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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1926-03-11

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 11 mars 1926

Description : 1926/03/11 (Numéro 70).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k2947063

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Une méthode qui change pas

En France, rien, depuis la guerre, n'a moins changé que l'art dès combinaisons politiques. ` M: Briand vient de faire. en

[1926, exactement le même « replâtrage » qu'il faisait déjà en 1910. Alors il prenait M. Lafferre, aujourd'hui il prend M. Malvy. Aujourd'hui comme alors, son indifférence est totale à l'égard des personnes en cause, de leurs aptitudes ou de leurs desseins. II lui suffit que M. Malvy, comme jadis M. Lafferre, soit pour le moment, le type le plus avéré du radicalisme et le premier à passer de la série des radicaux ministrables.

Vieille tactique de l'otage, qui tantôt apaise et tantôt divise les groupes dont on veut obtenir quelque répit. Lé même procédé, à l'égard, cette fois, des anticartellistes, a fait M. Raoul Péret, ministre des finances.

M. Briand ne force pas la politique. Il se nourrit comme il peut et cueille les fiuits selon qu'ils mûrissent à portée de sa main. On ne saurait douter que si le parti socialiste consentait à mûrir et à se rapprocher de lui, il cueillerait M. Renaudel comme il vient de cueillir M. Malvy, avec le même souci des contingences immédiates et le même dédain des éventualités lointaines.

Un cabinet Briand n'est jamais autre chose qu'un cabinet Briand une opération d'assurance qui permet à son chef de traverser sans gros ennuis une période limitée. C'est ce qui donne à la méthode politique de notre président du Conseil son caractère à la fois perpétuellement rassurant et perpétuellement décevant.. Méthode exclusivement attentive aux plateaux de la balance parlementaire et indifférente au fond des problèmes. La Chambre vient de renverser le gouvernement sur la question financière qui préoccupe tout le monde. Aussitôt le président et le rapporteur général de la commission 'des financés se disposent à entrer dans le nouveau cabinet, mais pour diriger l'un Ies.sou8-préfets, l'autre l'instruction publique. Et l'homme estimé qu'on destinait à la justice se résigne à-prendre les Finances.

La composition du nouveau ministère va mettre tous les groupes dans l'embarras. Cet embarras commun est sa principale chance de durée, à cause des divir, sions de plus en plus profondes qui en résulteront dans les groupes.

Embarras chez les socialistes, à qui la formule Briand sert de paravent commode pour un changement, de front, mais qui devront bien se prononcer contre la politique financière de M. Raoul Péret, Embarras chez les radicaux dont les plus ardents détestent M. Briand, mais ne sauraient, dès le début, désavouer M. Malvy. Embarras chez les hommes du centre, dont le rêve de concentration est évanoui au moins quant à la distribution des portefeuilles. Embarras chez les modérés, qui ont du goût pour M. Raoul Péret et de l'antipathie pour M. Malvy.

Si M. Briand a cru faire autre chose qu'une oeuvre provisoire, c'est qu'il ne désespère pas encore tout à fait de réussir l'expérience qui a échoué depuis trois mois l'expérience dès deux majorités. Lucien Romier.

LA MI-CAREME On nous ,?; préparé, pour aujourd'hui, une « mi-carême » qui comportera un certain faste si les giboulées n'insistent pas trop pour se mêler aux' cortèges. Aux cortèges, disons-nous, puisqu'ils leyard de l'Hôpital et Saint-Marcel, les soins du comité général des fêtes. Il partira, les reines étant réparties dans des daumonts et des landaus, à 1 heure 30, de la mairie du xn' et, par l'avenue Ledru-Rollin, le pont d'Austerlitz, les boulevards de l'Hôpital et Saint-Marcel, les rues Claude-Bernard et Gay-Lussac, les boulevards Saint-Michel et Sébastopol, les grands boulevards enfin, atteindra à 5 heures à l'Opéra.

1 Les reines seront reçues à notre Académie de musique où elles assisteront à une répétition de la fête du soir. Elles y dîneront au foyer de la danse, et un grand bal masqué, aux épisodes sensationnels, commencera à 10 heures. Enfin, couronnement de la Reine des Reines au sein d'une harmonie musicale due à l'excellent maître Gustave Charpentier.

D'autre part, le comité des Fêtes' de Paris a' imaginé un défilé plus directement inspire de principes carnavalesN ques trompettes de la garde, chars du cinéma, de l'alimentation, de la T. S. F., des ballons-surprises, de la couture, voitures des dactylographes, de la Reine des fleurs, du music-hall, chars du féminisme, de la parfumerie, défilé des « fiancés en folie », etc. le tout accompagné de hérauts d'armes, des personnages de la Cour des Miracles, du roi de la Basoche, etc.. 1 1

L'itinéraire comprend la place de la République (le départ ayant heu à 1 heure, place Daumesnil), les grands Boulevards, la-rue Royale, la place Beâuvau et les Champs-Elysées jusqu'à la Concorde.

Enfin, à ces deux cortèges, se joindra un défilé organisé par le Quartier latin et qui partira à 2 heures de la rue Auguste-Comte.

On le voit, ceux qui aiment les fêtes de la rue ne seront pas privés de spectacles.

LES ABONNÉS DU FIGARO « TROUVERONT, CE MATIN. l& Figaro Ârtktii<ps@ ENCARTÉ DANS LEUR JOURNAL Les acheteurs au numéro pourront se le procurer dans tous les kiosques et librairies au prix dte i fr. 50 cent.

DEVANT LA COUR D'APPEL

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Un procureur généra! poursuivi pour homicide par imprudence

–~<

II s'agit d'an accident d'automobile M. Perrussel, procureur général à la cour de Caen, est un excellent homme et un1 parfait magistrat. Il ne manque pas.t de talent, et lorsqu'il était procureur de' la République à Versailles, il requit avec succès dans de grandes affaires criminelles. Mais il lui est arrivé la plus tragique mésaventure qui puisse advenir, surtout à un magistrat il a tué un homme. Il a, en effet, en automobile, écrasé un passant, sur la route.

On a beau aimer son métier, il y a des jours où l'on voudrait faire autre chose que des réquisitions, des conclusions, que de lire, annoter des dossiers, rédiger des actes d'accusation, écrire à des magistrats inamovibles ou à des gardes des sceaux très passagers, et respirer un autre air que celui du parquet et des greffes. M. le procureur a.,spixante-,six ans, et il était arrivé à l'âge ou l'on veut avec raison jouir un peu de la vie, du repos et de la campagne. Il voulut donc faire de l'automobile. Après tout, pourquoi M. le procureur général ne conduirait-il pas ? Tant de petites femmes nerveuses dirigent parfaitement sur la route leurs petites voitures. Ne pourrait-il pas faire au moins aussi bien qu'elles ? Et qui, mieux qu'un magistrat, peut connaître le code de la route ? Il avait jadis, étant substitut du procureur, requis dans tant d'affaires d'accidents ou de catastrophes d'autos C'était bien son tour de tenir un volant. (Voir la suite en deuxième page.)

LES ENGAGES VOLONTAIRES Pour la Caisse

d'amortissement autonome

m

Troisième listé. de ia souscription nationale

1 v

M. Pierre Roux, Paris Frs. 10.000 Mlle Lainé, Nogent-s.-Marne.. 50 Baron et baronne d'Acher de

Montgascon, Paris 1.000 Mlle Dupré, Paris 5 J, L., Paris 50 M. Maurice Déscazeaux, Can-

nes 1.000

M. Robert-P. Hostater, Paris 5.000 M; Philippe Coulon, Paris 500 M. Levavasseur. Paris ̃ 1.000 M. H. Martin, Paris 1.500 M. Maurice Bottrel, Paris 1.000 M. P. Boulant, Boulogne-sur-

Seine 5.000 M. Jacques Detraz, Neuilly-

sur-Seine 1.000 M. P.-J. Valmigère, Ile-Saint»

Denis 10 Mlle D.-L. Meunier, Paris 50 Mme B. Gantier, Bournemouth 53 M. Paul Alby, Toulouse 5 Mlle G. Arnaud, Marseille 5 M. Georges Deraisme, Paris 10.000 M. G. Lenthé, Paris 50.000 M. Chamagne de Sabrit, Paris 50.000 Mlle G. Le Belhomme, Sures-

nes 5.000 M. Berthet, Suresnes 500 M. Signolle, Neuilly-s.-Seine 4.000 M. Bdschetti, Paris 5.000 Docteur Vulliet, Paris 10.000 M. J. Lardon, Paris 2.500 M. Lemoine, Suresnes 1.500 M. Armand Petitjean, Paris. 200.000 M. Georges Claude, Paris 150.000 M. Lefrançois, Paris 10.000 M. Paul Pléneau, Paris 10.000 M. Le Boucher, Paris 1.000 Marquis de Jessé, Paris 10.000 M. R. Lodt, Casablanca 2.000 M. Eugène Chàrabof i. 1.000.000 Baronne de La Grange, Paris 1.Û00 Mlle Fernande P;«s.§Qn, Paris §0,0 M. Stéfano Forcioli Conti, Na-

ples 500 M. 'J. de Rouquette-Bisson,

Paris 6 Comte Robert d'Harcourt,

Paris 200.000 M. A. Closel, Paris 500 M. Daniel Renon, Paris 2.000 M. E. Schultz, Paris 1.000 M. J. Marguet, Paris 12.600 M. Fernand Gilles, Paris 3.000 MM. Maurice et Georges Drae-

ger, Paris 1.000.000 M. Cognon, Suresnes 100.000 M. Manuel-Ed. Perret, Mou-

rut (Suisse) 100 M. Meulemans Jules, Paris 1.000 Anonyme 50 Mlle Suzanne Liautaud, Paris 1.000 M. Virey, Paris 30.000 Anonyme 20 M. Roquelaure Ernest, Capde-

nac 1.000 M. Martin Eugène, Arcachon 200 M. Jean Grillot, Isigny-s.-Mer 1.000 M. René Defer, Neuilly 1.000 Mme Couraut, Neuilly 100 M. Goirand, maire du 1" ar-

rondissement 10.000 M. Emile L'Huillier, P*aris* 1.000 M. Georges Asscher, Paris 3.000 Mme veuve Pënnaforte, Casa-

glione 3.000 M.if-:Georges Pascalis, Paris 5.000 Docteur Salathé, Saint-Cloud 10.000 M. Charles Boccara, Marseille 10.000 Docteur Ambiès, Vichy 1.000 Mlle Ségot, Paris 65 M. Gilbert Charles, Paris 10.000 M. Ilenri Galey, Paris 5.000 M. Léon Galey, Paris 5.000 M. Mougue-Galey, Paris 5.000 M. Max Gallais, New- York 5.000 Mlle Edmée Gallais, Paris .v 1.000 M. Lahille, Paris 1.000 M. Thiéblemènt, Puteaux 1.200 M. Robert Mouhat, Paris 1.000 M. Croze, Suresnes 1.000 M. Babonneaux, Puteaux 1.000 M. Gourévitch, Paris 1.000 Total 2.985.569 Listes précédentes 106.531.466 Total général 109.517.035 Erratum. Dans notre dernière liste, lire M. Angelou, à Vincennes, et non M. Angelo.

PENDANT QtJ'ON DÉTRUIT TOUT

Gémissantes et pleurnicheiirs

Est-ce dans les vieux, très vieux vaudevilles que l'on voyait autrefois certains personnages comiques tantôt un gars de la campagne, tantôt un brave boutiquier qui se trouvaient saisis d'émotion en face du représentant à la Chambre de leur village ou de leur quartier, et l'appelaient avec respect «Monsieur le député» ?. Oui, c'était sans doute eh de bien vieux vaudevilles nous voici loin, à cette heure, de ces façons devenues incompréhensibles. « M. le député. » ? Mais qui donc aurait aujourd'hui la pensée de s'émouvoir à ces mots, fût-ce dans la plus humble cabane de bûcherons perdue au fond d'une taille, ou dans un arrière-magasin d'une toute petite ville ? On se fâche, au contraire, dès qu'il est question de la Chambre impopulaire, à moins encore qu on ne hausse l'épaule. On à tort ? On exagère ?. Voyez plutôt ce qu'ils ont fait depuis deux ans

Et ce discrédit dans lequel ils ont chu les mauvais entraînant les bons la France entière le leur inflige, tous les partis le leur prodiguent. A gauche, on les accable de reproches ceux-ci jugent que ces messieurs du Cartel n'ont rien fait, puisqu'ils n'ont encore entièrement ruiné ni l'armée, ni la patrie, ni le capital, ni l'héritage, ni l'autorité du père de famille, etc.. Ceux-là les accusent d'avoir manqué de tact en se montrant assez étourdis pour contrarier lés socialistes, quand il n'y avait qu'à prendre pieusement leurs ordres et à les suivre sans ajouter un mot. Et ainsi de suite. Voilà pour la gauche. En ce qui concerne la droite. Oh à droite, c'est un concert de pleurs et d'anathèmes. On s'arrache les cheveux en constatant qu'en deux ans une ma-, jorité d'incapables a porté la livre à plus de 130 francs, réalisé plusieurs inflations dont une frauduleuse et beaucoup augmenté les dépenses, officiellement accompagné le drapeau rouge dans les rues, toléré des assassinats politiques, nommé des déserteurs à des fonctions publiques, réduit, et humilié l'armée, ruine la marine, attaqué,, l'Église, asservi les .préfets, menace, gravement le capital et la famille, bou-l' levérsé et avili les études, rendu toute défense presque impossible contre une invasion, affaibli le prestige français, admis pêle-jnêle tous les indésirables d'Europe, soigneusement préparé la ré- volution enfin, et acculé le pays à une faillite honteuse. On invective contre le Cartel, on vitupère le Parlement plongé dans la démence, on. se désole, on a peur, on s'irrite surtout.

« Indignité, s'écrie-t-on, sottise, faiblesse Qu'avons-nous gagné, maintenant, à nous être tant et si bien battus ? Les députés ont tout perdu, tout saccagé. Les lamentables députés »

ÉCHO B

,>i $ai i~Iole ma a$ a

Nous apprenons que Mme Margherita Sarfatti a reçu la Légion d'honneur.Voilà un ruban bien placé, qui fera plaisir à tous les Français.

A-t-on décoré l'écrivain connu dans l'Italie entière, l'illustre critique d'art, ou bien la journaliste merveilleuse* ment active, rédactrice au Popolo d'Itct*lia, directrice de I3 revue Gerarchia, ott bien Time des plus ardentes fascistes au delà des monts, ou bien aussi l'une des meilleures et des plus fermes amies de la France ?. N'importe, c'est une croix à laquelle nous applaudissons tous ici avec un plaisir amical et charmé.

Un détail qui, pour nous, a bien du prix la nouvelle « chevalier » puisqu'il n'y a pas de féminin de là Légion d'honneur parlé~sL purement et si joliment en français, que nous pourrions prendre leçon, nous autres, en écoutant cette' Italienne.

t <tt–

Viva el Rey.

Les provinces basques s'agitaient. encore Un congrès se tenait, ce jourlà dans la petite ville d'O. Il s'agissait, officiellement, « d*études de la langue et des traditions basques ». Il y avait réunis dans l'église, puis sur la place, des milliers et des milliers d'étudiants (?) de tous les âges et de toutes les montagnes. Pas un mot d'espagnol! Pas un drapeau espagnol J Une sourde colère dans tous les yeux. Qu'àllait-il se passer ?

Des Basques français se trouvaient au premier rang, aux honneurs. Ils étaient fiers, certes, dé l'amitié qui leur était prodiguée, mais inquiets: ton l de même sur la signification que pourrait prendre la manifestation. Soudain, un -nuage de poussière, sur la routé. Une auto survient en trombe. Un homme svelte en saute lestement. Il traverse la foule et va se présenter aux autorités. Tout le monde l'a déjà reconnu. C'est le Roi. Il n'était pas invité, mais il est accouru de Saint-Sébastien. De la stupeur, et. pas une acclamation.

Mais voici qu'Alphonse XIII parle. Cordialité, simplicité, franchise. Compliments aux « érudits » (?) basques et aux « étudiants » (?). Eloge de la race. Hommage aux sacrifices qu'elle consentit* pour la grandeur de la patrie commune, l'Espagne.

Il ne peut poursuivre maintenant sans être arrêté par les acclamations.

Encore ne s'en tient-on pas là, car les épithètes dont on use témoignent parfois moins de politessev.

Chacun, d'ailleurs, a sa méthode. En voici qui lamentent comme Jérémie et vaticinent à la facon de Cassandre ils déclament, croirait-on, le poème des horreurs futures. Après quoi, ils se taisent, accablés et tragiques. En voilà de plus aigres, qui récriminent contre le monde entier, ou d'amers qui se plaisent à constater qu'au train dont vont les choses le cataclysme est inévitable, que, d'ailleurs, on n'a rien fait, qu'on ne fera rien. Aussi bien, n'attendez pas qu'ils s'emploient eux-mêmes ils se plaignent pour se plaindre, et pour l'amour du gémissement ou par paresse, tout bonnement, sinon par crainte.

D'autres ironisent d'un ton mesquin etrancunfèf D'aut fès gémissent; pleurnichent, au besoin s'attendrissent ce sont les plus nombreux, Que deviendra la pauvre France ? Quel sera l'avenir de leurs enfants ? A quoi bon garder un champ, conserver un château, augmenter une collection ? Autant tout vendre.» Quant à se défendre, ils n'y songent même pas, c'est trop difficile, ils ne sont pas assez actifs, ni surtout assez bràves

Néanmoins, regardez-les accabler de leur pitié ceux qui préféreraient essayer de. reagir., «.Mon cher monsieur, fontils, citerez-vous seulement, en ce déplorable pays, quelqu'un qui ait jamais tente quoi que ce fût ?. Ah s'il existait, celui-là, nous le suivrions avec ivresse. Hélas »

Eh bien, mais il existe, ce quelqu'un. Notre journal a proposé de créer une caisse d'amortissement qui redonne toute confiance à l'étranger, et relève forcément notre franc bien entendu, cette caisse doit être autonome, et échapper complètement à toute espèce d'ingérence parlementaire. Condition absolue; sine qua non Le Figaro recueille les adhésions, les souscriptions, payables en dix annuités. Et avec une admirable générosité, le directeur du Figaro s'est, le premier, inscrit pour Cent millions-

Voilà toujours une tentative. Elle n'en exclut point d'autreé mais enfin c'en est une et en dehors des néfastes députés

Avez-vous adhéré, madame qui gémissez, et monsieur qui pleurez ? Avezvous envoyé au Figaro votre engagement de souscrire, si les conditions extraparlementaires sont réalisées ? 2 Non ?.

En ce cas plus un mot, plus un soupir, ne vous plaignez de rien, livrez votre portefeuille et tendez l'autre joue 1 Ceux qui ne sont même pas capables de lever un doigt pour se défendre n'offrent nul intérêt.

.'̃•••̃ Marcel Boulenger.

L'âme de la foule est changée. La personne, la voix royale ont fait ce miracle. Et quand en terminant le souverain déclare qu'il ouvre officiellement le; «îCongjès des étudiants basques », c'est du délire.

ï.Quand AJohpnse 5CIII repartit à Saint-Sébastien, il pouvait être fier de sa journée. La manifestation avait perdu tout) caractère 'snïrVërsiir Le geste royal avait refait, cette fois encore, l'unité nationale.

La 20 CV Rochet-Schneider est au point. Elle est très rapide son démarrage est puissant. Sa tenue de route, son parfait freinage, sa consommation réduite et la haute qualité de sa fabrication, tout, en un mot, dans ce châssis, donne satisfaction aux plus difficiles.

Comme chaque année, Henri Vergue, le Maître-Fourreur de la rue Royale, a mis* son orgueil à réunir la plus belle collection de renards argentés, bleus et de couleur, aux prix les plus bas. Il présente aussi des martres et des zibelines dans la ligne nouvelle qui sera le grand chic de la saison d'été. VICTOR MARGUERITTE

£a 1{ose des Ruines

Un écrivain tel que Victor Margueritte est capable d'exprimer dans ses romans les nuances les plus subtiles et les sentiments les plus délicats. .•̃•̃• •̃̃- -•,̃̃.

ïl l'a prouvé plus d'une, fois, et notamment dans un magnifique roman, La, Rosé des, ruifies, qu'une récente réédition vient de remettre au premier rang de l'actualité littéraire. Tous les dons du grand romancier se retrouvent dans cette oeuvre d'une observation profonde, où la psychologie de chaque personnage est minutieusement observée et exprimée avec une rare précision.

C'est un très beau roman hautement humain. ̃̃'•.̃'

» » ̃•̃ ̃*̃

A l'Ermitage.

Tous les soirs, Jane Pierlg charme les habitués des dîners dansants de l'Erinitage. <

Elle passe avec une surprenante aisance de la chanson d'amour à la seule chanson. `

Son talent, sa voix chaude et prenante, sa parfaite diction font d elle une très grande artiste.

te Masque de Fer.

APRES LA CRISE

BRIAN&iST REPARTI POUR GENEVE

II avait achevé de constituer son ministère et présidé un premier Conseil de cabinet

*•

Le Gouvernement se présentera mardi devant les'Chambres

L'accueil préalable est réservé

lit

M. Aristide Briand est reparti hier soir pour Genève par le train de 8 h. 55. A 8 h. 30, le président du Conseil arrivait à la gare de Lyon, accompagné de MM. Ame-Leroy, Peycelon et Pams. Deux ministres étaient' déjà sur le quai MM. Pierre Laval et Daniel-Vincent, qui accompagnèrent M. Briand jusqu'à son wagon.' Le président y monta aussitôt et, se tenant dans te couloir, reçut les compliments des nombreuses personnalités veftties saluer le chef de la délégation française. Ce fut un véritable défilé dans l'étroit couloir. La foule amassée sur le quai nommait, à mesure de leur arrivée, MM. de Monzie, Raoul Péret, Jourdain, Daniélou, Laurent-Eynac, Lamoureux, Durafour, Malvy et le préfet de police, M. Morain, et le préfet de la Seine, M. Bouju. et le chef de la Sûreté, M. Chiappe.

M. de Chlapowski, ambassadeur de Pologne, arriva à son tour, et M. Briand s'entretint un instant avec lui, puis ce fut M. Dunant, ministre de Suisse. Après avoir échangé quelques paroles, à l'écart, avec M. Malvy, le président du Conseil vint s'accouder a la portière et, après avoir allumé une cigarette, se prêta avec bonne grâce aux exigences des photographes. MM. Peycelon, Pams et Ame-Leroy, qui accompagnent M. Briand, se tenaient à ses côtés. A 8 h. 55, un coup de sifflet, le chef de la délégation française à la Société des nations est en route pour Genève.

n 1

LE NOUVEAU MINISTERE

,N

La conférence qui, mardi, durait depuis 9 heures et demie du soir entre les futurs ministres, ne s'est terminée qu'à 2 heures du matin. M. Daladier était parti. M. Malvy était resté. Définitivement, M. Briand se rendait à 2 h; et quart à l'Elysée, accompagné de ses collaborateurs qu'il présenta au président de la République et doBt-yoïci. la- liste telle, qu'elle ,a paru hier matin, à Y Officiel ̃

jflMLKlMULIt MINISTRES IltlIllIJ^ 2 Présid. du Cons. MM. Z 5 et Aff.1 etrang. A. Briand, d. S » Justice PIERRE LAVAL, d. » Guerre ..7. P. PAINLEVÉ, d. ï » Marine ,j. G. LEYGUES, d. ̃ Intérieur .T. MALVY, d.

ï Finances RAOUL Péret, d. Z Colonies LÉON PERRIER, s. ï Instruction publ. Z et beaux-arts.. Lamoureux, d. ̃ Travaux publics. DE Monzie, s. Z Comm. et P.T.T. Daniel-Vincent, d. Z jj Travail et hygiène DURAFOUR, d. Z Agriculture JEAN DURAND, s. ï Pensions P. JOURDAIN, d. Z

Z SOUS-SECRÉTAIRES D'ÉTAT ̃ Présid. du Cons. DANIÉLOU, dv « Finances A. Fallières, d. Guerre Ossola, d. ̃ Régions libérées. PAUL Morel, d. ̃ Aéronautique L. EYNAC, d. ̃ Marine marchand. M. ROUSTAN, s. Enseign. techniq. Z et éduc. phgs. BENAZET, d. Haut commiss. à ï l'habitation LEVASSEUR, d.

1. -C,C: C,

^1 wmmMivmM iiiiiiijii wmm m m ̃ ̃»̃.̃ ̃ mmm ̃ ̃ ̃ ̃ ̃ ̃:̃ ̃ mw

En résulté, ^seize membres de l'ancien cabinet" ciricr nouveaux MM. Malvy, Raoul Péret, Lamoureux, André Faîtières, Mario Roustan. iYfâin la suite en deuxième page.)

S

CONTRE LES BARBARES

L'EUROPE EN PERIL

Par CHARLES RICHET

Il n'y a plus d'Europe, gémissait jadis un vieux diplomate que hantait le souvenir des sinistres et compliquées tractations de 1915. Eh bien non Quoique les diplomaties à perruque aient fait leur temps, il y a encore une Europe.

Hâtons-nous de dire qu'elle est en grave péril.

Mais d'abord que faut-il entendre par fe mot Europe ?

D'après les, livres primaires, il y a cinq continents, mais ces livres et ces atlas commettent géographiquement et surtout ethnographiquemenî.une erreur énorme en prenant l'Oural pour la limite orientale- de l'Europe. La Russie, par ses vastqs .plaines, neigeuses ou oueuses, par ses grands fleuves, et .surtout par ses moujiks incultes, appartient à l'Asie. L'Europe est toute autre Des côtes déchiquetées, des presqu'îles et des îles innombrables,des promontoires déchiquetés, des ports, des vallons fertiles. Quel contraste avec les autres continents

Mais c'est surtout par ses mœurs et par son histoire que l'Europe existe en tant que grande personne morale. La civilisation est née aux rivages de l'adorable Méditerranée, berceau du monde, en Egypte, en Crète et surtout en Grèce. La Grèce fut. par l'art, mère de la beauté, et, par la science, mère de la vérité. Puis le progrès humain se continua à Rome, patrie du droit.Longtemps après la période antique, la culture latinohellénique s'amplifia et se développa en Italie, en Espagne, en France, en

AU CONSEIL DE LA S. D. N.

Le problème

de l'élargissement, Ml

En attendant l'arrivée

du Président du Conseil français, les différentes' thèses s'affrontent sans se concilier

Genève, 10 mars (De notre envoyé spécial). Grave effervescence ciel chargé d'éclairs gros nuages prêts à crever sur la pacifique Genève. Nous avons tout cela dans l'espace restreint qui va du fond du Mont-Blanc, près duquel se trouve l'hôtel Métropole où sont les Allemands, et l'hôtel de Bergues où sont les Français, les Espagnols et les Italiens, jusqu'au sécréta-^ riat général de la S. D. N.

On n'entend parler que de sommations, et formuler des menaces plus ou moins précises. On prédit des catastrophes. Il semblerait que la décision que va prendre le Conseil, relative à cette discutable et surtout très discutée question des sièges, va ébranler l'Europe entière.

C'est au clocher de Saint-Pierre, à la vieille cathédrale genevoise, que sonnerait bientôt l'heure qui annoncerait la chute d'une demi-douzaine de ministres ou de ministères mis à mal. Tant de malheurs ne sont peut-être pas encore si rapprochés de nous.

Bien que certains journaux publient déjà les dispositions qui auraient été arrêtées à Genève par les membres du Conseil, ceux-ci, en tout cas, n'ont commencé que cet après-midi à discuter entre eux, et ils ne l'ont, pas fait officiellement. La réunion entre les associés du pacte rhénan a eu lieu à l'heure dite ce matin. Ceux-ci ont repris l'examen consciencieux de toutes lès difficultés on a mêm proposé, en termes assez vagues d'ailleurs, une solution, et ce sont les Allemands qui l'ont formulée. Bien qu'elle ne résolve rien, il est possible qu'elle entré pour une part dans la décision que prendra ultérieurement le Conseil de la S.D.N. Ce serait le renvoi du problème constitutionnel lui-même à un comité qui serait chargé de l'examiner dans son ensemble et non pas spécialement du point de vue de l'augmentation des sièges permanents. Les Allemands ont naturellement cherché eux aussi à donner l'impression que leurs instructions étaient rigides, fermes, absolues et qu'on ne pouvait pas y changer de place une virgule. On raconte à ce propos qu'ils se sont présentés à sir Eric Drummond, secrétaire général de la S. N., en faisant grand étalage du caractère intangible de ces instructions' Nous ne pouvons rien retrancher au mandat notre gouvernement. Sir Eric Drununond sourit

Mais le gouvernement de l'Allemagne, c'est vous, dit-il.

Très gravement, alors, M. Stresemann lui répliqua

Si nous cédions à la question des sièges et si l'Allemagne n'était pas reçue seule tout d'abord dans la S. D. N., notre président Hindenburg serait obligé de donner sa démission.

Pauvre S. D. N. 1 La voici obligée dé défendre « la ligne Hindenburg > D'autres conversations ont eu lieu cet après-midi. Cette fois-ci, ce sont les autres membres du Conseil qui, ainsi qu'il avait été convenu le matin avec les Allemands, ont été mis au courant de la situàtion telle qu'elle apparaît à ceux de leurs collègues des Etats du pacte rhénan. Puis il y a eu échangé de vues. Les thèses des divers Etats se. sont affrontés. Daillens.

(Voir la suite en ~e~terne page;),

Allemagne, en Angleterre, cependant que l'Afrique était abandonnée aux races noires, d'intelligence inférieure, et que l'Asie se stérilisait dans les nuages d'un mysticisme tantôt enfantin, tantôt sauvage.

