Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 6 sur 6

Nombre de pages: 6

Notice complète:

Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1926-06-05

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 05 juin 1926

Description : 1926/06/05 (Numéro 156).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k294792p

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 25%.


PATIENCE, A L'ARRIERE!

La. livre, hier, est remontée à 156 50. Et sur cette hausse, on s'énerve, comme il y a dix ans, sur un mauvais communiqué. Chacun explique à sa manière ce nouveau recul du franc. Le vrai et le faux se mêlent c'est le bilan de la Banque, c'est la spéculation étrangère c'est la nouvelle offensive des 42;000 c'est la gestion de la masse de manoeuvre c'est l'attitude des Etats.Unis ce sont les futures échéances; ce sont les déclarations de M. Raoul Pérèt c'est la précarité de la situation politique, due à l'opposition des radicaux-socialistes. Etc. Qu'on veuille se rendre compte de ce jjtii se passe et qu'on regarde soucieux cette feuille de température monétaire que publient les journaux, matin et soir, rien de plus naturel. Mais à commenter, sans fin, ces mouvements thermométriques, n'augmente-t-on pas la fièvre dont on souffre ? ^.Raoul P.éiet n'a, dit-on, rien apporté de, nouveau ni de décisif à la commission des finances ? Le pouvait-il avant d'avoir reçu les « suggestions » du comité d'experts, qu'il a institué comme un conseil supérieur de la guerre aux cambistes ? Ne nous pressons pas d'être découragés. On s'est fort ému des renseignements techniques fournis sur la bataille des changes, et cette émotion propagée n'est peut-être pas étrangère aux cours d'hier. Mais faut-il s'apeurer et ne prévoir que défaite, alors qu'on a reconnu, proclamé la nécessité du redressement politique capable d 'entrai-' ner le redressement financier ? Ce redressement-préface est commencé. Il impose au gouvernement des' devoirs auxquels sans injustice on ne peut présumer qu'il faillira. Attendons. Ne sent-on pas que, dans cette, tour- mente, où tant d'intérêts se lignent contre le franc, garder une bonne humeur confiante est une façon de soutenir la devisé française, une façon de tenir, puisqu'il s'agit de confiance et de crédit,. Des sourires optimistes, évidemment, n'agissent pas sur les cours du jour. Mais ils créent de bons impondérables.

S'il n'en était pas ainsi.pouraaoi donc certains suspects essaieraient-ils d'em* poisonner l'atmosphère de tous les couloirs et de toutes les coulisses ? Ils savent bien que le pessimisme est contagieux et que les bruits tendancieux lancés le soir ont leurs échos le lendemain matin, dans les bureaux de commerçants et d'industriels dont les inquiétudes augmentées.se traduisent en achats de. livres, légitimement. Hier, c'étaient « les divergences de conceptions entre les experts et le ministre » qui alimentaient tous les propos défaitistes. Evidente absurdité. Il n'y a eu, il ne pouvait y avoir eu, même un échange de vues entre M. Péret et le Comité. Le Comité, qui en est encore à se documenter exactement sur la situation fi-,nancière, travaille en silence. Il ne fera pas de communiqués. Des gens en imagineront, conformément à leurs intérêts. Ne nous jetons pas sur leurs fausses nouvelles. Contentons-nous des vraies qui ne sont pas excellentes, sans doute, mais qu'il faut. prendre avec ce « bon moral » si indispensable à l'arrière, quelle que soifla guerre qui se poursuive. Patientons on aide à la victoire en y croyant. Henri;"Vanoven

.•̃ Henri Vonoven

CjHDp~

Cheveux courts et barbes longues. Les jeunes élèves du î sexe féminin d'une grande école de New-York, nop seulement portent les cheveux courts, mais s'efforcent d'imiter les allures masculines. Les étudiants de NewYork, pour se différencier, ont résolu de laisser pousser leurs moustaches et leurs barbes; mais chez beaucoup d'entre eux, ce projet, vu leur extrême jeunesse, n'est pas réalisable immédiatement.

Verra-t-on dans New-York circuler des hommes moustachus et harbus ?

-<t t ~t

Reine incontestée par sa splendeur et par son prix, la zibeline voit' pourtant surgir une fourrure rivale une martre 'dont l'aspect est semblable au sien, mais qui est vendue à des prix bien différents par son créateur, Henri Vergne, le maître-fourreur. Exposition dans ses magasins, rue Royale et rue du 29-Juillet.

Unique au -monde.

Mutt and Jyff sont aux dîners dansants de l'Ermitage des Champs-Elysées et après minuit.

Tout Paris doit les voir, ainsi que e l'incomparable danseuse américaine Gypsy >; Rhouma-Jé, les excentriques danseurs Zenga et les fameux orchestrès Pizzaro et Billy Arnold's.

..» «

Les affaires terminées, rejoindre chaque jour sa famille en villégiature est un problème difficile à résoudre. Une solution retenir un appartement au Château (Hostellerie) de Guigneville, à La Ferté-Alais, dans un site enchanteur séparé de Paris par 45 kilom. d'excellente route. La cuisine y est soirgnée, la société choisie. On .y goûte les plaisirs du tennis^ de la, pêche et du canotage. Sa nouvelle direction offre pension complète à partir de 100 francs

parjourj Le Masque de Fer.

p~r Le Masque de Fer.

AVANT LE CONGRES EUCHARISTIQUE

UN ENTRETIEN ,v

avec le cardinal Bonzano, légat pontifical ̃

« Ce Congrès sera grandiose. L'Amérique est le pays de la liberté complète. Les catholiques américains ont une foi vivante et pratique. Malgré tout, la France est toujours la Fille aînée de l'Eglise. »

S. Em. le cardinal Bonzano, légat de S. S. Pie XI au Congrès eucharistique de Chicago, est arrivé, hier après-midi, à Paris," accompagne de Mgr Caccia-Dominioni, maître de chambre du'Souverain Pontife Mgr Gfaw Mgr Palica ;Mgr Ilespighi, préfet des cérémonies pontificales Mgr Beltrami, recteur du collège pontifi-

cal créé à ,Hoine ,J?pur J'émj^ation ita-

lienne Mgr Tierriey, professeur au sémi-' naire du Mont-Sainte-Marie, à Emmitsburg (diocèse de Welmington, Etats-Unis) Mgr Kiley, du diocèse de Chicago Mgr Bina Mgr Boitari M. Pio Franchi de Cdvalleri, camérier secret du Saint-Siège Sur le quai de la gare, S. Em. le cardinal Bonzano et sa suite ont été reçus par Mgr Valeri, chargé d'affaires du Saint-Siège Mgr Evreinow, secrétaire de la nonciature; le vicomte Patrice de Wall, chevalier de Malte, camérier secret le comte de Mon?tenon, commandeur du Saint-Sépulcre, président: de l'Association des Chevaliers pontificaux, etc.

Aussitôt arrivé, S. Em. le cardinal Bonzano est allé rendre visite à S. Em. le cardinal Dubois, archevêque de Paris. Dans la soirée, S. Em. le cardinal Bonzano a bien voulu nous faire,le grand honneur de, distraire en notre faveur quelques minutés des courtes heures qu'il passait à Paris. L'accueil qu'il nous fit "nous' a beaucoup touché. On sent en ce prince de l'Eglise, jeune, grand, mince et distingué, l'homme du monde parfait, intelligent et fin, très doux et très bon, mais sachant être ferme. Il parle correctement le français d'une voix basse et lente, mais qui. sait s'animer. Dans ses yeux passé de temps à'autre une flamme comm'uniçative. .Le Congrès de Chicago, nous ditAU sera quelque chose de grandiose. On me l'a dit, et ce que je sais des Américains m4 le fait

prévoir- Jci xmmifobien, l'f$m4jîgilç,.ipu

du moins-les Èiàt&'Unis où, pendant dix

ans ét demi, de 1912 à 1922, j'ai 'été délégué apostolique. Nous avons beaucoup a prendre chez les catholiques américains, et quand je dis nous, je veux dire tous les pays d'Europe. Les catholiques du Nouveau-Monde sont profondément édifiants. Je me rappelle avoir vu des diplomates visiter la cathédrale de Nevû-Yorkle dimanche et rester stupéfaits de la ternie recueillie pieusé et édifiante des fidèles figurezVous une chapelle remplie de religieuses et d'Enfants de Marie.

Ce que la France fait apec la générosité traditionnelle des Français, les catholiques américains s'en montrent également capables et font encore, à ce point de vue, notre admiration.

Ce sont les fidèles qui, de leurs deniers, bâtissent les églises, subviennent aux besoins du culte, assurent la vie dix clergé et des œuvres avec une générosité sans égale. Ils ont une foi vivante de pratique, que j'ai toujours bea'ucoup admirée. Paul Lesourd.

t (Voir stiite eh deuxième page)

Un employé de banque détourne deux millions ` II a disparu depuis jeudi 9Qtr Voici encore une grosse escroquerie commise par un employé de Banque qui avait la confiance de son directeur. M. Jean Schaerff, âgé de trente-cinq ans, était depuis trois ans environ chef du service de la Bourse et du contrôle des opérations à la banque Chàskin, 8, rue de la Ghaussée-d'Antin. >'̃

C'était un homme actif, qui, malheureusement, avait l'âmé du joueur.

Il joua à la Bourse et, en deux ans, gagna, nous dit-on, plus de quatre millions. Il n'eut pas la sagesse de s'arrêter là. Grisé, il dépensa sans compter, acheta des automobiles, loua, dans un immeuble de la place Malesherbes, un grand appartement et le meubla luxueusement. Puis il continua dé jouer à la Bourse. Mais la chance avait tourné. Il perdit tout l'argent qu'il .possédait.

Sa confiance, cependant,: ne l'avait pas abandonné et, pour soutenir son tuai n de vie, il n'hésita > pas à emprunter à la caisse dont il avait le contrôle des sommes importantes qu'il espérait restituer un jour- Il transmit aux agents de change .des ordres d'pçhat de valeurs portant sur ̃ des chiffres ioférieiu'S-.à ceux que, par la suite, on trouva inscrits sur les livres de comptes il gardait poiir' lui là différence. ̃̃ ̃ »: Lorsque les agents de change accusaient réception des ordres de Bourse, Jean Schaerff les détruisait, sa qualité dé' chef de.service lui facilitant cette. opération. Jeudi, il travailla toute là journée dans son bureau et ne déjeuna qu'avec des sandwichés Vendredi matin, il ne vint pas à la banque. Le directeur, inquiet, téléphona chez Schaerff.

Ce fut Mme Schaerff qui répondit": Mon mari n'est pas rentré hier soir à la maison, je suis surprise. peut-être a-t-il été victime d'un accident.

Cette absence inexplicable devait donner l'éveil. Le directeur fit procéder à une vérification des. écritures, et c'est ainsi que de nombreuses erreurs furent relevées on s'aperçut que plus de deux millions; avaient été détournés.

Une plainte fut déposée au commissariat de police d quartier de la Çbausséê-cl'An-

tin. ':7~ r~ ̃ T""

LE RÈGLEMENT DES DETÏES INTERALLIÉES ̃ i il, t. IIIIIIItlIH' r n.-in

Le Traité Bérèi%er*!VLell©H dQiMlî être ratifié ?

« Nous ne pouvonèpayer aucun dollar-or à l'Amérique e&à l'Angleterre si nous ne le recevons de notre débiteur l'Allemagne» « Si l'on ratifiait par simple courtoisie le traité, alors 'Couvrirait le chapitre le plus noir de l'histoire d'après-guerre »

£. Le traité Bérenger-Mellon est satisfaisant pour la France si elle reçoit de l'Allemagne régulièrement les annuités prévues au plan Dawes et si celles-ci sont versées en or,pour la plus grande partie*

Si ces deux conditions sont simultané- ment Templies, le traité, doublé d'une enteate identique avec l'Angleterre, sera la pierre angulaire de la reconstruction éco-nomique de' la ;F*ance.

Si elles ne le sont pas toutes deux à M fois, le traité, tout au contraire, sera l'origine d'une période désastreuse dans la.quelle la France, étouffée par des obligations impossibles à exécuter, perdra touto indépendance et s'enlisera de plus en plus dans le marais des dettes.

Il convient de bien établir, tout d'abord que l'Amérique n'a fait aucune concession pour le remboursement du capital prêtée, bien qu'on le pense généralement. Le montant en principal était de $ 2.933.405.070 15 pour la dette de guerFo et de $ 407.341.145 01 pour 'l'achat dès stocks américains. Avec les intérêts ^à 4 1/4 0/0 pendant une certaine période, à 3 0/0 pendant une autre et après tfédui1tion des sommes versées par la France, l:i dette a été fixée à $ 4.025.000.000 au 30' juin 1925, par le traité lui-même Le remboursement de l'intégralité de cette somme est assuré par des versements' annuels, suivant un tableau i", figurant ait' traité, s'étendant depuis le 15 juin 192(5 jusqu'au 15 juin 1987 inclus.

C'est non sur le capital mais sur les intérêts que les Etats-Unis ont donné des facilités à la France. Je crois que cette mû.fj; dération.. dans les intérêts a été iHsptré<\f parla Conscience, pour les Etats-Unis,' idt^ fait qu'une grosse partie du prêt j&e gueno,. est rentrée dans les caisses du^Trésor âm^ricain, par l'application de 1' « excess profittax » sur les fournitures faites par l'industrie américaine à la France^ fournitures^ payées avec le montant du prêt. La dette ne portera pas intérêt jusqu'au-; 15. juin 1930. Les cinq annuités à verser depuis le 15' juin 1926 jusqu'à cette date représentent $ 159.000.000, affectés au- remboursement du capital exclusivement. Après cette première période et pendant dix ans, du 15 juin 1931 au 15 juin 1940;' les annuités successives à verser seront (l'intérêt étant fixé à 1 0/0)

40.010.000 dollars, dont 1.350^000 dollars pour le capital et 38.600.000 dollars pour

les lntérêts.

50.010.000 dollars, dont 11.363.500 dollars pour le capital et 38.6461500 dollar^ pour les intérêts. 60.010.000. dollars, dont 21.477.135 dollars pour le capital et 38.532.8J65 dollars pour les intérêts. 75.010.000 dollars, dont 36.691.906 dollars pour t%< capital et 38.318.094 dollars pour lés intérêts.

80.0i0.000 dollars, dont 42.058.825 dollars, pour le capital, et 37.951.175 dollars

pour es !n(eM4.'

90.010.000 dollars, dont 52.479.414 dollars pour, le capital et 37.530.586 dollars pour les tàtéz$Ç'" ̃• -̃»'•- 'l* ,100.010.000 tfàllars, dont 63.004.208 dollars pour le capital éf 37.005.792 dollars, pour (es intérêts.

105.010.000 dollars, dont 68.634.250 dollars pour le capital et 36.375.750 dollars pour les intérêts. j-

110.010.000 dollars, dont 74.320.592 dollars pour le capital et 35.&89.408 dollars pour les intérêts. 115.010.000 dollars, dont 80.063.798 dollars pour le capital et 34.946.202 dollars pour les intérêts. ̃̃̃'̃̃̃' :<

A partir de cette date (15 juin 1940), à ̃; laquelle doit être payée l'annuité de 115.010.000 dollars, les sommes restant dues porteront' intérêt à 2 0/0 jusqu'au 15 /um'1950. :j

La France paiera, les 15 juin 1941, 15 juin 1942 et 15 juin .1943, les sommes, suivantes ̃̃•̃"• 120.020.000 dollars, dont 51.728.873 dollars pour le capital et '68i29f.ï27 dollars pour les in'téréts.' ̃'̃

125.020.000 dollars, dont 57.763.450 dollars pour le capital et 67.256.550 dollars pour les intérêts. 125.020.000 dollars, dont 58.918.720 dollars pour le. capital et 66.101,280 dollars' pour les intérêts. Je ne reproduis pas plus loin le tableau des annuités qui-restent fixées, à $ 125

millions en chiffres ronds, pendant ^e restes

de la. période de paiement jusqu'en 19»;

l'intérêt s'élevant successivement ~'3~ <M

de 1950 à 1958, à 3 0/0 de 1958 à 1063 et.à.3A0/04après 1965. = -•(

Tel est le tableau des versements ̃en or auxquels la France est astreinte par ce traité. Le, principal et les intérêts formant ces annuités doivent en effet être payés en pièces d'or des Etats-Unis de la ̃présente valeur standard et '.Versés au département du Trésor à Washington ou à la Fédéral Réserve Bank, à New-York. Comme nous devons doubler ces annuités pour satisfaire l'Angleterre, c'est donc une annuité de I 250.000.000 â la. quelle nous devons faire face à partir de fin juin 1941.

Si l'Allemagne nous paie, comme elle le doit, environ S 300.000.000 à partit dj la cinquième année d'application du plan Dawes, c'est-à-dire 1928, assurémeitt-iaous t

i ̃ iiitnilitti:-

serons à même de faire honneur à nos obligations, mais à la condition que les paiements de l'Allemagne roient effectués en av.

Si, au contraire, l'Allemagne ne paie pas, ou paie comme elle l'a fait jusqu'ici non en or mais en matières et en marchandises, alors le traité ne pourra certainement pas s'exécuter et tout esprit ouvert partagera cette .conviction.- N'oublions pas que l'Allemagne n'a pas l'obligation stricte de payer en or. Cela dépend d'une Commission spéciale qui peut exiger de l'or pour tout ou pour partie des paiements mais à la condition que cela ne déprime pas le change du mark.

Pourrions-nous, en l'absence des paiements en or de l'Allemagne, verser nousmêmes, à l'Amérique et à l'Apgleterre des sommes qui atteindront, dès 193.7, deux cent millions, de dollars-or et qui monteront jusqu'à deux cent cinquante millions le 15 juin 1942 pour rester à' ce niveau jusqu'en 1987 ?

'Je ne le pense pas, pour lés raisons suivantes

̃D'abord la France a perdu pendant la guerre 1.500.000 jeunes hommes et l'activité d'un nombre égal de grands 'blessés. De ce fait, 15 0/0 de sa puissance productive au moins s'est évanouie. La France a perdu, en outre, 20 0/0 de cette énergie créatrice^ par suite de la loi de 8 heures, imposée par le président Wilson et que l'Allemagne a sagement répudiée. ̃̃

La; France a perdu, en outre, la presbueiitotalité des 250.ÛÛfl.00O- de dollars que

de Russie; d'Autriche, de Hongrie, etc. "Enfin,' la'1 Frithce a pëtdu la majeure partie de" son capital actif parla confiscation presque absolue que des lois fiscales aveugles et contraires à l'intérêt public entraînent pour le superrevenu du .capital, pour cette partie du revenu qui,; n'étant pas consommée, sert précisément à féconder de nouvelles industries, ou à transformer les anciennes. ̃" Pour toutes ces raisons, la production de la France est grandement dimîiiiiéë. Elle doit être d'environ 40 0/0 inférieure à- ce qu'elle était avant la guerre. "̃'̃' Pour compenser ce grave déchet, la France doit faire appel à la màin-.q'œuvre' étrangère dont les salaires émigrerit en partie. A l'exportation intérieure dont nous- étions si fiers (les ventes de nos produits sur place aux étrangers), s'oppose, .ijiaintenant une importation intérieure, l'achat sur place du travail fourni par des Polonais, des Italiens, des Espagnols, qui expédient à l'étranger leurs

salaires.

D'ici dix ans, rien de saillant ne modifiera ces conditions adverses.

.NOljé NE MÙVONS PAYER AUCUN DOLLAROR fr, 'V Amérique ET A l'Angleterhe >t NOUS NE LE RECEVONS PAS DE. NOTRE pÉlSJte,ur l'Allemagne. Supposer qu'autrement, sans cet apport, nous pourrions, dans dix ^ns,:5iÈ!fârysur*liéum#ché"une demande de deux cent millions de dollarsor sans écraser absolument notre franc. serait le fait d'un esprit chimérique. Là clause de reports des paiements est inefficace. En effet, à partir de 1930, on ne peut différer que le paiement du capital et non celui des intérêts. On ne peut le différer que pour trois ans et cela n'est renouvelable que si, dans l'intervalle, ça,pital et intérêts ont été scrupuleusement payés.

` En1 résumé, il est impossible d'espérer la réalisation du traité Bérenger-Mellon autrement qu'avec l'application du plan Dawes et son application avec paiements en Or: C'est du reste incontestablement le plan Dawes qui a été pris par le gouvernement' américain pour la valeur essentielle dans l'estimation de notre faculté de paiement.

^11 paraît indispensable que la ratification ne soit pas donnée sans proclamer très haut que c'est bien là sa condition essentielle:

Cette 'proclamation peut être énoncée daîis une résolution conjointe du Sénat et de'la GhambrO; attaéhée'au'vote de ratification. !,ti Autrement, la France commietfralttlliiîi:signe «rreur de s'engager les yeux fermés en ayant la certitude de ne pas tenir, si ïjdes événements de force majeure ou autres empêchaient l'Allemagne d'effectuer les paiements que prévoit le plan Dawes ets-de les effectuer en or.

Avec'nos amis .américains, il ne faut jamais hésiter à parler clairement, à par- ier nettement; à parler franchement. w SI l'on RATIFIAIT PAR SIMPLE COURTOI SIÈ LE TRAITÉ, SANS DÉFINIR LES CONDITIONS DANS LESQUELLES LA FRANCE SE TROUVE ARMÉE SUFFISAMMENT POUR TENIR Sa PAROLE, ALORS S'OUVRIRAIT LE CHAPITRE LE PLUS NOIR DE L'HISTOIRE D'APRÈS GUERRE, Ce serait véritablement un désastre. Le moindre accident causerait cette hémorragie financière dont parlait çloquemmer.t M. Briand et rien ne pourrait plus l'arrê-

ter.

J1 ` Philippe Bunau-Varilla.

I ^LUXEMBOURG `

ni

Le Sénat approuve les accords de Locarno par 274 voix contre 6 Un émouvant discours

de M. Briand a précédé le scrutin

La discussion sur les traités de Locarno a "repris hier au Sénat. Comme la veille, les divers 'orateurs ont montré la nécessité, tout en signant ces accords, de n'accorder à l'Allemagne qu'une confiance limitée. « Ni sceptiques ni dupes », a dit excellemment M. Lucien Hubert, parlant au nom de la commisisoh.des affaires étrangères1 dont il est le président.

Le sénateur dés Ardennes commence par déclarer que, selon lui, le, dernier traité germano-russe ne doit pas nous in-

quiéter, car il constitue en réalité une at-

ténuation, de Rapàllo.

Quant aux accords de Locarno, toute la question ei|t de savoir si, air jtendemain de, leur signature, nôtre situation est plus ïà-'vorable que la veille.

Certes, il suffirait d'une majorité des deux tiers au sein de la S. D. N. pour mettre à néant le pacte rhénan, mais notre situation morale dans le monde constitue pour nous une efficace sauvegarde contre les dangers d'une pareille éventualité. M. Lucien Hubert. Les formules de Locarno sont autre chose que ce que nous avions d'abord espéré et souhaité.C'est l'entente directe avec l'Allemagne. La solidarité mondiale aura été instituée par la S.D.N.;mais elle ne saurait être .effective qu'à condition que soit établie la solidarité continentale, européenne. Celleci, nous l'acceptons, mais à condition que Locarno confirme Versailles '(Très bien très bien!), que nous ne nous dépouillions pas prématurément de notre force défensive. (Nouvelle approbation.)

Locarno, c'est une grande tentative et une grande espérance. Nous pratiquons loyalement la tentative et nous encouragerons ardemment l'espérance. (Très bien! et vifs applaudissements.)

M. Delahaye déclare ensuite qu'il votera contre les accords, comme il a voté contre le traité de Versailles.

M. Merlin, au contraire, les approuve, mais sans enthousiasmé.

En votant ces accords, nous nous assurerons une' demi-sécùrité et montrerons notre vofeftté de^nous J'assurer .plus- tard» plus complété. Eh ne les votant pas, nous ajournerions toute sécurité et nous risquerions de nous voir reproobep d'avoir tourné le dos, à la

Jjg|£, ̃ ̃ '•

A- Genève va se po^cr,, demain, un ptoblème redoutable, celui de l'admission de l'Allemagne, dans la S. D.- N. Pour accepter cette adniis'sjon" il nous faut imposer silence V notre mémoire pour n'écouter que la voix de notre raison. (Très bien 1) •

Cette admission, c'est une fatalité historique, mais dont il faut suivre avec vigilance révolution. (Très bien l)

M. le général Bourgeois montre ensuite d'une façon saisissante que l'esprit de Lo.carno n,a pas pénétré dans les sphères' militaires allemandes. Sur les 100.000 hommes de la Schutzpolizei, 42.000 peuvent être considérés comme des éléments de cadres, au même titre que les hommes de la Reiçhswehr.

E.. Gascoin.

{Voir' la suite en troisième paye)

-rJ– r^ r-

L'escroc René de Rocher est arrêté dans le Doubs

Il s'apprêtait à passer-la frontière L'enquête ouverte par la brigade mobile a .permis de retrouver les traces de Re:rié de Rocher, ce. singulier sOUs-direèteto d'une succursale dé. banque parisienne qui encaissa 300.000 francs dans les conditions que nous avons relatées. ` Arriyë; Dijpn, le lendemain du vol, René de Rocher se. présenta dans une banque et prétendant arriver de Perpignan y fit un dépôt de 290:000 .'francs. L'escroc poussa d'ailleurs' l'insoiiciàhcé jusqu'à signer de son nom les reçus. Les journaux relatant le vol étant arrivés peu de temps après, la banque prévint le siège social qui téléphona à Paris. Opposition fut faite à la somme déposée. •Prévenu, lui -aussi par la presse, Rocher n'osa pas se représenter à la banque. Il se rasa les moustaches et se procura cent francs suisses, héla un chauffeur et, après lui avoir raconté qu'il venait de manquer le train pour Besançon, se fit conduire dans cette ville.

Le chauffeur, interrogé à son retour, dé. clara avoir laissé son client place de l'Hôtel-de-Ville, à Besançon. Aussitôt, la Sûreté alerta les postes de gendarmerie et, sur toutes les routes, les passants furent inter-

pellés.

Rocher, en effet, avançait sur la route d'Ornans, dans la direction de la frontière suisse. Fatigué, il demanda à un automobiliste, M. Chevalier, de Besançon, de le conduire. Celui-ci le prit dans sa voiture. On leur demanda leurs papiers à un passage à niveau. Si M. Chevalier put les fournir sans hésitation, son voyageur, troublé, hésita et donna enfin son livret niilitaire. C'était bien l'escroc qu'on recherchait. H fut arrêté aussitôt.

"d

r– ̃< '̃+-*> r- r,

LE CHAMPIQNNAT DE TENNIS

MISS HELEN WILLS, MALADE, DECLARE FORFAIT

̃ Tard dans la soirée, hier; nous appre-nions que miss Wills avait été transportée- d'urgence à l'hôpital américain de Neuilly, pour y être opérée de l'appendicite.

Nous avons fait prendre, à l'hôpital .américaia, des nouvelles de la sympathique championne, qui dut subir une intervention chirurgicale en pleine crise. L'opération, terminée vers huit heures du soir, a été parfaitement réussie. A la suite de cette opération, miss Wills se voit naturellement obligée dé déclarer forfait dans les championnats internationaux detennis, et sa rencontre avec Mlle Suzanne Lenglen, qui était très attendue, n'aura pas lieu. 'q

LA GRANDE NWt DE PAR1&

es parures de la Charité Irez-vous à la Grand Nuit de Paris, qu'organisent le Figaro et Femina, le jeudi 10 juin, l'Hôtel Claridge ? Il faut aller à la Grande Nuit de Paris* Non pas seulement parce que c'est un beaii titre babylonien capable de réjouir un poète, mais parce que tout y sera, mis en œuvre pour émerveiller, ceux-là mêmes qui pensaient être blasés sur l'émerveillement.

Les Goncourt disaient « II ne fait pas bon mourir en été, à Paris oh n'a personne ». Mais en revanche il fait bon y donner des fêtes au printemps, on a tout le monde. C'est la seule saison qui exalte le cœur des jeunes et qui attendrisse le coeur des autres. Ne convient-il pas que la bienfaisance profite de semblables dispositions et qu'elle ^prélève sur la joie de vivre un impôt qui, n'étant point voté par le' Parlement, a des chances d'être à la fois rai- sonnable et fructueux ? Or, vous le savez, c'est la Charité et l'Art qui recueilleront le bénéfice de ce gala des galas, par l'intermédiaire de deux œuvres auxquelles Mme la marquise de Ganay préside avec une activité et un dévouement qui ne respectent pas la journée de huit heures. Ce sont l'Œuvre des Infirmières visiteuses et l'Association française d'expansion et d'échanges artistiques.

Il suffisait autrefois à « une dame de bonnes œuvres » d'avoir un cœur mi.séricordieux, quelques relations, le &oût de recevoir ou d'être reçue, un aiH-able snobisme, un mari pour organiser une tombola et quelques danseurs pour en prendre les billets. Aujourd'hui, la charité, comme toutes choses, s'est infiniment compliquée. Il y faut une intelligence en éveil, une imagination pleine de ressources, un don d'organisation éminent et un sens budgétaire à rendre jaloux un ministre des finances. Il ne s'agit pas, en effet, comme le conseillait récemment un député, ` d'aller « prendre l'argent là où il est », ce qui est en somme assez simple mais d'aller le chercher pu l'oij peiîr

«é qu'on: vous le donnera, ou "> encore;!

id'améhager des pièges à- «..charité si &é^ que l'on s'y précipite avec «K légresse. Aucun de ceux qui viendront compter les étoiles de la Grande' Nuit de Paris ne regrettera sa curiosité. Elle sera pour cela trop magnifiquement comblée et le spectacle qu'on lui offrira aura.de quoi dispenser a chacun son enchantement préféré.

Le programme,surprenant,en a été élaboré avec autant de. goût que de somptuosité, par un comité où les grandes dames, les grands artistes et les grands couturiers ont travaillé avec le plus bel entrain et dans la meilleure harmonie. Et voilà encore qui est l'indice des temps nouveaux. Jadis l'on se déclarait satisfait lorsque dans un cadre suffisamment doré, avec du champagne suffisamment frappé.l'on avait « réuni des pauvres au profit d'un bal ». Aujourd'hui, dans 1 effort charitable, la vanité a disparu elle s'est évanouie avec son cortège de mesquineries elle a été .remplacée par la belle et ferme volonté d'aboutir à un résultat brillant, pratique, effectif et dont les malheureux et non» plus les organisateurs sont les véritables bénéficiaires. Si vous' saviez le mal que se sont donne ieq abonnes fées et les bons magiciens'dejlfeGrande Nuit de Paris, vous, seriez dé, jàj assurés de son succès. Vous le ser.eze;davantage en? core en parcourant le programme de cette réunion qui sera la fête des pauvres en même temps que celle des riches, de ceux qui portent parures comme de ceux qui n'ont que haillons, de l'élégance comme de l'indigence, du luxe comme, de la misère. D'un tel voisinage, il ne peut résulter, que plus de justice et qu? plus de pitié,' que plus de bonheur par conséquent, et, parmi tant de lumière, de grâce et d'éclat, le plus beau, le plus pu* joyau, ce sera encore une larme, la petite larme de ceux qui, grâce à vous, auront reçu l'inestimable bienfait d'un peu d'apaisementet d'espérance.

Robert de Fiers

de l'Académie française^

La vente Dutasta

a produit 19 miUions enviroâ

̃!̃ ̃; ..̃

C'est sur ce total impressionnant qù'8 pris fin hier, à la Galerie Georges Petit, ? vente de la collection Paul Dutasta. Gomme ,1a veille, les enchères ont été -folles.. Douze grands fauteuils^ à'fjJO/jue Louis XV, recouverts de tapisserie des Gobelins, ont été adjugés 1.220.00& francs à M. Stettiner ils avaient été payés 700.000 francs en 1923, à Londres,. lors de la vente de la collection de lord Leconfield. Un petit secrétaire -de dame, à hauteur d'appui, d'époque Louis XV. sianu Van der Cruz, dit Lacroix, fut poussé jusqu'à 585.000 francs une tapisserie de' la manufacture royale de Keauvais (17341753), première pièce de la tenture Les Fêtes italiennes, d'après François Boucher, (1736), et présentant l'Opérateur ,ou la Curiosité, fut acquise moyennant 1.655.000 francs par M. Jorge Ortiz Linares. 'Ces prix s'entendent sans la taxe. Maurice Monda.

(Voir la suite en quatrième, page.}

AUJOURD'HUI

Supplément littéraire


y,> ••̃̃ •<• N- >v>vV -îs.f :?:••̃*̃ 'H>V, 5 "v ',4-777 &* M, Hans Bossard împpt J?v*f8PS- ".Vi"" i mimim»–

La fin de l'interrogatoire et V audition des témoins { ;v; ̃•̃ n'ont révélé aucun fait nouveau.

;i?.'y 7 V.? .7, “»».. M< -? ̃̃.•̃^••̃̃v ̃̃-̃- ̃-̃

.Curieuse affaire en. yérité. Car c'est lé. pr>6cès Jùdet qui recommence,. ,ijia(s'» pelll' foj?s, ssàK grands, discours.- .^ôlitiqûés.7de.. l'a^éusé, .#!> devait ùn,e salle presque y,iaëjj o&jjoç oe remarquait guère que.guç^gUés avocats, ,et Sfaie Bernain. de;,R»vis^ ehjloj-

leHésn3àuye.j,H,u1i i,,iOy,ja n\v\ hj

t~~i~f,&f»~ ~t ~n~~n N r y·~` 's~s

cus§«Qjts »af- 1 fl1?) iMss^£.|es ^MçttwM^h tqBt.jç^a .devait le,, jw* Qm Wwl"??.J6iF 't,

trQÏA ans,Erne'st,J^et. MaiS; 0. e^ttom^

tànjs-luj qui pénible encore en ca,vise, iqjSr.. que ^l.Je président Su8ier,/pàrràn1;;du' rjppprt de M. Marchand qui,' dans quatre mille. '• pa#«s,r examine ..les articles ,de V-Mèlair, domiciles conclusions de ce rapport :.«,ïoiit;;s^ passe, cômnie.si, de i'ar-'géni ôn'nemï'éfait venu" alimenter les çaissea'ieVÈclaïr », ajoute « M. Judet, sans avoir été, acheté, peut avoir voulu se tailler., iip rôle; et préconiser une paijt blanche. £ II a; été acquitté »,f. "continue Jo'^ président. Mais ,içs raisons'.de. cet. acquit-' temenf, lév jury, seul les eprinaît, »( Si les documents Lancken sçrit, fU-r thentiques, s'écrie MvBaul-Bqncpur, Judet eSt coupable Or, ils sont faux, ""77 ̃+Jjb, fait d'une voix douce Ie7 président, vous savez bien qu'on acquitte parfois dp£ coupables.. k. ̃ "̃, X'inteiirpgatoirc s;est.ppur.suivi en ejiu-, mérant.les accusations qft'a,t)ortee$ fl^jne;

Bossard contre s.pn;ii}ari..Ellfe â .affirme',

av.oir assisté"- .V-H' ehtr.eyiiê, entre vôn' Romberg, son mari,. et Jude_t, fit à Une <pv t^evue^avecPajuL Me«inier,.I' «?.Je -ne .co.jjna j.s jp^.yûh .Ron^çrjg, de- çlare M, Bossa.rd, v .w w •̃ Mais.eJïo: abonné ,dë£. 3é\aiïs./jRaM cette 'èntreyu,e,, M. Judè.t. aurait dit Ç^cFc' ppurralt-Qji ..pjas échaiiger l'Àh^c§fiipm^t

ilg^CcoIpnîo^çpélpgfluè ̃?.i?A,aM(u: .jfaa

ilij~COIQIHe''jtPC!¡;rUé '7,(»' l' 'I: F~li

sârfcff.ài fle.yje'nt i$g ^PO^JIK^Œ

dy,gr,pN~.°~e~Iit~Fti~~urtin s~f#j,ntP;

gq.arr~t ,tl~} nll~"Çfu.r. ,,1 ,off "lJt,

^h divorce vçqntre sotx ittari. aepUj.s; .4y.w.

~n; çltvôrce ~-t,pltfi·é ,H~S C¡,J~Q~, ,t':ftt,Ué,J1,k«J!,

q{ e,lle ft'est" pas encore divorcée; Cètlt instance a donné, lieu gui le Croirait?:

̃^t.' à. plus, de cinquante prqcïs .«Çfui sont

venus, se grefter .sur; elle. Une boiine fortune kour^ les, Jiommes dïafTaires ,prpce§: intentés aux' gvôcats, pijx-téraojnsj" demandes .de dommages-intérêts de Kt. J^def ,à, Mme Bos'sàrd1, qui ofifient 'l.S.OOO1 francs, JDéJtehtioij de Mme Bossard.!poûi' faui te-' moignage, en, Suisse, puis sa condamnation. Incidents innombrables. Et J'onsc plaint 4e la l«Miteuç-.d,e.}a justice .française t )- Ofl a Wen fort. :'̃•;•̃ Elle a Voulu me tiiçr, dii M. Bps5$r'd en.' parlant de sa femme. D'abord avec Un revolver, puis en me jetant un douvërclî? à la tête. J'ai fait contre elle une plainte érii -adultère.A Lausanne, d'après la loi locale, cette plainte aurait réussi. Mais, b Berne, il y a eu un iion-Iieu. > ,,jC'qst là' un., des, incidents i (le ̃eefè^tra.oria}na|r,e procès. .̃' il .A .V w Quelques îhpts ̃ du président sur, la ufl-

zélt^.des Açdénnés', qui .se;'m0Titra,ït ûht

grande admiratrice de VEcltiir, 'quelques mots sur le second non-lie.u de MnacBeri %phiaë R&vidi'^cntTa à la suitjë d'une>îns- ffiiétiojT oiiVerté contre eHfi, paf.çfe. $&}}%

M^"i)" Csnard, ayaKiJ(;étS,:e;}i p^Ms

X!~J.t1,' f~l~r~~l# rllRhG~~v`~é~i~ ~3

argent, a-t-elle difcmMS.feSâf^ li ij^m

dei)ijoux, et yoiciTTnierrpaatoire térmyie.

~J:¡J¡ou, ct".folPj ,!it{~r!RÁâtÓÍr,l~r,mV1c'.

-a~Bo9SaM 9'M~ s~sXWMiH'~t~un

i,`~it ~'ê~x~~lü~ibtf,is"~i·oI~" ~~Iqti~rl~

SîBt mc^iûS^fe^ffvoiF^ sèipH^ie

îœtïofdihaire r-r1 protesté/aveô, ënëi'gift'itt j son innocence^' Mais, ignorant, cbminée £»i- dit,»"4es finisses de la langue française », il' me connaît' pas, nt>n T)lus. les traditions

un peu théâtrales de la Cour d'assises. Qp

,~tfé9,\{~i~e.l~1:p~~r. ',è ,j'<.

