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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1925-07-27

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 27 juillet 1925

Description : 1925/07/27 (Numéro 208).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k294455h

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LA CONFÉRENCE DE MADRID -EST TERMINÉE

L'accord Franco-espagnol est conclu

Les Jeux pays ne signeront pas de paix séparée 1 •̃̃̃ •̃̃Il ̃ ̃

La conférence plénière franco-espagnole a tenu samedi, après-midi, sa dernière séance, de 6 heures à 7 h. 15. Au cours de cette réunion, le général Jordana, président de la conférence, a. remtercié les délégués de leur collaboration et a, adresse. le salut de d'Espagne au gouvernement français, puis des télé- grammes de salutations ont été envoyés à MM. Doumergue et Painlevé, ainsi qu'aux maréchaux Pétain et Lyautey. Une note officieuse a été ensuite remise à la presse par le général Jordana. Ce document déclare tout d'abord que le rôle principal appartient -maintenant ̃ au général Primo de Rivera et à ses collaborateurs qui auront à mettre en pratique, d-acçord ayee le haut comtoissaire ̃français, les conventions auxquelles les ideux gouvernements ont abouti.

Le voyage que le maréchal Pétain fera èeg jours-ci à Geuta et Melilla est, poursuit la note, le premier. des actes importants iqui montreront notre franche collaboration. Le gouvernement aurait désiré publier tous les accords intervenus, ïiiiais cela est impossible, du moins pour •le monrent, et jusqu'à ce que les deux gouvernements se soient entendus au sujet de ce qu'ils estimeront opportun de publier.

La première disposition prévoit la, collaboration effective des deux marines. Un accord complet a été étàbili pour surveiller la zone de Tanger sans heurter lé statut de neutralité de cette ville, mais de façon à l'empêcher de continuer à être le quartier général des rebelles. Les deux pays se sont engagés à ne pas conclure 'de paix séparée. D'ailleurs,, le fait d'avoir fixé les bases de la, paix ne. signifie pas, comma on l'a supposé, que la France et l'Espagne aient offert ou aient l'intention d'offrir la paix aux rebelles, car c'est à ces derniers d'en prendre l'initiative. Ces bases de paix, inspirées de l'esprit le plus large, tiennent compte de trois points essentiels à l'égard des traités, internationaux ,• elles téniâént a assurer une paix solide et durable et à ménager la dignité de la France et dfe l'Espagne.

Pour 'donner aux opérations toute leur efficacité, les droits de poursuite et de survol ont été reconnus réciproquement, à l'exclusion, bien entendu, de toute idée de possession.

La note, qui se termine par un chaleureux éloge des délégués, ajoute enfin les précisions suivantes

En ce qui concerne-la collaboration, elle sera, s'il y a lieu, très étroite quant à .la coordination des efforts, maïs Il est bien entendu" que nos obligations ne dépasseront pas les limites fixées par la politique du directoire et les accords conclus laissent absolument intacts tout ce qui a été fait pour qu'il eji.soit ainsi sinon, nous n'aurions pas pu aboutir aisément à une convention dont l'efficacité est précisément basée sur la coordination des intérêts, ce qu. évitera toute complication.

Pour appliquer tous ces accords il est indispensable d'interpréter le traité de 1912 en ce qui concerne la frontière des zones du protectorat dont le tracé est extrêmement imprécis dans le traité. Mais, vu l'impossibilité afâ préciser définitivement ce tracé à. "cause' de 'insuffisance de renseignements exacts du côté français, il a été établi une sorte êc modas vivendi basé sur le traité .#1912 et qui satisfait tous les intérêts. Une déclaration

du général Primo de Rivera

Ainsi que nous l'avons annoncé, le général Primo ;de Rivera est parti dès samedi soir pour Àlgésiras.

Feuilleton littéraire du 27 juillet 1925 }

La Semaine Dramatique

PAR

ROBERT DE FLER8

--c::>oc:

Comédie-Française AMPHITRYON

Après Pierre Louys qui, comme l'on s'en souvient, croyait pouvoir attribuer à Corneille presque toutes les pièces en vers de Molière, M. Gabriel Bo.issy vient d'instituer' un débat fort intéressant à propos & Amphitryon. M. Gabriel Boissy croit apercevoir, dans cette œuvre incomparable, "la collaboration évidente de La; Fontaine. Il a, indiqué à l'appui de sa thèse des analogies d'expres• sion, de syntaxe et de métrique fort ingénieuses et son étude est une construction de l'esprit habile et délicate. M. Guillot deSaix, lui, estime que si Molière a travaillé « en société », pour écrire Amphitryon, c'est plutôt à' Corneille qu'il s'est adresse. M. Paul Vinson, eutre moliériste de qualité, ne croit à aucune collaboration, et les raisons qu'il en donne me semblent excellentes. La ressemblance de la langue d'Amphitryon avec celle des Contes et des Fables ne saurait être une preuve. Ne vaut-il pas mieux penser que Molière, qui était, extrêmement docile 'à' l'influence du mili0U et qui, étant comédien, savait par creur un grand nombre de versait subi, à certains moments, l'attrait et je charme d'un genre et d'Un style différents de sa manière originale. Quoi qu'il en soit, cette sorte de discussion mérite d'être encouragée; et DjolanséeK

Avant le départ du train, le dictateur a conversé quelques instants avec les représentants de la presse et leur a déclaré « L'Espagne aura à faire maintenant un ef- fort militaire d'une manière coordonnée et non plus en ordre dispersé. Cela sera très avantageux pour elle. Je vais au Maroc assister à l'exécution des accords réalisés à la conférence de Madrid. Je compte que dans deux mois l'affaire marocaine sera résolue. »

Communiqué officiel

Le 25 a été une journée calme sur tout le front marocain, nos colonnes se ravitaillant et se reformant.

Secteur ouest. Dans la région d'Ouezzan, des fractions de dissidents des BeniMesguilda, des Beni-Mestara et des Ghezaoua continuent leurs pourparlers en vue dé leur soumission.

On signalé quelques rassemblements ennemis au nod du pays Thouna.

SecJeur centre. L'opération menée par notre groupe mobile le 24, sur l'Ouergha, et qui a abouti à nettoyer d'ennemis toute la rive gauche entre Aïn-Aïcha et Ouled-Ali, a fortement impressionné les Rifains, dont l'exode continue sous le feu de notre artillerie et de notre aviation, et sous la poursuite de notre infanterie et de notre cavalerie. Dans sa débandade, l'ennemi a laissé sur le terrain, au nord de l'Ouergha, plus de cent cadavres et trente prisonniers. Les pertes françaises sont faibles.

Secteur est. Il se confirme que la bataille de Bab-Moroudj a été brillamment conduite, grâce à la marche concentrique de trois colonnes qui sont parvenues à 14 h. 30 au point- où était encerclé un de nos détachcments au nord de Bab-Morodj, et qui est Situé à 1.600 mètres d'attitude, cela malgré de grandes difficultés de terrain. L'ennemi, rompant le combat; est remonté précipitamment vers le nord. Nos pertes sont des plus faibles.

L'aviation impressionne particulièrement les tribus dès qu'est apparu à l'aube le premier avion, les premiers détachements rifains l'ont signalé par de grands feux à leurs voisins pour leur permettre de se terrer aussitôt..

A la suite de cette opération, des familles dissidentes des tribus des Brane et des BeniBouyaïa ont engagé des pourparlers en vue de leur soumission. Nos succès et l'arrivé ininterrompue- des renforts produisent dans toute la région de Taza la plus vive impression dans les tribus et chez l'ennemi. L'effet de nos succès

Le premier résultat de la journée de vendredi a été le repli important des tribus dissidentes au nord de l'Ouergha, poursuivie dans leur retraite pa.r notre cavalerie et par le feu de notre artillerie. L'ennemi a traversé le fleuve en toute hâte.

Abd el Krim exerce de vives représailles contre les tribus vaincues, mais il n'arrive pas par sa propagande à contrebattre l'effet moral de nos succès.

La réorganisation du commandement FEZ, 26 juillet. Les maréchaux Pétain et Lyautey ont quitté Fez dans la matinée, pour se rendre à Rabat. Au cours de leur séjour à Fez,, les maréchaux ont étudié, la question avec le général Naulin et particulièrement les questions relatives à la réorganisation du commandement résultant -'le l'arrivée du nouveau commandant supérieur.

Le prince Aage de Danemark à Marseille

Marseille, 26 juillet. Le prince Aage de Danemark, qui avait été légèrement blessé au Maroc, est arrivé aujourd'hui à Marseille où il compte séjourner quelque temps.

AUJOURD'HUI

I~â~~m® ~~®~n®u~n~a~~

car elle attire de la façon la plus heureuse, l'attention si aisément distraite du public sur un chef-d'œuvre délicieux qui, depuis trois siècles, n'a pas été entouré de toute la considération qu'il méritait. Précisément, Amphitryon a repris sa place dans te cycle des spectacles classiques qu'offre la Comédie-Française aux visiteurs de l'Exposition. L'heure est propice pour l'aller voir et pour admirer le goût français dans sa perfection. De toutes les pièces de Mo.lière,c'est peut-être celle où le grand comique a mis le plus, de haute et pure fantaisie. De même que pour le Bourgeois Gentilhomme, ainsi que nous l'indiquions l'autre jour, Molière passe, en écrivant t Amphitryon, pour avoir obéi à un désir royal. Les raisons de cette intervention ne" sont, point parfaitement claires, et le zèle des commentateurs, sur quelques vagues indices, les a sans doute préci-

sées à l'excès..

La passion si noble que Louis XIV avait inspirée à Louise de La Vallière lui avait donné un prestige amoureux auquel il -entendait ne pas renoncer, et qui contribuait à le retenir auprès de cette petite personne, frêle et naïve, assez peu favorisée par la nature, car, à en croire M. d'Ormesson, elle avait « la bouche et les dents laides, le bout du nez gros et le visage long ». Evidemment, Mme de Montespan était plus flatteuse, puisque ce grondeur de Saint-Simon n'hésitait pas à la déclarer « belle comme le jour », et que Mme de Sévigné lui décernait les épithètes de « tonnante » et de « triomphante ». Mais Mme de Montespan était mariée et M. de Montespan assez mal élevé et assez extravagant «pou« se déchaîner fort sur l'amitié du Roi pour sa femme. » Ce serait donc parce que Louis XIV souhaitait que cet époux sans manières fût vertement remis à sa

Les socialistes et le ministère La Fédération de la Seine du parti socialiste a tenu hier son congrès. M. Léon Blurri l'a ouvert par un important discours sur la situation politique. Après avoir justifié l'attitude du groupe parlementaire, le chef du parti a'déciaré qu'il n'imputait point la rupture à M. Painlevé.

Je ne lui crois aucune arrière-pensée, a-t-il dit, mais il y a M. Caillaux.-Pour des raisons qui tiennent à ses idées, à son passé ancien ou récent, M. Caillaux a cherché à la Chambre ,me majorité qui ipût s'accorder avec celle du Sénat. Cette majorité, il l'a délibérément cherchée contre les socialistes et par conséquent différente de celle qui avait soutenu M. Hecriot. Il eût bien voulu diviser même les socialistes. Il n'a pas réussi. Il a réussi à diviser les radicaux, mais pas à séparer les socialistes de la gauche des radicaux. Il ne lui restait donc qu'une majorité de concentration à droite. Il l'a prise comme elle était, il s'en contenta, elle se satisfit de lui. M. Blum estime qu'une pareille situation peut durer un certain temps et surtout il pense que La reformalion de la maiorité Herriot n'est plus possible. Il suppose que les cent radicaux socialistes ou membres de la gauche radicale inclus dans la majorité nouvelle peuvent se rebeller contre les exigences de la droite même. Bref, situation parlementaire trouble.

̃ Faut-il tenter la chance d'un ministère de participation'? Non, dit 1\1.1 Blum. Le soutien oui la participation non.

Il y a eu, dit M. Blum, des circonstances où nous avons voté pour le cabinet Henriot, et nous n'aurions pas dû laisser des nôtres dans son cabinet, car les responsabilités que l'on prend sont différentes selon la position que l'on a visà-vis du pouvoir.

M. Blum ne serait guère plus rassuré par, la prise du pouvoir total que par la collaboration. On ne prendrait pas le pouvoir sans accepter la suite des responsabilités du passé. On ne ferait pas table rase.

Situation extrêmement délicate et dangereuse^ à tous les points de vue, il convient de ne -rien faire pour s'y placer, tellement les difficultés économiques -et l'état des divisions de la classe, ouvrière en France sont périlleux.

M. Montagnon, qui répondit à M. Blum, soutint la participation ministérielle, demandant à ses amis d'avoir le même courage que les socialistes belges « Le pouvoir ne se prend nas,' dit-il, il s'apprend » Le reste de la journée fut consacré à paraphraser les deux thèses. Puis, fut nommée la commission chargée de rapporter dans quinze jours le ou les textes à soumettre au vote du congrès. Dans cette commission, les partisans du point de vue de M. Blum sont au nombre de 19, et ceux de l'opinion contraire se trouvent 5, seulement.

̃aère ï£ o s

La ipluïe..

Elle abuse. La vieille locntion qui fait de la pluie un des plus puissants facteurs d'ennui qu'il y ait au monde a repris de la jeunesse,' dans cette journée de dimanche où toutes les promenades ont été gâtées par des averses sans merci.

On nous promet encore quelques journées pareilles. Allons-nous retomber dans l'été dâplorab'e de l'année dernière ?

Nous ne. désirons pas habiter un .pays sec 'comme les Etats-Unis, mai* nous ne désirons pas non plus qu'il soit humide à ce point-ilà.

Encore une fois Pirel'i a triompht- ̃dans la iplus importante épreuve automobile de l'année, onais l'amorce de la igloire n'est ipas le sentiment qui pousse- la grande firme italienne à courir. Certes, il est doux de gagner, mais, pensa Pirelli, la course est une épreuve et la victoire une consécration -et c'est surtout à « l'épr-'uv© », le seul banc d'eôsais efficace 'pour atteindre la perfection aussi bien dans les organes du châssis que dans les bandages, que visent ses dirigeants.

C'est d'ailleurs grâce aux recherches sans cesse renouvelées poui les nécessités de la course que Pirelli a su cféei

place qu'il aurait prié Molière de lui dire son fait par le truchement d'Amphitryon. Il semble bien douteux qu'un tel ordre ait pu être donné et plus improbable encore qu'il ait été docilement exécuté. En, effet, d'une part Tartuffe était encore interdit, et de l'autre Molière commençait de ressentir les'tortures de la jalousie, à cause de sa. terrible petite femme ni le mari, ni -l'auteur ne devaient être en humeur de complaisance. D'ailleurs, si l'on y regarde de près, on ne tarde pas à apercevoir que, dans la comédie qui nous .occupe, Jupiter est. beaucoup plus ridicule que le mari d'Alcmène, et que c'est à ce dernier peut-être parce qu'il pensait à lui-mè,m,e que Molière a prêté, le beati rôle. Comment, en douter lorsqu'on relit le trait final qui est bien tout ce qu'il y a de plus spirituel et de plus impertinent

Le grand dieu Jupitcr nous fait beaucoup d'honneur Et sa bonté, sans doute.est pour nous sans seconde; Il nous promet l'infaillible bonheur

D'une fortune en mille biens féconde

Et chez nous il doit naître un ils d'un très grand [çceur.

