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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1926-06-20

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 20 juin 1926

Description : 1926/06/20 (Numéro 171).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k294807s

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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VERS UN PROGRAMME

,0', .1.

M. Herriot a passé la journée d'hier â consulter les' techniciens de- la finance, cependant que les couloirs désorien-. tés construisaient, commentaient et dé̃ faisaient des cabinets plus ou moins bien' dosés, selon les vieilles formules du Codex parlementaire. Nous né saurons que ce soir quel rapport avaient ces combinaisons prématurées avec la réalité.

Cette crise, au reste* quel que soit l'homme qui la résolve, n'a rien de commun avec les constitutions habituelles de ministères. Elle semble n'être, qu'un épisode du débat formidable qui selpoursuit à travers le monde entre .deux forces que la politique a faites rivales le Nombre et l'Argent. L'argent jadis dominait le nombre et l'oprimait. Des révolutions ont secoué ce joug. Aussitôt le nombre a profité de sa relative indépendance pour essayer de dominer l'Argent, qui a fui, apauvrissant son adversaire. Et quel que soit aujourd'hui l'homme au pouvoir, c.'est au rapprochement de ces deux forces qu'il faudra travailler. Qu'on commence par unir des hommes représentant des* groupes divers, ou qu'on suive la méthode adoptée par M. rïerriot le programme d'abord c'est la réconciliation entre les forces antagonistes qui s'impose. Il n'est plus possible de continuer ces débats où chacun est le champion de l'une ou l'autre puissance. Au congrés radical, l'autre jour, un orateur proclamait que le Parti ne saurait oublier que l'essence même de sa doctrine est de veiller « à ce qu'aucune influence ne puisse s'exercer qui domine la démocratie, que cette influence soit religieuse ou financière. » IL n'est vigilance, ni belle phrase de gauche, ni vigoureux ordres du jour, qui empêcheront les phénomènes économiques de dominer électeurs et élus. Ils sont au-dessus des volontés politiques, comme le nuage est au-dessus des arbres. Que le ministère Herriot aboutisse ou que le président de la Chambre regagne son fauteuil, à regret quitté, quel que soit le gouvernement de demain, c'en est fini des questions de personnes et des ménagements de groupes. Ce n'est'plus le Cartel qu'il faut sauver, c'est le 'franc. Entre les jours qui viennent et les réélections de', 1928, sur' lesquelles s'hypnotisent encore les politiciens, il y a les échéances prochaines et le matché des changes. Avant-hïéf, leS radicaux *>tit empêché l'accord de le" conclure dans une combinaison d'union nationale cette union peut se réaliser autrement dans les esprits tranquillisés. Un programme peut tre le lien de discipline accepté. Clair et complet, il serait une armature qui soutiendrait la devise qui tombe. lin programme approuvé dans ses grandes lignes par ces techniciens qui défilaient hier au Palais-Bourbon, serait vite accepté par l'opinion publique éclairée, s'il apportait à ce pays; qui se lasse le quelque chose de nouveau qu'il attend et qui impliquerait la fin de l'ère, des politiciens dont si souvent notre directeur politique, M. François Coty, a dénoncé-les méfaits. j Le pays attend et la livre guette.

11 Henri Vonoven.

~€~M~~

l^es prix Rlumenthal. ̃

v^Une généreuse Américaine.Mme Blumenthal, a fondé; plusieurs prix de

10.000 fianfi&nfl^els pendant deux an-

10;000 fra~&111M, ~ls pendà,' nt deux an';

nées pour îHde&Twà artistes n'ayant pas encore 35 ans à travâîllëf 'ëâîis'trtJp'aë soucis.

Lepiix de la, gravure avait «té attribue, il y a quelques jours, à M. Cami. Deux .prix- de peinture ont été donnés par le jury residé par M. Albert Besnard; à MM. Antral et Charlémagne, gociétairefs du Salon d'Automne. Ce choix est particulièrement bien accueilli dans ce journal, dont M. Antral est le collaborateur.

Nous avons signalé cette coïncidence. Depuis quelques années, les ministères tombent au moment où s'ouvre la foire de Bordeaux.

M. Léon Perrier, ministre des colouiës avait eu le temps de prendre le ïrain pour le chef-lieu de la Gironde. C'est en y arrivant qu'il apprit la dé;mission de M. Raoul Péret, et il dut reprendre un train immédiat pour venir apporter la sienne à TElysée.

v d'est égal, il y a progrès, et' l'année prochaine sans doute, la brillante foire jgjrqndine sera inaugurée par un ministre, d'une splidiÇé à toute épreuve.

"q' e~s

Une fésidehee pour Abd el Kirim -?̃ M. de Couloumme la Bàrthe, maite de §alîes-de-Béarn, vient d'offrir au nom de la ville un château appartenant à celle-ci, pour servir éventuellement de résidence à Abd el Krim.

Ce château, qui date du dix-huitième: siècle, est situé à l'entrée de la ville et entouré d'un grand parc.

L'essentiel pour Abd el Krim est qu'il ne soit pas situé en Espagne.

Il faut avoir vu les célèbres danseurs The Dufor Boys, du Palace et Hippodrome de New- York.

Ils font courir tout Paris aux dinersilansants de l'Ermitage des ChampsElysées, pour lesquels la direction si avisée sait trouver constamment de nouvelles attractions.

` Le Masque de Ferc.

ÇN ALLEMAGNE

La question de l'expropriation des anciennes familles régnantes C'est aujourd'hui que les Allemands sont appelés à se prononcer

sur les modalités de sa réalisation

Berlin, 19 juin. C'est demain le jour décisif pour l'acceptation ou le rejet du reférendum. Il est certain que 'la campagne a pris un caractère qui dépasse de beaucoup la question d'indemnité aux anciennes familles princières. Il s'agit bien plus de savoir s'il existe en Allemagne une majorité à tendances républicaines sans équivoque.

Tout d'abord, il est fort peu probable que le référendum soit valable du fait que la majorité exigible ne pourra être atteinte. Il faut considérer que pour un referendum une majorité est plus difficile à obtenir que pour une élection présidentielle. Ici, la majorité simple' suffit, tandis que pour un référendum populaire, elle doit réunir là moitié plus une voix des électeurs inscrits des deux sexes, quel que soit lé nombre des votants. Ce nombre est d'environ 3f millions. "• 'H~ Le référendum ne peut donc avoir gain de cause que s'il rassemble au moins 19 millions et demi de voix. Ce' chiffre énorme aurait peut-être été atteint sans certaines circonstances défavorables 1° la lettre du maréchal Hindenburg qui occasionnera un nombre élevé d'abstentions 2° les déclarations du chancelier Marx qui, bien que candidat du parti républicain, a couvert l'attitude du chef de l'Etat 3° l'attitude de l'aile droite du centre et des démocrates,. à tendance plus ou moins réactionnaire.

Au centre, ce n'est pas seulement le docteur Marx, chef de ce parti, qui s'est déclaré hostile au référendum, mais le clergé catholique a pris lui-même position négative. Ce n'est guère que l'aile gauche qui votera pour l'appel au peuple du parti populiste. La droite et l'extrême droite sont évidemment opposées au référendum. Les organes, nationalistes conseillent l'abstention pure et simple, ce qui équivaudra à voter contre. Cela' peut avoir pour conséquence d'amener les hésitants des autres partis à agir de même et rendra impossible le groupement de 19 millions et demi de voix.

On croit dans les milieux les mieux informés que les partisans du référendum réuniront 17 et 18 millions de voix, ce qui représente déjà un chiffre respectable. Plusieurs organes du soir objectent qu'au cas où lereferettttUîttWicnavait à triompher, il faudrait s'attendre^ à^ des

coftiplicàiîbn.'s; ea^pTfêinier lieu a itkk' crise

présidentielle.

Mort de la reine Olga de Grèce La reine douairière Olga de Grèce, qui depuis deux ans vivait retirée en Italie, est décédée à Rome, dans la nuit 'de jeudi à vendredi, après une longue maladie. Au moment de sa mort, les princes Christophe et Paul, la princesse Irène de Grèce, la -princesse Hélène de Roumanie, se trouvaient auprès d'elle. La reine Olga-Constantinovna, fille ainée du grand-duc Constantin" Nicolaïevitçh,< mortven 1892, était née en 1851. Elle avait épousé à Saint-Pétersbourg, le 15 octobre 1867, le roi de Grèce Georges I", frère de l'ancienne impératrice douairière r"-> Russie et de feu la reine Alexandra d Angleterre. On sait que le roi -Georges fut assassiné à Salonique le 18 mars 1913. La reine Olga était la mère de l'ex-roi Constantin qui abdiqua le 28 septembre 1922, et la grand'mere -du roi détrôné Georges II.

Le comte Solaro del Borgo, gentilhomme de la cour d'Italie, et de nombreux membres des colonies russe et grecque, se sont rendus à la villa de la Reine Olga pour exprimer leurs condoléances;" On attend l'arrivée des fils de la'Reine qui se'trouvent à Paris, pour prendre Jes dernières dispositions en vue des obseques. ̃' ;iuc n'e'

> -> t-,

Le Congrès eucharistique de Chicago

Un message du président Coolidge

Chicago, 19 juin. A mesure qu'approche l'ouverture solennelle du Congres Eucharistique qui a lieu demain dimanche, on s'aperçoit de l'ampleur prise. par cette manifestation internationale du catholicisme;

Une réception civique a eu lieu hier soir en l'honneur du cardinal Bonzano, délégué pontifical au Congrès. Elle' a eu lieu au Colisée, et l'immense salle avait été décorée spécialement à cette occasion. M. Davis, ministre du travail, vient d'arriver à Chicago, porteur d'un message que le président Coolidge adresse au délégué pontifical et aux prélats présents 'à Chicago pour le Congrès.

Le cardinal Dubois, archevêque de Paris, accompagné des prélats français .Mgr Grente, Mgr Chaptal et Mgr Lernaud, a rendu visite au cardinal Mundelëin, archevêque de Chicago.

̃Les négociations côinmçrcialéç franco-allemandes

Le cabinet du Reich

accepte les propositions françaises

La délégation allemande pour la négociation de l'accord commercial a fait parvenir hier matin l'assentiment du cabinet d'Empire- la proposition du gouvernement français relative à la conclusion, d'un aecofd partiel englobant certaines catégories de produits agricoles et industriels de France et d'Allemagne. Etant' donné la proximité de la séparation des Chambres dans les deux pays, lés négociations seront poursuivies avec célérité.

M. Posse, président de la délégation allemande, va quitter Berlin pour Paris où les pourparlers reprendront demain lundi 21 juin. r; ̃

.LA CRISE MlIVISTaRIBULrE ̃• ̃ IIIIIIDIHI 1' 1 r

M. Edouard? HeiMot prépare un f Eogramme fjaaiieier --̃11 -iiiiiiuriii

Il ^consulte des membres du Comité des experts, des économistes, des hommes politiques et les représentants de la Banque de fiance

.«tt<ttt««– (

Il s'occupera ee mâtin de l'attribution des portefeuilles 1 1 1 imtmim ..̃

A minuit, hier soir, M« Herriot a fait à la presse cette communication y ̃r-r J'ai consulté tout jiaturellement les présidents des commissions des finances de la Chambre et du. Sénat et les rapporteurs généraux de ces commissions. J'ai vu les représentants^ de ta Banque de France, à deux reprises, et j'ai causé avec eux longuement. J'ai mi des personnalités du monde économique 'et financier, "puis des hommes politiques et j'ai pris léur avis toujours en f onction du problème f inancier. » II m'a paru logique d'étudier avant tout le programme financier que je présenterai aux Chambres. Ce programme je l'arrêterai demain et je le soumettrai aux personnalités susceptibles de l'appliquer. J'aurai à trouver le ministre des finances, le sous-secrétaire d'Etat ou. le ministre du Trésor, je. ne sais pas encore, en un mot, les hommes capables d'appliquer ce:' programme. Lorsque cette question sera réglée, l'attribution des autres portefeuilles, sera nqp.. secondaire, mais aisée. Je n'ai pas considéré que cette crise fût à traiter corn- me les autres. Il m'a semblé qu'elle devait être précédée de l'étude patiente' à laquelle je nie suis livré. v,: M. Herriot ajouta qu'il espérait pouvoir comfuiquer aux journaux, aujourd'hui à midi, la liste des ministres de son cabinet.

Le ministère probable

Le mmistère probaMe

Malgré cette déclaration, dans Içs couloirs du Palais-Bourbon, .tandis que la délibération continuait entre Jesi Portes de M. Herriot et lui, on distribuait ainsi; .d'après 'les probabilités: ou posèî^bilités, i les j^or tefeuilles 'du eainnet^éii' formation .̃' Présidence du Conseil et affaires étrangères, M. Herriot.

Secrétariat d'Etat à là présidence, M. Maurice Sarraut (?) T Intérieur, M. Chau'temps. l'

Justice, M. René Menoult.

Guerre, M. Painlevé (ou M. Daladieùi Instruction publique, M. Daladier. Marine, M. J.-L. Dumesnil (ou Leygues). 1, r

KT.T.,M.Pasquet: Agriculture, M. Queiiille.

Travaux publics, -M. de Monzie. Le ministère des finances serait attribué, à M. Piétri, et, d'après F Agence Radio, le commerce serait offert à notre directeur, rédacteur en chef politi. que, M. Lucien Romier..

La journée de 1^1. Herriot

Le président de la ChamtoÇi qui avait retenu au Palais-Bourbon plusieurs de se,s amis dans la soirée de vendredi, et qui» avec eux,' examina la situation politique jusqu'à une heure, fort tardive^ îH'en ètajt pas moins au travail, hier niatinj <J*è,s l'aube. T A-^sept heures, déjà, il recevait M. Paiulevé, .qu'il n'avait pu voir la ve^He^ II fui avec lui une longue conversation, înàis^ dès 8 heures, arrivèrent à à la.iprésidenpt; M. Georges Bonnet, qui fut :jninistreflu budget dans le second Cabujet. Painlev4 M. Maurice jBokanowski, M.'Cîamille Cha%temps et M. Anatole de Moniie.

Et les visiteurs se succédèrent.. Ce furent M. Robiiieàù,' gouverneur* (ïjj la Bàhque'de France, qu'accompagnait M. Aupetit, son secrétaire général, puis M. Jacques-Louis Dumesnil, ancien ministre de la marine M. André Hesse, M. Peytral, M. Albert Peyronnet, M. Henry Roy, les sénateurs Justin Godart et Milan, M. Malvy;, ancien .ministré de l'intérieur, que suivait une délégation du groupe socialiste, appelée "par M. Herriot et comprenant MM. Paul-Boncour, Léon Blum, Rénaudel, Vincent Auriol, Faure, Bedouce et Hubert-Rouger. Cette délégation de socialistes ne fut, toutefois, pas reçue par le président de là Chambre qui, conféraht«vëc plusieurs des hommes politiques qu'il avait auparavant convoqués, lui fit dire ses regrets et son désir de la revoir après le déjeuner. D'autres personnalités, entre temps, s'é- taient rendues au Palais-Bourbon sur la prière de M. Herriot. Parmi elles^fe trtm- 1 Vaiént M. Sergent, président de la commis- si0n*des experts, plusieurs membnes dfi' cette ççnimission, dont MM. Jèze, Rist et Fougère, pujs, M, Lucien Romjjer, direc-

teurtrédacteur en chef politique du Figaro,

enfin M. Joùhaux, de 1* Confédération générale du travail. ̃ ,£.;ul\ Quelques-uns des visiteurs de la ma|inée, comme MM. Archimbaud et tAlbj3^ Milhaud, dont la démarche, d'ailleurs, avait été spontanée, durent se contenter d'être entendus par les collaborateurs de M. Herriot. C'est à la fin de cette matinée si remplie que M. Israël, parlant au nom du président de la Chambre,- fit aux journalistes la. dé- claration que voici .:•' :>

M. Herriot à procédé un long examen des questions financières. Il a vu, vous le sa-; vez, des hommes hautement qualifiés pour le renseigner, ^e président de la Chambra poursuivra cet 'après-midi son enquête. Les nom- breuses conversations, de ce matin n'ont eu; pour», objet que l'étude du problème financier. A peu près,tous les yisitçurs 4u prési- dent de la Chambre avaient été interrogés, à leur, sortie du Palais. Aucun n'avait consenti, à faire une déclaration précise. Tou- tèfois, l'on put savoir que M. Herriot s'é-

tait efforcéisurtout de connaître les engagements prochains de l'Etat, ^'emploi que l'on a fait de l'emprunt Morgan et des francs provenant des dollars vendus. Il s'est efforcé de conriaitre: encore auprès du gouverneur de" la Banque de France à quelle somme s'élèveront les avances faites par la Banque de l'Etat après-l'éçhéance du 30 juin.

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/Aussitôt après le déjeuner, M, HeîKio{ a repris ses « consultations >. Les 'premiers visiteurs introduits furent MM. Maurice Sarraut, Chautemps et René Renoult. La rédaction du programme financier, dit, en sortant, l'ancien garde des sceaux, demandera vraisemblablement encore une grande partie de la journée. On n'en est qu'à la période de déblaiement, mais la situation s'éclaircit.

Quelques instants plus tard, la délégation socialiste se présenta de nouveau à la présidence, suivie de près par MM. Dia^ne et Brunet,- qui venaient apporter au président de la Chambre un ordre du. -jour des députés, ;et sénateurs des colonies, « tendant à l'établissement d'un programme de coopération des colonies au javitàillement delà métropjole afin d'aider au- redressement du franc, » Cette délégation coloniale fut bientôt suivie par une délégation des députés des départements envahis, demandant le maintien dé M. Paul Morel au sous-secrétariat des régions libérées.

Un peu après 4 heures, M. Israël, représentant M. Herriot, fit à la" presse une courte communication

Le président, dit-il, poursuit l'examen du problème financier et du programme qu'il compte soumettre à ses futurs collaborateurs, dont il arrêtera la liste vraisemblablement dans la journée de demain.

Et jM.^Herriot continua ses réceptions. Il s'entretint avec M.. Cazals, président du groupe radical-socialiste de la Chambre, puis manda de nouveau M. Sergent, président de la commission des experts. Â< minuit, le président de la Chambre, interrompant ses conversations, se rendit à 9 heures à la présidence de la République et -mit M. Doumergue au courant de ses démarches.

A son retour à la présidence de la Chambre, il conféra de nouveau avec M. Sergent, et avec M. Lucien Romier qui, dit l'Agence- Havas, avait été prié de donner son avis sur le programmé, financier..11 reçut MM. Bokanowski, René Renoult, Rietri, de. Monzie, Jacques<-Louis Dumesnil et plusieurs sénateurs et députés.

Ce quon disait dans les vouloirs Dans l'attente des résultats de l'enquête financière menée par M. Herriot avant de constituer son cabinet, on ne pouvait qu'épiloguer sur le succès éventuel de son entreprise.

La méthode qui consiste à élaborer un programme autour duquel doivent être groupés des hommes d'action et <de bonne volonté, était généralement approuvée. Elle paraissait correspondre aux nécessités de l'heure. Pourtant, disait-on, les hommes politiques de:nuances diverses au concours desquels il sera fait appel feront-ils abstraction de, leurs doctrines pour se .rallier au point de vue qui leur sera soumis ? Sinon, M. Herriot ne sera-t-il pas amené, par la force,. in_êrng ,4|5 i £h,os,es, soit ^rétrécir sa conception primitive un ministère de; concentration, soit à ne constituer qu'un cabinet radical ou même cartelliste, soit 'même, à renoncer à sa tentative ? Les députés du centre considéraient que la politique suivie jusqu'à présent par les amis de M. Herriot ne leur permettait d'entrer dans un gouvernement dont il serait le chef, qu'en étant assurés d'une forte contre-partie. Il fallait, selon eux, équilibrer parlementairement les forces en présence-: la tendance modérée devait être le contrepoids de la tendance cartellisté et sa représentation aussi forte. Ils réclamaient donc l'avènement d'un des leurs au ministère des .finances et l'attribution de plusieurs 'autres* portefeuilles. 'Mais' les jâradî- caux-socialistes ne l'entendaient pas ainsi. Beaucoup" d'entre eux n'ont foi que dans l'application du programme- de leur parti et pour; le mettre en pratique ils exigeaient l'un d'entre eux présidât aux destinées du Trésor et que les « gauches » fussent représentéeS'-en majorité au sein du cabinet.

Quant aux socialistes, ils se trouvaient presque définitivement hors de cause. Toujours àicouvert du paravent de Clermontl?erra.nd ils ne peuvent appuyer le gouvernement que dans la mesure où son programme financier correspondra au leur. Lepr attitude ne sera donc définie que .lorsqu'ils connaîtront les intentions de M. ,Herriot.- -)

Le ïeu aux'chantiers de Normandie

,r

Plusieurs millions de dégâts

mi

Rouen, 19 juin. Vers 2 heures du matin, le feu s'est déclaré aux Chantiers de Tvformaniiie, près de Rouen, dans une cale en bois soutenant un navire en construc-

tion.

Le sinistre, qui prit rapidement d'importantes proportions, fut maîtrisé vers 6 heures..

Le navire, en partie détruit, était en construction pour le compte d'une compagnie brésilienne- p mesurait 125 mètres de long et devait' être lancé le mois prochain. '•

Les. dégâts atteignent plusieurs millions de francs. Il n'y. eu aucun accident depersojines.

A AUTEUIL

LE GRAND STEEPLE SE COURT AUJOURD'HUI

Smoke Cioud » paraît le meilleur des seize chevaux en présence

La journée d'hier nous permettant enfin d'espérer un temps de saison, Auteuil va connaître, cet après-midi, un véritable triomphe. Outre çpe le Grand-SteepleChase de Paris a toujours été une de nos courses faisant le plus souvent recette, car le public aime'les émotions fortes, celui de cette année s'annonce particulièrement attrayant par le nombre des concurrents et l'incertitude du résultat. Aucun des seize champions en présence n'a une chance qui s'impose dans l'absolu. Certes, la jument Roxelane, achetée à M. Lieux, vient de remporter, pour ses débuts sur les gros obstacles d'Auteuil, une victoire qui la met très en vue. Tout de même, elle n'a encore qu'un parcours de 4.500 mètres dans les jambes, sur cet hippodrome qui demande, en général, à ses grands vainqueurs,. ua peu plus; d'expérience. Elle doit gagner, si elle évite toute embûche. Mais on ne peut voir en elle une favorite de tout repos. Le très bon Smoke Cloud, qui va bénéficier de la meilleure monte, serait pour elle un adversaire singulièrement redoutable Arrowhead, bien qu'également novice sur le steeple; Portmore, Gymnure, ne sont pas non plus quantités négligeables. Nous craignons, par contre, que les quatre ans ne trouvent les 6.500 mètres bien sévères. En résumé, nous nous attendons à une course pleine d'imprévu et croyons à la victoire de Smoke Cloud. devant Roxelane et Arrowhead. J. T..

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AU JOUR LE JOUR

A pi liai les jm femmes 1

H ~Hut ,i. ihtUtuH

A quoi rêvent les jeunes femmes ? Au 42, répond un journal de modes.

Au 42 De quel coffre plein de joyaux ce chiffre est-il le secret ? Quel mystère cachet-il ? Est-ce un porte-bonheur, un talisman ? Ne cherchez pas. 42 est le numéro d'un « mannequin ». Il indique les mesures d'un vêtement 'féminin, et ce mannequin-là est celui aiiCjuel doit s'adapter la femme à la mode. Avoir 42, c'est avoir une silhouette élégante. :>.Pour xouseïvepwçe 14-2, que n& ferait- la femme ittoderne ? 'Elle n'hésité pas à se de"caîiVÛi une maladie de foie afin de villégiaturer dans une station thermale où l'on traite d'habitude les divers inconvénients du surmenage gastronomique, et qui attirait jusqu'ici les malades préoccupés davantage de leur santé que de leur ligne. Afin de troquer son 44 contre le 42 du jour, elle ira jusqu'à subir '̃' 'rigueurs d'un traitement avec absorption dosée d'eau minérale, massages, bains de lumière et culture physique. Un tel héroïsme est, il faut le reconnaître, récompensé par les agréments du pays, les bienfaisantes distractions du golf, de la marche en montagne et ceux de la vie mondaine.

Voilà comment les médecins de Brides-lesBains, par exemple, entre deux consultations sérieuses, reçoivent la visite des femmes les plus élégantes.

Nul ne pourra croire qu'ils s'en plaignent et que, par respect pour la Faculté,' ils préfèrent soigner un hépatique que mesurer un tour de taille.

Sans quoi il faudrait supposer que les malades sont -faits pour les médecins, et non les médecins pour les malades.

Louis Daney.

AUJOURD'HUI i c Jlt fWj ;a yiE COLONIALE

PO U R L.' É COL B ̃ IIIIIIIIIIII

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Par WLADIMIR D'ORMESSON

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Les articles que j'ai consacrés au statut spirituel de l'Ecole il faudrait plutôt dire au problème de l'éducation nationale m'ont valu un nomtre considérable de témoignages. Témoignages venant des points les plus divers. N'est-ce pas la preuve qu'un tel sujet répond aux préoccupations des esprits qui scrutent l'avenir et s'inquiètent des périls qu'une lente déspiritualisation fait courir à la France ? '? L'idée essentielle qu'il faut retenir, c'est qu'il n'est pas d'action plus nécessaire a exercer que l'action sur la jeunesse pas de désintéressement plus coupable que celui des hommes faits pour leshommes qui sont à faire. C'est parce que la nation se forme à l'Ecole qu'il faut entourer cette école de la plus extrême vigilance. L'ignorer, sous le prétexte qu'on désapprouve le statut qui la régit, revient à s'interdire tout contrôle, toute influence, partant toute critique. Les émigrations sont toujours néfastes. Et -l'on n' émigré pas seulement hors des frontières.

