Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 1 à 6 sur 6

Nombre de pages: 6

Notice complète:

Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1911-04-30

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 30 avril 1911

Description : 1911/04/30 (Numéro 120).

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k289201s

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 46%.


SOMMAIRE

Une grande' reçbn da bè&uté L. Roger'"̃ AIlLBS. •'̃'••̃̃̃ Le >fc* Mai-: Maxime Girard. Au Maroc Le commandant Brémond à Fez. ̃ VëK ta délivrance de Fez CommaxDAST HAltLOT.

Inauguration de l'Exposition- internationale Me ̃Turin Emi&io.

ta Réponse* dés Compagnies G. ;Davekay£. te Vernissage Cu. Dauzats. tes comptes du Quai d'Orsay Jean de Paris. "Une nouvelle Exposition Ghewav

Gazette des tribunaux Tribunal civil (3* /Chambre] Le droit au, wl Geoéges ,CiÂ^Erm. ̃̃ ̃ iiourfieï de /a Bourse Armand Yvel. les Théâtres '.A l'Odéon « « Cœur 'maternel » <̃'̃'̃ ROBiîR'T-DE FLËRS,. '• ̃

(Jne Grande Lep r-;V?!de'B6IIDti

^ûèlle-magnifique leçon d'art robuste et sain nous, offre l'Exposition où le public se porte en foule depuis deux fours Dans les deux salles du Jeu de Paume de la terrasse des Tuileries, les grands et les petits maîtres Hollandais du' dix-septième siècle ont élu domicile, grâce, à; la revue ̃ Y Art et lés Artistes à qui revient l'initiative de cette grandiose manife.staiion.et au concours des collecdonneurs parisiens qui, avec une parfaite bonne grâce, se sont, pour deux oiois, laissé dépouiller, au nom de la ehârité. >< ''̃ A mesure que 'l'on suit le,s. cimaises, eriv'se.£e«t conquis par le sentiment.de vcritéet'dc forcequise dégagedeces deux, œnts peintures,' et de ces quarante dessins, choisis, est-il besoin de le dire, avec un tact irréprochable., Quel qu!en soif le sujet, l'âme de la Hollande y. pal-:pite, l'âme de cette République batave du dix-sép.tième siècle qui après tes lôngues-.années; de luttes sanglantes, et après les -.angoisses craintives des servitudes religieuses,, grandissait, régéné-, liée, délivrée désormais du joug.espagnpl qu'elle avait enfin rejeté, indépendante dans sa. soif. d'expansiou politique et temtoÎJiita»0 fiêre de s"a liberté de consfeiènce,;èi aonfiante. dans un gouvernement qui savait demeurer populaire, sans. avôir'.à redouter encore les appétits tortueux des bijis.dé-rnagogûes.

,• 4*^# "f

lies-Hollandais "d'alors sont heureux,: rien. -ne leur semble plus beau que leur pays; pour satisfaire leur joie, ou leur désir 'dé joie, ils n'ont nul besoin' de s'égarer dans le rêve, d'écouter les échos lointains qui viennent d'autres civilisations, de s'abandonner à d'immatérielles et chimériques visions qui feraient s'envoler, de- leurs cervdllés insatisfaites, les' idéçs. affublées de là défroque- symbolique,de l'allégorie. Non Ils cherehent et ils trouvent le bonheur dans lin' domaine nécessairement objectif ils regardent autour d'eux, plus qu'ils rië-regardent en eux;, ils ont des yeux attendris pour leurs champs, ou une mème.sëve féconde semble animer les bêtes et mûrir les -moissons; ils. ont des yeux amis pour leurs canaux,. dans l'eau frîssonnàntedesquels se mirent les moulins aux !ailes travailleuses et .obéis6an:tes ils' admirent leurs' villes- auxmaisons ^étroites, alignées le long des r«es,le'long-des quais l'on s'en vient bavarder, dans la clarté blonde du soleil qui décline "ou dans la 'lumière blafarde de la lune qui glisse, derrière les nuées ils aiment leurs foyers, où s'abritent les secrets de leurs heures sentimentales, leurs foyers aux cuivres reluisants.^aux parquets, cirés, aux petites fenêtres, tendues de petits, rideaux très Èlancsj-ils- sont indulgents, aux cabarets," où, -avec un peu d'ivresse, on écoute s'ébattre la gaieté collective. L'autorité, indispensable au bon fonctionnement de là- machine sociale, n'est pas aux mains depersonnages imaginés d'une autre essence -qu'eux:: leurs puissants, au contraire, sontdes gens deleur race, desgens n'ayant pas d'autre principe primesautiei-ique les plus humbles d'entre eux; et c-'est parée qu'ils. o,nt eu la volonté de peindre- ce- qu'ils voyaient, se faisant ̃uïie^originalité de ne point farder l'objet coRstant,et..diyers offert à leur champ visuel et àleur observation, que les artistes1 hollandais du dix-septième siècle sont arrives à en hausser l'expression jusqu'au caractère, et qu'ils nous forcent devant leur art tout de conscience et, on peut le, dire, d'amour national, à un chaud et respectueux recueillement. C'était, la ce que je remarquais, hier fen embrassant par un regard d'ensemble toutes les couvres, triées sur le volet, que l'Exposition réunit dans les salles du Jeu de Paume; et je m'en voudrais de "ne point féliciter tout de suite, avec M. Xrml|,nd Dayot, parmi les organisateurs de cette fête d'art, M. Jules l'orgès, l'amateur fervent, qui a prêté. ? fi ri s compter, les merveilles de sa- collection' vraiment incomparable, et M. François Kleinberger, l'un des plus érudits connaisseurs de l'école hollàridaiserruri de ceux qui, depuis un quart de siècle, se soht employés le plus utilement à faire comprendre et aimer ces grands maîtres, qui ne sont jamais de petUs ̃peintres, et ces petits-maîtres

quisont toujours de grandjs artistes,

̃•; :• ̃ ;v'

:'I)u coté' des- paysagistes, J'Exposition nous dicte de suite, les noms de Hobbeina, de Jacob van Ruisdaël, de Salo-

piun Ytin Ruvsîjaël et de Jaii van Uoveu. J

Dans le Paysage avec maisons et figures (coll. de M. Kieinberger),"et le Paysage' en lisière de fyrèt (coll. de M. Warneck), Hopbema apparait avec sa précision d'œil, qui serait peut-être sèche si plie' n'aidait pas' à un accord extraordinaire d'harmonie chromatique; chez Jacob van Ruisdaël, au contraire, l'élément naturel n'est pris et n'est composé, arbres, cascades,. -mouvements de terrain, que pour nous provoquer à une enchanteresse poésie des choses sous l'immense

symphonie du'ciel aux nuages qui fuient,

viennent, se heurtent, se fondent, glis-, sent, roulent; formes de lumière et d'ombre, dont le peintre a su traduire l'essentielle instabilités ainsi' qu'on le constate, dans Les r tiines du château de Brederode (coll. de Aime Edmond André), Paysageavec c&scade.Çboll. Ju les.Porgès),

~Ertvirocts de Harleart ~~oll. Kléinber;;er).

'Environs de Harlem (coll. Kleinberger).

Le cdneept est plus concret dans sa réalisation, chez SalomonvanRuysdacl, ainsi qu'en témoignent La rentrée de la pêche (colf. Edouard Kann), le Paysage avec. un pont (coll.. du baron Edm. de Rothschild) et le Paysage au bord de l'eau, (coll. Spëi'ling). Quant à Jan van Gôyen, la Vue du port de JMmègue (coll. Max Flersheim), petite Marine (coll. Cordon-Benne tt) l'ad m irable Orage sur la mer (coll. du baron'd'Erlanger), le grand Paysage au. bord de l'eau (coll. Kleinberger), le Paysage (coll. Victor Decock) lé montrent tel qu'il est, peintre délicat, et attendri, fervent des gris et des tons atténués, sachant' en des transpositions où rien ne hurle, raconter ces rivières et ces canaux aux petites vagues multiples, ces petits arbres aux panaches battus par le vent, ces barques/montées par des gens aux costumes SQmbres sans cesser cependant .d'être .colorés, toute cette vie de plein .air '.enfin,. qui paraît bien l'avoir .enchante.'

Du côté dès peintres qui. peignirent l'animal dans un cadre.de nature, voici Paulus Potier, avec le très beau tableau de la collection Jules Porgès voilà Albert Cûyp.1a"vec;'lo Soleil couchant (coll. Mb. Lehmann), le Grand Pâturage (coll. Fr. Kleinberger)-, Vaches et Bergers (coll. de Jonge). Et, ce sont encore les chevaux élégants de Philips Wouwerman, tels llalipchevaux (coll.. de Jonge), Choc de cavalerie (coll. baron Edm. de Rothschild), Chasseurs devant une auberge (coll. Kleinberger), Halte de cavaliers (coll. du Dr Max ̃Wass.crmann) le Paysage d'hiver, de Van Cappelle (coll. Edouard. K,ann). et d'autres natures d'Adrien van de Volde, Pieter de Bloot, Isaac van Ruysdaftl, Pie't-cr .de Moivn sans oublier les-natûres 'tiïoi'tes dô-'Van Béyeren.et de ïledà., f 11. faut faire une place à part aux peintres qui ont raconté les villes et les 'plages, lc'four et la nuit, .et qui semblent bien; avoir été les précurseurs de toute la lignée, des Italiens qui peignirent Florence et Venise au dix-huitième siècle cesont Ârn. va-ii der Necr avécXc Matin (coll. Ecl.' Kana) ;.Clair de Lime (coll. Ha,x Flersheim); Paysage d'Hiver (coll.

de taprincesseMurat) Jan van der Heyde,

avec un .chef-d'œuvre., Vue d'une ville hollandaise (coll: Jules Porgès.) ;lsaac van Ostade, avec la Plage de Sçheveningen (coll.- Sperling) et Gérard Berckhoyde,

aye.cune Vue de La Haye (Coll. A. Mayor).

~vec une Vüe de La y çol!; A',Mayol').

̃•'̃, •̃-#*# ̃ ..̃; ./̃

Mais -à: côté de ces peintres qui s'en allaient dans le plein air, :il :y a toute'la série de ceux qui trouvaient dans les intérieurs, cossus ou humbles, l'objet sans cesse renouvelé dont leur observation faisait son profit, l'objet qui répondait à la fièvre de sociabilité que leurs contemporains enrichis ou en passe de l'être étaient jaloux de. montrer. C'était, d'ailleurs, ;un champ d'exploitation particulièrement vaste: les fêtes de famille, le.s circonstances variées de l'existence, les habi;tudes entretenues par des gestes pittoresques,, les. moindres actes de Ja vie* intime, pourvu qu'ils ^fussent susceptibles de fournir un agrément de couleur, l'accord parfait enfin des types, hom- mes, femmes, ou enfants, avec le cadte où ils apparaissaient.Uout cela, et beau- coup d'autres choses.encorc.suffîsaiertt à la nourriture inïaginative des peintres, et aux appétits de, représentation de leurs modèles.

Les uns comme Terburg/ Gérard Dow, Pieter de Hooch, Van Miéris se complaisaient dans L'élégance, la. caresse des riches étoffes, les raffinements de toilette et les mille détails de rameublementvsignes manifestes du confort; et leurs conversations', si elles sont délicieuses et coquettes, ne laissent aucun doute sur l'absence d'austérité morale des belles personnes et des cavaliers galants qui en sont les habituels protagonistes.; D'autres comme Jan Steelï, Dirçk Hais, Pieter Codde, Esaïas Bourse, Judith Léyster, ̃ Molenaer, ne se mettent point en peine d'exprimer.de la richesse et du bon ton; ils racontent de la gaîté et de la tendresse; ils disent, avec un accent profond de vérité, les cœurs si près l'un de l'autre dans la maison familiale, que cette maison est à elle i seule un monde, capable de donner satisfaction à toutes les; soifs d'un esprit observateur, à toutes les truculences de technique d'un artiste épris de maîtrise manuelle.

Pour contrôler ces remarques, le public pourra étudier, avec fruit: Le Concert (coll. comte Potocki), un ;Chefd'œuvrô de J.-M. Molejiaer; £a vendeuse de poissons (coll. duc, de Broglie), autre chef-d'osuvrè, de Metzu \bemme épluchant des poires (coll. F. Kleinberger) de Pieter de Hooch l'Homme .et. la Femme (coll. baron d'Erlanger) Femme brodant et Fentïjie à sa toilette (coll. Al h., Lehmannj de Gérard l'erbuig Xlnteinpérançe (coll. Jules Porgès), La Sieste, icoll, Edouard 'Ivannj, Le médecin galant (coll. docteur Wassermah.n; Scène aa-^

ïanUr (colh- mia'qnïse'û'Aousl), La ^"ll'ic

du médecin et La lettre (coll. "de la pria-, cesse Murati, de Jan Steen; Le Concert

(coll. AibertLobl^ et laX/^sc (coll. bar aii

Van Asbeck), de Jean Ducq; ta Joyeuse, compagnie (coll. Albert Lobl), de Dirk Hais, la Lecture, (coll. Jules. Porgès) de. Cornélis de Man la Femme au clavecin et une Réunion musicale (coll. Jules Pbpgès), de Anthony, Palamedesz; la Joyeuse partie (coll.. baron de Schlieh>k ting), dé Judith Leyster, etc.

On pourrait écrire un chapitrera,

part, concernant les portraits hollandais

du dix-septième siècle, non pas les por-

traits" civiques decompagnies d'archers:

1 traits'civiquès de co. mp~gni~S. d'aichccs-

:oii de, magistrats municipaux, qui occu-

peht une places! impoiHàntedans lhis-=tôire de la peinture batave, mais les simples portraits de gentilshommes et de bourgeois, de nobles dames et de- braves commères, dont de successives maternités ont alourdi la grâce et préparé les rides, et qui, dans la raideur de la. fraise tuyautée ou du col-pèlerine de, batiste empesé et brodé, mon.trent.des/ visages où l'on devine des laideurs ai-, niées; mais hommes et-femmes sont si parfaitement saisis dans .le. cadre qui leur convient, dans le geste qui les si-,vgnifle' moralement, que l'on ne- peut se> défendre. d'avoir à l'égard.1 de léùrs'por-. traits tout de vérité les mêmes sentiments affectueux qu'ils provoquèrentcertàinement- au temps où ils- furen,t peirits; comment, en effet, pourrait-on demeurer indifférent devant le Portrait d'Homme- (coll. de Jonge), de Govsrt Flinek; devant le Portrait de Jeune Homme (coll. Jules Porgès), deDuyster; devant l'adorable Femme ci Enfant (colL Jules Porgès), de Thomas de Keyser, et devant les deux merveilles, por- traits d'homme et de femme (collection. de Jonge) du même maître;, devant. le Portrait .d'Homme (coll. E. Kraemer), de Ferdinand Bol; devant ceux.d'Anth. Ravestein, Jan Weenix, Adriàan Brauwer, Janson van Ceulen. Mierevélt, Pau-: lus Moreelse, Antonio Moro, Bar,th. van der Helst, etc. ï

̃.Et cela m'amène à la très 'belle série d'œuvres de Franz Hais, qui garnissent un panneau de l'Exposition,en face du panneau radieusement' illuminé' du génie 4e. Rembrandt. ̃ Je regarde les délicieuses -têtes, d'Enfant riant, les portraits d'hommes, le Mulâtre (coll. Jules Porgès), le Peintre ambulant (coll. baron de Schliçhti'ng), lçs Enfants chantant (coll. Arnold. Selligmann), le Portrait d'Homme, l'Enfant qui rit (coll. de' Mme Edouard Àndrc),'7é. Maudalimste (coll-'Edmond Veil-Picard]

et, s'il. falJy.if tout qualifier d'un mot-, jp

dirais cjùe c'est « la joie de peindr'e », Dans ces têtes surprises en pleine expression de vie, dans ces belles coulées de couleur qui. spontanément s'en vont à leur place et vibrent "avec l'intensité de valeur' qu'il" faut, sans hésitation, sans tâtonnement, dans.' -un -élan de verve et avec une fougue entraînante, ou ne sait ce qu'it'faut le plus'admirer, de. la volonté, qui imposait au peintre cette force extraordinaire, de synthèse expressive, ou du tempérament qui parait s'abandonner à sa -fièvre créatrice. Frànz Hais: n'est pas l'homme des demi-teintès", des harmonies bémolisées du sourire aux lèvres pincées-: son rire- est bruyant et large; sa gaîté éclate en fanfare, ses types débordent de'santé et leur ^extériorité s'agite d'une saine et naturelle exubérance. Ce réaliste, qui ne s'égare jamais dans le rêve etqui dissimule obstinément son indéniable émotivité ce réaliste, convaincu, entêté, qui pousserait au besoin l'indifférence morale jusqu'au cynisme et serait téntë de laisser prendre l'extrême nervosité de son art pour de l'habileté, ce réaliste a vraimentmne couleur qui. pense 1

•̃ v/' ̃' ̃• :y^-

Je nie retourne et me voici devant lès Rembrandt; ils sont nombreux et importants il y,a la Vieille Femme à la Bible, un pur chef-d'œuvre, le Bon Sa- maritain, portraits d'Adrien et de l'épo use d'Adrien (coll. Jules Porgès), portraits ft Arnold Tholinx et Saskià, le Christ à Emmaiis (coll. de Mme Edouard André), portrait de Y Artiste Jeune (coll. comtesse Delaborde)i Tête de Christ (coll. Fr. Kleinberger), le Christ en croix, une émouvante merveille, Bèthsabë, Bourg- mestre Six (coll. Léon Bonnat), portrait *t de 'Titus (coll. Warneek) et d:autres-encore il faudrait citer tout, peintures et dessins. :̃• ̃ Le maître dont Michelet a dit-: «Le sorcier 'hollandais Rembrandt, qui su 't tout deviner », le maître dont le gcnie déborde sur toutes les époques et toutes les écoles, est là tout entier: on le suit, dans cette incomparable série d'œuvres, depuis les. années de début jusqu'ausoir douloureux de sa vie; on le voit demeurer sur la terre et cependant révéler à notre cerveau les vastes campagnes du rêve il se" courbe sur la matière concrète de notrô vie, et voilà que sa pensée ouvre une aile frémissante et s'envole par delà les contingences précises de l'ici-bas, vers le firmament embrasé des épopées et des légendes son âme n'est pas seulement l'âme moderne qui surgit audessus du passé elle est l'Ame, simplement, agitée d'une palpitation d'infini 1 Ah! pendant deux mois, comme il sera bon devenir demander à ces Rembrandt une communion de beauté! Comme il sera bon en la compagnie du maître sublime, d'apprendre à ausculter le. sens caché de.s choses qui nous sontl'amilières i.. Son intelligence supérieure ne se fût pas contentée de ne voir qu'un jeu de lumière sur des formes extérieures, sur des volu-, mes déterminés matériellement dans une atmosphère cequ'il a cherché, dans Tangoisse où se magnifie son art, c'est la force active ne pouvant pas s'affranchir des luis psychiques c'est la logique et

le dynamisme de nos énergies physiques,

ne résistant pas à impulsions mo- rttles c'est tout TeJîort de son imagi-, nLitioirifîconde, alimentée par l'étude

constante delà .réalité. lendanl àdéfiou-

Viir cïLlui;. ricaau'gïi iuij.saiig retsau.Y.e;.

îijrd'aucundévancïeiMin.concept éternel -xïc ce que doit être le Bèau absolu. y C'est dire assez toute la splendeur de ^Exposition,- toute ra.rnpleurdc la' leçon que son,e£udo Ûoit donner à chacun de

.nous. ̃; ̃ ̃•'

̃̃"̃̃.l«r Roger-Milèai

Échos

".J,

%a. Température A- Paris, le Ciel était encore, "hier,- très'nua:<reux; le vent'sôufflait avec une vitesse de dix 'Siètres par seconde et la pluie est tombée en courtes ondées et par intermittences; enfin, la journée s'est passée sans que le soleil ait èé suffisamment brillant pour la rendre absolument agréable. "Dans la matinée, le thermomètre marquait "io* au-dessus de zéro et i6° vers cinq heures du soir. La pression barométrique accusait -^mmv. Une profonde dépression persiste sur, le nord-ouest de l'Europe.. Sur nos côtes, les mauvais temps continuent'; surla Manche, et l.'Océan, la 'mer est très gros'se, sous la poussée d'un vent d'ouest d'une extrême violence.

Des pluies sont tombées sur le nord et l'ouest de l'Europe en France, elles ont été abondantes: La température reste sensiblement 1a même. <••̃̃.<

DifMrtc.me.Hts, le matin- Au-dessus de. \cro 8" à Dunkerque, Boulogne et à Cliarleville, o»"a Cherbourg,. à. Brest,, â Lorient, à Nantes, â Belfôrt et à Besançon io° à Ouessant, au Mân,s et à Limoges, il" à Rochéforfet à- Bordeaux, 1 à' Biarritz, à Toulouse et à Cette, 13» à Marseille, 150 à Perpignan, 19° à Oràn, 2t° à Alger.

£.n France, un temps à éclaircies et à averses est encore probable. (La température du ,39 ..avril 1910 était, à Paris 7° au-dessus de zéro le matin et 180 l'après-midi. Baromètre. :"7.63ram ciel menaçanfla pluie.)

Du.. New York Herald

A "New-York Temps beau. Température max., ?5°;min., ii"Vent sud. A.Londres: Temps". nuageux." Tehipérature max.; 120; hiin., -6°, Baromètre, 7,)6mra.- Vent ouest-sud- ouostr"– Â. Berlin Piuiè; ^ïempérature^à

inidi),\i30. ''V33C£i'i- '•̃ '7

~,°~

i -> :[̃}'̃ Les Courses ̃•'̃̃

Aujourd'hui, à deux heures, Courses au Bois de Boulogne. Gagnants du Figaro; \Prlx_dc Boùlçgne. Bolide '^Pire. ]? lux des Cars Ténor; Templier- III. '"prix 'Noa-Htcè Ldrd;Burgoyne-; Gonibourg. '.5?'- Prix Biennal EW.Âumont; Assouan II.

rprix.de VÇ-toilc: ForHenoy-; Ë.ucàlyj)liis IL

,H Prixtà'AuteuU i Isâbey j Benaldinà,"

A Travers Paris

Les:parisiens vont eneore, une; fois de plus, avoir loger de. la-troupe, -le gouvernement ayant -décidé, ca présence dès menaces de.la C..G, ,T.>* de faire venir à; Paris .d'importants, détachements de troupes de provïriee.- ̃̃̃̃ Certes,- personne ne cherchera' à' se soustraire à eet impôt, hieri qu'à Paris^ les appartements n'ont pas l'ampleur des maisons 'de province, cette charge soit" particulièrement lourde. Mais ce dont se plaignent les Parisiens, c'est que les réquisitions pour le -logement de là troupe frappent toujours les mêmes personnes. Dépuis 1006 date à laquelle il a été fait usage, à Paris, pour la première l'ois, depuis les tristes événements de 18701871. du droit de réquisition, ce sont tou- jours les mêmes arrondissements qui se trouvent mis en cause. C'est ainsi que certains arrondissements tels le septième et le quinzième sont régulièrement mis à contribution, à chaque- venueL de troupes de renfort à Paris, et le fait" depuis quelque temps se produit régulièrement chaque année.

Ne serait-il pas possible d'établir 011- tre les arrondissements de Paris, comme d'ailleurs cela se pratique en province, un roulement pour le logement de la troupe ? _<x> Le citoyen Jules Coutant et l'année. Depuis les inondations, l'armée n'a pas de plus chaud défenseur que le citoyen. Jules Coûtant, qui profite de toute occasion pour témoigner aux officiers et soldats sa sympathie et sa grati- tude. "'̃'̃ w

Hier, avait lien, à la mairie d'Ivry, les opérations de laTevision. Après la séance,^ le citoyen Jules Coûtant, dépùté-inaired'Ivry ,*a reçu à'là mairie les officiers et fonctionnaires qui avaient assisté au conseil de révision. En ternies émus, il a rappelé l'aide paternelle, le concours précieux apportés par l'armée en des moments difficiles à la population iyréenne; ;1 puis avec sa fougue coutumière il a porté un toast, vibrant de patriotisme, à l'armée qui, au Maroc, défend tout à la fois la cause, de la France et 'de la civilisation.

Voilà des parples- qui, jadis, ne retentissaient guère à la mairie d'Ivry. Les temps sont changés, et: certes personne ne s'en plaindra.

Parmi les événements de la saison musicale du printemps, l'une des plus artistiques attractions sera certainement le concert que la Société J.-S. Bach donnera le:5 mai pour la clôture de ses grandes auditions annuelles. Le programme, composé d'œuvres aussi belles que variées, porte l'Ode funèbre, dont les soli seront chantés par Mlle MarcellaPregi, Mme Altmann-Kuntr, MM. •Plamondon et- Re.der; le Concerto pour piano en fa mineur (première audition), joué par le grand virtuose Alfred Coriot, et la célèbre cantate: le Défi dePhœbtts et de Pan, L'orgue sera tenu par M. A. Schweiteer. Les ehœwrsèt l'orchestre comprendront: deux cents -exeentants sous la direction de M. Gustave* Bret. Pour la soirée du '̃> mai, et pour la répétition générale publique- qui aura

liiyi -ic. jeudi â, cn^imU^} i ^-watr^;

heures, on trouve des billets à la salle Gaveau et chez les éditeurs. .'̃-

~-r-80P-o-

Le déjeuner annuel que donne jMarioni le'jour du vernissage, profitant de ce prétexte pour réunir autour de tables chaque année plus grandes ses amis toujours plus nombreux,: a eu lieu hier chez Ledoyen.

M Dujardin Beaumelz l'excellent sous-secrétaire d'Etat des beaux-arts pré'sidaitàvec sa bonne humeur et son esprit ces agapes cordiales.

'Parmi les convives ̃ ̃̃

.Général Dodds, M. J. Charles-Roux:, Mme A. "Brrs'son, Mme I. Chapusot,; Mme Aijiélie Megure;ur et Mlle, M. et Mtcc Th. Poilpot, MM. Co.utan, Marqueste, A. Mercié,; M. et Mme A. Verlet, M. Georges Claretie, M. Joseph Uzannc, M. Edouard Noël, M. et Mme Carrier-Belleuse, M. et Mme Dussaud, M. et Mme Fallu de la Barrière, M. Roybet, M. Guillemet, MM. Théodore Rivière, Moncel, Grùn, M. et Mme A. Robida, M. et Mme:Fôlix Charpentier, M. Raguet, Mme Grau, Mme de Flahdreysy, M.1 et Mme Muenier, -M. X. Paoli, Mme Langer, M: Gabriel Fauré, le' docteur et Mme Adler, M. Pourlier, le baron et la baronne, do Rosen, Yann Nibor, M. Léon ûurocher, le docteur et Mme Pierre Bpulpumié, M. et Mme Japy de-Beaucourt,

etc., etc..

Le peintre Griin a envoyé au Salon de cette année un très joli .tableau représentant les convives de ce déjeuner annuel c'est en quelque sorte un chapitre documentaire ajouté aux. si intéressants volumes de l'album Mariani.

.a- c

Nous avons reçu pour la famille Taurines

M. Isidore Bloc, .Fr..100 » Mme Jeanne Escalère 20 » Mme J.Goosens. 8 45 D.L.M. 10 Y \J > ̃•••*• 1 •••••̃*̃̃••*••• •• 10 î^

ïolaf. -rr. 148 45

'Liste précédente.Fr. 100 »

-̃• 1 Total. i. ..F.r. '248. 45

^Le vernissage' du Salon des Artistes. français n'a pas failli cette année à la tradition qui veut qu'en son honneur les plus jolies femmes se parent des plus, luxueuses et des plus ravissantes toi-lettes. Mais il fut aussi l'occasion d'un autre triomphe devenu déjà légendaire celui du «Parfum de la Dame en Noir», dont les subtils eftluves flottaient dans le sillage de toutes les Parisiennes, plaisir invisible j parmi /toutes les joies offertes aux regards des visiteurs.

t]llra-ûio(ierne Pour atténuer les ennuis de l'attente, lors dès' indispensables essayages, l'un de nos plus sélëct a mis à la portée de ses cfientesde quoi 'charmer leurs loisirs. Oui, madame, à côté de la classique -tasse de.tlië, aprèsjes toasts et les muf;fins, vous pourrez savourer désormais la plus douce des cigarettes anglaisés, l'orientale «Nelista », de \Vills,-la suave ̃«Three Castles.» ou l'ôdorànte «̃ Dia-"nibnd ».' Tabacs blonds, vaporeuses silhouettes; voilà de quoi inspirer' nos poètes.

Heureuse rencontre.