La science, qui fait la grandeur de l'homme et qui seule peut lui apporter une parcelle de bonheUr.est restee complètement ignorée de l'Asie et de l'Afrique. Née* en Europe, elle est restée en Europe.

Assurément dans les diverses régions de l'Europe, l'état d'âme et lés mœurs ne sont pas identiques, mais c'est tout de même une civilisation commune. On se comprend tant bien que mal, on n'est plus dépaysé, ahurî; égaré, comme lorsqu'on se transporte à Téhéran, ù la Mecque, à Tokio, à Lahore. Français, Allemands, Italiens, Espagnols, nous sommes, en vérité de mêmes races et de mêmes cultures, tandis qu'un fossé profond sépare l'Asiatique de l'Eu-

ropéen.

Donc, nous Européens, malgré nos stupides antagonismes, malgré nos dissentiments et nos dissemblances, nous avons une commune patrie, la patrie européenne.

Alors je dis aux Européens, à tous les Européens « Le moment est venu de défendre notre belle patrie car elle est grandement menacée. »

Ne parlons pas de l'Afrique, elle ne compte pas, car la population noire, clairsemée, est, à tous égards, d'une indigence irrémédiable. Et quant à l'A.mérique, prolongement de l'Europe, elle comprendra que notre cause est la sienne. Elle ne voudra pas s'isoler dans


sa fastueuse richesse. N'a-t-elle pas, d'ailleurs, dans sa probité idéaliste, refusé de reconnaître le gouvernement des Soviets ?

̃ De fait, le péril terrible, angoissant, qui depuis la révolution russe a pris des proportions formidables, c'est le conflit entre l'Asie et l'Europe. Vieille histoire,' n'est-ce pas Puisqu'aux temps anciens il fallut pour sauver l'Europe M?Jtia.de, Thémistocle, Léonidas, et plus tard Aétius aux Champs Catalauniques, plus tard encore Charles Marie! à Poitiers. Alors, pendant de longs siècles, le péril asiatique fut conjuré. Les forces de l'Europe augmentèrent, si bien que, malgré son immensité» l'immense Asie devint impuissante. <*̃'̃' ̃.>̃̃<•̃̃' v.

Mais voici gu'ajprès fa grande guçj-ire de 1914, les populations orientales, ont trouvé, à leur haine pour l'Occidciit, un renfort inattendu. Les Soviets, plus asiatiques qu'européens, ont formé Je dessein avoué d'ameuter contre l'Euj'ope toutes les forces brutales du monde barbare. Ils ne cachent pa^ leur programme, ils envoient des émissaires et des subsides à tous les ennemis de notre civilisation occidentale ils encouragent Abd el Krim,foxnentent des troubles dans l'Inde, provoquent les Egyptiens et les Syriens à la révolte, nourrissent l'anarchie et la guerre civile en Chine, concluent des traités léonins avec les populations du Plateau Central. Bref, ils cherchent à s'unir à tout l'Islam et à tout le bouddhisme, car ils ont compris que leur propagande en Europe ne pouvait boucher que les éléments inférieurs de nos pays civilisés. Alors ils se tournent vers l'Orient. Leurs chefs s'entourent de mercenaires asiatiques. Leurs apôtres cherchent à endoctriner des populations inintelligentes et frustes. D'ailleurs leurs paroles communistes sont à la fois simples et habiles. Ils disent « Soyez au-, tonoines »i alors que les 'soi-disanif autonomies de ces peuples n'ont jamais été que des tyrannies [Sanglantes enixe-; mêlées de ïconvulsions anarchiques. Ils font aussi entrevoir le pillage. « Vous êtes les plus nombreux, disent-ils.L'Europe est pourrie et divisée. Secouez le joug de 1 Occident. » Alors, du Maroc à la Syrie, de l'Egypte à l'Inde, du Thibet à la Chine, ils prêchent des guerres saintes.

Bien aveugles ceux qui ne voient pas la marée montante du monde oriental. Ce n'est pas Mahomet qu'il suivra, c'est Lénine. La propagande soviétique entraînera contre l'Europe des populations fanatisées, et ce sera peut-être plus rapide que n'a été la propagande islamique au huitième siècle.

Concluons.

Puisque l'Europe est en péril, il faut nous unir contre les barbares, au lieu de nous entre-dévorer pour des causes misérables.

Les guerres entre Européens sont de vraies guerres civiles. Charles Richet.

Le Concours hippique s'ouvrira au Graffd Palais le 2ftinam

a { .tn- R

'r' Cette ànnéé,: le Concours hippique de Paris, organise par là Société hippique française, reprend son emplacement traditionné au Grand Palais et sa date habituelle du 20 mars au 12 avril, redevenant -ainsi la belle manifestation sportive <nù ouvre la saison parisienne.

Son éclat sera exceptionnel le Cadre inoir de Saumur y reparaîtra en un carrousel de haut style. v~ Nous y reverrons, chaque matin,, 'des présentations de chevaux de selle et d'attelage de l'élevage français, des examens d'équitation, des épreuves d'extérieur, et, l'après-midi, des épreuves d'obstacles pour chevaux français et pour chevaux de tous pays, réservées aux amazones, gentlemen et officiers.

Des matches de polo particulièrement intéressants seront disputés les lundi 5, jeudi 8, samedi 10 et dimanche 11 avril. C'est le samedi 27 mars qu'aura lieu le carrousel militaire, auquel prendront part, avec l'Ecole de cavalerie de Saumur, l'Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr et l'artillerie de la première division de cavalerie.

Ce carrousel sera donné au bénéfice de la Société de secours aux blessés militaires qui, pendant la guerre et au Maroc, a rendu de si grands services. On est assuré que le programme de cette grande journée, dont on achève -présentement la mise au point et qui sera des plus bril* lanis*AttH-ei»!4#4oule «t permettra une très imporwmél recette au* profit im cette oeuvre si intéressante.

Quant à l'ensemble des opérations du Concours, qui ont été réglées avec plus dé soin que jamais, on les dote, cette année, de près d'un demi-million de prix, dont 60.000 francs offerts par le gouvernement, 19.000 francs par la Société d'encouragement pour l'amélioration des races de chevaux en France, 20.000 francs par la Société des Steeple-Chases de France, et 33.000 francs par la Société sportive d'encouragement.

° Ch. D.

Au Congrès de la Fédération républicaine de France

JI'

La. première séance du congrès de la -"Fédération Républicaine s'est ouverte hier matin, à 9 heures, sous la présidence de M. Louis Marin, assisté de MM. Brindeau, Jlerlant et Jean Guiter.

M. Edouard de Warren, député de Meurthe-et-Moselle, a pris le premier la parole et a développé 1» programmé d'ensemble d'une politique coloniale libérale et productive.

M. Brindeau, sénateur, président la commission de la marine marchande, par* la de la réforme des itinéraires commet '-ciaux, M; Henri Fabre, de l'aviation maritiiae y M. Brevet, de l'industrie 'cotonnier ̃ re MM. Francillon, Bagnoli, Damez; Pëissel, le colonel du Martray, Michelangeli, Perret, Coignet, Rollet, Maine prirent également la parole.

L'après-midi, M. Louis Marin présidait à nouveau autour de lui avaient pris place MM, Hervé, vice-président du Sénat, le général Hirschaucr, de Lasteyrie. M. Guy de Montjou entretint les con-* gressistes du programme de la Fédération en ce qui concerne la défense nationale, l'année de, terre, l'armée de mer, l'aéronautique. 1

Le général Hirschauer appuya l'arguiuentation du député de la Mayenne. M. de Lasteyrie développa ensuite les doctrines financières du parti et s'attacha à démontrer que le redressement financier du pays est fonction de son redressement politique.

Ce matin, banquet de clôture du con-

'grès,

GAZETTE DES TRIBUNAUX

Un procureur général 1 devant la Cour d'appel de Paris

[SUITE DE LA PBEMIÈRE PAGE]

Et M. le procureur général prit desje;çons de conduite. Il se mit au volant à côté d'un moniteur qui lui dit pendant plusieurs jours « Lâchez l'accélérateur 1 L'accélérateur est au milieu à droite, c'est le frein Levez le pied droit Apptfyez sur le frein Débrayez; mettez;aU polMt rnoW^'An-éte^J! s Mettez *b "freiné à main » Et lorsqu'il sut cônvena'blement débrayer, 'changer ses vitesses, embrayer, corner, ralentir, freiner, arrêter,' M. le procureur général obtint son permis de conduire au mois d'août 1924. Ce fut un jour glorieux au parquet de la cour de Caen. M. Perrussel acheta une 10 HP Citroën et parcourut les jolies routes de la belle Normandie en compagnie de Mme Perrussel et de M. Perrussel fils, qui est avocat stagiaire à la cour de Caen. On fit de belles promenades, et tout était le mieux du mon- de. Jamais d'accident, jamais même une aile abîmée ou froissée dans un encombrement de voitures. M. le procureur général était prudent et voulait le rester. Mais, le 9 novembre dernier, en allant de Caen à Villedieu-les-Poêles, en Normandie, ville dont il est maire, M. Perrussel tua un homme. Ce fut, comme il disait lui-même, la fatalité.

Tuer un homme est une chose tragique. Eh bien cela peut arriver au meilleur et au plus prudent des conducteurs. Cela aussi est effrdyable. Une instruction fut ouverte non pas à Caen M. Perrussel y est procureur gé- néral, mais à Paris, et il fut renvoyé en police correctionnelle pour homicide par imprudence. Etant magistrat, il est jugé, non par le tribunal de première instance, mais par la première chambre de la cour d'appel. Un honneur, évidemment, mais qui a .pour. résultat ?M supprimer deux aegtésrde llirmiction. t[n honneur que confère la loi et qui, en, pratiqué, constitue un, désavantage., ̃' J Et yoïti 'donc le haut itia^ifetrat devant la première chambre, aux" cotés de son avocat, M. le bâtonnier Raoul Rousset. Il doit être superbe sous la robe rouge, et le collet d'hermine, M. le procureur général. En veston, avec ses cheveux gris, son visage mâle, sa longue et rude moustache, il donne l'impression d'un officier supérieur de cavalerie, à la fois énergique et sympathique. La voix tremblera cependant tout à l'heure, et pendant que Rousset plaidera, il mordra son mouchoir, avec ses dents serrées, étouffant des sanglots; la mâchoire agitée d'un tremblement nerveux. Rien ne sera plus angoissant, plus déchirant.

Il lui faut se lever, donner son nom, son âge, sa profession, dans une enceinte de justice où c'est lui, d'ordinaire, qui interroge, et conter son accident, son infortune ce que la justice appelle sa faute, et qui peut le faire condamner. « Je suis victime de la fatalité. Les circonstances de l'accident ont produit sur moi des impressions si douloureuses que je ne les oublierai jamais. Je lutte pour la vérité. La vérité est une, aussi je n'ai jamais varié dans ce que j'ai dit. Le 9 novembre, je quittai Caen pour aller à Villedieu avec ma femme et mon fils. J'avais, au garage, demandé ma voiture pour 7 heures. Elle n'est arrivée qu'à'iteuf. La

fatalité Parti; plils1 tôt, 'îô'(n'àiiras .'pas!

.renEoïHrèua'a victime, Firiforttfnfr KâïiHtifc.t Ji avait tplu.îà torrents et la V«fttéloâfciit glisjsjmte; Moh fils, qui 23!)àhs,!lé.<|àtt à côte de moi, Vers onze heures, avant d'arriver à Villedieu, après avoir pris, tout doucement un tournant, j'arrivai sur la grande route j'avais lâché l'accélérateur, connaissant la route qui descend un peu. J'aperçois deux hommes, marchant sur la route dans le même sens que moi, me tournant le dos. Je ralentis, je corne. Je donne un coup de volant à gauche, mais à gauche, en sens inverse, venait un lourd camion qui occupait le milieu de la rouet ne se range pas. Les camions ne se rangent jamais. Un des deux hommes gagne le trottoir, le second reste sur la chaussée sans se déranger, malgré mes appels. Impossible, à cause du camion, d aller plus sur ma gauche. Je frémis, je bloque, je freine, à dix mètres des deux hommes. J'étais crispé sur mon volant, voyant, l'accident inévitable. Mon fils bloque le frein à main mais la route est grasse et la voiture glisse. C'était fatal. L'homme est heurté. Il est tombé doucement en arrière et je l'ai vu disparaître peu à peu sous le capot. Cela, je ne l'oublierai jamais. »

Et le procureur général a des larines dans la voix.. H s'arrête un instant et continue cependant

« Ce fut une impression atroce. J'ai

NOUVELLES DIVERSES

La bagarre des Sociétés Savantes M. Barthélémy, juge d'instruction, a inculpé de coups et blessures, port d'arme et complicité les jeunes Jean Tixier, dixhuit ans, étudiant en droit, 77, rue Madame Jean Gonnet, vingt et un ans, dac- tylographe, 71, rue du Cherche-Midi, et Marcel Daude, vendeur, 5'4, rue Galande, arrêtés à la suite de la bagarre des Sociétés Savantes.

Ils ont été écroués à la Petite Roquette et à la Santé. M. Gonnet, blessé à l'oeil droit, sera examiné par le-docteur Paul,

lOf

Un vol suspect

Nous avons signalé la disparition de M. Charles Fontane, employé aux Etablissements Rools, qui portait sur lui 33.896 francs.

M. Fontane s'est présenté hier chez le commissaire de Choisy-le-Roi, auquel il»a a expliqué qu'on lui avait volé 25.000 francs et qu'il avait envoyé par la poste 10.000 francs à ses patrons. •

II possédait encore 1.000 francs, qu'il se disposait restituer également. IJ. est au Dépôt. e.lT~al~i:

Un chantage qui réussit ^às, Edmond Dreyfus, 46 ans, ancien industriel, demeurant 20 rue Secrétan, afin de se procurer 25.000 francs pour acheter un petit fonds de commerce, se rendait dernièrement, chez M. Desbrosses, négociant, avenue de Suffren, avec lequel il avait été autrefois en relations d'affaires. Et, tout de go, lui déclarait « Si vous ne me donnez pas l'argent, je dis tout »

Nullement intimidé, M. Desbrosses feignait d'accepter, fixait rendez-vous à son interlocuteur dans un café voisin de la gare du Nord, et prévenait M. Bénezech, commissaire de policé du quartier SaintVincent-de-Paul qui lui conseillait de marquer les billets de banque et d'aller au rendez-vous.

Dreyfus, enchanté de voir que son « truc avait réussi, encaissait les 25.000 francs, et se disposait à quitter le café lorsqu'il était appréhendé par deux consommateurs qui n'étaient autres que M. Bénezech, commissaire de police, et un inspecteur. Trouvé «orteur d'un revolver.

iiiiini

senti ma roue droite se lever et, passer sur le malheureux. Que pouvais-je faire pour éviter le choc ? La voiture glissait. J'avais mon pied sur le frein.. Je m'étais même }e,yé; pour freiner plus fort.ite terrain était glissant comme de l'huile. L'indicateur, de vir;tesse, arrêté, brisé après le choc, marquait, une vitesse de neuf kilomètres, £ l'heure. » Puis c'est le récit,. lamentable .de*, ce qui survient apçès, Utt- accident;: le blessé, rgr, levé, posé sur le trç>ttp,tr, ,M;me P^errussel, 4e soignant, le.médecin appelé, les gendaçmes convoquési'-ét bientôt le' irrancard' Qui trans- porte un mort vers la ville voisine. « Non Non Ce n'est pas votre faute disaient alors les témoins. » Puis, quand on sut que l'auteur de l'accident était le procureur général, les langues restèrent muettes.

Et alors, pour tous ceux qui font de l'automobile, une question se pose. L'accident était-il évitable ? Certes; il y avait une imprudence de la part de ces deux promeneurs à suivre la grande route, tournant le dos aux voitures marchant dans le même sens qu'eux. M. Perrussel n'a-t-il pas freiné à temps ? A-t-il un peu perdu la tête ? Aurait-il, en accélérant au lieu de freiner, pu devancer le camion et passer avant lui ? Cela, c'est l'impondérable que nous ne connaîtrons jamais. En tout cas, on compte à peu près vingt-cinq mètres entre le choc et l'endroit où la voiture s'est arrêtée. La faute ? Ce ne sont pas les témoins qui l'indiqueront. Ils savent bien peu de choses. Le compagnon de la victime, lui, a quitté la chaussée pour remonter sur le trottoir lorsque survint la voiture. Pourquoi Rauline n'a-t-il pas fait de même ?. Le chauffeur du camion, lui, n'a rien vu. Le' brigadier de gendarmerie n'est venu qu'après, lorsqu'on l'a appelé. Il ne peut dire qu'une chose, c'est que la route était en desc&jte à 3 ou 4>W et a«aife,mie largeur, .(le, JÙ3fun},ètres, bordée de larges trottoirs; de deux iuè-. tres cinquante. ̃••<̃̃ v.ïi, M. l'a'vbcat,géIriéralRegnaiult 'requiert. La voix se fdit toute douce pour requérir daitS une affaire si pénible. La victime laisse^he veuve et cinq enfants. L*. vocat général'ti'prrive pas à caractériser la faute qu aurait commise le procureur général, mais il croit « que devant la 9° Chambre qui juge ces sortes d'affaires un acquittement ne serait pas possible ». Les piétons étaient sur la chaussée, mais il parait que c'est leur droit, bien que ce soit une imprudence de leur part. Ge-que M. Règnault reproche à M. Perrussel, c'est son âge « On ne fait pas de l'auto à soixante-six ans. »

M. le bâtonnier Raoul Rousset demande énergiquement l'acquittement, puisqu'il faut, en matière d'homicide par imprudence, dire quelle faute, quelle imprudence, quelle fausse manœuvre on a Commises dans la conduite de l'auto. Et, ici, il n'en voit pas. L'allure est modérée, le procureur général a ralenti, corné, freiné, puis glissé. « Il a fait, humainement, tout le possible pour éviter l'accident. Personne n'aurait pu faire autre chose. »

Et pendant que l'éminent bâtonnier plaide, ceux qui sont tout près de M. Perrussel voient sa mâchoire se contracter, ses grosses moustaches blanches trembler. M. le procureur, général pleuré silencieusement. ,,1

L'arrêt sera rendu à huitaine. -̃ J

-•"̃^••«•-Gearges-Claretie.

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¥lk)tMki<M< pmy; itnphkêènbe!

GANNAT, 10 mars. M. des Lignery, propriétaire à Morcenat, chassait dans un champ, eir compagnie de son régisseur, M. de Pradel, lorsque son' fusil partit inopinément. La charge atteignit M. de Pradel à la jambe gauche. Le malheureux fut transporté dans une clinique, où il succomba peu après.

-Poursuivi pour homicide par imprudence, devant le; tribunal correctionnel, M. des Lignery a été condamné à;500 fr.' d'amende et à 30.000 francs de dommagésJntérêts au profit de la famille de son régisseur.

W, » «_

Pour empêcher les acrobaties aériennes

Demande de sanction contre un aviateur Orly, 10 mars. Le service dê la navigation aérienne vient de demander au ministre de la guerre de bien-vouloir provoncer la radiation définitive d'un pilote qui, au cours d'un vol effectué sur avionnette, est passé à plusieurs reprises sous les hangars à dirigeables d'Orly. Cette sanction a pour but d'éviter le retour d'acrobaties périlleuses comme celle qui coûta dernièrement 1 vie àujilote Collot, qui pass sous la Tj'pur .Eiffel.

le maître chanteur était envoyié au Dépôt et l'argent restitué à son propriétaire. Suicides. Dans une crise de neurasthénie, M. Wôoldsey Rogers, citoyen américain, âgé de 47 ans, se suicide dans un hôtel de la rue du Helder, en s'ouvrant les veines du poignet gauche. Mme Madeleine Boujat, 39 ans, 25, rue des Messageries, se suicide en absorbant une dose importante de somnifère. Deux accidents mortels. Avenue des Champs-Elysées, une auto renv-se le cycliste Robert Morand, 20 ans, 14, rue Vaneau, qui

succombe. Dans un immeuble en démolition,

16, rue Blomet, un plancher du deuxième étage s'effondre. Le maçon Victor Sampierre, 24 ans, rue Gambetta, à Argenteuil, est tué. Où l'on retrouve Stanley Mitchell. -–Rue Bassano, à la sortie d'un bar, on arrête pour infraction un arrêté d'expulsion le jockey américain Stanley Mitehell, dont on se rappelle le rôle lors du procès du conéierge Tissier. Argus.

L'EXPLOSION DE BECKLEY Onze mineurs sont morts

Huit restent ensevelis

BLCinriELDs '(Virginie OccklenlaU1), mars. DiX' des- mineurs ensevelis, à la; suite de l'explosion, près de Beckley, ont été sauvés hier. Huit encore restent cernés. Onze sont morts. ̃

i.i.- >-> 1

A propos de l'incident Sadoul

-j– .il. i.

M. Jean Goldsky nous prie de dire qu'il n'assistait pas, avant-hier soir, à la réunion des 'Sociétés Savantes au cours de. laquelle M. Sadoul fut molesté.

M. Goldsky ajoute que s'il a à parler, ce ne sera pas sous les auspices du parti communiste mais du Club Camille-Desmoulins.

De son côté, la Confédération des travailleurs intellectuels (C. T. I) tient à déclarer de la façon la plus formelle qu'elle n'est pour rien dans la réunion dite des « Travailleurs intellectuels », réunion qui a eu lieu mardi à la salle des Sociétés Savantes et qui a donné lieu aux incidents aue l'on sait.

SUR LE FRONT DU MAROC Les M'tiouas ont réoccupé leurs villages

Rabat, 10. mars. –+• Le calme règne sur l'ensemble' du front. Notre poste de Dehar el Ar, au nord d'Ouezzan, a reçu quelques coups de feu de la part de rôdeurs. Les garnisons de Teroual et de Tabada ont fait leur liaison dans la'Vallée de l'Aoudour. Abd el Krim aurait prescrit à ses lieutenants de s'abstenir de toute attaque au nord-ouest, mais de renforcer les gardes dès postes le long de notre front et de niôiitcr une garde vigilante. Les M'tiouas ont .réo,cçi?pé leurs villages. Sûr le front de Taza et d'Ouezzan, des troupes régulières 'circulent de poSte eiï; poste et iieçoiypnt dan.s.les tribus ralliées le meilleur accueil.

Après le dégagement de Tétouan Tanger, 10 mars. -r- Les pertes espagnoles, dans l'affaire d'Ain-Zeitoun, pour [dégager Tétouan^ ont été de 400 hommes. Les Espagnols avaient engage 25,000 fantassins, 16' batteries d'artillerie et 40 avions.

La résistance des Rifains faiblit après la perte de leur position de Dar-Riad, et l'on avait l'impression qu'ils manquaient de munitions.

L'assaut final d'Ain-Zeitoun rencontra peu de résistance, les Rifains ayant .évacué leurs positions à.' l'avance. Les Rifains auraient eu des pertes élevées et auraient laissé un grand nqmbre de prisonniers aux mains des Espagnols.

L'état-inçjjor général espagnol a décidé, pour le moment, de ne pas engager d'action nouvelle, mais d'exploiter les effets produits sûr les tribus par la récente vicloire, eh les détachant d'Abd el Krim. Prochain voyage

T;^ y de M. Steeg à Paris RABAT, 10 mars. M. Steeg quittéra Rabat dans les premiers jours de la semaine prochaine, se rendant à Tunis, où il assistera Ja ieopfér.<î.n.çe, inord-africaine. Il se; rendra ensuite directement à Paris, où il est appelé par le gouvernement. ,-< ̃. i

-i-<

IÎS PROBLEMES AGRICOLES

̃ ».

La création de l'Institut national agronomique, cil introduisant les méthodes scientifiques dans la pratique agricole, a détermine une nouvelle évolution de l'àgricultuïe française, évolution qui s'accélère au fur et à mesure qu'augmente hnombre des ingénieurs agronomes. L'Association des anciens élèves, dite aussi Association des ingénieurs agronomes, a maintenant cinquante années d'existence. Elle compte deux mille membres parmi lesquels se rencontrent des agriculteurs, des chefs d'industries agricoles, des ingénieurs du génie rural, les officiers forestiers, les officiers des haras, les directeurs et les cadres des services du ministère de l'agriculture, de l'Institut des recherches agronomiques, de l'enseignement agricole.

Le prestige de l'Institut agronomique grandit de jour en jour et nombre d'ingé meurs agronomes sont devenus des personnalités .notoires. Ils apportent dans leurs travaux les qualités classiques ordre, clarté, logique que leur confère leur éducation génerale.

Le président actuel de l'Association des ingénieurs agrotiomesi Mi Saillard, a pensé qu'il Sëfàit» Utile" réunir Poplhiofi" Âlùs autorisés d'entre eux sur les problèmes impcittânts 'qui fntéres's'ènt1, à l'heure actuelle, l'agriculture. Sous le titre les Problèmes agricoles traités par les ingénieurs agronomes, il a fait publier une quinzaine de mémoires sur l'économie rurale, l'agriculture, le génie rural, les industries agricoles.

Nous ne pouvons analyser tous ces mémoires. Mais on nous permettra d'insister sur ceux envoyés par deux éminents collaborateurs de ce journal. Le premier l'Elite et l'Actualité agricole, est de M. de Monicault, député de l'Ain, qui, ces jours derniers, dans la lamentable discussion de l'impôt sur les bénéfices agricoles à la Chambre, a fait entendre la voix de la raison et projeté la lumière sur le projet obscur et insensé élaboré par la, commission des finances, alors que les Ingénieurs agronomes Avaient pris soin d'envoyer à cette commission un projet qui n'a même pas été examiné.

Le deuxième mémoire, de M. Pierre Ca2fiot, a pour titre le Meilleur banquier pour un agriculteur, c'est son exploitation. Le savant expert, auteur de tant d'études remarquables sur l'économie rurale, veut faire pénétrer dans les campagnes cette idée que les économies des agriculteurs ne Sauraient trouver de meilleur emploi qu'à .Contribuer à améliorer leurs exploitations et leur genre de vie. « La vie n'a pas simjplement pour but d'entasser des écus, fussent-ils en papiers En élevant sur place même son niveau matériel, le' cultivateur 'ëlpve son îïfyeau intellectuel et' moral. » (V On appréciera certainement l'effort qui vient d'être fait par les ingénieurs agronomes pour améliorer la condition du cultivateur et accroître la richesse agricole "sur laquelle est fondée la prospérité française. Ils se promettent de le poursuivre, le fascicule qui vient de paraître étant le premier de la série des Problèmes agri-

coles Cl). ̃̃̃̃. g,. N,:

.v-' ̃ ..v H.N.-

,i. Le bal masqué de l'Opéra C*est aujourd'hui i 22 h. 30 que les portes de l'Opéra s'ouvriront.

Ce grand gala de la Mi-Carême s'affirme comme devant être un des plus gros succès de la saison.

Nous avons fait connaître le programme de ce spectacle aussi original que gai. Nous signalons qu'un service spécial jd'autqbus fonctionnera régulièrement à partir de 2 heures sur Auteuil-Grenelle, les Gobelins, la Nation, les Batignolles et Montinartre, et que le stationnement des voitures automobiles sera réglé par M. Guichard, directeur de la police municipale. Retenir les dernières loges et les places da n les agences, les grands hptels, ct au secrétariat de l'Œuvre, 1, rue tierre-Curïe, et au Figaro, 14a Rond-Point des Champs-Elysées^

X L'HOÎËL DE VILLE

Pour épargner attx Parisiens les tarifs des taxis de nuit

M. Emile Massart, président de la commission des domaines, vient d'écrire au préfet de police pour lui demander de réunir les directeurs de théâtres et de se concerter avec eux sur les mesures à prendre pour que les spectacles se terminent à 11 heures du soir au plus tard, c'est-àdire avant le commencement des tarifs de nuit des taxis.

Il estime qu'en commençant plus tôt et en réduisant la longueur des entr'actes, on pourrait facilement *agner trois quarts d'heure.

(1) On trouvé les Problèmes agricoles traités par des ingénieurs agronomes à la Maison des îneûnieurs acrononies. 5. auai Voltaire. Paris.

LE MONDE ET LA VILLE

DANS LES AMBASSADES

#Mme Stéphen Osusky, obligée de s'ab- senter de Pari ̃ ne recevra pas aujourd'hui ir mars.

