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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1925-08-01

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 01 août 1925

Description : 1925/08/01 (Numéro 213).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k294461b

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LSà jmtice,

c'est d'abord la clarté .wkUne sèche ordonnance de non-lieu, rendue en un Paris que l'été prive de sa résonance, habituelle, suffira-t-elle à reléguer parmi les faits divers de l'oubli cette mort de Philippe Daudet qui troubla l'opinion depuis près de vingt mois ?

Trouble non pruyaiû, peut-être, mais profond. Dans n'importe quelle bourgade de province,.telle personne en apparence indifférente vous posera la question « Quel est le secret de l'affaire Philippe Daudet ? » Question qui ne suppose aucun parti ptris, mais qui appelle impérieusement la clarté.

La justice est avant tout la clarté. Peutçn dire que l'ordonnance de non-lieu, sous sa forme laconique, réponde à ce besoin de clarté ? Non, elle est la solution de l'abcès qu'on ne vide pas. Elle laisse intacts, aux yeux du public, des énigmes graves ou des scandales inexpliqués. Elle omet toute la vraisemblance morale de J'affaire, à commencer par l'enchaîne*fnent des causes qui ont pu conduire un enfant de quatorze ans à ce que les magistrats affirment être un suicide. Pour éclaircir un drame si terrible, il fallait avoir du courage et il fallait aller vite. Les gouvernements eurent peur. De là cette extraordinaire lenteur de la première instruction, où se refléta le commun désir des pouvoirs en cause de laisser s'éteindre une « fâcheuse histoire », Si l'instruction avait abuuti rapidement, l'affaire, d'une manière ou de l'autre, eût changé bientôt de juridiction on fût allé devant la Cour d'assises, et on y eût trouvé la clarté.

'Les gouvernements eurent peur. Peur que 1 opinion découvrît certains aspects répugnants de la police politique. Peur de s'attirer des rancunes. Peur de leur ombre bu de l'ombre d'autrui.

Le résultat est que le rôle de l'Etat justicier se trouve compromis aux yeux de la foule, qu'une brume de soupçons enveloppe toute la procédure et qu'au lieu de sanctions appliquées à des fautes précises, un même discrédit risque d'atteindre ceux qui firent leur devoir et ceux qui -ne le firent pas.

Le « pas d'histoires.», qui fut, pourjios •iperesi un sujet de vaudeville, a produit, dans le cas présent, des effets tragiques. iVoyons-y le danger croissant que nous fait courir la décadence, chez les repré- sentants de l'Etat, de la notion de respon-

sabilité.

Le procès au grand jour, le procès de clarté que l'opinion réclame, viendra- 1 il, le 26 octobre, en Cour d'assises, avec le cas Bajot ? Constatons qu'il est à la fois pénible et ridicule que, dans une affaire pareille, où de si hauts fonctionnaires se virent mis en cause, on laisse à un chauffeur de taxi la chance de provoquer la jjumière,

Lucien Romier.

Un assassinat électoral

La.' pr'essi.à`ra admin~ive, aà cours des

̃ La pressi&ri administrative, au cours des

[dernières élections cantonales en Corse, a 'dépassé toute mesure.

[ Nous dédions à M. Schrameck, minishe Yde l'intérieur, le récit cVv/ne scène électo- rale prise entre cent autres exemples ,4 »i nous est t'apposée par un témoin Deulaijre, M. Henri Omessai, dans le dernier nuItnéro. de J'Eveil de la Corse et dont l'horreur 'comeentrée dépasse les drames, les plus trafiqués du Grand-Guignàl

J'étais à Ghisoni, dimanche dernier. Aux i>F,emières loges le bureau électoral est installé- dans ma maison. Par ma, porte on'jverte, je vois ainsi passer les électeurs, ce qui constitue une distraction de premier ordre, dans un village de Corse, un jour

.éjection.

Et voici que, dans l'escalier qui conduit ,au bureau de vote, j'entendis une sorte de •brouhaha des hommes, tendus dans un effort à la fois robuste et délicat, transpor;taient un autre homme sur une chaise. Un moribond. Son visage terreux portait •déjà le masque de la mort. II râlait, lorsque des porteurs l'installèrent devant l'urne, et le maire, voyant cette loque humaine qui agonisait, fit éloigner quelques électeurs dont c'était le tour de voter, ci prit des mains du malheureux le bulletin dont il eût été incapable, sans doute, de lire le

L'enveloppe tomba dans l'urne.

Une âme tomba du même coup dans l'éternité l'homme était mort.

Je demandai

Qui est ce malheureux ? 2

Ce malheureux, c'était le fils d'un vieux Bêcheur de truites, un certain Jacquemin il se trouvait à l'hôpital de Bastii, en trai.tement, et dans un état qui inspirait de avives inquiétudes.

Avec la complicité de M. Sari, sénateurmaire et président de la commission de l'Hospice, le docteur Martinetti, candidat ̃ à Ghisoni, obtint qu'on laissât sortir ce 'demi-moribond. On le mit dans une automobile, le samedi matin, on lui fit faire plus de cent kilomètres, on le transporta iiusqu'à Ghisoni.

Le malade eut une première syncope. On le remonta. avec du champagne et une piqûre appropriée. Au moment de voter, il eut une deuxième syncope. Encore du champagne. Enfin, doppé comme un vieux carcan de course, ne tenant plus à la vie que par un fil, on l'emmena à l'abattoir. Et, "quand il eut voté, on remmena son cadavre à sa -femme. Le docteur Martinetti tenta d'exprimer à la veuve d'hypocrites condoléances.

Vous êtes un assassin, lui répondit-

elle.

Et elle lui montra la porte.

Nous demandons à M. le ministre de l'in"térieur s'il est permis, au. nom de La démocratie sociale de MM. Landry, Mon, Caïtucoli et Sari, de faire sortir de son lit d'hôijntal un homme confié aux soins d'une institution municipale, pour lui arracher. un 'dernier vote avec son dernier soupir.

Émâfei

L'accident

de Saint-Àntoine-du-Rocher

Le nombre des personnes qui ont trouvé la mort dans le tragique accident de- chemin de fer survenu l'avant dernière nuit à Saint-Antoine-du-Rocher est exactement de dix-sept. On espère que la funèbre liste ne s'allongera pas, aucun des blessés soignés à Tours ne paraissant, à l'heure actuelle, dans un état alarmant

Une des victimes a pu être identifiée, il s'agit de Mme veuve Jeanne Houard, demeurant 5, rue des Ursulines, à Tours. Les obsèques du mécanicien Gorse auront lieu ce matin à dix heures ai Tours. Celles de M. Albert Bizet, ingénieur en chef des manufactures de l'Etat au Mans,' auront lieu également aujourd'hui à Durtal (Maine-etLoire). Celles de M. Armand Braillet, monteur mécanicien, au Mans.

Aucune disposition n'a été prise jusqu'à présent en ce qui concerne les obsèques 'les autres victimes.

Récifs de blessés

Certains blessés vont assez bien pour donner leurs impressions au moment de l'accident. M. et Mme Guérin racontent que, ne dormant pas, et comme le 'train roulait à grande allure ils furent projetés contre le plafond de leur compartiment, parmi un fracas épouvantable.

Il*- s'évanouirent et, reprenant connaissance au bout de quelques instants, se trouvèrent étendus sous un mort et un autre blessé. Ils ne furent dégagés qu'au bout de trois quarts d'heure, par un agent de la compagnie, qui dut briser la fenêtre pour pénétrer jusqu'à eux. Après eux, on retira des débris du wagon leur sœur, Mme Bellay, qui était morte sur le coup.

Les travaux de déblaiement

La locomotive, dôraillée est enfoncée profondément dans le sol. Deux grues travaillaient hier, sous la pluie, à la relever. Pendant cinquante mètres, les traverses sont endommagées et la voie a cédé sous la pression des roues pius loin, les rails sont violemment arrachés et les traverses sont pulvérisées.

v Des équipes d'ouvriers se succèdent pour poser des traverses et des rails neufs. Sur la voie parallèle, le trafic a pu reprendre dans le cours de la nuit.

Excès de vitesse, dit la première enquête L'enquête se poursuit qui doit mettre en lumière les causes de l'accident. Le service technique ne tardera pas, d'ailleurs, à déposer son rapport; en attendant, le substitut du procureur de la République, M. Meynier, a déposé les conclusions d'une première en,gu$te selon Ja^uelie il.faut incriminai' -h premier chef la vitesse anormaW, du convoi. C'est un fait que le chiffre de 93 kilomètres à l'heure a été relevé au lachymètre de la locomotive. La voie, qui est en pente assez accentuée pendant cinq kilomètres avant d'arriver à la gare de Saint-Antoinedu-Rocher, décrit deux courbes et, aux endroits mêmes où s'amorcent ces courbes, croise d'autres rails. On conçoit donc que, normalement, les trains ne doivent pas se laisser aller, particulièrement en ces deux passages délicats, à toute la vitesse où les incite la pente. Or, c'est justement au début de la seconde courbe que l'accident se produisit.

Ainsi les premières constatations laissentelles supposer qu'il y eut excès de vitesse. Autre question les freins fonctionnaientils ? 2

Interrogé, malgré l'état de faiblesse où le laissent ses blessures, le chauffeur Eugène Bodart a déclaré

« Je remplissais ma chaudière quand le mécanicien m'a dit avec angoisse « Serre le frein à main, le mien ne marche plus. » Je bloquai mon frein, mais déjà nous n'étions plus maîtres de la machine, qui perdait sa vapeur de toutes parts et je subis un choc violent qui me jeta contre le mécanicien. Je perdis aussitôt connaissance. »

A la suite de ces déclarations, des ingénieurs ont été délégués pour étudier parmi les débris de la machine, le fonctionnement des freins.

Ajoutons que la circulation a été reprise, hier soir, à 17 h. 30.

La mort de Philippe Daudet Après le non-lieu

M. Léon Daudet a fait déposer, par ministère d'avoué, au gi'cffc de la Cour de Cassation, un pourvoi en cassation contre l'ordonnance de non-lieu rendue par le premier président dans l'affaire de la mort du jeune Philippe.

1\1. Daudet ne fait pas connaître Ics motifs de ce pourvoi, qui seront développés dans le mémoire que présentera l'avocat à la Cour de Cassation qui sera chargé de soutenir la requête.

Un châtelain et sa femme tués à coups de revolver Le meurtrier

est un ancien officier de marine Périgueux, 31 juillet. Mme de Boissieu et son mari, habitant un château de la commune de Saint-Aubin, vivaient en mauvaise intelligence avec leur voisin, M. d'Estreux, ancien capitaine de corvette, fils du général commandant le 17° corps d'armée. Ce dernier était hv'urié et menacé journellement. Hier, comme M. et Mme de Bossieu rentraient en voiture à leur domicile, M. d'Estreux tira sur eux des coups de revolver. Effrayé, le cheval se cabra, renversant la voiture et projetant sur la route ies voyageurs. Ceux-ci, atteints par les balles, succombèrent tous deux peu après.

Le meurtrier est arrêté.

Ziwar pacha à Paris

ilY

Ziwar pacha, président du Conseil des ministres d'Egypte, venant de Londres, est arrivé à Paris hier soir à 18 h. 15. Il a été salué sur le quai de la gare du Nord, au nom de M. Briand, minist.re des affaires étrangères, par M. Duliguier, du protocole, amsi que par Fakhry pacha, ministre d'Egypte à Paris. Ziwar pacha et Fakhry pacha se sont rendus ensuite au quai d'Orsay pour rendre visite à M. ArisrtMe Briand.

Les Dîners de Paris CELUI DU « 14

On se souvient certes encore des dîners du Bon Bock, qui eurent lieu chez Vantier, avenue de Clichy. Des personnalités notoires des lettres et des arts y tinrent, selon la formule admise par ce groupement, « le grelot de la présidence ». Plus littéraires furent le Diver celtique, que présida Renan pendant huit ans la Soupe aux choux le Dîner de l'Est où se rencontrèrent Theuriet, Gabriel Vicaire et le peintre Français; et les banquets de la Plume, pour l'un desquels, que présida Verlaine, F. -A. Cazals dessina une invitation, devenue célèbre, représentant Mallarmé et le poète de Sagesse, tous deux en faunes. Cette invitation était adressée par Aùrélien Scholl, Emile Zola, François Coppée, Jules Claretie, Auguste Vacquerie, Leconte de l'Isle et Stéphane Mallarmé.

Ces sortes de réunions sont fort nombreuses aujourd'hui. Elles sont bienfaisantes, car elles procurent à quelques camarades le plaisir de se retrouver autour d'une table elles sont, de plus, reposantes pour l'homme de lettres, car, ainsi qu'aux mardis de Mailarmé, les questions d'ordre purement littéraire n'y sont pas seules traitées, et il faut bien admettre que la conversation sans apprêt peut devenir charmante, du seul fait de l'imagination et de la fantaisie de ceux qui y participent.

Le dîner du « 14 fut créé en 190S par MM. Georges Nicoux, Pierre Mortier et René Blum. Son but, comme son nom l'indique, était de réunir mensuellement ses membres, choisis, dans le monde littéraire et artistique. Ce groupement, dont les traditions n'ont pas changé, a aujourd'hui pour chancelier notre confrère René Puaux, qui succéda à Paul Reboux et à Jacques Brmdejont-Offeabach. ;v Donc, le 14 de chaque mois, chaque membre reçoit une convocation libellée sur un papier qu'illustre une vignette d'où se détache cette devise fort éloquente malgré sa brièveté Rcsponderc, Vencre,- Gaudere. Les élections. se font à l'issue du dîner ce qui est dangereux, car de la digestion peut dépendre le sort du candidat. Il faut, pour être admis, obtenir la majorité des voix mais chaque membre dispose d'un droit de .veto suffisant pour l'annulation de l'admission, et la plus légère rancune peut là se manifester à loisir. Parmi les. membres actuels, citons MM. Alfred Athis, Lucien Besnard, Abel Bonnard, Marcel Boulenger, Gaston Chérau, Curnonsky, Henri Duvernois, Paul Reboux, Henri Béraudi René -Blum, Alfred Savoir, Claude Farrère, Pierre La Mazière, Francis Carco, Roland Dorgelès, Abel Faivre, Antoine, feus Bofa, Jean Villemot, Reynaldo Hahn,' Dunoyer de Segonzac, Gaston de Pawlowski, Fernand Gregh, René Fauchois, André Rivoire, Régis Gignoux, etc., etc.

Un seul membre d'honneur existe actuellement Georges Courteline.

Au dessert, la critique du repas est faite par quelques-uns des convives elle est généralement sévère. Les membres du « 14 » sont friands d'anecdotes délaissant toute discussion professionnelle, ils tiennent à conserver les traditions et en particulier celles qui ont trait à la « vieille gaieté française ». C'est ainsi qu'à un de leurs derniers dîners, il fut convenu que chacun d'eux conterait une histoire de « parapluie ». On se rend-: compte aisément du fait seul des noms qui figurent sur la liste des « 14 », de ce que put fournir de fantaisie un sujet aussi singulier l'éditeur Fayard, qui est de la compagnie, décida de recueillir la plupart de-ces récits, et Henri Duvernois fut chargé de les préfacer. Nous en attendons l'édition avec impatience. Maurice Mondâ.

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AUJOURD'HUI

Supplément littéraire Dans le Parti socialiste L'entente est difficile

Après le retentissant discours de M. Léon Blum,' au Congrès de la Fédération socialiste de la Seine, -dimanche, et la discussion qui s'en est suivie, une commission fut chargée de rédiger une motion. Il en est sorti deux et contradictoires de ses délibérations. L'une, la motion dite de Léon Blum, résume les tendances du leader de la S. F. 1. 0. Fin de la politique de soutien, les conditions du Congrès de Grenoble n'étant plus remplies. Pas d'opposition systématique. Le ministère jugé à ses actes. Le, parti ne rendra, son appui qu'à un gouvernement modèle • H"triot-1924.

L'autre motion est un avant-propos à la participation ministérielle désirée « Le parti tend à gouverner, assure cette motion numéro 2. En cas de participation ministérielle, les ministres socialistes devraient être désignés par le parti et quitter le 'pouvoir quand le parti le jugerait bon. Quant à soutenir un gouvernement. le groupe parlecentaire devrait le faire avec consistance pour éviter les successions de crise ministérielle. Jaurès est avec nous, affirment les « participants ». ̃ Les deux fractions se déclarent d'accord pour demander la publication de ces conditions de paix qui attendent le bon vouloir d'Abd el Krim et toutes deux se montrept, avec des variantes de forme, opposées aux excitations' démagogiques des communistes dans l'affaire du Maroc.

Les auteurs de la seconde motion réclament pour le protectorat du Maroc un administrateur civil (ils ne désignent pas 1 ̃> groupe parlementaire dans lequel il devrait être choisi, mais on le devine bien). On votera sur ces motions demain dimanche. La motion Léon Blum porte 23 signaturcs. L'autre 7.

rs~-s-s*. ̃

DEUX BAIGNEURS ENLEVÉS PAR LES LAMES

Deux baigneurs, MM. Allain Pennec et Pieire Gestïn, qui prenaient un bain à Plougoulrn, ont été enlevés par des lames. Seu1, M. Pierre Geetin a pu être sauvé.

Les opérations militaires au Maroc

Le poste d'Aïn=Bou-Aïssa a sauté FEZ, 30 juillet. La situation d'ensemble étant sans changement, aucun communiqué officiel n'a été publié aujourd'hui. Les caractéristiques des dernières vingtquatre heures sont les suivantes l'ennemi continue à se renforcer sur certains points, taudis qu'en d'autres points il harcèle nos tribus par des coups de main, dont quelques-uns dirigés contre nos lignes téléphoniques ou nos voies de communication. Les dissidents poursuivent, par ailleurs, le siège du poste d'Aïn-Bou-Aïssa.

Un groupe ennemi, stationné au Djebel Sarcar, a effectué une pointe sur la route d'Ouezzan à Arbaoua et coupé la ligne téléphonique pendant la nuit. La ligne a été rétablie dans la matinée par un de nos détachements.

Les groupements signalés dans la région de Fez-el-Bali n'ont manifesté aucune activité.

Le poste d'Aïn-Bou-Aïstsa, sous lequel depuis quelques jours les dissidents creusaient des mines, a sauté ce soir à la tombée, ^le la nuit, obligeant ses défenseurs à se déTendre à la. grenade dans les tranchées environnantes.

Cette nuit, un sergent indigène et quinze hommes sont arrivés au poste de Teroual, ayant franchi 6 kilomètres à travers les lignes rifaines. Il raconta qu'un autre détachement de vingt hommes, sous le' commandement d'un adjudant, était parti vers Skifa, autre poste situé à 5 kilomètres au sud. Ce détachement n'a pas encore atteint son but. Quant au lieutenant blessé et aux autres hommes, on est sans nouvelles d'eux. L'aviation fait des recherches sur tout le champ de bataille.

Par ailleurs l'ennemi, qui, à la suite des combats d'Aïn-Aïcha et d'Aïn-Maatouf avait, reflué vers le Nord, revient au .Sud de l'Ouergha Âm'elil, sans renco'ntrer de résistance. La nuit dernière, des groupes isolés ont tenté de couper la voie ferrée entre ïaza et Si'di Abdallah .en déboulonnant quelques rails. Le trafic a été rétabli dans la matinée. On augmente les effectifs de surveillance, dans celte région.

Plusieurs fractions ont demandé à quelles conditions leur soumission serait acceptée. Les pertes de l'ennemi. lors des dernières attaques autour de Tafrant. ont été élevées Les tribus Tsouls, Branes-, Hayainas, sont mécontentes du. frère d'Abd el Krim, qui. a envoyé à Ajdir plusieurs notables de "leurs tribus.

-Su? le front nord d'Ouezzan, l'aviation a ̃ a causé des dégâts considérables à des groupements Djèballahs qui ont tenté à différentes reprises, sous le commandement du caïd Ould Chaouni, des infiltrations cnlr-è Ouczzan et Aabaoua. Abd el Krim a prévenu lès Djeballahs qu'ils seront l'objet de dures représailles s'ils subissent un échec.

Dans la zone occidentale espagnole, l'ennemi est peu actif depuis plusieurs jours. Lc5 Ojeballahs sont obligés de se procurer des armes pour marcher contre les Français.

Il semble à en juger par l'attitude d'Abd él Krim, depuis deux jours, que le chef rifain abandonnerait peu à peu l'initiative des opérations.

Du côté français, on continue à préparer l'offensive qui se déclanchera probablement à la fin du mois d'août.

Les deux compagnies de chars d'assaut, venant l'une de Metz, l'autre de Besançon, arrivées à Rabat, sont parties immédiatejnent sur Fez et Kenitra.

Le maréchal Pétain

signale l'entrain de nos troupes Le maréchal Pétain est arrivé hier à Barcelone, à bord du vapeur Anfà, se rendant n Marseille.