L'Ecole n'a plus à être l'arme d'un parti. Elle n'a plus à se dresser contre le passé pour détruire tel système, telle doctrine. Ayant pour une large part contribué à faire la République, il lui faut maintenant continuer à faire la France. Cette création quotidienne appelle le concours de toutes les forces spirituelles susceptibles d'enrichir l'âme française. Car pour subsister, cette âme veut qu'on la nourrisse perpétuel-

LA POUTIQUE

DE LA PETITE -ENTENTE

Elle 'demeure étroitement solidaire, rdes conceptions françaises

BLED, 19 juin. (De notre correspondant particulier). Les ministres des affaires étrangères, des Etats dont l'alliance constitue la Petite Entente, viennent de tenir à Bled, leur conférence semestrielle. Il n'y avait naturellement pas de décision sensationnelle à attendre de cette réunion, qui n'avait d'autre objet que. de permettre aux chefs responsables de la politique étrangère de la Roumanie, de la Yougoslavie et de la Tchécoslovaquie une prise de contacts personnels et un échange de vues général sur les problèmes, de l'actualité européenne. Cependant, cette manifestation de solidarité entre alliés de .l'Europe orientale n'en revêt pas moins de l'importance si on la place dans le cadre de -la vie internationale et si on la rattache au système général de pacification, dont les accords de Locàrno sont la base.

Depuis quelques mois, un effort plus intense a éte déployé par les chancelleries dé "l'Europe' orientale pour assainir l'atmosphère qui les entoure. On parle en effet un peu prématurément de pacte balkanique ou de locarnisation de l'Orient européen. Si tout le monde à commencer par les Etats du proche Orient est d'accord pour considérer que la politique inaugurée à Locarno ne doit pas se limiter aux accords qui y ont été signés et aux puissances qui les ont souscrits, il n'en reste pas moins qu'il ne saurait être question de généraliser ces accords tant que subsisteront certaines préventions et certains malentendus entre pays voisins. C'est d'abord à dégager le terrain de ces obstacles que doit s'employer, une diplomatie avisée et soucieuse de bâtir la paix sur de durables assises.

r*"

̃

Or ce travail préliminaire de déblaiement se poursuit avec patience et méthode. La Bulgarie n réglé par un traité d'amitié, récemment signé, toutes les questions qui étaient pendantes entre elle et Turquie. Elle a obtenu du Conseil de la Société des nations un emprunt d'assistance aux réfugiés bulgares sans que ses voisins- et ceci est symptomatique ̃ soulèvent d'autres objections que le maintien. de la première hypothèque de la Commission des réparations et le «on-r trôle de l'emploi des fonds d'emprunt. La Grèce est encore en désaccord avec la Yougoslavie sur le régime d'exploitation du tronçon farjoviaites quiltinit la zone" franche de Salonique à- la 'frontière serbohellénique. Mais les négociations de ces dernières semaines, si elles n'ont pas encore complètement abouti, ont cependant fait avancer la question d'un grand pas on ne discute plus aujourd'hui, entre Belgrade et Athènes, qu'autour d'un certain article VI qui permettrait au haut-commissaire grec de rejeter les réclamations yougoslaves s'il les considérait comme attentatoires à la souveraineté hellénique, sauf recours à la Cour de la Haye. Donc tendance générale à l'aplanissement des conflits et à l'instauration définitive de rapports de confiance dans une zone de l'Europe où bien des gens s'obstinent encore à voir des menaces pour la1 paix de l'Europe, alors que l'expérience démontre que cette paix fut surtout mise en danger le jour où les grandes puissances s'immiscèrent dans les affaires balkaniques.

On a souvent entendu dire ces derniers- temps que la Petite Entente, issue des incertitudes qui se manifestèrent dans certaines parties de l'Europe au lendemain de la signature des traités de paix, a aujourd'hui terminé sa mission et qu'elle cherche à donner l'illusion d'une survie. Les intéressés ont opposé eux-mêmes une réponse péremptoire à cette assertion en' renouvelant à Bucarest, le- 14 de ce mois, l'ensemble des pactes. qui Jes unissent. Albert Mousset.

(Voir là suite troisième page),

lement. Ou des passions rétrogrades immobiliseront l'Ecole dans une formule négative et travailleront sciemment à la dégénérescence de la race ou les Français clairvoyants, résolus à! ne plus se battre pour des ombres, s'accorderont pour donner à l'Ecole son maximum d'efficacité. Ils sacrifieront réciproquement à cette œuvre ce que leurs préférences pourraient comporter d'absolu.

Se tourner vers l'Ecole, chercher ce qui lui manque, l'aider à mieux remplir sa mission, tel est le devoir social par excellence. Pour cela ne jamais ignorer l'instituteur. Ne pas le considérer a priori comme un adversaire.- Tout au contraire, aller à lui la main tendue. C'est bien souvent parce qu'on l'a tenu à distance que l'instituteur s'est braqué. Dans chaque village, le prêtre. et lui sont les deux animateurs de la race. Rivaux ? Pourquoi ? Je sais bien que Montalembert s'est écrié' jadis « II y a deux armées en présence celle des instituteurs et celle des curés. »Mais il y a beau temps que la bataille est finie et que l'instituteur l'a gagnée. L'éternisera-t-on ? Il s'agit de savoir si l'on veut que la France en périsse. En se déchristianisant la nation diminue, s'affaiblit. Ses ressorts spirituels se rouillent peu à peu. La génération qui lève effraye ceux qui l'observent. « Je ne sais pas où nous allons », m'a dit un jour un instituteur libre. penseur. Les disciplines se relâchent. S'il y a moins de naissances, il y a ausçi moins de mariages la vie de famillç


est atteinte; la cellule soéiale s'anémie. Dari^.i.d'iminensesi agglomérations une population se développe qui non seulement ne professe .aucune foi, ne subit aueuneentpreinte spirituelle,mais pour qui les interrogations les plus naturelles de l'âme ne se posent même plus. Son existence se déroule dans d'uniques considérations matérielles. L'intelligence d'une race résistera-t-elle longtemps à une telle sécheresse, qu'alimente seulement l'alcool du bistro

̃̃̃ '̃' q

Pour parer ces dangers, un seul' moyen réformer l'éducation de la jeunesse. Une seule méthode réformer le statut de l'Ecole. Le régime de la neutralité pure eb simple ne suffitplus. Pas plus que la diète} -r eïW ne- constitué une"

f ormOTë" Se vîfe ̃ E"ïïh'é ;ët i'aîtti-'è' s'àpi

pliquént à des crises. Si elles soulagent

momeht~néài'edt~à' 'Hl 'lbng4é elleS"

mome'nt.attéîïientr à là longiië ;ël]es'

tuenti Certes renseignement scolaire proprement dit doit être neutre. On ne demande pas à l'instituteur de se faire l'apôtre de telle ou telle doctrine spirituelle. Mais à côté de cet, enseignement scolaire, à côté de cet instituteur, l'enfant à' moins' d'une indication contraire des parents doit recevoir à l'école l'enseignement religieux du culte auquel il appartient et cet enseignement religieux doit lui être donné par son cure, son pasteur ou son rabbin ? N'est-ce point là d'ailleurs le ré-, gime en vigueur dans les lycées ? Pour* quoi l'enseignement secondaire serait-il seul à en bénéficier ? Qu'on l'étende à l'enseignement primaire et le problème le plus pressant que nous ayons à résoudre pour l'avennir de la France sera en partie résolu. Au surplus, il n'y a rien, dans cette suggestion qui contredise la plus pure tradition républicaine. Car cette suggestion, nommons son auteur Jules ter* ry. Le 10 juin 1881, l'homme d'Etat disait à la Chambre « L'enseignement religieux sera donné par le ministre du culte, soit danà*lë£^feâtiments ^çonsyac^és. au culte, soit dans les làk'ciïïx'sc'olaifèéï II sera: donné? parle ministre du culte directement il pourra, être donné par l'instituteur lui-même s'il s'y prête librement en deliors des.heures de classe.'»

Sans doute dans certaines régions de France où les traditions catholiques sont restées intactes, l'école interconfessionnelle, telle que nous la souhaitons, ne répond-elle pas aux désirs et aux coutumes de la population. Il faut tenir compte des particularismes régionaux. Naturellement. Mais pour 1 ensemble de la France, ce régime représenterait un progrès inappréciable. L'immense majorité des enfants recevrait enfin une formation spirituelle. En outre point capital • la présence officielle du ministre du culte à l'école rétablirait un lien- si menue soitil entre l'Eglise et l'Etat, circonstance psychologique de la plus extrême importance pour faire cesser la défiance, la pusillanimité de tant de familles qui, craignant lès puissants du jour, évitent le, curé depuis qu'il n'est plus & fonctionnaire n.

Invitons passionnément toutes les forces spirituelles françaises à s'accorder* Notre renaissance est à ce prix. Le temps pressey /Re^oùvejons; n,os ^dép§?

Agissons. Faisons1' rifesséi'â^ivr^e^aji-

tagoniéme dé'ï'État'eita'u sentiment religieux, du curé et de l'instituteur. Rétablissons un lien entre ces sources spirituelles. Que l'Ecole ne soit plus « récole laïque », marquée du, doigt par les uns, exaltée avec défi par les autres. Qu'elle soit simplement notre écolè nationale; signifiant par ce mot qu'elle sert la continuité française et qu'elle met en œuvre, pour la garantir, tous les ressorts qui sont nécessaires à une race pour rester digne d'être d'une race. Wladimir d'Ormësson,

Les incidents du 9 mai M; Peyré, juge d'instruction, a procédé hier, en présence de M*. Yvonne Jacquemin, à d.e "nouvelles confrontations entre les témoins et les agents accusés de violences pendant la journée du 9 mai, violences dont, fut victime te jeune Roger Piçhon.

Les agents Raoul Jarry et Lemaître désignés par la rumeur publique comme pouvant être ceux qui ont frappé, sont venus au palais. de justice en tenue; mais au lieu de changer de tunique, comme la première ïbis, ils avaient tout simplement décousu leurs lïurttéros. ̃ •̃ Le premier témoin, M. Visfd,' "dënïeiîrant 82; avenue Marigny; Kontèflây,. fci^rtifie que l'ageatoi«{tu'; a frappé 'portait le numérp. 9355 et désigne le gardien Lemaître comme l'auteur de l'agression. M. Chonn, au contraire, désigne, le gardien Jarry; comme ce dernier, l'homme qui a frappé le Jeune Pichons avait le teint rougeaud.

MM. Bedu, Ribaut et Simon sont très àffirmatifs en ce qui concerne le numéro 9355 que portait Jarry; mais ils ne peuvent affirmer que le gardien eh cause était bien l'inculpé.

Le juge a reçu une lettre d'un témoin de province qui, le 9 mai, était de passage à Paris et se trouvait rue Saint-Hyacinthe il a assisté à l'agression et a tout vu; 'il a pu relever le numéro 9355 que portait le policier brutal; il a inscrit ce numéro sur un journal; l'agent a voulu lui enlever ce journal; mais le témoin a r§ fusé de le lui remettre et a donné le numéro à tous les civils qui l'ont voulu. M. Peyre ayant reçu la commission rogatoire qu'il avait envoyée pour établir l'heure exacte de l'agression, va terminer son information.

~<

Une locomotive tamponne un train de voyageurs

fîu^lre SP^ai^l? .^n^^égèrement ,bjessé>. Hier Biatïri,: vôrs"9eux' heures, en sortant 'dû dépôt de la gare de Versailles- Matelots, une machine haut-le-pied a tamponné un train de voyageurs, venant de t>reux et se dirigeant vers Paris, à la hauteur de la pièce d'eau des Suisses. Le çhûç fut extrêmement violent. La machine tamponneuse se renversa sur l'un des côtés de la voie, et trois des wagons du train tamponné déraillèrent, subissant de sérieux dégâts.

Quatre voyageurs ont été légèrement blessés. Ce sont MM. Paul Maheux, notaire à Houdan, blessé à la tête René Bonneval, inspecteur d'enregistrement à Dreux, blessé à la main gauche; Gaston Leveau, habitant Laigle, blessé à la tête, et Mme Hélène Laurent, demeurant à Paris, 17 rue des Feuillaatines3 blessée à la main droite. Une enquête est ouverte pour ftéiermiBck les causes de l'accident.

GAZETTE

dès Tribu n aux

Un 'commissaire condamné pour avoir frappé un journaliste

Dans je ne sais plus quelle pièce de Meil.hac et Halévy, il y à un commissaire de police qui a horreur des honnêtes gens. Les voleurs, lès rôdeurs, les escrocs, les escarpes, sont pour lui des gens délicieux. Jamais ils ne viennent frapper à- la porte du Commissariat pour se plaindre et interrompre la sieste du magistrat. Parfois, les agents en amènent un ou deux qu'il faut, hélas à toute -force, iiiter-roger, mais' c'est bien' rare.' Mais lés honnêtesiigens, par, contreyqUëîs raseurs 1 dit/le commissaitiièv :On 'ne- voit' ,gu"euj{.;iljsj:son.t sans: «esse volés ou .escroc qùés, ils; se plaignent toujours, jamais ils- ne sont satisfaits. Ils encombrent le commissariat de leurs récriminations, de leurs gémissements. On ne voit qu'eux Ils sont à tuer

Et en lisant les débats du procès qui vient de passionner la ville de Chartres, on ne peut s'empêcher de songer au commissaire de l'opérette. L'opérette, mais c'est la vie même. Tout arrive, et c'est le commissaire qui frappe, que l'on poursuit, que l'on juge et que 1 on condamne. C'est ironique, maïs c est ainsi.

Il y avait à Chartres, un commissaire de police qui s'appelait Pascal Bertoni. Excellent fonctionnaire, mais qui avait un défaut grave. Il n'aimait pas les jour- nalistes. Or ceux-ci, pour accomplir leur devoir, leur métier, venaient fréquemment demander au commissaire, au secrétaire, aux agents, ce qui s'était passé de pittoresque ou d'intéressant dans la journée. Les journalistes, pour un commissaire peuvent être encombrants, trop indiscrets, trop nombreux, trop interrogateurs. C'est .possible, mais ils accomplissent leur tâche quotidienne tout comme le commissaire- accomplit la sienne. Or, un jour, Chartres, d'ordinaire très calme, eut sa « grande affaire >. Un jeune homme avait reçu des coups de revolver dans un quartier très mal fréquenté et qu'il fréquentait' f néanmoins? ,Wr;jfcffainei bien banale» sojnroe. tflu,t^;ijna}p,à;,CbafttJre^ (?fl>futtiwv> événement.. J^es' journalistes du.,fdé,partemfent troiiyjerie'nt. qiw}4e.: commissaire $'o&, cupaït trop peu de l'affaire, et le commis-.saire, que les journalistes- s'en occupaient trop. Si bien qu'il ordonna à ses subor- donnés de rie plus fournir aucun renseignement à la presse. De quoi se mêlaitelle cette presse, qui venait l'interviewer sur les faits divers de Chartres, comme si Chartres « à l'instar de Paris avait des faits divers

Or un jour, le 12 avril dernier, M. Rogér Pillet, rédacteur à la Dépêche d'Eure-etLoir, se présenta au commissariat. Dans un coin écoutaient deux agents, qui se gardèrent bien de se mêler une conversation qui bien vite prit un tour très1 vif Je suis le maître chez moi disait à M. Pillet, le commissaire de police, M. Bertoni.

Mais, mon métier veut que je vienne vous voir

Allez-vous plaindre à la sacristie 1 répliqua le commissaire.

Et, dans le commissariat, on entendit soudain du bruit, des mots violents, et' M. Pillet sortit la figure en sfang du bureau du commissaire.. Aussitôt il alla à la mairie déposer une plainte en coups et blessures contre ce magistrat. Et le par. quet poursuivit M. Bertoni, commissaire de police.

Celui-ci, à l'audience, se défend éivpjfc. giquement d'avoir frappée Mais efalfiiFfn

ppu^gaoi ;.d$najM, Rill^î ajvaifc^ te ~•wi^sgà.-

'cp.ua.. ?t, ri ri _b i.

]VtVWVqeIXQj,gnar,d, .du parraau de Pa-

ris; plaide pour M. Pillet. M' Bastqnf dii*

barreau' de Chartres, défend le commissaire, et celui-ci est condamné à cent francs 'd'amende et un franc de dommages-intérêts. v

Le commissaire de police de l'opérette avait raison les malfaiteurs seuls sont agréables pour un magistrat. Ils ne demandent jamais rien.

Ce n'est tout de même pas une raison pour frapper des honnêtes gens, et quand ce sont dès journalistes, ils s'insurgent.

Magnétiseurs

en police correctionnelle

La 10* 'Chambre correctionnelle semblait hier transformée en une salle d'hôpitai. On n'y- voyait que des malades. Mais des malades qui venaient dire du mal des médecins qui n'auraient pu les guérir, tandis que les prévenus inculpés d'exercice illégal de la médecine, mas- seurs, magnétiseurs, les auraient eux, guéris, rien qu'en faisant sur eux des pas. ses magnétiques.

Il est classique, d'ailleurs; ce défilé de malades guéris ou se disant guéris, toutes les fois qu'on juge un de ces médicastres sans diplômes.

Ceux-ci s'appellent Louis Guinebert ef Elie, JîicûL^qui. sanLi des^iMifiniiiers .mas- sëurs professionnels, et Char^s- fiaiRbert

'dïf Wttëf, rqttiv }MW t h1mpatswn*n-

sôns. 8r t J'avais, dit une femme, un' eczéma incurable de la face, et Guinebert m'a guérie. ̃̃•

J'étais tuberculeux, dit un Homme, On me l'avait dit à l'Institut Pasteur, et Picot m'a sauvé.

J'avais mal à l'estomac.

̃ J'avais mal à l'intestin.

J'avais vu quatorze médecins sans pouvoir être soulagée, dit une autre femme. J'avais mal du foie.

Et moi du poumon

Et' moi de la rate

Et l'on m'a guéri avec des passes. On m'a soulagé en m'imposant., les mains. Je crois au magnétisme. Je crois au fluide vital, mais je ne crois pas aux médecins.

Telles étaient les dépositions recon- naissantes des témoins.

Mais le syndicat des médecins a dépo-, sé une plainte et on a poursuivi eh police correctionnelle les trois magnétiseurs. L'un d'eux, Elie Picot, est en outre inculpé d'homicide par imprudence. Il aurait pratiqué sur un jeune homme de 17 ans; qui souffrait du gendu, des massages et des passes, « Il avait, dit Picot, de la sciatique, » Or il aurait eu une lésion, plus grave, une tumeur blanche du genou, et les'massages auraient déterminé sa mort*: '̃'̃ ̃ ̃̃• ̃;• ̃ •̃• ̃̃̃̃̃'̃>̃-̃̃ ̃̃̃•- Apres praîdoïries de\ Blf Çarçoîi,' pouf les prévenus, et Grqslard, 'pour le syrtdir: cat des médecins, le tribunal.a remis son jugement à huitaine.

Georges Claretie.

Manifestation pacifiste féminine en Angleterre

Londres, 19 juin. Environ 10.000 femmes, venues de toutes les parties de l'Angleterre, un grand nombre d'entre elles ayant fait le voyage à pied, ont assisté aujourd'hui à une grande démonstration pacifiste organisée à Hyde-Park. Une motion a été votée à l'unanimité, demandant au gouvernement britannique de régler tous les litiges internationaux par l'arbitrage, et lui demandant également de prendre la direction des débats lors de la conférence sur le désarmement gui doit-avoir lieu à Genève,

NOUVELLES DIVERSES i.

La température

Probabilités pour aujourd'hui .̃: Région parisienne vents sud' Ou sud. ouest, nuls à faibles. Beau nuageux à quelques pluies prochaines. Beau temps 'offris- toute la France sauf 'bruines ou gouttesd'eau littoral Manche. e

-T.

Drame de la jalousie

Le journalier italien Domenico ;Campinelli, âgé de trente-cinq ans, s'était engagé, il y a quelques jours, comme travailleur agricole à Aiguës-Vives (Gard).. Un télè-

gramme,, l'informait hier,que -sa feinte.,

framm'e,. t'informait hier ,qu,e^sa feiame^

tftit partie pour Marseille avec un^dje^es;1"

compatriotes. J:, ̃ » ̃'̃•,

̃̃ Çatfipinelli $ .'âai^ 4 la r eçherihe de, l'^hv r

hdéle, ;Le soir, dans,' un bar, boulevar^i OddoV il retrouva le nommé C^sto JBiafliôii/ ta, qu'il savait être Tami.de sa fémnijé,' %t tira sur lui deux coups M revolver. Attèjnt grièvement au flanc gauche,' Biemônta ''a* été transporté à l'Hôtel^Dièu. Lé œsujfteier s'est constitué prisonnier. v

» ̃ .1. ̃ S.s )'̃, *̃'

Arrestation d'un chanteur

ambulant ,¡',

Sur mandat du parquet de Là! Rochelle, l'inspecteur de la police mobile Séjgaud/ de la septième brigade de Bordeaux, et le brigadier de la Sûreté Charles, dél'à'porlicë de Poitiers, ont procédé ce mâtin a rârrestation du nommé Noël Crériiont, quarante-qyatre ans, chanteur ambulant, demeurant ,route de Maillochon, depuis un an environ. y- >

Crémont est inculpé de complicité d'assassinat de Marie-Corentine Lebrun. Ce crime fut commis à la Rochelle le. 14 mai 1923. Cette arrestation a été provoquée par les .révélations d'un détenu de la maison] d'arrêt de Saintes qui serait le >,j)rioiîipai au- teur du crime, rr 4 ,:a

*T "«J '•• ?̃'

Une «guérisseuse » de seize ans ^çrpque.^nè^malad^ i ̃̃;> jMme Beau, nialade flè^uïs' 16'ngtèmpj vivait triste et solitaire, dans un petit vil.lage, Lés Êonibles près de Saintes. Dernièrement, elle recevait*' là' visite d'ùrië"îéûnë" nomàde,JFçâr«ie Visse, âgée de: seize ^»S|; ̃ Grâce à une sérié de prières due je sais faire, j'ai le moyen de vous guérir, lui dit la petite rouée. Mais, pour <pie Ces prières soient efficaces,- il est absolument' indispensable que vous me confiiez tout l'ar- gent que vous avez chez vous. Ce n'est qu'une formalité d'ailleurs, car les« prières faites, je vous rapporterai votre fortune. Mme Beau,; -convaincue qu'elle allait, grâce à cette nomade, retrouver la santé; lui remit comme elle le demandait une somme de 7.800 francs.

Est-il besoin; de le dire? La «guérisseuse » ne rviht pas, et là gendarmerie, à qui Mme Beau a raconté sa mésaventure, n'a pas retrouvé ses traces. 'S

~b.

Pour cacher sa faute

M. Bertin Mahé,; 27 ans, demeurant à Gargan, 6, allée Bayard; comptable aux établissements vViUetîe..19, impasse des Cailloux, à Clichy, fut chargé,, hiec mqtin, de porter une "somme de i26(«00 fr. au siège de sa maison,. 20, rue de ,Vincennes.. Vers M) heures, il passait route de la Révolte, à Levallois, lorsque, devant., lo n" 100, deux individus se jetèrent, sur tjlui. Je frappèrent bruTale.ment et lui arpù-

,cberen^on:noçtefeuillie' -••"• ̃•»'̃

Les ;malïiJ}|'p,u'rs ëflutièiij'ii.t> '.ensuite, à^nS*

un" faki' q.c boulejîr 'bleue ,qiïir stationnait",

à 'proximité, et qui partit aussitôt. !> ;ji;

A la fin de' la soirée, pris de rernôr4^i

il avouait au commissaire de police 4dè la localité qu'il n'avait pas été attaqué. « J'ai joué aux courses Targéftt qui m'avait été confié, et j'ai tout perdu,

Bertin Mahé a été ecroué» J'

J3erUn ¡\fahe a ete ccroue. ,¡' ¡"

Cambriolage d'une usine'

Au cours de la nuit dernière, des malfaiteurs se- sont introduits par fffrafctioH dans lés bureaux' dîa l'usine des accumulateurs, route de Meaux, à -Romainville. Ils ont éventré un coffre-fort ^t soi^t- partis sans avoir volé.

M. Lignières; • commissaire H de police des LilaSy à'ouvert une enquêtei-'Ce"s"màiifaiteurs avaient- pratiqué une ouverture dans le coffre. ̃ L'argent d,estiné à la paie des, ouvriers se trouvait .sur la tablette supéjcieure. -> Ils ont abandonné un sac de Cuir, contenant des outils et un journar'ëdnimuniste italien La Riscossa, daté du jj&juin. Le service de l'identité judiciaire, s'est, rendu sur les lieux.