L'argent M. Bossard» ,>, Après M/ Ballerat, brigadier de la Sùreféi qui entendif en Suisse lesiacciisations .deMnie Bossai^, et les recueillit", 'éniend M. Doyçn, un dés nieilleùr's experts ̃comptables près du tribunal. Il eiit entre "ïfcf mainsvles comp'tes de banque de M. Bossard. ̃̃ '•̃ i.CelUi-'ci avait six .comptes différents, .©'octobre 1915 àmars 1&1G, il versa de rargent. Ensuite il acheta des titres, puL les réalisa. A la veille de ses réalisations, nous dit l'expert, il possédait cp&atre millions et demi. -i- Je Conclus, ,dit ]'éx.per,t. Cet argent '•Viéiit. d'une origine! que j'ignore. Quatre millions" et demi oiit'étfe -cbftsàèrts à; Kàchat de titras,' qili'olif été revendus stfns ̃^uc je puisse sa^wt- sotit^aHés les fonds. .D*où: venaient, ces foiids -?.t-G'e'st une ques-t^on qvo ;i j'ai posée à, la fil» de mon, rapport,, n'ayant eu en inains que des cgn^fetes 'de' banque, des élétaènts assez meajo-,

cres.. 1

̃>™*Shï Btfs¥ât-tf%y»"4«e fortuné' éh 3tikse. I ÏMq& vcnaifcïàn^ehKeC'teWWUEfaeStibri! -i»ôae(Wàte'e.- eao^flMa ps&ç1 »' -^v •i;; Bossartf ^èfiJËMsO-un piwfMeV ̃">̃) -•-•̃r-r-Gct argpOîl:' Ji'?étai| pas ù.iMQ\,J'Alun- dépositaire, courtier pendant Ja guerre, ,pe. ceyx fltii voulaient placer de 1 argent en Suisse.' Ils le' mettaient à mon nom. Je leur -pi'oiBettais le secret. Si. je; disais leurs.: noms, je serais acquitté brillamment, niais •méprisé. Ov, je ne veux pas être méprisé. Moutran pacha fut un de- ceux-là^ Mais, lui,- lui seul, m'a permis de livrer>sori nom. On sait bien,. dit alors M" Paul-Boncotir, ce "qa'est l'exportation des capitaux Mais qui donc aurait fait cette exportation ? Des Français? On pose la question à &ossard. Cette foi«r liii qui répond 4!qrdinaire si; nettement, hésite» il'f^flc!Chit;: ,•'• ̃' ffon, dès Suisses habitant l'-etr^ngei. Àh l' fait l'avocat général. Et comment recevieg-vous cet argents Ils l'ert̃T»j|âent ?'En nutnéraire.?.En' titres ? B&àsard hésite encore ̃̃ ̃ 0jj i 'çiit-jl, cela remonte, à dix ans. Ils venaient et me i'appprtaicnt.. en billets de banaue. Ce sont -d'honnêtes gens V. Des Suisses venant eux-mêmejs placer leur argent en Suisse, et l'apportant; pourquoi donc rauraient-ils.alors plac&sou» le nbnr d'un tiei's ?': Telle" est la, qùesCiba Qij'on se pose. .j,, ir-^Qûel motif .avaient-ils donc ? demap4e le jjrésident. ;•• >îir-

.(.ï-QhLiJs: devaient ^.«avoienan. *àpM-<

que Bo^rfP^P .?.r;usi ». x..ha\ HWM «t'jipnn, •̃'>'•' On- H8s<«#àsSi'la'auèstit}.nïà! ©tifen» 'i'c^éftf-^uîf tïêffùnè%uaéœr^"ï: al A/M 1 ;•; Comment'- 'c^rte* .fefsian ^eût-euê -^el "concilier avec ce" qu'a :î£& "•Bassarfl ? î|Ja jîl^çè les iitreSîTachetés au nom de ses aoux, .Jïl^.VS'Hs appartenaient à des .tieris, comment ceux-ci les àuraienf-ils récupérés^ en; Cas de décès de Bossard? Bossard aurait -•choisi' moyen le plus difficile pour eux. 'Oli l réplique Btissard, c'était' jppûr que jnq femme ne mît pas la, màïn sur l'argent.. Les tiers avaient leurs reçus^, j– Alors, réplique M. Doyen, inutile de Je mettre au nom de vos enfants. J'estime l'opération dangereuse. Je persiste à ne pas Comprendre.. Et Bpssard s'assied, très .pâle,' les yeux *mi-closi les lèvres serrées. La joute a été rude. C'est là, en- effet, le point faible de sa défense. Les documents Lanchen ̃M: Winter, jadis commissaire général à la Sûreté nationale, et aujourd'h-iH inspec- teur des services administratifs au minis- tère de l'intérieur, vient nous donner, sur ces documents, des renseignements fort

intéressants, Ils n'ont pas; été- saisis! a Bruxelles. On l'a dit l'acte, q, accusation;, l'a même répété. Mais c'est une,çjrr£uç,.upe légende. Jju'Qn avait ^QlontaiEemfini s ^ajt courir (3.ans Ja ,presseri açuSi dit M. "WJnter,* afin de ,ne.î,as* empêcher ,q«e ÇautreSi.çp-^ cumefttei.paEwnsaffit «« laup^RIgs^-ft^fti

f^ftn^'Àls] a'fl.Pi Ba4ïé,t4 ms&ikBrmmm®

W^ioIaxwtra^es-îftUBgiéjSlilejRï^^fiA^

OMe~,noMS fljbM<~cj\IJ.r{¡.n:~wj1r.~M(Jq.1J!:

bWW^ost au^ateflire^eiqtrMisçpf^

p^,evx;^dp-ux^Ws'àr.Bs.L:lin,n^an^j^rlpîsij

wa«Misi.v,yi?.e-W!' 1#1?»" aw, .le^dem^inj djB>! la Révolution allemande, on a nomme uge:, commission chargée de dépouil.1% ces papiers et» de- rechercher tes responsabilités.,

de la guerre.. Un nôt~mé Alfred Léo~ol,

de la guerre,, tjn nonjnié Alfred..Léoifttfldj. unanilitant socialistét fut un .ldc§.tçopim|5j' sabres chargés ;dc ce" déppuillement. C'jjsi 5 lui gui donna, ou plutôt ven^ià.lîi Fràft-.celés quatre pièces, de la.cprresporidanefc de von Jagow et "de von der Lancken. ( Ci |.es trois premières pièces, dit "M.- Winter,, sont. des originaux.La, première, est le décliiffrement d'un télégramnie de Jagpwen|voy*é de Bruxelles à^Bet-lin. ;Jd,sef cônde- est' la réponse elle, est de Ja* ïnain; mëmiCj de vçin der Lancken,, dont nqus, a.y«ns.des, sp>ç|nifins dlé.criîure là. troi- sième est une lettre manuscrite de la nia,}tf, de, Jagoww dont. nous avons aussLdê l'ê,critùr.e. Xa.yfterpiere, est ,une .copift.ifaU.çajf

L&polivà ^Berlin. ,t ,V

Et M..SÛwiteç. jost .pa«faitemenf ^onfainçfi. de, l'8uthfih,ticité..dV ces.' doç,uriients. /(Jui. aurait-lait ces faux. ? .L'Allemagne ?: Jàgo,vy| Lancken 'i JPourauoi'. donc? Lé&pp.ld?- X-.é,Qr,

nôld falsifiant l'écriture de Lancken, çnjadç

Jago^Et,(BQUr1quoi,,enpore ,?, -V '•

J~gO~V,E~PO~r,~t91"quç.oreilo,¡"

;1.601". M~f'P~- .hhCO~ !Q.m.,mt6~sse ,Bo~

.,rtr- $kmà flp,ff»t»$Pt jgm.té#sSe (Bosr.

sa-r4, n-Tr.cjgluA; ou<;Qi} ^K^lqjidf PO^^r- est

If99li«4f*è|n^jjynftifio,me & Et ^gPHMilu4Pfl

toBA%i^aR4§rijp^PP%f«#%fîp JÊk

~3u~nq~¡:f!1WP ."k,d\.1IrlP -1l,)~1~ r~

~Mm~n~p~i~ft~e~

rtYl,Yltlll)};¡, ,~}~~¡8Rl1~Il~i'plff.dfliih,\lfftji, ,A,m~

"¥J Ri?\v™SS0 \ki 9Mt'f>4i loi jy ijâ i». /si'i t i n <i

~i ,re~p~ `4~ f

~q°`~ h~x'ifi~4¢~Pao~n~ ~s"~es pgiso.niy;;

m^-mfimwh 'v)î\^ -i. '-i^'j .p-.Majs ces, dçwnments, .continue,jp IJauiTBpacour, ii,e" pprt.eht iças, de rcàphè^, dg ninnéi;S> de» réception, l .j, -t, Parce, que «'«tait utLe,cpri-esppnaaftÇ^ confidentielle! i l, V -r- Avez-vous vpus-mçme, ,.demande:/M° PaUlT,BQncour.* a "-M, 'Winter, /comparé', ces

dçw;unieiitçià,)i/écrilwre.d,e von L,aric!ken,. e|

de von Jagow.' ? "'<

"Noh Je ne l'ai pas fait moi-même. Alors, l'éminent -défenseur de Hans Bossard s'étonne qjie l'ac/;usation n'ajj. pas proc"ë'dé*à cette éxpferti*se.< Commenfy'Lors du procès 'Judet, on avait discuté l'authen ticité de ces documents ie défenseur de M. Judet, M* Lébuzon-Leduc, dvkiV plaidé qtfè c'étaient "des faux'. *Ef "'M.; 'Judef- fut acquitté; M.' Bb*ssard reritre en -Frâncei de>tfi*(ndë 4 être jugé. 'Un isup'$lëment''ï!lIiriîor'matiôil est ordonné, et perstfnnè ne'fttlt expertiser ces d,oc"umehts .'Oh ;sâîr"1bife$ qfi ayant plaidé''une 'prèniïêre 'JcfiS gu^ls étaient faux, on le' "-repiaidfera '"eiifcbr'e"! Et llaccusation ejle-jiiênïe '"iffè Jvà piisj atf* devant iiç I'o;biecïion"pèrtarhfi" de l'a j.dèténg.f, tff;n>'prrdonne ^Hs' d'éjx|iè-t{èé k ̃l"i'\1' ̃!̃ "*fLe;;t^iXôjLneiheift |de^M°i Paul-fîqncoUlf !a

?* IS~aTcur r` c~s~Ta~Jo'uë~~jtïtcmê~

truc 'o ,¡;'p'¡¡tf, t 'll1,t¿~

M/'BossaM; » !???v-- :• ̃ -'̃̃̃>̃̃> --ï ^-», -^«.-

k.Ji-iiVdjl^tdëviëî-a'âùfânt; plas':ïês'Sffifrieî Mpeftisëfi'^ôîitîrifle'M0- Pàiil-Bd'nç6tin;-qi|b îf., Judet a été. acquitté. Si les' db^iiméiits 'éta'ient autlièiitiquIsV il Serait coup'àtre. n- >̃̃• iJM&tttran pacha '̃̃̃̃-• t)ri singulier persô'nnage que ce'Syrien! qui aurait confie de l'argenf à Hans "Bôs̃sàr4;"En avait-il t Son, propriétaire, M. Duchêrie, architecte, Vient nous, jjirç qu'en 1916 il lui devait 22.000 francs de, loyer. Or, un jour, il partit nour.Ja Suisse, emportaoit* tout sorn<-mobiliqr, fes objets d'art et .paya son propriétaire non pas en argetttrnjS&ëtfMï laiàsanfc êtTgâ'ge aii collier de perles valant une cinquantaine de mîMfe4* ^Sflcs. ̃̃ ̃ ̃'• ̃ >' ̃̃̃̃ C'est, réplique M" Front, que toute sa ;fortuna était en bijoux. Il en yçijdit; et put ainsj- remettre de l'argent à Hans Bossard. -v^ ,;• 5.̃ .e ::iL$s/iëfôoins':à/dêç!iârge: ,L"es principaux, témoins de'l'accusation, telsvMHie rBpssard, jm^nquèrent. Il ne îre^fe 4pi]ç,:plus -^f. c».qvffQn f era .aujpurd*uii •i– qu'a lire leurs dépositions écri*€B^*et}ià

^"iiWàpJ^éiBWn* 4t1déRlT;a.rfi«H»t;>.

nît,~g~lehaé?t~t~s rj~~loqha:Cks~~ $

M VftpPJS' ,S*««ftgr«iBi jaflri dqj Hansï ¡ ^o,S5,a^a.v,l|7&.j¥»nn!j«t,djspyi&sï8ftftûi'ainie, ëf l'estime.ijwu^i^iaire^aHÏîftôiîuSaticm

alut ~~&T~- L~Î ab ~)~4H'tbéae~s~I s

9~(7~i~Y~~>~flrhl'4Eér~t~t~Ïl~ i

̃̃W$im, MiBW^i $*$; de .culture plle«iftn4e,

'JJ!lHrltJ¡~U" 1~'G!!Ilf.tP¡¡S;, fI()..ÇU"1t\JIe-,lll!~AA,qe,

mais- dsreu|MJ^.e. $ui_sse-allç»anrdes. c^flpi

n'est pas" au tout la même chose.

r.Â:ajnuTii"liuivSuite des téM&igfiâg«s,- •̃• :•.•̃• .̃̃̃̃ Georges Claretk.

~ART~ET~<

Quelques représentations de « La Créole,'» Minuit.. Le rideau vient dç se baisser sur le troisième acte de La Créole. Et .ainsi pour la- société philanthropique, pour, S65 cEèçhes, ses asiles,, se,s hospices, uiiedè^ plus. anciennes opérettes .de Jacques pïfenbach connaît a nouveau les fqux dé la ra,inpe. "J'" ,,M. le. mârqiiis. de Vogué qui préside cette grande ef bienfaisante société, Mme

la Duchesse Gramont,, au. noni du .co-

'J¡l'dUchesséAè,' Gr,'a,lùont," ati..no, fI,l, d,u,ç,6-

mité des dames patronnesses, diront de-

main la gratitude de la Société Philanthrnpiqueh;à (cettè"troup.e~ d'amateurs qui a. ''triomphé ̃silr'ïa scène fleurie 'du fhéîiîçe ;^lbe/fc|4rl '̃' .><, i,' Ces 'maintenant, épinglonH rapidement i^i jiaonis« iiâsaSSELauEs /faiepj cofflinass'et' <qae itt«u8<!it(etnein<otMC-. toujours-' sa ^pet'ànpr, ;3teig'îMîn«soitetfWEs.cHartTfobW.ae,ll5Wîes; '«fi-pf%MeK"JH^e#^8MeWe,39e45Sl.!

̃Vijiirç'jmfM, "lès 'barojrsfcffisp'âtys:; ,T.«.t

"tI~ rr, r~ .¡.p~,Jf,t, '10: ,w.l'fVl!$iSa,t,¡Y~I~t

.R.; iLgfebûre, .Rpmberg. dp Yaucorbéil,. le

sComte: de Sola^cs. Sous la direction de l'excellent pianiste Georges Lebaillif, ^ni- conduisait l'orctieslre, ces artistes qui sont mieux que des amateurs ont eflh'vc avec, un brio «remarquable les trois actes pimpants d'Offenbach.

Dans la mise en scène, on reconnaissait la -main habile de Mlle Marguerite Éteval qui voulut bien prêter. à ces artistes de bonne volonté l'appui de son expérience et de ,son goût. c. La figuration ? Nombreuse et parfaite. Sous le fard, on pouvait reconnaître Mlles Mibert, Carré, Gilbert, Renaud, la baronne1 de (irnudmaison, MTvI. de Vesins, de la Rêvélière, de Solages et tant d'autres,' grimés, jjoudres et superbement disciplinés aux exigences de la scène. Dans Un coin, modeste, l'animateur de cette' soirée, .M. lîobert Singer, contemplait la brillante chambrée com'pbiée par sessoinsc Simon Arbellot.

.ït~~a~o~e~~rQ~

~tJtËË~Ê~.

n69h·I

::¡~ 'D¡IIV,E 'R~S:trS7W~1

d,¡"I> .r. 4.n.<~nrn

ta,temnérè,e ¡:(r';J(:¡fJ\Ït

~.te~er~

Probabilités, pour aujourd'hui' .àé.gîçîf/ parisienne vents Sud faibles, bëâii ÇJWgètix, ^oiix. Un, peu 4p .pluies;* WMWkiv née. Quelques pltjles,; ïi l^Ojftesl .t'I^Ifdf^ Ouest.- Nuageux autres régions, :i rt

.U~e ,;graiaxte im~'1, .r.~

de BoKdeiiux détruite pat* '•ttyt* -«*iK ar.ii'.n^ « ii^iV'Ui .>v;(r,isp îtft'.Kirt drt il iî'i»

tobD#Ipxrll~lÎ~tesrfd~lAl~~tA4~ ':ty f.tw'n~M-.

r~r,u'.<i in-; au-SO.O.iWVtiWB'tiOlMtftteftrs !<v.iî

~FG~ti?'tIPpÎ~I~i~di~~`â~F~~é'`(~`iti ~'t_t~r.

51/bdu!evar(f;;t!ùyr~i~~?~o'a~

les ̃.bâtiments., de la grsBndêrïWiPfii-T&ér4p:, rournemire. Tous lesvateÛeEs.^saufeileijrtaT-, gasirt de fournitures, ont été ia'jmovtf àosi'-

flaninVesV.Il y a plus ̃de' deux râftHïms-He^

dégâts et Itëux cents. duvriCTS.^f'.trbuVgr/ft

Kédàtfs. au chôjnage, ,On ignore Jèl^C^i-l,

du sinistré. ̃ .ç ̃̃<! :H .••rn!r>- m /[^biir-Miïié R#U^t ^Ufei*

}th ~,<" ,te t¡\, ')'l" ,t\f1lt~\t'1911

"•̃Sous- ̃avohS'iencore- reçu de; MoÛirM M) somme de 20 francs, ce: qui doane'iCoraHUiA sofflïûes re'eUeS ôn-tptal 45936»fr4.;25.xir><î ̃̃̃vr.i *>'•̃>* •-̃>-̃ ̃ ^r.» ̃»̃̃; ai i'j alif '̃Let? îttauvaiB1 tiéni^stiqùes. On arrête ;»#*» sephine Lohon;: femme chambre; dâwstriurt hôtel -situé *ue Bertliolet,. qui avait .volé/-6.RP0 fpàiics d'objets divers ,4ans les jçhalïibcesiîftçfti va^aÉSeur^ ̃;< s yc<, "Vl\ ?;?j;;vnBra WicWési devant' la maipie-d0)ai>riènïéI*r(i rondissement, Mlle S^a^hne ,Bapy!tP,ii3^.oW*f) sans-lddiWcile,. -tente ;de .s'einpoisoçtjej gvieqjjlu véronal. M. Dominique ïàuvin, 6L^n^27,,r,uC|

de la Çointe-d'Ivry, s'est pendu cTRê'z sa'sttûf,

I6i;'lâîssa'ge;%Nàtionàl. On retiré 'aà-ca'ntl sde l'Ourcq'lé corps- d'un1 h6mme''d'uhe:"<it»q[uâiWJ

raipc' ,d'iti1hècs:'A l'In6titutrri~dic6-i1(),l ~j

;1' ,1:{~ ¡,

"t^ ~-s;l.\ï.!v ».< '*̃ 'T*. ",7iL''r *f'ïuy

:< 't–c- f ',2' <

tTn ouvrier poïoitai& :tueIsiQn 'mil,. ̃••• V:: -̃.• ̃ J- *>U9Ji îrtr; uJ-

[.T. ~.<M "a 'coups "C'&M3<~C''<!<'u'm~t

J., o t ir·rr iy"-9~. T ~Pt,f tV, i8lt

̃M -'̃i">Ht/i. «Hwiwf: !>.9'Utft »->i -Kiioiûi Jï'jmifis^b

j~n;ouv~ri~E' i2Pk9D~nR~~ya"~k~t;rg~~

ïjfei rouvriar pJo),Qj),«i?^y»n§?ftfcl3()bri!pJ^'p5

kiy 44 aiïtg[tfh-aBra?lbiniî.olaiii»û«nii .,Tisin%<lj[ MkM iiii'iiëral *»Por-tiMariy.i habitait, ofettfii lpccalité avec sa/s'ectfrtW'femtflè et s|jn f H&

:Ælfrca,¡ï, r d'e''1lt''î1!¡: ~I.

Dobrzelwski supçônnait son fllS ll'eRtféiétût 'ûes Telatibns dvbë sa fbmHtepet Éiër sPir, dâïs -iïh accès *a"è jalOuëiej âloi*S qu'Alfred Dobrzelwski dprmait dan^^s* cïïâriftre, son pèréj armé* dfiMW'Ml^hiBfte,

luffeiiaihé crlnelt.letua>nef.^f«ar«q

;Lfe pebé nieUrtt-Ser' af'éié im%1èœateAfèlp['! âiTêté%:mïs à la disposition .^jMMiî qui s'esV.traiisppr.té;,sur, les,||éu,x-

'!> ,')'f"b"S'<! a

"L~~`'t 1~4ID~S,,r,t°~~ ~;`j~>

D~`LA`~F~E-D~ JEANNE~~

.̃̃:>!̃. •̃*• :•»:̃>̃ ̃̃̃ ̃'• ̃.•'(•̃̃( grj-i<| ̃ ,M; (Peyre, juge .d'înstfuctionv a pfQt^iô, en 'présente; de'- Alcide.'B'eilnjOBtidBidte confrontation: dn gafcdien. de 1». paixj-Jfar#i, accusé d'âvoirffbrutalisèï le- jeune-; ïRo'g^ir Pîèhêmy rud Saint-HyfeKJirtthB,ïle jouivlda-la fête de Jean1n©Ai'C,' aTfeO'.plï«iéura!Ji& moin,s.

L'éà gardiens de la paix du poste du marché Saint-HpnôrëJ ont continué "~à affirmer que Ïà0, était favec/^eu^l et| que,, en quittanï*lé''pbsfé,Nils*n'avaie'lnf pas vu de bagarres ni de manifestants.

A rtt*sa«î«à Jttfee,<ae»5a»tieB**(ity avait cHHftteê'6a#ftï»iqiie aawcsioMUooMèguaoLetrtàm ^i*'é»&ï-dJreBk}Hla»itfea»(ldiÉO« nfo méro 9355, il portai**r6Q42.

iiBmxiitémoiïtSinMM-z'lliml Stt Çwréctne s'y" sorit^pfl8"tr'ômpés, "et,"is'ilsoteonbfiJâs identifié Jar^ ils ont maintëna* que Hdgent brutal- poEJàit le numéro o '#3B5> '7. A:' ^|

EMiC.ïe i"ge£ ya^lkftcjrte P^«U^

'.queffe heure s'est ptesé^neffle^f ?;J0H&

,qu~J,IfJ, l?eure s "est 1Ji!é ~'JÍÍç#îJrl},t r;JJ. rfél~

.Sioin'.dit ii h. 4a |lené;Pic|ion-.cr^it.^§^

ost-arfivéà midi :20, à>J'hôpital Bea»i3pn«; Dit a retrouvé le corps (lu pilote de Masin

̃. t*. -̃• ̃ .'tua1, .i m ̃•& i-'ùOi) it

Oftfviehlde retrouver-dans fo Afaaekft â1 18'- kilomètres au norff'du po»lt1di*»!wiFiiaçelasd », le corps du pilote îr^S&«$«yï^^raîn -Rïc^ar.d • de ^Masffii'l^^aVnit Quitte -ii/i .Bour^et lundi rp,u/, 'rqn^ Londres à borf d'un.avion p.ostftL.; ji-Joai •" C'était son prfeiflieftvoyagfcjsim la.?Hgae Parjs-Lpndres. On suppose que le malhtp- reux:pïl.9te ë^t -'tombé, àlà mérWWn^-ms s .tance assez faible dé' la côW,,WffliaïSje^ia v >.H -a été .repêché par. Je. cargo, JM^H 6i€ arrivéfhier matin à J.'aubeîKftU3?>i«qcte de Lpndres. -î-- •:»'> â.«jpw!o -:»!.> • Le corps du pilote' de MasiB a>'aé'ra'nf«juorté à Mprgùë\d^ Stepjie^8^ tt;a"pù1 être identifié hier après-midi par les aut^|tSéksfriaiiÇaiçesv,îde •'ïifind«e& et\par»||in membre de la Compagnie d'aviation « Air-, Uni«i%^AtÂ?: 5 ."vOAii^.&a De Masin, âgé -de 29 ans, était marié

%t pète 'de^ïaaiilieG ïtînil^o' tenu

-On -ij!èi'i'ÏBS®'ài pféseot, .«ettsQuvétî/â»-

3éuné'-î^ae1e 4ë-ï^4ôià aaikilB tuit "».,?:î

:I~nèl,'t1'~èe de¡i~Q,ll\ ê;$'liJU)& i:=u "2'iI,1

'Mu ù '"• ir"-J: •̃ ..>̃,̃ î-'i' r r ,(; :iX i|Q M ÂCCI0ÎENXS pl$&y RQÇ[P

̃;̃ ̃»̃

Un morf, un bTessê"

,B,RÊsTfJ 4 .juin. ,1– \Çeitè nuit! ,jf%5M$-j

,¡}HÉ'ST.J,~ jui~. ~ar M., nU,ft! 'Jf, 'e,i),' 't9.'¡

mobile conduite «par M. ,Kerïër.Q}jj|i^i"M-

.joutier à Brest, a heitrté un.:pô^3««s«ei tramwav, •pince des Portes. ̃ r?. -j'-sisà

Le .conducteur et Mlle jQuin,'pss"îsé"pt'Ô!

"I:ê¡'?,'I}.dUC. té;ur é, tl\"me,J,,QID:I1, ."a,gs" 'sé~1p{l¡,{là,!>!

de. ,!u}, .n'.ont" eu aucun mal mais "Mlle' Bazin, institutrice à Laiiderne;ui,a eïè, llîéu.. i *VI. 'Kerbaol,. négociant en vjljos, eue M*kï- «illôrt, a une; fracture du crâne. Son ét/itj est' très graVte, ̃ l 'iJ ̃ ̃ -a jr^^rjr ̃ "̃?* "I "lecqnseïl munïcïpK- j 1 CONTRE L'AÙGMPTÂfW DU PRIX DU PAIN

':1: i *i i~ r

(- L'annolice d'une' nouvelle '^ugm'entaWaJi, du prix du pain à protoqué' partoût>un« vive émotion. >. J-- "• Hier, Ambroise 'Rerfdu, 'doyei du Conseil, municipal, intervenait ̃ personnellement auprès du préfet de police «tr le priait avdc 'ijiyietsrncû cU> i«twirsb^-i$%uv(ic-

nenient.t[<!EJ'i>«qiii*M<ude ,fJe lft,»ftPHliiUoiM

C'est à rissiMjiiLe.ia.cbijinussiaijKe^fcifti-J

Tines, et «près avoir, pL-otofél5ÇMMique-

ment .ppntre le cours actuel des mes, ,quc( M. Ambroisc .Rendu fût reçu par 'M. B/.duju. Quelques heures après, les inc-inbres 'de la commission et le préfet de la Seine se reïi.dait-nt au ministère de l'agriculture,. slb, exposaient leurs doléances à'M. Binêt. Le doyen du Conseil' ïmiftïcipaî a.d'itn-' trè, part, nc-coinpagné au ministère de' l'agriculture les membres de la Oommission départementale chargée d'établir les « prix limite ».

Reçus par M. Bûiét, coux-cî lui o'n,t Ia|t;

part de leur inquiétude au sujet dp la:

se constante des cours des farines, outrai-!

nant l'augmentation du prix du paiïi.vljls; ont également attiré l'attention du îniliistffe! t/ur le retard que pourrait apporter' -le; mauvais temps aux opérations de soudière.1 Le ijunislre de l'Agriculture,, à I'issûp 'lie. cette entrevue, u déclaré' qu'il comptait dé- poser au', cours d'un prochain conseil, je s ministres un rapport préconisant] un i certain nombre de mesures pour VJinpêcber l'accélération constatée .de la ̃hausse '-des blés tout en assurant la soudure.

;AvÁlÍ~x&~I.tRú~ÈúeItARlSti(îl~.I

cBECMRAXÏONS

l^ftjEjl^prdMidiBonzano

~m<r: ̃ :̃. w^<

-Ofi.S' fsuiTË BH I»A- PREMIÈRE PAGE]. '•( | }W^^0^nquè est, te p^tjé delà

!&i~és. ,~o~rjgg~t0hs reKgteus~s. p~u-

;yé«^ là-hàslipjmédgr et, enseigner >, s,am la moindre difficulté. En Europe, quand on litiuvàêtsàfdjd^un. tant petit peu de liberté, Jjfl^s. :tiqMi ̃HHi°*??> riàiid nous estimoh$: ttè$ihômm£.:>kïîa*B'mvrd£stjlâ.,M>exté; la

p&o'm~îe'" ;~ï ,d~ffed~3

leilf~'e ~~r~ 4~ t)~tM:~pj;prendrg,

E~~n~ ::4~d.Ü~

'Iz^cçfiejùfqji^'jfis çatholiqpes spfit enrnïh; noniér dans -oet-pays. ,11s sont peut-être vingt millions ''âfînç. une population de cent dix: mïllionsJ: mais fMs savent se faite res* ^èçfé^ .• » ;•.̃ '-7 '7 ̃[:̃' Pour vous donner Nne idée. de\ l'altitude, ̃̃rfppepffiçffip.dçs.,{ffiloifilép. cjoifes vis-à-vis a&t l'Egttseï catholique, ̃ je sats qu<à, l^eju)*

VÛtkl'afsfis'ta réception religieuse qui aura

lS'~=dFlfoi,N`~`arrivée dans°h calhed't~al,é;9tï

*j|^â'jnb^m'yée dans' calhédriilê^çn

Tfflujipj'és'e']-fàf[]june réception ̃̃ civile à ,Ç%ty Hxâljaw toutes les autorités civiles se iroa- ûëftfhl'ïtViïl'èn sera de même à ChipdfgôJ

~~er~'r~~mage Jë,

tepfésenitiïpi'jdu. Souverain 'Pontife..N'eUj

êëip'as Hdmimble dans un pays Zes»co» tfjqljques! sont, Je uous le répète, en fiiinormti-'yytiir^ ̃̃ ,'̃• :•' ./̃ •̃.• h'-i'

S! Aprè&ïloGongres Eucharistique de CM'

cagp,-ffiëi''èi.Salnï-llouis où auront tieuAd f«M|ae la :t 'caïhgxaT^fjel ftj, té)ébràtion air, jfânjlenaire de 1ayïo^ct((9fl,fû diocèse fondation à 'laquelle, -son maûi Vindiqaejla fimrtte maKpûsr.ètéuflranqètt.

dlln8 QCCt 'f}//r,f' ~hnrIÇ{J dEtt, f.I~j!t ,ak~eC ,ç"

sans acctâent^ntMcid&nt, [je vais aller ae;

.TfiMâ4ndtiï$ë'-mémP'ài6W # WM W&otPWk

W! IV titti'j't lui t>nïiamai*t i •i-îlji;ii4i»f> iiiffi c^e^pg^s^wi^Mmfi 4éai &wm?, fésusiyue j'aime tant -JiinHi demain matin

~~`e rauriesse=d'CYs~e~~`~>i~l~j~Qn il,

.;tEt comme- npug demandiQps au cardinal Ppnzano ce qu'on, pense, de :lafJFra,ncp, fy home, sans aucune hésitation* jl nbiiSi.rqj pg^dit d'uire yoix assurée. !f Ê-d^f $ûV,\lq< Francyek toujours ]lq

~l~qf;~né,psd~r~glrse, 0`lt.~l ~ouf, el1'è lés3

tbujaûrs;'4é:VoUt'tissute..i v ̃ '?%(#" fraheë 1 falfrie beaucoup Vêtfè i^ullCesfMMahèiOe qu'en 189)^ Ml twâ^ldi^Çhme oii, -pendant mx')cM^ j'ai étémUsîànnaim.l Et je< voyageais avec di^pàis.jpèVts français. C'est sur les baïém%r\jjjfâ*'£tiirqppris. le; peu 'de français que je sais." Depuis? je suis reuenu plusieurs

fgjfâ'Çjfcffîaffcét'yiotatnttient à LisiefiX, cprnr

mer'slmphrpèletini il y a deux ans. Oui, Ilfèipitï bçàût6rup:lq France.' ̃ ̃ •̃; "S. Eip. ,'lé cai'iliriàl' Bonzànb partira ce ^,8iUh'?. à 't ^#ifs,' pour Ljsièji^ôù f c>

joinara, au début de là .journée, S, Eni.jife

cardinal Dubois, et tes prélats, qjii raccp;inj!BÙgne)i'b.«<I'« s'BmÂiarqjïerpnt tous ce, ép^r ^OVtrGhiO»fiO«-af <v :,< <• r ;.«. ̃ŒM t't'.itui aj..j «n da m <;Paul LésouriL

Me'* f.'t 0la ~ïit7T1! rl tc ~t~ t ÎG'I9d~ t 4)'!Yetrt~'i

*J* ^ga%*»g- i

(du 5 a^, 13 juin, a Magic-City) -H. :;rtq' .Û& •(; ^̃- ̃'̃' :̃( ,> ?!^ C'est' Jn'àffiftharit que commencé la àrah^ifr' âêmaîhé dépéé^rg'ârilséè par la Fëdé- ration Parisienne d'Es'crlftlëurs: HabituelJlement;.cîest>LunaPârk qui sert de cadre

̃8uX' inultïplë^'éjpriauves d'épé'e qui entou-

<rtWré 'CPjnglfénnàt de France. Cette an- U"

née, Te q~~R-Ï!,f.6n,n~t de' Fraric~; 'Cette a.?-

née, les travaux en cours dahs'éet établis-

$ftnq$t-;jftft.tjr rendent momentanément i'acjej^)âmp^s^i,b|,e, (iràse au geste spqr-tiî de M. 'Berneô'g^ président' de Magic-Cfty, qu; j^ffrfi- gra,e|eusement son établissenîent:aux «SCnimeiifis,Ja Grande -Semaine,-p.our^à> se .dérouler \âii3jfdateg prévues, c'est-à-dire du 4-taH,4;3-.juiri. ̃• >̃̃.̃̃>'̃ > ̃<, -.7- Tn^ottirtiTÊ-vtoiufe lesïàns.eHè débutera par*le: CliampionnatMde France des Maîtres civils,

pTQur- ̃««' terminer par les matches interna-

lionâVx?i>aiïéquipési •'•̃̃" s Yoîci d'ailleurs le programme des épr eu- ^tt f>l >«Y» ,̃̃. '.̃.̃̃ ̃ ̃̃̃.••, .q'fSpmfidi 5,'juip, ^près-midi-.CjjTournoi d'epée des professeurs civils ChampjopnatF,ràpcc de sabre, amateurs. 7 7> "ï"Dljnahâijô^e"juip,. matin T6urnoi d'épée "ffes prof es^etes ciVils' Cliampiohn'a't de F#à|i"'& de Sabrç, amateurs; 7 ̃ •̃̃ -'• tjundi'7, mai^'Si'm^-afEdî^'ïèuai 10 Juin

Championnat ?a8'°!»«%èe 'S'àiëèp dateurs, ·

3»«Vèndredt. H 3Wfi/r%âJi#(tt,'Vi}?ïi5c' Hlnti,

^ordier, Fitfàle^ïï^ÇMHeaiPWttaara. -'̃ "<f! > Samedi 12 juin, Maïm^èl''jM%SlKïiJi ';̃ Erix;

lër,'¡'¡"à"r'dU,iJ.à,V'{'ê~ ,~1,!i"t îbf', ,f,1> i1Ule',1

IJ s EtÍ-Il'iJ,h' u\. ït. 1it"d\P -1»1'

)L '~rúanc!1ç 'fH ,W:Mr~$.?tf¡¡JJr':

i*2uge ~rn~i~e~ .f~uipes,

Chanipionnât dèu revolver. v>. 7',7" Au coursrde l'après-midi du dernier di- "taânehe,-mï match a l'épee-eo 12 tôuches;: 1 ,j)pp.osera..)e- gagnant, du,:tournoi des mai-' très civilsiaii chatnpipajn;4 des inaî.tres. -.wl-! ;M|aiêes, en Itespèce le -maître1 Ancel,. psoiur 4«(^titw> d&findtif de -champion de Prance- ^Hi^e prPfesseurs. II 'est, en"QUtre plus que probable- qu'au (jWi.rs de la^fismaine une démonstration se- wi îaite d'Une invention du capitaine de vaisseau --Monter réalisée 'par M. Souzy, inVeÉltibh qui"' tend à supprimer les jurys,

ïérûf fes les' tdorehes étant marquées par tin

'pïoétfdé ^ètriqpe. iîo^er Ducret. ta '• ••̃- -ir^+-+– fl%. SAISON

~~ÀîSON

PB BELGIQUE

i-, .T.. ,t"t' `. =^

"te grand concours international de golf qui Se disputera Ies"i4, '15, 16 et 17 juillet pro- chain., sur le ^parcours incomparable du Cha-' ,tèâu d'Krderine (Belgique"), promet d'être des l'plus attraMrits^ ^20.000 francs de .prix en' ob-

~m~¡~â~i; .[ f;ê~¡m.2n~~fÁ1t@fe~¥\?}1i

inefeii'Eufiopej, jd-ivu'ji; ?i»-<Ro fi >vo'- ••' v ;'9f! ̃-} «» *&

BHÀNDT

16} rue de la Paix soUicrà aujourd'hui samedi et lundi 7 juin, toute la journée, sa collection de manteaux,' ensembles trois-pièces, robes d'après-midi et du soir à des prix exceptionî^eljcment Vanuigeux. Vente au comptant.

«–frA -^f^

L^ SAISON DE VICHY Depuis l'ouverture de la Saison, Vichy

fortuiienee à recevoir ses hôtes de marque-

L'ojjvjerture du Carlton et du ThermalTjpalaoet si, bien placés sur le Parc, dans le voisinage de;» Sources et de l'EtablLsse- meal, permet à la clientèle élégante de ne pas attendre les mois dé-grande affluence pou^ ynhir- fôirê sa cure dans la célèbre t btation.

répt~,kset~ta~dit Souüerârti ~Ponhf e ,rN'z J

h 1.\)(\1\1''h 6I y, $ ~r '1<1\1'["" E""

!el' ~i ~1>1 I?;:l. 'V:i~ FV"

4~B~tDBS Nous avons %nnon.{:é,.que Tony Pem. mers, avocat à Luxei&boltt'g, a étè nommé se- ~~ctétraire de légation et attache en cette qualité à la lég~~ip~A." ~xe~9Q~~}bF¡l:l'1', Pem'mers,~âtcn)M~ë6nrs de' dtS~vluxemcbur~e~is à

l'Université de trasbourg Il a publ'é à Paris,

:en I9ï;vît~ufljf'ë~i~t1'è:'{,~e!î.ttt¡. ~g de

'~ewM~ùneDt'ocEËre ou'*ir*rec]amatt''Ia (¡énon-

iciation du c ZoUverein &, et préconisait une

noUvenb\9litfi.futfbW'tJès< dèsdtiéè~ ~i&noii1ques

~t po~y~~m~ ~~s

et POIitj¡j~OI\.JI4Y~w.~VA~ ~riersigeoise. SS~sa~a 3~ ? m~ ~SMS~'ir(BVB~Ï~~MOASAC~ft A V

S.A; R. la princesse1 YolaiicIe.'eorntB&é' Gâlvi dr'Bergoloj et le -comte Calvr di'Bergolô s'installeront prochainernent à FerraVe: "'̃' '-̃•'̃ *'A LondreSj-lady Derby a donné un- dîner intime en l'honneur de S. Mi la reine ^'Angleterre et de S. A. R. la princesse Mary, & Goûter, élégant, -hier, chez. 'la- marquise de M.orttferrier^ •̃.

;#: Gqûtej:,tTès.éJégant,;chea t| "çioinje'ssejdé

Mferlemont. ` i .;̃'̃ Reconnu

1 S.-Esgcv KnViitetrËaujESAnéïft&iS^'co^jtSsse EhiitBâwarf, duchesse La -Rb&hèfoncMild, duc et duchesse de Polignac, duchesse de Plaisance, princesse .Aniédée de. Broglie, marquise de TalhoueJ, .cointesse de Duffprt, princesse Galitzin, comtesse St. de- AfontèbeiTo; marquise de Moustier, marquise -de Mun, comtesse O. de Ijijbersac,. princesse de Robeçh,. princesse de tia 'Tour dJAuverfine, marquise de J3érùjl«>, La Tour d'Auvergne, marquise de IJéruIlë; jirjnCesse de raucigny-Luèjritfe, pj-ince et princesse O.dë Broglië; comtesse d'Hundlstein;; coirite's'sè Ai d'Harcourt,- duchesse de D'ût-à-s, pHnce'èàé"I!'ir.