Interrogé par un rédacteur du journal Là Noolie, le maréchal Pétain a déclaré que le 'but de son voyage avait été 'd'examiner la "situation. Il a annoncé que, la semaine prochaine, il remettrait son rapport au gouvernement.

c( J'ai parcouru l'ensemble du front, a-t-il dit, j'ai causé avec mon ami le maréchal Lyautey, j'ai étudié tous les besoins militaires. Je ne puis pas préciser la date à laquelle commenceront les opérations. Nos troupes ont tout le matériel nécessaire, uii>si que l'entrain. Mon entrevue avec le général Primo de Rivera a été très cordiale elle a été un simple échange de vues. Je suis en complet accord avec le maréchal Lyaufey. Aujourd'hui ne pourrait plus se produire ]a surprise dbnt nous avons été victimes. Les Rifains connaissent la valeur de noire œuvre civilisatrice. Tout ce qui représente l'élite est avec nous. Ceux qui nous font la guerre en font une affaire commerciale. »

Le maréchal Pétain a quitté le bord h 15 h. 30. Il a fait une promenade en ville et aux environs en automobile.

1,'Anfa a quitté Barcelone à 21 heures. Une dépêche de Marseille (31 juillet) signale que le maréchal Pétain, après un bref séjour dans cette ville, est parti par le rapide de 19 h. 5 et qu'il sera aujourd'hui à Paris. Des émissaires d'Abd el Krim en route pour Tanger?

.^Londres, 31 juillet. Le correspondant de la British United Press à Madrid télégraphie

(c Des émissaires d'Abd el Krim sont en .joute pour Tanger afin de se rencontrer avec les représentants français et espagnols et de prendre connaissance des conditions de paix de la France et de l'Espagne. » Cette nouvelle n'a pas encore été annoncée officiellement parce qu'on croit que le gouvernement français désire que les envoyés du chef rifain soient arrivés à Tanger avant qu'une déclaration quelconque puisse être faite à ce sujet.

» C'est le 7 juillet que les gouvernements français et espagnols informèrent Abd el Krim qu'ils étaient prêts à lui soumettre des conditions de paix et lui demandèrent 1° s'il désirait recevoir ces conditions 2° en quel lieu ses envoyés pourraient se rencontrer avec les représentants français et espagnols.

» Cette méthode fut employée contrairement aux usages habituels, les gouvernements de Paris et- de' -Madrid craignant Je donner à penser aux Rifains qu'ils solicitaient la paix. »

LES -DETTES

L'interruption des pourparlers ïranGo-britanûiques

Londres, 31 juillet. Une note de l'Agence Reuter dit qu'une réserve complète est observée dans les milieux britanniques responsables relativement au progrès des négociations des experts financ'iers. On déclare seulement que les délégations française et anglaise ont expliqué le point de vue de leurs gouvernements respectifs et que les délégués français retournent à Paris pour rendre compte au gouvernement français du résultat des conversations. On peut comprendre, néanmoins, qu*il n'a pas été possible de concilier les deux points de vue. On ne dit pas si les experts français reviendront, mais il semble extrêmement improbable que M. Caillaux vienne à Londres la semaine prochaine, ainsi qu'il en avait l'intention.

Au conseil de cabinet qui s'est tenu hier matin, M. Caillaux a. entretenu ses collègues de l'état des négociations de Londres. Les points de vue anglais et français sont encore sensiblement différents néanmoins, un premier rapprochement a été réalisé. Les négociateurs français rentrent à Paris pour mettre le ministre des finances au courant des pourparlers en cours.

L'ÉPÉE DE FRANCE L'équipe française d'épée vient une fois de plus de remporter à Ostende une splendide victoire.

Qui donc disait que le nombre .de nos instructeurs diminuait chaque jour et disparaîtrait bientôt ? '?

Il serait injuste de passer sous silence ou de signaler en un bref communiqué la nouvelle performance de nos équipicrs Arnson, Buchard, Cattiau, Cornic et Tainturier, qui, sans autre souci que de soutenir nos couleurs dans une compétition internationale, s'en sont allés d'un cœur joyeux travailler pour le bon renom des armes françaises.

Leur succès revêt d'autant plus de valeurà nos yeux, que, depuis l'arrivée au pouvoir de M; Paul Bénazci. commissaire général à la guerre, les crédits alloués à la, Fédération Nationale d'Escrime sont réduits à leur plus simple expression.

Félicitons-les donc chaleureusement, car l' cette victoire, comme les anciennes, aura de très heureuses répercussions elle aidera puissamment -au placement de nos maîtres a l'étranger, et nous assurera, ma.'çré l'indifférence de quelques-uns;- une excellente ^propagande française. Roger Ducret. (Voir les résultats, en rubrique sportive.)

ECHOS

Les nouveaux décorés.

On se félicite de rencontrer, dans les listes des divers ministères, des croix, des rosettes et des cravates attribuées, à des journalistes qui sont de vrais professionnels, honorés comme tels, pour leur expérience du métier, leur habileté directoriale, ou leur talent 'de journaliste M. Sapène est promu commandeur, M. Léon Bailby est promu officier ainsi que MM. Louis Daussat et Marcel Ray MM. Asselin, A. Glarner, Louis Mayer, E. Tavernier, de Valfori. Mousset et Golestan. sont nommés chevaliers. Parmi les autres légionnaires, tous les Parisiens ont salué avec grand plaisir, un vieux Parisien. d'Amérique, un excellent, et fidèle ami de notre maison. M. Percy Peixotto, président de l'Aniẽriean Club de Paris. Sa, cravate de commandeur récompense justement un long et utile effort, comme agent de liaison. entre sa patrie et son pays d'adoption.

_~«.

Le Canada n'est pas à la page.

La mode des mots croisés vient, 'du Nouveau Monde. Pourtant, dans les journaux canadiens, on continue à offrir aux lecteurs des divertissements du genre de ceux que quotidiens et hebdomadaires offraient jadis chez nous, à leurs lecteurs problèmes d'échecs ou de dames, énigmes, mots carrés, rébus, etc. Les mots croisés n'ont aucun succès à Montréal.

Voulez-vous retrouver la vieille, tradition française ? Allez au pays de Maria Chapdelaine.

Le solo de frein.

De quel autre nom! peut-on appeler cela. ? Dominant la cacophonie de la rue, une plainte atroce s'élève. Une espèce de miaulement, monstrueux 'déchire nos oreilles. C'est un autobus qui s'arrête. Aujourd'hui, 1er août, le tarif des transports en commun est augmenté. Pour récompenser l'empressement que nous allons tous mettre à payer ]̃& supplément de prix qu'on nous réclame, ne devrait-on pas essayer d'atténuer le bruit des freins ?

Ce sont eux qui crient, c'est nous qui sommes écorchés.

Le Masque de Fer.

Le pain à 1 fr. 65

â partir du 11 août

La commission départementale pour la fixation du prix limite des produits de la mouture du blé réunie hier à l'Hôtel de Ville, a constaté que le prix du quintal de blé indigène passerait, le 1er août, de 169 à 179 francs, tandis que le quintal de blé exotique dont le prix était de 143 francs avait atteint, hier, 157 francs.

En conséquence, une hausse de cinq centimes sur le prix actuel du kilogramme de pain a été envisagée. Le nouveau prix de 1 fr. 65 sera mis en vigueur le 11 août, lorsque le préfet de la Seine aura pris son arrêté.

On attribue la hausse sur le prix de la farine indigène aux dernières pluies qui auraient contrarié les battages.

UNE FORTUNE AU LAVABO Mme Campbell et son mari sont condamnés

à un et deux ans de prison Quand on a la chance de porter au doigt une bague de cent mille francs (saphir et diamant de 18 carats, ce qui doit être d'ailleurs assez lourd), est-il concevable qu'on l'oublie au .lavabo en. allant s'y laver les mains. C'est un endroit où Alceste peut mettre le sonnet d'Oronte, mais il n'y oublierait pas une fortune. C'est pousser un peu loin le mépris des richesses, sentiment en luimême fort louable.

C'est pourtant ce qui est arrivé, le 5 juin dernier, à Mme Jacques-Charles. Mais elle a eu la chance inespérée de se voir rapporter le lendemain sa bague par la police, qui a déployé pour retrouver ce bijou perdu une extraordinaire activité. Le (i juin, en effel, les voleurs de la bague car le bijou perdu avait naturellement élé ramassé étaient arrêtés, et ils comparaissaient hier devant le tribunal correctionnel de Versailles. Ce sont deux jeunes Américains, le mari et la femme, M. et Mme Campbell. Le mari est mince, rasé, toui. à fait joli garçon dans son complet beige. La femme, brune, pâle, aux grands yeux noirs, est tout à fait charmante et distinguée. Mais que sont-ils, que font-ils en leur pays et pourquoi sont-ils venus en France ? On ne sait on n'a pu avoir sur eux de renseignements précis. Campbell se dit « étalagiste-décorateur », c'est-à-dire qu'il installe les devantures des magasins newyorkais, ef serait venu à Paris perfectionner son métier, car les magasins sont plus artistiques rue de la Paix que dans la Cinquième Avenue. Mme Campbell, elle, a été arrêtée à Paris pour entôlage et acquittée. « Si sa probité est intacte, disait le président, M. Jacomet. sa moralité ne l'est pas. »

L'affaire est 1res simple et M. Jacomet la résume en quelques mots. Le 5 juin, M. et Mme Campbell arrivent à l'hôtel desRéservoirs pour dîner. Ils comiiiandent leur repas après avoir bu beaucoup de cocktails. M. Campbell laisse sa femme un instant, puis revient. Il la trouve en grande discussion avec le maître d'hôtel elle veut mettre'dans sa poche la carte des vins qui lui platt le maitre d'hôtel refuse. Mme Campbell alors ne veut plus dîner, et on repart en auto le plus vite possible et on va dîner au PréCatelan.

Mais, pendant que Mme Campbell se disputait avec le maître d'hôtel, son mari était allé au lavabo celui des dames, remarque le président et sur le marbre de la loilette il avait vu une grosse bagne abandonnée.- H la mit dans sa poche. C'était celle que. quelques instants avant, la négligence de Mme Jacques-Charles avait laissée dans le portesavon.

Pourquoi donc. demande le président à Camjpbell, par d'intermédiaire d'un inieiprèfe, n'avez-vous pas prévenu le personnel de l'hôtel que vous aviez trouvé une bague, si vous ne vouliez pas la voler ?

En Amérique, quand on trouve un otojet, on le garde et on met une annonce dans les journaux.

Ah ? fait le président. Le juge d'instruction a demandé à l'ambassade si c'était vrai, et celle-ci n'a pas pu donner de renseignements. Quant à moi, un jour, au restaurant. j'ai oublié un porte-cigarette un officier américain l'avait trouvé et remis au garçon. Ce qui prouve que les uns sont des gentlemen et que les autres ne le sont pas. La bague appartenait à une dame elle ne pouvait avoir quitté l'hôtel vous deviez la rechercher.

Il y a, répond Mme Campbell, dans tout cela un grand malentendu. Nous avions bu beaucoup. En revenant en auto à Paris, mon mari m'a dit qu'il avait trouvé une bague et qu'il metlrait une annonce dans les journaux pour lu faire retrouver. Quand on m'a arrêtée, j'ai dit de suite que je l'avais dans ma poché.

Dans la doublure de votre poche. Voici à la barre Mme Jacques-Charles, blonde, rose, souriante sous son joli chapeau vert turquoise.

Quand vous êtes-vous, madame, aperçue que la bague vous manquait ? Un quart d'heure après environ. Elle était assurée contre le vol ?

Oui.

Eh bien un conseil, madame, ajoute le président, car c'était, n'est-ce pas une bague de grande valeur ? ~?

Oui, oui, répond en souriant Mme Charles.

Alors, voyez quelle imprudence Ayez désormais plus d'égards pour vos bijoux. Après tout, par le temps qui court, une bague de cent mille francs, ce n'est pas giand'chose 1

M. le substitut Parmeulier prend lu parole. 11 trouve que la presse s'est occupée d'une façon « anormale de cette petite affaire » et qu'il y a en France beaucoup trop d'Américains qui ne viennent que pour combattre le régime sec.

Mes Regnault et Thaon plaident l'acquitte-

ment, disant qu'il n'est pas démontré que M. et Mme Campbell aient voulu garder le bijou,. la preuve de « l'intention frauduleuse » ne serait, pas faite.

Le tribunal oïtirne, au contraire, qu'on ne peut admettre la bonne foi des prévenus. Campbell a gardé la bague, n'a pas averti le personnel de sa trouvaille et â précipitamment quitté l'hôtel sans dîner. De même pour la bonne foi de Mme Campbell. Le mari est condamné à, deux ans de prison, la femme à un an, et tous deux à cinq ans d'inlerdiclion de séjour.

Georges Claretie.

Démission du gouvernement japonais Tokio, 30 juillet. Les deux groupes parlementaires qui soutiennent le gouvernement n'étant pas d'accord au sujet des nouveaux projets d'impôts et aucune tentative de conciliation n'ayant semblé possible, le cabinet a donné sa démission.

Les propositions fiscales en question consistent notamment à élever la limite de t'exemption du paiement de l'impôt sur le revenu, abolir les impôts sur les transports et sur les cotons, et à frapper de nouveaux impôts les produits médicaux et les objets nécessaires à la toilette.

JI s'agissait enfin de réviser le tarif des douanes.

La grève des banques

«n

Deux nouveaux étabJh&emcnls

ont adhéré au mouvement

M. Çàillaux confère avec les directeurs D'heure en heure, le mouvement de grève dans les établissements bancaires s'étend. A la B.~N.C. au Crédit Lyonnais, au Comptoir d'Escompte, au Crédit du Nord, à la Banque Privée, le nombre des grévistes augmente sans cesse et cela se comprend puisque certains éléments aui, jusqu'ici, s'étaient abstenus, s-^nt invite* a se joindre aux grévistes. Le bureau de la. Fédération française des syndicats et employés catho'liques qui compte de nombreux adhérents dans' la finance vient en effet de décider la participation de ses groupements à la grève. « Cette résolution, dit un «wumumque de l'organisation syndicale cathodique, a été motivée par la situation manifestement insuffisante des employés de banque, eu égard surtout à l'augmentation continue du coût de la vie. D'autre part, les revendications corporatives, même présentées de la façon la plus modérée et la plus courtoise, sont restées sans repense.Enfin, les grandes banques, quoique fortement syndiquées entre elles, refusent en pratique ;de,.i;eçonnattre les organisatfions,sj'ndicales;d.empiloyes. » Les syndicats fédérés poursuivront l'action sur le terrain strictement-. çqrp.qratil;ou elle est engagée .selon leurs principes. ils tendront à obtenir une. organisation .prolessionnelle équitable, de manière à, éviter, le retour de pareils conflits. »

« Les grévistes appartenant aux groupements fédérés se mettront à la disposition des Pouvoirs publics pour assurer le ser-'vice de l'emprunt. » «t

Ce désir de maintenir le conflit actuel sur un terrain purement corporatif semble également partagé par les groupements syndicalistes des deux C.G.T. et c'est ainsi que, pour ne pas en fausser le caractère, la vieille CG.T. a refusé de participer à la délégation auprès de M. Caillaux.

C'est ce qui explique en partie l'extension idu mouvement.

Car il ne faut pas se le dissimuler, le mouvement est important.

Un fait a plus d'éloquence à ce sujet que tous les chiffres difficiles à contrôler le régisseur de la Bourse du Travail vient d'aviser le préfet de la Seine que les locaux de l'immeuble municipal étalent insuffisants pour abriter les grévistes, dont, hier, plus d'un millier n'ont pas pu trouver place. Le comité de grève de son côté a demandé à l'administration qu'elle mette à sa disposition le manège Japy et le gymnase Huyghens.

Dans la soirée d'hier, deux nouveaux établissements sont entrés dans la bataille: la Banque Nationale Française de Commerce Extérieur et le Crédit Commercial de France. Enfin, non seulement la grève vient d'éclater à Nantes et' Lyon, mais dans différents centres l'agitation s'accrolt et les emplois de plusieurs localités demandent le concours d'orateurs syndicalistes pour déclencher des mouvements.

La journée des grévistes

Comme de coutume, les grévistes sont allés de bonne heure exercer le picH'-ting aux abords des établissements touchés par 1g mouvement. L'opération dura moins longtemps que les jours précédents, et le service d'ordre n'eut pas beaucoup de mal à faire circuler les manifestants qui se sont bornés à pousser quelques cris.

Rue Bergère, devant le Comptoir d Escompte, les agents durent cependant se dépenser davantage pour disperser -quelques' groupes audacieux.

A la Bourse du Travail, où les grévistes se sont retrouvés, c'est la cohue, et toutes les salles se trouvèrent bientôt bondées. Les discours encourageant à la résistance furent accueillis par de bruyants applaudissements « et la continuation de la grève jusqu'à complète satisfaction fut acclamée avec enthousiasme.

L'après-midi, de nouveaux meetings se déroulèrent dans le même enthousiasme que la matinée.

La sortie des meetings s'est effectuée sans incident, et la plupart des grévistes sont rentrés chez eux. Quelques centaines d'entre eux ont cependant parcouru les boulevards, sans se livrer d'ailleurs à de tapageuses manifestations et, à midi, à la B. N. C., au Crédit Lyonnais, au Comptoir d'Escompte. etc., la sortie des réfractaires n'a provoqué aucun désordre.

Vers cinq heures, la police dut néanmoins intervenir pour disperser quelques centaines de grévistes qui manifestaient bruyamment aux abords du Comptoir d'Escompte, au coin de la rue du Quatre-Septembre et cie l'avenue de l'Opéra.

La grève s'étend

A six heures trente, la Bourse du Travail recevait de nouveaux hôtes. C'étaient les employés du Crédit Commercial de France et de la Banque Nationale Française de Commerce Extérieur qui venaient délibérer sur la situation. Les discours furent brefs. A tour de rôle, quelques délégués rendirent compte de l'insuccès de leurs démarches auprès des directions de ces deux établissement, et demandèrent à leurs camarades de déterminer leur attitude sans aucun emballement et après avoir mûrement réfléchi à la gravité de la grève. La réponse fut unanime « C'était la grève n.

Au ministère des finances

Hier après-midi, à 2 h. 15, M. Caillaux, assisté de M. Durafour, ministre du travail, a -ecu les représentants des établissements de banque et de crédit.

A !'issuc de l'entretien, le ministère des finances a communiqué la note suivante « M. Caillaux, assisté de M. Durafour, a reçu aujourd'hui, ainsi qu'il s'y était engagé hier envers la Fédération des syndicats des employés de banque, les représentants des grands établissements financiers. L'entretien s'est prolongé pendant plus d'une heure. »

Ce laconique communiqué semble bien indiquer qu'aucun terrain d'entente n'a pu être trouvé.

Il est d'ailleurs probable que les directeurs des banques vont se concerter à nouveau et le bruit courait, même dans la soirée que certain© avaient déclaré qu'ifs donneraient mardi une réponse ferme à leurs employés.

Les réunions d*aujourd*hul

Les grévistes sont convoqués ce matin p ur 9 'h. 30 à la Bourse du Travail. Mais en dehors de ce meeting, qui réunira neuf a dix mille personnes, deux autres réunions seront tenues l'après-midi l'une à trois heures par les employés de la Société Générale, et l'autre à. 4 h. 30 par ceux du Crédit Industriel et Commercial.

A cette dernière,. une femme déléguée fem le compte rendu des demandes effectuées auprès de la direction et il est fort probable que la. grève sera votée.

En ce qui concerne les employés de hi Société Générale, la situation est moins nette. Ils bénéficient, paralt-il, de quelques avantages et jusqu'ici ils ne sont pas apparus comme très enthousiastes. Mais contrairement au bruit qui en a couru, leur non-participation au mouvement n'est pas définitive. C'est eux qui en décideront aujourd'hui.

La propagande communiste Comme on le voit, le conflit menace encore de s'étendre et ai les grévistes clament

A l'Exposition

des Arts décoratifs

'̃• *%•–

Inauguration du Panorama de l'Afrique française

M. Paul Léon, directeur des Beaux-Arts, a inauguré, hier, le Panorama de V Afrique Française à. l'exposition des. Arts décorci-, tifs, œuvre du peintre Gâbriel-Roussea».. Situé devant le Grand Palais, du côté des Champs-Elysées,, ce panorama donne, dans son raccourci séduisant, une impression lumincuse et sincère de l'admirable effort français dans l'Afrique du Nord. C'est une belle page de géographie qui se présente à son heure, au moment où les événements angoissants qui se déroulent au Maroc nous rappellent avec tant de forcé quel intérêt nous attache aux immenses territoires pla7 cés sous notre influence.

Dès l'entrée dans le pavillon du Panorama de l'Afrique Française on est surpris par la pénombre aux reflets bleutés qui vous enveloppe, étrange impression d'une crypte traversée par des rayons lunaires. Puis, a travers cette atmosphère de rûvc, on aperçoit dtes trouées de lumière formées par des dioramas qui évoquent les aspects les plus caractéristiques de l'Afrique du Nord. Ci- tons, parmi les plus remarquables une « rue de la kasbah d'Alger », avec ses maisons en encorbellement et ses escaliers inégaux qui dévalent en pente rapide vers le port Tlemcen et le charmant village de « Sidi-Bou-Médine » qui s'accroche aux flancs d'une montagne toute dorée de soleil couchant « Ka'irouan », la ville sainte de Tunisie, avec la silhouette d'un Arabe en prière due au talent de l'éminent sculpteur Paul Moreau-Vauthier. Mais voici l'œuvre la plus saisissante du peintre Gabriel-Rousseau le spectateur se trouve brusquement transporté sur le pont d'un paquebot et assiste à un voyage de Marseille à Casablanca. Grâce à un ingénieux mécanisme de déroulement de toiles peintes, on a l'illusion complète du passage le long dfes côtes marocaines. On passe devant Tanger, Salé et Rabat, ville résidentielle, et on arrive enfin à Casablanca, par un effet nocturne qui traduit admirablement l'impression féerique des ciels d'Afrique. Telle est, tracée en un croquis rapide, l'oeuvre picturale présentée à l'Exposition par GabrielRousseau. Au milieu des mille originalités de la cité éphémère, elle s'impose par sa sincérité..