Un homme blessé. Boulevard Volfâir^ a' 3 heures du matin, M. Pierre Ntfël, 36' ans, 94; rue d'Avron, a été blessé de quatre couos de, couteau à' "là cuisse, au dos et au côte droit, Il nttè transporté à l'hôpital Saint-Aiitoiné. 'Ilf a refusé i de dtfu'nor i'de*^lJhdJca!SIt>àl?"Sur sdn'> agresseur, -et ne.j-eut pas -déposdn de plainte; Son état est inquiétant/ Le- fommisspjre- ^e P9; 'lice du (tù'ûftîér'Saifité^Mafgûerîte'èhquéte., %es agressions nocturnes. A l'angle de là rue du Colonel-Renard et de la rue d'Armaillé, MUe Odette Maillard, 38 ans, 19, rue du Colonel-Moll, été attaquée par un -rèdeur--quï -OU porta un coup de matraque, lui arracha son sac à main contenant 1.450 francs et 'prit fuite. ̃ ̃'•̃" Une serviette oubliée. M. Michel Pcisômentirow, représentant cpminércial de l'U^R;, S. S^" 17, rue .Julien-Lacroix, a oublié dan's^iin taxi' qu'il avait pris rue'Bassano une serviette çn cuir noir contenant' des dobunîents, cbhlnierV ciaux, ̃•.̃-̃<̃••-̃̃-̃

Une Mette tente de se suicider sur la route Elle' avait projeté ttfer son' père J\ Les gendarmes de. Crécy-enrPonthieurencontraient sur la route une jeune fille de quinze ans qui paraissait être, une vagabonde ils l'arrêtèrent.. Squ/Jàin, elle ) sortit un revolver et se tira unpb,alle. dans ,> la région du cœur.

Elle, a été transportée à l'Hôtel-Dteu d'Abbeville. Son état est inquiétant.. l' Cette jeune fille se nomme- Alberte Pjcon. Elle habite avec- sa mère et Sôrr beaupère, qui l'a reconnue, un petit logement au re?-de-chaussée, 12, rue HégfejtfipeMoreau, à Paris.

Elle était venue, vendredi matin à Noyelie-en-Chaussée afin, a-t-elle dit, de tuec, un habitant qui.sêj^it son père. -A

Crie engjiêtâ.fôt ônverté,

La mort de Régine Ftory f.

Londres, 19 juin.. Le corps de Régine Flory, décédée dans les tragiques circonstances que l'on connàîti, sera ranaené en avion de Londres à. Paris dana les premiers jours de la semainé prochaine. On donne peu de > détails sur la fin de la regrettée artiste. Lorsqu'elle se rendit du Savoy Hôtel, en taxi, au Drury Lane, pour assister à la représentation :ide RoseMarie, on remarqua qu'en cours de route la jeune femme serrait contre elle son sac à main. C'est entre 9 h: 3^ et 10 heures. qu'elle entra dans le bureau de sir Aldred Butt. ̃̃>

Ce dernier. a refusé. de faire la moindre déclaration. police a fait saisir tous les bagages et la correspondance de- l'artiste. Un petit paquet de poudre blanche trouve dans soft sac à main sera analysé..

US COURSES EN FRANCE

Une curieuse « rétrospective »

a~ château ~Ie Mdiaons·LafFitte

au château de M disons-La ffitte

Jf'^npré quels furent les goûts de René 'dejEorigùeii, pour qui François Mansart, environ l'année 1620,. bâtit le château de Maisons-Laffltte. On peut supposer pourîtant !que. ce surintendant, dies finances aima'itj'g.ux heures de loîsirj la chasse, l'équi• tation^'les exercices du corps'. Si son om-, :Jare re.de, encore parfois dans les couloirs du; château^ ;el}e prendra, plaisir, sans 'doute, a regarder les tableaux et. gravures qui éompo'seht l'exposition des courses en, France».

Cetje ^nféres^ante, ,?àrétrpApectiye ,»Si;f^t (-ln4u0ir(ge:!(hiejfï.matïn par MV, P-aul .Léon, !q'u|ç ,0'toui'ai^èntTtia; plupart; des conservât teurs de nos musées parisiens» rPrè^sdç^ui r3?e|tenaient aussi M. le sénat'èur"'Cofhiidët," aM.j Julç^^Rç^n,, ,consmller(vgén,éria,U-ïMme •Henry Làpàuze,' M. Duverdy, maire de Maisons-Laffitte^; et tes "membres de la nu nicipalité.

:Jï;cérënibhïe fut courte et simple. Le prJsïdent du comité d'organisation, M. Henry Laporte; prononça quelques mots. M. Paul Léon félicita ceux qui ont eu l'heureuse idée de cette exposition. Il eut un; compliment particulier pour le conservateur du château, M. Paul Vitry, et aussi pour l'expert bien connu M. Reitlinge'r." A celui-ci incombait l'organisation matérielle.' Il a montré ce' que peuvent le goût et l'adresse d'iln homme de métiejr» Cette exposition. vaut d'abord t– cela s'entend aisément par son intérêt docunlentaire. Mais si les hommes de spart ';« sf emballent » devant' des oeuvres- qui perpétuent de mémorables souvenirs, les artistes, eux aussi, trouveront de quoi se satisfaire.; Georges Bus'son, Fpantz. Charlet, Chazaiviei, Ëelamàrre, Grant, Lawson, 'Mdlespina, de .Molines, Princeteau, et l'élégant Maurice Tàquoy et le preste Jacques Brissaut, ne sont point, certes, peintres à dédaigner. Voici Detaille et Maurice E)UbÀut, vcïïçi Ca^rle Vernet, fin et nerveux^ et Eugèiré'La.mi, dont les aquarelles sont. 'ûn; si joïr, ragoût, de couleurs, et jAlf re'd d^ Dreux,. £t un curieux Champ 'e' coïMë^Ûe ltMérlèftin 3V|W;riçe.. f pt.yflici .quelques pièces. maîtresses, des;

Lëwïs;Bro\VH, ,49?, .Géj^ça'ult Cun, ,,ai^'n;irâ;

blfe JPtÛ1 s'anjà, un .ÇJÏçvql yahyfais •"à,P'ècii'-

ri~)y,e Râ,i~a~li,,un"e toile légéro et aéi·ée,

W^)"qe R£if|àëli, une toile légère et aérée,

un.e^délicate'' aquarelle de ce Bottini, presque '«redécouvert » dernièrement; un pas- tel, de Degas, Eeè trois jockeys, et un cava\iev en habit rouge, puissamment enlevé; une lithographie de Mânet, des ToulouseLautrec. Et 1 on verra encore un Sein, des gouaches de. ;Dufy, même un Van' Dûngen. ,'« N'omettons pas, parmi les .sculpteurs, les noms de Fremiet, de d'ïlhers et de Malissard, qui a fixé dans le bronze le célèbre Epinûrd, pour qui la fortune souvent fut marâtre, et son émule Bellefonds. iGK tt^esf donc p"as seulement pour l'intérêti'historique que cette exposition mérite-l'attention. On-y constatera aussi, com^ me te dit notre collaborateur M. Marcel Bciulenger dans sa chaleureuse préface au îcatalogue, que «les "Courses offrent à l'artiste en émotions »:uhe matière presque inépuisable. »

K'ifjôutons qu'un mot. Que les visiteurs sortant de l'exposition défèrent au désir du Syndicat d initiative. Qu'ils visitent sans hâte le beau château de Maisons-Laffifcte.' Et qu'ensuite si du moins le temps vaut' bien 3lë permettre– ils s'attardent ̃flqns le parc, où les villas posent dans la 'yerdure-Jeurs taches, blanches. Ils y goûteront le plaisir de la flânerie dans un £<3cor déliciej«!ifi6l^ii;ïis$^t!&î(«iJie poésie rd<} papesse* ̃>»•« •.

< G R°-3t~e~fpt~~A~~ ~l~~ti°~it~âëli~ <

~i.~A L'1N~TITU'i

L'Académie des Beaux-Arts

? I Çuyre soi» jplmarès

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ÏDtëux grands prix; Le Guay-Lebruri, de J.ÔOO- francs chacun; ont été décernés hier zpar d'Académie des.; beaux-arts l'un au peintre Hervé, auteur de La fête de villa§e que l'on voit au Salon l'autre au sculpteur Bottiau, pour ses bas-reliefs décoratifs. >. m,

Mlle Heuvelmans, grahqj prix de Rome jjc? sculpture, reçoit le prix Piot de 2,000 francs, et M. Pénatj qui a gravé le Christ ':tle| Léon Bonnatji le prix de la Société française de gravure de 1,400 francs. '• JLt'Académie dés beaux-arts a, en outre, ̃ attribué des prix de- peinture de 4,000 fr., ..» jiVI. Maury de 3,000 fr., à Mlle:Franceschi».à M. Clan.ie.ns,. à M. Bazé de 1,500 fr., à Mlle Barrier de 1,000 fr., à M. Giess 500 fr.), îlM, -BQUsseau-Decelle, et de

$00 fr.à M.^elle.

̃̃ > 'f*1

Uji #jet^ociété universelle des ualions

|L.JAca(^|}|^tfes'>'st;||agés ^roc>ralès:.??,t kp'õ Iitiques a ï ejûëridu'.ay'ec le"' plus i.yïf intèKêt une. ni \olf Minejif'cb'rrespohdànt, M. Aleimidro Alvarez, seçrë-.taire général de l'Institut américain de dtsdtt .international^, lui a faite, du .rapport'qu'il vient de rédiger pour la cinquième session de l'Union juridique internationale. ̃-••̃̃̃-̃

II. s'agit d'une '< réforme du pacte de la Société des nations sur des bases continentales et régionales »,

^Actuellement, X côté de la Société de Genève, existe l'XJiiiph panamérjcaijie, qui 'fojuctionnè ave c.. une entière indépen-' .dârifi^ ,Ebl?on constate- cette singulière anoma- lie dans' la vie internationale que les problèmes-- d'intérêt mondial ne sont nulle part traités par l'ensemble des Etats du

globe. •-̃

M, Alejandro Alvarez conclut qu'il conviient d'établir un lien entre la Société des nattons et l'Union pànatuéricaine, afin d'éviter que des malentendus ne se produisant entre ces déu^ organisations, et af|n qu'elles traitent 'èh' commun les affaires mondiales; .-<:

SLectuix; ,par M- Léon Lecestre d'une étude établissant les rapports qui existent entre les lettres du marquis de Sourches et les mémoires à lui attribués, et dont il est évidemment l'auteur. >•. 1, ;Pr'êi5'éntatio|i' pat* M. le baron Sçillière%ëi iniyrfiges Du quiétisme au soéïûjUnié romantique "et Vile Académie à1, 'i iJ'^ROfâieg roinantique. ,•̃

;En 'comité .secret, octroi à M. l'abbé,

jCùurçoux d'un prix Carlier de 2,000 fr. pouf' ïesT colonies de vacances de Saint.Bustache^et, à des veuves chargées d'enîfants, d'allocations sur les fondations Car»not et autres.

•̃̃̃ Ch. Dauzats.

Tombola de la « Grande Nuit de Paris »

Ndus, rappelons que quelques numéros gagnants de la tombola' tirée a la '« Grande Nuit Ae -Paris >, n'ont pas encore été ré- clamés. Nous donnons ci-dessous ces numéros qui permettront de retirer au Figaro les lots gagnés.

71, 124, 135, 146, 353, 357, 433,466, 470, •523, 531, 533, 546/ 579, 596, 616, 642, 653, ,697-, m, 760, 810,3 828, 866, 917, 955, 969,

m. -;̃ ̃̃••

LE MONDE ET LA VILLE

DANS LES AMBASSADES

S. Exe. le baron Cartier de Marçhienne, ambassadeur de Belgique à Washington, s'est embarqué à New- York pour Anvers. RENSEIGNEMENTS MONDAINS

S. M. la reine Marie: de Yougoslavie est arrivée hier après-midi, à deux heures, à la résidence royale de Bled, où elle était attendue par les ministres des affaires étrangères de Serbie, de Roumanie et-de Tchéço-Slovaquie et le préfet de Loubliana.

7 "Ht. "'KA' RR. les princes Gustave-Ro^dplph et Sigvar, fils de S. À. R. le prince héritier de Suéde, i&nt arrivés à Paris." 'J'J

̃̃'̃-V> -i^1 1 .f'jïi1; ̃>̃̃ '.V'-u .01.' ̃:

Mme Alexandre. Adam a donné. bief, une. très élégante matinée à Toccasion du contrat de mariage de sa fille, Mlle de Suarw d'Aulan, fiancée au vicomte de La Besse. ̃

On a beaucoup admiré la corbeille et les nombreux cadeaux.

Goûter élégant, ces jours- derniers, chez la vicomtesse de Pomereu. Reconnu

Princesse de Beauvau, comtesse d'Hinnisdal, marquise de Castellahe, marquis et marquise de Marcieu, marquise de Bailleul, comtesse et Mlle de Bernis-Calvière, comtesse de Guichen, comtesse de Louvençourt, duchesse de Duras, marquis de Rambures, vicomtesse A. de VilleneuveBargemont, princesse Aldobrandini, rcomtesse Pierre de Bagneux, baronne et Mlle de poinecy, vicomtesse de Gaigneron, comte Hervé d'Hunolstein, marquise de Talhouët-Roy, marquise de Moustier, comte P. de Durfbrt, "vicomtesse et Mlle d'Orglandes, comte et. comtesse Bruneel, marquise d'Estourmel, marquise de Montboissier, vicomte et vicomtesse de Noue, comtesse Chevreau, comtesse de Rohan-Chabot; etc.

$ Mme Georges Lakhovsky vient de quitter Paris pour se rendre à Vichy. Hier après-midi a eu lieu, au Théâtre de Paris, la représentation de danses offerte par M. Raymond, le professeur bien connu, à ses élèves. v ''O i- L'élégant auditoire a beaucoup àdtfiuu' le talent ïifllè Mârgilétte Bôuvîër;. > àsm> 'te Miroir de Faust. Mlle Bouvier Marisa "^le-" ment avec -Mlle î<e Trocqueri;'ùne;'tarénft!iie.

pleine d'entrain.- 7

-̃̃ ..̃̃i i-.t 1.

NAISSANCES

M. Christian Thurneysseri et madame née Trembley sont heureux d'annoncer la naissance de leur fils, Bernard.

BIENFAISANCE

Le mercredi 23 juin aura lieu au Théâtre Montmartre (L'Atelier) un grand concert au profit des colonies de vacances des Equipes sociales, avec le concours de Mmes Rit.ter Ciampi, Lélia Gousseau, MM. Louis Vierrie, Jean Vaugeois. Billets de 2 fr. à 25 fr. chez M. Durand et aux Equipes sociales, 31, rue de Béllechasse (de 15 à 19 heures). La fête de bienfaisance au profit de l'Association des étudiants polonais en France, qui aura lieu le mardi 22, juin, soùs le haut patronage de Mme de Chlapowska, femme de l'ambassadeur de Pologne, dans les salors du Ritz, s'annonce des plus' brillantes. De nombreuses tables ont été retenues par de| pers,ej}na!it^s de la haute sociét; parisienne

er ;de'>la; selow-étongèperiv <r- ̃̃ :•:̃̃̃

Les-tos-iiê' t<îfnbi;la,.itrès > nombreux etiva->' ries, affluent à l'ambassade- 'd'à 'Pologne.! On-trouve des billets '.pour, le bal et pour le dîner à l'hôtel Ritz et à l'ambassade de Pologne, 12, avenue de Tokio. ̃* ̃• '̃•̃̃ Une dernière représentation de la charmante opérette d'Offenbach, la Créole, qui vient de remporter un si grand succès, aura lieu dimanche prochain, 27 juin, à vingt et une heures, au Théâtre Albert-I", au profit des Colonies de vacances de la Croix-Rouge S..S. B< M. Fauteuils,: 100 fr. et 50 fr.

CERCLhS

Le baron Gabriel de Pierre de Bernis, présenté par le baron Gaston de Boutray et le comte Hervé d'Hunolstein, a été reçu membre permanent du jockey-Club au ballottage d'hier. r

Le Comité France-Amérique a donné hier son dîner de clôture de la « Section Intellectuelle et Artistique », présidé' par Mme Henri de Régnier, à l'issue duquel ont parlé Mme Yvonne Serruys (Mme Pierre Mille) sur ̃î la femme artiste » Mlle Dussane, de la Comédie-Française, sur « la femme au théâtre »;^et la comtesse Madeleine de Bryas sur « la. femme française et les femmes des nations étrangères M, Hanota'ux' Temsïciéj toutçs. Ies,.R9r~pnna)ités .qui, é6~rs. dè~~étiè~ année, ont "donné aux dîners de la Section In- tellectuelle.d^jilÇomité un éclat tout particulier.

Parmi les personnalités américaines et françaises présentes," on remarquait

S. Exc. M. Julio Acosta, ancien président de la République de, Costa-Rica, et Mme Acosta, S. Exe. M. Miro Quesada; ancien président de la Chambre des députés du Pérou, et Mme Miro Quesada, les ministres de Costa-Rica et de TEquateur, M. Henri de Régnier, de l'Académie française Mme Gabriel Hanotaux, M, Frederick H. Allen, S. Exe. M. Francisco Garcia Calderon, ancien ministre du Pérou à Bruxelles, et Mme F. Garcia.Calderon, Mme Marcelle Ti'najre, S. Exc. M. F. de La Barra, ancien président du Mexique l'Hon. Ph. Roy, commissaire général du Canada, et Mme Philippe Roy, Mlle de Bryas, M. J.-P. de Souza-Dantas, ancien consul général du Brésil, et Mlle de Souza-Dantas, je professeur et Mme J.-L. Faure, M. Lamberto Hernandez, chef de la mission économique mexicaine, et les membres de la mission, le consul général de Cuba et Mme Fernandez-Vallin, le littérateur colombien M. Valencia, l'historien chilien M. Leonardo Pena, M. Hugo D. Barbagelata, rédacteur en chef de l' « Amérique latine » Mme Aurora Caceres, femme de lettres du Pérou Mme Louis Viellard, M. Pierre Mille, M. G., Saint-Paul, conseiller au Conseil d'Etat Mme O'Brien, M. et Mme Alfred Tarut, M. Berget et M. Florian Chardon, membres du Conseil d'Etat IL.Leyba, attaché commercial du Paraguay, et Mme E. Leyba, baron d'Avril, M. et Mme H.' Truchy, commandant Portales, M. 'E., Ortlz de 'Zevallos, secrétaire à la légation du Pérou, et Mme Ortiz de Zevallos,

M. GiudicéVstç. '̃'

l, t. l,' f'

M. Georges Nicolaides, capitaine de ca-' Valérie," ayant pour' parrain M, le comte G, de Koiff et M. Gaston Brunet, été r.eçii membre permauent du Cercle des Veneurs.. La promenade en forêt organisée par la Société Les Guides » dans les environs de Chantilly, le 17 juin, a été fort réussie. Dès n heures du matin, huit mail-coaches impeccables étaient au rendez-vous. En passant par Senlis, les brillants équipages gagnèrent Fleurines, où un déjeuner fut servi. '̃̃̃•

Les membres de la Société et leurs invités assistèrent ensuite, en forêt d'Hallatte, à un rallye fort intéressant organise à leur intention par la Société « L'Etrier ».

Cette petite fête se termina par !e retour à à Chantilly, où un goûter fut offert aux mem- bres des Guides et à leurs, invités par ..« -L.'Etner », ".?.-

MARIAGES -iy ̃ :̃-̃̃̃' ̃On annonce lés fiançailles Se M: Georges Sciama avec Mlle Claude Léo-Drouyn, do Bordeaux.

DBV1L [~ v

=. ¡' .t

On annonce la mort de M. Jean" 'Roques, ,maire de Martigues (Bouches-du-Rhône), dé-. jV cédé subitement au moment où il allait ouvrir" la séance du Conseil municipal.

On annonce la mort du comte Xavier Branicki, chevalier de 4a Légion d'honneur, survenue au château de ^pntrésor (Indre-et- Loiï,e), le 18 jûîn^ Les obsèfmês^âUront lieu en rég|is_e.fde,Montjr.éspr, le lundi 21 juin, à dix 1 heuresKÉe présent' avis tient ;lièu-dé jfairê-^arti.0^ '̃'V* De; Londres on: nous; annenie? la mort "i% de Mme' Pandeli Leonidas Argénti, îiée ScJiil-

lîz'i .̃̃ ̃•̃ :i'LC

Ses obsèques ont été célébrées à Londres dans l'église orthodoxe grecque de Moscow Road, et l'inhumation a eu lieu dans le caveau '•'•, de famille, au cimetière de Nprwood.•'̃̃' La défunte appartenait à une illustre fa' mille d'origine byzantine fixée en Angleterre depuis le milieu du dix-huitième siècle. J. Par son mariage avec M. Argenti, elle était r, entrée dans une ancienne famille patricienne dé Gêne.s qui, après avoir passé plusieurs siècles à-' Chio, avait émigré en Angleterre. -̃" Mme Argenti laisse trois fils et une- fille. ̃ On nous annonce la mort du comte l'astre, décédé à l'âge de soixante-dix ans. De -'̃ son mariage avec Mlle Goldschmidt, il' laisse deux enfants,, le comte Jean Pastré, marié à Mlle Double de Saint-Lambert, et ia comtesse Charles de Vogué. Ses obsèques auront lieu ̃ mercredi 23 juin, à dix heures et demie, en ;:»̃ l'église Saint-Piètre du Gros-Caillou, où l'on ge réunira. Le présent avis tiendra lieu d'in-' ;>. vitation. Ni fleurs ni couronnes.

Serigny. v

Nous rappelons que les insertions con- ••"<• cernant fa rubrique' « 'le Monde et la Vme'^stfht rèçUèsWnos bureaux et que' edvs- conditions spéciales >$>6R£cfaHës à nos ̃ "̃»

abonnée ̃r'~ -i-n- -'̃ ̃ ;}jj,

] -,n'«C

PETIT CARNET ̃̃̃i'\ ¡

?

Les nouvelles modistes a Marguerite-Germaine, 13, rue Royale,

solderont le lundi 21 juin leurs modèles de. chapeaux d'été à partir de 75 francs.

Vente exclusivement au comptant. ̃

Cette semaine, mise en vente de soldes .i. aux Mag. Jones, 39, av. Victor-Hugo, à voir < de suite. Soutien-gorge tulle double, rosé, blanc ou noir, à 10 fr. Un lot de chaussures pour dames à 50 fr. Blouse de sport^en cellular et piqué à 39 fr. Robes pour dames à partir de 200 fr. Peignoir en crépon imprimé à 49 fr. r;; Peignoir de bains très beau tissu éponge à 79 fr« Le marquis de Migré, chef de la seconde! -branche de la maison de Bremond d'Ars, de. 4 vant l'annonce parue dans le Figaro du sa« :) ;s medi 19 juin, et tenant à éviter toute confusion, nous fait parvenir la note suivante, quç nous nous faisons un devoir d'insérer

« Le marquis de Migré, décédé le 9 mari 1911, a eu deux fils 1°) le comte Joseph de Bremond d'Ars, décédé en 1909, père du mar. qùis de Migré actuel, né le 16 juillet 1900,1e» quel n'a aucun rapport avec la maison Y., de. ':Ç Bremond d'Ars, Faubourg Saint^Honoré 2°) ̃̃•' 1r cor4i,e.Jôsîas de'Brenïond d'Xrs, le 26 juîl- l^t rSî^ lequeli est présenté dans les journaux ̃ comniq achèt,eur de la maison V. "'dç Bremond d'Ars, Faubourg Saint-Honoré. » .-••̃̃'?»«

LA SAISON DE ViCHY

La période actuelle de la saison de Vichy est particulièrement brillante. Le concours., hippique, si intéressant au point de vue spor* tif, ne l'est pas moins au point de vue mondain. A l'Etablissement Thermal, sur les Parcs, aux' Sources, dans la foule élégante, on croise à chaque instant les plus hautes notabilités^ françaises et étrangères. Mis à part, les bienfaits thérapeutiques qu'elle dispense, la Reine des Stations Thermales du monde offre à ses hôtes une villégiature idéale agrémentée' des distractions artistiques de grande classe.. Parmi les dernières arrivées M. Montfeuillart, sénateur, et Mme Montfeuillart S. Exe. "M,, Jovanovich, ministre de Serbie; baron Jacques de Neuflize. général Souchet M. Cowles-Russel j M. Pressa-Toma M. "A. Wellis docteur Charles G. Cumston et Madame: docteur H. H. Fries de New-York général eV Mme Stuhl M. et Mme de la Puerta M. J, Euzet M. et Mme Brand Whitlock le pro-' '̃/ fesseur Labbé Mme Mathey M. I. duilbert Mme S. Garniêf '7 Mrs j Winif r<M -3>n Pennant M.'C. Eynard- M. Grimpe^ Mis *6. Moore "âarq\fi<Pê£'mSrïîuËé dè'Pescàra M. R. del Sel Mr et Mrs Makower M. J. Carmichaël M; J. S. Joannides Mlle Anna Nicolas Mrs C. R. Carlyle ;'M. Loucheur M. et Mme Mar- bteuf Mrs Adge Aucker, etc.

D'BTRETAf

Etretat, la plage normande réputée, â; quatre heures de Paris, commence à s'animer. Sa saison, qui dure jusqu'en septembre, s'annon.ce des plus brillantes. Ses environs verdoyants, la possibilité de se livrer à tous les sports, font d'Etretat un séjour délicieux. Dès maintenant, le Casino et l'Hôtel Hauville sont ouverts. Cet excellent hôtel fait bénéficier sa clientèle de. prix spéciaux jusqu'à fin juin. DBQENÈVE

̃ tA FÊTE DUS FuiURS Parmi les nombreuses fêtes qui auront lieu à Genève cet été, citons la 4° Grande Fête des Fleurs fixée au samedi 26 et au dimanche 27 juin.

Cette fête dépassera en splendeur les plus belles Fêtes des Fleurs qui ont été organisées jusqu'à présent en Europe.