4e;.Pbligni«;, jeemtesse do -BlacaSi caMteskr.-S.

de-BéarnàJ marquis et; marquise ,da .Viriew, çrair tesse 4çrl,î«fjeolny;maçquis >*t-inapquisftv"M1yisara", comtesse lÎOTjiîJ^Vjjjraire, viebniiessé de Pdm'erëù, duchesse a^Çeggio, cojnte et com-

E, üê~'13"à~â n'tc~`~ômtes e r-~e ~âng ,~vonm-

E. de lîàTanlè7*t:omïesSe Tr. ae Tânge, vicom-

tesse de Durfort, inâfq*fîîs et marquise de Net-

t;anç^urU'niarfluis>.ticv^a4r£Mej)tic,oiiiwat.-»im-

tfis^a, Ii dsiMeplaS,4TO^te^j J4 idj* J^nRooîiè-

Id c~ esse ~,ps,~u;é,~ ~u<r.qn~

Ladoùcette.' comte et cbcatesse Ptmt 'd'AmunM~

Ladoûcette; c<imte: et çb?atesse Pnùl tfAiàniOB.

VÎéemtès-s^dg'RochecHrftetrrijàrpisd'feWil" court, comtesse de Fels;<Jm#Mjjiisê'udë !Po'j|Éo¥PootearEé; marquise jde"Xàs-éasÈs>. •comtesse B. d^'Jseijgeijlw^fCOBitesse'dei L"à":ïonr -du .Pin, marquis et marquise de Suyve, comtesse de Labriffe, comtesse VC. ,jLaube.spin, .mwquise de Barbèntânëj comtesse de Casteljane, com-

tesse ^mid^Will,eo!fait^se 'rftriïègnièr, vi-

comtesse dé vflloUtreyst cômt'e et comtesse Do-

ria^.Dr^aiBCî.CH. delBro«He,,ihàron «de Saandat-

Gïa%c6y?"c'ômte R. Se Villeneuve-Bargèmont, vicomte de Montreuil, baron de Ravignan, pyinCû,de Lceca eolonna, comte de- Gflnay,, M. -^ndré (JprFouquières, ]N1. <ï. R. Manuel, etc-^vr à c-a -baronne Le Vàva'sSêùt aidonnê, mârâ|,

ù'rië'înteréésante matinée jiJeTrnusiqtfei' ̃;i* '7

%>̃̃ Soirée dansante; le samedi 19 juin, -chez 1s .«smtesse > Maingard. :? ̃ ̃" ̃ 7 ) '%[ j)e, nombreuses invitations ,r.'étgnt pas parvenues, Mme de Korewo. prévient -ses amis^ qu'elle. riecevra encore le- 6 et -le 30 juin.

̃Ms&unœs'V *̃> ._•̃ 77 ̃ (

M. et Mme Jacques Godron sont heu-

-,la -n~is~ ~4ce i

Lille, 1 jum 1926,.

̃rM heoxtmïmefo. ksv.tomts^&K>Beïiiand

wHee.V» l«ufe mS, •)èartlRi tlo* m swUigsiî- H

~Hoe.~ ~u& 7ftl~ .~tK"~ <t'< a~ I~tHIS6't3~

^Jne^çjÇj B|)i«l.r9U_xrI<,afont..p,n,t,f;|e, pfeisic.. Je

..|4ijre |«£rt'de.. la naissance. ;dç ,ur f jls, Michel.

Pari~i~e.~i..mai';iQ26.

̃̃̃•̃ -•̃#. Marcel' Bevillettë ef madame née' Chanlaire sont heureux de faire part de la nais--

sa^ç'e. de, lèwr; plié, Monique,s" 24- niai 1926. t

̃'?,% Le lieutenant Bernard de La Fargé .et ihadariie néè= Germaine.' Jarrosson ,sont héuVéux d'àntioîicef là naissante de leur •f[lié;"Mîchelle.

;Ribâïns^; 29 mai.' 7 l 7

BIENFAISANCE 1 ̃•: 7, "*•̃

.V« ^[Association' des '^îjiié*' do!j|à-v*ieil"jçssV,'», ,'Ç, rue ..çle -Ëurstënh'er^; donnera j un premier concert-^ auJQurd'hui ̃̃ sarn,e.4>. tà:\>huit .heures trente du soir, » dans la salle jdiocésaine des GElivres, 76/ crue :• 'des .Sàitrt-Pèresf' sous présidence »ttîu: eha:noinë Fiaû's, "Supérieur ;des- chapelains Se 'Montmartre; It y; à eu strehtë ftlillé éntreVs de'viéil-

'J,Q~~b:I-ÜJf:¡,:J~I~¡~; ¡

a 'M. "StyM ïieiïië M* :d6JM%&tê' o'J

;Mèé;'par lëîi>rmcè8*é>*«feyi MiQfêl* dé$!Â-t

'fi'S'&" P' "al' 1,9, !p,. l' in',èè', 8!M'eâ~Yi"I!I,"h "i' ,déf1l.U-1

.ftfesitiô'iP ditj/c6nïttër,sel'vfr1jrfftiê éeCMïS^àl

tfcMè^'îèW<l'{|H*:èt d^îaétnW"1*?». s

«T^fr Mflîîstô'ï %le¥30g^R^fit|H^êSt! aêjaT lësitoMs^iës' '#ÎÔ#ï Hl^feis«lies!ifïi«(rfrî /«' d^uWpey (t 'le h«mBf>êJaite';«fiïrtie&'i«a-i cqre disponibles est des plus réd&it&KÈfi i Cn^programme qui réunit les « numé- vos ».. les. plus.. en vogue. Paris actu,ejlçnrent se déTouieTa an cours "dé cette soi-'

réc-À, JaqiieJUc^ont déjà souscrit -les pçr-

ùpftha»té%^i,is ;en,yuf"des miKeïix attisé vtèarattftupâjasisiensv M»' Victor "|3i)ncli|ri| Mme Maiid Loty, îl. Raimu apporteront leur entrain à l'interprétation d'un sketch inédit de Mme Colette et M. Léopold Mar- •cluyjd. Puis Jcap:yien,ei\jet Douçct « juz-. zéront » à deux pianos. "Un intermède de chant Mme Warvaxa Jaco^ef f. Les danses' se succéderont aux sons d'orchestrés universellement réputés, parmi lesquels « The International Flvé Aug•mented », avec Florence et avec Frisco dans ses 'numéros de charleSton dont i', est le ̃ créateur à Paris.

Une tombola' dotée "de six robes offertes par" Lucien Lelong sera tirée par M. André de Fouquières. Le numéro porté sur la carte y donnera droit, et chaque gagnante .aura, la possibilité d'arrêter immédiate- .ment son choix.-

hek' danses reprendront ensuite, dans tous les salon? et sur le rdof-gardenîéerlîjnemè'nt éclairé se déroulera la 'dor-î nïère .partie {}e,j[a.iê^, J)^j,ïÇont5alnIçs/luH niirieuses et des proi&C^i^RS ^l^p.tr^miési l^nceraatJems. geritesrdiafiian.tE0Sj4uns le!

i~Me~t?leqrs,rhesrd- aSl.(nns 1

-orolf>d»?!Wt-is' ans BoA6rttés''iieutftécs"d>ftnj

}azi!bantf ftfcfirev- -k.» >>,j'- ••• Puistj 'buffet et souper 'au chainpagne compris "dans le prix jd'outrée aiusi que les .nombreuses. attractions qui assurent à la fête* des 300 un succès sans précédent. Vllât.

-<

AU -CONSEIL D'ETAT

Le décret du ministre des colonies mettant à la retraite M. Garbit, ancien gouverneur de .Madagascar, est maintenu. Le 31 janvier 1924, le ministre des colonies signait un décret admettant à la retraite pour ancienneté de services M. Hubert Garbit, gou- ̃\erneur général de Madagascar. 1 M: Garjbil, estimant que le décret dissimulait •une véritable mesure disciplinaire, s'est pour\u de\inf le Conseil d'Etat contre la décision minis'crk'lU'. r J La juridiction administrative a rejeté liici: la requête de M. Garbit, se refusant à admettre <liiù la inïse à' îa retraite- de M. Garbit a «u le caractère d'une mesure disciplinaire.

3~ 'a¡;¡r" <

lards en 1925 dans les quatre foyers existants. ̃On trouve "des "billets, 76, rue des- -Saints* Pères, et, ^ïr-ue'de Furstenberg, à.t dans les conférences Samt-vincent-de-Paul.

C'est' lundi prochain 7 juin qu'aura lieu ̃ l^H^' 'dç-vM- -ïjôciéjl dë^|Bienfeisancé Hel^ | feniqiië" Elle 'sera suivie" 3*un dîner et'' d'ûS- bal daçs.i}e6.!5alo,nS||e la ï?gn|ationî Rothschild, i-.ii, ru#fBerilyw/îïe*jtuar4è1.*5àm. -.7 7, ;j On trouve des billets, rue Auguàte-Vacque» i"6' -'W'SBt'SaJift »^'<t.i;r! vi /̃;̃̃. ̃̃»̃ '•)'

cêè&ïasid»nh& womimmoO-al mt\

Lundi 7 c^ltS^I^sil^ae « l'Associa- tion Paris-Amérique" Latiftë" », 14, boulevard ,dtr' 'là'. Madeleine, aura' lieu t'a, conférence' de ̃ M' G.7Eac'ote-Gayet7dé:;l;!Acàdémie^dés sCièfti '• çës,mbra'ies p£'pr^litîqbes,5ur '«, la, princesse "Se

WEétternich »')̃/ '̃/•̃. i' i, v.7

̃« L'ASsoêiation France-Grande-Brèta^ gtte'j^.à donnéj cette année, s'oh 'déjeuner- annu^ en ,1'Jb.oji.neu'r de: 'S.Exc.' lord Har'diage ôf Pénsnurst, ancien ambassadeur- "de GrandeBretagne à Paris, et de S. Exe. M. Jules Cam'r b'ôn-, de 'l'Académie 'française, ambassadeur da. France. -Ce déjeuner a eu- lieu le jeudi 3 juin; àuOércle' de1 lat" Renaissance, sous la présidence àif'S.' Exc.r;M." "Philippe Crbzièr, ambassadeur.- dè^Fra'rice. 'l Le gouvernement français, désireux de .s'associer à l'hommage rendu à" lord Hardihge, s'était fait Représenter par le ministre de la marine, $1? Georges." Leygûe's. "Le président du Conseil éÉait fSersonnél'ement -représenté par M. Corbin, directeur au ministère des affaires étrangères.f ï .̃̃ -M,

De nombtéux invités avaient répondu à l'appelj ,£e « l'Association Fxance-Grande-Bretagn.ft '», parmi .-lesquels ,v., 7 ̃.̃'̃' ̃ r, '̃'̃ihe .mai-échal Foch;- M. l'ambassadeur BonipferVMM.v-Paul' -DouniefPj' François-Marsàl, Lou- ckfmti Le,/Xfacq«er, TJ}sHrtSro,.I)EmiIe Borel, i**«SB W-màW®ilJii1>^MKÇfV -Risler. tfen-

Sl{ijJs'»-'Miiçjv E|ic,j TEhjpDs, Çalvill, s.sir Char-

f

htc '(ïrange.'fcônîtB- *t -cqrfrtèsBe J.featf ae^Castér-

Iftd6~ ri t 'cq1IÎf~ij;b lTe';ltftle' ':CIiHéÎ'~

l»a«¥8tt^%tP{:^nlégs^Stî'aèT'CSsKllaBè,sornfe

te Serge Fleury, etc. -;̃ -t.

MARà&êÈ^ •K*i\V\ ~-â

.a ¡.t,

*7_: Nouï apprenons le niariàgé'de Mlle Christiàne Pouderbux, fille du colonel comEiajadsnt.ile- régiment, des sapeurs'pompiers et de*Mme Paul Pouderoux, avec M. Gérard Bardet, fils de M. et Mme Jean Bardet. ̃ On annonce les fiançailles du comté Ayjnat;-4e Gestasde. Lespéroux, lieutenant au 6° dragons, Croix de guerre, fils du lieutenant5Gplonel et de la comtesse née d'Eudeville, et idc^Mile 'Marguerite Barre, iille .de M. Charles Barre, chevalier de la JCégion d'honneur, et de madame née Lemoine, décédés. I<e,1mei:creflfi.72. juin, on a célébré à Troyési 'dans la plus -stricte, intimité, le mariage içs Mlle EiE,rfly.;{Lièvte avec M. Yves Lyon. 7* ̃ ̃

.i Qn .nous prie de faire part du mariage de M, Franck, décoré déjà Croix de guerre,; avec Mme Cazeaave. La- cérémonie. >a< éçé célébrée idàns1 la-^îtK* -Stricte1 intimité. ̃ ̃' h~- <

j" ·.

DBU1L- -,>

On ann*Q^cJj^dè,]i,3?on,Ck:>.inort de la baronne d'Auferville^iaéQ- ^-P-icot La Bcaume. 0%Wft§llilîJ%^rt^lei(M-<AI1lré Chate-

net, direftfeWWIèrvifcëFfechiïi^tiés de VII-

*W~1~~j~t(tVlt~¡S,e;ir¡q~:f d~'f~

On annonce la, mort, à Toulouse, du colo- nel "dét'Sdles 'i# BàiîèrèSyrtomàisàdéW de la Légion d'honneur.-

̃̃ ;;••̃ .•• .-l •>̃̃̃Serignj.

'Nouç rdppelonà que tes insertions iio'n"jiç.rfiànt |fl .rqftçïqu'è. « le1 Monde et la tille s7 sont reçkes à' nos bureaux et que ides conditions spéciales sont faites à ïio?

abàritiè?? "V •'̃ .̃•

'1. "K.li i =rrr. •• r–i r–

̃y- RKTITCARNBT ;r

uh l ï,vy>.>: :;̃̃̃̃-̃̃ 1 •-•• ..•-̃.̃

v.. Les Caves de la Haute Mère -Dieu orit su justifier leur réputation, mondiale en acqué^râçjt l'a récolte Mfiàut.-Ènon .191:9, le Roi des

.-Bordeaux.,

̃;•̃>? Adresser les; commandes à M." J.! Meunier, Caves de'la 'Haute Mère-Dièu, Châlons-sutMàrriéi-' Franco' domicile France. fia bouteille, "JJS'ïrjnisi. La émisse fie ï 2 bouteilles,, 408 francs.

Mlle Eugénie, R Shonnard

s :toKjp. •> .•TTnr'Tr- ,.> ->"

*'1 Sflfé'-Bi^nie P. ShoMia?aî»esfpas une

.ïmM%m.&mW'?fW>iiotâ% première

fois, il nbUs "eét .feVnirs. de- contempler un !ëi»teiûbK T)uièèantïïe-sô"ii' teûvrè' de' Sculp1lgur*4irffâiT:»s *d.é,^ WHJèM' le nom de ''èféïte Jfîthe' artiste anï&iëà'ifie'qtii connut ^consécration' du ^âlQn" d'Aùtbilïhe, de 'la Nationale et des Tuileries. •' Aujourd'hui, âû"x Gàleriès^Âllard, 20, rue des; -Capucines, Mlle Eugénie F. Shonnard expose une soixantaine de sculptures qui donnent jjne heureusç-idée de son talent -si

ÎAriginâJÎ >et -Vafié. BiV > bônhe} JÛnèricairie,

̃Mlle Saorinard a beaucoup Voyage, et Je^ étonnants Indiens dont elle a rapporté, taillés dans le bois, les masques expressifs, ne sont pas des personnages de léïfieo'dé. Sur place, à New-Mexico, dans tAmmia, l'artiste a étudié ses sujets et tenté t|e percer le mystère de leurs âmes renfermées. Dans le chêne, le bronze, le bois des • îles, le granit, elle a fait revivre^ ces êtres, fiers que sont les chefs indiens, les chasseurs; les PeauxRpugos. Son chef Ohiyesa en communion avec le Grand Esprit », œuvre de grandes dimensions taillée dans un bloc de bois des îïes, est une évocation puissante et d'une grande pénétration psychologique.

d La Bretagne à aussi tenté Mlle Shon,nard, qui en a rapporté' quelques beaux /types de paysans. Signalons enfin les ani-

maux, lapins, gcenouilles, chats, chameaux,

marabouts, -.oiseaux, silhouettes vivantes 'qui ̃ émaillent agréablement cette exposi-

Wïi'Vrt'-sftrifMtt'iimx •seuls. de -véWtables petits

~'t~7~' ~Y~ds~~Ÿ9lq`t~,(~~J$ fo r g'p,e t,l:S

/^x. anuffe, ,une, ^mfp 'daquRreUes aux

faj^SJ (Jisfer^êl[s évoquent les lointains pays

lOÙ séjourna Mlle Eugénie Ff Shonnard qui, sculpteur détalent, se révèle aussi un ̃peintre délicat et sensible. r

André Nède.

r-» *>

A L'HOTEL DE VILLE

.1;' ~7, b

JjeTfsausée de l'flygiène

Dans le rapport qu'il vient de déposer, M. Rocland, conseiller municipal, constate le'SHccès croissant dû. Musée d'hv,gîène de la Ville de Paris.

Lt«s travaux du pont de la Tournelle Les travaux de reconstruction du pont de la Tournelle sont arrêtés momentanément. Les crédits affectés à ces travaux risquent d'être dépassés. Les ingénieurs ont décidé d'en référer auprès riu Conseil municipal.


DERNÈRV MEURE

'>i. nf~j~ 'B.£ft~

jnL T 'c'>

À WASHINGTON

L'accord sur le règlement de !a dette française

̃ 7/ serait examiné mercredi par la Commission sénatoriç^:

̃̃•̃ des: finales .T"

!̃̃.̃̃•̃̃>• TïtTT :i- 'v^' flOF,*

Washington, 4 juin. M. Smqot,' président de la commission des, finances, du Sénat, a déclaré que la commission commencerait mercredi prochain l'examen de l'accord franco-américain. Elle entendra d'abord le rapport de M. Mellon.'M. Smoot a ajouté que la commission ne se hâterait pas et que la question ne .viendrait pas au Sénat avant que le Parlement français ait ratifié l'accord.

Cette déclaration de _M. Smoot prend une importance particulière du fait qu'il est, en même temps que président de la commission des finances, membre de la commission des dettes et qu'il doit se faire, devant le Sénat, le défenseur de lfac1-; cord. •"̃'̃•

La prochaine session

Conseil de la S* D. AL

̃̃ •'• Hl ̃'

Sir Austen Chamberlain ̃

quitte Londres aujourd'hui

Londres, 4 juin. Sir Austen Chamberlain partira demain, à 10 h. 50 du matin, pour Genève. II. sera accompagné de M. Selby, son secrétaire particulier, de M. Malkin, du'ministère des affaires étran- gères, et de M^Nortoniiattaché aiù^seifyieiè de la presse du ministère dés "affaires

franger és^ On; ignore'; èftçor;e '.s'il '.s'aï^êf efà

.a"Pàris, mais on croit, gu4^éla€si'p,puuRp;f

ilabïe.- v" ̃,•. "• 's

Le départ de M. Briand

Contrairement à ce, qui a ..été annoncé hier, M. Briand ne quittera pas Paris ce

soir. •- •' "•'̃

En raison des débats dir Sénat, le' président du Conseil ne partira que dimanche pour Genève.

-»" .1

M. Ekman forme îe cabinet suédois ~i

STOCKHOLM, 4 juin. M. Ekman, chef du parti populaire, prohibitiônniste, après deux jours de pourparlers, a réussi à former un gouvernement. LA LOI DE^Suft HEURES^ A LA CHAMBRE BELGE

̃il

N /Bruxelles, 4 juin. La Chambre a adopté, par 111 voix contre, 3, le projet de loi approuvant la Convention de wà- shington sur la loi des huit heures. Il yt a eu quatre abstentions.

AU MAROC v

.;̃•• ,i y. ;n. <̃»-.̃̃ ̃ ̃̃̃ 'A ;nr'l

.ks'(o~v~r.a;ti(JI1$.' '\1'

sur le futur statut du Rif commenceront ce matin

~E 4

Le général San Jurjo, haut commissaire d'Espagne au Maroc, est arrivé hier à Rabat, accompagné de plusieurs officiers. Le général Boichut a offert un déjeuner en l'honneur du commandant des forces espagnoles. M. Steeg, le général Mougin et diverses personnalités y assistaient. Les conversations sur le futur statut des tribus' rif aines commenceront dès l'arrivée du général Simon, attendu à Rabat ce matin.

Interviewé, le général San Jurjo dé-; clara « Je ne suis pasvenq à Rabat enj visite officielle, mais simplement pour répondre, par pure courtoisie, à une invi-' tation'dii général Boichut.' Dites bien que le résultat militaire si rapidement obtenu est le fruit de l'entente qui présida aux opérations. C'est par cette entente que nous avons vaincu. La guerre est maintenant finie. La victoire doit se traduire -désormais par une action politique. » < Abd el Krtm à Fez

Abd el Krim est arrivé hier matin à! ;Fez, à 8 b,ej\ii]es),;çn, automobile, venant de' .,Taza. ,11 était accompagné., -de, BjOU-Jibar, ,^on secrétaire, et d' Abd el Caïd. Sans aucun céré iùôuiàl,, ifa.1élië con ~4 'it à la maison, Iquée à son, intéàtipn.TDésnoï1-' .dres très stricts- avaient été donnés porçri que personne ne piat approcher le rogui' prisonnier yolonJmre. Son arrivée" ne donna d'ailleurs lieu à aucun incide^Dt,

L'OPINION BES AUTRES

ratificàtiQa^des; accords 4e, Locarno' Tn'a jamais fait de doute pour personnie, mais, comme dit le TEMPS, la discussion qui vient de se terminer au Sénat n'aura pas été inutile piusqu'ëlle a mis en lumière certains aspects de la situation '.nouvelle, créée par la conclusion du récent traité germano-russe V

Certes, quelles que soient les circonstances actuelles, la Franié se doit à elle-même, au grand rôle qu'elles joué Locarno et au pres^ tige que lui a Valo le bon effort de M.Âristiflé Briand, d'aller jusqu'au bout de l'expérience ,<iu'elle a voulu faiiç en. toute bonne foi. La ratification des accurfs 4e Lncarno. s'impose.II ,ne faut pas que la moindre Jiésit»tion dan^J'ât-^ "titûde française, paisse, .iournir, à i Aflemagna

un semblant ~e, p°etextë~üpr'ievéûily s~

un semblant de, ç;-é,texte pour reyéhlr s$ la;

décision de prinofpe qu'elle a du prendre çn ce qui concerne son admission dans la Société des nations, dont dépend, on le sait, la mise en .vigueur du traité du. 1er. décembre 1925. La voie de Genève doit demeurer ouverte aux Aile* mands, et s'ils ontl'intention de ne pas y aller plus avant, il importe qu'ils ne puissent invoquer une erreur de tactique de notre part pour .essayer de justifie- leur propre défaillance il importe qu'ils soient obligés deiprehdre toutes leurs respbnsabilWs. Certainement, la signature du traité gemiano-russe a constitué pour Locarno un fâchtux lendemain, car, avec la meilleure volonté du monde, on ne peut y voir autre chose qt'une ccintre-partie du pacte occidental tel qu'i1 été établi. Il est possible que le gouveraennnt.de Berlin ait été-obligéi pour des raisons de politique intérieure, de tenir compte de l'dat d'esprit des conservateurs Allemands il estpossible qu'il ait Vflulu' donner à Moscou, qii attendait après -le traité, de Rapallo nne alliaice ferme de l'Allemagne et des Soviets, une satisfaction relative pàt-'la conclusion d'ur simple traité d'amitié et de neutralité. CeU n'empêche que l'accord ger» mano-russe, onclu au lendemain de Locarno et avant mène que le Reich' soit admis au Min de la Société des nations, a tputps les apparen- #es d'un gestî de dépit ou njênie d'^A flé».

~y' 4 y4~so~;

Le président Moscickî a prêté sèment Mer £

M. Martel a remis ensuite

,(;¡nt>t:r'ir)rjt!1t 'tuW!~ 9& ë\T:bc MtO ?':

qui a ete acceptée (.;r0,,

.If" 'p

Varsovie, 4 ̃jjuin. A. midi a. Biî>ii.eu au

Château Royal, selon le cérémonial traditionnel, l'acte solennel de la prestation de serment par le nouveau président delà République. '̃• • Les membres de l'Assemblée Nationale, du gouvernement, du corps diplomatique, de;la presse; polonaise et étrangère y assistaient. ̃

Aussitôt après, le cabinet Bartel a remis sa démission au président qui l'a acceptée. M. Moscicki a chargé les ministres démissionnaires de continuer leurs fonctions jusqu'à la formation du nouveau gouvernement. ̃.̃'̃'

L~ QUESTION D&MOS,S,QUL""

̃ > 1,'açcojfj anglo-turc i '.} serait signé aujourd'hui :,V. CoNSTAKTiNot'LE, 4" juin. 0n mande d'Angara qu'ion, accord général est 'intervenu àji sujet de MossouL Les divers protocoles sont. prêts à être signés. I}s comportent un pacte de sécurité et des ac- feords; au sujet des frontières, des doua* nesv du. transit et de l'extradition; II est probable qu'ils seront signés demain. r

̃UZ-ii-r,; ̃'•.̃.̃̃-̃yfr.yi>Q,.> ̃: ̃̃-̃•̃•̃ ̃̃̃̃̃>̃

̃̃m»"i )'.< »ln^f) .(."is^ajl $j> fw.y/ '̃̃ ",̃» ̃̃̃ ̃ i al

.#; mft^&twmm A

f})Uf:0'r n~ w r o:I~r ~jTJ .:1

¡~,I; 1¡J 't ,'L:(lj;'j: ,lt'h"-t: \> ');~ .]

-:ii'LE'CA.ïBEv>4Miuin;;li–iiAàly pacha, qui 'ai -été pressenti 'par îïagipui pachà comme futur bfemrçf ministre égyptien, a euaiiT j^jj'rd'hui.uh.. entretien avec le haut 'çbjn?missaire britannique, .̃• ̃̃̃̃̃̃. Il Au cour& de l'entrevue, il a été.ques^tion de la '.formation du' nouveau ièaoinet égyptien.. ̃

Le Consul américain «îe Nagasaki arrêté sous Finculpation d'espionnage JTokio,. 4 juin. ̃, Le consul américain a Iflagasaki a été arrêté, accusé d'avoir pris des photographies delà base navale de Sasebo.'Cêtte arrestation pourrait ame?ner des complications internationales. Le ministre de l'intérieur japonais ne le suspecterait pas d'espionnage, mais crainait que le public interprète faussement la violation par un Américain de la zone fortifiée. Le consul est néanmoins détenu sous l'inculpation d'espionnage.. LE CONGRES FEMININ La journée des femmes parlementaires

b' ls Gongi>ès= féministe se' tennine*^ bien\Ua mm, qft'»n;iieUbinBi«nbîlô;»aei4|!SJsat' fragistes se soit ralenti. Des «ihi ®,aeJles 66 rêunissalenitilier, sous la pré^ld^tic^ do Mme:Bakkër-Nbrt, député,' pendant que d'autres déléguées continuaient leurs visites de propagande, visites au coûts desquelles les féministes ont brillamment utilisé leurs puissantes qualités de diploma-

tes- `.

C'est ainsi qu'une délégation conduite par Mmes Brunschvicg et Corbett Ashby fut accueillie « avec sympathie » par M. Briand, au Quai d'Orsay au Sénat, M. Louis. Martin recevait une seconde délégation une troisième assistait à une réception organisée par l'ambassadeur de Tchôco-Slovaquie.

La trésbrière du Congrès, raprès-midi, a exposé la situation de l'Association et proposé la création d'un bureau central de l'alliance pour le suffrage des femmes. Après une demande de subvention, par leur trésorière, les déléguées, dans un élan généreux, s'inscrivirent à tour de rôle. La France, donne 1.000 francs, Ja* Suisse 4.600 francs, là'Finlande 1.000 francs, les Etats-Unis 1.000 dollars par an, etc., etc. A la réunion de la Sorbonhe qui se tint le soir, Mme Furuhjelm, ancien député de Finlande miss Ellen Wilkinson, député dé (Grande-Bretagne :f miss Wy$e Power, député "d'Irlande Mme Plamînkova, sena\f%it de T,chéco-:Sloyaquie, ,Frau, Dr G. Bau-

mpr,('- député? d'Allem.agpe j Mlle Westpr-

nxanxt, .député ,,dft,.Hoilande Frau Rudel:

mfll1.U, ¡dé ,l>" ~t&"[;df\ "J;lo!l, ./lllde, ;¡1,r,IlIJ., ",Ru, ~é·

Zejnek, député d'Autriche; Mlle Kétty, 4è-;

puté de Hongrie,^ ftc»i, ont successiyéniejat

ijarté^ -des. amélïbïa^os, -apportées par"' lés

femmes dansées1 Parlements et d>& lp}^ «pciales présentées; par lelles et, -qui furent

adoptéejb- :•̃ ,«;-• ̃>?. •̃.̃•

.•'••'̃̃̃̃ ̃̃̃̃> ̃̃̃̃ .̃̃̃̃̃̃̃̃' ̃̃ r. :g..

La t^èse française devant le problème

dtt #saf fliemeût

.i. ,«-'

Dans la RENAISSANCE; M. Jeap Monti- · gny,! souligne fort à propos le rôle joué par M; Paal-Boncour lors des récentes réunions .de [ la commission internationale chargée, de préparer le programme d.e la future conférence sur la limitation, des ar

meihènts •'

Il s'est, trouvé, dès l'abord, 'en face d'un bloc anglo-saxon formé du représentaut de l'ABgleterre, de celui des Etats-Unis <ceiiï>ci, à l'inverse de la Russie, avaient accepté l'in(Vitatioii à la conférence) et de çelni de l'Allemagne, qui, pour des raisejns diverses, tendaient, â orienterconférence >'ers "ce but commun à leurs r yeux essentiel le 'désârme-

:SwéHt'"de''ïa 'Watieel' ̃̃ ̃̃̃'̃̃̃'̃ .k" 'i.-

3* >0«el t«t;<aevànt ei'Mloe ipnlsSfâSt, le'jèa

,~el'c;f'ut;;ld,é:vànte~Jh1.acpuislÎlllJît, .le' jeu

dé» PauPBoncoiiî-;?' Alors que la: -tWse. adverse

était qu'IJ convenait d'exiger,,dès maintenaot, la réduction des armements visibles, par conséquent dès atmées* permanentes, le représentant de la France déclarait î'

1° Qu'il fallait tenir compte,' non' seulement de cet élément, mais de tout le « potentiel de guerre »' des Etats, c'est-à-dire de tous les élémenis' pouvant constituer la véritable puissance mihtaire ressources industrielles, écofinancières car il y aurait une véritable1 duperie à n'envisager qu'un seul élément les effectifs du temps d6 paix, surtout si l'organisation de ceux-ci est nettement défensive

̃Jf* Qjie.là réduction dès armements' dépen-

edra du degré d'assistance donné par les autres membres de la S.D.N. en exécution du Pacte que celui-ci prévoyait bien (article le) qu'en «as d'agression, le Conseil aurait ledevqir :de"« reconnaître aux divers membres de la Société par quels effectif s militaires, navals, aériens, ..ils devràiéat contribuer, respective- ment aux forces. armées, destinées- à défendre la victime { mais que, jusqu'ici, aucun mécânîsme précis d'exécution n'avait pu être mis to vigueur, de sorte que la' victime éventuelle d'une agression restait exposée à! .ses idéfendre pendant plusieurs semaiaes, entiéreraeut seule,

Iiocarno

Les Àecoi^sée Loearno au .1 Sénat

[SUITE i»Ë JSAPRÊUÏÈÉ&TPAml

JÇië> haut commandementfj éiè5|oii»plèj

itement réorganisé avec vôriiSe1«Sr1cBmmr généralissime, ainsi que' le grand état-major. Nous n'avons obtenu, aucune satisfac,tion pour les. diverses armes-.de ^ueçr« i enfin, en dépit de nos observations', 'îes^S;

sociations politico-militaires'- en: relatïôwS'

iâvecla Rejchs'wehrcontimieïitdé se muks

itiplièr. •> •' ̃.i1,V-;v. ,t..iV

Les derniers accords pour ^'aéronautique, passés H y.a quelques jours, ne laissent rien subsister .du traite ,dè vecsRllles." Là question ide l'impoctaflon; du^ matérieLVde gaerre»- n'est

g%s.»encoi'e rsgj.ee..Xe^bud^ejt allemand de, la

guerre laisse place à de _e sérieuses "reî flexions i'ï^'iF n6usc;~monîrei ce \qtfil faut penser de la pauvre Allemagne: compjèt tentent désarnjée. Les crédit^ .pour l'instruction d'une armée de cent'iùille hommes s'élèvent à 116 millions de francs-papier, alors que l'instruction de notre T armée, de ,600.000 hommes ne figure à notre budget que pour 1 28 millions. Nous avons là la preuve que l'armée allemande est une armée de cadres et que l'instruction- qu'on donne aux spldats-,est ̃ une instruction de chef s. ;V

M. le général Bourgeois a confi.iahce en l'Angleterre, mais ̃ cellerci: est loin et 'on peut craindre,: en se rappelant »,lesprécé? dents,. qu'elle ne mette longtemps^ niobi-; liser enfin, dit-il en terminant, il faut' craindte que l'Allém'agne, admise dans îd* Société- des nations, n'obtienna la >sùppfes-i sion du service obligatoire, ce iqui lui donççrâit Une supériorité éclatàate. puis- qu'elle a déjà, pour son compïé, 'constitué laf plqs solide des armées décadrés. Craignons que le désarmement ne- §oit celui de.lflt. France.. ( Le général Bourgeois est chaleureùsÈment applaudi à droite et au centre, puis1, après-une courte, suspension de.; séance, la paçpîe est donnée à, M. Çh,ênebeii,ojit.

Le sénateur de l'Aisne appelle l'atten-

ti~ Le ¡¡énateur, de "l'Aisne app~~l.e, "4uç

tion de l'Assemblée sur les dangers "que

présente la tentative de rattachement de l'Autriche au Reich. ,>iv.

'Ihf'llut ,.que :la' lFo1¡anœ athame politiqne du D.apube. ,yiis:à-yfs ,de l'Autijiç^e, notre attitude doit être SyWpathiqufe, mais1, nous ne

pourrions accepter 'une annexion* ae-10 mil-

p'<Ín,r, rio, I1saCCI!Pt"er .nouveaux au Retch. Le. m~

ilonij; «t'AUçjn«nds ^nouveaux t au Reich. Le- va(^

ment parler à l'Allemagne est venu. H* faut pas que Mlle'ma^nè'grigjîeîïWgùerfe en s'ànnexant< l'Autriche la paix européenne doit être au-dessus, de toutes,' les ambitions.

(Vifs applaudissements:) "v

• Au milieu' du silence unanime de l'Assembléey M.- Briand, président du Conseiîj monte à la tribune. r <•̃ •' l Il commence par rendre à rœuvre'Jpvaw çifique. de M. Leon Bourgeois dopt il; ne fut, dit-il, que le substitut, un hommage auquel M. de Selves se joint l au nom' dit Sénat, puis venant au fond même- dtt' dé- bat, le président du Conseil déclare que les, accords de Locarno ne justifient ni les excès d'enthousiasme,' ni les excès^il'e pessimisme auxquels ils ont donné Këtl. Ils constituent un bien relatif». i;' La garantie que les Etatsjrlfnis etl'Apgleterre nous avaient promise à\Versaiites nous est par eux en partie feridtie.. J*'J'

,,?: ,tStd

On dit à propos de Locarno ;,J'^ngle'te^r.e, l'Italie ont1 pris des précautions" en ce'qui Concerne les conditions de leur intervention éven>- tuelle. C'est vrai, mais tant mieux, car cela nous garantit que l'Allemagne sera attentivement surveillée. L'une des ,meilleures garanties; de paix pour les peuples, c'est la possibilité de discuter avant la guerre. (Applaudissements.) i '• Mais Locarno nous enlève-t-il 'aucun moyen ~~i d*aotion ? Non. H est certain qu'avant tout un peuple doit s'assurer lui-même contre le danger (Très, bien t) et ne pas laisser coin- promettre l'exercice de^, spn droit de légitime j 'défense." L'orateufirecqnnalt que laiejiB&Jj^iénalie n'a pas toujours été parf aitètném<'resp.ec- )tée mais il. ajoute qu'en cas de vlolatioh caractérisée la France pourrait, après" Lo- jcarno comme avant, intervenir. tout de suite et appeler à son ,aide, des peuples qui ne se déroberaient point.. Si une pareille combinaison' de .traité avait existé en 1914, l'Allemagne aurait-elle osé com- mettre son agression ? (Applaudissements,) Elle l'aurait au moins,fait réfléchir. M. Briand fait ensuite l'historique des accords. Ils ont eu pour point de départ une démarche de M. Stresemann. Immédiatement, nos alliés' 4e 'l'Est! et l'Angleterre ont été prévenus. Sir Aùsten Chamberlain s'est aussitôt engagé ̃vis-â^vis de nous, mais il s'est, pour la Pologne, sré.^seCTé d'étudier la question. Prague et Varsavie ont, de leur côté, approuvé notre action qui a abouti à obligée l'Allemagne à reconnaître sa nouvelle frontière de

l'Est. .il: «

Le vieil adage Si vis pacem para p,çl- lum est maintenant retourné. C'est lé sys- tème des solutions juridiques qui prévaut aujourd'hui. "• Mais les accords, de Locarno signés, la tâche de paix n'est pa^ terminée. Il faut prévoir des accords économiques. La aussi il y a des* dangers de guerre. Si un peuple n'a pas sa li-ï berté. économique, et financière, il cherchçr^ $,.la conquérir, pour échapper' à un esclavage

plus insuppo^tâbïçi^quoxcçjui.. :qu,'impôse un^

plüs lDsu,p,por,table, qpp ~hCÇ,lu,I""q.U;Jmpose nn,,e

guerre., (Applaudissements.) ̃"

It.faùt donc qu'il y ait, des contrats économi-i

ques entre, lespei^ples., four, cela., $f faut ps&j

qtie les pe>ipie's s~ierit -étein'ellement dresg~s,

que les peuples Soient éternellement dressai

l'uniçpntre l'autre. Ne doi^pn pas chercher pari tous les moyens d'échapper1 au cauchemar de la guerre Je l'aï cru et voilà pourquoi j'ai >assé les accords de Locarno. ̃ '•' ̃•

l' laÃUii8id"Wn't'~illèfi!qj

fin" attendant décision du Conseil, et WW-i sultat de ses « recommandations». n • • ̃• L'Angleterre est d'autant :plus tquché&i tar] ̃cet argument qu'elle est- responsable de l'écft«ci du traité d'assistance mutuelle et dUsBre^o-:pôle, qui avaient précisément pour but de boû-! cBêr ces lacunes inquiétantes du Pacte. < II est à remarquer que la mise en vigueur des- accords de Locarno laisse subsister ce péril, ,puisqu'ils aboutissent, en tout état de .cause, à des décisions du Cofaseil,, dont il ne faut assurément pas sous-estinie^.la forme ^njor.^lè, mais qui seront impuissants à: doijnjèr. une protection immédiate à victime.' La thèse française, pleine de bon-sens jïL logique, fut soutenue par l'Italie, la Belgique,' la Pologne, la Petite Entente et plusieurs pays scatidinaves. Le bloc.angJof-sàxoBMut é'inclirier,' et voter le renvoi au Çonseil'd.un. roemoj'andum basé sur les demandes françaises. Paul-Boncour a remporté là un succès dont sa modestié a peut-être empêché d'évaluer l'importance. La plus belle cliente de son cabinet, la France, lui doit une reconnaissance d'au,}flnt plus grande, que fous. les partis peuvent a!y associer. v J; M- Jean Montigny fait justement obser- ver que la plus belle cliente du cabinet de l'éMnept avocat la France, lui doit 'une reïbniiaissancé d'autant jplus graiftl j que tous les partis peuvent- sfjt associer*

'̃'• "J0a ya la frQfogfti ~$

Les innombrables amis que 'la Pologne compte dans notre pays suivent avec un; intérêt passionné l'évolution de la crise politique que traverse l'ancien rovaume desJagelloHs. Dans la REVOIE DES~DEUX MONDES, M. René Pinon étudie objectivement le rôle dir maréchal Pilsudski Le maréchal a fait d'abo'rd,(}I1;,Rû~si~: contre l'autocratie des Tsars, carrière' de patriote polonais et de conspirateur il connut -les cachots et la Sibérie. La guerre venue, il fut du nombre des Polonais qui .crursiit ^u^/ pogr dbtenir l'indépendance de leur^-patrïe opprimée, il fallait d'abord détruire la Russie. On doit se

garder de le ,lui reprocher il s'agissait,» pour

un Polonais, de choisir entre deuç, ennemis, ïé Busse et l'Allemand; ttàis noua' àvqns le droit de ne pas oublier que d'autres patriotes polonais résolurent différemment cas de conscience national qui se posait devant eux. PilsudsM organisa donc des légions pijlonaîses qui combattirent la Russie avec. les armées

à$$ Empires centraux ,j quand la ftussje, tfic-

M. Briand -en vient ensuite aujtràité ger-

mano-russe. Par celui-ci, l'Allemagne é dit simplement aux. Soviets «' Si vous êtes attaqués sans provocation de votre part, je resterai neutre », et les Soviets prennent le même engagement vis-à-vis de Berlin. S'jilin'y avait pfis eu les accords de Locarno, crpyei-yous que ce traité eût été un trftité de neutralité''? Dire que ce traité, au moment où il a été signé, était' opportun, cela évidemment non il'a a soulevé une émotion assez vive chez Jes signataires des accords de Locarnci. Hnous'a été déclaré formellement, que ce )tr«itéi était esse.ntMl,ej)ientjl .PMÎfiflVÇ 41 qu'il ne portait aucnae atteinte a aucune des obligations qui résultent ffouf'P-A'litmaffité'des traités vu désaccords précédemment passés.

i C'fst fine déclaration; qiie je suis autorisé

r ~a(rè, .laaouté;, que s.nlâ ~ussnésf rééll,e·

a faire. J'ajoute qiie;s.i';lji' Russie' est réelle-

ment une 'entreprise de "subversion, l'Allema-' gnè isè troirvera, du fait de son' traité, avec elle dans- une situation difficile. Pour nous, nous nous | bornons à demander que le pacte de LocarnO;,et le pacte de 1* S.D.N. soient respectés. Et quand l'Allemagne annonce, qu'elle ;le_s. respectera je yeux la croire cela ne m'empêche pas de~ vouloir que mon pags veille à jso sécurité. (Très bien Très bien 1) M. Brignày après avoir rappelé son intervention au Maroc et en Syrie, proteste de: li volonté pacifique de la France. En i Allemagne aussi, il y a; des éléments de. ipaix.i.Ou'nepëut admettre « que^ce/peu1jple et le peuple français doivent être "condamnés à se déchirer perpétuellement., Je nespeux, je ne veux pas le croire. » Nous aurons encore des difficultés dèr main à Genève, mais toute position de mauvaise foi est difficilement soutenable. L'Allemagne devra se mettre, sur ce point, d'accord avec ce milieu. ̃ 'v ̃• 1 >. EtM. Briand; qu'acclame toute l'AssemMèV termine eh ces termes

il est absolument impossible que-l'AUema,gne vienne, parler, à .Genève de l'Alsace et de la Lôrrajuet. qui ,spnt partie intégrante de la France,. (Vifs applaudissements) et dont le cas ne saurait être invoqué devant la S. D. N. Ceux qui se livrent- en'Alsace à' des tentatives contre l'unité nationale ne le feront pas impunément.» (Applaudissements.) ̃ y ̃•> ? Le pacte de Locarno n'a pas créé l'idée de désarmemenfa,(JùfcJ»r%nce,c.J«*âOttr çù elle aura des garanties de sécurité complète est prête à désarmer comme les autres nations jusque-là eljè'sè .Contentera* d'appliquer et 'de' développer le' pacte de Lucarao que f je vous Supplie de voter à. une grosse majorité, pour lui donner plus d'autorité. (Applaudissements.)