A l'Hôt~l de Ville Les nouveaux tarifs

des transports en commun Ce samedi 1er août, les nouveaux tarifs seront appliqués pour la première fois sur les lignes des autobus et des tramways, ainsi qu'aux métropolitains.

Rappelons quels sont ces nouveaux tarifs

Métropolitain et Nord-Sud

Première classe 0 fr. 75

Seconde classe 0 fr. 45.

Billets d'aller et retour, en 2° classe, délivrés avant 9. heures du matin 0 fr. 5&. Intra muros

1 section. 060 040 2 sections. 0 80 0 60 Au-dessus de 2 sections 1 0 80 Autobus et tramways

Extra muros

1re el. 2'cl. De 0 à 900 mètres. 0 30 0 20 De 901 à 2.000 mètres 0 40 0 30 De 2.001 à 3.000 mètres 0 60 0 40 Au delà de 3.000 mètr., ~par,kil. 0 18 13

1 arii aes services uuulujjus ue xiuii ̃ » 11. Pour les autobus et tramways quittant le point terminus de la ligne après minuit 30, la voiture qu'en langage vulgaire et pittoresque on appelle h le coup de balai », les tarifs seront doublés.

Le 2 août est un dimanche. Il convient de rappeler aux familles que chaque dimanche et jour férié, le tarif de première classe sera dorénavant perçu à toutes :places exceplion sera faite en faveur des mutilés et des enfants âgés de moins de 13 ans, qui paieront uniformément le tarif de deuxième classe.

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LEGION D'HONNEUR Ministère des affaires étrangères Sont promus ou nommés à titre étranger: Chevaliers Géssian, Arménien, négociant V des Ombiaux, Belge, homme de lettres AI. Potogkik, Polonais, homme de lettres Mme la comtesse de Guigini Puliga, Italienne, femme de lettres .Mlle Soudder, Américaine, artiste sculpteur M. Szanto, Autrichien, pianiste M. Szilard, Roumain ;M. Tehobanian, Arménien j homme de lettres. ̃ • ̃-

Mlle E. Vail, Américaine, administratrice <le l'Ouvroir américain à Reims MM. Wader,. Américain, journaliste Weinstock, Russe; ingénieur Mme Wlritney-Hoff, Améiicaine MM Wolkowski. Russe, sculpteur Wulfart, Russe, peintre • Zugboli. Italien, directeur de la Banque française et italienne pour l'Amérique' du Sud; M. Henriquez, (Colombien, docteur en médecine M. Lizell, guédois, directeur de banque au Havre iM. iMago'.nder, Américain M. Koubitzky, Russe, artiste M. Shigetoku. Japonais, journaliste.. Ministère du commerce

Est nommé chevalier M. André Blum, négociant à Strasbourg.

Parmi les nouveaux officiers de :1a Légion d'honneur, au titre étranger, il y a-lieu d'ajouter à la liste communiquée hier MM. Labadan, Espagnol le docteur Moss, Argentin Pome, Italien Sauda. Italien Sehmidt, dit Hally Schmidt. Américain ̃ Schurmann, Hollandais Unzue Vrgentin Wyhrands, Hollandais. MM.'Ânzani, Italien,'et Balthazars, Belge-, sont nommés chevaliers.

Au Musée du Luxembourg Nous avons annoncé brièvement la nomination, comme attachée temporaire au musée du Luxembourg, de Mme Henry-Lapauze, qui fut, on le sait, ta. collaboratrice du regretté conservateur du Petit Palais. Auprès de lui. Mme Henry-La-pauze s'était initiée a tous les problèmes de l'art. Après" lui, eUe continue, dans les Acu&Benaissancc, l' oeuvre 'entreprise avec tant d'ardeur par notre confrère disparu.

Ainsi 1e nom d'Henry -Lapauze continuera d'être mêlé intimement à notre, vie artistique.

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bien haut leur volonté de se tenir à l'écart de la politique, il n'en est pas moins vrai que s'il se continue il risque d'être exploité par les politiciens révolutionnaires. Déjà les communistes, qui n'intervenaient. pas ouvertement dans les réunions, profitent des assemblées nombreuses pour procéder ù iour' propagande' néfaste.

Malgré les gardiens de la Bourse du Ti-avai! qui sont dôbowtés au moment de fa «randu aiftluoncc. ils 'font distribuer des journaux bolcheviques et des tracts contre la guerre du Maroc. Ils se heurteront, longtemps à la sagesse et au bon sens des employés de banque mais, la lassitude venant, si le conflit se prolongeait, ils trouveraient alors un terrain excellent de propagande. Il faut que d'un côté on réfléchisse à la gravité de cette éventualité et que d'un autre on prenne des mesures.

Robert Chêneyoir.

LE MONDE &~ LA VII,L,E

IM- MPNDE-Sm^hà.- VILLE

'^QANS LES AMBASSADES S. Exe. M. Pusta, ministre des affaires' étrangères d'Esthonie, vient d'arriver à Paris- On mande de Santander qu'après le départ de l'escadre française, S. Exe. M. de Peretti de La Rocca est paiti pour^Splares,. où il séjournera deux jours.

S. 'Exc. l'ambassadeur du Biésil pics le vSaint-Siège et Mme de Azevedo sont à Ràpallo.

i– On annonce que M. Tejedof, qui occu- pa,it avec distinction les fonctions de chargé; d'affaires de Cuba depuis longtemps, vient de prendre sa retraite. M. R. Fernande-^ Portela, diplomate fort estimé, est nomme conseiller et premier secrétaire de la légation.

S. Exe. M. ^Zaleski, ministre de Polo- gne près le Quirînal, est arrivé à Vaisovie. vS. Exe. le comte de L,a Vinaza, ambas-' sadeur d'Espagne pi es le Quirinal, et la comtesse de La V.iûaza sont à Biarritz. On annonce, de Prague, qu-6 M^ Strçr, directeur au ministère des affaires çirangères, est nommé consul général à Paris» Par décret en daté du 29 juillet 1925, M. de Blois; chef de bataillon, a été désigné pour faire fonctions d'attaché militaire à la légation de la République française en Finlande, en remplacement du chef de bataillott Hurstel. Pour ordre, le chef de bataillon de Blois sera maintenu au 31e régiment d'infanterie.

i~"

DANS LE MOtoDE OFFICIEL '•

La( municipalité de Chicago a offert un banquet' en l'honneur du ministre des affai-

res étrahgèrès' polostaïs;-Ivt 'SXrz'~ns~ 1

res étrangères polonais, M. Skizyn&fcy.

Le ministre à Msité les principales institutions polonaises de Chicago et s'est ensuite rendu à la tombe d'Abraham Lincoln, où il a dépobé des fleurs,

:3' v

REXS£fGNEMENTS 'MONÛAJNS .)

m. «^.J.»-»ih.i. I. ""̃ -j.

Nous apprenons avec plaisir que îp docteur Bellencontre, président de l'Association générale des médecins, de Fiance ophtalmologiste du ministère des' affaires étrangères, "vient d'être promu officiel de la

Légion d'honneur.

S. M\ la reine Maiie-Chiistine a visité, à Saint-Sébas>tien, les blessés du Maroc en, traitement à 1,'hÔpital de la Croix-Rongc. LL. A A. RR. le prince et -là princesse héritiers de Roumanie sont attendus, à B.iar-,ritz, auprès de leur jeune fils.

S:. A. R. le duc de Spolète est à Venise/où il fait un bref séjour.

S. A. R. le prince Aage de Danemark, légèrement blessé au Maroc, où il sert dans la légion étrangère, vient d'arriver à Paris, venant de Marseille, pour y terminer sa convalescence.

LL. AA. RR. le prince et la princesse Vigo de Danemark sont attendus très prochainement à Cowes pour la saison des régates. •

S. A. le maharadjah de Palaka, avec une suite de vingt-huit personnes,, est arrivé hier à Marseille, à bord, du Ramp tira, courrier anglais de l'Inde.

Il part ce soir pour Londres par train spécial.

Le premier ministre anglàis et Mrs Baldwin sont attendus," à Aix-lès-Bains, le l8 août. a r, ,,v, ] La duchesse»d'Uzès, qui- -arrive de Syrie, a dû subir une intervention chirurgicale. Son état semble satisfaisant.

M. Miguel Primo de Rivera, fils du président du Directoire espagnol est à Biarritz.

S. A. la princesse Alexis Karageorgevitch, actuellement au château de Bellerive, près Genin, est attendue à Lucerne. La baronne de Raditzky, femme du représentant belge de la haute commission interalliée à Aix-la-Chapelle, a été victime d'un assez grave accident d'automobile près de Coblence.

Afin de perpétuer le souvenir de S. Gr. Mgr Augouard, archevêque de l'Oubanghi, un comité s'est formé en vue de lui élever, à Brazzaville, une statue' monumentale en granit, due au ciseau de Mme de BayserGratry.

Le 5 octobre 1921, le gouvernement de l'Afrique équatoriale française portait à la connaissance de la population européenne de Brazzaville la nouvelle de la mort du grand évêque qui, « pendant quarante-quatre ans, aida au développement de la civilisation sur les deux rives du Congo ». -i*Un élégant dîner vient d'être offert par la, comtesse de Chateaubriand à quelques amis, parmi lesquels marquise d'Armaillê, comtesse de Montmagner, marquise d'Ûinano, M. Sarmiento, M. Gaston Bninét. Au dernier dîner de gala fleuri (Ju Château Basque, à Biarritz, on remarquait 'i S. Exe. le comte Zobanski, ambassadeur de Pologne en Espagne duc do San Lucar, M.' et Mmé Jérôme Napoléon Bonaparte, marquis de Fuente-Her.mosa, comte et comtesse de-Canavertï,- marquis et marquise de Guadalmina, M. Chopin, M. et Mrs Dolson, etc.

NAISSANCES

Le comte Christian d'Andeau-Hcwn- bourg et la comtesse née Rose Orlowska sont heureux de faire part de la naissance de leur fils, Jacques.

l, BIEIVhAISANCE

Depuis quelque temps, une aifiche jaune d'or, apposée ici et là, ou se détache une tête héraldique, signale aux Parisiens qu'il v a, 35, rue Jéatt-Goujon, sous le nom de « Kitège », une Exposition d'art décora^, tif des émigrés russes. Ce n'est point trahir un- secret que de dire que cette intéressante manifestation a pu se faire sous les auspices d'un comité dévoué au soulagement dé ija détresse des émigrés, et que représentent, les; comtesses Orloff-Davidoff, Pouchkine, et 3a princesse Schakhovskoy. Il y a là de riches tissus, des broderies, des tricots, des écharpes des objets en bois peint' ou incrusté, et des céramiques, -tous échantillons de cet art russe si captivant et si ornemental qui, dans toutes ses manifestations, resté si essentiellement, en effet, « décoratif ». a

-̃ ̃ a.«i

MARIAGES c, ~r III

Ces jours derniers a été célébré, au château de Saint-Jean-de-Maïuéjols (Gard), le -double mariage de M. Charles Bruyère avec Mlle Marie Ollier, fille du peintre valentinois, et de Mlle Marie Bruyère avec M. Jean Nambotin, fils du commandant Nambotin, mort pour la France.

Le- mariage de Mllë> Marie-Antoinette Pagnard avec le vicomte de La Boutetière a été célébré le 30 juillet, en la chapelle" de l'Assomption, dans la plus stricte intimité. Les témoins étaient, pour la mariée, M. Paul Môncousîn et le vicomte de Fiers. Po*u% je marié, le vicomte Joseph de Là Grandière et le vicomte Pierre de Coral.

-7 DEJJJJ. •

Nous apprenons la mort de M. Georges Chalandon en sa propriété de Saint-PierreChabeuil (Drôme).

Mme de Magnienville, née de Hédou

Ire CI. `we cl.

.ville, ..sœur dii. commandant, est d&edés-à Nancy/ •̃• f ̃ M. Edmond Jenyen, ancien maire de Longuyon, conseiller général de Meurtheet-M«sell<>s 'est; éteint^ à Enghien, dans. sa. soixante-seizième année.

M. H. du La Perche, ancien élève de l'Ecole poîytechique, sociétaire de la Société Nationale des, Beaux-Aits, est decédé à Cannes. Nous apprenons le décès de Mme Koymg,^ née Heele\ survenu, subitement à \SeflôoTÎ (Pays-Ba^. I^es obsèques ont bu lieu dans is. plus, stricte intimité. Nous-appienons la mort de M. Auguste Aimand décédé, 4§> avenue d'Iéna. Les obsèques auront lieu, lundi 3 août 1025, à midi, en l'église Saint-Piene de Chaillot Le i^rébent avis tient lieu d'invitation. ̃ Une messe pour le repos de l'âme de j\lme Louise- Battiiy sera dite aujourd'hui samedi, à dix heiues, en l'église SaiutFrançois-de-Sales (rue Brémontier)

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»«• ,1

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'itâÈÊ^ÈÈÉ&ÊÈâMÊÊÊÊÊÈiÊ: faitûS'vC>1're

^VdW^iiïes aïasi-'cem^PSe h'jn oir jamais

de panne par buitc de marnais gidi'-sage.

L'arrivée des renforts au Maroc

I'fcz, 31 juillet. Los renîortb parvenant

d'Oudjda et de Casablanca sont aussitôt acheminés dans la zone de combat, où ils prennent la place qui leufc.est assignée dans un vaste échiquier s'étendant sur 300 kilomètres. Les, •mehallas chérifiennes sont elles-mê'ines groupées.

Une explosion à la poudrière

deLaraçhe

Tanger, 31 juillet. La poudrière de Laraehe a explosé partiellement dans la, soirée, causant de graves dégâts matériels et provoquant une panique.

L'accident est attribué à un attentat en-

nemi. "1

La propagande des Soviets

REVAL, 31 juillet, On mande de Mos-

cou •

M. Raskolnikoff, ancien commissaire de la anarine de la Baltique, organiHateurade! \&'$rvti$géttâc(¥f>Xtg<i én.GMnà, déldgné.p&r la IIIe Intenialionale-comrtiuniste auprès d'Ahd el Krim, a quitté Moscou, se rendant au Maroc.

Les engagements volontaires

pour le Maroc

Le ministre de la guerre vient dé 'faire signer par le président de la République un décret permettant les engagements pour servir au Maroc.

Voici le texte -des deux premiers articles ARTICLE PREMIER. Les officiers de réserve, les officiers de complément à titre étranger et les militaires de la disponibilité et des réserves peuvent être autorisés à servir au Maroc pendant la durée des opétrations en çours. Les contrats souscrits 'par les intéressé© seront valables pour la durée des opérations pendant l'année 1925. Le •ministre de la guerre fixera la date qui sera considérée comme étant celle de la cessation des -opérations et à laquelle les contrats seront résiliés de plein droit. Art. 2. Les officiers- de réserve serviront avec leur grade. Il en sera de même; des officiers de complément à titre étranger sous réserve des conditions posées par le décret du 30 août 1924.

Les militaires, hommes, de troupe de' la disponibilité et des réserves, pourvus d'un grade dans les réserves /serviront également et en principe avec ce grade dans la • limite toutefois dès' besoins'" d'encadrement des corps en opération.

fleadémie des Inscriptions

V Afrique h Tèppque romaine L'or bon Deux dons

L'Afrique du Nord à Tépoque romaine a fait hier l'objet d'une intéressante communication \lô.. M. Gsell, que ce savant historien du cotinrient noir développera ultérieu-

rement.. • ̃̃

Notons qu'avec le règne, de Septime Sévère commença, là une ère nouvelle d'exploitation et de colonisation, mais que., bien avant ce règne des expéditions romaines étaient allées jusqu'au- «Soudan chercher de l'ivoire, des plumes .d'autruche, .diverses dépouilles d'aiihnaux sauvages, et qu'à A une époque de six siècles antérieure à Septime Sévère on rapportait de l'or de l'Afrique occidentale.

M. Georges Bénédite a communiqué un mémoire rtu célèbre égyptoldgue suisse, M. Edouard Nàville, associé -étranger de.- FAaadéniie,. sur une. monnaie d^-ù.n type particulier dont on a trouvé une quarantaine de pièces en Egypte. ̃ ̃ > > -Ces pièces sont frappées, de£ deux, fûtes, n'oit d'une effigie et "d'une allégorie; .mais (l'-inte expression hiéroglyphique signifiant:

•or bon.

Et, dans son mémoire, M^ Ed. M'a ville établit qu'elles ont formé, en Egypte, la transition entre lés anneaux de paiement, ou les lingots, et la monnaie proprement dite introduite avec -le» « dariques », et suftou' les pièces frappées sous la dynastie lagide. ̃' "•

M. Adrien Blanchet a présenté au sujet de cette communication quelques observatio'i'S, et il a fait. remarquer nohimiment'qife la monnaie en question se rapproche ..de certaine monnaie cl l'Alexandre le Grand. M René Gagnât, secrétaire perpétuel, a annoncé dfflj.x dons de Gaillardot bey une sérié aè\photrt'*ra'plïte3:dè la pierre tom"bâle ̃̃<&' ̃baron -GoMrt,' ̃ le- grapd donateur de j'IiHtitut; dans le cimetière grec du Caire, efle rriahuscfît d'un mémoire du concours de T.e Prévost d'iray qu'en 1807 couronna l'Institut Ces documents seront versés aux archives de l'Académie.

Ch. Dauzats.

LÀ SAISON

7 DE DEAUVILLE

La fête commence

La pièce annuelle qui se joue à Deauville comporte' trois actes rapides le premier, tout d'exposition, se passe en juillet, le second, violent, concentré, bernsteinien, dévore vingt-cinq jours et vingt-cinq nuits d'août,, et Je ;troisième dénoue la situation par un départ général.1 Quand arrive septembre attendri, les planches sont déjà pres- que désertes..Deauville, pur diamant de la couronnb corrntchéenne, a pour évidente devise réaliser le maximum dans le minimum de temps. Les escarmouches préliminaires ont eu lieu au golf., au tennis et au tir aux pigeons; Aujourd'hui, le champ. de courses ouvre ses portes. Puis, ce sera le polo, les ventes sensationnelles de yearlings," la grande rumeur, toutes les élégances, et le ruissellement de l'argent. Alors la saison sera à son zénith, et le Casino battra son plein. Plaignons les infortunés mortels qui n'auront point assisté, au moins une fois dans leur existence, à ce, spectacle unique au monde. Car Deauville est bien seuie de son espèce, et nulle part ailleurs les heures ne sont aussi pleines d'émotions et plus vides de sommeil. C'est véritablement ici que l'on connaît dans sa plénitude, tout le prix de la vie. Jiîan Trarieux.

Tir aux pigeons DE Deauville. Au tir aux pigeons de Deauville, le prix Gourgaud, 15.000 francs et une médaille d'or, 1 pigeon, 27 mètres, a réuni 42 tireurs. Résultais 1. M. F. Bures, 15 sur 15, gagne 4.375 francs et la médaille d'or 2. ex xquo MM. docteur Ralli et Edmond Latham, 14 sur 15, gagnent chacun 4.725 francs 4. M. Eugène Labiche, 12 sur 13, gagne 2.000 francs 5. ex aequo MM. Christian Piccioni et Benoît, 11 sur 12, gagnent chacun 1.000 francs.

Spectacles. Voici le programme de la scmaine.au Casino

Aujourd'hui, en matinée, la Mascotte en soirée, les Contes d'Hoffmann.

Dimanche, en matinée, 7e, Coeur et la, main en soirée, là "Basoche.

Lundi, en matinée, 'Mireille- en soirée, Hamlet.

Mardi, < en matinée, le Grand Magot en soirée, Werther.

Mercredi, en .matinée, les Cloches de Carneville en edirée, 7a Vie de bohème. Jeudi, fête enfantine en soirée, le Roi dYs

Vendredi, en matinée, Lahmé en soirée, la Galerie des glaces.

Samedi, en matinée, Gillette de Narbonne en soirée,. Thaïs.

GOLF. Mardi, Medal Play, coupe offerte par. Mme Roger Batbedat samedi, match Play, coupe du « Sport Universel ».

Polo. Du 1er au 10, Coupe Gramont handicap général, Coupe Arthur Capel. DE VICHY

Une grande saison mondaine

Donner à ses plaisirs d'art, voire à ses distractions des fins charitables est un privilège délicat qui semble réservé à l'élite mondaine. Le mode des fêtes de charité se pare, dans une ville d'eaux, d'un nouveau raffinement puisqu'elle permet d'associer des étrangers aux bienfaits qu'elle prodigue.

Par leur but même, ces fêtes prennent un caractère de distinction et d'élégance qui les fait rechercher.

