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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1925-10-17

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 17 octobre 1925

Description : 1925/10/17 (Numéro 290).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k2945490

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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L 'impôt sur le capita l ^S II est de plus en plus clair qu'à la rentrée" du Parlement, la bataille s engagera et les manoeuvres politiques se développeront autour de l'idée vulgaire de « prélèvement sur le capital ». Cette eveiiLuaùté pouvait etre prévue comme la réaction fatale du milieu électoral et parlementaire, à tel moment donné, devant une situation financière qui évolue, depuis deux ans, malgré l'ignorance où l'on a tenu le public, selon un enchaînement inéluctable.

uu jour, en erïet, où il devint manifeste, d'une part, que l'Allemagne ne nous verserait que des sommes insignifiantes auprès de ce que l'on avait escompté et, d'autre part, que la politique des emprunts intérieurs s'essoufflait, l'alternative apparaissait ainsi ou bien nous changerons de système et redresserons nos méthodes, ou bien, cédant à l'habitude du moindre effort, qui est la règle, non seulement de notre régime parlementaire et administratif, mais, trop souvent, de certaines fractions de notre élite dirigeante, nous glisserons sur la pente de l'abîme monétaire.

Sur cette pente même, il était absolu- ment certain qu'à tel degré de chute une réaction politique "se produirait contré le « capital », ce la part de là masse qui E souffre le plus des inconvénients de l'ins- tabilité monétaire.

Des hommes responsables qui ne prévirent pas cela, on peut dire, si l'on veut, qu'ils sont de braves gens. On ne peut pas dke qu'ils montrèrent, en temps voulu, le courage nécessaire, ni même qu'ils accomplirent leur premier devoir,qui est, pour la conduite des finances publiques, comme du reste, de s'instruire de la double expérience du passé et de l'étranger.

On voudra bien reconnaître que nous n'avons jamais ici dissimulé à nos lecteurs ni ce que nous pourrions sa.voir des réalités, ni les conséquences éventuelles qu'entraîneraient ces réalités. Aujourd'hui, nous devons leur dire « Vous échapperèi: peut-être à l'impôt sur le capital, qui n'est qu'un des symptômer fiévreux de la. maladie monétaire, mais vous n'échapperez pas à l'effort exceptionnel, sous une forme ou sous une autre, qu'appelle instamment dès aujourd'hui et qu'exigera brutalement demain la mala- die elle-même. »

Dans ces conditions, se battre contre les mots « impôt sur le capital » serait vain. Car si les choses continuent à péricliter, rien n'empêchera la nation de vouloir un redressement, et elle ira d'instinct à la formule, au bénéfice de laquelle une bataille prolongée aura fait la plus forte publicité. ̃;

Il faut affronter le problème en luimême, dans son fond, et non pas seulement dans son vocabulaire électoral qui ne signifie rien de précis.

La solution dépend de trois éléments une discipline politique, un plan scientifique, à la fois prudent et vigoureux, des sacrifices momentanés et partiels pour un gain d'ensemble. C'est à cela, à cela seul qu'il faut travailler. La manière dont on l'habillera, pour la présenter aux ignorants, rua qu'une médiocre importance. Lucien Romier.,

Nll~r~

ECHOS

Une annonce qui ne manque pas de couleur locale. Dans un journal d'Auvergne on lit A affermer., une bonne montagne] pouvant « esiiver, » 55 vaclies. laitières et « leur. suite ». On comprend aisément le mot estiver, qu est si proche d'estival, •mais de quoi se compose la suite de 55 vaches laitières ? De leurs 'gardiens ou de leur, progéniture .?.

0

̃ Vieux Paris.

Pour qu'il paraisse plus vieux encore, le Bulletin Municipal continue à rendre compte des séances de la commission qui s'en occupe avec un an de retard. L'archaïsme a parfois de l'élégance. Dans cette occasion, il nous paraît en manquer tout à fait. Pourquoi masquer un tei dédain des séances de la commission dusdY.ieux Paris ?,

La J^Éatéon voisin, pendant le mois •d'octobre, exposera successivement ses derniers modèles 10 et 18 chevaux dans son magasin des Champs-Elysées, à l'angle de la rue- Pierre-Charron, et ses voitures revisées, dans les ateliers de la

rue! LGrouseIle,i

.rua Grauselle" Le Masque de Fer,

.<

Le prince de Galles

est rentré à Londres

Londres, 16 octobre. Le prince de Galles, est arrivé cet après-midi à la gare Victo- ria. Il a été salué par le roi, la reine, les ̃membres de la famille royale et de nombreuses personnalités. Une foule considéra- j blé, qui se tenait aux abords de la gare et le long du parcours suivi par le cortège 1 royal, a acclamé chaleureusement le prince.

i

La grève des marins au Havre LE Hwre, 36 octobre. La grève des marins provoquée, on le sait, par l'incident du paquebot France, semble en décroissance.

Le service de remorquage ayant pu être assuré par huit Abeilles armées par des officiers et protégées par des gendarmes à bord, la plupart des navires en partance ont pu sortir en rade, des remorqueurs Jieur ont amené des. équipages complets.

,'̃» ̃-A'L* Ô CARN O >. f LA SEANCE FINALE DE LA CONFERENCE

Après l'adoption des conventions germano-polonaise et germano-tchèque et du texte du protocole final, a eu lieu la cérémonie des paraphes L'échange des signatures aura lieu à Londres le 1" décembre

Loçarno, 16 octobre. Les derniers moments de la Conférence n'avaient pas été attendus pour aujourd'hui. Jusqu'à midi, on ne pensait pas que les travaux pussent être terminés avant demain samedi. C'est pourquoi il y eut, pendant tout le jour, un certain flottement dans le programme des séances. Cependant, les derniers pourparlers avancèrent avec rapidité et d'heure en heure, on enregistrait les symptômes heureux d'une fin imminente. On apprenait successivement que l'accès de mauvaise humeur qui s'était manifesté la nuit précédente dans les milieux allemands, s'était apaisé. Les Polonais, les Tchécoslovaques et les Allemands étaient tombés finalement d'accord sur une formule uni'que d'arbitrage général dans le cadre des ''traités exigeais .y,-fire,o$»ï&es conditions, rien ne s'opposait plus à la réunion d'une séance plénière, .laquelle,, après avoir enregistré ces "accords, procéderait à la cérémonie des paraphes.

La première partie de cette réunion devait être très courte.

Les dernières conventions germano-polonaise et germano-tchèque furent adoptées sans le moindre débat.

Dès lors, il n'y avait aucune raison pour retarder d'un jour l'heure des signatures. La conférence décidait alors d'interrompre sa séance jusqu'à 18 h. 30, cependant qu'on allait inviter le. syndic de Locarno, M. Rusca, à assister à la séance finale de la conférence.

Dans la rue, le' public, mis en joie par l'annonce des bonnes nouvelles, applaudis- sait à tout rompre les heureux négociateurs au fur et à mesure qu'ils apparaissaient au haut de l'escalier d'honneur. En ville, la population s'empressait à décorer les maisons de fleurs et de motifs lumineux afin de j fêter aussi dignement que possible l'œuvre de paix à laquelle Locarno, modeste et glo- rieux à la fois, devait Sonner naissance. ¡ A 18 heures 30, les délégués étaient de retour pour la phase finale de la conférence, celle des signatures.

En tenue de ville, chacun des délégués se hâtait vers la salle des séances, au premier étage du Palais de Justice, brillamment .édajré. M-. Mussolini, toujours encadré par, uné importante escorté, ùesc.erfdait d'automobile, répondant aux coups de chapeau par un bref salut militaire et disparaissait à son tour. Quelques minutes après, sir Cecil Hurst, le juriste anglais, qui, avec M. Fromageot, a été un des principaux artisans du pacte, arrivait, portant dans ses bras les documents qui allaient être paraphés. Puis le silence se fit, et, pendant une heure, qui parut longue aux spectateurs du dehors, on attendit la grande nouvelle officielle.

Tout à' coup, à 7 h. 25, on perçut du.. dehors des applaudissements qui provenaient de la salle des séances. La foule a'ors, par un réflexe, éclata elle-même -en bravos. A ce moment, les fenêtres derrière lesquelles venait de se passer un acte si important, s'ouvrirent, et l'on vit à l'une d'elles apparaître M. Skrzynsky, ministre des affaires étrangères de Pologne. Dans l'encadre- ment d'une fenêtre voisine, M. Aristide Briand parut à son tour, une cigarette aux lèvres, l'air épanoui, Il avait à ses cotés le chancelier du Reich, M. Luther, et, derrière lui, la large carrure de M. Stresernann. De la rue, les cris redoublèrent et les applaudissements, les manifestations de joie de la foule ne devaient cesser que lorsque la dernière voiture de la dernière délégation eut disparu.

Corrlmûtiïquê 'àtfîîiel

Voici le communiqué officiel de la dernière séance de la conférence

La conférence réunie pour la dernière fois en séance plénièrc, le 16 octobre aprèsmidi, a d'abord approuvé te texte des traités d'arbitrage entre V Allemagne et la Pologne et entre l'Allemagne et la Tchécoslovaquie. Il a été procédé alors à l'examen et à l'adoption du texte du protocole final sur tes travaux de la conférence de Locarno, sur les buts qu'elle s'était assignés, sur les résultais auxquels elle a abouti et sur les conséquences qui doivent en résulter pour, te raffermissement de la paix et de la sécurité en Europe. Les traités et conventions élaborés par cette conférence et qui, paraphés ne varietur à Locarno, porteront la date de ce jour, sont les suivants Traité entre l'Allemagne, la Belgique, la France, la Grande-Bretagne et l'Italie Convention d? arbitrage entre l'Allemagne et la Belgique

Convention dXarbilrage entre l Allemagne et la France

Traité d'arbitrage entre l'Allemagne et la Pologne

Traité d'arbitrage entre l'Allemagne et la Tchécoslovaquie.

Le ministre des affaires étrangères de, France a. d'autre part, informé la ..conférence de la conclusion entre kf France, ta Pologne et la Tchécoslovaquie d'accords tendant à s'assurer le bénéfice des traités d'arbitrage susmentionnés, accords qui seront régulièrement déposés à la S. D. N. et dont copie est dès maintenant tenue à la disposition des puissances représentées à la conférence.

La date du 1er décembre 1925 a été- arrêtée pour la formalité de la signature des accords intervenus et paraphés à Locarno.- H sera procédé à Londres à l'échange des signatures.

La' publication de ces accords aura lieu le mardi 20 octobre au matin.

Avant de clore ses travaux, la conférence a tenu à adresser au président de la Contédération Helvétique et aux membres du Conseil Fédéral un télégramme de chaleureux remerciements pour V hospitalité qui lui a été réservée en Suisse.

Le syndic de Locarno, M. Rousta; a alors été introduit dans la salle des conférences où M. Chamberlain, au nom, de tous les représentants étrangers, lui a renouvelé l'expression des sentiments de gratitude des délégations pouir l'accueil qu'elles ont rencontre et îles, facilités dont eUes-oyitib$nériicvédans^lazvUle !rf<? Làourrio.

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La séance a alors été interrompue pour 1 permettre ,aux secrétariats des délégations

d'achever la préparation matérielle des ins- I

d'oc/Mucr prcp<n'a.<!OM ma-eM.s d<M HM-

truments diplomatiques soumis à la signature des gouvernements intéressés. Les traités et conventions de Locarno ont été paraphés à sept heures du soir. Avant la clôture de la séance, 'dies discours ont été prononcés par MM. Stresemann, Briand, Chamberlain^ Vandervelde et Mussolini. ̃•

M. Stresemann espère que Locarno sera le début d'une période

de collaboration confiante

Locarno, 16 octobre. Au cours de la réùnion de cet après-midi. M. Stresemann a prononcé le discours suivant j. « Au moment où les traïïés conclus ici viennent d'être paraphés, permettez-moi de vous adresser quelques, mots, au nom du chancelier de l'empire" et en mon nom propre.

(Les délégués allemands acceptent le texte du protocole final, avec ses six annexes, et ils ont déjà exprimé cette acceptation en paraphant l'acte, non seulement Sincèrement, mais joyeusement. Le grand développement de l'idée de la paix européenne a comme point de départ notre rencontre à Locarno, ce qui, dans la forme du traité de Locarno, -représentera une étape importante pour le développement futur des Etats et des relations' entre les peuples.

» Nous saluais. en particulier, la conception exprimée dans le protocole final de la Conférence, affirmant la: détente entre les peuples et le soulagement qu'apportera la solution de tant de questions, politiques et économiques, qui doit en résulter.

» Nous avons pris la responsabilité de parapher les traités parce que nous croyons que c'est seulement en vivant pacifiquement les uns auprès des autres que nous pourrons assurer ce développement des Etats et des peuples. qui n'a pour aucun continent autant d'importance que pour les pays de culture européenne, dont les nations ont supporté des souffrances si infinies, pendant ;les,-ôn-Bées que nous ayons derrière. nous: d "Si importants 'que soient les accoMs qui viennent de prendre forme ici, les traités dé Locarno n'auront cependant leur répercussion la plus profonde dans la vie des nations que si Locarno n'est pas une fin, mais le commencement d'une période de collaboration confiante entre les nations. d Que l'avenir puisse réaliser ces possibilités, ainsi que les espérances fondées sur le travail qui a été fait ici tel est -le souhait sincère que les délégués allemands tiennent à exprimer en cette heure solennelle. » «J'espère que nos deux pays éprouveront bientôt les bienfaits de cette politique », déclare M. Briand

Voici le texte du discours prononcé par M. Briand

« Comme représentant de la France, je tiens à m'associer de plein cœur aux sentiments exprimés par le délégué de l'Allemagne et je manquerais à l'esprit de justice si je ne saluais pas le geste courageux qui est à l'origine de cette conférence. » Je n'oublie pas le mémorandum adressé, le 9 février, par le gouvernement allemand, sur l'initiative de M. Stresemann, au gouvernement français. Ce fut le point de départ de nos efforts, et c'est le résultat de ce geste auquel je veux rendre hommage que nous enregistrons aujourd'hui.

» Je viens de parapher le traité et la convention qui ont été préparés à Locarno. Mon mandait est ainsi terminé. C'est donc en mon nom personnel que je parle maintenant, mais avec la certitude de refléter le sentiment, non seulement de mon gouvernement, mais encore de la grande majorité de mes compatriotes.

)) Si nous n'avions fait ici que négocier les termes d'un traité, et si ensuite nous rentrions chacun dans notre pays, nous en remettant à des hasards heureux du soin de réaliser les promesses qu'il contient, nous n'aurions accompli qu'un geste vain. Si ce geste ne correspond pas à un esprit nouveau, s'il, ne marque pas le début d'une ère de confiance et de collaboration, il ne produira pas les grands effets que nous en attendons.