..# S..ÉXC. M. de CastiUon Saint-Victor, qui. vient d'être nommé ministre de France à Riga, a quitté la régence de Tunis et s'est embarqué sur le Duc-d'Aumale pour rejoindre son nouveau poste par Marseille. 'i S. Exe. le baron Beyens, ancien ambas- sadeur de Belgique près le Vatican, a été reçu, mardi, en audience. par 5. M.:le roides Belges. DeViëniïe ̃' .1' ''̃ S. Exc.'le ministre de France' 'i visite, aya'n.'thier, la Foire'âé. Vienne, à' laquelle là'F,rançe a, cette année-, participé d'une /façon plus im-* portante que les années précédentes. S. Exe. M. Alfonso Reyes, ministre; du Mexique, est parti pour Lyon, où il fera une conférence sur le commerce de son pays à travers l'histoire, à l'occasion de la participation officielle du Mexique à la Foire de Lyon. S. Exe. le ministre du Brésil à La Haye et Mme Luis Gûimaraes ont. donné samedi, à La Haye, une brillante réception à laquelle assistaient

La baronne Van Ittersum, dame d'honneur de S. M. la JReine. mère la baronne Van -Heeckeren Van Kell, dame d'honneur de ,S< M. la Reine; le chambellan de-la Cour et Mme A.,G. Sickingée, le vice-président,du Conseil d'Etat et Mme Van Leeuwen, l'ancien ministr.e de ,1a justice et Mme Heemskerk, le docteur! Max Huber, président de la Cour permanente de justice internationale S. Exc. le ministre de la République Argentine et Mme Guesalaga, S. A. le ministre de Belgique et la princesse de Ligne, S. Exc. le ministre de France et Mme de Marcilly, S. Exc. M. Wang, ministre de Chine lady Marling, le docteur Altamira, juge à la Cour. permanente de justice internationale S. Exe, M. de Pury, ministre de Suisse S. Exe. le ministre d'Italie et la marquise Molinari S. Exe. M. Tobin, ministre des Etats-Unis d'Amérique S. Exe. lç.mjnistre du. Mexique et Mme Rubalcava, le juge la Cour permanente de justice internationale et (]yime,j;NetoiIqs80^Çj;.Exe.. ,M. Kozminski, ministre' de, Pologne* ,1e 'baron et! bar'o.nnc Van' Gapellen,JS.'Exc. le 'ministre de Roumanie'et Mme Cktpi Je jonkheerH. Loudoii, S. Exe. le ministre d'Autriche eUiMxrie iDuffek," S. Exe. Mgr Schioppa, intei:n,one,e, apostolique, etc., etc. ̃ S. Exe. l'ambassadeur de Belgique à Paris a remis, hier, la cravate de commandeur de l'Ordre de Léopold à M. Harismendy,. directeur dés affaires administratives et techniques au ministère des affaires étrangères.

BIENFAISANCE « Sous la présidence de Mme Il duchesse d'Uzès douairière, le comité de « la Pouponnière » donnera vendredi 12 et samedi 1 5 mars, de cinq à sept heures, dans les salons du ministère de l'intérieur, place Beauvau, un thé-concert, dont la partie lyrique et chorégraphique, dirigée par MM.' Henri Biissér et Chatles Levadé, sera exécutée par MUe Zambelli, M. Aveline et divers artistes de l'Opéra-Cpmique. Cotisation quinze francs.

La vente de charité annuelle de l'Association des Dames françaises (Croix-Rouge française), siège social, 16, boulevard' Raspail (VII*), aura lieu dans les salons de l'hôtel Salomon de Rothschild, 11, .rue Berryerj les vendredi is, samedi 13 et dimanche 14 mars,. de deux heures à six heures. ̃̃̃

Ori' trouvera 'au -comptoir exotique, 'placé

,1&.t. jtmju. .liE ~,U'~â.lllAu~T,f..iad~~IC.,·dln.è4S;nj

~.7f ~n't'.j.H. -~tf~~p~T~ Tin ~rn.T'f;'

g~a~a~~hq1~J'd\Ó~j~t~ 'dOq¡i~à¡s,J ~e~~rs;é:

grand choix d objets de de friandises venu^ spé-

cialement d'Algérie, de Tunisie, du Maroc, du

Sénégal, du Mexique, etc.

La Croix-Rouge française serait reconnaissante à tous ceux qui voudraient' bien faire une visite-à cette réunion charitable ou envoyer leur offrande à la comtesse.. de Galard, présidente de ,1'CEuvre, 16, boulevaid' Raspail. # C'est en provoquant le fou rire, en offrant aux Parisiens les plus sensationnelles attractions de cirque, que jeudi, soir de la Mi-Carême, au Cirque de Paris, les Informateurs Parisiens espèrent amener un peu d'argent dans leur caisse de secours. Pour la somme de vingt francs, on s'amusera énormément, on verra un spectacle remarquable et quantité de: travestis, on dansera toute la nuit au' son de nombreux orchestres, et enfin l'on assistera au couronnement de la Reine des Reines du Cirque. Sans supplément de prix, on peut retenir des places .assises au Cirque de Paris, avenue de la Motte-Picquet. La tenue de ville cu le travesti sont facultatifs.

CERCLES

# M. Pilade Bertieri, présenté par MM. William AblettV# Fritscli-Estrangjn, a été reçu, hier, membre temporaire du Cercle >)de l'Union Artistique. !?>-̃̃ ̃

^··°r~·

MARIAGES nl ̃"̃̃̃̃'̃ '?" Avârii-hjer a été célébré,. en l'église. SaintHonoré d'Eylau, le mariage de M. Jacques Piette, fils de. M. Piettê,. ministre de la principauté- de Monaco, commandeur de la Légion d'honneur, décoré de la Croix de guerre, et de madame née Trencart, décédée, avec Mlle Suzanne Parigot/fille de M: Louis Parigot, substitut du procureur de la République près le tribunal de la Seine, et de madame née Bezançon. La bénédiction nuptiale était donnée par Mgr Batiffol, chanoine titulaire de NotreDame de Paris, en présence de Mgr Ginisty, évêque de Verdun, et de Mgr Clément, évêque de Monaco, qui a transmis aux jeunes époiix la bénédiction que le Souverain Pontife daignait leur adresser.

Les témoins du marié étaient Mme Olivier Sainsère et Mme Nicolas Meyer ceux de la mariée, le professeur Fernand Bezançon, membre de l'Académie de médecine* commandeur de la Légion d'honneur, son oncle, et M Léon Moreau.

S. A. S. le prince de Monaco était représenté par le comte Bjlny d'Avricourt, son ministre à Paris.

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̃# On;annQnce,. de Lyon;. la. mort de M. Antonin Gourjti, sénateur du >iRhône,' décédé) à l'âge de soixahté-dix-neuf ans. '••̃

M. Gourju. a.vait appartenu uns première fois au Sénat, de 1900 à iooç. Il avait été réélu le n janvier 19^0, et siégeait dans le groupe de l'Union républicaine.

Partisan des revendications féministes, M. Gourju avait fait partie de plusieurs commissions.

# Une messe de bout de l'an pour le repos de l'âme de Mme Edouard Darlu, née Stévenin, a été célébrée hier, dans l'intimité, en la chapelle de la Sainte-Vierge de l'église SaintAugustin.

La famille était représentée par M. Maurice Darlu, son fils la baronne Stévenin, sa bèllesceur la baronne René Stévenin, Mme Denormandie, ses nièces M. Paul Denormandie, M Jean Denormandie, M. Roger Denormandie, Mi et Mme François de Sinçiy, ses petitsneveux M. Géraud de Miramon, le comte et

la comtesse de La Rochefoucauld, ses arrière» petits-neveux. > Les obsèques. de M..Desachê ont eu lieu, à Tours, au milieu d'une assistance considé.rable. Après la cérémonie à l'église, l'inhu- mation eut Heu au cimetière de la ftxlle, où furent prononcés les discours qui ntfmçaient la longue et bienfaisante carrière du défunt. Le deuil était conduit par son fils, M. Gaétan Desaché, entouré lui-même de ses fils, MM. Jean et Paul Desaché, M. Marc Desaché, agent de change près la Bourse de Paris, et lé.colonel Magdelain, son gendre.

j '«S Nous; apprêtions là; morF'ïIu général de

brigade' -Félix ̃ Mêûhef; '< gouverneur >• militaire de;

Dunkerque; commandeur de la 'Légion d'honnttt^'décédé au Val-de-GTâce:i' <^ ̃' On annonce la mort de M. Fubini, dér cédé à Turin, après une courte maladie. On annonce la mort de Mme Edmond Marey, décédée à Verneuil-sur-Avre. Nous apprenons la mort de la vicomtesse douairière de Madec, née Villelume Sombreuii. Elle était la mère et belle-mère du vicomta «t de la vicomtesse de Madec et de M. et Mme H. Fischer la grand'mère du comte de Villelume Sombreuii et de Mme Gatins, née Villelume Sombreuil. Les obsèques auront lieu vendredi :i2 courant, à midi, en l'église Saint-FrançoisXavier, où l'on se réunira. Ni fleurs ni couron- nes. Le présent avis tiendra lieu d'invitation. L'inhumation se, fera ultérieurement au cimetière de Picpus.

̃ .»• Serigny.. ̃•

̃i-

PETIT CARNET

La Maison Germaine, Codture, 24, rue Pasquier, informe son élégante clientèle qu'elle présente actuellement tous les jours, à trois heures, les dernières créations de sa collection d'été. .(, "<&' '!Argeritins et' gourmets raffinés,. allez Vous délecter de la .'glorieuse cuisine ^landaise ij'e", P.' Sainf -Mf rtitf; au TabaryT Restaurant,

4# rue Vivîénne, entré la .Bourse et les boule-

vards. Orchestre et dàns'eW.

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UN TABLEAU DE SEURAT EST-MIS EN PLACE AU LOUVRE

M. Myron T. Herrick, ambassadeur des Etats-Unis à Paris, a présidé hier matin, au Louvre, à la mise, en place du tableau de Seurat, Le Cirque, légué au Musée du Louvre par son compatriote John Quinn. M. Myron T. Herrick, qui était accompagné du colonel Bentley Mott, attaché militaire de l'ambassade, a été reçu par MM. Jusserand, ancien ambassadeur de France aux Etats-Unis, Henri Verne, directeur des musées nationaux, Jean Guiffrey, conservateur des peintures au musée du Louvre, Gabriel Rouchès, conservateur-adjoint, et J. Jaujard, secrétaire général des musées nationaux.

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Le monument Edmond Rostand à Marseille

La souscription pour le monument Edmond Rostand, à Marseillfej'se poursuit activement les sommes recueillies at-teigirëriï actuellement une iiirtquàntaihe de Ojiïtë'fran'cs: Parmi les "notabilités inscrites sur les listes, nous relevons' les noms de Mme la comtesse de Noailles, MM. le maréchal Lyautey, François de Curel, Maurice Donnay, de l'Académie française; Romain Coolus, Eugène Fasquelle, Jean Weber, Henry de Gorsse, Jacques Normand, Romuald Joubé, Roger Lion, l'Université des Annales, les Annales. la Société des auteurs, compositeurs et éditeurs de musique la Société des poètes français et la plupart des sociétés et notabilités de Marseille.

Les souscriptions, dont le détail sera publié ultérieurement, peuvent être adressées à M. René Gervais, secrétaire du comité, 30, rue Belgrand, Paris.

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Les nouveaux conseillers

du commerce extérieur de la France

Parmi lés nouveaux conseillers du commerce' extérieur de la France nommés dans toutes les régions "économiques du pavs pour une période de cinq années, sur le rapport du ministre du commerce, de l'industrie, des postes et des télégraphes, 1, nous remarquons les: noms -suivants pour la région de Paris • "iiua 3'

MM. Fournpl, Etienne', jôùiuiîaliste, Paris ;•' CojligttOh 'Auguste; auteur d'ouvrages économiques; â'Pariii Petit ïitteieh,* Sous^duverneur "du Crédit Foncier, à Paris Beau Henri, journaliste, a Saint-Germain-; en-Laye Julien-LabrûyèrtJ'Hiéijé, journaliste, à Paris Martignân- 'Pierre, ancien agent commercial aux Etats-Unis, à Paris Brunet Charles, ancien attaché commercial de France en Asie Orientale, à Paris Lévy-Picard André, secrétaire général du comité républicain du commerce, de l'industrie et de l'agriculture, à Paris Paitel Gaston, ancien directeur du cabinet du ministre du commerce, à Paris Henry Abel, rédacteur en chef du Petit Journal, à Paris Chassaigne Lucien, journaliste, à Paris d'Ornano Henry, journaliste, à Paris Forest Louis, journaliste, à Paris Dubois, Marius, publiciste, à Marseille Brizon Gabriel, vice-président du conseil d'administration de la Banque des Pays du Nord, à Paris Cassez Emile, sénateur, à Paris Lacourt-Gayet Jacques, trésorier du comité d'action économique et douanière Graux Lucien, ancien chargé de mission par le ministère du commerce, à Paris; Vielfaure Edmond, correspondant de la Journée industrielle, à Bruxelles Fessy Moyse-Alexandre, avocat à Rio-deJaneiro Ader Henry, ancien chef de la mission française au Japon.

Le raid Bruxelles-Congo belge

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Ijes, aviateurs belges'1' Véfh'àegen et Me«daéts^r qui étaient partis îijardi de Bruxelles^ pdtirBëlgràdej but de la première étape leur raid Bruxelles-Congo, ont atterri dans la capitale yougoslave dans l'après-midi après un voyage très difficile. Ils sont repartis hier matin à 7 heures pour Athènes qu'ils atteignaient à midi, ayant couvert les 980 kilomètres du parcours en 5 heures de vol environ.

L'art argentin au Jeu de Paume

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Le ministre de l'Argentine, S. Exc. M. de Toledo, le ministre des beaux-arts et le directeur, M. Paul Léon, et de nombreuses personnalités officielles, artistiques, et de la colonie Argentine ont inauguré, hier, l'Exposition Argentine organisée par M. André Dezarrois, conservateur du Musée du Jeu de Paume. Cette importante manifestation due à l'Université nationale de la Platà, sera ouverte au public jusqu'au 31 mars.


DERNIÈRE HEURE

A GENEVE

La Conférence de la S. D. N.

[suite DE LA PREMIÈRE PAGE]

Ce fut"' bientôt, on dût malheureusement s'eri rendre compte, le combat de deux chèvres luttant tête- contre tête pour lé passage de la passerelle. Il va sans' dire- que M. Quinxmes de: Leon,,appuyé par

quelques-uns dp,Js,e.sl,pilns,déterminÉs pa,r-

tisgns Î3armi les membres du Copseil^iflt:. M. Mello Franco, représentant du Bfésiî, ont demandé raison à leur collègue suédois Ûnden de l'opposition de son pays à l'élargissement du Conseil, opposition ^qui bloque tout.

La discussion eut du moins le résultat de faire voir à chacun que les difficultés intérieures que tel ou tel membre du Conseil croyait bien réellement n'exister que dans son pays, en ce qui touche le problème de l'élargissement, n'étaient ni moins grandes ni moins sérieuses dans tous les autres pays intéressés.

On vit finalement que l'on ne pouvait pas espérer trouver une solution quelque peu satisfaisante pour tous.

Résumant ses impressions, l'un de ceux qui participèrent à cette discussion, d'ailleurs strictement officieuse, disait On peut envisager la possibilité d'une solution, mais il faudrait peut-être la chercher dans l'emploi du bistouri. Et un autre témoin d'ajouter, en se servant du mot connu-

Tout s'arrange, mais mal l

On parait donc se préparer à accepter' à Genève ce que quelques-uns considèrent déjà comme étant inévitable ajourneiri.ënt du jproliïènie. dé l'élargissement du Conseil, avec une promesse' 'de l'Allemagne de soutenir la eàndîdatùr'ë polonaise à un" siège non permanent. Mais cette solution, A vrai dire, n'en est pas une. On oublie généralement- ici encore une ?chose essentielle. On croit pouvoir faire triompher en septembre la proposition de reconstituer sur une plus large base le Conseil de la S. D. N. Mais, à ce moment, on se heurtera de nouveau à la Suède, qui, sans accepter une réélection' en septembre, ne restera pas 'moins en fonction, même non réélue, jusqu'à la fin de 1926. Ce serait donc le renvoi de toute décision à ce sujet à l'assemblée de.1927. Presque les calendes grecques Peut-être cependant qu'après l'arrivée de M. Briand, qui prendra part à la conversation nouvelle que les membres du Conseil vont avoir demain après-midi, entretien qu'on se propose de transformer en séance, la situation changera encore une fois d'aspect.

En attendant, la sous-commission de la commission politique a déclaré aujourd'hui, à l'unanimité que rien ne s'opposait à l'admission de l'Allemagne dans la S. D. îsr. et demain la commission plénière fera la même déclaration.»" *s ''̃" '̃•'•••" t'iio,"»

"V'N'o'us' à'ppr$1($c-nê ji'insf ;àépoùenieAt'.

Celui-ci pourra être cependant retaffle quelque peu si, sur la question des sièges, des membres du Conseil peuvent encore prendre des instructions nouvelles de leur gouvernement.

'Signalons, en terminant, un diner qui à eu liea ce soir à l'hôtel Beau Rivage. M. Chamberlain avait invité le chancelier Luther, M.^Stresemann, M. Quinones de Léon', représentant de l'Espagne, et M. Roufos, ministre grec des affaires étrangères. Daillens.

L' O FIN I O N DES AUTRES

fliitour d'un geste

Autre exemple des réactions sympathiques provoquées dans les divers milieux des affaires et de la production par l'initiative de notre directeur politique. Nous trouvons, dans la revue mensuelle de la Banque régionale de l'Artois un commentaire court mais combien chaleureux. « Un nio-uvemeni d'une, aran de, envergure vient de se déclencher., .dit l'auteur, M. ? L* M,eri cammençant. En. face de.lacarence « des politiciens de tpus ordres, ,un homme « vient de lancer l'idée de la création d'une ,çtaisse',jljamortisseinent par contribution volontaire ».

Cet homme, M. Coty. directeur du Figaro, dans un geste de crânerie française, offre de souscrire une somme de cent millions si l'on créait la Caisse d'amortissement.

Nos politiciens qui' pataugent depuis longtemps autour du budget vont-ils enfin se décider à sortir de leur bourbier ?

A-t-on refusé les volontaires en 1914 ? Non, n'est-ce pas eh bien 1 pourquoi les refuserait-on maintenant ?

Une équipe de volontaires s'apprête à vous sauver, Messieurs lest membres du Parlement, allez-vous continuer à vous enliser, sous prétexte que M. X.. ou Y. ne fait pas partie de votre groupement politique ? Ou allez-vous enfin prendre la perche que vous tendent vos sauveteurs ? ̃'

Monsieur Coty, nous ne vous, connaissons pas, mais nous saluons en vous l'homme qui, volontairement, cherche à sauver le pays d'une défaite financière et vous félicitons de votre geste symbolique.

Mais, ce n'est pas tout, il faudrait que le geste de M. Coty fût" imité, et, pour cela, il faudrait que la Grande Presse et même la Petite, s'occupassent de cette grave question; ce qui serait une incomparable occasion de montrer leur puissance et leur dévouement au pays. II faudrait que les municipalités s'en occupassent également et nous revenons à notre idée que, pour stimuler le volontariat, il faudrait que l'on créât « l'Ordre du courage fiscal ». On y Tiendra, et nou% souhaitons qu'on ne tarde pas trop. <•̃̃̃̃̃

,Dans un post^scriplum. M-.L.M. incite ses amis et )gçtpurs1|i.suiv,rlc,,dans. le FîffçrQ les diverses "phases du mouvement qui vient de se déclencher et qui a déjà permis d'ouvrir une liste de souscription en faveur de cette caisse d'amortissement. Il ajoute 1- Capitalistes, grands et petit», vous avez un devoir à accomplir,, souscrivez dans toute la mesure de vos moyens et sachez vous souvenir aux prochaines élections que nos parlementaires qui ont pour mission de gouverner veulent grever notre pays d'un relèvement de leurs salaires au' moment même où des restriction s'imposent..

Nous aimons à croire que notre ex-argentier Loucheur suivra le noble exemple de M. Coty en versant une généreuse obole à la Caisse volontaire d'amortissement.

A la liste des journaux de Paris ou de province qui continuent, à, commenter ou à faire écho aux propositions .de notre directeur politique, ajoutons VINFORMATION, le SEMAPHORE (de Marseille), le PAYS DE BRAY (de Gournay-en-Bray). VECLAIREUR (de Nice), la DEPECHE (de

Lille).

%b

LA POLITIQUE BALKANIQUE

Un entretien Nintchitch-Roufos

.|. i–

Genève, 10 mars.* Les ministres des affaires étrangères du. royaume des Ser-,bes, Croates et Slovènes et de Grèce, M.M. J Nintchitch et Roufos, ont eu aujourd'hui un entretien qui a duré plus d'une heure. Au cours de cette conversation, un parfait accorxl--a été. constaté- sur. les- questions fondamentales de la politique .balkanique -et européenne des deux Elats. amis. Les .deux. ministres ont examiné/dans. un esprit de grande cordialité, les dii'ectives essentielles" de la" politique 'de 'leurs pays qui continueront à se manifester en étroite collaboration sur le terrain de la politique générale. On a précisé aussi que- les divergences de vues existant entre les deux gouvernements ne portent que' sur des questions techniques qu'on s'appliquera à élucider dans un esprit d'entente et de conciliation.

II reste entendu que les conversations de Rome se trouvent en parfait accord avec'les efforts des gouvernements de Belgrade et d'Athènes pour réaliser des accords balkaniques dans l'esprit de Locarno, la politique générale des deux gouvernements étant le maintien de rapports d'amitié avec tous les pays.

LA SITUATION A TIEN-TSIN

Une énergique protestation

des représentants diplomatiques à Pékin

•!•

Pékix, 10 mars. Les représentants di-' plomatiques des puissances signataires du protocole ont envoyé une protestation énergique au ministère des affaires étrangères au sujet de la situation à Tien-Tsin. Cette protestation demande la cessation immédiate des hostilités ehri-é'Tés deux partis •ennemte"'efJ:déçlferre que la .sitiik-j tion ac.tuèlle. cause un^gêne. p,9ijr jçss"çg|n^f munications. avec la; m-ef'à !tsàvors.le"clé-: troit.de Taku:. -:r:i/i;

Les représentants ajoutent qu'ils se réservent le droit de collaborer à la protec-'tion de la navigation des. navires étrangers et de maintenir libre l'accès du port de Tien-Tsin. Dans le cas où le gouvernement chinois ne prendrait pas. des mesures, les puissances agiraient alors elles-mêmes, en conformité du protocole de 1901.

LE SCANDALE HONGROIS Qui a déposé à la gare de, l'Ouest le coffre contenant 6.674 billets faux ? .Budapest, ,10 mars. Selon les journaux, le parquet a établi que le coffre contenant 6.674 billets faux n'a été déposé dans le vestiaire de la, gare de l'Ouest que trois jours avant sa' découverte.

Le parquet a donné des instructions pour que la police prenne d'urgence toutes les mesures nécessaires pour découvrir l'auteur, du dépôt et l'auteur de la lettre anonyme qui a permis de découvrir le coffre en Question.

Nouvelle arrestation

Budapest, 10 mars.– A la suite d'une dénonciation,; la police a arrêté l'étudiant en médecine Ladislas Szendey. Celui-ci a

KÇf.annu^qii^ avaUhien JP^rqu, cjfjiine

V.~Ji~Pl}lh~.$1U.J~9.Q a!l}jj~ ~nuagu~t

ine avec n^siqn de.le garde^ Quaij^i^jslata l'affaire afe faTsificaliqii,, i|, càyrit^ar curiosité le paquet et trouva deux clichés de billets.

Un dirigeable américain tombe en mer

Newport-News (Virginie), 10 mars. Le dirigeable Ta-5, de l'armée américaine, a piqué du nez cet après-midi et est tombé en mer.

L'équipage, qui est sain et sauf, a été secouru par, une vedette, et le dirigeable, qui est endommagé, a été remorque dans le port. ̃

̃ "»l»mnmnir '̃̃

̃'•̃ Ite nouveau cabinet

La reconstitution du cabinet donne lieu bien entendu à des commentaires très nombreux et très variés. Le TEMPS exprimant en cela l'opinion à peu près générale dés milieux modérés, se réjouit de la brièveté de la crise et se félicite que M. Briand ait pu si rapidement regagner'" Genève, mais' 11 s'alarme de lâiprésence de M. Malvy dans le nouveau cabinet i M. Malvy est ministre de l'intérieur. Pour des raisons qui paraissent incompréhensibles, au pays, si elles semblent claires au~ Parlement, on voit reparaître tour à.tour des hommes que leur politique d'avant-guerre avait déjà clas- sés, que leur politique de guerre a marqués, que leur politique récente ne désignait pas. Avec M. Malvy au ministère de l'intérieur, est- ce la détente, condition de l'union politique ? Avec l'ancien président de'la commission des finances au pouvoir, est-ce, la rupture avec les socialistes, condition de l'assainissement financier ?

A diverses reprises, au cours des discussions tantôt occultes dans les' groupes, tantpt publiques devant la Chambre, M. Malvy a été le porte-parole persévérant des protestations so-. cialistes. Le projet financier' de la commission des finances a été imprégné du projet du Cartel qui lui-même subissait à chaque instant les assauts et consacrait le succès des socialistes. Dans le nouveau ministère, M. Malvy représente-Uil là dangereuse conception de l'Etat" héritier, du prélèvement sur le capital qui fi-1gurait aux projets financiers des socialistes, adoptés par la commission des finances et par son président, mais condamnés au moins dans leur date d'apparition par le gouvernement de M. Briand et repoussés par la Chambre ? ou bien réprés'ente-t-il le renoncement à cette conception Lequel des deux fait à l'autre le sacrifice de deux opinions maintenant inconciliables ? Le président de la commission des finances d'hier, favorable au projet socialiste, ou le ministre de M. Briand, hostile, au moins' en procédure, à ce même projet ?

Notre confrère réclame des éclaircisse-.ments et des précisions. Le JOURNAL DES PEBATS donne une note analogue." La durée dûaninistère est ''évaluée* ^propor:tiannelleme-nfr.poarrait-O;n;dir<e à-.da netteté de la position qu'il prendra à4'égard des partis. Jusque-là les pronostics sont réserves. A gauche, VŒVVRE, l'ERE NOUVELLE, le RADICAL, la VOLONTE se félicitent sans réserves de'la combinaison intervenue, mais eux aussi– avec une arrière-pensée différente réclament de l'action, de la vigueur, etc. Dans le QUOTIDIEN, M. Pierre Bertrand regrette le débarquement des ministres cartellistes. « Leurs remplaçants, écrit-il, ne >pour-,raient donner au président du Conseil qu'une, adhésion individuelle. Ils ne lui apporteraient que leur force propre, rien re plus. » Notre confrère songeait-il à M.Malvy en écrivant cela ?

Ifoi* de pf ovince

Reprenons le fil, coupé hier, de ces opinions de province auxquelles nous- attachons, dans ce journal, tant de prix. Dans VECIAÏREUR (de Is'ice), Saint-

LE NOUVEAU

MINISTERE

•'•.[. :̃»«";

[SUITE DE hh. PREMIÈRE PAGE]

M. Lamoureux, rapporteur de; la .commission des finances de la Franco, reprér ̃< sente le département- de l'Allier depuis 1919. Il est âgé de trente-sept ans. M. André Fallières représente le département de Lot-et-Garonne depuis 1919, il. est âgé de cinquante «et un ans, est, le fils de .Faneiqn,. président de la République, -M.JVÏat'-io: Roustan. (François-Pierre) est né à Cette te 20 février 1870, Agrégé de l'Université, inspecteur de l'Académie de, Paris, M. Mario Roustan-, est entre au Sé̃nat; "en, jtywpr, 192Q! U s'est ocçupi;, surtout ~v

d$s lqis, d'instijuçUon. publique. ,i, a

'Un premier Conseil

T; tf, 'r1

Le neuvième cabinet Briand, n'avait que quelques heures d'existence quand' ses membres se réunirent, hier matin, en conseil, dans le salon de l'Horloge, au ministère des affaires étrangères,

Le cabinet mie. fois au complet, il s'occupa, comme d'usage, d'arrêter dans ses. grandes lignes la '« déclaration » qui sera lue aux Chambres, et naturellement les ministres furent amenés à examiner la situation politique et la'situation financière. Ils s'accordèrent' tout de suite sur .ce point que la « déclaration ministérielle serait courte et précise et, en plus du redressement financier, ne traiterait guère que de réforme électorale et d'assurances sociales. La rédaction de ce document, ou plutôt sa «mise au point » sel-a faite au cours d'un conseil des minisfr.es qui se tiendra à l'Elysée lundi QU,.n'iardi pro1 chains. La date de ce conseilla' pu être. choisie encore, car elle est subordonnée au retour de Genève de M. Briand. Il est toutefois à peu près certain quc'le nouveau' cabinet se présentera au Parteniçrit, mardi après-midi, 16 mars. Les intentions de M. R. Péret Les ministres se séparèrent à midi. A leur sortie du Quai d'Orsay, ils furent, comnie bienl?brt pense, entourés, félicités* mais surtout -interrogés"* C'est -surtout M. Raoul' Péret qui était accablé de questions: i II répondît'à'totiteS'ere ces" termes;:1 H Mon intention, «#t«>(kt$ftire desclioscs siraples et rapides. Je coinrçte, envoyer au Sénat tout ce* qtaéiî des^projets Dpùmér,' la- Chambre a'vôtéi

mais je''pense qu'il n'est' pas utile, pour cejaj

de se presser trop.