Tout cela va le mieux du monde

Mais enfin coupons aux discours,

Et que chacun chez soi doucement se retire. Sur telles affaires toujours, Le meilleur est de ne rien dire.

Savez-vous rien de plus insolent cme cette chute « Le meilleur est de ne rien dire ? » Car si vousdi tes quelque chose, si vous criez un peu trop fort dans une ruelle à la mode, ou si vous prenez le deuil, ou si vous estimez trop haut que votre femme n'appartient pas au Roi autant qu'à vous-même, ou bien l'on vous enverra manger des poulets piqués dans un cach A. de la Bastille, ou bien.

l'on vous exilera dans votre terre de

Guienne, à moins que l'on n'ait pour

Les Gaz et les Obus Le professeur Jean-Louis Faure, de l'Académie de médecine, adresse à notre collaborateur .M. Vonoven, à .propos d'un récent article sur l'emploi des gaz asphyxiants, la lettre suivante. Nous remercions vivement de sa communication' l'éminent chirurgien, dont les arguments semblent décisifs en cette controverse

Monsieur,

Voire article de ce matin sur les gaz asphyxiants est l'évidence niême. Nous vivons sur des idées fausses et des conventions ridicules.

En réalité, la guerre des gaz est particulièrement ctouce si quelque chose peut être doux à la guerre.

Elle seule permet d'atteindre sans trop de massacres et sans trop de sang, un objectif militaire.

Les gaz ne font que peu de mal. La fameuse nappe de Prosne, la plus meurtrière de la guerre, n'a guère fait plus de deux cents victimes, le chiffre de quelques bombes bien placées. Les obus toxiques en font moins que les obus à explosifs, et les gazés, quelque triste que fut leur sort, étaient, pour la plupart, moins à plaindre que les mutilés, que les trépanés, que les aveugles misérables,

Pour conquérir un terrain par le canon, pour déloger, par exemple, une batterie, il faut tuer, déchiqueter, éventrer la moitié des hommes sans compter les chevaux. Tant que les survivants de l'affreuse boucherie peuvent servir leurs pièces, la batterie ne bouge pas. Les morts et les blessés sont nombreux. Mais le but militaire n'a pas été atteint.

Avec quelques obus toxiques bien placés, au contraire, tout le monde est obligé de partir. Les pertes sont nulles. Mais le terrain est perdu.

Cessons donc de déraisonner sur ce point La guerre est affreuse et terrible. Mais si l'on peut faire une différence entre deux barbaries, celle du gaz est moins cruelle que celle des obus. Elle est moins meurtrière tout en étant plus efficace.

Qu'on en use donc, et largement, avec les Rifains. On leur fera moins de mal qu'avec les mitrailleuses et les obus et on les délogera mieux des trous et des abris d'où ils fusillent nos soldats.

Veuillez agréer, Monsieur, l'assurance de mes sentiments les meilleurs.

1 Faure.

son inimitable « Superflex », qui est le juste milieu entre le « Ballon » et le pneu usuel « Cord » ou « Câble » et qui réunit les ̃ qualités des deux sans e:i avoir les inconvénients.

Quoique Pirelli .ne considère la course 'que comme un terrain d'expérience, il nous est agréable de constater que chaque apparition du cé'èbre pneu « Très Siport » se traduit par une victoire. Et telle est sa renommée qu'au Granl l Prix d'Europe les deux maisons concurrentes, Delage et Alfa Roméo, montaient des Pirelli. La victoire ne pouvait donc pas échapper à la célèbre firme.

Une agréable occasion va s'offrir aux élégantes d'acquérir à de bonnes conditions les jolis modèles d'été et de demisaison de' Lucien Lelong, qui en soldera, strie temient au comptant, une importante collection, 16, rue Matignon, les mardi 28, mercredi 29 et jeudi 30 juillet, de 9 à 6 heures.

'̃La modo à venir sera présentée la première semaine d'août chez Tollmann, où défileront en grand nombre sesmiodèles du soir et -d'après-midi, si réputés et si parisiens, de plus, une collection de manteaux et de Tailleurs dont tous les acheteurs apprécieront la recherche et la nouveauté. Tollmann,35,rue Miromesnil. Le Masque de Fer.

vous successivement ces deux attentions, ainsi que l'on fit pour M. le marquis de Montespan.

Je serais chaimé, pour la plus grande gloire de Molière, qu'il ait reçu de Sa Majesté l'ordre d'écrire Amphitryon, et que, malgré cela, ou à cause de cela, il ait décoché au plus grand des monarques les traits que nous apercevons à chaque instant dans le cours de ces trois actes et dont le plus célèbre est Le seigneur Jupiter sait dorer la pilule. A vrai dire, Louis XIV, dans des circonstances analogues, savait lai dorer magnifiquement. M. de Soubise l'éprouva en passant de quatre mille livres de revenu a quatre cent mille. « Sa prod-i%icûse richesse", dit Saint-Simon, fut le fruit d'une prudence que peu de gens voudraient imiter. Il était fort brave homme, et bon lieutenant général » Certains critiques, et parmi aux Paul de, Saint-Victor, croient à l'ordre donné «par le Roi, mais ils ne fondent leur o-piai ion sur aucune preuve sérieuse. Leurs hypothèses sont parfois tout à fait singulières. C'est ainsi que Saint-Victor voit dans le personnage du « cynique Mercure », la personnification des entremetteurs titrés et chamarrés de la Cour, tel que Lauzun. En tout cas, s'il avait songé à cela, Molière aurait encore fait preuve d'une bien jolie audace envers ces grands seigneurs asservis. Car n'est-ce pas Mercure qui réplique aux observations de la Nuit, lui reprochant le louche métier qu'il fait

Pour une jeune déesse,

Vous êtes bien du bon temps,

Un tel emploi n'est bassesse

Que cheis les petites gens.

Lorsque dans un haut rang, on a l'heur de paraître, Tout ce que l'on fait est toujours bel et bon, Et suioanl ce qu'on peut être,

Les choses changent de nom.

UNE VICTOIRE DE L'INDUSTRIE FRANÇAISE

BENOIST, SUR DELAGE, gagne le Grand Prix de Vitesse de l'A. C. F.

L'Italien Ascari se tue dans un virage

Le Grand Prix de vitesse est couru. Il avait attiré une foule respectable à Montlhéry, mais l'affluence n'était en rien comparable à celle qui se pressait l'an dernier à Lyon. Les prix prohibitifs maintenus par l'A. C. F. ont effrayé bon nombre de spprtsmen surtout les Français. Ce qui prouve bien que les Parisiens ne demandaient qu'à venir, c'est qu'ils garnissaient les places dites « populaires », alors que les tribunes avaient leurs travées presque vides. A notre avis, pour peu que les tarifs eussent été normaux, un franc' succès eût couronné les efforts des organisateurs. Ceux-ci n'ont pas compris qu'il était excessif de demander 920 francs pour une petite loge, 115- francs pour une banquette de tribune, et 55 francs pour une place debout, également exposées aux intempéries. Il est malheureusement trop tard pour le regretter.

Ceci dit, constatons qu'au point de vue sportif, tout a été irréprochable. Sans la mort d'Ascari, victime d'un virage trop court, au long des barrières, on eût pu marquer la journée d'un caillou blanc. Selon une tactique annoncée, Alfa-Roméo avait dès le début lancé Ascari à toute allure. Son moteur et ses pneus « tenaient » sans défaillance., lorsque le sort injuste l'a impitoyablement abattu.

L'industrie française' a triomphé d'une manière éclatante. Delage et Bugatti, voilà deux noms qui lui font honneur. Ils seront

LA VOITURE DE BENOIST, GAGNANT DU GRAND PRIX DE VITESSE DE l'a. C. F.

La dette française envers l'Angleterre

Nos experts financiers ont quitté Paris hier

Une note du ministère des finances a annoncé hier le départ de nos experts financiers pour Londres.

La mission a, en effet, quitté Paris dans la journée.

Sous la direction de MM. Moreau-Neret, sous-directeur du mouvement général des fonds, et Thion de la Chaume, directeur de la banque de l'Indochine, ancien inspecteur des finances, elle va poursuivre, avec la Trèsorerie britannique, les pourparlers en vue du règlement de notre dette de guerre. Nos délégués rencontreront très probablement dans l'après-midi d'aujourd'hui sir Otto Neumeyer et M. Leath Rosse, ancien délégué britannique à la commission des répa-

C'est-à-dire qu'avant les répliquesmeurtrières de Figaro, on n a rien prononcé de plus violent sur la scène française, à l'adresse des grands seigneurs, haut en blason et bien en place. Qu'on ne vienne donc point nous parler de la complaisance et de la courtisa-,•nerie de Molière. Sans doute, le sonnet dédicatoire à Louis XIV, vainqueur de Ha Franche-Comté, est on ne peut plus officiel. Mais ce n'est là qu'une formalité, et combien, dans la pièce, 1 auteur se venge d'avoir été obligé de l'écrire. Car c'est bel et bien M. de Monteapan qui est le personnage favorisé dans Amphitryon. Mais moins heureux que le gériéiral bhébain, ou plus fier, il ne consentit' jamais à se réconcilier avec sa femme. Amphitryon, lui, (pardonne à Alcrriène. Et combien il a raison Pour peu qu'il ait eu le sens de la vie, cet excellent soldat dut rendre à sa femme les plus tendres acfons de g'-àces et lui dire.: AIcmène, vous êtes .la plus incom-

psrabl'c et la p!us adorable. des épouses.

Il n'en est pas une dans tous tes temps et dans tous les pays qui vous ait value en igràce ci en vertu.Ma plus grande gloire, mon plus cher triomphe est que, pour vous séduire, te .maître des dieux, si averti .du cœur des femmes, ait dû .prendre ma ressemblance. C'est là de sa pairt une délicatesse qui m'a vivement touché et qui ne fera qu'accroître mes sentiments religieux. Pour triompher de la résistance de toute autre femme, Jupiter aurait certainement choisi le visage d'un joli éplièbe, d'un très riens financier, d'un puissant démagogue ou d'un poète .à la mode. Mais c'était vous, AIcmène. Il fallait, pour avoir raison de votre vertu, se servir de votre vertu ellemême, et c'est votre tendresse conjugale qui vous a inclinée vers la faute. Ne vous la reprochez pas tirc>]>. Grâce à cetls

loués comme il convient. Jamais Grand Prix ne fut plus disputé, sur un parcours aussi long. Il a été enlevé, de haute lutte, pour la plus. grande gloire de nos meilleurs

consi.ruct.eurs n~tianaux.

constructeurs nationaux.

Le matin, la belle tribune officielle resta vide. L'après-midi, elle s'emplit peu à peu, d'invités. d'abord, puis d'hommes politiques, dont quelq.ues-.uns semblaient, assez étonnés de se trouver. là, .Mais la. plupart donnaient l'impression de savoir à peu près de quoi il s'agissait

Vers quatre heures, .une musique militaire joua la Marseillaise, et le Président d,e la République fit son entrée dans sa Renault, h, l'instant où Benoist passait en ouragan. M. Doumergue toujours souriant, s'intéressa -ostensiblement à la fin de l'épreuve, et félicita le vainqueur avec d'autant plus de satisfaction que Benoist et Delage sont Français.

C'était la fin. Hors des parcs, les autos esquissèrent un assez joli commencement d'embouteillage. Mais le service d'ordre sévit avec une énergie suffisante, et l'exode vers Paris commença, tandis que les derniers concurrents escaladaient pour l'ultime fois le virage, et venaient recevoir la chaleureuse accolade de leurs amis. Et il pleuvait toujours, juste assez pour que l'A. C. F; se trouvât une excuse. Robert Houssat

(Voir le compte rendu en 3e page.)

rations, qui sont les deux principaux représentants de M. Churchill.

Dans les milieux anglais autorisés, on est. enclin à penser que les entretiens des experts anglais et français ne se prolongeront guère au delà d'une semaine.

Les négociateurs vont, ces jours prochains, chercher simplement à éclaircir lu voie.

Lorsque des conversations semblables à relias qui commencent aujourd'hui à Londres auront eu heu à Washington, entre la France et les Etats-Unis, seulement alors, selon toute vraisemblance, un examen sur le fond pourra être abordé.

circonstance1, je goûterai désormais su" vos lèvres la douceu- de la fidélité et l'ai an-ertume de la trahison. Nous avions peu dans le monde bien pensant. ?sou.s v serons désormais reçus recherchés, .le vous ai rapporté de la guerre, pour ma part de bu tin, des pierres de grand prix. Elles embelliront vos souples tuniques. i Désormais, je ne serai plus jaloux, je ns I vous ferai plus de petites scènes. Ja i suis persuadé, en effet, que me voilà désormaisà l'abri de tout pénl. Vous avez | eu votre aventure, et une aventure trop i flatteuse, :ipoiir que vous puissiez songer. i à en avoir une autre. 11 y a des souvei nirs 'que l'on. ne .trompe pas. Je suis heui-eùx qu'il en. soit ainsi. Car dans l'amou.rque vous mie' manifestiez avec tant d'ardemr lorsque je venais de combattre j les ennemis de fhèbes, i' me .semblait i deviner .un abandon assurément honnê-"I te, mais tout de môme si complet, si voluiptucux, si enivrant, que j'cn éiproui vais à la. fois une ineffable joie et une, certaine inquiétude. Vous êtes de ces I honnêtes femmes pour lesquelles la naturc a eu des bontés si abondantes qu'el'1-cs sont susceptibles, par excès de bonne grâce et de bienveillance, de quel;, ques faiblesses humaines. Les vôtres fu-, rent divines. Je suis un homme lieu-,peux. Ainsi dut «parier Amphitryon à son épouse, et ce petit discours suffit à prouver que la comédie qui met en scène -leu? mésaventure n'est qu'un adorable hommage, à: la fidélité conjugale. Ce fut lu génie des Grecs d'avoir réconcilié dans la même clarté- harmonieuse Ja Morale et la Volupté.' s

̃•̃(

Robert de Flers. de r Académie française.


Les élections cantonales

Le deuxième four de scrutin (Les scrutins de ballottage auxquels il-a a été procédé hier partaient sur 198 sièges répartis sur 70- départements. Le premier ,tour n'avait, en effet, donné des lésultats, 'définitifs que dans 19 départements. Hier 19 députés étaiert soumis au ballottage, à savoir.: MM. de Launay, Forsy, Le'guen, jJoifcou-Du>p..essy, -Moncelle,- républicains modérés René Coty, Amet, républicains de gauche Mv Plânchenault, conser-* vateur Bouligand, Dalbiez, Vermare, Dalimier, Ollier,. Paganou, radicaux-socialistes Georges/ Wfe'ill, Mistral, Pouliri, Boudet,; so-s eialistes, et Cornavin, communiste. Tous ces députés sont réélus, sauf M. Cornavin, communiste, battu par un radicalsocialiste et M.. Planchenault, remplacé par un radical..