» M. Luther et M. Stresemann, avec qui j'ai eu, hors de cette conférence, des conversations officieuses, dans lesquelles nous nous sommes expliqués franchement, m'ont dit avec quel espoir ils envisageaient l'œuvre qu'ils accomplissaient ici.

ivJe leur ai répondu avec une complète loyauté. Entre nos deux pays, il' reste des surfaces de friction. Il y a des points douloureux. Il faut que le pacte signé ici soit un baume sur ces plaies. Il faat que !es difficultés qui existent soient aplanies. d ~M. Stresemann, avec • une discrétion dont je lui sais gré, a fait attention à certaines régions de notre pays, dont vous n'avez pas le droit de vous désintéresser. Moi non plus, je n'ai pas !e droit de m'en désintéresser.

» Je suis certain que la France comprendra toute la portée de ce pacte, et qu'elle voudra faire ce qui sera en son pouvoir pour qu'il en résulte entre nous un sentiment d'apaisement et de détente. Ceux qui la représentent auront à cœur de faire, aussitôt qu'ils le pourront, ce qui dépendra d'eux pour que soient réalisées entre nos deux pays les conditions qui permettront une politique de détente profonde, et, je l'espère, de collaboration confiante. n Cela fait, quant auront été réglées les questions qui restent à" résoudre,' nous pourrons travailler en commun, dans tous les domaines, aux réalisations de cet idéal qui est le nôtre une Europe accomplissant son destin, en restant fidèle à son passé de civilisation et de noblesse. C'est dans cet esprit que. les uns et les .autres, nous sommes venus ici.

» J'espère que nos deux* pays éprouveront bientôt les bienfaits de cette politique.;) {Voit, la suite en troisième page.)

QUE SE PASSE-T-IL y EN SYRIE? Une information de source anglaise annonce quela ligne Damas-Beyrouth serait coupée

LONDRES, 16 octobre. On annonce de Bagdad que, d'après des informations de source indigène, les troupes françaises en Syrie viendraient d'essuyer de sérieux re- vers de la part des Druses, qui auraient coupé une partie de la voie ferrée entre Damas et Beyrouth.

(N. D. L. R. Etant donné que les télégrammes de Londres concernant la situation au Maroc et en Syrie sont pour la plupart tendancieux, nous donnons celui-ci. sous les plus expresses réserves.) Le calme règne, dit un télégramme de Beyrouth

BEYROUTH, 16 octobre. Dans le BjeL-e1. Druse et en' Syrie, le calme est complet. Le haut commissaire en Syrie, accompagné de M. Lepissier, secrétaire général, du colonel Bureau, chef du cabinet militaire, du lieutenant Pirot, du colonel Garchery, chef d'état-major de l'armée du I e~vant,est alîé comme, d'ordinaire recevoir ̃.lie» troupes de renfort venant de 'France

^N^N^^S^

Un fauteuil pour deux Les journaux du Cartel ont envoyé hier à Nice plus de fleurs qu'il n'en arrive à Paris, de la Côte d'Azur, en un an. Quel entlwusiasme Qu'ils sont heureux, ces carlellistes Il suffit qu'ils soient réunis en une salle quelconque et qu'ils parlent pour qu'aussitôt l'avenir leur apparaisse souriant. Du moment que le Cartel est debout dans sa gloi,re, tout va bien dut, le lendemain, tout s'assombrir

Cependant, des gens des réactionnaires, puisqu'ils ne sont pas du Cartel s'étonnent de ce (lui se passe dans ces assemblées. Ils contemplent, troublés un peu, ce nouveau régime extra-parlementaire, cette nouvelle Haute Cour qui siège au Casino et qui va juger le gouvernement et, loin du, PalaisBourbon et du Luxembourg, décider de son sort. Juridiction compétente, p-uisqu acceptée par les ministres qui font docilement mille kilomètres pour n'étre point condamnés par défaut

Ce n'est plus devant les Chambres qu'ils sc-seribenl responsables. C'est devant le :-(Sart'e.l,j}iVi.ant ou posthume. Les séances du ̃J?àrlemenl\ne sont plus que matinées ou soirées de. gala politique. Le travail sérieux se fait aiUeurs. C'est le congrès du Parti qui dispose du pouvoir et distribue par avancé les portefeuilles.

Le Cartel a, d'ailleurs, sur toutes places et fonctions, une sorte de droit régalien. Et l'on a fort remarqué cette réponse de M. Herriot à M. Franklin-Bouillon « Je dirai à Painlevé, malgré notre affection J'aimerais mieux te voir tomber et te rendre la présidence de la Chambre que de te voir triompher avec l'appui de la, réaction. » Du point de vue oratoire, le mouvement est remarquable la formule rappelle agréablement le vieux refrain de Pierre Dupont « J'aime Jeanne, ma femme Eh bien j'aimerais mieux. » Mais c'est du point de vue réglementaire surtout que cet échange des fauteuils étonne. Un autre Pierre a dû tressaillir dans sa tombe en' entendant un président disposer ainsi de sa succession à la sonnette. Jamais Brisson, jamais Floquet, si' sûrs qu'ils fussent de leur majorité, n'eussent risqué pareille hardiesse. Mais étaient-ils bien républicains ?. Peuh ils n'étaient pas du Cartel. H. V.

Les ÉVÉNEMENTS DU MAROC

Fez, 16 octobre. On ne signale aucune action ni incident dans -le groupement de l'Ouest.

Les 'forces rifaines semblent en voie de réorganisation dans le secteur du centre. Quelques nouveaux rassemblements ennemis sont repérés dans diverses régions de ce secteur où l'aviation a bombardé Ghafsaf, gros village de la haute vallée de l'Oued Aouadour (où est installée une mahakma de commandement), ainsi que Aïn Berda, localité voisine sur laquelle les Goliath ont lancé 2.800 kilogs de projectiles.

La. détente continue dans !e voisinage de notre front. On signale que plus de 150 familles Hayana ou Branes sont rentrées de dissidence et ont remis leurs fusils. j A Ouled Ghezar, les Rifains subissent de grosses pertes

Fez. 16 octobre. Rien à signaler dans le secteur du 19e corps, où se poursuivent les préparatifs de i'hivernage. -rtisa~s Bou

̃:̃ ,Au centre, un djich de nos partisans Bou J3ane a pénétré, dans la nuit du 14 au 15, 'dans le village d'.Aouna, sur l'oued Tascoft, tenu par les disidents, et a réussi à ramener un prisonnier d des animaux de bât. j, A l'Ouest, dans \e pays des Rhouna, quelques familles sont rentrées de dissidence, .ainsi que quelques familles des Beni Mesguilda.

.̃̃Le poste de Ouled Gh.eza.r3 été attaqué sans succès, avec de grosses pertes pour les assaillants.

Nouvelles soumissions

TANGER, 16 octobre. Sur !e front nord, ̃environ 1.200 familles ont fait leur soumission et versé 300 fusils Les succès obtenus par les troupes espagnoles sont très commentes en montagne. On s'attend à de nouvelles soumissions.

Sur le front d'Ouezzan, !a situation est 1res bonne.

Quelques nouvelles familles Branes sont t rentrées de dissidence, ainsi que 134 familles Haoura Dial Hadjar, qui ont versé trente-quatre fusils.

Le maréchal Pétain est attendu 0, Taza. Il a conféré avec l'officier de liaison détaché auprès du général Primo de Rivera, et qui a assisté aux brillantes opérations espagnoles dans la région d'Ajdir.

̃^̃LA POLITIQJUE FINANCIÈRE LE CONGRÈS RADICAL Autour du prélèvement sur le Capital

1 u «1 ̃̃»•••

M. Herriot le demande, M. Caillaux le repousse

Nice, 16 octobre. (De notre envoyé 1 spécial.,) -Le ciel niçois continue d'être l généreux et, sans doute, retenus au rivage de la baie des Anges, par ses en- clïantements, les délégués ne se pres- sèrent point, aujourd'hui, à la première heure dans la salle bigarrée du Congrès. Il est bien vrai que les débats qu'on leur promettait étaient moins séduisants que la mer bleue avec ses voiles roses. Il s'agissait d'augmenter et de rajeunir les systèmes de propagande dont use le parti il s'agissait encore d'entendre un rapport angoissé sur la natalité française, et d'écouter M. Durafour exposer amplement sa politique sociale. Les radicaux, même les plus fervents, manifestèrent discrètement leur goût pour semblables études, mais, en revanche, ils organisèrent, dans tous les coins, des salons où, d'habitude, on s'occupe surtout de boule et de chemin de fer, une douzaine de petits congrès. Leur grand souci était de discerner les suites que pourraient avoir, et qu'auront les incidents qui. hier soir, marquèrent les débats de cette commission de politique générale M. Herriot et M. Franklin-Bouillon se découvrirent adversaires.

Ces .petits congrès étaient si 'brûlants que «Les congressistes du grand; ne pouvaient plus s'entendre. Les ministres viisâs par l'ordre du jur que l'on sait MM. DoTrel. André Hesse, Georges Bonnet, d'autres encore, un peu gênés, un peu émius, se tenaient- à -T-éc-ar.t dans le fomid de Ilia salle.

M. Henry Michel présidait la. séance et (lorsque M. Durafour gravit il a tribune pour y .prononcer son discours, ̃le président dit à brûle-pourpoint Citoyens, il est bon de savoir et de nous répéter que le parti ne se connait pas d'ennemis à gauche, Il est bon de redire de même que,quel que soit le programme qu'un gouvernement noue proposerait, s'il le de.vait exécuter avec l'appui d'une fraction de droite ce programme fût-il celui du Cartel restauré, ce programme, nous le renierions. ZD

Ayant ainsi parlé, M. Henry Michel embrassa M. Durafour. puis embrassa M. Delbos, qu'il avait sous la main. Et quelques minutes plus tard, quand le ministre du travail s'appliquait à conter en termes pathétiques les peines et les misères des employés, il l'arrêta soudain pour adresser l'hommage de sa vénération à M. Herriot, « au chef éminent de ce parti qui incarne à nos yeux la droiture et la loyauté républicaines ». Ces menus faits avaient un sens qui n'échappera pas aux personnes les moins rompues au jeu délicat de l'intrigue, lis signifient fort clairement que le parti ne s'est pas divisé par hasard le 12 juillet. Ils signifient aussi que rien n'est plus incertain que l'appui qu'espère trouver auprès des radicaux-socialistes de la majorité le cabinet de M. Painlèvé.

Ce vent de discorde qui avait soufflé dès ce matin sur le congrès, loin de s'apaiser dans l'après-midi, parut redoubler au contraire. M. Nogaro, député des Hautes-Pyrénées, présentait son rapport sur la. situation financière et fiscale. Il le fit avec science et loyauté. Il ne cacha pas au congrès qu'en l'état précaire de nos finances, ce serait folie que de songer à supprimer l'impôt sur le chiffre d'affaires, et il témoigna au surplus qu'un prélèvement sur la fortune acquise, dans la forme où on le préconise serait un leurre ou une déception. A entendre M. Nogaro, ce prélèvement aurait nul effet sur la revalo| risation du franc, but des ambitions unanimes il serait impropre à réduire la dette publique et l'orateur attesta enfin qu'au bout du compte, ce prélèvement ne serait point autre chose qu'un superimpôt sur le chiffre d'affaires. Son argumentation qui ne saurait trouver sa place en un si court article était, serrée et convaincante. Mais si M. Nogaro critiqua sans pitié tous les systèmes d'impôt sur le capital que l'on a jusqu'ici proposés, il surprit l'auditoire en ne lui offrant pas de suggestion positive.

C'est alors que M!. Caillaux apparut. Son entrée au congrès, quelques instants plus tôt, avait été saluée par de ionigs cris de joie et d'affection. D'une voix saccadée, il dit « son passé douiloureux », .ses wiforlunes,- ses déboires. «Il dit sa chute, la prison, puis !e retour à la lumière, et il tança un grand cri d© :re connaissance à ces fidèles radicaux qui, dans 'le malheur, :1e soutinrent.

J'ai souffert, s'écria-l-il. J'ai été persécuté parce que j'avais fait l'impôt sur le revenu, et aussi parce que, en 1911, j'avais maintenu la paix du monde.

Alors et subitement, tournant court, M. Gai'llaux fit le procès oh un procès ardent de ce qu'iil a. appelé a cette politique financière d'illusions, pour ne pas dire de mensonges, qui a pris finale 11 'mai ». La politique financière qu'il entend faire est aune politique de vérité. Il énumère les d if facultés redoutables de l'heure présente charges budgétaires sans cesse accrues, achèveI raient de la reconstruction des régions dévastées .pour lequel des emprunts

nouveaux seront nécessaires, la dette énorme {cinquante-cinq mMkirds, dont vin/jl-six rmiUliards à court .terme), les dettes intieraMiées que chaque année les intérêts accumulés augmentent.

Telles sont nos charges, dit le ministre. Ce n'est pas en un 'jour, ce n'est pas par un coup de baguette que ces difficultés seront résolues.

Il montra son budget « sincère, démocratique, s'il en fût un jamais ». Il parla de l'organisation d'une caisse d'amortissement, mais se déclara l'enne-mi de toute solution, violente.

Le capital, mais n'est-il donc pas imposé h la mort du contribuable? s'écrie-t-i-1. A ce moment n'en prélève-t-011 pas une part au bénéfice de l'Etat. Seuls, ce que l'on appelle les biens oisifs échappaient à l'impôt. Je' viens de les taxer. Je ne puis faire davanlage. Celui qui vous parle est l'auteur de l'impôt sur le Il n'a jamais reculé,, il ne reculera jamais devant les réformes d'audacieux, mais il a toujours été, il est plus que jamais l'adversaire de la démagogie financière dont il sait quels périls elle implique pour la République et pour la nation.

La démagogie financière, c'est la.métihode qui consiste à tromper 1es masses, à leur voiler l'étendue des rudes efforts à accomplir, à leur persuader que des formules sommaires leur permettent d'éviter les pénibles sacrifices. Elle est actuellement mise en oeuvre par les ploutocrates -financiers et industriels. Leurs agissements, je les dénoncerai si l'avertissement que je donne ici ne suffit pas.

.Pour moi, si je n'ai pas votre confiance, dites-le, appeliez un autre à ma place, mais de grâce donnez-lui du temps car je vous le répète, nos finances ne peuvent en un jour être réparées. Des réformes démocratiques tant qu'il sera possible, mais de la mesure, mais du calme, mais de la patience, mais l'œil ouvert sur les pièges qu'on vous tend (Vifs applaudissements.) Ainsi M. Caillaux venait de. s'avouer, et une fois de plus, l'adversaire du prélèvement sur île capital dont les socialistes disent qu'il est le seul .reimède propre à revivifier une France' débite.