Les inscriptions des participants au concours du corso fleuri, auquel il est attribué ,2oo.ooo .francs de prix, sont très nombreuses On note' des équipages et toitures âutornbbi* les, gu},seront jrjerveilleugement 'fleuris. Le spectacle qui sera offert««B'i face du lac, sur lè^quai du Moht-BI'anc| sera' tout de grâce,' de charme, de parfum et de beauté.

Dix musiques prendront part à la Fête des Fleurs et les préparatifs qui sont faits depuis •: de nombreuses semaines, font augurer le plus grand succès à cette fête des- yeux.

Le soir du samedi 26 juin, une Fête Véni- tienne sera organisée pendant qu'aura lieu, au grand Hôtel c Les Bergues », le bal officiel. Le dimanche après-midi, pendant le corso fleuri, il sera tiré un feu d'artifice de jour, qui sera, paraît-il, d'une grande originalité. Il est rappelé ce sujet que les automobi» listes français, non munis de triptyques, pour.ront traverser la frontière sans autre forma- lité que de payer 5 francs français, au poste frontière suisse, contre lesquels il leur sera remis une carte leur permettant de séjouraft cinq jours en Suisse, sang déposer de droits de douane quelconques.


DERNIERE HEURE

f'

En ANGLETERRE

Un discours de M. W, Churchill centre les agissements des Soviets

Après avoir ruiné leur propre pays, ils ont voulu ruiner le nôtre » déclare le chancelier de l'Echiquier

1 ~~j~ G_ ~JÂ-Lttj- L.t, ~I.

toi^ES^ïL^i^te^uj^ir^ d'hui à 'Londres, au cours d'une grande

fête conservatriciBv M. -Winston ÇhuiichiU,

chancelier de l'Echiquier, violemment pris à partie les dirigeants de Moscou Ces mécréants, dit-il, qui ont ruiné leur propre pays, redoublent d'efforts pour ruiner le nôtre. Notre île' est un obstacle à leur mise à exécution de la révolution mondiale. S'ils pouvaient seulement oblitérer l'Empire britannique en .tant que force dans le monde, ils sont convaincus que la voie leur serait ouverte pour une tuerie générale qui serait suivie d'une tyrannie universelle à la tête., fie laquelle ils se placeraient.

» Mais, poursuivit M. Churchill, ils ne réussiront pas dans leurs buts, car ils ne j comprennent pas combien solides sont les fondàtions sur lesquelles repose l'Empire britannique.

» Les institutions parlementaires et démocratiques de la Grande-Bretagne sont toujours restées vénérables, alors que cette bandé de conspirateurs cosmopolites se cachait dans les bas-fonds des grandes ailles d'Europe et d'Amérique. » Pour terminer, laissez-moi donner un- conseil aux personnes qui prêtent de l'argent à la Russie. En agissant ainsi, elles «ont dans leur droit, mais il faut qu'elles se rendent compte du risque qu'elles courent et qu'elles comprennent bien, une îfbis pour toutes, qu'en aucune circonstance -,1a Trésorerie -britannique, n'acceptera ®$e je^fl^qb.yjté.q^elçpjiq^ejSi, ces

personnes se trouvent frustrées dans leurs

̃tiens. »«

1 ra

LA SITtJATÎON Ta LISBONNE Le général Gomès Costa modifie le cabinet Londres, 19 juin. On mande de Lisbonne que le général Gomes Costa a app.qrté aujourd'hui quelques modifications dans la composition du cabinet portugais. Il s'est assuré la présidence du Conseil en même temps que. le portefeuille de la guerre.

Le'nouveau cabinet se trouve maintenant composé, par parties à peu près égales, de cjvils et d'officiers appartenant au parti républicain.

Le calme est revenu à Lisbonne. Les troupes du général Gbmès Costa, qui avaient occupé la ville depuis deux jours, sont retournées dans leurs cantonnements, dans la grande banlieue de la capitale.

La dette du Portugal

;ert~ers la Grande l~reta~gne

~¡-

Lis-bonne, 19 juin. ̃ Le ministre des affaires étrangères a nommé une nouvelle délégation chargée, de. pé,gç(ç jer la dette,.

d.e guerre du. PqrtugaL e.nyeijs la 'Gr^iiic-!

Bretagne,Cette ;:d.éjêgation sera présidée,' par le nouvel .^anpasSadeui" du' Portugal' Lpndfres, le général 'Garcia Rosadol Elle est 'composée du général Sinel Cordes, ancien, ministre des affaires étrangères de M. Julio. D,antas et du colonel Santos Lucas, experts f; de^-MM. Antonio Malheiros; directeur de là comptabilité publique Velhinho -Correia, ancien,ministre des finances Mario Figueiredo, professeur à l'Université de Goïmbre.

A la Conférence maritime Ja validation des .pouvoirs de M. Rossoni' ̃ délégué italien GENÈVE, 19 juin. La conférence maritime a validé aujourd'hui, après une discussion assez vive, par G7- voix contre 24, le mandat de M. Rossoni, délégué ouvrier fasciste italien, qui était contesté par la Fédération internationale des syndicats.. A ce propos, elle a adopté une résolution de M. Arthur Fontaine (France), renvoyant, au conseil d'administration du Bureau international du travail, pour un rapport- sur la procédure à suivre la question (îe, savoir si la protestation d'une Fédération syndicale internationale est recevable directement ou doit être présentée par un délégué à la confé>en,c,eJr jo. -ni La conférenoe la-uBasuite adopté par" 6/ V;Oix contre l-^Jf/fprçijetTde recommandation élaboré par le Bureau international du travail sur les principes généraux de l'inspection du travail des gens de mer.

L'OPINION DES AUTRES

ni.. :t»nm«n«- ̃

ha crise ïniuistéfîelïe

La plupart de nos confrères politiques commentant la décision prise par M. Herriot de constituer un ministère ne dissimulaient pas à leurs lecteurs les difficultés de- la tâche entreprise. Le TEMPS, notamment, s'étonnait qu'on cherchât à former un ministère recruté dans la minorité radicale-socialiste de la Chambre. A l'heure où l'intérêt public exige un ministère d'union, on offre au pays stupéfait un cabinet de combat. A l'heure où on attend un ministère pris dans la majorité, on prépare e un ministère recruté dans la minorité. A l'heure où;le.parti radical-socialiste lui-même s'est divisé 60 voix contre 52 au dernier vote le 15 juin c'est non pas dans la majorité des 60 ..voix, c'est dans la minorité des 52 qu'on'Jprend le chef de ce parti divisé. A l'heure où; l'inflation est considérée comme un péril mortel, c'est à l'homme politique qui, au

pouvb:r'QU"14 juin 1924 au 10 avril ;192~ à

fait de l'inflâtibfa, 'tantôt- officielle et 'tantôt occulte, la loi «suprême: de >sa doctrine financière qu'on a recours. A l'heure où les mesures destinées « à rassurer les possédants » s'imposent pour arrêter ce qu'on a appelé 1' « hémorragie » du'franc, c'est aux partis qui ont déclaré la guerre à ceux qui possèdent i qu'on s.'adresse.

Quelle singulière explication donne-t-on pour justifier cette volte-face ? Celle-ci le groupe radical-socialiste est le plus nombreux la Chambre. C'est donc à lui que revient le droit de dicter ses volontés Pur pharisaïsme. Le parti radical-socialiste est le plus nombreux à la Chambre sur le papier. Il ne l'est plus dans les scrutins. Si l'on ramenait à de' telles considérations les règles de la politique quelles règles dans de pauvres dosages et quelle politique dans l'éclatante médiocrité i y a un autre groupe qui est à la fois nombreux et discipliné c'est le groupe de l'Entente républicaine. Or, si on accepte ses votes pour sauver les ministères en péril, on les Ignore pour constituer les ministères en for-

mation.

f.· Le JpURA'AL DES DEBATS craignait

EN TCHECOSLOVAQUIE

La réponse de M. Benès au parti socialiste national Le ministre des affaires étrangères regagne Prague

il arrêtera définitivement ?on, attitude

(O.t.| '!»,>«•̃: Vf :̃̃= '• yiîîî^ ̃̃̃M 'i A .?:, ̃

'̃PsRkàvk',lÏ9 jiîin.1 Le,'Cé'ske ^ilbjjo, pr-,

gane du parti socialiste national ait que

le pacti socialiste' national'àm'ë~u de M.

le parti ,'soéiâliste' natiorfal iànre^ii de M.

Belles une lettre- dans laquelle le minis-

tre des .affaires;; étraiîgères expose qu'il a cru ne pouvoir assister à la conférence de Bled en qualité de ministre démissionnaire et que pour cette raison, il n'a pas donné immédiatement sa démission, comme on le lui demandait.

Cependant, en raison du caractère de gravité de l'exigence qui lui a été signifiée, il va se hâter de rentrer à Prague pour se mettre à Ta disposition du parti. M. Bénès est attendu demain matin dimanche.

Le président ..Masaryk quitte ce soir Karlovy Vary pour rentrer à Lany, où il recevra îles -.représentants des partis, afin de conférer avec'eux de la situation intérieure. •̃'>̃•:••̃•̃

Au Comité économique de la Société des nations

Le comité économique de la Société des nations s'est réuni à Paris, du 15 au 18 juin, sous, la présidence de sir Hubert Ll,ewellynn Smith (Anglais).

Participent à'ïes travaux': MM. Brunet (Belge), Campion (Australien),- Barboza Carneiro (Brésilien), Glivic (Polonais), 'ÏBel '(Tchécoslovaquie), Heer (Suiss<});- Matsuyama. (Japonais), d^iiNpla (Italien) et-

Seitruyg- (Françaisjk.. r, -,i:j .:>v\ .̃:

A ^oM^d^^çuiv^igHrait notamment .la suite" Ses "études côhcérhant 1 1° La suppression des prohibitions et ,restrictions à l'exportation et à l'importa-

"tion

2° L'exécution des sentences arbitrales rendues à l'étranger

3° La' répression dès fausses déclarations en' douane.

L'affaire Cassinelli

agite l'opinion italienne

Rome; 19 juin. L'affaire Çassinelli qui, exclu du parti maximaliste, a donné sa démission de député, provoque dans les milieux parlementaires et journalitisques pas mal de discussions.

Cassinelli accuse la direction du parti- maximaliste de l'avoir expulsé pour s'être présenté au procès Matteotti.

La direction du parti affirme que le. député socialiste s'est présenté au procès après accord avec M. Farinacci.

Çassinelli proteste contre cette alléga-, tion en affirmant que les rapports qu'il a eus avec M. Farinacci avaient trait a la 'préparation d'un nouvel attentat contre M. 'Mussolini, attentat qu-il a pu déjou«fesi»q •'̃•̃ On sait qu'il s'agissaita&'iHikfcMS^ui iriéy'i cïitaifc de» renouveler., -contre '.M, MussoMni geste dej,M^,sis,'GibsQi}»fJijHt;:r:; Ns^yiV j'-

~)~ .ij~ .T."jM)-a(

Signature d'un traite italo-turc

ROME, 19 juin.. Aujourd'hui a été. si- gné le traité d'extradition entre l'Italie et la Turquie.

Les délégations poursuivent leurs négociations en vue de la conclusion d'autres accords.

j, ^~S~–

Un hydravion tombe sur le pont d'un destroyer, puis à la mer

Y te pilote est tué

Hier matin, vers 11 heures, l'hydravion F. B. A., du centre de Cherbourg, exécutait des exercices au-dessus de la rade, qUand, par suite d'une fausse manoeuvre, il vint heurter le mât d'un destroyer américain, le Lamson, qui fait partie d'une flottille de bâtiments identiques actuelle-" ment dans le port.

Le F. B. A. brisa le mât et s'abattit sur le pont. Puis il rebondit à la mer avant que personne ait pu intervenir. Peu après on repêcha le cadavre du pilote, un quaritier-maître deiyéser.ye. ,a^Zi 1 qoniraandant(/du Lamsàn fit rendre les Borinëurs* militaires au défunt. L'escadrillè'antëricaiTie à mis son pavillon en befnë.x •̃"̃"•'• li -̃̃; ̃ >°- Une enquête a étéjprescritëPylap-îe-'vîceamiral de Marguerye, Drélet maritime.

qu'un ministère Herriot ne puisse avoir ni programme ni majorité. M. Charles- Benoist (EÇËO DE PARIS) ne croyait pas que le chef du Cartel soit qualifié pour guérir une maladie causée par le Cartel. ̃̃̃ °~

L'ACTION FRANÇAISE donnait la même note, mais-sur un ton plus ferme. M. Emile Buré (AVENIR) se disait persuadé que M.. Edouard Herriot se laissera toujours « duper par les socialistes en.croyant les duper ».Curtius du GAULOIS considérait la combinaison projetée comme « paradoxale' » ̃

Il parait que M. Doumergue ne pouvait pas, M. Briand n'ayant pas réussi à constituer le ministère, lie .pas charger M. Herriot de cette mission. Mais c'est infiniment plus grave que si le Président de la République avait obéi à une préférence personnelle, un caprice, ou à i une singulière aberration. Cela nous montre •à qiïel .'pcjirit ce régime ,est absurde.

Tônt '"le monde réclame un homme de génie pour nous sortir d'embarras. Mais le génie souffle ofli il veut' et quand il veut. En, politique, dit M. de Boiiald, le bon sens doit remplir les longs intervalles du génie. Mais le système électif^ -le gouvernement des partis, proscrit automatiquement le bon sens. C'est lui qui nous condamne à la misère bien plus que les erreurs des hommes.

Dans l'attente d'un programme financier A ces objections et réflexions, d'autres de nos confrères répondaient qu'il ne fallait pas juger M. Herriot sur son programme ou ses actes passés, mais sur les projets qu'il apporterait et les mesures qu'il prendrait.

M. Edouard Herriot a-t-il vraiment les projets de brimade, d'oppression et d'exaction » qu'on lui prête ? Non répondait M.Pierre Bertrand (QUOTIDIEN). On se rendra compte à l'examen de son programme des hautes pensées qui l'ont inspiré. C'est sur ce programme que M. Edouard Herriot veut être jugé. En atteni

AU MAROC ,j

° 1

Une brillante opération. ( au nord d'Quezzan

La 128'division a exécuté, hier, au, nord-ouest d'Ouezçan, 'une opération qui p

brillamment réussi. v:

Progressant sur; un front de treize Mïfc ( mètres, elle a occupé à la fin. de la; n$- tinée tous les objectils qui lui avaient été indiqués, et dont certains étaient à huit; kilomètres de la ligne de départ.. •̃" La résistance a été faible. Les villages ont fait leur soumission, et plusieurs <xit fourni immédiatement des contirigéjnts^jui' ont marché avec nos partisans. En même temps, la 4e division réoccùpait plusieurs villages. Dans toute cette régiojns nous sommés ;dé nouveau 'installe^' :sùr la 'frontière 'qui1 sé'pat'é nôtre''zorie' de la zone csisag'nole. i'\

3 i · C (..t a IJSRI~'v`~

Relevé des troupes française' III en zone espagnole

En exécution du plan militaire, çppcerté à Madrid le 6 février dernier, les forces»; françaises .et .les forces espagnoles ont occupé, en moins de trois semaines, tous les objectifs qui leur avaient: été assignés. C'est en exécution de ce plan que les' troupes françaises, dé leur base de départ du Ker-t, se sont successivement avancées en zone espagnole. '• i,' l'

A la suite de l'effort commencé le 8 mai,

au lendemain de la rupture d.es pourpar-

lers d'Oudjda, Abd el Krim faisait sa soumission à Targûist, le, 27 mai.

Depuis cette date, les troupes française^, et espagnoles 'ont consolidé leurs positions a est d'une ligne qui, d'une manière -générale, va du Penori de .Velez "de la Gp«nera, sur la Méditerranée, à ,1a région de

Beraber chez les Marnissa, en zone fraji-

Beraber les Marnissa, en zone. fr,l,ll~

,'çaise. '"̃̃̃" ̃

Les troupes" espagnoles. sont aujourd'hui en situation d'occuper elles-même la région de Tàrguist. Dans ces conditions, et cojnforménieïit aux prévisions inscrites à l'accord de Madrid du 6 février, les troupes espagnoles vont assurer, dans le pbis bref, délai, la relève desotroWpgs,,franç^s ̃engagées dans cette région. 1

Cette ̃décisi6ft'^çsIt'ûtie?aèS1^fe.nïï,ëi'e^c

.conséquences1 -dje là1 pronîçReri'cb fran'c'o-es-

.conséque, ~lë' Pd~3' l~" "~I,1;f~eh'p, 'e,' fF.a"n,'cQ-f,'

,pag \:le' Palï\S~'n"n~'faut 'p:Aa"è,n me'

,pagnole l'iniportance l'Espagne qui s'installe solidement dansie Rif; asjsurera la sécurité dans la zone qui. lui, a été dé?( volue. ';l

Une causerie de M. Alapetite > sur l'Alsace* 1

Au cours du déjeuner de -la Fédération. des industriels et commerçants de France, présidé par M.. André Lebon, M. Alapetit», ancien haut-commissaire de la République. en Alsace-Lorraiac aiait un exposé de la, situation de l'Alsace au lendemain dé l'ai!mistice. De ce discours détachons ce passage re* latif à l'introduction des lois laïques :.i Réclamer l'application immédiate et intégra- le des lois laïques eh Alsace c'était proscrire, la supérieure des soeurs de Ribeàuvillé. Nulle* menace ne pouvait indisposer la population plus que celle-là. Si un péril a pu' naître enAlsace,, il ne. faut pas en exagérer la, gravité. Il sera facilement conjuré si l'on parle net et),, clair.

4 Le décompte mensuel a> i> >3

dés communications téléphoniques

'j1-. ia^

Pour tenir -compte des erreurs matérielles auxquelles peuvent donner lieu les décomptes des communications téléphoniques fournis aux abonnés, la loi *a autorisé l'administration des P;:ï\ T$tt opérer un abattement de 5 0/0 au maximum sur les communications enregistrées par les compteurs.

C'est le taux qui vient d'être admis') dans le réseau de Paris pour tous les re- levés de comptes de communications. locales et suburbaines qui seront transmis: aux abonnés à partir du 1" juillet pro* chain. •• Les communications non établies 'par suite de la « non réponse » du demandé' ou de l'occupation de sa:ligne «( pas lirbre ») n'étant pas enregistrées par les compteurs, on voit que l'abattement général a seulement pour but de dégrever les abonnés des communications erronées ou coupées prématurément et, enregistrées à tort au compteur. ?•̃

Une tempête sur le Rpjussillon

–~<–

Perpignan, 19 juin. -Une tempête de vent s'est déchaînée sur le Roussillçn, causant de graves dégâts sfttx récoltes^t pl'àt partiejulierement aux arhr.es, fruitiers.. | En- .mer, tempête' est si violente que- le cuirassé d'escadre Paris, .ancré' devajbt' la rade de Port-Vendre's, a prendre, rapidement le large..

dant, il demande qu'on lui accorde quel;; que crédit et quelque délai

Il demande seulement ou plutôt nousi demandons pour lui qu'à la veille de s'en- gager dans une bataille où le régime est en jeu, où sont en jeu les destinées du pays, on. fasse trêve-un instant aux sournois bavarda- ges, aux commentaires corrosifs, aux insinuations perfides, aux suggestions de l'am- lntion déçue, à toute cette énervante rumeur' des couloirs de la Chambre et des antichàirii' bres. ̃<

L'œuvre que l'on fait n'est pas destinée i; demeurer secrète.

On la pourra juger demain ou après-de- main.

On aura tous les éléments d'appréciation, dès que le ministère sera constitué et que son, programme sera connu. On les aura, plus complets encore, dès que seront connus les projets de M. Edouard Herriot et des collaborateurs qu'il aura groupés* autour de lui pour le salut commun. ̃ >• Ces projets seront déposés vraisemblablement le jour même de la formation dil- cabl^1 net.. > •̃ tj II y aurait une injustice prodigieuse,! après avoir, sans motifs sérieux, accordé à ses pré- décesseurs ;tanti de délais et si longs, à refuser;, quelques heures '.l'homme qui, de tout son coeur ardent, entreprend une si grande œuvre.1 a': ̃ J .,J Disons sen]emenl, à ceux qui ne le siri^l vraient point, que l'avenir prononcera. > ",j L'ERE NOUVELLE, « l'organe de" l'En- tente des gauches », précisait elle aussi que le pays attend, du futur, gouvernement radical un programme précis, clair, et obt. J jectif sur la stabilisation progressive du cours du franc, la consolidation ou la conversion des bons, la consolidation ou la conversion des rentes, ^'amortissement les dettes interalliées, la liberté de la circulation des capitaux et des devises, « condition indispensable de la prospérir té publique dans l'Etat. moderne ».. Ce programme, notre confrère était persuade que M> Herriot je donnerait. ̃ Un autre leader cartelliste notoire, M. L.-O. Frossard (PARIS-SOIR), exprimait un sentiment analogue. Le. pays saura gré à M. Edouard Herriot de dire la. vérité sur notre situation financière et sur.1 les sacri-v fices qu'elle comporte.

çou'.rrii.er,'

~~g~w Lettres,

ECHOS

'<* Mme Lardiri de Musset qui veille avec un zèle pieux sur la mémoire d'Alfred de Musset, nous a adressé, en réponse à Un article que nous avons publié recem-, ment et qui était intitulé, Ce que m'a dit .George Sand. certaines objections que nous nous faisons un devoir de commuiiiiquer à nos lecteurs. ̃̃̃•

II n'est pas exact, dit Mme Lar̃dm de Musset, que la mère du poète ait supplie George Sand d'emmener son fils à1/ Venise. La vérité est, au contraire, que la demande vint de George Sand et .iquje;5Mmé' de* Musset jl'y* cottsentit'ejuedif-^

li-ficileméht.5'1»' ̃ ̃ :i^ ̃̃-•̃̃̃•< ̃>>'̃'•̃̃>}.

i-ii Mme, Lardin de Musset nous prié êgâ-"

iileihènt'd'ë' nijèntiorirter 'que ÏTiïstoîrë d'éx«

l'pui^ioïi d'une certaine maison dont Alfred de'1 ftïUss'çt aurait été le héros !£- histoire :vraie'r ou fausse –.n'a pas été racontée à George; Sand par Mme de Musset, mais bien par Hetzel, vingt-cinq ans environ après l'aventure de Venise.

'J* Nous apprenons avec plaisir, que éditeur Jqseph Ferenczi, vient d'être inommé chevalier de la Légion d'honneur. '«s* Le grand prix d'Honneur de poésie de la Ville de Poitiers pour, cette année vient d'être décerné par la Société littéraire « L'Ori/sntine», à M. Edouard Michel, professeur au lycée de Nevers, l'auteur .des romans l'Enfant de Minuit et Le

Microbe amour.

r <^t Le 17! juin, dans les salons dU'CercIé de la Renaissance Française, rue de Poi'tiers, les Amis des Lettres Francaisès fê.taient M. Fortunat Strowski, récemment élu membre de l'Institut.

M. Georges Delamare, secrétaire général, donna la parole à M. Henry Bordeaux, de' l'Académie' française, qui chaleureusement salua, tant au nom des Amis des Lettres iFrançaises qu'en son nom personnel, le nouvel académicien.

M. Fortunat Strowski exprima sa foi profonde « eii -l'amitié et ̃̃ particulièrement en cette amitié littéraire si vraie, si sincère que nous valent 'dqfns -teUs -les-* pays

|du ittondejes; Lettres.ifrancais.es.. ,i;-a ;“>•

i; ;,t~ ".l, m~A1'uà'iTs-

¡ "1(1 ~fÍ'r~\ "f, ~.h,' '<¡fmr"

~t., ~c~l:'n~ r. 4~J';d '·o'

r MARCHE DES CHANGES

l l'

L'orientation du marché .des changes ne s'est pas modifie pendant la matinée d'hier. La liivre a été traitée assez activement entre 176 et .176 75; contre 175 45, cours de clôture vendredi. ,Viï peu avant midi, toutefois, une intervention s'est produite et elle a permis de coter 174 75 "comme, dernier cours. Le dollar fait 36 50 et a terminé 3591. IFràncbelge 101 6Q. Lira 129. 45. A Lopdres, le Paris valait 174 87,.

^-J -^•^̃^̃^ "̃"

BOURSE DE LONDRES

<̃̃ ̃̃!̃

Londres, 19 juin. Changes. Escompte /"hors banque. 4 1/4-4 5/16 Prêts, 4 1/4-4 5/16 Sur Paris, 174 87 Sur New-York, 4 8672 Sur "Belgique, 171 .12 Sur Berlin» 20 44 Rio, 7 11/16 Valparaiso, 39 90 Buenos-Âires, ,45 34 ;i Argent comptant, 30 7/16 2 mois,

30 7/16 Or, 84/11 1/2.

1– U-

BOURSE DE NEW-YORK

̃ New-York, 19 juin. Câbles transférs, i486 'ïl/18 Change sur Paris ï vue, 279 1/2 U. S. Liberty '3 1/2; 101 1/2 Atchison Topeka, ̃135 1/2 Baltimore et Ohio,95 7/8 Canadian Tàciflo, 1611/2 Chesapeake et Ohio, 131 5/8 '«Chicago Milwaukee, 11 1/4». Chicago. Rock Is* '«aiid. 51 1/3 Erie Rnilroad, 34 .3/4; 'Illinois

Génïrai;.121I.;i.'Ne-V£-York Ç'entràl,'13Ô;i;,4"; Pen-

s^ahia, 52 '1/2'; :Reaàing, M 3/fi Southern Pacific, 105 Ûnîori Pacific, 150- 1/4 Anaconda Coppér, 47 1/8 Chino Copper, 21 Ray Copper, 13 3/4 Utah Gopper, 110; Américain Téléphone, 139 7/8 Américain Car et Foundry, 99 5/8 (Bristish Améric. Tobacco, 30 5/8; Central Leather, 10 ;• Général Electric, 342 1/2; .Bethlehem Sfeel, 41 3/8 U. S. Steel Common, 136 3/4 Royal Dutch, 52 3/4 Shell, 42 7/8. Affaires totales (titres) 920.000.