Le bruissement des pneus sur l'asphalte. et c'est tout ce que vous entendez quand votre' ami Untel vous dépasse dans sa berline, avenue des ChampsElysées. C'est encore lui qui vous brûle la politesse dans une côte des Ardennes, quelques jours plus tard. Unlel.n'a cependantqu'unc seule voiture, une 15 HP 6 eyl. à 7,500 francs, usinée à Levallois, chez Clément-Bayard. aussi silencieuse comme voiture de ville, que .souple et pide pourUe tourisme.

Hors Paris

Les sautes brusques de température que nous subissons actuellement nous incitent à gagner des ciels plus cléments c'est pourquoi la foule des. touristes se rend à Aix-les-Bains. l'idéal mondial.de la.douceur climatérique. Les multiples distractions qui sont accumulées dans ce délicieux site des Alpes, le Golf Club et les Concerts symphoniques si magistralement organisés par M. A'. Gandrey, l'habile directeur artistique-du Grand Cercle et de la Villa des Fleurs, contribuent à retenir,- en ce coin si pittoresque de la Savoie, les plus célèbres élégances cosmopolites.

-o-<x>-o-

Très sensibles aux variations de température qui marquent les. premiers jours de printemps, les rhumatisants et les névralgiques trouvent un abri sûr et une hospitalité ingénieuse aux Grands Thermes de Dax, créés, aménagés spécialement pour eux avec toutes les ressources balnéothérapiques quela science moderne peut suggérer. Le mois de mai est très recommandé pour une cure aux Grands Thermes.

-)c~

Nouvelles â la Main

Le ,1er Mai. '̃'̃̃̃

On dressera procès-verbal à ceux qui déploieront le drapeau rouge. Un procès-verbal de garance 1

.>

La victoire, dès -musiciens français* Et l'orchestre italien? ̃

Oh Ta reconduit à la frontière sans, tambour ni trompette.

-<>-<X>-<>

Les ouvriers de l'Imprimerie nationale menacent de se mettre en grève. Ils se calmeront: 'Ce sont des hommes.de bonne composition. On propose au gduvei-riement :de -Tekitégrer tous lesr révoqués surTEtat. ̃ i- Comme cela, si les trains- ont du retard, le personnel aura du moins des •pillions avancées.

'1~3 ~t~.rl~ï~.d~Fgr~'

L e P ne er Mal

Le groupe socialiste est intervenuhier il fallait s'y attendre.

MM. Jaurès, Voilin, Làuclie, Dèjeante et Cabrol, députés, et Jean Varenhe, conseiller municipal, se sont présentés en son nom au ministère 'de l'intérieur où M. Monis les a reçus tout aussitôt. Les. délégués. « venaient s'entretenir » avec le président du^ Conseil des mesu^ res prises par le gouvernement. Mais à quel. titre? ̃ ̃ ,• t A cette question, que M. Monis, leur pose, ils répondirent qu'ils n'avaient- aucun mandat des organisateurs de .la' manifestation et que leur démarche avait un caractère purement personnel. Le président du Conseil leur fit c,on- naître alors « qu'il ne pouvait.que.main- tenir les instructions qu'il a données, au préfet de police en vue d'assurer le maintien de l'ordre et pour empêcher qu'aucune atteinte ne soit portée à la liberté du travail, à la circulation, à la sécurité, à la tranquillité publique ». Mais les délégués n'avaient pas perdu tout espoir « Consentiriez-vous, demandèrent-ils à M. Monis, à accorder, le cas échéant, une audience aux représentants des organisations ouvrières qui ont pris l'initiative de la manifestation? » Le président du Conseil répondit affiiv mativement. Il n'en conféra pas moins, les délégués partis, avec M. Lépine, à qui.il a renouvelé et précisé ses instructions,

Lepréfet de police avait convoqué k son cabinet, dans la matinée, /MM. Touny, directeur de la police municipale Mouquin, directeur des recherches les commissaires .divisionnaires, les officiers -de paix et,les inspecteurs principaux, le colonel de la garde républicaine et ceux des régiments de la garnison de Paris.

Conformément'aux décisions qu'il.Ieur a communiquées, l'esplanade des Invalides et la place de la Concorde seront Occupées .militairement, de manière à, éviter, toute concentration. .Toutes les voies que l'on soupçonne, devoir être sillonnées par les manifestants, c'est-à-dire les boulevards, .seront occupées par,de,s groupements de forces de police et de troupes reliés entre eux par des cyclistes et des agents en bourgeois qui signaleront les manil'e.stants au fur et à mesure de, leurs mouve-

Mients.

̃̃' Huit ^ôg-imeiils d'.ijifdnlerie et dftU-x ré-

giments de cavalerie viendront wnfpr-

cçr la garnison de Paris, dont le ;'&? régiment. d'infanterie, de .Montargis, le d'infanterie- d'Auxerre) le I'i5° d'inîànterie de Mamers;.lc 8° cuirassiers de Tours, et le dragons-d'Evreuxl > La, C. G._T. cependant, et, l'Union des synclicats "multiplient, dansles quartiers ouvriers, les.appels.;e.t lesmwrs de Paris disparaissent- sous leurs. placards:Elles y àffiriiient le,OT volonté de.« manifester quand même ». Les ouvriërsles. suivront-ils? ou écûuteront-ils plutôt les conseils,' de;rtJnio"n fédérale des travailleurs antirévolùtionnaires qui,' dans ses'affiches, les exhorte à résister aux provocations des .me-

neurs,? :̃̃. ̃

̃̃•̃• Maxime Girard.

Au Maroc

Le commandant Brémoud à Fez Le commandant Brémond est arrive à Fez le 26 avec sa mehalla. Cette bonne nouvelle nous est officiellement télégraphiée de Tanger. •

Plusieurs courriers de Fez sont arrivés hier à Tanger, apportant des lettres pour la plupart de dates anciennes, car les communications sont toujours difficiles. La situation était stationnaire, mais les assiégeants ne s'étaient livrés à aucune nouvelle attaque. Des divisions s'étaient produites parmi les Beni-M'tir dont plusieurs, fractions sont rentrées sur leur territoire pour repousser les Béni JYFGuild qui, profitant de leur absence, se Jivraient à des déprédations.

̃̃ A. Meqninex ̃ '̃. ̃• '•

Un courrier de Méquinez confirme, a nouveau que la ville 'a été prise, le.i.9, parles Berbères. Plusieurs foudaks ont été-pillés après cinq jours de combat, la mehalla ;a obtenu la paix moyennant une farte rançon.

Mouley-El-Zin a été proclamé.

Tous les fonctionnaires ont été clîangés. ̃ Sur la frontière algérienne

Lalla-Marnia; 29 avril..

On réquisitionne des animaux pou.r former des convois de 200 chameaux' et de 800 mulets, destinés à réapprovisionner la colonne de Taourirt. Un co'n.voi de chameaux partira aujourd'hui pour se joindre un convoi de 800 chameaux venant d'El-Arich. '̃'̃"

Demain arrivera à Zoudjelbral le bataillon du y°zoua\-es et la section d'artilleriede montagne venant de Sétif. L'opinion allemande

-Cologne, 29 avrili La. Gazette de Cologne, dans un article éditorial, s'exprime ainsi'; On doit ajouter créance à la déclaration, loyale et aux assurances du, gouvernemeùt; français en ce qui concerne le Maroc, niais il ne faut pas perdre de vue que le gouver- nement ne dirige pas tous les courants existant en France, qu'il y a-uu- courant colonial' tout à fait actif et qui, plus d'une fois, a t fourni des preuves de squ- -jiouvoir et de son

iuflueBce..

Off. peut avoir (lesopî-Qwïii^ïlfféreiit-ës- «toi- les dangers-.cjufr'coiwt Fez, maison ne péÛÉ* pas denier .au gouvernement français Va droit de prendre des mesures de secoure. I! u'îiiuxuisû. "'paâ ûlTc" vïoiiÀ'liiîfl dss" Êasagê'-


ments internationaux qu'il a pris. Aussi, ni le gouvernement allemand ni d'autres puissances intéressées dans le Maroc ne sou-, lèveront d'objections contrôla marche sur Fez. D'autre part, ou ne peut contester, même, du côté français, que cette marche rond-la situation critique et ouvre la porte à toutes sortes de complications. Il sera nécessaire que le gouvernement français déploie une volonté ferme et une grande loyauté pour no pas.se- laisser détourner de sa.voic dans son, entreprise marocaine et ne pas contredire ses propres déclarations. Tant que cette contraçliction n'apparaîtra pas ouvertement, on devra, à l'étranger, considérer l'expédition de secours vers Fez sous l'aspect que lo gouvernement français veut lui donner. Mais si l'on s'est trompé dans cotte façon de voir, on devra, devant une situation nouvelle, prendre position..

̃ En. Espagne

Madrid, 29 avril.

Le gouvernement a, dit-on, reçu une longue dépèche de M. Pèrez Caballero rendant compte d'un cordial entretien avec M. Cruppi, mais les ministres déclarent que cette dépêche ne fut pas communiquée au Conseil d'aujourd'hui.

-Quilles.

La Situation

La mehalla du commandant Brémond. est arrivée a Fez le 20 avril. Cette heureuse nouvelle, dont on a la confirmation officielle, produira chez tous les Français une impression de soulagement! Nous étions impatients d'apprendre que notre vaillant compatriote, qui se trouvait depuis longtemps aux prises avec de si terribles difficultés, avait enfin pu se soustraire à tous les dangers qui le menaçaient. Les événements de ces jours derniers, l'impossibilité où il avait été do recevoir le convoi de ravitaillement que lui amenait M. Boisset, tout cela rendait sa situation plus critique encore. Nous savons maintenant qu il est en sécurité, sous les remparts de la capitale où son arrivée, d'autre part, augmente, dans des proportions très considérables, les moyens de résistance du Sultan.

On peut désormais espérer que la garnison de Fez, notablement renforcée par les troupes de Brémond, sera en état de tenir bon jusqu'à la venue prochaine de notre colonne de secours. Celle-ci achève actuellement ses préparatifs- d'organisation pour la marche sur la capitale. Le premier échelon de la colonne Brulard se trouvait, hier, à El-Kounitra, la première étape vers Fez. Les goums et la harka indigène qui précèdent, comme on sait, nos troupes; doivent être, à l'heure actuelle, en marche vers l'intérieur.

Le gouvernement a décidé, d'un autre côté, de prendre Mchdiya comme base de débarquement des renforts venant de Toulon 'et de Marseille. On no peut qu'approuver cette décision. Elle représente, pour notre corps expéditionnaire, un gain notable de temps et une économie d'efforis. Mehdiya est à environ cent vingt kilomètres au nord de Casablanca, à l'embouchure du Sebou. Les troupes débarquées là seront immédiatement à pied d'œuvre. Elles n'auront que quelques kilomètres, à faire pour gagner El-Kounitra, et marcher au besoin sur les derrières de la colonne qui, au moment oii elles débarqueront, sera, nous y comptons bien, profondément enfoncée déjà au cœur du pays maure. Dans ces conditions, il est permis d.'espérer que la capitale sera secourue ei dégagée temps opportun 1 R~

Vers la délivrance de Fez

La zone algéro-marocaine, large par endroits de 200 kilomètres, constitue entre l'anarchie de l'empire des chcri'fs et la tranquillité de, l'Algérie, une province de transition. Sous l'influence des sages et progressives mesures d'organisation introduites par les soins du général Lyautey, cette vaste province, qui comprend en somme, presque tout le bassin du fleuve Moulouya, procède déjà beaucoup plus de l'ordre français que de la «.siba » marocaine.

C'est aux confins du premier tiers nord do cette région, régie par nous, depuis moins de deux ans, pour le compte du makzen, que se rassemblent les divers éléments tirés des trois provinces algériennes, pour venir appuyer, par une pression vigoureuse sur les tribus orientales, le mouvement de la colonne volante venue de la Chaouïa. Bien que celle-ci doive, en principe, opérer seule, et seulement à titre de soutien éventuel des forces, plus ou moins nettement définies, qui prétendent représenter l'armée marocaine, dans une action purement musulmane,-la convergence de tous les efforts apparaît, dès maintenant, comme une nécessité qui s'impose au gouvernement français. 11 n'y a plus sur ce point d'illusions à se faire aujourd'hui. Sous peine d'arriver trop tard, ou trop faiblement, sous les murs de Fez démoralisée et appauvrie par un blocus de plus de trois semaines, les deux groupements français du Sebou et de la Moulouya doivent résolument' marcher l'un vers l'autre. 'Tout porte à croire, heureusement, que depuis quelques jours déjà la décision est prise, et que tes mesures d'exécution, discrètement préparées, sont en bonne voie de réalisation, sur toute la longue route de 150 kilomètres qui unit le terminus du chemin de fer, à Marnia, du gué de Sidi Abdallah Sobbaliri, à 80 kilomètres de Taza.

L'opinion, progressivement amenée à une exacte notion des exigences impératives d'une heure de crise, attend avec impatience l'annonce de la mise en marche des troupes' d'Algérie à la rencontre de celles de l'Atlantique.

= ̃ .;• ̃•

Un appoint très précieux va être fourni par les goums, recrutés dans les tribus des Hauts-Plateaux algériens, ceux-là mêmes qui ont fait merveilleusement leurs preuves, de hardiesse et de solidité tout à la fois, dans les opérations de pacification de la Chaouïa, de septembre 1907 à mai 1008. Les premiers contingents ont déjà rejoint les ayant-postes de Sidi-Sebhari, et vont incessamment, si ce n'est- déjà fait à l'heure où nous écrivons ces lignes, franchir le fleuve. U est indispensable, en effet, de dégager, dès à présent, vers la rive gauche, en avant des colonnes qui peuvent être appelées à y déboucher domain, les accès de la grande route de Fez. Le service des bureaux arabes a réuni depuis long-

temps loua loi miscïo'uéiuculo liûc'cs-

saires; mais, il faut procéder à la reconnaissance des bivouacs, jauger le rondement des points d'eau, appeler les ressources agricoles du voisinage, entrer en relations avec les montagnards du flanc gauche, ces farouches Riata et Beni-Ouaraïn, dont 'la neutralité simplifierait tellement la question du ravitaillement en vivres et celle de la protection des convois.

Selon toute probabilité, une forte avant-garde de tirailleurs et de légion, une artillerie de montagne et de campagne, mitrailleuses et sapeurs du génie, appuiera de près le mouvement précurseur des goums. Le colonel IIenrys, qui fut six, années, à des titres divers, l'homme de confiance et le bras droit du général Lyautey, dont le nom revient toujours, en ces parages comme celui du. « metteur au point » génial de fiiotrc politique oranaise, est tout désigné pour conduire cet échelon. En cas d'urgence, et si le temps se maintient au beau, cette avant-garde, après avoir campé sur la rive gauche de la Moulouya, en face de Sidi-Scbhari,.le'3O- avril, peut atteindre, le. 1er mai, la kasbah de Msoun, en franchi.ssarit d'une traite les 40 kilomètres de. la plaine de Jcl, et se trouver en vue de Fez le 4 mai. Les canons de 75 calmeront, .sans doute, assez vite les velléités de résistance qui pourraient se faire jour sur son passage. Une pu- deux colonnes suivront, de trois ou quatre bataillons chacune, parmi lesquels les zouaves auront leur place, à portée de se soutenir l'une l'autre, soit qu'on les dirige toutes deux par la même route, soit que les renseignements recueillis permettent de les acheminer, sans trop d'imprudence, par les deux routes parallèles de Meknossa et de Taza. Chaque colonne recevra un escadron de chasseurs d'Afrique, un ou deux pelotons de spahis, une batterie de campagne et une, section de montagne, et l'indispensable en fait 'de train, d'ouvriers d'administration et d'infirmiers. Une seule colonne ainsi composée serait un peu faible, étant donnés les aléas d'une opération de cette envergure, et, d'autre part, on ne peut, sous peine, de la trop alourdir, augmenter ses effectifs et ses convois jusqu'aux exigences d'une brigade concentrée. Du reste, la division en deux éléments maniables d'une force un peu considérable est toujours préférable en pays de mon-tagne.'

La marche sur Fez d'une importante force venant d'Algérie' a HéceâSalfement pour corollaires certaines dispositions dé prudence qu'il-faut prendre en arrière et sur les. flancs. de. la. ligne d'opérations.

Au nord, vers la Méditerranée et l'occupation espagnole de Mellila, il y aura lieu de faire plus fréquentes, et aussi cordiales que possible, les conversations d'avant-postes, soit avec les indigènes, soit avec nos amis d'outre-Pyrénées, pour rassurer les uns et les autres.. Sur la Moulouya moyenne, on ne peut guère se soustraire à l'obligation de transférer de Bcrgucnt à Debdou notre poste de surveillance et de relai intermédiaire entre la route de Fez et celle

duTafilet.. ̃'

Dans le Haut-Guir, une double action s'impose, vers le nord-ouest et vers le sud-ouest, pour 'arrêter dans l'œuf toute tentative de diversion que pourraient imaginer les Berbères, Aït-Tserrouchen ou Chourfa d'Er Ricani.

En arrière, enfin, la longue artère de ravitaillement et d'évacuation jalonnée par Taourirt, Aïoun-Sidi-Mcllouk et Oudjda, réclame une surveillance toute spéciale et, au moins sur certains points, de sérieuses appropriations complémentaires. Commandant

Commartdant Haillot.

A l'Etranger

Visite princière

Berlin, 29 avril.

Le prince impérial avait été invité par le tsar Nicolas à visiter Saint-Pétersbourg, au retour de son voyage on Extrême-Orient. Lo "ouvernement russe avait déjà fait dos préparatifs en ce qui concerne la traversée de la Sibérie.

Le prince impérial, accompagné de la princesse, sa femme, s'e rendra à Saint-Pétersbourg dans le milieu do mai, pour remoreior 10 tsar des attentions qu'il avait songé à lui montrer et pour lui transmettre les félicitations do l'empereur Guillaume II à l'occasion do son anniversaire de naissance au 19 mai. L'accord russo-allemand

Berlin, 29 avril.

La Gazette nationale écrit « Les arrangements de Potsdam tant commentés et do si longue portée sont à la veille d'être signés. Il n'est pas sans importance en un tel moment que l'Empereur envoie son fils aine à Saint-Pétersbourg porter ses compliments au Tsar lo 19 mai. »

Les arrangements do Potsdam sont strictement limités aux chemins do fer d'Asie Mineure et de Perse. Box.nefox. Saint-Pétersbourg-, 29 avril.

Contrairement aux af lirmations de la presse étrangère, non seulement les pourparlers russo-allemands provoqués par l'entrevue de Potsdam n'ont pas abouti, mais ils ont pris une tournure assez fâcheuse qui nécessitera un nouvel échange do vues, alin de concilier, avec l'agrément do l'Angleterre, les intérêts réciproques des deux nations en Perso et en Turquie. (Xcw York Herald.) J

L'insurrection albanaise

Constantinople, 29 avril.

Des Malissous, soutenus par des Monténégrins, ont attaqué plusieurs blockhaus à la frontière turco-monlénegrine. Des protestations ont été adressées à Cettigné. Le ministère turc

Constantinople, 29 avril."

Le bruit court que le ministre des c'vkafs. (fondations pieuses}, Haïder bcy, a donne sa démission, mais que cette démission n'a pas été- acceptée. Haïder bey, qui appartient à la tendance modérée du parti jeune-turc, poserait sa candidature à la présidence du parti. COURTES DÉPÊCHES

Des notes officieuse^ publiées à Belgrade affirment que l'ajournement de la visite du roi do Serbie à l'empereur d'Autriche a ou pour cause unique l'enrouement dont est atteint celui-ci.

"Lbs élections pour la Constituante du Portugal sont fixées par décret au 28 mai.

M. Sunkhomlinoff. ministre do la guerre

russe, est parti pour l'Extrême-Orient. L'incendie qui a éclaté vendredi, à Tachàu, en Bohème, a détruit la synagogue et quarante maisons dans le quartier juif. Une. femme inconnue a tiré, au théâtref à Saint-Pétersbourg, quatre coups do revolver sur l'inspecteur 'di's prisons Jcrnildt, qui

a cfé, bkisé iiilisi que s- a. femme.

Figaro en Belgique

LA SANTÉ DE LA REINE

Bruxelles, 29 avril..

Le Roi repartira pour Londres ce soir, à huit heures et demie.

On a reçu co matin de bonnes nouvelles do la Reine;'la souveraine a passé une bonne nuit. Elle soutire d'un simple coup d'air à l'oreille.

La Reine rentrera à Bruxelles dans deux ou'trois jours.

Amérique latine DANS L'ARGENTINE

Buenos-Aiies, 29 avril.

L' inondation. Dans les endroits, inondés les eaux continuent à descendre.

Emprunt. M. José Maria Rosa, ministre dès finances, étudie le projet d'un emprunt de 300 millions do francs qui est autorisé par l'a loi des travaux publics, car il serait destiné à la construction et à l'agrandissement des dépôts de la Douane, à la construction et fourniture de chemins do fer de l'Etat, à des travaux publics dans les territoires nationaux et à la construction du nou*veau Palais de Justice.

Départ. M. Gama, ministre du Brésil en Argentine, est parti pour Rio-de-Janciro. Il a été l'objet de manifestations sympathiques de la part du gouvernement et de nombreux amis. Rapports arqcnlino-bolivicns. On télé-, graphie de Bolivia que le ministre argentin, M. Dardo Rpcha, continue de recevoir maintes preuves d'°amitié et do sympathie, aussi bien de la part du gouvernement bolivien que du peuple.

L'exportation en Angleterre. Le ministère des affaires étrangères vient de recevoir un rapport du consul général argentin en Angleterre, M, Sergio Garcia Uribii.ru, sur l'importation de produits argentins au Royaume-Uni. 11 en ressort que la valeur totale des principaux produits exportés en 1910 représentent 6,414,710,000 francs, contre 6,357,880,000 en 1909 et 6 milliards 103,352,000 en 1908., Ces chiffres représentent la valeur des produits déclarés a la douane des céréales, farines, animaux vivants, viandes, beurre, fromages, œufs, fruits, légumes, tabac, vin, etc. c>

La valeur des céréales, qui, en 1909, fut représentée par 2,079,275,000 francs est doscendue, en 1910, à 1,932,450,000 francs. Par contre, la valeur des viandes de toute espèce et du beurre exportés est plus élevée que celle de 1909. En 1910, la République Argentine a porté au marché anglais 35 millions de kilos de viande de plus qu'en 1909. L'augmentation totale de ce produit, en ce qui concerne l'importation en Angleterre, est chiffré par 47 millions de kilos donc, il en ressort que cette augmentation est duc presque en sa totalité aux viandes argentines. AU CHILI

Santiago, 28 avril.

Travaux hydrauliques. Lo projet des travaux d'assainissement du port de Caquimbo est terminé.

La direction des travaux publics étudie la construction d'un' grand' canal qui partant du fleuve Maulc, s'étendrait sur toute une vaste région do la province dcLinarès. Les travaux en vue de doter la ville de Santiago des eaux potables provenant de la lagune Negra, sont en pleine activité. Le gouverno-ment tient à ce qu'ils soient finis le plus, tôt possible, la .capitale du Chili en ayant pressamment besoin.

Concours. La bourse de commerce de Valparaiso vient d'quvrir un concours 'dë projets pour L'édiftco monumental dont ello envisage, Ja .cattstotatiott. .+.

Inauguration de l'Exposition INTERNATIONALE DE TURIN

.Turin, 29 avril.

L'inauguration de l'Exposition de Turin a eu lieu ce matin par un temps splendidc, devant une foule énorme. A neuf heures et demie, le train royal qni amenait les souverains italiens est entré en gare. Reçus simplement sur le quai par le maire de la ville, sur le désir de Victor-Emmanuel, le Roi et la Reine se rendaient immédiatement à l'Exposition, escortés par des cuirassiers et salués, tout le long du parcours, par des acclamations enthousiastes.

La salle des fêtes, où avait lieu la cérémonie, présentait un coup d'œil imposant. Les souverains furent reçus par le duc d'Aoste, le comte de Turin, le duc des Abruzzes, le duc de Gènes, la princesse Lœlitia, la duchesse Isabelle de Gènes, le président du Conseil, NI. Giolitti, les présidents de la Chambre et du Sénat, le corps diplomatique, et les dé-'légations italiennes et étrangères. Au premier rang do ces dernières on remarquait MM. Dervillé et. Masure, commissaire et secrétaire généraux du gouvernement français; M. Bcllan, président de la commission française de Pellerin de La Touche, secrétaire général, elc.

Aussitôt que les souverains curent pris place sur leurs fauteuils, la cérémonie commença. Les sénateurs Villa, Frôla, Rossi, maire de Turin; M. Nathan, maire do Rome, prirent successivement la parole. La série des discours fut clôturée par celui de M. Nitti, ministre de l'agriculture et du commerce, qui, dans un langage éloquent, retraça le magnifique chemin parcouru par l'Italie en une période de cinquante années,' et fit le tableau de sa merveilleuse expansion industrielle et économique.

L'Italie, dit-il, est actuellement un des grands Etats qui ont pu à peu près renoncer à l'emprunt, munie pour les dépenses extraordinaires. Mais nous ne sommes qu'à l'aube do notre profonde rénovation. Nous devons maintenant nous elforcor surtout d'augmenter la production pour rendre possible une meilleure distribution do la ri-,chesse. v' ••̃ ̃ Les Italiens se sont répandus dans le monde ils ont porté partout leur activité.- Cette grande Exposition est aussi un témoignage de leurs .œuvres.

Lagloiro de.nos institutions démperatiques consiste aujourd'hui plu^ que jamais dans la sécurité absolue qu'éprouve le pouple italien, sous la protection d'une des plus anciennes et des plus nobles monarchies do l'Europe. Cette fête de la science ot du travail est aussi une œuvre de paix. Nous marchons vers une démocratie industrielle dans laquelle. la science' et lo" travail devront avoir une part de plus en plus grande. Les conqmM.es de la scitmee et du travail que nous célébrons aujourd'hui sont les seules qui n'engendrent pas de plaintes.

Dans notre Rome intangible, nous avons assisté aux fêtes do l'art, de l'art qui adoucit la douleur humaine; aujourd'hui nous inaugurons la grande Exposition do la science et du travail. En nous réjouissant, avec la noblo cité de Turin, de l'œuvre qu'elle a accomplie, nous devons aussi remercier vivement les étrangers venus si cordialement ici de tons les pays, et nous fairo un plaisir de roinplir envers eux le devoir si doux de l'hos-

pitalité.

H" termina, au milieu du clutio.ureux

applaudissements, en demandant à l'Ita•.He de voir, dans cette fô.le de la science ^ct du travail, la promesse des plus hau,tes destinées.

Le Roi et la Reine se rendirent ensuite au Château d'Eau, où. curent lieu les présentations. Ce fut M. Barrère, ambassadeur de France, qui, en sa qualité de doyen du corps diplomatique,: présent^, au Roi les membres des ambassades et des légations étrangères, ai,nsi que les commissaires des différentes puissances à l'Exposition. M. Dervillc, commissaire général du gouvernement français, fut présenté le premier. Le Roi s'entretint cordialement avec chacune des personnes présentes, s'intéressant vivement aux détails qu'on lui donnait sur les travaux des divers pavillons étrangers.

Après les présentations, le Roi, la Reine, les princes, les princesses et leurs suites rentrèrent directement au palais royal.

A deux heures moins le quart, le cortège royal quittait le palais pour_ se rendre a la salle des fêtes, où fut exécutée devant eux la cantate inaugurale composée par le maestro Bolzoni. Les souverains rentrèrent ensuite au palais royal sans visiter aucun pavillon pour recevoir en audience particulière les membres du corps diplomatique et les commissaires généraux étrangers. Au cours de cette réception, le Roi s'entretint de la façon la plus aimable avecMM. Pralon, consul de France; Bellan, président du Conseil municipal de Paris; Galli, président du Conseil général de la Seine, et conversa assez longuement avec MM. Barrère et Stéphane Dervillé. Comme à la cérémonie du matin, les délégués français ont été présentés les premiers.

Dans la soirée, les souverains ont assisté à une représentation de gala au théâtre Reggio. Einilio.

LA POUDRE AUX YEUX

M° X. l'un de nos glorieux vétérans du Barreau, est devenu sceptique à ce point qu'il ne veut plus croire ni au bien nia l'honnêteté. Homo homini lupus, répète-t-il sans cesse. Pour lui, la moitié du genre humain s'exerce à tromper l'autre tout ce que l'on nous présente, tout ce que, nous achetons est truqué, falsifié, de mauvais aloi; c'est à qui essaiera de nous jeter de la poudre aux yeux pour mieux nous exploiter. L'un de ses vieux amis, qui essaie de le ramener à un peu plus d'indulgence, ce qui occasionne entre eux de violentes disputes, lui disait hier, à bout d'arguments «Enfin, toi qui' cries partout que l'on te vole, que l'on te pille, comment se faitil que, tout à l'heure encore, tu m'as fait admirer le superbe complet que tu dis n'avoir payé sur mesure que 69 fr. 50, ce si joli pardessus demi-saison que 59 fr. 50 chez High Life ? Pourquoi ta femme et ta fille sont-elles enchantées toujours d'après toi des ravissants costumes tailleur à 95 francs, qu'elles vont commander chez lui, 12,rue Auber, et 112, rué Richelieu? Celui-là jette-t-il àùssTde la' poudre aux yeux de sa clien-* teïèT» M0 X- demeura un instant interloqué, puis d'un ton bourru « Il n'y a pas de règle sans exception ». p. s.