M. Bouyssou ne pu supporter cette offense. A'premient, violeimiment, il se. dédla.ra partisan de ce préilèvemient que; île ministre rejetait et, constatant- que financièreni'ent nous vivons une époque révoilutionnaire, il proclama le -droit de la coillectivité quand le salut du pays l'exige à !la confiscation d'une part des richesses publiques.

Le bouillant, vice-président de la Chambre, par le dépôt d'une motion, somma le parti radical de se prononcer sur ce point, et de façon très nette. On vit alors ce speclacle Ceux-là qui, le moment d'avant, avaient applaudi, à tout rompre, M. Nogaro et M. Caillaux, applaudissaient.. d'un même cœur une thèse opposée, et M. Herriot s'élança. Lui aussi voulait qu'un débat aussi grave eût une conclusion. Il supplia les radicaux de réfléchir, et il supplia, le ministre de venir travailler avec eux dans .les commissions.

Je continue de croire, dit-il, moi qui suis un bourgeois dont les économies, comme les économies de tous les bourgeois s'effritent au jour le jour, je continue de croire que le prélèvement sur le capital sauvera le pays. Collaborons. Ne prenons pas de décision à la légère.

Croyez-vous, lança M. Caillaux, que ce n'est qu'après une étude sommaire que j'ai prononcé le discours que vous venez d'entendre ? J'ai le devoir do vous crier « Prenez garde », il est des expériences qui i peuvent être faites sans danger dans les époques de prospérité. Aucune d'elles ne saurait être tentée aujourd'hui. Je ne crois pas a la vertu de l'impôt sur !e capital. Il n'a donné en d'autres lieux que des déboii res et ce n'est pas moi qui courrai le risque de jeter au rocher le vaisseau de l'Etat. Je vous crie: Prenez garde I

'• Les délégués étaient bouileversés j quand, après ce duel, la séance a. été levée. L'unité d'opinion du parti radical est, dès ce soir, entrée dans la légende. La Chambre qui ?e réunira le 27 octobre ne verra jwus qu'une imajo| --rite, ou ce qui fut mn majorité, 'dont les individus, ignorants de la discipline, ne songeront qu'à s 'entre déchirer. Henry Vidal.

Ui complot bolchevique

contre les Souverains roumains

Il est découvert par la police

Londres, 16 octobre. Un télégramme de Bucarest dit que la police roumaine a découvert, dans !e nord de la Bessarabie, un complot bolchevique dans le but d'assassiner !e roi et la reine de Roumanie lors du retour de leur récente visite Jassy. L'assassinat aurait été le signal d'une révolution communiste et, à cet effet, d'importantes quantités d'armes, de munitions, de grenades à main et plusieurs machines infernales auraient été cachées en Bessarabie et ailleurs. Deux anciens officiers de l'armée russe, qui avaient été chargés de cette mission, ont été arrêtés ainsi que d'autres coupables.

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AUJOURD'HUI

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DERNIÈRE HEURE)

La Conférence de Locarno M. ^Chamberlain "s'associe àux\ espoirs v de^MM, Briand et Stresëniann

^V « «̃»

[SUITE DE LA PREMIÈRE PAGE]

Voici le texte de l'allocution de M. Chamberlain

i( J'ose à peine ajouter quelques mots à ia?dé(|lara|ipn faite par M./Stresemann et à ]a réponse que lui -a faite le représentant de la France, mais je désire m'associer, au nom de mon gouvernement et de mon pays, aux espoirs et aux souhaits qui ont été formulés à cette table. J'estime, moi aussi, que ce que nous avons accompli ici n'est pas une fin, mais un commencement. » M. Vandervelde rend hommage

à la bonne volonté de tous les délégués Du discours de M. Vandervelde, nous extrayons le passage suivant

« Comme représentant de la Belgique, je m'associe avec une émotion profonde aux paroles que nous venons d'entendre. Parmi ceux qui sont ici, il n'est personne qui ne soit heureux et fier d'avoir eu sa part, si modeste soit-elle, dans le grand acte qui vient de s'accomplir. Pour atteindre ce résultat, chacun y a mis du sien et on ne saurait assez rendre hommage à la clairvoyante loyauté de M. Chamberlain, à la persévérante volonté de pacification de M. Briand, à la science juridique de M. Scialoja et, je tiens particulièrement à le dire, au ferme courage avec lequel MM. Luther et Stresemann n'ont cessé de défendre les intérêts réels et permanents de l'Allemagne contre ceux de leurs compatriotes qui regardent plutôt le passé que l'avenir. » MÏMussolini salue une Europe nouvelle Etjfin, M. Mussolini s'associa en quelques mots» aux déclarations de ses collègues, se félicitant de la conclusion d'accords qui con;Sacfeiït une Europe nouvelle.

M. Mussolini quitte Locarno

M. Mussolini a quitté Locarno aussitôt après la séance finale de la conférence. Il s'est embarqué sur une vedette et s'est dirigé vers les eaux italiennes.

Le départ de M. Briand est fixé à {dimanche

M. Aristide Briand a reçu, à Locarno, de nombreux télégrammes le félicitant de la conclusion du pacte de sécurité. Il partira par chemin de fer .dimanche après-midi. Il -sera de retour à Paris lundi matin. Le français fut~)ta langue officielle de la conférence

Il est intéressant de signaler que le français fut la seule langue officielle de la conférence, le texte des -accords. paraphés à Locarno ce soir n'a été établi qu'en français. Conférence allemande pour l'examen des traités

BERLIN, 16 octobre. Un communiqué de Y Agence' XVoltt dit, à propos de la conclu- sion des actes de Locarno, que les minis- ft¥é3 dès- Etats particuliers allemands. ont éf'ê: cdfivoqués pour mercredi prochain, La ̃ commission du. Reichstag pour- les ̃ affaires étrangères se réunira jeudi afin de prendre connaissance du rapport de la délégation allemande. Le communiqué ajoute « En raison de l'intérêt que le pacte présente pour la Rhénanie, les représentants de ce territoire ont également été convoqués à Berlin pour mercredi. »

EN QUELQUES MOTS

IQt

La commission des réparations s'est réunie sous, -la présidence de M. Louis Barthou. Tous '.̃̃a l'ïf.'égués pri icipaux c' adjoints étaient pré-

sents.

Berlin. Une grande manifestation, organisée par la Baimiùrc du Reich contre les monarchistes, a eu lieu à Berlin.

Berlin. Le traité de commerce germano-espagnol cesse aujourd'hui d'être en vigueur, 'sans qu'un « mo'.uis Vivendi ait été trouvé, ni même qu'un aHacgement provisoire puisse être espéré.

Canton. Les forces rouges se sont emparées de \Vaichou, mardi. Elles ont fait de nombreux prisonniers.

Calcutta. L'a sérieux accident de chemin de fer s'f»st produit près de Halsa, à 100 milles environ air nord de Calcutta. Un train de voyageurs heurta, un train de marchandises. On compte une vingtaine de tues et une cinquantaine de

^lassée. ̃

Londres, in avion militaire anglais s'est écrase sur le sol près do Windon, L'officier pilote a été tué sur le coup et l'officier observateur mourut peu après.

Pékin. II est probable qu'une partie du fleuve Jaune continuera à déborder pendant tout l'hiver. 80.000 personnes seraient sans foyer dans un seul district.

San-Dïego /Californie). Le sous-marin n' 25 a heurté viotemment, au moment où il émergeait en surface, un dragueur de mines. Les ̃deux bâtiments n'ont été que légèrement endommagés.

Tunis A la mine Boujaber. un coup de mine a tué neuf ouvriers et en a blessé plusieurs autres.

L'OPINION DES AUTRES « ̃̃- ̃̃-

•V LOCARNO

La (Conférence de Locarno a « une bonne presse ».• L'opinion générale fut d'abord extrêmement pessimiste. On ne croyait pas à un succès. Puis peu àj>eu celte impression s'atténua. Nous avons liot6.au fur et à mesure qu'elle se manifestait l'évolution de la presse parisienne. L'accord -d'abord « impossible » devint «possible », puis « probable », puis « certain », et enfin, « acquis ». Le public reste assez défiant à l'égard de l'Allemagne et ne. sachant pas exactenient ce qu'il y a derrière les textes signés, il redoute d'instinct une manœuvre du Reich. Sous cette réserve qu'imposent à son esprit tant de douloureux souvenirs, le « Français moyen »̃ est tellement avide de sécurité et de trañquillité qu'il applaudit tous les gestes qui témoignent d'une intention de paix et ioue ceux qui les accomplissent. La. presse parisienne est donc plutôt optimiste. Elle se félicite. unanimement de la « détente » européenne enregistrée •ù Loearno. M. Gustave Téry (Œuvre) parle de « notre admirable Aristide Briand dans cet événement dont l'importance égale celle de la déclaration :<}& guerre' en août 1914. Il ajoute « Au vrai, n'esMl pas le même événement re-

.aëo? 'f `

fA.A'¡£,T. rFis~3ds~1 1>t.m.-bil'lLAfl..

1

Uytrç dette mi Etats-Huis L'opinion du financier

américain Otto Kahn

'iti

New-York, 16 octobre. Au cours d'un intéressant discours que vient de prononcer devant les membres du Harvard Cl,ub, le fi.uuicier américain, M. Ottu Ivalin, a déclare lie les hitats-Lnis devraient accorder à la hVauee les conditions les, plus- favorables pour le remboursement "de" sa dette. Le fameux banquier déclara qu'à à son ivis les Etats-Unis devraient abandonner. une partie du capital de la dette française, par exemple la partie des sommes qui fut réellement cqnsacrée par la France à la poursuite de la guerre.

M. Otto Kahn estime que cette partie se monterait aux deux tiers environ de la somme totale réclamée par le gouvernement américain. Le, tiers restant deuait être prpmpternent remboursé par la Fiante au taux d'intérêt de 4 1/2 par annui- tés.

Les négocia iona fin ncières anglo-be ges ont abojti à un a cord Londres. 16 octobre. Les négociations, reprises il y a trois jours entre la délégation financière belge, conduite par M. Jans>sens, et la Banque d'Angleterre, en vue d'accorder à la Belgique d'importants eiedits qui permettront de stabiliser le franc belge, se sont terminées ce soir de la lacuii la plus satisfaisante pour la Belgique. Tous les documents ont été signés, et l'on n'attend plus, à l'heure actuelle, que la ratification du gouvernement belge du projet Janssens.

Mais dès aujourd'hui un contrat a été signé qui assure au gouvernement belge ot a la Banque nationale belge, des crédits à Londres, New-York, (Stockholm,, Amsterdam et Genève, de sorte 'que la. Belgique ya main- tenant pouvoir entrer de plain-pied dans l'ère de la stabilisation recherchée. Rien n'est encore officiellement connu quant au montant total de l'emprunt, mais, dans les milieux financiers de Londres, on parle de 30 millions de livres sterling. Les relations germano-russes

Berlin, 16 octobre. ̃ -On annonce qu'a la suite du traité de commerce gefrnano- russe, les communications ferroviaires di-' rectes, entre la Russie et l'Allemagne vont être; reprises prochainement. [: ;i .-̃.«.- Avant le départ de M.VareûDe

';y,

Hier soir a eu lieu, dans le hall de l'Agence économique" du gouvernement général de l'Indochme, une' bnllantu réception olferte par M. Alexandrie Vaislnje,, gouverneur ge- néral de l'Indochine, a J'oeçasron de son

prochain départ. v ̃

Le, président de la République, accornpa-

-stre du c~a~ e,

`toll ',a,.iS,;6,Ii-: ,e:

l, nna~ ç(ïj'i'. nt'

leurs études, Isatis, le général Goura^d, MM. 'Bonju, préfet de la Seine Outrey Boussenot, Moutet, députés.

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DERNIERE tfEUBE SPORTIVE

Le banquet Peugeot

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Malgré l'absence élu Salon de l'Automobile, la Société anonyme des automobiles et cycles Peugeot a donné, hier soir, son banquet traditionnel.

Plus de 1.^00. convives, agents et amis de, la maison, assistaient à cette graôdcvfôtc de famille.

Parmi les personnalités présentes, à côté de MM. Robert Peugeot, administrateur-directeur de la Société Isaac Koechlin et Lucien iRosengqrt, administrateurs-idélégués,, citons

AI.M. Fernard David, ancien ministre, commissaire général de l'Exposition des Arts décoratifs de Kerguezec, sénateur le général Herr,. Jean Monod, colonel Laeombe, colonel Perrus, Privat-Deschanel, Eugène Roux, conseiller d'Etat; Charles Rosengart, Georges Bénard, Petavy, Dreyfus-Rose, Bernard Précy, Charles Faroux, Henri Desgrange, F. Reichel, P. Rousseau, Victor .Breyer, Baudry de .Saunier, Henri. Relit; Géo Lefèvve, Armand Massard, Emile Buré. de Pawlowski. Bernandot, Breton; Morlimer-Mégret, Sénéchal, L. Gaumont, Fougère, Jacques Meyer, Girardet, directeur technique de la Société Peugcot Dugand et Vallée, directeurs commerciaux Guillard-Finsch, directeur financier Louis Rouff, Deloire, directeur des carrosseries, etc.

Des discours ont été prononcés par MAL Robert Peugeot, Rosengart, Ch. Faroux, Franchomme et Gaussade, qui ont célébré la prospérité Peugeot, dont le chiffre d'affaires atteindra 410 millions en 1925. Une partie artistique a terminé la soirée on a applaudi' Mlle Leonnec, Doumel, Mlle Damia et les Fratellini.

thousiaste. Il craint que l'Allemagne- en entrant dans la S. D. N. n'ait voulu- as= surer l'évacuation de Coilogne, obtenir des atténuations ,sensibles au -régime d'occupation des fomtoires ̃rhénans et se faire délivrer -plus tard des mandats coloniaux. D'autre par.t, les préparatifs évidents d'aune restauration des Honen: zollern ne sont pas sans l'inquiéter. Pour M. Emile Buto (Eclair), le Cartel a ruiné, à Locanno, le prestige. de tta France. OeWe^ci est isolée, puis:qùe pour aimiad'ou&r M. Stres&rtia-nn e*Me a ro^mipu avec lia Belgique, abandonné la -Pologne et la Tdlïéoo-Sl'Ovaquie Get^; opinion est également cell-e de Ai Jacques Bain.vi'lle (Action Française), qui .envisage le Pacte de Locarno comme la trêve jugée nécessaire par les droites aillemaindes pour ra&teuirer la nionarohde. Quant à M. Arastide Bri-and. sa dextérité, son habileté sont unmimiemeaii, reconnues. Tout jle monde lui rend hQjniflag-e en. même teonips" qu'à M.,Cl}a!mbenlain. Le prestig-a de notoe' rnànis-ti-e des affaires étrangères s'est aiconi. Son autorité politique s'en trouve renforcée précis&menl à la veille d'événements parle.mentai-r.es assez graves Et par- là, Locarno pourrait avoir, même sur 'notre politique Ultérieure, un© grande inî-laençe. C'est tout su moins ce qui s'écrit et

se-i€it-aîi ̃ peu par-ienrâ. Wf£ra..X£l«tte

~Ui11pel.l P~m.X~

Quatre Chinois 4| ~I

parmi ceuiqui eny^ireat leoyiégagjn `' i seront ju^és aujourd'hui ;̃' àï. Ôn se souvient du coup de main dont la légation ̃ de '-Chine; -rue; 'de1' Babjione, fut l'objet le 21 juin dernier. Bon gré, mal gré, le représentant de la Chine à Paris "dut signer un certain nombre, de pièces protestant contre « l'esprit impérialiste n, réclamant K la Ohine.àux Chinois i j> et le retrait drs .^nUitaires étrangers -qui; aWenl|g., poliïé du territoire. .Quatre des manifestants, parmi la cer- taine qui participa à l'expédition, purent* être airèiés. ils passaeni hier devant le tribunal correctionnel, à la dixième chambre, 11 est probable qu'ils n'auront, en raison dû" leur virginité judiciaire, qu'un* 'aible nombre de mois de prison à se partager ils les ont d'ailleurs déjà effectués, préventivement. C'est dire qu'ils seiont en Ubeite aujourd'hui.

