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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1924-02-27

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 27 février 1924

Description : 1924/02/27 (Numéro 58).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k2938755

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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LaPimEçaise

est'elb sportive ?

Tells est la question que se pose M. Marcel Prévost dans le prochain numéro de la Revue de France, où il continue de publier les Nouvelles Lettres à Françoise, tout à {ait dignes des anciennes. Voici quelques observations, fort piquantes, qui {ont partie de sa. réponse et dont il veut bien donner la primeur aux lecteurs du Figaro,

Quelques observations. Ejb quelques réflexions..

̃̃'

Voulez-vous courir le maximum', de chances d'agacer une Parisienne de trente ans à l'aided'une seule question ? Demandez-lui quels sports elle pratique. Si vous voulez vous en faire une ennemie, et qu'elle aille partout divulguant que vous èles un raseur,- exigez des détails. ̃

Pour beaucoup de Parisiennes, goût du sport consiste à porter la poitrine `

plat© et 'lê& cheveux courts.

̃-̃ ̃̃̃

Les femmes vraiment « sport » parlent très peu de leur sport, sauf entre dilettantes du même groupe. Lorsqu'une femme vous parle abondamment de sa vie sportive, vous qui n'êtes ni professionnel, ni dilettante, concluez qu'elle est une sportive' par raison, ou par coquetterie,- ou par snobisme. Là encore, tout se passe comme pour rintellectua-

lité. ''• ̃• .•̃

Une qiîï est sincère, me dit « Si vous croyez que c'est commode Le golf -? Sport de niiLMionnaires je n'ai pas les moyens. Depuis ila guerre, c'est inabordable comimie cotisations. L'outillage e '^coûtecher ouais il y a surtout les transports, les pourboires, les goûters qu'il faut 'bien payer à son tour. Rayons le, goif. Le tennis ?. Oui; je peux m'offrir un abonnement. Mais vous trouvez ça drôle, l'hiver a Paris, sous un plafond, parfois à la lumière artificieJile ? Et puis, c'est une matinée ou une aprèsmidi dévorée il faut choisir. Le matin, je n'ai pas le temps, j'ai ma maison. Une. après-midi par. semaine, j'y arrive.

Mais- vous- pensez bien que je ̃ aie me-

crois pas iSportive pour ces deux heures de muscle hebdomadaires, Finalement, il me reste la marche interrompue à Pafis à chaque croisement de rues, sauf dans des quartiers déserts où je n'ai que faire, et les affreux exercices suédois. J'ai renoncé toujours, faute de temps, à pratiquer ceux-ci dans les instituts spéciaux aucune femme du monde n'y persiste Ml faudrait le club, comme pour les hommes. Je les dépêche chez moi, le matin. C'est tellement ennuyeux que ça me gâte mon réveil. En me (levant, je cherche des prétextes pour y échapper. Certains enterrements sont les bienve^nus, »

Interrogez une sportive, femme du mondé mais du monde non complètement oisif, de celui où la maison n'est pas entièrement confiée à une iatendarite-et les enfants livrés à. une gouvernante. Demiandez-lui à quelles heures elle exerce ses^rnuscles, le temps que lui prennent la toiilette spéciale, le. transport, l'exercice,, la réaction, le repos. Vous -constaterez qu'elle est contrainte de sacrifier au sport quelques actes importants de sa, vie. La. culture intellectuelle, là- culture artistique, la vie intérïeu'ré payent d'ordinaire les frais. 11 faut bien de la sagesse pour les faire payer aux divertissements du soir c'est pourtant la meilleure. solution. Une jeune femme qui fait à- peu près chaque matin une promenade à cheval avec son mari; me dit « Nous' avons renoncé à sortir après dîner. A. neuf heures, nous sommes, au lit. »

Comme s'il n'y avait pas assez d'entraves à la vie sportive des femimies, à Paris, le snobifemè intervient et interdit les sports qui ne sont pas coûteux. Le bas prix du cycJisme a vite relégué cet excellent exercice dans la petite- bourgeoisie et la suburbanité. Et pourtant, vers 1895, nos yeux ont vu le Bois sillonné .d'élégantes jeunes f émîmes, de pimpantes jeunes filles bicyclette Aujourd'hui, autant. leur proposer de conduire un triporteur.

Même faillite pour le croquet, englouti dans (les souvenirs légendaires, et, osons île dire, pour la marche. J'entends lw marche-s-port, reine des exercices, si 'élite est pratiquée comme un;, sport: Les flâneries matinales" dans l'avenue du Bois, avec cocktail au retour, ce. n'est ni du sport ni de la marche.

̃̃

Pourtant, le snobisme, de nos. jours, vaut aux sports plus de bien que de mal. Le golf et les sports d'hiver lui doivent .'les trois quarts de leurs recrues féminines ;rl& tennis, quoique moins clinquant, lui en doit peut-être la moitié, surtout en province. Pour une femme arriviste, les sports coûteux et la. charité collective sont les deux grands moyens de se.pousser.

-Autre pourvoyeuse. des sports féminins la coquetterie.: Les recrues-qu'ello fait sont des engagées volontaires, décidées à. il'effort. La silhouette moderne d'une femme, disent 'les couturiers, est celle d'une athlète. Les couturiers men- tent à la femme-tuyau qu'ils ont in- ventée vers 1923 manque le gonflement caractéristique des cuisses de l'athlète. Mais enfin, comme l'athlète, la femmetuyau a peu de gorge, et point d'abdo-

m'en. Quand. une femme es^trbp gourmande pour soutenir les régirnes de fa,- mille, quand elle a. redoute il'iode èt; thyroïdine, elle se 'condamne au sport. Eli© choisit celui (qu'on .lui désigne comme le plus amaigrissant. Si c'était d'ètrerô'uée dé coups chaque matin, elle accepterait, pourvu 'que sa balance tém'oignâl d'une pertede trois cents gramim,es.Ah celle-ci n'y met aucun, snobisme et ne tient pas à s'exhiber Pour aille furent inventés et la bicyclette de chambre et le rowing de cabinet de toilette. Malheureusement, après ces dépenses musculaires, elle a faim, elle mangé, elle « récupère », corrime dit son docteur. Elle est le tonneau des Danaïdes.Et la silhouette «tonneau. » n'est plus à la mode

̃ ̃̃ ;'̃

Sports nationaux de la France, les seuls que la -masse de nos concitoyens exercent par goût ̃ Pour les hommes, la chasse à tir. Pour les femmés, la danse ..(naturelle-' ment, elles y entraînent les hoinimes) et, comlment dire ? le bain de «mer ?. Non plus exactement, 'la plage. Vous objectez :<ila- plage, ça n'est pas un sport. Mais si, mais si Un peu de baignade, la pêche à la crevette, un peu de tennis ou de croquet, .les cent, pas sur. la Jetée, un brin de, canotage, quelques excursions cyclistes' ou pédestres, les fox- y trot du Casino, Voilà qui suffit à la plupart. ••̃•̃"̃̃

•.̃;

La danse, sport admirable, mlerveilileusement adapté à la vie sociale,' la danse. urbaine ou villageoise à volonté, la danse, école de "force et d'élégante souplesse. ̃̃̃'̃̃̃

Pourquoi, faut-il, qu'en France ce parfait exercice d'entraînemteint musculaire et d'harmonie corporelle soit limité à l'extrême jeunesse ?̃ Une Française de trente-cinq ans vous dit « Maintenant que je mène ma. fille au bal, vous pensez bien que je ne vais pas danser »

Un homme de cinquante ans, qui fait du cheval, des armes., du canotage, hésite à danser en public, à cause de ses cheveux gris. Voilà donc, ôté aux gens qui ont le moins, de loisir (c'.e,st de.qua.rante à soixante ans que les.gens occupés, hommes et femmes; te sont le plus) le sport -le plus accessible, le plus'commiode, peut-être le plus efficace. Pourquoi ?

Parce qu'en France on a fait sottement à la danse un ïenomjvde flirt, die,, galanterie., .^Alors, le bu la quih1

quag-énaire qui; dansent; cràiglent de

quag'énairequi~ dansent craMgÈQnt de

provoquer le sourire. C'est absurde, et d'une absurdité réservée à 'ila France, et- à- la France d'aujourd'hui. Pershing danse. Louis XV, barbon, dansait.

La chronique du sport n'est pas seulement dans les journaux-. Plus vivante, plus parlante aux yeux, elle illustre les cinémas.

Point de programme cinématique sans une cérémonie dé stade où plusieurs centaines de jeunes êtres vêtus de blouse, sauf les jambes 'et les bras nus, accomplissent des gestes harmonieux et synchroniques.

Ou bien sans un tumultueux crosscountry cycliste bu [pédestre grandes routes, chemins creux. fossés, fondrières, et l'arrivée finale d'un visage contracté, qui sourit dans la dou!leur, et d'une poitrine sur laquelle halète un large numéro.

Ou bien dans une traversée de la Seine à la nage!

Ou bien dans un match de rugby ou de boxe.

Parmi ces athlètes, il y a surtout les hommes. C'est naturel. Mais 'les femmes ne sont pas absentes. Elles ont aussi .leurs fortes sportives courses à pied, cycllisme, nage, gymnastique. Regardez-les bien. Vous constaterez qu'elles sont issues des mêmes groupes sociaux que les coureurs, les nageurs, les cyclistes mâles, les joueurs de rugby. Oe sont' leurs filles, leurs sœurs, leurs amies :.des scolaires ou des tra.vaileuses semainières. Pas une représentante de ce qu'on appelle « \&l monde •», même en élargissant à l'ex-i trême les limites de cette vague entité. .I Parbleu objectez-vous les-fem-;mes du monde ne se font pas cinémato- ` graphier en action de sport..

Et. moi je vous réponds.

Si -elles faisaient tant de sport que. cela, les cinématographes sauraient bien les dépister. Marcel Prévost,

de l'Académie française.

so3yciva:^A.iiiD3 utct

-:f IGÂROJJRTISTIQUE (N° 24 Jeudi 28 février 1924) LE CENTENAIRE de FÉLIX TRUTAT

Raymond Bouyër., Un peintre méconnu Félix Trutat <(i824-1848).

Jean Chanlavoine ̃ La première composition de Camille Saint-Saëm.

G. Conteneau. Sidon-!a-Fleorie.

Worth. Les Arts plastiques Quelques considérations sur la mode.

Manny Bennei Le Musée J.-J. Henner. Curiosa. Revue des Ventes de la semaine. Mariette Notules.

Calendrier dis Ventes. Expositions. 21 ILLUSTRATIONS

Les ahonnés du FIGARO trouveront jeudi ce Supplément encarté dans leur journal. Les acheteurs au numéro pourront se le procurer dans toua les kiosques et librairies au prix de 0 fr. 75.

Abonnement spécial au Figaro Artistique Paris, départements et colonies françaises 30 fr. par an Etranger 50 fr.

E © H OS

Lffjaifévrier. ,.? 1

"Cette' année; le ministère des finan- ces nous accorde un mois de moins pour faire notre déclaration de revenus. L'année bissexttle nous accorde heureusement un jour de plus, «puisqu'il -y .a un29 lévrier.

C'est ce jour-là, dernière limite, que nos déclarations doivent être envoyées aux percepteurs. ̃

-a,a

Voici une « première » essentiellement parisienne qui réunira, cet après-midi, dans les salons de Madeleine et Madedeine, toutes les'élégàncës.1;. La célèbre maison de couture présente à partir d'aujourd'hui, à sa clientèle, ses nouveaux modèles pour la saison' d'été, ie succès que ces toilettes exquises d'harmonie, de grâce et de ligne ont obtenu auprès des acheteurs étrangers permet d'augurer celui que leur réserve la. haute société française et cosmopolite. Cette collection, dit-on, est, à la fois, la plus artistique et ila plus variée iqu$aient réunie jusqu'ici' Madeleine, et Madeleine dans leurs salons de l'avenue des Champs-Elysées. Et ce n'est pas leur moindre mérite d'avoir réussi concilier la sobriété des tons avec les exigences'" delà mlode de demain.

juillet à Pangloss

M. Pangloss qui, depuis quelques jours, a entrepris dans un journal du matin de donner des leçons au Figaro, est plus heureux dans le domaine de la fantaisie

que dans celui de la politique.. Son style

d'ailleurs paraît s'éloigner ç}e; 'plus en plus de celui de Voltaire. Il çeproeïie à notre journal d'être devenu corse.; Sîalgré cela, nous n'entendons exercer contre lui aucune; vendetta, mais seulement rappeler sa^rné" moire à l'exactitude et son jugement à là sagesse. M. Pangloss s'étonne que le Figaro se soit solidarisé avec M. François Coty, son directeur politique, dans des circonstances où l'intérêt général est fort évidemment engagé puisqu'il s'agit d'une atteinte flagrante au bon droit. '̃'̃ .•̃̃̃-̃-

M. Pangloss a-t-il oublié que dans les jours qui suivirent l'échep de M. Gustave Téry- aux élections, son journal se répandit en récriminations et en doléances. Or, cependant, il s'agissait là non pas d'une injustice, mais d'un échec, et le juge incriminé n'était pas un bureau d'assemblée, mais le suffrage universel.

L^s! rédacteurs ,4w journal en -question avaient néanmoins pris parti pour leur chef; Pourquoi s'étorinent-ils "que 'nous prenions parti pour le nôtre? Mais' il y a dans cette attitude quelque chose d'encore plus singulier c'est de voir M. Pàngloss en désaccord avec l'auteur de « la République. des Camarades ». Seraient-ils brouillés?

Inquiétante erreur. K

C'est un petit restaurant russe. A Paris, bien entendu, où il y a tant de.restaurants russes.'

Cielui-là est charmant. La cuisine y est .excellente^ Les vins et la musique louables. Un violoniste et ses coinpagnons j jouent en virtuoses. -r^- II n'y a que l'orthographe qui pèche un peu, car près de rorç'h'pttre, onj.it cet. écriteau ̃̃̃•̃ v' Venez voir les célèbres exécuteurs. Des exécuteurs dans un restaurant russe Cela fait froid dans le- dos.

̃ -O– OOO •̃

̃ '.•;̃-̃̃?'̃. INSTANTANÉ.' r ̃ ? Xq femme au dix-huitième siècle, -Cpnuaissez-vous l'édition définitive des œuvres d'Edmond et Jules de Goncourt qui paraît depuis quelques mois sous la direction de l'Académie Goncourt (par les soins de deux grandes maisons d'édition qui se sont associées pour mener à bien cette belle tâche) ? 3 Le dernier volume parti est la Femme au xvmè siècle, un des chefs-d.'ççuvre des .Gqht| court. Pour avoir « cherché lé paSsé partout où le passé respire », selon l'expression même des auteurs, nous en respirons dans ce livre, le parfum intact.

Dans cette œuvre consacrée à la femme, nous suivons celle-ci à tous les degrés de la hiérarchie sociale, de la naissance à la mort, à travers le couvent, le mariage, la société, les salons et l'amour.

Quelle œuvre délicieuse l:

Le parapluie et la livre sterling Une bourrasque de neige s'abattait sur lé Havre à' l'arrivée du bateau 'de Southarapton.

D,es ouvriers' du port s'amusaient à se lancer des boules de neige. Une d'elles atteignit une dame anglaise qui tomba, et dans sa chute brisa son parapluie. La darriéanglaise réclama le paiement de cet indispensable auxiliaire de l'Anglais en voyage, et l'ayant payé en monnaie anglaise, en exigeait le remboursement en, livres sterling.

A la longue, la discussion prit fin et 1'ouvrier; n'eut à débourser que trente francs, somme qui, avouons-le, ne représentei, d'un parapluie acheté en Angleterre,, qu'une petite partie.

Le Masque de Fer.

Les travaux des experts Les.spus-commissions du comité Dawes ont continué leurs travaux' hier après-midi, .l'une traitant des questions ferroviaires l'autre s'occupant des budgets de l'Allemagne.

Sir Arthur Salter remettra aujourd'hui au comité un mémoire sur le'isauvetage de l'Autriche il en développera^ le, contenu au cours de la séance de jeudi matin. Le rapport des technicien^ pour les monopoles sera déposé jeudi ou* vendredi. Les experts, en prendront individuellement., connaissance et seront entendus jeudi ou vendredi; •̃̃' -i;; ̃" ̃̃' 't:

Les Âsfroliigiies de la vie chère

Oy Les. groupements récono-miques ont raison de protester contre des affl.r-,mations qui attribuent au seul mierccLntilisme la crise des prix la Vie- Ghère a des causes multiples. Et leur programme d'économies, de liquidation de quelques monopoles et de « revalorisation » du franc est de toute évidence efficace. Mais ce n'est pas demain qu'on aura cédé à l'industrigi privée, comme le demande le comte' de Fels, le monopole des tabacs, ou bien le monopole des téiléphones. Or, c'est tout de suite' et avec deux ans de retard qu'il faut parer à la hausse injustifiée, injustifiable de certaines denrées. Une première majoration est la suite fatale– c'est entendu de phénomènes qui sont hors de l'homme mais une seconde augmentation greffée sur la' première provientde la volonté coupable, de mauvais mar- rhands.

Voilà" des mois et des mois que les journaux les plus soucieux de ne point sir-Titer" vainement l'opinion, -mais inquiets aussi des irritations grandissantes, dénoncent des faits dont le caractère abusif est certain. Ils ont supplié les pouvoirs publics d'envoyer quelque délégué vérifier ces méfaits, aux Halles, aux abattoirs et dans les faubourgs. Ils ont adjuré « qui de droit » de s'abaisser jusqu!à apprendre ce que n'ignore aucune ménagère.

Ils ont fait observer notamment que -le change ne pouvait faire varier démesurément les prix entre la rue Rambuteau et la place Blanche un franc vaut un franc, de l'un et l'autre côté du Boulevard et il est scandaleux de voir le kilo de pommes de terre tripler de prix pour avoir gravi la rue Rocheehouart. On répondait;que c'était, comme dit Tackeray, « envisager petitement de petites ^choses ». Il fallait regarder de plus haut et plus largement:Or, voici ..qu'une commission municipale, présidée par M. Ambroise Rendu, vient de constater à son tour,, d'accord avec des syndicats agricoles,qu'une botte de poireaux vendue 2 francs aux Halles est revendue de 1-fifr.ancs à 8 fr,80 dans les quairtjersrEt

qu'aucun© loi" économique n'explique

pareille haussé.

:),Les coopératives de producteurs assurent que, s'il leur était permis de faire concurrence aux mandataires, l'équilibre se rétablirait. Cela c'est l'affaire des gens de métier. Mais, une fois de plus, il apparaît nécessaire que le service, si discret, de M. l'intendant Rimbert s'attache à regarder les choses de près et à rechercher des solutions de détail. Jusqu'ici îles dirigeants du ravitaillement de Paris ont vécu, les yeux levés au ciel des ̃ statistiques, dans la contemplation de la, Courbe des Changes. Les astrologues de- la Vie Chère ne vont-ils pas jeter enfin 'les' regards à leurs pieds, sur le carreau des Halles et le pavé des rues où CrainquebiUe est Roi ? 2

Henri Vonoven.

L'Assemblée des présidents des Chambres de commerce

Un discours de M. MHIeiiand

T- En l'hôtel de la Chambre do coniimer£e de Paris, rassemblée des présidents de Chambre de commerce de France et dJAlgérie s'est reunie, hier matin, en présence de M. Alexandre MiMerand. Le Président de la République a été reçu par MM. Dior, ministre du commerce, et'Këmpf, président de la Chambre de commerce de Paris, ainsi que par les membres du bureau.

Après un discours de bienvenue de M. Kempf, qui fit ressortir la force et l'autorité acquises depuis plusieurs années par les Chambres de commerce, M. Millerand prononça une importante allocution dont nous détachons les principaux passages /[ Je sui& particulièrement .obligé la Chambre de commerce de Paris de l'occasion qu'en ni'invitant à visiter ses installations nouvelles elle m'a offerte de m'adresser, aujourd'hui, directement aux présidents des Chambres de commerce qui sont ses hôtes.

Représentants qualifiés de la production française' ils figurent au premier rang des conibattants appelés à recevoir et à repousser l'offensive économique qui a succédé à l'autre.

'Pour nous mettre en mesure de la surmonter, il convient d'abord que nous nous s rendions clairement compte de notre •situation et que la métaphore est,' ici à sa place nous dressions, en toute sincérité, notre bilan.

A l'actif, s'inscrivent les rendements, chaque jour plus abondants., de toutes les branches du travail français. A peine Jes hostilités terminées, co"mrnerçants, industriels, agriculteurs se sont remis à leur tâche avec un redoublement d'ardeur.

Le labeur a repris partout dans une atmosphère- d'ordre et de calme qu'aucune agitation. n'a troublée.

Ce ne sont pas seulement comme il a été donné de le constater ailleurs les fortunes privées- qui, chez nous, ont profité de cette renaissance. Pour la première fois depuis bien des années, !e budget ordinaire de' l'Etat qui, avant la guerre, était en déficit, s'est réglé par un excédent. Les régions dévastées, auxquelles la France ne sera jamais assez reconnaissante de.l'effort admirable qu'elles ont déployé, se sont relevées avec une rapidité inouïe. Effort merveilleux, mais coûteux, pour le

soutien duquel, aux lieu et place du débiteur défaillant, il a fallu faire des avances qui constituent, précisément, le gros ,de notre passif. "̃, ` Avec le-mal, nous touchons, du doigt le, remède. Le fondement d'une saine économie publique comme privée est l'équilibre des dépenses et des recettes.

Point de nouvel engagement de dépenses qui ne se balance par une recette nouvelle. Compression héroïque des dépenses et, dans ce but, revision et simplification des services. A cet égard, vous pouvez fournir aux pouvoirs publics les plus utiles'indications. Les besoins de la trésorerie ont entraîné la création d'une" dette. flottante que nous devons avoir pour souci constant de réduire, tout d'abord par le remboursement régulier des avances de la Banque et, aussitôt que possible, par la consolidation d'une partie des éléments du flottant.

Afin de remplir ce programme, dont personne mieux que vous ne saisit l'impérieuse nécessité, vous acceptez courageuserhent, pour vous et vos mandants, les charges provisoires qui permettront, en repoussant .l'attaque dont nous sommes l'objet, de m'a'intenir intacte la confiance que mérite notre laborieux pays. Charges provisoires je souligne l'épithète.

Si la France est aussi éloignée qu'on peut l'être de toute. pensée d'agression et de conquête. si elle ne réclame que son dû, elle est décidée à l'obtenir. L'occupation de la Ruhr ne fut jamais, à nos yeux, qu'un moyen, non uribut nous appelons- de tous nos vœux l'heure où auront abouti les 'négociations destinées à fixer les dates simultanées1 du paiement de notre créance et de l'évacuation de la Ruhr. Cependant nous pouvons, sans inquiétude sur son issue, continuer de soutenir la lutte engagée contre notre devise. Le président du Conseil des ministres belge repoussait, l'autre jour, avec une éloquente. indignation. le rapprochement injurieux autant qu'injustifié tenté entre le franc et le mark. Ce n'est ni à Bruxelles ni à Paris qu'on a fait jouer la planche à billets comme instrument de libération.

Produire, épargner toute notre politique économique tient en ces deux mots. Nous n'attendons que de notre labeur et des restrictions que nous saurons nous imposer, la fin des difficultés que nous traversons. Cette victoire, si douloureusement achetée, accepterions-nous qu'elle fût, par notre faute, compromise ou diminuée ? Non, à coup sûr.