J'espère que vous voudrez bien répondre favorablement à mon invitation,

C'est la longue salve d'applaudissements, et la discussion générale est alors close, ̃ .̃̃̃ ̃̃

jRépondant à M. Chênebenoit, M. Briand précise que, les accords ne portant aucune atteinte au traité de /Versailles, rien n'autorise, dire que l'indépendance de l'Autriche est compromise par eux. M. le comte de Blois déclare qu'il s'abstiendra, car admettre l'Allemagne dans la S. D/N., c'est' reconnaître implicitement qu'elle' a accompli toutes ses obligations ;du traité de Versailles, alors qu^il n'en est rien. ̃• v

Après cette dernière intervention, ou p&ssetau vote, et, finalement, la Haute As- semblée entérine les accords par 272 voix contre 6,, sur 278 votants. Les sénateurs qui ont voté contre sont MM. Babin,. C1h> vet Dominique Delahaye, François Saint. Maur, Josse et de Londemont.

•̃:«ifi ̃ ̃̃ j«; ̃• ̃ E. Gascoin.,

i ¡~" l

JLËS 42>0 0<r

̃̃' u

i â Après réflexion, des députés

«otent Uontre la jnise .£, l'oidre 4u j^p

de la diseussion. Maia kvete est acquis

>|>ii."i;-ii <f\V} iï;i( h ,(̃̃' .̃̃;̃><<•

D'après' lès èiaffr'es atinonoês l ftVant-hier en séance, l'ajournement de la discussion de l'augmentation; de l'indemnité parlementaire avait été repoussé par 251 voix contre 218: Mais après les rectifications portées à l' « Officiel », ces chiffres se trouvent modifiés au point que la .majorité devient minorité l'ajournement se trouve voté par 250 voix contre 247. Toutefois la règle parlementaire n'admet comme valables que les résultats de scrutin tels qu'ils sont proclamés en séance.

L'ordre'; du jour de mardi après-midi ne seift donc pas modifié, àmoins qu'à la séance du matin la Chambre, toujours maîtresse de ses travail: ne revienne sur sa décision par un nouveau' vote, mais cette éventualité paraît, peu vraisemblable.

Les communistes ont, d'autre part,, .déposé une motion préjudicielle tendant à ajourner la discussion jusqu'à^ l'établissement d'une échelle mobile pour les fonctionnaires et tous les salariés. Ce projet de résolution primera le débat. •̃̃; .v •• ̃" M. JPoitou-Duplessis,' député de la Charente, vient de déposer une proposition tendant à'fé-' «1er Tindemnité mensuellement par -une somme globale équivalente au douzième de rensemble Se l'indemnité annuelle attribuée aux membres de chaque Chambre. ̃ •. A chaque séance seraient distribués des, jetons, de présence aux députés présents.

•̃"f..i^r. ̃-̃̃̃'•

M. [Henry: Bérenger maintenu ambassadeur à Washington

.•î A- -• .̃̃•.

Le Journal officiel ̃publie te matin un décret rendu sur la proposition du ministre des affaires étrangères, maintenant: en mission temporaire, en qualité d'atri-: bassadeur et envoyé spécial extraordi-'nairede la République a ̃Washington,. M. Henry Bérenger, sénateur.' -i-.v

rassée.par révolution, fut hors de jeu, il travailla, avec la même ardeur, à défendre contre ̃l'Allemagne l'ombre d'indépendance octroyée â une partie de la Pologne et il fit connaissance avec la prison de Magdebourg. > Brave, populaire, aimé des ouvriers et des paysans, il se trouva, quand vint l'armistice, l'homme indispensable et reçut, du Conseil d'Etat provisoire, le mandat de chef de l'Etat et le bâton de, premier maréchal de la Pologne. La nouvelle armée 'polonaise a été constituée, d'une part, :&Vec les" troupes formées et entraînées en France, sous les ordres du général Haller, et, d'autre part, avec les anciennes légjons du général

Pilsudsy. A l'origine des événements actuels,

on %|rouye, cette duali je d'origine de l'armée

polgnaise elle paraissait oubliée quand lé coup u-Ejtat est Vfenu mettres de nouveau en opposjU.on l'armée de^Var^°*îe et celle fle" Poznan. ̃

M. René Pinonr estime que le maréchal iHianque à la fois « d'abnégation et de consferice; l'effacement volontaire de 1923 explique, dit-il, le retour d'aujourd'hui Un homme tel que lui n'a pas de place dans l'Etat, à moins qu'il ne. t'incarne tout entier. Il se regarde comme le ituteur de la Pologne. réssuscitée chargée d?empêcher le 'glissementi du partemeatopisme vers

l'impuissance et i'anarchie'i».!

1 Notre' confrère souligne les services que le'régïine parlementaire a pu rendre, ne- tamiherit sous la présidence de M. Woj- ciechowski, à là nouvelle nation polonaise. En |dépit de certaines erreurs « la loi et la dispipline, yoil'^ te que représentait le président Wojciechowski: quanti il eut, sur le pont Poniatowski, qui relie Praga à Varsovie, le bref et dramatique colloque quiirestera historique ». ij Le, maréchal passa outre efc ce fut la guerre civile, l'assaut du Belvédère, 400 morts et un isfllierde blessés, Iq stoïque Retraite,' à pied, tiu -Président portant le drapeau de la République Jusqu'au château de Wilànow, à une douzaine de kilomètres puis la démission.da ministère et du Président qui transmit, constitu;tionoeljement, ses pouvoirs au président de la Çnàmbre, M. Rataj. 'Qu'allait faire de sa victoire le maréchal ? est ici que son rôle apparaît singulier et déconcertant. Fut-il effrayé de ses responsabilités ou consterné du sang versé; ? Voulut-il empêcher} la guerre civile de s'étendre, de se prolonger «tgrat-il enjever tgut Etltextç k une ac.

La Chambre a poursuivi le débat sur l'aviation Elle pente le terminer mercredi

Après les critiques amères qui lui avaient été apportées, la veille et l'avautveille, la Chambre entendit hier un son de cloche, plus rassurant. Sans contester certaines fautes commises et. tout en constatant que la situation de'motre aéronautique ne répond pas aux sacrifices consentis par le pays, M. Couhé çlémorçtra que les appareils nouveaux qiiti,yorit entrer en service dans l'armée' so'ttt' netteinent supérieurs -$•̃; ceux j qu'ils' reniplaceront, II n eh conclut pas moins CQmnd^'M.'Pc-E.' Flandin, la' nécessité d'établir des* liaisons plus ^étroites 'entre les divers services et le personnel navigant. ̃ ̃ ̃ ̃̃ ̃ •̃̃̃̃.̃•'• Le sous-secrétaire d'Etat à l'aéronautique,' M. Laurent-Eynac, se montra, on s'en doute, encore plus optimiste. A l'en croire, toutes nos formations possèdent des appareils réalisant un progrès certain; nos moteurs entre 400 et 600 CV sont parfaitement au point et aucun pays ne peut se targuer de disposer d'un choix plus complet.

En aéronautique, le problème essentiel est celui de la qualité quelques dizaines d'avions supérieurs balayent aisément dès centaines d'adversaires. Or,; plusieurs appareils entre lesquels le choix du- ministère de guerre aura à s'exercer, sont supérieurs, de façon éclatante, à l'ancien

matériel. ̃

Le sous-secrétaire d'Etat se îança ensuite dans un exposé détaillé des conditions qui président à la conclusion des marches, à la passation des traités, â la réception du matériel et il justifia, en cours de route, l'attitude de ses services mis en cause par le rapporteur de la com-

mission.

En terminant, il rappela, noff saris Satisfaction, que la plupart des grands records d'aviation, distance, vitesse, durie, hauteur, sbnt 'détenus par dès appa-

Mis français il 'ajouta1 qu,e' ^étranger1

rend plelh 'hommage aux mérités âe1 no*1 constructeurs qui "reçoivent -du nïônde entier des commandes ribmbreuses,U!très' profitables au développement de ̃' rtotrè' îhduslriè. Oh aurait donc grand tÂft d,'insistèr outre mesure sur certaines erreurs, inévitables et de ne pas reconnaître lès immenses progrès réalisés par :notre aviation militaire et notre aviation civile ̃ lesquelles doivent marcher résolument unies dans l'intérêt supérieur du pays. On continuera mercredi.

Mardi, séances, le, matin pour les baux à longue durée et Paprès-:midi pour le relèvement de l'indemnité parlementaire. Sairit-Selve.

Au Comité des experts On communique la note suivante On a fait courir, dans la matinée, des bruits tendancieux sur les travaux du Comité des Experts. Il était notamment dit qu'au sein du Comité des conceptions différentes s'étaient heurtées et que le ministre des finances n'avait pas réussi concilier les points de vue.

Au ministère des finances, on déclare à ce sujet que rien n'est plus inexact. M. Raoul Péret, qui n'a d'ailleurs pas l'intention d'intervenir dans les travaux du Co-

mité, pouvait assister à la réunion, car

il ité, ,ne, P,9.wait,' a,ssist~r il la duniÓn, C,

il.ftattMe^ù:à^ait1C«pimjpsipit;'d^s';ihan-

fâà de Chambre. :.̃•"̃̃̃'

«;la;«Skjftce tëiiué Met1 .jeudi' pà'r'.ié "cor

taiVé, àfflé^on,, a été au fcoûtrairè, 'des pjlus calmes. Il n'y a eu aucune discussion. Le Comité s'est borné à se renseigner sfir la situation financière actuelle qui lui a été exposée par plusieurs fonctionnaires des finances. »

D'autre part, le Comité des experts fait connaître qu', « il a décidé, dans sa première séance, de ne communiquer aucun renseignement sur la marche de ses travaux. »

Le public est, en conséquence, jnis! eh garde contre toute information qui serait publiée à ce sujet. <

M. Doumergue remet '̃'

là cravate de commandeur à S. Em. le cardinal Dubois

M. Doumergue, a,remis hier au cardinal Dubois les insignes de commandeur de la Légion d'honneur. La. cérémonie s'est déroulée à 3 h. 45, à l'Elysée. Mgr Mério accompagnait le car- dinal, que le. général Lasson et M. Jules Michel reçurent dès le vestibule pour le conduire jusqu'au cabinet de travail dv Président. •̃••'

L'archevêque de Paris, en rémè^cigrtt M. Gaston Doumergue de la haute distinction qui M à été. conférée, 1,'à assin-é qtie son coHçonrs entier était acquis au'sèryl.ce' Jes intévêls généraux du pays. Le Président de la Rélpubïiqtie et ife cg<dinal Dubois se sent aïors^lônguement en- tretenus de la mission que ^archëvêquede Paris va accomplir 'aux Etats-Unis.

tion militaire adverse ? Toujours est-il' qu'il parut pressé de rentrer, dans la légalité et qu'a- près entente avec M. Ratàj il se hâta de constituer mn ministère, présidé par te professeur Bartel,' dans lequel lui-même ne, figure que comme simple ministre de la guerre. La Diète sera bientôt convoquée pour l'élection d'un président. de la République, et l'on ignore "encore si le maréchal, comme lui' demandent les partis de gauche, laissera Poser sa. candidature. On sait que depuis le jour fut écrit l'article de M. Robert Pinon, le maréchal, après avoir accepté la candidature; refusa- la présidence de la République.. 11 n'en demeure pas moins maître: des destinées de la Pologne. Comment usera-t-ïl de ses pouvoirs ? Ira-Wl reprendre les projets aventureux qui, après tant de gloire, amenèrent son pays à deux doigts de sa perte _M. Robert Pinon souhaite qu'il ait renonce à, ces rêve's" insensés La Pologne -aurait tant à perdre en devenant le soldat continental de l'Angleterre contre le bolchevisme. Le danger, pour la' Pologne reconstituée, est d'un autre pâté la guerre civile', heureusement arrêtée,* provoquait déjà en Allemagne <iegr espoirs significatifs: Tant -quô îlasFfance occupera; rive gauche» du Khi», elle estsen mesure! d'arrêter, sans coup fécir, toute; tentative d'agression allemande, en; PoinlçrAnJe; OU en, Silésie j mais, c'est à. la condition qu'e'ja

Pologne né Se' aésarnië;jià^ elle-même en se

'lançant dans les aventures orientales. La France fait des vœux ardents pour que la Pologne, son alliée, retrouve prompteraent, sous le gouvernement qn'^1 lui conviendra de se, donner, le calme, l'ordre et la pais.

Tel est, en effet, le vœu unanime de tous les Français qui s'intéressent au sort de la Pologne, autant par esprit politique qne par'ifentiment;. L'ordre, la paix.'l'urtion le "sens bien'compris de l'inlerêt national feront- de là Pologne non seulement un exemple, majs. un' instrument de paix etî

Europe.

M « jgisèf esotts rfiermitte

Noiis ayons signalé à diverses reprises le. caractère douloureux des sacrifices si dif gnement supportés par le corps des an ̃" ciens officiers et des officiers en service qu'atteint la hausse constante du prix de lai v|e. îîon moins poignantç et nos poins

M. de Monzie inaugure en Alsace des raffineries de pétrole

STRASBOURG, 4 juin. (Dé notre envoyé spécial.) Le ministre des travaux publics s'est rendu ce matin à Merkviller'Pechelbron pour inaugurer les nouvelles raffineries de pétrole installées dans cette localité.

Le ministre du commerce s'était fait représenter par M; l'intendant Pineau, di- recteur de' l'Office national des combustibles liquides le ministre de la guerre parlé colonel Karôher le souç-secrétaire d'Etat à l'aéronautique par M. Dumanois. Un train spécial transporta de Stras- ipurg Pcchelbronn les personnes invitées à "cette cérémonie, jet qui étaient plus' décrois; cents,, appartenant au monde poli- fti»ùe, Scientifique et industriel.. 'A" son'dtfivèe ï PusinVM.ac Monzie e remit un certain nombre décorations, notamment une soixantaine' de médailles. Puis ce fut la visite détaillée de cette vaste usine dont l'installation moderne peut rivaliser avec celle des raffineries américaines les plus perfectionnées et qui est la seule en Europe traitant tous les produits successifs qu'on peut tirer du pétrole. ̃•̃̃̃̃*» ""j" Les techniciens qui se trouvaient là nombreux adhlirèrent particulièrement les supercentrifuges pour l'extraction de la- paraffine. Ce sont de véritables' bijoux d'horlogerie précise, et qui tournent à 17.000 tours à la minute.

La visite » terminée, un banquet réunit les invités, les principaux membres du personnel de la Société et une délégation des ouvriers. .1 Aux côtés de M. de Monzie et des représentants des ministres, auxquels s'était joint M. Borromée, préfet du Bas-Rhin, on: remarquait notamment M. Diamandy, mi-1 nistre de Roumanie le général Berthelot, MM. Emile Borel, ancien ministre Valût, directeur des services d' Alsace-Lorraine Herrenschmitt, président de la Chambre de commerce de Strasbourg Charlety, recteur de l'Université de Strasbourg. Se trouvaient également parmi les invités: MM. Diebold-Weberj Lazare Weillèr, lîabbé Dslzor Dr "GassêV.J<»eImer, sénateurs"; CliaWes Bàroni 'AHoWer, "VValter, Bàzile, Tasso, 1}' PeyiMx, Sîlbèrriiânn et

Frey, députés les cims'ulé 'd'Angleterre,

des Etats-Unis, d'Espagne, d'Italie, de Pologne et de .Tchécô-SlôVaqùîe les généraux de Pouydraguin, Borschneck, Reibell, Challeat MM. Carré de Malberg, prési- dent du tribunal de Strasbourg Rateau et Kœ.nig, membres de l'Académie des sciences Guillaume, directeur général des mines Weiss, directeur de l'Ecole du pétrole de Retz, directeur général des mi. nés de potasse d'Alsace Defline, directeur général des Mines domaniales de la Sarre Riboud, directeur de la Compagnie des Chemins de Ter de l'Est; Detœuf, directeur général de la Compagnie ThomsohHouston.

ves allocutions turent prononcées par MM. Borromée, Daniel Mieg, président du conseil d'administration de Pechelbrqnn, Altorffer au nom de la représentation parlementaire du département Oberkircn, président du conseil général; Charles Baron, président de la commission des mines de la Chambre et enfin par M. de Monzie. Celui-ci insista vivement sur la nécessité pour le développement des industries d'Alsace et de Lorraine de lier étroitement leur activité à l'activité générale

française.

française.

J'ai le droit de dire que l'intérêt commande à tout Alsacien d'associer étroitement son effort à l'effort français. Vous croyez que vous avez seuls dés tempéraments difficiles, la France est faîte- d'une addition de mauvais caractweS'é't de bbpifë'humeu^i-t> :•»̃•̃ ;a,,>

-II; 'j i! <j!, ¡J' r i,

ri .Lé- -discours du. ministre lut là"co'neïfth sion de cette manifestation qui par son

ampleur marque vraiment lîne date poiîr.

ampleur marque vraiment une date pour

la grande industrie française.

Ja grande industrie française.

Roger Dardenne.

r -«y^.

IiiîôirigaaLttoiiè

Sur la péniche ̃

Le Comité d'aide aux jeunes artistes, composé 'de personnalités du Tout-Paris, organise sur le roof couvert de la péniche La Tamise, amarrée au pied du pont Alexandre-III, des thés et soirées dansants.

Ce soir, Jendya la Créole, les Tamise's Girls, feu d'artifice, concours de

charleston.

Evian-Cachat

De l'avis unanime du corps médical, l'eau de table parfaite, parce que à la fois bactériologiquemeut pure, agréable et légère, « Evian-Cachat » se trouve dans tous les grands hôtels et restaurants. Il n'est pas, il ne saurait être de table bien servie sans^K Evian-Càcihat ». pemanàez une « Evian-Ca-

chàt'»." ̃ ̃'̃••̃̃ •'̃

.'j^MfX. veE\tg chez to^S; ^Ç|, pharmaciens

et inarchandst.d'eauxfinlaérales et dans

ioutes les bonnes maisons d'alimentation. (Bureau Evian-Gacïàai, 4, place de l'Opéra; Gutenberg 18^14)1 En bouteil- les et bonbonnes.

̃ Jean de Paris.

noblement acceptée, est ce que Georges Suarez appelait hier, dans le PETIT, JOURNAL, la « Misère sous l'Hermine *f

On a compris qu'il, s'agit des situations

dérisoires faites encore aujourd'hui aux magistrats

^Ônt-ils seulement de qjîoi vivre. Voici des chiffres. Un jwhç. juge suppléant, après plusieurs années de coûteuses .études, est payé 10.000 francs, c'est-à-dire un peu plus de 800 francs par mois Il a, à' ce moment-là( entre e 26 et 30 ans- puis, le juge suppléant devient titulaire, avec 1.000 francs d'augmentation 'et le double de responsabilités aux approches de la cinquantaine, le juge suppléant dévient président ou procureur il reçoit un peu moins qe; 1.170' francs à -la fin de chaque mois, mais pendant toute l'année, les marques de la considératiop la plus vive cet âge, alors que -dans d'autres professions on songe déjà à la retraite,- le magistrat espère^ encore il espère parce qu-'il ne. lui. apparaît pas- que la médiocrité de son destin. ait enfin consacré sa carrière et en effet, on choisit parmi les présidents et procureurs aux environs de 55 ans, des conseillers à' la Côûr d'appel c'est le dernier stade, 17.000 francs en province, 20.000 à it IParis quant: aux juges d'instruction, ils ont jusqu'à 30.000 francs à Paris. C*«st tout 1;' G'eSt Wut- ppitr. '^ijperison^age à qui est dé-

légué le pouvflir..«uap|,1diwiii de. (distribuer, la

justice et de, met^je plu^de, raison dans les relations des nommés mais quelle doit être son amertume quand, arbitre des rivalités d'argent, où, face à ceux qu'il juge, aux escrocs, aux aventuriers, aux voleurs, face à tous ceux qui, dans le conflit des égpïsmes ont; préféré rejeter les liens encombrant de la Société pour asseoir des fortunes sur les malheujrs des temps, il écoute quelque fantastique récit de la conquête de l'or- ï Tandis que' bavard' «t sans doute brillant causeur l'homme éblouit son justicier ^avec les millions volés, qui peut dire les réflexions découragées que cette rencontre quotidienne de*- sorts opposés -peut inspirçr aiix consciences les plus éprouvées ? '1

Faut-il s'étonner, dans ces conditions, si la" magistrature souffre d'une crise de recrutement. Qu'on prenne garde d'en abaisser le niveau. Non, un Etat ou l'officier et le juge sont traités en parias n'est pas un Etat bien équilibrée JLa question dépasse les personnes car c'est la sécurité sociale qui se trouve-? pu se trouvera direete-

ment atteinte, •

Pierre VjUette.


C~UM~i~r

clés iLettires ̃

Y ECHOS

ECHOS

^s Da,ns Chantcclair, M. Louis Chéron-

̃tte^j.épcracl aA'ec; esprit à M. Prévost, qui..

dah*'t$ article,. intihilé Les Instituteurs,. av^ftr fait, en qliblqiio sorte, une apologie du « primaire ». Et M. Chéronnel fait de et- « primaire » un amusant portrait, dont ̃"Voici uii' passage r 1"4 Le-'prjniaii'g cr.o'it aveuglément à triut. ] ît^«aU.oaaaitisniË 3ibsaIivles~iitDpies:ioai»-

t~~S~MSpt S,M~ QMW%3&U r.P~ 6- j

1 ~y >~i.i~ q~kbaeç~~v9 j

la\sci£nce # agrandit pas en lui le, enariu) 'l'

^gh^otrfése-s'ii^-retfuld j(as;pmir lui

,oHi~s~m'rc'~l~ p~('p~àili'I

s&èrïlfes tle l'incbrinu au contraire, ellp'ïilï

<tenirtf la îRvive certitude du progrès »

,et(>qq?il 'approche du but (de quel but *?).

.«; -Ce que je sais de, mieux est que je ne

jjàis piep » est un mot qui Je révolte. ),' '<£ Les bizarreries de l'oreille de TTijubert. prosé Flaubert~ est

'On sait que la^ prose de Flaubert est

surtout remarquable par ses cadences et qu.'il faisait toujours passer ses phrases ̃'« par le gueuloir ». Et, pourtant, voici que dans leur Anthologie du Pastiche, si 'pleiPCj 4c .curieux détails que viennent de nous, donner, chez Crès, .MM. DefCoux et^

Diifay, nous lisons ce passage .de MaximeN

"dû Camp, déclarant que « Flaubert n'a jamais su ni pu faire tin vers la métrique lai échappait et la rime lui était inconnue.. ¡ Lorsqu'il récitait des vers alexandrins, il leur donnait onze où treize pieds, rareitteni douze. -Son oreille était si extraordinairernent fausse, qu'il n'est jamais parvenu- à retenir un air, fût-ce une berceuse. Bouilhet disait « y a une. malédiction sur lui c'est un poète lyrique qui-ne peut pa§ faire un vers. » Rien nefrîtttJphis vFfli. » i'-li > ̃<T ,QfLâBt9£14f 'pour paraître très prochâin'«fflfei|iiïit2$0Ji//7<> du Pompera ou la

^^«iH|$ Hue-la-^ropH-

gmfo'.nWk'&QVS $Witr\cs les .ti-mo^is*

n'wl j>oiw c-lftj 'fait de quelques çxal^éèjfp nia,îs par<ttçîp£*Ml' l'importante évolution'1' sociale actuelle Titre Ilisloriifue cl h-n- ` dakees ,}dli imjiwtment suffragisle depuis 1848. y a PETÎTES NOUVELLES J* Les Mas'seUisiès se,, r-ciinii'oul demain, à 2 heilfes," à'iu mairie du 18' .w- ` r^ijdissement, sous la présidence de M. Fernaiîd Gregh. '»*' 'AJVecasK/n du septième centenaire de la mort 'de saint François, on annonce la prochaine réédition du Poème d'Assise, qu'lEmilè Ripert publiait en 1921, après avoir i-ecu.de- l'Académie^ française le prix triennal Saint-Cricq Thèis pour lé manùsprit-de cette œuvre.

̃r.y^t ̃ ••̃> Lés Alguazils.

k"r~°,f.~0'N~RES NA'O1~AL

M ~M3MAT5 ~~1~~GO1,~S

-&£. ï'h V-»' -v tr- '̃>«̃'•)'̃ 'j':e,"j^OdL )..i j'i Cii

f'fe feen|rèS^^ninSn^ftTiir<

(~'t!e ,C~b1ri'è~->fWj:¡hllH~I}¿JHftt\?)fœiMf¡~~

jmWp'WhSSk^W <f§fér«' V««$^1|S#

sùïl&Uaï'rppiMâtèncffMvt&L ffe>lhu?lfiflgft<te j I^èft^présfdent dçSsfîAjgrkiilieursî «te W*âft*i: ••;̃.̃ v- ̃• ̃•<̃< "Sq|jjï5ië: Êcointe dfe Koquettë-BùisSbn, président dèvlU^ition »Gi?ondSne des syndicats-, agripo- Iç^^qrganipé ce congrus, et. procédera, à l'ou-

Verture, Voicf le programme résumé des tra-

'iïtoù "ï- ."̃̃̃̃'̃v'->- ̃•̃̃- -̃̃̃̃̃ '̃̃̃•; •?.mi GarÇiBTpi'ésident l'Union du Sud-Est, traitera des assurances sociales. »

H- ,l*a,bjîé Bergey, député de la Gironde du logement ouvrier agricole dans le SudÔuésf. ̃••̃•'̃ ̃̃•. M. Campana ries coopératives. agricoles. M^ Capus, ancien ttnhistre, députe de la Gironde :.ies appellaticins d'oi'igiije.

'*&. Caziot, de rAcadémie d'agriculture les questions -fiscales. ̃ :• M. Gaûte,. député.: les pips et résines. Ainsi que M. Buffault, conservateur des «àjisèt forêts, et M. Dupont, directeur de Tins- tMjltdù Pïn. ̃ ̃ :M. Adrien Toussaint, délégué général des agciculteurs de France, expliquera l'organisa- tiçn-des services dé l'Union centrale. JJè mardi 8 "juin, visite- du Satiternàis le ïtfèréredi S juin, randonnée au pays des LanteS~ ̃ :'̃'̃̃̃ ̃ ̃̃̃ •; ̃•

ÎmSÛ7' "̃̃'̃̃J*è'i4'«iiJ'1- <Mtur« Dernier iM)rimo<â'i^t* Clôture 4 Dernier 1. !i»r»ivit>'t-aiaT l'Ciature Dernier Revenu '«û'MPTkWr^1' Clôtor»' DerifiVr}*keVeft4v ̃rittÉl^TliW'r flôture Oërnfel*li*ë*êhu •cr!H!|àîtll1f'lpiiH%inînHi''tlfl|ï'6ture ^W?^ MWfirùÊç ÉTRÏMRfflÇ vpJSture éecniçc

i" ,fËRME; Pfl!cél\'¡ ,1:(!ur.¡, { ;r.:<;¡ :¡;l" ,¡,pr~d.)~ ;)a,T' ~eM'. ~M. .brut COMfT~r;prMd" cours ~t-T""T- cours lJré~éd~t~ur"

1 Sa!\qu..gjlÓriri.\lê!J;).¿.. t,1 <& q~03 ~pla P,É~tsv, ',¡, ,i~j904. ,R. 'ÉiANQ.U n" '<6.thuh.<n.Uv 37~?'1' .<>t.~ ,J1;;)ê:¡ .r,E. i" :O~S~ 0

,.t&ttt~j)tA~tt*,t.t.y"t- .M .i–S%9t0.j<t.t.tt')M.).-)998't-'n<?~l!T '<7~;72B~t-bennaBMajuToMkn.76~0 ..9750.. )m..<n~c: t ~M~ -a~ 7 -?' i.-i!

~~?~6. 1 r ~'a" 1 l'ô> ~~?0"-4~t 7.9.10,J c. 1931 J. 1990. "ut. eMHM~'tnd.Mi. 4600 46~~ .n~~t~~b~h.u.i. 96)0 fjj5tJ M'~hif~'L~~a~ tl54 87 56 25 3% Français 9 10 ,1

'8:1: 'r: ,~8!Jpay_t,n~ 128~jl1l~), ¡:I%,A%moMissable. ,5 fi6S. R,J,lihio 4'1 90; :.W. 't~ 6'" Pay~5XWfi nt. ord, 56:: ~)tI. O'dmWè~(HÓuillères).Jj¡'Í-'t". 112 122Q"1: 13 ,ïW4t T;¡'f;i!, o~i"]; œ ?~; 25 5~, '"0' 1Q:7{B 10 5i8;

:-22' '('r- fJ'il'a ~28 V," "?J p,.Am"r\s"¡!#¡"r;'¡" ,'l2!Í' rrff'ir ,;4..19~ 80 "lliiduli!!d6t"A'f¡',u.. <261.i'f 40 0,W h,ferd'j..f~5.;1345' e ""7':f~ IQI7'ro.B,2,.C¡,{.!

4S ,t'" dor!Mni 7pirisionnë» 854: S~~15-ij\i" 44 65 147o 1~9~ '0 )19 '1.. ,fi,! rtelle do -hjpe. 132.: 132 ,:w,t\ ml>e Holu't(4re~ dO,la),:o :969,¡. ;~i7{.. a?~ ,s, r,el;<nÍ>(g.1Fi~¡'i!¡\ -'4-48 ~41 Consolidés 1918. 3j4. ..9 :3, a

;65, Compagnie Algérienne 1 !6! li5 5, 466 1,9,\?p'" ;1¡t"} ,45 15.. ~5,. 5an*I'F~¿5 5 56 1910" "0. 2110 2810 1L2S ;1" de¡', ,yis'Jj\iNqrdj. jj5 ,335 Sa~ntoEtie!¥, (ljo4illèras,,4a). ;-<<)(1) :100, ..1'1:: q-.aM~d.i.t ,50 ,15,? A~I!tinI8~6. ,100 01. 100 .L!

.;«•. Foncier /6Ffan«. H g| ~W{ •̃ 4 %192Ç fchange aarantD ,.94 -94 Suisse 19,03r, J.V.. ̃ »' ̃• cWd.fi^«rt«&<HV-Tiv>U<k.p, 435 -M? <00 •• Blanzy enc. î^ feSs" "-1'' 301 303 î 1 ii s? in

,45.. Crédit Comtn'erciel dè'I"rance, 595 '0 590 r. 6%, 1.9~0'0_0. 6.4 50 /)4,10 S u ède 3 l~2 1895. 576. 12 50 Cr.édit,Alséri.ofl" 1760 55". Anzin.> 1080 ..1080.. sh. Clty-De,ep. IB.. 320" F;undlnp"L- 80 '1.2 801 112

";70 =' Fonqier:po FtilJ\ce. :M~ 1665 Bons du Tr"àr 6 lâ22. ,94.. ,94 25 Sui~e~,19.03, 0" 1890 '¡; 0. 15.. C¡'¡d.f:j.¡B;è!'j!¡tgéf"i'è'Tl\n~.p 4e5 ,M;5 '100 Blanzy. al1c. "68$;" .W. Colo~b, 301 303 China 4,1/?: 16 .1, 76.1.

eo;/ D/onnaf. '£« •• Bon. du Trésor 6% 1â22. «2 75 492 25 Turquie Consolidée 1890 300. 33 Criilt3FliM$ Tflegèmih^V. 173 S) 'W, |5 Cal-maux nouv >«« •• i«g •• S°"°°^'°; 3?i jl ^J. Bgypto.yn'.fie».. ,«., 81 /2 81/2

B: > •Mobilier Français. -«»- M févr. 1923. 4M ̃ j8S douanes 1902.. 252- 252.. ••••̃_ du, Bréill-'».?; '106 .i 4brl. « Can,m U..i. «7.. 9* » Ooroe raord. $ 75 « feUneur, 67 1/2 112 67 1/2

,21'505, OCIAté:<Général' ¡836 .38, 8OÆt',192,3. 4721' 4751,,5 Pri6t~'ité d Egypte' 225.. 295 .0 ,45. )j)è~Qn,iel'~h' 56\ 0I().. pourgaa.>9~ ,920" 20'ih -Dé' E3èé, oràinaire~ 235Z ,1tehen. 66 1. 15, .1.

13540.. 13M~~ Oblig~çh< fer S~1924. 44975 455," Tàbà' Pr.6rl,~éT<>mbaa, 1 1(~O 29.$.. 50"'Soc,'O,B.ri4ti"¡'d"P'¡ov!nF,e. ~i M5 45.. ra~ssessac.413.¡H"'2 sh--préfirenoa;.». 2î52 ::1 o,"Japon~~99.¡.~ 66..{.66..S'

SS:SS~ 205 5;0 S::K~ 5Soc et0 Í!le~W>J56~¡ -565.; '40 .Gr, and'Combe.1~, .125.. 2,Q,'20 ,pçéfe:enO< M~ PoMugals. 31. I.~ 31 1.

•47l.E.t àj-§J--A*u.Oe«,ld.F™^3Îis. 244 75 249 50 OBLlGAT.èàS j J^Ul£^tàt& U'rt I m^ M &" S"SÏÏ* Id Conso!id^d– '>̃ *K.X' i™«

~g.g; .LJ.AT,6. l, ACTt~NS 'INP1:I$~I~LW¡" ',>1.. 22 50 Manas.2, .t.5, 231 229" Turc 4 ,153,8.151/4,'

SS- !hldi. "0. Indo.Chine 3 266 50 2W ;1g. 2'l Viçoi gne et Nœ~x. ,5H '5U, 90.. Hotchkiss. J,<f18, 10!J6 Charterdd. "0 21!3.1. 2711.1

Nord. 1..25 1108 31/2'1913. U6 50 269" 1871 S%ramb.~400, 299 50 ,299 50 ,27, Et deI! tts~.I?U~,S' ,293 ,H 'tj!~ll' 215.. AI!jéria-Tunisle (Omniu/l1).o 515Q," 326 5 Huancha,ca,6,i.13.. ,342., East ~,and. 30,.

f-™ ."•••"•̃Scs; »:: «s | !^l%r^:fl^ g::1 g:; f = gïïSK;:i:3t:a #31' -g g2?MW*5^-î: « 4^ Ûïï^S^ ;g=:g MïKS;no:î:f ||^

'cc> 0~905~ 50, ¡¡;: 18764~"remp.a500. ,,4., M.. Ly6n.i~4~ 2426 ~?.2499. /Moœff. ~R.ndMines.W~

7r..S.nt.-F«CC1.'Fp.Ch.f.rProv.>. '5|1 T !7.2| ̃•-Maroc A% 1914. »* %> < 1892 2 1/2 ra^è* O,<? V. *J. 66 ,30.. »& !?«• ̃*&»•• i2» --• M-i- 22 50 Cuivra et Pyrites. •– AA •• 2 sh" "B f It^ "•"• 7W 'W '"•5 fi fi 1& rf

~Ut~dJP.r~ ~3 .l.?s%<9)8. S 1894-96;2)/a~t~ 50 ~9-. 'li~~ fr: 6490 6489 Malopotska '2:' MJ. 1.116 4 I'il,6

H Métropolitain de Péris 493 .W.. 1. S5'19,8 3to 30.. q. 1894-96'2i/2r. & 4otp\. »•̃, '|l » 'i tt^Û "-É-* "(V<& ,|S V •̃• Wokta-el-Hadlb, aot, de 500 fr. «2° •• «^ m LP « 352 -34J-T ^s^:ff?nîe!n,- "V– t'i l'u'*

.?* f de,'Paris Tnnlc 'î' 1BO-5 22 2!2 IB98 2°.i r«mb 1 SOO 191 50 90 25 1450 Nprsi-So4W«f Rari»-V 12|O .HS 45 I IIU-Bonhi&rea ord •°<° •• ̃• •• •• Maltzoff iîn Si ÏA R o TmtoV-i.U* 3/5/16 36.13^6

à. Dî-tr P,r;t;mn, rf.'pi ̃»•• 975 .963 CrfdTt NationalsM 1919. 335 •• 33Z -̃' S B°9Î^M« rVsbo1" "l»" 182 50 45 'OrUansTjoBrs.w: ̃«»,;> «6; pitreT^c'nndus{rVé Ife) U 6^ •• '7I9 •• •• r Mexican-Eagle Oil. ord .239.. 232 50 Ml«ican ,E ?gle 24M./2 23/10/2

m: 97?0 %3" ,h oblig.500' SV.-1920.. 335 ..3,32. 1899 2;jj, Mét. r, ,$00' fB9.. 162.50 45. Ou "16; 1 Pétrel. (C, "lnduS£rIÓII<t),.J. 3r~T'~°" ,239.. ~M~

".Thomson Houston'! 3jï..im3.. Bons 6-% 1921 «,•; 415- ni ,BOS 2 3^4 r.mh,a*'0O f». •• fj| •• .26 75 ^Q"1?*!?^ l|! V ^f •• '.« Electro-Chimie Métal, «••• •• 566 5 sh. 6. Modaerfontem CB) 161 50 Shell. 4 23 32 4 23 32 i u. I.».: i ̃ z SSlSi^ f»«i:: !§y&»:: | i:; -8 pi^î»»aï&^ m},5Q"poulano.0. 1J1:: p^== | ;| K^!?!!1: isj: ii| |:

piv.s. 1480 1525.. 6%1922. 4!?75 462'0 1910, a%remb. 1040C' 158. 15e) ,16.. Parisienne In 1 1>, 9. 13& 6OI-e 32 3240 3190.. o. Mo~m~ue.o.9350 50 RUsSi, Oi1,813.1..6J3.