Et les dettes interalliées ? monsieur le ministre. J'ai été mis.ee -matin, t-par. M. ,Ppunicr, <au courant des pourparlers engagés., J'irai à Londres pour répondre à l'invitation d(e M. Win's-:ton Churchill, j'irai des que je le pourrai. | M. Raoul Péret indiqua encore que les négociations pour les dettes envers l'Amérique seraient poursuivies pai" M. Henry Bérenger. *̃>;

L'accueil à la. Chambre

Depuis la forrnation; du cabinet Waldeck-Rousseau pour ne pas remonter au delà du présent siècle il n'y a pas d'exemple d'un gouvernement nouveau bien accueilli dès l'abord, au PalaisBourbon. Le neuvième ministère Briand n'a pas manqué à la règle. Tout en se félicitant. de. voir le- président du- Conseil prêt à repartir à Genève, ceux-là même qui avaient souhaité une solution rapide à la crise critiquaient. la précipitation avec laquelle elle a été dénouée. Et, selon la tradition, on ne- donnait au cabinet que quelques jours à Vivre, quelques semaines au plus. ••'̃

•wiT?i.1ll,idu''Ç'iv; Weiv.jpfiu'jau. ffitym- .de

M^ÇV.e,f«t,,Be^-ietrA i«eiu,e,,#n>ji>eii plus*

disait hier .un,ajocien ministre, tdu> Carte*.

r^r-. CabittetidJalleir et'iîetour^-disait' un autre. ̃ < •; -> ̃ ;'•- Et les récriminations allaient leur train, surtout chez les cartéllistes qui ne pouvaient se consoler du départ des

leurs. • ̃̃̃̃̃

M. Màlvy, venu le matin, pour causer avec ses amis. radicaux-socialistes, s'entendit reprocher vivement (l'être .entré dans la combinaison.. Le gage donné, en sa personne par- M. Briand aux radicauxsocialistes risque de. les mécontenter au lieu de les satisfaire et ,1\1. ,l\Ialvy aurait menacé :déjà ?.. donner sa démission si le gouvernement ne recueil-

Sylvestre énumère quelqueSrùfls," des vœux de nos populations L'égalité fiscale. Voilà ce que réclament en premier toutes les voix qui s'élèvent. Ensuite la cessation des gaspillages, des économies, la paix sociale. Ecoutez toutes les associations, depuis. les plus petits comices agricoles jusqu'aux Chambres de commerce, chez la production tout entière. Voyez les concours qui s'offrent. Les industriels, les agriculteurs se rencontrent avec lesi «fiiôy dnsi des. villes, ay^c des directeurs^ de' 'journaux; comme M. Coty, .pour demander de: mettre .leurs biens a,u s^j

vicevfe ta» p%-ie. tIb -eiitende^t \L est vrw,

que vice I~li~s ddns ~di'e>stb~tsirâi~s 1 uct~on

que leWs dons soreiit 'soûstràiVs1 à Faction pd-

litique. Et ceci, mieux *que 'tout, fait voir où est le mal et où est le remède. •' Le. NOUVEAU JOURAT .4L (de -Lyon), s'écrie "qu'il" n'y a plus une faute à corijmettre .< La nation est, atteinte dans'son moral par la manière indigne dont le' Cartel' la gouvértie depuis vingt et un mois dans sa fortune* et son bien-être, par la défaillance continue du franc qui ne valait pas 19 centimes, samedi, à Genève dans son prestige extérieur, par les incidences, de sa pojitique ^ntérie^re sur les dirèËt'IVes de" sa diplomatie.* Lé chaos est partout le « gâchis », que M. Herriot avait trop bien prédit. •̃

Mais en voilà assez De grâce, que l'on n'y ajoute rien et que l'on commence, enfin, de remonter la côte

Pour la Caisse d'assainissement

M. Martin Mamy (TELEGRAMME DU NORD) croit que le mal vient moins dès hommes que des institutions et des mœurs parlementaires. II. soutient que l'heure est aux innovations hardies

II a suffi, voici quelques semaines, que dés industriels du Nord lancent dans la circulation un projet.de salut pour que l'opinion s'éveille et que l'espoir se réveille. Il. a, suffi qu'un Français, M. François Coty, précise, dans le Figaro une idée, de caisse d'amortissement indépendante des partes' e.'t qu'il dotinè l'exemple1 d'une ma-

gnifique- ccHitribulibu .persôiineHe -'piôur que Sa

liste d'engagements volontaires atteigne >bn quelques jours la spinmç d^e cent six millions et

demi, fie fDnWiïdessl-lrtif^¥*pr(?>banics'

qU'uMe:VpiB est ouverte %t sque Siou% Rivons tes iatétèt'k nous y engager:' tl Que demain, dans l'impossibilité où se trouve la Chambre de légiférer raisonnablement en matière' financière et l'impossibilité 'où se trouve tout gouvernement de gouverner, les grands groupements économiques et intellectuels de ce pays ou, à défaut de tous nos grands groupements, quelques-uns d'entre eux passent aux actes, qu'ils prouvent le mouvement en marchant, qu'ils réalisent un vigoureux effort d'unité, qu'ils passent aux réalisations concrètes et nous posons en principe que, tout ce que la France compte d'activités saines se grouperait immédiatement autour de leur projet et amènerait l'Etat à se sauver en nous sauvant sans rien secouer et sans rien détruire.

En terminant, notre confrère fait remarquer qu'.il ne faut que de la volonté, et quelques hommes d'action, pour accomplir cette tâche. « On ne nous fera yamais croire, dit-il, que ceci et celà ne se trouvent plus dans notre pays. » Pierre Villette.

lait pas l'adhésion de la majorité du groupe. .•'

Cette menace fera-t-elle fléchir les résistances des gauches ?

Quant aux modérés, ils considéraient la présence de M. Malvy comme'un inutile défi. L'amnistie n'empêche pas l'ancien ministre de l'intérieur d'avoir eu avant, pendant et 'après guerre, "une politique qu'on -n'a ;pas- oubliée. Ses ménagements à l'égard du socialisme ne sont rassurants à aucun point de vuie et l'on commençait à se demander à droite si l'on n'allait pas bientôt regretter M. Chautemps.

Cette ombre au tableau était, pour la droite et le" centre, un peu compensée 'par l'attribution du portefeuille des finances à Mi Raoul Péret,: autre- cause de mécontentemerit d'ailleurs po'ur l'extrême-gauche.̃

–"Bah;! concluait un député membre de lit* commission des finances,' cette eombi»jn|îsoir est vîablelii' puisqu'elle*! ne '"donne satisfaction a perso'nne' ̃̃̃'̃ ̃̃>>̃̃̃ L'Union républicaine du Sénat et le ministère

Au,, Sénat, l'Union; républicaine, sous la présidence de M. -Antony Bati^r, a décidé que, fidèle., à ses traditions,, elle ne. prenait, à l'égard dû' nouveau ministère, aucune décision, avant d'avoir entendu la déclaration.

L'accueil serait, plutôt favorable, en général, au Sénat. Mais la présence de .'M. Malvy fait faire des réserves très nettes. A la Commission des finances Par suite de l'accession de MM. Malvy et Lamoureux au gouvernement, la commission des financés de. la Chambre se trouye privée de son. président et du rapporteur général du budget. Ils semblent devoir, être remplacés, à la présidence, par M. Henry Simon, et, pour le rapport général, par M. Piétri- On met en avant aussi les noms de MM. Bokanowski et No'garo pour la présidence Chappedelaine et Palmade pour le rapport.

Une motion

de la Fédération. républicaine Hi»r, le congrès de la Fédération, réuni sous'la présidence, de M.. Louis Marin, a voté te motion suivante à l'unanimité i ?fionVtafyht"'Wtfé''lS ftftbui'!d«-M;: Mitfvjr m mifli'sterb' 'de? PintéHeur, d'où les souvenirs ineffaj cables de 1917 auraient dû à tout, jamais. le banait, est ;une injiwe^ux; morts,; aux. mutilés, aux yejjjVeSfià Routes les. yiçUme.s de la guerre Que ce tl&fï à Timniense. majorité de la natîbh aura pour résultat d'accroître la crise de cônfiaijcè et les divisions entre Français et républicains ̃ '"̃ •̃̃̃̃̃• ̃ Proteste à l'unanimité contre cette provocation.

'On annonce, en ce sens. une interpellation prochaine de M; Ybarnégaray.

̃_ _v^^s^_

Un discours de M. A. Varenne

4».

Le groupe de l'union républicaine du Sénat s'est ému, d'un discours qu'aurait prononcé, en décembre dernier, le nouveau gouverneur de l'Indochine, discours publié- par diverses revues coloniales. Mi Alexandre Varenne, vantant le pacifisme de notre pays, aurait affirmé,que la France n'était, pour l'Indochine,, qu'une édûcatrice parfaitement désintéressée, dont tout l'effort se bornerait ;V donner conscience d'elle-même à la nation indochinoise, et qui, cette besogne accomplie, Considérerait son rôl.e comme termine et laisserait à la colonie la liberté de disposer d'elle-même.

Avan,t' de prendre aucune délibération, le groupe a chargé son président de.s'assuier, auprès du ministre des colonies, de l'authenticité du texte publié.

u 1 > ?.">̃% nr-*t-+*-

Panhat^PpPJ >gP» k'en

Les records du monde des 50 kms, 50 milles et lOO.kms sont portés à la moyenne de plus de 200 kilomètres à l'heure

M. Ortmans, l'amateur bien connu, avait conquis le 31 août dernier cinq records mondiaux de vitesse..

Ce fait, comme on peut bien le penser. avait excité de nombreux concurrents qui, après de longs efforts maintes fois répétés, avaient réussi à déposséder M. Ortmans de trois de ses records les 50 kilomètres, 50 milles et les 100 kilomètres.

Ayant toute confiance en son étoile, en ̃lîéspèoè; une splendide 8 cylindres Panhard, le valeureux sportsman s'est remis en piste àJVIontlhéry et arepris, mardi, ce qu'il pense êtr.e un peu son bien.

Les nouveaux records sont les suivants

50 kilomètres. 14' 58" 18/100 (vit. moy. -200 kil. 131)

50 milles,. 23'58" 93/100 (vit. moy. 200 kil. 441)

100 kilomètres. 29' 46": 76/100 (vit. moy. 200 kil. 3G5)

11 est intéressant d'ajouter que la voiture' Panhard en" question est munie de son' moteur Sans Soupapes à chemises en aeier régule qui continue ainsi à prouver 'toute la s'ùperrôritc que les connaisseurs lui attribuent. y ̃̃

TAPIS, D'ORIENT

« La succursale de la Maison Dalsème, tapis d'Orient, 118, avenue des ChampsElysées, a été fermée la date du 1" janvier 1926. Le stpck a été transféré à la maison principale, .18, n le Saint-Marc, où les marchandises des. deux maisons se trouveront réunies. »

L'ELEVAGE m TROCURAÏÏON Le Métayage et ses bénéfices Rien n'est nouveau sous le soleil et l'antique métayage devient maintenant une véritable industrie,, dont ,on ne peut nier le brillant essor.

Quelles en sont les causes ? "La prospérité des campagnes, la facilité avec laquelle sont vendus les produits du sol, et d'un autre côté l'instabilité des valeurs de toutes sortes.

En. quoi consiste donc le métayage ? 2 Vous achetez. OM-. faites acheter une; bête quelle qu'elle 'soit, bœuf, mouton, porc. Vous ne pouvez l'élever vous-même, manque de place, de temps vous la confiez h un fermier qui se charge de tout, moyennant rétribution, et reprenez votre bête le 'jour pus f pela- yous iplaiti ou vous la, faites

.yendref. et, partagez;, les, bénéfljqes rèàlisési.

T C'est^à ,pe principe d'élevage qu'est, ré-

servé le domaine de Courtonne, en Normandie, où l'on a réalisé la production intensive par les méthodes modernes employées dans l'élevage et l'engraissement du "bétail; bœufs; moutons et, en particulier, dit "porc dont là consommation a triplé depuis quelques années.

Vous pouvez tous r

pratiquer l'élevage dans ce domaine sans en avoir aucun des soucis. Chacun peut y posséder un porc, qui sera élevé, engraissé et vendu pour son compte au bout de quatre mois,, en réalisant un bénéfice intéressant et sans courir aucun risque. L'opération étant terminée, il peut reprendre son

capital.,

Demandez aujourd'hui la brochure illustrée Ë, envoyée gracieusement par les porcheries Générales, 8, rue Drouot, à Paris.

Vous ferez une bonne affaire

Objxjiolcpie TtiéâLtrale

REPETITIONS GENERALES

-1.-

GRAND.GUIGNOL Un Drame à bord, de M. Adriél Le Chevalier Canepin, de M. Henri Duvernois La Fosse aux Filles, de M. Max Maurey, d'après A. Kouprine; Lucette et sa Tante, de M. Maxime Girard.

Un spectacle qui fera sensation.

.Deux di'ames l'un dont la mise en scène- valu à M. Camille Choisy nos applaudissements l'autre, dont le réalisme provoque en nous un frémissement d'horreur; deux.coméd.ieSi la -première de M. Henri

Puvernois, ki-iseDondc.iterininan, soir.ee

sur, un.iéelat de. rire. ̃• ̃> ..<; ,i

L'action ù&Mn ̃̃dvaiw «feor-rf est- sobre.

Une aventurière passe quelques: jouiîsi isur un yacht avec un homme qu'elle se ré-' serve d'exploiter. En mer, on recueille, a demi-mort de froid, un pêcheur de Tanger. Mari ou amant,- peu importe, il: a été jadis la victime, de l'aventurière. Il va la dénoncer. Elle le frappe d'un coup de couteau. Il l'étrangle. M. Camille Choisy a réalisé, .pour ce drame, une mise en scène exceptionnelle. Le. pont d'un yacht en marche avec un panorama mobile, épousant exactement la forme de l'horizon, par un artifice de machinerie. L'illusion est si parfaite que nous avons rêvé des vacances prochaines sur le Sonia.

Du roman, célèbre de A. Kouprine, M. Max Maurey a tiré un drame d'un effet saisissant. On sait de quel milieu La Fosse aux Filles est l'étude, à la clarté brutale et crue d'une observation sans vaine pudeur. M. Max, Maurey a isolé un épisode l'agonie de,la belle Jenia atteinte d'un mal trop avancé pour qu'elle en guérisse. Elle voudra se venger, et de la pire des façons, sans choisir, au hasard des étreintes furtives. Mais un tout jeune homme se présenté, tendre et naïf. Au dernier moment, elle n'osera pas., Et quand il est parti, elle se désespère. Sa seule raison de vivre, c'était sa haine, son désir de représailles. Elle s'ouvre la gorge.

Il est iiéti rfè' situations de théâtre aussi

dramatiques. TVI. -Max Mabnéy l'a/, dévelop-»

liée avec une rare maîtrise.}' Le Chevalier Cane piu est une ..piamer.e de petit chef-d'oéuvrë. ,M Heur)' PûMèr'- nois y c'élèbW'à s? façon,' l'éloge de la fo-

ïie. ;̃•

Lucie est douce, aimante, résignée. Elle n'est pas de celles que le. bonheur remarque. Pour l'instant, elle est avec Emmanuel Brinde, un commerçant autoritaire, un « tyran en pantoufles » Pour qu'elle fasse figure d'honnête femme, il lui interdit la sauce anglaise et le porto, réservés, parait-il, aux dames de mauvaise vie. Sur la terrasse de l'hôtel, un inconnu. Il intervient, chasse Michel et, dans une déclaration enflammée, ouvre devant Lucie les portes de l'idéal. Elle va le suivre. Hélas, ce n'était qu'un fou, évadé d'un asile. Lucie demeurera auprès de Michel, adouci par cette aventure, mais, pour quelques heures.

Lucette, que nous présente M. Maxime Girard, a des réactions différentes elle est avide de luxe et de plaisir. Elle dépense sans compter et se paie tous ses caprices, même ceux qui ne lui coûtent rien. Mais Lucette est imprudente. Pourquoi cette acharnement à vouloir que Pierre, son ami sérieux, s'habille comme les gigolos qui retiennent un instant son attention ? Pierre y trouve un moyen de les identifier. Quand Lucette lui conseille de porter un feutre gris, il enregistre ce détail et suit la piste.

Un jour, malgré sa philosophie, il^esti,

lnP 9RiUiiPiassez ri.; Trompé- .par' sofc aini

ifiUiMi %ft»,.pssse Ja.Diain. JVIaisili'nniii-sa

d<?çok,<fflaajt §1 la mèi'eude .'Loéettèiitië défendait, d'une main leste, les' intérêts1 !'d< sa -fille. ̃<: ̃•̃ ̃.< >' ,̃: ̃>'> •>̃̃ Cet acte est fort plaisant II est riche-de notations quotidiennes et savoureuses. Mlle Maxa, de retour au Grand-Guignol, a. joué Jénia avec une intensité, simple et mesurée, remarquable. M. Paùlais, dans un rôle très court, a' de fort beaux accents. Mlle de Bedts est une charmante Lucette à laquelle on est tenté de pardonner beaucoup Mlle Marie Jacqueline est douce et humble. M. Seller a composé avec autant de talent que de diversité deux personnages très différents M. Orval est parfait de jeunesse, d'ingénuité dans La.Fosse; MM. Diéner, Serger, Thann Mmes Gonzalves, Leroy, Thergil ont eu leur part du succès.

Et Mme Madeleine Guitty. est étourdissante de verve comique dans Lucette et sa tante. Peut-on, sans rire, la regarder rire ? Quelle grande artiste

Par intérim

•̃'̃ ̃•• R. Cardinne:Petit.

COURRIER DES THEATRES DANS SA CANDEUR NAÏVE AlA^OMÉDIE-CAUM ARTIN « CeUe comédie g. rencontré lm grand succès: 1 Je second qctg'tf BHj aux: tlue$< Mine Marthe Régner ^rénqià^té^ui^^Ji-i^àp^é.^M. PaulBert nard a été' son digne .partenaire. I-~™ Etienne Rey (Comœdia). Des salles combles et enthousiastes confirment cette opinion et acclament les grands artistes Mme Marthe Régnier, M. Paul Bernard, Mmes Ch. Barbier-Krauss, Barsac, et M. Henry Bosc et Mlle Lucienne Parizet. Aujourd'hui, mi-carême, matinée.

Première représentation

EN MATINEE

et Au Grand-Guignol, à 8 h. 45 très précises, première représentation de

Un drame à bord, drame en deux actes, de M. Adriel. Les mises, en scène sont de Camille Choisy.

Le Chevalier Canepin, comédie en un acte, de M. Henri Duvernois.

La Fosse au% filles, drame en deux actes, de M. Max Maurey. ̃

Et Lucette et sa tante, comédie en un acte, de M. Maxime Girard.

Aujourd'hui:

.S' A LA Co.MÉDIE-F,HAN-ÇAISEi à 1 11. 45, (billets, blancs), L'Ami Fritz, La Nuit de Mai. Jt A l'Opeba-Comique, à 1 h. 30 (abonnement série rose), Le Barbier de Séville, L'Enfant et les sortilèges.

Jt A l'Odéon, à 2 h. 45, L'Arlésiennei' '̃' •Jt Au Nouvel-Ambigu, ;à'-2-rh. 30, -Seigkeur Polichinelle. '̃̃̃•

>,# A;ù ,T|ii.i^os,-jLTpjpj«E,.(%,2^h.s3P» RJpÇ de

Vaïsè. ̃• ̃'• •̃*• ••£-> ̃>*>»-̃' ''̃-̃̃

•s$t' Au. Théâtre DU Petit-Monde (salle Férmina), à 2 h. 30. Lès Deux Nigauds (pour les enfants).

i ̃ ••

Même spectacle que le soir

Aux Variétés (2 h. 30), à la Porte-SaintMartin (2 h. 45), à la Renaissance (2 h. 30), au Théâtre Sarali-Bernhardt (2 h. 30), à la GaîtéLyrique (2 h. 35), au Théâtre Antoine (2 h. 45), à l'Athénée (2 h. 45), au Palais-Royal (2 h, 30), aux Bouffes-Parisiens (2 h: 30), aux Capucines (2 II. 45), au Grand-Guignol (2 h. 45), au Théâtre de la Madeleine (2 h. 30), au Chàtelet (2 h. 30), aux Nouveautés (2 h. 45), à la Comédie-Caumartin (3 heures), à la Michodière (2 h. 30), aux Deux-Anes (3 heures), à la Scala (2 h. 45), à la Comédie des Champs-Elysées (;j heures), au Studio des Champs-Elysées (3 heures), au Théâtre des Arts (2 •],. 30). Ce soir r

& A l'Obéra, à 10 h. 30, Bal masqué. &' A la Comédib-Fkançàise, à 8 h. 30, (abonnement série A), Çartnosine (MM. Albert

Lambert fils, Siblot, Fresnay, Dorival, A. Reyval, Jean Weier,' René Simon Mmes Dussane, M., Bell, M. Marquet, J. Sully, T. Fédor). faut qu'une porte soit, ouverte ou fermée (M. Jacques Guilhcne, Mlle Bretty).

^t A l'Opéra-Comique, à 8 h. 15 (abonnem. série A), Marouf (Mlles Féraldy, Tiphaine, Sonia Pavloff MM. Armand Crabbé, -,en représentation, Azéma, Bourdin, Morturier, Niel, Marionno), Orch. M. G. Lauweryns. <S5 A l'Odéon, à 8 h. 30, La Petite Chocolatière. (MM. Fabry, A. Varennes, L. Dubosq, R. Arnoux, L. Raymond Mmes Mireille Perret, Danièle Mony)..

c|5 Aux Vahiét^s, à .8 h..43, Azaïs (MM. Max Dearl3^ Pauley, Larquey, Henry Prestat, J.Alberit Mnlés Marcelle Lender, Blanche Montel, /Rachel Rubas et Andrr Lefaur), cS Au THÉAinE DU Gymnase, ùîS heures, il a cousine de Varsovie (demande Albany, Charles Dcchamps, Andrée Terroy et Gaston Dubpfiç).

tit A, t'A. PORTE-SAJ?.T-ilAliTI.V, à 8 11, 15,

Cyrano de Bergerac (M. Fraiicen, Mme Jeanne Provost, M. Jean Çoquelin ;iMM. Puylagàrde, Joffre Mmes Person, JS'iclôs).. J5 Au TlIliATHE SARAH-BERNHAnDT, t 3 11. 30, Mon curé chez les Rièhés, avec MM. Marco, H. Monteux, Maxime-Lôvy Mmes J. Délys, Jehanno et Cassivc. (Dira, et fêtes mat. à 2 h. 30). ̃ Jt Au Xouvel-Ambigu, à 8 h. 30, L'Ombre, Les Neiges d'antan.

& A LA Gaitê-Lyrique, à S h. "40, Le Petit Duc (Mmes Renée Page, Jc'anne Ferny, A. Castelain MM. Robert Jysor et:Henry Jullien).. Ballets Mlle Capry, danseuse, étoile. <£ Au Théâtre Antoine, à 8 h. 30, La Femme de mon ami (Mlle Germaine Charley, MM. Fernand Rivers, Gallet, Trévoux, Mad Siamé). ^5 A l'Athénée, 8 h. 30, La Rose de, septembre (Mme Madeleine. -Soria et M. Lucien Hosenberg Mmes Carlètta Conti, A. Prieur, Ch. Delval MM. Callamand, Lucien Dayle, Jean Capoul avec Marcel Vallée et Arnaudy). J5 A la Renaissance, a 8 h. 35, Le Lit nuptial (Mmes. Simone, Simone Frévalles, S. Montalet, Mixandra MM. Charles Boyer, Paul Capellani, Henry Bonvallet, R. Lagrange).

JtAu Théâtre DE PARIS, à- 8 h. 30, L'Animateur, d'Henry Bataille, avec Mlle-Yvonne do Bray, M. Harry Baur, Mme Jeanne Rolly MM. Armand Bour, Mauloy, etc.

i?t Au Palais-Royal, à 8 h. 45, La Revue du Palais-Royal (MM. Albert Brasseur, Le Gallo, Duvallès, Georgé, Géo Leclercq, H. Delivry ftlmes, Mflrg. Pierrff»-M. Montjhjfti{

«sï. Âù. Théâtre I?D(?UAnD-VIili; (Louvre, 52.-60J,

k 9 heures, •Uozai.t (MM. Saclia.' Guitry, René Ma^pré, GUstpn GeHys Mmes" Yvonne Prjntottïpè, Nàfflà Cliàflane, Marthe tenclud; etc.). Jl Aux Bouffes-Parisiens/'î* h. 45, Trois jeunes filles. nues (MM. Dranem, Ed. Roze, Gabin, A. Lamy, Nellson Mmes Allems, Suzelte O'Nill, Sim Viva, de Creus, R. Varville, Etcherry, Colette Roby).

<»t Au THÉATRE Marigny. à 8 h. 30, Monsieltr Beaucaire (M. André Baugé, Mlles Renée Camia, Welcome MM. Pujol, Gilbert-Morj'n, Roques, Joë Saint-Bonnet, Jean Deiss). •£ Au Théâtre de LA Madeleine, 19, rue de Surène (Elys. 86-25), à 8 h. 45. La Belle Aventure (M. André Brulé et Mme Madeleine Lély MM. Berthicr, M. Bénard Mme J. Grimbach et M. Pierre Stephen).

<i* Au Théâtre Michel, à 9 heures, Chért (Colette, E. Andrée, G. de, France et J. Loury, Lagrcnée, R. Clermont et G. Séveriu). •â* A LA Comédie-Caujurti.v, à y heures, Dans sa candeur naïve (Mme Marthe Hégnier, M. Paul Bernard Mme Ch. Barbier- KranM, M. Henry Bosc et Mlle Lucienne Pari2et). Jt Aux Capucines (Gut. 56-40), à 8 h. 45, Mannequins I (MM. Jean Perier, Hieronimus, De'strëj', Fenonjois et Louvigny Mites Christiane Dor, Jane Clairette, Pascaline, Pépée, etc., etc.).

<i* Au Théâtre Mogador, La Bauadcre (Mmes Maguy Varna, G. Ristori, Rolland MM. Léonard Hasti, Destrel, Combes, Cahuzac, Frey, Loche et Urba'n)

J* Au Théâtre Fémina, à 9 heures, La Prisonnière (Mmes Sylvie et Suzanne Dantès MM. Pierre Blanchar, Arvel et Jean Worms). Jt Au Théâtre dbs Nouveautés, à 8 h. 45, 'PoS sur bouche- (Mme Jeanne Cheirel Mmes Simone Cerdan, Pierrette Madd, Pauline

Carton l\fât.v B«rv:al,l L«v«i-ne, (Champell et

CartalJ ,J. ,II~ Ufn;~ 1, plfv4.l.Ae., "Charopell et

Rob(H-!«3krtïiei:.>l <'<iZiK 1- UÏÏh ï ̃ ̃̃ •̃

tjt Au Théâtre de l'Avenue, à 8 h. 45, iChifèe- çfimédio. en U-ois aetçs,.de M. Alex.

jAJiidis, aveÇjMaud Loty et Jean JDax, L. Julien,

,u, Bàrtout et AJoréno MM. Charles Lamy avec Àlerme.

A la Potin ière, 9 9 h. 15, Plaire, (Mmes Falconetti et Janine "errey MM. T. de Guinguaud, P. Daltour, Pierre Noyelle et Pierre Magnier).

âS A LA Comédie DES Champs-Elysées, à ,8 h. 30, A Paris tous les deux (Marguerite Deval, Galipaux, Henry Defreyn et Alice Cocéa avec Jeanne Fusier).

tîî Au Théâtre DES Mathurins, à 8 h. 45, Monsieur de Saint-Obin (M. Jules Berry, Mlle Suzy Prim MM. Pierre Juvenet, Henri Richard et M. Bélières). S Au Théâtre DE LA Michodière, à 8. h. 45, Passionnément, comédie musicale de Maurice Hennequin et Albert Willemetz, musique de André Messager. (Tel Richelieu 95-23.) S Au Trianon-Lyrique, à 8 h. 30, La Petite Bohème (Mlles de Pouzols, Sigall; Jane Ferny, MM. Rudeau, Lenzi, Réjean, Cardon, Balbon, Derroja).

jl A LA Scala, à 8 h. 45, Le Monsieur de Cinq Heures, le légendaire succès de rire, avec Marcel Simon, Marcelle Praince et Géo Gorby. Samedis et dimanches, matinée.

.£5 Aux DEUx-AxES (direction Roger Ferréol, Marc. 10-26), à 9 heures, Dorin et le dessinateur H.-P. Gassier, Rieux, Merry, Géo Charley, de Soutter et le compositeur Trémolo. Zut à l'or revue. >

<3ï Au THÉÂTRE DE Dix-HEURES. à 10 heures, Blum-Bada^blQum, revue de M. Charles Fallot, jouée par l'auteur, les chansonniers et Mlle

France Martis. `

t~I!ce IIfartis. Jnc-

Itfao ET !NFOKMAT!ONS

–t.r,

Mme Ida Rubinstein A Miiak. On nous "écrit de Milan que la présence de Gabriele d'Annunzio et les soirées de gala données par sa célèbre interprète, Mme Ida Rubinstein à la Scala et au théâtre Manzoni ont provoqué, dans la, capitale lombarde une effervescence esthétique exceptionnelle. D'Annunzio assiste tantôt à une représentation de La Dame aux Camélias, tantôt au triomphe de l'oeuvre qu'il a écrite pour Mme Ida Rubinstein. Il lui arrive même de haranguer les 3.000 spectateurs réunis à la Scala et qui l'acclament interminablement en -même temps que la belle et grande artiste. Il les remercie avec émotion en rappelant certains coups de sifflets d'autrefois, plus cruels « que les flèches hérissant mon Saint Sébastien ». Il veut que les Milanais l'appellent avec familiarité, « El noster Gabriel » et nomme Toscanini « le roi Arthur ».

Dans les rues la foule s'arrête devant .les' -belles affiches reproduisant des portraits de Mme Ida Rubinstein, dessinés par Bakst. Et l'on raconte que si les recettes ont été sans précédent, des agences intermédiaires ont réalisé des fortunes, le soir i.de,la première du Martyre de Saint Sébasitieiu des fauteuils s'étant vendus jusqu'à jS.OOÛ- lires, une loge 1-5.000 lires. Le succès iwmportc par Mme Ida Rubinstein dans le icvàa de ̃MarguepiteiGa'utier.'a sété considérable et les recettes du théâtre Manzoni ont dépassé de beaucoup le maximum. L'artiste fêtée partout et de tous, paraîtra cette semaine dans le rôle de Nastasia l'hilippoṽ na de L'Idiot, l'une de ses plus pathétiques créations.