Les vertus qui l'ont acquise la maintiendront.- Nous ne nous montrerons pas inférieurs à notre- destin. La République et la Patrie seront par nous maintenues à la hauteur où les élèveront tant de purs sacrifices.

En fin de séance, rassemblée a abordé son ordre du joui". Une. longue discussion s'engagea au.sujet du relèvement des tarifs de chemins de fer et l'assemblée approuva l'altitude prise par les pï'ësidèrîts' df s Chàïïïbres de compierce

faisant' partie' 'du'"Gbnsêi.f supérieur 'dés

chemins de fer, lesquels, se sont déclarés partisans du reîlèvement des tarifs. L'assemblée prit ensuite en considération la proposition, do loi déposée par M. Crespel et plusieurs de ses collègues, députés, tendant à exonérer des impôts sur le revenu les gains réalisés dans la, cession des fonds de commerce et décide de l'appuyer.

En terminant, l'assemblée des présidents a examiné les réponses faites par des Chambres de commerce au questionnaire établi dans la réunion du 8 février, au sujet des mesures à prendre pour la défense du franc.

Iie contrôle, militaire interallié

La Conférence des ambassadeurs se réunira aujourd'hui, à 11 heures, et s'occupera, vraisemblablement, du contrôle militaire interallié.

Le représentant anglais parlera dans le sens de !a note anglaise, remise lundi par la Grande-Bretagne au .Secrétariat ide la Conférence des Ambassadeurs, qui propose un plan pour la reprise du contrôle et recommande, notamment, un inventaire des dépôts d'armes en Allemagne.

Mort de la duchesse de Gênes

Une dépêche Havas, datée de .Rome annonce que S. A. R. la duchesse de Gênes •est idôcédée hier soir.

Le feu à la Verrerie ouvrière d'Albi

SIX ARRESTATIONS

La nuit dernière, vers 2 heures du matin, à la verrerie ouvrière d'Albi, le feu a détruit un vieux hangar..

Les autorités envoyées sur les lieux ont arrêté six ouvriers des syndicats confédérés et autonomes, revendiquant leurs responsabilités (Clermont, Tantôt, Vinay, Rouvet, Rieunaud, Biscons). ̃

La* gendarmerie et la troupe occupent t'usine, où le personnel vide les fours. On ne signale aucun incident.

La Croix a M. Courte), le courageux cheminot L'employé 'de la gare de Sèvres qui ïut, la semaine dernière, victime d'un lâche attentat, et qui est, on le sait, soigné à l'hôpital de Sèvres; a reçu, hier matin, des mains de M. Le Trocquer, la croix de la Légion d'honneur. Le ministre des travaux publics s'était rendu au chevet' de son employé en compagnie de M, Reibel, ministre des régions libérées. Il fut reçu à l'hôpital par le .préfet de Seine-et-Oise, M. Hirsch, maire de Sèvres; M. Périnard,. député M. Dejean, directeur des chemins de fer de l'Etat M. le docteur Deletré, médecin de l'hôpital et conseiller général ainsi qu'une délégation du conseil municipal et de cheminots. Dans da salle Saint-Pierre, après avoir adressé quelques paroles à M. Courtel, le ministre épingla la croix sur sa poitrine et lut la.citation suivante

« Agent animé du plus bel esprit de devoir attaqué, à la gare de Sèvres, par deux malfaiteurs masqués, les a mis en fuite, non sans avoir été blessé de deux balles de revolver a fait preuve, en la circonstance, d'une exceptionnelle présence d'esprit et d'un courage qui méritent d'être cités en exemple. » '-< ̃̃̃̃

Le Discours du Chancelier

Le ëhâhceiier'a exposé hier devant le Reichstag le plan des ordonnances prises par le gouvernement en vertu de !lai loi des pleins pouvoirs, et, il a sommé l'Assemblée de les approuver, sous peine d'être dissoute. En vérité, cette dissolution hâterait de quelques semaines seulement la, fin de la législature. Les élections pourraient alors être avancées, la rigueur, jusqu'au début d'avril. Ce Parlement expirant va, encore entendre aujourd'hui un discours du .ministre des affaires étrangères sur la politique extérieure. Il est peu vraisemblable qu'il désapprouve le gouvernement. Il est peu vraisemblable aussi qu'il approuve, par le détail, les mesures rigoureuses qui ont été prises pour stabiliser le, mark et équilibrer le budget. On pense qu'il se contentera de marquer sa confiance au ministère par un vote sur l'ensemble de sa politique, sans entrer dangereusement dans le détail.

Un fait est certain c'est que l'Allemagne, depuis la lin de novembre, est à .peu près en équilibre. Nous avons montré souvent comment d'une part cet équilibre était précaire1 (et M. Marx l'a' reconnu), et comment d'autre part, il avait suffi à rendre à la politique extérieure du Reich une assurance offensive. Si l'on veut aller plus loin dans l'analyse, on en vient tout de, suite aux hypothèses.

Nous ignorons Jes vraies causes de la; stabilisation de, da monnaie en Allemagne. Pour les uns, le phénomène est automatique, et i!l était inévitable, à tel point que les Allemands n'auraient pas réussj, l'eussent-ils voulu, à mener le mark plus bas. Pour les autres, la, stabilisation est l'effet retardé du renoncement à la politique de résistance. Ce que nous voyons clairement, ce sont quelques larges sacrifices, com!me la réduction du nombre des fonctionnaires et l'application d'impôts nouveaux. Encore faudrait-il démontrer que le contribuable alilenmnd est chargé dans la même mesure que le contribuable français. Si l'on se rapporte aux jrrix-or, on s'aperçoit que les indices du coût de la vie sont plus bas en Allemagne qu'en Angleterre. Certains traits de la situation générale sont assez noirs. Le nombre des chômeurs est énorme et dépasse trois millions l'exportation a été très faible 'en 1923, et n'a guère dépassé le sixième de ce qu'elle était avant la guerre. Mais; d'autres signes sont favorafoles cette faiblesse de l'exportation -n'est dû qu'à la paralysie de la Ruhr car les prix dé revient restent en général inférieurs aux prix de revient anglais. Que devons-nous retenir de l'exposé du docteur Marx ? Un fait avant tout. La tactique allemande est aujourd'hui de dire, comme illl'adit Voyez, notre budget est en équilibre et notre monnaie immobile, à condition qu'on ne nous impose aucune charge de réparations. Nous avons réédifié l'Allemagne, mais voyez comme elle est fragile.; à la premdère exigence, elle s'écroule pour jamais. Le chancelier parle ainsi, et il espère que le monde entier dira à son tour aux Français « Ne touchez pas à ce frêle édifice. » Et ce sera une nouvelle façon d'escumoter les réparations. Henry Bidou.

AU SÉNAT

̃ 'i

Les incompatibilités parlementaires Le Sénat a discuté, hier, en première «lecture,- une proposition qui restait en souffrance devant Ha Haute Assemblée depuis plus de deux ans.

Elle émane de M. Gaudin de ViJIaine et s'efforce de résoudre ila délicate question des incohipatibilités parlementaires. Pourra-t-ton cumuler des fonctions de sénateur ou de déjputé avec celles de directeur ou administrateur de sociétés anonymes ? D'autre part, certains hauts fonctionnaires pourront-ils siéger art Parlement X

Sur ce dernier point, il parut inadmissible au rapporteur, M1. Pérès, et. en-, suite au Sénat consulté, que les premiers présidents, .le préfet de la Seine et tous autres fonctionnaires d'un rang élevé pussent être sénateurs.

La Haute Assemblée alla, même plus loin dans cette voie, et malgré les efforts de M. Maunoury, ministre, de l'intérieur,, il fut aussi décidé que les « missions temporaires » des parlementaires ne pourraient plus être renouvelées tous les six mois.

Celle disjonction visait, notamment,; M. Steeg.

Peut-être, n'a-t-on pas .oublié, d'un côté de l'Assemblée, que Je gouverneur (général de .l'Algérie avait récemment! appuyé de son bu'lletin de vote Je gouvernement dont il a laconfiance ? Quant, à la présence des parlementaires dans les, sociétés financières, elJei sera légale si le député ou sénateur était déjà directeur ou membre du conseil d'administration lors de son élection. Cependant, la Haute Assemblée n'admet pas qu'un -parlementaire profite de son mandat pour devenir .membre d'une société, financière. 11 devra, se représenter devant ses électeurs. L'interdiction fut également prononcée d'être conseiller juridique de sociétés ayant des contrats permanents avec l'Etat. Mais, toutes ces dispositions seront soumises à une seconde délibération du Sénat et ne deviendront définitives qu'après un vote identique de la Chambre des députés c'est assez dire qu'elles ne sont pas encore sur le point d'entrer en application.

On se plaint souvent de ia trop grande 'fréquence des contingents, supplémentaires de croix d'honneur. Le Sénat vota, hier, une nouvelle, promotion qui


aiVait déjà obtenu, il est vrai, l'adhésion cte la Chambre. M". Henrf Merlin plaida, avec le talent qu'on lui connaît., la caũse cte's maires cd-mptarit "pour le nnoins ^ving-t-cinq ans de service. Fait assez rare, le 'ministre de' l'intérieur refusa, le cadeau. M: Maimoury estima que lès i: distributions de croix" étaient. déjà plus tiiie suffisantes mais 41 dut accepter le présent. La promotion, qu'appuyèrent MM. de Blôis et Albert Qérard, lut approuvée; Séance vendredi.

•̃ ̃ g. a.

̃;•̃> Informations politique s

;̃> .1' ,̃̃;̃-̃̃ M». -s

s' Contre la hausse excessive r La eomniîsslqn de législation civile a entendu,^ hier après-midi, le garde des sceaux -sur l'amendement de MM. Klolz et "Eymônd, tendant à réprimer- la hausse exagérée des denrées et marchandises par imc modification aux articles 419 et 420 du Code pénal. Après un échange d'observations qui a suivi cette audition, M. Colrat a déclaré qu'il soumettrait à nouveau la question au conseil des ministres. Un musée de là policé

-1 M. Petitjean, député de Paris, a déposé, .aujourd'hui, une proposition de résolution ayant pour objet l'organisation dans les soûs-sols dé la Conciergerie d'un musée de" la justice et de la police. La visite des collections aurait lieu dans les mêmes conditions que celle des musées déjà existants. L'élection de la Martinique

Le neuvième bureau du Sénat, chargé do vérifier les opérations électorales de ta Martinique, a pris connaissance de îaveoMamnation de partisans de M. Clerc qui fut proclamé sénateur à une voix de majorité. ̃ La question s'étant posée de savoir s'il convenait d'attendre que la Cour d'appel eût, à son tour, statué, la majorité du bureau, contrairement à l'avis de son président, fut d'avis de confirmer sa première décision annulant les -opérations électorales.

M. Savary crut devoir, alôus, donner sa démission de -président: du bureau et fut remplacé par M. Ciialàmet,

-M. Bbuvart a déposé sur le bureau du Sénat le, rapport précédemment établi. L'élection des députés et le Sénat

A la séance d 'hier du Sénat, M. Doiimargue a annoncé qu'il avait reçu de Vingt4roi.s sénateurs feur démission de ta. commission spéeiate de vingtehapt anainibres chargés d'examiner ves textes modifiant (La toi de 1919 sur ''â'ètection des députés..

Les bureaux "prôcea&rorat au ramipllâê-ément de ces membres avant te pnïcha'ine. séance fixée à vendredi.

̃̃ _j -j^ '•

J! Dior ordonne la réouverture de la Bourse de commerce Le ministère du commerce nous commanique la note suivante

Au cours d'une réunion tenue dans le cabinet d'il ministre du commerce, les, représentants des Chambres syndicales du commerce des sucres. des huiles et du caoutchouc se sont mis d accord pSur accepter les modifications suivantes aux règlements des divers marchés :•

:V Exclusion des étrangers non domiciliés en France, et de toute personne non inscrite au registre du commerce

2* Réduction des délais d'exécution des mar-

elles i

'"•a* Conditions de- la liquidation des affaires en cours en cas d'interruption dans la^çotallon

.^t*S<îfsjonr»nf«t^l&s'?^ft.'S£*»*9 lS^potiP

réûblissement de la'ftotë. ,'̃•* ̃<̃ Ces modifications aux règlements en vigueur sont de nature à améliorer très nettement le fonctiohneuieni de la Bourse. $a réouverture présente, d'autre part, un intérêt particulier, notamment au point de vue des contrats avec les beiteraviers. Dans ces conditions, il y lieu d'envisager la réouverture de la Bourse pour demain, mercredi.

En conséquence de cette réouverture de lo Bourse, les marchés réglementés reprendraient leur cours, à l'exception de celui du blé, pour lequel l'étude des modifications à apporter au règlement n'est pas complètement terminée. ]! y a lieu de penser que cette étude doit aboutir sous peu de jours,

A l'Office du Bâtiment et des Travaux publics

~ri4:

L'QIflce dii bâtiment. etKdes travaux publics avait organisé hier une grande réunion, au siège de la Sociétô,gous la prési-. dence de M. Louvet, président de l'Office, et de M. Despàgnat, président do la Fédération nationale au bâtiment et des travaux publics.

L'examen du projet de budget de 1924 pour la reconstruction des immeubles bâtis dans les régions envahies, présente un intérêt tout particulier, étant donné les conditions économiques actuelles. Les conséquences qu'entraînerait une réduction trop importante de ce budget dépassent de beaucoup les limites des départements à reconstruire et doivent être examinées dans l'ensemble de l'économie du pays.

C'est à cette délicate question que l'Office a apporté tous' ses soins. -Dans un exposé lumineux, M. Despàgnat a indiqué les mesures qu'il convient de prendre pour éviter une crise de chômage qui résulterait inévitablement de la diminution des crédits budgétaires.

Nouvelles Diverses

La température

Probabilités pour auiourd'hui

Région parisienne vents Nord-Est faiMe.s. Très froid. Fortes gelées.' 'Beau, nuageux sauf rares giboulées de neige.. Même temps froid dans toute !a France, mais baisse au Sud-Est..

PARIS ET BANLIEUE

Un drame rue du Louvre

Un tourneur sur métaux, M. Henri Hess, 26 ans, qui avait été congédié le mois passa par son patron M. Hermangis. opticien, 29, rue du Louvre, avait attaqué ce dernier devant la Chambre des prud'hommes. Péboutô. de: sa demande, l'ouvrier avait résolu de se. venger. Il se. présentait, hier, vers quatre heures, chez son ancien patron, rte'du Louvre, et rencontrait dans l'atelier le' coiilremaitre Edmond Vautieï, 35 ans, qu'il rendait responsable de la décision prise à son égard par M. Hermangis. Une discussion éclata entre les deux hommes. Soudain Hess sortit un revolver et abattait .alors de deux balles dans la tète son interlocuteur puis retournant son arme contre lui tentait de se suicider en se tirant deux coups de feli dans la tempe.

Dans un état grave, les deux hommes ont «té conduits à ̃ Ja Charité, où M-. Gaurdel, jt'OTOfmi^sairie, est' venu dans 8a soirée les

toterroger.

Pour se veager du'ffls elle tue le père La jjeu-n«-Lonètte Socci, âgée 4e quinze ans,

<Voriginë italienne, demeurant chez ses pa-

rents, 13, allée Edouard- Vaillant, à IssyÎës-Moûlineaux, hier soir, vers six heures, ia tiré deux coups de revolver dans le dos (le M. Thomas Damarillo, 50 ans, 8, nie Paul-Bert et l'a tué puis elle est rentrée chez elle..

Arrêtée peu après et conduite au commissariat de police, elle a déclaré qu'elle avait

tué M. Damarillo parce que le fils de eeluici l'avait, abandonnée, en apprenant qu'elle allait être mère.

Elle a été envoyée au Dépôt.. `

Une importante usine, située avenue ;;Gambetta, a Maisons- Allort, est. proie des 'flà'ru- mes. 210.000 francs de dégâts.

Deux femmes, Fan n'y Galland, et, sa -sœur, Marthe Ranerei* sont. trouvées asphyxiées dans leur logement, Ï30, rue de Paris, à Boulogne. DANS LES DÉPARTEMENTS A Saint-Laurenl-dé-Ceidans, près Perpignan, un ouvrier sandalier, Vincent Cases, ans, heurta un fil téléphonique que la tempête avait mis en contact avec les câbles de farce motrice .el fut électrocuté par les (j.OOÔ volts. L'accident occasionna un court-circuit au bureau de postes, où les appareils fuient tœiMés et Se déclara un commencement .d'incendie.-

"A, ~j.~ S T R U G T~ C~1'ri

L'affaire Bringer

'M. Wafrain, juge d'instruction, a procédé, en présence do Cuinpinchi et Robin", au dernier interrogatoire de M. Louis Biinger* députe de la Lozère, inculpé de. faux et usãge, sur une plainte de la Fédération nationale des travaillcul-s du bâtiment, partie civile. _̃̃'

Le ministre des travaux publics a versé au dossier trois lettres datées de 1919 et 1920 dans lesquelles M. Bringer demande une augmentation de crédits pour les travaux du chemin dé fer d'Ax-les-Thehnes à Puyeerda (Espagne), ainsi, que lés originaux des bordereaux des états des salaires payés hux ouvriers et,'que M. Brïnget" se défend d'avoir majorés.

Le dossier va être communiqué au Parquet.

Le cas de M. Marlier

MM. Scherdlin, procureur général, Baraiaud; juge d'mslruetëon, et Gazier, substitut, ont .eu, hier, une longue conférence, à propos des incidents provoqués par les déclarations de M. Marlier, directeur dé la Sûreté générale. il résulte de constatations faites sur l'a procédure suivie jusqu'à ce jour que M. Marlier a fait, dans le cabinet de M. Barnaud, trois dépositions qui. ont 'été signées, toutes les trois, par le juge, le greffier; et le témoin, ainsi que l'exige le Gode d'instmetion cri;

minelle..

Ces trois dépositions ont été cotées les <î, 5 et 6 février.

Dans la première, M. Marlier raconte les faits qui se sont déroulés devant la boutique du libraire Le Flaoutter et auxquels ses agents ont été mêlés.

Dans la deuxième qui renferme^ six pages dei^xte, deux pages sont consacrées à la suite 'et la fin ctè la. "surveillance boulevard Beaumarchais ,• les quatre autres contiennent lé récif, dé rapports oraux et anonymes sjir j^morft!ité>de MM. Daudet père et fils, A 4'anpui. de ces. insanités, le têmoim a ,fait était du rapport d'uni indicaitetiir de poHcoe qui raconte qu'au cours" d'une réunion anarchiste, tenue à Genève, il avait été dit que Philippe Daudet avait été tué sur l'ordre dé son père par les camelots du roi. Dans la troisième, M. Marlier revient sur sa précédente dépositionet déclare qu'il n'a ajouté aucune foi aux rapports oraux et anonymes ni à celui de son indicateur^ Argus.

La baronne de La J'aille écrasée en gare de Nice Un temble.. accident s'est produit, hier: après-midi >eii ga^taè%to^R4pfi>â^'iâ*ï<Jioe,;

au, m«nen{Je irapide vèft'ant- -ttfe- Paris!

entrait .en gare. ̃

Une ifemmeet unie îMlettie qui se trouvaient -sur de quai avaient été haippéàs pair 8a puissaiitie machiine at avaient rouifé- sous lés iroiiies du l'apàdeJ Au aniliieu -d'ùnè -vive éanofton, 'des isebouirs" forent origànfeés" "et les deux imàilheureuèës viofiimes oe. itak'dèipent ipas à étae dégagées, .filles., ifunent raipidement ideiTjtifiées. Il s 'agit, ù& lia baronne ̃dé 'La Jëiilile, idemeuirant* à "Paris, irue de Thaiiin, at de sa 'fille Solange/âgée de cinq ans, qui, toutes (tes d^ux, se -aienjdai-eait à Vence. Mme de La J aile a été écrasée, da fillette a une jalnhë arrachée, l'autre écraisée.

On,nG s!expliquie pas les idauses de ce douloureux,'accid ent

Le professeur Lacassagne grièvement blessé

Hier iaprôs-anidi, jjilaïae RasipaiV à Ly-anj ie

iprofessieur Lacassagne, proteseur ^àroiit'

j icrimfeel H médecin âéigiste, ,'a été renversé

.par une -voitore automobile et ;a été très

| igrièaiement blessé.

Le professeur Lacassagne est âgé de quuto-e-vingts aais.

< –t.

Les éciimeurs de gares sous les verrous

«t<

Nous avons signalé la découverte de la fameuse bande de pilleurs de gares par la police générale du réseau de l'Etat. Trois arrestations avaient été opérées dimanche à la gare des Batignolles. Trois nouvelles ont eu lieu, hier, celles des nommés Godaix. Denis et Bosquet, accusés d'avoir cambriolé de nombreux wagons garés à Achères, dans la forêt de Saint.Germain. Un chauffeur de taxi, Auguste Digeon, qui assurait avec sa voiture le transport des marchandises volées, a été également arrêté. M. Oudaille, commissaire divisionnaire a, après une minutieuse enquête, inculpé de recel vingt-sept personnes, garçons de café, petits commerçants, camelots, qui seront poursuivis.

~<<

Le mauvais temps fait des victimes A' Troyes, une abondante chute de neige a succédé au verglas. La couche dépasse huit centimètres. La circulation est rendue difficile. Le thermomètre est redescendu audessous de 0..

Avec une vague de froid très vif, une, tempête ̃dé neige s'est. abattue sur la Côted'Oi?. Les chemins en sont rendus presque impraticables. Le service des ponts et chaussées à. faire pratiquer des(passages par traîneaux. A.Dii^on même, à, part les grandes rues, la circulation est devenue très difficile'. ̃ ̃' x

Dijon privé de farine

A la suite de la fermeture de la Bourse du commerce de Paris, le marché des farines et grains de Dijon a été fermé également et les boulangers ne peuvent pas renouveler leur provisipn. Ils se prêtent mutuellement les quelques sacs qui leur restent, mais leurs stocks s'épuisent rapidement. Le mécontentement est vif narmi la population.

Ji 0 *wjf >>^>jini_i~i'ji»"i lii.'n 11 ii un V Mm,

MmeJeanneMora d ne sera pas libérée

-»M «–

La commission de libération conditionnelle à laquelle était soumis le dossier de Mme Jeanne Morand, vient de décider, à l'unanimité. qu'il n'y avait pas lieu actuellement de faire bénéficier la- condamnée d'une mesure de faveur., · y

LE MONDE ê L A VILLE

dans Les ambassades

-;S. Exe, le vicomte de i?ontenay,; ambassadeur de France à iladrid, à donne ùiie très brillante réception pour les membres de la colonie française.

DANS LE MONDE OFFICIEL

M. Léon Bérârd a offerthier, aii ministère de l 'instruction publique, un déjeuner aux recteurs des académies de France et aux directeurs du ministère, à l'occasion delà réunion annuelle du comité des recteurs.

RENSEIGNEMENTS MONDAÏN&

̃(Dn annonce, de Bucarest.que LL, .MM..

leroî et la reine de.Roumariie feront, au. prin-î temps prochain, une visite officielle'aux souverains anglais.

l– La princesse Marie de Ligne est arrivée â-Gâuues, à la villa La Rochefoucauld, ̃ Matinée dansante, dimanche dernier, chez- la duchesse d'Elehiugen.