La soirée artistique qu'avait organisée mercredi soir, dans la magnifique salle du

jMajë-stje,, mise &; sa.1 disposition .parjtï; Aletti,

Jle; comité de Vichy-Cusset de la- -Société- de secours aux blessés militaires (Croix-Rouge française), ne pouvait qu'obtenir du succès. Elle a pris les proportions d'un événement musical doublé d'une des plus brillantes réunions mondaines de la saison.

De grands artistes avaient prêté leur concours MM. Vanni-Marcoux, Delmas Mmes Cesbron-Vuseur, Ritter-Ciampi M. Charles Friant, Mlle Yvonne Brothier, Mme de Leotard, pianistes; M. Gares, pianiste; M. Elcus, violon solo du Casino, et M. Laggé, violoncelle solo au Casino égalemment. Au programme, entré autres œuvres La damnation de Faust, chantée par M. Priant; Ma poupée chérie, de Séverac, et Air de Gilda, de Rigoletto, chanté par Mme Yvonne Brothier; l'air de Patrie par M. Delmas; l'air de Pamma., de la. Flûte enchantée, par Mme Cesbron-Viseur, et toute une série de mélodies exquises interprétées par Vanni-Marcoux.

Tout ce que Vichy compte de personnalités mondaines avait répondu à l'invitation de la Croix-Rouge. Citons

S. M. le shah de Perse, M. et Mme M. C. Madéro, M. W. B. Sewel, Mme J. de Mesa, Mme Lalgle F. de Balinsky, M. et Mrs F. Cowen, M. et Mme G. Vidal, Mme F. de Connill, Mme S. Wentworth, M. et Mrs E. S. Tipple, M. et Mme Morënô de Carabassa, M.et Mme D. Missaetidis, M', et Mme Anchorena J., M. et Mme Schkaff E. S., M. et Mme Michael Davis, M. et Mme E. Bel.lo,' M. et Mme M. L. Treadwell, M. et Mme J. Monteiro, comtesse de La Noue, M. A. Alexandri, comtesse de Gibacoa, MM. H. Mosscri, M. et Mme J. Sykes, -Mme Unzue de Alzaga, M. Quinotte, Mlle Wahby Bey, M. et Mrs Graff, Mrs Allen Connell, M. et Mrs Rosé' M., M. et Mrs E. B. Greene, M. J. Zevallos-et .Mrs, Mrs Viola Cross, M, S. Crespi, M. H. Neilson, Mrs M. A. Gaines, Mrs Morris Newbold, M. et Mme S. Levée, M. W. Leeds, M. A. Choremy, M. W. Hanna,.Mme J. de Brutaux, M. A. Giacomini, Mlle Madeleine Harcourt, M. A. Cousino, Mrs M. Rosen, M. et Mrs Ma.pt.baum, M. Le!a China, Mrs S. Cohn, docteur Kholy, M. et Mme Bettancourt, M. Fère, M. et Mme Melays, M. et Mme Bonjean, M. Deschamps de Verneix, baron de Waldner, M. et Mme Gondoin, M. et Mme Dorea, etc.. Courses DE CHEVAUX. Malgré le temps incertain, une élégante assistance se presse au -pesage. Les toilettes ont légèrement assombri leurs tons, mais les tribunes offrent leur aspect accoutumé. Remarqués S. M. le shah de Perse, les princes d'Annam, comte de Bourbon-Busset, comte de Villeneuve, M. et Mme de Boisluisant, M. et Mme f.halus, comte d'Orsetti, comte d'Albiani, vicomte et v cômtesse de Ronseray, Mme Gardner, comte D'eschamps du Verneix, M. de Chauchat de Benheville, commandant et Mme Vincens liouguereau, M. et Mme Nouvellet, vicomte et vicomtesse d'Origny, baron de Nexon, M. Louis DesJxmdets, M. et Mme Beauchamp, M. et Mme «Rôgnier, M. Renoult, ancien mnistre Mme Lamy, Mme Noally, Mme Pégat; comte de Rouge, comte et comtesse de Charette, Mme Fanny Heldy M de Kerallet, M. et Mme Gaudet. comte eivvicomte de Rubelles, M. et Mme Desporte de la-fosse, comte de Brinon, vicomte de Lalande, comte et comtesse de Montlaur, MI. de Vazelbi'qs, M. Monnier, etc.

Pî<jx du Majestic (à réclamer 4.800 fr., 1.600 m-). ^y%. Petite Maîtresse,-» M. Daniel Ouestier ÇA.. Dihos) • 2 Dorothy Dickson, à M. Elio Lauzier (M Sellier) 3. Trop Sec, à M. Antony Vidal (R E Haynes) (2 longueurs 1/2, 1 longueur). Non places •: Vardar III, Pathfinder, Pyrrhus, Belfort. Risée II, Optimiste II, Duncan, Major II, Méréville.

Pari mutuel à 5 francs (Pesage) Gagnant, 114 fr. 50. Placés Petite Maîtresse, 19 francs Dorothy Dickson, 13 francs Trop Sec, 8 fr. 50. Prix des Jouvencelles {10.000 francs, 1.000 mètres). 1. Algarade, à M. Frank Carter (C.-H. Semblât) 2. Diavonie, à M. Paul Froment (E. Chancelier) 3.' Tante Hortense, à M.. Pierre Thomas (F. Rochetli) (2 longueurs, 1 long. 1/2). Non placés Comme Il Faut, La Ma.adetta, Reino Jeanne, Mélopée, Cascade II, Diamond Star,, Cléanthe, Olive {Moire, Ch|a ratere ine III, Manônette.

Pari mutuel à 5 francs (Pesage) Gagnant* 7 };̃ 50. Placés Algarade, 6 Ir. 50 Diavonie, 9 francs Tante Hortense, 27 fr. 50. Prix de la Compagnie Fermière (handicap, 20 400 fr., 2.800 m.). 1. Primat, à M. André Monnier (C.-H. Semblât); 2. L'Hastis, à M. Joseph Balas (M. Bellier) 3. Souci, au comte P. de Saint-Phalle (J. Lamoure) (encolure, 1/2 lon-

gueur).

Non placés Liburnius, Dragon, Soleil Levant,

(De nos envoyés spéciaux et de nos correspondants particuliers.)

Lobéthi, Dionysius, Ballyrack, Annabel, Florold,. Royale Water, Célestine, Umbrella. ̃ Pari mutuel à 5 francs (Pesage) Gagnait, 17 francs. -Places Primat, 7 fr 50 L Hastis, 9 fr. 50 Souci, 32 fr. 50,, Prix des Jouvenceaux (10.000 francs, 1.000 mètres). 1. Astérus, à M. Marcel Boussac (G. Stem) 2. Carolard, à M. Achille Fould (C. Bouillon) 3. Aiglon, à M. Léon Olry-Rœderer (C.-H. Semblât-) (tête, tête).

Non. placés Adonis H, Rubis III, Tdavouyou, Royal Topsy. »Sainci-y, Espadon II, Légendaire, Pouquevilie, Black Berry II.

Pari mutuel à 5 francs (Pesage) Gagnent, 22 fr. 50. Placés Astérus, 6' .francs Carotard, 6- francs Aiglon, 5 fr. 50.. Prix de la 'Société des Slèeplo-Chdses Oe France (handicap, 6.000- francs, 3.200 mètres). ..1, Lgr hitzun, au comte d'Estourm.el (A. Swann) i. Yoyo, à M. J. Tumbull (L. Duroh) 3. Frimousse, à M. Darc-on- (G.-H. Semblât) (3 -longueurs, 2 Ion- gueurs).

Non placés Soir d'Avril, Roche d'Or, Noiv mandie II, Golden F-leece, Sweélange. Pari mutuel à 5 francs (Pesage) ̃: Gagnant, 9 fr. 50. Places Lohitzun, 6 francs Yoyo, 8 francs Frimousse, 7 fr. 50..

Fkte Vénitienne. Le comité des fêtes de Vichy organise pour aujourd'hui, 1er août, veille du Grand Prix, une fête vénitienne sur l'Allier.

Au cours de cette fête aura lieu un concours de bateaux décorés, doté de nombreux prix. Les ballets fantastiques de miss Loïe Fullcr ne seront point la moins curieuse attraction de cette soirée, à laquelle ils ajouteront une note d'art. Un concert et un feu d'artifice complètent le programme.

Arrivées. Sont arrives à Vichy S. A. R. la princesse Marie de Grèce, l'amiral P. Joannidès, de la marine royale hellénique et madame S. M. le shah de Perse, M. Jean Durand, ministre de l'agriculture et madame M. Walter Berry, président de la Chambre de cômmerce américaine à Paris comte Subanski, ministre de Pologne à Madrid, duchesse de Carvalho, M. Condrevlotls, M. de Comte, M. Davis, Mme de Estrada, M, Ferid Bey, M. et Mme de la GuawJîa-, M. Koûznetzoff, M. et Mme Maltchensco, M. Shaldjian, M. Sherman, Mme de Toledo, M. Taponier, M. et Mme Apostolides, Mme ̃ Boessen-Bacher, M. et Mme Cecealdi, M. et Mme Baudinot de la Salle, vicomtesse de Bulfières, ùt et Mme Delageneste, M. -cl Mme Champnois, "M. Ballen de Guzman, M. Davies,- M. Delopiefre, M. Godfernaux, M. Khah'KChahine, M. Lustgarten, Mme Locatelli, M. Le Brori de Vescela, iM. de Parisot de Bemecourt, Mme et Mlle de Urech. M. Tavarez de Mello, M. Shaker-Mangabadi, M. Osey de Neivaart, Mme de Waubei-t de Senlis, Mme Van Perlstein, Mme Vignau, M. d'Aiguesvives de Malaret, M. Barrère, Mme Bently, marquis et marquise de Castel Maurigi, M. de Court Ondervatès, M. Doda Evelyn, M. et Mme de Jouffroy, M. Levesqup, M de Guigné, Mmes de Leseleuc, M. et Mme de Léon, Mme Jools-Denay, Mme de Magalhaès, M. et Mme Middleton, M. Mohamed ben Akef, (Mlle Movojilove, (princesse Odinsoff-Sansenbacher M. de Paner-Budahegy, Mme de Puisieux, Mme Raey-Pacha, Mme de Regende-Ruech, Mme Sierpinskà, M. Smallwood, M. Ulgade, M, Van Ryckevarsel, iMlies Verrier, M. et Mme de Zaldo, M de Vaux, M. Youssef Soliman Pacha, Mme Ahuncaina, baronne d'Abbadie. M. Barud Mme Badell y Esperanzo, M. Camérlinche, docteur Ht Mme de Carvalho, M. et Mme David de Beublain. M. et Mme Dramalys-Pacha, Mme Laurent Ni. Pouderoux, 'Mme Walter-Duyfoos, M. Yeghen Bey. comte d'Aroucey, M. Bastos de Machado, baron de Callosa, M. Boutros Pacha Ghadi, M. Curiel, vicomte de Coruche, comte Garnecki, M. Fresed, NI. Dhunjibhoy. Mme Farahat, M. Le Goff, M. Hughrs, Mme Granjon, Mme Guimaraès, docteur de GrissaG, Mme de Jouvenel, Mme de Lacombe, M. de i Lussy, M. Macedo, Mme Nemirousky, Mlle -S>ohultz, M Whithead. M. et Mme Triton, M. Zafnôpoulo, M. B. Mignaquy, etc.. n-*viAN

Spectacles,, .Aujourd'hui, au Casino, h 15 h.,mafinép; musicale; à 20 W. i^Argênïina, avec Mlle "Aïïèïia Felïci", câmatflce, çt,Mnre, Ginisty-Brisson. A 23 h. 30, grand bat. Dimanche, en matinée -.Château historique en soirée, concert sous la direction de M, Félix Belgrange, avec le concours de M. Robert Casadesus.

GOLF. Malgré de violentes averses, on a disputé jeudi et vendredi au golf, un «handicap éclectique mixte » doté d'un très beau coffret ancien en argent offert par M. Henri Borgeaud.

Voici les résultats de cette compétition, pour laquelle les concurrents avaient le droit de faire quatre fois le parcours et de choisir ensuite les meilleurs 18 trous.

1. M. Freeman (hand. 30), 54 2 M. Gillôt (hand. 20), 61 3. baron de Batz (hand. 26), 63. Arrivées. Parmi les dernières arrivées au Royal

Baron et baronne M. de Giey, S. A. la princesse Prem de Ka-purthala, M. E. Vidal-Naquet, baronne Henri de Rothschild, M. W Petersen, ,M. Salvador Socas, lieutenant-colonel J.-FAnderson, M. E. Dubonnel, Mr et Mrs Whitehea.'ï, Mr et Mrs A.-H. Scribner, Mme Omar SuHaa Pacha M. E. Oury, Mr et Mrs Allen Star, M* et Mme de Coquet, 'Mr et Mrs C. Shearn, Mr et Mrs S.-H. Ordway, Mme J. Gerbault, Mr et Mrs J. (Mac Cracken, M. et Mme Gillet-MpUe, \i. et Mme J. Nagelmackers, Mr et Mrs A.-V. Stout, M et Mme P. Obry, M. J. Lowet, docteur et Mme Lambikis, Mr B.-S. Anderson, etc. DE BIARRITZ

Inauguration- Grâce à la libéralité de M. de Olazabal, Biarritz va bientôt posséder une statue de Jeanne d'Arc. L'inauguration, aura lieu le 29 août, très probablement. La cérémonie sera présidée par le cardinal Toucliet, avec Mgr Gieure, évêque de Bayom ne et Mgr Baudrillart. Le cardinal sera ac* compagne de son secrétaire, Mgr Arnaud. Polo Voici les résultats de la partie du 29 juillet. L'équipe bleue, composée de marquis de Guadalmina, marquis de San Miguel, baron Robert de Rothschild et M. 0 Malley Keves a joué contre l'équipe blanche, composée de MM. Casassus, Lai-regain Balsan, Halliday. Les bleus ont gagné par 4 buts à 1. Remarqué dans l'.assistance

Marquise de Jancourt, M. et Mme de Parada, Mme Arani, Mrs Halliday, M. et Mme Abel, M. et Mme Oliver, colonel Finlay, Mme Brailowsky, M. Léglise, M. O'Brien, ete.

Le team égyptien du comte de Zogheb est arrivé avec treize magnifiques poneys, arabes et jouera probablement bientôt contre les joueurs habituels.

Arrivées. Parmi les dernières arrivées à Biarritz

Duchesse Pozzo di Borgo, comte et comtesse de la Guibourgère, comte et comtesse de Puis, Mme B. Loubet, M. Pichering, comtesse et Mlle de Barhançois, marquis et marquise de Avriluce de Ibarra, M. L. Strauss, M. de Lasto.urs, Mi Hertzberger, M. Schuhmann, -ete.

Çj5L EST IjA ̃̃ -♦- M \lapctitc, ambassadeur de France, ancien résident général en Tunisie, ancien commissaire général en Alsace et en Lorraine, a été élu président de la Ligue française en remplacement de M. Hébrard de Villeneuve, décédé.

̃ Afin de faciliter l'échange rapide des titres d'allocation provisoire d'attente et sur la demande de la sous-intendance, la Fédération nationale des blessés du poumon et des chirurgicaux, 41, rue des Ecoles, Paris (5°), vient de créer un service spécial qui fonctionnera tous les jours .de semaine de 9 heures à midi et de 13 h. 30 à 19 heures, et le dimanche de 9 heures à midi. Les réformés pourront se présenter, munis de leur titre provisoire, jusqu'au 31 août, 41, rue des Ecoles.

'+. M. Paul Hazard, professeur à l'Univërrsité d Lyon, chargé des fonctions de maltre des conférences à la Faculté des lettres de Paris, est nommé professeur titulaire de la chaire d'histoire des littératures comparées de l'Europe méridionale et de l'Amérique lar tine, au Collège de France.

ÙERMÈRË HEURE

ÉLgrèje des mineurs angMs

,ï~ est ~Yl~~ .d"

I est évitée

M, i$$fa&à aflnonqe aux Cpjnmuoes, la conclusion d'un accord provisoire LONDRES. 31 juillet, –'M." Ba'ïdwi'n' a an-

noncé..<Ê6.S0ir.:à: la;jaj«.mbœ ;des,coBin.ïunes

que les propriétaires de mines avaient accepté d'ajourner pour quinze jours la mise en vigueur- vdupi'éavi^ qui devait mettre fin ce soir, à minuit, à l'actuel contrat de travail des ouvriers mineurs. été conclu, ajouta

« Un accord provisoire a été conclu, ajouta

Je premier ministre. Son. exécution dépend évidemmeat dte- son- acceptation: par les ouvriers mineurs. Je puis déjà dire que le comité exécutif <Jg-la Fédération des mineurs a télégraphié à tous', les. syndicats locaux pour annoncer que la grève ne devait pas avoir lieu, et pour demander que tous les intéressés en soient prévenus. »

Au nom du Labour Party, M. Clynes se déclara alors satisfait de l'accord intervenu, puis -M. Lloyd George, au nom des libéraux, s'associa aux paroles, du leader travailliste. Les subsides gouvernementaux Un communiqué de la Trésorerie britan-

nique' -déclare ';que. l'aide *du-. gouyemejnenï

à l'industrie minière prendra la forme d une subvention destinée à maintenu- les salaires sur la base de l'accord conclu en 192* et ce durant une période allant du 1er août 1925 au ler mai 1926. Ce communiqué ajoute qu'il est impossible de prévoir à combien s'élèveront les sommes versées tout dépend du chiffre d'affaires et de la production minière.

UEvërâng Standa,1'd croit savoir que l'aide accordée par l'Etat à l'industrie minière se traduira par une dépense d'environ; 10 millions de- livres sterling pour les contribuables pour les Evening Nelus, la note à payer s'élèverait même à 20 millions de

L'exierriotrialité en Chine

l'a

L'Angleterre adhérera-t-elle à la proposition américaine d'une conférence ? '1

Londres, 31 juillet. L'Agence Reuter publie l'information suivanie

« On ne sait rien dans les milieux bien 'informés d'un décret concernant une proposition quelconque de la part du gouvernement des Etats-Unis, pour la réunion à Pékin, l'automne prochain, d'une conférence en vue d'étudier la question de l'exterritorialité.

» Un échange de vues à ce sujet a eu lieu ces temps derniers entre la Grande-Bretaone et les Etats-Unis, mais il n'est encore Résulté, croit-on, rien d'aussi définitif. » Lé mouvement xénophobe à Amoy Hongkong 31 juillet. Des dépêches d'Aïnoy confirment que ,:des coups de feu ont été tués sur= Li MUon Ghock, gros négociant chinois, en raison de ses relations dnîiëàte^Své^fôàTMgM^eit de l'aide qu'il a apportée pour.le maintien de l'ordre. Il a été atteint de quatre balles de revolver, et son état est considéré comme grave. La -grève générale est, croit-on, inévitable. Le boycottage, très sévère continue. Une canonnière britannique est partie à destination d'Amoy. 1 1

Opérations en Syrie

contre les rebelles

Londres, 3i juillet. Le correspondant du Times à Beyrouth télégraphie « Des renforts arrivent aux monts Druses, conformément au p'lan du général Sarrail, pour écraser J'insurrection du sultan Atrach. ..̃ » Des aéroplanes français bombardent les villages rebelles. La circulation est suspendue entre Damas et Beras sur la voie ferrée et sur les routes, pour permettre le mouvement des troupes.

