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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1926-09-05

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 05 septembre 1926

Description : 1926/09/05 (Numéro 248).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k294884d

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Gare à la ruade

Des nouvelles donnent à penser que l'Espagne subit dans sa povlitique intérieure une crise dont

la gravité expliquerait, en partie, les ini• .tiati.yes.un peu brusques de sa politique extérieure. .Le général Primo de Rivera aurait à faire face au mécontentement très explicite des officiers de l'arme de r l'artillerie et de l'arme du génie qui représentent en Espagne la tradition la plus susceptible, comme la plus autorisée, du corps militaire. Dans ce "conflit le Roi refuserait de suivre le chef du gouvernement. On sait, en tout cas, qu'Alphonse XIII vient d'appeler le général Berenguer pour commander sa maison militaire or le général Primo de Rivera et le général Berenguer ne sont liés !par •rien qui ressemble à de la sympathie ou à ̃de l'admiration mutuelle.

Cela étar^t ÇPfln.u, nous ne nous livre'rons pas au jeu enfantin, et d'ailleurs déplacé, qui consiste à apprécier, de l'exté•rieur, les convenances politiques <lwi' État et les mérites proprement nationaux des hommes auxquels incombe la responsabilité de le diriger. Au?s< bien commet-on le plus souvent une grave erreur de vue, et par conséquent de prévision, en sous-estimant de loin la valeur des gouvernants étrangers.

Quiconque connaît l'Espagne et la force inouïe des résistances, des intrigues et des coteries autour de l'Etat espagnol, ne saurait douter qu'ayant triomphé et, plus encore, 'ayant duré, le général Primo de Rivera possède des qualités, voire ce que l'on appelle du « cran ». Ces qualités s'accordent-èlles plus ou moins bien aux diverses circonstances ? C'est une autre question. »

Quoi qu'il èn soit, les incidents de la vie publique en, Espagne présentent, à notre égard, un double risque d'innovation risque dans le cas où le général Primo de Rivera et ses collaborateurs immédiats, pour redresser leur, position, jugeraient à propos de corser encore leurs initiatives extérieures risque également dans le cas où, la dictature ayant cessé, nous nous trouverions devant un 'renversement général des données >' avec; .lesquelles, jusqu'à présent, nous avons compierv^ f v L'éventualité qui pourrait tout de suite mettre en effervescence les chancelleries européennes, serait l'abandon du Maroc par l'Espagne. Il va sans dire que l'ouverture d'une telle succession ferait apparaître comme assez secondaire, aux yeux des nations effectivement ou virtuellement orientées vers un avenir colonial, la querelle des « sièges qui se déroule en ce moment à Genève.

Or, cette éventualité n'excède pas une proche vraisemblance. Le général. Primo de Rivera a toujours été plus ou moins hostile à l'occupation du Maroc, et l'opinion espagnole ne désire vraiment que le maintien des « présides » de la côte, maro-

caine.,

A l'égard de la situation ainsi considérée, il est une puissance qui a des devoirs particuliers. Cette puissance, c'est l'Angleterre, qui, depuis vingt ans, a inspiré les conditions du statut de l'Espagne au Maroc et garanti -les contrats internationaux que l'on a fondés sur ledit statut.

Nous espérons que le Foreign Office ne laissera pas une affaire aussi sérieuse glis-

ser à l'aventure.

ser à itt, r Lucien Romier.

<C H 0. 8

̃ nnimam r–

L'automobile de Pie XI. î

Le clergé catholique américain, au lendemain du Congres eucharistique de Chicago, a offert au Pape une superbe automobile.

Cette voiture vient d'arriver au Vatican. Sa Sainteté, qui a beaucoup admire ce beau présent, s'en servira sans doute pour ses promenades dans les jardins.à l'exclusion de son ancien carrosse.

L*ouverture.

C'est aujourd'hui qu'ouvre la chasse en plaine. Ton, tontaine, tonton, et dès midi, selon l'usage, il y aura du gibier sur les tables des restaurants parisiens. Admirable promptitude des résultats de l'adresse des chasseurs

Cette année, les perdreaux de certaines régions auront droit à un sursis. Ils sont chargés de détruire un insecte qui ravage les pommes de terre. Quand ils nous auront rendu ce service, ils seront tués comme lés autres.

A propos des feux que les touristes allument par centaines, chaque dimanche, dans nos forêts.

C'est un délit, nettement caractérisé par l'article 148 du Code Forestier; Tit. X, dont voici le texte

« II est défendu de porter ou allumer du feu dans l'intérieur et à la distance de 200 mètres des bois et forêts, sous peine d'une amende de 20 à 100 francs sans préjudice, en cas d'incendie, des peines portées par le Code Pénal et de dommages-intérêts s'il y a lieu. »

Puisque le Code Forestier est aussi formel et aussi clair, M. Emery, et autres personnalités éininentes du ministère de l'agriculture, ne voudront-ils

UN PLEBISCITE EN ESPAGNE

->

L'Union Patriotique demande la convocation

d'une Assemblée nationale

Le général Bérenguer tst nommé chef de la Maison militaire du Roi Madrid, 4 septembre. Le comité central de l'Union patriotique a adressé au gouvernement une demande tendant à obtenir l'autorisation d'effectuer dans toute l'Espagne, les 11, 12 et 13 septembre, un plébiscite comportant l'adhésion à l'oeuvre du gouvernement et notamment du général Primo de Rivera et l'approbation de cette œuvre. Il a sollicité la réunion d'une assemblée nationale coopérant au gouvernement du pays.

Le. ministre de l'intérieur a donné son autorisation' pour le plébiscite et il a recommandé aux autorités de rester impartiales, afin que soit garantie la véritable expression des sentiments du pays. Des « événements historiques » De Saint-Sébastien, on mandé au Daily Mail qu'après le banquet offert à l'ambassadeur d'Italie, M. Yanguas a fait des déclarations assez mystérieuses à la presse Un conseil des ministres, a-t-it dit, va se tenir à Madrid, sous la présidence du général Primo de Rivera.

Les décisions qui seront prises seront de la plus grande gravité et causeront une plus vive sensation encore que la formation de la dictature du général Primo de Rivera. Des événements historiques se préparent e: le public les connaîtra bientôt.

Le générai Damaso Bereriguer vient d'être nommé chef de la maison militaire du roi. Notons que le général Berenguer est un adversaire du président du Directoire. Ancien haut commissaire espagnol du Maroc, il fut traduit devant une cour martiale après- le coup d'Etat de Primo de Rivera en 1921 et rendu responsable des défaites espagnoles imputables au général Sylvestre. Par la suite, il fut condamné à six mois de forteresse pour avoir critiqué les actes du dictateur.

Faut-il voir dans la nomination du général Berenguer une manifestation d'Alphonse XIII de conduire sur de nouvelles voies la politique espagnole ?

La réunion du conseil des ministres Madrid, 4 septembre. Le conseil des ministres s'est ôcctipér hier, du plébiscite et; du projet d'Assemblée' nationale. Il a examiné longuement les questions, internationales d'assistance. Le ministre des s affaires étrangères .était arrivé expressément de Saint-Sébastien pour assister au conseil.

Le communiqué publié à l'issue du conseil se borne à dire que le ministre des affaires étrangères a exposé à ses collègues les dernières phases du problème de la S. D. N. et de Tanger. Il a approuvé les accords qu'il a estimés opportuns.

A l'issue du conseil le ministre des affaires étrangères a déclaré aux journalistes qu'il avait mis ses collègues au courant des conversations diplomatiques qu'il avait eues à Saint-Sébastien et des nouvelles. qu'il avait reçues de Genève. Il a fait connaître au conseil les manifestations de sympathie des puissances représentées à Genève à l'égard de l'Espagne. Le gouvernement s'en est déclaré très touché. Le ministre a ajouté qu'il avait communiqué au ;conseil l'invitation faite par les représentants de la commission des sièges et transmise par le délégué espagnol à Genève pour que l'Espagne n'abandonne pas sa collaboration à la Société des nations.

Les journalistes ayant cherché à connaître la décision arrêtée par le conseil, le ministre des affaires étrangères s'est excusé de ne pouvoir répondre, en arguant le respect dû à la S. D. N. qui, au moment opportun, doit être la première à corinait.i*e l'attitude de l'Espagne.

pas demander aux gardes un effort, le dimanche ? N'appliquera-t-on jamais la loi dans les forêts de l'Etat, et les forêts surveillées par l'Etat, comme celle de Chantilly, par exemple ?

Nos forêts.

Notre écho sur les forêts nous a valu nombre de lettres, ce qui prouve que le culte de l'arbre est pratiqué dans notre pays. Nous notons le fait avec satisfaction.

Un de nos lecteurs revendique pour le Midi 1,'honneur de posséder les plus vastes espaces boisés, d'un seul tenant; nous nous en rapportons bien volontiers à lui. Mais notre correspondant permettra à la région du Nord de s'enorgueillir de la plus majestueuse forêt de France celle de Fontainebleau.

im » m

Jusqu'à présent, seuls ont droit aux cantines gratuites, aux secours en, vêtements fournis par la Caisse dés Ecoles, les enfants qui fréquentant la laï-

que.

.Ceux qui. vont dâlië lès écoles pïrVées peuvent avoir faim et froid la Caisse des Ecoles se bouche les oreilles. ,M. Lemarchand, conseiller municipal, a résolu de/faire passer l'humanité avant la politique. Il faut l'en louer grandement et espérer que le Conseil municipal votera la proposition qu'il vient de déposer dans ce sens. Si vous voulez passer un mois de septembre délicieux, venez à Saint-Raphaël (Côte d'Azur). Vous y trouverez une température idéale, des distractions multiples, le Grand Casino avec son réstaurant de premier ordre.- Hôtels Beau-Rivage, de la Plage, Continental, Excelsior, Hermitage, les Algues, des Anglais, etc.

i Le Masque de Fer.

:LES OEBéTS DE CiENÈVE ̃*

̃ mimimi

L'Allemagne est désignée ecmime titulaire

d'un siège permaraeht

~ew amorew--

LE CONSEIL DE LA' S. D. N. APPROUVE LES NOUVEAUX STATUTS RÉGLANT SA COMPOSITION

Ge, général Primo de Rivera annonce à MM. Chamberlain et Briand que l'Espagne s'abstiendra désormais

de partiéiper aux travaux de la Ligue

iiiiiiiiiiii

Genève, 4 septembre, w Le Conseil de la Société des nations, auquel n'assistait pas le représentant de l'Espagne, a confirmé ce matin les propositions de la Commission des sièges en ce qui concerne la future réorganisation du Conseil. Il a voté l'importante résolution suivante Le Conseil, prenant note de Ja résolution prppcsée par le délégué de la France et votée' par l'assemblée extraordinaire de mars 1920, résolution ainsi conçue « L'assemblée regrette que les difficultés rencontrées jusqu'à présent n'aient pas permis d'atteindre le but pour lequel elle avait été convoquée et exprime le vœu que ces difficultés soient aplanies d'ici la session ordinaire de septembre, afin de rendre possible à cette époque l'entrée dé l'Allemagne dans la Société des nations. » Et agissant en conformité du vœu exprimé dans, ladite, résolution,

approuve le rapport du comité sur la composition du conseil

2° décide, en conséquence et en vertu des pouvoirs qu'il tient de l'article 4 du pacte

a) La désignation de l'Allemagne comme membre permanent du Conseil des son entrée dans la Société des nations b) L'augmentation <Hu nombre des siè~ges non permanents qui sera porté à 9 3° recommande à l'assemblee l'applica,lion de ces ^décisions 4° recommande à l'Assemblée d'exami ner favorablement les propositions faites par le comité concernant le mode d'élection des membres non permanents dû Conseil et le régime de leur mandat. On remarquera que le conseil crée à la fois par cette résolution un siège perma, nent pour l'Allemagne et trois nouveaux sièges non permanents. Cette simultanéité' voulue exclut toute possibilité d'intrigue ou ide jna,hea.UTCes qui tendraient a priyèï'j; certains* 'Etats des sièges qui leur ont été,; promis. r On 'ine ^partage d'ailleurs pas, à

L'HEURE TRAGIQUE ET GLORIEUSE

L'anniversaire de la bataille de l'Ourcq

I M r–

Il y a douze ans aujourd'hui que la bataille de l'Ourcq,' déterminant celle de la Marne et la précédant de vingt heures, fut engagée par la sixième armée, celle de Maunoury, sous les directives de Gallieni.

Ce n'est pas à dix heures du matin? comme l'écrivait hier un dé nos brillants confrères, que l'action fut commencée. C'est à midi, sous un soleil ar? dent, que le duel d'artillerie s'engagea. Le premier coup de canon fut tiré par les Allemands, sur la lisière culminante du village.de Montliyon, où trois batteries étaient installées. Quatre soixante-quinze français, amenés au galop à la sortie d'Iverny, répondirent aussitôt au feu de l'adversaire et c'est sur eux que les agresseurs réglèrent aussitôt leur tir, àveVimë précision 'soigneuse- ment repérée d'avance •: Ip capitaine d'ë notre batterie, à cheval, eut la tête em- portée par un obus. Y' ¡( En même temps, les patrouilles aller mandes, abritées dans les fossés des cultures, ouvraient le feu sur notre 276e d'infanterie, qui débouchait, totalement à découvert, du village de Villeroy. La compagnie de tête, commandée par le capitaine Guérin, eut la témérité de se déployer en tirailleurs, face l'ennemi une averse de balles s'abattit sur elle et elle laissa sur le terrain, avant de s'élancer à la baïonnette, la moitié de son effectif.

Ses trois officiers furent tués, Guérin et le lieutenant Lacornillière quelques secondes après Charles Péguy. Celui-ci, qui avait crayonné, la veille, sur son carnet, des vers où frémit sans faiblesse une sorte de prassentiment funèbre, était demeuré debout, au premier rang, pour donner l'exemple à ses réservistes. Il ne fut enseveli, avec ses soldats, que trois jours après, sur' le bord de la route de Ghâuconin à Villeroy, un peu avant I*e8ibrancheme|rf: d'Iverny, par les soins du capitaine Claude Casimir-Périer qui l'avait teconnu et qui devait, plus tard, lui aussi, tomber glorieusement pour Ia.Frajnce Des semaines après, à l'extrémité droite de la to.ra.be, longuePég'uy dormait avec cent cinquante des sieris, nous l'avons exhumé, en présence de sa veuve et de sa famille. Ce fut un instant tragique et douloureux. On avait dû épaissir une jonchée de chaux sur les corps décomposes l'identification des squelettes était difficile. Péguy fut reconnu grâce à un mouchoir marqué de ses initiales et retrouvé dans sa capote de fantassin. Le capitaine Guérin, qu'une boiterie assez accentuée n'avait pas détourné de servir, fut identifié par l'inégalité de ses talons.

Entre ja route de Charny et le ru de Rutel, les tirailleurs marocains avaient été anéantis.

W

Pendant que les divisions de Lamaze enlevaient Montgé et Plessis-aux-Bois,

·morermm~

Genève, l'inquiétude qui s'est manifestée dans une partie de la presse étrangère, d'après laquelle la Pologne aurait à redouter, après le retrait de l'Espagne, de se voir privée d'un siège au conseil. Le vote de la résolution par le conseil n'a donné lieu à aucun débat public. Néanmoins, M;' Unden, représentant 'de la Suède, a. fait remarquer que "c'était pour» permettre à la Société des nations de sortir des difficultés actuelles que son gouvernement est prêt à faire en l'occurrence les sacrifices impliqués dans la résolution. Sur la proposition du président du conseil, M. Bénès, le conseil a ensuite fait sien l'appel adressé à la fin de ses travaux au gouvernement espagnol par la commission des sièges. Ce message sera adressé par les soins du secrétaire général de la Société des nations au gouvernement de Madrid.

L'attitude de l'Espagne

Le général Primo de Rivera vient de faire connaître, sous la forme d'un télégramme adressé à sir Austen Chamberlain et à M. Aristide Briand, la décision de son pays de s'abstenir désormais de participer aux travaux de la, S. D. N. Le 2 septembre, MM. Briand et Chamberlain adressaient de Genève au général Primo de Rivera à Madrid le télégramme suivant

Au moment se réunit le Conseil de la S. D. N. pour une session particulièrement importante que Votre Excellence nous permette d'insister de nouveau auprès d'elle, de la manière la plus cordiale et la plus pressante pour que le siège de l'Espagne au Conseil ne devienne pas vacant ët pour que le gouvernement royal puisse continuer à apporter aitx réunions de Genève le précieux appui de sa haute auto. rite. ̃̃̃̃-̃̃•

« (VpiV'Ta suite' eii troisième page.)

mneomW

l'état-major, suivant la colonne sur Saint-Soupplets, recevait de terribles nouvelles Arras avait capitulé la veille, les uhlans de von Kluek, terrifiés, tenus en échec, à Baron, par un habitant enfermé chez lui et qui venait de descendrè deux de leurs cavaliers à coups de revolver, avaient incendié et pillé sa maison sur son corps criblé de balles. C'était Albéric Magnard, le grand musicien de Guercœur, fils de l'ancien rédacteur en chef du Figaro. Son enfant, surpris et ligoté à un arbre, avait vu le héros périr, carbonisé, tandis 'que les brutes de von Klûck, folles encore d'avoir eu peur, pillaient la chère demeure, pleine de chefs-d'œuvre, que l'on entassait dans des fourgons d'ambulance pour les emporter plus facilement.

Sans le ^sanj-froid d'un brave jardinier, qui 'réclama comme son fils l'adolescent martyrisé, il était passé par les armes.

Vers le soir, tandis que le général de Dartein se disposait à déborder et à enlever Saint-Soupplets, et le général Leguay Monthyon, dans une accalmie, un colonel de Maunoury, écoutant un rapport de Paris, laissait rouler une larme sur sa moustache blanche. Voici ce qu'on venait de lui raconter

Le camp retranché, démuni d'aviation et, surtout, de pilotes, avait essayé de recruter quelques professionnels civils. L'un d'eux, ajusteur dans une grande maison de Puteaux, signalé comme bon conducteur d'aéroplane, avait demandé à être engagé tout de suite. Il avait vingt ans et ne tarderait pas à être appelé. `

On l'avait muni de bombes spéciales et un officier lui en expliquait l'usage: Si, cette nuit, un zeppelin comme celui qu'on vient d'abattre à Badonvillers survole, Paris, tu ,prends l'air, .au Bourget, tu montes et, sous les feux des projecteurs, tu arrives à découvrir le ballon. Alors, tu tâches de le dominer et, juste au-dessus de lui, pour ne pas le manquer, tu lances tés bombes. Le zeppelin est détruit.

'̃̃ –7 Et moi aussi, naturellement. \r– Cëst le risque. -r- Ça va, mon officier. Mais alors, je voudrais une chose si je crève le ballon et si j'y laisse la peau, que fera-t-on pour moi ?

Demande.

Et lé gamin, souriant et calme, avait dicté sa condition

J'ai une petite fille, qui vient de naître. Si je réussis, je veux qu'on donne mon nom à quelque ruelle de Paris. Plus tard, quand elle passera par là, la gosse sera fière de son père. C'est tout.

Un silence accueillit cse mots du frèblime et simple Gavroche. Et tout le monde lui avait serré les mains en frissonnant d'orgueil.

P.-B. Gheusi.

LÀGkECË SANS PANGALÇ$

̃!̃

Importantes déclarations du nouveau ministre

des affaires étrangères

« H ne saurait y avoir aucun doute sur les sentiments francophiles

du gouvernement actuel »

(De notre envoyé spécial.)

ATHÈNES, 30 août. Vous ne voudriez sans doute pas d'un Athénien de Paris venu pour quelque temps à Athènes et- débarqué face à l'Acropole au lendemain d'une nouvelle révolution, qu'il crût possible. de vous donner dans l'espace d'une colonne un tableau détaillé de la situation qu'il y a trouvée.

,Ce qui importe au premier chef, c'est la politique étrangère de la Grèce, toujours intéressante, on le sait, par suite de la situation géographique du pays. Celuici, fourvoyé, pendant quelques mois, dans les méandres d'une diplomatie mystérieuse et insaisissable, reprend aujour-d'hui sa politique traditionnelle d'amitié ( solide et de regroupement balkanique réalisé sur le pied d'égalité. D'aucun casque, poméranien ou autre, la pointe ne se profilera désormais, patronnesse et tutélaire, du fond d'une coulisse favorable aux intrigues obscures. On rétablit le règne de la politique extérieure, pacifique, limpide et harmonieuse, reflet du ciel athénien et des horizons égéens. La droiture légendaire du général Condilis y pourvoira mais aussi et surtout la fine sagacité, l'élégante pondération et l'européanisme nettement parisien du nouveau ministre des affaires étrangères, M. Périclès Argyropoulo, diplomate-né, dont on dirait qu'il est de la carrière n'était l'absence totale chez lui de toute déformation diplomatique.

r*l

J'ai eu, ce matin, la bonne fortune de m'entretenir avec lui longuement sur ses conceptions et ses idées, ses espoirs et ses premiers efforts. Et pour couronner notre conversation, j'ai tenu que dans ce français si pur qui est le sien, il me fasse des déclarations précises et définitives, destinées au Figaro. Manifestement sensible à la qualité de cette tribune française qui lui. éfait offerte, si aimée et si écoutée des Athéniens, il. se rendit à ma prière avec une lionne grâce exquise. É{ Voici ses pa-' roîesî frappées comme des médailles, qu'il m'autorisa à publier Il ne saurait y avoir aucun doute, me dit-il, sur les sentiments francophiles du gouvernement actuel. Le général Condilis n'a-t-il pas gagné tous ses grades sur les champs de bataille macédoniens, en combattant sous Sarrail, sous Guillaumat, sous Franchet d'Espérey ? Son attitude ne fut-elle pas toujours irréductible vis-à-vis de toute politique non nettement ententiste » ? Sa fidélité à la confraternité d'armes qui nous à liés avec les Français et les Anglais, les Serbes et les Italiens, est pour lui un véritable credo politique. Nos relations avec la France sont, d'ailleurs, tous les jours plus cordiales, grâce aussi à la sympathique présence à Athènes de M. de Chambrun, qui représente si bien à la fois les vieilles traditions françaises et l'esprit républicain. IJ n'existe du reste qu'une seule question pendante entre la France et la Grèce, celle du traité de commerce. Eh bien vous pouvez dire qu'elle est sur le point d'aboutir.