Imîo^iaae.tioxis

Légion d'honneur

1 On relève avec plaisir, dans la récen(te promotion des Arts Décoratifs, la /nomination de M. Rossignoli, directeur{Propriétaire des Hôtels Splendideiloyal, Excelsior et Europe, à Aix-les.Bains, au grade de chevalier 'de la Légion d'honneur.

Buvez « Evlan-Cachat » 'l èouttétix 'et rhumatisants, et vous itous qui souffrez du rein, du foie, de •d'estomac, des voies urinaires, buvez l'eau de la Source Cachot d'Evian l' EViùn-Cachat dont l'efficacité, re[ponhtie par tout le corps médical, et "dont la n6torié,té.iqui.iremonte au dixhuitième siècle, se sont traduites eh 1 1925 par une tyén|e; dé,15 .niijïjpfls de

!|boqteillës. 'y'1- -"̃"̃"

:rr< Jean' de Paris.

Les vraies raisons de la chute catastrophique de notre devise, nous avons le droit de les connaître, on a le devoir de nous les exposer. Quelle est la situation de notre trésorerie ? Que reste-t-il du fonds Morgan ? Comment a-tril été employé ? A quelles échéances prochaines faut-il nous préparer ? Sommesnous menacés d'une inflation, nouvelle? Pourquoi ?.

A ces questions, M. Herriot ne saurait manquer de répondre. S'il" hésitait', il se condamnerait lui-même à l'impuissance. Le pays acceptera, pour se sauver, les plus lourdes charges.

Mais à .deux conditions. La première, c'est qu'on lui dêrpontre qu'elles sont indispensables à son salut. La seconde, .qu'elles soient réparties selon les règles d'une stricte équité. La vérité d'abord I

Puis la justice 1

Et notre confrère de conclure, qu'ayant ^accompli ce premier devoir de sincérité, M. Edouard Herriot pourrait travailler pvec sérénité. C'est aux partis qu'il appartiendrait alors de prendre leurs res*

l^onsabflités.

«̃̃̃ France et fltletnarjue

JNos lecteurs savent que, plusieurs, per-, kqnnalités françaises et allenîàndfes ont cHëé un~« Comité d'information et de dtj-cumentation 'i1 qui Vest1 réuni pour la bremière fois, le 29 mai dernier, à Luxempourg. M. Wladimir d'Ormesson étudie le caractère original de ce nouvel organe de rapprochement ou, plus exactement, de compréhension international. Il montre que l'idée qui présida à sa fondation « ne relève aucunement de l'économie générale ou de la politique. Elle relève' de la psychologie. •»'̃•

Les spécialistes des relations franco-allemandes s'accordent à dire, que le problème pratique des intérêts de la France et de l'Allemagne n'a, pas été, en fait, objectivement discuté depuis sept ans, parce qu'il a toujours été envisagé, part et d'autre, avec l'idée d'Un conflit inévitable entre les deux peuples. Les dispositions des opinions publiques en sont causé.. Elles pèsent sur les rapports franco-allemands et nourrissent leur antagonisme. Dans les deux, pays subsiste le sentiment confus que ce qui profite à l'un nuit nécessairement à l'autre. 'Certes, rien ji'est plus

LA POLITIQUE

DE LA PETITE ENTENTE [SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE]

Et ils viennent maintenant de discuter, à Bléd, les modalités d'une collaboration qui ne s'est jamais ralentie, mais qui demande d'incessants réajustages pour rester en harmonie avec l'évolution de la politique internationale. II n'est pas inutile de souligner que, depuis la dernière conférence,, tenue à Temesvar, d'importants changements ont eu lieu dans la politique intérieure de la Tchéco-Slovaqnie et de la Roumanie. Un cabinet de fonctionnaires a remplacé à Prague un gouvernement,, d.e .coalition à/Bucarest, M; AyeirejscQ. a pris la succession M Mj- Bratiano. La politique extérieure de ces Etats nïen a subi ni eontre-cout» niriiod* fication; tant sont clairs et impératifs les intérêts dont elle s'inspire. i, La question hongroise, par exemple, a toujours été au premier rang de celles dont les conférences de la Petite Entente ont eu jusqu'ici à s'occuper. La 'conférence de Bled n'a pas fait exception à la règle. L'affaire des faux billets français qui avait été précédée, comme on le sait, d'une falsification des billets tchèques et des billets serbes, a ému Prague et Belgrade autant que Paris. Elle a révélé en. outre des dessous politiques qui ne sont guère faits pour rassurer les partisans du statu quo territorial issu des traités de paix. Roumains, Yougoslaves et Tchèques y voient une nouvelle manifestation de cet irrédentisme magyar dont l'Europe occidentale ne parut s'inquiéter que lors du putsch de Charles, mais qui n'en constitue pas moins, au cœur du continent, une force permanente de révolte contre le nouvel ordre de choses. Dans la question, de l'admission de l'Allemagne à la Société des nations, la Petite Entente adopte une position très proche de celle de la France. Sa préoccupation essentielle est de se garder de toute intransigeance qui risquerait de compromettre du même coup l!œuvre de Locarno et le crédit de la Société des nations. 1Q11 peut en1 di»e; autant à propos"' ût>" la' questionna' désarmement.- -La- Petite Entente ptfof^ssey avec bien d'autres, cette opinion qîftfn -ire 'saurait' ehyisâ&ër ac- tuellement que des limitations d'armements parallèles et proportionnelles elle se refuserait en tout cas à laisser imposer aux puissances de second ordre des clauses auxquelles les grandes nuissances garderaient la faculté de se soustraire. On a parlé encore de bien d'autres choses à Bled. M. Nintchitch, ministre des affaires étrangères serbes-croates-slovènes, a entretenu ses collègues des affaires bulgares et des rapports de son pays avec la Grèce. M. Benès a exposé les événements de Pologne et la répercussion éven-, tuelle que ces événements peuvent avoir sur, les rapports du cabinet de Varsovie avec la Petite Entente. Il est, en effet, à noter que le coup d'Etat du maréchal Pildsudski est survenu peu de temps après un échange de vues très' cordial entre M. Benès et le comte Skrzynski. Et l'on n'ignore pas que le maréchal n'attribue pas aux affinités slaves une grande place dans sa politique. Mais ici encore les événements dominent les hommes et la politique extérieure de la Pologne ne saurait diverger sensiblement, dans ses grandes lignes, de celle des Etats de la Petite Entente.

Il est certain que les difficultés financières où nous nous débattons ônt'à l'exterife'Ul'îeur répercussion. Mais les efforts

que '< notre diplomatie '>̃ <«J èpïéie' 'ptoutf" ttbn^

solider la paix en Europe sont1 s^M^ dan les^, milieux "àe.la. Petite; Entente, àVeji' plus de sympathie que partout ailleurs. La fermeté dont le Quai. d'Orsay a fait preuve dans l'affaire des faux-monnayeurs hongrois a montré à nos amis que nous n'étions aucunement disposés à laisser des foyers d'intrigues se développer et menacer leur sécurité ou la nôtre. Enfin, il reste que la France est en Europe la puissance la plus attachée à l'exécution des traités et cette raison, à défaut de toute autre, suffirait à justifier la robuste confiance que mettent en elle les hommes d'Etat qui viennent de délibérer dans le décor apaisant et majestueux des Alpes slovènes.

Albert Mousset.

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La réputation des vins de Bordeaux n'est plus à faire. Leur valeur s'accrdlt de jour en

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naturel ni plus compréhensible que l'état de défiance et de prévention qui divise les opinions française et allemande et accentue leur discussion. Les événements survenus depuis douze ans n'ont pas 'seulement bouleversé l'économie européenne, l'ordre social, politique ils ont bouleversé les esprits et les âmes. Que des sensibilités qui venaient d'être à vif aient continué à réagir dans le sens passionnel, il faut plaindre ceux qui ne le comprendraient pas. Mais convient-il d'alimenter ces dispositions passionnelles ? Convient-il de perpétuer entre la France et l'Allemagne une polémique dominée par la hantise d'une crise aiguë ? Convient-il de laisser les vrais problèmes franco-allemands inabordés et qui pis est inabordables en les frappant, a priori, d'interdit ? Telle est la question à laquelle des esprit profondément soucieux des intérêts supérieurs de leur patrie ont cru devoir répondre par la négative.

Les problèmes franco-allemands sont des faits, et rien ne sert d'en méconnaître la gravité. Mais les difficultés qu'ils soulèvent sont précisément trop sérieuses pour qu'on les aggrave encore par de fausses interprétations, par des partis pris, par des passions ignorantes. L'influence de ces facteurs constitue pour la France comme pour l'Allemagne un danger national. Or, si les accords de Locarno forment le cadre dans lequel se développeront à l'avenir les relations franco-allemandes, ils ne soustraient pas celles-ci aux conséquences dangereuses, qiura, entraînées jusqu'à présent l'ignorance des mobiles réels qui expliquent l'attitude des deux peuples. Ils risquent même de rester illusoires si une meilleure information ne vient permettre à la France et à l'Allemagne de fonder leurs relations à venir sur une connaissance exacte excluant les surprises et les malentendus. C'est pour favoriser cette compréhension réciproque qu'on a jugé utile de créer un organisme capable de dire « Sur telle ou telle question, voici ce que pense l'opinion française et pourquoi elle le pense latéralement, voici ce que pense l'opinion allemande et pourquoi elle le pense. M. Wladimir d'Ormesson décrit l'organisation de cet échange d'informations et d'impressions bureau de documentation, voyages d'études, etc. '« L'expérience dégagera plus vite et plus sûrement, dit-il, que tout plan préconçu par quels moyens pratiques pourra être éclairée et éventuellement redressée cette fausse connaissance de l'adversaire qui nourrit le conflit franco-allemand ».•

Pierre..Viliette.:

LES THEATRES LES PREMIERES

THÉÂTRE EDOUARD. VII The Co-Optimists. Voici un spectacle des plus agréables et dés plus divertissants méritant d'attirer tous ceux qui désirent trouver au théâtre un plaisir sain reposant un peu. des ex-' hibitions sauvages et répugnantes dont nous sommes gratifiés depuis un certain temps tout aussi éloigné, néanmoins, de la fadeur que de ,1a banalité. Il existe, en Angleterre, plusieurs de ces compagnies un peu en marge du théâtre régulier, dont les éléments tiennent le milieu entre l'amateur et le professionnel; et dont les proO gramjnes^ sont (Composé^ jde jjetites scènes humoristiques ou sentimentales rappelant Un peu ceux de la Chauve-Souris^ mais, 4tvec plus de bonhomie et'de gaieté, lis y,. V; ont parfaitement réussi. H. n'y a aucune raison pour que ce genre ne soit aussi bien apprécié ici et les Co-Optimists qui sont venus jeter un' coup de sonde dans le public parisien ont pu voir tout de suite avec quel intérêt et quelle sympathie leur.tentative était suivie.

Parmi les sketches les plus réussis, je citerai Texas Loue, Operatic Law Tennis, Breakfast Time (ou la Boxe à domicile), Crinoline Gown, Pig-Tail Alley et Missing the Bus (l'Omnibus' raté), que Doris Ben- tley joue en grande artiste. Mais j'avoue que ce sont les parties purement musicales qui m'ont séduit avant tout. M. Melville' Gideon a écrit un certain nombre de mor- ceaux d'une qualité remarquable, et il est bien rare d'entendre dans un spectacle de, ce genre des chanteurs de la valeur Se miss Gilly Flower, miss Betty Chester et M. Stanley Holoway. Par contre, toute la partie parodique qui vise la Chauve-Souris ou les Ballets Russes aurait pu être supprimée sans inconvénient. Ça n est pas très drôle et c'est un peu de mauvais goût dans un programme par ailleurs charmant et, très réussi.

En tout cas, sachons gré aux Co-Optimists de nous avoir apporté leur bonne humeur, leur entrain et aussi l'impression de' quelque chose, d'un peu joeuf par sa dis-' tinction, et souhait,ons-Jjeu^rtout le succès

'aijqueTîréro'nt',elr.oit. ̃ ̃.>̃>“̃

'-1 '•̃'̃̃.̃ ••̃̃ ̃'̃ '̃̃ André Messager, ̃ ̃

v. ii.iv'r -̃^tj-oï.î *̃'̃•; rw-yT'>- Y "'ir; '̃̃ .n

'"̃ ̃ *n'9ra-ir' ;(;

COMÉDIE-FRANÇAISE Les compères du roi Louis, chronique de France eu cinq actes et en prolc de M. Paul Fort.

M. Paul Fort est notre grand imagier. Il sait, avec un art particulier, évoquer devant nous les grandes figures du passé' et nous restituer, dans leur pittoresque,' des époques disparues.

C'est à la cour du roi Louis XI, qu'il nous introduit. Autour du roi, crédule à ses imagines et suivant le fil de ses intrigues, nous voyons groupés ceux qui l'ont servi ou trahi et quelque fois servi et trahi alternativement Tristan l'Hermite, Philippe de Commines, Olivier Le Daim.

Le premier acte nous montre Louis XI, prisonnier du duc de Bourgogne et réduit par celui-ci à approuver le sac et l'incendie de Liège, son alliée. Au deuxième acte, nous sommes à Plessis-les-Tours., Le roi est libre un messager, venu de Rouen en passant par Beauvais, lui apporte des renseignements qui permettront à Louis XI de délivrer la ville et de » reprendre la Normandie et la Bretagne, aliénées.

Au troisième acte, Louis XI célèbre, par i un banquet, la naissance du Dauphin.'1 Mais le hauitjmalidon,t.;i,l,.e,st atieint.le ter-, ̃̃rasse et, dans -une sorte de/îçauchèmar,

31 ajierfOit «jes victimes reclainant .jùsti-'

ce. r: •̃'̃ ;•

Au quatrième acte, la cage le cardl- nal'de La Bàlue est enfermé. Le roi, dé. sirant concilier ses vengeances avec l'indulgence du ciel, vient demander conseil a son prisonnier et le prier à la fois de lui dicter ses sentences et de lui accorder son absolution.

Le dernier acte, le plus pathétique de l'ouvrage, nous fait assister à la mort de Louis XI; à qui le pardon divin est accordé dans le coma.

Le Dauphin recevra, à l'agonie de son père, une prophétique leçon d'histoire. On a fort applaudi l'auteur et ses interprètes M. I)enis d'Inès qui a compo- sé un excellent Louis XI, Mlle Berthe Bovy qui fut une démente, avec une mesure parfaite MM. Fenoux, Dessonnes, Léon Bernard, Hervé, Bacqué Mmes de Chauveron, Tonia Navar.

Maxime Girard.

COURRIER DES THEATRES

DEUX DERNIÈRES

DE LE MAGE DU CARLTON

A LA COMÉDIE-CAUMARTIN °

Aujourd'hui, en matinée ,;»efc;jen soirée, irré-; vocablement 'deu^ dernières de Le Mage du Carlton, ayeç tous ses créateurs, Le Gallô en :tête' d'une éclatante distribuj;io».i

̃ >'i!, 1 t

Aujourd'hui: s

'.S* A LA Comêdc-Française, à- 1 h- .45* Blanchette, Le Pèlerin, Psyché.

«3* A l'Opéra-Comique, à 1 h. 30, Carnten.

r*,

,"̃. T*V :•

Même spectacle que le soir

A l'Odéon (2 h. 15), aux Variétés (2 h. 30), à la Porte-Saint-Martin (2 h. 45), au Gymnase (2 h. 45), au Nouvel-Ambigu (2 h. 30), à la Renaissance (2 h. 30), à la Gaîté-Lyrique (2 h. 35), au Théâtre de Paris (2 h. 30), à l'Athénée (2 h. 45), au Théâtre Antoine (2 h. 45), au PalaisRoyal (2 h. 30), aux Bouffes-Parisiens (2 h. 30), aux Capucines (3 h.), au Théâtre Edouard-VII (2 h. 45), au Théâtre de la Madeleine (3 heures), au Théâtre Michel (2 h. 30), à Fémina (2 h. 45), au Théâtre Marigny (2 h. 30), aux Nouveautés (3 heures), à la Potinière (3 heures), au Théâtre de l'Avenue (2 h. 45), à la Comédie-Caumartin (3 heures), au .Théâtre des Mathurins (2 h. 30), à la Michodièfe (2 h. 30), à l'Apollo (2 h. 30), au Théâtre Mogador (2 h. · 30), a l'Œuvre (2 h. 45), au Trianon-Lyrique (2 h. 30), à la Comédie des Champs-Elysées (3 heures), au Studio des- Champs-Elysées (3 heures), au Théâtre des Arts (2 h. 45), aux Folies-Dramatiques (2 h. 30)., Ce soir i :s'J. £' Â*OpÊnA; à 8 heures, -Èohengrin (Mlle Mireille Berthon, M. Eranz, Mlle Marcelle Mahieu (déimt), MM. Marcel Journet, Duclos, Cambon). Orch. M. Henri Busser.

Jt A LA Comédie-Fbançaise, à 8 heures, Ruy Blas (MM. Albert-Lambert fils, J. Fenoux, A. Brunot, Croué, Desjardin, Lafon, P. Gerbault, Drain, Alb. Reyval, Rognoni, A. Bacqué, J. Weber, Chambreuil; R. Simon, Falcon.nier, M. Dufresne Mmes H. Duflos, ColonnaRomano, J: Even, C. Fonteney, J. Sully). <ât A L'OPÉRA-COMIQUE, à 8 heures, Manon (Mmes Lucy Berthrand, Mona Païva Micheletti, Musy, Audoin). Orch. M. G. Lauweryns. A L'ODÉON, à 8 h. 15, La Dame aux Camélias (MM. Darras, P. Oettly, Rozet, Cailloux, L. Raymond, A. Clariond, R. Got Mmes Ch. Clasis, L. Giron, M. Clervanne, A. Dufrêne, E. Raynal).

<âï Aux VARIÉTÉS, à 9 heures, Monsieur de Saint-Obin (Jules Berry, Suzy Prim, MM. Pierre Juvenet et Bélières).

<Jt Au Gysinase, à 9 heures, Féli$ (Mmes Gaby Morlay, Mady Berry MM. Jacques Baumer, Alcover, Berthier, Rog TréviUe, MarcelAndré).

Jt. A la Pokte SXikt-Martin, à 8 h. 15,


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L'Aiglon (MM. Arquillière et Paul Bernard). J5 Au Nouvel-Ambigu, à 8 h. 45, La Mouche Espagnole, comédie-vaudeville en trois actes, de MM. Arnold, Bach et Devère.

5 Au THÉÂTRE Sarah-Bernhardt, à 8 h. 30, Mon curé chez les Riches, avec MM. Vilbert, H. Monteux, Maxime-Lévy Mmes J. Delys-, Jehanno et Cassive. (Dim. et fêtes, matin. à 2 h. 30).

Au Théâtre ANTOINE, à 8 h. 45,Pas sur la bouche, la célèbre opérette de MM. Maurice Yvain et André Barde (Henry-Laverne, MaryHett, Simone Cerdan).

Jt A LA Renaissance, â 8 h. 45, Quand on est trois. avec Urban, Flore Mally, Christian ne Dor, Georges Marey et Marthe Derminy. Au THÉATRE DE L'ATHÉNÉE, à 9 heures, La Folle Nuit (Mmes Marg. Pierry, Danièle Mony, A. Guise, M. Yvon, A. Garrault, S. Au» ger MM. Robert; Ancôlin et Marcel Vallée). <3t Au Théâtre de Paris, à 8 h. 30, La Riposte (Mmes Véra Serfiine, N. Picard, Ch. Dix, Yzelle, Ribe MM. Harry Baur, R. Maure), Ch. Bernard, et M. Henri Rollan).

Jf Au Palais-Royal, à 8 h. 45, A u 'premier' de ces' Messieurs (MM. Albert Brasseur, Du.vallès, Géo Leclercq, P. Asselin, de Livry et Victor Boucher Mmes Blanche Bilbao, Marg. Templey, Alice Beylat, L. Dauville).

£t Au Théâtre Edouard-VII, à 8 h. 45, The co-optimists, de Londres, pour une courte saison.

«5t Au Grand-Guignol, à 8 h. 45, Un drame a bord (M. Paulais) Le Chevalier Canepin La Fosse aux Filles (Mlle Maxa) Lucette et sa tante, Matinées mercredi, samedi, dimanche et fêtes.

6 Aux BouffeS-Farisiens, à 8 h. 45, Trois jeunes filles. nues, comédie musicale de Yves Mirande et Albert Villemetz, musique de Raoul Moretti.

iS5 Au THÉÂTRE DE LA MADELEINE, à 9 heures, Le Docteur Miracle (André Brulé, A. Leriche, Joffre, Beuve, avec Saturnin Fabre et Jeanne Provost).

JH A LA Comédie-Caumartin, à 9 heures, Le Mage du Carlton (Le Gallo, Arletty, Henry Bosc, Roanne, Gobet et P. Etchepare). ̃ Au Théâtre Daunou, à 8 h. 30, Hélène (Mmes Madeleine Carlier, Marie Dubas, MM. Berley-Carette et Robert Arnoux).

<5t Au THÉATRE DES Nouveautés, à 9 heures, La Noce (Jeanne Cheirel avec Régina-Camier et Charles Boyer, Gildès, Pauline Carton, Laurette Fleury, Renée Divrac, Champell, Numès fils et le célèbre comique Germain).

<ît Au THÉÂTRE Marksny, à 8 h. 30, Vive la République (Geneviève Vix, Mitty et Tillio, Boucot, Alerme, etc., et Haimu) c,

Jf Au THÉÂTRE Fémina, à 8 h. 45, La Prisonnière (Mmes Sylvie et Suzanne: Dantès MM. Pierre Blanchar, Arvel et Jfean Worms)^ ^t A LA Potiniêre, à 9 heures, Un chien qui rapporte (Mmas' Marguerite Deval, Janine Merrey, Suzanne Dehelly et Madeleine Linval; MM. Debucourt, Achile Defrehne et Pierre Daltour).

J5 Au THÉÂTRE Mogador, à 8 h. 15, No, No, Nanette (Félix Oudart, R. Cariel, Adrien Lamy Mmes Loulou Hegoburu, Gabrielle Ristori, Fernande Albany, Paule JMorly).

Jt Au THÉATRE DES MATHURINS, à 8 h. 45, Le Mariage de Mlle Beulemans (Gilberte Legrand, Fernand Wicheler et la célèbre troupe

belge).

<Jt A LA Comédie DES Champs-Elysées, à 8 h. 30 et jusqu'au 27 juin inclus, le fakir Tahra Bey dans ses nouvelles démonstrations interdites à Londres.

«S Au Théâtre DE LA Michodière, à 8 h. 45, Passionnément (Mlles Rachel Lauwers, Davia, Renée Duler MM. George Tréville, Géo Bury, Lucien Baroux, Ch. Lorrain).

a* A l'Apollo, à 8 h. 45, saison de « Zarzuela espagnole », avec La Calesera, opérette de MM. Emilio del Castillo et Martinez Roman, musique de M. Francesco Alonzo. *5t Au THÉATRE DE L'AVENUE, à 8 h. 45, 'La Revue de l'Avenue, avec M. Jean Périer, -Rahna, Irène Wells, J. Devalde, Esmée Davis, Maria Ley et Alice Soulié et Girier. 1

<|5 Au Trianon-Lyrique, à 9 heures. La Dernière valse, d'Oscar Strauss, avec Mlles Germ. Revel, Jane Ferny, Stresa, Carville, Duman,

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Au Théâtre, pE Dix-Heures (direction R. Ferréol), (tél. Marc; 07-48), à 10 heures, Blum-Bada-blpum, revue de Charles Fallût, le grand succès du jour, jouée par Mlle Cloô Vidiane et les chansonniers.

J* Au Théâtre DES Folies-Dramatiques, à 8 h. 30, Souris blohde, opérette en trois actes, musique de F. de Breteuil (Rose Carday, Moriss). Matinée le dimanche à 14 h. 30.

01,

NOTES ET INFORMATIONS répétitions GÉNÉRALES ET PREMIÈRES REPRÉSENTATIONS DE LA SEMAINE

Lundi

A l'Apollo, en matinée, répétition' générale de la Calesera. Au Nouvel-Ambigu, en soirée, réception du service de première de la Mouche espàgnole.

Au théâtre Antoine, première represen-. tation (à ce théâtre) de A côté du nid.

.e~

Opéra. L'Opéra donnera demain Salomé, avec Mlle Geneviève Vix dans le principal a rôle, suivie du charmant ballet e de Siang Sin, de M. Georges Hue, dont les interprètes seront Mlle de Craponne, MM. Ricaux et Raymond mercredi, Orphée, l'oeuvre nouvelle dé M. Roger-Ducasse, avec Mme Ida Rubinstèin, et le ballet des Deux Pigeons, qui vient de dépasser sa centième représentation, dansé par Mlle Zambelli, M. Aveline, Mlle Loreia. Jeudi, en soirée, Rigoletto, suivi de Siang-Sin, et vendredi Samson et Dalila, accompagné de Taglioiii chez Musette.