L'OPINION DES AUTRES

i^ ̃̃• LE MAROC Liai politique et les opérations françaises au Maroc font l'objet d'intéressants commentaires dans la presse italienne. Voici, par exemple, comment le Giornaûté d'Itàlia juge la sUuation

Evidemment Abd el Krim veut aller vite. La nouvelle d'un accord franco-espagnol possible,même limité aux questions d'un blocus maritime, ne peut manquer de le préoccuper. La saison d'été est la plus favorable à ses troupes, la plus dure et la plus pénible pour les troupes européennes. Enfin, les difficultés intérieures de la France, les imprudentes propositions de paix lancées par elle en pleine bataille, lui font comprendre que c'est le moment de redoubler ses efforts. Et l'audacieux Marocain .se. dirige tantôt sur T-aza, tantôt directement sur/Fez, dans l'intention de tronquer au moins les communications,,ay'ec l'Algérie. Réussira-t-il ? Nous ne le crovons pas. La France peut disposer de grandes forces coloniales et métropolitaines, ce qui lui permet de supporter même un grave insuccès- Mais il faut que le pays se maintienne tranquille et ferme dans sa volonté de surmonter la crise.

kt Mais il faut que le pays se maintienne tranquille et ferme dans sa volonté de surmonter la crise. » Ainsi juge J'imipartial observateur. DE' L>AUTORl2'E

DE L'AUTORITE

À propos de la « Semainè sociale » de Lyon, M. L.A' Pages, commente, dans ̃î'Ouiest-EcIiairY le programme de ces grandes assises du. catholicisme sociale J'étude du princip©df autorité sVoug, voulez -justifier ce^rincipe, dit-il à sesâhlis catholiques et, démocrates;; c'est bien. Mais dites clairement, •fortement, .fréquemment que vous voulez, en. conséquence, faire des, autorités. Une élite ;àgisà'étnte,- des chefs qui réalisent, voilà Je grand *besoin=dti moment. Voilà ce qui manque à notreisch eiété: ''Ja dis deschets, et non' pas un. dictateur. C*f, l'on peut être et, quand on est solidement chrétien, l'on doit être chef dans son atelier, dans son usine, dans son école' dans sa ferme, dans son syndicat, dans sa commune. V Qui est « chef »? Alfred de Tarde éh à .jjonnê la véritable définition démocratique'1: « C'est l'homme qui se sent responsable 'd'ww tâche ». La tâche peut, être modeste qu'ifrijk>i'lè>! Si l'homme qui- est chargé de Faucomplir uccepte et aime, sa responsabilité, il"«Bt ap-la il «WJitnonder. Le contraire

:?o~G4p~°1~'=atitte~l~tdrt';s t°-.c:~t

tin débat au Reichstag r au sujet du pacte

La réponse à la note d^ M. Briand <

et l'attitude des nationalistes

11

Berlijs,' 31 Juillei. '-JÙx cojjrâ 4e la. s$$ïi-l (ce 'd.'attjourd'h.ui, un députe' communiste' a donné lecture d'une circu'laij'e'v/.corifiâ'eni tiellë d\i: parti- nationaliste a-u-éûjet de lâïêpb-nse -allemande :à 'la iioté de" M. Bïïand,.1 qui a fait' bien ressortir le double rôle joué par lés nationalistes. Cette circulaire idë- clare que la réponse allemande est. un ^cte du Cabinet tout entier et que les nationalistes approuvent avec toutes leurs. -responsabilités. La circulaire déclare qu'il est indiqué ide faire tàire, 'pour le moment, toutes les objections sur la première note allemande et qu'il faut éviter tout débat dans la question de l'abandon de rAlsaec-sLorraine. Le gouvernement fera allusion au droit de libre disposition des peuples qui est applicable aussi bien à l'Alsace-Lorraine qu'à l'Autriche. Il faut interpréter la note en ce sens- 4ue lé gouvernement maintient .SQii' point "die ,v-ûé en ce qui ̃•cQncernErllarticl^1^ dù pacte de la Société des nations

Une motion raciste

BERLIN, 31 juillet. La fraction raciste du Reichstag a déposé une motion invitant le gouvernement à faire en sorte que le mu nistre des- affaires étrangères ne poursuive les négociations sur le pacte de sécurité et l'entrée de l'Allemagne dans la Société, des nations qu'après avoir mis au courant ses collègues de ses intentions et avoir obtenu leur approbation, ainsi que celle de la commission du Réiehstag des1 affaires étrangères.

L'évacuation d'Esse* et de Mulheim

Berlin, 31 juillet. On annonce d'Essen que cette ville ainsi que Mulheim-sur-Ruhr sont évacuées depuis ce matin. On attend pour dimanche le retour à Essen de l'ancien préfet de police, M. Melchers,.qui avait été expulsé ainsi qu'une partie de-la police de sûreté allemande.

Le nouveau cabinet hollandais

tet

La Haye, 31 juillet. Le nouveau cabinet est formé. Il est ainsi composé

Il est présidé par M. Colyn, ministre des finances. Voici la liste des principaux titulaires des portefeuilles affaires étrangères, M. Van Karnebeek intérieur et agriculture, M. de Geer justice, 1\1. Schokkin enseignement et beaux-arts, M. Rutgers guerre et marine, par intérim, major liambooy, catholique.

Le Concours d'endurance des moteurs d'aviation Depuis plusieurs mois s'accomplit à Chalais-Mendon u.n;i.Gpn;cours. :d'gpduranoe, Qty>s) les'-nqipteurs'd'âvïation; ̃̃<i^iue.vz 'Les conditions de ce concours sont excepiticmnellement .sévères et comportent en p,articvilier un essai au banc de 210 heures. Le moteur Panhard vient de terminer brillamment cet essai-

Il est intéressant de noter que ce moteur de 450 CV. est le premier moteur d'aviation sans soupapes et qu'il se classe d'emiblée parmi les aneilleui'S» Il fait en outre ressortir des avantages, considérables au point de vue de la consommation, de la constance, de la puissance et de la facilité ,du fuselage par suite du peu de hauteur des cylindres..

On a pu, au cours d'essais remarquables, se rendre compte de la grande sécurité qu'offrait le, système de distiïblutiun par fourreaux concentriques avec les nouvelles chemises en acier régulé brevetées par Panhard.

Les moteurs de cette firme ont d'ailleurs fait leurs preuves et les nombreux succès qu'ils viennent de remporter dans Iles meetings sont un heureux présage pour la conquête des airs.

l'individu qui. se lave les mains, -qui. cherche systématiquement à se couvrir, à s'abstenir, à ne prendre. aucune initiative. Il y a des hommes haut placés qui ne sont nullement des chefs il y a de simples ouvrière qui sont chefs.

M. L.-A. Pages recommande donc aux jeunes auditeurs des « Semaines sociales », les vertus du commandement t et la morale agissante des forts. « Sachez dire et pr.ouver, conclut notre, confrère, que vous méritez les. premières places lorsqu'il s'agit de conduire le ̃monde- moderne vers là justice, la prospérité et la, paix. »

ÉLECTIONS 1

Dans le Nouveau Siècle, M. Jacques Boulenger nous donne une subtile analyse de la psychologie des élections. Il conteste que celles-ci puissent exprimer la « volonté du peuple », car la volonté du peuple n'est qu'une fiction Une foule, une masse, de quelque façon qu'elle soit composée, n'a pas de volonté, puisqu'elle n'a pas de raison. On parle du <( bon sens populaire » cela ne veut rien dire. Individuellement, chaque Français est donc de bon sens c'est môme une des qualités les plus précieuses qu'il doive à son hérédité. Mais prenez dix mille personnes. pleines de bon sens, faites-en ùne.u;i.foule >ye.t vous verrez 'qne' cet. être collectif; que vous aiirêz ainsi créé, n'aura pas' plus d'intelligence1 et qu'il ne -séfà pa"s':iïffiiins' soum-ïe à l'enthousiasme, à la panique; à toutes les passions aveugles que les foules composées des éléments les plus médiocres.

Les candidats cherchent donc moins à' convaincre qu'à émouvoir, car l'âme collective n'a pas de doctrines elle n'è que des mystiques.

Le parlementarisme, expression cfe ces mystiques en reste imprégn'é,. faussé

S'il est un problème particulièrement, délicat, est-ce à quelque personnage .'cpnïpéTent que l'on confiera le soin dé l'élucîflër? R Pas du tout c'est à une cinquantaine^ "où 3avantage. de compétences réunies en commission, c'est-à-dire à une. collectivité, dont le niveau 'intellectuel sera, par conséquent,- inférieur à celui de la plupart des -in.diyi^us qui la. composent. • « Quelle absurdité! » conclut- sévèrement M-. Jacques Boulenger, • 1 Pierre VJHêttt*

COURRIER DE M BOURSE

̃̃ '•̃̃ 'i:ï! -̃̃•f nniiàiiiiiiii 1

.V:" ,v- Paris, 31. juillet. L Séance irrégulière -au Parquet e-t en hausse. sur.iau.te la ligne ei^ .Gojjlis.se. -T., L'interruption des conversations, dte .Ldn-V dres, "concernant lès» déftés^Merayiéjes, -à-\ été. l'objet de commentaires les plus divers et -qUÏ se sont répercutés- sur "M tëriu-e des changes et de nos fonds d.!Etai-, -ta livre ay.î ;en effet, regagné 23 centimes et le dollar 6 centimes, cependant que nos Renies reperdaient plus d'un 'point 'eh moyenne. Après la grande étape que ce85§-ci 'viennent.! de parcourir, ce recul' peut-être. ;corisid<ér6 'comme minime. Des -.porteurs titoûj.ôS'Vpirfï iprîs leur- bénéfice -t voilà tout..Bersonne ne s'attendait, d'ailleui- à-, ce ..quç F^pçâis;. <^ "Anglais' "'tombassent' "d'accord aûVp'r.çmieij-

cO~J?'r:11,r <pt;te.,quest.ion~ des. dettes,

:coug- -SjUr -c.pt W, <JHe,sM°P, des. dettes," -.r" activité et ̃ et' excellentes dispositions;; Les valeurs internationales étaient de n'oWèâtireehercMes, -et ie groupe ruest est reparti de l'avant. L'animation des spécialités. qui. dépendtent An Stecfc-Exchange sfûst..encore accentuée^ < les diamantifères. et vpjalinifères ont' fait d'intéressante ,prQgrès,r/ La liquidation a été facile, bien .qUë'les engagements aient augmenté de volume. 'L'argent des reports s'est- cependant tendu quelque peu. Il a valu 5 1/2 0/0 au' Parquet contre 4 0/0 précédemment, .et de'7-:l/2 à 8 0/0 en Coulisse. • Les Qttomqns gagnent encore du terrain Unifie^' 63 90.'

Reprise des établissements de crédit

Banque de ffaris. il. 331 j Luormàk, 1-533 f

Urcac~n;âFa~enrt~~`,~r3~' ,~iîS' 1,5.33 i

Um~~P~tM~~3Y~J~M~~

781 Mobilier, 480 Foncier EgypfflSn, 3:1367 Le Suez progresse" de 185 fr. à 11.260 les Wagons-Lits,- de 25 à 2:265;: t ̃>. jl Fermeté, de nos ;-chemin&de .fer :yhijon;: 875\ Nord, 1.060:; .• v ̃; Groupe électriepua soutenu :•: T- S- F. y 786.. Reprise des mines! «.métalliques :le Ria gagne- -60 francs à. 4.310: ̃; Ulali.Çom^ 45 à 2.123: Thàrsis, :4-2-i:.Les ^métaux industriels sont mieux à ̃ Londres. v:; Charbonnages bien tenus. Fermeté des phosphates/ et des produits, chimiques Galsa^ 940 \Jty>ize 581.. Lourdeur dèà, suariêrés" 'Say,' îï878.i: 'Su>- lereriés &Egypte'j 1.186. "̃ ̃ S i Les petroliferes--sont.de nouveau bien dis^ [posées :'Eoyàî, 33.700' ;Shell;-$7& ïïakôîx; '̃̃. 2.290 Malopolska, 378. n Grandte animation' a,u groupe. ̃ Sud-Afri- cain De Beers gagne 19 francs à l.£34- Raridmines^ 20 à. 349.

Les caoùtçhoûtières font meilleure COnte-. nance PtMang, 769 contre "750. Caoutchoucs '.de l'Indochine, X%(& contre 1.178. Lee prix ̃:de la matière première Sont1 plus- soutenus ;à Londres.. ̃' ̃ '̃'•̃' Au comptant, la r ̃; part Foncier -Egyptien:

̃. ̃ ̃ J^1' /V'M ̃̃ ̃ ̃ • ;̃'̃">. "̃ ̃

COURRIERMtHËATRES

^rçtniêrg. représentation

Au Théâtre Antoine, 8 h. 45, première représentation à bureaux ouvert de la • Dame de chez Maxim's, vaudeville en 3 actes de M. Georges Feydeau.̃• Les critiques, et les courriéristes, seront rejius au contrôle sur ta présentation de leur carte.

~·'Wi~`~s. f: tVfl a:)btl~

,hC~6tr~- .1 ~~1,;1~1;-`

A L'OPÉRA, à 8 h. 30, Thaïs (Mmes geaujon, Marilliet, Dubois-Lauger, Frozier-Marrot MJV1. Couzinou, Dubois, Bardon, Régis, Cambon. Danse Mlles de Craponne. Rousseau, Damazip, Lorcia, Cébron, Y. Franck). Orch. M: Grovlez. A LA Comédie-Française, à 8 k. 45, te Bai- l, ser (M. André Brunot, Mlle Colonna Rcfrriano) le Gendre de M. PdfHer (MM. de Féraudy, Siblot, Roger MonteaUx, Ledoux, Rôgnoni, André Luguet, René Simon, Evrard Mlle Marie Bell), A l'OpÉRA-CoMIQUE, à. 8 heure.s, La\mé (Mlles Flore George, Tiphaine, Monna Païva MM. Razavet, Audoin, Bourdin). Orch.: M. Archàinbaud Cavalléria Rusiïcana (Mlles Arcos, Epîcaste MM.1 Chàrlèsky, Sauvageot). Orchi "} M. Renàuld. -̃̃- ̃'•̃ Au GYMNASE, à 8 h. 'r45. Tes Vignes du Sieî-i gntar (MM. Paul Ville, Robert Chàrlys; G. Jacques, A. Lancien Mmes Flora, De'hon.i Solange Sicard. Daubray-jolyj, M. Rienzi, R, Fermel). ";̃ A LA GaITÉ-LyRIQUE, à 8 h. 35, les Saltimbanques (Mme Régiije Chssles, Mlle Henriette Alexandre MM. Pierre Darmant, Gérardy, M. d'Aurlec M. Kolly, M. Frediani et M. Détours). Balfets Mlle Capry, danseuse étoile. (Tré-Ki). Au Théâtre Sarah-Bèrnharut,. à 8 h. 30. Mon curé chez les riches, avec MM. Màrctf, H. Mônteiix; Màxîme-Léfy, Mmes Jeanne Dèlys;' 'Jehanno et Cassive. (Dim. et fêtes, mit. à 2 h. 30).' A LA RENAISSANCE, à; 8 h. 30. la Sonnette d'alarme (BUnche Hellé, Marcelle Dermilly, La. grange et Fertinel, Lueie. Lindsey, Grange, et De-

nevry).

A l'ÂT^Çnéç,: à 8. \30, tes' Wouoeàat Messieurs (Andrée Féranne, Jean Capoul et André Nicolle); ̃̃.̃'̃ AU PALAIS-RoVXL, à 8 H. 45, le Monsieur de cinq heures (MM. Gh. Lorrain, Géo Leckrcq, Jacgues Gaudin Mmes Lucienne Givry4 Suzanne Berni, Dolly Spring). r r- Au Théâtre de, î Paris, à 8 h. 30, l'Ecole des Cocottes, la pièce;, la plus gaie dans, le plus luxueux théâtre. ,•

Aux Bouffes-Parisiens* à 8 H.45, P.L.M,^ (MM: George, Max de Rieiix Mmès Allems* Eliane.de Greu«). 1 Au Grand-Guignol, â "8 hv 45, U<ri actes $& jalousie, Gardiens- de pfiarèi la- Dame été Ètomè et le Monsieur de Cristal, Un crime dans une Mai' son de fous, Mon cher confrère. Mat. nperc, sam., dim. et fêtes.

Aux ÇAPUCINES (Tél. Gut. 56-40), à 9 heu.res, Quand on est trois (Mlles Zabeth Capazaz, Clairette; Jeanhing et Pepée MM. Roger Norac, René Destrey, Cheviilot, etc.). Au THEATRE Femina, à 8 h. 45, Un ménage à la page (Mmes Madeleine Guitry, Simone Deguyse et Marguerite Ducouret MM. Villa, Hiéronimus). Au Théâtre DES Nouveautés, à 8 îi. 45. Pas sur la bouche (Marthe Ferrare et Henri-Caverne et Mary-Hett, Germairie Kym, G. Champell B. Berly 'et José Sergy et Marcel Franck). Au Théâtre DE L'ExPosrnbN, â' 9 heures,' les Rapiàts, comédie villag&>fce"én 4 aèt'és de M; Marius Gharaof, avec la Mroupbdu Théâtre ".Varf*

dois, •• • j

PpoJçrs d'Auteur. -r- M. 'Eugène BrieJiX, de rAçadémie- française, nous adresse la lettre suivante': Je vous remercie d'avoir pensé à me demander, pour le- Figaro, quels projets- j'aî formés pour- la saison prochaine. ?: ̃ Ils sont, encore trop, vagues, et de réalisation trop incertaine pour être publiés.: ̃ -̃̃ Brieux:' ̃ ̃̃;̃

̃•̃̃

.Comédie.-Frakçaise.. n- Ce soir, dans Le Gendre de monsieur Poiriçr, M. André Lu;r guet jouera, pour, la première fois. le rôle du Marquis de Presles.. Dinaanche, en nialinée,

;datis icMédeçin.'hiaïgrçïui, Ren^Simqn

,f oiiera RQ.ur 1 a prerh Çirei fois, le. jrpie d^ ]^>r

berls'.et 'Je soizr. dmf-.t 4^4? -r^^ftÇro?

Mlle Ga therine Fon tene^ ..pei^ jdpyf^ "̃ Cog^-

fesse àc LayariJèns, eïMlnç^i'piija.Çava.r., go;

lui de Pauline. ]̃" •' ;j r

'QpjÈRji-CoUiQVE. 'A'~a'suite, des dernier concours du Conservatoire, $$!• Louis Mtfs-

gajnè. 'i.SôO'.francs :à $0.800 ̃'JEfânq^j 'cil iindochine, 70 à 3.620 Indoalvinoise d'Etecti-içité./ïOQ à 3.450 Qitenza nouvelle,: 150 à •3.350 'i Quilmë^ lîo'à 5.520 part Gâteries Myettê; 1,650 "û. '7t. 900 part, Kinla,. 169 à '2".3$9' part Siïçrènës en Rôttirtàèié, 225 a 2J45JC! ;'Gav.eiXti,.&%9. été,' -;s (Voir en 4° page le tasbleau des cours) iNPOÎRM^'î'IONS. FïîîANCIËRES CREDIT FONOiER'OÊ FRANCE. La. sitaation au '{30 Juin 1925 fait ressortit;, sur cells du mois (précédent l'es' yai'ialtions siii'VaùfëS;:

Aclil j

Espèces, effets, va-

leursdiverses.avari-

ces sur titres et c'oïe ̃"••̃̃» ui .-̃<•̃̃* ->l -•> respondants. ffK!-f~'ï6(j30iï^4-f d2i.354.i75 •Prêts hypothecair.es> r. à et communaux. 9.303.924.176- 14.045.744 ̃.Sem.d'annuit. échus.- -45.556.462 1.457.493 i'Imm. acquis. Jiaac-laSo-

ciétéàlasuited'exp., .,708,061.

i-Divers 192.769:777–102.987.633 ̃ Dépenses d-adjnfmst. ̃; ïiv639:O0O':f '1.939:833i Passif

'Capital social, réser-

t ves et provisions.. 935.697.874 -f,. 2.150.704 "Dépôtsencomptcfliir.. 162.092.981 + 14.76S.770 ^Correspondants. 75.893.482 + 11.68'7.923 ̃Banque hypothécaire' ` `

de France (en liq.T "̃-̃ ̃ 2.597:273 +'; 106.363 'Versements différés

sur prêts hypothé-

f caires et comiM- *'• ̃̃'̃>. |; naux ..w..ï.. • C32ï538.487--r -34.070.869 Obligat. fono. «t corn-, • ,̃̃•̃̃" munalesen circulât. ̃.8..084.007-811.+ .lfi-.6.21.127 Divers 399.164.126 l>:709.620 ^Profits et pertes 1925; -.30.306.724 +- 5.248.739

Les huit heures dams leschenrins de fer M. Pierre Lavât, -.ministre des travaux ̃publics, a reçu, hier, une délégation des 'cheminots confédérés venue l'entretenir de l'application de là" loi -de 'tfuit heures aux; 5 mécaniciens, çhaaiffeurs et' agents des trains. Après examen de lia' question, le ministre !a fait connaître, .aux .délégués ,guc. le projet! tde décret .conceiinant ràpplj.qation'- de. la loi dte huit heures ̃att/.perjonii^i 'ro*ila«i serait soumis au Conseil d'Etat .au- mois ..de septembre. r

pM accidents déjà route j Rennes, 31 juillet. Une automobile con- duite par M. Georges 'Esplanade, ;dè Paris,; Sa'capotê en-ti'e-'Reriheé'et Nantes. ̃•?̃̃̃̃•; ¡ "M:- 'Esplïinàdé a'eté tué-. '̃•'•̃

sbii 'et Georges I\icbti' viennent d'engager MM. Musy et Paul Payen qui ont, tous Jes deux, obtenu un premier prix d'opérà-co-

ijtnque.

M': Mùsy débiitera vi*aisemblablen1ent dans le rôle du Ch6miiieau, dont la direction nouvelle effectuera la" réprise des son entrée en fonctions, en octobre prochain.

"'IJernaiâ dimanche, en matinée, l'Opéra-

ëBnijiitiè11 ab'nné^1 'ôiljb ^rèprés'éâïâlioà' M

WerlhéV: 'të 'drame ^rïfiuë 'drMà'^nét: interprété. par Mlles M.-L. Dubost, Epîcasfe, TVtM. Burding, Sauvageot et Dupré. M. Maurice- Frigar'a dirigera L'orchestre.

"'̃̃'Gb.a.Wd-Guionçl. 'Le gros succès,' Un -Crime dans une maison de fous, sera jdoniïé aujourd'hui et demain, en matinée et, en

spirée.-

Maxime Girard.

SPECTACLES* CONCERTS

Aujourd'hui,!

Même spectacle" qu'en soirée [:

Aux Folies-Bergère (2 h. 30) à l'Olympia (2 h. 30), à -l'Empire. (2 h. 30),«au Palace (2 h. 30), au Moulin- Rouge (2 h. 30)..