Léon Maccas.

(vèîr la suite en troisième page.)

DEMAIN ̃– LE FIGARO ECONOMIQUE

L'Ouverture de la Chasse

Par LOUIS TERNIER

La chasse se meurt La chasse est morte Vive la chasse » Nous vivons en un temps où la contradiction semble être de règle entre ce qu'on crie à tous les échos et ce qu'on se croit obligé de faire. On va proclamant partout la misère de la France et jamais on n'y a tant dépensé d'argent, jamais on ne s'y est autant amusé, jamais on n'y a autant jeté les billets bleus par les fenêtres. On gémit sur la disparition du gibier, sur la ruine de la chasse et, quand arrive l'ouverture, on se rue, de plus en plus nombreux, à l'assaut des bureaux de l'administration pour se faire délivrer, à des prix toujours de plus en plus élevés, des permis de chasse qu'on croirait destinés, suivant les plaintes de ceux qui. les obtiennent à ne permettre de tirer que des casquettes'. '• '̃̃̃* ê Avant la guerre, l'Etat délivrait environ cinq cent mille permis. L'an dernier, ce nombre a été porté à un million six cent mille. Cette année, il sera peut-être doublé, à en juger par ce que je vois autour de moi où, en certaines communes,. le nombre des permis a augmenté de plus de.moitié.

Il faut donc croire que la chasse ne se meurt point et n'est pas morte, comme le disent les esprits chagrins. Et tout le gibier n'a point disparu de notrç territoire. Il y a eu, pour la chasse et le giflier, comme en ce qui concerne l'argent et les fortunes, un simple déplacement. pans les grandes chasses, le gibier est encore aussi nombreux, et même souvent plus nombreux qu'autrefois. Dans les chasses moyennes, il a diminué, mais dans certaines chasses banales il a presque complètement disparu. Voilà la vérité.

UNE ORDONNANCÉ

DU PREFET DE POLICE LES RESTRICTIONS

DANS LES RESTAURANTS

A partir de mardi,

le régime des deux plats

et des menus réduits sera instauré

Ȥ.

Vendredi, M. Albert Sarraut, ministre de l'intérieur, avait eu, en présence de M. Bokanowski, une entrevue avec les représentants des restaurateurs et des hôteliers. Il leur avait montré la nécessité urgente d'un régime de res' frictions pour tout le monde, et avait insisté sur les économies que permettait de réaliser l'application immédiate du régime des deux plats et des menus réduits dans les restaurants.

Les délégués de l'Alimentation com* prirent fort bien ces raisons et promirent au ministre de l'aider dans toute la mesure.de leurs moyens.

Conformément à la décision prise par le gouVerneriîent, le préfet de police a rendu l'ordonnance suivante, qui sera appliquée mardi à Paris et dans les départements

Considérant que, dans les circonstances actuelles, il importe de prendre des mesures pour éviter dans les restaurants la consommation excessive ou la perte dé certaines denrées alimentaires nécessaires à la consommation familiale

Article premier. Dans les hôtels, restaurants, pensions de famille, cafés, buffets, crémeries, cantines, maisons de thé et d'une façon générale dans tous les établissements servant à la clientèle des aliments à consommer sur place, il est interdit de servir au même consommateur plus de deux plats (viande, œufs, poisson) garnis de légumes ou non les légumes servis séparément comptant pour un plat. Art. 2. Il est interdit aux propriétaires, directeurs ou gérants des établissements désignés à l'article premier,. d'offrir à leur clientèle ou de faire figurer sur leurs cartes ou menus, en ce qui concerne les viandes et les légumes, plus de quatre plats de viande ou volaille (non compris les viandes froides et le gibier) un plat d'abats trois plats de légumes (non compris les pâtes alimentaires et les salades)^

LE MAUVAIS, TEMPS

~I'

Maisons inondées, vendanges compromises) cultivateurs tués par la foudre

Nîmes, 4 septembre. La pluie continue et les orages ont causé des dégâts dans les localités d'Agnell, Beaufort, Aigues-Vives, où les ponts ont été endommagés, les maisons inondées, tandis qu'une partie du vignoble de cette région fut recouverte de gravier et de sable. Les vendanges, commencées en certaines régions, sont arrêtées.

La foudre a détruit un grenier et une remise appartenant à M. César Nouvel, de Junas la population a prêté son concours pour combattre l'incendie.

Dans la région de Sommières, la foudre est tombée sur la ligne électrique, endomw mageant ou détériorant les poteaux. Un bûcheron à été tué par. la foudre dans le bois d'Aigaliers, près Uzès. Chambéry, 4 septembre. Cette nuit, au cours d'un orage, la foudre est tombée sur le village de Grandnaves, tuant, un homme et incendiant une quarantaine de maisons. Cent quinze personnes sont sans, abri.

MONTPELLIER, 4 septembre. A La Bâs4 tide, près Bédarieux, à la suite de l'écroulement de leur maison, dû au mauvais temps, M. Paul Roques, propriétaire, sa femme et son jeune fils .Valentin ont péri sous les décombres. Un slàuvêteur, M. Sir-! c'olès,' a été grîèvemefàt' bléSsé.

Le cadavre de Mme Roques n'a pas en* core été retrouvé.

Quant à l'augmentation du nombre des chasseurs, elle s'explique tout d'abord par, la mentalité qu'a créée la guerre parmi les classes peu fortunées, parmi les ouvriers des villes et des campagnes dont lei éléments, combattants du front ou de l'arrière, se sont vu octroyer pendant les hostilités le droit de chasser un peu partout sans entraves, ce qui leur a inspiré pour la chasse une passion d'autant plus durable que l'élévation des salaires leur permet de la satisfaire facilement. Le taux élevé de ces salaires amène aussi bon nombre de « travailleurs à à ne point travailler, tous les jours et à chasser à leur guise. Puis, le déplacement des fortunes a engagé les nouveaux riches à faire comme les anciens, à avoir leurs chasses et leurs invités qui, autrefois, ne chassaient point parce qu'ils n'avaient j^as d'invitations. Ée gibier, lui, à naturellement suivi l'ar-< gent. Là où oji_ peut faire les frais considérables d'entretien d'une grande chasse, il pullule ;-il diminue, par contre," dans les chasses moyennes, où on est obligé de se restreindre il n'existe plus guère 'dans la plupart des chasses banales. Mais là* il faut faire une distinction.

Dans les terres banales proches des grandes chasses, il y a encore du gibier à l'ouverture, car on sait que les grandes chasses « arrosent toujours de gibier leurs voisines. En tout cas, sur ces terres comme sur les autres terres banales éloignées des grandes chasses, où il reste encore quelque gibier par h::ï;-rd à l'ouverture; il n'en reste plus uul- seule pièce trois jours après. Tout le gibier y est détruit sans exception. Je dois même ajouter qu'avant l'ouverture même il n'y reste souvent pas grand'chose, car le braconnage ne perd jamais ses droits. Cette'- ré«


flexion me ramène à la question toujours très intéressante de Ta '-fixation des dates d'ouverture. On avait pensé, il y a quelques mois, à demander aux pouvoirs publics de retarder la -date de l'ouverture à cause du mauvais temps t qui faisait présager un enlèvement tardif des récoltes. M. Raynaud, président de la commission de la chasse, auquel on avait proposé de reporter la date de l'ouverture au 12 septembre pour la région parisienne, 'a fort judicieusement fait remarquer qu'il était prématuré de s'occuper de cette question, puisqu'on ignorait quel temps. il ferait en août. Et, en fait, on a pu fixer la date de l'ouverture au 5 septembre, ce qui, me^ paraît très raisomlabie.!tEn^fffet,ts'iil;eStiTKai que quand on ouvre la chasse trop tôtj onK risqué "de vouer à une mort saris /profit nonibre !<<-poni]lards'5»y il ;ite faut pa's': oublier, que c'est; 'p^éhdkrit lef 'tçiiips 'ôfùi

s'écoule.entre e moment de l'enlèvenient

s' écoule entre le moment de "l'eiilèvepîent

des récoltes et celui de l'ouverture que le panneautage des perdreaux et la chasse à la lanterne se pratiquent avec le plus de succès et d'intensité. Entre deux maux, je suis toujours d'avis qu'on doit choisir le moindre aussi ai-jé toujours protesté contre les ouvertures tardives, car je préfère encore voir tomber quelques « pouillards » sous les coups de collégiens dûment autorisés que de voir disparaitre des compagnies entières de beaux perdreaux dans le filet des panueauteurs ou sous le plomb des braconniers à la lanterne. ̃ Louis Ternier.

LA VIE RELIGIEUSE

La béatification des martyrs

de septembre 1792

Là béatification des martyrs de septembre 1792 est définitivement fixée au ij octobre.

> -hes scoutisme catholique

Une revue italienne s'étant permis dernièrement 'd'attaquer' të! scoutisme1 catholique, l'Osservatore B'omano vient, dans un éditoriaL jdftjjrejtnettre JfiSs ^Jpses^u point et de dohWTIiyis offlcieldu' Salnt.Siège sur cette organisation, sportive il est vrai, mais basée sur l'esprit religieux. Quand le scoutisme de Baden Powel pénétra dans la jeunesse catholique par l'intermédiaire de personnages très dignès de l'action catholique, il, y trouva ua esprit chrétien hérité de saint Philippe de -Néri et s'en est animé. Les -vocations sacerdotales et religieuses de scoutistes prouvent par- leur nombre son action bienfaisante. Si le scoutisme Catholique a des défauts ou des imperfections, ses directeurs officiels- sauront constamment veiller à les corriger. » .Voilà donc le scoutisme catholique for- mellement approuvé par le Saint-Siège et vengé des insinuations dont parfois il était la victime. Paul' Lesoul'd.

• Paul Lesourd.

LE CHENE DU SOUVENIR

'Ainsi qu'il eij a pris la coutume chaque année, M. Eugène Figuière, le fondateur de l'œuvre des Chênes célèbres, invite la population parisienne à rendre une pieuse visite aujourd'hui dimanche, au Chêne de Gallieni, planté depuis quelques années, face à la statue de Ferdinand Fabre, dans le jardin du Luxeniîjoijrg. On.estJ'p'rlè^é ne pas toucher au; ïeùillés 'M,. "cet arbïe de souvenir, v- ̃̃.<,̃̃.• ,p t^ l'

__3 2 '̃̃;loi|i^jr.Mi-ii^i^ ̃•̃ ,S:t:> v,

Le nombre de permis de chasse a augmenté cette année

ni

La préfecture "de police a délivré ou renouvelé, depuis le 1" juillet jusqu'au 4 septembre 1926, veille de' l'ouverture, J2,ll§ permis de chasse généraux et 961 mis départementaux, soit, un total de 2Ï4 permis de plus qu'en 1925 à la veille de 1 ouverture.

La Roumanie proposerait aux Soviets un pacte de non-agression

Jjondkes, 4 septembre. On mande de Bucarest aux journaux que le gouvernement roumain a adressé une note au gouvernement de Mqscou, aux termes de laquelle il, a proposé aux Soviets la conclusion d'un pacte de non-agression pendant une période de dix années.

La note roumaine ajoute que' le 'gouvernement roumain est désireux de faire dé son mieux pour que dans l'avenir toutes causes de friction sur la frontière russo-roumaine soient éliminées. ̃'•̃ .̃̃• L'es milieux diplomatiques de.Bi^cèit^p pensent que ^d Russie acceptera lacQnclusiiàn «run sgBifelBble >, tmÛéi'.quiTjneoda K»rce pas à xëcohnàître l'annexioû de là Bessarabie par les Roumains. Toutefois aucune réponse n'a encore été 'donnée par Te gouvernement des Soviets.

Feuilleton du Figaro du S Sept. 1926 ̃/̃>̃ .̃. (23), L'OMBRE m A PERDU

SON HOMME.

DEUXIEME PARTIE Le jardin de Phu,

"̃̃ L'ombre abandonnée `: ,} -̃̃ (Suite)

jSiïveloppés de laines et de -fourrures, niuets, vindicatifs et grelottants, les Gurkgs ne semblèrent reprendre contact avec le monde qu'aux approches d§<j'Ja/<çi»é Rouge. Alors, ils ̃'̃'apparurent éuk-nierneR, dans, la joîe de^ fa chaleur "retrouvée, éft de la patrie qu'Us respiraient en revenant vers elle. Tsi-îMw»f,i kiî,;penaait qàlU~^m reverrait jamais 'la terre et le ciel de • son pays. Qu'adviendrait-il alors de son corps, lorsqu'il serait mort ? Cette idée seule contraignait Tsi-Ming à éviter la mort, qu'elle vînt des e Glycines d'Or n, d'un hasard ou de luimême. Pourtant, un jour, il devrait mourir. L'idée de son corps pourrissant sur une terre étrangère lui était intolérable. Comment pourrait-il épargner sa dépouille mortelle cet affront, dont se ressentiraient ses existences futures ? Que n'eûtil pas donné pour pouvoir se débarrasser de- l'enyeloppe de chair souillée qui enfermait dans son impureté l'esprit que ses maîtres avaient façonné et consacré par leurs connaissances.

A bord du transport, un personnage avait étonné et inquiété Tsi-Ming.

Depuis le premier jour de la traversée, il s'était posté à l'avant du

NOUVELLES DIVERSES iiiiiaitiaai

La température

Probabilités pour aujourd'hui >:

Région parisienne vents sud-ouest nuls ou faibles. Beau, nuageux. Assez chaud. Quelques pluies par pla'ces ou bruines. Quelques pluies Manche et Bretagne. Un encaisseur dévalisé

en plein jour à Marseille

MARSEILLE, 4 septembre. Ce nratih, M. Louis Vareil,1 58 ans, chef caissier de la -Société, des <gr.and'stravaux de:MarseiIfe, venait1 de ^rBùcher à îà banque iHfe'softinie

de^ 86}000tufran~cs, qb'it a*àfct *piacé_g .dans>

sansafâoehe, I.lïseRcH.jàge4i|(jifppg l^slfise do. ltt direction, situé 16, houleva^î^treI)aaier lar-sque^^au îuqjnen.t.pù 4ïr a%j.| pé- nétrer dans lé bureau, deux jeunes gens qui le suivaient se précipitèrefit sur lui. L'afgressioiï fut si soudaine que le caissier ne pût se défendre. Les bandits s'emparèrent- alors de la sacoche qu'ils convoitaient et s'enfuirent en protégeant leur fuite à coups de revolver.. Ce sont deux jeunes gens paraissant âgés d'une v|ngtaine d'années..

Violente bagarre

entre ouvriers étrangers

Grenoble, 4 septembre. .Une grave bagarre s'est produite la nuit dernière, à Brignoud, où des usines électro-chimiques emploient un personnel de différentes nationalités> ̃ ̃ ̃ ̃• ̃ .•̃ ̃•̃ Cinquante individus,, un peu surexcités par la chaleur- êt là- boisson,- se" sont battus dans la rue. Des femmes et des enfants intervinrent. Des ̃ coups de revolver furent tit-ës. --On joua même- du- couteau. Plusieurs personnes furent blessées, dont deux tres grièvement Zaw.nitzabi, Polonais) .23. ans, qui <JuJ être .trépané, etÀboub, .un Oriental, 27 ans,, qui; a les in, festins perforés. ji, Les gendarmes chargés .ijfeifnl'flsquête n'ont pu: trouyer auç.uu., témoin ogpi-lçs

comppeajîf. nu nifj)irfif>no?i :•< -)i>

j -:i> r.iï' H'jM-l '̃̃•̃̃ :S lr.

̃• *• ^iAccès'fde1 folie^subite ̃' '="̃̃̃"

,r -(.\ .{.

Pris so^in {l'un çusces'cj'e îçftièpJùéUv-, se,. Waltéi: HjjàJal, trente-neuf MSçdlé na- a tionalité., tcheço-slovaque, employé dans un établissement de crédit de la rue Castigliône, gifle son directeur. bouscule ses collègues et, se croyant poursuivi par des esprits, se livre à mille excentricités. Maîtrisé à grand'peine, après. une tentative d'interrogatoire au commissariat de police du .quartier Vendôme, le dément. est envoyé à 1 infirmerie' spéciale! .1

Chasse mouvementée

au cambrioleur

M. Caussard, débitant; 16, rue Montholon, l'angle de la rue Lafayetie, montant son appartement, situé à l'entresol, surprend chez lui un cambrioleur occupé à fracturer les meubles.

.11 tentei de r l'arrêter, mais doué d'une force herculéenne le cambrioleur, d'un coup de poing se débarrasse de M. Caussard et prend la fuite.

Aux cris du débitant des agents accourus donnent la chasse au fuyard, qui se réfugie dans la cave .d'un injnjeuble, 15, rue de. Bellefonds., Là, dissimulé sous des caisses, il, creuse un trou dans le sol et y enfouit les bijoux volés chez le débitant.

<Méis-, foeP$V Tejpjn.t, jet .arr^tgygar^les

"J'4Âis, b,ieJl;ç~ire¡p.lp.t,Je~ ,:i\rrAD$pP' ~s

lagents .S^uKeTt^ JF-eiinand i Ker.gg*& gVififi"

jvernesse le !cambrjoleur= est, -àHi&aé–àU

|commiss,ariat do police du, quariier Ro!ehecho^4rÎKItoi^Àé5%rej>jfef^oniro#- Basile Popoff, trente-deux ans, ancien lieutêjaànt Tdé .l'àTméé du tsar, depuis trçis semâihès «ans domicile^ Comme l'officier est porteur d'un attirail complet de cambrioleur, il a été envoyé au Dépôt.

Le feu eux champs

Senlis, 4 septembre. Un incendie d'une certaine importance a détruit cette nuit un hangar agricole de 20 mètres de long sur 12 mètres de largeur et 12 mètres dé hauteur, appartenant à M. Louis Proffit, agriculteur, maire de Mareuil-sûr'Ourcq.

15 meules de blé, soit 250 quintaux 18 meules d'avoine, soit 350 quintaux, du foin et des instruments agricoles ont été détruits par le sinistre qui, ce soir, n'était pas qnepre éteint.

Les pertes, non encore évaluées, sont couvertes par une assurance.

Une auto capote un tué Auxerre, 4 septembre. L'automobile de M. Demarseigne, courtier en grains à Entrains, a capoté près d'Etais.M. Dem'arseigne:a été pris sous la carrosserie et a eu le yeptfe écrasé il a.s,nçf;pi^J_é, peu après,, II ç^it âgé, .de 35 ai(S. h ,(>'

0, -3 Jnsi m ;»*-̃«>»̃ ̃

Accidents de la cjj-culation. Qnal'dèc'là

jlîoui'rieHé;>ti»'atteWeëi e^f ëïitré en! colKsièn

avec lin camion. Le chauffeur, René Auïët, 22, boulevard de là Gare, a été 'ift-jaîèffiéssur le sol. Il a -été cottauif à l'Hôtel-O§%. 'Rue Linné, un camion-auto a renversé M. Roger Mantetit, 28 ans, 9, rue du Rhin, qui a été

navire et, pendant tout le voyage, il n'avait pas modifié la position qu'il avait prise, ni absorbé la moindre nourriture. Assis sur le plancher du

ont, lès jambes croisées, les bras immo-

biles le long du corps, il paraissait absent de .la vie. Les soldats hindous l'entouraient; de;leur. respect et, assis autour de lui, égre-; naient leur chapelet en le contemplant. Au moment du débarquement, le fakir étant trop faible pour se mouvoir par ses: propres forces ce furent ses compatriotes qui le pbrtèrftnt terre, au milieu de la vénération de la foule.. Tsi-Ming, sans trop savoir pourquoi, mais curieux d'un mystère nouveau, suivit le fakir qu'on transportait en charrette sur les bords du Gange.