'A, ,266, 2~~ ;:6%'Ja~y;J92a~ ,3¡;L, ~75. > ,1g12, ~remb," ,3O, ~S~ 1 '.>. 101 Saint.Gobain, Che,uny. 3,715" 3750 .9.. Navigat, de 1',Afrlque du Nord. ,I~ 1 6 Vanezuelan Oil.p" 3 .318" 3 .,3~8.

«–̃»- SS ^S*«?»; *• ISS Hf»s>A1S* ^^«^dj. « •• N ,• t, |HtSr:ir -S Ktfi5S5KSafiS^r. !| s i?l 25 â^-St^ ?^: »

,?ourriërcs. ~¡~ 45 oblig.60 6 1~24. '%9.. ¡:>6? 19215314 r; 5 od 400.400; 140.. \$~hy (Etelkthe~mal) t! 12>0 2~ l' 16. Usine du Rh4me,: 21% ~~g.ô :d:' Pad."ng (Ca~utcnoucs). 50 .7~~ 25 Aneponda "ou. e)1.3/ 9.t.1.l4,

Solt\o. -262,261 D&paM.m~é!uNord6%19:tI, 375, Com,J87926Ó%r;500.. b '415.. >115.. 80.. A~r'COm~r~a,>).i. 2!90 ..202" '~5 Phosphates deponatantl~e. '1" 5~ Marco" 1 .8/n 1'.1'4,

J24$ ¡' 1240 5~?. "0 35) g F~8793~:S~: M 451., 26 il Câble. ,561 ;565, 2QQ," Part du;R,osario .13800,,13715. -3 ~th. R~.n~ 127 ",148 ~66 9.. 68

.H' 1096, de/Reims G,i' i6o 360.. e Z Com, 188O,3%r.à 500. 435., 4~9.. 35.. Edl.O~o. 811 "'0 Chargeure ReunÍ. (parb).886.. ,860.. 6 .h. Rari? Mlnea. 444.. 453.. Kuela. "U" 13. 1: ,82 6

:m~~tM~St.9. do~ims6% ~0' g Com.18803%r.&500' W-. S'" 35 ..Ed.Mn.t. SX.chargeursReums(part~°°°"R~M.nM. 4~_ ~nuata.°''3.; .82~.

:qJ.s);¡. S).5.. ,511 .¿.,Verd'un 6% S63-' <Fonc~ 1883 BYo g. à SOQ' 201 ~r.24..Be=t~it..tG.~duNc~265.: 2M.3;.J~iMp<nins~ 304 ..n~.6Rob,n..nDMpA. MM 51! 17? Escompto hor"banqua~p. 4.~)64

f^tro^io ».. « Ag^^JgMJ». £. g. S ^«B^SO^. g»gfe Çg ^^gMCjgft .?ft ?ÏSK Ba»/= f.^? 33~.

j~ 'A~M&< C.m.IB9)3%400 186 'MSO 37.~ReMM~tr,duRh6~V.a' 39'76-rr.n.RortsMariUmM. ?ZO.. RuManO, MS8 ~~S/P.r,a~<&hans~

'5««' '• ir..t.i~.s_« 1 •);! 320 r" ^-Fn.^il pi»^4r;n, 345 345 o iRts? ofin%-i- =;nn 212 50 213 50 il&âé Fpro.-Moimc" du Rhône CffSfts). BQQSs' |y?lî1.. ̃ J* ̃ ̃ v ̃ '• •- Steaua française. <K" ouu g/fjevy.yorjj. 4 8640 .4^8wS »S-"ertJr '963 '̃W.ltaHâilaîtos'éB..?."̃ 3«- «*•̃ ̃" Fonc Ilillo^rloo1: 2'6-; 22'- ir!! ^«vrïiïa VÉh.4j.-eiaetr!5Sr: W.. © Bénédictine.».f,f».. 95».. 30.. Tabacs d^rienUtd-Oatre^ar, 235. i'j37v.f,'îo :.̃ -i ''• ^.X..V fB ï£M

~~it;=a~ Fro es, 1~5 544-' 5 n: Co" 18$ 26Q~or,50O, ?3.. '20. 123.. ndo,' C~II10ISe, d EI6'~fIC.té. 3025 400., ~r: 2290 2975 Tang1l!1ta. îm '¿DjC!-1 Va! ,1\1;

r Lîqut Fonc.1 1. '1/2" r,500: '228.. 2,28",45 nl;rJll\ltjl'1iIln\¡;III<I!Jt' ,WU, A4,- 3e ~e 9,. Uni,o'},p9~1ff'1'1' ,4It'469.~ ~ï",t,¡EW~CtR1't.,4')j\ln, :,ô

ïFS 6rO«li-BOcH a.. ^JH»l.pto\,«flTniB((i"L«'nïirafiSï£;S.;]J»-l £ En.p. 1917Sl/ar.i3OO;: |g ̃" ='? ̃̃ |7 M Unlmi d.ÉW^,S.t.vi.ï.I.^ lft> -303 .«..̃ du Boïilonn. S.^ COMPTANT 1'46 Cell Moo.j.. a m;

d..e..Ck, 4&1," ,404.£ Emp..191V51/!2r.à;!O,°.. 2U 28:? '750,IJ",n¡0'd'c'f.:> ~>3OB.. "40' 'du~o'ulonna!o; ~n",f9"" 'COMP",AN," 'C,e¡l'Mon¡jy,c.m:u"4, 4~t.

ffinor.ea 4: Sucreries Say.. !99! 1?15.. Alger,a,3% 1902. Com. 19:42 6%t. p. 315.. 315. 1 A~bétyllne~& IOctro,tal'7'" 7m ,11.5 ffJ 92 Son Ma~che. ,.9\19 e~ ,6ot ~ro~e!>(La).9!O.. 910.. U. S, LlbeMy 3 172% !OQ.3..4 IOQ~J.

? ~r"" 127;) Z90 36, -365 365, 3' 15 ~d~ ;235.. alo!,ol~ke.(part>ou. 29)0 '2885 ¡1.chison Top~ka. '34'~ :/813S,11

In<l¡¡:Cnii1Ó 1 899-1905" 206:. 21P Est 6% '293 295. ~~{-Bn&7 236.. 100.. Agence 4350 '7-MOmnium-P.trct.a. '~0 .5-ë.)(i~or. et Ôhio;90);290-3'4.

,Ge""oUclè"t&¡''¡08. 24'25 '~3 ÎS 1902, ~6; 250.. 3.0'0 de,M¡<phO/lWf'i'¡'c.. ';611. 70~ Qido~-Bottin. 1320 ),$20 230 8, Royal ,?u!Ch. 529'i0.o,~4~ Canadien Pacific. !59," H9 112

'^r^S«S^ U|SS=a::a:fc;b: 2,5.. 90 ~46 'l, d. ~aJ!1I?r':æf.~e~. l,4Q ;lIi" 10~~ Le F'gero. 3'15.. 350.. 41~Y' 6.' Sh.11 739" ~8~ Chesapeake &< OI'uo. 130 13t 102 codions 2170 70 2050 2 1/2% 198.- Arbel CEtabiisselfientWj (98 206 200 chai* <t580 f. lUU.l. Steaua Romana « 5ID .( ,V>V.. ch csao Milwaukea C.i. ,H.J.- 11 ./i ̃= S^??S«::i: »so 'e=^2;^w.a3Ioc,Lv!n||^ > » « ^«««j^ « « « u«j; h-a^ »•>•• ̃̃- ,"« •• garss^ a?:: JS?;: I^?±: Ssii'SiiJ

4 010 Serbie 4~,I) ~§rnoriissable 18 112 113 75 Argentin S Va 907 36150 3B8.. 666 Sons déco JO. à 50,0. 46~ 46.. 50. ~f1~l1st.N"rd.lI;eJ,:rr)1l¡1,ce. 525 73 ~&i nt 4 4 D. Utah CoPper. 3400 3650 E~ie ,Ra\:lroad. 34 314 20 33314

o/oserbi^mortissabie^« ft ïgSÎ^|îfi^EE5S "S8 = tk^z- S ïi Si: « -• ^>A^g&&»:: I ôi ^u^ f ̃-• CHAMSES ==<: IBSrîfe-CT: II «|i H'1 £^'î!lî£:-ï= « :M54 !? ISr^ J «• r S S te" a«: g :| :;» ̃w$tâ^mte« m, 'f Œf^i* g :v | ^res. «.»̃»« gaK:n: | sjà |-

aan<¡u~ deLondre.. at ">¡ico.. 430 434.. Belgique 1873 3 o. ,:l" 41., 3~ usiom anc. 208 200 7,5.. Ch¡¡h)lc"n;C9r.T;t!:j:¡; ~1~¡~" ',1821(1' 200 '0, C~apsj q=:teblls~¡'enta). 3900 3845 ,NI 1,9npros"7' 152,05 1'3256 R~dil1g.o: B5 518 B8 3~4 a

.= S=4«^l^ il m l^ S «^ 4^- 1 S^i^SîîS K ,||ô S^s i f S^  « îî Ssœ IS$ 1S 31 19O9(Pernambuco). «B 805., 6%. »| •• 2J6 SB ~Ir^ or4fl.«> s 52 50 Gaveau &.C" 565 569 Argentine ;•• -s -il u Anacqnda Copper 45 7(8 45 7/8 tJOiSIOCréd.t Foncier Eoyptien 4i65 449^ Bulgarie S 1896 |f0 •• S% •• ^46 ,5!J 40 P.ctC^C)^ èr^na,rM.ïi .fc|! ,^0. HaoTir (Etablissements). «f •• || •• Belsicue.» ?Q -«» « ©li^Copper,̃ 20 912 71

'1&10, crédit &Li Grands Egyptien. 4363 '0 449 BUlgarie 5 %7 1896. "5" n.& 5% 210 210 85 ~ct1';fi~P,1e ~1Ir<r s)" 121" ~J. 55 Bec (Etablis.ements) "l31~ -1,29.. Danemark .n. 6~16 9Q ,tOO 4Q ~lrt¡'CÓ,Jjp$¡'¡' 20.1. 19 Il

̃in fBmi m Grin^i 1 67. 6 0.. 4.1/2%19O7 585,. 580 a% » Zlu 2IU 5g ft, Fives-tille.•-• vv “» ma ,,Mi.,i 55 Beo Auer 714.. /UZ Danemark.. &io 5U ̃••̃- Ray Copper ,1-5 3/4 •*?.

̃ L i" Ni^-ate R3îi«ai,s.?: 1620 im cwne *$omb9s. 546 560* Nord '-nu* f," 3^ 50 w 50 » F°^sfe&^t?*>-BïkàWs-ris, y, uZoZé- Gê^e. ̃<» •• ••• EsPaane.v. «9,» 483 50 ut4 ca^er: 102 102 3!

L.t. Nitrate RaUWays. 1820 u 183Q.. Chine 4% 0":1895. 30) 5665" Nord 6%f séri,! F. 289 3~ 5u 50.. Fors; MI.. '46!Jj; ,:¡o iroa ( Généralerlu). 420 8Ipa,gne.0' 469:5 48 50 Ufàh CO'pper: 102 1. 102 9

L- K Z S%I9O2 .H. 1360 1345 S%, série E..v'.» 28f •̃ ?g «̃ 40 F»W" M "ins^HoméSi :«»}.. ,4»^ -20 fibaos <C Générale des). J45 C245 Finlande. ••; >'• •• American Téléphone. 149 1/8 149 J/8

*0 b. Wason.-Lits ord !465 1500. «. ̃ ,s% 19O3. 635 670 _-• 4%,«ri. D. 278 2ft ,5 Jeumoîrf. ,260^ âfl -jfflO Tabacs au Maroc. î^i 5&J0 .• Srèc» -i •" American Car aT F -97 I 6 .97 «

L. I C.ntr8I. Mming. 2505 2595' A\h% \3OB. IgO |950 3»£ ancienne.1, 4?6 |6 25 ̃ ((Ar«..»fcr. W; l&S 45. Union Commare" lndorphi.no'». é9?, J70 Hollande. ,w. 1258. SJWfflli: Briiish American Tobacc. 2? 3 f 29 I ».h. Rio-T.nto 5761 5880 Egypte Unifiée. 50! 50 515 2 r/2%, série C.V 22| 2|2 30 mfilfVpM*tfi%/S* :ÇhjwrtJJ W|4. 330 fe *0.;b.5 Lana'B*nW EBypt.V.U. •• •̃ Italie, ».̃ •̃ .'t? 25 Central La»thar.tw.»tT– t .? 4 ^? VA .PriyiléBiâ». '»39 6%, 1921 tran, A 277 268 29 Foraes & Ponde^Mgntataira. }4|2, ;^48v*)'350; Sr«itf«ncierFranc.B.Canadien 9000., .9300. Norvège .r. 692 General Electric. 320 322 j H

L.1.2.4 Azote (Norvégienne) 1650 1650 Espagne extérieure. 378 Orléans 'Bon* décennaux 6 463,. 464., ÎS^SO s Nord EapaSne 242?, Pptogne C1OO zloty). fl. v .». Be^hlehem. Steel «.•/̃ 40 .1/4

(5*b. Laiitaro Nitrat» 735.. 745 HaTti 'S 19tO 75Q. 7«3 _-̃ &%J. 287.. 286 35 Denai^Artiiir.Vf; ;««0 I. K»h'. -22 W Sar'aocse -m •• Portusal ̃- U. S. Steel Common: Ig 3/8 25 3 8

5»h. Or«wUI Çarpet 582.. 592 Hollandi T)896 ,»“ •• .-• *£• ,•»•"?»•• |H =• 100 Matériel da Ch, fer CC"RrJ,- .690. Sp.nWi» W55 i070.. ROnmanie 13 05 12 50 shB,L ,(44 i/2 44 3/4 10 "Mfc. Pétrofina.: 1271 1265 Italie 3 1/2ÎS. 83. «̃ --« \3%inc 227., 225- Mater, de Transport *<. M y. ,• Soo^af. d'E-typia (part»)/ WO ••;A|i;- Suida .«. i. M3 67! -W^ tota|e, 'J^JO'OOof ++ ./2 44 3/.

11\01>.Pétri>f,"a.1271..126S..lta¡'e31f2~ 83, uer, ,9r~*nc. 2 212 2 75 "Mater.deTranspoM. .,Suoo-Aaf.d£1Iypto(P.t.i).I96O"SúÍi1fe.1\43.. 871 'Aff" 't'tl '164.0' »

LO.5.6 Sucrer" .tRaffineri.d'£Bypte. 1048 ..1056,. Japon 4% 19O5 560.. 580 Ouest 3%anc 210 212 75 Métaux (C Française) 390 39> 85 p. Tabacs de. Philipçina jjj- 6250 Suiss 603 50 620 50 AHaifeB totales. I.ow.uuuj j

ZS Tabacs Ottomans 640 652 S?aI9o7.« 520 50 21/2% 183..ÏI84.. 50 Senalta-Maubeua, 1059 1040 ..156p.25 Tabae* des Philipp. fearta). 3990 4090 vienne ClOOahillinaa) .•.».•• *•> 1. J

Académie des Inscriptions

7 ji

Election de M. Aurousseau > Fouilles de l'Eiçtïême-Orient L'épitaphe de la duchesse de Chartres

i ̃ •««

Au grand regret de l'Académie dès I«&criptions, M. Finot, qui assurait avec tant d'autorité ét dè distinction, depuis plusieurs années, la direction de. -l'Ecole française d'Extrême-Orient, venait hjLer exprimer son desiç formel.de preiidrcj^a

̃^Çfe^îitSrh ni'iJ/Jiwl 3V> ̃"l'^Sv'i» l isu <r.'j\i t

·~f~ F °~~ ~.oüYa~~ !$ ~vnnertaï'?~

pa,;Ccçn^sme. pouvait 4uj. donnei; un J

.snçcçssoùs.TPÏ.çi' d.toje» quo^^on vfl^laBora-

qui remplissait, auprès de lui, les fonctions de secrétaire général de l'Ecole, et c'èLt à l'unanimité que, par scrutin, elle a désigné au choix du gouverneur général de l'Indochine M. Aurousseau. M. Finot a rendu compte des travaux exécutés à l'Ecole de 1921 à 1925 dégagement des monuments d'Angkor et découverte de sculptures d'autres documents qui permettent de conclure que l'ancienne capitale du Cambodge était Consacrée non point comme on l'avait :cru

ici au culte de Sivà, mais bi°en'à à

celui de Bouddha ouverture de sébulturcs tonkinoises à mobiliers funéraires remontant à l'antique dynastie chinoise •des Han.

M. René Dussaud- à entretenu ses confrères du récent congrès archéologique international de Syrie et de Palestine auquel l'Académie l'avait délégué avec M. AricUon. Les travaux du Congrès et les visites aux champs' de fouilles eh activité se sont déroulés sans incident. lis ont été marques par le..vjlf iottret qv'ont suscité-- les dernières -découvertes vt par le parfait accueil rencontré auprès

d<.« ,pepulations:,et des autorilés, toul par-

p~` ~~ru.

~sàΰ' a w,

t^nSwPnsP' Cagnul et Goelzcr ont parlé

^«i^i^oPfift de Foui-vivres ol d'une cu-

ri'ousc' inscription lalirie du douzième

ffle se r,tj)porlant aux antiquités de

S*Ac%fidi'inie, à la demande de M. Pallu-

Deicsserd, va rédiger l'inscription qui

sevu gi;née <?n épitaphe sur la toinbe de

la duchesse de Chartres à Dreux.

Elle \ote une subvention -(U> 25.000

francs pour l'Ecole'' française d'Alhèfaeï

et nomme MM. Pïolleaux et-Dxirrbacli mem-

bres do la Commission des Inscriptions

de IX-los.

Ch. Daûzats.

MISTINGUËTt

à la Maison des journalistes

Le 19 juin a lieu, on le sait, au Moulin^ Rouge, un gala organisé au bénéfice de la caisse de- retraite de la Maison des Journalistes.

A cette occasion, et pour remercier.<les organisateurs de cette fête, le,çomitétde la Raison des Journalistes a irecu, jeudi, en

^iin déjeuner intime, Mlle Mistiiiguëtt, ,^a

déjeuner intime, Mlle Mistm~uétt,;

célèbre éïoile du Movilin-Rougè, le dired-

fêÙrpM. Fouëfet; e't'le secrétaire '|ënërfâl

^Fcet'etab1fègéffi^triM!'1B6i?etiil'*i>JP '»«

^^ïô^^ert^M.:3Dttnthê8sW/.pr«iidsi^rjatî; j

la Maison <tefiijJo«riMilistusti'a ne^ii'fiiè^i-

~p~cr~t, et:e Mi~ïtnguçttr·e,x miya-

rpupr^t,,et,J|:gç Mis.Ungu,ett,^e(4jeur injtia-

Jtive et de leur, précieux concours. M. «FfJUr cret, ett' quelques paroles, a répondu" ^u toast de M. Dahthesse, puis Mile -tytigtin^gUett,: d'un g'esté spontané; tînt à s'inscrire sur-le-champ pour le premier, fauteuil et remit à M. Bouet un chèque de niille |rancs..Imitant son exemple, M. Foucret ^'inscrivit à son tour pour le deuxièrne fauteuil et signa un chèque de 999 fr. 95. « Je. suis moins riche que Mistinguett 4ît-ilj aux 'applaudissements', de' tous nos confrères présents à ce "déjeuner., 1 Çh. Pierre-Géringer.

's~

LE PREFET ET LES POETES 1 Le -i banquet annuel de la Société dés poètes français, que dirige M. Sébastien-; -Charles Leconte, aura lieu le jeudi -24 juin, à 19 h, 30, 1, botiletar'd des Italiens, sous la présidence dé M,. Bouju, préfet de

la .Spine.

,S4" "po, nc. 19°,3 3% r. à 500,' 2~ 'lI, 15 9t, t~nl!'l11lt',1< E,nergl:O pAu, fOI Jo,t 7W'j~ [~: d 1 Dis~ilf..r¡e$'den¥o.chlna., 4270 4325:; 4 aRt Tltar~ls"I" t,~i 447: '4b't '0 ~,e'1°f.Airas, o.,¡, 45 :11:\ '15 t8

0Foàti~~l-c,,Q9 z, ~906 S,~b r.~z 250'* 17 .1 117j '5)IS. àm ;.t~~ ,Jill) 'i'. )~J r'loctJ.¥1oI.t'I'+" JUS 44.elA C!W>oIiMUd,wnl.ü 4041" il >W1IMÍt~tM,>46i~~¡/;I,

0 FC..ti"11Œ9jP~' r.,à 250, t4 '0 11'7." ,25", ,!dW:'I!¡l\"Fe .11 5,. -SfJ:~ GNiMI! QjJllt¡.1t.Corbp,Ih-9rè/. -ffi! ¡7G3m ,h ~g.AtJ;1a:)f1~I'1'}~$".i" 1911'~ le ~'¡,t. "P'$:, .bmn i/

ep,ét: ét

tes

"îfi GRANDES VENTES PARISIEN^ '̃• La collectPon Dutkll -.• •- s'ir r d [SUITE DE LA PREMIER!; PAGE] C'est M" Lair-Dubrcuil qui dirigeait la vacation d'hier, remplaçant M0 André Dcsvougcs, qui tenait le marteau la veille. MM. Mariiis Pauline et Georges-B. Lasquin spccitpâichf» ila tpble d'expertise. Citons encore qe& <jnçhôi;és peu communes dans les annales «les. entes p.ùr

Lliques '"f^

Parmi les bronzes d'ameùblemdiït :'< Quatre médaillons-appliques en bronzeuiioré,- «l'époque I^ouis XVI, furent adjugés 102MH), fraiicb,

sur ddmandç'tlb -Ï0.000- francs' ils' Vivaient

'sù'¡. 'déh1riiÜ:l¡'tl~ '}ffi:OOO", "tr:!iîéS" .,tW,1lv4Yw:Ü,t

>ilî: j>iiyési;3K)0<t1t>ano^ -il'ik vtnftr HAt"nfc{rfftt, 'èn^Qf)l9",iane ptâf-e de bfas'ppplitiueS à. «lalk lumières, en bronze dore, d'époque IjouiajXy/,

pro\enant de lu collection, -J.r UaMacT rnifent

Pr.o,ant, 4!J, ,l,~ ,çQ!JectÜm~;{.¡', ~WJ.hlflê; rt¡{cnÍ:

poussés iùs(iuiâ"Wtfro6Ov'ïr1r1icfs;"$yr f dVmliiide

de 75.000 francs. ̃ >w i, »; Vn écran en bois sculpté dpr,4,ji)aT Q.; Jçicçib,

avec feuille en soie de, Philxppç (le^Ifi Snlle,

époque Louis XVI, fut adjuge ÎSÛMO' fraïies à M. Shevïll. 'V ~y ,> Parirti les sièges un fauteuilJtde iblitriiàtt cçinnç, pn bois de placage, prtr E.- i^Ieiuiigj-, ép. Louis XV, fut acheté idîi.QOO^frâncs., pay SI. Arnold Seligmann, sur mise à irix ue 4-0.000 francs mm fanapê à jtmr&'efsix fàtè- ,-HeihfA- couverts en Iqmpas, ifpnque Ij<jijis;JClV et Régence, firent 101.000 francs,, ct-JU^' qrtyfd canapé en bois doté, couvert ei\ .lanipqs..jnar I. A visse, époque Louis XV, atteignit 'I36!wli

francs. I r.ji: M

Pa^mi les meubles deux ̃bibliolttèqnoslan

bois de placage et bronzes, époque JjjJW»

gence, furent adjugées 221.500 francs à M. Fo'unès une table en maiqueterie et brnhiêr li- gnée Bi .V. R. Ii., époque Louis- XV,1 30MW0 franç^.a M. Stettincr ;• une commode en,ftiurr

fiueiûric de bois el bronze, signée Jaîsenli,

époque Louis XV, 356.000 francs à M.' Afriû-fd Seligmann, et tin ti'urea'u plat en 'tnkrtf&cifîtiï; et bronzes dorés, époque Louis -iXV,') Atteint 200.000 francs, Parhii les tapisseries itnir tafiiasànc d.e la manufacture 'de Bctmvaïs \l 722-1 1U), ''in "fi lentnra des Chinois, d'après -Baptiste} Blik.df Fontenay et Vcnnajisal, présentant Je, \Cfi\nce en voyage, fit 321.000 francs, ot une tapisserie de -Béarnais (1734-1753), deuxième' pièce de_la,.tenture les Amours des' Dieux,' d^apY£\> Uoucher <174!))( et présentant WinlèvevstiBp •<?(; l'roçerpine, 4 i 14.000 j francs. t » i. -̃̃- u (jo^ '«".Jn'îicT -Mawwtf.Mondii»1;-

y ~1~ '~`~f~t~'t~'

Que recherche l'îiorania -dhuljçoùtndàa6 un appartemontjj? C'est' Pintlmïtt'tiuû -Crée l'haraionie des' meubles, des isableauR» dtîs ojjjels rares. ( l0 ib ;)( ̃ ADOLPHE LION 27, boul. de Côurcelles. T. Laborde 06-73, a réuni des objets très choisis' d'e,l'éuptiujï du xvïii0, intéressant PameubléitLenrèWi décoration d'intérieur menblfas, sïêfè^î tapis, tapisseries; céràmiques,"l)ro'nzt/s,'Iéfc'. ,> J.f).n.o .*> ..y. r<r^ -1 ( ri >rr- Eh Birmanie, le dernier cycloft&h aurait fait 2.764 victimes, ôi

̃ ..•̃̃ H

Rangoon, 4 juin. D'après I«s -infate.- malions pervenues de Akyab, le dcy;!ijfir cyclone aurait occasionne ̃• %.{10,j:q^tts. Les .C0inmunicaUons,.têlégr9phiquqSj^p.n| injerrompiies en ràison.jd^i'.â^gàt5f,i;^yçS

––i.

Pltro.ntq\Ú~p1jlj~,¡Ln~

:2' n:¥y.úun\~

Corps de l'intendancie v militaire

L'intendant militaire Poulot, adjoint au directeur -jjdw j.siWjvi.(5Q < $w, l'initep dsnpëy du

~~9~~9~M~~re~ c e

1 intendaiïce, au i«açp,ç,a çamDtêr,, 12 e~

juin iifflfyk rémmkMMiJdM.

̃général ^tfdcTé#éh't,t*r|prâ^e M clfte"dàté aans la' secticm de réserve:- > !'jJ' o' ''̃' ̃Le sous-intendànt niijlitaipfr'de 1" 'Classe .Cognée, de la sous-iÉtendSance régionale des pensions à gantes, e.s.t no^niné adjoint au. directeur du ser-yiee de l^inten^ancpjj^i Maroc, à compter du 12 iuin'19â6ihèo, rpnï- t tiiacement de l'iijtendànt nSlitaire fp\iïo% Appelé à- un autre emploi. v :")l! !>;r ;-• c. ̃̃ ̃>̃! ,:srtvrrïM Insignes de la Légion .d'hoiinkim?'.i:v Par suite de "la hausse çon^tapfè^u.iprjx

Par suite âe 'la nau:Jsé con;staiÍfèP'pÎ"

des 'ihétaux précieux, Te prix des"insisn'ëis

de la' Légion d'honneur, déjà'iélef§,ot*flPsër

trouver.' sensiblement augmenté; u » i r- 1 .q Erl.'vue d'alléger la' charge qui on-'régoh te>8 pour tes légionnaires, la GrandetCMfe céllferie de la Légion d'honneur; 'Âifaqçqçd pyee l'administration, de., la ^leri-jB, ,sient

de, décider qu'elle ne fournirait .pïùs'^es

~ç".<e~derqu'111e de J°1!rwr,<l¡lt ;PIÙS¡-~

'insignes; d'officier de Légion.j(ï'honj^eirfi

-là croix de chevalier pouvant être' îfréH^ m«nt;fet à peu de frais; transformée nèw ̃crôiK! d'officier; 'Oft'1 juruïg

'L~), tTT

~TIONS ,1,~O, 'l" JJ' l' m 50 MaHes d la)' .34'1.50 349:>0 2 eh 6 Goidsfiold, Consolidated 190,9 115 3,8 ~li4.

r^ Courrier de la Bourse

j^ isaira •̃»r»n*»ni-1 '̃'

Tl"d^.âA'-i' 4 juin.

t!Ft. nou's në-

Combien if est fâcheux v que nous ne

soyons plus -3' l'époque ùh "ministre, sommé de comparaître devant une commission- parlementa-ire pour lui donner îles

e^lipatiôps, .pouvait décliner l'invitation

en Ipfent par-dessus l'épaule un dëdaî#eûjk'«'jiï;'fâî's>ja giierre' »

'JnMï'jRaoai sPèrtët'q,' dû se présenter hier ^v%»tï^©oiuni§sjLoj) .des financés, qui ,dèsirait lu.i, nflgeri quelques questions, et. la llv'rô à 'fHf-aùjdurd'hùi un bond à 156,50. Efico¥t«-W eMrsJéï ̃'• eéw 'cèluf'iîe clôturtï âéanctejvdh aiOiitiiSmUû&ïMi"1 '-̃̃à\iu

.n'~ta~às,ip_i~e~anaac6~

ait ïàit xdtevdeçlaî:atio.|is jalarmaptes. n y^ avait, ^u contrairé',l/dans> son exposé, bien des>'côwStataïtonS fetaés chiffres de nàtiire à rassÙBéfc l'opïniaiv. Mais il- s'est créé dans }e.,pa^s ^un^j-étgt.^de .nervosité-. et d'impa- Uêiice pp'iîji1 ïeqiier le traitenienf le plus aôprop'rïe' 'serait le silence. î\l. Péfet *n*à pas cru 'tDÈUWif se taifè. Ha t>àrlé, et ses déclaratiQn^Qjit ca,ûsè\une déception.- t^.Ygilàlej grand, vtxoi. On s'attendait £ des açisips symboirques, a des mesures .iinméqfetes telleS qiië' 1 abolition 'du carnet de taîûptinsT'éï m •̃l'ëffiddvitr On n'avoir pas' j^fléBjaii/quei ces dispositions ayant iété, ^ré^>jDarETOe loi, il ne dépendait pasvdu mimstréçé les abroger. Le Parlement de'vî^^ffiîe'î'verïti'; et On peut se deiiiàh'def| iféltfsîî'SiîtÇs .mêmes hommes qui ont vdte .ci|g {ii^jjre^iil y a quelques semaines attr.pMÎ|'5'eJ}urAge. de reconnaître leur eriei^ç avant "liieitie qu'elles aient été appliquées. 'M/ïiëi'ef a 'été amené, -'d'autre 'pàrt;a psiftée deîl'allégfeinent de la dette, deéotiiSftlifJiàtiQflir^ei.ç.onveriiiori, et on sait coin^jftti P.gpinj,çn est soupçonneuse des qu'il est question de ces opérations. Enfin, il a Wîfî»irè'Sïïiisiion à masse de màhœuv'fc constituée par l'emprunt Morgan, quï'se. montait, -av87.inilHo.ns de dollars lorsque fl. Péret est arrive rue de .Riypl^'fl f ,.r&rconnu, que, pour remédier au désordre', dés ëriatfgès/ïîé "gdWWlfenïerit' '^VaiV' 'eliKa^ë partiellement ffletîeaiïasbei"detiréserve.: 'in.' '/• v; §|; ij|c6hcewtible(<qijie!cel«;p»riaissel beaii-

coup,,dp- gens, mêra,e,^armit^,ja^sjédaji?

9éâ, '6iît éW sùrpHï P W cette' rlvelafion. »ftis%i'iiôrf-iïs'-vd'6Hi5»qliévf-!a-HWâ -avait j&lë f»menëe-de ,li7&ià) léthsto^s €ftfon- eût arfeii jjis, çiu jeu %nQ^,aum |an \t, 'Seus-Jg

Gpup de lernptiop ça^us^e. par pette_ nou-

velle, il sërhbliP cju'e ^certains iii'du'sfriels et ooîlïmerçanfs -aient précipité leurs achatâ ^Je.,çonver;4Ul'éi.«e qui nous a;valu la.pouë? sftCjdes, cbaMes à laquelle, nous avons assiste aujourd'hui; Z'J%& livre', fctimme il est dit plus haut', a fini à 156,50 (4- 4 4t. 45) ;ët le dollar à i$Mi(+r,hfc» 2§k>l<e irme belge était lé-

fièreniefjt .jnjeuiji.,lC(0»t40 et la lira à 120^,5.

t;e btusque .décalage dés devises âppré-

e, btusgue ,decalage des fôuet au itl'àfcltc

W&eS a 'âônn'ê'Hni coùpi de fouet au niarèjifî

dçs valeùisa: LJactivité a ̃ été grande.- IJes

t.yr^Spitytetfiati.onàux- se sont portés- eii

a vanti;. tandis que les, valeurs françaises, qui,, paraissaient si bien disposées ëes jôliPs-tfij îîèMaient de nouveau du teri'ain. îééajiinM>iiîsJa (Bourse a conservé» son sang-

fm^j^Orn aj(Onjpi;essijOji que le marché Iles

cnahjgés rés^ contrôlé et que les défen-:

teûfs cfô'-frahc'-n'ô'nt p>s dit leur dernier

tn6t~i ~1 '¡'¡J, <,s r

gpJVIal ismppessIflsnné^BS par la nouvelle tèrt- gjèn.des PÏiaflges, nos Rentes cèdent quelques centimes..

<*fT&n'ip"eù/ideïr'ecuf également sur lès fonds disses. Mbvxiùamans. Fermeté du Chinois C^,ita25;M, .1. ,i ;• g^ÉtabJissemgnt^1 de crédit résistants^,

muiquë de Pdrïsj' 1.2S%: Lyonnais, 1.6B5' j;

mtén i~PâmfyM{w!8§&, -lommrwm eampiet S9mpmBmMiO4fàfmdWVEmipl

f~t'in~l` ~i~71' ~o'râi ae~ré~55~L~à3 emi~Î~ë

pnhilêiiivB'71 V ordinaire, 55. L'aésembleé

gétiéraid» oMinaîre de cet établissement s,'«içt êteijujej*iyer,>iisojus ;la pr,ésidence-de ]V| ^ules,Cajj^b,9,n. 5Elle- a approuvé les} comptes ae 1 exef ciefe 1925, se soldant par un bénéfice »éï" de 9.232.91.3 fr. 68, L'asseiobJèe aiisçoté' la; (répartition d'un divi- dende de 7 fr. 22 0/0 brut aux actions privilégiées et de 6 0/0 brut aux actions ordinaires.J'aieipent dès aujourd'hui. Toutes les'hêsfelutron's ont été adoptées à l'una$îffltts.ILëJFap'p'ort du conseillait observer tfoe ces résultats" sont sensibletnent tes

mêMeg gue s précédents et qu'il- y afieu

de~s lors' pour satisfaisants,

de^Miffès lofs' pour satisïaisaiits,

étant donné l'état général d'instabilité éeo-

nQmiqiie, et inpnétaire qui a continué, ré-

àîef flans un'e* gïèhde partie de l'Eurèpfe. 'is¥ Eh fËrWce, dit-il, les importants 'et- r^W§iîpurriïfe%irohtA)as permis encore tt'pr'- t*fôK*' l'a^âMisseitient financier déjîhltir. Iaâ<ja?éalisat»on< 'd'équilibre budgétaire-, p^ursaiiyie; ^u. milieu dé grandes diffieul?• té^f, iniarqu,e\5déià pn progrès certain, mais

il ne faut pas se dissimuler qu'il Testé -à faire de lourds sacrifices pour arriver au butv En dépit- de ces circonstances qui n'ont pas manqué d'exercer leur influence sur la,marche générale des affaires, notre çiêgé.de Farina pu continuer à se déVelop.Tper.-no*rmalement. On n'en peut donner di meilleure preuve que l'importante progrès t sion de ses dépôts, qui sont passes d'une année; à-iiFautne de 216.467.113. francs à 28.3.j577«j47.v,N*)tre, co^P^rt^ent ban.= cajrë proprement dit a été pàrtic'uîièremfcnt^actif '} eï"Hoûs ̃"àvéns pû;p coristàter avec satisfaction que nosAétji'Drisbpaunsd&f velopïsÇg les 8c|^|i^cojnme^pja'ti^énlre

France et le,s 3pr| <fe" IWropé Centrale

1b 'r~~¥:WJ~ 1qs p~ ~R~ ~i3Wâ1fl}m

ne restaient 'p'as Vain'sî^s'c' ^J »3»«« «»

-'En';Mjrïcké; les effets' de' la crise înlîùs-.trielle3 ont continué à se.faire sentir/ ;en dépit, de l'amélioration continue des-finances publiques, qui s}est traduite par une stabilité absolue du shilling autrichien. En Tchéco^Slovaquie, la situation économique et financière s'est encore améliorée; La situation des ilnanees publiques est très satisfaisante.

La Yougoslavie et la Hongrie ont consolidé 'les progrès- accomplis au cours de l'année précédente.

Par contre, la -Pologne, dont la nouvelle monnaie, le zloty, était restée stable jusque vers le mioas, de juin 1925, s'est trouvée à nouveau, vers le milieu de l*annéé; dernipre, enT présence de circonstances, économiques difficiles, qui .ont entraîné ujic chute asigôB'profonde dii "zloty.' La Sb'àièté Généràle Foncière, introduite aujourd'ifiui au marché à- terme^rifinik en hausse à.460. ,•< tjnipn Européenne, 1.290.

Le Suièx' gagne encore- 280 fr. "S 13.820, la part cdvitë'' 325 à 19.075 là part fbiidnteur 375 à 11.300. Wagons-Lits, 1.500. "Minés' inétàlliqués fermes r Èfo;- 5.880 contre 5.761 rÀorns*- 462? Huclva;lQ?i Les, miStaux sont, caJme:si,aUi.SI^tal.ogxt çBange.• '•'̃ J, 'Pbbsspn'at'es'e't pr'oduits1 cbïmfq'nes 'stTiïi

ïfeiras' r.KiMhiaiMi fîW'lexHgSupoW i^émf*

ng»> 1.3j35.;riW-s».ï93§ r, ïLasatarqrJl4&h<r;

~'Cf>. egU~1 ',es- g,~ 1',

é~^ef~rlte~Tt, i~·p e, T'G~ .~s~ ~t..>~Is~

crerles a Egypte, IMS. ̃

^AvïHaeTènsïBïfe WFWÛtifà ^râîfèi

res Roïjat'v.Bittmp^àWfvSMllyi'Wfr)

,Sùandar'tf- tràncio^nméxiimimA 7B&. h\= )

HSU^Ç générale aagroppe^udjafficajn':

nëBeérs, 2:5$0 Rànd mutes 45^; Centra Mlmtijtè '2.5te contré '2.5ffSV ̃" Les' Càteiiiitchoutières bénéfiefent d'une légère reprise des prix du produit: Pa-

dana\ J-.7^r j, Caoutchoucs de l'Indochine,

1~9~: cH~qJ~' a l' l11~oehÍJ}e,

'A'u 'cdmjb'ïànt, Witténhèim 's'avàttëe! à 2^20, j.Ja pari Kétôl à 580 l'actfdii-.èst «c>- tiveinent traitée à 141.. N Le, Foncier Franco-Canadien gagne 30.0 francs W'9.^00 la pàrt, 2;100 à 4Ô150Ô, Ba'âr que Nationale d' Egypte, 125 à 5:850-: L'ûn'3 J?aii/f,r;14'tti 2.020 part Minière diiGahqo:, 240 à 7.400 Soie de Givet, 130 à .4.850 part Poliet et Chausson, 200 à 10.50(1 Télégraphes du Nord, 190 a 4.300 Tabacs des Philippines, 250 à 6.250 Czeladz, 125 à. J.235 part Soie d'lzieux,. 200 à 4.950; Monaco, 600 à 13.30.0 Gâveau, 569, etc..