3 sénateurs étaient en ballottage MM. Le Hars, républicain de gauche Marsot ot Régnier, radicaux-socialistes. Ils sont réélus.

A noter que. dans le canton de Douarnenez, le maire communiste de cette ville, M. Le Flanchec, est battu par M. du Fretay, conservateur.

Les statistiques

Les sièges en .ballottage étaient occupés par

Conservateurs et libéraux.t<: Républicains. 44 Républicains de gauche 31 Républicains radicaux 14 Radicaux et radicaux socialistes 56 Républicains socialistes 13 Socialistes. 19 f;Ol1UIlUnistes 9 Total 198

D'après les derniers résultats, les sièg0S se répartiraient ainsi

Conservateurs 4, Républicains ST Républicains de gauche .1 13 Républicains radicaux .1 9 Radie. et i~adie.-soiialistes *1~ 50 Républicains socialistes 11 socialistes ? 1 48 Coniinunistes 3 Totai 159: manque encore 29 résultats.

Le Concours de distance des sphériques

Sous les auspices de r Aéro-Club des Flandres a. été organisé hier après-midi un grand concours de distance pour sphériques, dont le départ a eu lieu par temps favorable. Le Belgica est piloté par Demuyter, avec deux passagers le Prince-Léopold, par Veenstra, avec deux passagers le Petit-Mousse, ballon français, par Ravaine, avec comme passagers MM. Soenens et Gestaz, de Paris la Ville-de-Bruxelles, par Labrousse, avec un seul passager.

Un objet d'art reste pour compte, Trésorier d'une petite société d'égargne marseillaise, M. Joseph Renucoli s'acquittait de sa tâche avec un zèle, une ponctualité, un dévouement que les adhérents ce* cormâîsssants' tinrent a 'honneur de 'récompenser. ̃" ̃̃ 'il"i 'i: •' Ils se cotisèrent pour acheter un objet d'art qui devait, hier après-midi, être, au cours d'une petite fête intime, remis au trésorier modèle.

Malheureusement, au rendez-vous d'hier après-midï, M. Renucoli ne vint pas, parcè que le matin, il était parti avec la caisse.

Un drame dans une banque

Le yeilleur de nuit est tué, le banquier et sa femme blessés par un bandit

Denain, 26 juillet. Un inconnu s'est introduit ce matin dans l'appartement du directeur d'une succursale de banque et, après avoir traversé les chambres, est descendu au rez-de-chaussée, puis dans les bureaux, où il a trouvé le veilleur de nuit. M. Chatelain. qu'il a tué, mais celui-ci avait eu le temps d'actionner la sonnette d'alarme. M. Dumont, directeur, s'est levé et, arrivé sur le palier du premier étage, il s'est trou,vé en présence d'un homme dont le visage étaib recouvert d'un mouchoir. L'inconnu lui demandant les clefs des coffres, M. Dumont est rentré aussitôt dans sa chambre, dans laquelle il s'est enfermé, mais en même temps le malfaiteur a tiré deux coups de revolver, blessant M. et Mme Dumont. Le premier est atteint peu gravement, mais l'état de Mme Dumont cause de .vives inquiétudes. La police mobile et le parquet se sont rendus sur les lieux.

Nouvelles Diverses La température

Probabilités -pour aujourd'hui Région parisienne. Vent sud-ouest à ouest modéré, doux, quelques éclaircies, quelques pluies ou rares ondées.

Même temps moitié Nond et Centre. Beau et chaud régions Sud.

Les accidents de la rue

Un autobus de la ligne N et un taxi se sont heurtés, vers 5 heures, hier soir, au 'coin des rues de Rivoli et de Marengo. Trois personnes, un liomme et deux femmes, qui ,occupaient le taxi, ont été légèrement bles-

secs

A l'angle de la rue de Courcelles et de la rue Jouffroy, un autocar des T.CR.P. est entré en collision avec un tramway de

la ligne 31. légèrement blessés (,rit

Sept voyageurs, légèrement blessés, c.nt été pansés 4 l'hôpital Beaujon.

La villa Calibfin, appartenant à M. DàvH Devrios artiste lyrique bien connu et sise à la .Founberie-en-Saint-Lunaire, a. été cambriolée la nuit. Argus.

LE MEETING DE VOL A VOILE

,cn

VXuvhle 26 juillet. Le meeting aérien de Vauville a été attristé par un accident. {Le champion belge Simonet, détenteur du record de la hauteur sur planeur,. a été trou!vé mort sous son appareil. On croit qu'après i six heures de vol il a dû se trouver à bout de forces et manquer l'atterrissage. 1 Le lieutenant Demblony. sur planeur, a fait •ime chute près de la mer, mais ne s'est pas blessé grièvement;

Le commandant Massaux a volé dix heures dix (record de la durée sans moteur).

Les accidents de, la route

Tours,: 26 juillet. Près de Saint-Patrice,

nue automobile, conduite par M. Deesonnes, carrossier à Saint-Calais, voulant éviter une cycliste. Mme Billereau, est tombée dans un ravin. Le conducteur a été tué et deux .voyageurs grièvement blessés Mme Billefteau a eu la jambe fracturée.

IxeJWae^Iafiiïe

DANS LES AMBASSADES

S. Exc. Fethy bey, ambassadeur de Turquie à Paris, qui fut victime d'un accident d'automobile en revenant de Deauville, est en bonne voie de guérison.

S. Exc. le ministre du Pérou et Mme Cornejo ne recevront pas le 28 juillet et reprendront leurs réceptions l'hiver prochain. S. Exe. Mgr Tedeschini, nonce aposto- lique en Espagne, s'est rendu à Saint-Jacque-s-de-Compostelle pour présider les solennités célébrées en l'honneur du patron de l'Espagne.

"S. Exe. M.' Cosine 'de La Torriente, ancien ministre des affaires étrangères de Cuba, ancien président de la Société des nations, est en villégiature à Biarritz.

Le comte de Jimenez de Molina, secrétaire de. l'ambassade d'Espagne à Paris, et la comtesse de Jimenez de Molina se sont installés en leur villa c Nere Chokoa », à Biarritz.

w,

DANS LE MONDE OFFICIEL

M. Vintila Bratiano, ministre des finances roumain, a quitté Bucarest pour se rendre à Royat.

RENSEIGNEMENTS MONDAINS

S. A. R. la princesse Geneviève d'Orléans, comtesse de Chaponay, et le comte de Chaponay sont, au château de Tourronde, les hôtes de LL. AA. RR. Mgr la duc et Mme la duchesse de Vendôme.

La duchesse Pozzo di Borgo vient d'arriver à Biarritz.. ·

Le baron et la baronne Edouard de Rothschild sont attendus à Deauville, après leur croisière.

Le comte et la comtesse de Castellane sont au Fayet.

M. et Mme Louis Barthou font un séjour à Chantilly.

En la, villa, Beauséjour, à Biarritz, le duc et là duchesse de Leuchteiiberg, ont donné un tlié-bridge-mah-jongt Parmi les invités

̃Princesse Nikita, comtesse de Llo\rera, Mme Hope-Vere, comte et. comtesse ̃ G'Brien, Mme de Çartassac, marquis de San-Carlos, comte Lar- riiaki, etc.

I

fUARIAGES

S. Gr. Mgr Touchet, évêque d'Orléans, a béni, en l'église Sainte-Croix, de cette ville, le mariage de Mlle Simone Lebouc, fille du général Lebouc, commandant le 5e corps d'armée, commandeur de la Légion d'honneur, et de Mme Georges Lebouc, avec M. Pierre Revilliod, secrétaire général de la préfecture de Loir-et-Cher, décoré de la Croix de guerre, fils de Mme et de M. Revilliod, préfet honoraire, officier de la Légion d'honneur.

Les témoins étaient, à la mairie et à l'église, M. Martin, préfet de Loir-et-Cher; pour le marié, et pour la mariée, Mme la maréchale Pétain, remplaçant le maréchal appelé au Maroc.

Nous apprenons les fiançailles de Mlle Roselyne de Villeneuve-Bargemont, fille du vicomte Alban de Villeneuve-Bargemont et de la vicomtesse née Balsan, avec le vicomte de Bourgoing, lieutenant de vaisseau, fils du vicomte de Bourgoing, mort pour la France, et de la vicomtesse née de Sermizelles.

WÊLWU ̃̃̃ ̃' "̃̃ ̃ .̃:

On annonce la mortàMériel, à l'âge de soixante-treize ans, de Mme Octave Pradels, femme de M. Octave Pradels, et belle-mère de M. Robert Dieudonné. L'inhumation a eu lieu dans un caveau de famille au cimetière des Batignolles dans la plus stricte intimité. Nous apprenons la mort du P. LagrangCi dominicain, qui fut, pendant plus de trente ans desservant de l'église française de la perspective Newski, à Petrograd. Le P. Lagrange, qui était âgé de quatrevingt-cinq ans, a succombé au couvent de Sainte-Sabine, sur l'Aventin, à Rome. On annonce la mort de Mme Geneviève Sargcnton, religieuse du Sacré-Cœur, décédée à Turin,

On annonce la mort de M. Axel-Georges Vllcrn, industriel, membre de la Chambre de commerce de Honfleur, décédé, en son domicile, villa « Ariane », à Honfleur (Calvados).

On annonce la mort du docteur Louis de Forcraud de Coiselet, décédé au château de Coiselet (Ain).

M. Jules Fèvre, de Buenos-Aires, a la douleur d'annoncer le décès de Mme Jules Fèvre, née Marie Lefèvre, son épouse, décédée à Paris, 44, avenue Kléber. Ses obsèques auront lieu demain mardi 28 juillet, à Qi^ heures trente, en l'église Saint-Honoré d'Eylau. Inhumation. ultérieurement à BuenosAires. Le présent avis tient lieu d'invitation. On nous annonce la mort de M. JeanChristian de, La-vergne de Cerval, Croix de guerre, pieusement décédé à Paris, muni des sacrements de l'Eglise. Les obsèques auront lieu jeudi 30 juillet, à Marcillac-Saint-Quentin, près Sarlat (Dordogne). Le présent avis tiendra lieu de faire-part.

Serigny.

yBTIT CARNET

Lucile, 11, rue de Penthièvre, soldera ses derniers modèles d'été durant trois jours, à partir de mardi 28 courant, à des prix exceptionnellement avantageux. Vente au comptant.

Charvy,

35, rue Tronchet,

fera une nouvelle journée de soldes demain mardi. Robes et Manteaux cent francs; tricots vingt-cinq francs. 1

Pour les villégiatures au bord de la mer ou à la campagne, les Parisiennes trouveront cher Aine Montaillé, i, place Vendôme, un grand choix de tricots qui sont actuellement vendus à des prix très réduits.

Dès aujourd'hui et pour quinze jours seulement la Maison Fafys, 42, rue Vignon, fera profiter sa clientèle d'un grand stock de bas et chaussettes fil et soie à partir de 4 fr. 50. Profitez.

« Chacun de nous a sa lunette qu'il retourne suivant l'objet ». On voit là-bas ce qui déplaît, on voit ici ce qu'on souhaite un costume signé par tailleur Gueudet, 4, rue Rougemont.

Le boxeur Siki égorgé à New -York Le Sénégalais Battling Siki, qui enleva au boxeur Carpentier son titre de champion du monde, et qui, depuis, ne s'est fait TBmarquer que par ses excentricités, a été trouvé, hier, dans une rue de New- York, la gorge ouverte d'un coup de couteau. L'état de Siki, blessé, selon toute vraisemblance, au cours d'une rixe, serait très grave.

Pendant les Vacances, le Figaro déliure des abonnements au numéro partant de n'importe quelle date le prit de ces abonnements est de 0 fr: 25 poun Il la France et.de 0 fr. 40 pour l'étranaer par numéjrj).

LA î.MAàs0N

(De nos-envoyés. spéciaux et dsknos correspondants particuliers f)

D'un côté, la montagne a fait pour l'été sa grande exposition de vert, qui va de la couleur tendre des prairies aux tons sombres des sapinières; et, de l'autre, le lac de Genève descend une gamme bleue. Entre la montagne et le lac, les terrasses des hôtels étagent des parterres écarlates de géraniums. Evian, peuplé de baigneurs venus de tous les points du monde, lesquels ne sont que quatre si l'on en croit les cardinaux, ne connaît pas cette bruyante effervescence des autres stations estivales. Sur les quais ombragés de platanes, les promeneurs s'en vont d'un pas nonchalant, préoccuppés seulement du libre jeu de leurs muscles et de leurs poumons. Et ils oublient de potiner. Pourtant on rencontre ici « maints visages bien parisiens ». L'art dramatique en particulier est brillamment représenté. Dans le parc du Royal, on croise M. Georges de PortoRiche, Mlle Yvonne Printemps, M. SachaGuitry qui, silencieux, songe à sa plusunième pièce, et si, d'aventure, il y a ici des abonnés du Français, ils pourront enfin contempler l'aimable silhouette de Mlle 'Falconetti.

Mais si, dans la journée, tout est calme, reposant, si rien ne trouble la limpidité de l'air, dès que vient la nuit et que la côte suisse s'incruste de lumières, les derniers airs à la mode montent vers les cimes des Alpes. James DE COQUET,

SPECTACLES. Ce soir, au Casino, Voulez-' vous. jouer avec moa ?, avec Charles et la compagnie de l'Atelier.

DE VICHY

La première journée des courses Par un curieux caprice, l'Allier semble avoir voulu délimiter les deux aspects de Vichy. A droite la rive thermale, à gauche la rive sportive. Et l'administration a surenchéri en mettant l'une dans l'arrondissement de Gannat, l'autre dans celui de Lapalisse. Autrefois, un pont de bateaux construit par le génie au moment des courses donnait aux touristes qui se fendaient à l'hippodrome l'illusion qu'ils, participaient à des manœuvres. Aujourd'hui une magnifique passe- telle leur permet de flâner un instant le long du parapet pour regarder l'Allier étreindre avec nonchalance des îles de verdure et de. sable et se donner, au sortir d'un barrage, l'illusion de la colère pour n'avoir pas troublé l'indifférence des rives.

Le champ de courses voisine avec le terrain de golf qui flirte par-dessus les barrières blanches avec les courts de tennis; et c'est ainsi sur plusieurs kilomètres un silencieux poème de verdure et d'eau cadencé par la, césure des peupliers.

La. première journée de courses, avantpremière du Grand Prix, avait attiré sur le champ de Bellerive une élégante assistance. Les tons pervenche et bois de rose des chapeaux et des robes assorties émaillaient de bouquets les pelouses, et les tribunes ressemblaient de loin à une vaste corbeille fleurie. Le sport fut intéressant de bout en bout, Malgré cinq faux départs, le prix de SaintCloud fut régulier et le résultat du Prix du Midi incertain jusqu'au poteau.