Le chemin devait être long qui menait; à la ville sacrée, mais Tsi-Ming se souciait peu de la fatigue 'et des privations. Il pensait que parmi ses nouveaux compagnons,, dans ce pays inconnu, il allait être à ,1'abri ,de!l action des Glycines d'Or Une seule idée le;-précocupait maintenant pu*>îfier-J^o# eifrpsaavàht^qti'ifc-iî'ftequH! une' rifeuVdle-fei&tëiïce: En' |5ënWraht "ffansi

l'itidâT mystérieuse, il .Payait le pressentir;

ment d'aller 'VejsJ'aj-éaijsati^n^^faH dg-

sir,

Tsi-Ming avait déjà vu certains hôtes du monastère passer, des jours en méditation, immobiles, perdus dans leur extase., Maisle Fakir qu iï suivait était plus extraordinaire parce que son immobilité-durait plus longtemps et qu'on ne le voyait prendre aucune nourriture. Son corps était insensible quand on le traversait avec des aiguilles et ses membres avaient la rigidité du bois. Cependant, il parlait aux gens, qtri, en chemin, s'approchaient de lui avec vénération. Aux approches d'un village, le bruit des tajn-tams résonnait dans la campagne. C'était un cortège qui s'avançait au-devant du Fakir, pour l'escorter ensuite' jusqu'au prochain village. La 'distance était longue souvent entre les hameaux, et le cortège, traversait, sans y rencontrer rien de vivant, d'immenses terres qui paraissaient mortes elles-mêmes. Il semblait à Tsi-

conduit à l'Hôtel-Dieu. ;Rua de Rennes, oa< taxi entre en. collision, ayee un attelage. Lfr, chauffeur Florentin Viard, 158, rue Fazilleau, à Levallois, a été blessé et 'conduit à là Cha- rité. < :J-~

Sur les quais. Qiiài Malaquais, Mme Marceline Plé, 59, rue de Seine, tombe accidentellement dans la Seine. Quai de'la'Gare, le marinier Marcel Wallarigôn, 168, rué i de "Charenton, retire de la Seine le corps d'un hommede 40 ans environ. A l'Ijastitût médico-légaî. Accident du travail. En iji-oçëdant au neï- toyage d'unp devanture, rue du Faubourg-Mont^martre, le laveur de carreaux Emile LejspUrdj 54 ans, demeurant rue' du Fapbourg-Saiht-De- nis, qui était grimpé sur une échelle, fait s,ime chute et "Se" ffâctiiïe là- jambe- gâuèhe.. A L'àirî- <

boisièrer'^ "e. "<tp J% ï^' ^oiiK; t 3-,

>;>• Ï3JI1WIÏ! *& ̃yiteiiuliv iifepiap-'il'.

"̃̃: ̃̃:̃ ̃-ij.r.y^v >y. >"̃-̃ B^<-

L.1~~A'~tdV i

Les signaux lumineux sur candélabres Sur la proposition de Mi Fernand Lau- rent, le Conseil municipal, par délibération du 9 juillet 1926, a invité" l'administration à indiquer .la. nuit^ dans les prin: cipales rues de Paris, les arrêts d'autobus, les boîtes aux, lettres et les. postes d'incendie au moyen de signaux, lumi-. neux apposés sur le fût des appareils d'éclairage.

La mesure, va être réalisée par la T. C. R. P.. pour la signalisation des' points d'arrêt des- tramways- et autobus, qui sont, au nombre de 2^700. Le projet comporte l'installation d'une plaque ^'réfléchissante comportant une série- de prismes à réflexion ..totale. Pour, les, avertisseurs d'incendie, on étudie la possibilité- de- les rapproçhei^ des candélabres. ? Les urbanistes américains à l'Hôtel de Ville La municipalité de 'Paris a'treçu, hierj

à PHôtel de .yiHe,. .dêlégatiqn améri-

çaine des spécialistes des ans, de .ville. Mv 'Victor Bucaille a souhaité la. bienvenue aux 'délégués, qui lui ont été préseritéis par Si. Gep_i:g6$ Bènoît-Léy^direc' feùr-i^o rAs&Qfii3ttoi},id(^çitfe^:tyiri^è

de. la;. Seine. xw>nu\ i\> ((̃.(̃i'i-Kp vAiih Un' dibeetéur de la Ghanlbre' de com-: merce des Etats-Unis; M. John rWder, ra- répondu au nom de' d,êlégation- amét^'1

çaine, 'Y i'. ,;̃̃

L'anniversaire de la bataille de la Mariie et la municipalité, parisienne A l'occasion de la journée anniversaire' de la victoire de la Marne, le Conseil municipal de Paris preijdra part aux .manifestations patriotiques qui ont lieu, au- jourd'hui à Meaux. et aux environs. Le matin, MM.-< Pierre Godin, président du Conseil municipal de Castellane, viceprésident, et Champion, vice-président du Conseir général, déposeront une palme à la statue du maréchal Gallieni, sur l'Esplanade des Invalides,

L'après-midi, des palmes et des couronnes seront déposées, au nom de la Ville de Paris et du département de la, Seine, sur la grande tombe, de Villeroy, au monument de Barcy, aux cimetières civil et militaire de Chambry, au monu-' ment d'Etrepilly, devant la statue du maréchal Gallieni à ïrilbardou, et au nouveau cimetière de Mèailx.̃ En outre, à l'occasion de la eélébratioj;, à Philadelphie de l'anniversaire de la bataille de la Marne et de la naissance de La Fayette, lé drapeau offert par la ville de Philadelphie à la.VUle de Paris sera; hi^sé-j.^u^canîpapilei/dè.' l'Hôtel .de

~41IedÎ(t Ittmit &-6e!~tentb)'e<"a~4'b.30.

/a»H)%J^^lft::n.)^M' a ̃/̃

;~aH)i,t*~ M'~ "<')'tftëf!a;9''

Le prochain mariage dû général Ludendorff

̃[̃ i. ̃ ̃ ̃ ̃(. ̃ ̃ ̃̃̃

Munich, 4, septembre, On annonce offleiellement le prochain mariage du. général Ludendorff avec la doctoresse eu médecine Mathilde von Kemnitz.

Une grève à Odessa ,1

dans une concession anglaise REVAL, 4 septembre. Le secrétaire général du Profihtern, M. Losowski;; chargé de" faire une enquêté sur. la grève du télégraphe indo-anglais à Odessa, con-r dut dans son rapport adressé à Moscou que la compagnie anglaise a formulé des exigences qui témoignent dé l'incapacité des concessionnaires étrangers à s'habituer à l'état de choses établi dans la République des Soviets. La grève des employés menée à ses fins servira d'ensei-i griement a la compagnie' anglaise et aux; postulants européens de concès.sioris en

•u.; R.rs, s.; ̃̃•.

~t' .M < v

.«;• V.j^;MySSpLINi;.},2- reçoit vm^M0^

,3' v. ,?v .• -i-. 1 x<

.Rome, 4- septembre." ~"M. ^Mussolini >a été informé par l'ambassadeur d'E§pag«éf que le roi Alphonse XIII l'avait nommé' chevalier de la gran4.'croix ,dA Mérité,

Naval.̃ ̃-̃̃ ,-i j v

Ming qu'il s'avançait, vers la mort, à trâ-' vers des étendues de rochers, des forêts mortes aux arbres desséchés, des vestiges d'anciennes constructions de pierre des marches d'escalier des socles d.e colonnes indiquaient des villes disparues. La caravane, un jour, fit halte. dans une grotte. pÀur s'atriter du vent Àtjde la pous-:sière. Xsi-Ming contempla "av.ee effroi,: taillés en plein roc, dans des poses convuK sées, évoquant la menace ou la? démence,, des images'de dieux, hautes de quarante pieds, des dieux' oubliés, de générations très anciennes, à dix bras, à trois visages, mi-hommes, mi-animaux, que d^s' sacrifices épouvantables avaient jadis entourés' et qui se désolaient niàinten,ant dans la solitude et l'abandon. Le désert franchi, la- caravane traversa la zone des lacunes et des rizières d'où- s'envolent les hérons et lés pélicans pour' atteindre la contrée délaTerre Roïïge, à la prodigieuse fertilité, l'pn ne distingue plus le ciel sous l'enchevêtrement des branches innombrables, où i.'hjumiditéi ,est chaude ^ti^Ffuméejî-oà-'leisol,jj}ieHplé "de bêtp^'pa'raîf^M'ouyartt; ̃ '̃<̃̃̃̃'̃'̃̃•'̃'><̃̃• ̃ W Enfin*' lin' soj'r,' apparurent les pyrani4-' des rqiige^(J-eg itêfiipi^jrflfi'MMp5., "-• La procession, grossie de derviches^ 'de zoghis, de orêtres et de curieux, arriva au bord du Gange. Jamais Tsi-Ming n'avait assisté à une telle exaspération religieuse. Il crut atteindre le berceau même de la divinité Il s'extasiait devant les temples où des grappes.de dieux s'élevaient vers le ciel en pyramides noires et or. D'autres effigies divines étaient parées de guirlandes de jasmins et de rosés. Sur les rives du fleuve, toute une population priait, pleurait, hurlait, tournait, vivait et moujrait. Les nuages faisaient un ciel éternellement gris au-dessus de l'eau. ̃. Un jour, Tsi-Ming fit un pèlerinage, à la hutte d'un ascète célèbre. Il contempla la maigreur exsangue de l'anachorète,' sa Chair diaphane, son ossature visible sous la peau parcheminée." Cet homme desséché, qu'on imaginait friable^ représenta pour Tsi-Ming lé saint dont, le corps ne contient plus d'éléments d'impureté.

LASAÏSON

t:r^ek'̃̃̃.?- I>fÀlX-LES-,BAlNS

Septembre en,, Sgwpie esk un; des,. mois les plus délicie'ùx,*e'rfoùt fait présager" que_ la « Season, y- «pr.Qlpngera au*! delà; 'de sçs limites habituelles. Comment, jrésister en effet a tous les attraits qu'offre la Reine des villes d'eaux à cette époque, où les manifestations d'é%arice; se, succèdent. Lés 'galas- "du Splêndidë-Royal continuent à connaître un succès toujours croissant; et chaque vendredi y -voit,' dans un cadre où le bon goût 's'allie à l'çfrigi- rialité,ïe;;rér£dez-vous'~de là-« Gehfry '».' Aiï derriîer gala, nous"' avons note au1 hasard

des' tables "V îè1 fiYiÂtii 'è^l^riiitesse^ôrt/Eugë-

fô'Rïispyiil'ën: Coîerî'dgé ejt;1àdy'KeKharé,i;sit;

ofeeft llorne, the EarFûî Calédon- èît'Përcfval-

àn#-1làlay6!MteMng,hsiriR«bertaaiîd«iyiîy%'BMv'

Mr'- and' Mfe' ^-ortlà»* 'BfeKop^'îadjffi Hbfhe, le b'aron ̃ "Maurice de Rothschild, le comte de Grammoilt, la comtesse de ̃ Sâlverte, Tristan Bemardi 'etc. ̃

""ir i? PANNËCV

Une fête villageoise a Tlinpénal Palace La béïje. et élégance société qui se donne rendez-vpus .sur. les bp^ds.du plus beau. lac de France a- assisté, .vendredi dernier., .à. la magnifique soirée «La, Fête a^ Village,» qui devait clôturer la, grande semaine > de l'Impérial Palace. L'actif et distingué. directeur, M. de GQttrau, animateur inlassable. de ces réjouissances, a droit à. toutes les, félicitations pour avoir su réaliser unff, ipareillé ,-fête.

Reinarqué parmi, la foule, élégaate marquis et marquise de Pescara, comte et comtesse de Bremond, d'Ars,. S. Exe. M. de, Riesco, comte ̃ et comtesse de Roquebelle, baron et baronne de Linsingen, Mlle de Linsingen, baron Alexis de Viyenot,. baronne de Vivenot, comte et comtesse de Larnage, M. et Mme. Jean Pellis^on, le compositeur Darnton, S-, Exe. van Verçndyc.k, S^^Éxc. M- André de Panàfieu et Mlles de Pa:-

nafieUj^tç.̃' ̃>̃ ̃̃

,c DBPOVQVES-LES-BAbX

Le 'tournoi; de 'tëpnis'çler.PoMgues-iegtËaux, a,

pblënu. txîut'le, Ï sucçès çscpmpt^^P.pugnes put iéûHif, p«WY'fe§, fjn^îsK' ^r le '^magnifSqye Court de championnat u pâr.c, quelques excellentes raquettes comme Henry Dusser, Spbrtin^-Club de Paris, vainqueur en simple Et en double du tournoi joue 'a Saint-iËonôréles-'Bairis, il y a' queiqué temps. Ce joueur de grand avenir, fut ïë principaf attrait du tournoi de Fougues et', gagna avec aisance le simple et le double messieurs en compagnie 'e de Râgonneaù. Ce dernier joueur très adroit et intéressant, après avoir vaincu'Wiener en de-* mi-f maie, fit une bien jolie partie contre Dusser dont l'esprit sportif enchanta les joueurs et les spectateurs.

Douze tfës jolis-prix furent distribués aux vainqueurs. ̃ ,• ̃ Résultats techniques Finale simple messieurs Dusser bat Ragonhêau, 6/4 (5/4. Finale simple damés': Mme Grobois bat miss R^CurfisJ 6/0- 6/4. ̃̃]' Finale double Hommes- Dueser-Ragonneau battent Eonfanti-.Mitt-Ier, 6/1 6/2. ̃; i Demi-finale et finale double mixte Mlle pister ef M. Wiener battent Mlle Mittler et M. Mittler, 6/3 i/Sy aipi' que Mme Wjener et Duspér par.W. O. ,Au ~,5~len~ad (,> T; Com^e et .coaitesse de Bourbon Chalut, comjteEsp de,^ft}ijer Bizy, M, Miannay, .M. et» Mlle Ackad, M. et Mlle Diaz, M. e^'rJ^ig/^QUHj, M, bt Mme Nijguiç.r, -,M.^J^ -•Mm.ê.rDjin. iprij^ 4e.

iCfi'o-u!ôt,*efe.. "̃li- ̃̃ ̃>-1^'»»-

uo"o'<çc fj `, zi7 ..u.:

,t.ap)'9%aH8'<M'~Plh

A VHofel du Tare. 'f'

A i r. •" •̃ '̃>̃

M. ,et Mme Caisse, Mme et Mlle Bourret, M. et Mme Gilletr générai Rouquerolle, Mme et. Mlle iBrézet, M. et Mme Wandelle, M. et MUe Ergat, ÎM. ef'Mme Bitidry, etc..

̃; -̃! a, .-] •;•,?• -jr.

A TRQUVILLE Le concours de vitrines du commrece de, luxe organisé' à Troiiville a eu le plus vif succès. A côïè de Boin-Tahuret (hors concours) ont obtenu des médailles d'hori-' neur Aine-Montaillé1 Isakof, « A la Place Vendôme a- Dodds Jane Perrioe, antiquités Simon, Dumont, dentelles Fléchelle^ fleurs na,tur elles « Au Pienard, Bleu », Çoronel, fourrures Jeanne, robes, manteaux Laijrette, modes; Louise, modes ;'« Au Bon Pasteur », avec un 'temple de l'Amour en lingerie. Des médailles d'argent ont été décernées aux maisons Amélina, robes « Au Chardon ;Bleu », tricots de luxe Cyril Ayre,, couj turier « Frivolités » Maison d'Art i Marie-Louise, modes Marini's, coiffeur iNoe'l, dentelles Rosé Mai, boûneter^e de jlùxe Seïect Restaurant Simpn, photoi graphe, Thérèse, salon de, .coiffure,

-̃>' iîi'-i i»>:o i.Mf^S*»,». •̃>-̃;̃•̃̃

1 L jassaïnrssément financier de Dantzig

̃ Vmisovïe, "4 sëptenïbreJ La Diète dantzikbise a voté en troisième lecture, la iflajttrité de 58 voix contre 52, toutes (les lois relatives' au programme de l'âsisa.iniss«ment des finances de la; ville libre.

N'étaitf ce pas I4 purification qu'il avait i cherchée, pour lui-même ?

'Au lieu, do descendre vers la ville, Tsi- Ming s'enfonça dans la profondeur de la ï forêt, luttant contre les .lianes qui einh;arrassaient ses .pas. Après quelques jours de marche,* il -s'arrêta dans une1 clairière. II s'assit et entra en médi-i tation pour atteindre la connaissance par̃ faite. Il se priva dé nourriture et s'astreiIghità à rester immobile, dans l'attitude du Bouddha faisant le geste (le la sérénité. II avait renoncé à compter les jours, les lunes nouvelles et il perdit jusqu'à la. notion (du temps et dit, monde extérieur. Avant qu'il eût atteint FlmmobiJité absolue, sa i présence avait attiré les hôtes habituels des forêts ;r mais dans, la forêt, le calme se, fit autour de lui,' çpriime il s'était fait dans son esprit. ̃

̃ II arriva/ à, quelque temps de là, que dés Brahniès, regagnant leur monastère, ̃ d4fiftgvrir^nt le corps desséché et rigide i& ÎEsiMimgiK Us .répandirent; la nouvelle qu'qh asé&teisaiiCitîfi#tilJptorêtiBtjque son fetfé/aySnfattèt'iti aùiîhîrVân¥j'a^âit qu|tté; son,. corps pour, s'incarner dans le cp^pà" iuri' ^:Mm^m^'MimBm% -.S ̃ ,3 ^Quelques personnes s'aventurèrent dans iaî.foritj jusqu'à la, clairière, pour se renr dre compte de la- vérité. Ils trouvèrent Tsi-Ming, assis sur le sol, -'immobile.' Des lignes aux tige^ légères, des liserons fleiibjes avaient rampe jusqu'à lui et entouré son coros, le moulant entièrement, si bien qu;il semblait: une statue de feuiltege; ̃ ̃• ̃- ̃• ̃̃ ̃ tin dés spectateurs, pour s'assurer de la présence de l'ascète dans l'enveloppe végétale, ̃ légère et.<tenace, ayant osé tour cher du-doigt le corps sacré, celui-ci s'êcroula en poussière et nr fut plus tout à coup au'un amas de cendres' à l'intérieur du. réseau des lianes. .̃•-

'Mais comme cette gaine de plantes qui a\*à'it épousé 'la forme humaine du fakir- demeurait dans sa rigidité, l'ombre de Tsi-Ming ppntinuàit, à s'étendre sur la terre.

LE MQWEyET; LA VILLE

~au~" ".?.

DANS LES AMBtA&ApàjS & | Le premier ministre anglais et _Mrs Baldwin ont donné, à Aix-les-Bains, un déjeuner en l'honneur: de S. Exc. r^mb|ssadeur,,ae France en Grande-Bretagne et-dë'Minéide Fleuriau, de passage dans cette ville. ïtf. ̃ Hugb Gumey, conseiller àvPàralïasf'. sade d'Angleterre en Espagne, a été nommé consul général' et agent diplomatique de la Grande-Bretagne à Tanger.

LE MONÙB OFFICIEL1 'V! v V., *Tf]VfewGNiiùriiitBb.p B^^ec'adejs-roaffajresg étrangères ̃>̃<&?< Yougsslavtes l'dafemanpcourti i

séjûâr *a«' LMoi" '"J, 3i- ./̃• '£̃> j5 i'

.•̃. 1p Kioqcj'iv *qi ;t»y f.,i.1 v.h znolu

RÈN~~Ï~I~E'i~'BNTS ritON~A~NJV' ~.i ¡;.

-x.,F.f.°:

LL, AA. RR. Mgr le dùc-eï ftfcné.la1 duchesse de Guise sont arrivés à Barcelone 'e d'où ils se rendront. dans leur domaine de Larache, au Maroc.. ̃ On -annonce, qu'au cours de son séjour à Biarritz, S. A. R. le prince de Galles rendra visite à S. M. le; roi d'Espagne/ à SaintSébastién." '̃;̃ ̃ ̃ Ainsi que nous l'avons annoncé, LL. AA. RR. le prince et la princesse héritiers de Suède sont, arrivés à Tokio, 'ils resteront jusqu'au io octobre.Le prince Àdplphe doit faire. des recherches' archéologiques dans, .différentes parties du Japon et de la Corée* ̃* S. A. le maharadjah de Kapurthala' fait un séjour à Lausanne.

S. M. le roi Alphonse XIII a conféré lé collier 'de. l'Ordre de ^Charles JIIi au -marquis detViana, qui..se trouve actuellement àverf ,-sejs, enfants à Deauville.

Mme .la générale- Pau est au château d'Argentoller. ,,j, ̃ --i ̃ Des iihés; dansants'" trèsj.élégfints sont donnés en ce moment au Golf de Royan, (Gountry Club de Saintonge). ,-1>r..(>«- es Jours M^Ù "mViioRA ah.

:'¡' :qÜq1.t'~ 1 ~n'): '1;) r~.()\c.r~1 L sDCr·

Comte, et, comtes^ 4,$, &os«é. j-Çr-jssacî jflomtft et .comtesse -G. de Praçomtal, M. etj.Mme, .ftlfJJ" rice Hennéssy, Mme Anïsson du Perron,, comte et ̃comfès^TSe 'Fontenieux, comte efr 'comtesse Espiëwe,- comte et comtesse de" Viafis, comte et comtesse de Grailly baronne^ de- Brullon, comtesse L, de Dampierre, M. et Mme RolandGosselin, comtesse et -Mlle de Lassence, Mlle Germain de Rihon," marquis et Mlle d'Assçhe, comtesse M. Treuille, M. et Mme Henri Pelletreau, Mlles de Palamïny, de Séailles, Martin Le Roy, de Montozon, marquis de Graill-y, comte de Verthamon, MM. Hedde, Ribon, J.-D. Veysset, JMpérier, Guy de. Verthamon, etc. MARIAGES ̃̃"̃ ,), On annoxic& les fiançailles de Mlle Marthe Ragon avec M. Pierre Naudé. ̃

DEUIL "̃ ;V; '*̃.̃

On annonce, d'Evian la, mort du, comte Gérard ,de Dampierre, ancien conseiller gêné-ral des Landes, chevalier de la Légion d'honneur, décédé subitement le 1" septembre. De' son mariage avec, Mlle Renouard, il laisse deux filles Mlle Béatrix de Dampierre et la, comtesse Jean de Poret. Le service .aura lieu,, le vendredi 10 septembre, à dix, heures précises, en l'église Notre-Dame-de-Grâce de Passy. (rue de l'Annonciation). Ni fleurs'ni couron-: nes. Le présent avis tient lieu de fairë-'part.