'r~c–

FART ET^WjCDRIOSITE •̃>- .i.r,;»: ̃̃>" ,v- ..VENTES' 1 h3ÏEL! bROUO*. Salle 'À' 'ô. Vente; --•

$kçcei<siémsj&-e!'Afvti!i:fëiir B: ^'Prènilètt vfâte.A'

Tableaux, Objets d'Art et d'AraeuWéftBi*/) S(&§è!s Baupwjju fîjnjmiwaire-nrisesir :r M Jules. ^BmJ

BAUDpnL n2a$n~àn ~~ék~s~f~ Juks.J~t&I 1

ètf£ e^MarinWinii ^éls.'14*^ ^.tf 4'*f/»

''HôlElLpîlÔUp.T. r-l'Salïe n°,.jol– y'enie. £ Étoffe^ èt Dentelles, Dessins, Aquarelles, Cadres aiittefô,i-ï- appartenant à' M. F. 'M. et Tapisseries y-anciennes, ̃<– appartenant à' -Mit-. 'E: et S.. R,* r IiA^R-I)pflRSya,! commissairé.-priseurt Pajjltoë, Lasq^n et téman, experts. •c .?̃ i\ ̃̃ •̃• ̃ Curiosa. -• Eérolat, 44, rue de Eiptiaî, vend superbe salon 4ubusscm, tapisseries anciennes et modernes, bronzes- Grand choix de meubles signés Dasson, Durand, Bourdeley, Linke, etc\, etc. Nombreuses fcdpies de nos musées 'et "Palais nationaux.

M!EM ) tCE TtM n~ ~u~ Trieur ~p,.

MieHLifETAliaft^^T^È||^

{l\2tfUtit Richelieu et 12, rucAuber Complets *'• JrjmWm I

-,̃ ̃aE»jA.jÈiis '̃" •̃̃ -•< ¡ Pardessus.« » » .ÊnÊf^mf :.̃

^h> Kifefe iÇiMlÉ;

mmiw> i

·, i.

Publie dans son N° du i" Juin,1926: ̃̃ :-pà3iJl SAjJDEÇr:; i

''jMHM~tè~etUt

JACQUES dë;.lacreplle-

*v JLëtti'es^ E.vptegtiaics

P~.UI~ ~V~R~` `

~n:)~;U:,trAt<!<<M~9!!<~Ht~B ~i')'i.

^n:3\jtï;,jrJ^*I«e«^sfewn(Ç irUhi'ic.ij.y.;

~V ~T~T~Mf~O faïrï9~~

)'f ~UDq ~i]in~bMI' !.NDl1 <iï.J.hl

«'jvi'îsùTv Vu .visis %-ih ni-,V

th? VILERf jtMBA.U© i;/

Bïlyet'lî&sëttïètit phHoloffiirftte-

henri foiirra;t '.1

JLe MM nu vais Crufçpn (ÏVji ALBERT THIBAUDET v JLe Jt&ontinii (Jutlioliquë PIIOÇUAINEMENT >

GEORGES DUHAMEL..Journal de Saïavin ANDRÉ GIDE. Lettres STÉPHANE MALLARMÉ. Hérodiade ̃"̃ "'̃•̃ (Froments inédits) .MARCELîPRQUST.Xe Temps retrouvé PAUL VAIÉÈ~ 1 F~agmenis de Carnet

̃̃an Conditions de l'abonnement an^ai jusqu'au ltr Juillet seulement < France: UN AN. 42.» six mois, 23.»

layqnt^adbiro à la Convention da StocfcftQlm

,»Pays ) un an. 50.» six mois. 27.»

Étran&ers J ̃ Ii n'ayant ̃pds'adherè ̃̃" ,.( UN;AN. 55.» SIX.MOJS. 30.» LJèNutucrQ;. Francf 4.25 EÎrangjjf. ̃ ̃ 5.|

̃ÉJÉÉÉ' VIENT PARAITRE XttÊÊM

̃ HEP3RB-ROBEBRT [

\de VACADÉMÎÉ FRANÇAISE t

̃ne S-WSoIJJ^njiùrJr^^ripîirÏpTs fiv.

'0: !1!r~.?I»,E!lJ~r"'I_TqJFf¡Jt7'1 ° 4i~

Racine et h Duparc La Ducfiess'Q ifd marne Le Régent ''̃Vf l&fiafflbïRo]t»r. i^-e Sfitèuw 'Ja:Ltw T Ççrtouohe.'f! :\1 (t. PAÏ0.T. PARIS,. l&, Boulevard Salrt-Germalh

Les inondations k Volga â

:r~fj:') 1, '“<

Cessent des dégâts considérables Astrakhan^ 4 juin. ̃̃Ites eaux, ik'bordée§ qui s'étendem^ à l'embouchure de. la ^qlg« ont rompu les remparts érigés autour d'Astrakhan pour protéger la ville. ̃" •Ùnfe p&rtië de la ville est' submergée' ï-f 'le niveau de l'eau atteint seize mètres de plus (pli le niveau normal. Les dbiggi-gggg,, causés par l'inondatipa. sont consi.déra.b;les..

SAUMUREXPQRT OÉMCUEUX VERMOUTH

A4! .PUFt,, J pe ,SAJJIYJU9.


:y :<QI^^ ;j.A~¡-:¡~UL,t,{"ci'f~~t"ri,i=c;T: T\{'C"L'v. W- >

(jlRIERlEllpTBES

,«* ^tyoMsïÈfjiï, "j3E; ̃s/jîifà&tii.y

-̃•" --• :.̃' AUX VARIÉTÉS .7 ̃̃; ̃ <: -M'onsïfûr.dè- SaiM-Obm s'e^t installe, ;èir gt$à' .Seigneur, :.$u théâtre des forjçtéé.^ex;-1 cejjenf p ,comédie du regrptté André picard etj dç/M. H. M. Ha,nvood, a iroiivé,, sur -Je Bou-

levard,^ Ï!accu£fl'cbaleweus({qH^ atsaibiétéi

résëifré àoJa au^âtiblWBq ûnrtt'iftB'a J& eaiiutt

La première représentation, aux'4r!M!~

La première représeptation. auxsîH4Vî?t|3,v

La première 'c~ ŸepŸéshhtâ~ns;âü fh~

aprëSphïs flè ^éMtatfôns;Jlau £%&£>

des. MatJmrins,ra, ^gsuré le Jripmphe ,défîni|if

de!' cette œuvre ̃•si finement parisienne, .si spi-"

rituellement boulevardiêre. ̃

.interprétation, est; celle de la création et l'on n'en saurait imaginer, en effet, de pjus= remarquable.- M.' Jules Berry. est Monsieur de SàmtfObin, avec cet art exceptionnel qu'il possède de faire vivre un, personnage. Il y est étourdissant de brio, .dé fantaisie, .de modernisme..Mlle Suzy: Prim est Isabelle- avec son esprit, sa sensibilité, sa malice, charmante. M. Béjières qui a- fait du rôle, .de l'usurier Loupin une de ses meilleures -créations MM. Pierre Juvenet, Henri Richard et: leurs camarades font toujours à, Mppsieur de Saint-Obin une escorte d'honneur incomparable.. Durgjty de longs soirs, incontestablement, Monsieur dïf Sdiut-Obin sera le maître du- boulevard, -•' r Première représentation y •'•̃ «»t A la MAISON de' l'Œuvrer à 8-'Jl'. 30, première représeptatiop de La: Dupe; comédie en cinq actes, de Georges Ancey. v:i Distribution

M." Colin (ÀUje'rt) Mmes Jany Cazeneuve (Mme Viot>, Héléna MunBoll (Adèle), Christiane Laur,ey, (MarieL ̃ ̃“ t

̃ ^xj&k&£*&*r*4&£. cl.

Aujourd'hui:

v~~iT~O~;`â~~ ,5, Sâp~hô~~ :~t

•5* a XTjdeon, a Z n. 10, Sapho.

>•̃ '̃̃ ̃•̃. jn'vdtfg*^1;; ?.v<t*fï!i. ;<r>! î;«"T

•Même speélaéffiî^n&ïe'soir »"> -•j»:M1>

A-laiPorte-Saint^Mantdn (2.h, cl5),.aù Ha*

vel-Ambigu (2,;h..30), au Grand-Guigaoli (2 lit. 45),ïm%mtre ^bert^ tf. h. ^Ç), J ̃ -Ce «oîr **•̃̃̃̃• •> -̃•-̃•*̃ ̃•••-•̃ *Ji

̃ = ̃ sort ;»-̃

*<£t A i/Obéha, à 8 heures, Faust (MmerMari se Beaujon, MM. E. Audoin, M..Journet, Mauran; Mmes L. Bartlié, Montfort, M. Lubin. Danse Mlle de CrapotiMe, Mlles Rousseau, S. Dauwe);' Orfih. M. G. Grovlez. ̃̃̃>•:̃ JXA -la Comédie-Française, à 8 h. 30j A quoi rêvent les jeunes filles (MM. D. d'Inès, Drain, Rognoni, P. Bertin, Yonnel Mmes M. Renaud, M. Bell, M. Sarnary). Le Pèlerin (M. Létjn Bernard, Mmes B; Bovy, NizaH, 0. tFohteney). La Paix chez soi (jty.) Des.sofijies, .Mme

DjtSsane),

à*' A l'Opéra-Comiqûe, à 8 heures (abonnement série A), Scemo i (Mmes Màrg. Soyer, Kamienska, Garcia, Ducuing, Morère ̃̃ MMi Ch. Friant, 3. Beckmans, Dupré, Tubinna, Gué-. not(. Orch. M. Alf. Bachelet..

̃Jt A L'ODÉbN," à 8 h. 30, Les Femmes Savantes (M. Silvaîn, MSI., G. Ousih, R; Girard, Chatpin,, R. Go.t ;;Mmes H. Moret.tS. Courtal, G.Laugierr Bouvard, A.. Duf rêne). Un Caprice, (MM, Merlin, L,. Hector Mmes' J.: Yernee.uil,,

Cferancè). ̃"̃•̃̃'̃' :•̃ !•̃«̃>

5<iï' AuxiVABiÊtËs,' à heures, Monsieur 4e" Saint-.Çbfnji3\iies Berry* Suzy Prim, MM. Pier-, re'Juvepet et Béjières). > ̃)̃̃̃̃ < 'à* Ati'GVMNAsÈ. 9 9 heures,' RShV OKinra" Galiy-Mbrtayi-MifljeBibW^ ^'MM! tffàcqùeâ'Sâftûi iner, AléoverfBemàsîr,iRop^iWfëv](tts, Mârôel*^

Aàçlrà), ,<<̃̃.•sî-vfiT.ft ?.'f.T :>fi^A't J-nî la

̃ J& A fci .-Po^te Smkt-Mautin,, à,;8 ,'h. 15, V'MgtàA (MM.-Paul Bernard et-Ar.quillière)1.* "J* ÀU THÈOTtE SARAH^BEHNHARfaT, à 8 h 45V 9e Gain des. Ballets -Russes, de- M. Serge de Diaghilev'* ?epfiyxe: et Flore, Noces «t Lest- Biches., ̃1 Au Nouvel-Ambigu, à 8 h. 30, Petite Pe-ste. ̃'̃̃̃' ̃(' ̃ ̃ ̃' ̃

ut. Au Théatbb Anioine, à -8 h. 45,Pas sur la bouche, la célèbre opérette de MM. Maurice

tes âmids

HôtëlÈ Européeiïs

'̃̃ ̃ ̃ -̃̃ ̃ -f'~ r ^;j v J.Vf r.»ïsJr- ̃̃••̃ï ^^t\\ 5~ ̃ >, i

T~O'jr~r~T~1Cf' "0' (~ r,

M^tom :,m: Mmmiï mi", t

MiRBVISiewM^BAUXTQfe LOÎMSÔB'îWSferï

'^ous aVpfts ^éjfiveïï.^i'ci'tcâsiph àe rfp-

p'êler ici-mëmCqu^Jles priîBrfétafi^- §M'

peler ici s~`n

autorisés à ffla^dVey'ïe' pHx des" ï»au*'qu,ilf

tint consentis/antérieurement au 24 octo^ brie: 1919| kM, Çôîiditï^n qu"il s'agisse de baux d'une dijr.ée supérieure à neuf an-

çeeg. •'

Un_,baii avait été1 ç^ttsenti en l"Ôjf2 jgour

une durée de quinze ans et devait expirer en\ 1917. En 1912, le baifl fuf.'p'fprpgé d'un- commun accord pour oeuf années. Il devait ainsi expirer normalement en, 1926. Est-il susceptible de, subir une ma-'

joration .?..

"Çui, si l'on, considère que la proroga7; ti&n amiable fait bloc avec le" bail proro^i g| on serait en présence d'un bail de" yingt-quatre années, alors qu'il. §uf fit de, plus de neuf, aps;_et ce ,b,ajl, serait .apte- riiur au 24 octobre 191$ comme las loi lîexige. Non, si, au contraire, on considère que. la. prorogation constitue une convention nouvelle, puisque via. proroga. tion est seulement égale et non- pas supérieure à neuf ans., 1 ̃" "On. sait peut-être qu'en iftàïière fiscale toute prorogation est considérée cdàimç une convention distincte, du bail lui-,Diéme. Il en est flinsi lorsque la prorp^ïu-"

COMMISSAIRES

PJUSEURS

pls~ya9xs~1 t)J. {saia

Écrire v0 et -fUÊ^j£^ Tableaux anciens et modernes. Dessins. S;.

..Bronzes, Marbres,» sculptures, gravures. •̃•̃

MEUBLES ET SIEGES ANCIENS Meubles modernes. Salofas en Aubusson. Piano droit de Baveàii. Piano à queue Blondel. Tapisserie» anciennes., Tapis. Tentures. Vente Hbt. Drouot, s. 1, le. veridredi"il juin,2 h. Expos.' publ." jeudi 10 juin 1526, "He 2 â« heures. M*' André Couturier, I M^G." Guillaume, c.-j>56,;r.de la .Vicaire I e^xpiruç. d^umalè, 13. 1 Mid tokli îllî~l>,Ig

ADJTJMCATION Gh^IreJ defeBotoirw'?? ï&^ 3 wrrs m TERRAips, «fe mm Boulevard 'aurai, 137 à 141. Çrande façade. Mise à -prix. 600 francs îennètre.- S'adr.: M' CONSTANTIN, 9, r. Boissy-d'Anglas.

Yvain et André Barde. (Henry-LRverpc'Sîajy- Hett, Simone jÇerdan). ̃• ̃̃̃̃. j. £ A l'Athénée, .8, h. '30. La Ros'é.tfe scpr teijibre (Mine Atyadelèi7ïe, fSQria et "M. 'Lùplen Roseriberg: Orties. Carletta Contiï A. Prîéur; Ch. Dervâl MM; Càllàmàtatl,1 Lucien tD*yte,; îJèan Gapoul avec Marcel Vallée; et Ariiàùdy). '•«st-A.v la- Renaissance, à 8 h; '48, Qnênd^pn ett, £r.eis. .avec-Urban, Flore ,Mally, Clwiistia*;

> ne T>ox, Geppges ^ïa^ey-et Marthe, Pfirffliinyj .<

'jt Au, Théâtre jjE Paiiis, à.« n.' ̃̃.3o, J£aJjur. posté (Mmçs: Vera S£rgjtné,.J<t%ftiqL W%'ft%i 1 YzÈlle, Ribe MM. ̃ "Harry Bàïir; AR.3râtireli;

i Ch, ;'Bt!i:1iiri'd¡'¡~t ,i~Hfif l~dnœ¡~q,'9;) )I,~wf:

u&sxwimikîtMotmims mTi&f&ààptiiïkicr \dweà§ntiè8&ïeuas -t!M»!!4lBeee-rB);aiîii^», .to

voilés, Géd ïtdcltïrccï,' J?.AÈiielnï).'j*eiiaWrB.Jfell

¡va, llès, Géd It.d, cb;:cq,. ¡ d~. nA,sse1fri, !J1KItrJ&~é4

(Viçtoo Boiidïpi'i!; Muios 'BJ^uïBhp Dijfca^j Marg.

Tewpîeyj ,Aliçe,Beylat, L. Dauvîltel, m," *iu< ;j}t Au Théas^e Edouabd-VH, cpkoif^ifcozqri. t 'S Au GnA.NbTGuiGNOL, à 8, h, 45, fiji"dfï'ii4'M à Vojrd (M- P'aulais) Le Chevaliejr Cànej>in' 'j 'ia Fosse aux Filles Q$le Maxâ)"; LlidstU et sa ̃ tante i (Mime Madeleine Guitty). Matlaées1 mercredi,- samedi. dimanche et fêtes. !•̃̃/ 'Jï' Aux Boupfès-Pabisiensj à. i h."45,' Trait jeunes filles. nues (MM. Dr.anem, Ed. Roze, Gabin, A. Lamy, Hemdey, -Nellson sMroes Allems, Suz. O'Nil, Sim Viva, de Creus, R. Yair ville, Etcherry, Colette Roby)., ̃ 4t Au Théâtre DE la Madeleine, &.9 heurts, Le "Docteur Miracle (André Brûlé, A. Leriche, Joffrè, Beuvb, avec Saturnin Fabre1 et = Jeattne ProVpst). ̃̃̃:̃•" <*t A LA Comédie-Caumartin, à 9 hetttesi Le Mftge 4" jSarlton (Le Gallo, Arletty, Henry Bosc, Roanne, Gobet et P. Etchepare). «5« Au THÈATnÉ DAukbu, h 9 heures, Man-

dragore (Mipe Madeleine Carlier, M. LtiEté-

;Poot',JIWçs Schmjtt, Gr. Bert,îpolly;-Fara/ et M. Maurice' iiagrenÉe).' ?T JX Au Théâtre des Notjveautés, â 9 heures, La iKooe.. (Xeanne .CheireJ avec^Régji».a-Can)ier et Charles Boyer, GiWès, Pàttline Carton, L*irfette Fléui-yVRéneè Divrà'c, Chaïnèell, Miipiès fîls et le célèïre' to"niique"GerBiàîn>.1 -hw» » Av Théâtre Ma'jukny. à- & h.- 80, ViVe fef République -(Geneviève 'Vis, iMitty .«ti^jUid. Boucot, Alermei .etçj- ^et.iBaiinw).. Vu ̃̃<

~(.4u TH~.aE~~A, a.45,o.~

sonnière (Mmes Sylvie et Suzanne Dantè^i MM. Pierre Blanchar, Arvel et Jean Worms5.'

1 j,mj¡\f¡~J?R ûzâ"~u p_lg~`D~é~i ,¡, 1.

MmC, Débûci'îBt, l-Aésn&-cbéiiÉhv:eJW-JPim^ ^Srêo'fHÉWJiE mâs#3s;-6. 8-ffi^6/*o,^? !i?arfé?fi;v#Mi*'GudbrW K. 'CitifièU ttëtîott Elifc 'myP;M«iéSf Iibul6iïtHcKplanrtr,Galwi<flle,;JlisKl Itori, Fernan4e,èatayV:l>au,le,Mor(ly)Wi;;i<àlf.

.«M ÂO'i.ÏBW^B.pES, MATHUSJ^, 4v8--fti;i$»

̃Monsieur, de '4fli/tfhOWn,,(M, Jule* ^ëcry.-lmej

;¡1f.~i'J, ~c~m cl./i .g.jp,t:olp,'n.~W,Ju e$, JIerny'i'" 1~

Su^y j,r^: Miî;;pierrâitlv4n#5HfeSf!fei?

ch|rd ét?M,-BélièVes). ^H /™' 'v; ^f Ali THEATRE DE LA MldUODiÊRE, à('8 ».' 45,' Palisiônjïêmént (Mlles Rachel i,auWérs, DaVfai' Réflêe Dàler MM. Koval, Géo jBtttyv Liicieltt' Bâr'oUXj'iCh. Lorrain). ̃ "i;ï r- if,i- AU Théâtre DE L'AVENUE, à 8 yhy-i$i La ,Repuï>ide VA-vejnue, avec, M. Jeafl Perier, Rahna, Irène, Wells, ,J. Devalde,.Esmée, Dayis, fMaria Ley et Alice Soulié..et Girjèv\ f, ̃»>t,"Au.3'n'ANON-LyniQUE, à « h.,3Ùj L.a,Dtirr- nière V^alse (Mlles Bevel, Jane Fejjny Mw. Rudea,u». Joubert, Sainpï'ey, Monval," Thélry)". »; iSt Au, Théâtre de Dix-Heures (direction R. Ferréol), à 10 heures, Blum-Bàda-bl6nnti< revue dé1 M. Charles Fàllôt, jouée par l'auteur; les" chansonniers et Mlle Cloé Vidiane. Ma» tin-ies dimanches et fêtes à 4 heures^ t'U'

~<.

NOTES ET INFORMATIONS '£'

̃̃ ̃ '• '̃' ̃ ̃ ̃̃'̃•"

'.1~ ~U.

Opéra. 'L'Orphée 'de -M, Roger Dùcàs» se, don't Jfe première tfeprésentitiohi aura jlifeu Vendredi ptocheAn- à; l'OpérW^st uh« .• rœuvre considérable, dont la '«oncôpïîtm' ^Viginale met'- eïi valeur- toutes' les 'pessoiirices liiiisîcalesrî*^pi'^sives et dôcajWttiveiiP déttï;4lis^oseifâapéaa ,$otesï«etoeoi«9«- msk tamment, ont un rôle très arupprtttiib djaki l(^Mfedtiiir'Wtt,«eti<îl(f<*i^aotga?dàtt«lal^âr- 1 iti*ib'rl'^>prfllFâiitei»ftu«-»fe fèaaèk H^ttrëff5 db'la musique ^ançaisé dd'riterrit>ttfJfin*V"51

:>*̃ > ̃'̃ f" ̃> ;i- .̃'f.ï ̃- :-i\.

̃ ̃ -'̃̃ •»O«»i' r !,(. ;ft{;> Comédie-FiWnçaIse; ̃D'emàihV* pàiit~ célébrer le 320' anniversaire de là^ft^is-" sance de Corneille,' on dorineraieri •nïati-:née, Horace, avec MM. Albert Lambert, Alexandre, Désjardins, Fresnay,'PaûrGëri'

à PAiiïs ie cLARiDGE ;'£:̃' U«plus>el hôtel de Paris

i Lyon- ,> pairie1 WoreW- “̃ j .•̃;̃ 4f?;.d^rnier construit à^lCE .,v..r.k. NEQflEsè^t ]., '̃̃ ''Le plus sàhi^iuBUK'dalaPalaces

ltïm?mrmëldu fôfï'Prï^ ^^«ffiên?^ Aéétijm ik Ji'firrjMKtf ^^st^pBfu'e"

:l~rim~~e~?e"6âs'd~h%

:p« 3i*Wn9*âns;' 'En "coh^eqlifeiiëé," lt/AR1

'r(frèrnèrl1°t¥sf¡;l\û~ 'ol:itr}h'(4 ,ré; "~tiQ'I1'è~'

!d# façtin"distitïçteVv^K .;̃̃)] %^l! ,L'k splùtiph est ïa même !]en!'m.âtj.ér!é ojî'' vïle eVls Jurisprudence semffiè ^ïe^'fSée,' en ce" serts que toute p')r6r ogSLqM, dp'it 'js$'é~, .assimilée, à une. cqnyention,;rioùy^ll^t(r/. ¡; ,'• Dans ces conditions», jl était «a. crai.n,jlrê; qije; .^a majoration fut refusée j au jirppriétàijre demi nous p'arlo^s^ Le .tripiinâl.-de, la Seine, appelé, à statuer, a ççpènjdanti.QéTf.

>ciié le .contraire. -Il a, réconnu .au ;pro&jfér.

itaïre'. le' droit de majorer le'prix'yaiijaa^l, II a justifié, -cette décision en >-appela^~ que l'iritentîon du législateur avaïj; jété:;4«permettre la révision, de tous les. baux dont- on avait fixé le prix sans pouvoir. prévoir qu'il deviendrait insuffisant, ,$i le propriétaire, eij prorogeant son, bail en 1912J- avait su ce qui devait se passer ,deux ans, après, il ne l'aurait eertàineme;^ pas fait, i C'est pour _com penser .«cette ij»iT prévision que la loi a été faite. En. renndant son arrêt ler juge a estimé appliquer la loi, sinon dans la lettre, du moins dans son esprit. ·

;VeIlié'à¿ 1>aÙiJ;, â"Paris,`T3' jùül°:Î~

du MAtSOW A MMS

da MAISON, -A,- PARI

jtr) .(.~Nsn~M e~t

rave s

jSa~ t470'ùmq~v~br~B<).)M't ~t)K'?80

<nv!roa. Mise ptix;i .ttt.h~Mt.MM<ran~&<t vAISON ~o ~~1~~lGf~yWP~)~A~~z~~tëir~,

'l!,Panlf' ")I~ t~

super# -MO 1l1ôtres' carrés, eny, ',Re\¡1b,Ut, 2~83S fr. 69 ecv. M. à p.: -259,<~0 S'a,d<s~ pr rens. à Mo Fernand Bertin, avoué à Parts" 18, rue Duphot; à M" Mavré, Marais, Comri. 'François" Fichot,' 8'Voués,;MO¡'ÍJjelarúe; ,notàire Paris; M. Guillaume, admiiiistrât. judieta~M.

Deux Imrrieubles contigus C8e #.) R. Fraiïçôis-I" ^40^ "Contepances: 5Sf' mètres et 833 mitrè&,5T.

̃ Révèritisi.bruti; '67.Î44 fr. «t 175^00 ̃fBtfrics. `

[Mises à prix 700.000 et 2.500JfeM Crédit :;FQnci£r: 4,30. à- eonserver,\Ac(jt:'s»K: 1 enchère Chambre not: Earis, 15 }|jii» ,92f,j -«f^ S'atL.aux not. M" Lefebvre, 21, a», K^jgp, -diç.. MJjH&ûi&c, 3, rue. taffitte.'dépô^. ^enchère gHîAlirTILlfY/-f ace pelouse: ;Bewt tewaitt;ili-.bâ:Ti tir, ï".446 m. Adj. ét. Vid'y, n., Ï6 "juin," à" 15 h. M. à p.: 140.000 fr. S'adr.: Vidy, notaire.

̃ ̃•̃ '? ̃̃̃•̃i .nn& 14, t mi ̃̃:i,).\ ij ,,a.i,j'iUfiOt! HBic srh

i bault, Drain, René Sunpn»efa JMiçes, (pej,

f va iv, i Madeleine}- Rogji, «jMajy#JSfi îJSajïi jac.A -t '.?, -îm iiViJiUp 'loîr'ol

Puis /e j^fe^ieuri-oyeiOr^î. vpeljellsiiîAflb

idré-Brjinot, Desjardin$, >Roges Mojft^aitsj Pierre -Ëerjin et #m«s jJa.iîerJïaJi>fiy>}^£gg'« ̃N|zan5 Marie. BelL-<r,|' ..•• isiig â»>> il ste f ,.E-n.«^iMïe ,r;PsycA4L^xeç3^ffi}Frf§n«':(

i Jean- Weber ^'Mme$u^mnomM'mlêimS:'y a

jviere, et. Rpdogune, avec MM. Albert Lam!bert;Jeàn* H1ervéV''Àndi*è- Bacqué, ChamSbjP«uiljeii?MraesiiWiBbfiC, Madeleine Roch, I MadeleinfL^ir^ç^jj

Joderont pour Ta première fois M. Des-

jardins, Gërorïïë, dans" Te.'lHealêur M.

Fresfâfc|M^nfaB-, dai>!rfP|«HpnBfT»ans

!?orfW^ Wl^É^S^M&ert

Lambert joueront. j}ojjr_ la première fois leur rôle.

..•̃.V.Vi.' 'a'\ ̃K'l.,ti «IwifWiU'iviVjB %ffl:t ni V'OoÉoN.J*¥oibi',4a dk#ib1ittfeii du- spfe-ï tacle quf se*a aohnéïlenMftdl' 7i-jùîn- ètf àB!i rée pour !?ànirîversairè"<'de (3îlrlièiHe.V.->\si» ̃Horace :?MM. RiozèlT! («uWace), s'I^ul Oettly 4H«raeé), Bàlpêtré^ (Fte^anK *ÏHli vain (¥ieil«iHorace)i A"Mdpé 'Isa\iit%nt ̃ (Va* 1ère), Vidalin (Procule)y.Giïarpin^TVlUe^-i Mmes Fanny Robi.ane, (Cabine), Cazaux (Julie), Suzanne Courtal '(Camille).

~)foe>li()n:deveiwmw&, COmédtR>oniun(àctgsnlJje M.' Augusto^aieroy. My Balpétté (CoBiieille) Mlle ©uret (Henjïiattei.'sfeija l.$*y%!}e. «.M- tfiprges Cusin4l2^1*y*e)o3 wtes^jRenee. :Devillers. (l'Amqu# fcsjAWwiaa ^sjfh>.), ̃. -u tm-mûhdt. xoTio-il '«r«!^ » ,-î ̃?" "'ù'i l ZUtib ?.9It

.«.^Çfiy^îneflt JbJessee au rpje.d m flour* tta

la. derniene.. rççpéti.tiçn. ;d_e;, lîAj^/ipn,; .^Iljg ^gdêleine Dainiroffq uoni,l?éfeit9ç,st,'£n4jy

r(3U«éftifent .«n^blp d'^méliora1iuinT-n& tai'h

d'ôrà pas à reprandre^le fôje çle^f ôn^«|§

Çâlhefxtu;;q~t'élle;tdév'aIt lou~z~~a l~ ~t~t~

•i"»CT :f^L.iHil '??.•. *'j; S-i. .'•s

i~M!ë-?~~t~M-MART~N. A'~s$ ~û. et'

a^.sî*, #A%*c»i,«tfiNefe ArqS&lMè^ê et Palrï Ber.»awd;'îMsïirtSIS5 |ewatf-«l(rt*èdi-t§t dîman-» GhB%ti'i'ïR'h 3oàaiii'q.9 l'naicvi! ±ijsi.:lctiM qj'ft' zfsbg&ilull ulr^fliwiJi.q iit aJuot»* v, ̃

,éân'EEéNÉï6l*-4tL(r>FoH«(^«asi^ï*dl}0ti.!îagîi

plaudira dans quelques i&iM>&zf&mèm¥? est» vïn ««>^(hsJ:tgaianeï» »U»ny<fâi%iêiileUre njWMèreA'tîes'aaiffèWts !fôt«rs .ffû- aix%uM*s nte?-B*èel8î25fiesïf«*§>fti mgffe/i^û MM. FéMS? Gandé#a9Î*t»Mtoùeiyî®6rfl0ffnfî pi'odigiïé 1# g«ieté;>èfe teuro'espi-it/ sont%Éjolivés'^J'ùn# riwesiquëvpiiBpaHte; de M.: Maréel 'Pollfet. *'•» j»Aa/uiilieu dâ^nè' fastueuse ïnMe"^n scêtM où revivra toute la somptuosité de '1?éJ5e<ï qbe$-»te ad«iirei»a;4ans de>' mei?vfeilfeitx>tfcdstmaes=de sty le^Mmes. 'Alice; ebcéa^'Ms*

rite Rierry.-Daflrele; Mony^s iAiicdrée @kflHi£

Mireille y-von, qui et "ïiMteiSpBétëtibhtiii©*? prifteipaux rôle^avecf'JUM-JtDUect !M«y^> liri'-et< Marcel Vallée.; .«̃̃• l'ur'o «( ,?;ov no &ïL»iloeation est. ouverte ipèfeirailâK'-TÔpétfe; tiojM; générale deugala, à imrbarosJouTOtaUt <pjt;Se^a..donnée njardi^soirr & jtfinpWii béfc nef|ce,,de.:la .caisse d'amoBtissosarenl.; zaat ̃j,>i.v- '<-̃ ̃ Mh»^' mai IJ .-ï^iarios! Ambigu. Au Théâtre dï)iî'VSmbtgâ,(îflfe' vientrdfi. commencer -letf ïéaêÇMêiis-:<tè> M. Mouehe* espagnole, "VatiâèVïllâ'<kïr>ird& IHPi tes .-«.de MM. ïArnolti, Bacli >%{?ï)évèpë '«ûl^a11 été joué daniïlë monde'ieBtièr 'et <jtm&sSfP trois eenté^ fois de; s«ité!qc«tërf'saî'sb»'î¥' Braxelles. Le- ;Tcemique «bfelge ::A{ip dvèf ë;! Ûtf des créateurs tfè MflekBÊul«»îàwk a été *wfi> gag&; spécralemBBt jpaiiriijotteri 5 'Pa'ris>*p rôle qu'il a' :créé- à fir(fxellès.uN&â^"doMiii^« ronsi-. prochainfeiiïent ̃ la diËtfibutïom' qïrfl sera, dit-on, de premier ordre.^»''9^ ~«7 fil -.«Cïft- .-••as k. Jti. au^fi u" 13 (ij.> .îvm'j >i^R^o(â^M^!n«4i«&iij{JtmjfJiâli?'dt éty îMHifiviHn/iroatinife ofc etuliSWDQ-éiinartoiiîoKsôî aàfc «fifitoï, ble ae*«fe9!i^©àfee^f/«^Ôâitti quelques U&ttflS, W®\w> sfc taoa.»( «; *0* ;>.l ̃̃̃ f.! ,-̃ -i- j-ij^ Ta^gr- va lac <.}ViU ï'HË^rriÉ FEMiSÂ^'i^peitiarii dfiiffanfclfe1 1 à 2 h, 45, matinée iàâinterv|HlJèuk''1sù'c1cè^ S la Prisonnière) dûfrt; voici1 Ta Jben"V t^îziWme représentation; àVec- fotës'ffë créàtM¥iê Mlle Sylvie, MM. Piëfre- BM«tt%r éfCâi? Worms.-aséfcîM^ Arvel et Mlle Suzanne Dantès eriitête. Rappelons que l'œuvre

r-'HAéRHy"1?.. ifnRiTZ. ^n^i ̃ -̃̃••̃

"• stl~1 L'Kaâ'fepiUSarïétocratlqVe,:

.;•,• ̃_̃̃ yVa ,»3-w)\ i3x» ïSÇlo^atid d'Etifbfièi

.a'-SANTANOiîa w^^|©î| K.nffi||a^

.jk-mmASBw> i*.c£N d^ENTAi palace

a JE-BEBA~~3iBN 1!~ ~y~ ü·JJI ~i12~lFA`~Y~

-•^tmtéijPâîaiSiffaïiîé, I«qjuîàîilM8, à; 2 heureSt» l^ïil^mf^lWKIS'

(AcM.)~r~M(g]~Ms, SJ~! <t&9~set,~v~M

i (k~:HIra~ta~, ~!l\th9~iS(!»''¡iVqtI

jPkfisfJ èrtffê crî?t?s;TEfur-Ies"ll£iÈFpnÉf '.visites

¡PhTis'1 fife cr d's;lfs'Ur' eS"Ii.e~p~~t,¡, site~t

avec permis dclh¥^fèSFaH'M. tfof.v- 'i.1 l fiftjt sit.tfMaf) t3fl33i? Sii 111?. ,ty.s :>( 't ̃ ̃' >

&%W$£-%tiPWn *&}̃ ?^¥allée;; notarrÇ <# i

MiM~~ '~J\l¡n.)!t1;Oll!¥t.I,lPJil~, ~JI,:ée,ùo, (03SE~

1 L "HM.If.L ¡ Librè'8tiiter

)̃««̃ •- i- -ir. ̃̃ ̃ ̃̃•r ̃̃̃̃ 'q Belle PROPRIETE à St-Cyr-s.-MoHit; m JMR? "M^rérii.1 et potager.' ConWn.^8}«6Sf!nirifté ̃dt>*3S67 m. et tërraiil de 545 m. -iTôOisBanoe «ttP! médiate. Ad judi «t, Poirpt, notw^j^in^âja'* siiT'MoFJij, 12 juin» 15 beures» gla«in*udir.ljpld ̃vv- -u-i ii ̃- ̃̃̃ '•» ̃' '̃• '̃•' ti;>>n.'oaoaaV a Vente au Palais Paris, St6.(fti»ja tKS aaœ PftSPRIETE consistant -.en l#g«s; /payijltifis !^F7Sr avec, terrain >,[ 1^ à j^ft.

~.Y, (1Q° ~qàd'iasemoett~iJ,~Gk i.y z;~i

Rue de la Pompe, ô

1Xae:de'at:'P,om~ 'e;

a°:t6-10 m'.iti.à p. 800^0 '£' §'a£î%« MvM'èf DnTW,'af6né,'4, rde Louvois M^DaAtft.îavéué. "• -r4ïet Mc" Sabbt et RîVièrôi'iiotalreSî1»^» «9 r.'>>t ,Ci.̃• .̃̃ ̃iA'j imiWmVt fa A1 adjfcèer'ôfiambre des tiç&iPfrâ;Wlj(ïtii imÇ-Malaon- KUE SAINT-FERDBtAN»,1 lB^W'p nM7i-tr. Misé à prix ̃ 69«*«W fesaiKs. i2° Muise son à, Paris, RUE ALBOU», 4T«jRe,K<: ;48.-9«e,-ftq

BHfee- à prlxii, aOOJiOO; fea^?.:&»flres?er!ï%4lfe

l'4i8~ à ,'PrJ.JI;@O.ooo f,t;,It.I.t!1, !l'1;~<<ri'r. Ih

BLANCHÈT,- »ota%^ ttajÇBÇ 4e «eaujûj^ug ~i

B8S8SSB«SS8888<wip^iw»"^MMé9i ip

^Sppiipl^Sl ill?MHiBTr r?^\lT fftCIQPS jtJNp]J||«. ffi'ftlMPMp' i(ji A*lp*iB

.q '1> 't'f~v! J'f 9T!M~ ,ZMUv-S'~un')tn9

iiC~ 1i~~1'9é k ss z u~

t~ib.e61êau, VaIIi\éSéhte;h'anW:Ú' ~9n fr_,

tailtefilêau, Valféè Seine; hafiriatieffees'cinlfe-,

table, état parfait; 12'bëffè's pïéc# j)fti^^8Sji#» brçs bonhes; èufsinè, 'iUftm,- &héiti&jHl&UQf\ bains;- toilettes, pavillon •iâràîniër.atrtK.i bc^à- jaedins, ombrag,-paSiJsup^j-4sear i'oeJfetififlfcOlW»' CHEVASSU, 10, rue; Paprot, Jaçisj.tê^^éfii vues et. renseignements 'ïratis, 7?,j|éui^

~r–7–~ x' .r. .j'.t.l~

UOffi PROPRIETES à f*4 3<rJS BOISSELOT, rue du Rocher, Bflwnacir/

~f' t < at .ir;v nt~t:

:3fv-v-«^LA|^f^Èpijff^ .?^v.