~l^r i

LA RÉPONSE DES G0MPA6NIES

|La Compagnie du Nord

Le président du Conseil d'administration de la Compagnie du Nord, M. le baron Edouard de Rothschild vient, par une lettre adressée au ministre des travaux publics, de faire connaître la réponse de la Compagnie à la proposition ministérielle concernant la réintégration des agents révoqués.

La Compagnie du Nord, comme 1 Est, le P.-L.-M. ou le Midi, demeure intraitable, sur la question de principe. Mais elle consent volontiers à concéder aux agents justement révoqués les avantages les plus larges, qui ne sont pas incompatibles.avc.c.le respect de l'ordre et de la discipline.

D'après les dispositions du règlement do 1891, écrit le baron Ed. do Rothschild, les agents révoqués n'ont, on aucun cas, droit à la pension de rotraito qui est servie par la Compagnie sur ses propres fonds, indépendamment do la pension que les agents se constituent par leurs versements à. la Caisse nationale des retraites, et qui leur reste toujours acquise. Cependant, la Compagnie a déjà accordé dos pensions do retraite, non seulement à trois agents révoqués qui remplissaient les deux conditions réglementaires d'âge et de service (50 ans d'âge et 20 ans de service), mais, encore à 35 agents qui, ne remplissant pas l'une dès-conditions d'âge ou de durqo do service, n'avaient aucun droit à pension.

Pour répondre aux sentiments exprimés à la Chambre dos députés, Je .Conseil a décidé que la même faveur serait accordée à tous les agents soumis au règlement de 1891, alors même qu'ils auraient moins de 20 ans de service.

Tous les agents révoqués, au nombre de 83, qui étaient soumis au règlement de -1891, jouiront ainsi: d'une pension proportionnelle comme s'ils avaient été réformes, pour cause d'infirmité, à la date do leur révocation. Cette mesure constitue, en effet, une faveur exceptionnelle d'autant plus appréciable que ces pensions sont entièrement à la charge-dela Compagnie et que les agents qui en profiteront conservent leurs droits à la pension sur la caisse nationale des retraites qu'ils se sont constituée par leurs propres versements (augmentés d'ailleurs d'allocations régulières de la Compagnie),- Cette mesure de bienveillance représente pour la Compagnie du Nord une charge de 1,000,000 francs environ.

Mais si nous pouvons consentir à ce sacrifice d'argent, ajoute la lettre au ministre, il ne nous est pas permis de faire des concessions qui compromettraient certaine-mont le service dont la Compagnie a la charge. Or, toute réintégration plus ou moins généralisée des agents révoqués pour faits de grève aurait pour elïet certain do favoriser les manœuvres des agitateurs èii vue de grèves prochaines. C'est .dans ce but que cette mesure est poursuivie. On le proclame hautement tous les jours dans la presse, dans les*

meetings et dans les congrès.

Nous devons d'ailleurs rappeler que les révocations et les congédiements n'ont porto que sur tmo faible proportion des ageuts^qui avaient brusquement abandonné le service. Ils n'ont. atteint que ceux qui s'élaiont.signalés par une participation particulièrement active aux faits do grève, d'intimidation et de menaces ̃ coMrc îfw agents demeurés à leur pyjj-tc, do destructions de machines et

d'apparei!s de sécurité. Tous avaient reçu' une mise en demeure d'avoir reprendre leur service à un jour déterminé ils s'y sont refusés, et la plupart'avaient renvoyé ou détruit leur ordre d'appel militaire. Nous vous avons, d'ailleurs, monsieur le ministre, fait connaître, sur votre demande, par un état nominatif détaillé, en date du 6 avril 1911, qu'à peu d'exceptions près, tous les agents ainsi révoqués avaient trouvé des emplois divers. •;

La Compagnie du Nord ne se refuse pas à examiner individuellement les réclamations tendant à rectifier les erreurs qui auraient pu se produire. Mais elle n'entend pas aller plus loin, dans' l'intérêt du public dont elle doit assurer la sécurité, tâche qu'elle ne saurait remplir sans exiger de ses agents une discipline indispensable.

G. Davenay.

LE VERNISSAGE

Beaucoup de monde, beaucoup de jolies toilettes, beaucoup'de poussière, bref le « brillant vernissage», et un très gros succès pour le Salon des Artistes français.

Suivons la foule. Elle va d'abord aux portraits et s'arrête de préférence, comme toujours, devant ceux qu'exposent MM. Ferdinand Humbert (Mlle Frévallcs, la charmante artiste de la Porte-Saint-Martin, et le marquis de Breteuil); Gabriel Ferrier (le premier président Forichon, Mme et Mlle d'Alvéar) Léon Bonnat (Mme Audard et M. Alexis Rostand); Roybet (le professeur Lannelongue) Dawant ( M. Arthur Shadc); Marec (M. de Saint-Cène); Lapar'ra (le professeur Metchnikoff); la' princesse Gagarinc Stourdza (Denys* Puech à l'atelier) et Mlle Geraldy (le comte Recopé); MM. Jean-Pierre Laurens (Jean-Paul Laurens et son petit-fils Claude) Andrychcwiez (Mme France Darget, la poétesse des Matinales); François Flameng, Marcel Baschet, Beaubois de Montoriol, Glaize, A. Brouillet, Hippolyte Lucas et Mme Abbéma. Aux aquarelles, on s'extasie devant les roses exquises de Mme Chaland, auxquelles il ne manque que le parfum et qui tromperaient des abeilles. Et les tableaux qu'on admire le plus sont les paysages de Guillemet, de Lefort-Magniez et d'Harpignies, les plafonds de Cormon pour le Petit Palais, le Souvenir du Maroc d'Aimé Morot, l'Escadre de Louveau-Rouveyre, le Chevalet de Jean-Paul Laurens, le Retour des glaneuses et les Foins de Laissement, YAttente derrière la barricade de Devambez, la Dame en bleu de Paul-Albert Laurens, la Nuit à Tabarin de Pavil, le Vieux Marché de Toulon et l'adorable American dancing girl de Géo. Roussel, le Vendredi au Salon de Grtui, le Soi/' d'AndréGabriel Ferrier, lo Hersage au printemps de Labarraque, le Pardon de SainteAnne de La Palud de Thiébault, les Veniscs de Saint-Germier et Gagliardini., Lalique et Mlle Jane Valmath, aux arts" décoratifs Laguillcrmic et Jules Jacquet à la gravure Lemaire {EtienneMarcel et la Nuit} Victor Peter, Patey etMme.,Er,nesta Robert-M.érignac.à la gravure en médaillés se partagent les suffrages du public. A la sculpture, le magnifique buste de S. A. I. la princesse Napoléon par Pallez est très entouré, et la princesse Gagarine Slourdza n'a pas moins de succès avec son buste par Denys Puech qu'avec le portrait de ce dernier qu'elle a signé et que nous citions tout a l'heure; les bustes de l'architecte Lalpux et du général Guérin par Sicard sont notes parmi les plus. beaux de ce Salon, où l'on remarque encore ceux qu'ont envoyés Verlet, Fevola, Bernstamm, Marqueste, Pendariès, Carlus, Renée de Vériane, Ernesta Robert-Mérignac, Hippolyte Lefebvre (Mgr Duchesne).

L&Diaiie chasseresse, de Pierre Tourgueneff, Méditation et Mai do Mlle Noémie Debienno. le Souvenir de Denys Puech, plaisent surtout, à côté des portraits, ainsi que la Fleur et le ruisseau de Verlet, la Liberté dans l'art d'Antonin Mercié, le Lever d'aurore de Boisseau, la Nymphe etle Faune deMoncel,/lprès la tempête de Graf.

Quant à l'arrangement général du Salon et à sa décoration, on y retrouve le goût du commissaire général, M. Thoumy, qui a eu sa part du succès de cette belle journée*

Ch. Dauzats.

Les Comptes du Quai d'Orsay Jusqu'ici Hamon s'était contenté de se défendre. Hier, il a pris l'offensive, contrecarrant les pratiques blâmables du ministère des affaires étrangères en matière de comptabilité ». La fin même de son interrogatoire a été pleine de menaces à l'égard d'un haut fonctionnaire de ce ministère, qu'il a nettement mis en cause.

Après avoir donné de nouvelles explications sur les mandats, en blanc qu'il avait fait signer par deux agents diplomatiques, l'ancien directeur du mouvement des fonds expose au juge les motifs qui lui ont fait emprunter une somme de 280,000 francs à M. Chedannc. J'ai constaté, a-t-il dit, à la fin de 1910, qu'il manquait cette somme dans ma caisse, soit à cause des prélèvements que j'y avais effectués ;pour mon propre compte, soit à cause des avances que j'avais consenties à des agents diplomatiques et qui s'élevaient à environ 100,000 francs. J'ai eu recours à mon ami Chcdanne qui, après m'avoir fait des remontrances. m'a remis cette somme.

Hamon assure qu'en contractant cet emprunt, il n'avait point songé dissimuler ses détournements aux yeux des inspecteurs des' finances qui n'avaient aucun contrôle sur lui mais qu'il avait voulu seulement masquer à son ministre des irrégularités pourtant en partie nécessaires les avances au corps diplomatique.

Dès le mois de février, l'inculpé a pu commencer à désintéresser M. Chédan'ne. Il lui a re'mis 80,000 francs. Cet argent provenait du remboursement des avances qu'il avait faites. f. M. Drioux veut savoir comment et à quelle époque Hamon a opéré le détournement de 77,000 francs qu'il avoue. .r-Cest au mois de mars dernier, répond Hamon, au moment où je venais de reprendre mes relations- interrompues1 depuis trois mois.

If L'ancien, directeur -de la comptabilité met ensuite ]iors de cause. AL CJicdauno

qui, assure-WI, n'a fait que suivre ses indications au sujet des virements opé- rés dans l'affaire Devambez.

Diverses pièces grattées ou surchargées sorit.alors soumises à Hamon par

le juge.

Ces rectifications, dit-il, ne présentent aucun intérêt elles ont été faites les unes avant, les autres après la si?gnature ministérielle. Voici une pièce/ par exemple, qui comporte une décision applicable au 1er janvier 1911; elle est datée du 21 décembre 1911 j'ai fait gratter et rétablir la véritable date 21 décembre 1910. Ces rectifications, ajoute-t-il, sont « honnêtes » les pièces sont écrites à la machine, tandis que la rature est faite à t'encre et à la main, je n'avais donc pas l'intention de la dissimuler.

Hamon s'élève alors contre les irrégularités très nombreuses qui, d'après lui, existent au ministère des affaires étrangères • -Lorsque j'ai quitté, dit-il, le ministère des finances pour venir aux affaires étrangères, j'ai relevé dans la comptabilité des errements incroyables. C'est ainsi que la plupart des nominations dans le personnel ne sont pas datées; cette irrégularité permet de donner à de, nombreux .fonctionnaires des retraites, plus élevées que celles auxquelles ils ont droit. J'ai essayé de remédier, à bien des pratiques blâmables, je n'ai jamais réussi j'ai perdu au ministère des affai- res' étrangères la régularité que j'avais^ contractée au ministère des finances, je suis une victime de l'ambiance. Hamon s'étonne alors de se trouver seul inculpé dans les poursuites actuelles. Il dit que des virements et des. abus de confiance, on en commet chaque jour aux affaires étrangères, et Tin? culpé tient à en citer un exemple, pris entre mille. •

Vous me reprochez un abus de confiance, monsieur le juge, dit-il, mais que direz-vous du beau-frère d'un haut fonctionnaire du ministère des affaires étrangères, qui, pendant deux années, s'est fait payer une indemnité de loyer de 8,000 francs. Cet agent était alora ministre plénipotentiaire de France dans" un pays voisin. Pour toucher une indemnité, il fallait qu'il justifiât de la quittance de son propriétaire; commeôl ne le pouvait il'n'avait aucun loyer à, payer il donna au ministère un reçu constatant le versement qui lui était effectué, et il y relata qu'il avait égaré sa. quittance.

» Ces faits n'ont pas été ignorés du ministre. Ils ont eu des témoins, l'un d'eux M. C. a été depuis envoyé .comme ministre plénipotentiaire en ExtrêmeOrient. Pourquoi des poursuites n'ontelles pas été ouvertes?

» Vous pouvez demander le dossier, ij existe toujours au quai d'Orsay. » Après l'interrogatoire de Frantz Ha< mon, M. Drioux a entendu M. Boulet,. employé à. la direction de la comptabi-: lité. M. Boulet s'est occupé au ministère du dossier Devambez; il dit avoir agi sous les ordres de son directeur pour les diverses soumissions.

Régulièrement, dit-il, la première sou, mission aurait dû être détruite devant l'artiste; mais, selon moi, Hamon ne pouvait 'avoir l'intention- de l'utiliser: autrement il no me l'aurait .pas laissée» entre les mains. Jean'. de. Paris.

Jean' de Paris.

LE VOYAGE PRÉSIDENTIEL

L'arrivée à Toulon

Le. Président- de la République est, t, arrivé en rade de Toulon à deux heures de l'après-midi, avec deux heures d'avance sur celle indiquée par le protocole. Les autorités avaient été prévenues de cette avance par télégrammes sémaphoriques.

A dix heures du matin la Vérité suivie du reste de l'escadre avait été signalée passant au large de la Corse aune allure

normale.

Quand l'escadre présidentielle s'est présentée, à l'entrée de la petite rade, tous les bâtiments ont arboré le grand pavois. Le vice-amiral Marin-Darbel> préfet maritime, le préfet du Var et M. Gasquet, maire de Toulon, se sont rendus en chaloupe à bord du cuirassé Vérité pour saluer le Président de la République tandis qu'une salve de 101 coups de canon était tirée à bord des navires en rade.

Une demie heure après, M. Fallières, suivi de MM. Pams et Chaumet prenait place à bord du torpilleur 3Q9. Suivi du 310, des vapeurs et chaloupes du port, le 309 pénétrait dans les darses de l'arsenal et abordait peu après au quai de, Missiessy.

Le train. spécial qui doit conduire le Président à Paris était stationné dans l'arsenal. A quatre heures et demie, M. Fallières prenait congé des autorités de Toulon qui l'avaient accompagné et lo signal du départ était donné.

Le Président de la République arrivera aujourd'hui en gare de Lyon à neuf heures et quart.

Louis Chevreusë.

.N^V^^S. »

EN CHAMPAGNE Une certaine agitation continue à régner dans la région de Vertus. Trois' vignerons de Ghamery ont été arrêtés pour menaces d'incendie et de destruc. tion de maisons.

Le Parquet d'Epernay a reçu une let^tre signée « un groupe d'honnêtes femmes de Damery et de Venteuil » et où il est menacé de représailles terribles en raison de l'arrestation de vignerons de cette région.

La lettre se termine ainsi « Nous ferons marcher nos hommes et la lutte ne fait que commencer. »

Un ouvrier caviste d'une maison de Champagne d'Epernay ayant été renvoyé, un groupe assez nombreux de ses camarades, se solidarisant avec lui, ont tenu un meeting dans la cour même de l'établissement, et ont décidé d'abandonner le travail.

Les vignerons de 'la région de Barsur-Aube organiserit pour aujourd'hui une grande manifestation de sympathie en faveur du comité de Bar-sur-Aube. Nous avons expliqué que M. Paul Meunier et un .certain comité de Viviers avaient déclaré la guerre à M. Cheeq et à ses collègues. La manifestation a pour but d'affirmer que les vignerons continuent leur confiance au comité actuel.,


ïxeJ^onâe^faWîe

SALONS,

La duchesse de Doudqauville, née Colbert, donnera une réception le lundi 8 mai, à l'occasion de la signature du contrat de Mlle Guillemette de Colbert, sa nièce, avec lé comte F. de Bourbon-Busset.

Hier, après-midi littéraire et musical des plus réussis chez M. et Mme Antoine Valsam'achi, dans leurs salons des ChampsElysées, en l'honneur de Frédéric Mistral et du Félibrige.

On a dit des vers en provençal, on a chanté de chansons de Mireille, on a parlé de la Provence et on a parlé aussi de la Grèce (peut-on parler de l'une sans penser à l'autre), car c'est un peu la Grèce que M. et Mme Valsamachi représentent si gracieusement parmi leurs nombreux amis de Paris.

La comtesse de Faria, de retour de Beaulieu, reprendra demain, ses réceptions du lundi.

La marquise de Belloy recevra les mercredis de mai et juin, de cinq à sept heures. Mme Karen Bramsoh, de passage à Paris, a donné hier un élégant fivc o'clock dans son artistique pied-à-terre de l'avenue Dau-

bigny.

Parmi les invités

Comtesse Gloria, comtesse Venturini, Mme Hostator, baronne de Lippo, M. Thomspn, etc. ̃ r- Musique, les samedis de mai et juin, de quatre à sept heures, cfeez.M. Sébastian B. Schlesingcr.̃

]\1. Gaston Lemaire donnera, le mardi 16 mai, une matinée, de musique et de poésie, et le 30 mai une soirée où l'on dansera sa pantomime japonaise.

La comtesse de Blanzay, qui avait interrompu' depuis lé 12 janvier, pour raison de santé, ses réceptions du vendredi avec bridge, les reprendra à partir du 3 juin jusqu'en juillet. ̃̃•̃

RENSEIGNEMENTS MONDAINS

De Nice

Les souverains de Danemark ont reçu au» jourd'hui la visite de leur • belle-fille, la princesse Hélène de Danemark, qui est, avec son mari, à Cannes.

Le souverain, qui ne souffre plus de son attaque de rhumatisme, a fait cet après-midi une promenade en ville.

S. Exe. M. Paul Cambon, ambassadeur de France en Angleterre, est rentré à Londres, venant de Paris..

S. Exc. M. Isvolsky, ambassadeur de Russie, est rentré hier soir à Paris, venant de Londres, ̃

M. José de Viadero, venant de Rome, a été de passage à Paris it est reparti hier pour Madrid, où il compte passer quelques Semaines.

Les docteurs constatent une amélioration sensible dans l'état de santé de M. Charles Berteaux, fils du ministre de la' guerre. M Marcel Cogmet, le peintre bien connu, est atteint depuis plusieurs jours d'une congestion pulmonaire qui a donné de grandes inquiétudes à sa famille et à ses amis. Un mieux sensible s'est heureuscment produit depuis hier, et nous espérons pouvoir annoncer bientôt que l'auteur de tant de jolies toiles est hors de danger.

CERCLES

Hier, scrutin de ballottage au Cercle du Bois-de-Bouîogn.c. M. Charles Pasteur, présente par MM. Philippe et Félix Vernos, et M. Erailc Dub'onnet, présente par MM. Léon' O'rosdi fet Auguste* Pellerin, ont été reçus à titré dë'membres' permanents. Au Sporting Club a été admis hier le comte J. Pozzo di Borgo, présente par MM. James 'Hcnnessy et Maurice de Ghccst.

CHARITÉ" "• ̃̃̃

Le samedi 6 mai, de deux heures à six Jiteurcs, 7, rue Tronchetj'cn l'hôtel de la comtesse E. de l'ourtalès, aura lieu une vente de charité en faveur de la maison de retraite pour vieillards femmes, située à Saint-Denis. ̃ Entrée 15 francs.

MARIAGES

Le mariage du marquis de Frotté avec Mlle. Juliette d'Ursel, fille. 'de la comtesse d'Urscl née Le Roux, a été célébré en l'église Saint-Boniface, à Bruxelles, en présence d'une- nombreuse et brillante assistance. Les témoins étaient, pour le marié le'marquis d'Eyragues pour la mariée le .duc .d'Urscl. La jeune mariée est entrée à l'église au bras de son frère, le comte Louis d'Ursel le marié donnait le bras a sa sçeur Mme d'Andrczel.

Venaient ensuite

Duc d'Ursol et comtesse Charles d'Ursel, marquis d'Kyi-iifrues et Mme de Parceval, comte Renard de BHc<y ot vicomtesse P. do La Grandicre, vicomte P. de La Gl-andièl'o et Mlle Jtolly d'Urscl, comte Aynard d'Ursol et Mlle S. d'Ursel, M. Henri d'Androzftl et MUe Françoise d'Urscl, comte llip. d'Ursel et marquise* d'Eyi'agues, comte Aug. d'Ursol et comtesse lîip d'Ui-sel, M. Le Roux de ViUws et comtesse Aue. d'Uisel, comte Kdouard d'Ursol et Mlle d'Andrezel, M. Hubert do. Parceval et comtesse Ph. de Bergeyck, comtu Conrad d'Ursel et Mme de Saint-Haouon, M. Jacques de Parcev«l, capitaine de Saint-I-Iaouën et comtesse J, de LiehtcM-vclde, comte .loan d'Ursel et Mlle Daisy d'Ui-sôl, comte de MruU.V-Chàlon et comtesse d'Avoiuas. comte Dadvisurd ot comtesse Louise d'Ursel, comte Georg-es d'Ursol ot Mlle Elisabeth d'Ursel, comte d'Oysohyille et marquise Padyisai'd, vicomte d'Oysonvillo ot Mlle Marthe d'Crsel, comte do Bprgeyck et Mlle Isabelle d'Urscl, couite J. do. Lichtoi'volde et comtesse Adrien Û'Ui-rcI, comte Léo d'Ut-sol et Mme E. Sommier, comte Jï.-do Vogiié et comtesse Ant. d'Ursel., owile d'KsclaUics et comtesse R, de Vogué, comte Adrien d'Urscl et baronuo de Fontcnay, cornu* W. d'Ursel ot comtesse d'Esclaibes, baron de La Faulotlc et Mlle Hcpi-ietto du Chastel. Après la cérémonie religieuse, la comtesse 'd'Ursel a donné un grand lunch.

On annonce le -prochain mariage de M. Louis Quitter de Saint-Eloy avec Mlle The- rc.se de Lancesscur.

Le mariage du comte Jacques de Vibrave, avec Mlle de Rufz de Lavison, est fixé au jeudi -ieo juin, en l'église Saint-Pierre de Cbaillot..

Le baron Tanguy d'Honincthûn, fils du baron Ferdinand d'Honincthûn, décédé, et de la baronne née Drillet de Lainnigou, est fiancé à Mlle Apolline d'Oultrenïont, fille du comte Jean d'Oultremont, décédé, ot de la comtesse née de Barra^do Montàuvrard. Mercredi a été célébré en l'église Saint- Médard, au milieu d'unc nombreuse et élégante assistance, le mariage de Mlle Suzanne Dumur avec M. Octave Guittet, ingénieur, attaché au service d'exploitation de la Compagnie d'Orléans. La bénédiction nuptiale a été donnée; par le chanoine Miramont, curé de Saint-Anne, 'àmi clé la famille,' qui a prouoiicc une touchante allocution.. .-̃ Nous apprenons les fiançailles de Mlle Renée Duportail avec Mr Louis Beauiils de Z% Rancherayc. vl DEUIL

Hier ont eu lieu, en l'église Saint-Augustin, au milieu d'une grande affluence, les obsèques de Mme Félix Godard, née Marie Àtirégan, femme de M. Félix Godard, dirfetmr gi-w'-ral de la Société des Chantiers etatHiçTs de Saint-Xaî'a-ire.

Parmi îcs personnes présentes 3

MM, J. Charles-Roux, pttisiijent, et Dal Piaz, directeur do la Compagnie générale iransnrlanliqui! l'amiral Caohiuo, k1 baron, de Cabrol, administrateur des Chantiers deiaJ.oirc; Ayulù Ei'uc-ctu, consul g'îiKTal du l'éreu ù l'aris -Louis,

directeur des constructions navales Borja de Mozota, administrateur du bureau Veritas; Maurice Loir, Kdouard Défaille, Pollard, directeur du génie maritime Callou, ingénieur en chef de la marine Gayde, directeur du génie maritime Chaudoyc, directeur des Chantiers de la Loire Kern, inspecteur général du génie maritime Faustin Jouet-Pastré, administrateur délégué des Forges et chantiers Bazin, directeur de la Société marseillaise Daydé, ingénieur Avisse, directeur général de la Compagnie de FivosLiUe Hcraner, ingénioui- Pinot, secrétaire général des Chambres syndicales des constructeurs de navires; Jules Bernard, président do la Société de la Basse-Loire, etc,

De Nancy

Les obsèques du général de division Houdaillc, ont été célébrées aujourd'hui, à neuf heures, à Nancy.. Les honneurs militaires ont été rendus par une brigade d'infanterie avec drapeau et musique, un escadron de cavalerie, une batterie d'artillerie sous les ordres du général Balfouïier.

Hier, à dix heures, en l'église Saint-Clément, à Nantes, ont été célébrées les obsèques du comte Henri de Lorgeril, membre du Conseil général des Côtcs-du-Nord. Le deuil était conduit par le vicomte A. de Lorgeril; MM. E. do Carheil, Edouard de Chappcdelaine, Hilaire de Villedieu, Edmond de Rodellec du Porzic, Henri do Lorgeril, Jacques de Carheil et Edouard do Chappcdclaine. L'inhumation aura lieu demain au cimetière de Trébedan.

Un service anniversaire sera célébré .demain lundi, à .onze heures, en l'église Saint'Honoré d'Eylau, pour le repos de l'âme du baron Edouard de L'Espée.

Don Fcrdinando Cactauj, duc di Laitren^ana, ancien officier de marine, est décédé à Naples, après une longue maladie, dans sa quarante-deuxième année.

Les obsèques de Mme Durand de Valfere, ont été célébrées vendredi après-midi. Devant la tombe, Mme Marguerite Durand a prononcé l'éloge funèbre de sa mère Il n'est pas dans les usages, a-t-olle dit, qu'une fille, profondément triste et douloureuse prenne la parole au bord de la tombe où sa mère vient ^Têtro descendue. Mais ceux qui travaillent à combattre les préjugés ne doivent point hésiter à rompre avec eux quand il s'agit d'un véritable devoir à remplir, et d'un devoir qui ne demande eu réalité qu'un- simple effort do volonté. Mme Marguerite Durand a retracé ensuite en ces termes très émouvants la vie de sa mère

Née parmi les riches et les heureux, ce qui ne signifie pas les oisifs et les inutiles, elle puisa auprès rie son père, l'intime de Benjamin Constant et de La Fayette, et auquel l'on doit la première traduction en français de Schiller, auprès de sa mère, l'amie do Berryer, qui fut belle 'et savante une époque où les mondaines faisaient profession de mépriser la science, l'amour de l'étude, du travail, des lectures qui forment l'es-

prit.

Puis, quand le malheur vint il vint très tôt pour elle quand il fallut lutter pour le pain quotidien, élever seule, sans aide aucune, deux enfants, celle qui n'était pas préparée pour la, lutte trouva en elle des trésors d'énergie. Moi

seule puis dire maintenant, puisque son ills la

précéda de deux ans dans la tombe, ses efforts incessants, son labeur, et au milieu des privations, dans une véritable misère, son souci délicat do ne pointuserde ses amis môme riches, même puissants, parce que leur amitié, disaitelle, « est un capital précieux que jo veux laisser intact à mes enfants ». Parce que volontairement elle s'effaça, parco qu'elle no fut pas avide de réclame, ses productions littéraires, ses collaborations sous dos pseudonymes différents à quantité de journaux sont trop ignorées. Ses poésies, si délicates de sentiment et d'observation, n'ont guère dépassé, do par sa volonté, le cerclo de son intimité. Ses travaux sur le vieux Paris, le Dictionnaire des femmes célèbres, qu'elle laisse inachevé ot auquel elle travaillait depuis plusieurs années, ses campagnes on faveur de l'enfance malheureuse et exploitée, question qui lui tenait h cœur, lui vaudront un jour parmi les femmes écrivains et

philosophes fa place qu'elle ne- roehercha pas

do 60» vivant; u~ l~as Ensuite, au lieu de la poignér: de terre, ce fut un iris que chacun laissa tomber sur la bière fleurie.

On annonce la mort du commandant Ragnault, capitaine de vaisseau en retraite, officier de la Légion d'honneur, décédé à Rochefort, à l'âge de soixante-et-orize ans. De Moulins

On annonce la mort, à l'âge de quarantecinq ans, du comte Gustave Deslutt-d'Assay, après une assez longue maladie, en .son château de Galant (Nièvre).