Nous avons reconnu sur les gradins et autour des balances 1

/Baron de Waldner, M. Zafiropoulo, M. G. Gaudet, Mme Pidal, Mme Marghiloman, M. Chantemesse, comte de Bourbon-Busset, comte de Roujgé, marquis de Maillé, comte de Casteja, comte Thomas d'Orsetti, baron de Nexon, comte de Brinon,. M. Alexandre Lieux, M. Michel Beau- champ, comte d'Iderville, baron de Vazelhes, M. Tillement, etc..

Voici les résultats ̃»

Prix de Charmeil (4.800 francs offerts par là Ville de Vichy, 1.300 mètres). 1. Major II, à M. René Bedel (J. Lamoure) 2. Méreville, à M. Pierre Thomas (MiHat) 3. Trop Sec, à M. Antony Vidal (G. Rossio) (encolure, 1/2 longueur). Non placés Roi du Béarn, Ilélios III, Best Girl II, Dorothy Dickson, Belfort, Petite Mai-

tresse.

Pari mutuel à 5 francs (Pesage) Gagnant, 46 francs. Placés Major Il, 16 francs Méreville, 33 fr. 50 Trop Sec, 21 francs.

Prix des Sources (gentlemen-riders, 6,COO fr., 1.600 mètres). 1. Momus, au baron Fauqueux (M Thomas-Moret) 2. Maupassant, à M. PleiTe Thomas (M. Barnier) 3. Oncle Sam, à M. Mar- cel Boussac (M. de Nexon) (3/i de longueur,. 2' longueurs).

Non placés Franz Hais, Duncan, Amiga. Pari mutuel à 5 francs (Pesage) Gagnant, 9 fr 50. Placés Momus, 7 fr. 50 Maupassant, 9 fr. 50.

Prix de Saint-Cloud (10.000 francs,- 2.000 mè1,CS) Mivoisin, à M. Marcel Boussac (M. Bellier) 2. Hostilité, à M. Pierre Thomas (F. Rocchetti) 3. Son Altesse, au comte d'Esttmrmel (J. Lamoure) (3/4 de longueur, 1 long. 1!2). Non placés Tapis Vert, Dionysius, Libut'1 nius, Serpola, Pyrrhus, Premo, Lydie. Pari mutuel à 5 francs (Pesage) -.Gagnant, Ecurie Boussac, 14 fr. 50. Placés Mivo$jn, ̃30, fr. ,50 Hostilité; 9.fr. 50 Son Alte§fce,4 20 fr. 50. t Prix du Midi (18.000 francs, 2.400 mètres). .1 Lamorlaye, à M. Maxime Balas (M. Bellier) 2 Vin Fin, à M. Daniel Guestier (A. Meunier) 3. Rie à Rac, à M. A. G. Zafiropulo (A. Ogez) (tête, 1 longueur).

Non placés Flamme d'Or, Bénédicité, Azidor. Pari mutuel à 5 francs (Pesage) Gagnant, 28 francs. Placés Lamorlaye, 13 fr. 50 Vin Fin, 11 francs.

Prix des Célestins (steeple-chase, cross-country, 2.150 francs, 4.500 mètres). 1. Poilu, au lieutenant Bréchotteau (M. de Bréchotteau). 2 Dragon au lieutenant Chausson (M. Testard) 3. Olga, au lieutenant Delloy (M. Delloy) (5 longueurs, 6 longueurs). · Non placés Eclair, Œillet, Orphée, Qu'En

Dis Tu 1.

Pari mutuel à 5 francs (Pesage) Gagnant, 11 francs. Placés Poilu, 8 fr. 50 Dragon, i 26 francs.

BIENFAISANCE. Samedi après-midi a eu, lieu à l'Elvsée-Palace, la grande manifestation de la semaine de la Santé, organisée I par le Comité national de défense contre la tuberculose. Le docteur Guinard, délégué du Comité national, a exposé la valeur de la santé et les moyens de la préserver. M. Mario Prax souligna l'effort du Comité et le préfet adressa un vibrant appel j en faveur de la 'propagande antitubercu-

leuse.

Une brillante partie artistique clôtura la

séance.

se'ance:

i Dans l'assistance, remarqué le préfet et i Mme Gondoin, les membres du conseil de | la Compagnie fermière Mme Le Moignic, Mme Wallon, Mme Léger, Mme Aletti, Mme

Dono, etc. ̃*

Lawn-Tenms. La première -journée des finales du Tournoi international du Sporting i Club de Vichy a attiré de très nombreux j spectateurs. Dans le simple, H. Cochet «, battu H. Gouttenoire par â sets contre 0, après une très jolie partie. Gouttenoire, grâce à ses drives ti es appuyées, réplique avec brio à son redoutable adversaire. Dans une, trihune, Maurice Germol, Danet et Blanc, commentent les coups a\ee Mme Blanc en une des plus gracieuses deiiii-liralistes du monde, tandis qu'autour du court M. Gouttenoire père suit les phases du jeu avec anxiété et satisfaction. Ensuite, en, double. H. Cochet a fait an ̃. travail étourdissant, bien secondé par Germot, devant les représentants de la Villa Primerose de Bordeaux. Voici les résultats Championnat double. Finale II. Cochet et M Germot b'. de Clouet et Hanappfer, 64, 0-4. ` ChaMpionncCt double. Demi-final? Gouttenoire frères b. Blanc et Danet, 7-5, 6-1. Championnat double mixle. DPnn-nnaïe Mlle Martin et G. Gouttenoire b. Mlle Brokan et Kruger, 6-1, 6-2. Championnat simple, Finale Cochet b. H. Gouttenoire, 6-3, 6-4, 7-5. “< t

Championnat double mixte. H. Cochet et

Mme.Mevboom b. Mme Mouton et Danet, 6-2,

La Coupe échappe à Danet, qui la détenait depuis deux ans, et passe entre les mains de Cochet jusqu'à nouvel ordre. Les prix du championnat simple se répartissent ainsi 1. Cochet; 2. H. Gouttenoire 3. Danet 4. G. Gouttenoire.

Reconnus dans les tribunes

̃ M.Defrance, ambassadeur colonel Jouin, commandant la brigade de Moulins Mme Levée, comte et comtesse de Bartillat, marquis de Maillé, M. et Mme Terret, Mr et Mrs Brokaw, M. et Mme de Clouet, M. et Mme Hanappier, M. de Brinon, des Débals, etc.

Pour clôturer le tournoi, le Sporting 'Club offre à ses invités et aux joueurs, dans les salons du Radio, un grand bal, au cours duquel seront' distribués les prix. Arrivées. Parmi les dernières arrivées

S.A.I. le prince Vinh Thuy, prince Vinh Gan, M. Charles, gouverneur honoraire des colonies et madame ;1M. Cuminal, sénateur M. Defrance, ambassadeur, et madame M. Youssef Soliman Pacha, comtesse de Castries, M. Yewflck. Faid Gjali, M. Jacques Mèyer, comte et comtesse Caromili, baron et baronne de Giey, Fathy bey Yeghen. sénateur égyptien M. José Ruizsoler, député de Puerto-Rico Mme et Mlle .T. de henugue miss J. Hawley, S. Exc. M. Constantinescu, ministre de l'agriculture de Roumanie baron et. baronne Lestre de Rey, M. et Mme Gaston Reinach, M. Charles Glukmann, Mrs Flora Mmtzer, M Temour Bey, M. Mustapha Maher Pacha, M. Clément B.odgagly, M. B. Karnowsky, Mme Vera Novek, comte San Fernando, marquis de Nervion, Mme Madeleine Carlier-Martin, baron et baronne de Gicy, Sir D. A. Das, .ministre du maharadjah de Kapurthala général et Mme Ivo ,Soares, Mme et Mlle Guillet, M. Maurice Chantain, M. René Renoult, ancien ministre, et madame comte Lagarde, ministre plénipotentiaire M. Moisson, M. A. Metaxas, M. et Mme Huysinga, M. et Mme Capitanovici, Mr et Mrs Bedford, M. de Kerzaguec, Mr et Mrs Klean, M Adlerx, M. Baumgerten, M. Beadleston, VI. Castro, M. Chayo, M. Gullen, M. Frang da Costa, comte et comtesse de Franqueville, M. Chateau-Regnault d'Aligny, M. Gheorghiu. M. Hall, M. Êtella Candria, M. Le Harival de Moizet, M. Hadj Abderlam Benonna, docteur Habid Hanna, M: Ismaël ben Aîy, M. Towndel Midhat Yeghen, M. Van Harper-Kuyper, M. Albuquerque, Assad Makur bey, M. et Mme Duquesne Wa«let de la Vinelle, comtesse de Fornel, M. Mahmoud bey Fahnuy, M. Misrachi. M. Nahmai, comtesse d'Hunièré, comte de VHermitte,Mme Lagoudokis, M. et Mme Ogoladgoff, M. Nakhala bey Tadras, M. Roche, Mme Salonilddès, Mme Schiano, M. et Mme Shaeffer, M. Samy-Na.ai)k, M Saes de Moncharvin,' Mme et Mlle Thayer, M et Mme de la Trollière, Mme de Tenancourt, M. Van Voyck, M. et Mme de Versainville, comte et comtesse de Durat, M. Dawes, M Gastambide, baron et baronne de Haniguerlot, M. Le Barcry, Mme de Lamadec, comte d'Aligny, M. Blake, M de 'Bagneux. M.1 de Coincy, M. de Farde, M. Fahim Farag, M. Guyot de Villeneuve, Mme tfostas de Florès. M. Kleinwort, M. et Mme de 1a Vega, duc et duchesse de Brissac, M. de la Cruz, M Condemines de San Mercedes. Mme JumetBeriencourt, Mme Pallu de la Barnère, M..Nasfe, M. et 'Mme Svilokossitch, Mme Sheidon-Smeth, etc., etc..

DE BOULOGNE-SUR.MER

_D'L~VfAN

Concours HIPPIQUE. Le Concours hippique continue à attirer de nombreux spectateurs. Voici les résultats de la troisième journée

Prix des dames (amazones). 1. Vague d'Assaut, Mlle Odette Dewavrin ?.. Terminus V, 'Mlle Odette Dewavrin 3. Valère, au comte Longin-Spindler (Mme Gauthier de Bayon) 4. Neuvillaise, 'au comte Longin-Spindler (Mme Gauthier1- de 'Bayon).

Prix de Verdun {of(iders). 1. Méprise, Pcron, lieut. 6" dragons (Roux, lieut. m. r.) 2. Mandarin, lieujt.Gibault, 22' drag. 3. Natte, lieut. Boulet, 9' drag. (papit, Chellan-Belval, 0' drag.) Rappel, 'Meut. Desjardins, 190' artil.; 5. Ôu'inine II, lïeùt. Lenoir, 11' cuir. 6. Colereuse, Hombourger, 'cap. 19' esc. tr. cq. (lieut. Balny d'Avricourt) 7. Limier, lieut. Lefebvre, 6' drag. 8. Colmar, cap. Boizieu, garde rép; 9. Morlaih, d'Auber de Peyrelongue, lieut. 4' hus^ sards etc..

DE CONTREXÈVILLE

La saison à Contrexéville va devenir excessivement brillante. Au casino, les fêtes succèdent aux fêtes. Au cours des dernières soirées, Mmes Cora Laparcerie, Marcelle Lender, Jeanne Pyrac, MM. Gahpaux, Baret, Francell se sont fait spplaudir par une assistance d'élite. -̃̃•

M. André Hesse, ministre des colonies, est arrivé lundi avec sa famille, pour faire sa cure annuelle dans la charmante station des Vosges dont il est un des fidèles hubituës.

L'échange des Bons dela Défense en Rente perpétuelle 40/01925 La souscription aux rentes 4 pour 100 avec garantie de change ne peut se faire qi|e sur versement d'un -'montant égal, de. Bons de la Défense Nationale. -Les. personnes ne possédant pas encore de Bons de la Défense doivent donc se munir de Bons à un mois pour souscrire. Pour les Bons anciens l'intérêt couru au jour de la souscription sera décompté dans le règlement de souscription.

La rente 4 0/0 avec garantie die change conserve tous' les avantages des Bons de la Défense Nationale. Elle est exonérée de l'impôt sur les coupons, de t'impdt général sur le revenu, et par conséquent non sujette à la déclaration.

L'intérêt est donc payable net de tous impôts et le capital est exonéré de même. La compensation entre l'intérêt de 4 pour 100 que l'on reçoit et l'intérêt de 5 pour 100 que l'on abandonne serait acquise si la livre valait 117 fr. 50. A ce cours, en effet, Ja Rente nouvelle donnerait un coupon semestriel de 2 fr. 50, soit un intérêt annuel de 5 pour 100.

Mais l'attrait particulier de la rente 4 pour 100 est constitué .par le fait que le capital et l'intérêt s'accroissent si les changes progressent et cela sans aucune limite assignée. On prend ainsi un 4 pour 100 dont on connaît le minimum de revenu, mais dont on ne peut prévoir le maximum.

Petite chronique de l'Emprunt M. Georges Bonnet parle de l'emprunt à Metz

.M. Georges Bonnet, qui vient d'entrepren- di'-e en Alsace et eu Lorraine un voyage d'étudPs ayant pour sujet la' nouvelle organisation administrative adoptée par le Parlement, est arrivé hier à Metz.

MrziERES, 26 'juillet. La propagande pour l'empiunt est poursuivie activement dans les Ardennes par le -préfet, qui .a constitué un' grand comité comprenant toutes les principales notabilités ardenttaises. Des conférences nombreuses sont faites, dans tons les arrondissements et un grand mouvement en faveur de l'emprunt est eonstaté. Dans l'Indre-et-Loire "< Tut rs, 26 juillet. M: Orîmaud, préfet d'Indre-et-JL/Oife, a convoqué les .représentants des principales maisons de banque, les notaires, Jes présidents de la Chanibre -de commerce, des-syndicats' professionnels,, pataiaux, le trésoàer payeur général, les dé]â|^4es,'as^3cia!i(-.ns agncoles etvificnlcs, lfflïBfilIltfes de la presse cl autres notabilités tourangelles pour -les cnltetenir de •l'emprunt. Il -& demandé à chacun son d&voue concours pour la réussite de l'emprunt en Tourainc.