Ce soir ̃̃

.'•'w' AUX FOLIES-BERGERE, à 8 K.,30, la nouvelle itipèr-revue de M. Louis Lemarchand i: Vn soir de

ibiièO •̃••"•̃ •̃̃ ̃' ̃•

̃Ki-Au CASINO d£ Paris, à 6 h. 30, Paris en fêlé.; ^nouvelle version* de la revue Bonjour Paris (Pà- riçysj Nujty et' Tillio, Dutard, Serjius, Lily Mou- net, Claire Luce, Marion Foide et les 16 Lawren-

ce ^Tiflérls giris).

4 A l'Olympia (Centrai 44-68), à 8 h. 30, OûVrard Sarthel Mlle Hélène' Bâudry et l'Italienne Yvonne dé Fleuriel Janine Klbtza et R. Lizot Les maçons américains le clown Franck Pictiél, etc. Vend., sam., dirrW, Dancing de 5 à 7. Entrée 3 fiancs..

AU PALACE (Tél. Berg. 44-37). à 8 h. 30, R^quel Meller dans Viûe la Femme 1 la plus belle revue du monde {: 150 artistes 45 tableaux; 1.500 costumes.

AU MOULIN-ROUGE TvWSTC-TTALL ntTarcade» Î5-27), à,8 h. 30, la Grande Revue (Marcelle Yr. vén. Dréan, Gariel, Oy-Ra,Baldini, Luisa Monero et les 18 Gertrude Hoffmann girls).

A L'EMPIRE (Tél. Wagram 60-58). Musichàll-cirque. Yvette Guilbert, les ours acrobates, les 7 .Saschoff, Alibert, les 10 chevaux sauvages, les célèbres danseurs. Tamara Gamsakourdia et Alexandre Demidorff, 20 attractions.

"'r- Aux Ambassadeurs (Champs-Elysées, tél. 43-73). La grande revue Sans chemise, avec Harty Pilcer, Gina Palerine, les sœur Guy, 400 artistes, 1.500 costumés.

Au Concert Mayol (Tél. Gui. 66-07). La nouvelle revue à grand spectaclff Très excifante» 15 tableaux avec. Isabelita Ruiz & 250 artistes j

j^ZOO r^stumes.

Chaws-Elysees MUSIC-HALL (Têt. Ely- sées,,72-42), ,à 8 h, 3.0, Thérèse Dor'riy, Pajiley dans te Vampire apprivoisé, de Ré.gis Gignoux Cër|ez ef Peggy les Brox Sisters.. ` ftu ClMÉ Carillon, 30, boûièvard Bonne* rfe'uvelle. La Nuit ii la Samt-Sylveslre, L'lrisQU: ItCise, etc:,t Et )'incompàraMe;orchestte Pickàert. Sj>eqt. permanent. les aprèsrmidi. Le; soir,, seule gfa représentation de 8 h, 35- à'11 h. 30; -.ij. AU Madeleine-Cinéma, à 8 h. 30, L'inhumine, de Marcel L'Herbier, avec Georgette Le- blanc et Jaque Catelain. Trois séances par jour. CHEZ FURSY et. Mauricet (Tél. Trudr6967); dir. inter. Paupélix, à 9 heures, Servez cjiàucl revue (Doumel, J. Ferny, Marsac, Ddpïifi; Chr. Délyne, M. Forcy, F. Dellys).

Jolies-Berger^. -^Rappelons qu'aujourd'hui, samedi et dërriajn dimanche, rincom-- paranfe superr revue, de' M. Louis Lernaiv ciKjii4', t'A- Spir de Polie, sera donnée en màtinçê et eri s,dir§.e,< II est prudent .de. louer ses places.

,i,

CfiVQui Bancy (Pont de l'Alina-Quài d'Orsay)* Ce soir, demain en matinée et en soirçe, ."î.fcois dernière^ représentations. "Tôlil-

tés'^sV attractions'' Vri,Sçanda\e, dqrCs là

.Mlï'îf,. érôs s.ucces.1 &% rire. '(Places de 3 à

iô francs.) '̃ > '-̃

rD fcâncs.) L. de Crémon».

IFp(~~I~L~~1~1C~

.COURSES A DEAUVILLE 1 "Aujourd'hui, à 2 heures, Courses à Deauville.

Gagnants du Figaro

"Prix de' La Chaumière Gaétan,, Guardi.. 1 'Pria; -du Cercle .-Ecurie Hennéssy, The GreyhoiiBd:

.Pjr-iœ 'biaumse de Gheest L'Habit Vert, Se-

lçet, '•

'Mililccryi'dê Normandie Seamouse^ .Douce

A.mSi'e. ̃••'•̃̃

̃Prix de Gagny Ecurie Henœssy, Chiffon. CofljË S A|(M^||ifflE: "Mi'eéple d&'la Société du bemi-Sang (chevaux.1 de •1seJleyi'5.3oO!:f)?andv 3;600i mtstÂJsJ. 1. Ta-' ci-t&Ifv'à:rM'Jeaiï E. Jsettij (G: Râteau) 2.-lHe Magi'a^it,, -au, baron-.d'Idaville,{G. Juge} 3. Ùl-

'tra Vl,'tv M. rr;,Balligre, (.Vl,.Diyary).c2 long. 1/2,

5";ïphg.u6urs).

'¡P,ar.'i: mutuer. à !5,fran:Cs ,(unifié): Gag,nârit,

̃. •'BiU'.i. mutufel- à !5 ifràrics (unifié) Gagnant,

33; U' 504 Rlaeés. Tacite H, 7. francs Thé Vagrant,- -6. francs. ,'ff-Ux- de. la- -Croix. Sonnet (course -de haies, à réclame^ 6.0.00. fraiics, 2.500 .mètres). 1. Mihitér, â M-. James Heimessy (L. Barré) 2. Is̃cftia.fW^'â-M, Adrien Wallet,(G. Mitchell) 3. Fécamp,à M.Antpnini Gosset:(G..Bersihanu).(l longueur! 1/2, 3 longueui's), Pwï mutuel à 5 'francs (unifié) Gagnant,. •ÎO fraies. Placés ïMihràb,' 11 fr. 50 ;Ischia, II, .̃^francs.̃"̃ Prix du Commerce de Deauville (steeple-chgse,, handicap, 10.000 'francs, 3.400 mètres); 1, Ca-.1 jadox, à M. L. de Chatelperron (J. Bia-rroite) .E.Satchville Lad, à" M. A. Lcevenst-ein (G. Bersihand) 3. Brigand, au vicomte de La Laïrde (W. Bail). (5 Jongueurs, 8 longueurs).

..Pari, mutuel à 5 .francs (unifié) Gagnant, 16" fr. 50. Places Calàdox, 7 fr. 50 Satchvife Lad, 8 fr. 50.. ̃ Prix de VauceUcs (course de hafes, handicap, ̃à -'réclamer, 6.000 francs, 3.100 iriètres). 1. l^ongwood II, à ;M..André Boas (C. -Jqiner)- ;< .2. -CQrtie'ey^ à M. Louis. Faire. (Gj. Bersihand) 3. "Voilà Tout, à M. Jean Lespinas (J. Lespines) (3 longueurs, 4 longueurs).

̃ Pari mutuel à 5 francs (unifié) Gagnant,' 17 francs.- Placés ̃Longwood II, 10 francs Comeiey, .11. fr. 50.. • • ̃ ̃ PriiÇ: des Prairies- (course do haies; 7.500 £r. 1 2'.800 iriëf.re's). 1. 'Ërnailïéui1, à M. 'Jean Dëlhote (L. Delfarguiel) 2. H.ayâér Ali,' à M' André 'Séàs.(R. Garon)- 8. Sorréj, -au baroiîr'de--Bour-! ̃go-in-g .(J. Biarrotte) (i-Jongueuirs-, 3; langueurs)' ,Pa}'i mutuel ̃ à. 5 -'francs X-urjifjé>. Gagnant,! 8 fr. 50, "̃' '̃ ̃•̃ Pi;\x,"de Stj,int-H]irner (à. réclamer, 6.000 francs^ 1.000' 'mètres). 1. Mazôtte, à M. James lien-1 "nessy (J. Jenningé) 2. Nanine, à M. A. de Foûr.©as (€. -Hobbs) 3.. Fruitless,î au baron E.. de. iHoth^child (W. Lister) (2 longueurs, 3. longueurs). Pari mutuel à 5 'francs (unifié) Gagnant,; 10 ÎA 50. -• .̃;̃: • ̃ BIï.

PELOTE BABQUE

Finales des Championnats de Paris: Les deux finales à mains nues, seconde^ .série, et à pala, qui n'ont pu être jouées dimanche 'à causé du mauvais temps, se disputeront le.'2 août, à partir de 15 h. 30, au Fronton de Paris. Une partie à chistera, servant d'entraînement à l'équipe champion de Peuis, complétera le programme de. la'

journée.

Voici 'l'ordre des rencontres

• -A -15 h. 30,– Racing Club de France (Eteheyaster et Duhau) -contre R. B. B. (Larripe .et l'gàrlua) pala (Champaonnat). A 16 n.30. Partie d'entraînement, en vue de la demi-finale du Championnat de France du î) août.

NA "17 :h. 45. –Finale du' Ch-ïtmpignnat de; Paris à mains nues (deuxième sériëj ']$8-

eingïGMfb cthlre Bskuaïduna;

Les Championnats de France

Le dimanche 9. août, le Paris Pelote Basque,, champion 'de Paris à chistera, rencontrera en demi-finale du Championnat de France, ]a Section Paloise. champion du Comité Béàrn-Landes-Bigorre.

Eh lever de rideau. le R'acing Club de France, champion de Paris, à. mains nues (première série) jouera contre ]e champion de la Côte d'Argent, en quart de finale de Championnat de France.

Ses deux grands matches se dérouleront au Fronton de Paris et seront agrémentés d'un intermède de chants basques du plus prenant attrait.

AVIRON

Championnats de Paris à l'aviron. Voici les engagements pour les Championnats de Paris, qui seront disputés demain dimanche dans le bassin de Juvisy:

En. quatre outrigger avec barreur. -'Société Nautique de la Marne, Encouragement.. Cercle Nautique de France, Sooiété Nautique Soisson-

naiae..

Pair oar (2 sans barreur). Société Nautique de la Marrie,, Encouragement,

Skiff. ̃– Société Nautique de la Marne' (Charles)', -Jtowing Club' de Paris -(Lancelot), Encotiragement Detton) Eneouragelnent: (Rofeineau.) Deux de pointe avec barreur. Rowing Club dé 'Paris, Soqié.lé, Nautique "Soissonnaise, Basse bfiiïe1,' Sb'cicté"NttUtique de la Marne. ` -QufilQu.. sans.- ̃batyeur.. .Société ^Nautique de la Marne, .Encouragement •

Double scùtt- Encouragement (Stock), En.éouragement (Huet), Basse Seine (Raimbaux). Huit. Société Nautique de la Marne, Rowing Ctub de Paris, Encouragement, Société Nautique de la Haute Seine.

Périssoire. Société Nautique de la Marne (H. Moreau), Société d'Encouragement (Aileau). Entre ces championnats seront intercalées des courses d'honneur

Coupe Gland 'az (4 rameurs-débutants, yole). Club Nautique de Paris,. Société Nautique de l'Qise, Cercle Nautique de Franc'e, Rowing Club de Paris. Société Nautique de la -Marne. Ooïipé' Fleutiaux (voie 8 rameurs débutants). Cercle Nautique de France. Haute Seine. Skm â^bularM. Sport Nautique Cpmpiégnois, Société Nautique de la Basse Seine, Encouragement. Société Nautique de la Marne, Société Nautique de Lagny, Société Nautique de la IJaiite .Seine.

.$$[{̃ junior, Société. d'Encouragement" Rowing Club de Paris, Société Nautique de Lagny, Société Nautique de la Haute Seine. ~4 • Championnat, de France féminin (yole à 4 rameuses). ,Fémina Sport (champion ds Paris), Cercle Nautique de France (Académia). AUTOMOBILE

lia Cinquième Semaine des Plages. Le Meetjng des Plages se, poursuit devant un nombreux public. Le Grand Prix de La Bau.

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;le, réservé aux voitures de plus de 1.100 cmc, a vu la victoire de Béjot, Grieu et Pisart -pour les trois catégories engagées. Voici le classement de cette journée Voitures de course. 1. Béjot (Bugutti), 53' 55" 3/5 (moyenne: 111 kil. 262) 2. Guérin (La Perle), l'h'. 10' 41" '3/5.

Voiture sport. 1. Grieu (Bugatti), l'h: 9' 31 (moyenne 86 km. 310), 2. Cozette (Bignan), 1 h. 22' 58" 2/5.

̃ VoUurc de tourisme. ̃– 1. Pisart (ChenarrlWalcker), 1 h. 4' 26" (moyenne 93 km.. 120) •2, Bonasse (Bugatti), 1 h. 7' 38" 1/5 3. Fourre .(Bugatti), 1 h. 9' 4" 4 Trehu:(Chenara-Wa!i>ker), ï h. 19' 31" 5. Casïffie' (Renault), àTrêtô au î7" tour.par les commissaires.' 6- 'Laisrre, arrêté au 15' tour par les commissaires. ̃ Le Meeting de Boulogne. Du 26 au 30:août,se déi-oulera le classique, meeting de. -Boulogne, dont la Coupe Boillot et le Grand' Prix des Vo.îtûrettes constituent les plus intéressantes épreuves.

Le Grand Prix d'Italie. Cette épreuve, comptant pour le Championnat du Monde, aura lieu à l'autodrome de Monza le 5 sep-

tembre prochain.

A l'heure actuelle sont engagées 4 -Alfa-Romeo, 4 Delage, 2 Diatto. 2 Gnyoi, -1 Duesenberg.

LAWN-TENNIS

Le Tournoi de Trouville. Malgré le mauvais temps, le. Tournoi de Trouville est presque terminé. Voici les derniers résultats

Simple. 0. Barrelel- de Ricou bat Le Blant, -6-8, 6-0, 6-3 P. Barrelet de Ricou b. Perranet,

6-1, 6-2. •̃

Double. Barrelet de Ricou frères b. Tihy et Le Blant, 6-1, 2-6, 7-5.

Double mixte. Mme Reille et Lebréton li. Mme Marie et 'Marie, 6-3, 6-3 ;MHe H -ïi chez, et Galay b. Mme Reille et Lebréton, 6-1, 6-2 Mue Rosentbert et Le Blant b. Mlle L. IIuchez**et, Le Blarit, 3-8, 10-8, 7-5.

LES ARMES

L'équipe française victorieuse à Osteniie. Pour la 'troisième joiirnce du meeting, le public est venu plus nombi'eux-que. les jours précédents. ,-••

La Çoupe: Keyerjck a été, disputée, par les

tireurs de quatrc'aiations. I^es Français, furent les meilleurs tireurs et enlèveront le magnifique^ trophée, inquiètes seulement par les tireurs belges!

Voici les résultats-:

1 France, 15 victoires (Amson i, Cornic' 0, Tainturier 3, Cattiau 3, G'. Buchai'd 5) 2. Belgique, 8 victoires (Tom 3, Ochs, Branic cl reyy?ick 1, de Montigny 2} 3. Angleterre i Hollande. ^ATATIO]M

Le'Marathon Nautique. Douze engagés dans le Marathon. Nautique, qui sera disputé, ce soir, sur 40 kilomètres. Indépendam- ment des célèbres champions capables de séjourner longtemps dans l'eau et qui ont nom Georges Michel, Burgess, Bébé Lavogado, nous avons les deux Sénégalais Prera Nikolas et Diaye les néophytes Joseph Le Driant, Rouzier, Lemary, i^enou, et les hommés de vitesse tels' que Pouilley l'ancien champion de France, très en formé actuellement le célèbre champion d'Italie Sahner. gagnant de la Traversée de Paris en 1924:

Nous v verrons, en outre, la loùto- charmante miss Harrisson, qui compte bien se classer, et peut-être gagner cette épreuve, dure entre toutes..

AERONAUTIQUE

Le Meeting de Vauville. En présence du préfet maritime,^ du sous-préfet, et des;ma-

ïtifc'^rfHtés de'eherbôurg et .de-auMilk:v<ii

éié ôUvBFte^^ hier matin,, la ioui:néç.,U'.Hi1aj}guration du meeting international aérien, de Vauville.

Profitant d'un vent favorable, deux appareils ont pris l'air pour tenter les épreuves de vitesse, do durée et 'de hauteui". C'est ainsi que l'appareil piloté par le commandant belge Massaux s'est attribué l'épreuve de vitesse, et l'appareil de l'aviateur Auger celle de hauteur. ̃ D'autre part,'le pilote Vàu O.pstal a pris son vol pour l'épreuve éliminatoire dtrs avionnettes. à bord de l'appareil que devait piloter le lieutenant Simonel. victime récemment d'un accident mortel. Les Belges ont accompli de gros efforls pour se présenter au meeting dans les meilleurs conditions possibles.' Ils remporteront certainement de beaux succès.

Pour les résultats sportifs des a lotion s touristiques, thermales et balnéaires, voir notre rubrique La Saison, en deuxiè-

me page.

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LE N° D'AOUT est paru

LES MODES D'ENFANTS

LES CHAPEAUX ÉLÉGANTS

LES ROBES NOUVELLES

LE DÉCO R

DE LA VIE MODERNE

et la PARURE FÉMININE

A L'EXPOSITION DES

ARTS DÉCBftATIFS

PAR HENRY 61D0U

PRIX 4 FRANCS

I/aumônerie militaire au Maroc Nous avons ici même plusieurs fois parlé de l'iinportantu question de l'aumôncrie militaire au Maroc, qui préoccupe tant de familles chrétiennes. A une question écrite que Oui avait posée à ce sujet M. l'abbé Bergcy, député de la Gironde, le ministre de la guerre vient de rér.ondre en faisant connaître que Je cadre de l'aumônerie au Maroc comprend actuellement 10 aumôniers catholiques, 2 aumôniers protestants, et que ces aumôniers sont recrutés suivant les dispositions du décret du 5 mai 1913. « Pratiquement, les aumôniers qui sont en service aujourd'hui au Maroc ont déjà servi sur d'autres théâtres d'opérations extérieures, ou sont' des religieux Franciscains en résidence dans ce pays. Tous les aumôniers militaires en fonctions au Maroc sont Français. »

Des renseignements complémentaires qui sont en outre parvenus à M. l'abbé Bergey, il/résulte « que les hôpitaux qui recueillent nos blessés sont desservis par des aumôniers prévus dans l'organisation générale' », •et « que nos aumôniers du Maroc accomplissent admirablement leur devoir et sont d'un grand secours moral pour les pauvres enfants qui' se battent dans le triste et redoutable bled ». De plus, le député de la Gironde souhaite que « nos soldats israélites et musulmans n'aient pas été oubliés, bien que leurs aumôniers ne soient pas signalés dans la, réponse ministérielle ». Devant l'identité des souffrances et des héroïsmes, écrit M. l'abbé Bergey, nous enveloppons tous nos soldats, quelle que soit leur doctrine philo- sophique ou religieuse, dans la même dou-; loureuse et reconnaissante tendresse, et pour, tous, sans distinction nous voudrions le maximum des satisfactions, des sécurités matérielles et morales. Enfin, M. l'abbé Bergey ajoute que les troupes malgaches caithôliques en grosse majorité désirent ardemment un aumônier initié à leur langage. Elles ont offert de se cotiser pour assurer la subsistance d'un aumônier volontaire. Les règlements s'y opposent, mais on espère que satisfaction sera donnée sans tarder à cette juste revendication. Paul Lesourd.

NOUVELLES RELIGIEUSES o– Le cardinal Tacci, légat du Pape, ^ui vient présider le triduum eu l'honneur 'de sainte Marié-Madeleine Postelv à SaintSauveur-le-Vicomte, arrivera à Coutances lundi 3 août, et en partira dans la' fin. de l'après-midi pour l'abbaye de Saint-Sauyeur-le-Vicomte.

o A l'occasion de la canonisation de la Mère Barat, le R. P. Dom Castel publie une étude sur la nouvelle sainte dans le Bulletin bénédictin de saint Martin et saitit Benoit.

LE CATHOLICISME A L'ETRANGER EN BELGIQUE

Prochainement s'ouvrira à Pepinster un centre religieux pour les Orientaux, dont le plan général a été donné par S. S. Pie XI. Cet institut, où tout sera oriental (rite, langue, us et coutumes), sera dirigé par Dom Lambert Beauduin et aura pour but de travailler à, faire rentrer dans le giron de l'Eglise catholique les Eglises séparées. On sait que c'est là une des grandes préoccupations du Pape actuel. « Les moinos formés dans ces murs pour se vouer à l'apostolat près de nos frères séparés sa feront Grecs avec les Grecs, Slaves avec lee- Slaves. La. première tâche sera d'amener l'Orient et l'Occident à se mieux connaître. Les Latins devront prendre connaissance de la liturgie byzantine, de son histoire ecclésiastique et religieuse. On a décidé la construction d'une annexe spacieuse qui s'ouvrira à l'hospitalisation des orthodoxes qui y viendraient simplement comme hôtes, ou pour étudier à leur tour l'occident.»