^y^AÇQUÉB^#' 6E/lEj^»|k^jÎB.lj^.I^;ÇEfeEEîBEÎBEâiJX- IMMEUBLES DE.'BAfiPÔtt2f

:.=~3~ ~~u~s~En~ r

'P~re;fr~~u- ~qï }~w~s~;Prg J.~J. F`

-•.̃ ïiU'-il. âi.-sii ssffijtr-i «as ^uJ'jir Mte^iom^i^ heure.& ai; H5heu;es< -j, i(_

>:1- ) ¡,

tPibirWHalev; jjinUssapïè 'et si élr arigemënt

almSfcijbukë.yÊ ïfap^rd Bourdet est rèr'

«rèëè'fet'éë^ fôus"îes ''soirs"' à ̃ 8' h. 45 très'

èîtactèttWM:^ ''̃̃'•̃̃•>• "̃̃"̃̃. ̃̃'•̃̃' -̃̃•-

t~'tn )~1, -u.t< .~t~

-niPâWiNïôfiBi'V^a'ous ,les àéirs'à' 9 heures

hSsfÔMiîdabie^teeèS/defôuirire" Un chtiti

$ûb- rapptefto avec Maf g! Deval dans son rôeiiblî«ftlëS3èr«»tiôn de la concierge. Demain, matinée, à 3 heures. \ÂÏ .A) –ii 'f', i.^atia,^ ̃ u- ̃'̃•

i •:R)Bi<5i})AHooY'Iï/ie«iî)aoiain,i «front-dernière

matinée de Mozart,. <tpihi$<ig'à l'affiche fe1?*^ g^^gftjPP^i:- .obi* f.i I;

A t* h'sù II .»liiiî(f"ffdT ààVk aj)B:if h «o!

3ifei ediuftctiftf, d#'4héâ*fe »4esr.MsUiur;in5.

reiiflSli}a^^e_j.dUi}-ijn4di 7- juin, en-, soirée» pQUr<>Jr^ pep^iti^nri^énérale, publique {r.e-;

pj-iseijjâAda pieteej.pelge le- Mariage de

PtÜ¡eÀj¡d4r:.laPit}~6;.pelge, Fonson e,f.Wicbe·

tyllg Ji&iilf-minsziàe MMT Fonson ©i Wicber

ler, interprétée par la célèbre troupe -de WQlympiaj^e Br.«xe}lesr? ̃ ',•-•' ̃•

9ltc ~c~ 1 >C~t~t ,~r ~fayme

~nn:i't. df^ '7 ) :i'. ? i 'q:.

hnjiui) iu'vct' 'n'r*f! <<.(•̃̃,»'<

fliîJMÂ1 ""• -M ffV>'»u M »̃•••̃«•• nui., ,̃.

'"T" ""M.t..f<i tn' i..).4- a

5fr~h". °"t'~2it.^r'

Esï»'xfTw, | AU CJL A R I DGE H^: a5:W'.

i'igi akfflji."i' «', .il- 't-l ;̃• ï:,r< v; Bh-JSr ..jcréitrrira! lîMesdames. irJ/C» iîS3bi;w> ïr wARCSNTINA -̃j«îZ»,v-.i «)cp.> xtoh MftBÏ^'dgELL ̃ ,<r.:sC5 si

ALICE COCEA s,,r,

X4q ^EJwBpJ.XI SISTER? |f"

-o!§ q9,i.aR, ,O.LL" ,SIST~ R, 4<<

..)p! t.~U' ~o1rJ,(tI

i«j3 ifiT 9"|HARI'Ar'Ji:EY •' > Vr-. Si' siïjfi i:«'> imJANE MARNAC t-ifti ̃m-lif.n!iol?LOP'JE.ilCE JHILLS «t-V-r r

~,»A N

"tl!. 9 Q R'~EkE~ ? .t..fi

̃̃7i« iti>y-' «CÉOÎ'liE'- SOR"Elir::>ï-<i°81

k fift-t: iuoi l*ÈNit)£WCUIli9^ri ans? ^t ~i. -am-i ^.i, Aa!l ^upivte'sàli^»tp'-j ,Oftiiin<i^ Z,iU h ie^lO ;îD "ïV.'JflâïiBEJIpÇ «'im •̃or ï'f. 2rr!Sï->«*r- zah 4RAMD'A!3uK>d mitivj. > miïkj ir1<;«!KSAi.N1!iftS8-A(N|iERi-T' ,̃>'<•. «8» ni

5~ t~v&fa ;·,

'Íl{WU'if tf,bV"'r ï~ '1. Ji1t¡a;jC: ,r',i

..iS^ny.miL i#; iidver^ lu,. inv«HC j jj

tableaux d'élégance et de danses réalisés Z. '-• par un groupe de jeunes femmes de C Z-nr.t •̃̃ ria (Saoiété Parisitonf. .km*; · Jî0|jtf DE MANNBQ0IN8 ̃Irî>ti#eciii'con&ur1' artistique àVerandes maisons de couture de Paris Z -B'C Wf^y^plart. 100 f. ou C280 f. (aVMSHfpêt) f ,¡,

t1~1'1UO: E n ~t- }~l~-Sl(

̃̃ .alfjQ1 ,'tsïi w*t k;i j ̃̃ < *f.- -•̃ v ̃ Tiih'ii-.ji.V-ï iHPI MOGADOR ̃̃̃

¡~ "1L:L. -.1 l, ;'¡. -)"

1 ~'U'J~ ~,JI;' lN, 'E' ¡ ¡' 'E"

l't1;" 9 .~r a. >d.l E ?.,$

l, Q.$M¡I~¥Ar., à¡. \1., 3Q!OnL à .,8 J1."l&:¡

'a'a~') "l) -;f~ .T"

.Y«tY' 'i' 'H.'

'fmBS^mAMATIQUES

-ë~L 1 a sn i

n< ib

̃ K''L-:U ni Ll t_ •̃

~M~ t. ` t~' )!P*

Bt-ONOE

liMuwqùé de F. <le BRETEUIL

~<J~<0~

sf~a,ti^t~tz3lsat à, "±<&' fra.M:<të-

12

A .'A VENDRE' & HE~BLAY ?~t-

t4)rd<tre e de ~eine ~a ly'a6~i ~ded a

(JI l"IC,~P.'mT'DD !n:"rr1~

B)!Hft'Jna:i~n~mH~9ti~L.<~df~sa~<'r~.Be~t(

!fé~4tp,a 1

~°ëI"ét'B~o~~n~Y,~r~ ~#~t;i ~=7'â'I

dé paglie. i'(a.Íè~11 ces, communs, maison )a¡:d!i~t J 'Bëpëaa: i6 li~Ctr~ Joaanneau, àrch., t,e J~tAs. 8

~`TR~yue "spI.' 5~1e~

.~)tt~M!~TR6UVtt.~E, vue spl. sur ei

l ,<' !t'9itt canfort, pommiers, communs"

j' ~00 ffiq. Pbur prix du te jria du PSMs-Bourboa; P~ris.'

tt!ftJ[ ~t-0!

'E râpport et ~1111~ s

~MM~ agrémint ,ID ~I-

iM&is~t!pait'M~ :W:.preee.B.,ferm.' ;£8, hectnrês 'CIS'f[ ~1)~,qux:!iiJ~ herl3a8a9. pl, dir. eu~,m$t¢~ya~~ .Motfp"iMMce d<t suite. iïacilitds rnainie y j ~B.,j7- N~resseE: ?' PoBtabry.:not. (J1I1J~i" -hM s Qqnkier ;(M.oŸénne),. !NM~~N~ s. s.-sQ],c!tia.,4. p.,gr.

!<)Oe.~pin,3,ciM GûiUaum~~ttt

~5 0 (t e, d~ P~fl~tlE' ,F 4 'nA-de .ChMtU!~

j~() °1~'p«piJiÍE~f.4' ::r.~5. 160 ip tbq

~P~n~ter..M b~.Riéc. tqeN)., 150 W~or~

(~is `~2eiY ~t~x idm 3 jtât, JI1, ,e,JIQ", maE; depe~

.c~omb.92~<!oe fr."Ppur ur vis. e~rëns~

clU 'ddt~ 4' ,32~.ÓÓÎ5, r~l 'P9urvIs.e~. ,rell~(,'¡i,

!s'aHH: '? M&a~r, ~8. M!i, rtte de'Pàri~ Ci2

¡ statiR: :Rf: Metlifêr, 200 bIS, il de :Parls; GIn",

tnmt~(86i~(.'Pé))'&28). et 1~' ph de 0 V ~Viroaay ~et'-0.)<~T~Mfphone 120 :.(Jha'l'il1e):J¡ t te,

~tf<A~~9.d~ t!'P<a~9M e~&Mt3à?

lA2t~tlèar~ftdsk~tdï~. <attt6, at, 5dlY~ts~a~Às~t

j uf e ~is~nu~ 2°s:ls~ ~b ~`~ .u~:·"

t !a,y.ti

~Ni~û'It~xfilt~l ~Wé~'$ol immcüble .p d~ t

t~M. 'Bëev"- 47;000° a «ug. Prix: 2 çorps ba,4

t r1;J 4~gD.Q .6:étIi/Ws, 2 corps pa,

mMM I3p.OOO''a~F<'nci?r a 4,30 pour 100. ~r~r- b4aNâvHt,~ éüude Chad`vpt, rue Trônehet.1 IBA?;J~t\4i${;¡iFrè!>~pri imm. 6 '5t., 2 hout, ~X. 9py.: 39.000, fera~ 45.000. P.: 525.Oùb. FA cont.B.-BSBerMt, pi. ?&!ais-Bo~bon(FI.26-4<)

,i.

SPEGTAGLES& CONCERTS Aujomrd'hui; t

•5»i*«i '̃' '̃̃* 'V ̃ ''̃'̃ i -"•̃' .u v

i Même spectacle que le soir ̃ v"*Àu^ Folies-Bergère" (2 h.' 30), à l'Olympia" m& ̃̃30)? à- l'Empire <2 h; 30> au Palace' (2 h. 3°)»»iWi Moujin-Roug^ (2-h, 'SQh.aux Champ.sr

Ebjsé^Wsiç-Hay..(2 b.. 30)> à l!Ap6l-

lO-Masic-Hall J^ tt 36); ^iï". Cirque d%i-

V. 't2!IB. ~tl~~ra N§d§~&M& lî~'I301¡!

ararG«M0«a9P«iteefliï£jn«3f5)^aKr CÈi&GspJUoBi S «.h.^iîÈj^rigr#gJi42iJlçu9^[<iOlj ,riRj4o

?M~?~?~?~1T~ft~"?~~ 9~ty:

^f^^onry' "̃' ^r'v'- '-̃"•" l- :i, A it A^s FouES-BERC^nE, à, 8 h. 30, 1m Faïipl

^a jour, i hyper*Eevue de M,. L. Lemarçhànd,"

ijvéc IferviHe, ÀliBèrt, Pëpa Bonafé ét-'JosépW«è''Bàkër. ̃ î, ̃• » -• .-tSSiaAu.i CAàiNo ,de Pabis, à 8 hi 30,iDar("s en F/elirs-. (Maurice Chevalier, les Dolly .Slstersj; 1&onn§ Vallée, Dora Durby, Hasoutra, les le Lawrence, Tillër Girls, Lily Mounet, PizeUai Blly Scott), etc.

;->;«# A l'Olympia, (Central 44–69), .Gala de la Chanson, avec AHbert, Dûfleuve, Hélène Bavjdry, R. Dedax. Gala de la danse avec le bâMetr russe ider G. Démine et la Raussanova,, i lçs-tRay! sisters,- N.- Delfa. Attract,. Ch. Kurg,stODj'Î.Oiiésinie ? Johnie and Black, etc. i 'Âu. Palacb (Tél. Eierp. 44-37), à 8 h. ÏO,' ParÇs Voyeur, la fcjrhiidable revue avec Grocl^' i Bbrfc Stroeva- et Nina Payné; ̃̃ '-̃̃ < a;|t '-Aux ̃•Nouveau3£-AmbaS8adeuhs- (Théâtren Ses^aurant). Pendant le dîner, F.lorençe Mll'ÎS cjàhs La Revue américaine^ Blabk Èîrds, dis Le-vshLeslie, avec Johnny HùdginiSl' Jdnès-*t Jones* Bdith Wilson et l'or-chestrc^cfc PlaBti»-' tiçrt atyçCfShsimp Jgnes et Johnny Dunn, ij» AU ^OULINrROÛGE-MÙSlC-^ALL,. ࣠t. 30/ La ̃ Revue Mtàtingtzett, de Jacques Clarlès, Mîstinguett, Randal, Earl Leslie, les eêîèBres'' danseurs .américains Frank Bernard et Marion

Ric;k, Iferthe Berthy,. Rutjfi. Zàckey, Jles' Kérva,.

i R,1,<;t{, ,i\r\~Ù~Be,rt,hY, n,ut1\ ,'?, 9;è,l,{ç;y; l,es' X~erval'

Xtette \p6r.ia,' les 6p Jaçksbn ^rfs, .df Dréan;

1 ~"<c'EIo\Pillg"(TéI; Wagram ~0-58~

Eàrterrëw?'Wâ'Feau>s-R«wgôS";}iîtf«rtini i$tkhyt;> Wanew t»Q>iie», .«Xttrrana,<BetfWc<jtP)!28nat*Ba&' tton* (tordifasic-flalIlCwrtiïëiîuuï ;>îno*èî) ^u;/ 8 f «tv» ^0« 4a/îGs«nd« tee l'^nnfiG^ À^eç-*

8 <t~ !<30<, ~ajrtGeaNd~ .~Tue., d~T~nneo~ ay,eo-.

!!4~~ ~5. ~d.3M~%3himës.

i%3% L'fl''Reude"S PtiZisTii Hmlvê^îMffi' rîjili' FCrWf<£:YVq'ûïie Tégeay? ̃-R.5©^rtHezIs'Mii>

~it' Fo~te~Yvp'nne ")"'R ~il~&19~;

rtehcie'j So&tifstSmhiër tlaas- son' uxâir.; de chaïst. ;• vjfcfîHËz. 'Ftfnsts ETaM*wmcET-.(-Mcmljn ria la. Chajis«^)t à 4) heures. L'Ami ̃ Pjic,- pevae-'de;

Briquçtt %ucy^ Va^thrin, Maurice t,. iF.eyrQùj^v

CaréJ. fhpnsons jiouveau siècle, G. Chepfèr. "et-

G~ ol _ansQns.nouueau sié~Ie, G., ,C4epfer,~t'

Ltoy.yau.ttoïi. :'̃ i*t Jî"tA'li0SE Rousse (Trùd, Bl-92), à 9 heures, les chansonniers D. Bonnnud, V. HJSpa, L^bitMicUeli:Sfecretan; Spart, Gor,WyJ, Gampara et Heintz. Ya Bon. on revue (Mlles Sùïy tùcat, Mailly, Nôvaliova, Gîràiid et M.

•ftp). ̃̃••'• '̃••. »- ̃̃̃>:

i-ifc Av Giné-Cajuelon, 30, bd Bonne-Nouvelkï! -r'/lfîves et- Hallucinations! grand film d'épou,r; va^té ayec( Cour. Veydt et Bern'. Gpè'tzke, Tous, lfe's j6ùrs matinée pbrma'n. à partir de 2 h. 30^ Le soir, -une seule 'grande' représentation (|i 8r.h^40v:Loc. de 1 h. 30 à 10 heures du soir. tj? A,y, Ci^jjtiE d'Hiver. Les Derviches

Tourneurs *yiBC leurs Musiciens turcs et ïa cé-

lëbre dians^us'e Sepié Hàneam ont an triomphe: Le ''nouveau 'programmé de vingt attr«c>- tiows sensationnelles est- unique- avec les Fratellipi. '•̃ ,Ab– -'̃̃ "Folies-Bergère, ''Rappelons. que lé. noqyè'aiï spectacle^ du. çéièDre music-hall, Pipjcp'inpp'rabïet, JKyper-révÙe,' '^ë M. t Induis;

teiûar,çjiàhd, '/à, FQH.e.. ^du Joifrl ;sera' don-

n&àHJQWî'^î*111^ 's?Pifi(U ei (Jeniàfri dinaân'^i efiè eïï matlaêë et envsoiïée. i™ »»<. ̃̃; -fr ..̃̃

.-̃'à'm&rte<$tâfii&4ï!Btiè{daïA'E)foUev>ti-i!eHtu'ldkijWadàaAii» ff*ioHott, *BéloïfBànMÎ

~<~t~fiMïqM<~{. <?MM1'<?SI?~~

gafflhjtoc^cwtMaM^jy^-ga.yifi- hmp q ̃Ht 'llh '«I •??.̃;••̃ ».<•̃̃̃ ̃̃

jj Aù^ClMU'é Jpttranpv.^er^îères, ^epréséh-4

t~tion3nije ,¥~, Ur,' anp'<ler,n,I~,reS,I:epr~sen-,

^tions/d^' la. (.sai)s.on, le jeudi. JD- juin, en,

niafmêe et en soirée; Olôture annuelle le' 11 juin. Réouverture le vendredi 3 septéhi- bre^,4926. Le merveilleux programme, .si aMlaudL coiçpçend des attractions ijoUr BHes: j '̃" -,̃ ,tif

̃>-̃ -if i ,,y'{ ̃̃i ̃•<

î:,B^uxit^ U;;fe>AliÀCE' _̃̃_ isï.'ii' ` Univfersellemant connu V'r'ajT^- ^AST^RIÀ CLARIDGE .+' i Hâtel. aristocratique f ^RDWNB^ IvCHATEAUdARDENNE J(^el^jrù.ey- \fi ^.Ancienne résidence royata

|pua^yBiifâûiRESSE ̃»»« sl

1", RAVRA. S)

pJl:;S_"ft~fVfM¡~~ a f fIT d .9!:

¡ L~n~

j -^î-A^H«r^ên-stOTaHr*'è'acj>a¥3îmm«tfMe. •̃" '•"

^BËSsfifltfllflS à»»" iW*iMfâisâE (Joia-/

rl'i"»!? "iff; -i^5S!i rs^.HQSEL^» a»nsiam.

jde, faiiUtteK exflell.j4tfïT,Eopfï,-35>.ch. cP.r J«ns..et t

tràîf. ^ffiEkNffiaPl3,4«èl "ArPey Parti,

;i'o eaïff,^lBKréa.'SaùV'tàéi,3ntèI'-AÀ'eïsê. i: >

j ̃ 'ïï'.j! f f '••'•J" SM1. ?:?* 'i.' 'f

îriéE^irE ¥Àtf6FÈ£RD BeVJïnaisôn ï'a:nfele4n .ï>i*?»è"i"t., -Sïiwe âpp.'pv et; R.: 56.W0.Pr«:

;75fliO.)^ C,F. ,185,080. Cadé,- 19^ Bd^ Saint^Deais.

'> --i'M » •>̃ •' v. i'i1'- V ̃̃ *<yr

I>BVAÏ,LOIS4PERRET (Centré! wilie> À ^eh~(iïej,:iibre de suite; Bel IMMÉUBtEuiodna-

;tini^l,reX-^e-çhausséo? et premier. très' clairs,

iawc sous-sol et "'combles 'àmiénagnSsî' terrain,

iatJ!c lnq, ,¡¡-sal et. ,1;000 mrl, 'al'leol1g,és, JcrrauI,

136p"mg, yétages Ïs000; mq,- cdnr, garage, qua-r

̃d.-9\i;hargement,!iinonte-charges, -magasins, ban rêau^^etc.» Si;.A. C. &,£,- 73, Jj.ouICynjxÇ 'Haussmàflii, Paris. Irit. s'absteu.

1 J i c; .t., l

1 y 7

.yan. r.

£*Ï6vtèr meublé poUt saîson été: Petit châtè.au; entièrement installé (jamais loué), pour 7"- ̃àjAO ijiaitrfts,, 40 km, de Lypa. Altitude 700 m.,

.beau parc, télépbo.ne, garages, etc. Prix":

:b~u "l>qr,c"lél,é, pho.l}c, ,g¡jr~ge~ e!c. Prix,

;il5.00Qyïi-: fer, P.erret, à Saint-taurent-de-

l -.v-v ;Ghsi'9?Ws?e>; (Rhône) v.

';0" 1 .t:"

'11' -i

̃» !atoï>"î Bienbliji St-Valé^»-9.-So*mjne{ VIliiiA

i,iit^ê3dS;3*r&eii£iimp.i;oâd-Ht.JiB-t.;av^iM-rasi;l

¡C\i;j¡J,$~ 1)a4~h~II!, 'fI, Jft:J8Ntt. 'l'fttIV"

,c~ p~Yy 7 fI f

APPAR'l'.£MENrs 2

t'Psrne*, ;4- p., cf., 7.000. Montmartre, ;eurçonn.i'

» Vj2.Q9fc:Vst 4 p., cf., 6/500. Ch,-Mars, 5 p., cf.,

'X \2, .09, {I;et échanges 6;5°,°, Ch.Mar~. 1) com-

ïS.QOO.iJBour, échanges et meublés, aucune corn-

.iriission; BER^HAED, l'J, rue de Liège.

APPARTEMENTS fl VENDRE

30, Bd Fla,ndr,ïn, et 24, rue Théry.

Tout confort moderne. 'Peur décembre 1926.' 2; 3, 4, 6 ou' .7 pi&es. S?ad.: Société Civile Immo- biHère, 3,3iBd Maleshetbes,ts les j.2 h.30 â 4 K.30 ou, s..rendf-vs. Tél.: Louv. "01-14 et Elys., 65-78. RfeCMERCHOMS AlJpartemcnts meublés, nkfnMivnym «Ht COnf.beaux quartiers- ;̃̃ -LLOÏD'S, "5, rue Boudreau.. i: iMppartemerits àeufs'à veiiai p: !j«ïiiétljî&2fi': Ter*fcg/pr.. gde.ftv, 2 garçonn. P.: 120 à 160.000. Auteuil, 6 p., t. cf. P.; 215 à 255,000, facilités. Mesnil, 49 bis, avenue Hoche (Etoile),

COORRI|LMUSIÙ\L

Aujourd'hui A la Salle Gaveau, en matinée, concert symphoaique avec, l'orchestre Lamoureuxj. i dirigé par. Franck Waîler, avec .le coh* ^cpura.d Arthur Sbuttuçk.

.'«ji, y~T^'u~u:y^?*~r^.ïS^ ̃}?.;

zBbi£JtfW#te<C. -arm Vib-iRii-, ̃̃ ̃̃>̃̃-

i 21,c ~~r··H y ,~w<r ~4:

9 `'l.~i'S~Ii~av~~ ~&eures~~6n~t~

lô^^àiW^uf-WmxAiW d'aide' tènïpDraïPe^

!aiR5ï^5e¥4n^'FIfancë>-M«prfefitf-dêfl"àliidUï"

e!>en''F ancu,au"Y'Q, dl, :cu,

nêStfé studieuse et des e.nfantsrnisses-ayeei le i concours du -Quatuor. Kedroffrd* K*,©e-' imissof ;T. F. Kosakoff 'y N. N. Kedr'oiïJ. !;K.'N. Kedroff) et de Mme Anna El T% Billets à la Salle Gaveau, chez Durand et au Comité Russe,- .79, bdalevard Saint-Mii chel.

A.la Salle Comœdia, à 9 heures, Armen Chaniam, avec le concours de Marie Kalff.. ̃ A la Salie dés. Agriculteurs, concert. Eleanor Pierce..Billets, à la Salle, chez M«*- Durand et M. Dandelot.

j a »»̃

Le. violoniste Richard Burgin jouera sal- 1 le Gaveau, lundi soir 7 juin; avec l'orchës-jtre Lamoureux, dirigé' par Paul Paray, les' ^concertos de Brahms, Prokofieff et Men-. jdelssohn. Billets de 5 à 25 francs à la Salle et chez Durand, Kiesgen et Delaejt.

»a–

Frariçesco de Mendelssohn, le remarquable violoncelliste dont on se rappelle le succès lors de son dernier récital à la salle GaK?éajv donnera un concert mardi soir 8 juin,' à la salle des Agriculteurs, avec son admirable partenaire pianiste Conrad 'Hansen. Au programme œuvres de Bach, i Sammartini, Beethoyen, Brahms, Débus-.

| sjLiFfiUiré, ..etc. ̃' ̃ ,•

t ,Jup.çâtion a la salle..> 'ri'

-^i.a&làwsbplà'i'Qpëi&'iàaaM.tLvài & ijuin^

iréoitfll ïehopim-iiBilléfe -à.5 W0p|râ, .«hea

|MM>;i0uî;ariid. «ttiDandiftlflt.£1jiq ,•̃

,w~ t -tŸ

I ^fJMqcactp Serge, Koussevitzjfy.. -r- -Le;

qu^fnëmè ,éf. dernier concert aura' ïieu. à j rupërà, çn matinée, samedi 12 juin, 15 liéures 30. Au programme la 6° S~ym-> phoniè, la Surprise, Haydn Concert pour orchestre d'Hindemith (première audition)* Pacific, Honegger Concerto jorqsso ppur orchesfre, d'Ernest Bloch (première audition) -deuxième suite de paphnis et Chloé, Maurice R*vel. Billet.3 à l'Opéra, chez Durand et JCiesgen et De* làejti 47, "rue Blanche.

̃̃» s

Salle* des Agriculteurs, samedi soir 12 juin, la grande divette américaine Edj Thomas. Location, à la Sallfi, chez MM< i Duràpd et' Dandelot. •' "• 'Jacques Dupont interprétera, au p'rpfif de la fondation Bergoni, le lundi 14 juin, eh soirée, pour piano, salle Gaveau,: sa transcription de la Danse devant l'arche, 1 extraite du Roi David, l'œuvré célèbre de A. Honeggeiv et Petrouchka, de Straviqsky. Location à la salle, chez M, Durand et i M. Dandelot, ̃ ''r'yj.' L'e'-tëjnpr Georges Joùatte, qui a criée' le IScrf Bapid, d'Horiegger, aux Concerts,!}^ rAi||ustea, à Rome, les 26 et 31 mars, ïi'eSt-

d_~g~'refoui· Paris que âepüis quelqu~s~.

de4 retour q Paris que depuis quelques

jtmrshA'W suite iïe'Sorf grand succès, il a:: été retenu à Romepar de nonibrttis"es'sb!<^

g~8~- ~I~te~s~jrc~B'e~ ieeït~t

1'1 t;ër5c ,z;t',li, 'tU~~lJdU.f.$, é~ajëm`éiit â'I'am&as. sadê de France, à la, Villa Mêdïcis, et a'eii: l'honneur de chanter devant le Roi. La jeune et déjà célèbre violoniste Ma»! rie-Jeapne Frigard vient de remporter son troisième championnat d'échecs de Pran-' ce. y; “̃;

.i ̃ h- de Çréinfipé.

tes Grands Vf '̃£

Hôtels Européens

Dr; Bd Malesherbes, s. av. neuves, sup. app. 5ji et- ÇÎPi gd Cf. p.* 215, 245 «t: «15:000 fr.. .MESNIIi, -49. bis, avenue ;«<W*e (Etoile);

\UO& MOYENS^ \©E RK5BBRCHES SONT A

j'S.^OTHB DISFOSitlOîT *XJ9ld > ̃ ̃ L

,-i-T?A"' '<;•- iiLOXCD'Sio5sxrJie Boudreau. Çnperbes appartements s. avenues 'Mvês, près; Bd Malesherbes, gr. cf. P.: de 215 à 315.000 francs. MESNIL, 49 bis, av. Hoche (Etoile).

& 'HSPHDRP' Appartement luxueusem. décoré, w -?1.1"1*111" libre, tçut près. de l'av. du Bois et de Ja porte Dauphine, 7 ch. princ., prix int. Téléph. le matin avant dix h.: Auteuil 05-43. B*if^àvcédë'r: Gd magas. pr t. com.,cfuart.Etoile, sesols, app. Lib.de s. M. Parisis,6,r.Auger,Paijtia CHERCHE

BOUTIQUE CHAMPS-ELYSEES

'ET FAUBOURG-SÂINT-HONORE

POUR PARFUMERIE »

Ecrire: RODITt, 156, Fauboiirg-Saint-Honoré, F OMD$ ET BAIL A CEOER T&tbte couture, près Clinmtis-Elysées. 'Ecrire^ ûûlme Hirschman,, 27/,= rqe fiasimir-P.érieiv,- i

Achèterai .TERUAIN d'agrément de 3 à 8 hect. avec rivière très poissonneuse, maison de maîtres sans importance. Maxim. 50 Km. de' Paris. S'adr.: Guirola, 24, Bd de Courcelles*'

MAISON DE COUTURE demande 100.000 fr. garantis par .nantissement sur fonds dont le* droit au bail seul vaut le double. Intérêt 20 0/0. ARCOS, 7.9, rue La Fayette,


LA CHM~P~I~IJjE 't.Q.ri), ~'R'~ ~]["TE"

̃' I mii iai– il i mu m ..̃ i ̃̃̃̃!̃ -ii i– ̃̃lllIlfllllIflllllQI HI '̃' ̃ ̃" V ir' ) *̃' \?

SPORT HIPPIQUE,

COURSES A SAINT-CLOUD

.«– 1.

Aujourd'hui, à .'i 2 heures, courses à SaintCloud. -,Gagnants du Figaro

.Prix de B'onneuil. Phlox, Allegràdôr. Prix de Cla.irfeu.ille. Titan, Tapyrus. Prix de Méaux; Sourcier, Belïa de 'Nuit. ̃ Prix Le Blois. Masked Marvel, PàucHe .'le.-But. •̃̃ ̃̃ ̃;[̃ •• ̃̃ Prix du.Trem~lag. La Friandise,. 11491.0 di^avogi, iiiiï»* L^'ik* »t

.-<M ~"8~rt~

~'M që-<ûe Jje~a u)3).<jss.i d'nt~us c!!S!!i-

1~?/i~~ .°,y.· ~~ua~

"̃̃̃!̃>̃ :.r ̃:• -i ̃̃̃ y -.•<•“• '*w-

.• Le cas Pénélope. III f* Victoire plaisante de Pok> Ayant i.pimsu: et annoncé l'événement, nous nous trouvons fort à l'aise pour en parler comme il 'convient. Trois, fois de suite,; la* jument Pénélope III a couru, les plus modestes» courses, à Enghien. sans quitter les derniers rangs et. sans que son jockey ait jamais, eu. d'autre préoccupation visible que celle de ne pas améliorer sa position. Or, hier, la même Pénélope a gagné une épreuve analogue. avec ;iïne\f.acihté dans sa manière; de faire et é une cote, dénotant ,une telle ..confiance d& Ja part de son entourage, que son impudeur sîaccompagne de .toutes les circonstances aggravantes. La faute ne saurait, cette fois, donner lieu aune simple demande d'explications, qui pourraient, être jugées satisfaisantes. La pénalité la 'plus sévère s'impose. Il y va de la moralité du sport. Ceci dit, ihâïoHs-jious :dè no.us> aecùper de choses plus propres et de gens1' plus intéressants. Le ? Steéple-Chase de Juin nous en fournit heureusement l'occasion. Ce. fut un fort joli steeple, où nous vîmes successivement en tête Danopio, Adrastus, puis LagobeM.ey.et où Polo vint enfin prendre rav-antàgçiacreç l'aisance la plus plaisante, 'après *n spascours iaiSeëcaBle A€'i3Hè

coursé" toute'' de ^àUëncë^klorit W y" a liëû

de- féliciter vMiMttènt son'jbckôy;' G^'PyHi paraît, d'ailïeursy-m» cheval en gros progrès. Il fl;tqpjiuje)ni]s été un. sauteur remarquable, fa&îà "oh"ïè terfa'it- poût^ân peu dénué de tenue. A la façon dont il a couvert, hier, les 4.2«!) mètres de l'épreuve, il semble qu'on peut maintenant lui ouvrir pour l'avenir un ieaucoûpplus làrge^icrédit. J. Trarieixx.. ̃'>.̃̃ T :Prix du Quercy (s^eeple-chase, à vendre, 6.000 francs, 3.70O mètres). 1. Pénélope' III à M. Ulysse Sédard! (0. Kalley) 2. Golden Poplar à M. Arthur vManby (R. ïonduf 3. Montmorency II, à M. Mathurin Pantall, (André Benson) (1 longueur 1/2, 6 longueurs). .Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 23 francs. Placés Pénélope III, 13 francs Golden Poplar, 14 fr. 50.

Prix de l'Armançon (course de haies, 8.000 francs, 3.000 mètr*s). I. Riflard, M. Dikran Këlekian (S. Bush) 2. Payenne, à M. A. P. M. Weil (L. Niaudot) 3. Fécamp, à M. P. Moss-Vernon ;CR. Bagniard) (courte tête, 2 longueurs). ̃ ̃' Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 212 francs. Placés Riflard,, 37 fr. 50 Payenne, 25 fr. Fécamp, 24 franc^. Prix de la Saintonge (course' de haies, à vendre, 6.000 francs, .3.200 mètres). 1. Plumet Blanc, à M. F; PelKssier-Tanon CJ. Biarrotte) 2. Ministériel, à M. Roger Gitche. (R. Caron) 3. IJaKQO, à. Mme M. L. Wilson' (J.-B. Mjoreau-) (lloagueur 1/2, 3 longueurs).

•Pari mutuel à 10 francs Gagnant. 19 francs. Placés Plumet Blanc, 12 fr. 50 # Mirtistériâl,

J5fr. 5O.; ̃ '̃• "̃'• ̃ •̃•̃ "r

̃SteepIe^ChaiBe de Juin (haiidicaiV 3oM6 tv,*i 4.200 mètres). 1. Polo, à M. Nobile A, £aju,i (l.Niaudot) 2. Lagobette, au vicomte O. de

Rjv»ud (M, Fruhinsholts) 3/ Djavad, k m

Rcjger Gïçche (R. Vayer) (2 .longueurs ï/2,

l/21wigueur).

Pari mutuel à 10 francs Gagnant,.44 francs. Placés Polo, 25. ff. 50" Lagobette, 3? francs. Prix Silveremith (steëple-chase, 15.000 fr., 3.S00 mètxes). 1. Sizain, à M. Arthur VeilPicard CF. Hervé) 2. Pierre Jacques, à M. Marc Gug«nheim (P. Michel) 3. Saïadé, à M. Jean Balsan (J.. Biarrotte) (2 longueurs, 10 longueurs). )

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 14 francs. Placés Sizain, 11 fr. 50 Pierre Jacques, 12 fr. 50.

Prix de l'Angoumois (coursé de Haies, handicap, 12.000 francs, 2.800 mètres). î. Sirah, à M. Alexis Deleau (J. Bedeloup) 2. Europa, à M. Gustave Beauvois (M. Fruhinsholtz) 3: Kif Kif, à M. Joseph Thesmar (R. Bagniard) (10 longueurs, 1 longueur 1/2). ̃ Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 29 francs. Placés, Sirah, 18 fr. 50 Europa, 23 f r. 50. « Prix de Varsovie (international, au trot attelé, 10.000 francs, 2.100 mètres). 1. Shelty, à M. E. Muri (Choisselet) 2. George Watts, au Haras de Wamont (Cnudde) 3. Harry Harvester, à M. G. Van Antwerp (R. Geenens). Pari mutuel à 10 francs (Gagnant, 46 .francs. Placés Shelty, 1$ fr. 50 George Watts, 55* fr. 50 Harry "Harvèstër, 26 francs. (COURSES B^EPSOBI >;

»̃̃ yOtiLil' Uni- r-?\ /y'.

Oak Stakes ^(W^souveralris^ B.40Ô îBBti-fsff;

-t -1' Shdrt'Stfl^ à'>lard Astbi«î(R; J»nes)ï S/t J

2 Resplenderi»,u hMi •< ©. Sullivan-- W*" BurnS)' 100/5 3. «ajrtfiiïdpè ^ord •Aston('J.Brennan} 10&/8 (4-longxteurs, 2 loiigueurs)»i (.i-,<: :r;i- ,16 partants. :• -i ,• ..•.•»!.jV

̃.̃;̃ •• TENNIS ̃<̃'̃<=. La Quinzaine internationale

ni ̃̃ l'

Helen Wills souffrante

Miss Helen Wills n'a pas joué hier. Le sort avait décidé qu'elle Jouerait contre Mme K. Bouman. Mais la Facultés en a. autrement disposé. L'étoile américaine s'est, en effet, trouvée souffrante hier matin, assez pour que le docteur oui veille sur la santé de l'excellente et ravissante; joueuse lui ait formellement interdit de-disputer sa chance.

Ce fut une déception, mais comme ce qui est différé n'est pas perdu, et; qu'on «ut un magnifique match Suzanne Lengïen-Mrs Shepherd-Barron, par un aprèsmidi doux, agréable, d'un ensoleillement tamisé par de légers, légers nuages, on se consola du contre-temps. r

Contre-temps qui fut un des événements de la journée." La nouvelle esealaûa quatre à quatre les gradins, fit le tour des tribunes, des courts,: jetant l'alarme dans le camp U. S. A. On s'inquiéta. Etait-ce gra-

ve OI1k~ ns.

as s «iti-fci^SfiC: un de «es-petite-Bialaises qu'une championne ne doit toutefois pas.négli^er. Bt puis on eut Suzanne Lenglen! et une Suzanne Lenglen de premier ordre, moins pétillante que l'autre jour sans doute, mais maîtresse de son jeu, résolue' à jouer au mieux, ardente quand même,' et en verve

Mrs Shepherd-Barron est une joueuse de qualité. Fine, gracieuse, elle a un jeu adroit, élégant, habile c'est Une des mrandes raquettes étrangères, avec miss Ryan et Mrs Godfree. Elle s'employa courageusement, iit appel à toutes ses: ressources, mais, en vain, en face d'une Suzanne Lenglen (veste et bandeau *osë-mauve) qui, étourdissante de sûreté, et de virtuosité quand il le fallait, ne lui fit pas grâce d'une balle. Dans la catégorie féminine, le- match; entre Mme Mathieu et miss Jessup présenta* un vif intérêt. Il fut disputé, avec acharnement et passionna l'assistance.'Mme "Ma-' thieu, en bonne disposition et animée d'ardeur combattive, eut les honneurs de la rencontre.

Jean Borotra a mis hier à son actif1 sa première victoire depuis son accident. Mais Borotra ne, semble pas très satisfait du service de son Bras il ne lui sent pas sa souplesse habituelle. Il s'en pldî|h"a*it, craignant qu'elle ne revienne jamais,. et qu'ainsi sa carrière de joueur en serait éprouvée. Qu'il se rassure Quelques 'mâtches, de l'exercice par un temps^p bien chaud, quelques solides massages, fet elle reviendra, cett^fameuse^et foudroyante souplesse d'il y;'a:qHiëlqjï'^gi "semaines 1 Conformé^e»y,a^tra'd|tiott s|du ven-

dredi, ta~uni~ent cou-

rue. II- isait able et

séduis t aprés- Ce fut

chic, l'ès chic, é j fois

part chic, #rè ~T~ en-

pari ne et trè~~mopc~t en-

tendfe|î&p.mme ra^tg^able ^0^1*01 ^ui a réui|| sautions." Frmuwëichel.