Reconnu

Marquise et Mlles Dadvisard, baronne, et Mlle Edouard de.Rothschild, baronne et Mlles de GaifJier d'IIestroy, comte Charles et Mlle des Isnards, baronne et Mlle de Foiitenay, comtesse' et Mlle Henri de Langle vicomtesse et Mlle François de Villoutreys, marquise et Mlle de Triquerville, Mme et Mlle de Laniotte,. baronne et, Mlle 'le Çhoiet» baronne et Mlle dé Montesquieu., comtesse et Mlle de Séguier, Mme et Mlleff Hubert dé Gastex, Mlles de Castilléja, de Belleseize, de La Bégassière, etc.

MM. d'Andigné, de- Lestrange, de Vigneral, de thôlet, de B'reteuil, de Bresson, de Rothschild, de' Castillëja, dé Fontenay, de.Palaminy, Ludovic Reine, E. de Paléori, etc.

Mâtinée niusicale, hier, chez la princesse Edmond de Polignac.

Une heure de musique dans l'intimité, aujourd'hui, chez Mine Robert de Fay

d'Athies-.

Soirée dansante, lé i*r mars, chez le vicomte Cornudet.

^-Soirée, dansante et artistique, chez M. Gaston Brunet, pour l'entrée dans le monde sa fille. ̃ ^y ''̃ s

ïMRCi-ES ̃ •̃"̃

Au Lyceum, aujourd'hui mercredi,, à trois heures trente précises, matinée dramatique Causerie sur « Monna Vanna », de Maeterlinck, par Mme Claude d'Hablovitle. Deux comédies de la duchesse d'Uzès douai-; rièfë et Mme Sabine Mancel/'

La première assemblée générale de la t Demeure Historique » s'est ténue hier, à trois heures, au Cercle Interallié. l-

Le bureau, élu par le conseil d'administra- tion, a été constitué de la façon suivante Président M. le duc de Luynês vice-prèsi-, dents MM. le dtic de Noailles, le marquis de Castellâne, le comte de Fels secrétaire général M. Lucien Corpeçhot trésorier M. le comte de Bèauiiiont délégué général M. Je docteur Carvallo. ̃'

MARIAGES

Nous apprenons les fiançailles de Mlle de Courson de La Villeneuve, fille du colonel vicomte de Courson de Là Villeneuve, com- mandeur de la Légion d'honneur, décédé, et de la vicomtesse née de Gouzillou de Belizal, avec le lieutenant de vaisseau Henry Glotin, décoré de là Croix de guerre, fils de M. Paul Glotin, député de la Gironde, et de madame née Boudier.

Hier a été célébré, en l^égfiib ^kinldrale de' 'Béiigrféûk) le liiafiagérdtlcbnrtë Arnaud, de Fayolle, fils du comte Félix de Fayolle et de la comtesse née de Roumejoux, avec Mlle de Monspey, fille du comte Henry de Monspey et de la comtesse née de Flèwiêu. Nous apprenons les fiançailles de Mlle Magdeleine de Barbarin, fiille de M. Roger de Barbarin et de madame née Mary Finaly, décédée, avec M. René Le Bret, Croix de guerre, fils de M. Robert Le Bret et de madame née Cliauchat.

DEUI~L

Une messe pour le repos de l'ânle de S, A. R. Mgr le prince Ferdinand d'Orléans, duc de Montpensier, sera célébrée le samedi Ier mars, à onze heures, en la chapelle de la Compassion, boulevard de Verdun, à Neuilly. Les obsèques du général de division Pocymirau, grand officier de la Légion d'honneur, ont été célébrées hier matin, à dix heures, au Val-de-Grâee.

Le Président de la République était représenté par le colonel de Vassoigne, de sa maison militaire. Le général Bqquet représentait le ministre de la guerre, et M. Blanc le maréchal Lyautey.

Dans l'assistance on remarquait c

MM. Léon Bérard. ministre de l'instruction publiqne Louis 'Barthoii, pi'ésident de la Commission des réparations les maréchaux Foch,: Pétain. Franchfit d'Esperey tes généraux Gufl-; laumat, Deberiey, 'Goui'atid,' Mangin, représentant le conseil supérieur de la guerre les gé-; néraux Pcllé Serrigny Dufieux, commandant: l'Ecole de guen-e le général Ragueneau, souschef de l'état-major général de l'année M. Pierre Lyautey, le lieutenant Bourdeîles. reprn-,sentant le colonel Loustal, commandant le cercle d'ilzer le capitaine de Joilquières, représentantle directeur des troupes coloniales le lieutenant Gii'aud, au nom du colonel Freydenberg, com-i mandant la région de Meknès de très nombreux officiers généraux et supérieurs,, ainsi que, de nombreux cheiUs.

A la suite de la cérémonie religieuse, qui a' eu lieu dans la chapelle du Val-de-Grâce, des discours ont été prononcés par M. Urbain Blanc, le général Daugan, représentant des troupes d'occupation île général Ecochard, au nom de la promotion de Saiut-Cyr, et par le général Gouraud, gouverneur militaire de Paris. ̃ ̃ annonce Ja mort de la" comtesse de Vattiet de By, décédée à Dijon. T ̃'̃ Au milieu d'une nombreuse assistance, ont été célébrées, en l'église cathédrale d'Oloron, les obsèques de Mme Pierre Ser̃vat-Barberwi, née' Emilia Loubet^Villàroya, cousine de la comtesse de La Vifiaza, femmede S. Exe. le comte de La Vinaza, ambassadeur d'Espague près le -Quirinal..

Nous apprenons la mort de M. Jean- Baptiste Cattelain, administrateur du « Bon, Marché »J: décédé le «$. février iQ24r -;S^s, pbsè- j ques auront lieu jeudi 28 courant, à deux heures très précises, au temple de Penteibont; (106, rue de Grenelle), où l'on se réunira. Le présent avis tient lieu d'invitation. Nous apprenons la. mort de Mme Edouard Pasteur, décédée à Paris, en son domicile, 56, rue Saint-Didier. Elle était la mère et belle-mère de M. et Mme Charles Pasteur, M. Marc Pasteur et de Mme Aubert de La Rue. Suivant la volonté exprimée par la défunte, ses obsèques ont eu lieu strictement en famille. Le présent avis tient lieu de faire-part.

Me de Montant, officier de la Légion d'honneur, ancien bâtonnier, président de l'Aéro-Club du Gard, est décédé, hier aprèsmidi, dans sa soixante-cinquième année. Kous apprenons la mort de Mme Ferdinand Pfior, née Paulette Texier, femme du Consul général de Danemark à Paris, directeur de la Banque des Pays du Nord. Les obsèques auront lieu le vendredi 29 février, à dix heures trente, en l'église Saint-Pierre de Chaillot. Prière de considérer le présent avis comme une invitation.

Nous apprenons la mort de notre confrère M.Fèrnand Viauld, rédacteur parlementaire au Petit Journal, décédé après une longue maladie. Fernand Viauld avaitété

nommé, il y a quelques jours, chevalier de îa Région d'honneur.

Nous apprenons avec regret la mort de notre confrère M. Gabriel Wilmant/chei de la /chronique des « Mondanités » dû Gaulois. Les obsèques auront: Heu :1e jeudi z& courant à midi, en l'église Saint-Vincent-de-Pàul. Réunion à la maison mortuaire, 16, rue de ..Ç'ellefond (IXe). ̃- Nous apprenons la mort de M. Fleur y .•Ravarin, député du -Rhône, décédé en son donîic-ilei-à Paris, ̃ iï, rue de Lubëck. Selon la .-volonté expresse1 du défunt, les obsèques auront'lieu à Lyon ultérieurement..On -se ̃«réiinu'a an .ddîiiicjle iHortùâire vendredi 29 j.feoitrant, .à dix heures, trente précises;1 pour .;sjb rendre; en cortège à Ja gare de Lyon. Le présent avis tient lieu.d'iuyitatimi. '̃> ••' te vapeur Made, ramenant de, Stockholm le cercueil de M. Louis Dcla.vnu.Xj ancien ministre de France en Suède; est arrivé à Rouen hier matin. Là levée du corps a cil lieu à trois heures trente en présence; des alitorjtés civiles et militaires: Un bâtailloii du 39e' régiment d'infanterie, avec drapeau et musique, rendait les honneurs.

Le corps devant' être inhumé à Niort. le cortège s'est rendu- à. gare'd'Orléans, où des discours ont été prononcés, notamment par le président dé la Chambre de commerce de Stockholm, le maire de-Rouen et le consul dé Suède à Rouen.

̃ :-• Béartàôy*

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L-A SAISON

"` DE BEAULIEU-SUR-MER

.t^- Mlle Suzanne Lénglen n'a pu participer au. tournoi du La\vn-Tennis Club dé Beâulieu. Mais eh compagnie de Aeschliman elle à Joué en double contre de Morpurgo et Piel, îes battant par 6-4, 6-2. Ce bel exploit est à souligner.

DE CANNES

En polo hippique, la finale du Prix de la Croisette a été gagnée par les Blancs -par 6 buts à 4 aux Bleus. Les équipes étaient les suivantes

Blancs. D. L. Melville, A. Pena, J. de Parada, R. Wanamaker.

Bleus. B. Balding, K. Mac Kay, P. K. Wise, P. Magor.

DE MONTE-CARLO

Le dernier gala des Ambassadeurs, chez <( Les Poupées », obtint le-plus vif et le plus légitime succès.

On remarquait dans la nombreuse assis-

tance

S'' f!.iie";dUo''de Conhaugiit,' duc' de West-, minster, lord Blythe, lord French et lady de Trafford, Hon. M, Stobbard, sir Henry et tady Juta, sir Peïcy Simmonds, sir Vansittârt Bowater, etc. DE MENTON

C'est jeudi 23 février que le carnaval fera son entrée joyeuse et solennelle à Menton.

Les grands corsos carnavalesques se dérouleront dans Jes après-midi du dimanche 2 mars et du mardi 4 mars.

DE NICE

S. M. I. le Shah de Perse a reçu, samedi, en audience- officielle, M. Debenedettj, préfet des Alpes-Maritimes, qu'accompagnait M. Ribard, son chef de cabinet.

tégion cf honneur Ministère de l'hygiène Sont promus ou nommés

Gra7id-officier M. Tuffier, chirurgien hoiioraire des hôpitaux.

Commandeur M. de Martel de Janville, chirurgien â Paris.

Officiers MM. Arrou, chirurgien honoraire des hôpitaux Coussol, chef du bureau au ministère de l'hygiène Hugensehmidt, docteur en médecine, à Paris Lévy, dit Lévy-Bing, docteur en médecine Ménard, docteur en médecine, à Paris. Chevaliers MM. Avierinos, Bernard, ,Coutard Mme Desprez MM. Dumont, Duret, Felhgen, Girard, Giroux, Guy Mme Heim (en religion sœur Théonesle), infirmière, à PaHs ? Mme- Jeunet- (en religion sœur Thérèse), directrice de la maison d'hospitalisation de Tlïiais M. Lacassâgae Mnie Charles de Lassence MM. Le Cuziat, Le Guellaut, Lenoble, Mallet, Maret Mme Moll-Weiss. directrice de l'école des mères, à Paris MM. Nief, Pages, Poncetton, Rehm Mme Schneider M. Soliliàs MM; Paulin, Piogey.

Promotion de l'Exposition internationale de l'hygiène de Strasbourg

Officier M. Pautrier, professeur a~la Fa cuité de médecine de Strasbourg.

Chevaliers MM. Fumouze, Jeantet, Payret-Dortail, Thibaud.

Promotion du Centenaire 'le Pasteur Chevalier, M. Leniez, vétérinaire sanitaire à Eu.

Gazette desTribunaux Au Palais littéraire ~rr .1

Le Palais littéraire a donné, hier, son dîner annuel sous la présidence de M. Léon Bérard, ministre de l'instruction publique, remplaçant M. Poincaré. Autour du ministre avaient pris place, MM. les bâtonniers Fourcade, Qienu, Henri-Robert, Mennesson, Albert Salle MM. Georges Lecomte, Paul Ginisty, Gaston Rageot, Edgard Troimaux, ainsi que les membres du bureau de l'association.

A l'issue du diner, des discours ont été prononcés par MM. Léon Bérard, Henri Buteau, Raymond Hesse, Lionel Nastorg et André Haguenauer.

Au cqurs de l'assemblée, générale qui a suivi, ont été élus membres du comité MM. André Haguenauer, M. Breuil, J.-J. Dumoret, Jacomet, Landowski et F. Payen. Georges Claretie.

~<

Assassinée dans sa chambre Qxi a trouvé assassinée dans sa chambre, 4, rue des Ohemins-de-Fer, à Villeneuve-le.Roi;' Mme Lucie Ledoux, habilleuse au Théâtre du Châtelet. La malheureuse avait les bras et les jambes liés. La, mort par étouf-

fement, croit-on, remonterait à quatre Jours.

DERNIÈRE HEURE

,1. .}.

Le chancelier Marx défend ses ordonnances

H menace le Reichstag

de prononcer sa dissolution en cas de résistance

Berlix, 26 février. Le Reichstag s'e'it réuni cet après-midi à deux heures pour se prononcer sur les ordonnances émises par le gouvernement en vertu de la loi des pleins pouvoirs.

Le clunlcelier Marx prend immédiatemeiit la parole. Son discours constitue un plaidoyer en faveur des ordonnances. « Lès trois luttes que le gouvernement a poursuivies depuis décembre, dit-il, pour sauver le Reich d'une débâcle complète1, sont les suivantes 1° Maintien du cours du mark au niveau de novembre 2° Equilibre du projet de budget pour 1924 3° Amélioration de la situation économique Le gouvernement estime qu'elles ont at-teint les buts que le gouvernement se propOJQJt.

» En: effet, le cours du mark n'a plus varié depuis la mi-novembre de l'année écoulée.

-1» Le projet de budget a été soumis aux commissions d'experts. Il équilibre les dépenses intérieures du Réich à condition que le Rhin et la Ruhr soient de nouveau administrés par l'Allemagne.

» Des sources d'impôts permettant d'équilibrer leurs budgets ont été attribuées aux Etats et aux communes.. L'industrie et le commerce renaissent lentement comme on peut le constater par la diminution croissante du nombre des sans-travail.

» Lés experts dës Etats-Unis et des autres pays ont été chargés par la Commission des Réparations de faire une enquête sur place. Le problème des réparations est pour nous un problème vital et nous devons toujours considérer comme fatal qu'on ne l'ait envisagé jusqu'ici que du point de vue poli-

tique.

tique. D'autres nations ont aussi des dette/, mais elles ne sont pas constamment menacées d'une, expédition militaire par leurs .créanciers. C'est pourquoi nous nous réjouissons qu'enfin des personnalités qualifiées du monde économique aient été chargées d'examiner le problème. »

La menace

Le gouvernement espère que lorsque le Parlement aura entendu les explications des ministres,/il ne refusera pas d'approuver les œtesures qui ont été prises. Il es™ expressément entendu que toute ordonnance rendue en exécution de la loi des pleins pou-, vôirs doit être soumise au Reichstag et- au Conseil d'Empire, ©t abrogée si ce dernier le demande.

Le gouvernement déclare que si une motion demandant la suppression d'une de ces ordonnances était votée par te Parlement,, •il en tirerait les conclusions qui en découleraient et demanderait au Président d'Empire de prononcer la dissolution du Reichstag dans la conviction que cette mesure serait indispensable.

Le chancelier parle ensuite de l'influence ̃jâéïaslb qu'Ain' Vote .to Reichstag- contre cer-J 4aines ordonnances' pourrait avoir sur la 'ténue du raark et dans l'équilibre budgétaire. Le gouvernement est disposé à négocier avec les partis en séance inierfractionnelle sur les critiques formulées contre ces ordonnnances.

Le discours du chancelier a été écouté ,dans un calme relatif. Certains passages, tels que celui où le chancelier menace de dissoudre le Reichstag, ont même été, chaleureusement applaudis sur les bancs de la majorité.

La réponse des socialistes

M. Hennann Muller, socialiste, déclare que la menace de dissoudre le Reichstag ne pourra modifier l'attitude du parti à l'égard des ordonnances 1

Après une réplique du ministre du travail la .suite de la discussion est renvoyée i demain.

Le procès Ludendorf PREMIÈRE JOURNÉE

Munich, 26 février. Le procès HitlerLudendorf et consorts a commencé ce matin devant, le tribunal .populaire. Les quartiers entourant le -vaste bâtiment de l'école de guerre où il a lieu a pris l'aspect. d'un camp retranché. Les deux extrémités de la rue par laquelle on accède au tribunal sont gardées par des chevaux de frise et des fils de fe.barbelés, derrière lesquels veillent cinquante agents de la police verte, armés jusqu'aux dents.

A,8 h. 30, les accusés sont amenés dans la salle. Ludendorf salue cordialement Hitler, qui s'empresse de lui céder le bout du banc. Viennent ensuite Pœhner, ancien préfet de police de Munich, le lieutenant Pernet, parent de Ludendorf.

A 8 h. 55, la Cour fait son entrée. L'acte d'accusation reproche aux accusés d'avoir voulu renverser le gouvernement du Reich, et le gouvernement de Bavière et provoquer par la violence un changement de constitution.

'Après la lecture de l'acte, le ministère public réclame le huis clos pour une partie des débats. La Cour se retire et après une assez longue délibération le président annonce qu'il est fait droit à la demande du ministère publie.

La salle est évacuée. Après une demiheure d'attente, les portes sont de nouveau ouvertes et le président procède à l'interrogatoire de Hitler. Il en ressort qu'il est ar-' rivé à Munich en 1912 pour y étudier l'architecture, qu'il a pris part à la guerre dans différents corps et qu'en 1919 il a fondé à Munich le parti nationaliste socialiste dont il est encore le président. Dans la séance de l'après-midi, l'inl&wqgatoire d'Hitler est repris. Il s'incline poliment devant le président. Il explique comment il est entré en conflit avec la Constitu.tion. C'est à la suite de ses études ethniques ̃̃

« Je suis venu comme citoyen du monde à Vienne j'en suis parti comme antisém'ite et comme ennemi mortel du marxisme. J'ai acquis la conviction que les partis politiques étaient incapables de résoudre le problème fondamental, h savoir le problème marxiste. »

Hitler n'a guère de von Lossow une plus haute opinion. L'ancien préfet de police Poehner lui apparaît, par contre, comme un homme capable et énergique.

Parlant de la réunion qui eut lieu dans la Burgerbran Je soir du coup d'Etat, Hitler nie que ses partisans aient braqué leurs revolvers sur M. von Kahr. Ludendorf, qui fit bientôt son apparition, manifesta une grande surprise de ce qui se passait, mais i! déclara qu'il était nécessaire de prendre une décision.

Hitler se proclame innocent. Il n'y a pas de haute trahison, a-t-il dit, dans un aek». dirigé contre les traîtres de 1918.

La suite des débats a été renvoyée à demain.

Les Communes discutent sur les incidents de Poplar est prouvé que les chômeurs ont reçu des indemnités supérieures aux salaires

Londres* 26 février. Un-débat ;s;es.t- engagé, cet après-midi, aux Communes ,;sur les dépenses « illégales »' faites, par le bureau de bienfaisance t\p Poplar. M. Briant, député -libéral, montra que les chômeurs de Poplar avaient touché des indemnités supérieures aux salaires des souscriptions. Il déposa une motion de désapprobation. M. Weathley, ministre de l'hygiène, s'efforça de faire retomber la responsabilité de l'affaire sur son prédécesseur.

Sir William Joynson Hicks déposa un amendement à la.motion libérale amendement spécifiant que les secours- à accorder aux chômeurs devraient être jcaleulés de façon que l'indemnité touchée par un salis travail né soit pas supérieure au salaire moyen d'un ouvrier. L'orateur déelata que le ministre de l'hygiène avait pris une. décision illégale et que, personnellement, il.no l'acceptait pas.

M. Lansbury, répondant au nom 3és ivivaiP.isteSj défendit l'attitude du ministre de l'hygiène.

Puis, M. Asquith déclara qu'il avait déjà expliqué à la Chambre et ati pays son 'opimon et qu'il n'avait rien à. ajoijiér ou à retirer.

M. Macdonald déclare que gouverne- ment n'a 'pas pris la défense des autorités de Poplar, et que le ministre de l'hygiène a agi en vertu de ses pouvoirs. Le, gouvernement ne sanctionnera aucune dépense il-

légale. ̃

Le débat de l'affaire de Poplaj. se fenniiie 'sans sanctions" '̃•. Les libéraux donnent leur appui au goiivemement. _;• •' ,̃'̃ ̃' 'J" Les lords s'occupent de l'Inde LONDRES, 26 février. A la Chambre des lords, lord Olivier dit que les affaires de l'Inde causent au. gouvernement' une, très grande anxiété. Il annonce, comme secrétaire d'Etat pour l'Inde, que le gouvernement n'est pas disposé à accepter ou à indiquer qu'il serait disposé à accepter l'établisseinent dans l'Inde d'un gouvernement comme celui des Dominions. -Il estime que ce serait plus périlleux et que ce serait un désastre pour les Indiens eux-mêmes. Le gouvernement pedotiald et le contrôle militaire

Londres, 26 février. Dans certains milieux politiques anglais, on prête au gouvernement britannique, en ce qui concerne le contrôle militaire en Allemagne, la pensée d'avoir des préférences pour une combinaison qui consisterait à remplacer la mission Nollet par un comité de garantie, dont la surveillance serait limitée.

Le champ d'action de ce nouvel organis•*ne, 'err matière de surveillance militaire en Allemagne, serait borné Su"' contrôle du matériel de gros annemient. Ce comité, par conséquent, ne veillerait à l'exécution, par l'Allemagne, des clauses relatives à l'augmentation des armements qu'en ce qui concerne les pièces d'artillerie lourdé, les canons de différents calibres, lés avions et les tanks, par exemple.

Cet allégement au contrôle allié de l'Allemagne ne serait consenti à cette dernière qu'à la condition qu'elle s'engage, d'abo'd à faciliter les opérations du nouveau comité à ne plus fabriquer de matériel' dere; à ne plus construire d'usine dans ce but à révéler celui qu'elle a en excédent des quantités autorisés par le traité.On f^'oute mêine que cette combinaison na constituerait qu'un moyen transitoire pou:" s'acheminer vers la '^»: des Nations. N. B. –'Il convient d'accueillir' ces' renseignements sous toutes réserves car les sugpestions faites par M. Macdonald au gouvernement français n'ont pas encore été divulguées à Londres.'

Une campagne en Perse contre le Schah

.01

Londres, 26 février. On mande de Téhéran a l'Agence Renier .̃' « =Une secte religieuse préconise l' établis- è'êïnénf :d'ûne république en Perse. D'autre part, à l'exception du journal Ttan toute. la presse a commencé une campagne contre lé Schah. Elle réclame sa déchéance et l'établissement d'une république. »

Le gouvernement triomphe à l'Assemblée grecque

ATHÈNES, 26 févaier. A|p.rè.s avoir enibenidu tes .explications d.u (président du Goo©edl, l'Assemblée pation-ate, l'a d'amande de M. Caphandaris, avait remis à aujourd'hui son .vote sur te programme du gou/vetruTemeïit.. Par S33 voix iconitre 106, l'AsaenibJée ivieant* d'accouder sa iconiftamoe au ministère Ca(pnanida-ris.

Battling Siki fait une chute

New- York, 26 février. Une dépêche -.le la Havane annonce qu'au cours d'un « accès de fièvre », Battling Siki est tombé du balcon de son appartement situé au premier étage. Un gamin ayant heurté le corps dans 'a nuit prévint la police, et Battling Sjki" est acluèlleniènt soigné à l'hôpital de ia Havane Le boxeur qui n'est que légèrement blesse à eu un nouvel accès de fièvre et atenté de s'échariDer de l'hôpital. Il rie put être maîtrisé qu'après une lutte -assez violente.