LE CATHOLICISME FRANÇAIS

A L'ÉTRANGER

Deux évêques missionnaires décorés Dans la dernière promotion de la Légion d'honneur, au titre du ministère des affairée étrangères, nous relevons les noms de deux évêques" français missionnaires S. G. Mgr Con.an. archevêque de Port-au-Prince depuis 1903, originaire du diocèse de Vannes et qui compte déjà, quarante-quatre années d'apostolat et de dévouement. Puis S. G. Mgr Mutel, évoque titulaire de Moprustc, vicaire apostolique de Séoul (Corée), qui « travaille depuis trente-cinq ans en Extrême-Orient avec une énergie inlassable il l'expansion 'de l'influence françai-

se- »

BOURSE 13 XJ 31 JTJIJLjLET 1925

R,ïWU Gieture Derniir r r%r\mnra'rm mt> Clôtura Dernier />amdt«ut cl4tur9 O»rni«p Rev«mi rniMDTàlUT I Clôture j Dernier Revenu rOMPTANT j CISture re Dernier Beuenu MARP.HF FN RANflllF Cl^"[lâ t)9l'nisi' MARHHÉS ÉTRfiNRER^ C'?'"C3 D*"niir

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267 28 de Franc ,250 FONDS D'ÉTATS 49 Portug81 3% 1" 105.. Po" 50 Ba~nquo p~:vée n~neuffi 249 247 272 72Charbonnag'es du Tonkin. 8203..8151 lM'" 3 S.'l. 127 19 65~ 80 29 3 l'o Français 10 Il Il -1 JJ2

45 ~d.-C~d.t:625:625: 5\ 0' ",1 ,67.. '12 50: B. p~:vée n;cum: ¡ 249 "1 247 110'tDomb~owa (HoùillèrÓs). parts ,1 1622 ,,11613.. ""1 e~que ,nte,:eur ~1 19 85! 20 3~~ Français. JO 1/2 11 112

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~2 50 Transatlantique. 270..1272., 3J'2%Amortissable. 8550! 0 1898.1 35, ':1 .3350 31 >O¡Sociéfé Marseillaise (t p,?,¡ 4'38 ..1440 79,54¡Haute-Loire (Houillères dela)'11375 ..1" kou (Naphte de) 2120 "(190.. 4~~ 1!l7. 121/21121/2

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45.. d81'Union Parisle,nne. 874 "1 873 5% 1915'1916"1 50 49 8' 60 5890 Russie 4% 1867'18,6.9,192).1 ..975 175 ..¡'BanqUe del'¡ndO_C,hine'3550 ,362.0 j;?-j~ ~5o! 4~o 1918.13 3/813 1/4.

65 Compagnie Algérienne France. 1064 .1025 4% 1917.¡ 5060: 48 75 S8nt8.F. 5% 1910.1165 .1200" 6.. Pays Europe Cent:or.d'I ~55 .Seint-Etienne(Houillères de)"jI35 ..1 !4O. 6P. !Chart ins red 'êS;;F-d' 234 234 50 Conso/idés,56 1i8'156 45 1/2

60 Foncier de France. .1 932..1,,936:: 4% 1918"1 49 801 48 ~95 Serb igo3 1,p13" '5050i ,53.. 7 Indu,st'del'A,fr'duNOrd'¡, 255,' 50 5? .Aniche (Mines d'). 1145 '1'1149.. 6'P:¡Ch~~i;0d'.c.c"r,e.1136 5°,: !44 Ar~entinl8,8 6"¡'9? ,!2'99,112

^c-itS^|i|I^!i§^ 7485,. |Siï& ^^323:: h» z K^£S.S:?r.S8?;ÎS:: |&a=: | | .ô-g^i^ T5^?^i l?l 50^v;g: |; | 45112 &1 Lyonnais !5|9 1333 ̃• Bons du Trésor 6% 1922 *0 476 50 Turquie Consolidées 1890 ?2 "̃•̃" 7?'"o~ des Pays du Nord ri C»rmau< nou» 125.. 1200 ̃̃Co£mbjaP | 355 j 369 Ch.ne 4 1/2 j .7 .2 77 AU

50 Mobilier Français 48! | 480 ̃ • févr. 1923 W •• 496 25 Douanes 19O2. 145 -• Î34 -• 75 Crédit Algérien. ,,830 .̃ 30, ̃ Cflcvln n0uv 'sÔs 'Io5 •• -iConcordi. 246 -j 249 l^Pt.» ^n,f,«.̃ 82 82 .1

27 .50 Société Général 777 ..) 781 sept. 1923. 48, 50 486 25 Tribut d'Egypte ,m"'Y^ li Fone.ar Argant.n. !59 157 •• 40 Dourges 805.. 805 ̃• .c u 50 24 Extérieure .W ..64

32 50 MobIlier, Franca,s. 5 o/O 1924. 432 442 Priorité Tombée 148.. 146 •• 45 du Brésil 641.. 644- 45 Graissessac 441 • ̃ -W • • g • iCrownMnss 291 299 • ̃ i J> H \i .2 «7t8<5u« 11075.. Il 1260.. Tabacs du Portugal ••••• 50.. Colonial 637 610 ̃̃ 38 Grand'Combes S8 -/65 20 A.!b. Beersôrdinalr. 1291 -.1 299 JaP°" "899. 60 2 60 ,2 S.«SS=.«;r«: -̃-•̃j;ro-c-^?;- | ̃ ;uruSUayor,9os «-^ssïïœr 56o:: 56o:: |é^n^ia>f: »:: ,>è£^BEB=^^ 114127. li4,

47 Est. ,652 Afrique Oceid. Fr8nC.3%59.. 259 05LIGATIONS 22 50 Maries. 49? 4?1 6 .h, 8: 'G:n, 353 36~ 1909. ,4 :2 {112

S:«:«:^ 7™N5 m |677 *ctk«..dusses l50^ ,§ :| ^^8-fd;coos;^ea:| fil êo! ?lg t^^°9:x: .è4^

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75::&020:: 060: 248:: 3 4 9 343 27..c~d. l m..J -'1~ 575 ..1580. "!H~rt~n,a..e.1230 237 ..0

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60 Distr. Parisienne d'Électricité. 943 938 Maroc s?4 1914. 347 335 a. 996 2% remb. à 500' 201 200 '45 0-le'8na J'ou',s 449 4"0.Mokta.el.Hadib,act, de 500 fr. 5745 ~5770 "lM 1 "05 "'3'10" De Beers !II,114,II,318,

70 i -Electricité,(C" Générale d') 943 938 'runis 30/o 1892~ 347 33" '1899 2'~ Mét. r. à 500e. 201 '70" 33 Ouest, jouis 220 ¡ l' a acca ord ~û 5310 2. 3 .3,'8.

60.. Distr.P8risienned' lactrlc,te.' 509 5Ó'" 1918"j > w ,19982% remb. à 500;1 1 "1- v.. 24..1 Ouast jouis. 220., 217" 1 "'Malt off 3 ,3:8.

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BÔ"*S te*" oblig.6%1924 385.. 382 ̃• 1921 r. è 500' 395 26 71 câbles Télégraphiques 418.. 420 ̃̃ 45 Sahns du M,d -801 -835 30 ..[padarigXCaoutohouOs), u • 750 ..I 769 *?'*?" i?('5 8;?V5',8

55 Sënarroy. 107ft 1068 • ̃ Corn. 1879 26O% r.5O0. 414 418 •• 24 .Electhcité et Gaz du Nord. 350- 353 ~T: |pekin Syndicale (Shans'i) 64 • .| 64 25 f.teel Common ,!« U va"

20 pf.». f10 •̃ 807 •̃ Départem' du Nord 6?^ 1921.. 388 W | Fonc. 1879 3% r. à SOO 425 ̃• 427 ̃• 50 électricité de Paris 1284.. 1253 •̃ 200 ..Port du Rosario 5750 ,5.780 _̃• 25 • ̃ JRhosphates de Constantine. 425 439 ̃ • "arOOn •-i' 'q'? L^f

55"Penarroya.107().I068. 60/o 01 388 'Com,1879260~r,500,414"1418.. 24.ElectrocitéetGsz'duNord"350,1353.. l, 'PekinSndicate(Shan~i). 64,' 6425SteeICommon.112~'f.II22,'i"

40 nabVo^a (Pétroles) -̃. -500 520 •• Ville d'Albert 6%. 379 379 •• «! Com. 1880 3% r.. SOO -«2 ̃ 443 35 ..i Forces Motrices du Rhône 810 -̃ 836 •̃ ̃̃ ..jCharg.urs Reunis (parte) -643 -640 3 J,. Rand?ontein .93 ..| .95 50 ^alaçca |58;9. • 60,

ÎFinar^-e des Pétroles 285.. 290 ̃• de Reims 6%. •• • • | Fonc.1883 3% >à 5OO 204.. 205 ̃̃ 45 ^Télégraphie sans Fil 779.. -786 •̃ 35 .Havra,se p.nin.ula.r. (B) 373 3/ 1 6 gh. lRand Mines 3g Kuala 67/6 -66/3/.

I. Pétroles Premier 205.. 209 •• de Verdun 6% 383 £ Fonc. 1885 260% r.SOO; 212 210 50 Téléphones 794. -795 •̃ 45 • ^Transports en Commun 531 .rt4 ̃ ̃ jh .6;Robinson Deep A 120 50M2I |»=f"Pt» "°ra banque. 4 -5 ]64 -1 4-

30 lP" 45~7 452 Asturienne des Mines ..465 y. Com. ,891 3% r i 4O0 187 ̃• 187 50 W 38 Transport. Maritimes.. ̃• 800 •̃ 40 I. !Romano Belge de Pétrole .73 50! .74 • • £!"DU tâAk.m'Uk

30 rtCulmann 452 • • 452 •̃ Ateliers Construct. Jeumont.. 390 404 • ,892 260^ r. 500'. 220 21950 50 15 .joVndnt •' ,27.1. 275 ̃ • 35 .,¡Havra,se pen,nsulalre 6 ÎRussian Oil. 46 251 45 • ̃ I P,ar's (change). 102 175102325 36 r";rB 1.936 .946 ̃̃ c'" d'Energie Electrique 400 ̃• 400 Fonc. 1895 28O% r. 500< 224 234 ̃̃ 16 25 (part) • i 920 -970 ̃̃ ™ .-iBénédictine 32950- 32995; ̃ ;gu8s • nf aise £\ ">, $ S/New-York, 4 8578j,4 8572

40 Produits Froges. 364e Com. 1899 26o5l~~r. 5 001 212 210 elo .970 400 Steaua française. J S, New-York 8 72

40: produis inim^Alais.Froges.S. 950.948- -Eglises dévastées. 358 364 • • Jj Som. 1899 26O%.r. 500< 212 ̃- 210 50 70 Métaux <C» Française)* X 1306 1315 400 (Distillerie Cusen.er. 3350 3345 •- 30 ITabacs ^Orient et d'Outremer. 323 'J 337 *'°. •.•- ̃" '*£$?̃£!£̃

̃̃ Gharseurs Réunis 390 388 •̃ Grosse Métallurgie 6% 354 50 36O ̃ • « Fonc. 19O3 3% /• à 500- j 225 230 22 50!Cuivre et.Pyrïtes .>• 360. 359 50 ."2° •• |D,stiHar.a. de I Indo-Chme. 3280 .32o0 =• |Tanganyika.M 279' • 283 Valpara.so.. 4020-4030

Maritimes ord 390 388 G M, nouvelles 354 501 360 W 50~ 225 230'" et.Pyr-ites., ~360 359 '20' Distilleries de 1.\ d Ch' <280 "32'0 ..i a acs rien e u remer,

Messageries Maritimes ord. 12I..M19-- 6% nouvelles 345.- 35! • ̃ O Com. ,9O6 3% r. à 500;. 220 ̃ 226 50 Dynamite (S" Cant-aW J 1402 •̃ -f» • • Grand-Hota I. ̃ --• ..2030 4 sh. Tha»s[sy. I JfJ Buenos A.res 43 31 45 31

9 Trahsltlantique ord ». 128..[ Î28 •̃ Cail, Fives-Lille 6% •• 379 394 -g J Fonc. 19O9 3% r. a 260 ,| 128 128 40 ..Vichy (Etabl. thermal).. '?- ̃ 1185 H91 ̃• .Grands.MoMl,ns de .Çorba.l ord. r 1.175, 166 ̃ sh. 9 |TranSÏ,aal Consolidated Land.. 471 '-47! A'Sant (métal) (comptant) i\ 7 8 32

50 VoiturVs à Paris .685 694 •̃ Nord. Pas-de-Calais 1922. 382 50 g I Com. 1912 3% r. à 2SO 123 120 50 35 Edison. >A-,i 8!5- .-J :v.: .r f "jSucrer.e. aryennes, 671 670,- :Tubos et F. de Sosnowice d 217 200 Cu.vra (comptsnt) 617/1662316

50 \foiturn è Peris. ,685: 694 Industrie Pas-de-C818;s Française.. 1 382 5Ou. k- Com. 1912 è 250: 123 1 120 50 35.. Edison. .;815' "J 6.0 1 Sucreries' Br>ésiHenf1,:s, ..671 670,; ~Tubes et ~~s~~s~o:'ic. 217 ::{'200 Çui~re'or;ipti)nt) :,61,7116;01,3,'16,

w voituresa lnaustrie Sucriere Française.393 365 •- f Fonc.1913 3\f2% r. SOO 227 227 •- 93 32! Fore" Motric"du Rh^afparts). 4500 /.U500 44 <» Sucrenes Colon.ales.. J 427 424 ̃ • 35 b. T^iza>priv .566 581 WCVA, V»D1^

22 Air Industr~e Sucr,èr,e França'se. "j 365"" t- ~9)34.%r.t500. 227 1.227 '45.H.vra.s.d'En.r9.<'<r630.626'r .Sucrerles,; COlon,a'?,s; 4F. 424 4 b.:Tui;>ize, priv. 566'1 58'1~ ".i "j

22 Air liquide ..<419 ..( 428 •̃ industriels Alsacien* 1922. 360 369' t ,9,3 4% r. i SOO;. 325 • •] 326 ̃•* 45 ̃̃ |Havraise d'Energ-ie.eiefe<»ue.| 630 ..f'626- -î^.i. £ •-W- j 4 »h. 6!union Corporation 232 235 NEW-YORK, 31 julll t

40, Caoutchou 1190 u. Niaison Bréguet .v .626~ nlon orp ra n. NIE (. r"'

4& caoutchoucs Indo-China. 1190 ..11205 -̃ Maison Bréguet 6% .•••̃̃ :•̃•̃• O Empr. ,917 51 2r.à30O 192 192 •̃ 125 jindo-Chlnois. d'Electricité. 3790 13795 • r ™ •̃|C.ments Français. 4055 ..|4I5O. 4 D.lutah Copper 2078 ,2123

Oroadî-Back 97 '• • i -96 ̃ Mines de Lens 6% 1322. 429 430 sr. ^i Com. 192O 5 i|2r;àSOO 309 |09 • ̃ 42 501 Pyrénéenne d'Eneraie Eleotp.674 -1 680 ̃̃ 40 du Boulonna,. | 588 ..594 .•̃, .Verminok 155 501 56 Ca,l Money, cm ..• ̃: 4'- 4

25 Païhé Cinéma (Jouis.) 340 338 • ̃ Saint-Gobain, Chaunv. 490.- g Empr. ,92, 6i)2 r.àSOO1, 372 375 15 ..JRadio-Electrique. 185 185 • "9 • de I Indo-Chme, 2500 U515 <™ 156 Câbles transfers 4 8550 4 8568 IL Rafr-ineriesS, Sucreries Say.. 1908 ..11878 •• Usines sinistrées 6 1/2% ̃̃• ̃ 400 Com- 1922 6 t.p 329 .335 25 Radio-France. i.< ̃̃ • d™ <*™»°" HR7 COMPTANT Change sur Paris, vue. |475;2474-;2 70 I Union Européenn. 1 185 ..] 170 ̃̃ Algérie 3% 19O2 260--252-- Est 6% • j' 22 Radio-Maritime 226 232 68 44, Bon Marche ..88/ -630 | COMPTANT U. S. Liberty 3 1/2% 10023/2 10023 '2 W lUn -16 1 17 20 6% 1921 385 385 t 6% 311 • ̃ 315 17 50:Uni9n d'Electricité. j 338 -339 -̃ |. • 64 Brosse (La) 806 Atcbison Topeka 120. ̃ .1120 •

Russe Consolidé 1" & 2* sir 1905 214. &i "i' 257 150 .Ai jenne lndustrieile'*rexti*l.2220 7.(: i~ ¡ ""<o-r'- ros~e a "1" .,¡ Atcbison ope a.120.1120

A,.««. Consolider cl 2! séries J 16 90 17 20 Indo-Chine 1899-19O5 214 208 ̃• 4% i' 257 •• 150 Alsacienne Induatrialla'textile. ;2220 .̃••.̃ •̃ » .Afrique Occidentale- (C"5 i2325 ..|fç60 ̃̃ 17 50 Omnium-Pétrole. | 410 ..1 418 Baltimoreet Ohio. -76 :T87î 5'4

•̃*UJÎ3%]s9 11894.1.?" 260 2 60 n/ 19°2 129" '«> ̃ ̃ 3% ancienne 270.. 275 •• 90 Acétylène a Electro-I^al. J3080 ..3095 ̃̃• «00 • Agane. Havas.̃̃• 1351 ..1345 ̃• 230 fl- Royal Dutch 133500.. ;337O0.. Canadian Pacific 142 • 14! 74

I%ia96 975 0 50 Tunis 3% 19O2-19O7 222.. 229 •̃ 21/2 ̃̃••• 15 Aciéries S. Forges de Firminy. 265' ..f 269- P 02;Air/Liquide.(paHs). .850 -900 • ̃ 4 »h. 6- .Shell 479 ..485 Chesepeeke & Ohio 93 94

3% 1~96 .975 1050 Tunis 3 01 0 229.. 21h2 15 15 Aciéries & Forges Firminy. 265'1169' ;<.30ZiAir:Liquicjo,(ports)"1.850 ..¡,9oo 4 4,h. 6'¡Shell" 479.485:: Ch?s~peake & Qh,i¿:¡ ,93 94.

"̃ 31/2% 1894 1020 130 35 Allernagne 1924 (Dawes) LOOI- --98 98 -99 Lvon 3% 1855.. v/. •• ̃•̃̃. -••̃ d. France 270 271 50 'JBargougnan .640 ..] 639 ̃ 100 1. Staaua Romana 339 347 Chicago Milwaukèe C '.S 1"2 -8'i 8 5%19O6 "̃ 1860 19 35 Allemagne 1924(Daw..)1OOI. --98 98 -99 15 6% Bons déo.r. a SOO' 452 452 •• 30.. de Michevill. 590.. 590 200 ..jChapal (Etablissements) 4001 ..J405Q •̃ 600.Monaco 6975 ..J6955 Chicago Rock Island. 46. 453/4 2l/2%19O9 12-. 12 85 Angleterre 21/2% 235 55 238 •̃ -6% 310.. 310 de Sambre-et.Meuse. 1001 1015 .70 'Cirage. France,. 1050 ̃̃ 1050 ̃̃ Ene Railroad 28- 281/8 '̃i'O/0 Serbie 4% amortissable 1895. 70 ̃̃ 69 25 Argentin S% 19O7 s% '••" •• 270.. 270 ̃̃ .Arbel (Etablissements) 217 -220 -• V SOjContmenta le Compteurs è Gaz 245 -245 • lllmo,. Central 114- 114- T^re Unifié. 6265 40 63 90 95 5% 19O9 1823..1845-- -4% 239.. 239-- 25 Atel. 4V Chantiers de la Loire.. 513 -529 •- 70 Didot-Bottm 1445 ..1450 •• CHANOES New- York Central 116 1/2 116 3/8 i "•• 5% 1914 3440 34 95 Autriche 4% •••• 36 50 3% Fu.ion ano 22150 220-- 60.. Const. Nord de la France. 710.. 10 ..|Le Figaro. ISI"™" CHANGES Pensylvania ..46 3,8 45 3.8 Banque de Londres et Mexico.. 220.. 221 ̃ Belgique 1873 47 60 -21/2 205.. 204:- Chant. & Atel. de la Gironde .82.. 52 50 Gaveau & C" 580 589 ̃ Londra 102 21 102 44 Roading 85 •84 5/8 B._nqued.Londn»jtM«»^^ ^u. 558 • irtaH 4% 1889 ̃̃̃- Midi Bons décennaux 6% 485. 30.. de St-Nazaire.. j 627 627.̃ Haour (Etablissements) 152 ..152 •• New-York 2103 21 09 Southern Pacific. 98 1/2.98 1/2 lmpé'OttonV" 25O' P. 915.. 914 •̃ 5% Funding ••• 6%. 286 285 75 Châtillon-Commentry ;,ï: 1424 1426 -• 20U-Cha,x 4400 ..4345 •• Allemagne 500 Union Pacf.c. 140 l/8l|40 1/4 1/ 2

Espagn°'0Rio.de.|a-Plata. 14O..M39-- 19O9 (Parnambuco). 602 • • 602 -5% 258. 257 ̃̃ 45 Commentry-FourohambauJt- -8>5 .835 • --55.. Bec Auer. 930 ..930 •• Argentine -70 Anaconda Copper 411/8)411/4

C5pa8n Bulsaria 5% 1896 •̃̃ -4% 230 I 230 12 Decauville 190. 190- §0 Librairie Hachette 1204 1225 •̃ Belgique 97 •- 97 05 Ch.no Copper 22 I 2j 22 1/2