Nous apprenons la mort Du docteur Pierre Cadeaux, chef de laboratoire de la Faculté, décédé à Paris, à l'âge de trente-cinq ans. Les obsèques auront lieu mardi prochain, â midi, en l'église Saint-Thomas d'Aquin. L'inhumation aura lieu au cimetière du PereLachaisc De Mme Dema^iire, née de SaintLéon, décédéc à Cannes, à l'àgu de soixantecinq ans.

E. Delaroche.

LA JOURNEE

Coi7féi,ejices Salle Gaveau, 45. rue La Boëtic, à 8 h- 1/2, conférence par MM. Boissonas et Sailleiiti. Sujet « le Christ pour tous avec le concours d'un chœur spécial. Entrée gratuite. Ni politique, ni polémique. Exposition Salle du Jeu de Paume (Tuileries). Les. grands et petits maîtres hollandais du dix-soptième siècle.

Réunions: Pèlerinage commémoratif pour le 51° anniversaire de la mort d'Alfred de Musset, par la société des Mussetistcs, cimetière du Pôre-Lachaise (3 heures). = Soirée artistique de la Société des ex-militaires, Palais du Trocadéro (8 heures). = Assemblée générale de l'Association Valentin Haüy pour le bien des aveugles, Hôtel Continental (2 h. 1/2). = Assemblée générale de l'Union du commerce, Palais du Trocadéro (1 h. 1/2),

Infopçnations

Mouvement judiciaire

Le garde des sceaux vient d'arrètei- ainsi qu'il suit le tableau supplémentaire d'avancement de la magistrature pour 1911.

Tribunal de la Seine -vice-président, M. Bourrouillou juges, MM. Lomcrcior, Lcydet; substitut, M.- Castaing.

Conseillers MM. Ancelme et Antorrieu. Avocats généraux MM. Goinbris, Godefroy, Réauiau, Pioche.

Substituts généraux: MM. Bryon, Lalubie, "Marignan, Reverdet.

Présidents de tribunaux MM. Sauty, Braure, Caulas, Clary, Constant, Vautrin. Juges MM. Fualdès, Yillatte, Ango, Cornu, Baulét, Dorigny, Dullin, Gazel, Jaubert, De Lavarandc, Légier- Desgranges, Massant, Metgc, Pages, Replat, Soureilhan. Thicrcy, Thonnat, Chaussade, De Comte, Hériot, Lacroix, Lefèvre-Dubua.

Procureurs de la République. MM. Barathou do Monceau, Aucply, Aubéry, Bruneau, Domont, Dumolard, lirsa, Falgos, Fortin, Gégout, Lajus, Langlado, \*iaud.

Substituts MM. Lecoq, Grandjean, Meyer, Touron, Dubost, Dumont, François, Ragot, Bobin, Schmitt, Viplo.. Retour de Rome

Le président du Conseil a reçu hier matin Ir général Michel, chef de la mission française envoyée en Italie à l'occasion du cinquantenaire ûo l'unité italienne. ̃'̃̃'̃*

Le.général Michel a transmis au président du Conseil les compliments de M. Giolitti, président du Conseil des •minis-tres dltalky et- lui u -i"uit--part de

l'accueil si bienveillant que la mission a reçu des souverains et du gouvernement italiens, ainsi que des témoignages de cordialité qui lui ont été prodigués en toutes circonstances par l'armée et la nation italiennes.

Au laboratoire de toxicologie

Sur la proposition de M. le professeur Ogier, directeur du laboratoire de toxicologie, M. le préfet de police a pris à la date d'hier un arrêté nommant KohnAbrest, docteur es sciences, préparateur au laboratoire, chef des travaux de chimie à ce même laboratoire.

Une Exposition

Une très belle collection de porcelàine ancienne de Saxe, Messcin.Niederviller, que l'on désire vendre pour cause de départ, est exposée, 32, faubourg SaintHonoré, chez Mme Joly, antiquaire, à renseigne du «Menuet de la Mariée ». Un bon conseil

Vous souffrez de l'estomac ?. Vous avez des troubles intestinaux ?. N'hésitez pas, adoptez immédiatement et pour tous vos repas le célèbre Pain Grillé Jacquet,. 92, rue Richelieu. C'est la guérison sûre.

L'Express. « Côte Basque D

̃ Les Compagnies d'Orléans, du Midi et des Wagons-Lits viennent de se mettre d'accord pour prolonger la période de circulation de l'Express de la Côte Basque qui est toujours si favorablement accueilli du public.

Ce train sera mis en marche jusqu'au lundi 8 mai au départ de Paris-Quaid'Orsay (0 h. soir) et, jusqu'au mardi 9 mai au départ de Pau (0 h. 23 soir) et d'Hendayc (9 h. 2 soir).

Rappelons que ce train de luxe, exclusivement composé de wagons-lits, arrive à Paris à 8 h. 15 matin et qu'il comporte une voiture en provenance ou à desti-

nation doCalais.

Jean de Paris.

Une Nouvelle Exposition

II ne s'agit pas ici d'art ou de peinture, bien que nous soyons dans la quinzaine où les vernissages se succèdent à raison d'un par jour; je vous en reparlerai sans doute, car on n'y admire pas que des peintures ou des sculptures, et les mauvaises langues prétendent qu'on s'y occupe surtout d'y contempler les toilettes.

En attendant, l'exposition qui m'occupe aujourd'hui est singulièrement intéressante, car elle s'adresse a toutes les femmes quelles qu'elles soient pourvu qu'elles aient le goùfd'ètro belles et bien faites.

C'est l'Exposition de Blanc organisée pour demain par tes Trois Quartiers et réservée uniquement au linge de corps et de maison.

Dans les élégants magasins du boulevard de la Madeleine, tout a fait place à des montagnes de linge. C'est du blanc, du blanc partout. Dès l'entrée on se trouve sollicité par les occasions nombreuses créées spécialement pour cette exposition sensationnelle, Tout d'abord les mouchoirs de lïl,.de linon' et la haute nouveauté qui nous révèle les impressions de couleur.

Plus loin, les serviettes de table et de toilette et les ravissants services à déjeuner- dont les Trois-Quartiers se sont fait une spécialité incontestable. Il y a des 'damiers dans toutes les teintes rouges, bleus ou jaunes; des raies, des bandes, ou ces délicieuses jetées de (leurs dont les roses de mai sont t un des modèles les plus exquis. Les draps sont à l'infini, en toile de toutes les finesses. simples ou élégantes, ornés de dentelles ou merveilleusement ajourés de fils tirés.

Au rayon de trousseaux, s'amoncellent les chemises de jour et de nuit, les pantalons, les cache-corsets et ces délicieuses combinaisons qui complètent si bien une toilette de dessous.

A côté du linge simple et pratique, mais élégant, dont vous trouverez un choix considérable, on vous offrira d'exquises chemises garnies de valenciennes véritable auxquelles s'assortira tout le reste de la parure ainsi que des jupons de linon ornés de broderio et de dentelle que nous porterons avec nos robes légères de l'été.

Les petites culottes ajustées ainsi que le cache-corset soutien gorge obtiendront le suffrage de toutes les élégantes. Voici maintenant, le croquis d'un dé-

PEIGNOIR EN MOUSSELINE DE SOIE POMPADOCR Création des Trois Quartiers

licieux peignoir en mousseline- de soie Pompadour de forme empire, dont lo bas est tout en crêpe de Chine uni et dont la taille s'orne d'une cordelière de ruban.

A ce rayon également, les modèles sonfvariês l'infini, riches et élégants, simples et pratiques, et comme tout le reste ils vous enchanteront. Nul doute que 'l'Exposition de demain avec la profusion, làvariétéet le bon marché étonnant d,çç modèles, ne soit pour les Tfois Quartiers l'occasion d'un nouveau triomphe, et pour 'liMirs fidèles clientes l'occasion d'une satisfaction nouvelle

,i. Gheaya,

LE MONDE RELIGIEUX L'installation da curé de Saint-Pierre de Neuilly. La cérémonie de l'installation de ̃M. l'abbé Runner comme curé de Saint-Pierre do Neuilly avait attiré vendredi dans cette belle église non seulement l'élite des fidèles de la paroisse, mais de nombreux paroissiens de Sainlc-Martho-des-Quatro-Chemins et même d'Asnières et de Clicliy, M. l'abbé Runner a exercé un ministère tout de charité.

La cérémonie fut présidée par M. le vicaire général Lefebvre, archidiacre de Saint-Denis, qui, prenant pour texte de son discours les mots de Jésus-Christ à saint Pierre Pasce oves meas, « Pais mes brebis », et 'exposant donc le rôle du pasteur, loua dans les termes les plus'délicats le nouveau curé et son prédécesseur, M. l'abbé Bourgcat, dont les habitants de Neuilly gardent le souvenir le plus affectueux et le plus reconnaissant-.

Au Salut, par lequel s'acheva l'imposante cérémonie, l'excellente maîtrise paroissiale a exécuté à la perfection l'Ave Maria de Gounod, l'O fons pictatis de Haydn, et le Tanlum crrjo de Rousseau.

Nécrologie. Mgr Rossés, ancien vicaire général de Mgr Dabert, à Périgucux, vient de mourir dans cette ville à l'àge de quatrevingt-trois ans. Il avait reçu de Léon XIII en 1882 le titre de prélat de la maison de Sa Sainteté.

A la mémoire d'Auguste Roussel. Quelques amis d'Auguste Roussel, ancien directeur de la Vérité française, décédé il y a quelques mois, viennent de constituer un comité en vue d'élever sur sa tombe un monument dans le cimetière de Mingoval (Pasde-Calais).

Auguste Roussel était le plus désintéressé et le plus loyal des hommes, en même temps que le chrétien le plus .convaincu. Les journalistes catholiques, dont il a honoré la profe,ssion s'uniront tous, de grand cœur, à l'hommage qui lui est si bien dû.

Le centenaire de Montalembert. en Belgique. Plus heureux que les catholiques français, les catholiques belges se disposent à célébrer le centenaire de Montalembert. Célébration un peu tardive il est vrai mais est-il jamais trop tard pour bien faire? Le comité du centenaire belge de Montalenibort a comme président d'honneur le cardinal Mercier, archevêque do Matines pour président effectif M. Léon de Lantsheore, ministre de la justice, comme vice-présidents d'honneur, Mil. Becrnaert, Van dol Ilouvcl et Wieste, ministres d'Etat, et pour viceprésidents effectifs M. le sénateur Braun et le représentant Snoy.

On avait d'abord songé à élever, un monument à la mémoire du grand catholique libéral. On y a renoncé, pour lui rendre peutêtre un meilleur hommage en fondant à l'occasion de ce centenaire une école libre dans le village de Rixensart, où Montalembort venait souvent se reposer.

En France, on a dû se contenter d'écrire des articles ou des, brochures en l'honneur de Montalombert. Notamment, M. Victor Bucaille vient de faire revivre en une centaine depages excellentes, préfacéespar M. ThureauD.angin, « quelques années de la jeunesse de Montalembert ». Cette lecture n'atténuera sans doute pas, et au contraire elle ravivera les regrets des catholiques français, mais du moins y trouveront-ils une admirable leçon de vaillance et de foi. J. DE N.

Gazette des Tribunaux

Tribunal ci vil. (3e Chambre) Le droit au vol.

'La"3'! Chambre du .Tribunal, .présidée

par M. More, a hier rendu son jugement dans le procès en contrefaçon intenté par la Compagnie générale de navigation aérienne, propriétaire des brevets des frères Wright, à un certain nombre d'aviateurs et constructeurs français d'aéroplanes, tels que MM. Blériot, Farman, Èsnault-Pelteric, Santos Dumont, Clément-Bayard et Société Antoinette. Le brevet pris en 1904 par les frères Wright porte, d'après le jugement, sur un dispositif permettant d'actionner en même temps deux sortes d'organes, de « fléchir ou tordre des surfaces horizontales dites ailes» et d'actionner un gouvernail postérieur vertical et mobile. Mais, dit le Tribunal, te fait d'actionner séparément ces deux organes, comme cela existe sur un certain nombre d'appareils, constituerait non une invention nouvelle mais un simple perfectionnement qui, par suite, pourrait donner lieu à une contrefaçon. Que sont donc nos appareils français ? Sont-ils des dérivés du biplan Wright ou des inventions nouvelles? Et même quel est le premier appareil qui ait réellement volé dans l'espace ? Est-ce l'avion d'Ader, qu'on peut voir au Conservatoire dés arts et métiers, ou le «grand oiseau blanc » des frèresWright ? l' Le jugement ne nous le dira point. Il reconnaît en principe que la revendication des frères Wright est fondée, mais p. la condition qu'aucune antériorité ne soit opposable à leur brevet, et que les constructeurs français n'aient point fait une invention nouvelle. Délicat problème de mécanique que les juges de la Chambre n'ont point voulu trancher. Attendu, dit le jugement, que la science de l'aviation qui, depuis la superbe envolée du « grand oiseau blanc » au-dessus d'Auvour, fait chaque jour des progrès incessants et ne cesse d'étonner le monde par les prouesses et les audaces d'aéronautes toujours attachés, au risque de leur vie, à rechercher la formule de la conquête do l'air, est une science trop nouvelle pour qu'il ne soit pas indispensable de ne pas recourir pour la solution des questions litigieuses aux lumières d'hommes dont la, compétence est indiscutable.

Le Tribunal désigne alors comme experts MM. Marcel Desprez, Léauté, membres de l'Institut, et M. le commandant Renard, pour savoir s'il y a des « antériorités de toutes pièces opposables au brevet des frères Wright », et pour déterminer si les systèmes français d'aéroplanes sont un perfectionnement du brevet Wright ou une invention nouvelle.

Ce sont donc les experts qui, définitivement, jugeront le procès.

Le Syndicat général de l'aviation avait plaidé que les frères Wright avaient encouru la déchéance de leur brevet. Le Tribunal a déclaré irrecevable la demande du syndicat.

Ce syndicat, dit le jugement, est composé de personnes qui appartiennent « à des professions les plus disparates, telles que publicistes sportifs, agents d'assurances, ingénieurs, rentiers ». Ce n'est donc pas «un groupement formé pour la défense d'intérêts économiques communs à tous les adhérents », et son action ne saurait être admise en justice. M. Santos Dumont avait vu poursuivre en contrefaçon l'appareil qu'il avait exposé au Salon de l'Aéronautique" Le Trifoun.al lui fait immédiatement gagner son procès sans même examiner si son aéroplane dérive uu non de l'ap'par.eil Wright.

.Atteiulu, dit le jugeaient, que M. Sanlos

Dumont est peut-être le plus modeste des aviateurs, qu'il se garde de prendre parti dans le procès et n'a eu que la volonté unique de mettre sous les yeux du public un appareil qui lui a permis de réaliser ou tout au moins d'ébaucher le rêve de l'homme volant, que l'accusation de contrefaçon repose sur des bases trop fragiles pour faire droit à

la demande.

la deman<dc. Georges Claretie.

AVIS DIVERS RECOLORATION A SEC des cheveux blancs par la POUDRE CAPJLLUS de la Parfumerie Ninon, 31, rue du 4-Septombre.

Ls PnaH untErns ns GnBCZ,L G~° nZa6asins.

Les Parfumeries de Gabilla, Gds Magasins.

Vente vn gros 25, ~bd Poissonnière, Paris.

Courrier DE LA BOURSE Paris,29 avril.

Doux faits d'une haute gravité et qui intéressent directement l'épargne française ont dominé cette semaine l'attention du marché. Ce sont: les événements du Maroc la réintégra) ion des cheminots.

A l'heure actuelle, on est fixé sur le sort du commandant Bréniond. 11 est arrivé à Fez et nous sommes délivrés de toute angoisse à son s a jet. Tout porte .à croire, en outre, que cotte affaire n'entraînera pas de complications diplomatiques. L'attitude du gouvernement allemand semble correcte. Il ne conteste pas nos droits et n'élève aucune protestation contre notre action militaire. Il ne faut donc pas s'arrêter aux élucubrations de certaine presse allemande. Nous avons de ce côté tout apaisement et je crois bien que nous pouvons espérer une répression prompte et définitive. ̃

Pour la réintégration des cheminots, nous en sommes réduits à attendre la rentrée des Chambres pour voir si le gouvernement et le Parlement persisteront dans leur attitude de déli au droit, à la raison et à la liberté industrielle.

En tout cas les assemblées générales des Compagnies de chemins de fer qui n'avaient jamais réuni autant d'actionnaires ont montré la force imposante de leur protestation. L'assemblée do la Compagnie du Nord à laquelle je viens d'assister a. marqué la clôture de ces réunions. Quatre cents actionnaires groupés dans un sentiment unique ont soutenu par des applaudissements chaleureux et unanimes le rapport du Conseil d'administration qui indique dans une forme aussi modérée que possible la volonté du Conseil de résister à l'arbiirairo dos pouvoirs publics.

Après la lecture du rapport, le président, le baron Edouard de Rothschild a donné lecture de la lettre qu'il a adressée au président du Conseil et que l'on trouve dans le corps du journal. 11 est impossible de montrer avec plus de douceur et de bienveillance, combien le refus de réintégrer les cheminots s'impose à une administration qui a tant de charges à supporter et autant de devoirs à remplir.

Aussi les applaudissements répétés ont-ils salué cette communication.

Un monsieur répondant au nom de Nordet (,je crois) en tout cas, maire do Saint-Qucntiu représentant les actions du bureau de bienfaisance s'est levé cependant pour demander que 1 on reprît les agents révoqués. Ce monsieur avait déclaré lui-même qu'il ne croyait guère à l'efficacité de sa demande. L'assemblée ne lui a pas laissé le temps do finir la lecture de sa proposition et il a eu la satisfaction do voir qu'il avait été bon juge en prévoyant son insuccès. Si jo pouvais anticiper sur l'avenir après ce rapide exposé des faits saillants de la semaine, j'eiï 'arriverais à penser que la question du Maroc, si elle mérite encore quelque attention, est dégagée de tout souci sérieux, et que le gouvernement saura tenir compte, dans l'intérêt public, de l'impression presque générale qui se manifeste contre la réintégration des cheminots.

.le. serais donc tenté, au point de vue de la Bourse, â me montrer plutôt optimiste et je croirais volontiers que nos valeurs françaises devraient s'orienter vers la reprise. Ai-je besoin de revenir en fin de semaine sur les incidonts vulgaires que j'ai notés au jour le jour? '?

Nous avons eu aujourd'hui la réponse des primes. Nous aurons lundi la liquidation, c'est une opération qui s'effectuera dans des conditions de facilité d'argent qui permettraient d'envisager la hausse si les cours n'étaient pas fixés à des taux qui interdisent les débauches d'imagination.

Il y a, cependant, quelques valeurs qui méritent une attention spéciale. Je ne nie suis pas fait faute de les signaler. Nous en reparlerons après la liquidation.

Marché officiel. La Rente a regagné 7 centimes à 95 82. Lo comptant est ferme à 9587.

h' Extérieure espagnole s'est remise de son accès de nervosité de la veille. La nuit a porté conseil, comme d'habitude, et la situation est maintenant envisagée avec plus de sang-froid. Finalement l'Extérieure regagne une vingtaine de centimes à 97 25. Le Turc s'est raffermi en même temps et finit à 92 65, en reprise de 15 centimes. Les fonds russes sont bien tenus. Le Consolidé i 010 reste calme à 95 (30 le 4 1J2 0/0 0 à 101 90.

Le 6'e)'<'c 0/0 se relève 4, 89 90, en reprise de 20 centimes.

Le Brésil se maintient â 89.

Les établissements de crédit regagnent lo terrain qu'ils avaient perdu hier sous l'influence de la lourdeur générale.

La Banque nationale d'Haïti progresse à 612. Les parts sont fermes à 132. On croit beaucoup à l'avenir de cette banque nouvelle..

Les actions des chemins de fer français sont un peu lourdes. Le Nord se maintient à 1,540, le Lyon fléchit à 1,160, l'Orléans perd 15 francs à 1,190.

La Thomson- Houston est plus faible à i86, en baisse de 6 francs; Les Omnibus sont soutenus à 676. L'autorisation vient d'être donnée par le Conseil, municipal de substituer la traction mécanique la traction animale sur diverses lignes. On peut s'attendre, de ce fait, aune augmentation sensible des recettes. Le Métropolitain est calme à 663. Le NordSud reste à 315.

L'action Poyp se relève â 814, soit une re- prise de 7 francs. Oh ne peut nier que le dividende de 40 franc représente sur les cours actuels un revenu fort intéressant. Sous l'impression de la reprise dos valeurs de cuivre, hier, à New-York, lo Rio Tinto regagne 13 francs à 1,713.

Le Boléo s'est raffermi à 769. L'assemblée des actionnaires, qui s'est réunie hier, a fixé le dividende à 25 francs par action. Parmi les affaires qui s'occupent spécialement de la métallurgie du cuivre, on remarque ÏEIcctro-Mélallurgie de Diucs, qui reste ferme à 545. Le dividende a été porté, cette année, de fr. 50 â 25 francs. D'autre part, les déclarations faites hier à l'assemblée des actionnaires sont très favorables. Le président a déclaré que, par suite du remaniement et de l'accroissement de son outillage, la Compagnie était en état d'auguïcntçr sensiblement sa production.

 signaler aussi la fermeté des Métaux à 812. 0

Los actions des Chemins de fer lombards sont calmes à 119. Les obligations 3 0;0 se maintiennent, n 290. Les comptes de l'exercice '1910 qui viennent d'être publiés sont meilleurs que ceux des années précédentes. Mais il n.e s'agit que d'une amélioration relative. Les recettes d'exploitation fie sont élevées à 140 millions de couronnes, au lieu de 1 10 millions en -1909. Mais l'exercice se solde .encore-par unidélicit de 2;269,30O cou- rwmcs.U ust vrai quo le dOlicit do l'année

précédente avait été de 7,235,700 couronnes. Les chemins de 1er espagnols, qui avaient baissé hier en même temps que l'Extérieure; sont en légère reprisé. Le Nord-Espagne se raffermit à 409, le Saragosse à 427.

Les actions ordinaires du Brazil Railway sont fermes à 274; ·

La Philadelphie!, se maintient à 291. Parmi les valeurs russes, la Briansk est en nouvelle hausse de 6 francs à 477. Par contre la Sosnowice se tasse légèrement- à 1,482, en perte de 5 francs., La hausse du naphto attire de nouveaux achats sur les valeurs de. pétrole. Les Naphtcs de Bakou montent de 15 francs à 880.

Le Naphle russe est très forme à -369. 11 y a un courant d'affaires très suivi sur les valeurs pétrolifèrcs.

̃arche en banque. Le marché sud-africain est resté très calme. La Itand Mines finit comme hier à 199 50, la Goldlields a fléchi de 1 fr. à 137.

La De Beers se tasse légèrement à 471. La Lena accentue son mouvement de reprise à lpl 50.

Le Platine continue sa fermeté remarquable. Il a monté aujourd'hui de 9 fr. u.8.49, avec un mouvement d'affaires fort actif. Ce cours représente une hausse de 29 fr. pour la' semaine.

La Mallzoff descend- peu à peu dos hauteurs où l'avait poussée la spéculation. Elle perd aujourd'hui encore -43 fr., à 2,165, soit un recul de 134 fr. en huit jours.

La Hartmann est aussi moins brillante depuis quelque temps. Elle a baissé de 12 fr. cette semaine et finit à 777.

LOriental Carpet est en nouvelle hausse de 4 fr. à 390.

Les valeurs de cuivre sont très bien tenues. La Utah Copper gagno 1 fr. 50 à 239 50; la Spansky reste à 103. La Corocoro se maintient à 37 50.

Les valeurs de pétrole conservent leurs bonnes dispositions. La Spies est soutenue. à 48 la Maikop est ferme à 22.

Un léger fléchissement s'est produit sur les valeurs de caoutchouc, la reprise récente ayant amené des réalisations. La Société financière fléchit de 2 fr. à 325, la Malacca ko tasse à 237 50. L'Anglo-French mercantile reste à 25 75..

Armand Yvel.

INFORMATIONS FINANCIÈRES OPÉRATIONS DE LA CAISSE D'ÉPARGNE ET DE PRÉVOYANCE DE PARIS. Du dinianche 23 au samedi 20 avril

Versements reçus do 9,960 déposants, -dont 708 nouveaux Sut ,822 francs.

Remboursements à 3,482 déposants, dont 573 pour solde, 846.753 fr. 70.

Rentes achetées à la demande des déposants pour un capital do 95,087 fr. 20. LES REVUES La Revue hebdomadaire L'enquête an-* nuellc de la Revue hebdomadaire porte cotto année sur les « Ministères ». Après la « Crise du Parlementarisme (1908), la « Dépopulation » (1909), la « Mêlée des partis » (1910), la Revue hebdomadaire aborde, avec l'annéa 1911, « l'Etude dos Ministères».

Dans le numéro du 29 avril, M. Louis Bar-, thou, député, expose la réforme- du ministère do l'intérieur. L'enquôto se poursuivra chaque semaine dans l'ordre suivant

Commerce. M. Paul Dctombre Travaux publics. l\I, L,-C, Colson Travail 1\1, Raoul Jay Beaux-Arts. Ri, i3enry M3ro~ Postes et télégraphes. M. Darcq

Signalons dans ce numéro un chapitre de l'ouvrage sur la Vie de Jeanne d'Arc que M. Gabriel Hanotaux, de l'Académie fran-> çaise, fera paraître prochainement chez Hachette la Légende de Jeanne d'Arc et lu

fausse Jeanne d'Arc*

Progrès, la nouvelle revue mensuelle illustrée, dirigée par Mme do Lano-Demachy, publie, dans son numéro do mai, une nouvelle inédite de l'illustre romancier anglais Wells, une étude d'André Beaunier sur Marceline Desbordes-Valmore,' des poèmes do Fernand Gregh, un article d'actualité d'Alfred de Tarde sur la Crise de l'enseignement, l'Evolution de la Chine, par F. Farjenel la Transmission de l'âme, par N. Casanova une étude psychologique sur les races noires d'Afrique, par \V. Daws'011-î les « Revues », par Léo Larguier, etc.

Nouvel les Diverses

LES OBSÈQUES D'ULYSSE ÏAU1UNE

Les obsèques d'Ulysse Taurine) le garçon de bureau des Beaux- Arts, mort victime de son dévouement en essayant de sauver une femme qui se noyait, ont eu lieu hier matin en l'église Saint-Germain-des-Prés, aux frais do la Ville da Paris.

M. Dujardin-Beaumetz, sous secrôtuîrp d'Etat aux beaux-arts, y assistait, ayant à ses côtés MM. Maurice Quentin, vice-président du Conseil municipal Duval-Arnould, conseiller municipal de Paris Laurent,- secrétaire général de la préfecture de police A. Bernard, secrétaire général de la préfecture de la Seine; Gay, syndic du Conseil municipal, etc.

Des discours ont été prononcés par M. Maurice Quentin, vice-président du Conseil municipal, qui a rappelé les circonstances émouvantes dans lesquelles Taurine a trouvé la mort M. Laurent, secrétaire général, de la. préfecture de police, remplaçant le préfet. qui a rendu le même hommage à ceux qui se dévouent qu'aux serviteurs de l'ordre tombés pour le devoir; enfin, par M. Dujardin-BeaumetZj qui a retracé la vie de l'humble employé et bon père de famille, do ce fils héroïque de la terre de Franc».

UNE BRUTE

Mme la comtesse de Lubersac et son frère, le prince de Broglie, passaient hier en automobile aux Champs-Elysées, quand une légère collision se produisit entre leur voiture et un auto-taxi dans lequel se trouvait uil voyageur. Pendant que les deux chauffeurs, selon leur habitude, échangeaient des'injures, le voyageur de l'auto-taxi, sautant à terre, monta sur le marchepied de l'automobile et se mit a frapper la marquise à grands coups de poing. (, Le prince, heureusement put l'arrêter et le maintint solidement jusqu'à l'arrivée des agents. Ce brutal,un garçon boucher, nommo Louis Miron,a été mis à la disposition de M. Ghanot, commissaire de police.

LES DÉCORATIONS DE M0 VALENSI

Sur commission rogatoire de M. le juge d'instruction Tortat, M. Poucet, commissaire aux délégations judiciaires, s'est rendu chez M. Grandjany, imprimeur-papetier, 18, rue des Mathurins, et y a saisi la pierre lithographique qui a servi à l'impression des faux brevets du Niehan vendus par Valensi. Il a saisi également des exemplaires de, certificats de ces brevets, ainsi que des lettres ayant trait aux commandes d'im-

primés.