Le temps avait tiavaillt en letii fa\eur l'induigeiiLe est sœur de 1 oabh des s;iefb qu'on pouvait in\oquei en ]inn tontic h s quatre compaiseb, il ne testait guuc que le plus bénin, qui est la \ioiatiuii di domicile le ministre de Chtne a\ait .en etfet

ntne sa plainte, i\ait nitnic di c ait n'a\nr

été \ictnne. d'aucune M>ie i1i> fait le tait

d extorsion de siçiiatim, nicinc ne lin P'

îaissail pas caiatttiihé caifin les débats d'hier pouvaient nous confnmei dans, cette opinion que les affaires de Lhuif. bint loin- taines et compliquées et, qu'enhe ie& deux1 ¡ acneinranentb entre k^quelb. la-bis, ob Line le oomoir, il es>t bien difficile à un ambassadeur de se piononcoi nettement sans enlieindic à la îegle du ]eu diploma- tique. Bief, le mmishe de Chim ne paiut pas i aux de)bat& et on se contenta de's témoignages de la oncietge de l'immeuble, du commissan du quai tiei- et du bngadiei qui avait piotede aux ai u stations .1

Les quatre accUbCb, qui sp. nomment Tchenz Koje Ithing Lien Koufc, Soun Lang Tien et en 1 lIju Min u manquaient

de ce lehef giate u quoi d< telles affaires

prennent paifoif. d^l'intciêt 11 fallut pour les entendie, suspendie l'audiente d ins 1' »ltente d'un uitf'Wète qm paml hiiUb 1cm traits d'un tout jeune luinnu, quelque, i eu hésitant et tiouble par sa i esponsabiutt. Il parla en ti ancais^ux Chinois «*t en chnmis au piesidpnt, ce qui peixinl à < plui-ci, M Ihoiel, d'égayer ces de bats languissants d'un peu de cet esprit qui d cours au Pal.ua Bref, étant admis que tes inculpés- oai-- 'I vriers mécaniciens et étudiants, avaient de bons antécédents, que l'affaire du 11 juin se passa sans violences excessives, que le principe d'exterritorialité, cependant, nesaurait s'appliquer en l'espèce et que la cour d'un immeuble, même ouverte à deux battants, doit être confondue avec l'immeuble -lui-même en .matière de., violation de domicile, le procureur Larrouze demanda3 une condamnation de principe, Mes Bertihon, de'Molens, Duliphard ef, Mourier plaidèrent tour à tour et le président Thorel remit à aujourd'hui son jugement.

APRÈS^LAJÎRÈVE

Un maire lorrain suspendu pour un mois Metz, 16 octobre. Le préfet de la Mo- selle a signé un arrêté suspendant M. Ditner, maire d'Amnéville, pour une durée d'un mois, en raison de son attitude lors de la grève de vingt-quatre heures. Dans les T, Ci R, P.-

Aver^è^d'eVlâ Grandê-AVmèê, 'rjfguS^ g)-fiJ vistes* ont 'jeté, hier, des pierres sur-"i}n tramway en marche, n° 43. Mme Legendrr», qui se trouvait dans le véhicule, a été légèrement blessée.

Rue de la Briche, à Saint-Denis, près d'un aiguillage de tramway, le sergent de ville Charlon a été attaqué par deux grévistes qui l'ont blessé. Charlon a pu arrêter ses agresseurs. Il a. cesser son service. Une manifestation de grévistes a eu lieu hier soir, à 18 h. 30, à la gare Saint-Lazare. A L'ELYSÉE

Le président de la République a reçu hier les membres de la Conférence internatio-, nale télégraphique, qui avaient tenu à -présenter leurs hommages au chef de l'Etat. M. Gaston Doumergue est passé devant les délégations, dont les présidents lui ont été présenfés par M. Chaumet, ministre du commerce.

M. de Souza-Dantas, ambassadeur du Brésil, a remercié le président de la République de son accueil.

Pour la réintégration,

du professeur Delvert L-a1 Ligue des chefs do section et des soldat-, lOinbattantd vient d'adiebier une l<Htr< ou\ule*a,n xmjuûtro de l'mslr-uulion publique pour lui dtmdiidei la reintegialtim du piûft&fetiur Dulve-it, bUbpuidu pom un v*ii La Ligne sp jpeimét de- voys îappeloi <1 t li lettre, que l*1 profi'bstHir Deheit, t blcb^i li1

îjô .auut 'S)}', u lefiibe do ^e .laisser Pvacuci', tut

bluj^u, unç <ku\iem? fois le 23 teptcmbro (,1c lu iiie'ijf année (-.kiixacini1 citation), fut uti' a \>i- dup'pour avoir défendu avec une extrême eneigK le iftrdnchemcnt du fort. de Vaux, reçut la croit de la Lagion d honneur, fut blessé une ti-disiè.TiL liois le i juillet 1916 et refusa de se lais ar avacuer, fat blessé une quatrième fcus le 16 août 1916. Do tels états de service prouveront, a \o- yeu\, comme aux yeux de toute la nation, que Denert, piofesseur d'histoire au lj-cee Janson de .fSaillyj peut enseigner l'histoire de' France uu% jeunes gens qui l'ecoutent

C^tte .lettre est signée de MM Bniet-Valmor, président de, la Ligue Michel Missoffe, président de la Fedeiation des chasseurs à pied, \ice-presjdent André Wateau. président des 'combattants de l'air, ̃> ire-prêsîdent-

L'Œuvre ^e l'Institut prophylactique Le Conseil d administration de l'Institut pro- phvlarti-que s'est réuni a la présidence du ConseJ sous Ja pASKjence de .M Paul Poinleve, ass^t-e d& \i AnVony Batier. vice-président du

Senat. `

\s=tstaient â cette réunion Mme A"»ti' oe Sa'ntf-Crôix, M\I L Dausset. E Ogîer Manrnvillep, w& Cim tôlier, Glev, Lalou, \ieJ>, Daoiei Bertiielot. Do:zy, CavaiLoji Lasiaet, MiKet, VpwJ -Dei^sfe Naihen Henri Sellier ^rtnur Vernts L'Insti'ut propU}laeUque poursuit son pro! eramnie î"e\tinct'ca de la syphilis Le rap- port presen'e au nom du Comité -vcutii par le dçcteur A. err.es rend oa.nju» i^ a^veio-opement croissant de lœu\rt d'ini les serviras snt donne cette anr<je plus de 125 000 oiiultat "ti5 JLfcs'batimen'iS en N3n«truction, 36 rue f">sas, ^sce aux libéralité cie nombre'n souâcnpî-eurs sbïit en voie d'achèvoment

Mouvement administratif S-" ns Bommes

Préfet du Douas M Paurar., pr^ie' de i-a Cd" -e« su 'rempAg-oera^nl de M Nepolv mis en dispjnufiiité sur sa demande préfet de h Cor-

veze, Vi Vndneu, soue-prefet de Cambrai Bons-

1 préPee âe ,ndrieu,sou6.préfet de Cambra.i SOUE.

préfet oe Cambrai, M Uour* Muzet. sou*-prel€i

de Toumon soas-pr«fet de Tournun, "sî Mativat, i«a*tafre Général de V* o!bss« en disponîbfllt*-

La gr^ve de Douarnenes

~a ~glt;,e de Do\rneue_[

C'est une' page sanglante de l'histoire des graves qui-sera soumise aujourd'hui aiit i jurés du Finistère. La Bretagne paisible et pittoresque, la « terre de granit recouverte de chênes », la patrie de Du Guescfhn qui ne songeait qu'à combattre -l'ennemi, a-vu,- couler du sang français le 1er janvier dernjr. Et cela, parce qu'il y avait eu une grève. ̃>"̃" t! •̃' "> ;fiétte. grève.durait depuis assez longtemps jdéjà. jpic avait éclaté en novembre parmi 'leg-sar&iniatê. ces pécheurs. héroïques Railleurs, qui par tous les temps s'en Vont !e long de la côte liVetonne, avec leurs filets à mailles bleues, couleur de mer, pécher la sardine. La grève avait tout naturellement .affecté les commerçants qui achètent les. poissons frais pour en faire des conserves, et notamment l'importante maison Béziers, de. Douamenez. dont le propriétaire est président, du syndicat des fabricants de con&ti\L& Celui ci c'était bien son droit droit que contestent cependant les gn\istes îe-out de ta hci de mettre hn à cette niè\e II vint à Paris, et se rencontra avec HeMiiei, delecut à la piopagande de 1 Lnion des syndicats réformistes de France. En i tiet, s il v a des fomentern-b de grèves, il se trouve aussi des gens qui veulent la paix V tiavail la concoide, et qui s'effoiu-nt rit qui' v une giève, d apaiber k conflit

Revnier s'offiit à Béziers pour venir faire' à Douamenez une 'propagande contre la sue\e M Beziei s accepta et peur cela îemit 1000 fiancs à Re-,niet II v a bien des 1 «unité» de gjeves, des collectes laites en

fa\rui dis thômeuis, pouiqun n'v en au-

nit il pîs en fa\em des antigreubtes ? 2 RtMiai Milt donc a Douamenez avec des tûmarddfs, membics de son syndicat réformibtt, oi il se mit à faire un peu paitQut, dans Jc& rues, dans les caks, de la propagande contre la grève, montiant aux sardimeis qu'un tel chômage ne les ineneiait qu'A la îumr A la politique, aux discours, on lepondait par-une autre politique et par d'huiles di'-couis "En décembîc, Reynier songea à placarder dib aftich.es contic la grève xi d fane des leunnns publiques Pour c&la, il fallait de l'cuçent et des troupes. La grève, telle qu elle est aujourd'hui, est uq ermbat pour s'v oppobei il laut on effet des troupes. Al Bi/irib Mi^a b000 fiancs à Reynier ]iom fea pupagande Pei sonne ne peut le lin îepiuchei

Rcj-inei se îendit une .seconde fois ̃* Panis. 'et recruta, des membres de son syndicat, Le Gcff, Fayelle, Dupas, Lagrifoule, Michel, Lelleu, Cr-eactunirec et d'autres encore qui vinrent avec lui à Douamenez. Cela, c'était de la bonne guerre. Les grévistes furent d'ailleurs, un peu étonnés, d'ordinaire on leur cédait cette fois-ci on les combattait. Ils n'étaient pas habitués è une telle énergie. Alors ils essayèrent de railler ic\ appelèrent « briseurs de grèves n ceux qui ne partageaient pas leurs opinions politiques otr sociales « Briseurs de grèves » comme il y a des « briseurs de chaînes » dans les -cirques.

On était au 1er janvier, jour de ch6mage légal. La grève durait depuis novembre et les grévistes, surtout en ce jour de fête, étaient très surexcités. Tous les cafés, tous les bars de Douarnenez étaient pleins à craquer.- Partout on buvait. Dans les rues mêmes, la population oscillait, vacillait d une muraille à l'autre on fêtait l'année nouvelle et la grève à grandes rasades, et lampées d'alcool. Vers six heures et demie du soir entrèrent au. café de l'Aurore des antigrévistes. Ils avaient bu. Le café avait deux salles dans la première, au comptoir, la patronne versait è. bftire.-à,. des .grévistes. Dans la, ,secoirtd,e,.v,a--f es?,, 4',<Mfte§ ;greyiste,s, buvaient le maire, M. Le Planchée, et son neveu M. Guignée. Tout le café sentaït 1 al- cool Etait-ce bien la place d'un magistrat ? i Car un maire est un magistrat municipal. N'avait-il pas mieux à faire en un moment troublé que -d'être, chez de » bistrot » et de discourir le verre en main ?

Dans la première salle, une querelle éclata (c'était fatal) entre les grévistes et les antigrévistes. La patronne s'enfuit, disant d Ils vont se battre » Alors des coups de revolver furent tirés. Qui tira ies premiers coups ? On ne saura jamais, C'est là une des conséquences ordinaires des grèves puisque aujourd'hui tout le monde porte. un revolver.. Ceux qui buvaient dans la seconde salle laissèrent leurs verres et vinrent voir ce qui se passait. De nouveaux coups de revolver éclatèrent et, soudain. Je maire'de Douarnenez, M. Le Flanchec, s'affaissa, frappé d'un projectile au cou son neveu, M Guigner, eut la tête traversée d'une balle. Tous deux ont survécu. D'un autre côté, Cloarec et Stephen (antigrévisles) furent légèrement blessés. Puis, tout le monde s 'enfuit. La gendarmerie intervint et, au Café de France, où les antigrévistes s'étaient réfugiés, fouilla les assistants. Dans les. poches on trouva des revolvers et on. arrêta une quinzaine d'individus. On les inculpa tous. On inculpa même M. Reynier, « le briseur de gr-eves », qui n'était pas au bar I îe jour de la bataille, et on fut bien forcé de "i endi e un non-lieu, car « il n'avait use que de moyens légaux « pour es&ajer de résoudre un conflit. Mais on l'a\ait tout de même inculpe, on ne sait trop pourquoi, comme si lit lesistance, la piopagande conti-e une grève n'étaient pas des droite saci es. Après une, très longue instruction, on mioit beaucoup de npn-heu\. puis on len-voya en cour d'assises trois antigrévistes, Moreau, Fayelle et Le Goff. On leur. repro-

che d'avoir tiré Ils le reconnaissent, d'ail-

leurs Ont-ils blessé? Oui, dira '"accusation Lcs'blessures sont faites par des balks du calibre de leur revolver. Mais, aujourd'hui, tous les revolvers ont les mêmes calibres 'On aurait pu simplement les renvoyer en police correctionnelle pour coups et blessures, puisqu'il- n'y a pas eu mort d'homme Non On a voulu grossir l'affaire et faire d'une rixe dans un bar. entre :gens ivres, un jour de grève, une affaire de tentative de meurtre, et faire de la politique On en fera à l'audience qui s'ouvre samedi et qui durera plusieurs jouv.t Mais, quelle que soit la sentente que rendront 'es jurés, une leçon doit surgir • les grévistes déclarent la guerre. il la veulent sociale ôt fraternelle Or, la guerre comporte des risques Les victimes aujourd'hui se Dosent en martyrs Ma André Berthon se portera partie civile iiour elles II convient de rappeler !e mot de ProudhaïU le père du socialisme, trop oublié, trop dépassé aujourd'hui « Après les bourreaux, je ne hais rien tant que les martyrs » Georgeè Cfarètie

u i- i ii ̃ c ir r- r~

Nouvelles Diverses

JLa température '1

La température

Probabilité* pour awjourd" 'lui Règ-.or. parisienne Vents aud-cmest sud-esi. faib'es nuls nuageux plus doux. i quelques pluies dans î'OUest beau moitié I Sa<i e: Est avec quelques orouillards | S5Ô.606 francs de detournemeatâ i M H'wuez, ?&mniiss.iire de police des i Kotles, a f-nvoyo n'er au Dépôt sep!; em[ ployes d'une maison de vente de viandes !4e la rue Coquilhére qui. avec la complicité d'un eht£-€omptal>!e, avaient réussi à dé* touiripr en quelques mois 850 WO francs de marchaH dises. Argu,

Argus.