I I 4 Crédit Foncier Egyptien 3I20.J3I36-- 41/2%19O7 ̃• 207 ̃̃ Nord 6%. série F 323 •• 325 Dyle & Baçalan. priv.i '.75-. -75 •• J0.. Maroc CC Générale du) ̃̃ Danemark 500 75: 481 Ray Copper 14 1/8: 14 ̃/•

nÔ Congo aux Grandf Lacs 817 I 822 •• Chine 4% Or 1895 360 •- 5%. série E 300 300 & ord J 50 .)v1aro,c(.c' Génerale .dw,1, ..1 Espagne 304 87 305 Utah Copper 943.4951/4 L V^NHrate Railways 1081 1118 5% 19O2 45! •̃ 4%. série D 280.. 290 •• 40 Eleciro-Câble (ordinaires) 424 • 430 • ̃ .20 ..jTabacs (C" Générale des) 200 ..20.1 •̃ Finlande American Téléphone i3S 7.8138 38 80 blwagonsLUord' 2240 12265 •• 5% 19O3 418 50 420 3%,anoienne 493 497 ̃• 120 Fivas-Lille 1545 ..1599 200 .Tabacs au Maroc .'j2%5 ..|2965 • Oréce. American Car & F loi ̃ 10P Vl i

• | 1 r.nfrâl Minino 1 1535 11560 •̃ 41/2% 1908'. 1425 •̃ 1425 •• 2 1/2%. "série C 225 1.224. ̃̃ ..50. Forges & Ac" Huta-Bankowa 1034 >1O35 45 Un, on Commerc- lndo-Ch.no1-. 572 ..570 ̃• Hollinde 845; ̃•! 846 25 Briti&h American Tobacco^ 25 •/• 35 5/8

5û"sh IrÎo TÎnto Min, ing 14250 "i431O ̃• Egypte Unifiée. ?.. |-340 •• 344 ̃̃ 6%. 1921 tran. A 308 75: 305. 40 For- & Ac™ Marine 4 Homec 511 L0I9 10 Uand Bank Egypt 1425 .l405- Italie' .̃• 77-35J .77 30 Central Lèather i8 lU.T? 3 4

20 k'« Azote (Norvégienne) 4250 .4310 Egypte Un,lfl,e.34O.. 344.. 6%.1921 décennaux 308 75i 305, 30 Méditerranée Mart,e&Hor:>i "511 ~'250 LandEank .EgYPt.1425 ",1406 ltal,e' 77.35! .77 30 Central Leather"T,I':8 d41J7 3/4

aOk/laroté (No'rVéaiehne) 1360 "i 1360.- Privilégiée -293-. Orléans Bon. décennaux 6% 450 .̃ 454 30 ..j Méditerranée (For'" & Chant J. 420, 450- 250 Crédit foncer Franco-Canadien 6370 •̃'6400 Norvège 390 390 •. General Electric.290 294 3/8

iLautaro Nitra9tê I 604 670 Espagne extérieure. J 254 75 260 •̃ 6% I 255 295 20 Forge» Fonde'" Montal.fce, /B5..1432 28 p.50 Nord Espagne 1204 ..̃̃•̃̃• Pologne <1OO zloty) 383;50:389 Bathlshem Steel 42 1^2:41 5/6 8

"'LeNaohteCSociété Russe) 245 1 262 ̃ • HeHenique 1881. |« 260.. 5% j 260 .-290 •̃ 100 | Matériel de Ch. de fer (C'Wrb. 9& ̃ -( 938 22 p Sarasosse 1066 v.U. ̃̃ Portugal.. 106 50 U. S. Steel Comrton 118 -;2'H7 12

5s'h oHental Carpet I 386 389 • hÏh* 5% 191O 662 ̃ ̃ 660 • 4% 237 237 •• 00 Matériel de Ch. de fer 9 9L 38 35 f. b.(Rou,na (Algérie) 670 ..659.. Prague .62 40 62 50 Royal Dutch .5, S 2! 51 14 4~

Ll.4.0 Sucrer" et Raffinerie d'Egypte. 1190 1185 •• Italie 31/2% 58.. 56 50 1 24 50 Lorrain' Min" a. Métall. 350p. -Jnl •• i':i: £2.6.9.;Suc. R.f. d'Esypte (parts).3070' 3to0 ̃• Suéde 565 5o7 25 t, 4 5,Q

(25 Tabacs Ottomans 406 408 •̃ Japon 4% 19OS 347 25 347 75 Ouest 3 %ano 249 249 ̃̃ Mater, du Transport 00 100 ̃• 85 p.JTabacs des Philippines 3833 ..3875 ̃̃ Suisse 408 75 409 50 tlt ™ 1{2j 41' 2

Obl.Ch. Ottomans"1406 il .lapon 4% 1905'1347:5 34775 Oue.t3 %8nc. 249 ,249.. 5o '1 Matér, du Trafts"t. 1 100. 100 85 p,iT8bacs des Phil.ppines. ,3835 .3875 "Suisse. 408 7540950 Affaires 0 ae., 1.5 ,003:

\J, ,'lobl.Ch. dï ifîrRM.o4i/3.?. 10 55. U 20 -5% 1907 1 310 ̃ 312 50 2 1/2% •̃ -•: !88 -• 50 S.n.ll..Maubeug,V.84O ..i 835 56 p. 25lT.fc.es de. Philip, «part») 2650 Vienne Uoa shilling 295501. ̃• •• tltres

MARCHES COMMERCIAUX Métaux précieux. Paris, 31 juillet. Coùç3 d'achat a'u-kil. Or, 13.850 Argent, 465 Platine, 77.000. ̃̃̃• Métaux bruts. Londres, 30 juillet. ;Par tonne de 1.016 kil., en livres, shill. et pence. Cuivre, cpt. 61 8/9 à 3 mois 62 8/9 édectro, 66 à 66 5/ Etain, cpt. 259 17/6 à 3 -mois, 262 12/ti Plomb cpt 36 10/ éloigné 35 2/6 anglais, 37 5/ Zinc, cpt. 35 5/ éloigné, 34-17/6." Blés. Paris, 31 juillet. Base de liquid. '133 75 disp. 133 75, plus-value 4P août 128 50 à 128 75 P sepl.-oot. 125 25 P 4 dens 125 -75 à 126 P •

New-York, 30 juillet. Blés roux d'hiver,, durs, disp. 168 cents par busnel. `

Chicago, 30 juillet. En cents par bushel. Cour. 15"7 1/2 oept. 150 4/2 déc. 152. Avoines. ̃ Paris, 31 juillet. Noires.- -Cour/ 116 25 A -août -1.03, 102' 75, 102 50 p .sept.'ôct.' 93 '50' A 4 dern. 95 P Diverses Cour. 10Ï N"àôût ,92-N •; sepfcoct. 96 N 4 dera.' 90 n; ̃̃̃-• '• ̃>̃ ..̃-̃ .̃̃.̃̃'•̃ Chicago, 30 juillet. En cents par bL' Coût. 42 1/8 sept. 42 1/i déc. 45. ;̃; Seigles. Paris, 31 juillet. –Cour. 98 N:; août 99 N sept.-oct. 99 N 4 dern. 99 N. 1 Farines. Paris, 31 juillet. Cour. 170 A août 162. A se*pt.-oct. 157 N 4 dern. 157 N. Farines de consommation, 179.

Sucres. Paris, 31 juillet.' Cour. 221 août 219 50 sept. 218 3 d'oct. 205 50 3 de nov. 2Oi. Cote officielle 221 50 à 223. ̃New-York, 30 juillet. –'En cents par 100 lb, sept. 257 déc. 272 janv. '275 mars 279-; mai 288. •̃̃

Cafés. Le Havre, 31 juillet. 50 kil,CouE. 522 50 août 507 50 sept. 483 50 oct; 483 nov. 470 déc, 449 25 janv. 436 50 févr. 434' 75 mars 423 50 avril 419 50 mai 409 50-ju.in incoté. Ventes 1.000 sacs. New-York. 30 juillet. En cents par lh. Disp. 20 1/4 sept. 17 99 oct. 17 15 déc. 15 95 janv. 15 30 mars 14 85 mai 13 12.

Cotons. Le '.Havre, 31 juillet. 50 kil. Cour. 673 août 667 sept. 667 • oet.-déc. 663 janv. 664 .févr.-mars 666 avril 667 mai-juin 668. Ventes 2.150 balles,

New-York, 30 juillet. En cents par lb. Disp. 24 90 août 2i 10 sept. 24 25 oct.. 24 40 à 2'c 42 • déc. 24 45 à 24 48 janv. 23 90 -à à 23 92 fév. 24 15 mars 24 22 à 24 23 mai 24 45.

Laines. Le Havre, 31 J juillet.. 100, kil. Cour. 1.450 août-oct. 1.450 nov.-janv. 1.430. Autres mois incotés. Huiles de lin. Paris, ,3t. juillet. Cour. 465' N' 4 4 derniers, 450 N 4 premiers 435 A. Huiles de colza. Paris, 31 juillet: COUF; 505 N. 4 dern. 475 N 4 premiers 475 N.

A NOS ABONNES

Au moment des déplacements, nous prions nos abonnés de, bien vouloir joindre à leur demande de. changement d'adresse la somme de un franc et la dernière bande de leùr journal, pour éviter toute erreur et tout retard

CHEMINS DE FER DE L'EST Train de vacances pour la région des Vosges, dé Belfort et de la Haute-S.aône

La Compagnie des Chemins de fer de l'Est mettra en marche dans al nuit du 8 au 9 août 1925, un train spécial de 3e classe de Pans à Epinal et à Belfort.

Les billets seront délivrés à la; gare de. PansEst à destination des gares situées au delà de Port d'Atelier-Amance.

Les tprix dus billets comoorteront une réduction de 30 pour 100 sur les prix doublés des billets simples ordinaires.

Les voyageurs devront être rentrés à Paris au plus tard le a novembre 1925.

A l'aller, le parcours de Paris à Port d'Atelier\niance devra être obligatoirement effectué dans le train spécial les voyageurs à destination des gares au delà de Port-d'A.telier-Amanoe non desservies par le train spécial, pourront achever leur trajet par les trains du service ordinaire accessibles aux voyageurs'de 3°, classe. Au retour, les voyageurs seront admis dans tous les trains comportant des voitures de 3" classe, aux mêmes conditions que les voyageurs munis de billets ordinaires.

Pour tous autres renseignements, consulter les bulletins remis gratuitement sur demande adressée à la gare de Paris-Est.

Chemin de fer de Paris à Orléans NOUVELLES FACILITES

pour les voyages aux Pyrénées

En vue de faciliter les voyages d'excursion dans les Pyrénées au moyen des services d'autocars de la « Route des Pyrénées » organisés par la Compagnie du Midi, il sera délivré au départ de toutes les gares des réseaux d'Orléans et du Midi, pendant la ipédiode du 5 juillet a 25 septembre 1925, des billets de l'« et de 2e classé à prix réduits pour rejoindre les principaux points du trajet de la route des Pyrénées et rentrer au point de départ. La délivrance de ces billets est

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PROGRAMME

12 h. 30 RADIO-PARIS (1.750 m.): Concert. 15 h. Cardiff (353 m.): Concert militaire, et à 17 h. 30: Emission pour enfants.

15 h. 15 Manchester (378 m:) Concert relayé du jardin municipal:de South f or d, et à 17 h. Causerie féminine, et émission pour enfants.

15 h. 45 Birmingham (479 m.): Musique de-danse, et à 17 h. 15: Emission pour enfants.

15 h. 45 Bournemouth (386 m.) Causerie, orchestre, et à 17 h. 15: Pour enfants. 16 h. Londres (365 m.): Chant et causerie, et. à 18 h. Emission pour enfants.

16 h. Belfast (439 m.): Musique, et à 17 h. 30: Emission pour enfants. 16 h. 30 Francfort-sur-Mein (470 m.) Y Concert par l'orchestre de la Radio, et à 18 h. Causerie. 16 h. 30 Stuttgart (443 m.): Emission pour enfants, et à 19 h.: Conférence.

16 b 45 RADIO-PARIS (1.750 m;): Provisoire^ meht suspendu.

17 H. Zurich: Concert par l'orchestre dé l'Hôtel" Saur au Lac. 17 h. Rome (425 m.): Lectures pour enfants, et à,, 17 h. 40: îazz-tand. • C 18 h. à 20 h.: Daventry (1.600 m.): Programme de Londres.

18 h. 15 TOUR EIFFEL (2.650 m.): Concert avec le concours de l'auteur-éditeur Suzanne 'Quentin, d'artistes des Concerts de Paris et d'un orchestre tzigane. Programme Musique ulaire.

19 h' Komarov |l.800 m.): Musique danse, nou-,

velles.

19 h. 15 Prague-Strasnice (555 m.): Fables pour enfants.

.19 h. 25 Londres (365 m.) -Musique, et à 21 h.: Humour et causerie.

20 h. Cardiff (386 m.): Orchestre et chant. 20 h. Birmingham (478 m.) Concert.

20 h. Radio-Toulouse (270 m.) Soirée de gala. 20 h. 15 Bruxelles (265 m.): Musique de chambre. 20 h. Francfort-surMein (470 m.): Soli de violon., et à 22 h. « Le Bandeau tombé », scène comique. 20 h. Stuttgart (443 m.): Musique de chambre. ̃20 h. 15 Zurich (650 m.): Festival de musique. 20 h. 15 RADIO-PARIS (1.750 m.): Communiqué auto, aéro et sports. A 20 h. 45: Radio-concert de gala.

20 h. 30 Radio-Lyon (288 m.): Orchestre Alfred Housset. 21 h. P.T.T. (450 m.): Concert: 1. a) Dame Blai. ne (Paul Pierné) b) Les masques (Paul Piemé) -c) Lès Elfes des bois (Paul Pierné), M. Alfred Galand, au piano: l'auteur; 2. Cavatine (Raff), violon: Mlle Reine Combes, au piano: Mme Obrétien-Ancel 3. a) Adam et Eve (Grenet-Dancourt) b) Coco (GrenetDancourt), monologues par M. Jacques Catti; 4. Obstination (Fontenailles); Parmi l'âme des fleurs (Mey» rel-Lebail), Mlle Yvonne Aguttes; 5. Le fabuliste Charles Albert Janot, dans ses œuvres 6. Noël d'a- 1 vril (Ed. Missa);; Sérénade en mer (I. Dùpratç) La chanson qui nous a bercé (Albert Feck), -M. Alfred Galand; 7. Les deux cousins (Moriss) Blackboulé au Conservatoire (jules Moy), monologues par {id. Jaces Catti; 8. Premier solo du concerto (Max BruchK Mlle Yvonne Aguttes Elégie (Massenet) Le Giti(Massenet), Mlle Yvonne Aguttes.. 21 h. Rome (425 m.): Concert, et à 23 h.: Jazï-'

band,

̃21 h. Barcelone (-325 m.)-: Récital de mandoline et-

chant. J

22 h. Londres (365 m.): Nouvelles générales et locales, transmis par toutes -les stations, et à 22 h. 15.& Orchestre du Savoy Hotel.

22 h. Daventry. (1.600 m.) Programme de Londres.

subordonnée à la présenation par le voyageur d'un coupon de parcours en autocar.

Réduction. a) Pour un parcours total aller et retour minimum de 400 km. (1) ou payant pour cette distance 25 pour 100 en 1">" classe., 20 pour 100 en 2e classe.

b) Pour un ,parcours total aller et retour minimum de 800 km. ou payant pour cette distance 30 pour 100 en lre classe, 25 pour 100 en 2e classe.

Validité. 30 jours, avec faculté de prolongation de deux fois 30 jours moyennant supplément.

Pour plus amples renseignements, consulter les gares et stations ou l'Agence des compagnies d'Orléans et du Midi, 16, boulevard des Capucines, et le Bureau de Renseignements, 126, bou- levard Raspail, à Paris.

(1) 300 km. pour les billets délivrés au départ des gares du Réseau du Midi.

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u|ifi|J|INo DE FER DE JU m A | EXCURSIONS i;

dans les Vallées de la Bièvre, de Chevreuse et aux Vaux-de-Cernay

par services d'autocars jusqu'au 11 octobre 1925 Dans le but de permettre aux touristes de faire d'agréables excursions dans une région pleine d'attraits, les Chemins de fer de l'Etat ont organise des services d'autocars au départ. de leur gare de Versailles-Rive Gauche. Ces services comprennent deux circuits quotidiens, l'un, dans la matinée, pour la visite de la Vallée de la Bièvre l'autre, dans l'après-midi, pour la visite de la. Vallée de Chevrruise.

Indépendamment de, ces. deux circuits quotidiens, un troisième circuit périodique permet, les s jeudis, dimanches et jours fériés, la visite de la Vallée de Chevrtuse et des Vaux-de-Cernay. Les billets sont délivrés aux Bureaux de Renseignements des gares de Paris-Saint-Lazarc, Paris-AIontparnasse et Paris-Invalides et à la gare de Versailles-Rivt Gauche.

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M. Marcel Arrault, à Saiiit-Jean-de-Luz Mme Paul Audy, à Laudonic Mlle M. M. Bernet, à Teulat Mme R. Buddensieg, à Dax Mme Borel, à La Baule M. Beaume, à Gérardmer M. 1 Antoine Blanc, à 'Manosque M. Henri Beau- grand, à Lyons-la-Forêt M. Etienne Burlet, à Roubaix M. Billard, à Teillet M. J. Bourdié, à Royat Mme la comtesse de Boigne, au château de Rqugemont M. Babillon, à l'Ermitage de Landémer M. Belleville, à Loctudy M. Burkhardt, à Saint-Jéan-de-Luz M. Charles Bertrand, à Càbourg Mme Lionel Çabany, à Saint-Sauveur-lesBains M. Jean Cor, à Bucey-les-Gy M. le marquis Costa de Beaurëgard, au' château de Beauregard M. le docteur Cazanove, à Armissan Mme M. Cristiani, à Choseyles-Dôle Mme Albert Chaudron, à Saittt-Amour-Bellevue Mme Georges Gain, à Bagnères-de-Luchon M. P. de Castellan, à Pours M. Paul Castaignet, à Pour1 ville-sur-Mer M. Duplan, à Héricy Mme Gabriel Denis, à Tessé-la-Madeleine M. Louis Delaquerrière, à Andernos Mme Gustave Deval, à Saint-Honoré-les-Bains Mme Jean Durand, à Asnières M. Delhay, à Néris Mme DuchateMet, à Vittel Mme Demonts, à Luchon Mme Jeanne Diot, au château de La Genneyraye Mme Léon Exupère, à Fonteny M. Alphonse d'Everlange, à Bagnères-de-Bigorre M. le marquis d'Evry, au château d'Evry M. S. fu Ez. Mestre, à Savignone M. Charles Freynet, à Etretat M. Fay, au château du Val-Garni Mme Paul Fèvre, au Gond-Pontouvre M. A. Ferry, à Tremezzo M. Robert Guilliet, aux Chesnez M. A. G'auvain, à Chalon M. de Georgis, à Nouzonville M; le docteur F. Gilis, à Royan Mme Pierre Girârdot, à Saint-Lunaire Mme Emile Girard. à Aix-les-Bains Mme Lydia Grumwald. à Fontainebleau M. HubidosGarreta, à La Tour-de-Carol Mme H. Herold, à Saint-Germain-en-Laye M. Hérelle, à Aubrac M. Edmond d'Haussy, à Lille M. lllier, à GranvilleV; M. E. Jenvrin, à Nantua Mme la générale baronne Joostens, à Deauville M. Jardin, à Trpuville-sur-Mer Mme Lucien Kahn, à Deauville Mme Achille Katz, à Cornbloux Mme Maurice KJéber, à Rives Mme Lyska Kostio de Warkoffska, à Biarritz M. Charles Le Gras, à Avignon Mme Louis Langlois, à Uriage-lesBains M. Maurice Lusigny, au château de Champ-Renard M. Louis, à Carolles M. H. Laurence, aux Trois-Epis; M.H.Lefort, à Marci]ly-sur-Seine Mme Landowski, à La Croix M. le baron G. Limnander de Nieuwenhove, à Bourron M. Pierre Leroy, à Arromanches M. de La Croix-Vauban, à Zonga M. Roger Le Saché, à Blonville-sur-Mer Mme Le Boul, au château de Mancqueville M. G. Maupoix, à Sainte-Menehould Mme Paul Michel-Lévy, à Vichy Mme Meyer, à Vaucresson Mme S. Marcy, à Houlgate Mme Marcelle Montclar, à Aix-les-Bains Mme la baronne Thénard. à Saumur; Mme Thomas, à Gouvieux Mme Thomas, à Savigné-l'Evêque M. André Trubert, à Dreux Mme Jean Trêves, à Brides-Ies-Bains Mlle de Vérez, à Bagnoles-de-rOrn& M. Louis Vréon, à Boissy-SaintLéger M. Georges Vaudpyer, à La Baule-surMer M. Valet, à Marseille M. André Vagliano, à Deauville Mme Léqn Wibaux, à Roubaix

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COMEDIE-FRANÇAISE. 8 h. 45. Le Baiser, le Gendre de M.* Poirier.

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