LJp'h~tfpH,;5e {er¡¡, ult6rieurQ ent £

~ûj:\JR8!J6?!~¿n~)PO!t~lntll~ Í.\ "J1P9:JG1q r.,

s~W~©bF~t~de.l~Ly~&~E~~ d~s~~t>y-

bàt auront lieu le mardi 7 cssiianfcjOi, Sallenelles. (Calvados). >? (.̃(=-, Hier, ont été célébrées, en l'église .Saint- Honoré d'Eylau, les obsèques' du général inarquis de Brémond d'Ars, officier de,. la Région, d'honneur. La levée du corps a été faite et l'absoute a. été donnée par l'abbé. Touyé, second vicaire. Le deuil était représenté par te capitaine comte de Brémond d'Ars et le comte Charles de Brémond d'Ars,' ses fils, M. Pierre de Brémond d'Ars, son 'petit-fils M., de.. Coniac, son beau-frère le comte de La Cornillère, son, neveu M. Jean de Bonnières de Wierre et h lieutenant. Desazars de..Moçtgailhard, ses petits-neveux le comte Philippe de Brémond d'Ars, le comte Jean de Brémond d!Ars.- et :le marquis de Migré, ses cousins.

Du côté des dames, par la marquise de Brémond d'Ars, sa veuve la comtesse- de' Brémond d'Ars et. la comtesse Charles .de Brémond d'Ars;j ses belles-filles Mlles de Brémondrd'Arï,' ses petits-filles la rn^rqûisé; de:Goullàrd,-d^rsay et c.$ntesse dcGalard-: Béarn, ses nièces M. Jean de Bôhnièrès de Wierre, la baronne Jean Desazars de Mont-*

"gaithard ,fL Mlles de Galard-Béarn, ses petites-

nièces [-W (comtesse Eutrope de Brémond d'Ars, la comtesse Guynde. Brfimo&ui'AÉSiet,, Mlle^ iAP-P'e ^%».iê^' sWho^sitîm '^< ̃̃ Une délégation :d'bfhcïéîs 'dè'ia5 rilàtfc?*-éfa|j;' au premier rang de l'assistance très nombreuse: :9fl16 f-

L'inhumation a eu lieu au cimetière de Montparria'ss'e. l'

TROISIEME PARTIE PJace aux ombres

Dans le monde des ombres V

Chaque jour, le soleil qui se mouvait à travers le ciel, de l'Est, à l'Ouest, faisait accomplir à l'ombre de Tsi-Ming un parcours de l'Ouest à l'Est, de l'un l'autre côté de l'apparence en feuillage deTsi-

Ming/. ̃̃̃̃̃)'

111ing: .J'

L'Ombre était habituée à.être rivée docilement aux pieds de son maître, l'ayant toujours suivi, malgré de temporaires éclipses, depuis près de1 vingt-sept ans. Elle et lui avaient pris sur la terre une même attache, comme deux feuilles d'une înêtne .plante. Ni frère attache son frère, ni épouse à son mari, ni fils aîné à son père ne pouvaient prétendre surpasser en fidélité Tsi-Ming et son ombre et cela malgré la malignité dfef padssânces luinineu* ses aveÉ'?FeSquëlïès:lîfbnîB|;f -avait ©ntrepriS1-

Juitë:~c.ess~ ~i~

i?# lu#té~p&esSapl`~;`'s~,a G ~e ` d _~l ·~ ;e

JLorgflue ^çn^çajâ e^enji,feiiSQile4jurlT,

gisiS8it1plafiJV.4«*ipHissaîM!e''a 1 horizon^ aarr

dant contre elle des rayons obliques qui cherchaient à la pénétrer, l'Ombre, prudemment, se faisait de son maître un abri et tant que le soleil tournait astucieusement autour de celui qui la protégeait. Derrière lui lorsqu'il marchait face au, soleil, devant lui lorsqu'il tournait le dos à la poursuite des rayons; sur le côté, propice, dès qu'il prêtait le flanc à l'attaque, elle disparaissait dans les pieds mêmes- de son maître lorsque la -clarté diffuse tonit bait du zénith. Sa seule crainte était que celui auquel la deâtinéé l'avait liée lie. fût soudain enlevé de la terre par des puissances, néfastes. Elle avait remarqué les oiseaux qui s'envolent, laissant à terce leur ombre celle-ci, alors, s'affaiblissait, diminuait jusqu'à disparaître entièrement, car une loi inéluctable fixe les çmbres sur la terre. yqnibre de Tsî-Ming se rappelait avec angoisse certaines, journées livides; sbu^

# On 'annonce, la niort de. M. W.elcome* & *Zony, "avocat" à Cour d'âppéFde Bo'fî" déaux, ancien bâtonnïef. On annonce du Chili la mort de ] Mme 'Étlwards'JËlle étaîf :1a. mère deS^Ex^ M. Augustin Edwards, ancien ministre du Ohili, qui fût aussi président deJa Société des Rations, de la duchesse, des Cârspdè Mme de Gandarillas, ,f amme.de, l'attaché à la légation du Chili en France, et. de Mme Jacques Feydeau, ̃

-Les- enfants de M. R.-D. Tata nous prient 'de remercier bien: sincèrement de leurs $m'^Hifeg3<i43spîpm|lié>'Jt«m -les pérson-

rjes-quî^'oa 'Sris',£p*art°àr leu^'gfanae «douleur1.^

lh. S't9~nS~ nf" Q: .fL'

i gJnioq ïEit'Jisi.') ii.i« aiiBaa-ïs-W11®?1?»" j~-=

l -̃'iO.,fiCK- s. -T WjrJ.Wft ("̃ ci .kj ;KifS'î" ̃̃̃?<.•,

Nous rappelons qu les insertions co%- cernant la rubrique « le Monde et, la V iUe » sont reçues à nos bureaux et que des-conditions spéciales sont faites à no? abonnés.. ̃

̃– r*»; r

PETIT CARNET

Voiis ̃ exécuterez vous-même avec le patron « Jenny de septembre un manteau élégant et pratique, ou encore un somptueux vêtement du soir spécialement créé par la grande Maison' des Champs-Elysées. Le patron est en vente 12 francs chez Réal, soieries,^ 392, rue Sàint-Honoré, et chez les marchandsde journaux.

7" r^s*^<^ 1 .i _̃̃

A L'INSTITUT

L'Académie des sciences morales et politiques, après avoir entendu un der- ` nier hommage adressé par son président à la mémoire du très regretté MprizotThibault, membre titulaire de sa section de législatipri, droit ^gubUc 3et jurisprudence, décédé récen^benj^.gi levé hier, sa séance en signe dè"'déùii.'

̃ L'Académie des beaux-arts a reçu de yi. Briandr, jniarstj:e,(les(iafMçesdéJtrangères, une lettre 1 inxuiant–à lui adresser, àne liste de,candidats au poste. de professeurMè-aessiri ià' l'EiïôleiSdnpeïieure des beaux-arts du Caire. j,,f t Elle a ̃ acéordé ùri*1- Ctege de ^quinze jours à M. Péchin, architecte, pension: naire de l'Académie de France à Rome, pour lui permettre de faire un voyage d'études en Italie. ̃ Ch. Dauzats.

Un abordage dans la Manche entre un steamer anglais

et un navire espagnol

^Londres, 4 septembre. -r- Plusieurs collisions se sont produites dans la Manche par suite du brouillard, et notamment celle d'un steamer anglais avec un na-i viré espagnol. Ce dernier a sombré, mais l'équipage $ pu être sauvé.

Les relations serbo-hongroises

BUDAPEST, 4 septembre. Dans' le' dis- cours qu'il- prononça à Mohacs, M. Horthyy régent de Hongrie, souligne la nécessité r flu'iï y avait, -à -rétablir dé bonnes rela% ftrdnl'ëntf&ïa^ëèigrte et lâ^YoUgoslavie.

-Cette5 i/pffiiîé-tf ti-^uvè'J «il" accueil" favov'.

i-iifelè''da!;ftrïiîsPi'esséi5'oûfeoslave''et le iour" naï oMci'ôux'lé S'àràouprava-, écrit aujour^i.' d'hui dans son éditorial que, d'après lui « des bons rapports entre la Yougoslavie et la Hongrie sont possibles et utiles'». Et en conclusion oh peut -lire << SLles d'ébl'a-^ rations de M. Horthy représentent le désir réel de rétablir des relations amicales entre lés deux pays, la Yougoslavie peut répondre qu'elle toujpurs.,eu ce mêmg désir. »

^E-^Ps^. r^

UNE BAGARRE AU BENGALE .'e A LA SUITE DTOE_PROCESSION a

LONDRES, 4 septembre. Le correspondant-de la Morning Post Calcutta rapporte l'information suivante

On mande de Barisal, centre d'agitation du Bengale, qu'une bagarre s'est produite à la suite d'une procession hindoue et que de nombreuses arrestations ont été opérées.

̃n y*- j ^f};i.̃ h S

Un coup grisou aux Etats*Uni& Seize mineurs tués

Tahota, (Oklahomà>; 4»- 'septembre. Les -équipes-de secours, continuant leurs recherches dans- l^a minje énrouyée,, psjr

;le coup de géïsoü qdi 1, pro~u>t hïer

le coup de grisou qui s'est produit" hier

mktïrt dans run charbonnage, ont pu trouver les cadavres d& 16 mineurs tués par l'explosion. Les sauvet^hf^'c^tabattent les flammes et s'efforcent £de'9iâg'ner l'endroit o"4 se trouvent les cadavres.

un cièli tendu de nuages où elle devenait si pâle qu'elle craignait de disparaître. Elle avait peur ainsi que son maître ne la perdît, et elle ne ressentait aucune joie lorsque Je crépuscule, effaçant les ombres sur la terre, les délivrait de leur assiduité auprès des êtres et des choses auxquels elles sont accouplées. Par contre, sa plus grande joie était, lorsque son maître se couchait, (Je s'étendre 'sous lut. Elle pensait repose-toi sur moi, Seigneur Si loin qu'elle, s'efforçât de se souvenir, l'Ombre ne se rappelait pas avoir jamais aiiitté Tsi-Miflg. 'fourtant, bien des anîîées, amenant de nombreuses tribulations, s'étaient' écoulées jusqu'à l'heure présente; elle- se demandait ce qui fallait bien pouvoir lui arriver encore,

Et elle. revoyait l'exiguïté de ses proportions, la petitesse de ses formes a sa naissance. Elle n'était qu'une ombre enfantine, ayant la forme d'une petite tête- sur la blancheur d'un oreiller, au-dessus de laquelle Se penchait, attentive, une om-' bre maiernelle. Qu'^aitrelle devenue, celle auxi4oigt*dél*«>atsiStjtti:&y4iit portée con.tre, elle '? Jlne'-autte ombre ̃ s'était, .aussi) inclinée- bieîi souvent ̃stii' son 'berceau, et

Rîttrs idëii«i?tlfes"feI;efôacMfênt parfois en

profilant sur le mtir natte dé; joncs' leur, double, silhouette,

L'ombre de Tsî^Ming -fut une ombre jc-uant à quatre pattes parmi des ombres de jouets puis, allant et venant sur deux, pieds; courant, dès le matin; à travers les' mes, pour entrer dans l'ombre vaste qui étendait sur la grand'place une forme architecturale là, elle retrouvait, assises -en, groupe, d'autres ombres studieuses, penchées sur l'ombre de leurs livres. Ver§ ,ce moment, elle trouva un soir, en rentrant sous le toit familial, une autre! ombre aussi petite, qu'elle se souvenait avoir été elle-même et couchée dans le berceau où elle s'était éveillée à la vie. Dés mois passèrent. Tout à coup; survint un événement qui fut une catastrophe dans le monde, des oiTibres.

Je^n JÇçuch^rj

(A suivre.)


DERNIÈRE HEURE

La guerre civile en Chine

.i.

Les nouvelles sont très confuses et parfois contradictoires

Londres, 4 septembre. On mande de Pékin aux journaux que des combats acharnés se livrent en ce moment entre les troupes ronges de,-e*nton et 'les armées, alliées. La bataille a lieu sur les rives du Yang-Tsé et l'iiïtervention étrangère sera peut-être nécessaire sur certains points de cette région pour 'protéger les concessions. (

Les nouvelles les plus contradictoires ne cessent de circuler au sujet du maréchal Ou-Pei-Fou qui, d'après certains télégrammes, aurait été blessé grièvement et fait prisonnier et qui, selon d'autres, serait toujours à la tête de ses troupes. Un dernier télégramme annonce que le maréchal a été blessé d'une balle à la poitrine. Il semble bien cependant qu'il soit toujours en train de diriger les opérations devant la ville de Hankéou, où il avait établi son quartier général, contre les forces de Canton qui, aux dernières nouvelles, auraient réussi à couper les lignes de défense alliées, le 1" septembre. au sud du Yang-Tsé.

Des combats sanglants ont également en lieu autour de Wu-Chang et des lacs qui environnent cette ville.

Selon des dépêches de dernière heure, •de source étrangère, des groupes révolutionnaires se seraient finalement emparés de Wu-Chang, qui est un centre commercial important en face des concessions (étrangères de Hankéou.

Avant d'abandonner Hankéou, Ou-PeiFou a établi son état-major dans la ville où il a installé ùr^iiOuyeau gouverneur et une nouvelle gariii'son.

EN GMNDB-BRETAGNE

T-?. -f R *")],

,:̃ ̃ ̃ r f

tes propriétaires de mines demeurent hostiles à un accord national

Londres, 4 septembre. La situation minière reste sans changement, et l'on s'attend à ce que rien de nouveau ne se produise, tout au moins durant le weekend.

Quelques leaders des mineurs sont, comme de coutume, partis dans les districts charbonniers, où ils feront une série de discours pour persuader aux hommes de ne pas retourner au travail, mais la plupart d'entre eux, y compris Cook et un grand nombre de délégués. sont partis pour Bournemouth, où ils vont assister au congrès annuel des TradeUnions britanniques.

La plupart des patrons, de leur côté, isont également partis en province pendant cette fin de semaine.

Cet après-midi, les propriétaires de inines ont informé le département des mines qu'ils ne peuvent pas accepter de prendre part à une conférence avec les représentants des mineurs et ceux du gouvernement, puisqu'ils sont fermement opposés à l'accord national réclamé par les mineurs.

Cependant, ils ont accepté par lettre de se rencontrer avec les divers membres du gouvernement qui s'occupent plus particulièrement. .de ,1a, .question, lundi prochain, pour examiner les différents aspects du problème.

MARCHE DES CHANGES Les transactions en devises ont été très peu importantes pendant la matinée d'hier. La liVfe, qui avait clôturé la veille à 164 85, s'est avancée à 165 75 à l'ouverture, pour finir à 163 90 (- 95 cent.). Le dollar valait en clôture, 33 74 (– 17 cent.).

BOURSE DE LONDRES

Londres, 4 septembre. Changes Escompte hors banque, 4 1/2 à 4 9/16 Prêts, 4 0/0 à 3 0/0 Sur Paris, 164 Sur New-York, 4 8568 Sur Belgique, 175 06 Sur Berlin, 20 39 Rio, 7 S/16 Valparaisor., 39 30 Buenos-Aires, 45 37 Argent comptant, 28 3/8 2 mois, 28 1/2 Or, 84/11 1/2.

L'OPINION DES AUTRES

It'Àmérique à la Cour de la Haye

TEMPS jêqçji,t;#ce sujet!1 V1' y II faut bien constater que; quel que soit le Jdésir que l'on ait devoir l'Amérique adhérer à la Cour de .justice .de La. Haye, certaines des Téserves qu'elle met à sa collaboration peuvent difficilement être acceptées telles quelles. Par ces réserves, au nombre de cinq, le gouvernement de Washington précise que. son adhésion ne doit pas être entendue comme impliquant une relation juridique quelconque entre les Etats-Unis et la Société des nations, ou l'acceptation par les Etats-Unis d'une obligation quelconque découlant du traité de Versailles que les Etats-Unis seront autorisés à participer, par l'intermédiaire de représentants désignés à cet effet et sur un pied d'égalité avec les autres Etats, aux délibérations du Conseil de la Société des nations aux fins de l'élection des juges à la Cour permanente de justice internationale qu'ils verseront une contribution équitable aux dépenses de.la Cour, contribution qui sera déterminée par le Congrès américain qu'ils pourront en tout temps dénoncer leur adhésion et que le statut de la Cour permanente ne sera pas amendé sans leur assentiment enfin que, sans le consentement des Etats-Unis, la Cour permanente de justice ne donnera suite à aucune demande d'avis consultatif ayant trait à un différend ou à une question dans lesquels les Etats-Unis sont ou allèguent être interessés. La résolution votée par le Sénat américain ajoute qu'en aucun cas l'adhésion aux statuts et aux protocoles de la Cour permanente de justice ne pourra être interprétée de façon à obliger les Etats-Unis à se départir de leur politique traditionnelle, « en vertu de laquelle ils sabstiennent d'intervenir, de s'ingérer ou de 's'immiscer dans les questions politiques ou dans la politique ou l'administration intérieure d'aucun Etat étranger «..De

plus, il doit ,;êfr$! gn,tjen4u ,^4§f 1Çn}%Pt â-flWfi

Plus, us, il doit ;;A1tf:l~i',fiP,~en,' 4u_,A¡{al~~p.t 2,flu.fl

l'adhésion des Etats-unis ne pourra être interprétée comme impliquant un abandon de leur part de leur attitude traditionnelle à l'égard des questions purement américaines. Certaines des conditions américaines ne sont pas faites pour rehausser le prestige et l'autorité morale de la Société des nations, mais, en somme, avec un peu de bonne volonté et à Genève on en a beaucoup on pourra se mettre d'accord sur ces réserves qui sont de pure forme et qui tendent à définir exactement la position prise par le gouvernement américain à l'égard de la Cour permanente de justice. Par contre, en ce' qui concerne la cinquième condition, celle-ci tend à assurer aux Etats-Unis des droits que ne possède aucun autre Etat en exigeant que la Cour de justice ne puisse donner suite à une demande d'avis qu'avec le consentement des Etats-Unis si ceux-ci y sont intéressés. Toute justice internationale deviendrait impossible dans ces conditions. En somme, les Etats-Unis veulent que la Cour permanente de La Haye ne puisse donner un avis consultatif que s'ils jugent qu'il ne peut y avoir aucun inconvénient à cela pour eux ils déclinent d'avance

Un conf lit sino-soviétique

Il s'élève au sujet du chemin de fer de la Chine orientale

Moscou, 4 septembre. ̃ La presse soviétique reproduit une dépêche de Kharbine annonçant que les autorités chinoi-ses j se- sont*" 'emparées dési-frsrisis'éaujt/ fluviaux qui étaient en rapport avec le chemin de fer de la Chine orientale. Les pavillons du^C.F.G.O. sur, les vapeurs et sur lès bureaux de navigationont été arrachés et remplacés par les pavillons- du ministère de la guerre et de la marine chinois. Sur les quais du C. F. C. 0., les autorités militaires de Moukden ont saisi et apposé les scellés sur les entrepôts commerciaux du chemin de fer, causant à celui-ci un dommage matériel considérable. Les autorités chinoises ont remplacé le personnel des quais du chemin de fer par leurs propres employés. La saisie des biens a été effectuée sans qu'un inventaire eût été dressé. Simultanément, l'ordre a été donné par le représentant de Tchang-Tso-Lin de saisir les écoles du C. F. C. 0. Ces mesures ont provoqué la rupture des négociations qui étaient engagées entre la direction du chemin de fer et les autorités chinoises au sujet du contrôle des organes administratifs chinois sur l'activité des écoles.

LES DEBATS DE GENEVE

[SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE]

Aujourd'hui, le général Primo de Rivera a répondu à MM. Briandnet Chamberlain par le télégramme que- voici Je n'ai jamais ressenti une. qu^si profonde émotion que celle que fe~pïbuve"en recevant 16 télégramme signe par Vos Excellences qui, à leur juste renommée d'éminents hommes d'Etat joigrbeW la condition d'hommes droits n'ayant d'autre souci que celui de conduire l'humanité vers la justice et la paix, véritable honneur des nations. Jamais ma modeste personnalité n'a pu s'attendre à un honneur tel que celui que signifie le télégramme de Vos Excellences.

Mon inclination personnelle serait d'accéder immédiatement à l'invitation qui m'y est faite, si ce n'était mon devoir de veiller ait presse de cette vieille, glorieuse et bien-aimée Espagne qui, reléguée à un plan inférieur à sa condition, doit chercher une -altitude convenable dans une digne abstention.

Je suis convaincu que notre décision ne compromet aucun intérêt ni principe de la S. D. N. pour la prospérité de laquelle l'Espagne, son roi et son gouvernement font les vœux les plus fervents.

Permettez-moi, Excellences, de vous exprimer ma profonde gratitude pour l'honneur que vous me déférez et la haute considération témoignée à l'Espagne. Je ne puis ainsi, à mon grand regret, suivre comme ce serait mon désir la noble invitation de vos Excellences, auxquelles j'envoie mes plus cordiales salutations.

La procédure d'admission de i'AJlemagne Genève, 4 septembre. Voici 'comment on envisage à Genève la situation des événements de la semaine prochaine en ce qui concerne la procédure d'admission de l'Allemagne dans la S. D. N.