LE MONDE & LA VILLE

ai– matmmm mm n i

DANS LES AMBASSADES 1

S. Exe. M. Régis de Oliveira, ambassa- I deur du Brésil à Londres, a rejoint son poste, venant de Paris.

Après un séjour à Paris, S. Exe. M. Oscar de Teffé, ambassadeur du Brésil près le Quiriual, s'est embarqué, hier, pour Riode- Janeiro.

S. Exk M!; Cijraejo, ministre du Pérou,, a quitté Lima pour'rentrer à Paris.

Le comte André de Limur, attaché à l'ambassade de France à Londres, et la comtesse André de Limur ont offert un élégant dîner en l'honneur de S. Exc. l'ambassadeur des Etats-Unis et dé Mme Houghtou. Les" autres 'convives' étaient la marquise Slïgo, comte et "comtesse de Staftord, lord et lady Queenborough, M. et Mme W. H. Crocker, M. F. A. Sterling.

-rr-.M. Leprévost, attaché commercial de France en Irlande, recevra, à l'Office national du commerce extérieur, les personnes désireuses d'obtenir des renseignements sur le pays de sa résidence, les lundi ig, mardi 20 et mercredi 21 octobre, de trois à cinq heu- j res. DANS LE MONDE OFFICIEL L

Le président du Conseil de Bulgarie, et Mme Tzankoff ont quitté Nice pour rentrer à Sofia. j|

RENSEIGNEMENTS MONDAINS

S. M. la reine mère d'Italie fait un sé- jour à Montecatini.

S. M. la reine d'Espagne est attendue à Londres, le 25 octobre, se rendant auprès de sa mère, la princesse Béatrice.

Venant de Logrofio, S. M. le roi Alphonse XIII, accompagné du duc de Miranda et de son aide de camp, le marquis de Zarco, est arrivé jeudi au palais de Miramar, à Saint-Sébastien, où l'attendait S. M. la reine Marie-Christine.

Le Roi sera de retour à Madrid le dimanche 18 octobre.

LL. AA. SS. la princesse héréditaire et le prince, de Monaco sont de passage à Paris. LL. AA.,kK. Mgr ,le,,â\iç .et. ilnjp,,la duchesse de Guise sont arrivés à Nice-Cimiez._ ,;̃ 1 LL. AA. RR. le prince et la princesse Pierre d 'Orléans-Bragance sont arrivés à Rio-de-Janeiro avec leur famille.

LL. AA. le prince et la princesse Christian de Hesse se rendent à Cannes. Le prince et la princesse Paul Murat sont de retour à Paris.

La marquise d'Espeuilles, née Gouvion Saint-Cyr, est au château de la Montagne. Le comte et la comtesse de MaillyChâlon sont de retour à Paris.

L'Association belge des mères et veuves de guerre a adressé à LL. MM. le roi et la. reine des Belges un télégramme de félicitations, à l'occasion de leurs noces, d, ar-

gept'/V;' ̃̃-̃ ̃ '•

.NAISSANCES ̃ ;̃_

̃ La'barpnBe de ̃Cramer.'ijiéer.Garnier, a heureusement1 mis. »U- monde une fille,. Jac-

queline. '̃lm: "̃"̃ s

BIENFAISANCE

̃̃"̃– ÂV4tit (JeMluitter Venise,, la -ptïpcesse Edmond ..de- 'Ppiignac a .offert cinq iniUe litps aux œuvres de la ville.

ATRE

v': ,1 Mm-±.MBMMaMMWa*

ijG6'f>tt~mle&e~

'ffjEA1'RE DE5 117fATNURINS Le yrince

conaurt, eomédié èn 38actes de llliil. Léon

conso comédie en 3 actes de :MM. Leon

Xanrof et Jules Chancel.

Une charmante comédie, dont les situa- tions sont habilement choisies et développées avec une adresse extrême, et qui ne peut manquer de retrouver l'éclatant succès qu'elle connut à la création.

Œuvre d'un savoureux comique, toute de iverve et de fantaisie.

Sur un pays- chimérique, qui n'a pas échappé aux évolutions modernes et dont les architectes, les ébénistes, les décorateurs ont à coup sûr puisé leur inspiration ^Exposition des Arts décoratifs, règne une ?eUe de sang royal Sonia Son mari doit rester étranger aux affaires de Eta et reçoit, avec une rente viagère, le titre de prince consoft? -•••̃ ,l i Ses attribiitiotis On les lui' fera Comprendre en lui plaçant constamment sous les yeux un tableau représentant l'arbre généalogique de la famille royale.

I/ex-roi d'Ingra, détrôné par deux révolutions et ruiné par surcroît, destine son fils la reine Sonia. L'entrevue a lieu devant tout le corps diplomatique et le président du conseil le mariage est décidé. Toutefois les ministres ne se montreront pas satisfaits de celte union, qui peut compromettre la situation les futurs époux s ai-

ment.

Le prince consort se résigne difficilement en effet à sa condition. La domination de sa femmme l'humilie et l'exaspère. Chaque fois qu'il veut donner un conseil, le premier ministre le rappelle froidement h la réalité. Il n'est rien. qu'un prince consort. A la suite d'une brève querelle de ménage, il s'emportera et décidera de quitter le palais. Il souffrait trop dans sa dignité Son départ affole l'ex-roi d'Ingra. son père, qui jouissait tranquillement à la cour d'up repos bien gagné Sonia, meurtrie dans son orgueil et aussi dans son amour, passe ses jour* à pleurer Les ministres se désespèrent la rentrée. des Chambres approche, et l'absence du prince consort justifierait certains bruits que font courir les révolutionnaires. l, Mais. à l'heure dite, le prince consort est de retour ÏJ a voulu sauver la situation Après une explication charmante. les deux époux- se réconcilient Va leçon a perte Sonia ordonne de. modifier sur-le. champ la Constitution le prince consort partagera le pouvoir avec elle

La distribution est particulièrement brillante Mme Régma Canner, dans le rôle de la reme Sonia, s'est affirmée ane fois de plus une comédienne de grande classe E>:e sut traduire, avec son art parfait des n-jances. !es états d'âme multiples d'une '•eîne tour tour volontaire, -apneieus? -il yflioureuse Elle porte avec autant de grâce -fie de « 'majesté ses robes de cour.. Son succes.fut éciatant

il Félix Huguenet, dans ie rôle de l'ex. roi d'Ingra. est bien l'incomparable créateur de l'Archiduc Paul. Ce comédien -anique marque de son autorité tous les rôles qu'il interprète. Nous l'avons acclamé. M Lamy est d'une finesse discrètement caricaturale. en .président du conseil. Mme Augustine Le-

MARIAGES On annonce le mariage de*"VIllèt'Fâ9ter1 fille du préfet des Basses-AlpeJ-fecrM. Chassaigne, chef de cabinet de préfecture. On annonce, de Cobourg, le&nançaïlles de la princesse Marie, fille de S. A. I. le grand-duc Cyrille de Russie, avec le prince héritier Ferdinand Carle de Eeiningen. "f En l'église Saint-Pierre de Chaillot^a a été célébré le mariage du vicomte, de La|h.-bjertyej. fils. du comte de Lambertye, avec Mrs C. Frédéric Kohl, née Godey.

Les témoins du vicomte de Lambertye étaient le comte Jean de Lambertye et le taron du Bourdieu; ceux de Mrs Kohl, l'amiral Caperton et Mrs Crocker..

^bEt)iL'i; V~' ''̃<̃ i-J"i '^wi

On annonce, de Jassy (Roumanie), la mort du prince Edouard C. Ghica, ancien député et ancien ministre de la Sûreté de l'Etat, officier de la Légion .d'honneur, décédé à l'âge de soixante-cinq ans, et la mort du prince Albert C. Ghica, prétendant au trône d'Albanie, décédé à l'âge de cinquantesept ans.

On annonce la mort, dans sa quatrevingt-unième année, de M. Henry Scjgnier, membre du Conseil supérietfr'de. ragriculture, secrétaire perpétuel tâé 4'Académie d'agriculture rédacteur en chef d-uî>ij.<i>urnal l'Agriculture pratique. Il était commandeur de la Légion d'honneur.

On annonce la mort de M. Nicolas Couppa, chevalier de la Légion d'honneur, officier de l'Ordre grec du Sauveur, décédé à Paris dans sa soixante-dix-neuvième année. M. Couppa, originaire de l'île de Céphalonie, était un des membres les plus influents et les plus appréciés de la colonie grecque de Marseille, II était le mari de Mme Couppa, née Vagliano, et le père de Mme Etienne Zafi.ropoulo et de Mme Jean Cherémi.

On annonce la mort de Mme Vincent, veuve du conseiller-maître honoraire à la Cour des comptes mère de M. Pierre Vincent, conseiller à la Cour d'appel de Paris. Mme veuve Charles Paillart est pieusement décédée en son domicile à Abbeville, :]g _m octobre, dans sa .quatre-vingtième

"ai|ife. 1 -(,

,yr Nous rappelons que les obsèques de Mme À.' Cimix_ auront lieu lundi 19 courant, à dix heures, en l'église Saint-Philippe du Roule.

Serigny.

PETIT CARNET

A leur retour de villégiature, les Parisiennes ne devront pas manquer de voir la collection d'hiver de la maison Aine-Montaillé, place Vendôme.

Par son grand choix de modèles, cette maison peut satisfaire les goûts les plus divers et les élégantes seront sûres d'y trouver le manteau, la robe, le chapeau et le tricot qu'il leur faut.

1.1

Conduire soi-même est agréable en été, mais en hiver c'est une confortable limousine qu'il vous faut. A partir de Frs 2.500 par mois tout compris, La Grande Remise, ï7, rue Marbeuf, vous en fournira: aine. T<* léphonez à Elysées 21-80. ,?aiB

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Bérengère, la modiste- .en. >; renom,

7 rue Royale, détient le subtil secret de coiffer jeune, toujours au dernier cri, et cependant à des prix toujours raisonnables.

riche a un brio, un entrain' remarquables. Et M. Pierre Stcphen est/ comme il sait l'être, le prince séduisarft'^mi --traîne tous les cœu'î après soi. Son jëù'Mr, précis, est parfait. Mlle Perly est une dame d'honneur élégante et jolie.

Maxime Girard.

~T~ J"Na~

Les Toilettes de la Pièce A son habitude, Mlle Régine Camier fut toute grâce, tout charme. Reine exquise elle nous émerveilla dans d'adorables robes ̃ crééesi pour elle par Jeanne Lanvin qui l'habille toujours à la scène et à la ville. Les trois demoiselles d'honneur, voulant faire honneur à leur reine, sont également délicieusement silhouettées par Jeanne Lanvin. Détailler ces toilettes serait les déflorer, il faut les voir.

.COURRIER DJTHEATRES Aujourd'hui

A LA Comédie-Française, à 4 h. 50, matinée poétique, Hommages à Lamartine Mme Weber (Musset) M. Chambreuil (Victor Hugo). Œuvres de Lamartine MM. Fresnay, Hervé, Guilhène, Escande, Gerbault, Bacqué Mmes Madeleine Roch, Bovy, de Chauveron, Mary Marquet. Notice et arguments de MM. Levaillant et Payen, lus par M. Dessonnes.

Au Thianon-Lyrique, à 2 h. 30, la Fille du Tambour-Major.

Même spectacle qu'en soirée

Au Théâtre Sarah-Bernhardt (2 h. 45), à la Renaissance (3 heures), au Nouvel-Ambigu (2 h. 45), au Grand-Guignol (3 heures), à la Scala (2 h, 45).

\!lOir

A L'OPÉRA, à 8 h. 45, répirésetiiÈârron au bénéfice de l'Orphelinat de la Soèfétë^s Cuisiniers de Paris. j'! '»- A LA Comédie-Française. ^à=&< 11, 30, la Manche nuptiale (MM, Alexandre, R. Monteaux, Donval, Drain, A. Reyval, Ledoux, P. Bertin, Durtesne Mmes M.-Th. Pi.çrat, G. Robmoe. J. Ëven, Nizan, M, B^jac, M- Renaud, M. Samary, J. Sully, S Rouyer).

A t Opéra-Comique, à 8 h. 15, le Chetnineau (Mlles ATfce Râveau (en représ.), Tiphaine, Réville MM Musy (début), Ûupré, Legrand, Mortuner, Roussel, ̃Hérentk Orch.: M. Albert

Wolff. ̃

r A l'OdÉON, à 8 h. 30, Comme les Feuilles (MM- Robert-Arnou*. Batpéùé, Raymond Girard, Cailloux Mmes Neith-Blanc, Suzanne Çourtâl. Jeanne Boitet Juliette V«rneuil). AUX VARiÉTÉi, à 8 h 45. /'fc.ternç' Prin. temps (jules Berry, Maud Loty.. Pauley Blanche Mpnlel. Jeanne Louvry et André Lefaur)

Au Théâtre DU Gym>ase, à 8 h. 30, La [oie d''1imer, avec Elv:re P^pesco, Louis Gauthier, PoUn. Marcel Andté. Flata Dfihon et Mag'ds[etne Darh.tQfî

A LA PORTE-S41NT-M^RTIN. à 8 h. 45. Madame Sa^s-Gêr.e (M.ne Pluie Andral MM Coi/eau; Chabîrt, Gonchel Maie? Suf.. A,ubry, Ç Dytma, Chapelas, etc.). -ijt'eio

Au Thé a ni Si^AH-BERw^î.j" 30.