DÉPARTEMENTS

L'AGITATION ouvrière

Cluirtrcs- Depuis plusieurs jours, unes, certaine effervescence règne à La Loupe, où quatre cents ouvriers d'une entreprise privéo sont occupés à la réfection de la ligne du chemin de fer Paris-Brest. Quelques rixes se sont, d'autre part, produites entre les ouvriers et les habitants.

Des détachements, de gendarmerie sont,

dirigés sjxv La Loupe pour assurer le service d'ordre.

LE COXGRÊS DF.^ MIKEtTItS

Moulins. Le congrès -de Comment r.y»3, consacré la séance seurûte d'hier soir, ù Lcxu,


men des moyens à employer pour faire porter la retraite des mineurs à 2 francs par jour- Une ardente et violente discussion a cluré sept heures.

Finalement, le congrès, à la presque unanimité, a décidé que la grève générale serait immédiatement proclamée, si le Parlement rejetait cette revendication.

Chaque délégué a pris aussitôt, au nom de son syndicat, l'engagement d'entrer dans le mouvement gréviste sur l'ordre qui sera donné par le conseil national qui sera réuni

d'urgence.

Le congrès a terminé ses travaux à neuf heures du soir sans incident.

Çâ et

–Un jeune élève externe du lycée de Mâco'n, nommé M. Mîot, âgé de dix-sept ans, s'est tué dans les environs de la ville d'un coup de revolver. On ignare le motif de ce suicide. .»! Argus.

G>tùtB'M&miw CIQUEUR RECONNUE PAR L'ÉTAT (CI.) SANS ALCOOL D'INDUSTRIE

LES THÉÂTRES

l

Odéon: Cœur maternel, pièce. en trois actes, de M. Oscar lTanck.

M. Antoine poursuit son infatigable labeur avec une constance et un désintéressement qui mériteraient que lui fussent épargnées les taquineries.de parlementaires en mal d'interpellation. On sait avec quelle diligente activité le directeur de l'Odéon a institué cette année le Samedi « des spectacles inédits » où il ne craint point de monter pour deux ou trois représentations des ouvrages de jeunes auteurs. Nous avons dû à cette initiative de connaître une oeuvre presque belle: les Affranchis, et deux essais tout au moins curieux V Armée dans la ville. et la Lumière, ..c'est beau-

coup. ff .t l',

La pièce qui nous a été offerte nier est hélas de bien moindre intérêt. Elle a, paraît-il, pour auteur un jeune écrivain belge, M. Oscar Franck.- Après avoir entendu ses trois actes, nous n'avons pas douté que celui-ci ne soit en effet exlrêmement jeune et extrêmement t belge. La Belgique commençait depuis Mile Beulenians à inquiéter les auteurs arrivés. Je crains fort q^e Cœur maternel ne contribue à les rassurer, non seulement par la douceur inoffensive de son titre, mais aussi par la candeur de l'exécution.

N'importe, l'après-midi d'hier n'a pas été perdu au moins pour M. Oscar Franck, qui n'aura point manqué de prendre une excellente leçon d'art dramatique grâce à laquelle il pourra peutêtre atteindre un jour au succès que nous lui souhaitons. Il sait certainement il. cette heure qu'en écrivant une pièce il faut avant tout intéresser le public aux personnages, sous peine de le voir assister avec indifférence à l'action où onJes engage. Il sait qiie si les spectateurs acceptent avec une bonne volonté pleine d'enfantillage tous les postulats dans l'ordre des faits, ils n'en accueillent aucun dans l'ordre des sentiments, et qu'ils ne croient à la perfection ou à la méchanceté des bonshommes qu'on leur présente que si ceux-ci leur en fournissent des preuves visibles. Il sait qu'au théâtre, rien n'est plus dangereux que e ce qu'on a appelé les « adresses maladroites » et que la mode qui consiste à laisser traîner sur une table des lettres d'amour est contemporaine des souliers. de prunelle, des robes de jaconas et des colonels de M. Scribe. Il sait enfin que c'est Une entreprise singulièrement compliquée d'écrire une comédie où lès sentiments ne soient -pas artificiels et où les personnages ne soient pas faux.. Je dois d'ailleurs constater qu'à notre époque où l'on a la manie de réhabiliter un peu tout le monde et où l'on essaie de rendre son auréole à Judas luimême^- personne avant M. Oscar Franck n'avait encore- songé à réhabiliter la. marâtre. Ce jeune homme a eu cette généreuspambition. Il a pensé que -le persomfagb'dc la. marùtrctoujours haineuse et vindicative –.car Phèdre seule manifeste quelque tendresse à son beaufils était trop conventionnel. Il nous a donc montré une marâtre d'une incroyable bonté. Mais il n'a point songé qu'en prétendant réagir contre une convention on tombe volontiers dans une autre, et nous avons retrouvé dans Thérèse Giroul, la bonne marâtre, quelque chose de l'artifice dont il 'avait voulu se garder.

Le banquier Giroul vient de se remarier. Mais il n'a pas encore osé l'apprendre à ses enfants', Jean et Madeleine, d'ailleurs parfaitement intolérables, dont il craint les reproches. Il a chargé son associé, Lestraiiger, de les avertir. Celui-ci n'en a rien fait et Giroul est obligé d'introduire, chez lui, en tremblant, sa nouvelle épouse. 11 redoute, comme tout le monde, l'explication inévitable. Mais il a cetie chance, dont'nous bénéficions, que Madeleine la rende inutile en s'évanouissant au seul aspect de sa bello-mère. Ce premier acte est certainement le ̃ plus heureux des

trois.

Thérèse Giroul, qui était une modeste institutrice, pleine de douceur et de bonté, ne cherche qu'à se faire aimer de ses beaux-enfants. Mais Jean et Madeleine lui restent hostiles. Nous nous en attristons fort médiocrement. Nous en voulons en effet à" cette femme trop parfaite de songer à conquérir tout le monde excepté nous. L'intérieur du banquier ne tarde pas à devenir' le théâtre de querelles domestiques, qui amènent tout naturellement le renvoi du valet de pied et de la femme de ohambre. D'où nouvelle révolte des deux petits garnements. Thérèse se désespère, mais Lestranger lui indique le moyen de les apaiser elle devra tâcher «te ressembler à leur more, la frivole et légère Gabrielle.

Au bout de quelques semaines, cette transformation est chose accomplie. Giroul, qui ne reconnaît plus sa femme, se lamente de la voir devenue agréable et jolie. En revanche, Lestninger, à qui elle rappelle de plus en plus Gabrielle, qui naguère ne lui fut point dure, devient amoureux de la seconde Mme Giroul, au point d'oublier sur une table dès lettres de la première. Et alors, vous penser bien- que Madeleine les trouve, et qu'elle se- jette en pleurant dans les bras de Thérèse, sur laquelle elle reportera la tendresse et le 'respect qu'elle. avait gardes au. souvenir de su, .̃•vraie maman. Ce dcnoucnienl. ne laisse

'point' d'être 'assez amer et désagréable.' Il serait injuste d'être sévère pour une e interprétation forcément hâtive. M. Chambreuil (Giroul)a de la dignité et de la tenue. ~1,. pénis d'Inès a composé adroitement 'la silhouette ingrate de Lest-ranger. M. Maupré, (Jean Giroul) serait un .excellent jeune, premier s'il savait mieux poser sa voix; il a de la \jvacité et du-naturel. Mlle Barjac (Thérèse) est une comédienne appliquée -et consciencieuse. M. Flateau a des dons comiquesévidents, mais il cherche parfois un peu trop à forcer les effets. C'est à Mlle Germaine de France (Madeleine) qu'est revenue la meilleure part des applaudissements. Cette toute jeune comédienne a de rares qualités de simplicité, de naturel, de grâce sensible. Elle devra seulement surveiller parfois son articulation. On doit'attendre d'elle une bien jolie.earrière, souriante et fleurie. Robert de Fiers.

COURRIER DES THÉÂTRES

Aujourd'hui

A la Comédie-Française, à 1 h. 1/2, .la Faute d'un autre (Mlle Madeleine Roch, MM. Leitner, Georges Le Roy);

Le -\oyaije de AI. Perrichon (Mmes Thérèse Kolb, Berlhe Bovy, MM. de Féraudy, Siblot, FalcoiTauer, Ravet, Charles Granval, Numa, Jacques Guiihènc, Dàcard, Ch. Berteaux, Chaize) ̃ L'Anglais tel qu'on le parle (Mnaes Gabrielle Robinne, Jana Faber, MM. de Féraudy, Croué, Paul Numa, Garay, Jacques de F'éraudy).

A l'Opéra-Comique, à 1 h. d/2, Pelléas et Mélisandc (Mmes Marguerite Carré, Brohly, MM. Jean Périer, Henri Albers, Vieuille). A l'Odéon, à 2 heures, Vers l'amour (Mnics ;Jea,nne Rolly, Andrée Méry, Renée Maupin, MM. Claude Garry, Ghambreuil, Colas).: .̃̃

Au Théâtre Lyrique (Gaité), à 2 heures, la Dame blanche (Mlles Lowelly, Helisina, Mazly, MM. Déyriès, Alberti, Dousset, Delvy). Au théâtre' Apoiio, à 2 heures, la Veuve joyeuse (Mlles "Alice O'Bricn, GébroivNorbens, MM. Henry P'efroyn, Paul Ardot, Guy'onlils, .etc.).

Ce soir

A l'Opéra, à 8 heures, répétition- générale de Gwendoline et Espana.

On commencera exactement à 8 heures. À la Comédie-Française, à 8 h. 1/2, la Fleur merveilleuse (Mmes Lcconte, Géniat, Louise Silvain,. Berfche Bovy, Yvonne Lifraud, Suzanne Révonne, Jane Eaber, Lherbay, Faylise, Denise Hébert, Adrienne Delile, MM. Silvain, Raphaël Dullos, Siblot, Dessonnes, André Brunot, Joliet. Falconnier, Ravet,. Crouô, Charles, Granval, Paul Numa, Garay, Jacques de Féraudy, Làfon, Alexandre,. Jacques. Guilhône, Georges Le Roy, Gerbault, Décard, Gaudy, Ch. Berteaux, Chaize, Grouillot, Cazaux).

A l'Opéra-Comique, à 8 heures, Manon (Mlle Geneviève Vix, MM. Sens, '.Delvoye,

Gilles).' ̃•̃

A l'Odéon, à S, h. 3/4,' Vers l'amour (Mlles Jeanne, lïolly, Andrée-Mèry, Renée Maupin, MM. Garry, Chambreuil, Colas, etc.). Aux Variétés, à 8 h. 1/2 très ^précises, te' Vie parisienne opéra-bouffo en 4 actes, de Meilhac et Halévy, musique- de Jacques Offcnbàch, reconstitué dans Ic^tyledusecond Empire (1865-1867) Mlles Méaly, Jeanne SauIier,'Mistinguett, Diéterle, MM1. Brasseur, Guy Max-Dearly Prince, Moricey. ( A 10 h. le Quadrille à la mode.) Au Théâtre Lyrique (Gatté), à> 8 heures précises, l'Africaine (Mmes Comès, Berthe Lowelly,' Mazly, MM. Affrc, Boulogne, Berqu.in,,Alberti,,Barrcau, etc.). A la Porte-Saint-Mariin, à 8 h. 1/4, VEñfaut de l'amour, pièce en 4 actes, de M. Henry Bataillo(M'iic Réjane, MM. Dumény, Jean Coquelin, André Brûlé, Armand Bour, MJles. Sylvie, Simouo Frcvalles, Fpnteneyet Viviane LavbrgneJ.

Au théâtre Réjane, à 8 li. 1/2,. VOiseaù bleu (Mmes Daynes-Grassot. Mlles Jacqueline-Rousseau, Clarol, Gina Barbieri, Odette Garlia, Tina Rousseau, MM. Soverin-Mars, Dellibin, Stcphen).

Au théâtre Sarah-Bernhardt, à 8h. 1/2, ̃la, Dame ..cb .Monsoreau (M.1 de Max, Mlle M.-L. Derval, MM. Chameroy, Kraùss,' Guidé, Damorès). "•

A la Renaissance, à 9 heures, la Gamine (Mlle Lantelme, Mmes Cécile Caron, Laugier, Irma Perrot, Voriiiell, -MM.- Ad. Candé, André Dubosc, Victor Boucher, Bullier, 'Capellsini).̃̃• A l'Athénée, à. 8 h. 1/4, le Bon marcheur Maman Colibri, comédie en quatre actes de M. Henry Bataille (Mmes Berthe Bady, Goldslehi, Fqurnier, Henriette Andral MM. Jean Keiiim, R. ,Montçaux, Puyldgarde, Cazal.isvLarmandie,.etc.)

Au théâtre Michel, à 8 li. S/4 très. précises, "lOp'-1 représentation, du spectacle actuel le Veilleur de nuit, représentations de M. Sacha Guitry et de Mlle Charlotte Lysès, (Mlle Madeleine Carlier, M. Harry Baur); la Femme et les pantins (Mlles .Clairville, Roso Grane, MM. Cooper, 'Rozenberg) le Complice (Mlle Charmoy, MM. Prad, Cornély). Au théâtre des Capucines, à 9 heures (pour les représentationsde Mlle Gaby Dcslys), Midi bouge! revue (Mlles Gaby Deslys, Bordoni, Môrindol; Greuze, Renée Baltha, Madeleine -Andral,- Byl, Favonia, Dcberry, MM- Berthez, Arnaudy, Choof, Tramont, Heryil, Maujaji, Chatcl, etc.); Coup d'essai; Aimé pour soi-même. Aux Bouffes-Parisiens-Cora Laparcerie, à 9 heures, le i/arta.eMlle Beulcmans (Mlle Dioudonné, MM. Willokons, Francis Bernard, olc).

Au théâtre Apollo, à 8 h. 3/4 très précises, la Divorcée (Mmes Jane Marnac, Jane Alba,. Alice Milot, MM. Henry Defreyn, Paul Ardot, Tréville, Clarol, etc.). Au Grand-Guignol, à 9 heures, Roméo, les Mines de Gawiflbntcin,.la Fugue de Mme Cara"mon, Alcide Pepet, Dichotomie. w

Au théâtre Femina, à 9 h. 1/4, Vlan! revue en' 2 actes do MM.Rip et J. Bousquet (Mlles -Anne Dancrev, ,Spinelly, Benda, Sahita, Yano, MM. Sig'noret, Hasti^ Boucot, Koval, Davin, etc.) Les «Silhouettes de Semj>, les « Excelsior Girl's ». (Tél. 528.68). A la Comédie-Royale, à heures, A plein cœur-, pièce en o actes, de Mme MichelCarré (Mmes Maggio Gauthier,. Destrclle, Bussy, MM. Duard, Séverin, Labrousse, otc). AU théâtre Déjazet, à 8 h. 1/2, l'Enfant de'ma sœur (Mmo! Paule Rolle, M. Bonnard). Plusieurs théâtres affichent, pour .cet aprèsmidi,la dernière matinée, de cette saison du moins, de leur spectacle en cours. Parmi ceux-là: le Vaudeville (le Tribun, avec M. Lucien Guitry. Mlle Henriette Roggers) ;-le théâtre Sarah-Bernhardt (te Dame de AJonsoreau, avec M: de Max) le Palais-Royal [l'Amour en manœuvres, avec Mlle Ariette Dorgère.MM. Charles Lamy et Le Gallû);-les Capvicjnns (itf idi Boiiqe, avec Mlle Gaby Deslys,'M.' Armand Berthe?.) le Grand-Guignol (son "original spectacle Dichotomie la Fugue de Aime Caramon, etc ete',1,

̃

M. do Foraudv a hii Cher majlr'e aux ar-

tistes chargé» d'interpréter la pièce nouvelle

de M. FefriândVâtidt?rëm. Les quatre principaux rôles seront tenus par MM. Maurice et Jacques de Féraudy, Ravet et Nuraa, Mlles Marie Lecontc, Rôbjnne "et Suzanne Dëvôyod. -,Qn commencera, k répéter lundi. C'est. M. Maurice Fèraûdy qui mettra en scène. Les admirables recettes du Goût dit vice (hier encore 8,500; francs) permettront de- répéter, à loisir.

M. Stéphen Liégeard a lu hier un bien joli sonnet, au déjeunei-r qui. suivi le mariage de Mlle GabripHo Demo.ugeot, dont il était, avec le président Hugof, du Tribunal de la Seine, un des témoins. ̃ ,A, CARMEN -'Z

Carmen, aimable.: sopur d'une cbavme.use":jllustre, Vous à qui rien dans l'Art ne demeure étranger, Vous qûo naguèrû'on vit. sous les clartés du lustre, Courir, tragique < amante, -au devant du danger! De votre part do ciel nul- démon ne vous frustre, Car, la Vierge- en épouse est prête à se changer, Car dans vos no.irs cheveux le jais met son

La grenade ;fait place à-la-fieur. d'oranger. Le Bonheur tend la coupe, ah! buvez-y- sans

Partez,. rieuse enfant,. pour le pays du, rêve.: La route sera douée, au bras, du coriip.agn'on, Et quand bientôt sa voix murmurera « Je t'aime n Prouvez-lui que l'Amour n'est pas fils dé Bohème, Etant né près de vous sur le sol Bourguignon. Stéphen Liége^rp.

Une messe en" musique, comme -on en a peu entendu, avait été chantée en -l'église Saint-François' de' Sales avec MM '•Noté, Affre, Albers, et les chœurs de l'Opéra. M. Théodore Dubois tenait l'orgue. »

Mlle Gabriello Demougeot, sœur:cadette do la grande cantatrice de l'Opéra, épousait M, Peyron, le très distingué régisseur général de l'opéra au Casino de Vichy.

On nous- a coniiwyïniqué le procès-'verbal qui suit: ̃ M. Maurice BçrnJj,ardt' ayant relevé dans un article du CM Bios parnlo 21- avril sous la signalure'de M. Georges Pi.och, uno phrase qu'il* jugeait offensante pour Mme Sarah Berriharat, a prié MM..Edouard Geoffroy et Marcel Boulongnr d'en demander rptractatiç.u ou réparation à M. Georges I'ioch.»̃'̃

Celui-ci a désigne, pour lo représenter MM. Raoul Aubry 'et -Ktfrnaiid N.oziéro;

Les représentants do: M. Georges Pioch ont̃tont d'abord déclaré, parlant au nom de leur client, que ̃ celui-ci, n'avait eu nulle intention, d'offense envers Mme Sarah Bernhardt pour la-, quelle il affirme hautement son entier. respect. Les représentants de'M. Georges Pioch déclarent que les mots .relevés par -M. Maurice Bernhardt « Ceux-là .même qui pourraient discuter la dignité do son action, de son art n'entendaient nullement s'appliquer, dans l'esprit do leur client, à la personnalité civile ou morale de, Mme Sarah Bernhardt, nou plus qu'à l'administration de son théâtre.̃

M. G. Pioch ne 'prétendait' adresser au théâtre Sarah-Bernhai'dt' qu'une critique" d'ordre littéraire et artistiques Ces explications éclaircissent la. phrase qui a donné lieu à ce malentendu. 'L'incident se trojive, donc clos, M. Maurice Bernhardt no -songeant pas a contester les droits de la critique. ̃ Fait en double àParis.le 29. avril; 1911^ Pour M. Maurice Bemhardt t ̃ Edouard GçofFRby.

Marcel :BoùiiENGEK.

Pour.' M. Georges Pioch .-y. Raoul Aubry.

u Fi NOZIÈRE.

Demain

Les obsèques de Mme Edile Riquer seront célébrées demain matin, dix heures, en l'église delà Madeleipe. •' L'inhumatibn'aura'Ueu. au cimetière Montmartre.

Retardée par les vacances de Pâques, la ̃̃«' Matinée du* lundi!» aura lieu demain lundi, à 4 h. 1/2- au. théâtre des Capucines. Au programme •:

Une causerie de 'M.Ç:-A.,Carpcntiei'

Le Consentement forcé, un acte de Guyot.do Mçrville, joué par MM.' Jean Hervé, Arnaudy, Horvil, Mlles Marcelle Sbhmitt et'- G. Debeny. Mlle Cleo Lavagne. violoncollistOi dans s dés œuvres .do Ilsondel .et .de Haydn.

Mme Blanche-Marie Brasseur chântara, 'd'exquise façon' des pastourelles du dix-huitième siècle, accompagnée par M. Chantrier. L'Epreuve. réciproque, .un. acte. d'Alain. joué par MM. Raymond Lyon, Grégoire, Laurac, Mmes Chapelas, Lauro, Dalba, G. Doberry.

Au jour le jour

La semaine dans les théâtres subventionnés

A l'Opéra lundi, Lohengrin (Mlles Yvonne Gall, Damnas, MM. Dubois, Dangès, Journct, Teissié) mercredi et samedi, Gioendoline (Mlle KousnezoJ, MM. -Çuclos, Gampagnola, et première représentât ion: de Espana (Mlles Zambelli, A. Boni, MM. Aveline, Raymond) vendredi, Rigoletlo (Mlles B. Mendès, Charny, MM. Noté, Lassalle (débuts), Paty, Lequien), la Maladetta (Mlles Zambelli, Aida Boni, M. Aveline, Raymond).

A la Comédie-Française lundi, mercredi, vendredi et samedi, le Goüt du vice; mardi et jeudi soir, Èamlet: ;jeudi, matinée à 1 h. 1/2, le Passant, 'le Mondel'on s'ennuie. '•̃

A rOpéra-Comique lundi, à 8 h. 1/4, représentation populaire à prix réduits (avec location), Mignon (Mlles Robur, Nicot-Vauchelet, MM. de Poùmayrac, Cazeneuve, Payan); mardi, à 8 h. 1/2, treizième représentation do l'abonnement du mardi (série A), la Jota (Mme Marguerite Carré, MM. Salignac, Vieuille), le Voile dit bonheur (Mlle Jane Hatto MM. Jean Périer, Francell) mercredi, à 8 heures, M. Ed. Clément en re-

présentation. Carmen (MlloMérèntié, M. Mézy,

Mlle Lucy VauUirin; Mlle Régina Badet) jeudi, matinée à 1 h. 1/2, quinzième représentation de l'abonnement (série rouge), Manon (Mlle Geneviève Vix, MM. Sens, Delyoyc, Gilles) soirée, à\ 8 h.' 1/2, treizième représentation dé l'abonnement du jeudi ;série A), la Jota (Mme Marguerite Carré, MM. Salignae, Vieuille), leVoiie du bonheur (Mlle Jane Hatto, MM. Jean Périer, Francell); vendredi, à S heures, Aphrodite (Mlle Chenal, M. Léon Beyle, Mlle Régina Badct) ;samedi, matinée à 5 heures, abonnement de la- sérié verte, Concert h'istoriqu.0 de la musique; soirée, à 8, h. 1/2, treizième représentation de l'abonnement du samedi (sérié A), te Jota

(Mme .Marguerite Carré, MM. Salignae,

Vieuille), le Voile du bonheur (Mlle Jane Hatto, MM. Jean Pôricr, Francell).

A l'Odéon lundi, ;pour la première série de l'abonnement du lundi, mardi, mercredi, jeudi] soirée) vendredi samedi (soirée^, Vers l'Amour; jeudi; matinée pour la deuxième série des matinées classiques dît, jeudi, Andromaqii,e :(pour" les reprôsentation's do Mme Simono); samedi, matinée série ;B de l'abonnement du "samedi, Cœur maternel, pièce en trois; ac(,os de M. Oscar Franck. ̃Mercredi, dans Rigoletlo, débutera, à ÏOpéra, un nouveau ténor qui porte un nom bien connii, M. Robert .Lassalle, fils du célèbre baryton,

M. Lassalle a déjjt personnellement conquis la grande notoriété à l'étranger. Il est admirablement doué et tout à fait digne du nom qu'il porte'.Son début dans le rôle' du duc de Mantoue sera' certainement sensationnel. Ce soir-la toute l'interprétation sera excellente, puisque l'affiche porte les noms de Mlles Mendès et Charny, de M. 'Noté, si remarquable Rigolett0,.de MM.Paty et Lequien. La soirée se terminera par te Maladetta, ,&vçp

Mllfs Zambêlli f?t AïdaBoni. Y

En moirie temps que paraissait avunt-ihiCT son dernier 'ouvragé, .un. ravissant volume de' ver.s Sur les lotte bleus -du soir, cl Juxûèu-

[lustre

[trêve.

sement édité « A la berié''edition->>, Mlle Jan'ë Dorziat apprenait que M. Jules Claretic recevait, pour le prochain anniversaire de Racine, en dé cémbre prochain, un à-propos d'une grâce délicate qu'elle a écrit et qui s'appellera: les Cloches de Pàrt-Royàl.. Un individu s'est approprié dés. cartes de M. Paul Desachy, notre distingué confrère, actuellement chef du cabinet du ministre des travaux publics, répandues, il y a quelque temps, dans le neuvième arrondissement, pendant une période électorale, et à l'aide. de ces cartes il demande des pLaces dans les théâtres.. M.: Paul Desachy nôus prie de mettre en garde les secrétaires de théâtre et concert contre les agissements de ce-personnage sans scrupules. ̃

..|.

La saison russe, au théâtre: Sarah-Bèrhhardt. Hier, a répété pour la première fois sous la direction de l'éminent chef Barbini, l'orchestre] français dont l'homogénéité, le. zèle et la verve ont fait l'admiration de tous les assistants. ̃ En même temps, les chœurs russes, formés des meilleurs éléments des théâtres impériaux de Saint-Pétersbourg, Moscou, Tiflis, dirigés par le maître musicien L. Guirizbourg, ont participé à la répétition d'ensemble et l'on n'a pas moins, remarqué leurs exceptionnelles qualités de chant, do style' et de jeu.

Rappelons, qu'on peut louer pour- là première en russe le mardi 2 mai,'» et la! première en français le mercredi 3 mai, les places laissées. disponibles par l'abonnement,

r~- '•

Saison franco-viennoise. On coinmenccra demain à. délivrer, au Vaudeville, les abonnements de gala et les abonnements libres pour -la saison francoviennoise. Chose à peine croyable, plus de 40,000 francs sontdéjà souscrits :àva'nt< l'ouverture -du'bureau. 11 ne reste. plus ni-.loges, ni avant-scènes, ni fauteuils de balcon du premier rang pour les, jours de gala. -lin pareil empressement se passe de; tout coinnientaire. Pour répondre à de nombreuses demandés, M. Léon Poirier a décidé d'ouvrir également demain le bureau de location pour les petites places pour lesquelles il n'y a pas -.d'abonnements et dont. lé nombre est très limité..

• Au théâtre Réjane.

Le délicieux petit ballet, ajouté" par Mme Rèjane au « tableau des bonheiirs », a é:té réglé par Mme Pappurcllo, la distinguée maîtresse de ballet, qui est la belle-tille de Mme Daynes-Grassot, la très émouvante graiïdmèro de l'Oiseau bleu.

Les sociptaires.de l'Association des artistes dramatiques se réuniront le mardi 16 niai en assemblée générale, aux Nouveautés, obligeamment mises à leur disposition par M. Micheau. A l'ordre du jour

Election du président et de huit membres du Comité (le scrutin étant ouvert dès. 16. début de la séance et fermé un quart d'heure Taprcs- la lecture et l'adoption! du' rapport).; Rapport de l'exercice 1910-1911 .par M. Céàlis, rapporteur.

Dépouillement et proclamation' des résultats yu-serutin, .:̃̃̃̃̃̃ i.

̃ \Au Théâtre lyrique de la.Gaîté.r l :̃̃̃• Le grand événement de la saison sera la série, de représentations de .Chaliapine. On sait que l'illustre tragédien' s'est engagé- à ne paraître sur aucune scène autre'qtle celle du Théâtre. lyrique de la Gaité. Voici les trois premiers ouvrages quo-MM. Isola ont choièis pour produire l'éminent artiste Don Carlos, le chef-d'œuvre de iVerdi, qui n'a pas été, représenté a Paris depuis si longtemps Don Quichotte, de ISfassenct, qu'il a créé. à Monte.-Carlo avec tant .d'éclat et le Barbier de Séville, où son intorpr'étatioil du rôle "de don Basile est extràordinairo. Oii-peut dès' maintenant, se faire inscrire au .Théâtre lyrique de-la ̃Gaîtéfîonr ces'représentations gala- qui.cûniiuenç.erontle. 20"mai 'prochain. ̃ î '̃' -'̃ ̃̃r\ ^f* ̃ :i; Les; spectacles 'de la semajna'se succéderont dans;cetordre, à la Gaitô v. ̃'̃ Lundi 1"' mai Salomc. (Mlles 'Brévaf, Comès, Mazly, MM. Aquistapacc, G.. Petit., Gilly) la Barbie. de Séville (2e, et 4e actes) (Mine Guionie,,MM-. G., Petit, Trilly, .Alborti mardi '2, le Trouvère 'Minés Richavtisoh. Fierons..MM. Ks-

calaïs, Bdulogne) mercredi 3, •l'Attaque- du Moulin. {Haie Rynald, Lowolly, MM. Boulogne, Génicot, G. Petit, Gilly); jeudi 4 (malinéc), -le Barbier, de Séville (Mnie Guionic,'MM. G. Petit, Giily.Àlberti); soirée, la Dame blcinche (Mlles Lowclly, Helzina, Mazly, MM- Dovrica, Alberti, Dousseti; vendredi ̃ 5, Salomè (Mlles Bréval, Csmes, Mazly, MM, Aquistapace, G. Petit, Gilly); le Cn'.ur dr, Floria (oromièro rcDrésentationi

(Mmes Napierkowska. Rianza, MM. Wàguo, Quinault); samedi 6, .la-Dame, blanche*. (Mlles Lowclly,! Helzina,. Mazly, MM. Devriàs. Alberti, Doussetj dimanche 7 (matinée), la Fav'orUc:; (soirée), le Troiwire (Mmes ̃Richaildsdn,-Fiérens, MM. Escalaïs, Boulogne).