Les troubles au Honduras

.o.

SAN-SAtvADOti, 26 février. DMprès des nouvelles du Honduras, les?' partisans du docteur Bonoufla, qui aspire à- la. présidence, se sont emparés d'une ville et se proposent de marcher sur Tegucigalpa qui efit h 40 milles plus loin et les troupes gouvernementales seraient en état de démoralisation.

PETITES NOUVELLES

BRyxELLEs, 26 février. On vient de distribuer les amendements présentés par M. Forthomme au budget du ministère de, la Défense nationale. Pour le budget ordinaire, les réductions s'élèvent à 11.366.28S francs.

Québec, 26 février. Un incendie a éclaté aujourd'hui' dans le bâtiment de l'Unioi l Bank et fait pour 500.000 -dollars de tlégà-'ri.


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tes prçemièrçes

THÉÂTRE' EDOUARD VII Le Veilleur de nuit, comédie en trois actes, de M. Sacha

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-'Sû|¥d?s(lne du 'd Théâtre Edouard-VII,M. Sacha Guitry a connu tant d'éclatants succès, nous avons eu le plaisir d'applaudiî-' de'ftb'uvèau-fe 'Veilleur, de nuit, l'un de ̃: ses.2pÉe®j|5Kt ouvrages, et l'unode ceux; qui ont le plus contribué, Je crois, à lui assurer la place qui lù'ï Irait'' réservée. || J'ai toujours eu' une admiration particuT, lièr'e pour le Veilleur de nuit. Ces' trois ac-'tes, 'trop courts ;ït'nolre 'gré, réunissent toutes les .qualités qui peuvent séduire notre esprit..et' 'notre sensibilité. Le pâradoxeque M. Sacha Guitry y développe est imprévu et charmant. Et, la vérité s'y reflète, en s'oppo,sant au factice et à l'artificiel.

Pouvons-nous ne pas absoudre ce vieux monsieur qui accepte le partage inévitable pour épargner au petit être qu'il chérit de pires tentations ? Avec quelle grâce, quelle bonté essentielle il nous exposera, sa ̃thèse, :et comme nous admettrons qu'il ait raison contre la morale courante Le sujet du Veilleur de nuit est connu. FMe, jeune femme entretenue, s'ennuie, et pour se distraire passe ses nuits à recevoir les êtres les plus malsains, éthécomanes, cocaïnomanes, morphinomanes, qui chacun

COURRIER DES THEATRES

A LA MAISON DE L* « ŒUVRE » IRÈNE EXIGEANTE

ET LE FEU A L'OPÉRA

Irène exigeante est un éclat de rire du imeiilileur aloi Cette délicieuse et joyeu-; se pièce de M. André Beaunier, "où' M| Lugmé-Poe mène le jeu avec une tnlcuilènce comique "itinénérrâble avec Mme Andrée Méry et M. Roger Veber comme partenaires, est juste l'œuvre qu'il fallait pour terminer la soirée après le drame le Feu à l'Opéra, qui produit une impression tragique et originale dont l'effet a été croissant devant le grand public.

̃' ̃ **»

<L«s 27, 28 février, le,ier mars,:le 2 (en matinée en en soirée) et le 5 mars le Feu à l'Opéra et Irène exigeante' le 28 (en matinée), Solness le constructeur de 29, en soirée, répétition générale du miracle en trois actes de M. Henri Ghéon, le Mort à. chenal, suivi de la joyeuse farce des Encore, adaptée par M. Henri Ghéon. Répétition générale

AU STUDIO DES Champs-Elysées, à 9 heures,- répétition générale publique de la Danse de Mort, pièce en. 4 actes de Strinberg, traduction de M. Maurice Rémon, mise en scène de M. LugnéPoe.

Aujourd'hui

A l'OdÉON, à 4; h. 30, l'occasion du cent vingt-deuxième anpiversaire jde, f .n.aissancej <^q UV )jc\ot. HjJg© matinée, poétique* <• t:\ vit £ n, s li-il'. |

Même spectacle que le soir >T

Au Grand-Guignol (2 h. 45).

;I Ce soir '̃'

A L'OPÉRA, à 8 h. 30, le Martyre de saint Sébastien (Mmes Ida Rubinstein, Suzanne Després MM. A. Bour, E.'Ferny, Gridoux, Ferras, Prelier, Charlier, Vertey chant Mmes Haram-' boure, Montfort, Y. Courso mise en scène M.! A. Bour). Orchestre M. Ph. Gaubert. A LA Comédie-Française, à 8 h. 15, les Deux Trouvailles de Gallus Margarita (MM. R. Duflos, D. d'Inès, R. Gaillard, A. Reyval, Mme H. Duflos 2° Esca (MM. R. Duflos, D. d'Inès, R. Monteaux, Fresnay, P. Numa, J. Guilhène, Dorival, Drain, Ledoux, P. Bertin, Falconnier, Mmes M.-Th. Piérat, Roseraie) Un Soir à Hernani (Mme Segond-Weber); Un Caprice (MM. Le Roy, Falconnier, Mmes B. Cerny, M. Bell). A L'OPÉRA-COMIQUE, à 8 h. 15, les. Contes d'Hoffmann (Mmes E. Luart, N. Roussel, Mauroy MM. Oger, Dupré, Hérent). Orch. M. M. Frigara.

A L'ODÉON.à 8'hi 30, l'Invitation au Voyage (MM. P. Oettly, Perdoux, Dervigny Mmes G. Rouer, S. Riss'ler) Je Fardeau de la Liberté (M. Gémier, MM. Fabry, L. Dubosq, G. Adet) les Coteaux du Médoc (Mlle Dèval Brice, M. R. Guilem).

Aux Variétés, à 8 h. 3.0, Ci&oMÎeHe, opé,- tette en trois actes et quatre tableaux (Gaby Bois-, «y, Jean Périer, Henri Defreyn, Pauley, Jeanne Pierrat, Emile Roques, Jeanne Loury, Koval, etc., et Madeleine Guitty).

Feuilleton littéraire du;27 février 1924 La Vie littéraire

-==>.o~

LEWIS ET IRÈNE, par Paul Morand (i vol., Grasset). LES FACÉTIES DE M. RADINOIS, par Cubnonsk.t.(1- vol., Albin Michel).

Sans être tout à fait de ces. lecteurs sentimentaux qui ne s'intéressent dans un roman qu'aux « personnages sympathiques » je ne déteste pas d'en rencontrer avec qui je puisse contracter un attachement de cœur et d'esprit. Ce sont. ceux-là qui >com-p'6se'nf: cette ^petite', société romanesque que se forme chacun. de nous et au milieu de laquelle nous aimons à vivre imaginairement. Nous y. avons nos amitiés, nos. affections, nos préférences, nos .liaisons plus pu moins intimes. Nous. conversons avec eux en•"péns'éè et ils: no-us accompagnent, dans nos rêveries. !.Nous évoquons leurs Figu.

̃res joyeuses- ou tristes, nous nous ra.p-

pelons; leurs- aventures tragiques ou comiques, yaous partageons jusqu'à un ceidaiix-pokiiJeurs passions- et ..nous sommes cur^ux des lieux où ils ont véfcàJiEïuiJhilTOtv ils font partie de nos proches et il s'établit entre eux et, nous une sosie do parenté. Notez cependant que cesîsympathies pour des héros et des héroïnes de romans ne nous sont pas toujours inspirée© par des ressemblaJices.'Ce n'est pas nous-mêmes que nous cherchons à retrouver en eux et l'attrait qui nous conduit vers eux n'est pas forcément égo'iste. On peut ne ressembler ni à Fabrice del Dongo-, ni à Julienrel, ni à la Sanseverina, ni à Mlle de La Môïe, ni à telle autre héroïne, et pourtant admettre ce groupe st,endhalien dans sa^ familiarité intellectuelle. Il y a quelque mystère dans ces choix que nous faisons presque à notre insu et dont nous tirons de longs plaisirs et de secrètes satisfactions.

.,Je faisais ces réflexions en lisant le nerveux et pittoresque récit par lequel

lui vantent les heureux effets de sa drogue; Et voici qu'un matin, un peintre la surprend, avec eux, à huit heures du matin. Elle s'étonne "dé sa'venue à cette heùre:! Elle croit "'qu'il est nuit encore. Les- rideaux ou- verts, le soleil pénètre dans Je salon. Avec lui,- c'est ia santé,- la. jeunesse,, la viç. > ̃ Le peintre deviendra l'àïMrit de la- jeûïiq femme. Ils s'adorent. Le vieux monsieut; qui subvient aux besoins de,,la jeune femme lapprend. Et alors '?. Noii.' Il devine l'in-j fluenee" salutaire .qu'il" èxercitsiir Elle- Noiî seulement jl, se, c^sigiy?, mais t\U approuve. Grâce aXuî, Elle ne «ort plus, ne reçoit plus,j mène une existence normale..Jl veille sui» Elle." Il l'a sauvée, .̃] Sur ce thème» M. Sacha Guitry a écrit uni dialogue étourdissant. Chaque réplique est un rire ou un sourire. La jolie pièce M. Sacha Guitry joue le rôle du peintre, qu'il a créé. On n'imagine guère qu'un autre puisse le jouer. Il a une jeunesse, une verve et une autorité qui ne sont qu'à lui. Mlle Yvonne Printemps est exquise dans Elle. Elle est délicieuse de fraîcheur,, de grâce et son jeu est fait de mille nuances. M. Jean Périer est le vieux monsieur, avec un tact, une mesure, une indulgence parfaite. Mlle Betty Daussmond a obtenu un succès personnel, très vif et et mérité, dans le rôle de la bonne. MM. de Garcin, Kerly et Mlle J. Véniat n'ont pas été moins applaudis.

Maxime Girard.

AU THÉATRE FEMINA

LA RENTRÉE DE M. CHARLES BOYER M. Charles Boyer, qui créa si. magistralement le rôle de Philippe Darthez, de l'Homme .Enchaîné, isl fait vendredi dernier 'Miie rentrée -.éclatante- -idana.-ila b«Ûe pièce de •'M. Edouard Bourdet, toujours interprétée d'autre part par la grande co- médieiin'e Marthe Régnier M. ConstantRémy et Mlle Nelly Cormon. Ajoutons que le succès de cette œuvre émouvante est toujours aussi considérable après, cent trente représentations triomphales.

A LA Porte-Saint-Martin, à 8 h. 15, Cyrano de Bergerac (MM. Chabert, Grétillat, Vargas Mmes Gilda Darthy, J. Boyer, C. Solange). Au VAUDEVILLE, à 8 h. 45, Après l'Amour (M. Lucien Guitry MM. G. Dubosc, Joffre, J. Dax Mmes R. Corciade, G. Morlay, D. Hebert, R. Ray).

Au GYMNASE, à 8 fi. 45, les Vignes du 5eJgneur (MM. Victor Boucher, A. Lefaur, Treville, A. Laucien Mmes FI. Dehon, Ellen-Andrée, Bl. Montel, Sicaud, M. Rienzi).

Au Théâtre Sarah-Bèrnhardt, relâche. Demain, le Secret du Sphinx.

Au THÉATRE CORA-LAPARCERIE, .à à 8 h. 30, tous les soirs, Plus que Reine, làeeuvre célèbre d'Emile Bergerat. Au cinquième tableau, le Sacre de Napoléon (Mme Cora Laparcerie, 'M. Georges Colin et M. Jean Wormà). 35' Wam'zelle

A LA Gaité-Lyrique, à 8 h. 35; Mam'zelle Nitouche (M. Morton, Mmes R. Destanges, Y. Yma MM. Marcotty, Letemple, Détours,- Poggi. Ballet Mlle. Fioretta. is .̃.

-in^_«-»Air'NQOTEii-ANi6ici4', à;8' hr-BO^Mtt'tànii

d'Hbnfteur (MMV dénient, M Lamy Bôufdel Asselin, Jacquelin Mmes P. Andral, Guéreau, Chapelas, S. Aubry, Dylma).

Au Théâtre ANTOINE, à 8 k. 45, un dimanche (Marguerite Deyal, Tramel, Florelle, Lucien Callamand, Saturnin Fablu, avec Pisoni et miss Keene).

Au Palais-Royal, à 8 fi. 45. Embrassez. moi (Mmes Th. Dorny, Bl. Bilbao. H. Dastry MM. Baron fils, Duvallès, J. Baumer, M. Simon, G. Leclercq, Ch. Lorrain).

Aux Bouffes-Parisiens, à 8 h. 45. la Da' me en décolleté (Mmes Marthe Davelli. Alice Beylat, Mary-Hett MM. Dranem, Louis Tirmont, Lucien Baroux, Lurville).

Au Théâtre OE Paris, à 8 fi. 30. la Flambée (Mme Vera Seigine MM. Raimu, P. Renoir. H. Rollan, C. Bert Mm;s M. Praince, Lilian Greuze, Ribe).

A LA RENAISSANCE (Nord 37-03), à 8 h. 45, le Fauteuil 47 (Arquillière, Marie Marcilly et Pierrette Caillol et Charles Deschamps). A L'ATHÉNÉE, à 8 h. 45, Romance (Madeleine- Soria, Lucien Rozenberg, Paul Bernard et Amaudy).

Au THÉATRE MARIGNY, s b h. 45, M. Max Dearly dans J'ailunejdée I (Jeanne Saint-Bonnet, Marcelle Monthil, Daubray-Joly, Alice Granville, Cousin, Peyrière, Joë Saint-Bonnet).

Au Théâtre Edouard-VII, à 9 heures très précises, le Veilleur de nuit (M. Sacha Guitry, M. Jean Périer Mlle Yvonne Printemps' et Mlle Betty Daussmond).

̃̃ Au Théâtre de l'Etoile (Elysées 41-13), à 9 heures, le Mariàge de Fredaine (Mlle Spinel-.ly MM. Alerme, Hiéronimus, André Berley et Treville).

Au THÉATRE Mkhel, à 9 \i., Ma Cousine

M. Paul Morand accomplit, une soudaine et brillante- entrée dans le roman. L'auteur de Ouvert la nuit,- de Fermé la nuit s'essaie aujourd'hui dans un .genre où il était attendu et où l'on attendait beaucoup de ses qualités de vision très personnelle et de sa compréhension très particulière du monde moderne. M. Paul Morand possède .un don d'observation des plus aigus et la, faculté précieuse de garder à son observation je ne sais ̃quoi de direct et.de brusque. Ce n'est point une lanterne sourde ou une lampe de poche dont M. Morand promène la lumière sur -les êtres et sur les choses. Il les soumet- diraiton plutôt, aux cinglantes et perforantes clartés d'un projecteur. A cet éclairage intense les contours" se précisent, tes reliefs s'accusent, les aspects se fixent en une attitude- où l'instantané prend, des s

apparences •̃ de, définitif. Ces: attitudes,

ces aspects, ces apparences, M. Paul Morand les-saisit d'un coup'd'eerl hardi, avec la volonté de les pénétrer intimement: afin de les traduire en phrases q-ui en transmettent strictement et nettement l'imipression, afin de les exprimer avec; le moins de déperdition possible en leur couleur, en leur mouvement, en leur réalité. Pour parvenir à se-s fins, M. Paul" Morand s'est créé une langue très à lui, d'une trame solide sur laquelle se delà-! chent avec éclat les images qui en sont non la décoration appliquée, mais l'or-; nement intrinsèque. La phrase de M. Morand sert de support aux métapho- res qui l'animent de leur curieuse et intense vie verbale. Ces métaphores, ces images, M. Paul Morand les cherche. le. plus souvent dans des rapports' assez; lointains et fort subtiLs de pittoresque .ou d'idées. Il en résulte un singulier et; vif plaisir de surprise, d'inattendu, qui va jusqu'à la cocasserie et au baroque, miais s'arrête avec soin au seuil de Fin-, compréhensible. M. Paul Morand n'est jamais un auteur obscur, même quand; il est un écrivain excessif et un méta-

r.y# o: v6 'F't~.u·

de Varsoûie (Mlle Elvire Popesco MM. HarryBfgt, G. Flatëau et Mlle M. (Sarlier).' .• Au Grand-Guignol, à 8 h. 45, la Porie0ose C'est vous la nouvelle ? la De;nière Torture Deux Tourtereaux. Mat. merc.sani., dim. «t.iêies. Aux CAPUCINES, à 9 h.. Une Petite un peu là. de MM. Yves Miratide et Henri- Géroule (Mlle Maud Loty MM. Berthez, Pierre Stéphen et Louvigny, etc.).

Au THÉATRE FEMINA, à 8 H. 45. l'Homme enchaîné (Mmes Marthe Régnier, Nelly Cormbn, Barbier-Krauss MM. Constant Rémy et Charles Boyer)..

AU POTINIÈRE, à 9 heures, le Tracassin de M. Rip (A. Simon Girard, F. Albany, Bejières, J. Ronceray, avec Georgé et Palau). Aux NOUVEAUTÉS, à 8 h. 45, Comédienne (Gabrielle Dorziat, Andrée Féranne, Gladys Car.lisle, Jane Calvé ;.MM. Paul Capellani.r.Cande, Barrai, Jean Silvesfre, Champell, Serge Plaute). A-u THEATRE Daunou, à 8 h. 45,Madamg{ Jeanne Chei^l. Boucot, André Luguet, Andrée! Alvor, Gabin, Christiane Dor, Henri Trévoux, Lisette de Béer ot Davia).- A LA MAISON DE L' « Œuvre », à 8 h. 45, le Feu à l'Opéra, trois actes de Georg Kaiser,' avec Mlle Bl. Symiane, M. Fr. Baissac, R. We-i ber, Asso et Arbeau, suivi de Irène exigeante, uni acte de M. André Beaunier, avec M. Lugné-Poe,' Mlle A. Méry et R. Weber.

Au Trianon-Lyrique, à 8 h. 30, Sylvie (Mmes Ertaud, Mahès, Moreau M. Rudeau) Isabelle et Pantalon (Mmes Davidson, Moreau MM; A. Jouvin, Marrio, Forti

AUX MATHURINS (Louvre 49-66),. 9 heures. Ce que femme veut. (Mme Charlotte Lysès MM. Jules Berry, Gildès).

A LA SCALA, à 8 h. 45, la Femme à Barbe (M; Marcel Simon Mlle Paule Morlv et M. Geo Lecomte. Au 2° acte, le grand cirque Linder et ses attractions).

Aux FOLIES-DRAMATIQUES, Là-Haut! opér. 3 actes. 4 tabl. de MM. Yves Mirande, G. Quinsont Willemetz, musique de Maurice Yvain (MM. Lucien Dorval, Rivers Cadet, Mmes M. Tiçv,ille, Bady, Duguet). r A LA COMÉD!E-CAUMARTIN,'à,9 ;!?., tableur d'Oranger (MM. Signoret, Morin Mlle Germaine Risse, Made Berry, Andrée Guize, Debrenne avec Mme Marguerite Pierry et. P. Etchepare). AUX DEUX-ANES (Direction Roger Ferréol), L'Oiseau ïert, folie-féerie de Colline, Mérry et Roger Ferréol. Les Chansons 1 924, en costume del'époque. (Marcadet 10-26). '>'

-Jt'LA.SOG'IÉTi~~ Dé:Sv~~AÜ1'ECIl5, ~COh'IPOSITEL·R6I

'̃̃̃. -A fL-A Société dïs AUTEURS, compositeurs

ET ÉDITEURS de ivfiîsiQUE. ta Sôcïelé des. Auteurs, Compositeurs et Editeurs fle musique à tenu lundi son assemble générale annuelle, Salle des Ingénieurs Civils," rue Blanche. Après la lecture des rapports du conseil d'administration et de commissions rapports qui durent adoptés à l'unani-

mité -` 1'assëmblëe a !pr'8céd&'âu rem-

mité l'assemblée a procédé au rem-

placement de cinq membres sortants du conseil d'administration.

Ont été élus M. Beissier, auteur MM. Chantrier et Albert Petit, compositeurs, et MM. Joubert et Labbé, éditeurs de musique. Dans sa réunion d'hier, le conseil d'administration a constitué son bureau.

M. C. Jonbert, président d'honneur, après avoir été élu président par acclamations, considérant que pour honorer l'art musical, il convenait de porter la présidence le maître Paul Vidal, ae désista en faveur de ce dernier dont il présenta la candidature. Le Conseil, procédant à un nouveau vote, porta ses suffrages sur M. Paul Vidal qui fut élu à l'unanimité.

Ont ensuite été élus

MM. Pierre Chapelle, vice-président Léo Lelièvre, secrétaire général Gaudet, trésorier Krier, secrétaire suppléant'

̃̃•̃̃̃ j i

̃QpÉi?A.T– On, a commencé de. repeler: en scène le ballet de M. Georges Hue, sur le scénario de P. Jobbé-Duvaï, Siang-Sin,: ajnp que le drame lyrique de MM. Eugène Berteaux et Charles Tournemire les Dieux sont maris. La première représentation de ces deux ouvrages aura lieu dans la première quinzaine de mars.

Comédie-Française. Le programme de la matinée poétique qui aura lieu samedi, à 4 heures 3o, sera fixé comme il suit MM. Léon Bernard (poèmes de Tristan Bernard Alexandre (Théodore de Banville) Fresnay (Jean de Saint-Prix) Paul Gerbault (Raymond de la Tailhède) Do-:rival (Max Jacob) Piérre Bertin (Georges.: Gabpry) 31mes Segond- Weber (Théodore! de Banville). Ventura (Ve jlàrolï^: Jaiit^Ia-j ber (Théodore de Banville) Yvonne Du-; cos (Leconte de, Lisle). ,.A En outre, M. Georges BèrF'et Mme Hu-i guette Duflos interpréteront le Baiser; de Théodore de Banville. Les notices de MM. Henry Charpentier, Hugues Oelorme, Heury-Marx et Edmond Séc seront lues par M. Dessonnes. .L,\ ̃ BEQUETE DES PENSIONNAIRES DE 1,\[ Comédie-Française. Trois artistes de la1 Comédie-Française, MM.. Jacques Guilhène, Laffon et ÏNuma .viennent de remettra au directeur des Beaux-Arts une requête qu'ont -signée les trente-neuf 'pensionnaires de la Maison. Il s'agit o"un véritable cahier de

phoriste risqué. Il a un sens très sûr,- '1 très net,' très fort de c-e qui ;egt. possible; et il s'y tient. ;> ̃:̃ ̃-• | C'est muni de-ces soUdes points d'ap-i put que M. Paul Mprand' vient dahor-i der le roman avec son Le iù'is ci Ifè'ne,\ et il l'a fait. avec un incontestable talent; et une évidente 'réussite.. L'œuvre fcle; M. Moràhd est heureusement d'une qualité à supporter sans trop de dommage la vigoureuse publicité dont, elle a été entourée, J'ajoute que, dans ce premier roman, M. Paul Morand me sem-, bl-e- s'être*]jrivé: volontairement' d'un appoint précieux en s'y refusant l'emploi de ce « personnage sympathique » dont je parlais plus haut et qui concède au romancier tout un certain public. Ni le Jîewisr ni- l'Irène de. M: Mûrand- ne .mie semblent a.ppartenir' à ceffé catégorie,, ce qui ne les, empêchera pas de faire partie, peur -beàucèup de cette « élite romanesque » ̃dtrnfje signalais égale- ment l'existence et .que chacun de nous '.Compose au gré de ses affinités gentimentales- et de ses préférences: i-ntelleçtuelles.' J'avoue cependant pour; nia part que j'aurais peut-être'' quel- que peine les' introduire, cette Irène, ce Lewis, dans la petite. société imaginaire que je me suis .formée. Certes les personnages que met en scène e M. Paul Morand sont fort despotiques et du moment que nous avons fait connaissance avec eux, aucune .péripétie de ;leur aventure psychologique ne nous est indifférente. Nous .tenons a savoir commen.t finît le conflit qui s'élève entre eux. Mais une fois cette curiosité satisfaite-, je ne -me sens guère l'envie de pousser plus loin dans l'intimité dejjes héros, pour mon goût un peu trop modernes, et de les adppter3t«»-îiomi*r#?dts membres de ma famille spirituelle. Je ne me. sens pas à l'aise avec eux, ils appartiennent à un monde .qui m'est par trop étranger, « le monde'des affaires '>>. Ils y font, l'un et l'autre, importante figure, Lewis, directeur -de la grande

doléances. D'après ce document, la première troupe de.Paris est aussi laîplus mal pay^ée. Les revendications des pensionnaires peuvent se résumer en quelques lignes depuis la guerre, le traitement de tous les employés de la Comédie a. été augmenté :de 100 à 200 o/d. Certaines augmentations– en particulier celles accordées aux machinistes atteignent près de 4oo-o/o. Les sociétaires eux-mêmes ont vu leur part doublée, ou à peu près, et leur traitement fisc s'élever de 1.000 à 1.D00 francs par douzième. Seuls les pensionnaires ont encore des appointements (d'une extrême modestie) de cinq cents à huit cents francs par mois pour la grande majorité.