DERNIERE HEURE

Le conflit minier anglais Lès efforts du gouvernement pour créer une atmosphère de conciliation

LONDRES, 26 juillet. M. Baldwin a employé la majeure partie de sa journée à préparer l'entrevue-, qu'il doit avoir, demain matin avec le comité du Congrès des TradèUnions. Le premier ministre a égalemient. reçu la visite de M. Bridgemann, premier lord de l'Amirauté "et médiateur du gouvernement dans la crise présente, et de lord Stafordham, secrétaire particulier du R"oi. Le rapport du tribunal d'enquête a été remis au ministre du travail, Sir ̃ Arthur Steel-Maitland, et, par son .intermédiaire, au premier ministre. La publication de ce document n'aura lieu qu'après la conférence du comité du Congrès des Trade-Unions à Downing Street. ̃• Le bruit circule toujours que le gouvernement envisagerait la question de subsides temporaires à l'industrie minière, mesure qui serait, dit-on, préconisée par le tribunal d'enquête. Les efiorts du gouvernement vont s'attacher à créer, si poseible, une atmosphère de conciliation à la conférence de mercredi

Une déclaration du secrétaire des mineurs

LONDRES, 26 juillet. M. Cook, secrétaire des mineurs, a déclaré aujourd'hui que non seulement il était impossible d'envisager une augmentation des heures de travail ou une réduction de salaires, mais qu'il ne pouvait y avoir d'accord avec les propriétairës s'ils ne garantissaient pas, un salaire )au moins égal à celui de 1914, plus une indemnité de vie chère. « M. Herbert Smith (président des mineurs) et moi, conclut-il, nous nous en sommes portés garants devant un million de mineurs et de leurs dépendants. Nous. ne trahirons pas leur confiance ». ̃ La solidarité des cheminots

jWoodford (comté de Northampton), 26 juillet. Dans un discours qu'il a prononcé aujourd'hui, M. Kramp, secrétaire de la Fédération nationale des; cheminots, a déclaré, notamment

« Si le travail cesse dans les mines samedi prochain, une minute après tout transport de charbon sera arrêté et si les travailleurs sont suspendus ou congédiés pour avoir refusé de transporter du charbon, alors tous les cheminots seront entraînés dans l'affaire. Personne ne peut prévoir quel serait le résultat ultime d'un conflit. »

La grève des mineurs sarrois décidée pour aujourd'hui

àg-,

Sarrebruck, 26 juillet. La grève des. mi- neurs sarrois est définitivement décidée pour demain matin. Ce matin, des délégués des syndicats chrétiens des mineurs se sont réunis et ont décidé de se joindre au mouvement de grève des syndicats socialistes arrêté il y a huit jours. La grève générale des mineurs sarrois sera donc effective dès demain matin. Elle affectera 75.000 mineurs. ,M!r i,

L'évacuation d'Ëssen

Mayence,,26 juillet. Le départ des troupes de la garnison d'Essen a .eu lieu aujôurd'hui.

Le mouvement d'évacuation des troupes se poursuivra jusqu'au 31 juille,\ date à laquelle les territoires de la Ruhr seront définitivement remis aux autorités allemandes, en vertu des accords de Londres.

Interruption des pourparlers économiques entre l'Autriche et la Hongrie

Vienne, 26. juillet. On annonce que les pourparlers relatifs à un traité de commerce entre l'Autriche et la Hongrie sont interrompus et ne reprendront qu'en automne. Entre temps, un arrangement provisoire pourra être établi selon lequel l'Autriche accorderait à la Hongrie des réductions douanières sur les blés, fruits et légumes, tandis que la Hongrie ferait des concessions ré-ciproques sur le cuir, le papier et les tissus.

L'OPINION DES AUTRES

L'ANGLETERRE ET LE PACTE On sait combien l'opinion française est sensible à toutes les appréciations formulées en Angleterre sur l'avenir de nos rapports avec l'Allemagne. Nous •avons montré récemment, par quelques citations de nos confrères de Londres, que l'ensemble de la presse britannique était favorable à un accord qu'elle croit possible, moyennant certaines concessions que. nous ferions. Notre pays avait accueilli avec courtoisie et avec sang-froid 'les appréciations enthousiastes portées par nos confrères sur la réponse allemande. On ne partageait pas, en général, chez nous, cet optimisme, mais on se rendait compte que les points de vue devaient 'être différents, suivant qu'on jugeait de Londres et de Paris, et on attendait avec confiance la, suite des pourparlers engagés entre MM. Briand et Chamberlain, en vue de répondre, en plein accord1, à la note du Reich. Or, le discours, prononcé avant-hier à la. réunion des conservateurs du Lancashire, par M. Baldwin, a surpris certains de nos meilleurs -confrères.. M. René Lara (Gaulois) s'est,' notamment, alarmé de 1 épithète « conciliante ». appliquée par le premier ministre britannique à la réponse allemande.

L'épjthèle, dit-il, a de quoi surprendre, car l'examen' ie plus impartial du. texte de M. Stresemann et des commentaires qu'il y a apportés à la tribune du Reichstag ne révèle aucun progrès (dans le fond sinon dans la forme) des thèses allemandes, en frappante contradiction avec lés principes arrêtés d'un commun accord par M. Briand et 'M.; Chamberlain avant l'envoi de la note française à Berlin,

M. René Lara explique cette attitude de M. BaJdwin par des raisons de politique intérieure. Au million et demi de chômeurs, menacent de se joindre un -million de grévistes du Cartel des mineurs et des cheminots anglais. Cette situation tragique est la résultante d'une politique antérieure d'aide constante au "relèvement économique et financier du Reich et sa libération de toutes les servitudes des traités.

Le gouvernement conservateur anglais

La politique-yougoslave

1 g~

Le nouveau cabinet de coalition obtient un vote de confiance

BELGRADE, 26 juillet; La- discussion de la déclaration ministérielle s'est terminée aujourd'hui, au Parlement, par un vote.de confiance, 'dans le;. nouveau idâliinet. de coali- tion présidé par M. Pachitch.

Le parti paysan croate v ,«-.̃<

contre l'église catholiques'

LAYBACH, 26 juillet. ̃ Le commenceraient- des hostilités engagées par le chef des pays. croates Stephan Raditeli .contre les. institutions de l'Eglise catholique, constitue un coup de théâtre pour la politique' intérieure de la Yougoslavie. M. Raditch a déclaré qu'une des bases de son entente avec lés radicaux est le principe Les Croates doivent se libérer de Rome » »

Cette lutte ouverte contre le catholicisme est de nature a-provoquèr une grave scission parmi les Croates qui, de tradition millénai-'re, sont de fervents catholiques. On tient ̃' comme probable que les paysans croates abandonneront leurs leaders et chercheront des hommes nouveaux.

M. Raditch qui, hier, combattait le radicalisme -et le rot, veut maintenant avec l'aide de ce même radicalisme libérer complète. ment la Croatie du joug de Rome et créer une Eglise nationale croate.

Le président Coolidge et les dettes interalliées

Chicago, 26 juillet. ̃ La Chicago Tribuns apprend de Swampscott que le Président Goolidge fait à des correspondants û& journaux des déclarations importantes suf.; divers problèmes d'actualité. Abordant la question des dettes des. Alliés, le Président Coolidge â déclare que 'slip., attitude restera la mémo. On accordera aux nations débitrices tout le temps nécessaire pour s'acquitter et les meilleures conditions de remboursement possibles, mais M1.' Coolidge espère que les arrangements pour l'amortissement des dettes seront conclus rapidement.

L'état de santé de M. Mussolini

Rome, 26 juillet. Il se confirme que 'M. Mussolini souffrirait de plus en plus, de l'ancienne affection dont il est atteint à l'estomac.

Des bruits pessimistes circulent colpoiv tant la crainte d'une nouvelle intervention; chirurgicale.

Collisions en mer

Un vapeur anglais aborde un vapeur allemand

Londres, 26 juillet. L'agent du Lloyiï à Grimsby annonce que le vapeur anglais Pear Branch est entré en collision avec le' vapeur allemand Charlotto-Cords à causaid'Unjôpai&'bfoufl.la.ï-d. ,L,e y^eiu^UôBj^iijii ( a.. subi, de sënéusé.s avaries. 'r '̃' Une goélette' italienne

heurte un chalutier français Bizerte, 26 juillet. Le 25 juillet, à 23 h. 30, la goélette italienne DuescrelH a abordé par le milieu le chalutier Grondin, à un mille et demi au nord du cap Blanc. Le Grondin a remorqué le Duescrelli à Bizerte.

M. Renaudel et la participation

A Lunel (Var), M. Renaudeî' a prononcé un discours tendant à maintenir le Cartel contre la droite.

En présence, a-t-il dit, du danger de la constitution d'une majorité de. -droite, dont le chef serait M. Maginot, je demanderai à mes -miis socialistes de se déclarer partisans de la participation de notre parti au pouvoir. La situation économique est telle que des troubles graves peuvent en résulter. Nous ne voulons pas que ce- soit la réaction qui assure l'ordre. elle lt ferait à coups de fusil. Devant la. gravité de ce péril, je n'hésiterai pas à conseiller à mon. parti de prendre la responsabilité du pouvoir.

croirait donc maintenant politique d'incliner v&rsla démagogie. Par crainte d'un bouleversement social plus grand, il flatterait le pacifisme des .masses ou- vrières 'anglaises sourdement travaillées par les propagandes de Moscou et do Berlin. Et notre distingué confrère do s'inquiéter Une fois de plue, la manceuvro allemande réussira-t-elle à dissocier et affaiblir le front franco-britannique ? Est-ce que le pacte de garantie va servir de prétexte à de nouveaux chantages pour amener la France aux suprêmes dessaisissements dé ses droits et à la revision du traité de Versailles 2 •'•̃̃ -'̃- ̃"̃"«̃- .̃-̃ Telle --est, on peut le dire, exprimée dans une forme excellente, l'opinion moyenne de la grande majorité des Français clairvoyants, de ceux qui ont Je e sens de la solidarité internationale et so- ciale. Tout fléchissement du cabinet anglais' serait considéré à Berlin et à Moscou commte une victoire. On ne manquerait pas de croire et en ,tout cas d_é dire que c'est sous la pression d'inci* dents intérieurs, fomentés -par- la -pr&pai' ` garidë germano-rouge, que la ̃pûlîtvqùe européenne du Foreign Office a été^modifiée. Si cela était exact, 6çla serait effectivement très grave. Dans les Débats, M. Pierre Bernus slé- tonne de ce que les ministres anglais ne paraissent plus se souvenir de l'accord intervenu le mois dernier entre MM- Briand et Chamberlain.. Ils ne se rappellent pas non plus que, si l'Allemagne a fait ses propositions du 9 février, c'est parce qu'elle voyait- que la France et l'Angleterre étaient sur le = point de,s'entendre sur le problème de'la sécurité.Dans le cas les arrangements conclus entre Paris et Londres seraient constamment, remis en question, toute ` confiance dans une collaboration loyale des deux pays disparaîtrait. La négocia- j J tion engagée avec l'Allemagne n'y gagnerait rien.

Aucun pacte, conclut notre confrère, ne sera possible si la France et l'Angle- terre ne demeurent pas solidaires. ierre Villette;


Le Grand Prix de Vitesse de l'Automobile Club de France

[Suite de notre article de première page] La première heure

À huit heures, le départ est donné lancé, 'derrière deux voitures-guides et, dans un grondement de tonnerre, les quatorze concurrents disparaissent.

Ascari est nettement détaché dès le premier virage pendant toute la première î heure, c'est lui qui va mener la ronde, bouclant ses tours régulièrement à plus de cent > vingt kilomètres, et atteignant même 128 kilom. 205 au second et au cinquième tour. Derrière le- leader, Divo se maintient d'abord à- peu de distance, puis une fâcheuse panne l'arrête. Trois foie, il va être obligé de stopper au ravitaillement, perdant ainsi plus de' cinq tours.

Campari est second, tandis que Massetti rétrograde derrière JWagner, qui conduit sa course de façon remarquable. Seegrave -'este dans le sillage de Benoist, qui est bon Cinquième.

Les Bugatti .ferment la marche, sans pousser à fond.

'Les seuls arrêts sont ceux de Divo, dont nous parlons plus haut de Brillé-Péri, qui change de volant, et de Pierre de Vizcaya. Au dixième tour, le classement s'établit ainsi

1. Ascari. 2. Campari, 3. Wagner, 4. Massetti, 5. Benoist, 6. Seegrave.

Les 125 kilomètres ont été couverts en moins d'une heure par le premier, qui monte encore son record au 11° tour, à 128 kil. 939.

Pas une s,eule crevaison n'a été enregistrée. Une ondée a arrosé la piste pendant qulques minutes.

` La deuxième heure

La deuxième heure est plus mouvementée. La voiture de Divo, repartie avec un retard considérable, pilotée par un rempla-.çant, ne fait qu'un tour, et est immobilisée définitivement. Un de ses compresseurs ne fonctionne pas.

.Les ravitaillements deviennent plus nombreux. Ascari, -Wagner, Caiiiipari,. Conelli changent leurs pneus et font le plein. 'd'essence.

Au vingtième tour, Ascari est toujours en tête mais Benoist a passé second devant Çaïïipan et Maésetti' dans 'l'ordre.

La troisième heure

Pendant que Benoist change vivement ses roues et cède sa place au volant à Divo, un accident se produit. Ascari capote à la sortie dé la ligne droite. On annonce qu'il est transporté grièvement blessé à l'infir.merie :de Eainte-Eutropc.

Son compatriote Campari devient donc premier, Massetti second et. Divo troisième quelques secondes, talonné par Seegrave.

La lutte n'est pas moins acharnée pour les autres places. Wagner se rapproche, et Bugatti continue sa course très régulière.. Conelli abandonne au 23e tour.

Au vingt-cinquième tour, le classement est celui-ci

1. 'Campari, 2. Massetti, à V 16" 3. Seegrave, à 3' 36" du second 4. Divo, 5. Vostantini. Il faut noter la progression de Costantini, tlont l'allure est de plus en plus rapide. Les Bugatti et les Sunbeam se ravitaillent à -leur tour sans incidents. A la suite de leurs arrêts, la position des concutrents est la suivante au 30° tour ï .?

1. Campari, en 3 h. 5' 55" 2. Benoist, à "S'- il" 3. Massetti, à 57",

En allant prendre,des nouvelles d'Ascari, nous assistons, au Fay, à quelques virages impressionnants. On nous apprend à l'infirmerie que le populaire champion italien a îdû être emporté 'd'urgence Paris, où on ,ya, sans doute, l'amputer d'une jambe. Au 35° tour, Benoist égale le record du tour •et au 36° Divo réussit à l'abaisser-d'une seconde, faisant 5 minutes 48.

Les quatrième et cinquième heures Il est l'heure du premier service au buffet. Pendant que les spectateurs prennent un hâtif repas, la ronde continue à la même allure. Mais si la fatigue ne semble pas se manifester chez les coureurs qui, d'ailleurs, se relayent quelques voitures sont éliminées par des accidents imputables aux

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hasards d'une course aussi vivement menée.

C'est ainsi qu'on voit disparattre les Sunbeam de Conelli et de Massetti. Puis, le haut-parleur annonce une triste nouvelle la mort d'Ascari, Tîêcédé avant d'arriver à la clinique.

Ses co-équipiers Campari et Brilli-Peri, abandonnent alors l'épreuve en signe de deuil.

Au 5ûa tour, le Français Benoist est premier devant Massetti qui suit à 5 m. 33 s. Les cinq Bugatti sont toujours eh course. La pluie rend ia piste glissante et vide les tribunes des quelques .spectateurs quelles contenaient encore.