Au .6et'les nt "¡,I,H.!1ER-HoQ"T ~i14 ..¡ H.

Mon curé :hei les -iches, avecMM Wb'eH,- H.

iVlonteux .Vlaxime-l-erv Vlm^sf l'^rriiK p^iv. je-

hanno el Cas?! 'Dim et fft&S. -«fife .̃<' ?0) A LA Renaissance, à 8 h; 45, Mme Cora Laparcerie dans la Menacct pièce ô'àmout de Pierre Frondaie, avec Jean Worms, George Mauloy et Pierre Magnier.

A LA Gaité-Lyrique, à 8 h. 30, la Poupée. (Denise Cam MM. Henry-Jullien. Jysor, GeraU dy). Deux ballets (Mlle Capry).

Au NOUVEL-AMBIGU, à 8 h. 45, la Tour*


tnenie (MM. JBourdel, Coizeau, Rolla-Nonnan. Ghatertv Chariot Mmes Bérangère, Gçrrnajrie Rouer, Chapels, Barsange).

$- Au Théâtre DE Ijarîs, à 8 h. 45, la Vérité iMjfe nue pour les représentations de MMai Pea*

It<.

IL. Au Théâtre ANTOINE, à 8 h- 30, Copains I asec MM. A^uillière, Jean Yonnel. Gallçt. Jean §jiy et Mil EscofEet et Mm Simone Djulac et

ilionie RiGHaia

J$– Au Palais-Royal, à 8 h. 45. le Monsieur de

cikq heures (MM Albert Brasseur. Le Gallo, Du-

v~lès, Ch. Lbtain r Mmes Marg.-Tempfey, Du-

^Slès, Ch. Lbfain Mmes Marg. Templey, Lu-

cKnne Givry, Andrée Cuize).

1§– A L ATHÉNÉE, à 8 h. 45, les Nouveaux Messfeurs (M Victor Boucher, Mite Gaby MorJay MM Berthier. Cousin. L. Dayle.et Anflré Dfl-

lXIac),o. "0' .,j"

Au^'BôufFES-PÀRPÉÊNs. à» h 45. P:L'M: (MM George, Max de Rieux. Herndey Mme, Marguerite Deval, Eliane de Creus. Rozelle, Varville, Suffel).

Au Théâtre DE L'ETOILE, à 9 heures, sai.son russe, sous' la direction de M. A. Dolinpff, du Théâtte Impéria) de Saint-Pétersbourg. Chants. danses et baHeU. russes.

AU GRA-iD-GyiGNOL, a 8 h. 45. Un accès <ft jalousie. Gardians de phare, la Dame ie Bronze et le Monsieur de Cristal. Un crime dans une Maison "de jous. Mon cher confrère Mat merc. >am dim et fêtes. r-

Au Théâtre Michel, à 8 h. 45, Enfin seuls (Signoret. /Jane Renouardt et I Véniat avec R. 'AXA. CoMÉDm-CAUMARTIN, relâche. Mardi,

les d'aisers'de'Panurae (Jane Marnac, L.Parizet,

Debuc^ttfWaVuV'nin-Fabre et René Rocher)."

Debûcç tt;3a~iû'nin-Fabte etf{ene Rocher).'

'AW' CX^utlNEb (Tel tiui 16-40), a 9 h. Qudnè an est trois (Miles Edmêe Favart. Chris tiane Dor, Pascaline et Marthe Derminy MM Jean Perier. Destrey. Frenoniois. etc.. et Louvi

fiiVl

Au Théâtre DE LA MADELEINE, 19. rue de Surène (Elys 86-25). à 9 heures. Un Homme (André Brulé. Madeleine Lélv. Marie Laure. Berthier et Gaston Sévenn avec Sarah Rafale)

Au Théâtre Femina, à 8 h. 45, l'Homme d'un soir (Mme Charlotte Lysès et M. Charles Boyer MM. Marcel Vallée, Puylagarde Mlle Livittskaïa). Au Théâtre DAUNOU, à 8 tv. 45. Elle uu moi (MM Harrv Baur 1 Gaudin A Héraut. J. Hubert et Koval Mmes ). Saint-Bonnet. G.' Charley, -M Peuget. S. Sandre st Davia) A LA PoTINIÈRE, à 9 h b, M ci Mme Un Tel (Mlle Alice Cocéa, Mmes Ketty Kelly. Yette Renot. Paulette Dartois; M Lagrenée et M. J. Baumer).

Au Théâtre DES Nouveautés, ai 4 ih-, 4S,. Pas sur la bouche (Régine Floiy et Jeanne Cheirel. Berval, A Lamy. Pauline Çartjop, G,, Çnsrj1"! pel! et RpberrDarthez et Pierrette TVIadd) Au Théâtre DE l'Avenue, à 8 h. 45, Qu'en dit l'Abbé? (MM. Abel Tarride. Paul Villé, Jean Dumont, etc., et Robert Burnier Mmes Nina Mvral, Viorica. etc.). ).

A L'APOLLO, à 8 h. 45, Boucfie. à Bouche (Mlles Thérèse Dorny. Maguy-Varna, G. Ristori MM. H. Defreyn, Milton, Oudart. L Blanche). AUX MATHURINS, à 8 h. 45, le Prince Consort (Félix Huguenet. Aug. Leriche avec Régina Camier et Charles Lamy et Pierre Stephen). Aux DEUX-ANES (Direction Roger Ferréol, Marc. 10-26), à 9 h.. Dorin, Gabaroche. Rieux, Merry, Géo Charley, de Soutter et le compositeur Trémolo. Bonne ânée revue avec Roger Ferréol. Gaby Benda, S. Déhelly, P. Amy, L Broquin. les chansonniers et le fantaisiste Dalio

Au TRIANON-LYRIQUE, à 8 h. 30, 'Véronique (Mlles Claire Sigall. Maltès, Moreau MM. Rudeau, José Théry, Alex Jouvin, Joubert). Au Théâtre DE Dix-Heures tex-Chamniète. Dit.: Roger Ferréol), 36, boulevard de Clichy (Marc. OT^V'à'IO heures Marc Hély, France Martis,1;N,oël-Nyël, Balder. Goupil, Paul Mage et P. Colline. Quand on est neuf revue avec Cloé Vidianei L. Julien, A. Nicole, J. Leduc, Marrot, 11. Henry.

•̃– A LA Scala, à 8 h. 45, le Train de 8 h. 47. avec Marcel Simon. Géo Lecomte, Géo Gorb.y et Musidora. (Samedis, dimanches et fêtes: ma-

tmêesj; J,Kj,i;i:.r; .^j^'J^'b^^U^

Opéra, La reprise de la Naissance de la Lyre a permis d'apprécier'à à nouveau le charme de la voix de Mlle Marcelle Denya,, ,qui fut vivement applaudie dans' le rôlé du (jeune diea Herihès.

Vab^és, Ce soir, centième représenlaiion^^y Éternel Printemps. Demain, maJinée à 2 heures 3o.

r.f

Ambigu. A 2 h. 45 et à 8 h. 45, demain matinée la Tourmente, avec MUes Bérangère et G. Rouer MM. Bourdel, RollaNorma. Dimanche soir, le Maître de For-

ges.

THÉATRE DE L'ETOILE. Très gros suc̃ cès avec la troupe du « Coq d'Or » présentée par M. A. Dolinoff. Chants, 'danses, ballets. Dimanche, matinée..

BOURSE DU 16 QGTOBRlJ; lt»-tfO ^J

Ba1liia-l", TERME (}~~dre De"!lier," COUTANT 1 GIOt.ure loermer COMPTA'NT ~j 1 C~Frc. ¡I"owl'1l [O,PII,w,1 ~v,1 MAR 'H" EN SANnuc j cil In>,n"'l MARC IGI!tJ"jDernier, Il

=r^^E Warl coûtant asl^rt c^rr^, -J»?fW^ f 'JU' ,r'l COMPTANT 0'lc60", ~u"' n'Ji \1' ¡;; G"9c!J' JOJ", Hc$ TTRA Il ,J'JJlj'O cours

'̃̃•̃ '̃̃'̃̃̃ | J* Ml.)) <k'J "LM)!! }AllHh ̃ijt 'l j j .j,. ,.̃̃ ̃ <i-, .-̃ <> Mj#5 J640 ̃ TERME ̃ COMDRES. 16 oct- | ,1 j29 54B.déw.ne.ijiAa'l»'a'W^j iz^pa^ÉTA^r f.I,M ..û.; M^fV^v.ut| -'̃ "BAroues ïf' -î: "• ^«cSp&^Tc^ ̃ ̃-̃^̃ :M«1<K1.lnun,u,| J4..3.^a m ,£̃ î'2!1,)? fl

45 Nationale de C 6dit. 7"1 1152 à 4~ 57 75 15 56 80 676 191\)'°, ,\121.. 50"29 5d'a 'i ~073 ,27212C~a~~nnagos<\yTo"k'n. 782 l''LO.. MI' 3455 '34" 16 1 5

45.. lIIet,ionale de Cridit. Ins 1~2 '3~ :4; ~r r,~ 00 Portugal 3 10 serie. 25 50i ;'129; 175 ISanquo d~ "I~do Cnl. ¡307> '6,J 6 45 ,IC, Qinm.nt~FQ~rC, ne"bau'¡, ,76, 2 ",78, ex ou. Inter,l~ 26 42 2' "3% E

?2 50 Tre."srl'ant'iqu~1 2bo 2eo ai 2% Amortisaable. 82 80 5280 4 1896 ",5 lU, 17.. 7 ::i' 'Indust,do"Afr,dur:¡o~d'l 54 ..1, 30 ..1¡;:o.neO(foIOUI"èr'es"'C"O~d')' Ili ,¡11I5.. s:~ou~:0~~ode)'Í97 -1915¡ 4 4 13 1,2.~12 -314'

45 de 1 Un'o~ Parisien ne 7 725 5)6 1915.1916. 54 1. 52 80-- 189~ Induat~iel1.. ~hine ¡42 ,1 !41. 79 54 Haute L dire (Houillères 1 de le). 1206 "1 9 ob B 0 eT 'n. 422 432 4 1918, ,1 '314,

65., Compagnie AIger,enne.960 4% 1917. ~gs~5.J.j~1S-& 60 Montrembort et la 8oreud'b~e. 117.. iS~akoan, j~2 j44 50 Con80IidéÎs i55 il.~5_,

45.. Crédit Commercial de France, 123' "240 5 1920 Amort¡',aable. 6', '5 2 Stilb. 5% 191:3. 3<850 74., 12 9-110-e due o~ivée Pa" ne du Nord., .j 236 1236 55.. An'one(Mineed'). 1110 ô-8~, Cna~ .~eO't't"('ts''t') SrÓeiI18et9.1 7)9 1"531/4

70., Foncio~de 235 > '5/0 1920"ô"1 4" C Suède Soi 121~941 189S. 39b 75' ..ICrédn¡AloÓ'en"lbQO ,55.. Anzin. Il,9 IO',¡;:C' :m.n. oman.. turcs) 292. 29; Fun\:lil'"ll'l. 79 1 -2i ~9 112

80.. Lyonnale. 1439588 Il 380 '80nedu Trésor 61(; 1922"j 5905 ..l' 48483275 su, '903"1281 '1" ,:U .\C.rÓ.cI"fonc.d'AloÓ~ioTunie.0'1430 O. IIX) "l,Ban" .no.174O ,739., Ic~ ,Dbe,ap" 347 1 3'ô cnina41/2\118'~ 1,2! 78 ;"2

S32Sssassî::rj.r: ««..««- **™~ £ •• « ;r: &̃: 998- g^^ïïïï; 0- _8 "S::»,!K^Sïï:g.:r,H| oom ,a x^|Si:r: ,-i; I3-Îâ

27 50 Société Généirale 794 798 eept, 1923. 4'4 46 5'-Douanes 1902. ;64-19~ 45 J' du.Brisil,I,lï4 je 30.' ,Ca~vin 810 ,¡.bÏ> ¡Co .d. .43 43 ,E,terieu~e, 64 'I~ 64

327 18 Suez, 1162040780" 6CM Ob" Çh. f~!Õta!4~ 19''2-14.1222J .l ~233 5e' PriorIte Ternbac 195 !Soo. c" Ben;,ues de F>~ovrn-" .1 .45, .IGre,a.eu,;o.l'44~ .44:) 20 Ih I.D 13eorsordinairt% 08 1""3 Japon 1899. 64 6 ¡

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55., Lyon: Congo Franç.¡o 3% 112 yo OBLIGATIONS ACTlOt4à'iNDUSià'10 -LES 50 O.t~lcourt .llù55 'j" 2 &h- 0 eld, onsll' e e 144 143 Rend Mines

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60.. Santa-Fe (C" Fr,Ch fe~F' ),413.. 1410 M.dsg..cer 1897. 42 ~I (/)1 '37S 4% ~emb- 1> 500' ~62 ;05 ~50 50 33 .E:st;AIgerion'r'¡1 346..134\ SOleo.oerts, 467 ,497 5;¡' '9 Huencnoc. 259 l38.. GOdfields,{2oI3/:IL6/3,/z

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40 platine ,793.. ~I.. %'du N9rd6~1921.. 375,.355.. 'Com 1879260%r'500;'I,400 4CO 80 "AI.~com~r~me"11,7~ :°20" » 2S, Pl>oapnato.deCon.ntine. 479 ~r.F~

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Grakd-Guignol. r– Aujourd'hui et demain matinée et soirée du formidâtee*ùc«: ces, {7n crime dans une maison de fous. îoo°. -v Théâtre DE èix-iÎHSJRES (îljbftje Clî| chy). Roger Ferréol, devant l'immense; succès du spectacle d'ouverture, donne, dôtt main dimanche, une matinée exceptionneU; lé, à 3 heures précises. Louez vos places Marcadet 07-48. -f DE Nancy J L'ouverture du Grand Théâtre sous la di*| rec.tion de 14, .Acrêh'pinbaùda ét-é un- gran^

gMcces~ .). .R.).~

Mlle Marguerite -Roger-qui chantafUe rôle de Manon fut Ia-<ri6Bif>hatrice de la soirée et a été l'objet, à. la. fip. de la représentation, d'une véritable; ovation* .< ,r. r, sMaxiHie ÇHrardi

spectac;ës& mmn

Aujoura nul s

Même spectacle qu'en soirée

Aux Folieg-Bergère (2 h. 30), à l'Olympia (2 h. 30), à l'Empire (2 h. 30), au Palace (2 h. 30), au Moulin-Rouge (2 h. 30), au Nouveau-Cirque (2 H. 30), au Cirque d'Hiver (2 h. 30), au Cirque Médrano (2 h. 30), à Madeleine-Cinéma (2 h. 30), au Gaumont-Palace (2 h. 15), au Ciné-Carjlion (2 h. 30), à Marivaux (2 h. 30).