Les derniers venus à a Comédie nous parlons de la plïis récente promotion du Consecv.aAo6irre .ont éfç,engâgés pour 6.000 francs 'par an. Ajoutez a cela .les :« feux » dix francs en soirée et vingt en matinée le total ne dépasseras six cents francs par mois.

Nous pourrions citer telle grande artiste qui gagnait récemment plus de cinq cents francs par représentation sur les boulevards et qui est entrée à la Comédie-Française pour mille francs par mois.

Sans doute, il y a les cachets, les tour- nées. Mais les pensionnaires n'ont droit qu'à vingt et un jours de congé par an. Leur faudra-t-il donner des leçons pour vivre ? p

Ce sont ces réclamations que les pensionnaires soumettent aujourd'hui au directeur des Beaux-Arts. La requête est déjà transmise au ministre, qui ne manquera pas de consulter, à ce propos, l'administration générale et le comité. Nous croyons savoir que ce sera dans le plus bref délai.

»♦•

Opéra-Comique. Demain jeudi, en matinée, Carmen interprété par Mmes Brohly, Guyla, Mona Païva MM. Paul Goffin et Vigneau.

Pour la rentrée de Mme Riter-Ciampi, l'Opéra-Comique reprendra jeudi soir Cosi Fan Tutte. Le chef-d'œuvre de Mozart sera en outre interprété par Mmés Vallàridri, Baye MM: Vieùrlle, Villabella, Audoin.

ODÉON. Voici les spectacles que TOdéon affiche pour le lundi et le mardi gras lundi 3 mars -.Tartuffe, On ne saurait penser à tout mardi 4, en matinée Un chapeau de paille d'Italie, le Joli rôle en soirée Notre-Dame de Paris.

••» ̃-̃̃

Le Cid, dont les décors ont été 'complètement renouvelés, n'a été donné jusqu'ici qu'en spectacles d'abonnement. Pour répondre à de nombreuses demandes, la direction a décidé d'afficher le Cid, dimanche prochain en matinée avec les Précieuses ridicules. Il convient d'ajouter que c'est la seule fois de la saison que le Cirl sera joué en matinée le dimanche.

L'Odéon vient de mettre en répétition le Roi s'amuse, qui prendra place au répertoire.

Variété». M- Max Maurey annonce les sept dernières représentations de Ciboulette, la triomphale opérette de MM. Robert de Flers et Francis de Croisset, musique de M.

Jieynaldo Hahn, ̃(. > ,h

.Irrévocablement^ .lundi 3 mars»; dfirpiere; représentation. ̃ LE NOUVEAU SUCCÈS DU VAUDEVILLE. La grande critique a unanimement proclamé le succès triomphal de .4près l'Amour Succès de grande classe. t

Cette pièce a été acclamée.

Le succès a été éclatant.

Un magnifique succès de théâtre.

Partout, à chaque ligne éclate le mot succès. ̃

Jamais la maîtrise incomparable de M. Lucien Guitry ne s'est mieux affirmée que dans la pièce de MM. Pierre Wolff et Henri Duvernois.

Après l'Amour s'est, du premier coup, classé parmi les grands succès qui, depuis quelques années, illustrent la scène du Vaudeville.

Théâtre Sarah-Bernhardt. Si la presse a été unanime à louer la splendeur de la mise en scène du Secret du Sphinx,, de M. Maurice Rostand, elle a fait aussi l'éloge de l'interprétation.

Le public applaudit d'enthousiasme Mme Ida Rubinstein, Sphinx admirable et troublant MM. Yonnel, plein de fougue et de lyrisme Puylagarde, ardemment convaincu, et, Mme Gilda Darthy, belle et émouvante. -< Théâtre Antoine. iVé un. Dimanche, de M. Romain Coolus, remporte tous les

firme la Franco-Africaine, Irène Apostolatos, de la Banque Apostolatos, de Trieste. Homme d'affaires, femme d'affaires, ils nous apparaissent tous deux intelligents, pratiques, brutaux, actifs, précis, aimant teur métier. C'est du reste ce mlétier qui les met en présence, sur une plage de Sicile où Lewis et Irène sont venus en vue d'une exploitation de mines de soufre à obtenir. Lewis emporte l'affaire, mais il emporte aussi l'image d'Irène, or l'image ne lui suffisant* pas, il voudra posséder la femme, et pour cela, il la fera sa femme. Que sera l'amour entre ces deux êtres également autoritaires, également modernes? A l'amour tous deux sacrifient leur, .travail afin .de vivre l'un pour l'autre,' mais voici > qu'entre. eux se dresse .l'en-: nui et l'ennui sera plus fort que l'amour. Irène et Lewis se séparent, m!a.is ils resteront en rapport d'affaires et jãmais ̃peu-t-être-ils, ne -se -seront :mieux;

aimés. ..̃••̃

"A nous conter cette. histoire, curieusement significative, je le, reconnais,, des. mœurs de. T époque, M. Paul Morand a employé tout son beau talent d'éenvain 1 et de conteur. M. Morand sait à fond l'art du récit, de ce récit où l'auteur do-. mine son .sujet, ne s'identifie pas avec 'lui,' lui demeure extérieur. M. Paul Mo-, rand donne l'impression de rester toujours maître des situations et des per-, sonnages. de les faire agir, penser, parler à son gré. Certes i! obéit jusqu'à un

certain: point aux caractères qu'il Jeur

c~rtüin' P1fint,' ,niais .car,act~res qu'il )eu',r

a reconnus, niai s il se réserve le droit

de les simplifier à sa guise. M. -Morand nb'uis' offre .son Irène, son Lewis, en spectacle, mais de ce spectacle il régie réclairage, le mouvement. Cette. autorite narrative, M. Paul Morand l'exerce avec esprit, avec brusquerie, avec ironie. avec une certaine dureté narquoise. S'il s'attendrit et s'émeut, c'est à la dérobée. M-. Paul Morand ne cesse guère de mener le jeu, mais il le mène fort brillamment, avec une verve âpre et imagée.

soirs, le plus grand succès de rire, avec Mlle Dfarguerite Deval et. M. Tramel. Samedi et dimanche, matinées.

BOUFFES-PARISIENS. La Dame en décolleté, la célèbre comédie musicale, va fêter sa ioo6 représentation.

Dimanche, matinée à 2 heures 3o, avec Mlle Marthe Davelli et M. Dranem.

»^«

Grand-Guignol. Aujourd'hui, en matinée et en spirée La .dernière Torture, dont lé" succès dst triomphal»'

Comédie-Cvumartin. La Fleur d'oranger,' l'un des plus grands succès de la saison, sera jouée en matinée le mardi gras, 4 mars., La location est ouverte pour cette représentation supplémentaire, et il' est prudent de retenir sa plaée- ••

•*«

:f^i|ATïtf 5oç "Rvbis. ;i- Malgré- 1:son^>inîr,

mènse succès, affirmé par des recettes qui n'ont jamais faibli; la Flambée, la vibrante pièce d'amour de M. Henry Kistemaeckers, devra céder la place sur l'affiche à l'œuvre nouvelle de M. Charles Méré qui devait, par traité, voir les feux de la rampe au début de mars.

En conséquence, la Flambée, que jouera jusqu'au dernier soir son admirable créatrice, Mme Vera Sergine, entourée de la merveilleuse distribution qui réunit les noms de MM. Raimu, Pierre Renoir, Henri Hollan, Camille Bcrf, etc., ainsi que ceux de Mmes Marcelle Praince et Lilian Greuze, se terminera le dimanche 2 mars en soirée.

ATELIER. C'est le 28 et le 29 février, en soirée, et le Ier mars, en matinée que seront données, à l'Atelier, les trois représentations précédemment annoncées du Chœur National Ukrainien (direction Kiritschenko).

Scala. La Femme à Barbe est un triomphe. On refuse du monde à chaque représentation. Il faut avoir vu M. Marcel Simon dans ce rôle de professeur devenu « passe-partout » dans un cirque. Il y est irrésistible.

LA PETITE Scène donnera, le lundi; 3 mars, en répétition générale et ensuite devant les membres de son Association, i5, avenue Hoche, la Coquette ou l'Académie des Dames, comédie en trois actes de Regnard, jouée pour la première fois à la Comédie Italienne en 1694, avec plusieurs divertissements de musique et de danse. Matinée mardi /j et dimanche 9 mars soirée jeudi 6, vendredi 7 et samedi 8 mars.

Maxime Girard.

SPECTAGLES^& CONCERTS

Répétition générale:

Au PERCHOIR, à 3 heures, répétition générale du nouveau spectacle Ah Flûie 1 opérette de M. Léon Xanrof, musique de M. Camille Kufferath Pro Domo, comédie de M. Jean Bastia le Galant Couturier, sketch de M. A.de Montgon, musique de M. Pierre Sabatier.

Aujoura nui e

Au RECTOR'S Club, MM. Max Lolivelet Harry Pilcer présentent Magliani et Berger, de l'Opéra. Tous les jours, thés dansants.

.'j"')'l'. Ip f'!Y'~¥"2'h'O)" ,'t' 11';ÍI~ -1"1'

Ai Olympia (l h. i\))r

Ce soir

Aux Foues-BercèRE (Gut.02-59). à 8 h. 30* la merveilleuse revue de M. L. Lemarchand Ltk pleine Folie. en 2 actes ei 40 tableaux. Au CASINO DE PARIS (Cen. 68-55), à 8 h. 15, On dit ça I revue de MM. Jacques Charles, Albe:t Villemetz et Saint-Granier (J.Marnac, Dorville, Saint-Granier.Mittï et Tillio, Pierrette Madd). A L'OLYMPIA (Cent. 44-68), Damia Perchicot la danseuse Nerina John et Alex Gaston Palmer trio d'Angelo Thsien-Thse la troupe Tirridu. De 5 à 7, Dancing. Entrée 3 francs. A LA CIGALE (Nord 07-60), à 6 h. 30, MonIre-moi ton Coquelicot, revue (Marguerite Carré, Louise Balthy, Charles Falloir Mado Minty, Sa. rah Rafa!e, Jullien, Lysana. 150 artistes). Au PALACE, sur Tes boulevards, angie du Faubourg-Montmartre (T; Berg. 44-37), à 8 h. 30, les Do!ly Sisters dans Oh! les Belles Fillesl Les Ballets volants. Les Vagabonds de Moscou. Au CONCERT MAYOL (Tél.Gutenberg 68-07). à 8 h. 30. la revue Cache la pudeur! 45 tableaux. Parisys, Argentina, Montel, 250 artistes, 900 coj. kames les 32 Fisher'i Qui»-

A L'ALHAMBRA (Roquette 0-10), à 8 h. 30. De Biere 'es 30'Cosaques de Kouban les Mazden Felovis Walkers 8 Academy Girl's Vitry Devilder et Damy Hervieu et Cie The Jolly Jack Tars etc.. etc.

A la Lune Rousse (Trud. 61-92), à 9 heures. D. Bonnaud, V. Hyspa, Léon-Michel, G. Secré. tan,'J.rRieuX, Cluny, de Soutter, Heintz.. Parlons. franc! revue (Y.Guillet.M.Mailly et Spark). Au PERCHOIR (Ber 37-82), à 9 heures, nouveau spectacle Ah h Flûte opérette en deux actes Pro Domo, comédie de Jean Bastia le Ga-

Cet art du récit,, vivant, personnel, varié, à saillies et à facettes, me semble une des principales qualités de M. Mo-,rand romancier et son roman me parait un roman de conteur. C'est par ce ton original de récit qu'il me semble surtout valoir. J'ai parlé, tout à l'heure, à propos des personnages de M. Morand, de simplifications psychologiques. Parfois. cette simplification amène M. Morand à leur donner un aspect quelque peu conventionnel et schématique.Ils vivent, certes, mais souvent plus par la, puissanté et secrète entremise de M. Morand que par eux-mêmes.

,Ce, ton.de narration, ce tour d'esprit; original, cedond'images.inaUendues que je trouve chez M. Paul Morand me font souvenir dlune visite faite jadis à Mau-, ripe Barrés. C'était au lendema.in de la pubJica.tion. du Jardin de, Bérénice et Barrés s'inquiétait déjà de son.prochain ̃roman. h& choix du sujet 'le préoccupait. On avait trouve celui de Bérénice un .peu « mince ». Et Barrés m'exposaiiison cas avec ce'1 mélangé de dédain, et". de naïveté, si amusant en lui, «-Mon cher Barrés, ]ui:dis-je, le sujet, pour vous, n'a aucune importance. Vous 'avez une manière de sentir, de dire, d'écrire qui vous est propre, un ton à vous. Vous pouvez nous conter -n'importe quoi,nous, écouterons toujours Barrés, que ce soit 'les rêveries d'un homme libre, les grâces .de Bérénice, ou un mariage à la Madeleine. » Barrés n'a pas écrit le mariage à la Madeleine, mais il a été enterré à Notre-Dame. M. Paul Morand n'en est 'pas là il ,a plus d'un tour, ;de, oonbeur dans son sac de romancier. 11 peut se permettre.bien des choses,, même, d!être un auteur à la mode, puisqu'il l'est à la sienne.

Quand 'les 'Siècles futurs étudieront les « avaiars ».du bon humoriste Curnonsky, un des moins curieux ne sera pas sa collaboration avec un certain M. Radinois, dont il nous offre aujourd'hui-

lant Couturier, sketch (Mlles Marie-Thérèse Berka, Renée Dyane, Crisafùlli, France Dellys et Lucy Pezet MM. Géo Bury, Paul Clérona, Robert Sidouac, Corne).

A LA PIE QUI CHANTE, 159, rue Montmartre (Cent. 25-67), à 9 heures, Spartagas- (Lucy Vau. thrin, Castelli, R. Launay, Jane Clairette. etc., et Marcel Vallée). Matinée sam. et dim., à 3 heures. A LA CHAUMIERE, à 9 h.. Douce .4 mère, revue de MM. Jacques Ferny et Léonce Paco (Mmes Reine Rerns. Edith Mérannes. Yette Armell MM. Chepfer, Marinier, Monelly).

CHEZ FURSY et Mauricet, 43. B. de Clichy (Trud. 69-67), à 9 h.. Oh Pardon t revue de Rip et Briquet (Renée Fagan, J. Magnard, Pierade. Betove). Chansons et danse Mile Loulou Hégoburu.. Au CIRQUE DE PARIS (Ecole militaire) (Segw 31-9Q), à 8 h. 30. Jeudi, dimanche, à 2 h. 30. Let lions les trapèzes volants; les chevaux, les clowns, 15 attractions. 1 fr. 5Q à- 12 francs).

Au CINÉMA Delta-Palace (Place du De.1ta), Ginette, comédie jouée par Mary Miles U Foyer qui s'éteint (Mary Carr). L'excellent orches.tre Ritte. Tous les jours, à 2 h. 40, mat. avec orchestre complet. Soirée à 8 h. 40.

Folies-Bergère. Soyons gais, c'est la meilleure façon de chasser au loin les soucis de l'heure présente. Et pour réaliser ce programme c'est d'aller aux Folies-Bergère où triomphe la super-revue En pleine Polie.

Notons que ce splendide spectacle s'esï enrichi depuis quelques jours d'une noir velle et stupéfiante attraction les Anaglyphes (ombres en relief).

Grâce à l'illusion d'optique qu'elle provoque, les spectateurs tour à tour effrayés, émus et charmés, s'imaginent que tout ce qui se déroule sur la scène est soudain transporté au milieu d'eux 1

PIE qui Chante. Louez vos places sans supplément) pour Sparlagas, l'opérette triomphale. Samedis et dimanches, matinées à 3 heures.

Ce soir et demain, les deux dernières de la Revue de Ferny et Paco, à La Chaumière (108 représentations).

L'Association Léopold-Bellan, voulant donner une marque d'estime et d'encouragement à la bonne Chanson, ouvre un Concours gratuit de Chansons (paroles et musique). Pour les paroles, le Concours sera clos le 19 mai 192/i. Pour la musique, le Concours sera ouvert le Ier juin et sera clos le ier août 1924.

Courrier Musical

Ce soir

A la Salle Erard, concert donné par Mlle Marcelle Bleuzet avec le concours de M. et de Mme Bleuzet et la «Société des Instruments à vent.

Paul Roes donnera un second récital consacré aux œuvres de Chopin et Liszt, Salle Pleyel, le Ier mars, à 9 heures.

Le concert donné Salle Erard par le Quatuor Krettlv, a été l'occasion d'un nouveau succès tant pour ce remarquable groupement qui s'affirme l'un des meilleurs qua- tuors français, que pour Mme Gérar, can- tatrice, et Mlle Krettly, pianiste.

L. de Crémone*

M. Bonservizi va mieux:

M Bonservizi a passé une nuit tranquille, Température S" pouls 70. Les pinces hémostatiques ont été enlevées ce matin, sans provoquer d'hémorragie. Aucune suppuralion n'a été constatée. L'état de la blessure est donc aussi bon que possible.

M Bonservizi devra demeurer immobile deux jours encore puis il sera transporte! dans une maison de santé.

PARIS-NICE 1924 confirme la supériorité des motos

La grande épreuve d'endurance et da ré* ii-ulariié de Paris-Nice (1.43-1 kilomètres) vient de se terminer par une éclatante victoire de la grande marque française Terrot qui a 2 premières places ex xquo dans chaque catégorie de motocyclettes (175 cmc., 250 eme, 350 cmc.).

Les pilotes de Terrot s'adjugent 6 médailles d'or, pour avoir termine sans pénalisalion et s'attribuent la Coupe Patino* (challenge international).

Le catalogue de Terrot est adressé franea sur demande. Ecrire Etablissements Terrot, Dijon (Côte-d'Or).

les judicieuses facéties. Curnonsky, en effet, s'il est, à lui tout seul, l'auteur de Demi-Veuve et des deux vers fameux Dans le wagon des dames seules

Nous étions quatre-vingts fumeurs!

Curnonsky, .donc, a. collaboré avec P.. J. Toulet pour le Bréviaire des Courtisanes et le Métier d'Amant, comme il vient de collaborer avec M. J.-W. Bienstock pour leur T. S. V. P. qui est, ainsi que l'indique son sous-titre, un recueil de « petites histoires de tousi et de personne », c'est-à-dire ce que l'on nonïma.it jadis un « an a- ». Mais ces collaborateurs 'réels n'ont pas suffi à d'ambitieux Curnonsky. Cet humoriste sans principe, et sans a poussé l'audace, confiant dans une impunité probable, jusqu'à-s'inventer un collaborateur imaginaire qu'il a, affublé du nom da Radinois. C'est de ce bonh.omm:o (qu'il nous présente, en une préface .qui) voudrait être sérieuse), de -ce boàhûmme de culture' moyenne dont il nous rapporte les opinions. Curnonsky -les a transcrites fidèlement et sans y trop mêler du sien, reconnaissons-le. La preuve de oe- que j'avance c'est que les opinions de M. Radinois ne manquent ni de sagesse, ni'de bon sens, ni même d'esprit. C'est ce qui nous permet do dire que notre Curnonsky n'y a pris aucune part, pour le fond du moins, car on peut noter ça et là, au cours -de ces pages, certains calembours, à-peu-près, jeux de mots, pertaines bouffonneries1 qui paraissent bien, au texte radinesque, des interpolations curnonskiennes. Malgré ces taches, on peut lire avec agrément, profit et même plaisir ce livre honorable que M. Ournonsky n'est pas parvenu à déshonorer en y glissant des gentillesses à sa manière. Souhaitons ces messieure Radinois et Curnonsky qu'ils trouvent à leur livre le public d'.un wagon de dames seules l'on fume. C'est-à-dire, au moins quatreVingts lecteurs. Henri de Régnier, de l'Académie française.


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35.. de l'Union Parisienne. 1065 1072 5% ,g,s.1916 \j,\ 7! 70 95 Tribut d'Egypte 135 Banque de l'Indo-Chine .4150 200 Charbonnages du Tonkin 8800 9000 •• •• Salja-Karaidin «3. ^g 187/8 18.

65 ..I Compagnie Algérienne 1-iOO 1448 4% 1917 60 75 60 50 Priorité Tombac .3.. Pays Europe Centr. ord. 113..4250.- 1 10 Béthune <C" de), nouv 3225..3320.. cn; °rakP8n •••̃•. ""V; jtt m yti ik Consolidés 56 1/2 56 1/4

65 ..1 CompagnIe Algérienne. 142D6 144888 4 1917"H" 60 75 60 50 Priorité Tombac. ,3.. Pays Eùrope Centr, ord, 113.. '¡25!) 110.. 8ethune (C" de), nouv 3225 ..13320 c 8rakpan 275 50 226 Consolidés. 56 1/2 56 114 i.

50 ..ICompto.rNationald'Escompte. 936 .988 4% ,9,3 ..̃ 60 40 59 82 Haïti S% 1910 715.. 7C6 5 50 Indust. de l'Afr. du Nord .-• 75 Dombrowa CHouillères), parts. 2392 •••• Caoutchoucs'S Financière de) *£> 3 "? Argentin 18.86 If)Q 100

40 Crédit Commercial de France. 745 ..760 5% ,920 Amortissabl 86-. 84 50 Hollande 1896 Industrielle de Chine 30 Epinac (Houillère. & Ch.ferd'). 1750 •̃;••••• chîm^'o» '"i" Vl" VT "'î 118 |)9 50 Brésil 1889. 46- 50 Foncier de France >250 ..14/0 6% ,920. 6247 82 35 Mexique 4-% Or 1904 •• 10.. Franco-Japonaise 564 570 66 66 Haute-Loire (Houilleres.de la). 1690 1750 y ;• Chemins OttomansCLotsturcs) '10 ̃• » 3U Funding.. 73 1/2 73 ̃' 70.. Lyonnais. U25 1711 Roumanie 4% 189O..75 90 74. des- Pays du Nord 50 Montrambert et la Beraudière J sn- D- ^ity-Deep Chine 41/2 8 8j-/

30.. MobiherFrançais. 550.. 565..g Bons du Trésor ~g~ ~g. 490 50 Converti. 4450 50 ..CrMitÀtg.ri.n. )250Sa,nt-Eti.nn.(HouiNtr.sd.).. 3)0.. 3)4.. 75'°"°, 485 ~"Egypt.Unifié. 74. 74.