Comédie-Fkaxçaise. ."Programme, de la matinée poétique de samedi prochain, à

4 h. 30

M. Denis d'Inès (Pierre Corneille).

MM. Fresnay (Ch. Vildrac), Jean Hervé (Stéphane Mallarmé), Paul Gerbault (Gustave Zidler), André Bacqué (Barbey d'Aurevilly), Jean Weber (Verlaine). Kené Simon (Jacques Chanu, Baudelaire) Mmes Marie Lecontc (Miguel Zamacoïs), Bcrthe Bovy (Charles Vildrac), Ducsane (Tristan Derème), Colonna Romano (René Berton), Madeleine Barjac (Jean Moréas), Mary Marquet (Edmond Rostand).

Notices de MM, Ernest Préyostet Jules Truffier, lues par M. Jacques Guilhène.

Oi'éiu- Comique. VcndrorU soir, l'Ope-


CHRONIQUE THÉÂTRALE

ra-Comique affichera Pelléas et Mélisande, avec Mme Sarah Fischer (Mélisande), M. Roger Bourdin (Pelléas), MM. Guénot et .Vieuille.

L'orchestre sera dirigé par M. Albert

[Wolff.

.••̃̃" r*V<

Samedi soir, l'Opéra-Comique affiche Aphrodite, avec Mlles Raymonde Visconti, Sibille, Ducuing, Mona Païva, MM. Oger, Bourdin, Azéma, Dupré. Orchestre M. Georges Lauweryns.

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PORTE-SAINT-MARTIN. A 2 h. 15 et à 8 h. 15, Cyrano de Bergerac, avec Francen, Jeanne Provost et Jean Coquelin.

Théâtre p, v. Gymnase. La reprise ;de Ma Cousine de Varsovie, la triomphale comédie de Louis Verneuil, qui commença le 23. décembre îîernicr,, se terminera dimanche5 prochain 14 mars, après la matinée, ayant fourni 98 représentations consécutives, ce qui porte à 285 le total des représentations de cette délicieuse pièce, que tous les retardataires doivent se presser d'applaudir avec ses excellents interprètes Fernande Albany, Ch. Dechamps, Andrée Terroy et Gaston Dubosc.

AMBIGU. A 2 h. 30, Seigneur Polichinelle, avec MM. Jacques Grétillat, Ph. Damorès, Mmes G. Rouer, C. Jordaan. A 8 h. 30, L'Ombre, avec MM. J. Grétillat, Bourdel, Mlles Bérangère et Jordaan. On commencera par Les Neiges d'antan, avec M. Chabert.

Théâtre Sarah-Bernhardt. Aujourd'hui jeudi (Mi-Carême) le plus amusant de tous les spectacles, Mon Curé chez les Riches, sera donné en matinée et en soirée. Théâtre Antoine. Les représentations de La Femme de Mon Ami s'arrêteront, en plein succès, dimanche 14 mars, en soirée. Il y aura aujourd'hui, à l'occasion de la Mi-Carême, matinée supplémentaire à h, 45, avec la brillante distribution du

goir. *ii_, _•

Capucines. Aujourd'hui, matinée et soirée du triomphal succès Mannequins l ayec Jean Perier, Christiane Dor, Hieronimus, Hetty Burgan et Louvigny.

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Avenue. On sait le succès considérable remporté à Monte-Carlo, cette saison, par l'opérette nouvelle tirée des Bleus de tAmour.

La direction du théâtre de l'Avenue a pu s'assurer pour Paris la propriété de cette création sensationnelle, mais dans l'obligation de jouer Les Bleus de l'Amour avant fin mars, elle se voit forcée d'interrompre les représentations de Chipée qui triomphe tous les soirs avec Maud Loty. Carrière seulement interrompue et qui sera reprise sitôt que les circonstances le permettront.'

Il ne sera donc plus donné qu'une douzaine de représentations de Chipée

W

Le théâtre de l'Avenue retient la date du 23 mars pour la répétition générale de Les Bleus de l'Amour, opérette en trois actes de MM. Romain Coolus, musique de Victor Alix..

̃| Théâtre pE LA Michodière (Richelieu 05-23). Aujourd'hui, Mi-Garême, matinée « 2 h. 30, de Passionnément, la triomphale comédie musicale de M. André Messager. Comédie DES Champs-Elysées. Aujourd'hui jeudi (Mi-Carême) matinée à 2 h. 30.

7 8"

s Studio DES Champs-Elysées. 50*' représentation du Bourgeois romanesque, de Jean Blarichon, au Studio des Champs-Elyjsées, le grand succès de la saison. Aujour- d'hui matinée.

Deux-Anes. Aujourd'hui, matinée à 3 heures et soirée à 9 heures. Le nouveau et extraordinaire spectacle. Roger Ferréol, Gaby Benda, Renée Mylia, Andrée Vartis, avec, le fantaisiste Dalio et Cloé Vidiane dans la revue Zut à l'Or

Dorin, Rieux, Merry, Charley, de Soutter et Trémolo dans leurs nouvelles chansons

Le dessinateur H.-P. Gassier, dans son numéro inédit. Louez Marc. 10-26. Bravo Maxime Girard.

~a c~ NE A Paris tous les deux. Marguerite Deval

Galipaux

Henry Defreyn

et

^AJlce Cocéa

Immense succès

Aulourd'hul Ml-Carême Matin** a 2 h. SO

I»oeatlon' sans augmentation

FEUILLETON LITTÉRAIRE DU 9 MARS 1926 LA VIE LITTERAIRE

Ma France poétique, par Franci, Jammes (1 vol., Mercure de France). Bordeaux, par François de Mauriac (I vol., Emile Paul). Le Jeune Homme, du même auteur (1 vol., Hachette).

A la suite de son Quatrième Livre des Quatrains, M. Francis Jammes nous offre, aujourd'hui, sa France poétique, qui est le plus important des recueils qu'ait publiés le poète d'Orthez depuis qu'il est devenu le poète d'Hasparren. Qu'ils nous viennent d'ici ou de là, les vers de M. Francis Jammes sont toujours les bienvenus. M. Francis Jammes est un des écrivains originaux de notre temps, et il est doué d'une forte et savoureuse personnalité. Sa vie et son oeuvre dénotent une rare indépendance d'attitude et de pensée. Son génie est un génie naturel et M. Jammes lui obéit docilement. Il ne se défend pas d'être lui-même et il l'est sans réserve et sans résistance. Aussi M. Francis Jammes a-t-il littérairement subi fort peu d'influences et il ne doit pas grand' chose à ses devanciers en poésie- Peut-être pburraît-on rélever en lui quelques accointances ^avec Jean de La Fontaine et François Coppée, mais le vrai maître de M. Jammes est sa sensibilité propre. Sa véritable inspiratrice est la nature. Il en écoute les voix et y conforme la sienne.

Ce réalisme à la fois sensible et attentif, cette vigilance à ne p^s s'éloigner de ces guides et à les suivre on ils le mènent, font le charme profond de la poésie de M. Francis Jammes et lui donnent un accent de ̃Incérité et de naïveté par où elle nous séduit et nous attache. Cette poésie des choses et des émotions' que les choses suscitent en lui, M. Jammes l'exprime, comme il la ressent, dans sa nuance la plus exacte et avec un constant souci de vérité. Les impressions qu'il a, il les traduit en leur fraîcheur immédiate, telles quelles, si l'on peut dire, directement, scrupuleusement. A peine les a-t-il éprouvées quelles passent

ATHÉNÉE' II NOUVEAU QKAND SUCCÈS 1 Madeleine SORIA I

et l^uolen ROZENBERG S

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ChBqUdans- L*A Ki-ISlll

DE SEPTEMBRE

DE SEPTEMBRE

|| œuvre acclamée de M. Jacques DEVAL [g o pi– Aujourd'hui matinée 55"555^!3

̃̃̃̃̃̃̃̃̃̃̃• III ̃̃»̃̃̃• B ̃ ̃ « ̃ ̃ » ̃̃̃̃•̃̃̃• lit APOLLO MUSIC-HALL: 20, rue de CUchy Tél.: Central 72-21 S. VENDREDI 12 MARS < 'Z

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̃ FERADDY | Z DOYEN DE LA COMÉDIE-FRANÇAISE Z Z dans QTTA.ie'r cle SOUPIR Z

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iCHEVALIERl i ATTRACTIONS INÉDITES ̃ riiiiiin: Plmanche matinée ̃̃̃•̃>̃̃"

SPECTACLES & CONCERTS

Aujourd'hui

Même spectacle que le soir

Aux Folies-Bergère (2 h. 30), au Casino de Paris (2 h. 30), à l'Olympia (2 h. 30), au Moulin-Rouge (2 h. 30), a la Cigale (2 h.. 30), au Concert Mayol (2 h. 30), au Théâtre des Champs-Elysées (2 h. 30), au Palace (2 h, 30), à l'Empire (2 h. 30), il Madeleine-Cinéma. (2 h. 30), chez Fursy et Mauricet (3 heures), à la Lune Rousse (3 heures), au NouveauCirque (2 h. 30), au Cirque d'Hiver (2 h. 30); au Cirque de Paris (2 h. 30), au Ciné-Carillon (2 h. 30), à la salle Marivaux (2 h. 30).

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Ce soir

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•£ Aux FOLIES-BERGÈRE, à 8 h. 30, la nou-, velle super-revue de M> ^LoujU ^Lemarchand Un soir de folie. 'VS§\ •£ Au Casino DE Paris, à 8 h: 30, Paris en Fleurs (Maurice Chevalier, les Dolly Sisters, Yvonne Vallée, Gabaroche, Dora Duby, Hasoutra, les 16 Lawrence Tiller Girls, Lily Mounetj Pizella, Lily Scott.

A l'Olympia (Central 44-68), à 8 h. 30, gala de la Chanson, avec l'illustre tragédienne lyrique Damia, le chansonnier Dorin, Sarthel, Max Itogé, A. Morin, le quatuor Moussorgsky, lé prince Shankar, les danses de B. et H. Violanty, les ours polaires et Rigoulot, champion du monde.

«Jt Au PALACE (Tél. Berg. 44-37), à 8 h. 30, la grande revue Paris-Voyeur, avec Grock, le premier comique du monde, 60 somptueux tableaux.

«Jt Au Moulin-Rouce-Music-Hall, à 8 h. 30, La Revue ilistinguett, de Jacques Charles, Mistinguett, Randal, les Forde Sisters, Earl Leslie, les Sœurs Irvin, Yv. Legeay, les Kerva, les C0 Jackson girls et Dréau.

A l'Empire (Tél. Wagram 60-58). M. Silvain, doy^n de la Comédie-Française, dans une scène de Tartuffe. Les 40 chevaux de Carré et 20 attractions de musical-hallcirque.

^5 Au CONCERT MAYOL (Tél. Gut. 68-07), à 8 h. 30, la grande revue Quel beau nu I 45 tableaux, 250 artistes, 1.200 costumes (Parysis), Jane Myro. Les seize danseuses nues. <£5 Aux Champs-Elysées-Music-Hall, à 8 h. 30, Loïe Fuller dans La Forêt enchantée, Régine Flory dans Zubiri, sketch de G. de Porto-Riche, d'après Victor Hugo Trê-Ki, 10 attractions.

;Jt CHEZ Fcrsx ET Mauricbt (Tmid. i69-B7), à ? 9 heures, Tire au Franc, revue' dé MM. Maur rice et Pierre Varenne. RenUée du pQÉré Jènan Rictus et de l'humoriste Bet'ove;' Lucien Vâuthrin, Fursy, Chepfer et Carol.

d*' A LA LUNE RoussE (Trud, 61-92), à 9 heures, les chansonniers D. Bonnaud, V. Hyspa, Léon-Michel, Secretan, Sparli, Cor, Wyl, Campara et Heintz. Ya Don.on I revue (Mlles Suzy Lucat, Mailly, Novakova, Giraud et M. Tanis.

Jt Au NOUVEAU-CIRQUE, 251, rue Saint-Honoré. Aujourd'hui jeudi Mi-Carême, matfnée et soirée. Formidable programme Antonet et Béby, les super-clowns et 15 attractions inédites.

<Jt Au Ciné-Carillon, 30, bd Bonne-Nouvelle. « Le Château de la mort lente », grand film d'épouvanté, tiré de la célèbre pièce d'André de Lorde et H. ÏJauehe. Tous les jours, matinées permanentes à partir de 2 h. 40. Soirée, 8 h. 40. Location de 1 h. 30 à 10 h. du soir. Jt Au CIRQUE D'HIVER. Le meilleur programme de cirque se trouve toujours au Cirque d'Hiver. Cette semaine Fortunio et ses lions, Wall et ses crocodiles, 20 attractions sensationnelles et les Fratellini.

^t Au Cirque DE Paris (Ségur 31-90) (Ecole Militaire), à 8 h. 30, matinées jeudi et dimanche la Femme fantôme, singes et chiens dressés, 15 attractions. Sensation.

Folies-Bergère. Aujourd'hui, matinée aux Folies-Bergère, où vous irez (masqués ou non) pour applaudir la super-revue de M. L. Lemarchand Un soir de folie.

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Apollo Mdsic-Hall.– Demain 12 mars, inauguration de l' Apollo Music-Haïl, l'événement théâtral de la saison, avec «n programme exceptionnel M. Maurice de3Féraudy, doyen de la Comédie-Française, dans Quart de soupir, dont il est l'auteur

dans son vers, s'y incorporent, le nourrissent, lui donnent sa substance, sa couleur, sa sonorité. Le vers s'adapte à l'expression avec une saine justesse. Cette parfaite entente vaut à M. Francis Jammes une parfaite sécurité elle le met à l'aise et lui permet de prendre ses aises avec des soucis qui préoccupent certains poètes et auxquels ils apportent un effort attentif., Je veux dire par là que M. Jammes néglige volontiers les soins de composition, d'équilibre, de mesure, de densité auxquels certains écrivains attachent une grande importance et qui leur imposent un travail de réflexion, je dirais presque de mathématique poétique, à quoi M. Francis Jammes semble rester assez étranger.

Rien, en effet, de, .moins caleuléj'de moins composé qu'un poème de M. Francis Jammes. La mécanique en est toujours extrêmement simple. Un spectacle de nature, un émoi de sensibilité, un sentiment, une idée ont-ils frappé M. Francis Jammes, le vers vient comme spontanément pour s'en faire le témoin ou l'interprète, et le poème s'improvise à mesure que le vers succède au vers, que l'image succède à l'image il se continue jusqu'à ce que l'émotion visuelle, morale, sentimentale ou religieuse suscitée ainsi soit épuisée, et le poète ne fera rien pour la prolonger et en tirer parti. Que le moment d'inspiration ait été court ou long, M. Jammes accepte ce que l'inspiration du moment a produit; que le résultat soit net ou confus,il n'y apportera pas de retouches; il ne cherchera pas à en disposer les éléments dans un ordre plus logique ou plus cohérent, plus souple ou

Mlle Jane Renouardt et M. Abel Tarride, en tête d'excellents artistes dans des scènes de revues de Rip, et une sélection d'at-> tractions toutes inédites.

Cette première de gala sera donnée au profit de la maison de retraite de RisOrangis et de l'Association de la Presse théâtrale.

COURRimjUSICAL Aujourd'hui

A l'Eglise deTÏ'Etoile, à ,4 heures, vèi pétition publique (entrée 9 francs); Atà la Gmnd'Mçssé en si, mineur dQ.Ba.ch, par la. Socipté JiS^Bach..Chef M.£. Bret.r Ce soir

t– A la Salle Gaveau, à 9 heures, huitième concert Straram, dirigé par W. Straram. Programme: Symphonie (Franck); ·, Concerto pour violon (Beethoven), soliste: M. Darrieux Cinq pieces d'orchestre (Schoenberg) Epithglaine (R. Ducasse) Mirages (F. Schmitt):

A la Salle Gomœdia, récital de violon donné par Francisco Chiafitelli. Location à la Salle, chez M. Durand et M. Dandelot. A la Salle des Agriculteurs, quatuor Capet, deuxième, séance de l'intégrale des quatuors de Beethoven. Des places d'estrade à 15 francs seront en vente au coii* trôle.

t.m–

M. Wl, Horowitz, dont le premier récital de piano à la Salle du Conservatoire a été un, véritable .triomphe; donnera son deuxième récital vendredi, le 12 mars, à la même salle. ;̃

Beethoven, Weber et Franck interprétés par Robert Casadesus le 13 mars, a 9 heures, à la Salle de l'ancien Conservatoire.

Concerts Pasdeloup à Mogac(,or. Sa?- medi.1.3 jrnars, à 5 li. l^aveç.ljpnconïours de:MIl^stBë.r;thib-"Er-a et-Xueêué Westava^ Dimanche 14- mars, à. 5 -h, 15, Mlle Berthe Erza et MM. Fraqcell et Lucien Schwartz. (Pour les prograiiMues, ^6*» 4leS' affiches).

Un concert au'ministère du travail, rrr Samedi 13 mars, à 5 heures, dans les salons du ministère du travail, au profit de la Société de secoqrs mutuels du personnel féminin des administrations publiques, séance musicale Chopin, par Victor Gille. Billets au ministère du travail, 127, rue de Grenelle et cHez Durand, 4 place de la Madeleine.

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Le chœur de l'Eglise russe à Paris donnera le samedi 13 mars, à 8 h. 30, salle Gaveau, sous la'direction de M. N. Afonsky, un concert de musique russe où se feront entendre, à côté des excellents choristes de l'église, de remarquables solistes M. Alexandrovitch, de l'ancien Opéra Impérial de Pétrograd, Mlle A. Zakharoff, soprano, et Mme Pavlenko, contralto.

.o.

Huberman jouera à l'Opéra, le mardi soir 16 mars, les concertos de Bach, Beethoven et Mendelssohn, avec orchestre dirigé par Ph. Gaubert. Location à- l'Opéra et chez M. Durand et M. Dandelot. Centenaire de Weber aux Concerts Printemps. A cette occasion, mardi 16 mars. Salle du Conservatoire; à 9 heures, ouverture de Freischûtz et allocution.1 de M:Maù* rice Desrez. > Au programme, ouverture à'Iphigéuie, de Gluck, suivie de l'exécution des oeuvres de Maurice Desréz, interprétées par Mlle Laval, MM. Paulet, Reder et l'orchestre des Concerts Printemps, sous la direction de l'auteur.

Nina Kochitz.Antonio Sala, Joaquin Nin se feront entendre à la Société Philharmonique mardi soir 16 mars, à la Salle Gaveau. '̃'

Le grand succès remporté par le violoncelliste Robert Caruana, le 7 novembre dernier à la Salle Gaveau, a encouragé l'admirable virtuose à donner un nouveau récital qui aura lieu le jeudi 18 mars, à la Salle du Conservatoire. Au programme sonates de Boccherini et Honegger, suite de Bach et pièces de Jongen, Senaillé, Fauré et Schubert.

Au piano, Maurice Faure.

mm » m •.

La pianiste belge Juliette Wihl donnera un récital salle Pleyel vendredi soir, 19 mars. Elle jouera Sonate op. 110 (Beethoven), Carnaval (Schumann), œuvres de Brahms et Chopin. Billets de 6 à 20 francs à la Salle et chez Durand, Kiesgen et Delaet.

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Mlle Hanka Ordon, l'artiste^ polonaise réputée, a chanté mardi au Cercle Musical avec un succès éclataht. La'el^rmante diseuse, dont les créations si vivantes évbquent l'art d'Yvette Gvjilbert, reviendra en mai à Paris et s'y fera entendre devant le grand public. L. de Cremone.,

L. de Crémone.

plus rigoureux, les discipliner, à les hiérarchiser. Ce serait faire violence à l'inspiration dont il est le serviteur fidèle et qui l'en récompense.

Car ils sont charmants, ces poèmes de M. Francis Jammes en leur réalisme impressionniste, en leur vérité familière, intime, pittoresque,, pleins à la fois de malice et de bonhomie, charmants en leurs inégalités et leurs défauts même, mais toujours poèmes d'un vrai poète, toujours sincère et original, dont l'œuvre célèbre tour à tour, avec un accent inimitable, Dieu', la Nature, les hommes, les animaux, les plantes et Francis Jammes lui-même. Etant le chant de sa vie, n'est-il pas naturel que cette oeuvre si vivante nous représente celui qui l'anime de sa voix et de son cantique aux mille strophes ? Or, de ces strophes qur sont comme les grains de son chapelet poétique, M. Francis Jammes nous en offre aujourd'hui une corbeille pleine..11 les a' recueillis dans ses promenades à travers les paysages où il a vécu, sur les routes de cette terre béarnaise et'de cette terre basque qui, de la grande France "de nous tous; sont ce qu'il appelle "S,. sa France » et, à laquelle il cqnsacr.e un 3béau de reconn~xssaucç

et dé souvenirs. "̃' '• '̃̃•̃̃̃̃

Il y a, en effet, bien des « beautés », comme l'on disait jadis, dans ce recueil que M.. Francis Jammes a. intitulé Ma France poétique, où s'accuse,, il me semble, avec plus de netteté qu'auparavant, le caractère d'impressionnisme que je reconnaissais plus haut à la poésie de M. Jammes. Ce récent volume se compose d'un grand nombre de pièces dont l'ensemble forme un total respectable de pages, mais qui ne peut contenir ce qu'il nous offre qu'à condition de la brièveté de ses parcelles. Cette tendance à accueillir l'inspiration telle qu'elle se présente et d'en noter l'exprès^sion spontanée nous vaut une suite de délicieux et émouvants petits poèmes où M. Francis Jammes se laisse aller avec une sincère franchise à ce que l'on pourrait appeler son naturel poétique. On dirait l<"s feuillets détachés d'un carnet de route où le promeneur a inscrit à mesure -les mou-

ZIGZAGS GOURMANDS

La Poularde

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àt On se croirait dans tel restaurant lyonnais qui dut aussi sa renommée son saucisson chaud, à sa poularde, à ses queneïles et à son beaujolais. Paris y ajoute cependant une note d'élégance qui fait de oe restaurant au cadre charmant, situé C, i%e Saint-Marc un des coins les plus recherchés des gourmets, dés artistes et des gens du monde. Il va sans dire que. ses plats de grande îcuisine, également très demandés, peuvent être accompagnés des meilleures bouteilles de premiers crus, car sa cave.,est remarquablement montée. JVTaza

& Rue de Richelieu, 50, Maza a ouvert un restaurant basque de premier ordre. C'est un délice de manger les œufs comme au pays basque sur un croûton, avec une tranche de. jambon de Bayonne. Après cela, les rognons du Maire Leblanc sont d'une délicate onctuosité, et le Coq au Vin Henri IV, mijoté en cocotte et mouillé d'un court-bouillon au jurançon, est un régal digne de Brillat-Savarin.

Jean CazenaVe

(Rzemar, sueeesseur)

•£ Le restaurant Jean Cazenave, toujours 11, rue Sainte-Anne, doit sa réputation à l'excellence de sa cuisine inspirée des meilleures traditions béarnaises. Salle vaste, simple et claire, où l'on est à l'aise; service discret. En dehors de ses spécialités de haute cuisine comme la bécasse au fumet et les perdreaux farcis an foie gras, sé§ dçux plats du jour, que l'on peut arroser d'excellents Arbois ou de blancs d'Anjou, en font un restaurant où, pour un prix modéré, on mange comme chez

soi.

-v :'• ~ostëllefiè de ~~le~illy

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& A..quatre cents mètres de la porte Maillot, avenue-de .NeHilly* 93, se trouve l'Hostellerie de N'eïiUly. On y mange admi-. rablement, dans un cadre exquis, en écoutant un remarquable orchestre russe. Tous les mets sont cuisinés de la façon la plus remarquable, mais on doit une mention spéciale à la barbue Hostellerie, à la poularde à la crème et au canard à l'orange. La cave est de tout premier ordre et les vieilles eaux-de-vie incomparables.

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,j' ̃-•̃ Liapré i3* Lapré (rue Drouot) est redevenu Lapré. La formule est aussi heureuse qu'exacte. Le nouveau propriétaire du fameux restaurant a lé secret des vieilles spécialités lyonnaises de celles qu'on ne trouve que dans les endroits privilégiés. Sa cave, où se recueillent encore des bouteilles datant de la fondation, en 1880, est une des plus complètes de Paris. La Tour d'Urgent

̃£ A Paris, nul restaurant ne peut se prévaloir d'autant de quartiers de noblesse que la Tour d'Argent (13, quai de la Tournelle). Depuis 1582, on prépare dans ses cuisines les incomparables canards au sang qui ont fait sa gloire. Chaque canard est matricule, pour qu'on puisse conserver le» souvenir de cette merveille. Pas un riche étranger ne quitte Paris salis; ayôir dîné « .TMri'd'&tgëtit.; ,1V v. :̃̃. "r ̃̃̃•̃•̃_̃ Uagorno •r.>«st Quand les initiés allaient jadis à la Villette, chez Dagorno, cela pouvait être considéré comme une chose pittoresque et intermittente mais, depuis longtemps les gourmands (les épicuriens comme disent les Anglais) considèrent tous, sans exception, que Dagorno est un des meilleurs restaurants de Paris. Le soin qu'il apporte à sa cuisine, la qualité de ses vins, la perfection de ses fameuses grillades sont connus de tous. La Villette n'est pas loin, c'est à dix minutes d'auto de l'Opéra.

Beaugé

i5* Les spécialités de,Beaugé (rue SaintMarc, n° 10) sont renommées. Il n'existe pas de meilleurs rognons, accommodés avec un art plus classique. De même, la poularde suédoise est un mets admirable dont les. plus difficiles redemandent. Et, comme il îi'est pas de bon repas sans bons vins, Beaugé à groupé sur sa carte les crus les plus réputés.

1 Le Caneton

•* Le Caneton (rue de la Bourse, n° 3) sert les meilleurs plats russes de Paris. Citons le fameux Borch, potage aux betteraves servi avec de la crème l'esturgeon froid à lar sauce raifëMt les côtes de voiftille Kieff, les Sçhachlins de mouton, le %£ayiâr fra.ç, accomnagn.é dçs .célçbres

bjihis. ̃" r" ̃

"JfcLes dîners du Caneton groupent une clientèle très sélect. L'excellent orchestre

vements de son cœur et le butin de ses yeux;

Nous y suivons M. Francis Jammes en ses rêveries et ses flâneries. Tantôt le voici, le bâton à -la. mam, parcourant les chemins de la plaine bu les sentiers de la montagne tantôt le voici, le fusil ou le rosaire aux doigts; en bon chasseur d'images ou en pieux pèlerin de souvenirs. Le pied solide, l'œil clair, il va, s'arrête au bord du gave ou de la fontaine, traverse la prairie, s'attarde sous lès arbres, escalade un rocher, franchit une haie, entre à l'auberge du village, s'agenouille dans l'église rustique, s'assoit au seuil des maisons amies, pénètre un ̃ instant dans la ville, puis repart à travers champs, ravi par la grâce et la grandeur du paysage, la pureté de l'air, la finesse de la lumière et, de chacune de ses courses,il rapporte quelque croquis pittoresque ou suggestif. De son pays basque, de sa terre béarnaise, il nous dit les foyers, les personnes, les eaux, les bois, les campagnes, les fleurs, les fruits, tout ce que cette France pyrénéenne lui rappelle des jours d'autrefois et des jours d'hier, de sa- jeunesse, de ses afifectiens, de ses croyances, et c'est ainsi que, de toutes ces heures évoquées ou Seftties, est né un beau livre à la fois agreste et faii|îlial> <Fï«ï lyrisme directement et succinctement improvisé, et où M. Francis Jammes atteste une fois de plus ses dons si personnels et l'originalité de son génie particulier. <1

Je ne sais si M. Jean-Louis Vaudoyer a demandé à M. Francis Jammes une de ces monographies locales qui doivent former le « Portrait de la France et dont M. Vaudoyer a réuni la première série dans une collection à, laquelle il donne ses soins ingénieux et diligents. Que M". Jammes figure ou non sur la liste des collaborateurs de M. Jean-Louis Vaudoyer, le Ma France poétique, de M. Jammes procède du même désir de fixer quelques traits du visage terrestre de notre pays avant que s'en déforme irréparablement peutêtre la physionomie bien-aimée. De ce « Portrait de la France », M. Jean-Louis Vaudoyer 3 bieil voulu me confier une des

russe, en costumes, contribue à créer une ambiance pleine, de charme, qui est conforme à la juste renommée de la maison. Foyot

'<£ TJiï des. plus célèbres restaurants de Paris. Cadre sobre, digne du quartier aristocratique et recueilli, auquel s'assortit la clientèle élégante, sans tapage.

La cuisine respecte toutes les traditions françaises. Le service, discret et empressé comme il sied à une maison de cet ordre. Ses spécialités tout ce qui fait la réputation de la cuisine de chez nous. Ses vins La plupart des grandes bouteilles de Bourgogne et du Bordelais et quelques crus d'années privilégiées dignes de rivaliser avec elles. Un mot résume un jugement la perfection.

Qttelqjiiés spéeialitiés

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Les Soles

L'Ane Rouge, 28, rue Trudaine (Suprême de Soles Choulot).

Beaugé, jo, rue Saint-Marc (La S.olç sans nom).

La Chaumière Normande, 2?, rue Caulaincourt (Filets de Soles Père Bicard).

Cochon d'or, 192, avenue Jean-Jaurès (Filets de soles Maison).

Babre, 15, rue Feydeau (Délices de sole soufflées au Parmesan).

Gauclair, 96, rue de Richelieu (Sole au gratin). Henry, 30, rue N Saint-Augustin (Filets de Soles d'Antin).

Marguery, 36, boulevard Bonne-Nouvelle (Filets de Soles Marguery).

Prunier, 9, rue Duphot (Filets de Soles). L3 Tour d'Argent, 15, quai de la Tournelle (Filets de Soles).