Ce, soir •, •̃̃ v «- •̃̃̃̃•̃• ;̃;̃ ï Aux hOLlES-BERGBBÉ, â Bft. 30, la aouOelM super-revue de M. Louis Leaiaichand Un sou de tolic.

Au CASINO DE PARIS. i s h. 30. Paits en fête i nouvelle version de la revue Bonjour Paris (Panisys, Mitty et Tillio, Dutard, Serjius, Yvonne Curti, Lily Moune< et les 16 Lawrence Tille-

gil|'S) ,̃'̃̃;̃ <

'«AliL>ÔLYJ»Ftfôéiftiy*îl4^) â *W"ti<

Mayol: 'SarUîëir'Tbm'Ppùcé; lè: quatuor vob'âl russe les Jovers Duncan et ses chiens comédierte Bella Reine et Wladimirofï la voyante ? Mélioska ? R. Hansen, etc. De 5 à 7, Dancing. Entrée: 3 francs.

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Folies- JSebgère. ^t-' Rappelons que ;l'incqmparahle isuper-revuéxie M; Louis Lemar1-' chand Un soir de folie, sera donnée aujourd'hui en matinée et en soirée. _t

Olympia. .Mlle Lily May, dtf, T|i"e^-

tre Antoine, vient d'tlre/,(ïngàgçç.p$ïi RtÇ,' Franck comme diseuse réj)Ji§|ê. et fantajsKtje- anglaise. ,iii'j»r

Au Cirque Medrano, npuveau progrànv me douze poneys, en liberté quatre éléphants dressés lés Helder, pqùilibrisies voltigeurs troupe Agostinô, acrobates Lya, Renée et Sandors, danses el jonglerie avec les Kadex, gymnastes les perchistes Yàrdys les clowns Chocolat," Lou-Lou et Atoff tarlo, Mariano et Porto, nouvelles entrées comiques, etc.

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LA REVUE NÈGRE St <3r JEX 4L. 2>fl- 1ER Le célèbre danseur

J3El-âL3ST BOHliIN Aujourd'hui matinée à prix réduits

Courrier Musical

Aujourd'hui ̃:

Aux Concerts Lamoureùx (Salle Çaveai^, à 4 heures 3o, deuxième poncié.rt (èérie *B)' avec le concours de $\. (jérard Hékking les Symphonies de Beethoven ;(aûdili.pjij chronologique)

I. Manfred, ouverture {Schumann) 2, Qeuxième symphonie en ré majeur (Beethoven) 3. Con-, certo pour violoncelle (Haydn): M. Gérard Hekking 4. Esquisse sur les Steppes de l'Asie Centrale (Borodirie) 5. La Damnation <ife Faust, fiag-'ments symphoniques (Berlioz): i. Menuet des Follets 11. Valse des Sylphes < ttl.l Marche Hongroise.- ̃: "̃- Le' coiièert sera dirigé par Paul' Pa-

ray. ̃̃ <̃̃̃̃<

̃ Aux Concerts Fasdf loup, à-Mogâdor,1 à à 6-heui;es i5. -?-Ah programme V' ̃̃-• •!

~~T.~â`~~mpltôniéTann~hcpge,deyt~Sl~eilLet f'~â' "i

mlràble oratorio d Honegger le Roi David, ,dont les soli seront interprétés par Mmes Gliiset Englébert M. Weynandt, professeur au Conseria-' toire de Bruxelles M. Grétillat, Au Théâtre de la PorterSaint-Martin, tiendra le rôle du récitant. Demain dimanche, à 5 heures i5, même programme.

Ces deux concerts seront d'frigés par M. Rhené Batpn qui vient de rehipor ter tift très, grand suceès à Riga. Le 28 octobre, Salle Gaveau, Léon Kartun et l'Orchestre Pasdeloup. Concertos de Bach, G. Tailleferre, Schumànn. Lié !5 liô-: vembre, deuxième concert' avec l'Orchestre Colonne. ̃• tyr-n- •̃ .l.i

il,?' .[ •' y-.r'-

Suzanne Bouguet a repris ses leçons de chant. Studio, 98, rue du Cherche-Midi. En octobre, le jeudi, de a à 4 heures. L 'de crémone.

Courrier de LA Bourse

̃̃̃- ̃ parJSi 16 octobre. ̃Journée d'agitation et de nervosité sur le niarché des changes aussi bien que:suf celui

;4§s.,vâJeurs.-

nie vou.r§ de la ;iv;re..a,' oscillé entre 108,50' cq .ma'Un; et IQ.9,.25; vers Je mi)ieu,:de ,1a. séance de Bourse. En .clôture,, on laisajt 1Û«,95, c'çsî-à^dire, 70. centimes do, plus que !a veflle. Lo 4(jJlar" a' terminé à 2?,48,ea-pj'O' grèsde'S a^ntiraes, ̃̃̃'̃- ,>•.< Le franc beige a encore gagné 1 fr. 15 à •Ip2,eo..

Sur le niarché des valeurs, l'activité a été

Ifësî â1À*rtïf1|'à'ï"otiTérturTé.i Lèg int'ërmédiâi-

!res eohtinuent an effet à i-écevoir des ordres amjiôrtanis de la' clientèle, à terme comme: n lau'ieohiptia-Ht.Les prenïisrs i?ojars'"ima-J'qu8i' I- i-rent-donc un progrès très, sensible sur ceux^ 'de 'la veille: mais, ce furent aussi les plus élevés de la.jpurnéie.. Le -marché devint assez nàpld^inent icrégulier. Des réàli.satipi}s;s,e.

pr^aUjViVént sur. ,le$ caoutchoucs et.Sur.là

p!fi|jarf des yaiëurs à change. D'autre part, les yàtêurs françaises êtaient't.omplètement négligées/ La clôture se fit presque au pliis bas. -sans qu'à aucun moment la contre-partie ait:fait, du reste; défaut. En somme, l'arientation du marché reste la même. Seufe, ia crainte d'une inte t-y eiitign sur les chan-

'ges;parfi)y,~():, P9Ul' )~m9m!¡nt.ïe]~p, ,des

'ge.s: pa/àly, pour Jpm.prnent..i 'élan.des

̃açh'èteurV,; S 'v, ̃"̃ •]. j I;

On s'est beaucoup entretenu, pendant l'a: Bourse, d'un article paru dans le Matin et qui voit le salut 'du pays dans une réduction du coupon des rentes, une consolidation de la dette flottante et un prélèvement -sur les autres valeurs .mobilières; les recettes ainsi réalisées devant être jversées à une .caisse d'amortissement de la dette. ̃

fiette conception se rattachera un certain nombre d'autres projets qui ont vu le jour depuis deux ou trois ans. C'est une forme d'impôt sur le capital ou de prêt forcé, mais, jusqu'ici, on avait paru admettre qu'en pareil cas tous les détenteurs de capitaux mobiliers ou immobiliers devraient participer au sacrifice. Dans le projet en question, les seules victimes immolées- sur l'autel de. la oatrie seraient les porteurs de valeurs mobilières. On voit l'intérêt électoral de l'opération.1" n '̃"

L'article du Matin a piqué la curiosité de Boiïrsè'plùs' qu'il ne l"a émue. On se'deifta'tiâ'ait s'il' s'agissait d'un ballofl d'essa'i à

i M vèÏÏWëês, •cîêclaMibns- de M. Cailïa'uîî'âu

congrès de Nice. On reconnaissait cépendant que cet article n'émanait probaiilément pas d'un expert en la matière.

.Quoi qu'il en soit, nous entrons dans une période fiévreuse où les projets de. réorgani- sation financière vont se multiplier. Des een- taines de brochures ont été publiées sur ce sujet depuis cinq ans et il n"est pas certain qu'on puisse trouver à l'avenir beaucoup de formules nouvelles.

(De qu'on aimerait à savoir, c'est si M. Gaillaux a fait son choix. Les télégrammes de Nice nous révéleront-ils enfin, demain, les grands projets qu'il a « dans l'esprit » et dont l'exécution méthodique nous fera échapper au chaos vers lequel des inflations successives nous conduisent? Ou bien continuerons-nous à Vivre sous Je dogme du barbier « Demain, on rasera gratis »? ̃Nos Hontes abandonnent un poin't 'ehJmoyenne, mal- iftip'ressiônnées parTsfticîë' 'dont il. est question, ci-dessus. ̃̃>• F/ermeté des Fonds. Ottomans. Lé 5 0/0 gagne 2 fr. 10 à 46,20. La commission qui. 's'occupe du 'î-èglem-ent de la dette reprend j ses, travaux aujourd'hui. Fonds Russes né-,

gllgôS.

'ÎS'ouvelle avancé de la Banque de France i à-^9.600. Lourdeur des établissements de

i ofé4it-; Bttnq w de-^PetHs, 1. 152 Lyonnais,

t:8S0 ^yHwn'^a.mlen»jc,'728'rMo*îM«rr'458'1î iruncwr Égyptien; Z.U7-. :Fûr..cs>ntr^4a=.P®v-. qiK de l'Indochine gagne 20p francs à 3.280; '\a. part Foncier de Vlndochmc 110, à 2.42o. fermeté ,du Suez à 12. 1 1.0.

Recul de^ la 'Rente Foncière à î.56o.. Groupe électrique irrésulier Thomson, ÉQ2 Centrale d'Energie Electrique, 570, contre 5fi3. bien impressionnée par les résultats de l'exercice en cours.

.Qeçul -deê mines:,métalliqueSi bien que }e marché des métaux soit ferme £ Londres.. Le Rio perd $5 francs Penarroua, V65 par contre, Boléo en gagne 22 à -1-75.

Lourdeur des produits chimiques Peclunûii, 825 Azote Norvégienne, 1.720, Sucrières irrégulières Say, 1.850 Sucreries d'Egypte, 1.005.

Pétrolifères résistantes Royal Dutch, 35.850 Shell. 491 Roumaines lourdes. 'Les sud-africaines abandonnent un peu de terrain. Fermeté de la General Mining à

156

Prises de bénéfices aux caoulchoutières Pàdang abândonne'51 francs à 1.195; Ma-

açca 39, à 485, bien que la matière première lit' remonté au-dessus de 4 sh. la livre au*©UFd'hui à Londres.

Au comptant, Mokla gagne 150 francs à 3,'IQO Générale Industrie Textile '100, à L060 ClUi autant, à 2.730 Verreries d'Am\he autant, à 2.100 Bénédictine 825, à 8.950, Charbonnages du Tonkin 120, à 7.500 Té'égraphes du Nord 100, à 4.100 Tabacs des Philippines autant, à 3.300 Wagons-Lits ùnVrité 110. à 2.500 Thizy capital 200, à £.950 :Rovina, 742-: Gaveau. 548

Bor priorité abandonne 215 francs à 2.318; Guerqbur 250. à 6.250 Ouenza 240, à. 3.960 Qvibnès 150,. à 6.190 part Poliet 260, à 11.. 990; Est-Asiatique Danois 230, à 7.650; piiv}, Kinta 285, à 3.340. etc..

La Brosse, .905. D'après l',Agence Economique, el. Financière, le chiffre d'affaires nour, l'exercice clos le 30 septembre demie r s'est élevé à 9.004.816 fr., contre 7.513.850 frà'ncs prttir 'l'exercice; précédent. L'exercice qiii' commence ce mois-ci bénéficiera de l'installation des nouvelles machines américaines, qui doivent développer :eonsidémbiement la production.

Infop(nationb

Fédération des Foires Françaises Les représentants des Gramcles Foires Françaises urnes' à. PaH s, ont décidé de se grouper -dans une Fédération àyan.1 pour but cte coordonner les efforts de foutes les Foires, en vue du développement de ragricuillure, du commerce et'" de l'industrie du pays.

lis statuts de la nouvelle organisation seront définitivement approuvés dans une- deuxième réunion qui aura lieu avant la fin d'octobre.

La Fédération nationalo des blessés du poumon et des chirurgicaux, en accord avec un certain nombre d'Associations, organise, pour le dimanche 18 octobre, à 9 heures du matin, au Palais des Fêtes, 8, rue aux • uwrs (boulevard Sebastopoi), une grande réunion publique de protestation contre le projet gouvernemental de revision

des pensions.

des T Jean de Paris. Artistes contemporains Mlle B anche Camus

Un charme captivant se dégage de l'Exposition à la Galerie Georges Petit, 8, rue de Sèze, des œuvres de cette artiste,

Des fleurs aux tons délicats, des paysages et des scènes de Provence où la blanche lumière du soleil donne aux êtres el aux choses le calme et la sérénité, des jardins fleuris qui ravissent l'oeil et l'âme, toutes ces toiles plairont aux gens de goût, car elles sont empreintes en même temps de vérité, de rêve et de poésie. J. R.

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HOTCHKISS 1925 La visite du Salon de l'Automobile, qui se tient tout le long de l'avenue des ChampsElysées, est une véritable marche à l'Etoile dont la voiture automobile moderne est l'astre resplendissant.

Au 154, le dernier magasin de l'avenue célèbre, se trouve l'exposition Hotchkiss. Les visiteurs nombreux s'y arrêtent longuement pour examiner cette 12 CV qui réunit toutes les qualités exigées aujourd'hui d'une voiture aussi bien utilitaire que d^ tourisme. Elle représente vraiment la construction française moderne. Peut-il, en être autrement lorsqu'on apprendra qu'Hotchkiss vient de faire édifier une nouvelle usine à Saint-Penjs où son châssis naît dans un hall de 180 mètres de long sur 40 mètres de large dans lequel des machines-outils neuves derniers types de la technique mécanique produisent", selon les procédés les plus per* fectionnés de l'usinage moderne, les différentes pièces mécaniques d'un châssis automobile.

Dans son ancienne usine de Saint-Denis, Hotchkiss. maintenant, construit ses carrosseries de sorte que châssis et carrosseries de la 12 CV Hotchkiss forment un ensemble complètement homogène, et l'on a bien l'impression que le Salon de 1925 aboulit jà^ à !'Etoue~à:Ta: véritable voilure «juslo milieu ;̃.

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•r– ̃ ̃ r VQh0 ̃ •'̃̃̃' LeTournoi d'Anvefi. Le Tournoi. d'-Ati1-' vers, qui vient de se terminer, a vu la victoire de l'équipe du Lake House, composée de joueurs du Chaltenham Polo Club, dans la finale du Prix de Hoogbroom, sur l'équipe de l'Anlwerp Polo Club, obtenue par j 7 buts à 3.