Hâoso^Sra^ ?S' ^ex.^ -g- «» z g–io: ^ï^rm .• ^?.1t: 7iw:SlïïSîv. «9. «\T–ï:&± iïir.

3^93Su.2100.. ,3490.. °-– *g jg(& g "gg :iï^&&™« v. ,g =. i ëS^ z & ï -g v. âE5;;ï,uï«^ ig •: j| Upr; J ^Vs^ f^h V^k

43 Est 893.. 903.. o/o i»i» m Uruguay Or 19OS •• Soc. G" Banques de Province i. 45 Carmaux nouv 1870 1925 ̃•• De Beers ordinaire. #1 fS? Portugais 29. 28.

366931$uez. 12.00.. 13490.. 5%1919. 326.. 326.. Santa-Fè'S%;191O. 799.. 800, Soc. G" Banques de Prov ci :.11)50, -62.. 81a,nZy, JOUiSeance. 1870'11900.Icrown M,na 1231 1268" JapOnI899,64 1/2 641/2

65 Lyon.. 1140 IÏ35 ̃ y -,95 2q 5fl Or 45 Soc. G" Alsacienne de Banque. 620 620 15 Carvm nouv. r- 1100 1115 "i g- .préf"er>0" 30? "31 Rusée 19O6 12. 11.

65 ,Lyon"1,1I40 113> M'q 0 'd F 3% 1910 1 ~95 29450 OBLIGATIONS 45.. Soc,G"Aloaciennede ganaue. 620" 6;0.. 15.. Dourges nouv. "1100.. 1115.. 1 D' préfe-enoe. '0' Rusee 1906. 12 ~i Il

30 Métropolitain de Pans 5V > 535 M.~ 397 53 50 54 <2 1875 4% remb. à SOOf, .400 400 « L ̃ ̃ ̃ 17 Loire (Mines de la). 417.. 415.. fc "ftch^'ss- 4I0 Goldfields 18/9.819/

67 .Nord.1i360 ''1' CF' 3% 1909 290 290 86S 4Yo remb. è 500' 615 619 AOTIONS INOUSTRIELLES "'30.. Graissessac. ,70.. 770. Geduld. 3~ 39~ Turc 4% 7. 3/5

14..Nord,Sudd.Paris û\ 230 Madagascar l^- g. 1876 r.mb. » SOO' 400.. 4 JO g &#££ 475.. 18.. Merles »,•• ;W j^; H^h.». 410 j

,50 Métropolitain de Paris ~3'~ "1 ~48 31/21913:1335.. 332.: 1871 3% remb, à 400' '33,5 335.. 23.. Chem. da fer Est joUiS, 5Q ..¡Ligny;les-A,ires, 1540 1605.. Sô" 319 12f~ Eaet Rand.17/7.2i7I,'4 ,2

30 .Métropolltaon Paris 231 "1 ~35 a degascar 1897. 53501 54.. 1875 4Yo rem b. à 500:400., 400.. 45.. l.yonjoui. 17.. Loire (Mines de la). 417.. 415.. 1 .h' HotchkIss. 410" 442" Goldfields. 16/9./8iI9:

enme d'Electricité. 8~5 877 km y 0/ .«, -xac\ %è.i < 1892 21/2 remb à 4OÛ 205 200 50 ci :-L Ki«^rf in..i« 40 Qstricourt ••• Wriv I iUU lu^'rs'omein 317 327 Rand Mines. v 61 /3-/ 61/3-

40 bistr! Parisienne d'Electricité. 665 877 M.™. |X | 4 ;•̃;•̃ •; 347 a ^2V2r^.n* 4JO.. 5 Nord ^ou .j»;» •• M, •• |8 vicoig[la et Nœux. 7O5 704 K^Lumpur .69 11 {fcU

.40 bistr..F'laie,~ne.d.Electr~c,te, 15551 8r.. 5%1918.1392.. 399:. a. 1894.9621/2 r.à400' 202., 19? 45.. Orléensjouis. 61>5 ..165(.. 16.. Vicoigf\eet Nœu. i. 705.. 704.. :¡Kuala Lumpur. ,9~ I~ Mexican Eagle. 18/10!218/4.{2

60, Electricité (C" Générale dO. 1555 1660 Tunis ?02'|'° *A 'm ,998 2% remb. à SOO' 246.. 24;> 22 50 Ouest jouis ̃ «.m mL," °J 'J 184. 904 RoyalDutch r.. 37 7,'8 36

22 5p Electricité et Gaz du Nord. Jum^ 3 /o ^y-- 4io ^48 Q ,399 2çj| Mit. r. à;S00' 234.. 239, g ̃_ %£M$;m 137 50 Algéri.-Tunisi. (Omn.um) Ijj-5™" J^ r. 505.1 520 f".ll. 4 19/32 4 19/32

40.T.).6raph.eMnsF,L. 1919 420.. 425..UJ )90421/2Mtt.r~500. 226.. 227.. '30.; Oue.t-A~t'-i.n. -°.F~)2,h.M~oM~ -'52.. 52~ .O'8 '~8.

40 :Te'egraph,esansF,I. Bons 6A 5%1920.430.. 425.. -J 19042.1/2 Mét, f'I" 500.. 226,2,,7'" 2875 Tunisiens 485 8c-leo,parts. 865 42.. 12.h, h. a Mines of a -1 Oro, 452 462 VenezuelanOil. 1 7/8 17/8,

9£BSSBœ»r»:: S|^=:: S:: | 3 BB/mB. I: i! = ?^F: i^^EE^Sv^SSM^^ %^==E:

FoW.«.Aei*r-duN.rd*-E.t 426.. 435.. f#iî! 485 25 488!. >M9'O3%remb.à40o; 205 ,5- Parisi,nn. Ind. Electrique 389-. 393.. 1S|\ ZJ'cl^; 235 245 »••• Cyn-oon 119 H?

25 Forg.&At.Cons.Elec.Jeumont 467.. 478.. ,912 3% remb. à 300 196.. 195,. 45- ..MBga.ins Généraux de Paris.. 1075 60 Lille-Bonn.er» on *:••" I5^ •̃ '™° •: EmbiqÛe 4175 42 75 A"aconda 9/4.- 2 9/4 ,/Z

••"Boléo 72°" ?39-Départem'duNord6%,92, 427.. 425- ',1'^ ife^5^^ li! «0 Y. « Sh 1138 "!iS" ̃' ^u^. 332 -r- f \^y

15 Courrières 665 .674 v71~: ms 6% 4 192153/4% r, 10500' 455.. 460.. 50:: AirOompri"¡: !540 :540: 793 625 North Caucasien 83 50 88 75 North Caûc'¡sian. 11Ï3:I. f.

Lens ? de Re .1 L W/Com. 87926 f 40 Elactricitè de Paris 1585 45 Poulenc 1169 1180 a ang sou CnOUC Il.7. Russian Oit 161.

30 C'atowaVpe^iës)-: i«M ̃ nlS ^ziiïiï^^r. TA %l.\ l\ FTc.îtltl^r. ï IoS:: g g ÏiïïT. \& « s.i> Artificiel. 4925 5.00 » ^»™ ]& ?g i6 *><> -"• Qm *hk Financière des Pétroles. 570 585 -= dévastées •• «Q 425 ̃ ̃ « F°"=- '885 26O% r. SOO 253.. 252.. 22 10 Cuivre, et Pyrite..•̃ H20.. 12 Usines du Rhône 5 [h Rend 'JJ1; •; ̃ '301 308 Buenos-A.res 43^ 4362 .Pétroles Premier 423.. 430 §̃£» ^tgfe 6 i' "42? Y. «S 4^ "'891 3% r ° «OO 224-229.. 45 Dynamite (S" Central.), 42 50 Sahns du M,d, 1195..12.9.. 4 A; g;^n. ,g 50 | Pans- 97 55 IWC5 ;• ̃ Pnor..| j M,nes.de;:Len6,6^ 485 ̃ 487 75 u! Com, 19.12 _3 r. à 25O -.145 i.. 145 25 Tabacs Ottoman. 4 H 449 B.nédictine 24550.. Tub.s et F. de Sosnowice %i •̃̃?&•• NEW-Y°RK- » W"

20, Kuhlmann, 774.. 780.. Ca'! Fivos;Lilie 6% 435' F one, 189S280%r,500..273 ..271.. 14 p, Andalou 70 Part du Rosaroo. 700 Ste. a française, ,600 607. Argent (méle!). 33 5/16133.518.

27 Gafaa, .11070. 1095.. N 'd Pa ,s, ,de.Càlais Í922,. 43'; ,II 437:~ cr Z- Fon~. .1,899260 r. 50, 0' ,,1253 251 24,p, Nord Espagne.. 750.Hil~raig;,e Péninsulaire arts).1. 25",ITab Ud'O et .t'd':O""t'" '4,31'" 452, Escompte hors banq,e,' 3 39116, .7/t6

Chargeurs L" d'AI' F 10~4 Il'5 Industriels A laac,, 1~ 430 428'z Com. 190e '3 3% 5'00'" 282' '~07. 7 50'Havral<e Pen,n.ulaore oc..r,en a u <emer. 141 '0 149 prêt~ 2 2 3/4' 2 1/2

~S~~S~ F. 1969 3% r. à 2~5O~ 148 148 SOË;mowisti 1470 27 66 Transports Maritimes. 1!050 1090 .5- sh Tharsis. 385 304 Cuivre 63.9/16 6311116

<-J pro, UltS': nlm prier.. e~:Lene,6 5o F,ra" 'n"çaiS, 410' 4? '0 _¡'FO" C, ,1 0, ° r"a .,1," 145 .1>, S,ara 9.0, sse ,1' 59Ó 511.5 i,1 T Consolidated 141 50 149 ,50r ..a.

58 ~.or.j.6~ ~5\, 487752 C°n..19~3~ 2-60, 148, 25.T.b~Ottcm.n.4)4..449.. B.n.dictin.24550.. ,Tub.tF.d.Soan.v<i=.374..4M.. NEW.YORK.26f~,er

5'8" "p ord I>rlor"[7'53 1 M",es.de,Lens,.ç¡;¡-1 485' 48775 Ii. t9t3,4' à ~50,. -378 25 373 50 2? Tabe,ca Ottoman:414 449 800 8' 'd'et' Cusenier* :1.24550;, Tubi et F, de Sosnowice. 374., ~06.NEW.YORK, 26 f~vroer

?=~ aimes sini~tree, 6112Ye s S '§. ~=~Ë~, s? ~~S~ s~ lj4

̃̃?;;H^=;; s; m^EE iir^lr'SilïH: S:: i;; l-ESSSSiH! s; ï&£^&^ ^Bjss^=§^s

20..AirLiquide. 6)3.. M5 .g99.,9og.245.245~uE~P~'S2t61~ 453.. 462.. 2750H.~a~.d'En.r9ieE~Mriqu=. 20.. GrandsMouli;de Corbe" Virminck U.S.L.b.rty31/2%y~a°.3/32

.Orosdi-Back. i25.. 'M.l'902. 2:850!229.. C.m.)9226%,t.p. 438.. 44).. 5;)nd..chino.~d'E).ctricit~32;5..3450.. ~)"" 746 '600" COMPTANT Atch~nTop.ka.99,

25 Pathé-Cinéma <*7-- Ç60 •• Tunis 3% 1902-1907 265 ̃ • 260 \Com, 1922 6%. t. p. 438 4H.. 40 Pyrénéenne d'Energie Èlectr.. 827 832' 23 88 Sucreries Coloniales. 740 dO0 COMPTANT Balt.more & Ohio.̃ 56.1 56 1/8.

175 Raffineries & Sucreries Say..3194 ..3240 Tumsa/o .au^i* l M y 415.. 408.. 25 Radio-Electriqu 350.. 363. ,m .r., Ommum-Petrole. 555 60j.. Canadian Pacfic. -,J47 .7. 46 1/2

43 75 Rizeries d'Extrême-Orient 377.. 3/6.. 2Iâ 225 302.. 303. Radio-Franc. 604.. 609,. 150 Ciments Français. 26 1/2 Royal Dutch 372M).. 38000.. Ch.speake & Oh,o.y ,68'»l/2 68

4375 Rizeries d E.trème,Orient "'1377 ..1 316 Angleterre y A/ti. lko t~i ^sv 302 303. M o.« M.p-i»im« "%O 3M 35.. du Boulonnais 860 5 «h. 6. Shell. 452.. 461 Chicago Milwaukee C le, 1 K

.RU.Con.O.ld.r*2-ri. 26 90r 27 50 A^"tin \l ";• ^l" Zlfc%YYYYYYYYYYYYYYYYYY. H:: m Y. Ti Y. fâ^ZXiY.YYYYYYYYY. %& Y. Î*Y I20.. d. nndo-Chin. 3810 3915 .250 «. Romana ^l. 5W Chicago Rock ,sland.r II itffil f.

«18511894 2'séries. 18 50i 18 50 ,0/ 1 ào/?»« ?91 293 75 Poliet et Chausson 1651 1720 125 Monaco 4490.. 520 En» Railroad 25 24 1/4

= 1^!16-18.94: l'i ^l^^t^n: Lv- lÛ*i%'i£rYïsZ>: %>nmY. 70. 2005 ..mi: Marché. 2.00 Tu.i.riMd,A.,n.(pn«.). I29. ^0^ -jo ::| < 4

3% 1891,1894. 1850' 35 1850 1. Se!gique 1, 4" IL 3% Bons dic. r. à 500. 291. 75 293 70 Acétylène & Electriciti 2605 6 5 7, Bo Poli et et Chausson. ..1 5" Monaco. 4490 4520.. Erie Rarlroad. 25 101 241/4

31/2% 1894 18 35 18 10 l%i 889" 175 ̃̃ 182 6% 400.. 405.- 12 50 Aciéries 4V Forges de Firminy. 289.. ̃ ̃ .12100.Tuileriesdel'Aisne(priv.), 129., New-York Central 1003/81005/8 5%19O6 3060 30 95Br!îll^^1Fundir^ 334.. 335.. :A6'_dt IW 65 Afrique Occidentale (C'). 2090 2160 = Pensylvama 43 -1/4 43 1/4

41/2% 1909 20 75 2120 1909 (pernambuco) 608 601.. 4% 300.296.. 50.. de Lbnawy. 1325 100 Agence Havas. 1635 16<2 ouam^co S"3.d'n3"à""V- 55 1,4 54,7/8

•4 0/0 Serbie 4% amortissable 189S ̃ BuTg^arie S% ISaT. i! _3Fusion 295.-295.. 25 *!«£*. vil lJ 850 850 156 25 Air Liquide (parts). 7400 CHANGES SoutHern Pacifie 88 8? V4

Turc Uni fié 64.. %> ̃ *1 %\H%\907 21/2% 256.. 255.. 250.. de S.mbr.-et.M.use 1680.. 65 Bergougnan,. -> Londres 97 70 100 52 Umon Pacfic. 131 !/2 130 3-4

5 ~'o 1914 M.. 35 5t) Chine 4% Or 1895 357 midi 21/2)<°"" "0' 256.. 2)5.. 250.. de $ambr~.et:lI¡1euu. ,1680. 65. 8ergougnan. :1, ..1' Londres. 97 70 10,~ 52 Union Pac,flc. 131 !12 130 3,4

S% 1914 35 25 35 50- 4%OrlS9s 357 •. Midi Bons décennaux 6% 492.. 495 75 Arbel (EtaBlissement.y..867 869 150 ChapsUEtablissements). 4530 4640 New-York 22 79 23 46 *"K0llda Copper 37 1,2 333/4 -i 5% 1902 515-. -S% 383 395-. 25 Atel. & Chantiers de la Loire- 900.. 60 Ciriges Françai?, 1390 139J Allemagne (1 milliard de marks) Chmo Copper. .!8 3/8 7/2 Banque de Londres et Mexico.. 327 345 5%19O3 493.. 430.. S% 339.. 344.. 60.. Const. Nord de la France. 1)70 1170 3250 Compteurs à Gaz. 800 Argentine ̃ ̃ uîLcoZll'r II HS 19 ï Nationale du Mexique. 763.. 779.. s%19O8 1300.. -4% "•• 304.. 304 53 25 Chant. & Atel, d. la Gironde.. 395 50 V. Didot-Bottin 1395 S.ig.que 86 95 86 22 Çopper 65 1/2 ,64 1/2 lmpé-"Ottom"2SO!p. 925.. 950 ^gypt» Unifiée 236.. 298 ̃• Nord 6%. série F 396 404. 30 i- "d. SfrN.z.ir. ,:< 35 Le Figaro. v. .Danemark 358 75 372 ̃ Am* j!' ïp ^3'aH3^4 6 p. Espagn^Rio-dè-la-Plata. 233 242 *V1 Privilégiée 2-18 05 256.- 5%.séri.E 323 326.- 75 Châtillon-Commentry 2145 2160 40 Gav.au &C- 7j6..Espagr, MS7S ^97 *• âïïish Âm^ietn fob.«ô"' 'S L. 13.2 Crédit Foncier Egyptien 2Î09 2325 Eipagne Extérieure 246.- • 4%.sérieO 330., 37 50 Commentry-Fourchambault 1220 1245 30 Haour (Etablissements) Finlande 57 entrai Luther ?l •(' f? 7

.Nitrate Railways. 1020 1090 Hellénique 1881 900.. 900.. 3%. ancienne. 467.- 467.. 10 D.cauville i 215 222.. 150..Chaix, 38IO 38S0 Grèce .40.. •« C«"*™ ^h1£"" J<> 'J ?/?

I&ih.lcentral Mining' 999 1040 031/2% 79 60i 8150 21/2%. série C. 280.. 287. Dyle & Bacslan priv 55 Bec Auer •••̃ Hollande 851.. 870 •• g*"»"1' !!8i\r'°; ®§ •̃ -?4 ''4

W 1020.. 1090 Japon4%19OS "311 363 50 6% 1921. tran. A.. 385. e ofd.: i 80 Librairie Hachette !805 1 18b Italie 99.- 103 90 P,et^«^8m f,1"1 57 3/4 57 r/4 30 ah. Rio-Tinto 3200 3330 5% 1907 354 314 .• Orléans Bons décennaux 6% 475 475 35 Electro-Câbje (ordinaires); 525 30 Maroc (C* Générale du). Norvège.. 299 309 50 J="el ,F'1'l* ""̃ 104' 104 4/8 !6kt.20A»t. {Norvégienne). 885 924 Maroo S% I9O4 400 400 6% » 400 120 Fiv.s-Lill. 2492 2488 Pologne (100.000 m-rk.) ^8D^ T.YYYY" ^'k "nv\ Lautaro Nitrste 772.. 816.. S% I910 1001 .995.. 5%, 336.. 341. Forges* Ao'HuU:Bankowa 16:>S ..|1715 Tabacs (C Générale dès). 36j 360 Portugal -;i in Shell il f n À Ùï

Le Naphte (Société Russe). 451.. 472 Portugal 3% ̃ •• 4% ̃ 301.. 307.. 30 Por-* Ae""M.rih.-& Homèe' 152 Tabacs au Maroc •̃̃•̃•••• Prague.. 63 80 67 50 SneU 38 1/2 38 1/4

Oriental Caroet; 356 377 Tabacs du Portugal .1825.. 3%anc. 315 •• 313.. 47 84 Fs"& At"^C""EI.(Ueumont>p. 2130 2200 30 Union Commerc'Mndo-Chino' 886 Roumanie 12 10 12 3a 0 bii nm\ '533/81533/4'

lôVJJ. sCérer*fr?a"in.ri.d'E8ypt. 1446 ,.1522 ..Russie 4% 1867-1869 20.. 20 75 B/ M n, 30 •• Méditerranée (For'a, Chant.).. -.r*86 698. :3b Union Européenne 1182 1245 Suède 594 610 ̃ Affaires totales. 840.000

25 Tabacs Ottomans 419.. 449' 4% 1894 16.. 16 50 Ouest 3% anc. 300.. 297 Forges et Fonder. Montataire- 900 L. 1.75 Suc. Raf. d'Egypte (parts). .-̃̃• 2160 Suisse 392 405 50 titres.. «jOblis. Ch.deferRuss*4i/2%J O..l 19 95 20 40 4% 1901 16 30 17.- 2i/2% 260. 260.- 75 »«-»*i»i de Ch. fer Fr.-Beige.. 1475 1510 56 p. 25 Tabacs dos Philip, (parts). WI0 i935 Vienne (100.000 cour;) 3187 32 50 titres- «̃

:Oblie,Ch-deforRu.s*41/25o~l 1995 20 401 4 o-1901 .IVienne 116 3017.-l 21/2Y, 260 2w à'- &~kticie Ch. fer Fr.-Boige..11475 1510 36 P. 25 Tabe-.s clos Philip. (parts). 11910 1935 (100.000 cour;). 31 8~i 32 501 "loi

état de conservation, tranches rouges. Edition originale 90 francs.

J.-L. SOULAVIE: Mémoires historiques et anecdotiques de la Cour de France pendant la faveur de la marquise de Pompadour. Un volume in-8 orné de douze estampes gravées par la Pompadour, sous les yeux du Roi, sur les principaux événements de son règne, ouvrage conservé dans les portefeuillas de Mme la maréchale D. précédé J'un Traité sur les trtnsactions sociales. A Paris, chez Arthur Bertrand, en 1802. Reliure plein veau fauve, dos orné- Edition originale 70 francs. Aux Mar.,es de Louis XV el des grands hommes qui ont vécu sous son règne ou Essai sur les progrès des Arts et de l'Esprit humain, scus le renne de Louis XV, par GUDIN, aux Deux-Ponts, 'en Bavière, à l'Imprimerie ducale, 1776. Un volume grand in-8 contenant deux parties formant l'ouvrage complet. Reliure plein vea,u fauve de l'époque, tranches jaspées, dos orné au petit fer. Ex-iibris de Mlle de Montenay et André Lambert. Edition originale 36 -francs.-1

Alémoires de Mme Elisabeth de France, sœuf de Louis XVI, annotés et mis en ordre par M DE BARCHON FORT Rion. Paris, 1858. Un volume grand in-8, broché, coupé, édition originale, exemplaire frais': 28 francs. ̃•' EN SOUSCRIPTION

JEANNE GALZY: La femme chez les garçons. Un volume in-16. Tirage: 10 ex. sur papier de Hollande: 44 fr. 40 ex. sur vergé Lafuma: 22 francs, et l'édition originale: 500 ex. sur alfa: 10 francs.

Pour tous renseignements, recherches cl encois de certains ouvrages, écrire au secrétariat cf:i service Librairie et Bibliophilie du Figaro, 14, rond-point des Champs-Elysées, qui se mettra à la disposition de nos abonnés ci lecteurs de France el de l'étranger pour foules démarches utiles. Nous recommandons à nos abonnés qui s'adresseni à nous pour leur procurer certains livres, de vouloir bien ne pas tarder à nous adresser leurs demandes et souscriptions, étant donné le tirage limité des oeuvres annoncées. Ne faisant aucun envoi contre remboursement, nous les prions de joindre à leur lettre le montant de leur ordre d'achat, ainsi Que les Jrais de bort.