Constatons que de jour en jour, -depuis-la première de ta Gamine, la réputation de cette œuvre charmante grandit. L'intensité comique delà pièce spirituelle de MM. Pierre Vebor et Henri de Gorsse, si remarquabrement interprétée par une U'oupe d'élite, Mlle Lantelme en tête, en a fait une des plus grandes attractions théâtrales de Paris. C'est la pièce gaie par excellence, et. c'est assez dire.

Aujourd'hui, à 2 h. 1/4, matinêo .;d0:-c.ette délicieuse comédie. ̃

Sans distinction de public, Maman -Colibri émeut tous les spectateurs, à l'Athénée. Do tous les yeux coulent des larmes, et. de longs bravos se font entendre, pondant que se déroulent les épisodes d'une des plus belles histoires d'amour qui aient été écrites. La presse entière a déclaré que Maman -Colibri demeurerait parmi les amoureuses célèbres. Il est certain -qu'elle généralise d'une façon frappante. ot.-niagistralo le cunir de la femme 0 de quarante ans, et elle. -nous dit tout le poème de la jeunesse et tout le poème aussi, plus .cruel, du :souvonir.. Et cela dans' un drame vigoureux, rainasse, très simple et accessible à toutes les intelligences.

L'afflche do -la semaine au théâtre Apt>llo>: Lundi, mardi, mercredi, jeudi, samedi 'et dimanche 'soiréo), la Divorcée; vendredi et diman-,che (matinée), la Veuve joyeuse. ̃

M. Lucien Mayrargues parlera mercredi prochain, au théâtre Michel, du « Bire dans l'art». Auditions de Mines .Alice Bonheur, Marie Carlier, Madeleine Dolley, Arlette Dprgôre, Vera Scrgine, Lucy Vauthrin et MM. Henry Baur et Lucien Rozenbergi Tous les soirs, le Veilleur de nuit, la Femme et les Pantins j le Complice. •̃ •'̃̃̃

On vient fêter la <'i00'; représentation de VEnfanl-de ma sœur, au théâtre Déjazet. Et un ami nous rappelle ;ï ce propos Tapprèciati0n portée par M. Henri de Régnier, dans les Débats, au lendemain de la première Avec ses personnages d'amufânfe caricature et de gaïè fantaisie, avec. ses situations comiquéme'nt bouffonnes -.et cocasses, M. Mouëzy-Eon a compose un spectacle savoureux, .divertissant, hilarant et cette pièce est très supérieure à, celles «lui ont la'- prétention, bien; souvent très peu méritée, d'être désopilantes. ••̃

Tr-

On a dit. que MM. Àthanassiadèa et Alfred Poi/at préparaient^en collaboration une tragédie Périandie, tyran de Corinthc, Ce projet de collaboration a. été abandonné'et.'M.Atha-

nassi.a<îè3 t^vaiUç seul; a sa pièce.

;La RomaineauTrianoii-Lyrique- ̃' .Lunfli 1"' iiiai, 8 ̃ h. 12. les.- Cloches du Ç'ôrncvillc ^Mii'-s ltosalia Lauibiechtj -Perroni,

^iffelét.Joùvîn ,4.r1sf idc;) rmaVdirù-S hv- IMy l'Accordée de village (Mlle Saint-Gormier, MM. Jouvin, Bollot, divertissement;; Zalla Rouhh [yi\\a Jane Moi-lot, MM. Vincent, Tarquini d-On, ballets; mercredi, à 8 h. 1/4, Fra Diar,olo (Mlles SaintGerm'ier, Ferny, M.\f.. Viiîcent, Dumontier1.; Monsieur Chou-fleuri (.Mlle Jane Morlct. Mlle Zyhèm, MM. Jouvin et José Théry': jeudi, à 8 h. 1/2, Mam'zellc Nilouche (Mlles Rosalia Lambredit, Ferny, Z.yhem, MM. ••Jouvin,; José Thory, Aristide et Dumontier); vendredi^ a.'8 h. 1/2, Za:-a (Mlle Jane Morlct, MM. '• Vincent, -Bcllet, à l'orchestre, M. Gaston LeoncavaHo) samedi, à, 8 h. 1/2, Giroflè-Girofla (Mlles Rosalia Lambrecht, Ferny, PcrroDi, MM. Jouvin, José Théry, Aristide); dimanche, matinée, y. h. 1/2, les Cloches de Corneville (Mlles Rosalia Xa,mbrecht, Perroni, MM. Bellet, Jouvin, Aristide); soirée, à 8 h. 1/2, Rliss Helyetl. (Mlles Georgette Hilbeït, Perroni. Ferny, MM. Bellet, Jouvin, Aristide, Dumontier). Do Nice

Vendredi soir. au -Casino. municipal, inauguration des représentations de Frégoli, au Grand Théâtre. La salle "était absolument pleine et -le coup d'oeil éblouissant. On retrouvait là tout le public si élégant de la grande villégiaturé, dp la Riviera. Frégoli obtint un immense succès dans un répertoire tout nouveau qui! se prêtait à la plus haute fantaisie, ainsi qu'aux effets les plus prodigieux. Les applaudissements et les rappels furent prodigués 'au célèbre artiste. C'était une soirée extrêmement réussie, qui en fait présager tonte une 'série d'autres,. d'un non moindre éclat.

Serge Basset.

SPECTACLES & CONCERTS Aujourd'hui: .•"̃̃

Matinées avec les;spcct4clcs du soir Aux Folies-Bergère (2 h. 1/2), à l'Olympia (2 h- 1/2), à la. Scala (2 h.), aux. Ambassadeurs (21i-), au Théâtre du Mouliii-llouga (2 h. 1/2), à la Cigale (2 h.), à l'Alliambra (2 h.j, ), au Nouveau-Cirque (2 h. i/~), au cirque Medrano (2 h. '.i/2), au Cirque de Paris (2 h. 172), àla Gaî'té-Roehcchouart (2 h.), et au Skating RihkHlc la place Victor-Hugo. Visions d'art, 167, rue Montmartre, ;Y partir de 2 h. 1/2. (Fauteuils :.l et 2 francs). Au théâtre rde JaTour Eiffel, à 3 heures, la Souris (Mlle -Rènëo -Gardés, M. J. Baumer). Le chansonnier Jean Bastia. Intermèdes. La Suite à demain, opérette (Mlle H. Gally et M. llenriut.}. Bateaux ptirisiens, revue de MM. G. Davin de Champclos et Deliui, pour les représenta lions de Mlle Pépa Bonafé etM. Georges Linval.

Fauteuils 2 francs, asceusiou au 1er étage comprise.

Ce soir

Aux Folies-Bergère (tél. 102-59 et- ̃281-42), à 8 h. 1/2, laRcvue des Fol.ies-Beraère, de MM. P.-L. Fiers et Eugène Héros, 46 tableaux. A 9 h. 1/2, les Jaxôns dans « les Polichinelles »; à 10 h., Paris eu 1910; à 10 h. 1/4, Mm,e,Récamier; à 10 h. 1/2, la Distribution des Aigles; à il h., 'les Régates d'Henley; à 11 h. 10, la Femme et le;Pàntin; à 11 h. 15, le petit prodige Willy Ferreros; à 11 h.. 25, TomHearn: à 11 h." 45, l'Entrevue du camp du Drap d'Or (miss Hancy, princesse Katitza, Maure), .Chevalier,, Inès et.Reba Kaufman et Marie Marville}.-

A l'Olympia:(télôph. :2ï'i-68),. îiSh. 1/2. Sans précédent dans le -monde entier les nouveaux Films- Parlants Gaumonl ou la Vie reconstituée. Woadick et .La Duc dans Cow boy ad (lr0 fois à-.Pàxis). Les- Créateurs de la Vampire Dancc .^Frcnch et miss Eis). Les jolies Phïlipp- sisters.Jennings Bray (comedy metamôrplio'sist.ien scènes). jVi'tokris, ballet-légen.do. en 4 .tableaux (La Sylphe, Delyanno, Myrtis et .les Sphinx aériens). Attractions nouvelles. -ÎJa.^eaua' d'avt de Bl. de Paunac, .etc.etc- "••̃ ̃r-r A.la' Sçala, 'Pâùs.ou le bon jiuje, operetld.en-ii.ac.tos. 'dé'MM. de Fiers et G.-A. de Caillayeti .musique ,de. M. Claude- (Terrasse (Germaine Gallois,' .Polin, Edniéo Favart, Victor Henry, Mary Perret; Pàule Morly, Paul Lack, Géo Flandre, Marjac, Le Dandy, Voïgré, Dumanct, etc.). Concert, à 8 h. 1/2 Anna Thibaud, Dullc'uve, Sinoël, Robert Casa, Pomponette, -.Marthe Jehan, -Pepa Bouafô,^lc.

A la Boîte â Fursy,,à 9 h.T/2, 7a Revue de la Boite, de MM. Roger Fcrréol et Ch.-A. Abadie, jouée par Yvonne. Maëlec,. Made Siamé, Claudio de.Sivry, Sautenie, E. Wolff, Georges Michel cl, Muvisto aîné. Fursy. et ses. nouvelles chansons.. ̃ Au Moulin-Rouge,(508-63), àQhcurcs, la Petite Frisée et Modem School, opérette à spectacle (Morton, Norman French, Ber.kAngèrCj.Rivers, Menotti, Bertha Silvain, etc.). Au Nouveau-Cirque, à 8 h. 1/2, attractions sensationnelles' à. 10 -h., Une soirée à Blaga Parle, fantaisie comique et nautique à grand spectacle (Darius M.). Alà Lune Rousse, 36, boulevard de Clichy/téh 587-48 (direction Bonnaud-Blès), à 9 li. 1/2 les chansonniers Bonnaud, Numa Blés, L. Boycr, G. Baltha, Tourtal, Weil, dans leurs œuvres. Y- a d'iayloire ombres humoristiques. -Mes yeux ont vu! revue en un acte;ay£c Mlle Lucy Pczet. Décor de Giffèt.

M. Clément Bâhncl, dont l'esprit s'ingénie à nous émerveiller 'perpétuellement,' nous réserve une nouvelle surprise Polaire, la grande, la. prestigieuse Polaire, va venir rehausser do son prestigieux talent l'éclat incomparable de l'éblouissante revue de MM. P. L. Flers et Eugène Héros. L'inoubliable créatrice de Maison de danses, jouera dans la Revue des Fôlics-Bergère un mimodrame très rapide, très empoignant, qui met à la scène un fait divers émouvant dont Polaire fut. témoin au mois do juin dernier, lors de son séjour â San Francisco. C'est demain lundi que la grande artiste. donnera la première représentation do ce mimodrame qui produira une sensation .très vive et très profonde. ̃̃•

`.

:*V •;̃̃̃- -•••̃

Rappelons qu'aujourd'hui, à 2 h. ,1/2, les Folies -Bergère donneront" 'une' matinée de leur splèndidc revue, .avec les' mêmes intorprètes que le soir Miss Haney, Maurcl, Chevalier, Inès et Iléba.Tvâuffinann et Marie

Aux Trois Quartiers

MaryiHe,-atiisr qiic lé petit chef d'orchestré miniature Willy Ferreros et l'extraordinaire fantaisiste.'Amôricam.Tom.Hearû.-

A l'Olympia

Bert French et miss Alice Heis, les admirables créateurs de la Vampire- Dance, 'ne paraîtront plus à l'Olympia que deux fois cet après-midi et ce soir.. ̃•̃ Demain lundi, en matinée et en soirée, les « Films-Parlants Gaumont -», saison exceptionnelle. Entrée 1 franc.

Aujourd'hui, à la Scala, en matinée et en soirée, trentième représentation de Paris ou le Bon jiuje, le grand succès de MM. Robert. de Fiers, G.-A. Caillavet et Claude Terrasse, ayecl'interprètation remarquable de la création, en tête de [laquelle il faut citer Germaine Gallois, Edmée Favart, Mary Perret, Polin, Victor Henry, Paul LacÊ, Géo Flandre et Paule Morly.

riT

L'inauguration de la Maison de Retraite des Artistes lyriques, fondée par Dranem, aura lieu le dimanche 14 mai prochain, sous la présidence du Président de la République. Cette cérémonie, qui marquera la réalisation définitive de la belle œuvre poursuivie-avec tant de persévérance et de dévouement par' ses créateurs, sera l'occasion d'une fête brillante. ` ̃ A l'issue de l'inauguration de la Maison qui aura lieu le matin un banquet par souscription réunira à midi de nombreux convives qui assisteront ensuite, deux heures, à" une ravissante représentation au Théâtre de"

Verdure.

Au Moulin-Rouge. 'd

L'inénarrable Morton .oblifcût chaque soir, dans la joyeuse opérette à spectacle, ifodern School, un succès que les, excellents artistes Norman French. Bcrt-Angère, Menotti, etc.,partagent avec le roi des comiques.

A Luna Parle.. '̃̃. L'annonce de la reprise^des vendredis do gala a été accueillie avec le plus grand plaisir et M.G. Akoun. peut s'attendre à un grand succès le i) raài.prochain. Grilcc à leur prix rcduit de 20 francs, les carnets d'abonnements donnant droit à l'entrée perniancnto du parc y compris ses soirées exceptionnellesvent rapidement. Le record des années précédentes est déjà battu et tousles fidèles des attractions d'été se retrouvent chaque soir dans leur lieu préféré, la Ville 'Enchantée. COURRIER MUSICAL.

Aujourd'hui ,̃' Concerts du Conservatoire, à 2 h. 1/4. (Voir au programme).

Concerts Gutmann, li, rue Georges-Ville, Paris..

Le répertoire- du mois de mai est ainsi composé: Demain lundricr, à 9 heures du.soir, salle des Agriculteurs festival Gabriel Fauré, Mmes Riss-Arbeau, Jeanne Raunay, MM. Gabriel Fauré, Hayot. Vendredi 12, à 9 heures du soir, salle des Agriculteurs concert Joseph Wieniawski, audition de ses œuvres. Dimanche 14, à 3 heures, salle Gaveàu premier grand concert Jacques Thibaud. Vendredi 19, à 9 heures du soir, salle Erard récital John Powel!. Vendredi 19, à 9 heures du soir, salle Gaveau, deuxième grand concert Jacques Thibaud. Lundi 22, à -9 9, heures du soir^ salle des Agriculteurs, première sôaucc.de. sonates. Geneviève DehellyJacques Thibaud. Lundi 29 mai, à 9hcui;es du soir, deuxième séance de sonates Geneviève Dehelly-Jacques Thibaud. Egalement, lundi 29 mai, salie Pleyel, à 9 heures du' soir, séance, de musique de chambre Joseph

NVieniawski.' .•

"Billots chez ÎÏM. Durand ç;t fils,et.â;.J,g.,sa.llèi

-.M

Ysaye et Pugno donnent demain lundi leur deuxième séance à la salle Gaveau. Los. doux .maîtres, si acclamés vendredi, noug offriront cotte fois un programme plus, passionnant encore, car en outre du beau Quatuor en la de V. d'Indy, ils exécuteront L'exquis Trio de Franck (ces œuvres avec MM. P. Monteux, F. Pollain), et l'émouvanto sonate de G. Leken. Places chez les éditeurs Durand, Crus, à la salle Gaveau, ou chez M. A. Dandeiot, 83, rue d'Amsterdam (Télép. t

111 25),

141 `~5j, L. de Crémone.

TRIBUNAL DE COMMERCE

Faillites

Société en commandite par actions Société A. AlcaiirLovy-Bloch et Cic, au capital de 1 million 500,000 francs, en liquidation, i'mprimoriç- Alcan-Lévy-Bloch et, Cie et imprimerie' centrale de la Bourse, ù Paris, 117, rue lléaumur 2U Albert-Léonce Alcan-Lévy.àParis, boulevard Beauséjour Loopold Bloch, à Paris, 110, faubourg' Poissonnière.. ̃ Blanc, éditeur, 13S, rue Amelot, Paris.

I A RHCr CDAK1PC PARFUM CE LA FLEUR

LA ROSE .FRANCE PARFUM. DE LA FLEUR

CUSEWIER Mandarinette

DENTIFRICE

EAU du PAPE Suivant la formule du Professeur PASTEUR En l'ente dans tous les GJs Magasins, Pharmacies et Parfumeries de France et de. l'EtrangcrJ Fabrique et Maison principale 177, rua'. Arniand-Silvestre, Courbevoic (Seine).

LE PARFUM ou* DAME EM NOIR ^th^c

LE PARFUM .10 E A L"?iïm%ÛZT

Li^ur CORDIAL- Wi EDO C ^!S?

ffi^5SB3SBBB PARIS SSSSSSSSBSS^^iailISk'

Lundi 1- Mai TOILES

TROUSSEAUX MEUBLES

OCCASIONS REMARQUABLES A TOUS LES COMPTOIRS

̃;• •̃• :.•̃̃ ̃' .̃•

Le. Catalogue illustré est envoyé franco sur demande. J


LES GRANDES VENTESAujourd'hui, àThôtel DrouoU

Expositions, •- Salle 2. Bons meubles, salons en tapisserie d'Aubusson, tableaux, dessins, objets variés, céramique, bronzes, etc. Hesbi

Baudoin. ̃

Salle 6. Succession Alexis Rouart (2° yeute) Objets d'art delà Chine et du Ja-

pon. M" H-iîxri Baudoin. Mme Langweil,

f)OU.. lIloHKN!'rBAuDoIN; Mme Langw~il,

MM; Mannheim. '•

.Salles,. 9 ci. i 0. Collectioji théâtrale âe M.Iules Sarabojv.: Antiquités, objets d'art, tableaux, pastels. M0 Laie-Dubreuil MMi Paulme etLa'squin, Rollin-et Feuardent. PANNEAUX DÉCOkATIFS ET MEUBLES Hier, à la salle i, M° André Couturier assisté ,de l'expert Guillaume, a dirigé tipe vente, intéressante, qui a produit 25,838 francs. Nous avons retenu parmi les enchères

.K° 23,. Brisspt (E), Moutons â l'ctable, 780: fr. 1.26, Petite commode en marqueterie de bois, ornée de bronze, époque Louis XVI, 510 fr. n° 137, Commode en bois de placage marqueté, poignées de cuivre, époqueXouîs XVI, 600 fr. n01' 177 et 178, Deux tapisserics-yerdurcs. Aubussou, dixbùltiéine..siècle, 4, 70p. francs, i»

BIBLIOTHÈQUE ALEXIS ROUART

-A'ia salle 7,MeHsnri Baudoin a achevé la" première vente Alexis Rouart, sur un total de .64,980 francs.'Voici les principales enchères de h troisième journée t' K0 281, Musset (Alfred de), Contes d'Espagne et d'Italie, Paris 1850, 1 vol. Un Spectacle dans un fauteuil, Paris 1833, 1 vol. Un Spectacle dans un fauteuil, Paris 183.1', 2 vol. Ens. 4 vol. in-8°.(Rel. de l'époque.) 645 fr. -391, Nolhac (Pierre do), J,-M, Nattier, feint rt. de la Cour de Louis A' V,- Paris 1905, in-40, 610 fr. n° 298, Kostradamus, les Vrayes Centuries et Prophéties, Amsterdam, Janssofl à Wacsberge, 1668, in-i2°, reliure romantique mosaïquée, 510 fr.299, Nouvelles heures. des dames, contenant l'office du matin et celui du soir, Paris 1825, in-18 (A. Gi-; roux), reliure romantique mosaïquée, 635 fr. 304, Oraisons funèbres de Bossuet, Fléchier et autres orateurs, Paris, 1820-1826, 4 vol. in-8s,.Simiër, 1,210 fr. n" 312, Paroissien complet (le Petit), Toulouse, Douladoure, 1813, in-12, Serre, exemplaire de l'impératrice Joséphine, 1.580 fr. n" 315, Pascal (Biaise), ÇKiivres,' les Pensées, Paris, F. Didot, 1830,' in-8, reliure mosaïquée romantique, 525 fr. n" 339, Reliure italienne du seizième siècle, 'petit in-folio, 610 fr. no 349, De la ̃médecine opératoire, par M. Sabatier, chirurgien consultant de S. M. l'Empereur,-Paris, l'Huillier, 1810, 3 vol. in-8, Gaudreau, exemplaire aux armes de Napoléon Ier, 900 fr. 392, Tastu (Mme A.), Poésies, Paris, J. Tastu, 1827, in-8, Martin, reliure romantique mosaïquée, 1,300 francs.-

"̃̃ ̃

BIJOUX ET PIERRES -Çiifinj â îa salle -S,- Mc Lair-Dubreuil a" terminé sur un chiffre total de 11-9,505fencs, la vente dès bijoux et pierres suf papieï, dépendant, succession de M. AÎphoHse Foiiquet, père, ancien joaillier*. Voiçi.quelques détails d'enchères '•K° 1, Broche, brillant; jaune entouré de dix chatons montés de brillants, 7,001 fr. 2,' Broche, trois croissants apposés, brillants et perles, 4,520 fr.; no 3, Broche, brillants et ra^'e*; 2>,7<JO'fr:no-4, Broche, -ornements en

brillants, et p.erles,3,8oi.fr. «".5, Brockepar-

.rette^'uiïe-pbrltr grise entre ̃deusrbnlîants, 2,507 fr. n° 6, Broche rosace en brillants, au centre un- brillant- et- à- ^extérieur trois perles ut trois brillants, 3,301 fr. 7, Broche, étoile pâvoodebriliants- et de roses, 1051 fr.; '-it, Broche croissant brillants et roses, 2,005 1t;22, Paire' de boucles d'oreilles; brillants solitaires, 3,$oô'frV ;/n0' 23, Paire de boucles d'oreilles, brillants solitaires, 3,502 ii*ancs 24, Paire de boucles d'oreilles, brillants solitaires, 4,079 fr. n° 25, Paire de boucles' d'oreilles, perles de Panama, 3,000 francs n° 26, Paire'de boucles d'oreilles, saphirs entourés d'un rang de brillants, 3,905 fr.; n" 29, Bague, une perle entourée d'un rang de- brillants, 1,360 fr. n° 31, Bague, brillant jaune entouré d'un rang de brillants, 1, 200 fr. n° 32,' Bague, perle noire entre deux brillants, 2,000 fr.n° 33, Bague, brillant solitaire brillants sur le corps, 1,300 fr. n"35, Bague croisée, un brillant et une perle. Brillants sur le corps, 1,200 fr. n°49, Bracelet-rivière, trentesept chatons sertis de brillants, 3,550 fr. n° 50, Bracelet rigide en or, pavé de brillants, 2,449 fr. 51» Bracelet, anneaux sertis de roses et brillants, 3,000 francs.

̃̃Pierres sur papier. 83, Lot composé de seize brillants, 30,700 fr. n° 84, Lot formé de quatre brillants jaunes, 2,8oj fr-J n°_87., Trois perles, .2,150 francs.

Valemontk

lia Vie Sportive

COURSES AU TREMBLAY

Si la brise avait été iodée, on se serait cru au bord. de la mer, tellement le vent soufilait avoc violence. Nous sommes bien en pleine lune rousse ».

̃Doux favoris ont gagne sans donner d'é^ niotton à leurs partisans. C'est la lune de miel. Panache III, surtout, a pris l'avantage ayoe une aisance réellement satisfaisante. L'arrivée a; été .superbe dans lo handicap efc..6"ost terminée par le dead-hcat, le çôvo du handicapeur.

;Pn!'lfag(lalène (2,500' fr., Sbo m.). l',

Gallléennç, à M. P. del Valle (O'Nëill) 2, Donadiou,*lï.do La. Torro (Ch. Chihls) îi-^iroeocQ,: à. -M.Ziegler ̃ (Suinter} "(3/4 de

lcaigueur, 1 long.' -J/9).

Kdn pla'eée Cefba'

Pari mutuel àlO'fr.:Gagnant,55fr. 50. Pla-

cés Galiléeuue, M.ii\ ljonanieu,. x"9 fr..5O.

Prin; Tibère. (4,000. fr., 2,000 m.). 1, Belfast, -a M. W.-K. Vandorbilt (Lcmmel) AUon-ville, à M. D. Kélékian (H. Prince) 3, Gil Blas -IV-; à M.' Av ClnlçiB '(ychmilt) -(2

lori'gueurs 1/2, 3îo;nguèùrs)y

?\qn places lisa, Nagda, Solôuis, Mentor f I, DiveS. II, Lo Spadassin, Marc de

Gafé,-Clioléra. ̃̃

Pari mutuel 4 10 fr. Gagnant, 26 fr. 50. Placés Belfast, 15 fr.; Allouville, 28 fr. 50; Gil Blas IV, 35 fr. 50.

Pn'x Indian-Chief (2,000 fr., 2,150 m.).1, Vanity Fair II, â Mme Cunningham (Sumter) 2, Kioto III, à M. Ed. Valentin (Ch. Childfe) S, Violette II, à M. Gîrault (Serret) (2 longueurs, 6 longueurs).

Non placés Vivacité, Express.

Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 209 fr. Places Yanity Fair II, Di fr. 50; Kioto III,

24 francs.

Prix TilUj i 5,000 ;fr., 1.-800 un.). 1,, Sea' Maid, à M. James Hennes&y (J. Jenninge) 2, Tuïipe-11, à M. H.-€. Lanc i'G. îrterni 3, Sœur Marie,M'. J:'Sterrt (Cli- Childs) (1 longueur 1/2, 2 longueurs).

JkiiV placés La Manche, Caroline, Maman Nanor, Favola, Loupe,

Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 70 francs. Places Sea Maid, 20 fr. 50 Tulipe II, 25 francs 50; Sœur Marfe, '̃i-'j-fr. 50. ̃ Prix Mctdcap (5,000 lï., 1,800. m.). 1, Pa- naMio n, au marquis de Ganav' (O'Xeill L<^ 1 ivjj au baron Gourgautl (J. Rpifl "1, Nliuii \llf, au duc Dnfa?e= G. Kartholo»

lut nv-^J lyncu^ui^ I I. ni. 1

Xou j>K»eès l'ompijii du uui rai l'rïuu' do ^nrfit-'faiTrâi. Pari mutuel à 10 i'r. ;.Gy£.uu,ut, i'J l'r^.50.

Placés .Panache "il, 12- fr. 50; Le. Loup, 20 *fr. 50.

Prix Patriarche (4,000 fi- 3,000 m.}. 1, Laghet, au vicomte d'Harcourt (G.Clout) et FoUetto, à M. James Hennessy (Doumen), dead-hdat; 3, Ghateldon, à/M. W, Darling (G. Bartholomew) (1 long. 1/2).

Non placés Bergamote, Bijou Royal, Rethondes, Bobo II, Intrigante, Adorée. Pari mutuel- à 10 fr. Gagnants Laghet, 27 fr. 50; FoUetto, 36 fr. 50. Placés Laghet,' 17 fr. Folletto, 20 fr. 50 Chateldon, 22 fr;

Ajai-

LES ARMES

Les Championnats militaires

Les résultats des éprouves, hier, ont été les suivants

Championnat individuel de sabre (officiers). Ont été classés 1" et proclame champion capitaine Lobez, 12e cuirassiers, 5 victoires, 8 touches 2e vétérinaire de 1" classe Hubert, 12e cuirassiers, 3 victoires, 11 touches; 3e capitaine Chapuis,' 16' d'infanterie coloniale 5 victoires, 14' touches, 4* ex sçquo, lieutenant de Saint-Germain* 12» cuirassiers, •'» victoires, .14 touches; lieutenant Margralï, 31" dragons, -4 victoires, 14 touches 6° lieutenant Mondiclli, 106" d'infanterie, 4 victoires, 16 touches; T1 lieutenant Lefebvre, 71° d'infanterie, 1 victoire, 20 touches, et 8°- lieutenant Dillon,- 15* chasseurs, 21 toueh«s. Championnat des 4 armes (challenge capitaine de La Falaise).– Ont été classés 1er lieutenant do Saint-Germain, 12e cuirassiers, 11 p. 75; 2' lieutenant Houderiion, 12» dragons, 15 p, 50;

3' capitaine Meyer, 2* dartnlorie, il» p.aj;1 -lieutenant -Perez, ̃̃ 5° hussards -Ifi p.-1 75 5* lieutenant Giroulet. 57' d'infanterie, 17 p.! 6° lieutenant de Cernowitz, 105° d'infanterie, 18 p. 7' lieutenant Dillon, 15' chasseurs, 20 p. 5 8" sous-lieutenant de Boyve, chasseurs, 22p. 75; '9*. lieutenant de Chocqueuso 4° cuirassiers, 23 p. 75; 10' lieutenant Rôdocanachi, 128° d'infanterie, -27 p. Il* sous-lieutenant Morineau, 115* d'infanterie, 29 p. 75.