Comédie-Française. Le service de première représentation pour ,£es Compères du roi Louis sera reçu demain lundi et le service de seconde mercredi soir.

«M o~»

OPÉRA-COMIQUE. L'Opéra-Comique donnera demain lundi une représentation de Madame Butterfly. L'ouvrage célèbre de Puccini aura pour interprètes Mme Marguerite Soyer (Butterfly), M. Marcelin (Pinkerton), Mlle Lucienne Estève, MM. Tubiana, Herent, Gilles, Genin. Le spectacle sera complété par L'Invitation à la ,valse, le divertissement chorégraphique réglé par Mme Louise Virard, à l'occasion du centenaire de Weber. M. Georges; Lau•vvffryps ,dirigera l'orchestre. ? Vabiétés. Aujourd'hui, à 2 h. 30, matinée du gros succès de rire Monsieur de Saiat-Obin, comédie en trois actes de André Picard et M. H. M. Harwood, avec toute l'interprétation du soir.

mom

PORTE-SAINT-MARTIN. A 2 h. 15 et à 8 h. 15, L'Aiglon, avec Arquillière, 'Bourdel Paule Andral, Magd. Damiroff et Paul Bernard. Matinées jeudi, samedi et dimanche.

La célèbre basse chantante russe Alexandre Mozjoukhkine, de retour d'une grande tournée en Chine, au Japon, en Mandchou.rie, en Esthonie, en Lettonie, en Angleterre et en Belgique, où il obtint les plus brillants succès, .vient d'être engagé par la direction de l'Opéra-Comique pour donner, la saison prochaine, une série de représentations de Don Quichotte^ Rappelons que ce grand artiste se fera entendre mardi et jeudi prochain, à la Salle Gaveau, où il interprétera avec son magnifique talent les deux rôles du prince Gahtsky et de Conchtiak, dans Le Prince Igor.

««̃»

La Prisonnière, le plus grand succès de la saison, la pièce la plus audacieuse, Matinée à 2 h. 45, avec tous les créateurs.

Potiniêre. Aujourd'hui, en matinée, à 3 heures, et en soirée, à 9 heures, le formidable succès de rire Un chien qui rapporte, avec Mme Marg. Deval dans son inoubliable création de la concierge, et M. Debucourt. modo

̃ m •–

LA SEMAINE DANS LES THÉÂTRES SUBVENTIONNÉS <Jt A L'OPÉRA

Lundi Salomé, Siang-Sin mercredi Orpèe; les Deux Pigeons jeudi Rigoletto, Siang-Sin vendredi Samson et Dalila, Taglioni chez Musette samedi bal. du Grand Prix; dimanche Faust.,

j* A LA Comédie-Française

Lundi première représentation des Compères du rot Louis mardi Primerose mercredi (réception du service de seconde) les. Compères du roi Louis jeudi, matinée (abon. billets roses) Psyché, Rodogune en soirée: Robert et Marianne vendredi le Monde où l'on s'ennuie, le Pèlerin samedi les Compères du roi Louis dimanche, en matinée i la Marche nuptiale; ,en soirée, le, Vieil Homme. Jt A l'Opéha-Comique

Lundi Madame Butterfly, l'Invitation à la valse; mardi (abon. série B) Casi Fan Tutte; mercredi fa Fie de Bohème, Paillasse; jeudi, matinée (abon. série bleue) Manon soirée' (abon. série B) Lakmé, l'Invitation à la valse vendredi Werther, l'Invitation à la valse samedi (abon. série B) Louise dimanche, matinée Mireille soirée ̃: la Tosca, Cavalleria Rusticana.

A l'Odéon

Lundi 7<z Revue de l'Odèon mardi la

tiame aux Lametias niercredi la Revue d l'Odéon jeudi la Dame aux Camélias vendredi' fla Revue de VOd èiiii satnpdi

la Dame aux Camélias dimanche, en matinée la Revue de l'Odéon en soirée la Dame aux Camélias.

<iî Au Trianon-Lyriqub

Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, et samedi, à 8 h. 30 dimanche, matinée 2 h. 30 et soirée 8 h. 30 la Dernière Valse, d'Oscar Strauss.

Maxime Girard.

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Aux Folies-Bergère (2 h. 30), au Casino de Paris (2 h. 30), à l'Olympia (2 h. 30), au Moulin-Rouge (2 h.. 30), au. Concert Mayol (2 h. 30), au Théâtre des Champs-Elysées (2 h. 30), au Palace (2 h. 30), à l'Empire (2 h. 30), à Madeleine-Cinéma (2 h. 30), â la Lune' Rousse (3 heures), au Ciné-Carillon (2 h. 30), à la salle Marivaux (2 heures):

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Ce soir p

'^t Aux Fpmes-Behgêre, à 8 h. 30, La Folie ̃du Jour, hyper-revue de M. L. Lemarchand, avec Dorvillé,' Alibert, Pepa Bonafé et Joséphine Bâter.

«âï Au Casino de PARIS, à 8 h. 30, Paris en Fleurs (Maurice Chevalier, les Dolly Sisters, Yvonne Vallée, Dora Durby, Hasoutra; les 16 Lawrence Tiller Girls, Lily Mounet, Pizella, Lily Scott), etc. x

& A L'OLYMPIA (Central 44-69), Yvonne George, Perchicot, la Pekarska, Fournier, Marthe Trawoèl, Màrino, Penséa, les ballets russes Woinowa, Wolodin et Féodoroff, les Okabe, les Dellà'Rey, etc.

Au PALACE (Tél. Berg. 44-37), à 8 h. 30, Paris Voyeur, la" formidable revue avec Grock, Dora Stroeva et Nina Payne.

Jt Aux Nouveaux-Ambassadeurs (ThéâtreRestaurant). Pendant le dîner, Florence Mills dans La Revue américaine Black Birds, de Lew Leslie, avec Johnny Hùdgins, Jones et Jones, Edith Wilson et l'orchestre du Plantation avec Shrimp Jones et Johnny Dunn. JH Au Moulin-Rouge-Music-Hall, à 8 h. 30, La Revue Mistinguett, de Jacques Charles; Mistinguett, Randal, Earl Leslie, les célèbres danseurs américains Frank Bernard et Marion Rick, Marthe Berthy, Ruth Zackey, les Kerva, Yvette Doria, les 60 Jackson girls et Dréan. A l'Empire (Tél. Wagram 60-58).Music-Hall.Cirque, le célèbre comique anglais Billie Reeves, la célèbre divette Jane Pierly, la troupe du Coq'd'Or et 20 attractions. J» Au Concert Maïol ÇSO. i Gut. 68-07), à 8 h. 30, la Grande Revue de l'année, avec Parysis; 45 tableaux, 1.200 costumes. jt Aux Champs-Elysêes-Music-Hall, à 8 h. 30, La Revue de Paris, de (Jane Mainac, Signoret, Thérèse Dorny, George, Marion Forde, Yvonne Legeay, R. Darthez, Florencie). Dans la première partie, Les Combats Chinois. A LA Cigabe, à'8 h. 30, la grande revue Cent jeunes filles nues, avec Polaire, Bach, Marjal, V. Roberty, S. Melville, L. Campana 100 artistes, 60 tableaux, 300 costumes. Matinée dimanches et fêtes.

St A l'Œil DE PARIS, 4, rue de l'Etoile (Carnot 36-82), à 9 heures, Betove, Noël-Noël, France Martis," Pradier. Ouvrons-le, revue de René Fauchois, jouée par l'auteur..

Matinée dimanche, 3 heures.

Jt Au Gne-Carillon, 80, bd Bonne-Nouvelle. Rêves et Hallucinations grand film d'épou- vante avec Cour., Veydt et Bern. Goëtzke, Tous les jours matinée perman. partir de 2 h. 30» Le soir, une seule grande représentation a 8 h. 40. Loc. de 1 h. 30 à 10 heures du soir.

COURRIER MUSTCAL

COURRIER MUSICAL,

Ce soir

A la Salle Gaveau, à 9 heures, récital de piano Marcelle Meyer Première audition Sérénade Strawinsky. Demain soir lundi, Salle Gaveau, Albert Spalding. Location à la Salle, chez M. Durand et Dandelot.

Michel Zovianoff donnera un récital de violoncelle, le mercredi 23 juin, à la Salle des Agriculteurs. Location à la Salle, chez M. Durand et M. Dandelot.

L. de Crémone.

LES CINÉMAS

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INFORMATIONS FINANCIERES CRÉDIT FONCIER DE 'FRANCE. –'L'émission 'dés obligations foncières et communales a pleinement réussi. Le Crédit Foncier annonce 1$, clôture de la souscription. La délivrance1 de^ titres aura lieu du 1" au 15 août. CONTRE LES FLUCTUATIONS DU CHANGE LES « BONS CITROEN ». La vente des voitures Citroën à l'étranger, déjà fort importante, est à la veille d'une extension considérable, du fait que l'organisation des Sociétés filiales arrive seulement au point. Ces ventes, qui s'effectuent surtout en devises appréciées, apportent dans le chiffre d'affaires un précieux élément de stabilité, soustrait aux incertitudes du change.

Le revenu complémentaire des Bons, soit 20 francs par Bon et par milliard d'affaires, est donc lui-même à l'abri de toute dépréciation et est assimilable à une valeur or.

• Ce revenu complémentaire s'ajoute d'ailleurs, on le sait, à un intérêt fixe de 7 1/2 0/0. Les versements de souscription soit 500 francs par bon sont reçus Au Siège social de la Société, 143, quai de Javel, à Paris dans les Banques, Etablissements de crédit, leurs Agences et Succursales, pour le compte de la Société André Citroën.

L'émission sera close le samedi 26 Juin.

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des indications du traitement, par, la perfection

l'organisation scientifique, apparaît comme la station thermale type. ~TJn médecin éminent qualifia un 'jour Vichy la capitale thermale du monde Cette formule n'a rien d'excessif; elle correspondit ti la réalifé. De tous les pays fies malades et les sur* menés se rendent à Vichy, où ils nouent trouver amélioration caractérisée, guérison complète ou reprise d'énergie.

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r- \wk^tM^&3 PJGARQ DU 20 JU{N !.?# -»•̃; t£S BARGAIN SISfiRS IIIIIHIIIII «

petit jour, un matin d'août 1924, les ouvriers de Richard Bargain, entrepreneur de constructions navales à Newcastle-on-Tyne, en venant prendre leur travail, trouvèrent, devant la porte même du chantier, le corps de leur patron tué d'une seule balle à la tempe droite, et déjà froid.

Ce drame fit réellement aussi peu de bruit que possible. Le coroner procéda pour ainsi dire instantanément à son enquête son verdict fut qu'un doute subsistait et qu'il ne pouvait formellement conclure au suicide. En France, dans les mêmes conditions, un médecin légiste com:inis à l'examen du cadavre eût déclaré, sans se compromettre, que rien n'excluait l'hypothèse d'une mort volontaire. Ces deux formules, qui semblent à première vue contradictoires,. signifient la même chose àl fort peu près. Si on tourne différemment, en France et "en Angleterre, ̃<i*§Slt:4w l'homicide de soi-même, tenu en 'Angleterre pour un délit, échappe, en France, à Jai ffimp;éteijce- {les, ju^os/ànais écarte toute présomption d'autre crime punissable par la loi; d'où il suit qu'en déclarant ici que la victime peut bien ne 's'être pas tuée, et là que rien n'empêche d'imaginer qu'elle se soit tuée en effet, on arrive également, par des voies diverses, àjclasser l'affaire.

D'ailleurs, malgré les termes prudents et mesurés du verdict, la version du suicide ne pouvait soulever aucune sérieuse objection. Si l'on eût voulu rechercher les raisons que pouvait avoir Richard Bargain de mettre fin ses jours, on n'aurait «a que l'embarras du choix.

Richard était un homme perverti. En France, on eût dit que ses mœurs regrettables n'étaient un secret pour personne; ><en Angleterre, elles étaient un secret pour tout le monde, mais cela revient encore au même en dépit de l'apparente contradiction/ Seulement, si Richard Bargain jtygit été F_rançaiJ, dans son petit milieu

on n'aurait pas parlé d'autre chose; tandis qu'à Newcastle, on lui savait gré d'éviter le scandale,

On lui en savait d'autant plus de gré qu'il ne prenait aucune autre précaution et qu'il se fût exposé aux pires aventures pour satisfaire une fantaisie de son tempérament. Jl faisait la fête dangereusement,; mais avec discrétion, et en retour, on croyait devoir s'abstenir à son égard des remarques personnelles.

On n'eût pas gardé la même réserve si Richard Bargain était devenu le héros d'un de ces procès abominables où, de loin en loin, la vertueuse Angleterre, pour mieux flaire éclater sa gloire, confesse publiquement, avec une sorte d'orgueil sadique, ses vices les plus bas. Alors, à Newcastle même (bien que la province soit toujours en retard sur Londres), on n'aurait toléré aucun huis clos, on aurait voulu tout savoir. Mais Richard Bargain ayant, par chance, trpuvé moyen de se soustraire à la-justice des hommes avant :def sepfgire; w- probablement ̃ justice; à lui-même, on passait l'éponge sur son ténébreux passé, et dès le lendemain personne n'y songeait plus.

Une autre cause, accessoire mais suffisante, qui aurait pu déterminer aussi bien l'entrepreneur à commettre le suicide, était le mauvais état de ses affaires. Il n'employait plus qu'un petit nombre d'ouvriers. La plupart préféraient toucher une indemnité de chômage, qu'ils allaient, dépenser en famille dans les stations de vacances des pays à change bas. Lorsque l'on fit, aussitôt après l'enterrement, l'inventaire des biens, on s'aperçut que la crise qui sévit depuis la guerre sur toutes les industries avait ruiné Bargain presque entièrement, et que ses ayants droit restaient s,ans ressources.

Il ne laissait que deux filles. Dépuis bien longtemps la pauvre Mrs Bargain avait quitté l'enfer conjugal pour un monde .meilleur. Elle était morte d'un désespoir "sîlencieuj; £t, comtne çn dit. d'iin cœur brisé't (

.̃••̃ ̃ ̃ ̃ ̃̃̃• m E

C'était, de son. vivant, une créature ra-vissante, onais- dîuiugenr-e.de: .beauté tout fait démodé, et qui^n'ayait pu, amuser qu'un instant 'ce terrible"- màrL EU$. ressemblait à une image de keepsake. Elle était frêle, flexible, très bien portante, mais un médecin qui eût porté son diag- nostic avant de l'ausculter l'eût déclarée atteinte de consomption/ Sa résignation chrétienne aux brutalités et aux déportements du seigneur et nlaître affectait un genre ensemble romantique et bourgeois, et n'était point, comme chez les femmes dans -le train d'aujourd'hui, une dérision de la vieille règle conjugale, un sport ou une1 originalité. On avait peine à croire que ses filles, Rachel et Sarah, fussent nées d'elle, et bien que l'on ne pût comparer ces deux sujets qu'à ses photographies, déjà très, anciennes et passées, la dissemblance apparaissait frappante, presque alarmante, comme une bizarrerie de la nature. Il fallait croire superstitieusement à l'hérédité pour découvrir aucun trait commun, au moral comme au, physique, entra .cette mère et ces filles,, demeurées orphelines, l'une à six ans et l'autre à cinq. j Les deux sœurs du moins se ressemblaient, hélas! Elles se ressemblaient comme des jumelles. Elles étaient toutes les deux pareillement épaisses, courtes, et elles- avançaient en se dandinant: tristes caricatures de la défunte Mrs ii^rgajn.

la démarehe, pleine de, grûag,- étàito

comme un balancement. -h Elles- étaient aussi solides que -pf merê' avait été débile, solides comme" Oc qui est fait d'une étoffe grossière; si basses sur pattes qu'on ne les voyait jamais :sè pencher et qu'on ne craignait jamais de leur voir perdre l'équilibre: elles étaient comme ces poussahs chargés' de plomb à la base, qui s'inclinent tout d'une pièce, en arrière, en avant, et qui, après lei oscillations les plus extravagantes, se retrouvent d'aplomb.

Elles n'offraient ni l'une ni l'autre aucun symptôme de consomption: leur appétit était régulier, leur santé insolente ou, plus exactement, goguenarde; toujours en train de vivre, toujours, comme on dit vulgairement, sur le pont. Elles avaient ce que les couturiers appellent la ligne d'au- trefois, des formes rondes, une taille- san- glée. Leur figure était si ordinaire que l'on n'aurait même su dire proprement qu'elle fût laide: elle n'avait pas ce caractère, qui '"fait qu'une laideur intéresse,

qu'on la remarque, ^qu'elle 'attache et qu'ensuite on ne l'oublié pas. L'unique particularité qui pût retenir l'attention du passant assez distrait ou de l'observateur 'assez courageux pour regarder quelques instants les deux naines était :4^ur identité parfaite, due sans doute moins' à des ressemblances, positives qu'à la banalité commune de leur visage et de leur .corps. On se' demandait comment leur mère -ou leur nourrice les pouvait reconnaître an berceau, et comment ellesmêmes pouvaient se distinguer l'une de l'autre aujourd'hui, si elles n'usaient pas des mêmes procédés que les méneçhmes de la comédie ou'de l'opérette, et si elles ne se paraient point, Rachel-d'un ruban bleu, Sarah d'un r.uban rosé, cpnime Girofla et Girofle. ̃ Mais elles n'usaient point de ces subterfuges, et n'avaient aucune peine à se distinguer chacune de son double; car elles ne soupçonnaient pas cette merveilleuse, cette outrageuse ressemblance, et elles se croyaient de modèles si différents que,- s'il y avait eu la moindre apparence, elles auraient douté qq'elles fussent de même lit.

Cette illusion avait des effets étranges, qui, selon l'humeur, peuvent prêter à rire, ou.Jj^pleurer. L'erreur de Sarah était touchante, parce que; se sachant laide, elle prenait sa sœur pour une beauté, et elle trouvait naturel de se sacrifier constamment à cette beauté qui était la gloire de la famille. Raçhel ne le trouvait pas moins naturel, et fille, acceptait de bonne gfifice, Jiâns égoiûsme, quelquefois même en soupirant, un sacrifice qui lui semblait ïégirtime.

On eût dit qu'elle s'alarmait des faveurs dont elle croyait naïvement que le Ciel l'avait comblée. Rachel avait d'ailleurs pour Sarah une véritable adoration, comme Sarah, pour Rachel, avait un véritable culte. Rachel souffrait de la laideur évidente de Sarah autant que Sarah était fière de l'imaginaire beauté de Rachel. Les deux sœurs ne se quittaient guère, elles étaient inséparables, et l'héroïque Sarah se faisait une joie de croire qu'elle servait de repoussoir à la beauté- de Rachel! Elles se faisaient réciproquement plus de tort que de bien. Les personnes peu charitables qui, les rencontraient dans la rue ne manquaient point de murmurer « C'est trop de deux ». Mais ce n'est pas seulement par tendresse que la laide suivait partout la beauté, c'était aussi pour la garder des autres et d'elle-même. Jîfachel donnait à Sarah des inquiétudes que

cette ihnp4çent<e,h,é se 'définissait pas très bjsn^ màis^'gul la torturaient' dès que par

r(hisàrd eue1,n'avait,.Ba^l §à sœyr ,d,e,yant; les

yeux, .'•̃̃ Ifs Comme elle croyait Rachel irrésistible, Sarah la croyait aussi incapable de résistance. Ces mots n'avaient pour elle aucun sens déterminé mais la chose vague et inconnue qu'ils exprimaient, par une formule de convention ou parun chiffre dont elle ne possédait point la clef, ne lui semblait pas moins redoutable. Elle se disait -B-. euphémisme -ingénu que Rachel était très flirt ,et elle tremblait toujours que cette disposition problématique ne fût la cause d'un terrible accident, dont elle ne parvenait point à se faire une représentation exacte.

Comme elle n'était entourée depuis l'enfance que de personnes naturellement médisantes, mais bien élevées selon les principes de la bourgeoisie anglaise, et qui aimaient encore mieux ne pas médire que de faire des remarques personnelles, rien ne lui avait jamais été révélé des débauches de Richard Bargain mais il faut croire qu'une voix mystérieuse et que sa conscience ne percevait pas l'en avait secrètement avertie, puisqu'elle attribuait la prétendue fragilité de'sa sœur à une influence héréditaire.

Chose curieuse, elle n'imaginait point ,que l'hérédité commune pût avoir sur ellemême le moindre effet. Sans, bien entendu, soupçonner ce que c'est que le tempé"ràmeht, elle se flattait de n'en avoir au•çim; ̃• || ."̃ bu-

Ah moi, disâli-ëlle de bonne hu-

meur, je ne sttis pas 'comme Rachel; je ne suis pas flirt.

Et elle remerciait le Ciel qui, ne l'ayant faite ni pour inspirer l'amour ni même pour le ressentir, lui avait épargné ce double ridicule-et donné un cœur qu'elle croyait indifférent.

Si jamais elle se fût promenée seule, elle n'eût pas regardé un homme mais, comme sa sœur l'accompagnait toujours, elle les regardait tous la première, et son.geait

« Bon encore un garçon bien bâti, un splendide garçon qui va tourner la tête à ma pauvre Rachel a

Et son cœur, son cœur insensible se mettait à battre avec force, presque douloureusement. Elle attribuait cette émotion à la seule crainte, bien .concevable, du danger Jqu'elle ne concevait pas mais quand le. passant avait passé sans prendre seulement garde à celle des deux sœurs qui était digne d'être regardée, elle éprou-

C\F'j'O

vait moins de soulagement que de dépit par procuration, et elle pensait que les jeunes gens d'aujourd'hui sont de farouches Hippoly tes. :Sa™_E

Elle surveillait en même temps Rachel et s'efforçait loyalement de détourner son attention mais, si elle voyait l'inflammable sœur suivre du regard l'ingrat qui se dérobait, elle feignait de oie s'en point apercevoir. Elle était prête à toutes les in. dulgences, et elle ejit été capable au besoin de toutes les complicités elle estimait que la beauté a tous les droits, elle ne lui refusait aucune licence.

Elle entendait ne se dispenser ellemême d'aucun des devoirs qu'ont envers cette beauté souveraine et exigeante tous les autres humains qui ne sont point beaux, e,t elle ne doutait point que le plus indispensable de ces devoirs ne fut d'épargner- les vils soucis matériels à celle qui, non plus que les lis, n'avait que faire de filer.

Dès qu'il fut avéré que Richard Bargain ne laissait quasi rien, et que les misses Bargain seraient réduites à gagner leur vie, sans même que la question fût posée si elles se tireraient d'affaire chacune comme elle pourrait, Sarah se, mit eh'quête d un emploi suffisamment rémunérateur pour assurer la subsistance de deux femmes qui rie manquaient point d'appétit Rachel ne fit point de façons pour accepter un arrangement si naturel et si prévu. La seule difficulté, pour Sarah, était de trouver une occupation 'qui ne modifiât que le moins possible les habitudes des deux soeurs inséparables, et permit a celle des deux qui ferait désormais quelque chose de ne pas quitter de l'oeil, ainsi que par le passé, celle qui continuerait à ne rien faire. Sarah, en devenant là nourricière, entendait demeurer l'ange gardien. Par le temps qui court, on a peu de chances de se placer dans ces conditions. Peu de patrons sont d'humeur assez évangélique, même en Angleterre, pour engager Marthe et Marie ensemble, et pour donner le vivre et le couvert à celle aui se réserve la meilleure part. Heureusement, si Richard Bargaiti n'avait point laissé d'héritage à ses filles, il leur avait laissé de bonnes et utiles relations. Il était fort bien vu dans le monde des constructeurs, où on lui pardonnait ses mœurs abominables en faveur de sa décence apparente et de sa correction.

Abe] Dermant.

(A suivre.} f Ab.el Herjnant.


LA. V I E C C)ïi O N I AL E

Politique indochinoise

Il y a trois mois, on s'est beaucoup agitê, en France, autour d'un discours prononcé au Conseil de gouvernement de l'Indochine par M. Varenne, gouverneur général de ce groupe de colonies. Puis d'autres sujets ont attiré notre attention d'une manière impérieuse, et il n'a plus guère été question de celui-là. A vrai dire, l'émotion qui s'était ainsi manifestée Paris n'avait pas eu d'écho en Indochine, où la plupart des journaux exprimaient même quelque surprise de l'importance qu'on semblait attacher, dans la métropole, à dés phrases exactement inspirées nous l'avons montré ici même ̃ de l'esprit qu'on avait unanimement approuvé

COTCHSR* DE SOLEIE SUR LA RIVIERE DES PARFUMS, A HUE

dans le livre de M. Albert Sarraut, La mise en valeur de nos colonies, en 1922. Pareillement, il y -a deux ans, on avait fait grand bruit autour de la Tunisie. A en croire de nombreux prophètes, la coalition du parti des Jeunes-Tunisiens et des communistes allait rendre notre situation intenable dans la Régence,- et il n'était que. temps d'aviser. Une commission qui réunissait les compétences Jes. plus reconnues fut nommée, se réunit, puis on ne parla plus de rien. C'est que l'on n'avait pas tardé à s'apercevoir qué l'agitation, tant communiste que destourienne, était toute superficielle. Quelques mesures fermes de M. Lucien Saint, résident général, suffirent à ramener le calme qui, du reste, n'avait pas été sérieusement troublé. La vérité est qu'en Indochine comme en Tunisie se manifeste un certain esprit nationaliste, qui est l'un des effets de la grande guerre, et qu'on a observé avec une 'intensité autrement sensible aux Indes, en Egypte, en Asie Mineure et surtout en Turquie. Mouvement auquel se rattache,' dans une certaine mesure, le soulèvement rifain, et qui correspond aussi à la xénophobie chinoise. Constatons, pour nous en réjouir, que ce mouvement n'a eu, dans! aucun des pays soumis,, notre autorité,' la gravité qu'on l'a/vu prendre

La tâche du nouveau gouverneur > de la G«?ade!ou0e

M. Çeurnier, gouverneur de la Guadeloupe, a été obligé d'abandonner son poste. II est victime de la politique qu'il a suivie. Il avait pensé qu'en cédant toujours aux partis de violence il aurait la tranquillité. Cette attitude de faiblesse pour employer un euphémisme ne lui a point réussi. Il est venu un moment où, sous- la menace, on lui a fait commettre des actes d'une incorrection flagrante qui lui ont valu son rappel.