L'assemblée s'occuperait vraisemblablement pendant les journées de lundi et de mardi de l'élection du président du bureau et de la fixation de son ordre du jour. Elle serait appelée mercredi matin à voter la recommandation du Conseil concernant la création d'un siège permanent en faveur de l'Allemagne et la création de trois sièges non permanents. A ce sujet, le Conseil, par la voie de son président, M. Benès, demanderait à l'assemblée, afin de simplifier la procédure, de ne pas renvoyer à une commission l'examen de sa résolution, qui devien- drait effective le jour même.

A partir de ce moment, l'entrée de l'Allemagne dans la S. D. N. et dans le. Conseil serait un fait juridiquement accompli.

toute responsabilité quant â • l'exécution des sentences rendues, et ils opposent des à présent la doctrine de Monr-oe aux décisions pouvant être prises dans des questions qu'ils considèrent com/ne Étant purement amëricai-

'Hes.' ̃•'̃̃'̃̃ 'J" l'y-

L'impérialisme américain

De VACTIOfJ FRANÇAISE, sous la signature de Testis

L'impérialisme de la vieille Europe est un des thèmes favoris des pharisiens transatlanti,ques. N'ont-ils pas été jusqu'à y trouver la justification de l'âpre revendication des dettes de guerre. Ce n'est pas par appât du lucre que les Américains réclament aux Anglais, aux Français, aux Italiens, aux Belges des milliards par dizaines. Honni soit qui mal y pense. Ces grands vertueux n'ont d'autre souci que le salut de nos âmes. En prélevant tribut sur nos misères, ils veulent nous donner une bonne leçon de continence. Pas d'argent, pas de folies impérialistes.

Nous sera-t-il permis de rappeler à ces bons apôtres la parabole de la pâme et de la poutre. Impérialistes, dites-vous, braves Américains. Vous avez quelques raisons de vous y connaître, car, en matière d'impérialisme, vous pourriez nous en remontrer.

Ne vous voilez pas la face. Les faits sont là. Et ils ne datent pas d'hier. L'annexion du Texas et de la Basse-Californie n'a-t-elle pas été une véritable opération de conquête ? Les intrigues et la mainmise économique au Mexique ne ressemblent-elles pas comme des sœurs aux opérations analogues menées par les puissances européennes en Perse, par exemple ? Y a-t-il, en Europe, une puissance qui poursuive avec plus d'ardeur que les Etats-Unis une .politique d'hégémonie ? Certes, la manœuvre se dissimule derrière .exploitation du nationalisme chinois. Elle à encouragé des illusions et propagé des idéologies qui ont plongé ce, malheureux pays dans l'anarchie. Mais l'objectif po'urïtfï-*»? «kt"d'ttfte"cra'f té* "aveuglante. Il s'agit de pourchasser l'influence des autres nations, notamment de l'Angleterre et du Japon. Pensez-vous que ce soit pour les beaux yeux des Chinois, i

Dans l'Amérique, du Sud, les Etats-Unis viennent de tenter un coup qui n'a pas été assez remarqué, mais qui et bien édifiant. Appelés à arbitrer le vieux conflit de Tacna et d'Aricà pendant entre .le Pérou et le Chili depuis le traité d'Ancon, ils n'ont trouvé rien de mieux que de tâcher de se-glisser entre les deux parties en faisant marcher la Bolivie. La vieille fable de l'Huître et les Plaideurs. Il est bien entendu que la guerre contre l'Espagne a été faite pour arracher Cuba et Porto-Rico à un joug odieux. Il est de fait que l'aventure s'est terminée par une tutelle américaine'plus ou moins dissimulée et par l'annexion des Philippines.

Parlons des Philippines. Où est le temps où la presse, transatlantique exaltait les aspirations d'indépendance des Tagals luttant contre l'oppression moyennageuse des Espagnols ? L'indépendance, on l'a prçmise formellement quand }es croiseurs de l'amiral Dewez ont p'a-

EN GRECE 1 |

Importantes déclarations du nouveau ministre

des affaires' étrangères

[SUITE DE LA première PAGE]

Et songeant sans doute à la parenté de régime politique qui, outre les autres liens, relit la France et la Grèce, M. Argyropoulo d'ajouter

Dites bien aussi que le gouvernement actuel, qui entend avoir une attitude çor(f^cjyei.,et..ïlçonstitut.ion|nçlle vis-àvis de tous les partis et qui entend laisser à chacun la liberté la plus absolue,, pour' soutenir, ses, idées duranb;la lutte électorale, est cependant un gouvernement profondément républicain. Pour lui, le maintien, la consolidation et l'organisation de la République en Grèce sont une nécessité, d'ailleurs salutaire.

Et que pensez-vous, M. le ministre, de l'accord gréco-serbe ? 2

Les garanties constitutionnelles ayant été rétablies, il appartient aux Chambres de ratifier tout accord qui aurait été négocié et qui a nécessairement besoin, pour entrer en vigueur, de la ratification parlementaire. D'ailleurs, nos relations avec les Serbes ne peuvent être que cordiales et confiantes et les rapports de toute nature qui unissent les deux pays ne peuvent que se développer de plus en plus par la force même des choses.

Et vis-à-vis de nos autres voisins, questionnai-je ? '?

Nous ne demandons qu'à avoir d'excellentes relations avec nos autres voisins territoriaux, les Bulgares et les Turcs. Vis-à-vis de la Bulgarie, nous avons dû nous joindre à nos amis serbes et roumains pour faire à Sofia la démarche commune que vous savez. Il est en effet indispensable de mettre fin aux agisse-

ments $es c'ômttâdlis 1ü, nialhèûreuse-

ments es camîta'djïs, qui, malheureuse-

mëht, 'n'r 'cèsseïri^ -'de 'troubler les relations que tous les voisins la Bulgarie voudraient avoir les meilleures possible avec elle. Nous espérons cependant que les difficultés s'aplaniront.

« En ce qui concerne, d'autre part, la .Turquie, la volonté du gouvernement hellénique est d'arriver, par un examen très franc de toutes les questions pendantes entre Angora et Athènes, à amener la détente nécessaire au développement pacifique de ces deux pays voisins. Ces questions sont, certes, nombreuses. Mais le gouvernement grec se montrera toujours conciliant, en réclamant, bien entendu, la scrupuleuse observation des traités. Et, en ma qualité de ministre à Angora (en effet, pas plus tôt qu'il y a une semaine, M. Argyropoulo occupait encore ce poste) j'ai pu m'assurer que les dirigeants de la politique extérieure turque ont compris tout l'intérêt, pour la Turquie comme pour la Grèce, de relations cordiales et sûres. » J'allais quitter le ministre quand la vue d'un calendrier me rappela l'imminente réunion à Genève de la VHP Assemblée. Je regrette vivement, me répliquat-il, de ne pouvoir y représenter mon pays. Mais le Cabinet n'ayant été formé que depuis deux jours, ma présence ici est indispeiMhlè; -v'u /• '1'-

^Telles" ïurén'f "les"' ttécTarâ'tion's" "dû mitiîsr S

tre des affaires étrangères de .Grèce, les premières qu'il ,fit depuis son accession à ce poste. Elles sont, comme vous le voyez, nettes, sincères, frappées au coin de la sagesse et de la meilleure des volon- tés. Et ce qui est peut-être plus important encore elles sont le fidèle reflet des sentiments panhelléniques. La Grèce n'aspire qu'à une chose à l'ordre dans la paix. Pour la paix extérieure, cet <tat d'esprit est le meilleur des garants. Quant à la paix intérieure, attendons, pour la saluer, les élections du 24 octobre mais, d'ores et déjà, anticipons-en le règne imminent, en toute confiance. La fatigue, tout comme l'élan de ce peuple si maltraité et pourtant si intrépide et si jeune, la réclament et le beau ciel de Grèce en bénit d'avance le rayonnant avènement. Léon Maccas.

ru dans la baie de Manille pour se couvrir de gloire en envoyant par le fond quelques vieilles coques en bois. La promesse a été renouvelée à maintes reprises. Mais chaque fois qu'il s'agit de tenir, on trouve un excellent prétexte pour ajourner.

Précisément la question est à l'ordre du jour. Le général Wood qui gouverne l'Archipel d'une main rude a vu se dresser contre lui des protestations, QjU^ naturellement, ont trouvé dés appuis dans la campagne électorale américaine. Le président Coolidge a dû expédier un commissaire d'enquête. M. C. Thompson, chargé de cette mission, a donné de$ conclusions formelles. Les Philippins sont incapables de se gouverner eux-mêmes.

Il faut à Paris une politique

de la circulation

Et l'HOMME LIBRE qui écrit cela ajoute mais ce n'est pas celle qu'on pra-, tique.

C'est une nécessité détestable, mais formelle, que de veiller à l'entretien des voies de Paris et, par conséquent, de temps à autre, d'éventrer une rue ou un' boulevard pour lui redonner des assises solides. Encore faudrait-il avoir, en la matière, une politique cohérente qui, tout en s'inspirant des nécessités du moment, respecte la saine logique. Est-ce bien le cas ?

II nous semble que non. A grand renfort de publicité tapageuse, on nous a annoncé que des commissions successives de conseillers municipaux visiteraient les capitales et les grandes villes d'Europe pour. savoir comment on y circule avec la même pompe verbale et écrite, on nous a déclaré qu'une des causes de l'engorgement de Paris, c'était la présence, au centre de la'ville, de lignes de trams y abou* tissant. Et l'on a ajouté « On les supprimera. Les terminus en seront reportés à la périphérie. »

Bravo a applaudi le chœur des badauds. Et voici -que le chœur des badauds, après avoir attendu^ longtemps !&• /réalisation de ep programjnej somme,toute facile, ne comprend plus., ̃

On lui bouleverse, près de l'Opéra, tout un

quartier qu'il' iêHkkW– û« -quartier qui étart une gare de 'tramways. Une gare monstre. Et ce n'est point, comme il l'espérait, pour en arracher les rails, pour commencer l'œuvre de libération de la chaussée parisienne ce n'est point pour en faire sauter, à tout jamais, les encombrantes et tintamarresques voitures qui y rampaient à la queue-leuleu c'est pour reconstruire les voies, c'est pour les mettre au point, c'est pour les renfdrcer.

Paysage de cataclysme, où les passants se rompent les genoux, où les voitures ne s'aventurent pas, où le démolisseur est roi, où les trams, a toute heure du jour, arrivent, déraillent, sont remis sur voie, et repartent cahincaha vers de problématiques destinées. Paysage devenu habituel avec la longue, l'immobile, la désespérante fille de voitures paralysées par un déraillement.

Et tous les jours la manœuvre se répète la fausse manœuvre qui fait sortir le véhicule des rails et crier de terreur les voyageurs. En vérité, est-ce pour en arriver la qu'on nous a dit que Paris, étant de plus en plus envahi par la circulation automobile, il convenait de le dégorger et, dans ce but, en

LEGION D'HONNEUR

Dans la promotion de la Légion d'honneur, au titre du ministère de l'intérieur. nous relevons avec plaisir le nom de notre collaborateur Pierre Lamotte, informateur parlementaire.

Ministère de l'intérieur

Sont promus ou nommés

Commandeur M. Abric, journaliste à Paris.

Of ficiers MM. Bcnedetti, préfet des AlpesMaritimes Ducaud, préfet de l'Hérault Denis, conseiller général, maire de Toul Alexis Caille, Etienne Chichet, Marzloff, Alfred Oulman, Charles Saglio, journalistes à Paris. Chevaliers MM. Callard, préfet de la Haute-Saône .Taussaç, préfet des Hautes-Pyrénées Marron, chef du cabinet du secrétaire .général, du .ministère de l'intérieur Cadël, « sous-chef de bureau au ministère de l'intérieur Varin, secrétaire de' la direction de la Sûreté générale ;Bay on- Targe, .rédacteur principal 4u ̃ ministère de l'intérieur Pichon, commis principal au ministère de l'intérieur Petit, sous-préfet d'Autun Borelly, attaché au secrétariat général de la questure du Sénat Chavany, conseiller général, maire de Colombes (Séine)\; Debré, grand-rabbin à Paris Ginisty, maire de Fresnes (Seine) Picquet, ancien conseiller général, ancien maire de Marboz (Ain) Charles, conseiller général, maire de la Bastide-de-Sérou (Ariège) Sonnet, conseiller général, maire des Riceys (Aube) docteur Emerit, conseiller général de Saint-Jean-d'Angély (Charente Inférieure) Riffaterre, conseiller général de la Creuse docteur Laborie, co.-ociller général, maire de Peyrillac' (Dordogne) docteur Aules, conseil- ler général, ancien maire de Saillans (Drôme) Couton, conseiller général, maire de Clarensac (Gard) Villaret. conseiller général du Mallein-Gcrin, conseiller général de l'Isère Mallein-Cérin, conseiller général de l'Isère Graby, conseiller général, maire d'Arbois (Jura) Sausset, conseiller général, maire de Marcilly-en-Gault (Loir-et-Cher) Lenglet, conseiller général, maire de Faux-Fresnay (Marne) Kergaravat, conseiller général, maire de Gourin (Morbihan) Truillet, conseiller général, maire de Sceaux-sur-Huisne (Sarthe); Gautherin, conseiller sérierai, maira d'Argen- teuil Esberard, conseiller général, maire de Salernes (Var) Limouzy, conseiller d'arrondissement, maire de Saissac (Aude) Olivier, président du conseil d'arrondissement de Caen docteur Poueydehat, conseiller d'arrondissement, maire d'Aramits (Basses Pyrénées), Ravisa, ancien maire de Montélimar; Mpleyre, maire de Saint-Martm-en-Çoailleux (Loire) Gaïlot, maire de Donifront Carrel, maire de Chindrieux (Savoie) Le Goff,' conseiller municipal de Pontrieux (Côtes-duNord) Chauvct, architecte en chef des Bouches-du-Rhpne Aussadisse, agent voyer en chef de la Corrèze Piciton, secrétaire en chef de la sous-préfecture de Dinan Canton. secrétaire du conseil général des Landes Fleury, agent voyer en chef de la Loire-Inférieure Mas,, secrétaire général de la mairie de Clermont-Ferrand Gousserv, chef de division à la préfecture de la Haute-Saône Rogé, secrétaire adjoint de la mairie de Douai Périlhou, secrétaire général de la mairie de Perpignan Dallaire, secrétaire général adjoint de la mairie centrale de Lyon. MM. Bichat; Briand, Georges Clausade, Cristini, Ebstein, Guillaux, Bougy dit André Gybal, André Jagerschmidt, .Tacot, Lamotte, Tabaraud, Vaysettes, journalistes à Paris Seignon dit André Négis, journaliste à Nice Priollet, dit Maxime La Tour, publiciste à Paris.

Police

Sont promus ou nommés

Officier M. Maréchal, directeur adjoint de la police municipale à Paris.

Chevaliers MM. Niclausse, commissaire divisionnaire à Paris Siron, commissaire d'arrondissement de la ville de Paris Guillaume, commissaire divisionnaire à la direction de la police judiciaire Fabre, commissaire central, chef des services de la police d'Etat de Toulon et de la Seyne Ducloux, commissaire de police mobile au contrôle général des services de recherches judiciaires. Promotion des maires

Sont nommés"

Chevaliers' MM. Aix^sîêre, à J Arbofine' (Seiine-et-Marne)~<; Bacon," ancien- maire de Labouheyre (Landres) Bariou, -à Mellars (Finistère) Barrère, à Montégut (Hautes-Pyrénées) Bertrand, à Cabourg (Calvados) Bidaux, à Villars-le-Sec (Belfort) Buteau, à, Sivignon (Saône-et-Loire) Carraz, à Montricher (Savoie) Chantegreil, à Saint-Michelde-Villadeix (Dordogne) Chaussin, ancien maire de Seurre (Côte-d'Or) docteur Cisterne, à Bassignac-le-Haut (Corrèze) Conthe, ancien maire de Nieudan (Cantal) Cramaussel, à Durfort (Tarn) Daignan, à Bézeril (Gers) Decouz, à Francin (Savoie) docteur Dewere, à Petite-Synthe (Nord) Duchastel•lier, à Viessoix (Calvados) Dumaz, à Noyer (Savoie) Dumortier, à Pollionnay (Rhône). MM. Dutronilh, ancien maire de Soues (Hautes-Pyrénées) Fierobe, à MontancyBrémoncourt (Doubs) Frayssinet, à Loze (Tarn-et-Garonne) Frutcau, à Nomdieu (Lotet-Garonne) Galan, à Escala (Hautes-Pyrénées) Galmard, à Mondeville (Seine-et-Oise) Graille, aux Adrets (Var) Guervilly, à Plégnien (Côte-du-Nord) docteur Lacroix, à Sainte-Aulaye (Dordogne) Marie, à SaintCharles-de-Percy (Calvados) Palazi, à SaintGrégoire (Tarn) Palazo, à Castillon (Basses- Pyrénées) Peytavi, à Serralongue (Pyrénées-

premier lieu, d'instituer un programme du rail qui consistât justement à répudier le rail. Souvenez-vous. Il n'y a pas bien longtemps encore, on nous annonçait triomphalement, après la suppression des lignes passant par la rue du 4-Septembre « Et les autres vont suivre » »

Il n'y a pas longtemps. Et pourtant il semble que cette parole, cette sage parole, soit 'déjà rejetée au Jj^ïjds des vieilles lunes. On Iremét du raîï, on eâracïnë dû'rafrY'si on poujvait le faire inarrachable, on le ferait. 1 Grand merci 'pour nos enfants: et- pour nous-mêmes. Avant deux ans, la vie sera belle pour les piétons l'embouteillage, avec l'accroissement des voitures, sera devenu tel qu'on pourra passer devant les rois du pavé en lisant son journal. Il faudra dix minutes pour aller de la rue Scribe à la rue du 4-Septembre. Et deux heures de la gare Saint-Lazare à la Bastille.

Que voulez-vous, on refait du rail.

Ii'Espagtie et Geûètte

De M. Jules Sauerwein dans le MATIN On estimait, dans les couloirs, que l'Espagne ne pouvait pas se désintéresser de la S. D. N. Toutefois, les ministres particulièrement compétents dans la question avaient une vue moins décisive. L'Espagne s'est mise dans une situation des plus pénibles. Elle refuse la combinaison qui lui est offerte elle a continué à exiger, un siège permanent et non pas, comme le Brésil, pour une question de principes, mais en y joignant un marchandage. Elle ne s'est pas gênée pour dire que contre un succès dans l'affaire de Tanger, elle se montrerait conciliante à Genève.-

Jetons un voile sur les conseils qui ont été donnés et dont les auteurs sont peut-être aussi gCnés que leurs amis de Madrid. Le fait est brutal l'Espagne n'a obtenu ni Tanger, ni un siège, alors qu'elle pensait qu'elle aurait l'un ou l'autre infailliblement.

De la sorte, le succès dont le général Primo de Rivera avait besoin pour consolider sa situation, risque de se transformer en échec complet. La,, sagesses lui conseillerait de se plier à l'inévitable et de se refaire facilement une popularité parmi les puissances dont il a besoin. Il lui suffirait de dire avec d'heureuses formiiïeS qu'il âtten'd'de l'avenir- les satisfactions qui lui sont dues, et qu'il ne veut pas prendre la responsabilité d'ébranler l'édifice de Genève. Ce que la raison lui dicterait, l'orgueil le lui permettra-t-il ?

La commission du Conseil a tout fait ce matin pour lui faciliter une honorable retraite. Elle a voté une résolution de lord Cecil, entièrement consacrée à l'Espagne. La commission y rappelle toutes les garanties dont s'entoure le droit de rééligibilité il est l'objet d'un vote spécial de l'Assemblée il permet au titulaire de rester membre du Conseil pour un temps indéfini de plus, la première désignation se fera immédiatement après l'élection de 1926.

Enfin, dernière satisfaction on a supprimé du projet le passage concernant le pouvoir de l'Assemblée de procéder à une réélection générale. Sans doute, une assemblée est souveraine, elle ne saurait être liée par les préçédentes, mais tout de même la S. D. N. est une sorte de club pu à'moins de se rendre coupable d'une atteinte à toutes les règles de la' gentilhommerie, les membres ne peuvent pas se déjuger,

flu Soleil de Jlessidor.

.!̃

Une jolie bourgade paresseusement étendue à l'ombre (?) relative des sapins aux reflets bleus: je suis à Gérardmer, perle des Vosges, centre des toiles fabuleuses.

De celles-ci les yeux ne sauraient se distraire; il y en a partout. Non seulement en longues bandes éclatantes séchant lentement sur l'herbe des prés, des ravins; mais encore devant chaque ferme où des fées rustiques les brodeuses du pays travaillent ce beau linge. Ah nous sommes loin ici des exagérations industrielles en vertu desquelles la pernicieuse chimie, secondant, le machinisme moderne., blanchit, en ) altérant, cependant, que .sont 'imprimés méca- niquement des motifs de broderie, qui sont à cette dernière- ce que le pianola est à la ̃ main d'un virtuose. ̃̃̃ :'i< J'ai visité les entrepets de l'organisme' excelr lent qui a repris et conserve ici les traditions séculaires. Vous entendez bien, mesdames, qu'il s'agit de la Société « le Linge des Vosges que, toutes, vous appréciez pour ses envois directs ec parfaits. Que de visiteurs s'approvisionnent « sur place dans cette maison dont s'envo- lent quotidiennement, vers le monde entier, des milliers de collections Vous aussi, lectrices, vérifiez, complétez vos armoires puis un mot au « Linge des Vosges » à Gérardmer, et vous recevrez ces séduisantes collections d'échantillons où vous trouverez, en linge durable et superbe, tout ce que vous pouvez désirer. Jacques d'Antan.

