le moyen de la regarnir Sois sans inquiétude à ce fsujetj répondit Lucette..

"̃'̃̃ Ôh !'}e suis bien tranquille N'empêche qife si tous les invités: agissaient' comme ce type-là.}; Mais, c'est Lancelot .̃l'écri^-t-elîe en rtcôn'naissaht' un jeune homme, qui, s.'éfànt fait re'niettre ùiie bouteille de champagne, s'efforçait de se frayer un passage parmi la cohue sans cesse grandissante qui assiégeait le buf-

fét..̃ ̃ ̃̃̃ •; •̃•̃

-t- C'est vrai, acquiesça, Mlle Gricbei- quànd-elle l'eût reconnu^ 11 ne manque pas- de ̃ sansrrgêne. Avec, qui va-t-il aller boire cela ?

Soupers par petites tables i gouailla Marthe. A quoi bon se priver, c'est mieux que chez Walteret plus économique 'La jeune femme se leva pour déplacer sa

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Lu Prix Macteiizie-rGrieyes I Le Handicap Limité s'étant terminé par un'dead-heàt, toutou moins officiel, il n'est que trop évident que nous avons eu là du travail bien fait. Bay Sari a. eu la, coquetterie de plaire à son nouveau propriétaire et s'est employé de meilleure grâce que de coutume, ce qui lui a permis de battre Which Think, qui. tenait la tête depuis un moment. Mais alors survenait Ravageur, dont le jockey avait été obligé de changer de ligne, et auquel semblaif manquer seul le temps matériel de rejoindre Bay Sari..Cependant il y parvenait, d'après le juge, juste sur le poteau,, et, comme il eût été vraiment malheureux de perdre cette course, ne nous laissons pas aller à dire qu'il a été très heureux de la gagner, ne fût-ce qu'à moitié. Quatre partants de valeur sensiblement égale dans le Prix MackenzieGrieves. Course, par conséquent, presque forcément réduite à un déboulé. Dès lors, le moindre incident devait en fausser le résultat. Gerbert en a su quelque chose. Une iniperceptible hésitation d'Esling à venir.

franchement à l'extérieur l'a retardé

dans son, effort de l'éclair de temps

qui fui était $é^^r^jjbur refaire

sur Trad^linah.ûne grande longueur. Tl en a refaîfraplu^'<lës"tfoitf';quarts, mais Pinexorajkewpïrteflu était là, et Tradelinan avait encore une: courte encolure pour lui. Qn. peut penser, sans injustice, que; Je remarquable jockey qu'est Esling.'n'a pas monté là la meilleure course de sa carrière. J. Trarieuxi-

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Prix de Rocquencourt (25.000 fr., 2.400 mètres). 1. Chicardeau, à "M. Henry •Ternynck (A.- Sharpei ̃ 2. Agami, au. baron Ed. de Rothschild (C. Bouillon); 3. Yviers, à M. 'James Hennessy (J. Jennings). (3/4 long., 3 long., 1 long. 1/2). Pari mutuel à 10 francs. Gagnant 37 fr. Placés Chicardeau, 17 fr.; Agami, 21 francs.

Handicap limité (40.000 fr^StOÛO^mè-

~tres), Ba~ (10.000 fr.~¥I~o:111è~

jxes), rjA"' Bai ,Sari, $ ï$. C^tMèmlB

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Prat (G. Bartholomew); 3. Which wTMink, à M.' Gabriel' -Guerlain (6ï' Vatard),. (Dead-heat, 3. long., 1 long, 1/2). Pari mutuel 10 francs. Gagnants Bay Sari,. 75 fr.; Ravageur, 72 fr. Plac'és Bay Sari, ̃ 48 fr.; Ravageuly 47,fr. '50; Which 'Think, 43,,fr. 50, Prix MackenzieiGrièves (25.0Q0 fr, 2.000 mètres). T. Tradèlinan, au baron' Ed. de Rothschild (C- Bouillon) 2. Gerbert, à M. Michel Lazard (A. Esling^ .3. Hunéric, à M. André Schwob (E. Chancelier). (Encolure, '1" long. 1/2, courte tête), ̃• Pari, mutuel à 10 francs. Gagnant 44. fr. Placés Tradèlinan,; 25 fr.;Ger-!bert, 20 fr.'5O. •̃ ̃ '•

Prix Vaublanc (15.000 fr., 1.700 m.). 1. Polly Flinders, à M. Ed. Esmond (G. Garner); 2. Orléans, à Mme J. Winkfield (J. Winkfield); 3. Eski Serai, M. R. Me, Creery.(C.-H.iSemblat).(2 long., demi-long., 1 longueur).