ïï-Qffor-DgLe.tio3_is

L'eau de table

Ne buvez pas l'eau des canalisations. Le filtrage et l'ébullition, s'ils l'épurent, la laisseniiulourdop et" indigeste. Vous avez chez j feus lès marchands d'eaux minerales/'ôtiiciérs et pharmaciens la meilleure des eaux de (table, idéalement pure, l'«Evian-Cachat». Bureau Eviarî-Cachat, 4, place de l'Opéra (téléph. Gutenberg 16-14). En bouteilles et bonbonnes.

Jean de Paria.

Quatre étudiants sont exclus de l'Université de Louvain

LOUVAIN, 10 mars. Quatre étudiants ilamingants viennent d'être expulsés de l'Université de Louvain pour avoir crié « A bas la Belgique au' cours d'incidents récents.

Ces jeunes gens ont avoué leur attitude antibelge en affirmant que, selon eux, Louvain n'est pas en Belgique., mais en « Flandre ».

Voyage à Rome La Baie de Naples et l'Ombrie a-vec c-~ visite le de:

GÊNES ROME NAPLES POMPEI CÂPRI ̃- ASSISE PÉROUSE SIENNE •̃ FLORENCE MILAN

31>éi>£irt S. avril ̃- Retour le 21 «iwil Prix du Voyage complet ire cias« e ^qq rr

(Toutycpmprïsi ci~ f ..tr.

l<)( Pour tous [rççscigne^cnt^l complémentaires, s'adresser au Service du Tourisme, 14, rond-point des Champs-Elysées..

LES ADHÉSIONS SONT REÇUES JUSQU'AU 20 MARS

effigies partielles, et j'ai choisi, à cet effet, la petite ville charollaise de Paray-le-Monial, à laquelle me rattachent maints liens de famille et de précieux souvenirs de jeunesse. J'ai fait de mon mieux, cependant, pour ne pas trop céder à leur attrait et pour ne pas leur donner trop de place dans la petite étude que j'entreprenais. Certes, je ne prétends pas à l'excellence de cette méthode d'effacement personnel, et si je le note c'est simplement pour en remarquer le contraste avec le procédé.suivi par M. François Mauriac dans son « Portrait » de Bordeaux. Les pages que lui a consacrées M. François Mauriac sont fort belles, et dignes de l'écrivain âpre et vigoureux, pathétique et passionné qu'est l'auteur du Fleuve de feu et de Genitrix. Aussi est-ce avec passion et pathétique que M. François Mauriac a profité de l'occasion qui s'offrait à lui d'évoquer, en même temps que l'image de sa ville d'origine, les traits dont a été marquée sa jeunesse inquiète et tourmentée dans la grande cité bordelaise. Ce n'est donc guère du Bordeaux historique, pittoresque, social ou commercial que nous entretient M; François Mauriac, du grand comptoir girondin étalé à plat le long! de son fleuve maritime,. avec ses quartiers'; de luxe1 et d'affaires, dé loisirs et de misères, son noble décor de capitale, son activité, sa richesse. Tout cela nous ne l'entrevoyons qu'un instant, et c'est ailleurs que se porte notre, attention.

Elle va vers un enfant, vers un jeune homme ardent, mélancolique, troublé et avide, qui vit là ses années de, formation physique, morale, intellectuelle, sentimentale et qui nous en dit les tourments et les espoirs, les aspirations et les détresses, les transes et les certitudes. Autour de lui, les existences s'agitent, les intérêts s'entre-croisent, les forces vitales se combattent. Il est au centre de cette mêlée et s'y sent désarmé, infime. La grande ville pèse sur lui de tout son poids, de ses forts soleils qui mûrissent les vignobles, de ses ciels. de vent et de nuées. Dans ce labyrinthe, comment trouver son chemin, ce chemin qui nous conduit à la connaissance et à la possession de nous-mêmes et

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nous n'avons d'autre guide que notre instinct de la vie C'est à ce débat intime que nous fait assister M. François Mauriac, et l'action de ce drame de conscience juvénile le. préoccupe davantage que le décor de la scène où il a lieu. M. Mauriac nous en rend avec bien du talent les péripéties intérieures en ces pages où brûle une âpre fièvre de jeunesse et où se confondent les pulsations de la grande ville avec le désordre d'un jeune cœur angoissé. Cette angoisse, cette inquiétude qu'il a éprouvées au temps de sa jeunesse bordelaise, M. François Mauriac les retrouve dans les jeunes gens de notre temps, et il les note dans sa très intéressante et très éloquente étude sur Le Jeune Homme, qui figure dans la collection « Les Ages de la Vie», Mra° Gérard d'Houville nous a donné son admirable et délicieux livre L'Enfant. De même qu'à travers le Bordeaux de M. Mauriac, c'est la jeunesse de M. Mauriac qui nous apparaît à travers son Jeune Homme. C'est M. Mauriac, jeune homme, qui se montre à nous. Ce caractère, un peu trop personnel à mon gré, de son étude, ne l'empêche pas d'être fort attachante et nourrie de fortes' et justes observations. M.. Mauriac- y analyse avec une rare subtilité ce que l'on pourrait nommer le a malaise d'être jeune », mais il nous dit aussi ce qu'il y a de magnifique dans cet état de jeunesse, dans son « indétermination », dans ses possibilités, dans ses contradictions, dans sa pathétique et tragique brièveté. Mis à part ce qu'il a peut-être de trop autopsychologique, le petit ouvrage de M. Mauriac est très substantiellement fourni d'aperçus et de réflexions, mais cette remarquable substance nous est présentée d'une façon un peu confuse. Je n'ai pas très bien saisi le lien entre les divers chanitres qui forment le livre de M. François Mauriac. Il est vrai que le sujet qu'il traite est d'une singulière difficulté et peut-être M. Mauriac est-il depuis trop peu de temps encore un homme jepne pour avoir pu oublier le jeune homme qu'il a été?

Henri de Régnier,

l'Académie française.


Modes printanières

.|

'Le printemps est en avance, non seule'ment dans la nature, où les fleurs et les plantes sont en pleine effervescence, mais encore dans les modes, dont on célèbre chaque jour, chez nos couturiers, le rite traditionnel. Ces petites cérémonies profanes se déroulaient, généralement, à cette époque de l'année pour les acheteurs étrangers uniquement. Aujourd'hui, les Pa-

risiennes font plus que d'y assister-; elles commandent. Les fourrures de l'hiver étant devenues -trop lourdes à leur fragilité, elles rêvent de chiffons nouveaux, ̃ •di> chiffons légers et

l'iiiîrs comme te

printemps en mar-

̃ clw. 4

-11 n'en est nulle part' plus jolis que chez Georges et Janin. Sa collection ,s'impose, non pas seulement par 1 a réalisation de ses formes s infiniment jeunes, mais encore par la simplicité et le chic qui caractérise chaque création, par la grâce des détails et toutes les heureuses trouvailles qu'elle offre aux regards charmés. Les .epstumes tailleurs, si utiles en cette saison intermédiaire, et que la Parisienne porte avec

une ravissante crânerie, sont le grand succès de Georges et Janin. Ils ont un chic exquis, complétés de gilets en broché de soie ou en piqué blanc, très allures. Leurs ensembles ne sont pas moins ravissants. On en peut juger par celui-ci, désigné sous le nom de « Trois pommes », lequel comparte une robe dont le bas est en reps bleffinifffnifplissé.le haut enbayadère rouge," blanche et noire, et une ja-

cruette reps marine à ligne très-jeune. hes

thés d'apfèsfmidi; courtes 'sans: exagéra-,

'tP, ~b"S 'd,'aprèsrÙ,l"i~di: COU" teS,[~?,I},(c,'x,g, cram

m et: tout en ligne, .eMÈÉJSÉt-RWSJli^ nement l'heure du thé, Tes pesages d Au^> teuil et de tangehimp, toutes les manifestations de la vie mondaine à Paris et ailleurs. Il en est en alpaga, en crêpe de Chine et Georgette, en taffetas et en mousseline fleurie. Et quelle allure ont leurs manteaux du jour et du soir 1

En réalité, la mode de ce -printemps

n'est pas fieaucoup différente de celle de. l'hiver, au moins dans ses grandes lignes. On ;n peut dire autant des chapeaux. Ceux que Jane Blanchot présente, en ce moment, à notre admiration restent petits, mais révèlent mille détails inédits et charmants menus motifs en effilés de soie dégradés de tons, motifs de nacre, épingles de cristal et d'onyx, cocardes èh

rubans de couleurs. Ses formes, d'un admirable 'coiffant, se font en gros grain, en satin noir, paille et feutre mélangés, ou tout en, feutre. Cette modiste artiste qui scvtfote

apo-^ine re^i^J^àabfc^ijiliittSse poiïCfJe

seftE' plaisir de sculpter, inanifeste/|i|fe

se ,'l" f,Plalsll' de sculpter, m",al1lfest~/I;~ C'~

saison une prédilection marquée pdiiï >fë e noir, qu'elle avive d'une touche de rosé. Ef.?<?ést charmant 1

Les différents tons d'écaille et de beige tentent également son talent, -dont le, parisianisme n'échappé à personne. En très peu de temps Jane Blanchot s'est placée au premier rang des modistes à succès, celles dont on est fière de porter les créa,tions, flère du nom inscrit dans la coiffe. ̃Comment s'étonner, en présence de tant de, jolies choses, de notre -impatience à vouloir devancer le printemps Mais ici et;la' il arrive. Ne le sent-on pas aux tiédeurs qui passent' comme des souffles, parmi les giboulées de mars ? 7

y>. Rosine.

s ̃ ̃

ENTRE NOUS

.t.

Georges et Janin, couturiers, 25, rue La-

Boétie.

,̃•̃̃*

Jane Blancilot, modiste, 11, rue du Fauiourg-Saint-Honoré.

LES fiRÂNDFS VFNTFS PARISIENNES

Tableaux anciens et modernes

̃!«

s L'événement de îbWn88 futj' hier," à 'l'Hôtel Drouot, le vente d'une remarquable colleoflolii- dfe 'tableaux anciens et modernes et de quelques aquarelles, gouaches et pastels des grands maîtres. M* Henri Baudoin tenait le niarteau, assisté de M. Jules Ferai, de qui la boutonnière fut récemment rougie. Parmi les amateurs, nous avons reconnu dans la salle M. et Mme Pierre May, MM. Vaudoyer, Abras, Claude Roger-Marx, le comte de Demandolx de Don, etc.

Parmi les dessins et aquarelles Jeune femme en buste, de profil vers la droite, dessin au crayon noir, attribué à Boucher, fut acquis pour 6.300 francs par M. Dreyfus Vase de fleurs, aquarelle gouachée de l'école de Gerard Van Spaenock, 7.650 francs par M. Catron Portrait présumé de J.-A. de Barrême, pastel attribué à Jean Valade, 7.400 fr. à M. Abras deux aquarelles gouachées vue prise dans les environs de Reggio et vue de l'Etna prise de Tourmina, par Chatelet, 10.750 francs à M. G.-B. Lasquin. Parmi les tableaux Vases de fleurs, 'deux toiles se faisant pendant, genre de Blaise de Fontenay, furent payées 18.200 francs par M. Gérard un portrait de femme à mi-corps, en corsage rosé garni de detitelle, toile de l'école anglaise, 7.200 francs par M. Anbry Pot 'traits présumés tbé -la famille Renaud, toile par Henri Nicolaà r "Van: Gorp, 4.Î0Ô francs'? -là-Rencontre sur la terrasse: du: château, par Hippolyte Garnerey, 3.950; francs à' M. -Gérard la Vierge et l'Enfant- Jésus, peinture sur bois de l'Ecole flamande, xvi° siècle, 3.850 francs le Château an bord de l'eau, peinture sur bois, datée de 1640, par Anthonie Jausz Van Croos, 3.800 francs par M. Ferai Portrait de jeune femme en robe de satin blanc, parée d'un collier de perles, toile attribuée à Philippe de Champaigne, 3,450 francs à M. Damblanc, et enfin, un rirait de femme, entouré de fleurs, attribué à Coypel, dans un cadre en bois sculpté, ,16.700 francs à M. Caron.

Maurice Monda.

Toute demande de changement d'adresse doit être accompagnée de la somme de un franc ~~n' tïmhres·poste, pour:couvrir une partie des frais de rettouuetlement de la tonde. _1~_

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SPORT HIPPIQUE

Courses à Auteuil

Aujourd'hui, à 2 heures, courses à Auteuil. Gagnants du Figaro

Prix de la Christinière. Promesse, Valparaiso,

Prix de la Muette. Roublard, Eon. Prix Grandmaster. Le Touquet, Cicérone. 'Prix Revenge. Monsieur Bob, Impétueux. Pfix de Madrid, Elk, Grand Seigneur. Prix du Grand yeneur. Uncas, Va Nu Pieds.

,v.i. ,|i.

Courses à Enghien

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La course de Haies de Mars Course de Haies de Mars du plus vif intérêt. Ce fut d'abord le vieux Quinze Mille qui, malgré ses 71 kilos, par conséquent sans raison valable, fit lé train à toute allure. Mais, sa selle ayant tourné, cette impétuosité tournait court, et son jockey devait l'arrêter en passant devant les tribunes. On vit alors Rocantin, un autre gros poids, s'ingénier sans plus de motif sérieux à maintenir une allure rapide, suivi de près d'ailleurs par le peloton bien groupé, au milieu duquel la facilité d'action de Romancero était déjà significative. Au dernier tournant, Rocantin, Primat et Sarton étaient de front, Romancero attendant toujours le moment d'intervenir. Dans la ligne droite, Primat, le poids léger de la course, se détachait dé son mieux, mais immédiatement Romancero venait sur lui et anéantissait son espoir. Le pensionnaire de d'Ockhuysen prenait sur le plat plusieurs longueurs, cependant que Primat demeurait aisément second devant Sarton qui devait s'employer à fond pour prendre sur le poteau la troisième place à Rocantin. Il y a lieu d'accorder une mention particulière au jeune Fruhinsholfz, cavalier du vainqueur. Bien que nouveau venu dans le métier d'obstacles, il s'y classe déjà au premier rang. Les chevaux sautent 'bien avec lui, atl'tMii voit quîil aa^ardé de sa carrière de filai une saine nation du train. Il sait attendre, c'est tout ,d|pe.,r-r- J. Tmrieux. Prix du Mâcbiknais (course de haies, â. vendre aux enchères, 6.000 francs, 2.800 mètres). 1. Le Besneray, à M. Elie Lauzier (J.B. Lassus) 2. Le Bénédictin, à M. Henri Lapauze (L. Delfarguiel) 3. Bravo, à M. R. Devort (S. Bush) (2 longueurs 1/2, 1 longueur 1/2)..

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 24 francs. Placés Le Besneray, 11 fr. 50 Le ""Bénédictin, 13 fr. 50 Bravo, 16 fr. 50.

Prix du Beaujolais (course de haies, 10.000 francs, 2.800 mètres). V. Ibérie, à M. André Boas (A. Joseph) 2. Durakuir, à M. Th. Lemaire (J.-B. Lassus) 3. Néthou, à M. Auguste Pellcrin (J. Dodd) (2 longueurs, 4 longueurs). Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 31 fr. 50. Placés Ibérie, 18 francs Durakuir, 16 fr. 50. Prix du Doubs (steeple-chase, handicap, à vendre aux enchères, 8.000 francs, 3.700 mètres). 1. Le Discobole, à M. André Cointreau (L. Niaudot) 2. Clean Sweep, à M. Raymond Kahn (H. Brierre) 3. Patte a Ressort, au comte de Rivaud (H. Hiles) (2 longueurs 1/2, 1 longueur 1/2).

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 37 francs. Placés Le Discobole, 15 fr. 50 Clean Sweep, 19 francs Patte à Ressort. 18 francs. Course de Haies de Mars (handicap, 25.000 francs, 3.200 mètres). 1. Romancero, à Mlle Jeanne Azémar (M. Fruhinsholtz) 2. Primat, à M. André Monnier (F. Rovella) 3. "Sarton, à M. Roger Girche (A. Cérez): (2 longueurs, 4 longueurs). •Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 103: francs. Placés Romancero, 28 fr. 50 Primat, 33 fr.50; Sarton, 28 francs. ». ûrfx;yi!lR8rjl ,(£tcepte*M5c, *6.000X*#È^s,

3.40b~me#M)'1-* ~ne1rt, a M.

Count,(G>3!itchell) 2. Anaspèzc, à M. MSjïrîce e

Portt (LTBarré) 3. Haliotis, à M. Henïi Le-

Port4F 3. Haliotis, à M. He 1-Le-

̃telUer (L. Delfarguicl) (6 longueurs, S longueurs). Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 18 fr. 50. Prix de Londres (au trot attelé, international, 15.000 francs, 2.800 mètres). 1. Saint André, 'à' M. A. Butti(A. Butti) 2. Tienneval, à M. Gustave Beàuvois (L. Forcinal) 3. Turin, à M. P. Reçappé (H. Recappé).

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 57 fr. 50. Placés Saint André, 28 francs Tienneval, 20 fr. 50 Turin, 44 francs.

Prix Hélios (au trot attelé, 7.000 francs, 2.100 mètres). -r 1. Veloudine, à M. A. Gouin (A. Gouin) 2. Valeur, à M. P. Dassonville (P. Forcinal) 3. Ténébreuse, à M. J. Lepetit Bouley). Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 31 francs. Placés Veloudine, 16 fr. 50 Valeur, 30 fr. Tériébreuse, 33 francs.

MORT DE FRANCIS ROD

Francis Rod,. membre et trésorier-adjoint du Racing-Club de France,'vient de mourir subitement.

Francis Rôd avait été un excellent et remarquable athlète. En course à pied, il avait particulièrement brillé sur le 110 mètres haies. Il fut champion de France dans cette spécialité. Il avait été également un bon joueur de tennis et un valeureux joueur de rugby. 'V Ela membre du comité du Racihg Club de France, Hy-etaif influent par sa grarj; Wînteiligence, sa sage audace dans Finirtialive:? C'était 'iw intrépide et un enthou1- siastè. Lorsque, sur la proposition dé Louis Faure-Duparric,;le Ràcifêg»*Glub de France proposa au Comité Olympique français l'hardie solution du. Stade de Colombes, Francis Rod fut l'entrepreneur généreux qui, faisant crédit à son club et à la cause des jeux, permit la réalisation du projet, et le réalisa. Franc, loyal et bon, il etait aimé, écouté c'est une belle figure sportive qui disparaît prématurément. F. R.

Le Carnet du Sportif Rugby. A 15 h .30, au Parc des Princes, Armée française c. Paris.

Football. A 1-1 heures, au stade Buffalo, France Nord c. France Sud à 15 h. 45, Armée britannique, Armée française.

A 15 h. 30, au stade Bergeyre, Olympique c. Stade Montois.

AUTOMOBILE

Le stationnement oblique est essaye à Paris

S'inspirant du système de stationnement pratiqué en Amérique où dans les larges avenues les voitures se rangent non pas pàt-aîlèlement aux trottoirs, mais sous un .1 l~~èllie 45 degrés, le Préfet de police fait un és$ai de cette méthode sur la place dé'la Bourse. ̃ ̃'̃

Cette disposition a le grand avantage de faciliter le départ des voitures en station, mais ne peut être appliquée partout, la largeur d'un grand nombre de rues ne permettant tout au plus que le stationnement latéral, quand ce n'est pas encore sur un seul côté de la voie.

Mais sur les places, les grandes artères, où il n'y a pas de tramways, il est évident que ce mode de stationnement présente de grands avantages et vaut la peine d'être tenté.

Le Grand Prix de Provence

Le Grand Prix de Provence, doté de la Coupe Hartford, se disputera "e 28 mars sur la piste de l'autodrome de Miramas. La liste des engagés s'établit ainsi Catégorie 1.100 cmc. :m Sftlmson (MarJUe-

wîcz)y Salmson- (X,), Salhisoh (Jourc|an), Salmson (Dufour), Amilrinr (Morel),. Ariiïlçar (Martin), Amilcar (Cozette), Amilcar (Michel), B. N. C. (Henry de Joncy), B. N. C. (F, Thelluson), B. N. C. (Mathieu), B. N. C. (Brosselin), Octo (Pourtal), Octo (Coutras), Nerho (de Cailleux).

Catégorie 1.500 cmc. Bugatti (Savon Raymond), Bugatti (Robert Savon), Bugatti (Magnier Marcel), Bugatti (Giraud A.), Talbot (X.), Talbot (X.), Talbot (X,), Jean Gras (Muraour), Mathis (de Brémond).

,Catégorie 2 litres.– Bugatti (Marcel Vidal, Bugatti (Eyssermann), Bugatti (Lainy), Bugatti (Lehoux), Bugatti (Williams), Bugatti (Chiron), G. Irat (Roost), Bugatti (Proal}. Catégorie 3 litres. Alfa Romeo (Massias)* Montier (Môntier), Turcat-Méry (Alfred Ducreux), Aston-Martin (Kubiaga). r.' ;i Catégorie au-dessus de .3 litres. X. (Gi« raud), ̃Panhard (Gaétan Ducreu'x), Panhard (Castellan), X. (Béquet).

Les quarante engagements réunis permettent d'espérer que -la réouverture de Miramas remportera un succès mérité. Les départs seront donnés aux heures suivantes 9 h. 30 l'épreuve des voitures plus de 3 litres.

10 h. 15 l'épreuve des 3 litres.

11 heures l'cpreuve des 2 litres;

11 h. 45 l'«preuve des 1.500 cme.

Midi 30 i l'épreuve des 1.100 cmc.

Chacune de ces épreuves aura lieu sur

50 kilomètres.

La finale se courra à 14 h. 30 sur 250 kilomètres. Pour cette finale, les voitures seront placées, au départ, dans l'ordre de la vitesse moyenne qu'elles, auront atteinte dans l'épreuve de leur catégorie. AVIATION

Paris Londres à 252 à l'heure

Porté par un vent de 60 kiL à l'heure, l'avion de transport anglais, muni de trois moteurs de 380 HP. à refroidissement par air, a effectué le parcours Cr'oy don-Lé Bourget en 1 h. 29. Parti à 12 heures, avec à bord 11 passagers, leurs bagages et la poste, l'avion, piloté par Willookson, s'est posé devant l'aire d'embarquement â 13 heures 29. Sa vitesse moyenne de marche a donc été de 252 kil. a l'heure.

1

ESCRIME

Jury. franco italien

Depuis longtemps déjà, nombre d'escri^ meurs, notamment J.- Joseph. Renaud, in* sistèrent sur ce point qu'un accord définitif intervint entre Françaia..et Italiens sur l'interprétation de certains coups donnant toujours matière à discussion. Coups au fleuret s'entend.

Revenant sur ce thème, au moment du match René .Haussy Nedo Nadi, je réclamai qu'à défaut d'entente entre les Fédé-, rations française et italienne, une conveiition fût, avant le match, établie d'un commun accord entre le président du jury et ses quatre assesseurs.

Nedo Nadi lui-même, à son retour à Livourne, écrivit un article pour demander à la Fédération internationale d'escrime de prendre une décision définitive à cet égard.

Nul doute que les efforts successifs et combinés de ces chroniqueurs d'escrime n'aient un jour raison du flottement dans lequel se poursuivent actuellement les combats de fleuret franco-italiens. Et nous rentrerons alors dans la troisième période des combats de ce genre.

Je m'explique. >

La première période, qui ^oVtçrmina,, i$ y a peu d'années, comprit une longue suite de matches. ou d'assauts qui, en vertu de conventions différemment appréciées par les tireurs français et italiens, et aussi par la faute d'un chauvinisme excessif, donnérent lieu à de fâcheuses polémiques. et à de nombreux duels.

Ces. temps sont révolus, et nous sommes maintenant arrivés à la seconde période; Elle se caractérise par le fait qu'un match ne se termine plus par une générale fâcherie. ̃

Les tireurs se sont fait une.raison. Sachant par avance que tels coups contestables leur seront comptés différemment en France ou en Italie, ils estiment qu'à trois ou quatre touches près, ils sont toujours vainqueurs.

De part et d'autre, la défaite est attri» buée à une différence d'appréciation dès coups. Il n'y a donc jamais défaite et l'amour-propre est sauf.

Quand nous en arriverons à la troisième période, où tous les jurés jugeront en pleine union d'esprit et suivant une même formule, qu'arrivera-t-il ? 1

Tout simplement qu'un tireur sera définitivement battu sans que puisse subsister un doute apparent sur l'authenticité de sa défaite.

Qui sait, alors, si ce n'en sera pas fait de notre tranquillité Si des polémiques, des duels. Allons Nous pommes peut-être à. la plus belle époque dés..luttes francositar

lienries, et je me demande si ce n'est pa$ ,s

la forme "indécise de nos règlements pe fleuret qui fortifie de jour en jour l'amitié existant entre escrimeurs français ef italiens.

J'espère, toutefois, que ma boutade -ne. contient pas un trop grand fond de vérité. Roger Ducret. ̃

1

TENNIS

Le Tournoi de Nicè

La seconde journée du Tournoi du L. T. C. de Nice au Parc impérial, a permis d'avancer très fort les compétitions au programme, grâce au beau temps et aux nombreux courts dont dispose le juge arbitre. Il faudra cependant encore deux jours pour qu'on en arrive aux quarts de finale. S. M. le roi de Suède, qui participe au tournoi sous le pseudonyme de M. G., a passé un tour dans le Championnat double.. Voici les plus notables résultats -1 Championnat simple. De Morpurgo b Murphy, 6-0, 6-1 H. Cochet b. Diochon, 6-1, 6-1 H. Cochet b. Le Blant, 6-0, 6-1 de Morpurgo b. Carrulhen, 6-0, 6-0.

Championnat simple de dames. Miss Harsey b. Mlle Jacquier, 6-2, 6-2 Mlle y. Bourgeois b. miss Radeliff, 7-5, 6-4. Championnat double. N. G. et Satter•well b. Duplaix et Erumett, 6-4, 7-9, 6-3! Kingsley et Van Alen b. Sywede et'Mallet, 6-3, 6-ii Aeschliman et Fisher b. Legard et Booiû, 6-2, 6-4 H. Cochet et dec Morpurgo, w.-o. ,|,

~{:#

LE MATCH PARIS-LONDRES Le match annuel Paris-Londres se jouera les 19, 20 et'21 mars, sur les courts couverts du Tennis Club de Paris les équipes seront représentées par six joueurs de simple et trois équipes de double hommes.

A partir du 22 mars, et également au T. C. P., sera disputé le Tournoi de Pâques, qui comprendra les cinq épreuves classiques.

Les engagements seront clos le 17 mars a midi. Ils' devront être adressés au secrétaire administratif du T. C.P., 91, boulevard Excelmans, accompagnés dés droits d'engagement (40 francs pour une épreuve, 50 francs et 60 francs pour deux et trois épreuves, plus 3 francs de taxe fédérative). Le tirage au sort aura lieu au T. C. P. le 17 mars, à 14 heures.

LE PRIX DE^PRINTÏMPS « La Coupe du Stade Français, oiferte par MM. Little frères, sera, pour la steconde fois, mise en compétition pour le simple (catégorie A.) des Prix de Printemps. Ce tournoi, organisé par le Stade Français pendant la seconde semaine des vacances de Pâques, du 6 au 11 avril, sur ses courts du Parc de Saint-Cloud, est réservé aux joueurs et; joueuses âgées de moins do dixhuit ans au 1er avril 1926.

L'an dernier, C. Barrelet de Ricou a inscrit son nom sur la Coupe, et le simple jeunes filles a été gagné par Mlle Simonne Passemard, devenue depuis Mme R. Ma-

thieu.' -• •• '• )̃̃̃ r ̃<-

u-Deux catégories. sont prévues' pour les jeunes gens Catégorie A de 16 à1 18 ans catégorie B au-dessous de 16 ans. Simple et double dans chaque catégorie. Une épreuve de simple pour les jeunes filles. Engagements 10 francs par joueur pour le simple, et 15 francs par équipe pour le double. Les inscriptions sont reçues jusqu'au 31 mars, aux bureaux du Stade Français, 3. rue Volney, Paris.

'IR..

Au Tir aux Pigeons de Monte-Carlo. II y a encore de très nombreux tireurs à MonteCarlo. Trent-huit disputèrent le Prix Mackintosh. Résultats

Prix Mackintosh (série). 1. Massier (24 m.) Wells (24 m.) Maggi (29 m.), 8 sur 8. ,Poules. Gagnées par d'Eynarowiez, marquis Strozzi, Mesprosay, Massier.

Frantz-Reichel.

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EUtile et l'Agréable

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A, Un..vieux problème Bien plus nombreux sont les amateurs de bon café, que le bon café lui-même, tant est grande la dif ficulté de se procurer un bon mélange, et avérée l'imperfection des systèmes suivis pour-la préparation de ce breuvage. Il est vrai qu'en dehors de l'antique « Jbriq » et du récent filtre individuel, la plupart des appareils que l'on trouvait jusqu'à ce jour dans le commerce, ne faisaient que reprendre, sous une forme souvent très compliquée, la formule habituelle de la préparation du café, sans y apporter aucune amélioration. Le problème restait donc entier. Il semble bien qu'il ait été résolu dernièrement, grâce à l'électricité.

Des appareils ingénieux sont, en effet, actuellement mis en vente. Leur principe est simple Veau d'une bouilloire électrique est portée à ébullition, la vapeur produite forme pression et force l'eau bouillante à monter dans un tube d'où elle est projetée en arrosoir sur du café finement moulu. Ceci permet d'obtenir un café excellent, puisque la température de 100° est rigoureusement constante et que toutes les molécules de café donnent tout leur parfum.