La seconde partie de la course Les concurrents gardent leurs positions respectives. Au cinquante-cinquième tour, terminé par Benoist en 5 h. 54 m. 22 s., c'est-à-dire à une moyenne de 111 kiL environ, Massetti est ;second avec 6 m. 21 s. de retard. Viennent ensuite Wagner et Costantini.

Jusqu'au soixantième tour, aucun changement. Benoist les boucle en 6 h. 29 m. 29 s., toujours en première ligne, à la moyenne de 110 kilom. Si la vitesse diminue un peu, c'est à cause de la pluie fine qui s'abat sans discontinuer.

Au soixante-cinquième, tour toujours par Benoist, en. 7 h. 11 m. 43 s. Massetti a 11 m. 43 s. à combler. Puis viennent Wagner, à 1 m. 6 s., et Costantini, à 2 m. 5 s. Les quatre premiers passent donc dans le même quart d'heure.

Le Président de la République fait son apparition dans sa voiture Renault. Il s'installe dans la tribune d'honneur et est longuement applaudi.

Un peu avant le soixante-dixième .tour, Wagner passe son adversaire direct Massetti et lui prend 4 secondes, ce qui déclenche une ovation. Il se lance à la chasse de son co-équipier Benoist, chronométré en 7 h. 42 m. 4s.

D'ailleurs, la Sunbeam est en difficulté et se fait souffler la troisième place par Costantini.

On attend d'autant plus impatiemment la fin que le temps est exécrable. Sauf imprévu, la victoire de Delage est acquise elle est accueillie par d'unanimes bravos.

Voici le classement

1. Benoist, sur voiture Delage carburateur nith, roues Rudge-Whitworth. amortisseurs Hartford), couvrant les 1.000 kni. en 8' 54' 41" 10. 2. Wagner, sur voiture Delage (carburateur Zénith, roues Rudge-Whitworth, amortisseurs He.vttord), en 9 h. 2' 27".

3. Costanlini, sur voiture Bugatti {carburateur Solex), en 9 h. 6' 13".

4. Massetti, sur voiture Sunbeam (carburateur Solex, roues Rudge-Whitworth, amortisseurs Hartford), en 9 h. 7' 38".

5. Goux (Bugatti).

6. F. de Vizcaya (Bugatti).

7. P. de Vizcaya (Bugatti).

8. Foresti (Bugatti).

Les 6 autres ayant abandonné.

Le Président de la République félicite cordialement MM. Delage et Benoist. Il a ensuite un mot aimable pour M. Bugatti, l'autre vainqueur, et pour chaque arrivant. A la demande générale, Benoist fait un tour d'honneur, à petite allure, en compagnie de son mécanicien, qu'il tient à associer à sa victoire. Il dépose une gerbe de fleurs à l'endroit où le malheureux Ascari a été victime de son terrible accident.

Considérations techniques

.En dépit du temps, défa vocable et. des difficultés inutiles causées par la commission de l'A. CF. avec le changement de sens, la moyenne a été très élevée. On ne l'espérait pas aussi forte.

Bien entendu, les as en course méritent des éloges, mais il serait injuste de ne pas souligner l'effort heureux des constructeurs, qui ont présenté des- engins admirables, aux moteurs puissants, réguliers, aux reprises nerveuses et aux f'-eins impeccables. On ne peut, en toute équité, insister sur la défaite d'Alfa-Roméo, qui a abandonné de son plein gré. Toutefois, on doit observer que jamais la célèbre marque italienne n'avait été menacée aussi sérieusement. Si Ascari avait établi le record du tour en 5 m. 49 s., Benoist ayait enregistré, peu après, le même temps, et Divo l'avait abaissé d'une seconde. Par conséquent, il était impossible de prévoir une victoire facile d'Alfa-Roméo sans mésestimer ses adversaires. De-

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lage et Bugatti ont gagné sains contestation, de la façon la plus nette. ̃ ,•

L'équipe Delage, très disciplinée, fiùfû de. ses engins, a fait preuve d'un merveilleux mordant. Les tables de chronométrage permettent de constater que Divo, puis Benoist, i marchaient aussi vite qu'Ascari, puis que Campari, et môme plus vite, puisqu'ils lui reprenaient méthodiquement sa légère avance. De bout en bout, Delage a eu une tenue de vainqueur.

Le carburateur Zénith n'équipait qu'une seule firme, Delage. C'est une référence et un triomphe de plus 'pour le célèbre carburateur. A tous les régimes, à toutes les vitesses, Zénith n'a jamais de défaillance. Il convient mieux que tout autre aux moteurs suralimentés, et il le prouve en s'înscr.iv.ant au palmarès de la course la plus importante et la plus ouverte de l'année.

Aux grandes allures, le moindre cahot s'amplifie, et devient aussi dangereux que pénible pour le conducteur et le châssis. C'est pourquoi le choix.de l'amortisseur fait toujours l'objet d'études minutieuses et d'essais soigneusement contrôlés. Que trouvonsnous 'sur la voiture gagnante, ainsi que sur les autres Delage ?. Hartford. Rien d'étonnant à cela; car noblesse oblige. La meilleure voiture devait avoir le meilleur amortisseur. La démonstration de Bugatti a été éclatante. Jamais, à notre connaissance aucune équipe aussi nombreuse n'a terminé sans, déchet une épreuve aussi dure. Et pourtant, les petites voitures venues par la route n'avaient pas été essayées sur le circuit mais elles étaient absolument parfaites en arrivant de Molsheim et, à aucun moment, on n'a eu l'impression qu'elles pouvaient flancher.

L'an dernier, Bugatti n'avait pu défendre sa chance à cause de ses pneus qui, trop frais, se déchapaient. Cette année, il a pris une revanche dont il n'avait point besoin pour consolider sa réputation, mais qui lui a été aussi agréable qu'à tous les sportsmen •qui suivent les efforts persévérants et intelligents du populaire constructeur.

Au Grand Prix de Tourisme, 4 Bugatti sur 5 au Grand Prix de Vitesse; 5 Bugatti sur 5. Ces résultats sont éloquents.

Pirelli équipait Alfa-Romeo. Comme toujours, ses pneus ont tenu admirablement, et aucun changement n'a été motivé par des crevaisons.

Rendant un juste hommage à la célèbre firme italienne', Sunbeam avait monté ses roues arrière sur Pirelli. S'il ne l'avait pas fait pour son train avant, c'est que le temps manquait pour faire la transformation mécanique indispensable.

Donc, marquons un succès de plus pour les irréprochables pneumatiques, increvables aussi bien sur terrain sec que sur terrain mouillé. Au cours de 1.000 kilomètres, émaillés de freinages redoutables, on peut amplement juger de la valeur d'une enveloppe.

Il n'est pas inutile de mentionner que le capotage d'Aecari n'a pas été occasionne par un éclatement, et que ses quatre pneus étaient intacts après l'accident.

En 1924, des bougies défectueuses avaient éliminé Sunbeam. A Montlhéry, il a pu enfin défendre sa chance, et il l'a fait avec un brio splendide. L'arrêt de Seegrave et de Conelli l'a forcément handicapé, mais la performance du comte Massetti n'en est que plus belle. Seul contre tous pendant une bonne moitié de la course, il a lutté avec une ténacité inlassable, et sa place à l'arrivée démontre qu'il était l'égal des meilleurs. Que dire des roues Rudge-Whitworth ? Elles sont indispensables aux voitures de course comme à celles de tourisme, parce qu'elles sont solides, rationnellement adaptées, faciles à enlever comme à replacer et absolument indéformables. Seul, Bugatfi n'en était pas muni, mais ses rbues d'aTu.minium ont. le:, verrouillage R,udge.yiht-,

'îworth.' ̃ ̃. •;

A des engins tournant à plus de 110 kilomètres de moyenne pendant neuf heures. un lubrifiant parfait est indispensable. Fait à souligner, tous les concurrents avaient choisi l'huile Castrol. Ceci se passe de commentaires.

Castrol enregistre donc une nouvelle victoire, qui s'ajoute à celle qu'il a remportée au Grand Prix de Tourisme (1.500 cmc al.3 3 litres). Il était déjà titulaire, entre autres, des Grands Prix d'Europe 1924 et 1925, et des Grands Prix de. l'U. M. F. pendant six années consécutives.

Les partisans de la suralimentation et les autres restent sur leurs positions. Si Delage et Sunbeam, en effet, sont suralimentés, Bugatti, qui a terminé sans déchet, ne l'est

pas.

En résumé, les automobilistes peuvent déduire du Grand Prix de vitesse des conclu-

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Técalémit à Montlhéry

Pourquoi tous les concurrents des Grands Prix avaient-ils adopté le graissage Técalémit 1

Parce qu'il donne toute sécurité et n'en est plus à faire ses preuves.

Pourquoi tous les touristes adoptent-ils 1 s gaines métalliques flexibles Técalémit pour ressorts ?

Paree qu'elles justifient leur devise un ressort de velours dans un gant d'acier. -.=̃ Pour la route comme pour la course, il n''y a pas de meilleur auxiliaire que Técalémit.

Ascari

Le coureur Ascari, qui s'est tué au cours du Grand Prix de Vitesse, était un des meilleurs conducteurs européens. Il avait remporté, entre autres épreuves importantes, la Targa Florio 1923, le Grand Pnx d'Italie

1924, et le Grand Prix d'Europe 1925. Avant la guerre, il avait participé à de nombreuses compétitions d'amateurs, et s'était fait remarquer pour sa virtuosité.

Ascari, né à. Vérone, était âgé de trentesix ans, il laisse une veuve et deux enfants. Sa fin tragique a attristé tous ses camarades, à qui il était extrêmement sympathique.

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-♦- Dans une récente assamblée générale, l'Association amicale des internes en pharmacie des hôpitaux et hospices civils de Paris a procédé à l'élection les membres de son nouveau bureau. Oni été élus président, M. Louis Berthier (Pitié) vice-présidents, MM. de Traverse (Maternité) et Gadereau (Saint-Antoine) trésorier, M. Lenormand (Broca) secrétaire général, M. Le Carrée (Bertonneau) conseillers, Mlle Desmarets, MM. Lejeune, Ollivier, HeurtauM, Pichon.

-♦- M. Arthur Levasseur, haut-commissaire aux loyers, a constitué son cabinet a.|nsi qu'il,suit

11 Chef de cabinet M. Jérôme Levy, publiciste, ancien chef de cabinet du garde des sceaux et du ministre du commerce. Chefs adjoints MM. Pierre Paral, docteur en droit, homme de lettres Yves Dislay, avocat à la Cour.

Chef du secrétariat particulier M. André Link.

Chargés de mission MM. P. Bourcier, ingénieur Camille Rosier.

̃+̃ Le ministre de l'intéieur vient de porter trois mois la suspension prononcée ,pan.le pré^t contre M. de La Fargue, maire d'Albias (lam-et-Garonne), pour fraudes électorales.

̃ M. Emile Borel, ministre de la marine, a assisté hier, à Grenoble, au congres de la Société pour l'avancement des sciences, dont il est président.

Le ministre présidera aujourd'hui le banquet de clôture du congrès.

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Cet exercice paraît simple, mais si vous vous appliquez à la description de certains stands des Arts Décoratifs, notamment de la classe 21, le procédé devient insuffisant. Ce n'est pas en quelques instants qu'il est possible de grouper dans la rétine le dispositif d'une vitrine. Il y a trop de détails encore inédits, trop de recherche subtile pour que l'œil, si habitué soit-il, puisse se satisfaire en si peu de temps.

Arrêtons-nous devant le stand du chemi-

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On trouve morte, dans une cave, a femme d'un antiquaire de Neuilly Dans la cave d'une maison, 41, avenue de Neuilly, on a trouvé, hier matin, le cadavre de Mme Baudé, âgée de 64 ans.

M. Baudé, qui est antiquaire, avait signalé, il y a trois semaines, au commissariat de Neuilly, la disparition de sa femme. Les recherches, diligemment poursuivies depuis ce moment, n'avaient donné aucun résultat. Et cette disparition inexpliquée semblait d'autant plus inquiétante que Mme Baudé, atteinte de troubles nerveux, avait dû, à plusieurs reprises, être soignée dans des maisons de santé.

Le commissaire de police a commencé une r enquête pour déterminer les causes de la mort; Le corps est dans un état de décomposition tel, qu'il est impossible de voir, d'après un-t premier examen, si l'on est en présence d'un accident, d'un crime ou cl:im suicide.

MM. Baudé père et fils, leur concierge et plusieurs locataires de l'immeuble ont été interrogés.

Certaines déclarations de la concierge étant en contradiction avec les dépositions de MM. Baudé, ceux-ci ont demandé à être mis à la disposition du commissaire de police.

NOUVELLES RELIGIEUSES À l'occasion du passage de S. E. le cardinal Tacci, Jégat du pape en France, aux fêtes de sainte Postel, dans les principaux lieux de pèlerinages français, l'œuvre Sainte-Françoise Romaine, dont est- protecteur le cardinal Tacci. invite les veuves à assister, avec leurs enfants, aux messes que lé cardinal célébrera dans les Meux de pèlerinages suivants à Lisieux, Je 18 août à Paray-le-Monial, le 23 août à Ars, le 25 août. Un service en autocar privé, de Lyon à Ars, amènera tout le monde pour la messe du cardinal. S'adresser, pour Lisieux, à Mme ;Epinette, Ai, rue du Qiatre-Septembre, Le Mans pour Paray-le-Monial et Ars, à Mme Marduel, Meximieux (Ain).

o– On annonce qu'aux fêtes qui seront célébrées à Nevers, les 4, 5 et 6 août, assisteront S. E. le cardinal Maurin, archevêque de Lyon, président d'honneur Mgr Chaieliis,- évoque- de Nevers, président; Mgr Chèsnelong, archevêque de eSns Mgr Ruineau évêque d'Angers Mgr Bourphany, auxiliaire du cardinal de Lyon Mgr Garîiier, èvêque de Luçon Mgr Chassagnon, évêque d'Antin Mgr Graz, évoque de Caliors Mgr Feugier, auxiliaire du cardiaial de Lyon à Saint-Etienne Mgr Mignen, évêque de Montpellier les RR. PP. abbés de Notre-Dame de Sept-Fonds, de Saint-\Vandrille, de Lérins.

o– La Fédération nationale des étudiants catholiques vient de (publier, pour l'année 1925-1926, un Annuaire des étudiants catholiques de France. Des renseignements indispensables aux élèves catholiques des ̃Facultés et des grandes écoles de toutes les ,villes universitaires, sont rassemblés dans cette brochure. Tous ceux qui s'occupent 'd'action catholique seront intéressés par ce tableau de l'organisation catholique dans les milieux de l'enseignement supérieur. o L'Union catholique du personnel des chemins de fer français célébrera, à Paris, le premier dimanche d'août, sa fête fédérale. La veille aura lieu, à la basilique de Montmartre, une nuit d'adoration sous la présidence de Mgr Reymann, directeur de «l'Œuvre. Le 2 août, à 7 h. 15, assemblée Générale d'études au cercle du Sacré-Cœur à 9 h. 30, grandtoesse à la basilique de Montmartre à 16 heures, cérémonie de clôture à Notre-Dame, avec allocution-4U R. P. Dieux, de l'Oratoire. Paul Lesourd.