Il est remplacé à Basse-Terre par 31. Geçbinis, qui fut pendant de nombreuses années, gouverneur de l'Inde. Pourquoi ce choix?

Il tient à ceci qu'il fallait donner sans délai [un successeur au gouverneur qui partait, le secrétaire général se déclarant lui-même incapable d'assurer l'intérim. M. IGcrbinis était le seul gouverneur disponible à Paris. On assure qu'il part là-bas sans enthousiasme. Il a déclaré qu'il

n'a^t-tya^përâjâBtlb'h'crù'c-'Jé-veiîrér' au

maintien (ie.r.QjwHE et? à. Ja protection de. la vie des 'citôjfbps. ;̃

II>apgr,(<naj['.f,î& qiïe-ç.e' qu'il considère

comme un pràéjjimme minimum n'esit poirft,- aux ̃ AntiHfS'SSii facile à réaliser. Pour .y parlerais il lui; faudra dépenser beaucoup d'énergie, il lui faudra aussi obtenir des magistrats qu'ils fassent leur devoir et ne s'en laissent détourner ni par. la complaisance ni par la crainte la liste est trop longue, à la Guadeloupe, des crimes impunis.

Enfin, il devra demander au ministère des colonies des forces de police suffisantes pour que l'autorité soit respectée et que ne se reproduisent plus des crimes sauvages comme cet assassinat du gendarme Mignot, qui est une honte pour une colonie.

L'aviation commerciale en Indochine

Le Courrier Saïgonnais signale qu'une première ligne d'aviation commerciale a été ouverie, au début d'avril, en Indochine, assurant la liaison entre Kratié et Savannakhek, et facilitànt ainsi l'accès du Laos.

Conformément à un arrêté du gouverneur général en date du 16, décembre 1925, le service est assuré par la section d'avions stationnés à Kratié. Ce service comprend le transport 'régulier du courrier et; éventuell,emejitv des passagers entre, Ki'atié' et Savannakhek (et retour), avec escales régulières à Stung-Treng et Paské. Il y aura un départ par semaine, du 1" novembre au 3,0 juin. Au" cas où le fret l'exigerait, et dans la mesure où, les moyens matériels de Kratié le permettront, l'avion postal pourra être doublé sur tout ou partie du parcours..

Le^fretest, avant tout, destiné au, transport des messageries. Eventuellement, des passagers peuvent prendre place dans ̃l'avion, mais seulement jusqu'à concurrence du poids disponible fixé. La priorité du passage est accordée aux transports sanitaires.

Les passagers ainsi admis voyagent à leurs risques et périls et signent, avant leur embarquement, une déclaration exonérant expressément l'aéronautique de l'Indochine de toute responsabilité, à quelque, titre, et pour quelque cause que ce •sci't,

-̃̃iiiiiiiiii ̃

dans plusieurs colonies anglaises, et n'hésitons pas à attribuer cette innocuité à nos méthodes de gouvernement, qui rapprochent l'indigène de nous plus que ne le font celles de l'Angleterre. Il y a beaucoup de mots dans nos professions de foi à cet égard, mais il n'y a pas que des mots, et les intéressés i sont les premiers à s!en; apercevoir. < ̃ Il n'en reste, pas moins que certains faits qui se sont produits, en Indochine, quand on les a ramenés à leur proportion véritable, constituent pour nous un avertissement que nous devons prendre au sérieux. Lorsque des réunions qui auraient pu être orageuses se terminent par les cris

de Vive l'Annam Vive la France Vive la collaboration franco-annamite il n'y a pas lieu de s'inquiéter, mais de se demander le sens que les manifestants attachent à ce mot de collaboration. Or, il n'est; pas douteux que ce qu'ils demandent ainsi, c'est l'exécution de promesses qui ne datent pas d'hier, car tous les gouverneurs généraux les ont faites, à peu près, dans les mêmes termes, depuis une dizaine d'années ce dont il s'agit, c'est de faire participer les indigènes, d'une manière plus active et plus directe, à la gestion de leur pays. Le tort de certains Français, même établis en Indochine depuis de nombreuses années, est d'avoir gardé le même esprit qu'aux environs de 1895; ils sont comme ces pères de famille qui ne veulent pas s'apercevoir que leur fils a grandi, et qu'on ne conduit pas un jeune homme de vingt ans comme un petit garçon 4ç douze. Avec de l'adresse et de la fermeté, le père continue de mener son grand fils tout en l'habituant à prendre les initiatives qui conviennent à son âge. C'est là ce que nous devons faire, et il n'y a pas de raison pour que nous n'y réussissions pas parfaitement. Nous avons fait beaucoup de choses plus dif-

ficiles.^ a | <

fiçiJ.e~ Henri Bernay.

La main-d'œuvre tonkinoisë' en Nouvelle-Calédonie

A la suite d'une enquête faite en Nouvelle-Calédonie et aux Nouvelles-Hébrides, par M. Delamarre, inspecteur des affaires politiques et administratives du Tonkin, le gouverneur général de l'Indochine vient, d'accord avec les autorités locales, de prendre en faveur des ouvriers tonkinois immigrés* dans les établissements du Pacifique Austral, un certain nombre de dispositions qui améliorent considérablement leur situation.

Un nouveau type de contrat a été adopté il leur assure une nourriture plus abondante, organise leur protection méthodique contre le paludisme, met à la charge de l'employeur la nourriture et la garde des enfants, la nourriture et l'hospitalisation des malades, institue des congés de maternité d'un mois avec salaire. Il réglemente le crédit de l'ouvrier, crée un pécule, enfin entoure de garanties nouvelles les conditions du travail et de l'habitat. D'autre part, les services de l'inspection du irawii] et de l'assistance médicale .'Sont.uéorganï^cs et rc-uforcés.

L'ahdeniip n\siemenl.itioii locale mu* la

main-d'œm re va être ri'Msc't\, pour la :*riiéUrespluN- en harmonie avec les princi-* pes delà colonisation moderne, française. Enfin le gouvernement général de; l'Indochine fera visiter les travaux indochinois émigrés par des inspections périodiques, et leur donnera ainsi le sentiment qu'ils restent toujours en liaison avec leur pays d'origine et sous sa protection tutélaire.

l'utilisation dés peaux de reptiles M. le professeur Grüvel, le grand spécialiste des questions de pêche aux colonies, vient de faire paraître un opuscule tout d'actualité: De l'utilisation dans l'industrie des peaux de certains reptiles de nos colonies, et le professeur Mangin en a fait le sujet d'une longue communication à l'Académie des sciences.

Depuis longtemps, déjà, on utilisait la peau de certains poissons, sous le nom de « galuchat » pour l'ameublement et la maroquinerie. La peau dé requin commence à avoir, également un marché, et il nous en arrivera bientôt de la Côte française des Somalis. Mais la maroquinerie et la cordonnerie de luxe réclament des fournitures toujours plus nombreuses et plus variées. De vendre la peau des reptiles des Indes pu.de Java, les Anglais et les Hollandais retirent déjà d'importants bçné-

fices. ̃ "• '̃'•.

Parmi les peaux les plus recherchées, celle des crocodiles jeunes, de l'espèce des varans, sont les mieux payées par l'industrie de la chaussure, et dans le sud de l'Afrique du Nord, nous pouvons utiliser de nombreux « varanus griseus » et varans du Nil. Ils abondent plus encore en Afrique occidentale.

Quant à l'Indochine, elle possède le plus grand « varanus salvator », dont la taille dépasse parfois deux mètres et qui ne le cède, en rien aux plus beaux varans de Ceylan ou de l'archipel malais, que notre industrie paye actuellement en livres et en florins.

Parmi les serpents les plus appréciés en maroquinerie sont les pythons et boas. Madagascar, l'Afrique Equatoriale et surtout la Guyane en possèdent de superbes aux colorations très recherchées. C'est une ressource inestimable, qu'il y a Iieu de ne pas négliger.

i- i' i.i ̃IHIIIIIIIHlll^ '.in V i r ̃'

L'UTILITÉ ARTISTIQUE des Expositions coloniales

IIIIIIIIHII

Au moment où il est question d'une prochaine exposition coloniale et internationale 1929 ou 1930? il est bon de faire un retour en arrière et, en'

considérant 1e5~9ianifèstatio~s~ passées

considérant lés'inanifestaticyi^ pafsées.

(Expositions universelles 1889, Ï900, Expositions coloniales à Marseille 1906 et 1922, Exposition des arts décoratifs de Paris 1925, où figurèrent les productions artistiques de nos colonies), de se demander quel profit réel en retirèrent aussi bien les arts indigènes que les artisans et de dégager les enseignements de ces expériences.

Les premiers coloniaux ceux de la période historique furent de fervents amateurs d'art, tant pour eux que pour leurs amis et parents. La moisson était facile et de qualité rare. Mais les richesses accumulées par les temps s'épuisèrent et les besoins nouveaux s'imposant, ce fut l'origine du pastiche, de l'adaptation et de, la modernisation dès arts locaux. Si le goût ne fut pas toujours parfait, les indigènes surent orner agréablement les intérieurs des nouveaux débarqués et profiter des occasions facilement rémunératrices des expositions de la métropole.

Rappelons-nous l'Exposition coloniale de Marseille. Elle' èmprlffite* d'ail-

leurs au ciel provençal sa: splendeur.

leurs au' de1.'p~ÓveIiçal sa' splendeur.

C'est la rue annamite, avec ,§è& boutiques regorgeant de meubles sculptés ou incrustés, de laques, de cuivres et. bronzes d'art et de soieries. La vente est aisée, les éventaires se vident à vue d'œil.

A Paris, il ne s'agissait plus de faire du pittoresque, mais d'atteindre à un résultat d'enseignement décoratif. Sous d'habiles directions, les indigènes produisirent des œuvres conformes à ce programme d'art décoratif moderne. Le succès de la, section coloniale a été éclatant. Une moyenne de 35.000 visiteurs par jour, soit plus d'un million par mois, ont discuté ou admiré la valeur de cette section. Et cependant, elle ne comportait aucune « rue du Caire », elle ne présentait, au contraire, que des ensembles architecturaux et mobiliers, inspirés directement-des arts locaux, mais s'imposant par l'exotisme du style et la richesse de la matière. Et ce succès dépassa largement les prévisions des organisateurs de l'Exposition même. Si M. François Carnot eut. raison déclarer « qii*un fauteuil de bronze du Cambodge ou l'étoffe d'un » hamac dahoméen peuvent apporter à la masse des ressources esthétiques modernes une contribution intéressante et un élément nouveau », par contre, il n'hésitait pas à déclarer que « nous ne pouvons pas demander à l'art indigène colonial de nous présenter du moderne' français et que nous devons même l'en dissuader énergiquement ». Certes, oui, quand il s'agit d'ajouter purement et simplement des motifs de décoration annamite à un meuble de style français, mais nous ne partageons

Le commerce de la France avec ses colonies en Î926

Le commerce de la France avec ses colonies et protectorats s'est élevé, pendant le premier trimestre de 1926, à 3.333 millions 500.000 francs, ce qui laisse espérer pour l'année courante un chiffre total de dix milliards. C'est avec l'Afrique du Nord que le. trafic le plus considérable s'effectue il a,at- teint, pendant les trois premiers mois de l'année, 2 milliards 26 millions.' Les ini* portations des colonies dans la Métropole; sont encore inférieures aux exportations, les premières atteignant ï.450.500.00ff fr. (dont 873.500,000 francs pour l'Afrique tâiiï: Nord) et les exportations de France ver* les colonies se chiffrant par 1.883.000.000 de francs dont 1.152.500.000 franeVpour- l'Afrique du Nord.

En Afrique du Nord, c'est l'Algérie,, qui. tient la tête elle a acheté en France pour 687.000.000 de tonnes et lui a vendu pour 595 millions 500.000 francs. L'Indochine vient ensuite avec 523 mil-, lions dont 217 millions d'importations en" France et 306 millions de sorties métropo-; litaines. Puis l'A. 0. F. se classe troisième avec 398 millions d'affaires, dont 186 mil-, lions d'expéditions sur la France et 212 millions d'achats. La Tunisie vient ensuite avec 322.500.000 francs, puis le Maroc, avec 309 millions Madagascar s inscrit au sixième rang avec 205 millions.

Les autres colonies fournissent l'appoint, les importations de la Métropole représentant, d'une façon générale, 3/5, et les exportations 2/5 des affaires réalisées.

Les phosphates marocains en 1925 L'Office ;chérifien a livré, en 1925, 721.228 tonnes de phosphates presque totalement destinés à l'exportation et qui «}!' été embarquées sur 333 navires pour la; première fois, les phosphates marocains ont abordé le marché extra-européen, une vente de 5.751" tonnes ayant été faite à l'Afrique du Sud. La France et l'Espagne^ viennent en tête parmi les acheteurs pour une quantité à peu près égale, puis la BÇollande, la Tchécoslovaquie, l'Angleterre et la Belgique. -̃•

L'emploi des phosphates s'açcroit très rapidement en Europe et cet'accroissement est beaucoup plus rapide actuellement que dans la période d'avant-guerre. La progression annuelle est de l'ordre de 500.000 tonnes.

Au cours de l'année 1925, l'Office chérifien des phosphates a réalisé un bénéfice net de près de 17 millions.

6 millions ont été affectés aux ̃amortissements industriels

Plus d'un million a été. prélevé pour la constitution de la réserve normale 2.500.000 francs ont été versés au Trésor public, et le reliquat, qui comprend plus de 7 millions, a été inscrit à la réserse extraordinaire des travaux neufs.

pas cet avis quand il s'agit de présen-"ter a.,jin public et à des décorateurs oc-

<. idejitftUiS, du moderne annamite uns- 1

̃piléitiecmoâerne 'chinois; Car le moder- «.

de; chinois existe comme le moderne*

chmois existe comme le moderne'

jfïân^ai's'; des maisons d'habitation rde': riches Chinois, des pagodes modernes des ensembles mobiliers (salles à manger 'et salons), des maisons de nuit de Hoijgjkongou de Shanghaï, inspirés directement de la tradition, mais adaptés à la vie moderne, sont capables d'émerveiller bien des esthètes européens et d'être une abondante source d'inspiration pour de nombreux décorateurs modernes.

'i i

Notre, rôle essentiel est de maintenir l'artisan dans le culte constant de son style etde ses techniques traditionnels. Nous devons rechercher pour lui les pratiques disparues de ses arts et les grandeurs de sa propre civilisation. De même que des savants occidentaux révélèrent aux Indiens les fastes de leur pays, de même, nous, Français, nous nous efforçons d'apprendre à nos protégés la valeur de leur patrimoine artistique. Ce sont des Français qui rénovèrent l'art du tissage et le métier des potiers auvkproc, c^ sonj,encore ,d,es Français 'qui, ,r ^constituèrent au ̃ Tonf,JdaVfôç ançieps anétiers à; tisser être*- trou&èrenti ippur les fôndenrs indigèneV^des forities rituelles disparues ou abandonnées,

̃Pjtjijôt que d'imposer notre esthétique et nos goûts, nous devons sauver les vestiges du passé et rechercher pieusement les documents épars et prêts à se perdre, des styles locaux, afin dé raviver des techniques moribondes et de rétablir des traditions ancestraîes.

Et .c'est ainsi que nous ferons œuvre de « maîtres » et que, pour la dignité et le:proflt de nos protégés, sera érigée à la hauteur d'un programme, la belle et profonde pensée de Maurice Barrés « cultivons nos différences ».

L'intérêt qu nous pouvons porter aux i travaux d'art indigènes et conséquemment, aux artistes doit signifier éducation artistique d'une part, éducation commerciale d'autre part. Les grandes expositions artistiques et coloniales réalisent, le moyen idéal de dispenser agréablement aux producteurs elj exposants coloniaux, les .bienfaits de

^pq'tie double éducation, i

;j iJSùssi est-il fécohfQrtant ëtide bon

pi<é~'agt; de cbi~statèï que,_suivant'lè d~-

présage, de constater que, suivant lé dé-

sir manifesté par M. Alexandre Varenne avant son départ et grâce aux interventions personnelles de M. Léon Perrier, ministre des colonies, sur l'emplacement des Arts Décoratifs qui a repris sdn'aspect d'autrefois, seul survivant de la nécessaire hécatombe, un pavillon se dresse encore, émouvant rappel des grandeurs coloniales, suprême vestige de tant d'éphémère beauté, le Pavillon de. l'Indochine.

;̃ 'i Jacques Le Molay,

nÇEOX QUI. ATTENDENT.

1 De tous les fonctionnaires de la République française, seuls les gouverneurs des cdlp'nies n'ont pas encore vu leur traitement augmenté dans les conditions déterminées par là commission Trépont. 'II. se trouve, de ce fait, qu'en ce momfent, dans nos pays d'outre-mer, certains agents payés sur les budgets locaux touchent .une solde supérieure celle allouée '.auxiçhefs' :de? nos colonies. 'Cette situation paradoxale duce ̃-depdjs

six_mois. .r"u ~.i +.:oH rtyn

'Uiie commission a.<èlè pourtant nommée en vue du relèvement des soldes des L fonctionnaires coloniaux, elle a fixé, pour tous, une échelle provisoire de traitemenj. Ses propositions, en ce qui concerne JeS gpuverneurf, s.Ont;; restées jusqu'ici sanfc: effet, le ministre :çles. colonies étant, sûr ce point," en désaccord avec le département des finances. il n'est pas possible de laisser plus longiriemps nos gouverneurs, qui défendent au loin:ct souvent au péril de leur vie, les ini lérêts supérieurs de la France dans une situation absolument ridicule.

Les bibliothèques publiques en Indochine

-i m'i 1

(La- Bibliothèque centrale de Hanoi possède (au 30 juin 1925) 27.933 volumes, non compris les ouvrages périodiques. La salle dé travail est très fréquentée et a. reçu, du î" juillet 1924 au 30 juin 1925, 19.501 lecteurs jgsmtre 18.740 l'année précédente. Sgctiotl, de, prêt dispose de 8.000'ouvrages^doni 300,' eii moyenne, rentrent et sortent chaque jour. ». 1, » IA vS^goii, la .questipn de la construction r^'line Jfeuvîglîe bibîiothèqiie, Mêaptee aux "besoins, du service, a. été- ieKaminëè^ «o 192^ p^i'-le Conseil colonial' delà «Cochin- cbinfe; qui n'a pu résoudre faute de cré^dits disponibles. Différentes solutions sont actuellement étudiées par le gouvernement de la Cochinchine.

Ejt: attendant, des améliorations ont été apportées dans l'aménagement des locaux. Le nombre des volumes est passé de 8.963 en 1924 à 10.091 en 1925. LTe nombre des lecteurs est en moyenne de quarante-six par jour; la section de prêt possède 5.8.11 ouvrages. -.•

La Bibliothèque de Hué ne s'est accrue, en 1925, faute de crédits suffisants, que de quelques ouvrages administratifs. Le nombre total de volumes est de 1.370. La Bibliothèque de Phnom-Penh a été ouverte au public le 29 décembre 1924; elle renfermait, au 30. juin 1925, 4.814 ouvrages, dont 1.815 à la section centrale et ̃lé reste à la section, de prêt.

L'Allemagne et le problème colonial IIIIIIIIIIII

Un des points' qui préoccupent le plus, à l'heure actuelle, l'opinion en Allemagne, c'est le problème colonial. Les Allemands, chez qui les questions d'outre-mer tiennent une place qu'il serait souhaitable de leur voir occuper chez? ïious, 'demeurent convaincus' que la possession d'iui empire 'colonial est, pour ;,euxV; 'indispensable au îtiaïntien d'une ''àçtivité/^çônq'miqûe nciririàJe, et à la solidité de leur statut financier. De l'autre côté du Rhin, l'objectif colonial se double de la préoccupation du problème démographique. En effet, bien que la natalité allemande soit en régression marquée depuis quelques années, le territoire de nos voisins est parvenu, depuis longtemps déjà, à une telle densité de population, que le problème de la colonisation est devenu pour eux un des points essentiels de leurs faits et gestes et un des pivots de leur politique.'

Au surplus, ce phénomène n'est pas propre à la seule Allemagne, et nombre de pays, tels que l'Angleterre, la Belgique, la Hollande et d'autres encore sont parvenus à une densité démographique'telle, par rapport à la surface de leur territoire, qu'ils ne sauraient vivre sans mouvement extérieur et sans champ d'action d'outre-mer.

C'est cette même préoccupation, qui, à l'heure actuelle, pousse l'Italie à ces manifestations en faveur de l'expansion colonial, manifestations dont le caractère bruyant n'a pas laissé de causer quelque émotion en ces temps derniers. ~ï$vu*Tv'a De là à supposer Wmnre1 le font volontiers oerfcaings Allemands, que la, répartition des colonies du Reich telle qu'elle a été effectuée par le Traité de Versailles est susceptible de modification, il n'y a qu'un pas vite franchi. L'Allemagne a péniblement, ou mal, ou point rempli ses engagements jusqu'ici, et il en est certains qu'elle a totalement éludés. Sa faillite est manifestement à la base de l'inextricable situation financière dans laquelle nous nous débattons. S'il est à notre échec de la paix dans la victoire une compensation, elle réside uniquement dans la réintégration de l'Alsace-Lorraine, et aussi, il faut bien le dire, dans l'attribution de certaines des colonies allemandes sous notre mandat,

S'il est vrai que, suivant l'expression de M. Schacht, président de la Reichsbank, « l'industrie allemande ne peut s'orienter vers l'extérieur, vers l'extraction des matières premières que dans les pays coloniaux », cette vérité économique n'est nullement fonction de la reprise des possessions de l'Allemagne. Ce n'est pourtant pas là l'avis de M- £Ph3{rty> t<ïui .ajoute « ,La question de savoir jsi pour cela ïi&llem^gne a besoin 4e colonie^; doit avoir un oui véhempn$ pour -réponse, si on envisage 1 importance qu'aurait pour le paiement des réparations la production coloniale. A ceci s'ajoute une raison politique qui est l'émigration. Or, on ne

L'avenir des graphites de Madagascar

III

Madagascar sera vraisemblablement, dans l'avenir, le plus grand producteur de graphites en paillettes. M. Axelrad, dans le journal allemand de la Fonderie, affirme que les Etats-Unis sont incapables de concurrencer Ceylan ou Madagascar. Dans cette dernière colonie, l'extraction a triplé de 1914 à 1917. Les fabricants de creusets américains, anglais, français et allemands tirent la plupart du temps leurs 70.000.000 de livres anglaises. Une diminution sensible de l'extraction s'est produite ces derniers temps. dont la diminution de la demande, causée par la guerre, mais aussi de mauvaises conditions de transport et de main-d'œuvre sont responsables.

Les gisements américains exigent un procédé de traitement difficile et coûteux. En outre, les paillettes sont plus petites et n'ont pas: l8"'fliême valeur que celle des graphites Importés. 'J l .Enfin, Jfés .frais de njain-d'peuyre fftn't sensiblement' moins élevés à Madagascar ou a Ceylani.auâaux 'Etats-Unis. Madagascar est' en? autre appelé à supplanter Ceylan où la production s'épuise. Un succédané de jute dans nos colonies

Les textiles sont à l'ordre du jour, la production ̃ actuelle se voyant chaque jour dépassée par les besoins de la consommation. Il est donc intéressant de signaler l'existence d'un succédané du jute, qui croit naturellement dans nos colonies à climat tropical. C'est l'Urena lobata, qui fournit une fibre textile d'un très grand intérêt, comparable et •̃même supérieure,1 à certains égards, au jute, tant. par sa résistance que par sa finesse. Les essais qui ont eu lieu en 1900 au Brésil ont donné des résultats très satisfaisants,- qui ont décidé l'établissement d'une filature et d'un tissage de l'aramina, nom donné cette plante dans le pays.Cependant, le prix de la main-d'œuvre plus élevé dans l'Amérique du Sud que dans nos colonies, a- fa.it .obstacle- jusqu'ici- au développement de cette culture. Nous aurions donc grand intérêt à étudier dans nos colonies la culture de l'urewfl- lâbata, qui peut. éventuellement' nous/libéjrer^-dans ime certaine mesure au moins, d ttmportationi du jute du Ben- cale, ̃=.-̃ -o ̃• < ̃̃ ̃̃ :i ̃̃̃̃- ̃̃̃ 'i:-

le maiV -de- Madagascar La production du maïs à Madagascar a passé, de 1911 à 1924, de 279.000 à 16 millions 467.000 kilos. En 1922, notamment, l'exportation a passé de 3.785.000 à 11 million 170.000 kilos, c'est-à-dire presque triplé. Encore faut-il considérer que le rendement à l'hectare, obtenu par des moyens primitifs, ne dépasse guère 1.800 kilos, tandis qu'il pourrait atteindre, par l'emploi de méthodes modernes, 2.500 et 3.000 kilos.