Assauts à la baïonnette, par équipes^ de sousof/iciers rengages. Et.aient engagées, deux équipes du 25» bataillon de chasseurs, une cq,uipe du 10' bataillon de chasseurs, deux équipes du 119' d'infanterie et une équipe du 2S* d'infanterie. Ont été classées lrM ex wquo équipe A du 15' bataillon de chasseurs, sergents Caillot, Lartigues ot Vodelle, U victoires;

equil)u n uti cw uwaumu w o ~u` .n.¡".

gents Bouchied, Guéry. Bernard, 14 victoires équipe A du 119° d'infanterie, sergents Matrio, I^argérie et Tenca, 8 victoires. t~e

La Coupe challenge internationale d'épeo par équipes est restée à l'équipe française composée de MM. le lieutenant Varaigne, école do guerre capitaine Serdet, école de guerre, et Margràir, 31e dragons, avec 5 victoires. L'équipe hollandaise, ̃ composée de MM. les lieutenants Doorman, H. van Blyenburgh et do Jong, est seconde avec 4 victoires, après une très belle défense.

La Coupe challenge internationale do sabre par équipes a été..gagnée par l'équipe hollandaise, composée de MM. les lieutenants Doorman, de Jong, et enseigne de vaisseau Scalongno, avec 27 touches

L'équipe française, composée de MM. le capitaine Chapuis', 16e infanterie coloniale lieutenant Porrodon, 22" dragons, et lieutenant de Mas-Latries, chasseurs, arrive .deuxième avec 28 touches. ̃ ̃

Aujourd'hui, i âc\i% heures, pour le dernier jour,, assauts de gala et distribution des'

récompenses/

réeo~npenses. Jean Septime.

'>• ̃••̃ 'C, BOXE E' ̃ ./̃ Une décision mal accueilli» .•

i te Wondcrjànd donnait, l^ier -soir, au Cirque de Parii?, une réunion de bbxe qui comportait quatre combats. De qualité diverse; tous furent, excellents et deux–? celui entre Marthuin et Guionnet, pour le titre de champion de Franco des poids lourds, et celui entre le nègre Dixie Kid et Willié Lewis furent, l'un, un rude combat, l'autre,, une .bataille admirable pai\Ja_ science, le .courage et l'ehdui'aiiee -dos adversaires et*

par la^upûrioîité considérable- 'de l'Uù-des:

combattants, le nègre Dixie Kid.

Marthuin,champion de Franco des poids lourds, garda son titre sur (juiohnet, meilleur frappeur, mais moins robuste au combat Saint-DidiÉr fit match nul avec Grassi, Bclli triompha de Dubourg et j'en arrive à la rencontre capitale de la soirée, le combat du nègre Dixie Kid et de Willie Lewis. Il eut lieu en vingt reprises dont dix-huit furent à l'avantage du nègre Dixie Kid, dont une, la septième se termina par jeu égal, et dont une enfin, la douzième la plus émouvante, la plus bellcq ue l'on ait jamais vue pour ses ardentes péripéties fut légèrement à l'avantage de Willie Lewis.

La performance de Dixie Kid fut stupéfiante il tirait à 65 kil. 150 contre prés de 70 kilogs, et bien que desservi par le poids, il ne cessa de mener la danse avec un entrain endiablé il étonna et enchanta les dilettantes par la variété de son escrime. Feintéur remarquable, il se montra merveilleux dans la conception instantanée et l'exccution foudroyante de ses attaques, redoublées à, toute vitesse, avec une netteté, une précision incomparables, et qu'il logeait dans le moindre jour. Il usa d'un superbe jeu de jambes et, bien servi par une grande souplesse, il exécuta des esquives do toute beauté, ou fit des déplacements d'attaque prodigieux. En maintes occasions, il déborda son adversaire, le brave, le vaillant, l'intelligent Willie Lo\vis,;quï a peutêtre fait un des plus courageux, un des meilleurs combats de sa très belle et très sportive carrière. Il put do splondides instants, bloquant pour se mettre à l'abri des coups qui pleuvaient sur lui comme grêle, pour soudain .riposter avec cœur, vigueur et à propos. Mais, bien que la viGtoirede Willie Lewis extrêmement sympathique eût été celle que désirait la majeure partie du public, son échec était si évident que. lorsque l'arbitre prononça la défaite de l'étourdissant nègre, Dixie Kid, la colora de la foule se déchaîna furieusement, Elle, ne comprit pas no pouvant pas comprendre. Et il n'y avait pas. à comprendre.

Il fallut protéger l'arbitre contre Jes.seconds de Dixie Kid et contre les spectateurs irrités et le faire sortir encadré d'agents et,de gardes républicains.

Cette fin déplorable n'enlève rien à la valeur de la rencontre, ni non plus à la supériorité affirmée par Dixie Kid eh cet ômou:vant combat. Elle a' gâté, une fois de plus, l'effort des organisateurs qui doivent en être les premiers désolés. ̃̃̃•••̃••

̃; tennis NLondres, le championnat de lawn-terinfs sur courts couverts s'est terminé par la victoirq du Français Gobçrt, battant Rit-

cliiOi

AUTOMOBjLISME .••

Aucune voiture ne peut être plus appréciée que la Charron, qui cât une automobile vraiment souple, bien ̃ en main et facile à conduire:

Charron, Limited, 7, rue Ampère, Puteaux. Envoi franco du catalogue (Notice n° 15). >

1. Les usines Léon Bolléo sont .les plus anciennes du monde pour la construction des automobiles.

Elles comptent parmi les pluf6 belles et les plus grandes de Franco.

Succursale à Paris, ï'J, rtic'de Vïlliers, à Neuiliy-ïiur-Seiiie. ̃

Louer une voiture automobile au mç>is', c'est supprimer d'un seul couples ennuis de l'automobile, pneumatiques, accidents aux tiers, mécaniciens, etc. S'adresser pour la locationdes aulomôbîlôsau «Ghamps-MyséesGarage », appartenant à M. F. Charron,

'3'i, aN-enuà des Champs-Elysées. ,î»

v,

M. JoacluiJi umtde passer commande à

riUII"» I tll (i HPi' in^ijlldtlOU l lOi li-hJHO

tompl' li>'ii1.iUnJilJt. p.u uni dyuamu « l'hi »

"de->tïiuo .i sa \oilurc Chairon.

liCL'luirugc clcctritiuo complet de* ][)UureSj

lanternes plafonniers, no peut être pratiquômeiit rçalisé qu'avec une dynamo qui, comme la dynamos i Phi recharge les accumulateurs au fur et à mesure des besoins. » Notice F spéciale sur les dynamos «Phi », à la. Société Blériût, .16, rue Duret, Paris. Frantz-JReichel.

Petites Annonces

WlISffiS PARISIENS

Programme, des Théâtres ̃̃ MATINEES

COMEDIE.FRANCAISE (Tél. 102.22). l.h.1/2.

La Faute d'un autre le Voyage do M. P.ern-

chon l'Anglais tel qu'on la parle. OPERAreOM'lQÏÏËTCi'él. 105.T6J. 1 n..l/2. Pc'llcas et Mélisande.

THEATRE .LYRIQUE MUNICIPAL (GAITE)

i (Tél. 1029.20' 2 h. 0/0- La Dame blanche. fT'HEATRE APOLLO (Tel. 272.21). 2 h. 0/0. La Venve joyeuse.

TRIANOX-LYRIQUE (Tél. 433.62). 2 h. 1/2. Si j'étais roi ̃

tARDIX U'ACCfJMATATIOX. 2 liï 0/0.

J" ARDIN D'ACCLIMATATION. 2 h. 0/0.

̃feoméo" et Juliette.

'~DËOX f2*h7), TnMTRE SARAH-BERXHARtt'r (.~ h~7;

Odèon f2~lT7), Tiiiutre Sakau-Bernhàrdt (2 H:),

.VArDEyiu.E (2 b. 1/2), Variétés (t h. 3/4), TireATRIî' RÉJ-ASE (2 h .), PORTE-S.ÏINÏ-MARTIN ̃(! H. :i V;, Renaissance (2 h. l[Ç\ Nouveautés •'̃-• & h. 0,0% ÛYMXÀSE (2-h.).4THE-NÉK(2h. 1/2), TriÉATRi; Antoine (2 h:<l/2\ Théaxbk MieiiEt. (2 h. 1/2), PALAISrROYAL (2 h. 0/0) CHATKI.ET (2 h. 0/0), Bouffes-Parisiens-Cora-LaparçeRtE (2 i\. \ji), CAl'lTÇlNES '-fi h. 1/2), AMBtGU ;(2 hù/O\ GraS-d-GUignol (2 "h. -i/4),PÉjAZET (2 lx. 0/0;, Cluny'(2 heures).

(Même spectacle que le soir.)

fOLIES-BEBGERE (2 h. li'2), OLYMPtA (2 h..1/2;,

Folies-Bergère (2 h. 1/2), Olympia (2 h..1/2;,

ScîAL-A (2 h.), Ambassadeurs (2 h.). Cigale

& li.), Moulin-Rouge (2 h. 1/2), Alhambra (2 h.), Nouveau-Cirque (2 h. 1/2), Cirque Medrano (2 h. 1/2;, Cirque dk. Paris (2 h. 1/2 i, Gaîtè-Rochkciiouart (2 h.), Skatikg-Rink. DE LA PLACE Victor-Hugo, Visions d'Art

.partir de 2.h..l/2).

par.tif de (Même spectacle que le soir.)

Concerts et Auditions symphoniques

CONCERTS DU CONSERVATOIRE (2 h, 1/4).. (j (20= concert.) Grande messe en si mineur, de J.-S. Bach Kyrie, O-loria, Credo, Sanctus, Agnus Dei. Soli Mlle Yvonne Gall, do l'Opéra-; Mmes Gilly ot Povla'Frisch-! M. Paulct et M. Cerdan, de l'Opéra. Violon solo. M.' Alfred Brun;. "flûte solo, Mi Hennebaihs hautbois d'amour MM. Blouzet et Leclerc orgue: M. J. Bonnet.

Le concert sera dirigé par M. André Messager.

SOIREE

OPERA (Tél.' aÏÏ/Op): 8 h. 0/0. Répétition., générale do ;,<! Gwendoline et Espana «.. Lundi Lo.hengrin.

flOMEDIE-FRANÇAlSE (Tél. 102.22)^–8 h; 1/2, \j La Fleur merveilleuse.

Lundi Le Goût du vice.

OPERA-COMIQUE ;(Tèi. 105.76). S h. 0/0.–ManqD. '•̃

Lundi Mignon..

ODEON (Tél. 811.42). 8 h. 3/4. Vers l'amour. ̃ ̃ Demain Même spectacle:

frHEATRE SARAH-BERNHARDT-(ïél. 1000.70) 1 8 h. 1/2 La Dame do Mansoroau. VAUDEVILLE !(TéL ^02.09).- r0- fiTo/0. Le e f" Tribun.1. •̃ •̃•' ̃•

\ARIETÉS;, (Tél. 109.92); •-1;8h.d/2. ;Ea Viô parisienne. `

1 THEATRE RRJANÉ (Tél. 238.78): "8 h. ï/2. -V

L'Oiseau bleu.. ̃

PORTE SAINT-MARTIN (Tél. 437,53). -> 8 b. 1/4 I^'Enfant deramour. _J_ RENAISSANCE (Tél. 437.03). 9 h. 0/0, •La G^'ig^ ̃̃̃̃: ̃ '̃<

!\ÎOU VEAUTES- '̃(̃Tel '102.51): ."8 h. 1/2. –'Un

jLV Crini'o'.pabsîonnûl.-î Chanipignol maigre ^ut 'rrHBATRE'LYRlOUË' MUNICIPAL (GAITE) 1 (Tél. 1029;'2Q). "8.h. 0/0. L'Africaine. GYMNASE jTél. 102.65;. S h..3/4. Papa. AT^HENÉElTél.' 2S2.23). S h.-l/-ï. Le Bon Marclieur; à 9 h. Maman Colibri.

THEATRE APOLLO (Tél.^72.21). 8 h. 3/4. La Divorcée.

1\HE"vTRE ANTOINE (.Tél. 436.33). 8 h. 3/4. Marie-Victoire. ̃-̃

mHEATRE MI.ÇH-EL (Tél. 163.30). 8 h. 3/4. 1 Le Veilleur de uuit; laPemmc et les pantins; lé Complice. ̃

PALAIS-ROYAL(T. 102.50). 8 h. 1/2, lo Ronselgnement; à y h.l/-i, L'Amour, en manœuvres.

«HATELÊT (Tel, 102.87). 8 h..1/2. La Ij Petite. Caporale..

BOUFFES-PARISIENS. 7- CORA LAPARCERIE (TéK 145.58). 9 h. 0/0. Un prétexte le Mariajfo de Mlle Beulemans.

/1APUCINES (Tél. 156.40). 9 h. 0/0. Midi li bouge Coup d'ossai Aimé pour soi-même. rfÔMËDIE ROYALE (TéTTsÔTlîè). 9 h. 0/oT^\j A plein cœur.

i.MBIGU (Tél. 436.31). 8 h. 3/4. A la

i\ Nouvelle.

npHÊATRÎTDËS~\RTS (Tél. 586.03). 8 h. 1/2. les Frères Karamazov.

GRANDtGUIGNOL. Tél. 228.34. 9 h. 0/0. Roméo; les Mines do Ganeffontoin; la Fugue de Mme Caramon; Alcide Pépet; Dichotomie.

rrRJANON-LYRlQUE~(Tcl. 433.62). –S h. 1/2.

i Les Gloches. de Corncvillc; DHJÂZEYT'réï. i;016.80). 8h. ïj~2. EÎiphrasic; l'Enfant de ma sœùK

CLUNY (Tél. 807.76). 8 h. 1/2. –Passe-moi ta femme; la Boniche.

^OMEDIE MONDAINE (Tél. 524.70). 8 h. 1/2. Ij L'Ange gardien.

\TOUVEAU THEATRE DU CHATEAU D'EAU- 1\ (Tél. 439.05). 8 h. 3/4. La Petits Ma-

rilHEATRE FEM1NA (Tél. 528.ÛS). 9 h. i/i. l viati! ;•̃̃ '.•

tilOLIES-DRAMATIQUES(l'él.437.01). Sh.O/0.–

11'°. LIES-DRAMATIQUES(1\H.437 .01), S h.OjO,-

La Coup -dû piston.

Spectacles, Plaisirs du jour;' JEfiï TUQ ̃RPDPB'PF <TéL io2-59). st>i/2.

IULi£iU D£jliUlLirLJCi LaRcv.UasFolics-L'cr,

gère., de Flers et Héros miss Haney, Pcl!Ul;Katitza,

Mauve], MaKiile, nr\T mn Pl?DP17PT?

~l~I!'e1. Marville. l'~LIEIJ"UPJRl~~ILL

l'Qrrc.TOS,Tom Hearii. f ULilCiO DIJjjLiuftLltlJj

AT VMPTA ce SOH"

~1J14~PIti ce soir: GAUSIO.NT

V.ljraJilil Les Films parlants Gaumo.nt

Téléph. 244. 6S Créateurs de Varnpire-Dance

AT VHIPT A Cov:b°y 'Ad, Nitokris

~LYI~PIA ~o~b~~ etc.

SCALAi Direction y FURSY' f

(TéU35.S6). Paris ou le bon juge. 1 Germ.Oallois)Polin..Ed.Favaft.Vict11 Henry,. Mary. Perret, Paule Morly. Co/îC.-An.Thibaud.Diitlouve.Sino/

AMBMSAIlURS^k^ïi:F^

l\lU valicl', Tl'urnel,Ju J;'lol',

Alice Rivière, Fauvette, etc. Attractions diverses.;

M~HT '1 D;Lal'cIl l isee lIQ-.

*lOtILIN~ROUGE 'derA. SCçJioqÎ 'Ilortoni

If 1.; U ~c,Sc~oc< Utot-ton,

THEATRE (T.50S.03) | NorjnanFrench,Rivei-s,Bert.

.INNSBHU~K

Capitale régionale du Tyrol La ville dès Alpes de l'Est la' plus' fj'èquentéç par les. étrapger*. Environ 150,00(3' visiteurs par an-Ville d'université, dans' une situation nièJ-yeilleusement abritée. Point, central de nombreuses excursions à pied et en -voiture, -chài-mantes promenades en forêt dans le voisinage immédiat de la ville.

Concerts par musiques militaires et civiles.

Conc-rts flfttwnaus l.vj-ftiiens. (,,l'5,(',L ci\iles.

Sxatiûû de.p^issagj -du ou vers Kr-Snil. "'̃

Endroit dij.cijnv'alexcénct* opi-ès <-urb"bal-

néaire. CorreïpoiidaiKF-diryfTc des trains. Principal?- «w-ioshé Keliefdu Tyrol. au Jardin çj.u Pedagogium.

l'l '.Si><tio!l 1:: u 1 î i- i f m i i- des otrariMvs. à JiinsbjiK-ii, t-H\^ni<s-i.ia(uHcuient.. biwhuws illustrées» tl. -prospeciu^.

PTPMV La Revue sans culollcs Galipàux,

Ull,itlL~ ~I~aaCam~ton,Dorwllv,v"yma- X,

liUjALCj Miss Cainpton, Dorvil]e,Yvu° Yma

(TJJ1/4Û7.6O;. BiaiicadeBilba.o,F.PascaI,Urban-,stc. BOITE 5s7rwcl5tââISlTér2S07l0}.– 9 h. 1/2.–A Fursy, V. Hyspà, Mévisto aîné.Wolff; stiTtT) QV LaKevue. Yvonne Maëlcc,Made Sîanic, FUliul Cl de Sivry, Sauierno, G. Michel;

I T U A HfDD A S0,r.de MalîeTf cl. 900. ÎO.»"?.

jALnâjjlDllALès 7 Baigneuses, Luigi Rossi, ttn.oMilman,l1ani.JacIison,jum>;Marco,H.acGo£.:etc. îmOÎIvEKïfiTR^i^T^Ûi^hSni^V^mSoirécà ic ill BlagaPark.'SWvc., jeudi, dim.. fêtes, mat.2''l/2. t"TjN~É~ROUSSE,i16,6oitZ'iCto/it/(Tèl,ôS7.48).?bl/2.: Bonnaud, Nuraa Blés, L.Boy er, M»» L. Bezot, etc. Y a de la gloire ̃'̃ Afes yeux ont vu C il y AT 10. r. Echiquier. (T.16S.'O7.) Q.NOLKT ^l^jyjjjNClôture ann.Iîéouy_l»^sf!pt. QRÀ N DS iwl^TvW^ C^N CERT ET ClPMAGASIN sljUrAÏËlij NEM ATO GR AP KE 't»rc^j».de2l'l/2à6'saufledim.Bu1ï.Nombr.attr"'».

THEATRIi GREVIN./0,bi Montmartre,– £ et

j :i\)^ Monsieur la Directeur àa1', Tout Paris; eii Se in a la Va ix du Pc up le yaut.St.ént.mus.eomp.

~Tr.~m-.mrï7~D t Bouu Fio~u:l,r.des~lLa9;

CTD™n-.llffPTYD A \T{\(~Bomi-BowH).r.dc$Mar.

IRQUÏ?MTiUj[lâj\U tyri.ÇtêA. 240.65); 8h;l/2v Attraotiocsaouv1fs. Mat, jeudis, dim.at le tes, à2h 1/2. r|UBARIN~BAL. (Télûph. 267.92). Samedi 1 ]>rochain KOlo du Muguet.

MT-o^^nDÔfnTVTPaïâ'^08 Mirages: lcTeni-

~~US);E~R~j ~TI~all~s dés !\n['~gÉ':s: leTénr-

hb>h uKEj V li\plcIiindou,laForètcncliant.

fTDnni? n~t) A arén. Dlotte-PicqûëC.

ClQMÏfPARIS^fl1a^ par semaine': jeudi, samedi, dimanc. Mat. jeud., dim.

tjKATING RINK. 8AINT-DIÇIER (So,c>â Immobi-

SKATI~G Rl~KSAINT-DIJ:)ŒR (80,C'6 lnïmobi-

S5licreetSportivo.«séanc.pr jr:mat.,10hl/2(cnt.lr.

Ioc.p.at.if501:ftp.^n\<li,3i>à6".i/2(fint. l'50;loc.pat.2r); sbir.l9'M;ent'.ifD0;locvpat!2f).Orch.50mus.T.642,13.

tTATTD TPTUTÎ1!}1! OuvcrtolO'Mnatinàlanuit

ilUlitli. Ml1 vïhll ï«rét.:Rest.-bras. :Déjeuu. jj^ct à car ty.Matin.'a'U' théâtre dim'. ctlèles.àSh. i>^piN.-D^AC^mÂT>fïlDN~Ôuvort les jou7s~

ï TTAT k D A DIT (BoisdeBoulogucl.ïlrecteur:

Kl J1N AT AtllV G. Akoijx. Attr. inéd. etsensat.. (T.562-4-1) Ent.lf do'tinvdroit.1 atti-.grat.ihàminuit.

~Ï~fMQ n'TDT~

VloIUlXo DAM 167, rue Montmartre. Projections Gervais-Courtelleinont. Téloph.122.43.

ENGHÏEN. Sources suffurscs. Ëtabliss' thermal.

Casino. Concerts symphon.dsle Jardin des Rosos.

AVIS IBOKOAINS

Déplacements et Villégiatures

des Abonnés du « Figaro

"*7 iEN FRANGE S/-A. T. et R.'Mme'la comtesse d'Eu, à Boulo-.

gno-sur-Seine,

Mme Boyer, à Coye. Mme Victor Berlioz, au château de Cabriac, par Douzons. ̃ ̃

M..le ptinco Jacgues.dP Bi'oglie, à Biarritz. M. Paul Chaperon, au château d'Issou, par Garganvillo.

M.Raymond Constant, au château de Poilld, à Charentilly.

M. Maurice Fenaille, aux Cliatelliers, par les

P.ontsrdo-Cé. ̃

Mme Girardin, à Croissy. -•̃•

M. A. Kind, à Nancy..

1 .'•̃̃' A L'ÉTRANGER 'M. Fernand. Doyen, à Bologne

iM. Dervillé, à Turin.. Mlle Fox Powys, a Mulhouse. (M. Alberto Garcia Lagos, a Montovideo. jM. Gaston Guiot, à. Tanger.

j \.y- .;̃ ARRIVEES .4 PARIS ̃S. Exe. lo général Chérit' pasha, Mme J. Alexandre, M. Jeari'"ÂicâïaYMnïeMaûri'ce Braunstein, Mme Louisc-L. Brach, Mme H. do Back do j. Surany, M. et Mme A. Bordelot, M. Edward -.filount, M, lo. baron Pierro- de, GouberUn, Mme i .11. Chevalet,- Mme Alfred de Clausonno, M. "Deschanel, M. David Dcvriès, M. A.Elizaldo, Mme Jules ..Ephrussi, M. Henri Guillaume, 'Mme Maurice Idzkowski M. Paul Labbé, I Mme Elie Lazard, Mme Etionno Mxssard, Mme Henri Mougeot;- M, E. Stryienski, M. et Mme jH. ,Strosser-Péan, Mme Sturn, Mine Ilcnvi. SauihoJs ,çtïj Çhêvoi1!}: M' Pa.urTe.ujplig'1; "Ti)ucliafdV, Mnfê .la, 'cômtosso* Ty.szkiëwicz, Mme Albert Trêves, 'M'. Théodore Vcrdet, Mîno j Louis Vaz, Mme Otto Weiss. ̃

OFFICIERS WIHISTÉRIELS

̃̃: ADJUDICATIONS'

•Parts

VENTE au Palais, lo'jeudi 11 mai 1011, à2 heures.

IMMEUBLE R~:DE '\7TPUV 'M° 18

;SPe:RIJE:DEVICHY,:No:18

Mise A PkixV. 35,000 Francs. S'adresser M0 Messelet, avoué, ba Sébastopol, 02.

UH lUi lA Jcn. Bray, PhîUpp'sistors, etc.

80 fie. de Foulard < m^j^- ihToprof.liaBie, inipi'e'ssiôils bronches sur fond couIctu' ou glacé deux tons. vêH .•Empire, bois joli, cccisc, bleu d'outremer, .orre et marine, jujie à tablier soulevé

̃ --derrière, garnie aiiis.i que le corsage de salin AAfp

uni camaïeu, puipuro ajourée Clam-he et I{U or.jolic cordelière ilorée. l'rix sensalionnel %SV Exposition dans nos galeries à l'Entresol de nos plus. récents modèles du Catalogue spécial de Costumes. .^Grande -Mise en l'ente de nos Nouveautés en Costumes de toile..

Ppl Crnn ÏpyK^ f?1'11'0 droite en écossais

ff'~ra(g%s~loltev dispoalhûns en écossais

roiQilUli jolies dispositions, fjilet a petits

plis, col marin tonnant revers avec ou sans T1!!

.régale, bord, d'un biais uni f fU Robe de Chambre *i$^ r dispositions choisies, jupe avec encolure

carrée guniie. ainsi que te bas de manches (J Atl

carrér aruin ,iO".Í, que le bas de mancJ¡es 6 A p

'd'un vnijint- festonné. v .0. T*U

ffîFfs de fillettes ^Sf^'S soie, crème, ciel, rosé ou pris, ornées d'un

..•.três-iiel entre-lieux guipuri" guiiuric p î pcjiciip.ts

m tulle .11O~i1UtL'. IOnd r.c :jupc. e,' n,t~!re,3' 9' ir,.

'iuiigùeur it«63 ̃ l'rix O«J IP..

Et 3 fr. 'en plus par. 5 ce*n)i)iiétreH..

Robes de fillettes ^uS^ ̃̃

lâiiic, crënie, gris, chaiiipagne. marine ou

niarron, cuipiêccmcnt formé do biais desoie.'ftft |jf|

-ceinture soie, loil-2 ue fornu:dC bi2ïsde'SOie~Q~A.

ceinture soie. longueur U"ô5 l'ux&e. OU

Et 1 fr. 50 en plus par 5 centimètres..

Costumes ta ilteur™ lviï™u\. chevronnée bleu et blanc, bu gris -et; blaiiq, •-

ornts bandes ni boutons, Teste doublçe. f* 0|»

Puut, bandes de boutons, .c>te doubl~c, il 60

Pour niitties <ie H Ài'inxm. Il OU

lie i'J â il', ans ̃-̃•.|g. 9O iairieitraiiïÎDaire Rayures Pêktn

'"sur, salin (ni S!ive pure hiiu; jolis Ions

c&iA;i£t-'ii- ou pri.iii jïoii* sur iouU .l'onlcm-, 4 |jc

largeur 120. Valeur 3.90 I.c métro I SfO

AD.ira stencil. C!mmb.des'nol. Paris, 80 mai iOli-î-

IMMEUBLE r> TLCARTEL, 6. C" l,7TOra. Roy. br.

101l\f1ljJ;;CBLE'R j4~ ~~RT, El, Li, Gee 1,770m, Rey. br,

de Rapport it.-M 5a,itlf. Mise à p*55O,CKX)f

MAISONn rtOXCOi;RT,3ef,5.(>e770B>.Rev-. de Rappout JK,.DES U br.31 .434' M. à p* 3OO,OOOf

iri y £OXS-LAFFITTE f S.-O.1. PROP'" av.F.glé,

3°~~ o~'t3bve 0~ li.4titi~,ltb \1:iPx40 OOOf.Sad.

MAI i'eZ,ï"»».C«().466'li.b.M.àpv'iO,OOOt.S'ad.

aux not.MceII.Morel d'Arleux e lR,OBiN)2,r.4-Sept'e.