ïnfopcpations

Présentation de collection

Tout acheteur soucieux de piàmyâ-sa" ̃clientèle,Uis.i que^toutelenime âl^gajat©, se dpi\:e_ntde?voir, n,e -serait-ce qu'à titre de curiositié la ravissanle cd'llectîdtf" d'été, r.oBes, inanleaux, tailleurs", de Marcelle Andrée, 26, rue Caumartin. Gut,: 32-19, de 10 h. à midi et de 2 à 6 h. Conseils aux élégantes

Parmi les nombreuses marques de bas de soie, il n'en est pas de plus jolis ni de -plus pratiques que le Bas Myi". Il répond pair sa, solidité à toutes les qualités requises pour un bas de marche et en même temps sa finesse et 'l'élégance de ses coloris peuvent en faire le bas du soir et de la danse.

Jean de Paris.

Réunions, Cours et Gonférenees

Aujourd'hui

A l'Université des Annales, au Côlisée, 38. avenue des Champs-Elysées

A 3 heures, « Le Théâtre de Meilhac et Halévy », 2° conférence par M. Robert de Fiers, de l'Académie Française audition de Mlle Berthe Bovy.

Ce soir, à 5 heures « Les Princesses de Légendes La Reine de Saba », conférenpe par Mlle Hélèiië'Vacaresco audition de Mlle Géniat. ° ̃̃ r ̃̃• i-v-: A ta Société des Conférences, 184, boulevard Saint-Germain, à 2 h. 30, cours de M. André Bellessort sur Balzac, leçon La Société, Le curé de village, Les Illusions perdues.

M. Manuel Fourcade, bâtonnier de l'Ordre des avocats, présidera la conférence que M. .Georges Blondel, professeur. à L'Ecole libre des Sciences politiques, .donnera au Musée social, 5, rue Las-Cases,, aujourd'hui 27 février à 5 heures et qui portera, sur « La question agraire dans l'Europe centre-orientale ».•̃• ̃ ̃•̃•. Dans les Musées Nationaux. Au- Musée du Louvre, 4, quai des Tuileries, aujourd'hui 27 février, à 20 h. -4-5, conférence de ;M. Caz-amian, professeur à- la Sorbonne, sur « La Peinture anglaise ».

Association Polytechnique.. Jeudi a; 8 lï. 30 du isoir, 'mdirip Drouot, conférbirce. •publique sous-la présidence de M." 'Oûdin,'

BOURSE PTJ 3MCAFtJ3I 26 FÉVRIER 1924

nhn~<-h~rFt.t~tâ'2~ 00 300 Danemark 1/2% 1901. 40.. du 8résil. 620.. 630.. 40.. Anzin. 1359 1359.. 4'.h ïCorocoro~ o~d. 216 307" Italien. 22 1/2 22 1/2

conseiller, municipal « La situation pré- sente de .la France dans le monde », paii M. Emile Bergeron, professeur de lettres ait collège Chaptal.

Propos

féminins

JEUDI. .Très piquant le contraste que nous offre, en ce moment, la brusque offensive de l'hiver, avec le printemps des Heurs dont s'irradient les vitrines des fleuristes et les humbles voitures à bras. Il semble que les premières tulipes, les anémones, les frajzias prennent à cœur de nous faire supporter ces rigueurs du froid, en "évoquant las grâces idéales; les nuances, les parfums de- la demi-saison où tout "est douceur et tiédeur., N'était leur prix excessif, on eh voudrait fleurir tout son appartement et sentir errer de pièce, en pièce les.odeurs légères et sucrées qu'elles essaiment. Cette grâce juvénile du printemps, cette couleur; cette lumière, on les retrouve dans les œuvres exposées, car c'est aussi le moment des expositions de peinture. Mais pourquoi les exposantes ont-elles une sûreté de main, une vigueur d'exécution, les mêmes inspirations, avec une incontestable maîtrise tout comme les peintres masculins ?. Pourquoi aussi avons-nous des jupes courtes et des cheveux courts ? Pourquoi ?

VENDREDI. Le tailleur lui-même est virilisé, et, par tailleur, j'entends le genre de costume dont la mode nous vint il y a quelques années de l'Angleterre, jus-

qu'ici nos couturiers parisiens l'avaient gentiment féminisé voilà qu'il reprend sa prémièce allure un peu masculine. Tel celui de Jérôme dessiné ici. Regardez la gracieuse silhouette qui, d'un pas vif, se dirige vers le Bois elle porte ce tailleur coquet. cover<coat beige, foulard de- soie de couleur autour du cou cloche de daim naturel à petif, bord de paille assortie. C'est aussi la tenue préférée des matins de la RivieTa-, sur la promenade de la Croisette il Cannes, s.ur;j << celle des Anglais à Nice, et* Ton ne peut avoir costynie. plus pratique et plus joli pour voyager. En outre-, la collection de Jérôme une des plus ravissantes qui soient nous offre des manteaux de. printemps d'une ligne très nouvelle, dels ensembles, dits trois pièces, en côlla, en côtelisse, en alpaga, qui, à première vue, donnent envie de les commander. Et com-

bien jeunes et charmantes, sous les manteaux de soie végétale, les robes-fourreou moulant délicieusement le corps mince, souple et nerveux de la Parisienne. SAMEDI. Ce soir, il n'y a plus une place ni dans un restaurant, ni dans une boîte à danser pour qui n'a pas pris soin de retenir une table. Tout est envahi par une foule plus ou moins habillée, plus ou moins brillante, composée d'étrangers qui entendent s'amuser follement, peut-être dans le dessein secret de critiquer plus tard les plaisirs dont ils sont seuls à profiter. L'Abbaye célèbre, qui n'a rien d'un couvent, présente une animation indescriptible. Quelques jolies robes, de jolis diadèmjes épars dans la salle..Dês^larnés, beaucoup de lamés ef le Shéhérazade- unrttissu'np.u>»ea u .métallisé, .si brillant que les yeux éblouis sont -.obligés!. de se détourner de son éclat. Il est si souple qu'il épouse le corps, paraissant ne faire qu'un avec lui. Aussi sont bien téméraires celles qui croient pouvoir se passer de corset. Plus la robe est moulante, plus elle est ..serrée c'est le.cas de nos robes actuelles plus donc elle exigé 'un souti'ëff– un tuteur évitant à la femme la disgrâce du fâcheux laisser-aller, qui déprécie l'allure. générale dé sa tenue. Toutefois le soutien obligatoire ne doit jamais être un tyran et il faut reconnaître que nos corsets actuels se sont,'pour ainsi dire, « humanisés ». Très souples et très légers, ils remplissent leur mission de soutenir, dp maintenir, sans, abîmer,' martyriser" comme la faisaient Jours devanciers, au contraire, avec id'aimable's; douceurs. Dimanche. Ah. Ha jcUo ifêeiMè les- "réres, îa bonne et satoe' gaieté Du ciel d'-oir elle continue à veiffier sur tout île peuple des jeunes -enifaîîif.s,' Mrnië de Ségufr a dû se ré'jouir..L'âme die:ses tiéros appris 'corps eoni-

me sous un coup de baguette-magique. Tous étaient" là. Graboûàdite, lié Bon peut diable, Sophie qui avait ilaissé .sas malheurs è. âa porte, Caroline et îles anilines, 8e pefet monde tuinbuil/enit ût joyeux dont chaque sujet savait esquiver la punition et riait de l'autorité des aïeuls tout en les adaranit. Et, pour un soir, nos petits prodiges sont redavenus vraiment des .enfants, avec toute la naïveté, toute Ha iflratcheur, toute la -gaieté que oe mot comporte. On a revu les beaux bas blancs bien tirés, les jambes des pantalons brodés, dépassant tes jupes de (taffetas ballonnées, et aussi îles petits corsages tendus sur la iptiérdtoté des faMes à peine 'esquissées. On a .retrouvé, répétés par vingtaines, les costumes à jupe éop-sBaise, île ibcééro de velours du d>on petit Diable et 6 a casquette crânement posée sur Ses bouotes brunes et les boucjle-s Mandas, >et (les itoââiettes féeriques comme a>u temps de Blondine, la bonne Biche et ie beau Minon. Et cela fut charmant- comme autant de contes' 'enluminés, L.yxpi. La neige, qui a fait une soudaine et birèvé apparîteon, n'a pu toriser réiaii des choses non-vieilles et jolies. Quelles ravissantes étoffes pleines de légèreté et de souplesse vont s'épanouir aux ipramiars souffles de l'été! Les impressions «dominient sur l'uni,1

impressions, mul.tic.oî'ores sur îles mousselines ̃et les crêpes. Les yeux s'arrêtent cliarmés sur le crêpe sâitin d'une teHie finesse qu'il "passerait aisément dans ,une bague, et sur Shéhérazade, aux

s^^ "reflets il a. m ir8^ neux comme si e le it Jt © étoffe

êtaiit ifaite idre 'rayons de e soleil ou de rayons de flurae. Chez Saivary, on emploie ibe&ucouip de crêpe satin eit de mousiseiliines aux rtons dégiradés allant du daiir au foncé en passant par toute Ra gamme des nuancies. Brodés d'aibord., ces tissus sont lensuite pissés, ce qui esit iuti joli iraififmiamèrtt. Quelques ângiénieuSies «iHpilicajiJons de itoiiles de- Jouy i.at de raphia dans. (les torojaard,eis.' Le suôcès -de, -Saivary -va, açtuedileimenit irai -itroispièces en -crêpe -G/eorgette beige dont le bas

est iplissé «t ilie haut brodé .vert -que icompllète .un- iravis&ant casaquim en peau vert jade brodé beige .et blanc. Ce succès est partagé par une robe len popeline blanche dont la (broderie en. iruban s ïoeocos dessiane, sur le devant, dès oiseaux, des animaux ifatourleux, un peu à (la façon des .dessins chinois qui adornenit les paravients, îes écrans, les éventails:

Mardi. Vision très hivernale de ifemmes emmitouflées dans tours ifouirrures, mais coiffées ,de paille, proitesitation contre le ifroid tardif. Et (toutes, au thé comme dans d'auto qui les 'emporte à .travers Paris, comme chez lia couturière et dans tes satles de dancings, portent à leurs âèivres, d'un même geste gracieux, le bâton de .rougie qui tes sauve des morsures die (la bise, qui. leur assure Ha netteté désirable d'un beau fruilt. Ce nouveau irôuge die Violet prend place dans le poritefeuiffle de daim, de soie ou de cuir souple, avec ila liouppeitte à poudre de riz, autant qu'eue indisipensablie à nos coquieitteries. Nous ne saurions «plus nous en passer.

Rosine.

ENTRE MOUS

'Ne pas attendre d'arrivée des bea.ux joura pour 'commander chez Jérôme, 104, Faubourg-^Saint-Ifonoré, te tailleur ou le manteau de demi-saison.

**•

"âaivary' .prêsénf e actuiek.em6nit narie '.trè_s rè- mairquaWe icolleation die .rnBes de d'anli^sais.on, 22, rue des Capucioes.

̃' •••

On trouvera chez Violet, 29, bouileivard des Itateens, le rouge ipour les lièvres dont il est partie pluâ haut- ̃ ••̃ »•. ̃̃- «;

-Les Parisiennes élégantes blondissent leurs cheveux avec la Camomille Laianne, nou -teignent .\leui"s. cheveux blancs avec le fameux Alcoolat: de henné Laianne..En vente Grands Màgàsinsf Coiffeurs, Parfumeur^ et:

10|. Faubourg Saint-Honoré. -'̃•

"̃̃ ;"̃ .'̃ ̃̃ :R* •'

L'éRf DB^SE ÇOIEFER

'Cédons à là' m>ode,, et- offrons nos cheveux ap- -:sa6rificateur ̃- Nous ̃ voici -.maintenant bien embarrassées, car, .là, commence la difficulté, et il nous faut choisir la disposition que nous donnerons à notre nouvelle chevelure. La raie au milieu de la tête est certes pour npus tenter, mais n'avons-nous pas le front un peu bas ? La raie sur le côté ? Oui, peut-être, mais nos traits réguliers vont se trouver désaxés.

J'avoue sincèrement que toutes mes préférences vont aux cheveux bouclés qui sont la spécialité encore inégalée du peintre Maurice Minière. Je ne croyais pas que de tels cheveux puissent exister autrement que dans les pointes sèches de cet artiste. Eh bien je me trompais l'autre nuit, j'ai soupé près d'une délicieuse blonde, jolie. et toute menue dont la chevelure était une confusion de boucles si. ordonnées dans un désordre1 apparent qu'il y-avait vraiment un effet de l'art. J'ai été conquise par tant de grâce et je l'écris ici pour celles de mes lectrices qui pourront esthétiquement adopter cette coiffure. dacotte,

Jacotte.

Le Palace-Coiffeur, 14, boulevard Montmartre (Gut. 28-03) est réputé pour ses salons pour dames et pour messieurs. Le service y est véritablement impeccable et l'élite du monde parisien y fréquente assidûment. t:

Spécialité de l'ondulation permanente.

COURRIER DE LA BOURSE

Depuis une huitaine de jours, depuis que l'ascension triomphale de la livre vers des niveaux sans cesse plus élevés a été brisée, nous n'avons cessé de mettre nos lecteurs en garde contre un retour offensif des vendeurs de francs et nous avons annoncé des oscillations brutales sur le marché des changes.

La livre avait baissé de plus de deux points hier elle rebondit aujourd'hui de près de trois points. Attaque et riposte, il n'y a pas là de quoi surprendre, c'est règle du jeu.

Acheteurs et vendeurs useraient trop rapidement leurs munitions s'ils s'obstinaient à "marteler le marché sans arrêt. Ils procèdent donc par à-coups, exécutent un « raid chaque fois que l'adversaire se trouve un peu en l'air, mais évitent de s'engager à fond. Des sautes de vent successives sont donc à prévoir et les déplacements de cours, si importants qu'ils soient, ne doivent pas nous émouvoir. Il n'y a que le dernier « round qui compte, et ce n'est pas pour demain. La reprise de la livre et du dollar s'accentuerait-elle encore d'ici à la fin du mois, que notre opinion n'en serait nullement modifiée et nous ne pouvons que répéter" ce que nous disions Ces jours derniers^ « Les vendeurs de francs n'ont plus le champ libre, ils seront harcelés à l'avenir sur tous les terrains où on peut les atteindre. Quand on est possesseur de livres et de dollars, on fera bien de profiter de -chaque poussée de hausse pour s'alléger. » Cette situation ne semble pas être encore parfaitement comprise par la clientèle de la Bourse. Après les dures leçons de ces jours derniers, on ̃ pouvait que le marché des valeurs subirait avec moins de gueur l'aimantation dés. changes. Il n'eri a cependant rien été et la reprise de la livre a été accompagnée "aujourd'hui d'une hausse générale des titres. Les spéculateurs s'imaginent-ils .donc qu'après ces", quelques s jours de va-et-vient, Hes changes vont; re- prendre imperturbablement leur marche ascendante ? ou bien se bercent-ils de l'espoir jdç se retourner à temps?_Et ne craignent-ils ̃pas, pour eniployei-i?si'g9®e)®our4%,2Be.rï-, cévoir la claque des deux côtés ? Nous ne sommes pas dans une période où on puisse jouer la tendance avec impunité.

La première qualité d'un boursier est la patience. Quand on ne voit pas clair, il ne faut pas s'aventurer sur des terrains mouvants. Il existe encore assez de valeurs non spéculatives à des cours raisonnables pour ne pas courir des risques inutiles.

.̃̃ ̃ ̃

̃ •̃ ,•̃̃

Le ministre ̃ des finances a ratifié la pro^ position de la Compagnie des Agents- de change, et la Bourse des valeurs sera fer-" mée- dorénavant tous les samedis jusqu'au .1er novembre.- Il s'agit là, qu'on le note bien, d'uiie mesure proposée spontanément ,par les intéressés, et non d'un acte d'arbitraire ministériel, comme, dans le cas de la îërmqturc de la Bourse de commerce. Une note gaie pour finir..

« Par décision .en date d.ù 24 février, )d: e,' .ministre ^des\finances- a décidé- que tous- les: -•titres étrangers présentés au. timbrage, à

1 extraordinaire devraient être accompagnés àe^usslifications" permettent àer s'aasu- rer que -ces 'titrés ont été j introduits en France conformément â1 'la loi sur. i'exgor-,tation des capitaux. » •• -̃- ̃- Vous avez bien lu -cette décision est en date du 24 février 1924. La loi sûr l'exportation des capitaux est d'à .ml 1918, et'depuis cinq ans, il n'est question dans la presse que des introductions frauduleiis.es de Royal ` Dutch, de Shell et" de Méxicàn Eagle. Pàxosse intellectuelle, indifférence aux inté.rêts de l'Etat, toute l'administration des finances est Aux changes la Livre Sterting gagne 2.82 à 100.52 et le Dollar 67 centimes & 28.46. Après leurs importants progrès de ces jours derniers, nos Rentes reviennent un- peu en arrière, ,• Fonds russes et ottomans enï,prpgrès. Sensible avance des Mexiaaifis..

Etablissements de crédit tr.è s .fermes ï Banque, de Paris, .1,730 Lyonmiis^ 1,7;15 Foncier, 1,470 Union Parisienne, 1,01% [ Mobilier, 565 Foncier ^Franco-Canadien, 4,000 Foncier Egyptien, 2,325.. Le Sues' fait un bond à 13.490. Calme pendant la bourrasque de la semaine dernière, le compartiment électrique repart de l'avant la, Générale d'Electricité gagne 120 fr. à 1.660 Distribution, 877 Eaux et Electricité de l'Indb-Chine, 8.900 contre 3.600 Irado-Chirtoise d'Electricité, 3.450 contre 3.255.

Charbonnages fermes Tonkin, 9.000 part Héraclée, 16.900 thune, 3.320 Carmaux, 1.925. ̃̃̃•

Les mines métalliques ont poutsuivi le mouvement en avant esquissé hier Rio, 3.330 Penarroya, 1.453 Boléo, 739 Mokia, 6.300 -contre 5.940 Guergour, 2.270 Balia, 275.

Les phosphates et produits chimiques font de nouveaux progrès Gafsa, 1.095 ;• Péchiney, 1.125.

Demandes suivies en Alsacienne de pro* duits chimiques jusqu'à 200 francs. Ses négociations avec Pathé-Cinéma, au sujet de fournitures, 'retiennent l'attention du marché. •.̃̃

Nitrates Railways, 1.090 contre 1.020 i Lautaro, 816 contre 772.

Reprise" des valeurs de navigation. Sucrières toujours en faveur; Say, 3.240 Sucreries d'Egypte, 1.522.. Le Crédit Foncier Colonial n'est pas cotéy Notre confrère La Cote Européenne croit savoir que 'cette Société va porter son capital à 30 millions par la création de: 76.000 actions de 300 francs qui seront émisés à 440 francs et réservées aux actionnaires à raison de trois actions et une fraction par chaque ancienne.

Tous les pétrolifères sont en hausse Royal Dutch, 3.770 Shell, 461 Dabrowa, 1.118 Premier, 430 Pétrofina, 1.467 Concordia, 481. Sur l'augmentation de sa production, la Cotombia s'avance à 508. Steaua française, 607.

On a remarqué aujourd'hui la fermeté du groupe russe,- qui paraît à-la. veille de déverloppements :des plus intéressants. Liano*soff a rebondi à 1.045. La Rus si-an Oil qui terminait hier à 69 s'est avancée de 7 points avec d'excellents achats et termine à 76. Bakou, 2,900. Lena Gold(ields est demandée à 64..

Sud-africaines très fermes:J9£ Beers, 1.268; Ra7idmin.es, 308 -.Central Mining, 1.040. Les caoutchoutières. suivent de près, en raison de la fermeté de la ma-tière première. ̃̃̃̃

̃Fermeté des textiles La Générale des Industries textiles gagne 200 fr, à 2,750 Doilfus Mieg, 125 à 3;640.

Kalm Lan-ff,' 3.998. Les bénéfices nets de l'exercice .1923" Véievent 3:542'.tspe francs contre 1.307.000 francs en"1922. Dividende proposé 225 fr. contre 807L.è-bilan'ïait ressortir un important accroissement dé l'ac-

4ifr-*é8Usable-lmi|}édi.atement.

^m^èratiés^acs s^àvâTlSent à 840 l'Est Asiatique Danois à 3.250 Matériel de chemins de fer, 2.470 Ripolin, 3.500 Soie Artificielle, 5.100 Port de Rosario, 6.060 Quilmès, 3.700 part Ciments de t'IndoChine, 7.400 part Railways et Electricité, 4.190; Djebel Djerissa, 3.040 Ouasta,. 5.060; part Kinta, 1.050 part Poliet et Chausson, 6.400 contre 5.800 Pointe-a-Pitre, 5.800' Union Européenne, 1.245 part Parisienne d'Edition, 540 Tabacs de Macédoinq, 320, etc.. ̃ :'>

INFORMATIONS FINANCIÈRES CRÉDIT COWMERCiAL DE FRANCE; Conseil d'Administration du Crédit Commercial de France a décidé, dans sa séance du 25; février, de coiivoquer l'Assemblée générale des actionnaires pour le 28 mars 1924, à l'effet de statuer sur tes comptes- de' l'Exercice 1923 qui se soldent -par. un bénéfice de Fr. 14.025,201,50coTitre'Fr. 13 millioris 716,459.17 ̃ en- 1922. Le Conseit proposera à' l'Assemblée la distribution d'un dividende -de 8 0/0 c«al" au précédent, et "l'affectation aux, réserves de Fr.: 3,152,520,14. ̃


A propos du bureau

̃ ̃•; A^k. -v- _••

L'été aèrriierV par une de ces douces températures dont Marseille a le secret je remontais à petits pas la rue -Sàint-Ferréol il était trois heures de l'après-midi, j'allais chez le coiffeur. Je me félicitais de yoîéhtë- dont j'avais fait preuve eh résistant à la tentation d'une halte rafraîchissante que m'offrait au passage une terrasse parfumée à l'anis, et mon coeur de Parisien gonflé de pitié pour les indigèirès obliges de travailler sans souci du thermomètre,' j'arrivai "chez mon perruquier. Je te trouvai assis devant la porte -sôri officine, fumant paisiblement sa pipe.

On ne travaille donc pas, aujourd'hui? questionnài-je. familièrement..

Et la digestion, ce n'est pas un travail? me répondit ce philosophe.

Cette histoire me revient à l'esprit, à propos de l'aménagement du cabinet de travail, pour me rappeler, qu'il faut éviter de donner à cette pièce un caractère par trop sévère, l'endroit où l'on travaille devant aussi quelquefois servir de lieu de repos. Le bureau s'appelle à ce moment-là fumoir, mais ces deux titres n'appartiennent-ils pas à une seule et même partie de l'appartement?

~~ll,(|st bon d'avoir des classeurs, des fichiers, des casiers, un téléphone, une sonnette,. le tout disposé delà façon la plus pratique et la-plus rationnelle, mais il faut se -garder de négliger le profond fauteuil de cuir ou.de velours, la cave à liqueurs, le; nécessaire de fumeurs, et le guéridon bas et commode, bien à portée de fa main, qui nous prépareront à des travaux plus pénibles en facilitant, avec un petit verre, un bon livre et .'une fine cigarette, le travail indispensable de la digestion.

Francis Paul,

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Crindal a fait un excellent parcours, servant de maître d'école à Lélita, qui en a profilé pour sauter de façon impeccable pour la première fois les gros obstacles du petit parcours.

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irient.

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Lettre d'Angleterre LONDRES, 24 février (De notre correspondant particulier). Le mouvement pour la création de l'English Golf Union a obtenu un succès complet. Le nouveau groupement sera formé des unions de clubs de golf des différents comtés de l'Angleterre. Les fondateurs affirment qu'il n'est pas question d'enlever au « Royal and Ancient Golf Club of Saint-Andrews » le droit qu'il a, de par la tradition, de décider des modifications aux règles du jeu.