1 .y~~

Les Championnats internationaux de France

i:2~1'

Enfin, la troisième journée des Championnats internationaux de.Fràrice, qui se disputent'sur les courts1 'de la Croix-Catelan, au bois de Boulogne, a été favorisée par le temps. Depuis 9 heures du matin jusqu'à 7 heures du soir on a joué sans interruption. Mlle Lenglen a remporté ufte .très jolie victoire sur Mrs Shepherd Barrbn, qu'elle a battue par 6-0, 6-2. De 'Son côté, Mme Mathieu a triomphé de Jlxs Jëssup par 2 sets à 1. Le match. entre miss H. Wills, Jet Mlle K. Bouman a été remis à àùjoitfd'hiii à la demande instante de la joueuse américaine qui était un peu souffrante.. '.= •' v ̃- ̃'< •̃̃•i R. Danet a eu avec Godfreè une longue explication terminée en oisbqi.manches en faveur du capitaine anglais et Landry a éliminé facilement A.-A. Fyzee. ;Tard dans la soirée, miss Fry, l'espoir brHaaniqùe^ k JbatM; Mlle N? Dèsclerçs atl¥®8'kïië'i> iipèmî'èrel']Xianchjey poussée1 à

£f ^^â^ègCc|§œi|c|a ^des

fcb* mMv^j tôt degmsàe dèKijifijdUj touri-

nôi. Miss Ryan a.tap.é*.trap fort pour Mme

^MsardrQjMrjaj.dû s'incliner non sans bien

r^sraPr,^ MveEsaiEfi puissanjeret ma-

,r,~ .ln#t¥,d.vÇâ' Ir~ ~t;I!a,r:m1:

^t;#te|.J^i^èsul-

̃ ,f'n<s 'v.o»j;«:.i •: •:•- r' ">̃ ^L' ̃•̃

..Championnat simple. 2" tour 0. Turnmi'XG.-n'i i), Papadopoulo (Grèce)^ 6-1, 6-1 fttib's'bn (Aig.) b. W. Bobb (I. ,A.), ër4/6, 6.-2, .65-1 Mishu (R.) b. P: Canivet (F.), 6-3, 3-J8, 3-6, 9-7, 6-0 E. Flaquer, (E.) b. Czetwertyiiski (P.), 3-76, 6-4, 7-5; Kinsey (A.) b. GattarHZa (Argentine), 5-7, 6-8,: 7r5j.;«6-|l', 6-1;

Restr (F.). h. Geroge (F.), -w.' Q. As~Mul

Restrepo. (F.) h. Geroge (F.), w. O. 5; Asl^ngul

(F.)' b.Tarruella (Es.), 6-3, 9,-7, 6-2 -J. Çorotra (F.)b. A. Willis Myers (G.-B-)i' 8-6, 3-6, 6-4, 6-2 P. Féret (F.) b. Timmer (H;V, 7.-5, 6*3,- 9-7 Macenauer (T.-S.), b. Piel (F.), 9r7, €3, 5-7, 6-1.; Washer ;(B.) b. Grahh (Fini.), 6,-â, 7-5, 6-2 Samazeuilh (F.) b.- Van Der Steeur (H.), 6-4, 6-2, 6-3 ̃ Mever: (I. A.)vb. de Castro (Portugal), 6-0, 6-4, 8-lff, 3-6, 6-1 Tejada (Es.) b. Colombo (It.), 6-2, 6-1, 2-6, 6-3; Godfree (G.-B.) b. R. Danet (F.), 4-6, 6-3", 6-1, 5-7, 6-3 de Kerhling (H.) b. Aron (F.),' 6-2, 6-4, 6-1-; Brugnon (F.) b. Thalbitzer (D.), 6-1, 6r3, n6i3 Landry (F.) b. A. A. Fyzee (In,), 6-2, 6-2, 6-2; Obarrio (Arg.) b. Rodel (F.), 6-1, 6-0r67l Balbi (I.), b. Halkema (H.), 6-4, 6-2, 3<-6, 6-0.

-Championnat simple, dames. 1er tour (fin) miss Browne (E.-U.) b. Mlle des Landes de Danoët (F.), 6-1, 6-fl Mlle Vlasto (F.).,b. Mlle. A. Cherbatskoy (Pologne), 6-3, 6-0. tour Mlle S: Lenglen (F.) b., Mrs ^hépr herd-Barron (G.-B.), 6-0, 6-0; Mme Ri M>- th'iëa (F.):b. Mrs Jessùp (E.-Û.), 2-6; 9-t 6%s Mme Godfree (G.-B.) b. Mlle Grasset (F.), 6-4,

6^4,f miss^lrpwne fell.) h, âuW,Bie.yé t($b,

6~4!r,yW18s-arqWn.~ (1:i1 ) b ~,l1e,J~vé "<}',

6-4,'ï:-6,.6r.3 miss'ï'ry (G .-«.)', b. Mite .tes- Clërcs,;i3-13, =6Ji;nvss Ryari (E*U3 S.

yaussafcd (F.),,1p, ,6-2; 2, ̃; “̃ WjdG

1 '«ftofnijpWnTio'f Mmb;. r-fo îtqUB,^ «achat et

Brugrlph (F,)b."4e Bruyn et \Yetselar (É6L), 6-0, 6-2, 6-8; Aescliliman et ,'Poulm .(F.);;b. Becugis, et Samazeuilh (P.), 8-6, ̃' 5-7, ̃ 6-3, 6-4'j I Obarrio et Robson (Arg.) b. Fyzée'frèrés (l3, 3i6, ff-3; 6-4, 6-1 Gregory et Sliàrpp (G.^JB.) b. Ganivet e.t;Barbas (F.), 6-4,' 6-3, 6-^ Danet et. Hirsch (F.) b. Colombo et Balbi (Italie), 8-6, 1-6, 6-1;, 6-1.

'Championnat double mixte. 1** tour i Mlle Charnelet. et Thurnëyssen (F.) b. M. et Mme de Bruyn Kops (Hol.), 9-7, 6-2. Championnat double daines. l""toup: Mme Danet et Mlle R. Vlâsto b. Mrs Jessup et miss Mundford (E.-U.), 3^6, 6^3, 6-4, réunion commencera à 13 heurei. Souhaitons de l'exactitude chez toutes et

tous.' •" r ̃ v

'.Voici lès matches les plus intéressants de, la journée R. Lacoste; (France) epatre F.-L. Sartins (Indes Néerlandaises)" ̃̃ miss Helen Wiils (U. S. A;) contre Mlle Bouman (Hollandaise) Mlle' CôntdàUavos (Grèce) contre Mlle D. Vlasto (France)'; Jean Borotra (France) contre A.-H. Fyzee (Indes Anglaises) Borotra et Lacoste contre. F.-C. Grégory et N. Sharpe.; H, Cachet" et Brugnon contre R. Boyd "̃fttt'H. Càttutùza-»el: enfin, en double mixte, SifzaSne Lenglen et TBrugnon çpntrb' Mlle

B6tnjian"et,ÎI»Timmer. ̃

^Cëcï jpromet une fameuse journée de MrW,%»ryu.,Q^elfi sole^, r,éppnde,au-

̃l^m^Wam^W^. iPÏrl^Jfyitation,

JïammfiMmP>-< -̃_ .;i..ir; uod a-.ïH-w ̃

Ïjos œny.ï. \UMti ;i"|5SîTJtt?;? iOtf ïwin. (,»<̃

idh Çft')H»^V»vM»i-T1**HièJ^ a.b*||ii4ÎAfrÎHHe du Su^àLlÇensinltoUçât 4 jmâtehj^, contre 1. yféiéïia f ésultàts des deux' derniers simples

̃'WAfinsïrtfm {S'Jf1 !bV SpenW (A. S.r, 8-6, 5-3,

6-<i;$-GareïP(S.)i bi' Shèrwâll' (A. S.)p «-4, 6-4,

6-1.; 4«itv ;̃' '̃̃-̃:̃ ̃•- ̃̃ ••' •'̃̃ ̃' ̃••̃

̃ i -̃,>>, !.̃ 'J 111 .m.- n'jg. 'il u

¡'

~y~E?7.S~

France contre Belgique

,d,

L'e [ classique match Françe-Éelgïquë, qui sera disputé demain dimanche à Liège inaugurera la saison officielle d'Athlétisme française.

'L'équipe qui portera nos couleurs a été ainsi formée

100 mètres. Degrelle (R.C.F.) et Bons» seaux (S.F.)..

Est garanti ne contenir ni nitro-benziné ni plomb, soit fixe soit tétra-éthyle, décalaraine augmente la puissance, kilométrage supérieur pour même consommation de carburant. A em- ployer constamment pour un rende.̃ ment durable.

innocuité absolue

Economie importante i

̃•̃ ̃ .|. 1 > '•̃'̃̃ ̃»̃

^EN VENTE PARTOUTSiège social 79, rue de Miromesnil, Pari Téléphone Uaborbe 1-28

200 mètres. Degrelle (R'.CrF.I, Gavons (S.F.). ̃ ̃ •̃̃ ̃ ••̃: :r.-».r.'rfi.- 400. mètres. F«ger (C.A.S.G.), Galtiër

(S.F.). ̃•̃,̃< -,tJ VVi, ;>;o

800 mètres: Bontemps (G.A.S.G.), Boitard

(C.S. Coutances).. ̃ 1.500 mètres. R. Pelé (A.S.M.); Bontemps

(C.A-S.G.).

'5.000 mètres Norlandr(M.C.), eh'âWuis

(S.C. MohtceMien). '• ii; v.' ,ft

,110 mètres, haies.' Bernard (G.A.S.G.), Marchand (Ç.A.S.G.). ;.̃̃,̃̃,̃.•̃. ><̃ Relais (4><200). Degrelle, eaux, Ga-i vois, Keller. r

tiquietir. Lewden (S.F,),;Sabatïer^(A.S.

~li. ~` :~a'y t.t\.<. wu j.5~tlllb ,l.

s'Loivgiiëïïrï -l-WilheÎTnfelî*A.iE5',Jr-'ÎJ&nMl

.(PàHsf-lïîîiÇps5 7tï.r-p JTH6 ;.iw/,f.-w:;o i; -̃̃j<t

•jFtewAei? -pi3iûtwfauj!e,fci^ijKbè. d^aÈapt^e f|B.

~<C;).rh!7~ n 15.2 <YB:- "n"

Dis.qùé. Courtejaire '(S.F.), B3ryîJrt (R.

CF.); ̃'̃̃̃ ..̃•;•̃.•̃-• .•̃̃>>S

Cette équipe comprend trofs jeilîîes "athlètes qui sont pour la première fois inteî'na'ttonàu'x ce^sont Feger, qui hjittaiïj'dimanche'Wernièr, Teneveau sur 400 mètres ^.Arnau^ et, B;%v,pn. L'équipe de France n'est pas la ^meilleure -que nous puissions former.^ Le match France-Belgique est, en ëfiéjt,

presque toujours l'occasion pour nps athlè-

tes, d'une facile victoire, et qiielqijgs-ftns $

d'entre eux, parmi les meilleurs, "çint' pb-

t, es""d, 'u n,e cI,le:V,lct se rendre Ue,lq,Q. t:,S,J-V, \1,

ténu l'autorisation de se rendre deînïajiii §l

Ëerl|n ils participero à une 'imjppr-

tâ'iité' réunion. 1' T("I?kr ses résultats, le match Françç'Bêig|qûe donnera une idée des possibilite^de nos athlètes an cours de là saison qui viehÇ'Jusqu'à ce jour; les" quelques" réunions, organisées chez nous n'ont pas.pei>mis. de' constater une fçjrme ̃ëxCep.tion'fle'}lemiïnt brillante de nos rèprésëntaât^.

Seuls quelques jeunes se sont révélas'/ téis

Arp'aud, Fèger, Borvon, comme de sérieux e'sjboïrs. La 'victoire, dans Francë-Bel^lqù'ç. ne e doit j)âs 'pourtant nous '-échapper, et ce pifémier match constituera un excellent

h~ i ~1~V1~DE 1~~I~1~

-̃̃ RÉGION ESt' la Ferté-Bttu&-JouapP9> HOTEL DE L'ÉPÉE =s=*»*r= Trucfict, ex-chef de cuisine du G. Q. G. RÉGION OUEST

Boiiglval-

HOSTELLERIE DU CÔp-HARDI;" Grand jardin. Terrasse. Parc Hottelier, prop". La Gelle-St'Oloud

ÎMÎ.ZS DE'L^VftLiEiÊt.-i- Auto» par .• >: ^w<s^¥1*'JR«h*w1._v ̃* Cuisine très soignée. T\ié iSejour. "Tennis.

.̃' ~t £-" '«' ̃ '>

Ooupcelles-sur-Vlosna

71 ̃ ^r k* *-±

S km. de Pontbise, chez QAXTL^1, Hâ%*R*st. Le patron fait la cuisine. Bonne cave. Pare; ̃ Polssy L'ESTURGEON'/ Au? Êord *& ̃"& Seine. .Premier ordre.' Prix nxe'et à là" carié. ̃ -v- ̃ St-Oloud Le PAVILLON BLEU. Hôtel «t&çdiwMit S'impose par sa renommée culinaire mondiale. St-Germaln-èn-Laye

-^f^AVitLON^HEN|Y-IV'=^ Nouvelle direction. Sort. Hôtel et RttstâjirtgrS^ iâe premiei ordre. Tél^pÊiône 36.'

DANS LA MARINE-

̃ y w- ̃ ̃ •̃ ̃ ̃̃ tf ;i

Uiverdivision navale Américaine -y' en France »-«~

JLe miliiStre "d,e- la marine a été Çtf onWÉT

dl la içpjÎHpdsitiqn de la division #avaW

qui vieinSi! ^^S»int-Nazaire, le 2&J«iin,

représèj|t^top>in%ine des Etats-Um^aula

cçrémqBj~~Ma~ise du m(~un!.ë~t,.jM!t~

memorM^^Hiïcoopératioli.r'àtriericaine dénis lS:|raBuFg«Wl'e- Cette dîvisttin^sera commandée par l'amiral t Gleaves, qui cônv«-ya -lé premier transport "de- troupes' américaines en France, en 1917. Cet officiel' général arborera* son pavillçn sor le crbisétir Memphis de 8.000 tonnes, fiancé en 1924, et dont la vitesse1 "atteint 34 noeuds. Il aura en outre sous ses ordres Ie,s huit destroyers CaselLansoil, Pfëstpji,.

C'hârles-Ausburne, Ôsborne/ 'jlsÇërw&dd,

Lerdrier et Sortrey, tous lances ;en,*Î3i» ou 1920, aèplaçant 1.215 toriiiés èt'flfâni; 35 nœuds. II avait été question d'envoyer rescaijré de' la Méditerranée à Saint-Na^aïre pour recevoir plus dignement no,s' hôtes, mai? on y a renoncé à causé de la dépense qui aurait résulté de ce voyage. C'est donp

lai division' navale de la Manche Bt:âe .XJ^

mer du Nord, commandée par le' Çôntpeamirat Chauvin, qui saluera les; bâ^|ffients américains avi nom de la màriliç. Jfânçàis'e. Elle comprendra lés vieux cuïi?a[ss^s Vpliaire et Diderot, l'aviso Arrâs, deux contre-torpilleurs et quatre sous-marin?,^ Une tournée d'inspection en aéroplai^eji, Le vice-amiral Dumesnil; inspecteur général des forces navales de' la Mëditèi?ranée, a commencé il y a" une seitiaine l'inspection du littoral algéro-tunisien. Nous avons déjà signalé son 4Spari.de Saint-Raphaël' par ïa Voie des airs et son arrivée à Bizçcte,i,iay£c.ane egeaérilla ds trois Goliaths, après une traversée de sept heufëg-'slhs escàlér'ï'è'Baattt ̃iaqûeœ"î** appareils sont restés constamment en cpnimunication par T.S.F. avec les deux rives de la Méditerranée., r t Depuis, l'amiral Diimesnil s'est rendu a Bône et à Alger à bord d'un hydravion.! Il quittera Alger dans quelques jours, quand il aura terminé son inspection dans la région et se rendra, toujours par la voie des airs, à Oran, puis à Fez, ou il verra à l'œuvre ,1a fameuse escadrille, âe4 la marine 5 B 2, détachée à l'Aéronautique da Maroc, et qui fut récemment' citée ïài l'ordre de l'armée par le général Boiçhut. Il compite gagner ensuite CâsaBlanca^sû' l'un des appareils de cette escadrille, Me{ rentrera probablement en France par un avion» ,<de la ligne de Toulouse. î Ce :•< n'est pas Seulement pa% |e tèjpp^: gagné -que cette inspection est rèmarftju»-- ble. Elle est la première effectuée dans "ëes cQnditionsetne manquera -pas de'prcduire un excellent effet moral sur le per-« sonnel des formations maritimes et aériennes inspectées par l'amiral.

entraînemenÊ'pour les grandes épreuves à venir. France-Angleterre et France-SuisseAlleaiégrjeagui aura lieu à Bâle.

--Des athlètes français à Berlin. Quelques'îins des meilleurs athlètes français devaient disputer demain dimanche, à Charlottenburg, près de Berlin, un match d'athlétisme avec les plus, réputés' champions allemands. 'Par suite de raisons personnelles, plusieurs •de1 nos représentants ne feront pas le déplacSèment. C'est ainsi que Sempé, Téneveau, Marchai et -Wlriatli, ̃ primitivement désignés, aftîi partiront" pas. Cependant, Mourlon frères, 'Paoli, Gëfbonnêy ;et Thiard se rendront à Barfirij sà»s grand espoir de succès d'ailleurs.

pf~i.G; 'f ~·~as.tta"·r, ,·;?âir

u.ov«(j,- o '̃̃- <̃•̃̃ rTiflf"1 >;1 •̃̃ ̃•

V'-i (Tt.s,.hi, .!>*V'*<Ij te .-> r-f y:?.

Prî* dè';P!àhe. Le PriJe'aè.'Dïâne qui devait 'être dispute -aujourd'hui samedi 5 juin, sur les lirifâ -dtf golf de Chantilly, est reporté au satnedi Î2 juin.

̃< '• ̃ j *̃̃ .t. ,n,

lÉOXk^ PROÎFESÈIONNELLE

'i

Carpentier aux Etats-Unis. Le prochain (mafich. que disputera Georges Carpentier aux Etats-Unis; se déroulera le 17 juin, à Philadelphie. Son adversaire sera Tornjtny Loughran, un bon .«ô^eur américain, dont. la. réputation est nettement établie. Quoique ce boxeur soit 'iinT'dàngértùx adversaire, Georges Carpentier a pn excellpnt moral et pense pouvoir triompher. A propos de son dernier combat, disputé contre Eddie Huftmann, l'ancien champion du monde, "dans une lettre envoyée récemment et où nous puisons ces renseigne' MeHïs, prévenir que la décision de mafeTitiùl 'nonnées parjes juges était tout à son désavantage. '"̃

'-Ajoutons "que Georges Carpentier boxera à (nouveau, -Us juillet, contrevYoung Stribîllng,

epv.eQlequelàltentretient d'ailleurs de très ami-

cales relations.•

u V: Frantz-Reichel. 'Toute ta correspondance concernant, les sports dqit être adressée à M. Frantz-àeîchel, chef âë la rubrique sportive du Fi.garo. ̃'• f -1 1.>;

~&pp-"?~ 'aw

,T VHIenne8~8*~$Blrie RESTAURANT DES SPORTS. 5" au tord de|aj3ein<rçPri;ifIxeetàla carte. Péris. Ck. 15 f. RÉGION SUD .ci Barblzon LES CHÀRMÈTTES. Spécialités Truites été rivière au fcleu. Poulet grillé Ckarmettes. m ̃ j .,jv -,t- ,«.- Ohalo.St-Mars ÇS.reHQ, ^.Restaurant DELAFOX. Spécialité pâté d'alouettes. Vieille cuisine française.

;•/ •;•••• "frii.ï-yêù.'Hi v

Champagne

Br- ̃'<):̃̃" -7 •t~ a-

FrèsjFontainetleau. L'ERMITAGE (lesFoiirii du Roy). Hôtel-Restaurant premier ordre. Terrasse bords de Seine. Repas i-15 fr. sans vin. m- '-̃; Montlgny-s–LoIng LA VANNE ROUGE. Restaurant de pre-1- mier ordre. Terrine Maison. -iii •̃' ̃• ̃ ̃ PonthlBPfy

ij« ^PLENQIDE, route de Fontainebleau. H^tel*-Restatcrant. Grand parc. Cuisine ren'bnimée. Spécialité Poulet cocotte. Repas 1.8. fr. MK^r^ww £amo/8~sui-SBiim i^S^PLATRER'IES: Au,bordde la #ne, (Anguilles Maison Poulet sauté). ̃«*̃• -m.: "7* ̃ ̃' '̃: ':̃

VIE COLONIALE

\r < farine et colonies •, /L'Institut Colonial Français 'à: célébré "Mer, dans soïfidfijeuner mens^j||î;.la liéi-

son étroite qjp'^oit exister èait'^ la ma-

son, etroIte q~Q, et eXl1>t~. Ce%

rine marchaîiSé" et lespfflilp'Btes. Celle

liaison, 'm^Ml Waz, M^#^àçnt de

«^institut, eajft souligné Fysft§?r.iaiiée pour

institut, è~o,ltltgn' o~t,Ja polir

?%n*pays comntel^ ¥ré^MÉ9o},3a. ml-

"•je,ure partie de.ô Jgs j||fitafgnpe< pa& Ja

mer et qui possede un immense empire

icotonial. =r:-r^z: rijjr r.

M. Léon Perrier, ministre des colonies, a indiqué l'exemple que nous donnent de

Petites comme la !3e! "et la

petites nations comme la -Belgique et: la

i Hollande qui, par leurs colonies, et Jeurs marines, ioàt de grandes puissances commerciales.. -M. Mario Roustan, sous-secrétaire ̃ d'Btat à là-) marine marchande, a promis i de s'employer à la création d'une marine coloniale française. l' ̃'

Transfert de poster d'abonnement

^téléphonique

~I::) > ,.i

Le secrétariat général de P. T. T. nous 1 Communiqué la noté suivante t Les travaux de, transfert des postes d'ahonne.nji^nt téléphonique, qui appartenaient à la série « Elysée ». et qui ont reçu un numéro de la série « CâjnqJ »“ seront entrepris vendredi 4 juin, â,partfe5 de 21 h. 15.

D'autre part, les travaux de transfert des

i portes1, d'abonnement yjui appartenaient «à :1a

j série* Séj;ur » et'qûfont reju un numéro de la série « Vaugirard », seront effectués saliiedî 5 jnin àipartir de 16 heures.

Les linjites 'des circonscriptions transférées sont indiquées page 2 de l'Annuaire de 1926. A partir «des dates sus-indiquées, les aBoni nés transférés devrptnt être appelés sous les numéros « Carnot i -et Vaugirard », qui fi-

gurent èrFAranmirie de* 1926r

B^ôXli* qu*âùctiné. "perturbation iië se proditîse dans le service des lignes transférées,' ̃ Padniiuistration des P. T. T. a fait installer des appareils /nouveaux qui enverront à tout abonné ayant demandé son correspondant sous l'ancien numéro, le signal- parlé suivant-: « Le numéro de votre correspondant a été changé, veuillez consulter le nouvel

Annuaire. » ̃

VDanS ce cas, le compteur ne sera pas actionné.

u -^̃^̃^̃^ *i

̃ <• *t ^L'Association des Dames Françaises (Croix-Rouge Française) a tenu hier son assemblée générale. Au cours de cette réuniqnj la -grande médaille d'Or de l'Associatioji a Mté remise au docteur Lobligeoîs», 'lîéminéjit-j radiographe, victime de la science.

sfcr?: £ë i"Ma¥caê dës-Arfsen pleiîPaliFïp se tiendra aujourd'hui et demain diman- 1 che, boulevard de la Tour-Maubourg (du quai d'Orsay à l'avenue de Touryille).

Reunions, Cours et Conférences

in

Aujourd'hui;

Tribune Libre des Femmes, 6 rue Drôuôt, Ï4 h. 30 l'Amour n'est-il qu'un sentiment de curiosité ? par M. Gaston Lèbre. Faut-il croire aux horoscopes, avec expériences, par Mme Bordy-Théano. L'Hygiène doit-elle le céder à la coquetterie ? '1 par' le docteur Albert Fournier.

Sous les auspices du groupe « L'Essai » visité-conférence de <i l'Observatoire de Paris». Rendez-vous à 13 h,. 1/2, devant la

grille, de ï'pbsérvatoire.

,i^. institut 'grégorien, 13 h. 30, et la Clë.dû fhpmi$mç, par M.1 PeçouL 1? h. 3,0,

'i~~ r~a~~t~~ 1 "1 q-'U.

;^k^a|H7ï^a^s-H(5^s5Î!Ïe ? M8heù-

Tês, V^îte^Tpub'Iiquè .dé là! .Roseraie; prorfrîêtèj.jde me Çravéreaux, jfl sera perçu francs, au profit des œuvres- d'assistance de la commune.

CHRQMQHEDE T. S. R '̃"̃ PROGRAMME

•*

10 h. 40 RADIO-PARIS (1.750 m.), Infor- 1- mations, et 12 h. 30, Radio-concert Lucien Paris

1. Les Mousquetaires, marche; 2..Incanto, valse; 3. Humoresque, violon; 4. Singes et Caïman; 5.' Sérénade mystérieuse;. 6. Bourrée* violoncelle; 7. C'est du lapin, one step; 8. Lakmé, trio; 9. Adieu au village, bluette; 10. Automne, violon 11. Galanterie; 12. Serenâta; 13. Scherzo, violoncelle; 14. Noveletta, mélodie; 15. Swing, fox trot; 16. Les ruines de

Pompeï, intermezzo; 17. L'heure d'aimer, sé-

rénade; 18. Ticikle me, fox trot. 16. h. Londres (365 m.), Concert; â 18 h., Causerie « Le jardinage », à 18 h. 15, Emission pour les énfanjts; a 19 h., « L'autoriiobilisinë et l'étranger »; à 19 h. 25, Récital Mozart; 2Q h., Concert; à 22. h. Mélodies «vec piano, et à 22Ti., Musique de danse du Savoy. .16. h. '45,' Radio-concert organisé par l'Association des Radio-Amateurs français.. :.18h.3O à 19 h. 45 TOUR EIFFEL (2.650 to.), Le Journal parlé par T.S.F.- Propos- en l'air; Reportage Parisien i", La journée .judiciaire;

Echos, par, Mus "les collaborateurs;. La sji'ua-

^ion. politique; là Revue' de::laV\senjaine de J>e-

ntfrèus.ï'Les derniçres*JiouveU,e&. L '̃• ̃̃;̃̃

'lTK;aBaw6lone (325 m.)', Concert. *Jt f^O'h. :Radlb-Bru.%yes (487 .m.)i Concert de jgjla; à 20 h. 30, ebnfire.nce, par M. Gollier.

••; 20 Ti.,C4'Ti"serièî Résultats des courses, Cites r"s

"2°" 11", ca, .ûserl'e~é:N1tat, Ha~vàs'à,20 Ct>;1Jl'S

feôïnmerciaux, IhfpfrmatioriS flavas, à 20 hv3Ô,

hadio-concq.' d,,gala organise par lé ji urnal « l.e Matin» avec le concours des artistes de? théâtrBs et concerts de Paris. '20 h. 30'ECOLE SUPERIEURE DES Pif.f. (458 m.). Radio-concert.

20 h.. 45 Radio-Toulouse (450 m.), Bulletin hebdomadaire l'Automobile' Club du Midi et concert offert' par la « Dépêche, de Toulouse1 ». r 20 h.' 40 Romé (425 m.) Concert' vocal et instrumental, Orchestre de la U. R. I. 21 h. 10 23 h:, Radio-concert': Symphonie espagnole; Airs bohémiens; Actualités dramatiques; Lettre de la Périchole; Véronique; Soirs' de Mexique, de « Pas sur la bouche »; Hans'Ie joueur de flûte; Remembér, valse; By the light of the Stars, fox trot;' Ukuelle lady, fox trot:

21 h. 15 PETIT PARISIEN (333 m.), Radioconcert avec le concours de Mlle Jenny Bernais, de la Gaité-Lyrique, dans «. Surcoût », Ayez foi dans l'avenir (Plaquette); Le Jour et la Nuit, mélodie, scène et chanson indienne (Lecoçq) « La Roussotte », couplets de Pour les "compter mes amoureux (BoullardK Ouverture de 'Surcouf; Les enchantements de l'amour, valëè; Chanson russe; Miss Helyette; La Périchole; L'Amour mouillé; La Petite mariée; Valse des Colombines de Pierrot poète Chanson; Marche de Gladys.

!Mf'1f.~

Marchés Commerciaux

HHins. v ̃•> :<•̃̃ •;ij. •' -•̃" •' :̃̃ '>•-

Méiaus précieux. Pjuus, 4 juin. Cours

d>eh$t|a|i #ls:% f21>ï!&Q- i4^gérit, 68Q >̃?!«-

^'Slëtaux bruts. Londres, 3 juin. Par tonne de 1.016 kil., en liv., shill. et pence. Cuivre cpt. 56 3/9 à 3 mois, 57 1/3 électro, 64 10/ à 64ï'Etain ept. 263 7/6 à 3 mois, 262 7/6 ô Plomb' cpt. 29 8/9 éloigné, 29 12/6 anglais,- 30 15/. Zinc cpt. 32 10/ éloigne, 32 17/6 Antimoine Régulus, 84 10/ à 85,; Mercure, 15 7/6 par bout. de 75 Ibs. Btééù Paris," 4 juin, Cour. 186 25 juill. 187 25 A juill.-août, 188 25 N sept.-ocf. 180 A 4 dern. 182 25.

-Chicago,' juin. En'cents par bushel. Juin. 138 sept. 133 déc. 135 5/8.

New-York, 3 juin. Blé roux d'hiver .dur, disp. 168 cents par bl.

Avoines., Paris, 4 juin. r Noires. Cour. 126 A juill. 127 A w juill.-août, 128 50 À sept.-oct. 120 50 A 4 dern. 122 25 et 122 '50. Diverses. Cour. 121 N juilL 121 N juilLabû't, 122 N autres termes, 119 ?S.

Çhïcâgp, 3 juin. En cents par'bl.' Juill. 40 1/2 sept. 41 3/8 déc. 43 1/8.. Farines. •– Paris, 4 juin. Cour. 230 N juin. 230 N juill.-août, 233 N autres termes,"223 N. Farines de consommation 239. Sucres. Paris, 4 juin. Cour. 281 5i) jihîl: 285 août, 288 25 sept. 286 50 3 d'oct. 273-; 3 de nov. 273. Cote officielle 281 à 284. New-York' 3 juin. En cents. pat 100 Ibs. Cour. ïncoté;; juill. 244 sept. 257 Bée. 270 janv. 273. mars, 272'; mai, 281. Centrifuge Cuba, prompte livraison, 421, à-

CafèV– Le Havre, 4 iiiîn.4^.Cpur. 7St

juill. 765 50 août, 7S9 50 f^eift. 762 ï oÉt, 799 '50 nôv. 762 ;34ç.'749?;* janv. 7^6 5^' :• feV742 rmars, 734^5, ,'̃ avril, 723 mai; 720. -r Ventes :1.'000 -saoS." .rK^v?'-Yot% î jujn. l^rEn ceots par lb. Disp.

~é,1311¢ :~à~ll ~4~ I apl?tss~$Yr7j g.déc.

¡,!I"o,13fl~i! ,U111..1J, "S!IPt,(,j!{;, JI!}', îi,d~.

15 95. janv. 15. 65.; mars, 1&4Ù, » mai, 15 M,4

Cotons. Le Havre, 4 juin, tt Cour. 74?.? juill. 750. août, 748 sept. 747 oct-nov. 753 déc. 757 janv.; 761 îèy. 76& mars, 767 avril; 770 mai, 773. Ventes 350 balles.

Alcools libres, -r- Paris, 4 juin. >• Cour. 900.; juill. 915 V jaoût, 920 V sept. 86,0 A 3 d'oct.

1

Huiles de lin. Paris, 4 juin. Cour. 520 N juill. 520 N juill.-août, 520 N 4 derrf.

517.:n.

Caoutchoucs. Paris, 4 juin. Cour. 29 50 à 32 50 juill. 33 50 V 3 de juill. 34 50 V août, 31 50 à 34; .3 d'.oct. 33 10 à 35 -»ov. 33 50 à 35 3 de janv. 34" 75 à 36 février^ 35 A.

̃^̃̃^̃^̃ r^-r.

Déplaeefflents et villégiatures des Abonnés du g Rgaro » Jilme Odette Arnaud, à Venise; M. le comte Apraxine, à Clamart; Mme Belleux, à Cergy; M. L. Walter de Burbure, à Chatou; M. le comte Louis de Carne-Marcein, au château de Marhailach, Mme A. Cazin, à Vichy; M. Charrier de Beauchesne, à Bagnoles; Mme la baronne fl. de- Ça^tex, à Evian-les-Bains,; M. Ch. Fiorojij, à: Bagnoles-dé-l*Ofne M. Pierre Florand, à l'Etang-la-Ville; Mme Maurice Ganne, à Crbissy-sùr-Seine; Mme la générale Gladel, àVezezoux; M. George F. Jaubert, à Chaville; M. S.. JaVislowsky, à Saint-Germain-en-Laye Rï..Lalîi,er du Çoudray, à Marseille; Mme la

conjteîia^Andcé Maggiar, au château de Jal-

j lanjgeslJtt. ^n^P» À Bàrbptffn-Ie^-pxçrmK; Mme FTTnôuniêr, à Meudon; Mme comtesse c J.-B. d'Ornapo^ à LyttttrM- le docteur Pierret, à La Bôtfrbt)*Ulé;J>U gi-nest T. Rosen, à Compiègn'é;1 Mi E.Riqueur, à Méaan M/ Georges Reiszmâp,i'à 'Prague-Bubenec; Mme la baronne Jamef de Rothschild, à Londres; Mme la comtesse de" Rïbes, au château de Saint-Just; Mme ^chuh'marin, à Chantilly; Mme Hedvïka Skôdbva, à Keuchatel; Mme Charles Trejpsat, à Aix-les-Bains; Mme Eléonore de Trémouroux d'Orhajs,, à Vevey; M. Jean Viallis, à Châjeauroux.

ARRIVEES A PARIS

M. le comte et Mme la comtesse Allard du Cholét; M. Botassis, Mme Baranoff, M. Louis Bàut, M. Charbalié, M. René Duvernoy, Mme Robert Gouin, Mme Eugène Houdebine; Mriitè Laveau'Becker, M. José Antonio Terry. A RELIGIEUSE DEUIL IMMÉDIAT 32 Place de la Madeleine a Rue TronobetPARIS

^^k v^^v Q^gv ^^K' '̃v ^^m

Programme des Spectacles Albert-I" 8 h.* 45. La seconde Mme Tàn.queray' (en anglais).

Antoine. 8 h. 45. '• Pas sur la bouche. Apollo. rr- 8, h. 45, Les Bleus, de l'Amour. Arts. 9 h, Comme ci, comme ça.

Atelier. 8 h. 30. Théâtre artistique de Moscou.

Athénée. 8 h. 30. La Rose de septembre. Bouffes-Parisiens, rr 8 h. 30. Trois jeunes filles. nues. ̃•.̃̃

Capucines. Clôture annuelle. ̃

Châtelet. 8 h. 30. Capoulade de Marseille! jCIuny. 8 h, 45. J'ai perdu ma femme. Comé,die-des-Champs-Elysées. 8 h. 30. -4 Bava l'Africain. -̃> :̃) Comédie-Française. '8 h. 30. À!quoi rêvent les jeûnes filles, le Pèlerin, la. Paix chez soi Çomédie-Caum^rtin. r 9 h. Le Mage da

".̃̃ Carltbn. :(>

Daunou. '̃̃ 9 h." Mandragore. Qéjazèt. 'S h:' 30i ?-Tàûras pas sa; -fleur1;'1 J| Deux-Anes. S h. 30. Zut à l'or. |j Edouard-VII. 9 h. Mozart. j Folies-Dramatiques. 8 h. 30. Souris Blondç, Fémina. 8 h. 45. La Prisonnière (Sylvie)^ Gaîté-Lyrique. 8 h. 30. Le Voyage en Chine. T Grand-Guignol. 8 h.1 45, Un drame à bord. le Chevalier Canepïn, la Fosse aux Filles, Lucette et sa tante.

Gymnase. -,9 h. Félix.

Marigny. 8 h. 80. Vive la République Madeleine. 9 h. Le Docteur Miracle. Mathurins. 8 h. 45. Monsieur de Saint* Obin.

Michel. Relâché. Michodière. 8. h. 45. -–Passionnément, Mogadqr. 8 h. 15. No, ijo, Nanette. Nouveautés. 8 h. 45. La Noce..

Nouvel-Ambigu. 8 h. 30. Petite Peste. · Opéra. 8 h. Faust.

Opéra -Comique. ,8 h. Scemo.

Odéon. .8 h. 30. -,Les Femmes savantes. Œuvre. 8 h. 30. La Dupe.

Palais-Royal. 8 h. 45. Au premier de ces messieurs." °

Porte-Saïnt-Martin. 8 ;h. 15. L'Aiglon. Potinière. 9 h. Un chien qui rapporte. Renaissance. 8 h. 30. Qùarid'on est trois. Sarah-Bernhardt. 8 h. 30. c– Ballets russes. Studio des Champs-Elysées. 8 h. 45. Têtes de' rechange, Une visite: ̃̃.̃ Théâtre de Paris. 8 h. 30. La Riposte. Trianon-Lyrique. 8 h. 30. La Dernière valse. ̃̃' Variétés. ~"9.$. -Monsieur, de," Saint-Obin. ̃•. Théâtre de l'Avenue. 8,'h^.SQ,. -$~ La Revue de l'Avenue. >. Théâtre du Journal. 8 h. 30. L'Apprenti don Juan. o'fCwE"

Théâtte dé DixiHeures. 10 h. Blum-BfldaBloum.

M0l3WR0UGE-Mgs|SaS

ta RevueMfétinguett

Champs-Elysées-Music-Hal]. Le Revue de Paris Medrano. 8 h. 30. Trudaine 23-78, Ma111 tinées jeudi, dimanche et fêtes, à 2 h. 30. MARIVAUX La Croisière Noire,

^TIAKIVAUA de 2 h;à 7 h et à 20 b 45_ AUBÉRT-PALACJB. Les Ombres du passé. Madeleine-Cinéma. Les Ennemis de la Femme Foire St-Gcrmain. Attractions, théâtre, opérettet

,> 1 AGES.. r~; EN

1. BELGIQUE

Séjaur favori des Tourist«

Plages et Villes d'Eaux sans rivale» Villégiatures pittoresques Visite des Villes d'Art ̃• I Billets, Abonnement* 5 le 15 jour* I' Circulaires" ̃• à pris réduits

I fPATIIÏT JoHci notices lUuitrta, Guide du

I UAAiUii H$lPk tt.lo^ rcmilgnementt

I *+–& iW 4*mçna« l

I Office des Chemins de Fer

I v âeïEtal Belge [ Iniiîcaleiif te Tralin Rue Richblien, 32, PARIS

èie SUD-ATLANtJQuI CHARGEURS REUNIS 1

DÉPARTS DE BORDEAUX, LE HAVRE & LA PALLICE sur le Brésil, l'Uruguay et l'Argentine MASSILIA, 5 juin. LUTETIA, 31 juillèt. MALTE, 6 juin. MEDUANA, il juin v CROIX, 20' juin BELLE ISLE, 29 juin 3, BOULEVARD MALESHERBES PARIS Téléphone: Elysées 69-29 à 69-35.

Florèïne CRÈME DE BEAUTE

Rend la PEAU DOUCE. FRAICHE. PARFUMEE

AUJOURD'HUI

faites parvenir vos

PETITES ANNONCES AVANT' 17 HEURES Au FIGARO, 14, Rond-Point des Champs-Elysées j AVANT MIPI ̃•̃•

Gardc-Mcuble»' DELAGRANGE/ 30, rua; Drouot AUX LIBRAIRIES

MAUGER, -Ijt, rue de BellEchasse.(7-> «.v,»

Mme LIONNCT, 51, r. de Grenelle (Bd Rssôâil) (1-) J. MARTIN, 7, Bd de la Tour-Maubourg g-) CORNUAT, 11;- boulevard de Courcellts (8-) PERRODOT, 59, Bd Malesherbes (8-) (St-Augustin) WALTER, 14, rue Vinjiinine (9-) A. MARTIN, 7, rue de l'Alboni (I6-) CHEVILLET, 114, rue Lafontaine. (16-) .PELLIGRY, 2, avenue Bueeaud (16-) -1. DEPAIX, 35, avenue de .1» Grande-Armée (16-) Mme PRAYEZ. 2, rue Dufrênoy (16') DOURDAN, 16. rue do Charités. Neuilly-«ur-Seinev Et Et au,^ CORDON BLEU, 71, rue de la Pompe <16-) -s Elles seront insérées dans le FIGARO de demain

̃ ̃

Paris. Imprimerie du Figaro

14, Rond-Point des Champs-Elysées. L'imprimeur-gérant Dbtot.

1 ÎMPOKTÂNTS BENEFICES MENSUELS peuvent être réalisés avec 5.000 francs. Renseignements franco.

E. PICABD, Remisier, 48, rue Condorcet, Paris.