Au Congrès de la Fédération industrielle du Reich

M. Rheinhold exprime l'espoir

de la suppression prochaine du Plan Dawes

-1-

Dresde, 4 septembre. Le Congrès de la Fédération Industrielle du Reich a entendu un discours du ministre de l'économie nationale, Von Curtius, qui a exposé la grarid^ mission qui échoit à l'industrie allemande dans l'œuvre de reconstruction et de libération économique du Reich'. Après avoir signalé l'importance des divers traités de, commerce,conclus par l'Allemagne avec d'autres puissances, M. Von Curtius 'a^fait ressortir les difficultés économiques 'q^e le second cabinet Luther avait rencontré à son avènement au pouvoir. « Ces difficultés, pour être totalement surmontées, demanderont encore de longues années, mais cependant, on peut dire que la situation économique s'améliore de jour en jour davantage. » Le ministre des finances du Reich, M. Rheinhold, parla ensuite de sa politique financière. Abordant la question des impôts, le ministre déclara que la suppression de la taxe de luxe avait donné des résultats inestimables pour l'industrie allemande. M. Rheinhold en terminant son discours, exprima l'espoir que le plan Dawes sera un jour prochain supprimé, car tous les pays débiteurs ont un intérêt réciproque à voir supprimer leurs dettes.

La visite de M. Averesco à Rome

Rome, 4 septembre. On annonce que la visite à Rome de M. Averesco, premier ministre de Roumanie, a été fixée au 14 septembre.

M. Averesco, qui se trouve actuellement à Genève, aura des entretiens avec M. Grandi, sous-secrétaire d'Etat italien aux affaires étrangères, au sujet des différejites questions qui feront l'objet des prochaines" ri'é'i>bcia'tiôris'1itaî0-rôùinaTnes.

8tS"B0N- PLACEMENT La réputation des vins de Bordeaux n'est plus à faire. Leur valeur s'accroît de jour en jour.

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Orientales) Poquet, à Louchy-Mantfand (Allier) Prat, à Araux (Basses-Pyrénées) Rivière, à Fleure (Aude) Rogerey, à Duranville (Eure) Simonét, à Laizé (Saône-et-Loire) Ylallon, a, Chambost-Longessaîime (Rhône).

Cette motion flatteuse a dû arriver, à SaintSébastien cet après-midi. On en verra l'effet. Des hommes d'Etat qualifiés m'ont fait remarquer aujourd'hui que la crise de la S.D.N. était en voie d'être surmontée. Les traités secrets ou non secrets, conclus avec des buts de dissociation ont, d'après eux, fait faillite, et la S. LV.N.' sortira fortifiée de cette épreuve, et s'il y a des démissions, d'après ces personnalités compétentes, elles ne sauraient être que passagères.

Il y a peut-être un. peH.jdfopt^misme^danSx cette foi. A mon avis, il ne faut jamais oublier ce jgu,e: ,c|est que la S. D. N. Elle a deux aspects §ye est un directoire inamovible et elle est un Parlement.

ha commission de surveillance

des prix

De M. Henri Géroule dans l'ŒVVRE La commission a examiné un certain nombre de dossiers, relatifs à des marchands ou commerçants ayant réalisé des bénéfices excessifs. Huit ont été retenus, dont deux visent des marchands des quatre-saisons, deux autres des titulaires de place dans les marchés, et quatre des commerçants en boutique. Il s'agissait notamment de vente de pommes de terre à 80 0/0 de bénéfice, de gruyère à 47 0/0, de beurre à 45 0/0. Les trois commerçants convaincus. d'avoir réalisé ces profits excessifs ont été convoqués et ont été avertis qu'ils seraient partiticulièrement surveillés et que le premier abus qui serait de nouveau relevé à leur charge attirerait sur eux les sanctions administratives. Quant aux cinq autres, dont le cas a paru moins pendable, ils recevront un simple avertissement du préfet de police.

Passe encore pour ceux-là, mais la commission de surveillance a montré une regrettable faiblesse en ne prenant aucune sanction contre le mercanti coupable d'avoir réalisé un bénéfice de 80 0/0 sur ses ventes de pommes de terre. Il conviendrait, en effet, de, distinguer entre le bénéfice, (excessif réalisé^ sin-j des dçnrées;de première nécessité et celui qui été fait sur celles qui n'offrent pas ce caractère. Le pre mier ;cas est particulièrement odieux et doit être impitoyablement réprimé.

Pour en revenir aux travaux de la commission, elle a ensuite décidé d'étendre son champ d'action par l'étude des causes de hausse qui pèsent sur les prix de gros. Elle s'occupera également du prix de la viande, qui a baissé à la production, mais nullement comme par hasard, chez le détaillant. Elle donnera également son attention à la question du lait dont le cours, suroffres condamnables.

r*i ̃' i;

On voit que la commission de la préfecture de police fait tout i' même de bonne besogne. Elle se substitue au commissariat des Halles qui, depuis toujours, a pratiqué, en ce qui concerne les pavillons soumis à sa surveillance, une politique de Ponce Pilate. A vrai dire, on demeure confondu de constater qu'il a fallu la création de cette commission de surveillance pour sévir administrativement c'est, hélas' le seul mode de sanction qui lui soit permis contre les mercantis de la caverne des Halles.

Intériiû.

LES THEATRES LES PREMIERES THÉÂTRE DE L'AVENUE Le Rubicon, co. médie en 3 actes de M. Edouard Bourdet.

Le Rubicon, il y a quelque quinze ans, révéla au public le nom de M. Edouard Bourdet. Le succès de La Prisonnière a consacré la maîtrise de ce brillant auteur. Aujourd'hui, à moins de cent mètres; deux pièces de lui sont représentées simultanément sa première et, jusqu'à a présent, sa dernière.

tour !ton»iest 'différent, Êiafâ. leur succès fut égal: à la création.

Le Ruhiçoni c'est l'aventure d'une jeune fille qui croyait connaître la vie ̃et:, qui ne la connaissait, que par les romans ou par des phrases surprises, mais qu'elle comprenait mal. Elle aimait son fiancé. Elle aimera au dénouement son mari. Il y a cependant un pas à franchir pour aller d'un sentiment à l'autre. Et tout d'abord elle ne s'y résout pas. Il faudra, pour qu'elle devienne la femme de son mari, qu'elle ait subi les sollicitations pressantes d'un ami d'enfance.

Le sujet était scabreux. M. Edouard Bourdet l'a traité avec une délicatesse extrême. Il a tiré de la situation tout le comique qu'elle comportait mais il a étudié les sentiments de la jeune fille avec autant de grâce que de subtilité. Son dialogue est charmant, d'esprit et de finesse. Le Rubicon a été chaleureusement applaudi. L'interprétation, d'ailleurs, est parfaite. Les artistes dont M. Jacques Théry a formé sa « compagnie ont été l'objet, à juste titre, de nombreux rappels. Mlle Blanche Montel est la jeune femme avec son art nuancé, sa mesure, sa fraîcheur. Elle a été délicieuse. M. Charles Boyer a joué avec son autorité et son talent de grand comédien le rôle difficile du mari déçu. Il y a été remarquable. MM. Maurice Lagrenée, Julien Carette, Huchet, Mmes Jeanne Loury, Augustine Prieur, Christiane Delyne, Yvonne Hé-' ix ij ip.rmse, nt un, .ensemble excellent.

̃• f^

THEATRE DES ;MATHWRI$5.; L'Histoire du Crocoiile, comédie en 3 actes de M. Fernand Wichelcr.

M. Fernand Wicheler nous a donné, seul ou en collaboration avec le regretté François Fonson, des œuvres d'un comique plus solide.

L'Histoire du Crocodile est une histoire assez naïve. Une jeune fille amoureuse d'un jeune homme rencontré à un lunch de mariage un jeune homme prêt à l'épouser, mais inquiet des lois de J'hcrédité et qui, avant de se prononcer, voudrait étudier le caractère des ascendants. Et précisément une tante acariâtre dont les sautes d'humeur peuvent tout compromettre.

Tel est le point de départ.

L'Histoire du Crocodile est bien jouée par Mmes Gilberte Legrand, Berthe Charmal, Jacqueline Chaumont MM. Maury, Royet et M. Fernand Wicheler.

Maxime Girard.

CODKBIER DESTfiMTRES Aujourd'hui a

A LA Comédie-Française, à 1 h. 45 Le Misanthrope Louison.

& A't'O'PÉHA-CoMiQUEV'â Vit 30, Carmen.. <3* A l'Odéon, à' 2 h. 30, L'Arlésienne. S Au Théâtre Albert-I", à 2 heures Arms and the man (en anglais).

r*-

Même spectacle que le soir

Au Gymnase (2 h. 30), à la Porte-SaintMartin (2 h. 30), au Nouvel-Ambigu (2 h. 30), a la Renaissance (2 h. 30), à la Gaîté-Lyrique (2 h. 30), au Théâtre Sarah-Bernhardt (2 h. 30), à l'Athénée (2 h. 45), au Théâtre Antoine (£ h. 45), au Palais-Royal (2 h. 30), aux Bouffes-Parisiens (2 h. 30), au Grand-Guignol (2 h. 45), à Femina (2 h. 45), au Théâtre de la Madeleine (2 h. 30), au Théâtre Marigny (2 h 30), au Théâtre Mogador (2 h. 30), à la Comédie-Caumartin (2 h. 45), au Théâtre des Mathurins (2 h. 30), à la Michodière (2 h. 30) au Trianon-Lyrique (2 h. 30), au Châtelet (2 h. 30), aux Folies-Dramatiques (2 h. 30).

Ce soir

J* A l'Opéra, relâche.

J& A LA Comédie-Française, à 8 heures Rug Blas (MM. Alb.-Lambert fils, A. Brunot, Desjardins, Ch. Granval, J. Guilhène, P. Gerbault, Dorival,' Ledoux, P. Bertin, J. Wéber, Chambreuil, de Rigoult, Falconnier Mmes Colonna-Romano, Yv. Ducos, C. Fontdnev T, Navar).

<^ A l'Opéra-Comique, à 8 heures, La Vie de bohème (Mmes Stach, Corney MM. Raisin, Bourdin, Rousseau, Tubiana, Guénot, Mesmaecker). Paillasse (Mme 0. Garcia; MM. Oger, Allard, Génin, Rousseau). Orch. M. Cloez. Jt A l'Odéon, à 8 h. 30, La Dame aux Camélias (MM. Darras, P. Oettly, A. Carnège, Cailloux, L. Raymond, A., Clariond, R. Got Mmes H. Moret, R. Béréfldtj:G, .Duard, Guisin, Clarance). -'•̃ t'

iitJS Au Gymnase; à 9'iHéUr'ôif; la Beauté du diable (MM. Roger Gaillard, Numès, Saulieu et A. Morins Mmes Jeanne Boitel et MarieLaure).

J! Au THÉATRE Sarah-Bernhardt, à 8 h. 30, Mon curé chez les Riches, avec MM. R. Marco, H. Monteux, H. M?->'ret Mmes J. Delys, Jehanno et Cassive. (L?im. et fêtes, matin. à 2 h. 30).

^5 Au Théâtre DE PARIS, à 8 h. 45, La Vé-t rité tonte nize (M. Max Dearly et M. Raimu). A LA RENAISSANCE, à 9 heures, Tramel. le célèbre bouif, dans Bédaride de La Petite Chocolatière, le ehef-d'œuvre de Paul Gavault, avec Solange Moret et Henry Trévoux, Matinées jeudis et dimanches à 2 h. -30. Jt Au Théâtre DE L'ATHÉNÉE, à 9 heures, La Folle Nuit (Mmes Marguerite Pierriy, Alice Field, Andrée Guize MM. Robert Ancelin et Marcel Vallée).

^5 Au Palais-Royal, à 8 h. 45, An premier, de ces messieurs (MM. Duvallès, Paul Villé, Ransard, P. Ichai, de Livry Mmes Alice Beylat, Irma Génin, Suzanne Berni, Louise Dauville, Maud Valneige).

*Sî Au Grand-Guicnol, à 8 h. 45, nouveau spectacle L'Elranglensc Cette pauvre Elisa; Le Spectre sanglant; Œil pour œil. (Mercredis, samedis, dimanches et fêtes, matinées.) <â? Au Théâtre Edouard-VII (Louvre 32-60), à 9 heures, Une petite main qui se place, comédie en trois actes de M. Sacha Guitry (Marcel Levesque, de Kcrdec, V. Launay Mlles Novia et Deslane).

<£t Aux BouFFES-fAïusiENS, à 8 h. 45. Trois jeunes filles. nues, comédie musicale de Yves Mirande et Albert Villemetz, musique dé Raoul Moretti. fll;

<£? Au Théâtre Marionï. à 8 h. 30, Vive la République 1 (Genpvièvè Vix, les danseurs Germaine Berton et Horam. etc. -et Bôucot). ̃*̃ Au Théâtre Fémiva, 8' h. 45, La PristtnniBf'tf (Mmes Claire PS6iHôre et Madeleine Linval MM. Pierre Blanchar, Angereau et Edy Debray.

& Au THEATRE DE LA MADELEINE (Elysées 86-25), à 9 heures, le Mari d'Aline (Signoret, Jane Chevrel, H. Crémieux, Saillard, Roger Tréville).

i*5 Au Théâtre Daunou (Louvre 36-74) à 8 h. 30, Hélène (Madeleine Carlier, Norton, Rachel Dubas et Hasti).

«5î A LA Comédie-Caumartin, à 9 heures, Dollars (Mmes Mady-Berry, Simone Deguyse, Simone Melville MM. Henry-Laverne, HenryHoury et Raoul ?Praxy).

Jt Au 'Théâtre DE LA Michodièrb, à 8 h. 45, Passionnément (MM. Koval, Géo Burv, Lucien Baroux, Charles Lorrain Mmes Rachel Lauwers, Davia, Renée Duler).

Au Théâtre MOGADOR, No, No, Nanette (MM. F. Oudart, Cariel, A. Lamy, Conté Mlles Loulou Hegoburu, Gabrielle Ristori, F. Albany, J. Fusier, G. Charley, Flo, L. Stern). et Au Théâtre DE L'AVENUE, à 8 h. 45 Le Rubicon (M. Charles Boyer, Mlle Blanche Montel' MM. Julien Carette, Maurice Lagre-î


nêé Mmes Augustiriè Prieur, Christiànë De-lyiiè, Yvonne Hébert, Jeanne Boury). Au Théâtre des Mathurins, > à 8 h. 45, L'Histoire des Crocodiles (G. Legrand, B. Çharniâl, W. Maury, A. Royet, J. Chauinoht, Da.vëlly et F. Witheler).

<£t Au Triaxon-Lyriqùe, à '8 h. 30, Rêve de Valse (Mlles G. Revel, F. Carvill, J. Ferny, de Véiïdeville, Diirhan, Lorys, Frogér, Gpssërat MM. G. Marchand, L. Jbiibert, Z. Derroja» J. yieuille, Stern).

jS- Au Théâtre de Dix-Heùrës (dir. R. Ferrêol), 36, boùlev. de Clichy (tél. Marc. 07^48), à 10 heures, La RéOue, avec Cloé Vîdianë, tes çhànsonhiers et Jules Moy.

Wm ET JrfORMÂTIONS RÉPÉTITIONS 'hENERÀLES ET PREMIÈRES *̃̃̃̃'̃ REP-RÉSENTATIONS CE LA SEMAINE'. -̃ .J

MÂROI v

Àuxv Nouveautés, ,,eri ^oii-çe,.répëjjtion,géf?:l përàle de La Famille Lavptêffé.'

MÈRORÉDi

Âûx Nouveautés, en soirée^ première de }fjà Famille Lavolette.

Vendredi

Au Théâtre Anglais, en soirée, répétition (générale de The importance of beihg earnest. Opërà; Demain lundi, dans la Valkyrie, Mile J. Bourdon intreprétera le rôle de Brunhhilde, M. Huberty celui de Wotah et M. Eric Audoin, celui de Siegnitind. A la même représentation, M. GreSse et Mlle Bohavia feront leur rentrée dans les rôles de Hounding et Sieglinde. M. Huberty vient d'êtrp nomme chevalier de l'Ordre de Léopold.

Variétés. Demain lundi, réouverture avec Monsieur de Saint-Obin joué par les créateurs M. Jules Berry Mllè Suzy Prim MM. Léort Bélières," Pierre Juvenet, Henri Richard, etc.

PORtE-S.UNT-MARTiN. A 2 heures 15, et à 8 heures 15, l'Aiglon, avec MM. Arquilliêre et Paul Bernard. Matinée, jeudi, sanifedi et dimanche.

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En raisonj£.d£s Iravàux,. de tnansfûrmation entrepris au théâtre Sarah-Bernhardt,

T~olt ctlré cl~ç; yl,g~ rAiches:ur~ plus qùe

Mon curé cfy&z ^içs rjches_.n'ipirfr plus que

quinze représentations. >• r>La réouverture du théâtre, remis à neuf, aura lieu dans les premiers jours du mois d'octobre avec Deburau, de M. Sacha Guitry, joilé par l'auteur et Mlle Yvonne Printemps.

M. André Messager a écrit pour cette reprise une musique de scène entièrement nouvelle. eo®

-m X <t–

NOUVEAUTÉS. Mardi, en soirée, répétition générale de La famille Lavolette, comédie nouvelle de M. Brieux, de l'Académie française, avec Mme Régina-Camier, MM. Abel Tarride, André Dubosc, Mme Jeanne Grumbach et M. Pierre Stephen.

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GrAnd-Guignol. Aujourd'hui, en matinée et en soirée le Spectre sanglant. Prochainement, centième.

-M>* 4m~.

LA semaine DANS LES THEATRES subventionnés '^t A l'Opéra

Lundi, La Valkyrie mercredi, Boris Godounov jeudi, Lohengrin vendredi, Aïda, samedi, Thaïs lundi, Rigoletto et Suite de panses.

«5* A LA COMBDlÈ-F'.RANÇAISE

Lundi, Le Duel mardi, Les Honnêtes Femmes, L'Avare mercredi, L'Abbé Constantin jeudi (matinée), Phèdre, Les Précieuses Ridicules (soirée), Maître Favilla, Tartuffe ou L'Imposteur vendredi, La Paix chez soi, La Nouvelle Idole samedi, L'Infidèle Le Secret de Polichine\lei Hv.dimanche (matinée),' GrirtJ

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Dakar, Conakry, Grand Bassam, Port Gentil, Borna, Matadi

XcAad) 21 septembre s- ̃ ̃• -»'̃ n Goinpaghie «ÉfcS éfcar^urs Réunis' 3 toulevard

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Djibouti, Aden, Zanzibar, Mayotte, Nossi-Bé, Tamatave, La Réunion, Ile Maurice

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Lundi, Les Femmes savantes, L'Anglais bu le fou raisonnable mardi, La Revue de l'Odéon mercredi, La Dame aux èûniétias jeudi, Le Marchand de Venise vendredi. La Revue de l'Odéon samedi, La Dame aux camélias dimanche (matinée), La Dame aux camélias (soirée), La Revue de l'Odéon. Jt Au Trianon-Lyriquè

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Cenova, 15 septembre -ir: -:• Marittima haliana, 2, rue MeyerBêer\JP.âl:is -:» •̃̃» r> EGYPTE ET SYRIE MARSEILLE (Départs)

MàrîeUc-Patka,! septembre •̃ Compagnie des Messageries Maritim«s,8i'Jr. Vignon 1 TRIESTE (Départe) u0fi"

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̃,£ A l'Olympia (Central 44-68) ."Gaïa'dé la Chanson avec Claudine" Boria, la cantatrice Hélène Baudry, la nouvelle étoile, parisienne Lili May, M. Darhlah, le trio Hegèï, les danseurs excentr. américains Selka-Mow et Jenny et Jenhy. Attràct les 7 Hockneys et là grande virtuose tzigane Nina Gérard. •> 4* Au PALACE (Tél. Berg. 44-37), à 8 h. 30, La Revue des VedeltpS^^àenx »cte%, 45. tableaux, de MM. Léo Lélièvre, Henri 'Varna, FerriàMH ti ïlouvtay, ^sketch de MM.. Max jEddy, Rabtil ~l Prâxy et Jean?' Eteyrmpn» avec .Little Tiçhrje

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& -AtrMoÛLiNiRoubE inusic-Kall,' à 8 h. 30, Montmartre aux nues, revue de M. JaéqùesCharles; produced by Earl Leslie, avet Gina Pàlerme et-Yvonne George, Randall <et Dréan, le compositeur José Padilla, Dandy et le Spark's Ballet de Vienne.

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£t A L'Empire, music-hall-cirque (tél. Wagrain 60-58), la Revue Lilliputienne jouée par douze nains; les célèbres clowns Antohel et Bebu, le comique populaire Georgius. £t Au Concert Mayol (Tél. Out. 68-07). S 8 h. 30, la Grande Revue de l'année, avec Parysis 45 tableaux, 1.200 costumes. *Jt Au Cirque d'Hiver, les fameux Fratellini, Truzzi, le célèbre cavalier russe et sa cavalerie, et 20 attractions sensationnelles forment un programme hors pair. Loc. Roq-. 12-25. ̃'̃̃'̃ J* Au CIRQUE DE Paris (Ségur 31-90 Ecole Milit.), à 8 h. 30, matinées jeudi, dimanche, 15 attractions. La Ruée Sauvage, pantomime équestre à grand spectacle, >éO personnages. Succès 1

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Le concours hipjliqUë de Biàrriti La seconde journée dont suivent les résultats a été fort réussie..