En dehors de la qualité du breuvage obtenu, if n'est pas négligeable de penser que de tels appareils, en raison, de leur disposition, font automatiquement réaliser une forte économie de .cetl^fle^é^piéci^se^t. coûteuse, qu'est le càf'êJ"

"x'`-r-~tt '<

DEJEUNERS & DÎNERS ̃̃̃̃̃- MENUS

DEJEUNER

Soufflé au f romage

Dauràde japonaise

Choux à l'Anglaise

Pommçs, au beurre

DINER

Bouillabaisse

Croûte aux champignon»

Salsifis frits

Pudding Alsagien

Recetle de la daurade japonaise Les recettes de la daurade peuvent être em. ployées pour tout autre poisson analogue tels quf salpe, bogue, pagre, targue, pagel, vieilles, trigles, vives, corvines.

Parez une grosse daurade enlevez la tête et la queue, écaillez-la. Faites-la cuire au coutt-bouilIcli. Cuisez un kilo d'oignons à l'eau salée ajoutez-y 200 grammes de riz que vous y faites gonfler complètement. Dressez la daurade dans un plat à four entourez-la de votre riz dorez au gaz ou àù fout.- Servez dans le plat.

On peut utiliser te court-bouillon de la dau-

ràile'en"potage.' Ï~àEelle.

̃'̃•' '̃'̃̃ ̃ -yatelle.

'b ~vd)n.¡;t" ,)" fhuits

"1' '̃̃̃'̃" corbeille de îruits

Chair délicate, parfum capiteux des fruits de choix douillettement blottis en leurs corbeilles. Qui dira les péchés de gourmandise que vous faites commettre aux heureux à qui vous êtes réservés. Fruits de luxe et primeurs chez DupontBarbier, 5 et 7, rue Gomboust, téléphone Central 35-75 et 35-77.

fin de repas

Le Cognac est la meilleure des liqueurs parce qu'elle est naturelle. Un petit verre de « Cognac Prunier est le complément obligé d'un repas. Adega do Porto, 10, rue des Pyramides, téléphone Gutenberg 49-35. Temps de earême

Le grand mérite du maigre, c'est le poisson mais qu'il vienne des rivières, des étangs, des ruisseaux ou des mers, sa fraîcheur doit être irréprochable. Cette garantie vous sera assurée par Voss, 44, rue de Longchamp. Téléph. Passy 45-53. Le Café à l'italienne

II, est reconnu qu'en Italie on boit partout un très bon café le «Café-express », fait la pression de vapeur.

La Velox est une application fidèle et impeccable de ce système pour la famille. Elle donne rapidement un café délicieux parfumé, bien bouillant, toujours réussi. Son aspect élégant lui permet de paraître sur la table la mieux dressée.

La Velox est simple, solide, entièrement automatique et garantie. P.-F. Concaro, 56; faubourg Saint-Honoré (Elysée Building). Tél. El. 91-90 à 91-99.

Hppétit et digestion

Voulez-vous avoir bon appétit et bonne digestion, prenez avant chaque repas un CAMPARI ». Le « CAMPARI » n'est ni un vermouth, ni un amer quelconque, mais simplement une liqueur très fine à base d'herbes' aromatiques, stimulant l'appétit et facilitant la digestion. Le CAMPARI est l'apéritif préféré de tous les gourmets.

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M~ï~tM'B~~M

ItM. PHIfeATÉÊIE

J LESANTES ,(

Nous avons reçu le catalogue de la très belle vente à laquelle il sera procédé les 2fi et 26 mars, à Bruxelles, par les soins de l'ancienne maison Gelli et Tani. Il s'agit là d'une superbe collection générale contenant de grandes raretés de tous pays. Il y a de très belles colonies portugaises, une superbe réunion de vieux timbres d'Argentine, dont le 10 centavos vert et le 15 centavos bleu de 1864, le 5 pesos de Buenos-Aires 1858, coté 8.500 francs, et le 10 centavos noir 1858 de Cordoba. Autriche, timbres pour journaux. Brésil, les 180, 300 et 600 reis noir de 1844. Brunswick le 1 silbergVoschen de 1853 percé en scie et, le 3 silbergroschen Tose en paire, pièce rarisf sime, cotée 12.000 francs. Colonies françaises, 'de fort' belles pièces, dont le c. Cérès et le 25 c.noir sur rouge. Deux-Siciles; 50 grana de Naples. Croix de Savoie, 50 gr.ana de Sicile. Dominicaine, collection spécialisée avec variétés et erreurs. Espagne, une extraordinaire réunion de raretés et variétés, y compris le 12 cuartos bleu et rosé cadre renversé. Etats-Unis, grandes raretés. France 1 fr. vermillon, l'erreur 15 c. brun sur rose 1871 en paire avec un 10 c., le 40 c. taxe outremer 1871. Hawaï 2 centsbleu 1859. Luxembourg, pièces rares. Mexique, 10 pesos rouge 1891. Modène, 9 centesimi taxe 1853 et 10 centesimi 1859. Monaco 5 fr. 1885. Oldenbourg, les erreurs de l'émission de 1860'. Romagne 20 bajochi 1859. Saxe 3 pfennige de 1850. Suède l'erreur Tretio sur 20 ore de 1872. Suisse, double de Genève, 4 cent. de Vaud, 2 1/2 rappen de Bâle. Uruguay, une magnifique collection. Pour recevoir le catalogue de cette vente

Ancienne Maison GELLI & TANI fS A.) I

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70^ rue du Marché-aux-Herbes BRUXELLES TRES IMPORTANTE VENTE

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TIMBRES CLASSIQUES Dont Superbe Collection Générale et Grandes Raretés tous Pays LES 25 ET Se JVE^A.H.S 1926 LE CATALOGUE Illustré de 28 planches de reproductions photographiques est envoyé gratuitement sur simple demande adressée aux experts.

La Saison d'Hiver DU HAVRE

On annonce, venant de New-York, la prochaine arrivée du paquebot France. Parmi les passagers

M. Lacoste, M. Borotra, M. Brugnon, prince Bibesco, Mr Hugh Wallace, Mr Sheldon Whitehouse, comte de Sartiges, Mme Yvonne Georges, Mr Earle Browne Babcock, docteur Louis Ber.ger, M. Henri Jonas, docteur Jacques Forrestier, Mr Desmûnd Clarke, M. F. W. Copetand, comte Bertrand de Kergolay, comte Christian de Guigné, duc et duchesse Pozzo di Borgo, M. Jacques de Neuflize, M. Pierre Guerlain.

C'est .toujours; $.u Negresco, le plus sâtnpttœjtfj i-Jjff^faiacès- de'te 'Côte d'Azur; que l'on trouver chaque jour réunie aux thés et dîners dansants la clientèle la plus choisie de la Riviera.

Arrivées

Comte et comtesse de Vassal, général E. de La Bruyère, vicomte G. de Dampierre, comte L. de Jonage, M. A. de Poliakoff.

Lundi, au cours des épreuves du double messieurs, dans le tournoi international du LawnTennis Club, un match sensationnel opposait deux paires comme il est rarement donné d'en voir aux prises.

L'une se composait du prince Chi-Chi-Bu, second fils de l'empereur du Japon, et de M. Murray l'autre de S. M. le roi Gustave V de Suède et de M. Settervvall.

Cette dernière équipe fut victorieuse par 6-1,

6-1.

LL. AA. RR. le duc et la duchesse de Vendôme, accompagnés de la princesse Marie-Louise et du duc de Nemours sont partis lundi pour Paris pour un court séjour. Nos hôtes seront de retour à Cannes à la fin de la semaine prochaine. Dans le joli cadre printannier du Polo où les mimosées jettent leurs derniers feux, une très élégante assemblée s'était réunie samedi et dimanche. Après les matches de polo très brillants, les cosaques Djiguites obtinrent un très vif succès par leurs acrobaties échevelées et leurs danses aux èythmes vivants et cadencés.

Dimanche soir, le marquis et la marquise d'Assche offrirent à rArmenûfiville un' .̃élégant dîner. Reconnu :-< autour de la table somptueusement fleurie 'princesse de Castagneto, S. A. I. le grand-duc Cyrille, marquis d'Alcedo, capitaine et Mme Loffler, comte et comtesse de Mouléon, baron de Graffenried, comtesse de Peligny, baron Meller Jacomelsky, M. et Mme Pierre Lafitte, comte Koutousoff, M. et Mme Vagliano, M. Loullard Ronalds.

Arrivées `

M. E. de Svob, Mme Van Merlin, Mme BuddLund, miss Cox, miss Saimburry, M. de Wimpffen, Mme Hokitansky, M. Inghs.

DE MONTE-CARLO

Une bataille de fleurs organisée par la Société des Régates avec le concours de la Société des Bains de mer aura lieu, le samedi 29 mars, sur la place du Casino et les allées du Boulingrin. Des bannières et des objets d'art seront, remis aux propriétaires des voitures les mieux décorées. Mondanités

Au, dernier diner de gala des Ambassadeurs, reconnu parmi les nombreux convives Lady Alexander, sir Henry et lady Rofhbând, lady Wyndham, sir George Piggott, Mrs King, sir James Rolls, lord Rothermere, sir Harry et lady Samuel, lord et ladyHamilton de Dalzell. .̃̃. :Ii./D. Chronique militaire

~_i«

Commandement des troupes de Tunisie Le général commandant les troupes stationnées en Tunisie porte à l'heure actuelle le titre de « commandant la division d'occupation de Tunisie ». Ce terme « division d'occupation » ne répond pas au caractère permanent et définitif de notre installation dans ce pays. II a donc paru opportun de le modifier et de conférer, par analogie avec ce qui vient d'être fait au Maroc et au Levant, le. titre de « coinmandant supérieur des troupes de Tunisie au général qui commande nos troupes dans ce pays de protectorat.

Cette nouvelle appellation n'entraîne, d'ailleurs, aucune modification, ni du rang, ni des prérogatives, ni des attributions que possède actuellement cet officier général.

et celui de la vente d'avril, comprenant une splendide collection de colonies françaises au grand complet (sauf les 2 premiers Réunion), il suffit d'en faire la demande aux experts, 70, rue du Marché-aux-Herbes, à Bruxelles.

M. Jurion.

OFFRES ET OCCASIONS

^oionies irançaises. j^es -a» nouveaux timbres émis le 1" mars 1926y couleurs modifiées 25 50 » Les 15 timbres supprimés le

1" mars 1926..y. 19.75. » Les 60 surcharges, timbres •'

supprimés -le1 15" février.. 70. M Alaouïtee. Sur. timbres" français série, complète, poste, avions et "̃?'̃ h taxes. Très rare, petit tirage 145 ¥ Alexandrie- a- Surcharges de Paris, sans traits sur la valeur, série ¥tï- complète 1 millième au 150 mil- y lièmes (sauf 60 mill. sur 2 fr. vio- ̃ lot), rare, en hausse. 17g » Monaco. 1 fr. gravé 1922, feuille entière de 25-tiiub. av. marges. 50 Surcharges de 1924, hors cours,

45 sur 50, 75 sur 1 fr., 85 sur

5 fr., la série 4 50 Océanie. Provisoire 45 sur 10, petit tirage 5 Sénégal, 1 fr. violet et noir, hors cours 2 ~W Tunisie. 1, 2 et 5 francs supprimes (n"' 39, 40 et 41), rares, en

forte hausse 35 » Ecrire ou s'adresser au service philatélique du Figaro, 14, rond-point des Champs, Elysées,

DE NICE

DE CANNES

Chronique de T. S. F.

.1.

Nous avons donné dimanche dernier la description d'un poste permettant l'écoute lointaine. Faute de place, nous n'avons pu insérer son schéma. Les amateurs que cette description avait intéressés le trouveront ci-dessous. `-

^^ie_3n^*v(-/iO .l,.

Une erreur nous a fait appeler Fenix au liteu de Fcl-rix le tàblfeaii, de tension de plaque. L'adresse de son constructeur est la suivante Etablissements Léfebure-Ferrix, 64, rue Saint-André-des-Arts, à Paris. PROGRAMME

10 h. 30 RADIO-PARIS (1.750' m.), Informations 12 h. 30, Radio-concert Lucien Paris

1. Marcar el Paso, marche (M. Ferrette-G. Smet); 2. Rêve d'ange, valse (S. Donnedu) 3. Triste est le steppe, violon (Gretchaninoff); 5. Sur le. Grand-Moriii, ballade (E. Marneur) 6. Badinage, violoncelle (Sandré); 7. Au Brésil immense, fox trot (Teddy Moon); 8.. Madame Chrysanthème, trio (A. Messager-Ch. Delsana); 9.Ballade, flûte (Fourdrain) 10. Aubade (Paolo Tosti-H. Mouton) 11. Berceuse sicilienne (F. Popy) 13. Scherzo, violoncelle (G, Hue); 14.En chevauchant (M. Bernard) 15.Làhaut, fantaisie (M. Yvain).

13 h. 45, Extraits des journaux de la matinée; 13 h. 50, Cours des cafés du Havre, des cotons, des métaux, Communiqué des Halles, Prévisions météorologiques, Informations Havas, Cours des valeurs et des'changes la. Bourse de Paris.

16 h. 30, Cours.de la Bourse de commerce de Paris, Clôture des changes et des valeurs, Cours des méteaux, Cours de la Villette. 16 h. 45, L'Heure classique 1. a) Dariolette (Gherardy) b) Les vendangeuses (Couperin); c) Gavotte et musette (J.-S. Bach); 2. Causerie sur Corneille et son temps, par M. Dorival, de la Comédie-Française; auditions' des principales scènes du Cid 1. Les stances du Cid; 2. Séparation de Chimène et -Ùé Rodrigue; 3. Le récit de la bataille; 4. Parais&ez Navarrois; Deux pièces de 'clavecin ^àHeïfiaide'-jgrave) -{H,

ï>uinont). ̃̃- ̃ •=̃

«va 7* h. 45; tOatres1- de clôtufe-^s cotons,. Ouverture et dernier cours de New-York, informations Havas, Extraits 'dé la presse: 20 h. 15, Radio-communiqué en Esperanto. Cours de comptabilité; 20 h. 30,' Résultats des courses, Cours des cafés, des matières grasses, des farines, des bles, des sucres, des laines, des cotons. Cours de- clôture des cotons de New-York, Informations Havas, Feuilleton dramatique par M. Jean Bouchor; 20 h. 45, Ra*dio-concert

1. Air de Dalila (Saiht-Saëns) 2. Deux arabesques (Debussy); 3. a) Tu me dirais; b) Si tu m'aimais (Denza); 4. Le Comte de Griolet, opérette-sélection (M.-R. Grimoin-Sanson). 18 li. à 19 h. 05 TOUR EIFFEL (2.650 m.), Journal parte par T.S.F.; Propos en l'air; Ce qu'on fait les Chambres; La journée judiciaire Poèmes sur la Mi-Carême; Petit courrier littéraire; La situation 'internationale; La journée financière; Les dernières nouvelles. 18 h. 30 à 21 h. (2.740 m.), Radio-concert Le Petit Duc (Lecocq); Danses chantées; Air de danse (Roger Pénau); Le petit chat sur le clavier (L. Çonfrey) Un aperçu des danses modernes; II avait l'béguin; La Fille de Madame Augot (Offenbach); Danses chantées; Bella Novia (A. Petit); Royal Dutch (Yvain);' Le Baiser; Les Fourberies de Nérine, comédie en un acte de Théodore de Banville. 20 h. 30 ECOLE SUPERIEURE DES P. T. ï. (458 m.), Causerie, Radio-concert.

20 h. 55 Radio-Toulouse (441 m.), « Le Livre de la semaine »; Causerie, par M. Piersajn, et à 21 ]i. 25, Comédie avec le concours de divers artistes. ̃̃̃̃ :n h. PETIT PARISIEN (315 m.), Radios concert avec le concours ,de Mme Marilliet de l'Opéra, et M. Guénot, de •l'Opéra-Comique daiis Thaïs, duo de l'OaSis (Massenef;) Fidelio àw de Leonore (Beethoven); Sig'ùrd, duo-«Iik a voilà donc la, déesse » (Reyer) Hamlet, chanson bachique (Ambroise Thomas). > Ouverture des Noces de Figaro (Mozart) Menuet d'Orphée (Gluck); Fileuse (Mendelssphn) Air de Serse du Largo (Haendel); Premier mouvement du trio en ut mineur (Beethoven); Adagio pour clarinette et cordes (Weber); Le Voyageur (Schutnann) Rigaudon de Dardanus (Rameau); Chœur et marche de Lohengria (Wagner); Finale de la Symphonie en ré majeur (La Pendule) (Haydn).

10.

Concerts étrangers

Londres (365 m.), Causerie sur les « Livres à lire »., Concert; 17 h. 15, Concert pour les Enfants; 19 li., Causerie sur les « Faits et personnalités du Parlement »; 19 h. 30, Concert relayé de Newcastle; 22 h., Causerie; à 22 h. 30, Musique de danse du Savoy Hôtel Radio-Genève (760 m.), 16 h., Heure des enfants, Radio-concert et Causerie; 19 h. 17, Orchestre de l'Hôtel de la Métropole; 20 h, Chranique d'intérêt féminin et Concert avec le concours de l'Orchestre paroissial des Eaux-Vive*.

DE MENTON


Le Courrier de la Bourse

Là séance d'hier avait été si parfaitenient dépourvue de toute activité que, par comparaison, on peut dire. qu'on a quelque peu travaillé aujourd'hui.

Un gros effort avait été fait pour peser sur les changes à New-York. -La parité de la livre, ce matin, était de 132,45, mais le cours n'a pas tenu.-On- est assez rapidement revenu ici au-dessus de 133 et, en clôture, la livre valait de nouveau ,133,50 (20 cent. de moins qu'hier)* et le dollar

27,47, '̃̃.

Ce que voyant, les vendeurs à découvert semblent avoir, commencé à se racheter. Le Suez a regagné 250 fr., le Rio 170 fr., la Mining 60 fr., les Wagons 31 fr., la De Beers 33 fr., etc. "Le nouveau" cabinet Brïand ne se présentera pas, en effet, devant 1e Parlement avant la prochaine liquidation-et, d'autre part, sa composition ne permet guère d'espérer un orientation nouvelle de la politique financière;; M. Raoul Péret et M. FalJière.s sont de bons esprits. Ils chercheront sans doute à résoudre nos difficultés par la méthode classique. Mais ils ne sauraient oublier > que cette méthode, appliquée un peu tr,op rigoureusement, a mal réussi à-Sfc Doumer, Pour durer, ils ;devront louvoyer, chercher la ligne de moindre résistance, se contenter d'un équilibre sur le' papier, donc précaire. Est-ce suffisant à l'heure actuelle ? Et puis, la présence de' M.' 'Màlvy à un dés- postes les plus importants du gouvernement est-elle de nature à rétablir la confiance ?'Etaitil bien habile, enfin, de priver. la commission des finances de la Chambre d'un rapporteur travailleur, sympathique et qui commençait à connaître son métier Par qui va-t-on remplacer à la fois et le président et le rapporteur de cette commission ? Les personnalités suffisamment qualifiées pour remplir ces fonctions rie soivt pas tres nombreuses et, parmi celles-là, il sera bien difficile de faire un choix qui. ne soit pas interprété comme une maiiifesT tation politique. Fâcheuse perspective. On ne voit, dans tout cela, aucune raison de modifier les crtunions exprimées ici de-

puis quelque' 2$fàps déjà.,

Nos tteiiÉeâygagncnt .un demi-point ,en

moyenne. ^s>fft^ ̃; .i

Fonds russes, 'Otftimans1 et serbes soute- l'Us. Fermeté des mexicains.

Chinois 5 0/0 or 1925, 833. En dehors de l'intérêt payable en or, l'amortissement de ce titre doit reteaiir l'attention des por- teurs. Le .remboursement s'effectue. en effet; à raison de' 50 dollars-or, soit au cours actuel 1.380 francs:,C'est ainsi que, le 15 janvier dernier, il a été remboursé 1O18

BOURSE DU 1O IWC-A.3FtS 1926

g~" TERm^~r~ 1 COMPTANT \gS\»£\ COMPTANT |g%|*g|gr| COMPTANT ^P^F COMPTANT jg-lSflS" MARCHe EN BANQUE \™Z- "^HcS cTRANGERS 353 79lBanqu.de France. 1 1420.. 1250.. FONDS D'ÉTATS Maro=S%19O4 461.. 465. BAN(JUES ̃ 150 Bithune <C" de), nouv 3Sm"3q«à"" TERME LONDRES. 10 mars

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3ïix z ^:tc*54à:3K 48* 49o5p-tuaf,?l^éHe-1^ m B nque d9 ,lnd0.Chin. 43ÛO. 42V.. ^̃̃̃^̃- i:05 40 SS«xf^.>- ,2V?,29$

il/. ^Pari, Pays-Bas.. 132^ j 1320 3% Arncrtiss.b, 63.. 63 Roumanie A% 18W «.91-. '«.. Banque de Mn-g.»..» «g 5C Dornbr?w. «~"IJr«O .*>«*̃ •• $ p B.li.-K.r.Tdin .i: 233 240..6% &y. 1 2 3,4 12 3 4

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45, Ç.d.t Com,src.a! de France. 1440 1475 6ô'~1920. an 95 648985 Suede 3112% 1895. 75 75.. Crédit Algérien. 1600.. 155.. Anz.n, 73" ',720" .Cofombt. 44: 44.).. FU7d,ng. 80 3,4 80 3,/4

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60..Orléans. 750 .••̃•• Marfàsalcir^SSV.V. r: '.vi: ^1=75 “• "lïVM^ Kemb. a SOO. 350.. 35825 25 33.. E.t-Algénen > i^JS" z~l' ôj |«' *o.pb rt»--v- "sS»<î Lianoeoff <W ̃̃ ^<MJt,"y"r'<Kàl2^l2 2

75", ~,a'1ta-¡=¡(Ç Fr Ch fer P r,O '10) 488 350- i 43 6e,5te~ 0 ,,1903-1905. 54 "0:; le7.Q4/o 'o remb. Il 500 360.. 365.. 50.. Lyon, ¡OU's. 500 -5W 81. Bor (Mines de>Ord. '2~' l t,0() {/;}6', RÍll)d Mine. 5517.12 5517-12

'j2 ::IMétropeJilain"j"'aris' 488 i', .4. III\Iroc4/1914. 272.. 279.. « 189'22'1/2remb.è400' 17. 171.. 30.. Midi. jouis 311 .1 ili 22 50Cuivro'ot Pyrites. 3,2.. 6090351, MMsl,aocal'k'OJOd.>c.u. 640'" 656~' De Bears :¡' 14.7116 14.518.

529'918. 300,}09 5 iI89419621/2r. io4QC¡> 163.. 161~, 59.. Nord 7~5;~ 7!O. Mokta..I.Hedib,act. de SOOfr. 6100 6090 a opos a" 350:: ~E:

»̃̃ '«- M «:JS,te: r-SSfS^VsS? i| §* Sa z ^œP^ g:: | •«::K:d^6|6| :SSSa;-ër^ Sa ^so^^o!

70 1594 ë i~o. 45 ~~f-~ ~p~ ~~E?~ Dit, ord :59 50 i~ 43. 1 j'4. 45 :1..

n'ÈtllrloîtéCC^Ginir^tà^ 594 1595 Crédit National 5% 1919 325.. 333.. g 1899 2% Met. r. à SOO' !90-- 92- 45 •• Orlean*. jouis 428 428 paroles (C1 Industrielle) -,S|"2060*' 7 .h Me» ^Mines of èî Ôro Z3S 238 •• Mexican Eagle if'f/V if'i'i

Thomson Houston. 325 oblig.500' 5 1920.. 412 417 344 75 1~04 2 1/2 Mét. r. à 500'. 190.. 194.. 28 Ouest-Algirien, I. 312 22~ 1 75 Dynamita CS:Centrale). 2~70" 57j 5 ah. 6. a6' M e~°rf o(B) ro. 134 135 Royal Dutch; 32.1/2.

80 Dive i2oo Bona6%1921. 412.. 417.. w 190523/4remb;¡'400'. 311.. 315.,285 Ouest-Algérien.31 340 4O..Electro'ChimieMétel, 5" 15L'Mote ~e.n 21550 27850Shell.4 ,91!64 ,9/h

M D;vei 200 ..M9I |% 1I22 ie« 467 50 473.. -j 1910 2 3/4 Met. r. à 430'. 167.. 173.. 30.. Tunisiens •;• •• 340 50 Pouienc. ̃$&]}1\~ MÔ»mbiqu. -8^5 .8375 North C.ucaai.n. 6/ 6/J 'y

IS.. 'Forg.&'Aciériasdu Nord et Est. 265 25, 66~ 1922. *'360 '446 .50" 1910 36~ r8mb, ¡, 400; 116601 116603.: 16 parisienne lnd. Electrique: 1237181 ,239619.. 138 Le Le, Ripolin, )ouiss. 30003460 ~Õ" :9:: ~qz~m~eï;Af:¡~ N~~d: 176.. 176 50 Rueeian 011. ,8/9. ,8/9-

^e8duNOrJ.tEst. 265.. 255.. = 6^2^ jg «• 50 f 1SIO .JoJ. g | •; | •; ,| » ,| &$ïiï£ïi£^&"»°" ^SSSST. ^^iïol== ^'W

30 Coiirrières 628 6%ùanv.1923.N9 1912,3%remb,è30C¡. "Mages,neGenerauxdaParls.. 10227 27 S.it-G.b.in, Chauny 5350 5500 North Caucasien r'que 7425 7550VenezuelanOil.3,3/,63,3/t.

̃?:i: !§:: = ^.ll^!9- %>% ~50 %Z&Str\'&"&" %£xï^-®^Y^ ^iS&Srsite: S9??^

9 Lene. !,32 .13229" oblig. 6 1924. 374 50 .180 25 1921 5 3/4% r, ¡, 500' /098 398.. 40.. Vichy (Ehbl, thermal) 1227 1213.. 18.. Usine du Rhône: 50030 843' Pokin Syildicate(Shanii~1).. 0 77 77 77.. Anaçon¡la. 9/,91169/,8/1«

55 Boléo 325.. 3 Départem'du Nord 6% 1921. 373 ;370 Com. 1879 260'o 414' 415 80 Air Comprimi 1955 45.. Selins du Midi .8 25'" Phosphates ~ns~ 5\1 512 Steel Common 127. .1.

55 Penarroya .u. 1180 1203 Déparhm' du lIIord6% 1921, 373 ;370.. w Cam, 1679 ,260% r,500.. 414.. 443- 60.. Air Comprimé. 1955 1950 200 Port du Rosario 10300 3 Oh. Randfontein e,s e on an ln, 91" .90 75 Marconi 1 .118. 1 .1/8,

40 Dabrow.(PétroleO> 590.. 590 de Reims 6% 372 362.. Coin. 16603% r. io 500.. 435.. 438.. 35.. Edison, 8.5., 815. Chargeurs Réunis (parts). 845 Il ah 6 Re~, .n~A" 134 133 Kuala.102/6/.100/.1.

?;»K::i:ïS-itî. SSïK.fc: | || ^îllff ^;t|g: g: g:: IriSlsSiWy^ r-531^ 260 116~h ah 6 Robinson Doop A i|S^=:n{;

.• 430 Asturienne des Mines ^55. 459 O. Fonc.188S260?or.SOO 210 &)9 60 Electricité de Paris iat'^il" il 4i Transports en commun *«.•••££•• Ruasian Oil. 7I i? ?7* s i in os 4(1

30 Kuhlmann «2.. 430 Atelier. Con.truct. J.umorrt.348.50 350 u. Com. 189) 3% r 400 !92 193 37 50 F orca. Motric.. du Rhône J9I ,786 39 76 Transport. Maritimes. •̃ m st "Ùb fran^ i. 574.. 57.J S/Pari. (change) 133625 13340.