1 Madagascar exporte son maïs à la Réunion, à l'Ile Maurice et surtout en France qui, en 1924, sûr 15 millions de kilos exportés, lui en a acheté 11 millions. • Cette quantité est loin de répondre à la faculté de consommation de la Métropole. II. y aura donc encore de, beaux jours pour les -producteurs de maïs de notre Grande Ile de l'Afrique Orientale.

peut pratiquer l'émigration avec d'heu-* reux succès économiques qu'autant que cette émigration s'organise vers des pays qui ne sont pas encore constitués en Etats nationaux. » >_ II est surprenant de voir une appré- `. ciation, aussi erronnée dans la touche* Vv d qn.Jhomiue de: la valeur vet xlé^'atoté'-iM rite du président de la Reichsbank. En effet, l'exploitation coloniale est une chose; le peuplement en est une autre. De toutes les colonies allemandes réparties entre les Alliés, et en fai- -̃sant exception peut-être de certaines parties du Sud-Africain, il n'en est pas une qui soit ce qu'on peut appeler une 3 région de peuplement.

L'Allemagne a été pendant fort long- temps un pays de forte émigration. Ce n est pas vers ses colonies qu'elle a dirigé le gros de ses émigrants, mais bien vers les Amériques du Nord et du Sud, ̃, où de véritables colonies germaniques très importantes se sont constituées et subsistent en se développant.

Par la suite et comme conséquence de son énorme développement indus- ` triel, l'Allemagne a vu peu à peu son émigration tomber, à telle enseigne que l'exploitation de son énorme flotte transatlantique dans le compartiment de l'émigration n'a pu subsister pendant des années que grâce à l'afflux des émigrants de l'Europe Centrale et de l'Orient.

Si l'émigration venait à s'accuser pour l'Allemagne à un moment donne comme une nécessité inéluctable, c'est vers les Etats-Unis d'Amérique, pay une tractation spéciale' accordant aux"' pf~ Allemands certaines facilités, qui leur seraient accordées à eux seuls et non '̃'̃ pas aux. autres émigrants, et vers le sud de l'Amérique, avide de maind'œuvre, que le Réich trouverait le dé- Y bouché nécessaire à un tel mouvement. Quant aux matières premières dont l'Allemagne a besoin et qu'elle ne peut tirer que des territoires coloniaux, rien ne s'oppose à ce qu'elle s'associe sous la forme économique, donc industrielle, financière et commerciale, à l'exploitation de ceux qui ont constitué son an- cien domaine. Nous voulons parler ici, non pas seulement des territoires placés sous mandat français, mais de tous ceux dont les alliés ont assumé la gestion depuis le début de la guerre. A ce moment, les pays mandataires auront à examiner sous quelle forme et moyennant quelles garanties de sécurité et d'avenir il leur sera possible ` de favoriser cette exploitation. V

A cela, il y a toutefois une réserve opposer, c'est celle-ci il doit s'agir là de modalités appliquées de concert et aussi similaires que possible, quels que soient les territoires visés et tout en tenant compte de la liberté d'action, de doctrines et dé possibilités d'applj- cation prqpres.à chaque mandataire. Toute autre conception relève, non plus seulement du problème colonial allemand,; mais du traité de Versailles tout entier.

Maurice Rondet-Saint. r

L'amélioration des riz en Cochïnchine L'amélioration des riz cochinchinois est un des principaux sujets de préoccupation de l'administration locale. Le riz. Saigon ne le cède 'en rien aux meilleures qualités birmanes ou siamoises au point de vue nutritif, mais sous le rapport de l'homogénéité, il reste inférieur.

Différentes mesures ont été prises pour fournir aux cultivateurs des semences se-, lectionnées. En 1923, on institua des concours régionaux de paddys dans treize provinces rizicoles, selon une conception toute nouvelle. Ces concours viennent d'avoir lieu pour la quatrième fois et ont obtenu un succès encore plus grand, ce qui est dû à la façon dont ces concours sont organisés.

Un jury composé de fonctionnaires, de { colons, de représentants du commerce du riz, de la Chambre d'agriculture et de deux: riziculteurs de chaque région, examine les lots de paddy exposés. Buis uuti'if onction-naire: des services •agrîcôîfeHI>ftlïïl'ùnë 'cbni ̃ féren«eje»vlangue annamite sur les avantages que les riziculteurs peuvent retirer de la sélection des riz. ̃ Des demandes spontanées ont été. faites par les riziculteurs annamites pour obtenir des variétés de riz primés afin de les cultiver chez eux.

Naturellement, il est malaisé de vaincre l'esprit de routine de certains cultivateurs ignorants, mais on y arrive cependant, grâce aux efforts combinés de l'administration et des riziculteurs européens.. BIBLIOGRAPHIE

̃Commentaires sur la colonisatioh par M. Robert Doucet (librairie Larosé). Ce livre n'a rien de didactique. Il contient seulement les réflexions suggérées, par le spectacle de cette sorte de diaspora universelle qu'est la colonisation moderne, à quelqu'un qui connaît bien le sujet dont il parle. La plupart des problèmes relatifs, à la question coloniale y sont traités avec une clarté remarquable. L'auteur, ne prétend: qu'à les-avoir effleurés, mais, sous une for-, me familière, son livre contient plus d'idées générales et de vérités bien misés en lumière que certains traités Prétentieux. Il s'adresse au public non: spécialiste, et le renseigne exactement. Et l'on y trouvé des tableaux du rôle des principaux artisans de la colonisation depuis ministre, des colonies et les gouverneurs jusqu'aux juges et aux médecins, sans oublier les administrateurs et les officiers dont on ne saurait trop recommander la lecture aux Français que préoccupe l'avenir de leur pays, c'est-à-dire la chose la plus digne de leur souci et de leur labeur. Recueil des tarifs douaniers coloniaux L'Institut Colonial de Marseille vient de faire paraître -la. seconde' édition de son' Recueil des tarzfs douaniers 'coloniaux,' qui comprend aussi les diverses dispositions réglementaires intéressant le trafic' commercial avec les colonies. Cette édition, mise à jour avec le concours des divers gouvernements coloniaux, comprend aussi le régime de l'Algérie, de la Tunisie et du Maroc.

Cet ouvrage est indispensable aux expor.tateurs et importateurs coloniaux.


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,-pp Pti?c FlyingJFox 3 Il.efttri allu que le trois ans King's Darling. f Ût tout à fait indigne d'avoir gagné le prix Lagrange, et même d'avoir figuré dans le Derby, s'il avatt dû être battu, dansle prix Flying Fox, par son a_îné Le Débardeur, à 19 livres d'écart. Dans de certaines conditions de terrain lourd et de distance moyenne, Le Débardeur est certes un très bon cheval, doué d'une belle pointe finarle. -M_ais il a tout de même échoué chaque fois qu'on lui a posé une grande, question. Celle d'hier, à notre avis,, était du nombre, et ce qu'il y a de classe véritable en King's Darling devait suffire à lui assurer" un succès facile. Nous ̃ tenons donc sa vic- toire pour très régulière, et ne pensons même pas que Le Débardeur ait coftru.en l'occurrence, très en dessous de sa forme, -r-. J-. Trarieux.

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Prix Brûleur (12.500 francs, 2.100 mètres). 1. Cardinal, à M. H. Ternynck (A. Sharpe) 2. Tirés Sport, h Mme Edmond-Blanc (C.iH. Semblât) 3. Prince Charmant, à' M.- A. Gossét (A. Phillips) (2 longueurs, 4 longueurs). Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 28 francs. Placés Cardinal; 14 francs Y' Très.- Sport,"

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> La plus belle amazone

Seigneur de haute éducation, le soleil a bien vqulu.fayoriser hier le charmant concours de la plus belle amazone organisé pour -la: deuxième fois par La Liberté, et par les soins de notre confrère Armand Massard, assisté de MM. Frank-Puaux, Willer de La Fonta, Jacques Coutant, et du commandant Perrochon. j Le concours s'est déroulé au Bois,. dans l'allée dès Poteaux, hordée à droite et à gauche d'une foule considérable et élégante dans laquelle on reconnaissait Mme de Noàillès, la comtesse Marquiset, le général Niessel, le commandant Hector, le baron du Teil de Havelt, le général Desoffy, M. Jean de Gastëllane, M. Le Provost de Làuaay, Mme Jacques Liouville, M. André de Fouquières, M. Camiire Aymard, M.Mollier, Mme Mollier-Allarty, Mme Gorse, etc. Vingt-huit- concurrentes ont pris part au concours, les unes en amazone, les autres à califourchon. Des tenues hardies et d'un goût exquis ont été produites. On a nôtammeatyemarqué l'amazone d'un bleu magnifique de Mlle Gelot, celle brique tout à fait réussie de Mme Jane Provost celle tenue d'homme de Mme de Longpré. Des concurrentes ont catogan et tricorne. Voici la liste des ravissantes coneurnen-i

tes,aui, a4njjjjafelfiinent. en sellesur des-

tes~quij', ",11<1, lllÎpabJDID, el1t:en, > p< -tréll~e e~t: rpré-7

montures rei^jaiKju^ieï^ent p«tré«s et 'pré-

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Précédées de Mme Dorville.la triomphatrice de 1925, les concurrentes ont, après la présentation individuelle, exécuté un déféhé extrêmement réussi, suivi de la proclamation des résultats et de la distribution des récompenses

1" prix Mlle Molitor 2. Mme Dorange 3. Mlle Longûerue 4. Mme Pralt 5. Mme Boulter 6. Mlle Joly.

Accessits et flots de rubans; î Mlle Gelot, Mme, DQris, Ménte ̃; Jeanne -ÎBtp vpst, < Mine* Mo<niot^é,Mllà Risjîçriniitti.j V. '),,

j La^'t^ippiphatrice,. JfijXç ($ÇoïitQr, ^montait

de' façon Classique^ çi| flïtia'çQns .j^elle était coiffée ''d'un chapeau 'ïiïèïôn,, portait craVate -chasse, tenue giùs clair. Elle montait une, jument, grise fort belle.

AVIATION,

Le rallye-aériens Paris-Reims

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L'Aéro Club nous' Communique les détails du Rallye aérien Paris-Reims, 'qui aura lieu aujourd'hui 20 juin.

Le point de rassemblement est l'aérodrome de Betheny où fut organisé en avril 1909, le premier meeting d'aviation. Parmi c.eux qui se sont inscrits pour veniriparlà voie des airs, citons MM. Laur'erit-Eynac, P.-E. Flandin et sa famille, le- maréchal Franchet d'Esperey, M. Maroha,ndsau, maire de Reims, comte de La Vaulx, colonel Denain, colonel de Goys, lieu.tenant-colonel Watcau, les Farman, Mlle Adriënne Bolland, M. et Mme Robert Morànè, Fronval, Bajac, Bossoutrot, les frères Viscaya, etc., etc.

Les touristes de l'air visiteront la ville, la cathédrale où ils seront reçus par S. Em. le cardinal Luçon, et sous la conduite du marquis de.Polignac le pare athlétique et les caves Pommery. Ils déjeuneront dans le cadre hellénique du Tennis Club de Reims. ̃ <a&yii-i<t'

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l j /MWON é Y Les Régates internationale^ de Paris

i ̃ ̃•.•-

Aujourd'hui, à 2 h. 30, se donneront, dans le bassin dAsnières-Courbevoie, sur une distance de 1,750 métrés en ligne droite, les Régates Internationales de Paris. Les nombreux engagements nous permettent- d'envisager des courses intéressantes. Hier après-midi, des épreuves éli^ minatoires ont été ramées avec ces résultat': ̃ Un rameur juniors. lr" épreuve 1. Vaucher (R. châlonnaises) en 5 m. 43 s. 2. Blondel (S.N.' Bàsse-Sélhe) 3. Van Acker (C.R. Bruxelles) -M. Galineau (Rowing C. P.). 2e' épreuve ̃; 1. Verdonnet (S.N. Oise), en 5 m. 44 s. 2/5 2. Hansotte (S. N. Marne) 3. Rousseau (Basse-Seine): 4. Gebel (R.C.P.). Quatre rameurs juniors. 1" épreuve 1. S. N. Encouragement, en 5 m. 10 s. 4/5 2. S.N. Basse-Seine 3. S.N. Marne 4. S.N. Caen.

2" Epreuve 1. S.N. Corbeil, en 5 m. 11 s. 1/5 2. U. S. Cognac 3. Aviron Vichy 4. C. 0. Billancourt.

Quatre rameurs débutants. 1" épreuve 1. S. N. Marne, en 5 m. 10 s. 4/5 2. S. N. Basse-Seine 3. Rowing-Club 4. C. 0. Billancourt.

2" épreuve 1. S. N. Encouragement, en 5 m. 16 s. 4/5 C. N. Rouen 3. U. S. Cognac 4. S. N. Troyes 5. A. VJchy. '?,

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C4. ~U~

FOOTBALL

Le deuxième France Belgique

III

(Aujourd'hui dimanche, à Bruxelles) Un second match France-Belgique sera contrairement aux habitudes joué cette saison. Dans lé match France-Yougoslavie notre équipe nationale a donné l'impression d'un onze au repos. Sa rencontre avec l'équipe de Belgique dont elle a triomphé ne saurait être une revanche significative au cas ou elle succomberait. Le match sera jmlé aujourd'hui diman-> che, sur terrain du Daring Club, à Bruxelles.1

Les deux équipes seront ainsi composées ̃ •'

Belçiquë, But Caudron arrières: .• Swartenbroecks et Demol demis Ditzler, Floreinond, Van Halme et Pierre Braine avants Gillis, Adanis, Raymond Braine, Thvs et J. JMddens.

Prance. But Cottenet arrières Huot, Canthelou demis Dedieu, Domergue; Villaplane avants Dewaquez, Lieb, Nicolas, Accard et Gallay.

Le Club Français bat Je S. CéfflruBesi -.rr- Le iClub Français' recevait hier .samedi; jsur le c terrain du Stade, de Paris., le, .S..£. Bruae^isi un excellent club belfe. Celui-ci a été, battu' par. 9 'buts 3. H convfent de; dire, à^I^dçcharge du S. C. Briîges, qu'il sérient d'accomplir- une tournée en Algérie et (Çuo son équipe comptait de nombreux équipiers réserves.

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Le 'Tour de France

Le départ a été donné, cette nuit, d'Eviati, à plus de cent coureurs u J Le Tour de France, qu'organise chaque année le journal l'Auto, est commencé depuis cette nuit. Il .est. disputé -cette année, pour la vingtième fols.• J i Le parcours du Tour de France est, cette année, légèrement plus long "que celui des précédents. :i Il compte, en effet, 5,70? kilomètres. D'autre part, le départ qui était donne ;leè années précédentes ds Paris' v*r^s IifriHa-^ yrê, but..d,e. la pr:emière.»tàpeJiia/'è|é! doaftoj cette, anné,e, d'Çvian> .y,or^ ^lulhguse.Of, ̃£(-! Lès! cpiifeurs auront donc, dès leaêpiiL au lieu tièVêtâ'pbs faciles des tours prèéé- dents; de longues' et difficiles étapes' -ai accomplir Evian-Mulhpuse, MùlÉouse- Metz, Metz-Dunkerque sont, les de.ux pre- mières par leur itinéraire accidente, la dernière par les affreux pavés dû: Nord, W' sinistre réputation, des étapes qui causé^ ront parmi les coureurs quelques défec-» tions, ;j; j: .Voici l'itinéraire du Tour de France:

Etapes kil. Dèp. Dates f

ir, :~J.

lf"Evian-Mulhouse 373 h. 20jû-itt'' Mulhouse-Metz 316 4 b. 22 3* Metz-Dunkerque. 433 0 1m. 24 i 4* Dunkerque-le Havre 355 2 h. 26 ̃••̃ 5" Lé Havre-Cherbourg 354 2 h. 28 Cherbourg^Brést 405 2 h. 30' Brest-les Sables. 412 2 h. J-:2juiî. 8" Les Sables-Bordeaux 293 5 h. 3 t, 9' Bordcaux-Bayonrie.. '189 7 h. 4 ft 10* Bayonne-Luchon.< 326;' 2 h. 6- 11' Luchon-Perpignan. 328- 4h. 8-!45; 12* Perpignan-Toulon. '428 2 2 h. 10 r, 13" Toulon-Nice 274 5 h." 12 i- 14° N.ice-Brfançon 274 .05 h. 14 ,&- ̃:>' 15° Briançon-Evian 297 i h», 16 16" Evian-Dijon 320, 3 h. 17 17" Dijon-Paris 335 2 h. 17 ̃– '•'

Plus de cent coureurs qui avaient qiîitte< Paris vendredi, en chemin de fè'rj poti#< 1 Evian, ont pris le départ de cette dternière ville cette.nuit, a 2 heures, pour: Mulhouse. Parmi les partants figurent quelques répûtes spécialistes dès' grandes ^épreuves' ^sur route» 1 le-Italie:n Bottecthiàj •vainqueur1' du TouFjde Fr^iee J925-et favori de Ifl2â,x i'A. penoit. Frantz, les. frères B~ysse,€u-? veliér, R.'Bellehger, D'ejonghe, etc. Notons cependant cette année 'l'âbsteA- tion de champions comme lès frères :/P'0 lissier. ̃ sî|. y-, i: ̃.

<°, 'r~

TENNIS ̃̃̃̃i'' v'S;

Avant les Championnats d'Angleterre Helen Wills jouera en simple 0 ^'a Le major Larcombe, secrétaire général' du Ail England Lawn-Tennis Glulv qui* organise les championnats d'Angleterre à Wimbledon, a. reçu un télégramme de Miss Helen Wills, l'informant qu'elle avait, été autorisée, par son docteur, à participer au championnat simple dé dafnë.S. ̃*>?̃̃̃̃ Miss Helen Wills est dans Je second quart de la première înqitié du tableau, alors que Mlle Suzanne Lenglen qui rencontrera au premier tour Miss Mary' ?Kv Browne. est dans île premier quartrïiie match Helen Wiljs^$uzanne Lenglen .n^r peut donc se produire qu'en dçm.i-finajj5. Voici le tirage au sort du chàinpionhat simple. •• ̃̃̃ '̃'•• '<ï- Championnat simple.– E.; ^emla cVN.Iltf/ Latchford N. Dicks c. J. Weakléy NjiMisltai c. J, Brugnon D, A. Hpdges ,c. S. W. Robb. F. GIanzc.;RÎLyc«t:; .T.riF? Park c. W. Fffl[èy"t f E. L Jones c. W. H. M.-flttkenV.! îtiîEWôsM! C. G. M. Leeinbruggen. <J&\ Robson c. ;e»iHi Kingsley H. C. Fischer ,c, R, n^Waison J,Ma£s Decugis -tJ. V: m 'Crnwtôrd R.1 R; S. YoûhW5 G. Greville J: E. Pogson Smith c. ÇolJiH.fi. Mayes D. Stralem c. H. Timmfir, J. N.tLowr.y c. A. C. Crossley A. A. Fyzee c. E. L.' Sàrkïes! T.'M. Mavrogordato c. E. G. Peters >Ç. Bryaris

c. comte Sglm R. Dashc. C. L. Philcox ;C,

H. Campbell c. J. B. Gilbert C. P. DixQjj c. Hôward O. Ktnsey E. Flâquer c. J. Olmstéd W. C.CrAwley c. M. V. Summerson M. J. G. Ritchie c. N. Sharpe F. Brj'ans c. Lord Çhplmondeley E. J. Mockler c. A. Petèrseri R.'Tî. N. Pryce-Jones o. Pt, D. B.- Spence ̃; M. Temple c. D. M. Greig E. Qbarrio c. B.D. Het- more'; G. R. 0. Croie Bees c. O. G. N. Turnbull Baron de Kehrling.-c. P. Feret A. Blair c. Major R. Bernard F. IL Jarvis. c. H. van der Feen A. F. Yencken c'Vincent Richards A. N. W. Dudley c. H. Coohet C. G. Me Ilquham c. H. K. Lester D. J. R. Summer ç. E. Higgs ;-F. G. Lowce c. :E. Crawshay WH» liams W. H. Powell c. R. Boyd J. C.,Gregory c. R. D. Pojanji ̃̃̃ Brame.' Hillyard c. A.iRod'. xianko A. Dungyersky c. G. R. Sherwell H. Lewis Philipps c. F. Crosbië D. H. Williams c P. M. Davson L. J. Aslangnl c. W. A. Inv' gram J. D. P. Wheatley c. J. Tintell Greenj H. G. Mackintosh c. P. Brick D. Ppwell "c. A. H. Gobert Col. A. Bèrgei'e. C. van Len- nep J. C. F. Simpson c. C. GrBanjes ;-B. R. Lawrence c. H. MI. Austin JH..W. Standring c. N. Willford J. Kozeluh c. Sir G. A. Thomas, Bt. L. W. Alderson c. J..Pennycuick Flt-Lt. C. F. Roupell c. Dr W. B. Stott ;.J. Borotra*ç( L. A. Godfree A. H. Fyseé c. G. P. Hugues. G. Watson c. A. A. Lowve Sqd-Ldr V. Erskinè Lindop c. R, C. Pereira; P. Papàilopoulos r<S.r' L. F. Davin D. R. Mowiçgc.jE. Ulrich jj Hi- Cattaruzzà c. F. M. B, Wsclier il. de Borboilai

.^c. WJRîMclttfo* :,J.îOD;^H .fi> ̃ J'Zj

En examinant le tirage au sort, il est prô'- bable que les demi-finales seront 'jouéëfe' entre J. Brugnon (F.); H; Kinsey (E.-U.)t

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E..M, Bàerlein. b. comte du Vivier, 6-1, 6-1, _6-2 i.ÇiN, Bruce b.J. Worth, 6-1, 6-1, 6-2. •-̃)"( .?Ç8Ji.tz-Reicliel." ̃'

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iï»ESSINs" ANCIENS

Après avoir été longtemps laissés à l'abandon, lts dessins occupent maintenant, dans le domaine de la curiosité, une place- prépondérante. On les recherche avec avidité, on les collectionne avec passion, et quand une vente leur est consacrée, elle est assurée de réunir des compétiteurs de plus en plus nombreux.

Celle de.. la .collection de MHe.L. de V. qui va avoir lièù prochainement sous la direction de M° ^Edouard GiarS, commissaire-priseur, assisté de M. Robert >-̃ Schneider» expert, aura certainement Beaucoup de succès. Il ne s'y trouve pas. de ces pièces sensationnelles réservées à quelques amateurs très fortunés, mais d'excellents dessins qui feront honneur à des collectionneurs plus modestes. C'est à leur intention que je la signale ici. Parmi-les artistes représentés dans cet ensemble, citer JesT noms .'de quelques-uns d'entre eux suffira, sans* qu'i/ soit nécessaire de décrire leurs œu- vres, {)OUr: ̃'montrer leur' intérêt. A voir réunis Ozannq, ,awt^ marines si délicatement interprétées Gadbois, représenté, par une superbe aquarelle Huet ce Le Prince, Moitte et Carmontelle, Nor.blift efHouel, Oudry et van Loo, Demarne et Des.rais, enfra> besucoufhd/sHitres/ 'fin jugera du talent f de ces .pffjts,. maîtres, du. dixrhuitième, siècle auxiyiuels on commence a rendre hommage. Tant qu'à <3avarài;ia'è BeaUmon'ti' De\)êriàj' jfûîës Noël, Géri^caiilt* et '^THéodoreiRoùsseau^ ils mbiitrent que les peintres ,et dessinateurs du dix-neuvième siècle ne ic cèdent en rien à leurs illustres devanciers. Après exposition, mardi 22 juin, cette collection sera Rendue le lendemain 23 juin, à la salle n" 8 ..de l'Hôtel Drouot.

1" Maurice Feuillet.

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Programme des Spectacles

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Arts. 8 h. 30. Orphée, Et dzim la la, Séquence;

Athénée. W* 9°h. La Folle Nuit. •'• Bouffes-Pnrisiens. 8 h. 30. Trois jeunes

filles. nues, :̃̃̃'

Capucines. Clôture annuelle.

ÇhSteletv– 8 h. 30. Capoulade de.Marseille. Cluny. –Z'8 h. 45. J'ai-perdu nia femme. Comedic-des-Champs-EIyEées. 8 h. 30. Le iFakîr Tahra Bey.

Comédie-Française, -t- 8 h. Ruj-iBlas.

Comédie-Caumartin. 9 h.. ^e> Mage du Carlton. DaunouJ,^ S^hr^aO. –̃ Hélène. Déjaïet. 8-i*. 3(5. T'auras* "pas sa'ïlënr. Deux-Anes. -"8 h. 30. Zut à Yor.

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Michel. 8 h. 30. Les Créateurs. Michodière. 8 h. 45. Passionnément. Mogador. 8 h. 15. No, né, Nahette. Nouveautés. 8 h. 45. La Noce.

Nouvel-Ambigu. 8 h. 30. La Mouche espagnole.

Opéra. 8 h. Lohengrin.

Opéra-Comique. –-8 h. Manon.

Odéon. 8 h. 15. Dame aux caméliasi Œuvre. 8 h. 30. La Dupe.

Palais-Royal. 8 h. 45. Au premier de pes messieurs.

PorteiSafnt-Martin. h. 15. L'Aiglon. Potinière. -*• &.h« -Un chien qui rapporte.» ̃•Renaissance. 8 h. 30. Quand on est trois. Sarah-Bernhardt. 8 h. 30. Mon Curé chez les riches.

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