En polo hippique, le match Angleterre contre Etats-Unis d'Amérique est définitivement conclu. Il se jouera sur le terrain du Meadow Brook, à Long-Island, près NewYork, le samedi 6 septembre et le mercredi 10 septembre. Si une belle était nécessaire, on la disputerait le samedi 13 septembre. Oil estime à plus de 600,000 francs la dépense à envisager pour l'achat de poniespolo, l'entraînement et le déplacement de l'équipe, joueurs et chevaux, de l'autre côté de l'Atlantique.

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"d'Angleterre fut, en football, la grande attraction de la journéte de samedi, Voici les résultats

-ston' Ville b.LeedsUnited. 3-0 Manchester City b. Brighton 5-1 Biarnley h. 1-Iudderslield 1-0 CaMiff City b..Bristol City. 3-0 Swindon ~1-,rystal Palace 2-1 .SouthamptonctLiverpoot 0-0 Newcastle b. Wctford 1-0

Wolverhampton et N; B. Albioii 1-1

11 y eut partout des foules considérables, en moyenne 25,000 spectateurs pour chaque match. Cardiff Citvdêtient actuellement la première place dans le Championnat de la Ligue d'Angleterre, et les parieurs nombreux qui, il y a deux mois, prirent ce club gagnant des deux compétitions à 100 contre 1, considèrent qu'ils ont une belle chance de succès. On donne actuellement Cardiff gagnant du Championnat et de la Coupe à

25 contre 'î.

En rugby, les matches dV samedi ne donnèrent lieu à rien- de sensationnel. Tout l'intérêt était porté sur France- Angleterre et jEcosse-Irlande dont je vous ai télégraphié les résultats. L. V,

BOXE

Les Championnats de France militaires. Ce soir, commencent au Cercle Hoche, en •privé, les épreuves finales des Championnats de France militaires de boxe anglais* qui opposeront les "00 concurrents qui ont •été désignés par tes épreuves éliminatoires de Mayence, Metz, Paris, Lyon, Marseille

.et. Bordeaux.

Le gala du Cirque d'Hiver. Ce soir, au 'Cirque d'Hiver, soirée de boxe. Larry Gains, le mulâtre canadien, doit avoir raiisoitt iûo .Journée mais si ce dernier atteint la limite, il peut fort bien gagner aux points. Marmouget, en excellente 'forme, doit avoir le meilleur sur Lepesant, qui frappe moins fort. Maïberti, e» dépit de sti valeur, devra probablement s'incliner devant. Young Ttuvët. Enfin, Sol vinto et 'Violas sont trop près l'un 'de l'aiitre pour permettre uir pronostic. –R: P-' •̃'̃̃ ̃' AUTOMOBILE

Le deuxième Grand Prix d'endurance. Cette épreuve, organisée par l'Automobile CLub.de, l'Ouest, a obtenu en 1923 un succès

.considérable'. ['

Pour 1924, le règlement, de ce Grand Prix .d'endurance a été modifié, et l'attribution des Coupes Rudge-Whitworth sera b.eau,coup plus difficile cela n'empêche d'ailleurs pas les engagements d'affluer, et •l'A. C. 0. ni.u« .communique une première liste arrêtée à la date du 25 février':

Coupe Triennale. 1. Chenard-Walcker, 2. Chenard-Walcker, 3. Chenarct-Waleker, ̃'(.Georges Irat, 5. Georges 'h'at, -6. Lorraine-Dictrich, 7. Lorraine-Diétrich, 8; S. A. R .A., 9. Bignan, 10. Bignan, 11." Bignan,-12. Bignan, 13. Brasier, '1-i. Brasier.

Coupe Biennale; 1.' Sunbeam. 2. LorraineDiétrich, 3. Xorraine-Diotrich, 4. S. A. R. A., 5.. S. A.. R. A., G, Amilcar, 7. Bignan. 8. Bignan. Stands de ravitaillement. i. Société des Appareils Magondeaux, 2. Graissage Técalémit, 3. Amortisseurs Hartford, i. Roues Détachables Rudge-Whitworth.

LAWN-TENNIS

Une tournée des New-Zélandais. La Fédération de la Nouvelle-Zélande participera cette année, pour la première fois, a la Coupe Davis. Précédemment ses joueurs étaient sélectionnés par l'Australasia. La -Nouvelle-Zélande s'est inscrite dans la. zone européenne, voulant profiter.de son voyage •pour- "disputer les Championnats d'Angle-

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Feuilleton du FIGARO du 27 Février

Le Vieil Honneur

.•̃' ynr ̃•'•

C'est bien, mon ami, c'est bien, dit Marie-Thérèse, s'efforçant maintenant dé> sourire je répéterai cela, à mon fils. ..Du geste, elle 'le congédiait., il s'incli-

na -et sortit.

Mme Talmont rentra dans sa chambre, muette, les dents .serrées, ni trop affligée, ni très irritée. Elle sentait que cette nouvelle douleur allait dans ]e .sens de son destin. Après avoir passé vis-à-vis de son mari par les sentiments 'les plus divers,, après l'avoir admiré et aimé, après avoir subi à son sujet tes tortures de la jalousie et de l'abandon, .après s'être efforcée, conciliante, d'être sa compagne et, son amie, elle était, investie maintenant d'une sorte de mépris eoiintmcé, le sentiment décisif, croyait-

elle. '•

Que la fureur de débauche dont il était animé l'ait poussé à désirer tant de femmes faciles dont elle avait noté la trace au passage, cela n'impoitaib plus u l'épouse- dédaignée. Maintenant, la prSfiensiori- au. plaisir qui- -lenait • -Tal-: Copyi'ight by Pierre Soulaine 1924. Tous droits de traduction et de reproduction réservés.

terre et les compétitions des Jeux Olympiques.

Le Tournoi international de Beaulieu. Nous avons donné les résultats des deux finales des Championnats du L. T. C. de Beaulieu, terminées par lés victoires de Hillyard et de miss Ryan. Voici les résultats" complets de cette avant-dernière jour-

née

Championnat simple. Demi-finales .1. M. Hillyard b. L. J. Aslaugul, 7-5, G-4 Il. L. de Morpûrgo b. F. G. Lowe, G-i, 2-G, G-i. Finale Hillyard b. De Morpurgo, 0-3, G-4, G-2.

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mont, sa vanité amoureuse- toujours exaspérée, l'avaient livré certainement à une prostituée d'une caste, supérieure qui le dominait et disposait de lui à son gré. Mme de Cambes était une aventurière. Cette découverte .surprenait Marie-Thérèse qu'à demi. Mais qu'elle1 eût pris Robert au piège, qu'elle l'eût ligoté, asservi, c'est cela qui valait le mépris.. Car, pas un instant, Mme Talmont ne put admettre que, la «professionnelle beauté », comme elle .d-i sait-, se fût éprise de son 'mari. Marie-Thérèse- était -sûre maintenant de ,son cœur. Elfe voulait, se reprendre, çe/sser de voir sa -vie a^e|iévliée à ̃ cette dp cet homme" qui avait perdu la, conscience de sa dignité. Elle s'en irait, le laissant, à ses plaisirs -fun_e3laa.ilile.xÊT.. tournerait d'abord à Nancy. Mais.. nonv elle. ne déserterait pas àJ'heure'Viu da"h-: ger. Cet- 'homme était; sous le coup de, poursiiites. Un péril dont il ne sentait pas toute la menace. était suspendu- 'Sur lui.

K'at.lribuerait-on pas à. la fuite de sa femme en un tel moment la lâcheté d'un abandon ? Et celle soit de la considération qui poignail, Marie-Thérèse malgré elle, la retenait, au bord du scandale. Et puis Geo ? Il y avait Geo.

-La femme de chambre précisément frappai L à: la porte.

M. Geo- venait de rentrer. 11 désirait déjeuner vite, il était pressé. J'y vais, répondit Marie-Thérèse. l llcureusenient, ses cruelles médita-

tions l'avaient absorbée ù .eë.pQ-ktJ,j..

qu'elle n'avait pas pleuré.' Elle se mil seulement un peu de poudre et, ckv.is la salle ù manger, -reçut les grandes em-

Championnat double de daines. Demi-finales Miss Ryan b. Mrs Covell, 6-3, 0-1 Mrs Salterthwaite. b.Mrs O'Neili, G-0, 6-1. Finale miss Bymi b. Mrs Satterthwaile, 6-t, abandonné. Championnat double. –'3* tour (lin) T. Lamb et F. R. Scovell b. B. Marion Ci'awford et Landau, 5-7, 6-4, 6-,1. l)enii-fin<ilés :'H. L. de MoN purgo et L..T. Aslangul-b.- Lamb et Scovel, C-0, 6-4 J. M. Hiilyard et A. Wa'llis Hyers. b.R. Champin and C. H. Martin, 6-3,. 54?, 6-3. Chanipionat double de dames. Demi-finales Miss .Ryan et Mrs Satterthwaite b. Mrs O'Neill et miss E. Palk, 6-0, 6-1; Mrs Covell et Mrs Sheppej'd Barron b. Mrs James et miss E. II. Harvev, 6-1, 1.6, 6-2.

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brassades de son fils, joyeux malgré l'approche du baccalauréat qu'il devait" passer le mercredi suivant. 7-, x- ̃• Tu sais, m'man, s'écria-l-il, M. .Guttinguer m'a inlerrogéce matin. Tous .les autres étaient babas. Mifmann, qui. se croyait le '.plus fort de nous tous en math, était furieux. C'est que j'ai réussi un problème de. desi.. V -De. des. .t, interrogea ia mère. De.géo'métrie descriptive, parbliSu. C'est calé, tu sais, d'être Tort en des.»" EL Geo, constatant qu'il -était ^na-i-i-île-1nalil plus « calé » quéMilmann/danSait de plaisir autour de-Ma lable..d'(Sj,ù,.se.ry3e-li L'yii-trée de. Xavier Kiuterroiiîp'il. Itme»!?

]i!it, eu s'asseyanl, un;. peu de -griivRô

apparente, mais sa jeune joie seimfnï- J'.e.s.lalt.. ila 114 se $,g.e s^Les rapides. E U e_Xu-sait de lejups à. autre en rires suscités irai- dïhsigniuanl3;déla.i!s du service. 'Ainsi, lui/demanda Màrîe/n.jQfèst', M. Guttinguer espère que tout ira bien rinerçredi.̃̃̃̃̃̃̃̃ ,*7;i Je te crois Il ne m& donnerait pas à égalité A égalité, qu'esUce que cela veut dire ? ̃ •̃ C'est du sport. La rapport du Mutuel. Enfin, ça veut dire que^je suis favori. Et à qui dois-je cela ?

Comme Xavier se présentait pour lui ollrii' des pommes de terre frites, Geo,, sans prononcer un nom, lança a sa mère un regard significatif.

̃'Mais Mine TalmonlT négligeant la présence du valet de chambre, interrogea -r– r-As4u-;r&met'cié M.ï-BégH^lleti-Tr- -;ï Oui, répondit J3eo, ^gent-imeiifr^def tout mon cœur. Il m'a-dit d'aller je voir mercredi après l'écrit et de lui porter

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t.. J. Aslangul el miss. Ryan- b. V. Landau et miss M. A." Wrighl, 6-1, 6-0 .B- C. Covell et Mrs | Covell b. Lard Charles Ilope et lady Linlithgow, 0-1, 6-3 J. M. Hillyard et Mrs Satterthwaito b.' W- Cumming et miss Smailos, 6-0.. G-4. -'̃. -Demi-finales Aslangtil et miss Ryan b. Covell et Mrs Covell, 8-.G, 9-7 Hillyard et Mrs Satterthwaite b. E. ï. Lamb et Mrs James, .7.-5, 3-6, -6-4. Alonso bat Tilden. Lundi, à Buffalo (Etats-Unis d'Amérique) Manuel Alonso a battu' W. T. Tilden, sur courts couverts, par 6-i, 1-6, 6-1, 3-6, 6-4, dans la finale, du Championnat simple du club local.

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mes brouillons..Quel dommage qu'il faille attendre à samedi "pour savoir. En effet, pendant trois jours, ffous allons être bien artxietix.. ̃ Est-ce .que .tu crois, que phm me donnera. une petite aulft.-gi.je. suis reçu ? '? Tu hi.l.ui as 'demandée ?~ ̃ •– Je lui en ai parlé. Oh! une petite Simonet 5 chevaux.: Ça me suffit pour commencera;; et ce, n'est pas. .ruineux. C'est M. Bégrollés qui -en: a une èelle. Une auto -?:r: ̃ v; -r .Oui,: une While-Eàgle à conduite intcrieiife. Ce que 'ça- marche. 11 m'a Muiené Viiet%4oir.. -.•̃' j"*FavaiIte,lu; en. auras, -peut-être une pareille-ïniiqur. C'est éxacterirent cV que m'a'' dit M. Bégrotles. Aussi, si je suis reçu,, à I.ifcx&ntr-ée, c-'est-une-ébc-&e-ceji-p-4iu4,-4e fai| mes-. spéciales. •'•̃ ~>\ ̃' ̃ ̃-i?. Le3. maiHématiques spéciales-? t Parfaitement, dit Géo fièrement.' Qu'éït-céVq-ïïeviu- dirais- si'da>n5;>déûxïai3;s ton fils clait.'reçu a l'X ?

Je serais bien heureuse, mon "chéri. ̃ Ge déjeuner, donj, Mark'-Thérèse savoura: les" délices qui ne figuraient pas sur le menu, finit par de tendres baisers, puis Geo partit rapidement. Il allait vers la. gloire et était pressé d'arriver. ̃ Tout lo jour, Marie-Thérèse, qui ne s.orLil ])aset se livra à de vagues soins de méiiag,e^sa.voura- tout au fond d'ellemême, dans un repli de son cœur qui ^^«sîeRttwîtitwaft •̃ qu aux- -rjeif Ps«de ^fêtç; la yeçesrtgiffiânce'q-u'elle était si heureuse de vouer à Bégrolles.

Le soir, Talmont, qui ne devait pas

Programme des Spectacles

ÀLBERT-Ier. B,ï– te eoq d'Or. ̃̃" !'̃ ANTOINE. 8 h. 3/4. Né un dimanche. ARTS. h. Deux Hommes, une Femme. ATHENEE: ^-8 hi 3/4. Romance. BOUFFES-PARISIENS. 8 -h. 3/4. U Dama en- décolleté.

AUX DEUX ANES.' 9 h. L'Oiseau vert. CAPUCINES. 9 h. Une Petite un peu là. CHATELET. 8 h. 1/2. Bouboule. CLUINY. 8 h. '3/4. Le Cavalier. Lafleur. COMEDIE-DES CHAMPS-ELYSEES: –8 8 h. 1/2. Arnédée, Knock--

COMEDIE-ÇAUMARTIN- 9 h- La'Fleur d'ownger. '̃̃ » COMEDIE-FRANÇAISE. 8 h. 15. Les Deux Trouvailles de Gallus, Un, Soir à Hernani, Un

Caprice.

THEATRE CORA-LAPARCERIE. 8 h, 1/2. Plus. que -Reine.

DEJAZET. 8 h. 1/2. Brin d'amour. A DEUXrMASQUES." 9 h. Le Thenatographe? Apres nous. Nocturne basque, Bout-de-Bibi. CRAND^GUIGNOL. 8 h. 3/4. La Porte Close, C'est vous la ̃nouveUè?, La Dernière Torture, Deux Tourtereaux:

EDOUARD-VII. 9 h. Le Veilleur de nuit, Un type dans le genre de Napoléon.

ELDORADO. 8 h. 3/4. On t'bouif au truc. FEMINA. 9 h. L'Homme enahainé. FOLIES-PRAMATIQUES. 8 h. 45. Là-haut. GYMNASE. 8 h. 3/4. Les Vignes du Seigneur. GAITÉ-LYRIQUE. 8 h. 35. Mam'zelle Ni-

fouchë:

MARIGNY. 8 h. 3/4. J'ai une idée. MATHUK1NS. 9 h. Ce que Femme vtut. MIGHELV– 9 h. Ma Cousine dé Varsovie. NOUVEAUTES. 8 h. 3tf'r Comédienne. NOUVEL-'AMBIGU. S k- 30. :-±: .Ma Tante

d'Hohileér.

ŒUVRE. 8 h. 45. Le Feu à l Opéra, Irène

exigearrte.-

OPERA. 8 h. 30. Le Martyre de saint Sebas-

tier~.

OPEri^-ÇOMIQUE. 8 h. 15. Les Contes d'Hoffmann.. ODEON. h. 30. L Invitation au voyage, Le Fardeau de la Liberté, les Coteaux duMédoc. PALAIS-ROYAL. 8 h. 3/4. Embrassez-moi. POTINIERE. 9 h. Le Tracassin..

PORTE-SAlNT-MARTIN. 8 h. 1/4. Cyrano de' Bergerac.

RENAISSANCE. 8 h. 45. Le Favieuil 47.

dîner, entra vers 7 h. 30 pour s'habiller. ba femme, qui guettait de chez elle son amvce, lui fit demander par Xavier si, des qu'il serait pi et, il voudrait bien consentir à lui pailei dan& le pe-

tit bdlon

LindUbtnel répondit que cctait bien, qu il t tait liés en lelaid, mais qu'il vei1 ait Madame

II avait peur que le ren\oi de Frederu m- df teimuidt quelque eclat lacheux, i a le chiulfeur, qui avad fini par obttnir de lui, dans apre~-nndi, un certJ 1c at, lui a\ ail dit d un a,i goguenard qu il ctail iMb,^e le matin avenue Vietoi Hugo

Ta'niant avait bien le rt de s'inquiéter.

Si Jexiïàae aviit 11 TdA^n'ure de Mme de Hambe- a la -u le de tout»'= }p au'i '̃s iVLn'ur% du même genre dont son mari i\ail itt le héros. Certes, celte hdfton ni avait stmblc d iboid plus odicu-p II

y d\ait doub't ti ti li -e La maitie-âe et

I amanl aviueiil tous deux des devo'rs en\or> el'e^Mais bah dur la =ucce- sion dt seu-dtions (.rue 'e qui depuis quelqiu temps as^ailla't Mar e-fherè-e, 1 Relations de Fieler.c sciaient a'outee a se dulie chacruis poui auq mentei cett( somrnt da dégoût dont 'a n a -e, 1 eu d peu, b e'eva l entre e1 c et

bon irai 1 t

E .e \oulatt, ce soir-la, lui pai'er df G°o Quand Talmont enti î, a\ant dj>d P1--M. sui son smoking bon paide -u-

-111- doute poui moutiei ba hâte, elle vit

dun coup dœil '-a taticue fer tai le bd

'ouidi-s ut son visage montia.t des houitts-'Uies iiiquictanteb b-t \eu\ sj.11 Si cc'at n'exprimaient plus qu'une boilt d I t\ieu->e dnxitte- Une flamme suprême et ut en train de disperser chez cc qua

SARAH-BËRNARDT: Relâche.

SCALA '8 li/3/4. La Femme à barbe. THEATRE MONTMARTRE (ATELIER). •8 -h 30. L'Eventail, l'Occasion.

STUDIO DES CHAMPS-ELYSEES. Relâche. THEATRE DAUNOU. 8 h 3/4 Madantt. THEATRE DES CHAMPS-ELYSEES. Relâche. THEATRE DE L'ETOILE. 9 h. Le Mariage de fredaine THEATRE DE PARIS. 8 h. 11/2. La Flambée. THEATRE FONTAINE. 9 h. Morptimoma- nes,Chez VBouif

-TRIANON-LYRIQUE. 8 h. 30. Sylvie, Isabelle et Pantalon. ` VARIETFS 8 h 1/2. Ciboulette. VAUDEVILLE. 8 h. 45 Après t amour. VIEUX-COLOMBIER. 8 h. 45. H faut que chacun soit à ja place^

1 A T TT A MDD A 8 h. 30, De Bierc, Les 3t

'ALIIAMBRI, 8'h. 30. De: Bieré; Les 3t

AJjllAMDriA Cosaques de Koubati etc etc.

MFTYD "T\r7ïï~8~hTT/2~~Trud. 23-78. Mat. jeudi

MJEJ~KAf<U.amed~d.m. et fêtes à 2 h. 30.

HÂUMÔNT^PALACË, 8 h. 15, Monna Vanna. ExU clusivite. Festi.al-Saint-Saens Mus^Chor^et Ciné. NOUVËÂUCIRQUE. 8 h. 3l4, Spectacle^formidabl^ PIE-OUTCHANTErSpariagas^^pét^ actes, de Rip

MARIVAUX -En exelusivité c

MARIVAUX K»nù«^r"CdTpi'tre Benoii CÎiièmînslêfer dulidi & d'Orléans ,La Saison d'Bivec aux Pyrénées

-Jusqu'au «mars,' "des relations i apirtrs soiont

Hiaiolenues entre Paris et, les station- d Iiim des

P~e~s.- "LSchort-Snperbagneres, O~1, (,1,'11,1,"0" deS,

Vernet-lés-Bâins. Ces relations s'étdl h-ent com- me suit

19 h. 50, D. Pans-Orsay A. J h 8 h. 2:2 A. Toulouse > 2" H. ?3 11 h. 23, A. Ludion \>- }' \>- 53 11. h. 25 A. Perpignan- n. 17 h. 53 ̃• -i* i,-41- Villefranche-V.-l.-B. 1). F h. 2J 14 h. li A. Font-Romeu U. H h. 42

{Voitures directes couchettes, lre et 2^ Uasses entre Paris et Ludion wagons-lits, lle et ze classes entre Paris et Villefranche-Vernet Içs-Bams wagon-restaurant entre Toulouse et îllefwncheVernet-les-Buins.)

did^tnaire les restes de jeunesse qu'il a\dit jusque-la conseive-- &an5 enibrab^ei sa femme, Talmoni lança un simple « bonsoir » que MariaThérèse lui rendit dune voix grava. Puis il s'assit et déjà le mouvement d6 son pied maïquait son impatience, Je voulais te dire, dit Mme Talmont, que Geo passé son baccalauréat meiciedi pour 1 cent et samedi i.our l'oral. Je le savais.

Et l'industriel faibai! mine de se lever. Ce que lu ne savais pas, < est qu' M Guttin-uei l'a interroge nujouid'hui et qu il a le meilleur espoir dans le suc,ces de notre tih

fanl mieux tant mieux 11 aurj s i petite Simoni't II faut que lu hachés aussi que ce suci t de Geo, nous le d( vron a M. Bé- g'o"eb, qui lui a donnesd admnables répet tions la'mont lanta a sa. iemnie,|n de ces iecirds soumo dont f^v^piis l'habitude quand il lui pailtft Eh bien dit-il, ]l suji] r que tu 1 as lemercic ? L intention que 1 uidu^'i k 1 prêta à te'l' n ,)' que n ctdit pab douteuse. H ^-unb'i'l heuieuv dt pouxuii nppeler d \lane-'Ihuè-e que si; lui ne «ardait pas la loi c mjuiMie f'Ie non jikis" n'etdit pa nitpiutiub't I imitif qu'elle w ut si '̃ou Unie i fit induit1 (ce pour I înçenieui de> Fo4^>3-' dp h Duitloene ne pouwt pataitit que ~us|RLle & m-> doute; Mme de Cambe^ T\aitbiudL sur ce thcnie que'qut, bulhnte calomnies.- Pierre Soulaine.

(A suhre)