Prix du Maroc (military). 1. Querelleur (li'eut. Dëcham) ,2.' Triomphe (lielit. Roy) 3. PompOnet (iiçitt'. Bertrand de Balâîida) 4. Cbquiinbeau (lieut. :de Briolle) 5. Messa'gère Ji'eutv Roger 'Bouç>a>ud). ̃•• •̃̃••̃̃••̃̃ Prix des Casinos icaupe. civile). 1, Pisaiieila (M. de Royèr). 2. Irish Boy (Mi Glavë) 3. Saïda (M. Gaubert) fi. Kayle' (M. Ëërtrand de Balandn)' 5.' Diplomate (M. Gérard SireJ's)..̃ ̃

̃̃ :i: •̃

àVIÀtîON

Le Concours d'avions commerciaux f n'aura pas lieu

Les épreuves techniques de concours déviation commerciaux, qui devaient commencer hier, n'ont pas eu lieu. Des cinq appareils, appartenant à quatre consttucteurs, qui s'étaient inscrits pour le concours, deux n'avaient pu se procurer en temps utile leur certificat de navigabilité. Au dernier moment, les deux autres maisous intéressées ont déclaré forfait. Après le concours d'hydravions limite e à deux concurrents, c'est un nouvel échec, encore plus sensible parce qu'il se produit au lendemain de manifestations qui soulignent l'activité de l'aviation française. Ce qu'il faut en conclure, c'est fort probablement que la formule du grand concours national, si elle s'est montrée précédemment génératrice de progrès, ne doit pas être appliquée trop fréquemment sous peine de perdre son efficacité et même scl.iv, [intérêt. C'est trop sans doute de faire alterner, d'année en année, un grand

concours d'avions et un, d'hydravions. Il

ser^ipréférablp d'espacer ces compétitions, quitte à aug(îie;nteivrim.pQftahce des prix qu'on leur affectera. Et surtout, avant de lés.ajBftoncer officiellement, il sera bon d'assurer leur succès par des engagements officieux, mais solides. J. F.

Le raid Varsovie Tokid L'aviateur polonais Orlinsky qui entreprend le raid Varsovie-Toldo, est arrivé hier à Hëijo (Corée).

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Les championnats doubles d'Amérique Dans le championnat double mixte d'Amérique à Boston, miss E. Ryan et Mrs G. Wight-* man sont en finale par suite de deux Victoires successives sur Misses Sarata et Anne Palfredy 6-1, 6-4 à Miss M. Bayard et Miss P.

Anderson 6-1, 12-10.

Vincent Richards et R. N. Williams se sont qualifiés pour la finale du double _cn battant Wbite et thalheimer 6-4, 7-5, ,S-b, En double mixte voici les plus notables

rësdltuts 'f'¡C'

Mrs Mallory et W. T. T.ildeU b. Miss M. Bayard et J. Brugnon 9-11, 6-3, 6-4 Mi^s E. Ryan, et J. Borotra b. Miss .E.. Sigôùi-nèy et ̃ph.'Néer 6-0, 6-1 Mrs Wightman et ^R. Lacoste b. 'Mrs Nathaniel Nilcs et G.' H. Sta- del, 6-0, 6-0. Les vainqueurs sdnt qualifiés pour les demi-finales. j ri j- Sir Esmé Howard, ambassadeur de GrandeBretagne avait, au début de la journée, remis à W. T. Tilden, A. N. Williams, Ch. S. Gàrlànd et F. T. Hunter les médailles cômmémoratives du cinquantenaire du championnat d'Angleterre auxquelles ils avaient droit comme anciens champions. Vincent Richards avait reçu la sienne'des mains de la reine en juin dernier.

Le tournoi de Saint-Qtiay

Le tournoi du L. T. C. de Saint-Quay a été particulièrement réussi cette année car un bon nombre de joueurs connus y participèrent. Résultats

Championnat simple. Demi-finales Farquharson b. capitaine Prévost, 6-4, 6-0 capitàihe Soulé b. F. Bazin, 6-2, 6-1. Finale s Farquharson b. Soulé, 6-4, 6-2, 6-0.

Championnat simple de dames. Finale Mme de Nanteuil b. Mlle Charpentier, 6-4,

Championnat double. Demi-finales Prévost et Soulé b. Geùrgin et Marliri 6-3, 6-4; Bazin frères b. de Sainte-Marie et Vendel, 6-3, 6-2. Finale Bazin frères b. PréS-ost et Soupé, 6-4, 6-1.

Championnat double mixte. Finale î Mme de Nanteuil et M- B(<ziji ht Mine Palicot et Vendel, 2-6, 6-2, 6-2; ̃'̃"

Le tournoi handicap de Vichy

Le tournoi handicap du1 Sportiflg Club- de Vichy vient de se termlnoiu: II avait .réuni un nombre imposant d'engagements. Voici les résultats dés filiales

Handicap simple. Lactotrc (4/6) b. Courtes (- 4/6), 4-6, 6-3; 6-3'.

Handicap simple de dames. Mlle Martin (0) b. Mlle Chalvon-Demarsy (- 15.3), 6-8, 6-3, 6-4: 1

Handicap double mixte. Mlle Orsel et Làu Tso (4/6) b. Mlle Aletti et Kaspe (30.4),

Handicap double. Remv et Courtes (-^ 2/6) b. Marchais et Beer (15.3), 6-3, 5-7, 6-3t Intérim.

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LE FIGARO AUX ETATS-UNIS

LA DOTATION CARNEGIE ET SES ENQUÊTES

Tout le monde sait qu'Andrew Carnegie, fils 'd'un ouvrier tisserand qui connut la .plus /noire pauvreté, arrivé à la fortune par ses propres forces, n'eut d'autre souci que de bien employer cette fortune, et consacra à l'organisation sociale idPi ses 'richesses la seconde partie de sa vie." Songeant que }s .c'ivilisâtiôV lie peut grandir que ,dan;s la'^âi'xj,' 'il crga/ l'œùvi-e ;de la Dotation "pour la paix' inièrnqlianal'e, dont les administrateurs furent choisis parmi les hommes mêlés aux grandes affaires juristes, savants, diplomates. Le « Centre européen », dont le siège est à Paris, se développa sous.la direction de M. d'Estournelles de Constant mais, durant quatre ans, il fut impossible.de parler de la paix. ̃̃̃̃

Lorsqu'elle revint avec la Victoire conduite pourtant par la Justice, ce fut avec de telles complications qu'il fut non moins impossible, pendant plusieurs années, d'élaborer quoi que ce soit de précis et d'utile.

Enfin, en 1921, un des hommes qui ont lé mieux connu Andrew Carnegie, le D' Njcholas Murray Butler, président de Columbia liniversity, directeur d'une « Division des relations et de l'éducation » destinée à agir pour la paix en s'adressant -^directement à l'opinion publique, le D' Murray Butler et quelques membres du comité exécutif résolurent de reprendre leurs travaux.

J'ai eu l'occasion de m'entretenir avec Murray Butler à une réception de « France- Amérique ». C'est un esprit clair, réalisateur, également ennemi des enthou- siasmes irréfléchis, ef des idéologies creu- ses. En la circonstance, son intelligence méthodique a tout.de suifei dressé un .plan, faire..rfaiçp. d,çs enquêtes. par des ^techniciens (impartiaux sur,iJesLgrands,siijets d'actualité 'économiq^e-et politique, fournir aux hommes éminents des autres pays les moyènS''&?exposer leurs idées en France, répandre les résultats des enquêtes et des controverses dans tous les pays de façon à développer la mentalité et la conscience internationales.

La première de ces enquêtes fut ouverte sur la force réelle des partis démocratiques en Allemagne et sur les dispositions de l'opinion allemande vis-à-vis des graves problèmes de l'heure. La seconde porta sur les livres scolaires d'après guerre dans les écoles primaires et secondaires de sept pays d'Europe France, Belgique, Allemagne, Autriche, Grande-Bretagne, Italie, Bulgarie afin de mettre en lumière les tendances que manifestent les ouvrages destinés aux écoliers traitant de la guerre mondiale, de ses causes et de ses conséquences.

La Dotation Carnegie m'ayant fait l'honneur de m'envoyer le beau volume qui contient le résultat de cette dernière en• quête et de me demander mon sentiment sur les rapports qu'il soumet à l'opinion publique, je transcris ici mes réflexions lelegflu'elles se sont présentées,

r *1

ï" Le rapport sur les'livres français manuels d'histoire, de morale, d'instruction civique, anthologies» .f^ç. f est ten-'

dancieux en ce sens'qu'ÎJ cite uniquement

les livres au patriotisme un peu "étroit" et passe sous silence les ouvrages sérieux, a esprit' juste et large, telle l'Histoire de France d'A. Baudrillart et Martin.

2° En ce qui concerne la France et la Belgique, ces nations sont encore trop près du cataclysme pour dépouiller l'horreur qu'il a suscitée dans les esprits. Seuls, ceux qui étaient loin des champs de bataille ou se tenaient « au-dessus de la'nielée' 'i peuvent en parler sans passion. Il faut attendre quelques années encore pour juger les choses avec sangfroid quelques années de paix car les

luttes que nous soutenons ne ressemblent en rien à l'état de -paix ce n'est, sous une autre forme, que la continuation d'un état de guerre. Les esprits restent surexcités par la suite ininterrompue des déceptions et des sacrifices inutiles. Pour que cette enquête recélât une valeur certaine, il eût. fallu attendre que les esprits eussent la possibilité de s'apaiser. Ce qu'on a appelé la « psychose de guer.re est un état mental qui ne tombe pas en vingt-quatre heures, Comme la fièvre, avec quelques centigrammes de quinine. Le tableau des changes qui a remplacé les communiqués des armées alliées n'est pas pour faire baisser la température de pays comme la France et la Belgique condamnant toute excitation à la haine entre nations, mais liant le patriotisme à la morale internationale et la, question de la paix à celle -<|e 4a:. sécurité efficacement garantie. ,< -̃̃•" i 3° Est considéré avec trop d împortan-'ce le jugement porté par ces livres sur la Société des nati'otis'. es Américains ont mauvaise grâce à nous reprocher de ne pas prendre au sérieux les suggestions du président Wilson puisque, après l'avoir laissé s'engager sur le Pacte de la Société des nations, ils ne l'y ont pas suivi.

Par contre, si les Etats-Unis n'ont pas de représentant à la Société des nations, la Grande-Bretagne en a trop, Six Avec les Dominions. Je ne vois pas pourquoi le Maroc, la Tunisie, l'IndoChine ne sont pas représentés comme les Indes et l'Australie. C'est une injustice à réparer. Voilà les réflexions que m'a. suggérées la lecture du rapport financier. 9

r* ̃̃

L'étpde.sur les livres allemands m'a appris beaucoup de choses. D'abord, l'article 148 de- la constitution de Wëimar, qui prescrit aux maîtres d'élever la jeunesse dans l'amour -de la paix. Seulement, les rapports très remarquables de M. Ed. Duméril et H. Simondet, agrégés d'allemand, professeurs. à l'Université, démontrent d'un bout à l'autre. qu'on ne tient aucun compte de cette décision que la prépondérance prussienne se maintient et parvient à opposer aux, niesiirfe libérales] a défaut d'une résistance- ouverte, une 'redoutable force d'inertie enfin, que les livres st^Mres ~sDt^H*^jt)rW"R*de l'esprit bismarckien qui veut «l'Allemagne au-dessus de tout », puisque, pour là plupart, ils n'ont pas changé. Quand on' les a modifiés, c'est pour continuer à enseigner que la guerre de 1914 a été imposée par l'Angleterre et la France qui avaient organisé l'encerclement de l'Allemagne. On y trouve par douzaines des citations comme celle-ci « Des ennemis, envieux et avides de vengeance qui, déjà plusieurs années auparavant, s'étaient unis pour anéantir l'empire allemand grandissant et sa fidèle alliée l'Autriche-Hongrie, obligèrent l'Empereur à tirer le glaive. Plein de courage et de conflance en Dieu, il regarda en face le terrible danger et appela au combat le peuple allemand, son armée et sa marine. »'(1).

Parmi les livrp s ^examinés, un seul ma-

(1) Seyfert, Gesefaichtliche Erzahlungen, g. 139.

nuel se permet, à l'égard des personnages qui ont amené la guerre, comme de la conduite de la guerre, quelques critiques, c'est Neubauer (1). Cet écrivain mis à part, nul de ceux qui écrivirent pour la jeunesse n'a rien!>r«tiiré!Ue la-tèrrfbïé leçon de choses dont son pays n'a pas> fini. de souffrir. Les autres ont, beau avoir sous les yéiik une nation crucifiée, p'fir ;}a, guerre, ils continuent à enseigner, tout comme ils le faisaient en 1914, que « 1,'Etat n'existe que pour la guerre ». La guerre n'est pas une force de destruction, mais, au contraire, une force constructive qui bâtit la société. Sans la guerre, l'édifice social actuel n'existerait point, non plus que les autorités, le droit, le peuple, la civilisation, au sens actuel des mots. » (2). La République allemande, on le voit par ces extraits, élève les jeunes génér-ations dans l'amour exclusif et les traditions de l'Allemagne d'autrefois, et cela s'explique par ce fait que le corps enseignant est resté le même presque tout entier. Où en est la démobilisation des armées ? Je laisse aux experts le soin de le dire mais la démobilisation des esprits reste à faire. Pendant les quelques mois qui suivirent la défaite et la chute de Guillaume II, les partisans de l'ancien régime cherchèrent a se faire oublier, mais la faiblesse du nouveau gouvernement encouragea les anciens professeurs à entraver la législation nouvelle. Au regard d'un observateur américain aussi impartial que bien informé « plus des quatre cinquièmes des professeurs des universités et des gymnases de Prusse sont favorables aux Hohenzollern et, en Bavière, le nombre des maîtres gagnés à la réaction la plus violante dépasse 25 p. 100. » (3).

Ces deux enquêtes prennent les trois quarts d,u volume-. Le reste est; consacré à l'Angle téi*fe qui' ̃ s'efforce, èrt; général, « d'inspirer à la génération qui s'élève l'idéal d'un monde- nouveau m'éilieur que le nôtre » à l'Italie, dont les livrés, malgré les déceptions des traités de paix, évoquent la fraternité humaine sans cependant donner beaucoup de place aux autres nations à l'Autriche, qui bannissait déjà la haine entre peuples au temps de la double monarchie, et l'ignore encore davantage aujourd'hui.

Ses livres parlent de la guerre sans rechercher les responsabilités, aucun ne prêche ni la rancune ni la vengeance. On ne peut en dire autant des ouvrages scolaires bulgares. Ils se font naturellement l'écho d'un peuple qui se trouve, lésé dans ses droits et ne pense qu'à revendiquer ce qu'il croit légitime. En résumé, ce volume de 450 pages est très représentatif du malaise de presque toute l'Europe. C'est donc à l'Amérique, j'aime à le supposer, que la Dotation Carnegie en fait la plus abondante distrïbution.

Sans doute, le distingué directeur européen actuel, Dr Earle Babcock, y veillera, Claude d'Habloville.

A propos d'iiR livre nouveau ««ifeîMJganBrunhes

i ~e~.

O minium fortunatbs. les écoliers d'aujourd'hui Mais qui donc connaît

jamais son bonheur ? Et nos bons paysans apprécient-ils mieux les bienveillances fiscales de la III' République que leurs ancêtres du temps de Virgile savaient reconnaître les bontés d'Auguste inspiré par son grand ministre ? 7 Nous passons notre vie en regrets tou- jours nouveaux, chaque heure nous donnant le regret de l'heure qui a fini, sans doute parce que nous n'avons pas su l'employer, peut-être aussi parce que nos désirs sont trop nombreux pour être satisfaits en même temps.

Ainsi va de notre jeunesse, et combien d'entre nous n'ont pas senti retentir profondément dans le gouffre de leur mémoire les plaintes du pauvre Villon Est-ce « sens ou folie ? »

Loin de moi la pensée de vouloir causer nulle peine à nos vieux pédagogues qui composèrent pour nous des livres qu'ils jugeaient pleins d'attraits, mais enfin, si je compare leurs compilations reliées en vert (qui voudrait être tendre), en rouge (sang de bœuf altéré) ou en gris trop pâle, aux attirantes productions de notre temps, je suis bien tenté d'envier nos jeunes écoliers. Vous ne m'en voudrez pas, Beljame, si je préfère traduire la délicieuse histoire de la famille de M. Rod, par quoi M. Camerlynck nous initie à la vie anglaise, plutôt que vos petites phrases si Lapidaires o*u genre de « Ma sœuV est grande, mais mon petit frère a un beau canif ». ÎSI'S Et vous me saurez gré, ô nos bons maîtres qui nous* enseignèrent les mystères de notre planète, si je vous annonce qu'un de vos élèves, dont vous avez fait un maître à son tour, M. Jean Brunhes. vient de publier, non pas un « Cours Moyen de géographie, mais des « Leçons de géographie » présentées avec tant de bonheur que, petits et grands les lisent comme une suite de contes. Pour attirer nos enfants vers la science, il la leur présente non comme une dame mûre et rébarbative, mais au contraire avec un visage souriant et gai. C'est un livre d'images aux couleurs vives comme celles d'Epinal et les imagiers ne sont autres que Hansi qui fit la couverture, Jean-Camille Bellaigue et Roger Broders. C'est encore, peut-être même surtout, un guide pour tous ceux, Français et étrangers, qui veulent connaître notre pays, ce pays qui, selon l'expression empruntée par M. Jean Brunhes à notre collaborateur W. Morton Fullerton, est un isthme cosmique, « c'est-à-dire un isthme pour tout l'univers, c'est-à-dire encore un territoire resserré par lequel ont dû, de tout temps, passer toutes les manifestations principales de la plus haute civilisation ».

C'est patf ce 'feduloîr eh ëffèf 'que partie des rives du Pacifique et des hauts plateaux du Pamir, harmonieusement affinée par la dM«tï SMlafe/iéxaltéè .'pâf-JÎa Parole qui retentit au sommet du Golgotha, là civilisation s'élança pour conquérir les territoires du Nouveau Monde par delà lesquels elle se retrouve aujourd'hui devant les rivages opposés de ce même Pacifique qui la vit naître.

Que reservent à l'avenir de l'humanité les mystères du Grand Océan ? Son nom doit-il être -entendu avec l'ironie grecque qui baptisa le Pont-Euxin ou bien avec l'espérance de paix laborieuse qui devient la démocratie américaine ? R. Umilta.

(1) Neubauer, Lehrbuch der Geschichte, 1921, Cours supérieur.

(2) Deutsehes Lesebuch fur die Siebente Itlasse, de Karl Raab (L'Essence de l'Etat moderne, page choisie de Rudolf Sohn, p. 56.) (3) The schools of Europe, thèse pour le doctorat es lettres par Frederick William, Roman, Londres, Routledge et Sous, 1923, p. 195 et 196.

POflRMÎtE DigS LE tRfflflDE GENÈVE

De plus en plus nombreux, les avions sillonnent le ciel au-dessus du canal de Panama. On ne voit pas encore des aéroplaittîS j ïïpdnais, 'M&W il feïi' a déj à d'allemands. Dimanche dernier, Herr Luther, celui de Locarno, après avoir dîné chez le général Abadia, président <^ la 'Colombie, quittait 'Bogota par train spécial pour Girardot, d'où il s'envola pour Cartagena, en route pour le canal. Pendant que son ancien collègue de Locarno, Herr Stresemânn, sans se déplacer, continue à tisser son ingénieuse trame genevoise, l'ancien chancelier fait activement les besognes de la Wilhelmstrasse parmi les colons allemands de l'Amérique centrale. A sa venue, dans tous' les pays à l'est et à l'ouest du canal qui est en réalité la frontière méridionale des EtatsUnis • l'enthousiasme des Allemands a été immense. Une visite du kronprinz lui-même n'aurait pas |âit plus de plaisir. Mais déjà une traduction du livre du kronprinz, Je cherche la vé- rité, déposée chez les libraires de l'Amérique centrale, avait précédé et préparé la venue du chancelier.

Un connaît la thèse du livre. Elle se résume en ceci il notait ni gentil, ni vraiment intelligent, de la part de là France, de vouloir échapper à l'étau forgé par Bismarck. C'était ébranler le statu quo si fermement consolidé par le traité de Francfort et, partant, travailler contre la, p^jx, de, l'Eur ope. Tout effort i^pour, rëtàbïif réquiïibrft .r-, d'abord l'alliance franco-russe, ensuite l'Entente cordiale, enfin la Triùle Entente, pour ne pas parler des honteu-* ses négociations franco-italiennes, tendant à immobiliser l'Italie en cas d'une guerre européenne était presque criminel, en tout cas immoral, parce qu'il rapprochait l'Europe d'uno guerre où 1 Allemagne, malgré sa volonté de paix, se trouvait obligée de se battre pour son existence.