36-©.f.? .950. 955, ..c"-d-Energi. Electrique 342 344 189226O%r.SOO 225 227 116 66 Fore"Motric"duRhSn.Cp.rt.). 5100 3000 9550 9505.. 30 Tab.os d'orient at d'Outremer. 2»2 •• f.\ 572 ̃ S/N.w.york..4.860,4»^ ̃œ£MÎ! 1171 1165 Eglises dévastées 34?:: 3& « a'Sg^J»; g:: | |: \!s%ti2ZPëlJ2^ éOO," Bénédictine. 9550 9505 4.h:Th.?r^ •v^o- I ::̃ V^Vg

9Transatlantique Chargeurs Réunis. 441 -456~ 129 Grosse Métellurgie 6% 344 346.. ffi Com.1699260%r.500;' 206.. 206 123 Indo-Chinoise d'Electricité. 2900, 2993 400.. Distillerie Cusenier. 3150 3M 4' Tanganyika a. ,487 495, Valperaieo' 3970' 3910

9.. Transatlantique ord. 126.. 6% nouvelles, 342.. 344.. Õ Fonc, 1903 3% r. 11500.. 224. n 9 Pyrénéenne d'Energie Electr.. 690.. Di,stilleries da l'Indp,Chine. 0.. 860'" ah« '9' T are.a'ïë""rd;.tdï'd:' 444'" 457 Buenas'Aires 4534 4509,

1:SS:1:«::«F&S: g:: g:: 1 asJSS^^igSj: §:: f •S^Saasaïïr; S:: ÎS. | ggïïiSaÇ. S •:•: 4f ̃ *̃•• vk^^t^1^ £§>§§,

̃ ̃ ̃ Nord. Pas-de-Calais 1922 366 373.. g Fonc. 19O9 3% r. à 250 20 ,22.. 25 R»dio-Pranca ,;••̃ !,̃•̃ •'• Grands Moul.rirda Corbeil.ord. 230.. |ig «."» *r 4g 420 Cu.vra (comptant) 59I/I6W.I'^ S::ê£S:i^i™S:a:SfïSSSSi" S: |s t K=:!îlh»|g:. |^ |^ I ?:SSS»-- "̃̃̃̃̃̃̃̃̃̃ l:: S:; 1*=: J?t'S)SHfe* S:: î8a ««»,»»- ̃̃ f ;;S£ï^^»-:iS::S::gËSïS5aE;: g: g:: S^!lS: Mi 1= SSTSÏSJr-: '| 3i ™Z^Ë=M: i~ «liSH^i^Si S-.sSHSSœiE:

27, Raffineries (Jouis:). 1318 2053 Mi~esde L?ns 6% 1922. 388 50 ,9G Emp.191751//2r"è30Q" 17 50 Union d'E'ectricité. 289.. 285, 40:, du ';oulonna!e, 2~ 2i3Ó COMPTANT C~iI Money. c, m. 4 l'~ 4.1,

100 Rafflnerlas & Sucror.es Say.. 994 "1 Sa,nt'Goba, j7O 372 0: orn. 192051 2 r.1I 29ri~ 140.. de l'Indo-Chine 2125 2130 k (N ht d) 2050 2020" Cebles tr~nsfers" 4 861- 4 8618

70 Union Européenne. 1220 1235 Usinee sinistrées 6 1/2 370.. 372., 0 ~S~: 33~" 345, 16() Alsacienne industrielle Textile. 1990 '!92~ 64" ~e ou (l~p) e e. Chango Gur parisï vue. 3 67" 3 64 /21'

$~usse Consolidé I" & sirie 28 45 28 50 Algérie 3% 1902. 258.. 255 Cam, 1922 6% t, p. 32 50' 330. Acétylène & Electro-Métal. 715 691.. ffJ 921' Bon Marché. ,975 Mro,ssel ka (.: 2ii)ô, 2720 U, S, Liberty r~s 1 2 10027'2 10t.

̃= = TI8SS??:= II II^"I1^:E:: Si! S^™ S g :g~£^K^=':If -r^u ^W=aa!r:i:n:g^ B =^ÎS«S^:SEr~=:==:i^ f^

̃• ̃ IV2%'f894 .̃̃ •Tunis3%iIo5-1907 .225.. 22550 _.Srç.g9l.nn. 233.. 235 90 46 do Sambr.-et-M.Us.. IJ» 1102 10 ..Le Figaro. 100 I. sïÏÏù; R.^rt.i .SL"- .nl^" ^m &auk c" P 3~'

S%1906 25 40 90 2s 50 45 Allemagne 1924(Dawes)'100 1. 13425 13350.. 2 i/2% 200. Arbel (Etablissements) 207.. 208.. 200..Chaix VVSÏ 600 Monaco 10000.. 10100.. Chicago Milwaukee C Aïiiéitli

"•>̃ !^f9°9 199° »*!ï^ïïffir?™ï S?î.1S):5liSS*.ïni^: S- | S:&S»5i:K^ 43Î ubrair" H'chctt "XZ":Z n: "^°– 285° -S^ f!|^| §

0*10 Serbiè 45o amortissable 1895. Anglet~rrefl/2% 300.. 298.. 6¡(oBonsdec.r.a500." ,,4 450 50 Const,Norddel~France, ",57, '39" 4~D.~lUteh Copper 2850 E~.e,Radroad. 46 1!4 47 Il

-!°?-^==^: !^3o !8f ^"i5!SSS:S::iS, = f:: | à :f *-$&«; Ift^r». ̃ ^^f:] i|

5 5~o ,.9330 ,93~, 5% 1909. 2450.. 2460.. 5~9" 256 258.. 30, -,de St.Nezaire.. 547.. Air 02~ 749.. '780 "CHANGES' Illinois Central 125l(2126

Banque 1914. 368 72 60 73 15 Autriche 4% 4~'o. 235.. 235, 75' C~ 50.. Se.gougnan. ,771.. Pensylvania. 51518 513/4;

~–SB~~i"i~Ë~ 58 80 58 7;' 39;; Fusion anc. 220,. 227.. 75.. Châtillon.Commentry. 1430.. 1439.. 200 Chapat (Etablissements) 3W! 3801 L6A'd,e~ 133 70 133 50 Reading. :y. ,Ill 314 83 3/~

Natio.l, du 'Mexique. 1,033 108Q B, résil 4 1869. 300, Midi Bons décennaux 6% ,,198, 203. ,12.. Decauvilla. ,1,81 .180 .10,. Cj'age,s F,r,ançai. 1020, 1 20 New, YO,r,k, 27 27,50 27 47, Southarn Pacifie.99 114 il 7,

i: « Otî^^r- H.63 ,075 ^undin, Midi Bons déc_ 6% "g g Ba^an. |99 g 50 ok^nt^ompteur. à Oa, » | #i «^ »"ÏÏZZ&£: 'Sli 4 'S^

~~O~d. 3935 '¡,' :190?}Pe.n.n\b~co). !hJ 200.. ~80. o~d. 12>" 12. 52 S?!Gaveau S, C'¡. S,59.. \40 1.1 ~+' :;46,,1.14 '!(di4!

LO ~!9'Cr,ed,t" ,F.6"n, 9 'r E 9y~tl.n, 3' 935 2W7 Ch~4~ 472 471 N7rd6~F: ,.4)4." ;329; 4Q 494 '5 Auir 77'> 8"elg,qUe, iiil-<JO 387 80, C hlno cJ>pper, 18 M' ',i,

.L.1.N.trat,Hml,wyS.. WO W/ Çhm. %f<*™>5- ;•; au '^T?l^ séria E 28! 281 40 Forg"&AB"" Marin. *Homéc. 493.. 494.20 Tabacs (Cu Générale de.). 315.. 3O Hpland 62 •• American Téléphone « j «?

«.^wagonïut.ord. -i^ > ^,903^ É'^ i$î*£ï~ï"" Su il 25 J– °^p^ i! ;l% :i?à ^? i: Jn^con.chin^ SJ8 v. | S3c*«: ii« :̃: i». S3B3rs^SAF™ass::7: «-i^ "2

hl g?nti:?'M'nm9- |H2 "gt5 PoTote Unifié. 447 11/'?"? série C 223 224 50 30 Mêdit.rrané.(Forg"& Chant.). 388 .390 £0.15.3 Land .Bank Egypt 1800, I"? •. Italie MO 95 110 40 Central Leather., 17 17 M 50A. R.orTinto 5845 ..6U15.. Egypte Umfee. W W^ 2^ ,921 îrin. A 268 .271 20 Forgea & Fond.MonteUira. 530 53.1. 250 Créditfonci.rFranco-Can.di.n 7500' 7573 Norv,ge V GenenaLEIectric. 327 .328 lH

1 L.I.2.4 Azota (Norvégianne). \855 1890 He-~ti Espagne 5 extérieure. 1910 775 ..318 Orlëàns Bons décennaux 6 ~6.. 439.. 441 35 Denain-Anzin 1410 28 p. 50 Nord Espagne. 1800 Pologne (100 zloty). Bethlehem Steel, 41 3,:8 ,42,

15 sb. !.autaroNitrata. 870.. 675.. Haiti 5% 1910, 775.. 7b5.. 6% 29375 291.. 35.. Denain.Anzin 1410 \400, 22 p. Sarago.se. "Portugal. U, s, Steel Common. 123 51e 125'3!~

é." ori.»! C.ro.t 497 502 HÔandaisll %90 229 75 230 .100 Matériel de Ch..de fer (C" Fr.). 769.. 770 Sosnowice 1200 1150 Roumanie U -70 M 65 Shell. 43 7/6 43 1/2

5 60 i: P«r=flp iw Z rsVIff. » » » so -m & ̃ ̃̃ ̃̃ «. d..jr.h.p«t. f.. m .m., 3^™ 2345 m sum. m m* Affair.stotalM xmm 43 7/6 43 1 l,

60 b, Patroflne IOM 1090 Italie 31/270"1 80 50 7950 .3/0 anc, .2h 225 501 Métaux da,Transport, 128.. ,\28. ,,¡Suc,Raf.d Egypte(parta). 2345.. 30 738 251736..5 25 t t 1680000

L^^â^r:1J^ •'y- îî|.S^ .S S °=*5?| S:S!° .S-S23Ki££sr^S: Si i6?.&K££KSœiïïK£: il:^ vïïSaoo-i»œ 52!5285 «~ ̃

25 Tabacs Ottomans, 576.. 575' !!i 1907. ,434 425.. 2 1/2 162,. 184.. 50.. Senelle-Maubeuge. 880.880.. 56 p, 25 Tabacs des Philipp. (Parts). 3358 3~0)..v~ennaOCOeh~hnos). re..

Feuilleton du FIGARO du 11 mars 1926

"T: y (4) Le roman inconnu

de la duchesse d'Abrantès (SUITE)

–t.

Sa mère, la comtesse de Balincourt, qui 1'emportait dans ses bras, avait été traînée dans- les cachots de Sens par les brutes du pays. Elle y mourut la veille de son exécution, comme une pauvre bête déjà blessée à mort; c'était, du reste, la plus douce des femmes. Maurice et sa sœur furent élevés par una grand'mère. En 1812, •il avait vingt-trois ans. Il était grand et bien bâti, ses cheveux blonds, touffusvet .plantés bas, lui donnaient quelque chose de: « léonin », disait la comtesse Merlin. Il avait l'œil bleu d'acier et l'air pas commode. C'était d'un avis unanime le plus bel homme de ce temps de prestigieux cavaliers. Il dégageait déjà cette aisance, ce poli de grand seigneur qui faisait écrire plus tard à d'Arlincourt, qui cependant savait son monde « J'ai rencontré le favori des arts, le roi des fêtes, l'enfant chéri des joies de la terre. »

Laure a pris soin de nous le présenter de sa main. Il trainait dans son sillage" des cœurs de reine. « Sa tournure et sa figure étaient également charmantes, sa fortune et sa naissance le mettaient au premier rang. » Balzac dit quelque part « Les amants romantiques ont eu, sous l'Empire, leur modèle achevé. »

Ce modèle anonyme, ^c'était Maurice de Balincourt,

iniiimiii

titres sortis au tirage de décembre 192o. Etablissements de crédit bien tenus Banque ~de~Paris, 1,320 Lrlorrnais, 1.585 Union Parisienne, 830 Mobilier, 440 Foncier Bgyptien, 3.958.

Financière française et coloniale, 3.550.. Le droit de souscription aux actions nouvelles s'échange à 899 francs.

Le Suez regagne 249 fr. à 12.650 part civile, 18.025 Wagons-Lits, 1.584. Le groupe électrique s'améliore légèrement.

Vive reprise du compartiment métallique. Le Rio gagne 170 fr. à 6.015 Penarroya, 1.203 Balia, 240. La tendance des métaux reste ferme au Métal Exchange. Phosphates et produits chimiques mieux "•- Gafsa, 955; Azote ^norvégienne, 1.890 Lmttaro, «75.

Fermeté des sucrières Say, 2.053 ;Sucreries d'Egypte, 1.090.

Pétrolifères soutenues Shell, 635. Reprise sensible de la Franco-Wi/oming, qui gagne 39 fr. à 809 ex-coupon de 0.185 dollar net, soit 4 fr. 90. Ce cours comprend encore le droit à la répartition des actions lirbain corporation, qui' rie sera détaché que dans quelques jours.

Sud-africaines en progrès De Beers, 2.010 Transvaal Land,' 457 Central Mining, 2.230, contre 2.170.

Caoutchoutières mieux Padang, 1.739 Terres Rouges, 1.159 Caoutchoucs de l'Indochine, 2.045.

Soie de' Tubize, 420. L'assemblée annuelle s'est tenue hier, à Bruxelles, sous la présidence de M. Buurmans. Elle a approuvé à l'unanimité et sans discussion les comptes de l'exercice 1925 et voté les dividendes que nous avions annoncés? c'est-à-dire 25 francs belges par action de priorité et 22 fr. 50 par action ordinaire. Au comptant, YHèvèas de Cochinchine est ferme à 309. L'Agence économique et financière ès't avisée, par la direction de cette Société, que .la saignée des 14.000 arbres de huit ans qui couvrent une partie de ses, concessions a commencé depuis quelques jours.

La part Poliet et Chausson passe de 10.300 à 10.800. Il sera proposé à la prochaine assemblée la distribution fl'-un dividende de 278 fr._ 50,icontre 257 fr. 50. L'action recevra &5 fr., contre 90 l'année dernière.

-La part Caoutchoucs de l'Indochine gagne 100 fr. à 5.600 Guetgour<%2()\ jj 8.800; Soie artificielle 150, à 5.500 Distilleries ,de l'Indochine 125, à 4.125 Chaix 145, à 4.795 part Cultures tropicales 150, à 5.650 part Etablissements Maréchal 180, à 5.680 Thizij'300,k 4.900'; part Iléraclée 700, à 28.900; Suzannah 175, à- 6.900; Kétol, 560:

10 mars.

OCla e arse" a,se. 20.. Loire (Mines de 1.) :«:: ,338 422" 2.h 6 Ge,du'rï.j'ë'I:d'td' 17250 175 -1909. If2.6 ,1(4

Privilégiée. 391 390 50 Bons 1921 tran, A. 268 271. 20 Forgee & Fondan.. Montataire. 530.. 531, 250., Créditfoncier Franco.Canadien 7500' Norvège GeneraLElcctr.ic, }27 328 1/

La Cassette de Don Juan Ce sont les papiers secrets, le portefeuille de ce gentilhomme qui fut durant sa vie toute d'honneur d'une parfaite discrétion, dont nous allons dresser l'inventaire sentimental.. Sur. la- couverture d'une grande "enveloppe de papier jaune, on voit ces mots tracés d'une écriture ancienne « Lettres de Laure d'Abrantès, contenant diverses choses curieuses » l'enveloppe rompue, c'est comme la cassette de Don Juan qui s'ouvrirait cent ans après sa mort. Voici le papier de Napoléon marqué d'un aigle dans son filigrane et, dans réparpillement des pages et des écritures, certains mots se distinguent à peine.Ils sont écrits avec (lu sang. Voici enfin relié de maroquin rouge un journal intime prudemment mutilé. Il est marqué d'un chiffre mystérieux et peu à peu les phrases livrent leurs secrets et des faiblesses inconnues d'amoureuses célèbres sortent de l'ombre yidulgente. Voici Paulette Bonaparte, la reine Hortense, la reine de Westphalie, la maréchale Bernadotte, princesse de Suède, et Mme de Flotte, sa dame d'honneur. Les Tuileries, la Malmaison, Compiègne, Morfontaine. Toutes celles-là sont des passantes, ici la dame de céans, c'est Laure d'Abrantès, la maîtresse en titre. Ses lettres par leur jalousie perspicace commentent ces illustrations. C'est l'armature dorée qui présente ce bouquet romanesque. • Presque chaque jour. et souvent deux fois dans la même soirée, elle écrivait à *t celui qu'elle appelait « sa joie d'aimer », cela pendant six ans, de 1812 à 1818. On y revit au jour le jour le Roman par lettres le plus* sensible »/, comme oh disait alors, et le plus tragique aussi par les aperçus mystérieux qu'il laisse entrevoir. Mais, à mesure qu'on poursuit la lecture de ces lettres, la curiosité, toujours un peu

L'action Gaveau termine à 557. L'exercice en cours prendra fin dans quelques jours. Nous croyons savoir que le prochain bilan sera encore plus satisfaisant que le précédent. Il y a lieu, d'autre part, pour apprécier justement la situation de la Société, de tenir, compte de la plus-value importante prise par son domaine immobilier, tant à Fontenay que rue La-Boé-

tie. ..̃̃̃

Programme des Spectacles ` Albert-I". 8 h. 30. La raison du plus fort. Antoine. 8 h. 30. –.La Femme de mon ami.Arts.: 8 h. 45. La Viveuse et le Moribond. Atelier. 8 h. 30., Irma. ̃

Athénée. 8 h. 30. La Rosé de septembre. Avenue. --̃ 8 h. 15; r Chipée. ̃ «

Boufl^-Earisicns^ 8 h. 3Q. Trois jeunes

filles. nues. h. 30.77 Trois Capucines. s- 8 li. 43. Mannequins, Châtelet. 8 h. 30. Mam'zelle sans peur. Cluny. 8 h. 45. J'ai perdu ma femme. Comédie des Champs-Elysées. 8 8 h. 30. A Paris, tous les deux. '̃•̃ Comédie-Française. 8 il; 30. Carmosîhe, 11 faut qu'une porte soit ouverte ou fermée. Comédie-Caumartin. -91.- Dans sa candeur naïve.

Daunou. 8 h. 45. L'Ecole, du bonheur. Déjazet. 8 h. 15. Caroline^ était mariée Deux-Anes. 8 h. 30. Zut à l'or.

Edouard-VII. 0 b. Mozart.

Folies-Dramatiques. 8 h. 30. Phi-Phi. Fémina. 9 'h. La Prisonnière.

Gaîté-Lyrique. S j. 40. Le Petit Duc. Grand-Guignol. 8 h. 45. Un drame à bord, le Chevalier Ganepin, la Fosse aux Filles, Lucette et sa tante.

Gymnase. 8 h; 30. Ma Cousine de Varsovie. Marigny. 8 11. 30. Monsieur Beaucaire. Madeleine. 8 h. 45. La Belle aventure. Michodière. 8 h. 45, r– Passionnément. Mathurins. 8 b. 30: Monsieur de SaihtObin.

Miéhel. 9b.– Chéri (Mme Colette). Mogador. 8 h. 30. La Bayadère. Nouveautés. 8 h. 45. Pas'sur la bouche. Nouvel-Ambigu. 8 h. 30. L'Ombre, les Neiges d'antan.

Opéra. 10 h..30. Bal Masqué.

Opéra-Comique. 8 h. 15. Marouf. Odéon. 8 h. 30. La Petite Chocolatière.'1 Œuvre. 8 h. 45. Ariel.

Palais-Royal. 8, h..45. La Revue du. Palais-. ROyal. ij Porte-Saint-SIartin. ,8 h. 15. Cyrano de Bergerac.

Potinière. 9 h. 15. Plaire.

Scala. 8 h. 45. Le Monsieur de cinq heures. Renaissance. 8 h. 45. Le Lit nuptial. Sarah-BernhaTdt. 8 h. 80. Mon Curé chez les riches.

Studio des Champs-Elysées. 8 h. 45. Le Bourgeois Romanesque.

Théâtre de Paris. 8 h. 30. L'Animateur.

pitoyable des choses du cœur, fait peu à peu place à cet intérêt passionné que les amateurs d'histoires connaissent bien. C'est tout un côté nouveau des 'événements' qui s'éclaire. Ces lettres contiennent, en effet, mêlées aux mots d'amour, des révélations inattendues et en contradiction parfois complète avec la tradition. Le visage sévère de l'histoire se ̃ déride à ce voisinage galant. Quittant son puits, c'est de l'alcôve de satin bleu de Laure d'Abrantès que sort cette fois la vérité. C'est Laure elle-même qui nous entrouvre ses rideaux, puisqu'elle faisait de l'histoire « sa raison de respirer ». ce

Presque aucune de ces lettres n'est datée, l'ensemble forme un jeu de patience de centaines de pièces. Un premier classement a pu s'opérer par la lecture, un second par le papier lui-même. Sous l'Empire, encadré de renommées claironnantes, il reprend à la Restauration les fleurs de lis traditiouT. nelles. Plus fard encore, il devient d'un: blanc uniforme et assagi. L'écriture aussi nous fut d'un certain secours. A plusieurs reprises, Laure, craignant la police de l'Empereur, fut obligée de dissimuler son deuil, de redresser ses caractères, et de changer son papier.

Dans les dernières années, enfin, ayant momentanément perdu l'usage de sa main droite, elle écrivit quelques billets de la main gauche, d'une écriture d'écolier sur un papier misérable.

Enfin, et ceci fut notre fil d'Ariane, Laure a tenu un journal intime de sa liaison, de 1812 à 1813. C'est un véritable guide indicateur de son état d'âme, chaque page « donne le départ » d'un ou souvent de plusieurs de ses courriers.

C'est un petit livre aux coins fatigués, relié de maroquin rouge une guirlande de feuillage d'or l'entoure, et deux initiales romantiques L. A. écussonnent son milieu. Les gardes sont faites de deux feuil-

Trianon-Lyrique. 8 h. 30. La Petite Bohème Variétés. 8 h. 45. Azaïs.

Théâtre du Journal. 8 h. 30. Tu aimeras. Théâtre de Dix-Heures. 10 h. Blum-Bada-_ Bloum.

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Réunions, Cours et Conférences

I:J ~tl~

Aujourd'hui "/̃' ̃ '"7 ̃̃* M. Lucien Daudet donnera aujourd'hui 11 mars, à 5 heures, une conférence à l'Union Coloniale.à Bruxelles, sur « l'impératrice Eugénie ».

A l'Université des Annales, au Colisée, 38, avenue des Champs-Elysées, demain vendredi, à 3 heures « Les enquêtes modernes Et le peuple?», conférence par M. Léo Poldès. Répliques de MM. Fernand Divoire et André Lang.

La première des trois conférences donnée avant-hier à l'Université des Annales par M. Claude Farrère sur* « Hudyard Kipling et l'Inde » a .obtenu un succès si vif ̃qu'elle sera répétée le lundi 15 mars, à 5 heures. Confevencia publiera ces belles leçons.

Samedi, à'4 4 heures, au Musée Guimet, G, place d'Iéna « A travers la Perse », conférence (avec projections) de M. Octave Diamanti.

Conférence par M., Joseph Blociszewski, professeur à l'Ecole des sciences politiques, sur « Le Danube et la nouvelle Europe '»,, vendredi, à 17 h. 30, dans là salle du Centre Européen de la Dotation Carnegie, 173, boulevard Saint-Germain.

94: ,Ejr, L~L.

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i< Le banquet annuel de l'Association amicale béarnaise et basque aura lieu le jeudi 18 mars, à 19 h. 30, à l'hôtel Lutetia, sous la présidence de M. G. Lacoin, président. A l'issue..du banquet, soirée musicale. S'inscrire chez le docteur Iribarne, 50, avenue de Malakoff.

les de soie bleu pâle, tes pages du début ont été arrachées.

Chaque soir, Laure y donnait libre cours à sa double passion son amour et sa joie. d'en écrire. Laure y fait allusion, en cours de'route, à deux faits précis; tout d'abord, une tentative de suicide de sa part. Laure déclare avoir, à l'époque de cette fatale résolution, vingt-huit ans. Quelques mois plus tard, elle, parle à mots couverts de la présence de la reine de Westphalie à Mortetontaine (novembre 1813).

De page en page, le ton s'exalte, le diapason monte, puis la voix se déchire, meurt en sanglots. Laure, abandonnée, se suicide, elle se meurt, elle parle déjà d'elle-même au passé, mais le bien-aimé revient, sa -vue calme la tempête et Laure termine son manuscrit par ce poème postscriptum

Dis-moi ce que j'éprouve en approchant de toi Dis-moi quel est le trouble où ton aspect me jette? P Je tremble, je rougis, je sens un doux efjroi fe voudrais te parler et ma langue ési muette Assise à tes côtés, je n'ai plus de maintien. le cherche ton regard, le rencontre et l'évite Que mon pied, par hasard, se place auprès du tien, Un n jeu sacré me brûle et fout mon corps palpite. Loin de toi, c'est à toi que je pense toujours C'est ton nom qu'en tous lieux je me plais à redire, Ton nom, dans la longueur et des nuits et des jours, Qu'à toute heure j'écris, que partout je crois lire. C'en est trop si ton cœur reste fermé pour moi, Sous le poids de mes maux il faut que je succombe. J'en mourrai, j'y'consens je n'exige de toi Que de venir rêver un moment sur ma tombe. Les princesses à Aix-les-Bains Nous sommes en 1812. C'est l'été. La grande armée s'est enfoncée vers le Nord. Le fracas des batailles décroît et s'assourdit dans la brume. Jamais l'empire n'a mis un tel levier aux mains de son maître.

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Concours général des lycées et collèges Les dates des compositions du con-'cours général des lycées et collèges, sont

̃fixées ainsi qu'il suit

fixées ainsi qu'il suit:

17 mai Composition française, classe de première.

̃19 mai Version latine, classe de première. ̃ 21 mai Version grecque, classe de première Mathématiques, classe de mathématiques.

27 mai Mathématiques, classe de première.

29 mai Histoire ou géographie, classe de premjère.

1 juin Histoire ou géographie, classes de philosophie et de mathématiques. 3 fùin 'Philosophie,- classe de ,pîulosophie Physique, classe dé mathématiques. 4 juin Dessin, «lasses de première, de philosophie et de mathématiques. Ecoles nationales d'agriculture

Les taux de la pension, de la demi pension et de la rétribution scolaire dans les écoles- nationales d'agriculture seront, à partir du ¥< octobre 1926, .fixés à 2.8QQ. francs pour. 4'Jnternàt, 1.800 francs pour le demi-internat, à :800 francs pour l'externat. Les aUditeriM4*Brès-WHferont >40t) francs pourn la scolarité et 400 francs

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Napoléon, en revanche, emporte dans ses fourgons la cire et la boîte aux cachets d'où sortiront les titres, les ordres, les dotations, les grades. Chacun peut désaltérer à cette source magique sa soif d'arriver, et surtout d'arriver jeune. 11 suffit de jouer le jeu honorablement et de durer. Une seule piste pour courir sa chance, la même pour tous. C'est 'une rude partie pour les hommes. Mais le maître du jeu sait récompenser rapidement et justement. « Quant aux femmes, mon Dieu, elles étaient cet été dans leurs terres ou bien en couches », écrit Laure, « c'était une singulière époque que celle-là. Elle ajoute un peu plus loin « Paris offrait un spectacle curieux, mais affligeant, tout te monde partait, les maris, les fils, les frères.v les amis, tout cela s'en allait à la guerre, et les femmes, les mères, les sjpeurs et les amies pleuraient et, pour se distraire, allaient aux eaux, daiisleuKs: terres, on Suisse ou-ne Italie.»

Jïïnôt est à l'armée, il a commandé d'àbord la réserve des troupes d'Italie, avant que l'Empereur ne le mette à la tête du corps. peut-être attrapera-t-il enfin -ce bâton gainé de velours que, malgré son inépuisable bienveillance, Napoléon n'a jamais pu arriver à lui mettre en main. Même son duché ne l'en console pas; Sa femme, elle, hésite sur la façon la plus convenable d'éblouir son monde sans cependant se contraindre à quelque corvée de cour estivale qui maintenant ne l'amuse plus. Perplexe, elle s'en ya présenter ses devoirs à Joséphine, impératrice in partibus et qu'on, dit -déjà très changée.

« Je la trouvai fort engraissée cela lui allait mal et bien, bien pour son visage, parce qu'une fois qu'une femme a passé quarante ans il faut qu'elle engraisse pour que sa figure ait encore une illusion de

Curiosa.

La poitrine est prise

J'entends, dit le docteur, des râles ronflants et de gros sifflements qui indiquent une forte bronchite. La malade a la 'fièvre, des complications sont à craindre. Mais quelques cuillerées de Pectoral Richelet vont chasser tous ces symptômes alarmants. Quand lamalade, ne toussant presque plus, pourra sortir, elle devra user fréquemment de la Pastille Richelet, véritable potion sèche, qui la mettra sans cesse à 1 abri de toute rechute et de toutes complications.^ routes pharmacies: la Pastille Richelet, 2fr. 95 tahoiie; o Pectoral Richelet, 7 fr. 60 le flacon. A défaut, écrire aur .aboratoires Richelet, 6, rue doBdforl, Bayonne (B.-P.)

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jeunesse. mal parce que sa tournure si ravissante avait disparu et que c'était presque toute sa beauté. Il y avait surtout une fraction de sa personne qui s'était accrue d'une manière toute extraordinaire et la facon dont elle s'habillait contribuait encore à la faire paraître plus forte. » Joséphine lui dit « Allez donc en Savoie, je serai bien contente de vous y retrouver. »

« Je partis donc pour Aix, le 23 de juin 1812, avec Mme la baronne Lallemand, mon amie la plus intime, mon beau-frère M. de Geouffre, et mon fils aîné, qui avait alors trois ans. Mon logement avait été retenu d'avance, car la foule était immense. Quant à moi, j'avais le bonheur d'être fort bien logée. J'étais chez M. Dommanget dans une jolie maison située sur la place, C'est sous tous les rapports le meil-, leur logement particulier -qu'on. j|Uisse; prendre à Aix. »

Tout Paris était à Aix- La Cour, la Ville, le Théâtre. Les cercle.; se formaient, se fermaient et se dédaignaient les uns les autres, ils se dépêchaient pourtant des agents de liaison, car comment s'infliger' ces mille petits coups d'épingle si personne ne vous renseigne sur la profondeur des piqûres ainsi portées ?

D'abord, le cercle le plus distingué est, comme il s'entend, le plus austère. L'oncle cardinal Fesch et Madame (mère de l'empereur) s'y font vis-à-vis c'est le cardinal qui a loué la' maison. Il a expédié de Lyon son argenterie, ses chevaux, ses vins et ses gens. «Je ne tiens pas, écrit-il à Madame mère, à ce qu'ils portent ma livrée vous pouvez envoyer la vôtre, qu'ils' endosseront. » Tout ceci n'est pas pour déplaire à Madame mère, qui ne dédaigne, pas une certaine économie.

Robert Chantemesse.

(A suivre.).


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