Dans le Prix de Cappellen, l'équipe de Bruxelles battu. par 5 buts à 2, l'équipe des Wanderers. L'équipe bruxelloise était commandée par sir Ernest Hcriick, et se composait, en outre, du'commandant R. V Jooris, et des lieutenants G. Van Derton et H. Good, du régiment des Guides. Les Coupes de Biarritz. Quatre coupes, offertes par M. F. H. Prince, maître du Pau Foxhounds, vient de se jouer au Polo; -de Biarritz, selon le système dit à l'américaine. L'équipe, commandée par le duc de Santo-Mauro, dont M C. Aramayo, le capitaine J. Adams et le lieutenant-colonel M. O'Malley-Keyes faisaient partie, est sortie victorieuse, avec la meilleure moyenne de buts marqués pour ou contre elle.

El*.

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UNE BELLE IDÉE

UNE RÉALISATION PARFAiTE

L'inauguration privée

du Salon permanent Saint -Didier

Pour que l'usage de l'automobile pût se développer, une. organisation s'imposait, celle du garage où l'automobiliste trouverait non seulement l'abri pour sa voiture, mais tout ce qui est nécessaire à son utilisation régulière l'atelier de réparation, les accessoires indispensables et les plus divers et aussi la possibilité de vendre sa voiture pour acquérir celle qui répondait à ses besoins ou à son caprice. v

Le garage n'est, certes, pas d'institution récente il naquit– timidement avec l'automobile.. ̃

II semble bien, toutefois, qu'il appartient à M. Gustave Baelir d'avoir conçu, dans toute son ampleur, ce que doit être un garage moderne. Le plan qu'il avait arrêté, il en a poursuivi avec obstination et méthode, la réalisation aujourd'hui complète.

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Le garage Saint-Didier, qu'il a fondé, a, d'année en année, reçu les agrandissements et. les perfectionnements prévus, dont les derniers, inaugurés' dans une réception privée, font de cet établissement un véritable et înagni.fique .Salon de l'automobile, dans j

uhfr-'réduc'tionMe Grand' Palaïs dés /Champs-

Elysées un-hall, une galerie en rez-de- chaussée, une galerie au premier étage. Le hali est réservé/'aïtx. voitures les galeries, aux accessoires-dé l'automobile. Sur les stands'/d'U hall- sont exposées les y.eiturés de nos plus importantes inarques Wugeo.t, Citroën, de Dioif- Bouton, Delagé, Talbot, Hispano-Suiza, Dëïahaye; LorraineDiétridi,,Chrys.elef. Les carrossiers- lei; pluîs réputés y ont aussi leurs expositions, i Moir nessier, Million-Giiiei, Binder. Ce ravtesaat "salon .perhiianéri't Saint-Didier a été ouvert: hier. dans, une inauguration privée, par M. Daniêlou, sous-secrétaire d'Etat à la marine marchande ̃ > ̃ M. Daniélou, salué par la Mavseiilaise/a -été ,-reçii à soii arrii'ec par M. ̃ Ma>iês-L4\y, président, du conseil d-'administraiio.a de 'Samk-Didier ̃ ̃ Gustave Bâ.eihr, ailrninistrateUr délégué, directeur général, et M. Elienné. de Çrozaïfcv adminislrateur et diœtl-ur ̃général 'adjoint, qui -lui oiit fait les ]vmneufs de cette ^brillante exposition. Le matin et l'aprës-niidi, une foule élégante a visité, évolué autour des stands de ce salon si heureusement conçu, si joliment et si utilement réalisé.

D'autres installations donnent au surplus, à ce salon permanent, un véritable cachet de grand cercle la clientèle trouve, en effet, à sa disposition, un bar, un salon de, thé, des courts de tennis' couverts lés* plus beaux, les mieux aménagés de Paris. ,R\l.ten ne rn.anque. G'.estl un remarquable centrë'commerciàl sur des données hardies et modernes. Il a valu, à ses auteurs les félicitations les plus méritées. Il a d'ailleurs remporté un succès considérable, dont nous sommes les premiers à nous réjouir bien sincèr-emunt. •- ̃•>•:̃' '̃*̃

•; ̃ W à'

'̃•• ̃:

Aujourd'hui, samedi, "le Salon Saint-ïiidier est librement ouvert au public.

AVIATION

La Coupe Beaumont

La coupe d'aviation- -Beàumpii^ .qui sera courue demain dimanche^à Istres, n'a réuni ^gué- deux engagemerits celui d»;- SadiLecointeiPe-venu-toût exprèâ du Maroc pour; monter son Niëuport-Dëlagë. gagnant ;deL- 1924, et celui du lieutenant Ferigoul, qui pilotera un Salmson-Béchereau. Les poids des deux appareils à vide sont respectivement de 1.170 et de 1.000 kilogs, leur puissance de 600 et 500 chevaux.

Le parcours imposé étant de 300 -kil:. -il; ne saurait être question, dans cette -épreur.

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vc, de- 'battre» le record de vitesse. pure dé-1 leuu par radJH.darvt Bernard (448 kil. à I l'heure, sur 3 kii. de parcours). Mais le gagnant pourra .s'allaijuer aux records du, monde que le lieutenant- ahiérfcoiri WE-liamé a' établis', le 6 octobre ;dc;, cette ann|è en remportant- l'épreuve "de: la coupe Pylïf?èr ce sont -les-' vitesses sur 100 kil. (392 kil. 379 à l'heure) et.sur 200:kil.v(392 kil. 154

à l'heure).

D'autre part, en 1924, après avoir gagné la coupe Beaumont, Sadi Lecointe prolongea son vol et 06'uvrit les '500 kil. à la vitesse de 306 kil. 696, s'adjugeant ainsi le record du monde de vitesse sur cette distance. Ce record n'a pas été battu, et il est possible que le vainqueur de la nouvelle

épreuve essaie xle. 'le. 'dépasser. ̃ Jeàn: F.Â:-

BERï. -•' •̃̃• ;• •" ̃ '• "•

La Coupe d'aviation Bréguet. Cette Cou-Sé âMé disputée par de nombreux concuïywente,, dont cinq, à l'heure actuelle, ont ter- îniné'ie parcours. Leur classement provisoiv: îre est "iç suivant

L'adjudant Sahuc, 231. points 2. adju-

fàarit" Duroyon. 216.; :3. lieutenant Girar- don,' 202 4. sergent Meyer, Î88 5. lieute^: ̃liant -Didier, 160.

Un avion de la ligne Londres-Paris fait. un atterrissage brusqué. Un avion de la j ligne -Londres-Paris, parti de Londres hier. après-midi, s'est trouvé pris dans le brouillard au-dessus de Townbridge, et dut atterrir- de façon quelque peu brusquée. Defsang-froid du pilote a évité une catas-

trophé.

Trois voyageurs ont :été légèrement blés- ses. Le raid Paris-Téhéran. L'aviateur No'guès-, parti du Bourget pour atteindre Téhéran, en plusieurs étapes, a quitté, avanthier-jeudi 15 octobre, Bagdad, à 8 h. 30-et a atterri à Téhéran à 13 h. 40, ayant couvert ce.tfe dernière étape çn 5 heures 10 mi-

nutes..̃.•• :•̃̃

En souvenir de JRoland Garros. Un monument, doit être élevé, dans l'Ile de la Réunion à- la mémoire du, glorieux aviateur Roland Garros.'

La maquette de-ce monument, œuvre du sculpteur Etienne Forestier, ^gera exposée, du 17 au 31 octobre, 152, boulevard

Haussmarm. GOL}'

GOLK

Siir"ièl)àrcbufs. de La /"Èoùlie. Les compétitions disputées cette semaine sur le parcoura#u Golf .Club'de Paris,à La,Boulie ont mis en ligne de nombreux concurrents, notamment dans le Prix. du Soleil Levant,'il- y- avait-trente-.six joueurs inscrits. Voici les résultats: ,•

Prix du Soleil Lésait {handicap par coups). 1. Andrn Weiss (20),23 ;.2. A.-A. Vagliano (6-,

Ti- 3 G. Dashwood (10), 76 et R. Gompel 19),

7(i 5'. L. Lindon ('.)), 77. 6. M. Delagrave (10), 7S,' 7 R. Goldschraid-(0),70 B. Hertz (20),

Déplacements et villégiatures Figaro

îles abonnés du « Fiaaro »

Mme Ch. Adda de Malfei, à Venise Mme la princesse Réginald de Croy, à Bruxelles Mlle de Coniac, au château de la Marmitière M. J. de Chamerlat, à Riom Mme Henri Godeau, à Moulins Mme Gompers, à Monaco Mme Paul Guillot, à Agen Mme Edgar Humann, à Constantinople Mme la comtesse Eugène d'Harcourt, à Nice-Cimiez M. le comte d'Havrincourt, à Menton M. André de Laboulaye, à Berlin M. Eustache de Lorey, à Damas Mme veuve David Loewenstein, à Nice Mme Stanislas Lami, à Rilly-sur-Loire M. Victor Le Sur, à Avranches Mlle Marcelle Montclar, à Bâle M. A. Motte, à Nice Mme Martell, au châteàu de Saint-Màigriri M. le comte de Nicolay, au château de Cbabenet M. Maurice RodriguesEly, à Arcachon Mme Rodolphe Riff, à Reichshoffen Mme Raillard, à Saint-Mandé Mme Thierry-Delanoue, au château de Saint-Victor Mme M. Vermeys, à Rotterdam.

ARRIVEES A PARIS

M. et Mme Pierre Figarol, Mme Garbe. M. .Goirand, M. et Mme Louis Groc, Mme Heid, Mme' Lucieen Henraux, Mme Larue, M. de Lanzac de Laborie, M. Maurice Lainé, Mme V. Lagorce, M. Désiré L'Hopitault, M. M. Laillier, A LA RELIGIEUSE -DEUIL IMMEDIAT 32 Place de la JSadeleino a nco Troncbct. PARIS

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79 M. Ritcher (19), 79 J. MaJlet (20), 79 UC.-S. Lipscomb .(0), 81 et Calvin Brow (14), 81 «1 13 Eddy Levis (16). 82 et Claude Leblanc (10), 82. Pnv des Chrysanthèmes {handicap par coups, double mixte). 1. Mme Lumsden et Greenway (22), 83 2. Mme André Weiss et André Weiss (21), 81 Mme *Lanpuereau et Horteloup (20), 86 miss Dashwood et Dain (24), 89.

Frantz-Reichel,

Toute la correspondance concernant les sports doit être adressée à M. Frantz-Reichel, chef de la rubrique sportive du Figaro.

-ff r.

AVIS DÏVBRS

"t~

Avis1 au personnel de la T. C. R. P. ,1 La Société adresse tous ses remerciements au personnel qui est resté. en très grande majorité, à son poste, pendant ces derniers jours de '"rêve .pour, assumer le service public des transports, malgré des* menaces et même quelques 'actes «de violence. '> Le service normaf reprend actuellement et des 'suppléments ont m'eme pu être effectués tout serait déjà rentre dans l'ordre si quelques gré- vistes ne s'étaient livrés à des. actes de. .sabo-' ta«e susceptibles d'occasionner des accidents et 'de compromettre la sécurité des -voyageurs et

des agents

Les auteurs de-ces actes de sabotage ont sans doute pensé intimider par ce moyen la direction de la Société.

'Mais ils se sont lourdement trompés ces tentaiives criminelles seraient, au contraire, de nature à paralyser l'indulgence de la Société à l'égard des agents qui n'ont pas encore repris

le travail

Pour remplacer les agents défaillants, la Société a dû' procéder à de nouveaux embauchages qui permettront, dans.un court délai, de rétablir au complet les effectifs. Toutefois, par mesure de bienveillance envers les agents qui se sont laissé entraîner à faire grève sans commettre d'actes répréhensibles et qui, jusqua lors ont fait un bon service, la Société accepte de reprendre ces agents à la condition qu'ils se présentent à leur dépôt respectif, en vue de leur réintégration, dans un délai qui prendra tin le lundi 19 octobre, à midi. La DIRECTION.

AVIS FINANCIERS

TROISIEME PUBLICATION

L'administration de la Konlnklijke Nederlandsche -Maatschappy tot Exploitatie van Petroleumbronnen in Nederlandsch-lndie Société Royale Néerlandaise pour l'Exploitation de Gisements de Pétrole dans les Indes Néerlandaises) invite par la présente, conformément à l'article 6 des statuts le détenteur ou les-,#teçteMrs eaa&tue s

des quatre 4 1!? pour 100 ac~tiôi's dë'p°o~'e de

des auatre'4 1 '2 pour 100 actimts deprfoftte de

°OÛ f'or lis de cette ^Soeiéte, numérotées WOfl D 19201 D S-M40' E Ét UW Bf^OHpf^ten.T avoir été égarées _;à présenter ces pièces aux bureaux de la Société, 30, Carel van Bj-

landtlaan, à La Ilaye.

'aEnUi«s' iLnon-p&«ntation, l'administration susd'tp délivrera en temps dû pour ces actions des duplicata avec déclaration simultanée de la Description des titres originaux.

La Haye, .le 16 octobre 1925.

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ARTS. 8 h 30. Sainte Jehanne ATELIER. 9 h. La Lame sourde, Serments d'usage. ANTOINE. 8 h. 30. Copains P ATHENEE. 8 h. 45. Les Nouveaux Messieurs,APOLLO. 8 h. 45. Bouche à Bouche p BOUFFES-PARISIENS. 8 h. «. f. L. M. | CAPUCINES. 9 h. Quand on est trois: j- k' CHATELET 8 \i 30 Malikoko, ro: neijre- COMEDIE DES CHAMPS-ELYSEES. 8 h. 30(, Mme Béliard, Démétrios. COMEDIE-FRANÇAISE. 8 h. 30. La Manche nuptiale. rr j- COMEDIE-CAUMARTIN. 8 &• 45. Un. dé- jeuner de soleil

DAUNOU. 8 h. 45. EHe ou moi.< DEJAZET. 8 h. Une femme qui flambe. DËUX-ANLrf. 9 h. Bonne Anée

EDOtJARD-VII. Relâche. < j- ETOILE. 9 heures. Saison russe.

FOLIES-DRAMATIQUES. 8 h 45. Fine moache. .'̃ ̃•"̃"? FEMINA. 8 h. 45. L'Homme. d'un soir. GAITE-LYRIQUE. 8 h. 30. La Poupée: GRAND-GUIGNOL. 8 V>. 45. Un accës diialousie, Gardiens de phare, la Dame de bronze', et le Monsieur de cristat. Un Crime dans ̃cne maison de fous, Mon cher confrère. ['̃ i GYMNASE.. 8 h. 30. La joie d aimer. 1r. MADELEINE. 9 h. Un Homme.

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