Personne ne m'a raconté ce que Herr Luther a dit au fumoir, après dîner, chez le président de la Colombie, Mais il n'est pas improbable qu'il a parlé d'abord le langage du kronprinz et qu'ensuite il a expliqué aux Américains de l'isthme le vrai sens de l'esprit de Locarno. Pour en donner la définition exacte, il n'avait qu'à développer les belles phrases prononcées l'autre jour par son ancien collègue au banquet du vingtième anniversaire de la fondation de la Fédération de la presse allemande a Je ne vois plus ni vainqueurs ni vaincus, mais seulement des peuples luttant encore qui s'efforcent de sortir du chaos et de revenir à ]$. raison. » C'est' cela, en effet, le mot d'ordre expérimental de l'Europe et des trois Amériques à cette heure. Malgré 'dût bn^'frissônnfer Et on pense aux^parôles désespérées de Foscolo dan^ Ja'copo Ortis « Peut-être^ et je me sens un violent penchant à le croire, les hommes ae sont-ils que des aveugles qui voyagent au milieu des ténèbres,; et dont quelques-uns ouvrent inutilement les yeux pour distinguer les ombres qui les environnent et au sein desquelles ils sont forcés de' cheminer à tâtons, »

5W-

Je pose la question

N'est-il pas admirable qu'un gouvernenient allemand ait pu arriver à se faire prier de demander son entrée dans la Compagnie des Nations qui siège à Genève, et non seulement se faire prier, mais se faire payer sa condescendance, lorsque tout le monde qui ne le sait pas encore devrait savoir que l'Allemagne membre de la Société des nations sera réhabilitée.qu'en un mot, comme le remarque Jacques Bainville, « elle aura effacé les effets moraux de, son agression tout en trouvant la faculté d'effacer un à un les effets matériels de sa défaite » N'est-il pas admirable qu'un gouvernement allemand ait pu proposer à la Belgique, quelques semaines seulement après jLoearnQ, de troq-uer. les territoires d'Eup,en v.et k de .Malmédy contre quelques millions de marks-or, sans que tout l'univers se suit levé de colère ou d'écœurement devant tant d'outrecuidance ? Est-ce qu'une telle outrecuidance, si monstrueusement prussienne, est devenue par répétition si banale que l'Europe n'y prête plus d'attention Avait-on oublie ce qui à la rigueur pouvait passer pour un fait avantageux acquis par l'accord de Lo- carno, cet article premier qui s'exprime ainsi

« Les hautes parties contractantes garantissent individuellement et col- lectivement, ainsi qu'il est stipulé ciaprès, le maintien du statu quo territorial résultant des frontières entre l'Allemagne et la Belgique et entre l'Allemagne et ta France et l'inviolabilité desdites frontières telles qu'elles sont fixées par ou en exécution du traité de paix signé à Versailles le 28 juin 1919. »

Alors quoi ? L'accord de Locarno, qui a été acclamé comme étant enfin une déclaration solennelle, librement faite par l'Allemagne, de sa loyale acceptation du tracé de ses frontières occidentales, ne serait-il" iqu'ûn-T autre « c^ifforTde papier », et l'esprit de Locarno luf-mêmè n'est-il dans ses origines qu'une tartufferie prussienne nouvelle ? 9 V Et enfin n'est-il pas admirable qu'au moment même l'Allemagne proteste; de son innocence d'avant guerre, et de son désir de "collaborer loyalement ^vec ses anciens ennemis pour la réorganisation de l'Europe, Herr Stresemânn, parlant devant l'Union des étudiants allemands s'exprime coinme suit (c Lorsque nous nous demandons, nous, peuple allemand, si nous ne portons pas la responsabilité de notre si.tuation actuelle, force nous est bien de répondre affirmativement et de constater qu'à une époque où l'Allemagne avait acquis un prodigieux développement, nous nous confinions dans une étroitesse de vues de petits bourgeois en n'accordant pas à l'armée et .à-la]

marine les subsides nécessaires, sacrifice qu'aucun autre peuple n'était autant à même de supporter que l'Alle.magne à ce momeût Lorsqu'il è'est agi .,d'approuver le dernier grand projet 'militaire, on assista à un marchandage, et l'idée domina chez le petit bourgeois allemand que le « grand homme » par excellence c'était le député qui, rentré chez lui, pouvait dire « J'ai fait ré. duire de 50 millions la dépense de plusieurs centaines de millions que l'on exigeait. »

Ce peuple, qui occupait une si grande place dans le monde, mais qui était en même temps si petit par rapport à ce qu'il aurait dû consentir pour maintenir sa position dans le monde, ne s'est-il pas condamné lui-même en ref usant d'accorder ce que le grand étatmajor demandait pour que fût assurée la défense effective de la nation, c'esta-dire deux corps d'armée, les deux corps d'armée qui, s'ils avaient été présents à la Marne, eussent fait de cette bataille une victoire pour nous ? Car c'est une conception absolument erronée, et que l'on nous oppose si souvent à présent,que de prétendre que le « militarisme » allemand a été pour quelque chose dans le déchaînement de la guerre. Si l'Allemagne avait suivi l'une des deux politiques suivantes que l'on qualifie d'impérialistes ou bien conclure une alliance avec d'autres grandes puissances, soit avec l'Anqîe-

tyrtç, soit.^aiiefi la R^sie- y ou bjiert $i telle1' s'était irèé l'armée- en rapport buec la force réelle de la nation, en sacrifiant les derniers moyens pécuniaUres de celle-ci, il n'y aurait vraisemblablement pas eu de guerre mondiale, parce que personné n'eût jamais osé attaquer l'Allemagne. »

Ma question reste posée.

Qui dupe-t-on ici ? Ceux seulement, je crois, qui par veulerie ou paresse ou par je ne sais quelle candeur angéHque veulent être dupes.

c

Je n'ai aucun goût particulier pour les anniversaires. La seule raison pratique d'y faire attention serait de pouvoir en utiliser le souvenir pour en tirer une leçon quelconque. Mais les générations, je le sais, se gaussent des soi-disant leçons de l'histoire, toutes les générations qui ne sont pas prussiennes et le mot de Hegel reste bon « On apprend de l'Histoire que l'on n'apprend rien de l'histoire. » Si cela n'était pas vrai pour la France et pour l'Angleterre et pour la Belgique aurait-on vu, verrait-on aujourd'hui ces puissances s'empresser de livrer le Continent, européen à la domination prussie.ni&.s en installant .TAiiémagng au foyer genevois elle pourra s'ingénier avec Je plus d'effteaçiti à démolir la charte du droit de l'Europe, le traité de Versailles ? Mais, si je n'ai aucun goût particulier pour les anniversaires, je ne peux, pas ne pas n»o souvenir que c'était exactement le 7 septembre 1923 que j'annonçais dans ces colonnes ce qui allait nous advenir grâce à l'arrivée au pouvoir de Herr tresemanti.

« Depuis cinq ans, disais-je, nous avons tous été sauvés surtout par l'admirable capacité chronique de gaffer des Prussiens. Mais voici que prend le pouvoir en Allemagne un Prussien de la vieille école, un réaliste genre bismarckien, qui s'appelle Stresemann. C'est la première fois depuis cinq ans je n'oublie pas Rathenau que les ajliés de la « puissance associée » courent un véritable danger. Provisoirement, un Allemand responsable ne gaffe plus »

Trois années ont passé nous venons de voir où elles nous ont menés. P'*

'•

Ecrivant au roi de Saxe en octobre 1810, Napoléon disait « Le cabinet prussien esjt, étrange, il regarde touj^ujstce qu'il a signé cbmipei-pon ave*nu. » Napojépii a été créancier .de: la Prusse, pendant près de sept ans.: Un des phis beaux livres de l'histoire que je connaisse est celui où M. Charles Lesage raconte comment cette créance, d'origine purement militaire, s'est transformée, par une sorte de novation, en une créance d'ordre exclusivement politique. La mauvaise volonté est un principe de gouvernement prussien. Cela est aussi vrai en 1926 qu'il l'était après Iéna. Pour la Prusse, aujourd'hui comme il y a cent ans, un traité ou une convention mettant fin a l'état de guerre n'engagent pas le vaincu qui les a signés. Pour la Prusse, c'est un devoir de se distraire à de tels « actes de force ». Chloroformer le monde par des protestations de sincérité et de bon vouloir, en attendant le moment où sa vigueur restaurée lui permettra de substituer le chantage au revolver braqué ou nonchalamment disposé sur le tapis vert, aux méthodes doucereuses et hypocrites de Locarno. TeHe est la méthode que Frédéric-Guillaume III adoptait dans les premières années du dernier sièclç.Telle est là méthode que Bismarck a suivie avec Napoléon III. Telle est la méthode que Stresemann a magistralement réssuscitée depuis trois ans ppur la gloire du DeuLschltun. 1

W. Môrton Fullerton.

P.-S. Au moment de mettre sous presse,, j'apprends que la Colombie se propose d'émettre un emprunt international, en 1927, de 100.000.000 de dollars pour la construction'de routes et de chemins de fer.

UM ELOGE AMERIGAÎH DU POT-AU-FEU « Est-il au monde odeur plus suave? L'œil se réjouit à là vue des poireaux verts, des carottes dorées et des navets, blanes, qui flottent réunis dans l'odorant liquide ambré dont la surface est mouchetée d'yeux luisants qui forme le gras du bouillon. »• Ah 1 qu'en termes jol|§ çe§ çhosesrJâ sont

dites

LE VRAI LA FAYETTE

Teach them (your children) to be, as ̃ ̃ y ou are, a cement between. two nations.

Jefferson à La Fayette.

Récemment:! l'Amérique célébrait, deux événements notables l'anniversaire de l'adoption de la déclaration de l'indépendaricê'jîar le ̃premier congrès, et le centenaire de Thomas Jefferson, l'auteur du document' dont l'influence changea, ou es$ tout cas, modifia maints gouvernements en Europe et bouleversa des trônes. L'amitié de l'austère Washington pour La Fayette est bien connue, mais on ignore ou on n'insiste guère sur une autre amitié qui suivit le jeune chevalier du Nouveau Monde en France, et que la mort seule put rompre celle de Jefferson pour La Fayette.

Jefferson admirait l'honnêteté politique de. La Fayette, sa droiture et sa fidélité à 1W; Constitution. Ami intime de La Fayette, il était mieux placé qu'un autre pour juger ses nobles desseins en faveur de la France. La vie de La "Fayette fut d'accord avec ses principes il croyait à la liberté sans violence il aspirait à une réforme politique et, comme son ami Jefferson, il croyait à la monarchie constitutionnelle pour sa patrie. -En 1787, Jefferson .prophétisant l'avenir, décrivait à La Fayette x< Je suis convaincu que si elle (la France) vous perdait, cela lui coûterait dès, océans de sang et des années de confusion et d'anarchie ». v

Thomas Jefferson, le père de la démocratie américaine, fut 'considéré comme un voyant en politique tous ses contemporains le -tenaient pour un homme d'un discernemeairdélicat. On sait que ses plus vives amitiés ne troublèrent jamais san. jùgfmettt. v;Naus pouvons %&%s Crainte rë*

coûtir | lui pjq>ui; apprécier le caractèreîèé

lés-ca l?~ ~u~ ap~~ci~tt Je cw, ~ftè~e,.ct

lés ^capacités ^e. La jF%e%ta '%g «> .>

« J é^ais dans la confiance et l'intimité des prin&pàux patriotes, écrit-il dans son àutobiOjgrapfiie, et surtout du marquis de La Fayette, leur tête et leur atlas. Il n'avait' pas de secrets pour, moi, et je fus tenu exactement au courant des vues et des méthodes de ce parti. »

Plus tard, en 1789, quand le danger menaça la Constitution, La Fayette s'adressa à Jefferson pour avoir des conseils. Le « père de la démocratie », dans son autobiographie, écrit à ce propos

« Je reçus un mot du marquis de La Fayette m'informant qu'il m'amènerait un groupe de six ou huit amis à dîner le jour suivant. Je lui répondis qu'ils seraient les bienvenus. Quand, ils arrivèrent, je me trouvai en présence de Là Fayette, de Duport, de Barnave, d'Alexandre Le Meth, de Blacon, de Mounier, de Maubourg et de Dagout. C'étaient tous des patriotes en vue, honnêtes, mais d'idées différentes. Leur bon sens leur faisait comprendre la nécessité d'arriver à un accord en faisant chacun des sacrifices. Se connaissant, ils n'avaient pas à craindre de se confier les uns aux autres. Cette raison d'ailleurs avait été la cause de leur choix. Pour cela, | le marquis avait provoqué la réunion et

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sible dilettantisme intaiectu" laissait une place trop grande aux énëi^ 15, dehors. Elle vient de se donner un tre qui est la figure vivante de ses aspirations de demain indépendance politi- que avec toutes ses conséquences ar- mée forte, diplomatie intègre et souple, finances équilibrées, commerce balancé, équipement économique du pays par une exploitation « nationale des richesses du sol et du sous-sol.

L'effort est âprement amorcé dans tous ces domaines, secondé par une renaissance très vive de l'esprit national. Et, à l'exemple de la Turquie de Mustafa Kemal, laqPçrse. marque une tendance vers radoptiôri'd'ùri système de gouvernement et d'existence fortement inspiré d'occidentalisme.

Parmi tous les problèmes de l'heure, il en est un qui retient particulièrement l'attention jà^fs, P#uv(Hrs publics, celui d'une amélioration de la balance commerciale, nettement déficitaire.

Cet effort se matérialise présentement par la présence en Europe du colonel Mac Cormack, conseiller financier américain auprès du gouvernement persan, qui, au cours d'une vaste tournée en Europe, est venu essayer d'ouvrir des débouchés aux matières premières persanes.

Il se matérialise également, comme nous l'avons dit, par une importante participation persane à l'Exposition internationale de Philadelphie.

Il nous a été donné de rencontrer un des membres de la mission envoyée par le gouvernement persan à Philadelphie, et nous imaginons l'étonnement qu'éprouveront les visiteurs de l'Exposition en constatant que cette personnalité est une femme! Où est donc la vieille légende des femmes persanes, claustrées dans des « endérouns » isolés, ne sortant dans la rue que sous la protection de voiles hermétiquement clos, ne tenant dans la vie de l'Etat ainsi que dans celle des particuliers, qu'un rôle allant de l'esclave privilégié à la bête de somme ?

Une Persane jeune, charmante, portant avec aisance la toilette de nos, grands couturiers, parlant avec autant d'aisance le français, l'anglais, et le russe, musicienne de talent, fenypej di| monde raffinée, re- présentera la Perse Philadelphie. E^-ceunff manifestation* normale 8U révolutionnaire ? Révolutionnaire, sans aucun doute Zohra Khanoum ne le cache pas ellemême. Elle est la première femme persane qui ait osé jeter bas pour elle-même le vieil usage du voile, la première aussi à être régulièrement engagée par le gouvernement comme fonctionnaire, la première munie d'ùn passeport individuel (normalement, une femme ne peut sortir de Perse qu'accompagnée de soiv mari), la première, enfin, désignée par le gouvernement pour prendre part à une manifestation officielle à l'étranger.

Et tout ceci s'est fait sans opposition de la part du clergé, sans luttes, sans his- toires.

Le féminisme persan est-il donc en marche vers sa libération? '1

Zohra Khanoum l'estime, mais elle n'est en aucune façon inféodée à un féminisme

fixé l'heure et l'endroit sans se préoccu- per de l'embarras où il pouvait me mettre. ta nappe enlevée et le vin mis sur la table, à la mode américaine, le marquis exposa l'objet de la conférence en rappelant sommairement l'état des choses dans l'Assemblée, la direction que prenaient les principes de la constitution et le résultat inévitable si on ne s'y! 'opposait par, plus-de concorde parmi les patriotes eux- '• mêmes. Il ajouta que bien qu'il eût sa manière de voir, il était disposé à la sacrifier à celle de ses collègues qui étaient avec lui au service d'une même cause. Mais il observa qu'à cette heure l'on devait arriver à un programme commun, où l'aristo» cratie emporterait tout, et, quels que fus- sent les termes de leur accord, lui à la tête de la garde nationale, les soutiendrait. Les discussions commencées à quatre heures se poursuivirent jusqu'à dix heure^ du soir. Pendant ce temps, j'assistais, té* moin silencieux, à un débat dont la franchise et le calme sont rares en des conflits d'ppinion politique. Cette logique dans le raisonnement, cette éloquence sobre que ne défigure pas le faux éclat de la réthorique me parurent dignes de ces dialogues de l'antiquité, que nous ont transmis Xénophon, Platon et Cicéron. »

Ces paroles de Jefferson contrastent avec les affirmations des récents historiens qui nous présentent La Fayette comme un homme d'une intelligence et' d'un talent limités.

Jefferson terminait une autre lettré à! La Fayette par des paroles bonnes à dire alors comme aujourd'hui.. Après lui avoir demandé d'embrasser ses chers enfants pour lui, il ajoutait « Apprenez-leur à être, comme vous, un ,« ciment entra deux nations. » "t1 m; xi.'i -̃̃̃ Plus tard, quand La Fayette sera pri-^ sonnier à Olmütz, Jeffë'rsrin écrira à un ami « J'ai reçu votre aimable lettre du 19 août, avec l'extrait de celle de La! Fayette pour qui mon cœur a saigné. L'action des Etats-Unis en sa faveur, est. intervenue dans la mesure où elle pouvait être acceptée et efficace. »

L'Angleterre donna au monde la liberté constitutionnelle. Mais la semence, tombée dans le sol français avec la Révolution, perdit sa forme et sa pureté originelle. Là, elle poussa comme un sauvageon et de son essence les Français tirèrent le poison qui devait finir avec le rèV gne de la Terreur.

Notre connaissance du caractère de Lâ Fayette est superficielle. Elle dépend d'une littérature mélangée qui, parue pendant sa vie, visait à obscurcir la gloire de l'homme et du patriote si cher aux premiers Américains. Elle s'appliqua à créer l'impression que ïe vrai La Fayette était simplement un jeune exalté, aussi charmant que sot.

Mais Jefferson le connut mieux. Jefferson l'aima. Il le distingua entre tous les patriotes de son temps, comme « leur tête et leur Atlas ». Antony Ashley

(Mrs William Astor Chgnler).

recherchant une libération immédiate par,-

une. lutte eur, le terrain > .politique.- Deux sociétés féministes existent en Perse une femme persane de grande va»|eur, Mm<t, Boulatabadi, pris jpart au' .Congres féminin récemment Tenu, à Paris., Zohra Khanoum suit ses efforts avec le plus vif intérêt, mais préfère rester à 1 écart. Elle estime être mieux désignée' pour l'exemple et l'action individuelle. La femme, dit-elle, doit mériter sa libération par l'instruction et par le travail.- Laissant à "ses;, soeurs féministes tout ce qui touche au domaine de l'éducation; eHtf veut se consacrer au second ordre de préoccupations. En femme raffinée, orien- tée sur l'art persan et le goût-.o,cciaëntâL< elle veut faire revivre le vieil artisanat d'art persan, le livrer aux mains expertes: et adroites de ses soeurs et les guider veri'- la production de tissus susceptibles de se! duire les couturiers de l'Ancien et du Nouveau Monde.

préîede fait, Zohra Khanoum, qui paraît elle une 1éa,^tiojî à Ia parole, amène avec soie, de cotoÇ.tlon charmante tissus de décorés de dessiné laine, délicatement couleurs chatoyante£,rsan.s rehaussés de goût le plus sûr, tant poulies avec le la femme que pour la décoràl;nement de home. Poupées persanes portanF .^e son pittoresques costumes de la Perse Qhis trefois, etc.

Une femme persane à l'Exposition dé Philadelphie, envoyée, par son gouvernement et désireuse de libérer ses sœurs par le travail! N'est-ce pas. là- un fait .riourveau digne d'intérêt? La .PeBse,,est en mal de progrès par le travail. Puissent le Nouveau et l'Ancien Monde aider cet effort et non mériter le reproche que leur adressent trop fréquemment les nationalistes d'Asie de contrecarrer sans cesse leur œuvre par les procédés les moins dignes de nations qui prétendent avoir le monopole de « la civilisation ».

*N*K*s*>

La population et la presse rurales^ AUX ÉTATS-UNIS Un très intéressant article de'M.]" John H. Perry, président de l'Ameri-j can Press Association, dans VAmericanf Review of Reviews met en relief la .ri- S chesse grandissante des classés rura»,: les et l'influence croissante, elle aussi, de la presse provinciale aux Etats- Unis. p A en croire le grand businessman William H. Woodin, président de T« American Car and Foùndry Com- pany», les 6,500,000 familles de fàrmers américains dépensent annuelle* ment 13 milliards de dollars (ce qui équivaut à plus de la oloitié des dépenses de guerre de rAmérique.y cojppris les prêts aux 'AlliésMijpour leurs achats personnels (sans rapport avec l'âfericulture 'ou l'élevage).. v; ` L'American Press Association reçeit chaque semaine pkusjdejf ,8Q0 journaux de province, publiés dans toutes Je&.régions du territoire fédéral même les plus reculées'. Au début de 1925, on comptait 97 hebdomadaires provin-* ciaux de plus qu'en 1924 (dont 39 pu- i bliés dans des localités qui n'en pos- ̃' sédaient pas précédemment). Alors r qu'ne 1900 rares étaient les agglomérations de poins de -20,000 âmes qui eussent leur quotidien, aujourd'hui on compte par vingtaines les bourgades de 5,000 habitants qui en possèdent un. Depuis 1900, les quotidiens de pro ` vince se sont accrus aux dépens des hebdomadaires et bihebdomadaires passés de 14,000 en 1900 à 11,000 ou- jourd'hui). Mais tous sont remarqua.blement rédigés, et pourvus dg l'outU» lage le plus moderne,


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