Pari mutuel à 10 francs. Gagnant 57 fr. Placés Polly Flinders, 21 fr. 50; Orléans, 54 fr. 50; 3. Eski Serai, 16 fr. 50. ^TENNIS

Les critériums de France

Critérium simple. '1. Huitièmes de finale Guillemot bi Jan Minden, 6-4, 6-t) Bonté b. Canton, 6-4, 7-5 P. Barrelet de Rieoù' b: Rignault 6-0, fî-0 ,Roy K'iDe 'BltfHt, >6i3,: 6-4 E^'Qu-'Pleix

^Gàïeppe,?^, S^S-S' Persih b.:Ara-

po,fe7.6-l, e-3, -•̃ Casiein b. flairinftW

'G-1, 6-4 Sergeant b. p. Laurent, 7-5,' ''S-4..

Critérium: simple dattes,' i- Preimier, tour Mlle Fournier b' Mme Derouen G-8, 6-3 Mlle Hàran b. Mme Eyméoud, 6-1, abandonné Mlle Amaury b. Mlle Labesse, 6-3, 3-6, 6-4 Mme Marcou b. MlleDupuis, 1-6, 6-0, 6-1 Mlle Tessan,<Iier b. Mme Culpert, 6-3, aband. Mme Perée b. Mme Delagenière, 6-1, 6-4

Les deux jeunes filles ne le quittaient pas ides yeux. Elles le virent se diriger vers une des tables abritées par les corbeilles des fleurs et s'installer près d'une: jeune femme qui l'attendait en grignotant des petits fours.

Mlle Garcia b. Mlle Charles, 6-2, 7-5 1 Mme Ardouin b. Mme Bernard, 6-4, 8-6; Mme Charpenel b. Mlle Hei-ot, 6-1, 6-1 Mlle Abenheimer b. Mme Vassal, 6-2, 6-0 Mlle Neufeld b. Mlle Maurel, 6-0, 6-3 Mlle Besfugé b. Mme Gilette, 6-3, 6-0.

Espérance simple. Huitièmes <de fi- nale Pezé b. Lamirel, 7-5, 6-4 Ber- thet b. Dumont, 6-0, 6-4 Gartier b. Courtès, 6-3, 10-8 de Coral b. Mouren, 6-2, 6-2 Bigard b. Thevenin, 6-2, .6-4' Champod b. Belascain, 6-4, 6-2 'de Querezieux b. Beasse, 6-2, 6-0 P. Prietfr. b. R. du Peloux, 6-2, 6-2.

Omnium simple. Huitième de finale Prudhomme b. Converse, 6-4; 4-6, 6-0 Lanzenberg b. Allard, 9-7, 2-6, 6-1 Thomas b. Modiane, 6-2, 6-4 Bouy: b. Bonté, 6-5, 6-2 Beauvillain b. P. Cuanillon, 7-5, 6-4 Archibald de Parisot b. Rainbault, 6-3, 6-2 Barbier b. Foũrest, 6-2, 6-0.- ̃̃ -̃•- "Au Cercle du Bois de "Boulogne -i Championnat simple. Dëinî-finàîesSï, Leps b. E. Th'urneyssen, 6-3, 4-6, 11-9 Jj Barrelet de Ricôu *Tii.'f Rïgnault, 6-4,"6-l% Finale Barrelet de Ricou b. Leps, 6-4, 2-6, 6-3, 6-3..

Championnat simple de dames. De-mi-finales Mme Constantinidi b. Mme. Pouthier, 7-9, 6-4, 7-5 Mlle de Boigne h. Mlle Sars.Le Comte, .1-6, 7-5,. 6-4. Finale Mme Constantinidi b. Mlle de Boigne, 6-0, 6-1.