Un évêque anglican malmené ftvant-liier, les mineurs avaient organisé •'à. Durham comme chaque année, une fête en plein air, avec leurs familles et les gens du T>ays. Environ 200.000 personnes étaient rassemblées. Des hommes politiques proiitèrent de cette occasion pour haranguer ̃J'assistancc. M. Ramsay Macdonald et plusieurs autres orateurs parlèrent du conflit .qui existe actuellement entre les mineurs et les propriétaires de charbonnages. Incidemment, les orateurs eirtiquèrent (vivement l'évêque anglican, Mgr Weldotn, pour s'être immiscé dans le conflit par des 'articles publiés dans un journal de Lon-

p'res..

A ce moment ,1'évêque, un vieillard de 72 ans, qui avait toujours manifesté ce-pendant de la sympathie pour les mineurs, fut aperçu dans le voisinage de la tribune ides orateurs.

Les extrémistes se ruèrent de son côte. fie conspuèrent, lui jetèrent des pierres et d'autres projectiles, le bousculèrent, et le poussèrent peu à peu jusqu'au bord de la rivière dans l'intention de le jeter à l'eau. ta. police, se voyant impuissante, réquisitionnaun canot automobile qui passait par l' là et arriva juste à temps pour recueillir le vieillard. Celui-ci en fut quitte pour des hõ rions.

Un fait significatif, c'est qu'au cours d'un défilé à travers les rues de la ville, un certain nombre de mineurs avaient fait parade des portraits de Lenine et de- Karl Marx.

Une « Fête champêtre » communiste à ViryrChâtillon r

;Lâs groupements communistes de Seine et de Seixw-et-Oise avaient décidé d'employer la journée d'hier, sous couleur de « fête champêtre à une importante manifestation en plein air. Le succès ne répondit pas aux espoirs des grands maîtres du parti. A cause du temps, d'abord. A cause, ensuite, des mesures prises, qui obligèrent les organisateurs à modifier leur programme à la dernière minute.. Le lieu choisi en dernier ressort fut la commune de Viry-Châtillon. Mais le préfet de Seine-et-Oisc avait reçu des instructions précises et transmis aux services de gendarmerie de sévères consignes. Aussi d'imposantes forces policières attendaient-elles Jes manifestants, dès le seuil de la garo.de Viry. Ceux-ci durent se plier aux ordres donnés .par la préfecture, qui interdisaient les rassemblements trop nombreux, les chants

et môme les cris..

Les « assises communistes » se transformèrent donc, bon gré, mal gré, en innocente partie de campagne. mouillée. On dut se serrer sous le marché couvert pour déjeuner, tandis qu'aux carrefours, les détachements de gendarmes faisaient bonne garde.

UN ÉNERGUMÈNE

A sept heures, hier matin, des coups de revolver réveillaient les habitants d'un immeuble, 68, rue Marcadet. Debout, derrière sa fenêtre, le buste ceint d'une écharpe rouge, un locataire, Alfred Fougeras, connu pour l'intransigeance, de ses opinions communistes, tirait à tort et à travers, tantôt dans la direction de la rue, tantôt sur les murs de son logement. Quand il entendit, que des agents montaient j'escalier, il ouvrit, sa porte et fit feu sur eux. Il fallut eraployer les pistolets i1 gaz pour maîtriser cet' enérrtumène et le conduire à l'infirmerie spéciale. C'est miracle qu'aucune de ses balJes n'ait atteint quelqu'un.

COURRIER DES THEATRES Ce soir ̃• i

A L'OPÉRA, à 8 heures, la Valkyrie (Mlle Jeanne Bourdon MM. Franz, Delmas Mlles Marise Ferrer, Y. Courso'; M. A. Gresse Mmes Laute-Brun, Marilliet, Nespoulos, Lalande, Dubois-Lauger, Montfort, Cossini). Ojch. M. Ph. Gaubert. `

A LA COMÉDIE-FRANÇAISE, à 8 h. 30, Democrite (M. Rognoni, Mlle A. de Chauveron) Aimer (M. J. Guilhène jouera pour la première fois Challange M. André Luguet jouera pour la première fois Henri Mlle Marie-Thérèse Pièrat). '< A l'Opéra-Comique, à 8 heures,' la 'Vie de bohème (Mlles Villars, Dhamarys MM. Fraikin, Bourdin, Rousseau, Dupré, GuénoU Mesmaecker). Orch.: M. Archainbaud Paillasse (Mlle Sibille MM. Ctiarlesky, H. Albers, Pujol, Goavec); Orch. M. Renauld.

Au GYMNASE, à 8 h. 45, les Vignes du Seigneur (MM. Paul Villé, Robert Charlys, G. Jacques, A. Lancien Mmes Flora Dehon, Solange Sicard, Daubray-Joly, M. Rienzi, R. Fermel). A LA GaiTÉ-LyRIQUE, à 8 h. 35, les Saltimbanques (Mme Régine Chasles, Mlle Henriette Alexandre MM. Pierre Darmant, Gérardy, M. d'Aurlec, M. Kolly, M. Fredia'ni 'et M. Détours). Ballets Mlle Capry, danseuse étoile. (Tré-Ki). I AU Théâtre Sasah-Bernhardt, à 8 n. 30, Mon curé chez les riches, avec MM. Marco, H. Monteux, Maxime-Léry, Mmes Jeanne Delys, Jehanno et Cassive. (Dim. et fêtes, mat. à 2 h. 30). Au Nouvel-Ambigu, à 8 h. 30, la Grâce de Dieu' (MM. M. Lamy, Chabert, Chanot, Clénat, S. Nivette, J. Dulac, G. Niclos, Coquelet, Barsange, E. Favier).

A LA RENAISSANCE, à 8 h. 30, la Sonnette d'alarme (Blanche Hellé, Marcelle Dermilly, Lagrange et Fertinel, Lucie Lindsey, Grange et Denevry).

A L'ATHÉNÉE, à 8 h. 30, les Nouveaux Messieurs (Andrée Féranne, Jean Capoul et André Nicolle).

Au PALAIS-RoYAL, à h. 45, le Monsieur de cinq heures (MM. Ch. Lorrain, Géo Leckrcq, Jac- ques Gaudin Mmes Lucienne Givry, Suzanne Berni, Dolly Spring).

Au Théâtre DE Paris, à 8 h. 30, l'Ecole des Cocottes, la pièce la plus gaie dans le plus luxueux théâtre. Aux BoUFFES-PARISIENS, à 8 h.45,, P.L.M. (MM. George Max de Rieux Mmes AllemSi Eliane de' CrêunJ. ̃̃-̃̃̃;

Au GRAND-GUIGNOL, à 8 h. 45, Un accès de jalousie, Gardiens de phare, là Dame de~Brcme et le Monsieur de Cristal. Un crime dans une Maison de fous, Mon cher' confrère. Mat. meiçV, sam., dim. et fêtes.

Aux Capucines (Tél. Gut. 56-40), à 9 heu.res, Quand on est trois (Mlles Zabeth Capazaz, Clairette, Pascaline et Pepée MM. Roger Norac, René Destrey, Fenonjois, etc.).

Au THÉÂTRE FEMINA, à 8 h. 45, Un ménage à la page (Mmes Madeleine Guitry, Simone Deguyse et Marguerite Ducouret MM. Villa, Hiéronimus).

Au THÉATRE DES Nouveautés, à 8 h. 45. Pas sur la bouche (Marthe Ferrare et Henri-Laverne et Mary-Hett, Germaine Kym, G. Champell B. Berty et José Sergy et Marcel Franck). Morins, Gobet).

Au Théâtre DE L'EXPOSITION, à 9 heures, Gala de danse avec le célèbre Boris Kniaseff, sa troupe et la cantatrice Giselle Sorbon, Costumes et décors nouveaux.

Opéra. L'Opéra donnnera vcçdredi, après Rigolello, le charmant ballet de SiangSin-y de M. Georges Hue, récemment créé sur cette scène avec le plus brillant succès.

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Opéra-Comique. Mlle Augusta. Garcia reparaîtra Salle Favart, demain mardi, "dans Manon. Mlle Mona Païva, MM. Burdino, Bourdin, Audoin, interpréteront avec elle les principaux rôles de l'ouvrage de Massenet. M. jV|#uriçe Frjgàr# dirigera l'orchestre. Maxime Girard.

̃ «•

r BOUFFES-PARISIENS H X.E! S3ETJL VEAI SUCCES ̃ P.L.M a N opérette de Bip et Christine g «̃̃̃ DIMANCHE MATINÉE à 2 h. 30 HHH

SP&CTA8LSS&C0NCSSÏS

Aujaurdnm: z

Même spectacle que le soir i; ``

A l'Olympia (2 h. 30).

Ce soir ̃ .̃̃

AUX FOLIES-BERGERE, à BK. 30, la nouvelle super-revue de M. Louis Lemarchand Un soir de

jolie.

Au CASINO DE Paris, à 0 h. 30, Paris en fête nouvelle version de ta revue Bonjour Paris (Patisys, Nutty et Tillio, Dutard, Serjius, Lily Mounet; Claire Luce, Marion Forde et les 16 Lawrence Tiller's gi'rls).

A l'Olympia (Centrai 44-68). à 8 h. 30. Ouvrard Sarthel Mlle Hélène Baiidry et 11talienne Yvonne de Fleuriel Janine Klotza et R. Lizot Les maçons américains le clown Franck Pichel, etc. Vend., sam., dim., Dancing de 5 à 7. Entrée 3 francs.

Au PALACE (Tél. Betg. 44-37). à 8 h. 30. Raquel Meller dans Vioe la Femme 1 la plus belle revue du monde 150 artistes 45 tableaux 1.500 costumes.

AU MOULIN-ROUGE WrtJSIC-TTAU, (MarcaJel 15-27). à 8 h. 30, la Grande Revue (Marcelle Yrven. Dréan. Gariel, Oy-Ra,Baldini, Luisa Monero et les 18 Gertrude Hoffmann girls).

A L'EMPIRE (Tél. Wagram 60-58). Musichall-cirque. Tamara Gamsakourdia et Alexandre Demidoff, Marguerite Carré. 20 attractions. Aux AMBASSADEURS (Champs-Elysées, tél. 43-73). La grande revue Sans chemise, avec Harry Pilcer, Gina Palerme, les sœur Guy, 400 artistes, 1.500 costumes.

Au CONCERT Mayol (Tél. Gut. 68-07). La nouvelle revue à grand spectacle Très excitante, .15 tableaux avec Isabelita Ruiz 250 artiste» 1.200 restumes.

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Pour un 26 juillet, le ciel a un peu exagénij,, la dose. La Société Sportive, grâce à qui, au point de vue sport, la première partie de la saison se termine en beauté, méritait mieux au point de vue mondain, l)u irioins; les courses n'ont-cllcs pas souffert,, et -l'Omnium de Deux Ans, en particulier, a tenu toutes ses promesses.

C'est un fait que la place occupée 'au -dé*?' part joue son rôle dans les courses en ligne droite. Aussi ne doit-on sans doute pas considérer comme exacte la -complète dôr. faite de Mont Bernina, qui avait le plus mauvais numéro et était tout à fait à l'extérieur. Lui excepté, l'arrivée s'est bien passée entre -les deux plus qualifiés du lot, et personnellement nous ne 'sommes pas du tout surpris que Deauville ait devancé Darial. L'opinion de la majorité est que celuici aurait dû gagner et ne doit sa défaite; 1 qu'à la façon certainement peu heureuse, dont il a été monté. Il est incontestable qu'il a fini très fort, mais, à..ce moment, Deauville avait terminé sa tâche, et, ne pouvant plus être rejointe, était insensiblement ralentie. Rien né dit qu'elle n'eût pas été ça-, pable de résister à l'attaque de Darial, S-j celle-ci s'était produite en cours de routé. Affaire d'impression, que tranchera l'avenir. Notre impression très nette est que Deauville est Une excellente pouliche, dont on doit beaucoup attendre. Actuellemeol, elle ne paie guère de mine et a pas mal à gagner, sinon de condition, du moins d*asj pect.. Loin de la voir faire moins bien plus tard, noua- nous.atten^ons, pour nQtre/'DaFtf: n à la voir fàirte encore inieù> f ̃ .^Canapé, à l'état de neuf, a gagnê-aaifs"1 sôn'Btylé'-des- bons-joûrs' le Prix Monarqpjgp Sandcliff n'est, évidemment, pas entièremejji, de sa classe. Âïmaviva n'y est plus gùèi'ef* Ycomoleva n'y est pas tout à fait encore et Ariel et Valmiki sont plutôt des chevaux de handicaps que des chevaux d'épreuves classiques.

Prix d'Igny '(à vendre aux enchères, 6.000 fr., 1.000 mètres). 1. Chardinie, â M. Michel Lazard (C.-H. Semblat) 2. Nanine, à M. AndrtVdc Fournas (Ch. Hobbs) 3. Ouistiti, à M. Franck Jay-Gould (C. Herbert) (8 longueurs. 3/4 de lon-

gueur).

Non placés Sorella II, Pégase VII, Goroma; \'er Luisant, Unique IV, Linette, Crapotte. Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 40 fr. 50. Placés Chardinie, 16 fr. 50 Nanine, 17 francs Ouistiti, 37 francs.

Prie d'Ouilly (10.000 francs, 2.20O mètres). 1 l Armistice, à M. Adolphe Hoffmann (F. Hara-is) 2. Cassard, à M. Jean Prat (C. Herbert) 3. Rhigas Ferraios, à M. E. E. Ambalielos (M. \mossé) (courte encolure, 1 longueur 1/2). Non placés Fantasia, Dracoçna, Krivoï Rog, Ame Folle, La Bougeotte, York II, RennemoũMn, Rigolette V, Noisetier. Sourire d'Avril, Gaïdar, Yokel, Le Sultan, Epithète.

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 12» fr 50. Placés Armistice, 36 francs Cassard, 23-<fr. i Hhigas Ferraios, 22 francs.

Pria Monarque (10.000 francs. 2.400 mètres). I Canapé, à M. Michel Lazard (C.-H. Semb'at) • 2 Sandcliîf, à M. F. R. Hitchcock (F. Kcoéhj 3. Valmiki Il, lt M. Adolphe Hoffmann (G Bartholomé) (2 longueurs. 3/4 de longueur" Non placés Aïmaviva, Ariel, Casino de Paris. Ycomoleva.