Championnat double mixte., Demifinales Mlle Bovet et Thurneyssen b. Mlle O'Neill et duc de Maillé, 6-1, 6-4 ;• Mlle Pouthier et Rigault b. Mlle LefebreDibon et Simon-Lorri, 3-5, 6-4, 6-3. Finale Mlle Bovet et E. Thurneyssen b. Mlle Pouthier et Rigault, 5-7, 6-0. Championnat double. Demi-finales i Thurneyssen et Rigault b. J. de L'Epine et G. de Miramon, 6-0, 6-1 duc de Mail-'lé et Barrelet de Ricou b. Leps et deVaugelas, 3-6, 6-3, 6-4. Finale Thurneyssen et Rigault b. duc de Maillé et Barrelet de Ricou, 6-4, 8-10, 8-6, 2-6,

Handicap double mixte. Finale t Mlle et Rodrigues-Henriques (3/6) b, Mme Otiet et Otlet (15), 6-1, 4-6, 6-3. Handicap simple de dames. Finale Mme Ducrocq (5/6) b. Mlle Lacarrière (15.1) 7-9, 6-3, 6-4.

Handicap simple. Finale Dur.oyer (2/6) b. Didier-Merlin (3/6), 2-6j 6,0, 6-3. ±-

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Le, capitaine Challes

gagrre la Coupe Michelin i Le capitaine Challes s'est attribué Jar Coupe internationale Michelin, en effec-i tuant un tour de France de 2.731 kilo»mètrese en 12 h. 40 m. 37 s., sait à la. moyenne de 215 km. 498 à l'heure. Dans une performance de ce genre, qui' ,comporte quatorze atterrissages et décollages obligatoires, les pneus dû train d'atterrissage sont soumis une dure épreuve. Aussi le capitaine Challes avait-il équipé son avion de pneus JOunlop â tringles sur jantes: à bases crejises. Ajoutons que le pneu d'avion Dun)o.p suit à grand pas les traées de son aînéy le fameux Dunlop Cord victorieux dans toutes les courses d'automobiles,

T* s

BOXE

Boxe à la salle Wagrant Humery opposé, jeudi soir à la salle;. Wagram, à Francis Biron, challenger de Kid. Francis, champion de France des poids coq, l'a battu très nettementpar abandon a la quatrième reprise d'un- combat quien comportait dix.

~r~i- ·,n

billard, «J:; Le Clial.lenge Raymond de Drée Une nouvelle épreuve internationale, réservée aux amateurs, 'réunira demain samedi, à Vichy, six joueurs de 1" catégorie. Ces joueurs disputeront le Challenge .Raymond de Dr<;e dur à la géné;Ssi£é. i?M: JEï?nci\. ^KPl^y. lïîynpjon aSiéncain, qui participera à la compétition.

•' Les' concurrents seront lés suivants1 Poensgen (Allemagne), H. Maréchal (Belgique), Pons (Espagne), F. S. Applebyf. (EtatsrUnis), Charles Faroux (France)'1 et'Davin (France).

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chaise. Les deux amies la reconnurent en. même temps ̃, ` Tu as vu ?

̃• C'est la belle Liliane.

Mais elle est nue, Dieu me pardonne En vérité, vue d'en haut, Mme Fréval, Liliane pour les amis de son mari et.- "ils étaient nombreux semblait ne rien avoir sur le corps. Un fourreau de satin' crevette que deux petites barrettes de diamants, à peine visibles, retenaient seules sur les épaules, dénudait son dos jusqu'à la taille, et lorsqu'elle se penchait sa poitrine n'avait plus de secrets pour un observateur intéressé. Largement échancrée par en haut, s'arrêtant à mi-çuissés sur ses jambes croisées^ la robe "de Liliane Fréval se réduisait, à peu de chose près, aux proportions d'un pagne polynésien. ,-t- Elle est bien faite, évidemment, constata Lucette* l'

̃'7-Elle n'est pas la seMe;, répliqua Mar- } fhe; 'jjiai's 'Ses -'autres ne Je? montrent' pas à'* tout le monde En tout cas, continua-t-elle, vqilà ton Lancelot occupé pour toute la soirée. Tu n'as pas à craindre d'être cram- ponnée. J'en suis ravie! J'avais tellement peur que la famille ne me le désigne d'office comme chevalier-servant! r

Attention, nous allons être repérées. La belle Liliane, souffrant nonchalamment la fumée de sa cigarette, levait les ,yeux;vers l'escalier.

Les deux jeunes filles quittèrent aussitôt leur observatoire.

Elles allaient regagner le salon quand elles aperçurent André Bernard qui venait à leur rencontre.

Comme il a changé! ne put d'empe- cher de murmurer Marthe, Schwàrtz.

(A suiure.i.. Armand Mercier.

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