Pari mutuel à 10 francs Gagnant. 26 francs. Placés Canapé, 13 fr. 50 Sandeliff, 17 fr. 50. Omnium de Deux Ans CiO.000 francs, 1.100 metivs1, 1. Deauville, à Mme Edriiond-B'ane i.G. i Sterii) 2. Darial II, au prince Aga Khan (D. I Torterolo) 3. La Caporale, à M. Jacques MalosI sian (A. Sharpe) (1/2 longueur, 1 longueur). Non placés Maekwiller, Banstar, Orestes, Mont Bernina, Loup Berger.

Pari mutuel à 10 francs Gagnant, 01 francs. Placés Deauville, 18 francs Darial II, 12 fr. La Caporale, 20 francs.

Handicap d'Eté (25.000 francs. 2.000 mètres). 1 l;l Paso à M Emile Marchand (K Williams) 1* Belle^arde à M. Paul Wertheimer (F. Keogh) 3. Etelfay, au comte de La Cimôra (J. Jennmgs)

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ATHLETISME'

~'La F.rance bat l'An leterre

La France bat l'Angleterre

Lé quatrième match franco-britannique de courses à pied et concours athlétiques s'est .terminé par une victoire de la France, battant l'Angleterre par 59 points à 53, même sans Guillemot,, qui n'a pu faire le déplacement. C'est un résultat qui était peu escompté. Sans vouloir diminuer le mérite de nés'1 représentants* i! convient de constater qu'il fut peut-être facilité par l'absence de deux ou trois bons athlèt&s anglais Ceci n'est rien.devant le-résultat brutal la France bat 'l'Angleterre en athlétisme. Venant après nos grandioses s.uccès de Wimbledon, l'affaire prend une haute importance, elle va être claironnée aux -quatre coins du monde daïis tout l'empire britannique, pour le plus grand bien du renom et de la grandeur de la France: Si, dans l'ordre des sciences et des lettres,' les succès français sont toujours .d'importance, aujourd'hui ceux du domaine du sport comptent. aussi, qu'ils soient de pur athlétisme -ou qu'il s'agisse de mécanique. ;C est pourquoi il, convient de se féliciter du résultat acquis à JBrighton et d'en remercier les athlètes qui. surent l'obtenir. PAUL

Champ.. s

-Brighton, 25 juillet. (De notre correspondant particulier.) Le matcli.France- An- ̃gleterre, qui vient de se terminer par une victoire' française, par 59 points à 53, avait attiré au Preston Park 6.000 spectateurs pour le moins, parmi lesquels beaucoup de ^personnes en villégiature estivale ici, car il semble bien que l'élément, local se soit un peu désintéressé de la rôunton; p'«>bablemenfcpar l'absence d'une enceinte à des prix vraiment populaires. Malgré l'absence de 'deux ou trois-bons athlètes anglais, oncomptait .voir triompher. l'Angleterre on fut un tantinet surpris d'assister au résultat con- traire. Voici les résultats

100 mètres. ^-1. Rangeley (A.), 10" 4/5 z. Green (A.), à 0 m. 50 3. Mourlon (F.) i. Rous-

sesua (F,),

Se$00mèïres. 1. Mourlon, en 21" 3/5 2. Ran-

n(,léÿ 3. cetD6nney.

gi^l^^bSy(A.),49;:4/5;2.TCneveau (F.), à 1 m. 50 3. Galtier (!•.).

800 mètres, 1. Stallard (A.), en l' 53" 4/a '«̃ Wiriath (F), à 15 mètres 3. Boitard (F.). ̃"i mmèlnsl ̃- L Pelé (F.), 4' <T 4/5 8. Bon1 temps' (F,) 3. Macalpine-Downie (A.).

5.000 mètres. 1. Cotterell (Anglais sn 15' -28" 2. Muggeridge (A.) 3. Dolquès (F.). 110 mètres haies. 1. Gaby (A.), 15" 1/5

Allau (F.) 3. Bernard (F:).

Saut rn lanp~aeur: 1. Chids (A.), 6 m. 95

2. Pinson (F.), 6 m. 65 '3-Cou'Ia.)x(I.),6.n.jo

Saut en auteur. 1. Nuttal (A.), 1 m 828

=> Sabattier (F.), 1 m. 828 3. Chemer (F.) et Zwahlen (F.), 1. m. -C7G..

Lancement du poids, --1. Paoli (I"0. 13 m. 32 2. Duhour (F.). 12 m. 75 3. Bousselairo F.). Lancement du marteau. 1. Sainl-Pe ,K. 40 m. 08 2. Zaldin (F.). 40 m. 09 3. Ireben

(A,)"39 m. 23.

[AUmcemen?'du disque. 1 Courtejaire (F.), avec 40 m. 03 2. Paoli (F.), 37 m. So 3. Jetfeî!eSo(m^5S «tete. 1. AngleterreJSpencer.

1.600 mèlres rctais. 1. terre (Spencer,

Rovle Rangeley, Stallard), en 3' 42" 1/5 3. France (Bolard, Reval, Mourlon, Cerbonney), «n 3' 45" 3/5.

Avant la réunion, les athlètes français avaient quelques craintes d'être gênés par l'obligation où ils étaient de courir sur une nisle de «azon inoins vite, naturellement, qu'une p?sle de cendrée. Ils n'en firent pas moins d'excellentes performances, notamment Mourlon, dans le 200 mètres, couvert en 21 s. 3/5. La victoire de Pelé, dans le 1 500 mètres, est à souligner, car ses compatriotes lui préféraient Duquesne. Wiriath fut nettement battu par Stallard dans le 800 mètres non sans lui opposer une belle résistance ̃' L'Amateur Athletic Association n'ayant pu obtenir des billets à prix réduits de Londres à Brighton, c'est à peine si deux ou trois cents spectateurs vinrent de la métropole. L. V.

LAWN-TENNIS

B George continue à faire parler de lui. R George, le jeune joueur français qui séjourne outre-Manche depuis quelques semaines, participe à de nombreux tournois et continue à faire parler de lui. Dans le Tournoi de North Kensington. il a été éli-

miné en demi-finale par le docteur A. Fỹzée, un équipier des Indes Britanniques dans la Coupe Davis. Résultats

Championnat simple. Demi-finales ;Dr A. Fyzee b. R. George. 7-5. 6-3-Jogat Mohan Ldl b.'M. J. RilcMe, 6-3, 6-2.

Les joueuses anglaises au Canada. Avant lotir match contre les Etats-Unis, les joueuses anglaises font une tournée au Canada. A Québec, elles jouèrent contre un 'team local, dont elles triomphèrent facilement. Miss K. Mac-Kane a joué et gagné un set contre miss Jean Fry par 7-5, mais un moment cette dernière menait par 5 jeux -à 4. Voici les résultats

Simples. Miss J. Fry lAngl.) b. Mrs Beaupré (Québec), 6-3, 6-1 miss Colyer (Angl.) b. Mrs Carter fOuébec), 6-1, 6-2.

Double. Miss K. Mac Kane et miss Colyer (Arvgl'.V h. Mrs Ghambers et miss Harvey (Quubec), 2-6, 6-3.

AVIRON

J. Berésford gagne les Wingfield Sculls. Le Championnat amateur de la Tamise s'est ramé sur le parcours classique de Putney à Morlake. J. Beresford, qui détenait le titre, Ta facilement conservé ep battant S. Hart de dix longueurs, en 23 m. 26 s. i/o. NATATION

Le Championnat de Paris de grand fond. Le Championnat de Paris de grand fond, couru hier sur le parcours du pont National au pont Alexandre-III, n'a pas été favorisé par le temps. Malgré la pluie, il y avait foule sur tout le parcours. Au pont d'Arcole, Talion était en tête, suivi de Desfossez, mais ce dernier a abandonné avant le pont du Carrousel. Résultats

1. Talion (C.N.S.) 2. Canque (Cercle des Na. geurs de Paris) 3. Morga (C.N.S.) i. Lefèvre (C.N.P.) 5- Nivet (C.N.P.), etc.

(Mlle Pujol est première dans la catégorie féminine devant Mlle Gaudin.

La pluie a contrarié l'intéressante réunion donnée entre les ponts Alexandre-III et le pont des Invalides en attendant les arrivées.

La traversée de Strasbourg. La tra- versée de Strasbourg, disputée hier matin entre plus de deux cents nageurs appartenant à la région de l'Est, a donné lieu à une très belle manifestation. Les nageurs strasbourgeois s'y distinguèrent tout particulièrement. Voici les résultats

1 Notter, en 26' 2. Lanoix, 3. Seherrer, 4. Crampe (junior) 5. Lewald, 6. Fischer, etc. YACHTING A VOILE

La Coupe de France reste à la, Norvège. En battant à Oslo « Aile N le yacht norvégien « Ravja » a conservé la Coupe de Françe à la Norvège: « Ravja n a gagné la premier jour de 6 m. 47 s., et le second de 5 111. 30 s-

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entre l'Angleterre, la Suisse et l'Italie via Newhaven et Dieppe

L'administration des chemins de fer de l'Etat a l'honneur de porter à la connaissance du pu-. blic qu'en vue d'améliorer les relations entre l'Angleterre, la Suisse et l'Italie, via Newhaven et Dieppe, elle met en circulation pendant la saison d'été, trois fois par semaine. les mardis, jeudis et samedis au départ de Dieppe, et les lundis, mercredis et vendredis au départ de Milan, une voiture directe de lre et de 2e classe entre Dieppe. Bâle et Milan, via Paris-SaintLazare et Paris-Est et vice versa.

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Programme des Spectacles ATHENEE. 8 ti. 30. Les Nouveaux Messieurs APOLLO. 8 h. 45. ta Veaoe Joyeuse. BOUFFES-PARISIENS. 8 h. 45. P. L. M. CAPUCINES. 9 h. Quand on est trois. CHATELET. 8 h. 30. Malikoko, roi nègre. COMEDIE- DES CHAMPS-ELYSEES. -9 9 h. Knock, la Scintillante. r.<

COMEDIE-FRANÇAISE. 8 h. 30. Démocrite, Aimer.

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FEMINA. 8 h. 45. Un Ménage à la page. GAITE-LYRIQUE. 8 h. 30. Les Saltimban.

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PROGRAMME

12 h. 30 RADIO-PARIS (1.750 m.): Concert. 15 h. Cardiff (353 m.): Concert par la musique du Royal Berkshire, et à 18 h. la Boîte aux Lettres. 15 h. 30 Birmingham (479 m.): Orchestre d'insttuments à vent, et à 18 h.: Emission pour enfants. 16 h. Manchester (378 m.) Quatuor de la station, chant, causerie pour dames, et à 17 h. 15: Lettres d'enfants.

15 h. 45 Bournemouth (386 m.): Causerie, musique de danse, et à 17 h. 15: Emission pour enfants.. 16 h. Londres (365 m.): Concert de musique mil* taire relayé de Wembley, et à 18 h. Emission pour enfants.

16 h. Belfast: Quatuor'de là station, et à 17' h. 30: Emission pour enfants. 16 h. (288 m.) Musique de danse.

16 h. 30 Stuttgart (443 m.): Concert par 1 orchestre de la Radio.

16 h. 45 RADIO-PARIS (1.750 m.): Radioconcert organisé par l'Association radio-amateurs français avec le concours de Mlle Berthe de Cressac, cantatrice Henri Foyard et Marcel Denis.

17 h Rome (425 m.): Lectures pour, enfants, et à 17 il. 40: Jazz-band de l'Hôtel de Russie. 18 h. Barcelone (325 m.): Le septuor -Radio. 18 h. !'3 TOUR EIFFEL (2.650 m.): Concert Andanle du 2" concert pour violon (Vieux temps),. par Mlle José Hcylàërtz La'Coupe du Roi de Thulé (Diaz). chant, par 'M. Charton; Une plaisanterie (Moussoigski), piano, par Mile Andrée Segard Mazurka pour violon (Zardzicki,. par Mlle José Heylaertz Maître PatheKn, romance <Bazir,), par M Charton; Sérénade (Wido). violon et piano, par Mlles Heylaërtz et Segard- L» CampanellA (Liszt), piano, par Mlle Andrée Segard Son.V.c en fa (Grieg), pour violon et piano, par Miles Heylaertz et Segard.j 19 h. rComarov( 1.800 m.): Soirée comique, chant, et à 20 h.: Conférence.

19 h. 15 Piague-Strasnice (555 m.): Causerie, et à 20 h ̃ Musique italienne, espagnole, arabe et ju^ye. 19 h. 25 Londres (36Ï m:): Musique transmise par toutes les stations.«.. 20 h. Cardiff (355 m.): Orchestre,

20 h. Birmingham (479 m.): Orchestre.

20 h.: Manchester (378 m.): Concert..

20 h.: Bruxelles (265 m.): Causerie, et à 20 h. 13» i Musique légère, et à 21 h 10: Danses.

20 h'. Francfort-sur-le-Mein (470 m.): Musique-de

danse.

20 h. Stuttgart (443 m.): Abre Hassan de C. M.

de Weber.

20 hC "î: Zurich (650 m.) Conférence, et à 20 h.30 Concert.

20 h. 15 RADIO-PARIS (1.750 m.) Le- lundi de l'Œuvre, radio-communiqué médical « L. état actuel de la chirurgie, son avenir, », causerie par M. le docteur Gentil causerie par le docteur L. Babonneix, médecin de 1 hôpital de la Charité, sur « Quelques conseils pour lutter contre la coqueluche n « Conseils aux abonnés' du téléphone^, par M. Emile Schreiber, président de l'Association nationale des abonnés au téléphone. 20 h. 45: Radio-concert: Festival de musique tchécoslovaque, avec le concours de Mme Anna Kerner, cantatrice; causerie de M. Osusky Stephen, ministre de Tchécoslovaquie à Paris; interview de M. A. Bllek, artiste peintre de Prague.

20 h 30 P. T. T. (450 m.): Chronique scientifique, 21 h.: Concert. Programme: Contemplation IVivein) Menuet (Niccolo-Perpera) Mme Maligne Letessier Le pas d'armes du Roi Jean (Sa.nt-Saens Robert le Diable (Evocation des Nonnes) (Meyerbeer) M Quéhen Novelette (Schumann); Romance (Schumann), Mlle Marthe Tremblay; Après un Rêve (G. Faure) Printemps nouveau (Paul Vidal) Mlle Yvonne Aguttes L'humoriste Lucien de Gerlor dans ses créations (au piano Gaveau); Philémon et Baucis (Gounod) Tristesse (Flégier), M. Quéhan; Après un Rêve (Fauré) Le Chérubin (Coupetin). Mme Maligne Letessier Le temps des lilas (Chausson); Manon (Masse-

net).

20 h. 30 Radio Lyon (288 m.): Concert .par l'orchestre A. Housset.

21 h. Rome (425 m.): Concert.

21 h. Barcelone (325 m.): Chants.

22 h Londres (365 m.) Nouvelles générales et locales transmis par toutes les stations, et. à 22 h. 13:

Concert.

23 h. Rome (425 m.): Jazz-band de l'Hôtel de Russie.

Toute demande de changement d'adresse doit éfre accompagnée dé la somme de un franc en timbres-poste, pour couvrir une partie des frais de renouvellement de la bande.

1925

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