Immeublb'-F) AD'PDKAMPF' ul- CC0593m. Rev. DE Rafp1 ïi. UD CjH br. 29, 13()f. M. à p.215;O0Of. (Créd.foi»Q.poavl(5t.coiis.:llà,000f.Ad,i'.s.l;ench.Ch. not.30 mai 19 l'i. M»R.onix, pot., 2, r.dn 4-SepteMbre.

VENTE au Palais, Paris, la 20 mai 1911, à,, deux heures, MAISON à PMS.EUE CONDORCET, 11 Contonanco 41'J mètres 53 centimètres environ. Revenu net.: 19,660 'francs environ.

Mise à "prix 2-)Q,000 "francs. S'adresser à Mcs CASTAiGNET,Harraud, avoués, et Courcier, notaire. Province

ADJ0D mairie doMEK(Loir-et-Cher,lo21mail911,2l1 TRÈS BELLE PROPRIÉTÉ Mk roule Paris- Bordeaux, comp1: GlioM;iison,comin., terrasse, jardins,terre,prairie,plantations, sources, pièces' d'oau.Cont" 4 iioc.t– II. VASTE MAISON BOURG, prpp. à com" ou'ind., cent. ville de >lt%R, comp. 18 pièces," coram.'v cour et jardin. S'adr. M0 Baron, not. Orléans, ou. M" Deguéekï, not. à Mer.

VENTES ET LOCATIONS

~~laT 1'1

'̃̃'̃ Locations

Paris

Av. Victor-Hugo, 115. AP'Och.sàl. s. àm.cab.t.2,.i00. PEHSIOHS BOURGEOISES

Paris -•̃•̃ .'̃• ̃ ̃'

MniVT QTT7TTR ÉTRANGER cherché CHAMBRE lilUl\ulj_LJli'av. "salle de bains ctpension dans lamiïle française. Ecr'. V. C. R., bureau du journal. PENSIONS DE FAMILLE

Etranger

H7TTATPC! f1 1?\TC! ou Jaunes DEMOISELLES JJ_Ul\i!iOljJ_I\ij désirant apprendre ou se. perfectionner dans l'allemand trouveront (aussi pendant les .vacances) dans famille distinguée de la Bavière bonne pension à .conditions, très favorables. Références a'disposition. Madame 3USTIZRATBURGMÂIER, Moramingor (Bavière)" HWSOHS RECOBJtBAHDÉES

Médecine, Pharmacie

LE Meilleur TONIQUE est le VIN COCA MARIANI Alimentation

̃ MENU- •< ̃ >̃'

ffuîtres (FOslendô, '*] ,• '•. i Qarbure ̃ ̃•

̃̃̃•_̃ Soles Argcnieuil.

Jioix de veai(ri\fivernais& ̃•

Perdreaux; rvlis '̃•• Suldde" .̃] i. f Shoux-fleurs aif gratin Omelette •souf/lée, à l'orango e

Fruits ̃

Café Sanka ̃ '•

CuvaçaoonangesccWynandFocklnUd'.Amsteriam

̃ *s ̃

̃-̃••̃ vi^-f, ;̃; ̃ •• '.Sainl-M-arqeaux.vivt, bvuklSÛÔ,

AVIS COBBiERClAOX

AV!S Ca)!!t!iERC[tOX

Industrie, Fonds, de "Commerce

CTfflTT A fil 'artistique 20,000 fi'.aVec (iO',000 fr.

'SITUA' T:Arn:I,S1'IQUli 20',000 fi'avcè W;OOû l'l',

ultUAL. Très] scriema..Ecviro-: -P. 11-Figaro.

&pT7flMX^;ÀRTÎSTjet;cpMMEIJgIAI,15;

iJH.jJJ,,k,IJ W~ c(;]f;~ro, ~0 ~d G.\)~tëpce,

cl^n.t..téjmhjnerfaite,.4èwre OOMMANB1TE poui"- ostons.mbflerné.'asceus./cte'.Tr. itit.p'.ino honimo bhol'am.'Sit:'av.R.d.'Ag.EcivBuR-ïv5Q,r.Sl-Gcorgés.

Pa.ns irTIVT.Ç! gros)déta.ij,c.i.dresvsij.u,éprôsécluse l 'Oise.'V llNp et'arrét denorobreux bateaia-.Aff, 50,0(0 ir. au comptàùt. Loyer réduit a 550, l'r. Prix- très avantageux. 1573£' PETITJEAN, 9, RI DES HELES, PARIS

OCCASIONS

Ventes, Achats, Échanges

[~I1 DEMANDE a awhotcr CtIL'Pl:s;'1 garnituné

ON DEMANDE à acheter CÔUPE~3}4 garniture

blouo d'occasion. R.DiiU.ïz,15,r.d'Enghien,Paris.

~A 0'

PYGMALION

LUNDI T MAI ROBES MANTEAUX Splendide Catalogue artistique en couleurs:' y "es Souhaits à travers les âges", f

PARIS

9, B11 Sébastopol (angle K. KhoiiV PARIS `

''en tulle nouveauté, ioîid ilc-jaiie. cu.iudetas, OQ-

IffPfflP /?//J7/PO"lonnc Kimono J

lUCUiC DLUUb G en crépon de

soie, qualité exceptionnelle, jolie colle-

l'efte en brodoi-ic application, sur linon

ccru, large dépassant noir en belle moire

française ornant le devant, 1 encolure et le

bas de manches, poignets en belle den-

telle genre Valenciennes, n'existe qu'en

nuances changeantes, ou unies, beige,

amande, violine, nattier, groseille, bronze, f% marine, iflâi'roïV gris clair, gros vert, U ft|ï doublée ba-lislô. Valeur réelle 20 le- Prix U>il9U Inll'o RlnUQP e" l)oau lussor tout soie, Uullj OlUllOu oinpièccment formé par des biais tissu pareil cl des jours au cordonnet,

article lavable, doublée- îiansouck, en «cru | rt

seulement |(J |{J Blouse lingerie cnU^^û0 d e'ntre-deux dentelle fine, large empiècement formé parmi motif guipure-ridic genre Irlande et. des petits biais (issu .pareil. En blanc C IIC seulement 3 HQ

II Ul fit! ca Ka'jlls°ic souple Irus liant-Volsut

uUfJU/l gaufre, nuaiices -mode et- noir, n !7| Exceptionnel 9 f.JJ /nn/jnelle popeiine delaine.rayéonoirct uUf/Ufl hlanc, tres.iiaut volant plissé orné f qe de 5 rangs de velours -noir 1 J 90 limimmanteauiï^ziï nouvelle, grand col, parements. et manches

ornés dépassant drap uni assorti. l.ongueui'130. A AFn

Val.ew39 fr.v. prix 'Ci,

Inniï MfintOflll to.luUc; de soie, garni

\Ml MU II LU U U riche- dessin 'd«W ûerie, cnlièremè'nt at)Uble''j5oulëUe soie' jrîoïfe, n M rp i.-o! et devant ornes tresse soie Prix «|*r 'Pph/if/lP !iea'' pour l'éréiiiouic, en vo;lo J.UHU.I fJC de soie, orai-i; <i1; ruban soie

ftevicts pans -totninés |>ai' un enti'c-dt'as- itc-» ^c

tulle brode et d'offilés }>rix §0 fy

6ÂBBE-1EUBLES f DÉWÉMftGEtEffrS paris ̃'̃• 'j: MAPtÉ 1 C°, W S Rue BOUDREAU, pres>clo_ VÛp%ti, ïliËNAGEIENTS, ̃ -̃•̃ ̃ ET GARDE-MEUBLES; Emballage fait par des ouvriers expérimentes! Expédition de 'Mobiliers ̃̃ J)ans TOUS LES Pays DU Monde Vastes Garde-Meubles,'

-Réception et livraison dû bag-ag-es.

DEVIS FR ANOO SUR DE-MAIS' Ï)E- y' tiOtELS&PENSIBHS DEFAILLE RE60IBBIABDÉS

SUISSE V17¥FV '(Suisse). HÔTEL-PENSioN- NUSS. lui JjJl Nouv. construit. 50 qh.çAr.av.lxacon.' Port prive. Parc, vuo syuperbo. Cuisina VoLiojuifiè'o. FRANCE

NICE -TERliuS HOTEL" £$#. ̃ mvd»%euia.ce\a.ï>a.Ye/SransporCaeb"aga;jesyMhiîC

îwrnu g^hotel ûviivsifiT.fîSiwsaard.nubL)

lIiuJQ'165 chambres,30àppartr>'a,vcà salle do b'alir, 70 balcons. Chaù-tt'age central à caû chaude partout.

AVIS

En France, les Annonces 4o Villes d'eaux, Hôlch- et GàïA :nos jouissent d'une .très grandfi réduction pour un minimum de la insertions par mois.

VOYAGES ET EXCURSIDaS^ 1.

Navigation

NORDDEUÏSCHER LLOYJ)-4. ̃ CHERBOURG-NE W-YÛRK

Service de paquebots-poste à grande vilessa Pr.-Fr.Wilh, '30'avril. K.-WUhclm-llri mai: <– Barbarossa, mai (via Boulogne-sur-Mer; ̃-»' &aiscr-WUh.-d.-Gr., 10 mai. £rcmen,.ïi niait GÈNES -NEW- YORK

K.-Albcrt-May. 18mai(-waNaples,Palornio,Algor) MARSEILLE-ALEXANDRIE ̃•̃

Pr.-R.-Luilpold 3 nvdï (via Naples). Pr.-Hcinrich. :10 mai (via Tunis et' Syracuse)^, SERVICE DU LEVANT (ODESSA, NICOLAIEFF-) Skulari. mai. De Marseille, Gènes, ot&j ̃ GÈNES-ALGER [\ Gr.-Kurfu.cvst. 3,mai Kleisl 1 18 mal COLOMBO, LA CHINE ET LE JAPON' DE SOUTUAMPTON GIBRALTAR ALGER GÈNES Pr.-hitcl-FHed: ̃ » ̃̃̃ >, 30 àv:' -4 mai' COLOMBO ET L'AUSTRALIE D'ANyEIJS SOUTHAMPTON ALGEH Oft.VES

,Roon .l-jinui, 15 mai l'Ornai, 23maj, BILLETS COMBINES ET AUTOUR DU M0ND15 NORDDEUTSCHER LLO-YD-PARLS-OFFICE; i Paris, 2, rue Scribe; Nice, 14, aven. Fèlix-l'aurà J Monte-Carlo, Galerie Charles-IIÏ,. j Postage "• ̃ Courriers à.moitrje à la poste demain, lundi l?r mai, pour. les. départs qui auront .lieu le 2 (pour JMaïadUe, mettre les lettres-matin): ̃̃ •;̃• .̃̃ .;•' Do MarsoiHer. par Eugbne-Pèreira (C. G. T.), poui' Alger, (rapide^ ̃ »•- ̃ ̃̃̃̃ *-> -y De Marseille,- par vuic-de-fiarvclona (C. G* M poui; Bougie et Djidjelli

De, Marseille^ jtày' iîpïsa [C. G. "'f.}, j>oi|r' Pona

et Philippoville;, ̃̃-]

Dd La Pàl'lioe, 'par! Léopoïdoitte (-B. M. Ç.)i .pour Tcnérïfle, Dakar, Conakry, Sierra-Leofloj Grand-pasi>amr .Banane, Bon» et Matadi i Do Southampton. )iar X.-Wilhalm-IIJ(Ti.x;K.C:)li pour Port-^aïd,. Suçz, .Colombo, Satang.'Sfn• ̃. gaporo- o.t;B;«tavia ̃•• ̃ ̃-̃ •'̃ ̃•̃̃: ̃ -v De Liverpoolvpai' I-cernia (G. L:)j''p'bu'r Boston* Du Havre, par Ansclm (Bj h.),- iio-ur Para" et Manaos; ̃. > De Gênes (départ 3), par Savoia (L. A.), -pour Montevideo, Buenos-Aires'1 et Rosario :'̃ .ij •̃•-̃•̃ ̃ (Nav'igajSllli):ij. ̃̃̃ -BEHSEIGJIEIBEHTS UTILES <

Les Saints DE Bkmain Saints Philippe et. Jacques ̃ Imprimeur-G&i'ant QUINTARD.

Paris. Imprimerio du Figaro, 26, rue Drouot,

Tfi ï llpll r c" SÇ!'SC coating pure laine,

I UlllOUI marine et' nuances mode; ̃

jaquette courte doublée taffetas tout soie, 1.'

garnie .calon etboulons métal, avec lisérés

et appliques toile veloutée' p6tin ̃ assortie, jupe s'ouvrant à la mai-che sur

un panneau de potin. rtabli. ̃ fit A In

Costume -très soisné établi, spécialement «t Ui'

__pour_noj£e_Réc_iaine du 1" Mai. ,{ &%&

Plus de 1000 pièces âe ToiiegrisàiUe -T bon gçnre tramo vigoureux pure laine, (ilotéc.s « "»r» et quadrillées. Occasion .remarquable. Le'méïre .13' Une affaire remarialile ,bq Crépon pure laine; bonne qualité, toutes teintes nouvelles, grande largeur. A ̃voir- do -suite*; ̃ « «r- ̃scnsationhcl. Le mètre ,1. tt g{|. Toile Tunisienne V extrêmement souple, grain grenu et soveux A nr nuances de saison, l.e mètre. C jg ̃̃

~BBa~E6nf8s~

p°TaS.°es«"mes BeaiffEenres Nouoeautés

nu» lalriV d une ull u tW 4 -ira- es i 1 m *y n «

Ur?eui îiO j, ,tt,, £ |)»j Jupes z^

:</M~CO))omc!~

jiuîc lai m. g,

Sfues soiisAtiutnu Hi't ,i,i\ m s ne lji Q| f) SU


DEMAIN :'̃ LUNDI 1er MAI et joufs suivants

r A-U~ n

~~t.'

PftRIS DEMAIN J j

jjjnm ir- mai

` et jours suivants

TOILETTES D ÉTÉ

~JL < m a-<~ M m < .m~JEM.m JEM

C.-Arcona (Hamb.-Amer.-Li.), Hanibourg-Plata, de Cuxhaycn, 29 avril. Ç.-Ortegal (Hamb.-Amer.-Li.), Plata-Hanibourgj do Buenos-Aires, 27 avril.

C.-Verde (Hamb.-Amer.-Li.), Hanibourg-Santos, do Boulogne, 28 avril.

G.-Roca (Hamb.-Anior.-Li.), Santos-Hambourg, 28 avril: .̃̃• Asuncioa (Hajub.-Amcr.-Li.), Hambourg-Santos, à Pcmambuco, 28.avxil.

Cordoba (Hamb.-Amer.-Li. Plata-Hambourg, de ̃ ..Bahia-Blanoa, 28 avril.

Amazon (R. M. S. P.), Cherbourg-Plata, à Per-. nambuco, 28 avril, 6 h. matin.

Nile (R. M". S.. P.), Plata-Chorbourg, dô Vigoi, 27 avril.

LIGNES DU LEVANT

Caucase (M. M.), de Marseille pour .Grèce. 20 avril.

Arcodia (IVO-l, de Londres- pour- Calcutta, 29. avril. •̃••

xjaNËsVu noedtÂmbrkiub r)

La Provence (C. G.T,), du Havre pour-'NewT

York; 28 avril.- ̃ ̃ La Touraine (G. G. T.),;vcii. New-Tor.k, au Baf vi-e, 28 avril, 5 h. soir. .̃̃ La: Bretagne <(Gr'G. T.),: -du, Havre pour; Nejwf

Yot'k, 29 avril-, 8 h.'soir. "1

La-Zo> > dirvc (C.' (7, ''l':); Ha.Yrc-New-York, 5ias,• consett, 29 avril, (j'h. matin.' i Virginie (C. G. T.V-ven. Nbuvelle-Orléan.s, attendu Havre, 29 avril soir. Noordam (Illd. A.- L..), de Boulogne pour NewYork, 29 avril.

P.hiladelplàa (A. L.), de Cherbourg, pour -NcwYork, 29 avril..•̃'̃'̃̃ Naordam (Hld. A..L.), dft:Boûlogne; pour' NowYork, 29 avril.. .-̃•' Lusiicmia (C. L.), de Livcrpool jiour.* New-York, '29 avril. ̃'

̃CeUiçiW.S. L.), do LivorpoolprX.-Vork,20 avril.

Finland {R. S.. h. ;̃; d"Anvcrs- pr New-York, 29 'avril.

LIG-NES DU CENTRE-AMBEI<}CE La-Xacarrc'(C.'ij. T.), de-La'Havarie ppu'r.Sàiot̃ .Nazaire, 28-avi-il. 4 h. soir.

Guadeloupe (C. G. T.\ de Pojnte-à-Pitre.pour Pauillac, 28 avril, Jl h.'raatin.

Jamaican iL. L.), de Livorpool pour Colon, ̃̃29 avril.

PROPRIETE FORESTIÈRE & DE CHASSE DES PAYS ALPESTRES

Ayant- en' piajeui-o partie de la h;mite .futaie et très pourvue de gros gibier, chamois et, chevreuils, est. à vendre bon contînt;. Adresser, qfîres sous V. 667^, à H^ASE^STEIN et VoffiEB, A.: G. Vienne I (Autriche). ̃

Ea partout lE f IoA~~Ilt0âT8~'

En vente partout: LE FIBARO-ILLUSTRÉ

D O CT & sMitiT. Mal»on f ondée en 1BD«.P<ui eoaloaa.

Il ri Et I Dacret-Bi««ANDRIE0.7O.r.laif«j»tte.P«rli.

MOUVEMENT MARITIME LIGNES D'APRIftUt

W ah uer-C asile. (U, C. L.)V ve'n'. Capetown, à Southanipton, £9 avril. Armadale-Caslle (U. CL.), -de Southampton pour-Gapetown, 2?.avu'il. (

.LIGNES D'ASIB y

A.-Nielly (C.Pt.j, Duukerquo-Haïphong, au Havre, 28 avril.

A.-L.-Treville (C.'R.), Haïphong-Dunkerque,-de Djibouti, 29 avril.

A.-de-Kersaint (C. R.). Dunkerque-Haïpongr à Saigon, 29 avril. ̃

LIGNES DU SUD-AMÈRIQUE

Italie- (T. M.}, Plata-Marseille, do Buenos-Aires, 29 avril. ̃• Algérie (T.M.), '•1Maiisoillc-Plata, de Santos, 27 avril. Malte .{C'.R.),'de Santos pour Montevideo, 28 avril. Caylctii (G. tw), Dunkerque-PÏata, do La Palliée, 29 avril.

Apority (C. R.jl' de Montevideo pr Santos, 28' avril. E.-ifpnarvh (C.R.),-d.o Dunkerguç pr Plata,28- avril. Hilary (B. L.), ven. Havre, arr. Para, 29 avril. fiildebrand (B. L.), Havre-Para, .do Lisbonne, 29 avril.

Antony (B. L.% ven. Para, attendu Cherbourg, 30 avril matin.

F u GUI DE-PRATIQUE de u BOURSE

[ENVOI FRANCO CONTRE « FKAHCS HAMBURGER & REMOUVIi 1 26,Rue Grange-Batelière.Faria

PAR 1

A.HAMBUR6ERS

LE PLUS SÉRIEUX J

LE PLUS CLAIR ] LE PLUS COMPLET i

Un fort volume richement relié contenant Let mtllleunt Mithodet de placement, l'Art de s'engager à/a tours» et l'Art de s'y défendre.

MAHCHË A TERME ET AU COMPTANT :| MARCHÉ ~ÂU COMPTANT 'T* :• i COMPTANT | TERME ',|||, TT 'COMPTANT ] TKRME trtM .i, VliM fffM

,1-A--TERME'ET,~AU COMPTANT, .~11.1 ,~11 1..11, MARCHÉ AU COMPTAN,T 1>~

.~11'FA,NT TERME" l'COMPTANT 1 TERME l' Pocid. Dlnier Il l' 1 Pr6cfd Bondir, l, 1 Pr4c" 1comier

PB!|DesIGHATIONPES.VAIJED,RS ^rg- ,1^ ||«P" ^SIGNAT.ON DES VALEURS ^^7^ J Pr^^Tyc^q^r^r* «™U DÉSIGNATION DES VALEURS .*£. Cni DÉSIGNATION DES VALEURS «*• T «WU DÉSIGNATION DES VALEURS «JJ. «^ Vvr Fonds 4'Ëtàts Pric.ct6t. crcours Dir. COII'I ft' ^S^^Hesil:: dl:: 1! fH ::• Fondsd'àats Obligations de Chemins de ter | ̃&££*;&* -• ?§°5o mî%S^z:~ || || f| '?- ro^asaffig^o- | | |1 | | !3;o |^t^^s^| àK^E Èï^

1. ~< .~14a' in Banque de l'Union Parisienne.. 1t~! 1165 1 1'62 164 0" 1.Ê'Obligetions de Chemins de te,r 25 Banque Suisse et FÍ'8Dçaise.. 660 50

.1. 1> C Franç,d~,IIanque~tdelillUes 555 5");).. ~¡.. .1 25 1> C,64 t Foncier Argentin 772 o' 773

13ô OjOperp6.-el '9570 958-7 8:, ,95,75 -75 -~5 82 9582 82 .0 1> Rente Fonclere. I),G.. 673.. 671 0/1 67_ 1_' Obli t'A Tunis 30' -452~ 25 454 ta 1> BoneaGuelma. 4h.. 414.. 8p' Mexical'n" 3'9 3"0

afr*300 ou 0 97~96 20 10 sh B de l'Af' à CI d 3,0 "1'>' 3~3 ~.1; 1> 1) ga luns UIUS 0 .v4 50 l~e) t 1 40 » Agence Havas 0 û6b

2 50 Anglais 2% ̃ 81 45 Si 10 81 5o ,£» C de- PavfAtttrkhièns" 1?o'"4êS-" 5fi9 2 50 Madagascar 2 v, 1897. ̃«•50 83.. :S Est52-D4-56,5% (remb.650fj. 648 6*8. 15 BateanxParisiens. 288' 290 50

ft50.l.ft.. 112tLO/ 81~5 MI0 8155. 9,1) dAthenes. 13;¡., 1;;i¡).. 1;40.135.. 134.. ')~O"d 2"18' 02 1) Est 5:)'i-56,5 (remb,650fj, 6iS.. 6~8. 15 "BateauxParl'sl'ens' 28s- 290"-0

9950 de,. Pays A t, "0 '5.S" ~'o "<0' <> .a agascar" -1897.3~~ ")" 126 50 v

4 » Iî«entiB 4% 1896 ;̃«.. 97 85;)8.. 97 90 ~J ̃ Ba™™/e AutriclueAS.. b 0 56S o6b 5b9 3V190S-05 90 40 90 75 }2 oî0* ̃•-•••,•̃̃ fï! f;S 50 8S » Comp" Générale des Eanx. 1998

/0 18. «** 1197 Land Bank- of t ~218 "17 <c,' ')1' "'16 0 cr- ¡v 1- 30' Il 4"9 20 ,> Havr.aise Péninsulaire 4 -S ~-i ..489

t 4%1900 985098"09840 S. P'aS~p~ ~050 29Î:: :if~ 1)- ,onouvees. 3~ "0" HavraisePe'Dl'nsulD;re L'S" 489

4~, 4 1889 sq -~5 8~ 2.-D 89 10 89 1- "que Espagnole de Crédit 1'0 50 "'13 "91 a 1> ,Kfrîque CClu,e:o. a e 451 "v. 1" 50 2" 0' ~,187 0' Chargeurs 't,

0ISIA.11' (pwv. de) 1". -491 à9O 50 494 e.. 18. P,4 1 -Hypothécaire 814 !Q9 t) gerle 3 11)02 41~ ,l.ei Est-Algérien 4;)2 o.) ,Contfnentale -1060~ ..107~~ 1

2t 68 Bueaos-Ayres(prov.de)1909., 491 00 490 50 494.0 ~E ,= Hypothec!UredBspagne, ~14.. v~8. 17 50 Indo-Chine3~% 1899. 467.. 1:> 1) E~t-Al~énen. 4~25 4- 1301> Contnentale Edison.. 1062 JOiS

?!^Gldne^orl895..T. 100 iOd 20 99 75 100 25 Zl M |i ff «annale du ^ex^ae iI03 UJ2 1106 llOC 1103 î| ̃>; ^«2-. •;•̃•:• £ .15 » -sg nouvelles?. 410 411 | H^l^ner gie ïl^riqne I 9 S0

4 Gbiae'4% or1895.0 100.. 100 20 99,75 i-~o 25 ?~ 3i = Natlonaiedu lfex~qu~ 1~9?. U! 1t~ o' I~PG.. 1103. -4'» Autrichien or 4'96 ~~9 99 50 1~ » 37g,nouvclles.u. '1,0.. 2250 Havraise d'Energie Electrique 51950

j) Congo'(Etatdu)Lots'1888. 9150 ,92.. 91.. 91 bti o' ~3 41-de Londres ,'et de igexico 638 0' 6.'39 6.~().. 6~ o. 15 » Domaniales d'Autriche 1866. 1:> "Nord3/0. !¡19.. 40,:> o, 20 » DocksdeMarseille. 435.. UU..

t: || J# '»« «s H £|S?- 1 ï-'g^ 1^1" g:B^feg*ï^ S:: éosë | 3% nouvelles ?:: | | :Eœ^»*K&ï.™

8 75 Mtien3% 103 45 103 40 103 4o -5 «* ?4_Zft n^ /S S Jii '«'ifi ft" » 5^ 1902. 510 50 513.. k M nT,ial^r. ?j? •• a'° •• 30 » EtabUssements.Cusenier .591 -590

e U/'nl'fi'é'co" 10340 103 40 103 50 10330 '.0" d'Orient. 14750 141 25 146.. U6. » E -t 8'0 t -0. ~)ID 50 !1– -5~i~i~~

lè^"ïSéêiv~^z: 'Si 'SI »?l sS. = .ISffi.ajiîiiiw; à î° «!? | S5?:: «s. | :g™-s». m. é;. :M!î"i;rn.™ii«:r: «î:: ,i«:: r Sx" ,1

-privilégiée.97 9725 9? (;5 ~'7 25 9] 25 .11.a 1. 00, Haïti 60'; 1896, 5[2.. 515.. 15 ~I> 'onouvc e~ '1. 70 1) Duval. 13[JO.. 1a~H..

.i.^»S!S!J^r. «m «» •» » » :Mj,S;B™ *-jj ™- !»•̃. si .•̃.«•• ïïjiSSSSïSi;»:; =5!o«Tt3^K!'('*ml'-î'ax"-1- ?ij- S- » ̃̃ n««««-<.«,i«.j-i>o».io s«i6

.& t> JapoJl'4%1905. ,9~ 90 9;) 90 ,9;dI0 95 'JO .r,6 777 o' 7:6 h 1150IHellénique'1-881. '271:1" t: 5?, 0 t3o;oÍ!(l'emb.a500f.), -373 Ii F!garoc,x-c.17,10f.jcenov,10 5~O 50 5.14..

Siri.l»Sa:===«2«::«S =." lî»S^SS;r° i' ss::l:: N»KS;SSS& liSISS », |«v.k, g:; jg KïïKss. 55

t .!tM!i<!ae4%i904.«– 940' ,!15- ~P B''cteteFonMerednMe~9ne. ~3.. 313 34. 341 4..Hoiigrois4~M. 9730 9820 ~Onest~~n~ ~nî~ ~°''tetd~I'Est9170

:jiJBS«ffi=i=:-8a-8r. «S-ss "̃<lfe" "V" i :SaSS&:i-S? -SS 2:œ's: i « "s | :r^fafâKï!IS::p::

.P~ 66.5 66 '6£ 45 ,6i -̃• -•̃-̃. ACtlOnS industrielles •̃ ̃ Bnssie-5°s l»'» 127. ;? »uauP™«^ 41o 15 » Grand-Hotel 278 &0 i Kfi /.i?cy <qnq 10185 10190 1019a 101 90 Ommftns. ».“«. t^4 6<6 s. faZo 674.- tj76 -y ««îuiufauoj o/i.jb.±os* w u^ «» j3 ̃> Snd de la France. 40450 40450 24 « Petit Journal 482 kftù

3 30L ~891 8195 8180 8!Oa 82., 81.95 L hiC G ,Transatlantlqueor,d. ~3b.37.3i.. 239. iffl7- ~03". "At. 1:> "l'=<, F\l~lonno\lv,3% l¡j,).. 41:> 75.Schneider&Comp.e(Creusot),1"70 18Q:

3.<- 3~1896. 82(~ 8180 82.. 8220 8205 'M~Mri~~itim~~ ~t~ 2512 S~lWSBons. 5C9.. 509"5 'h 1 Méd'te '5°' ( 69' f') ?7506~50 60 ..GazCentrat.1699 0»..

850 i~ 9~ 8720 80 8720 82 20 ~2»--prior.. 17?50 ° 61:; M -25 ~Sn~3~~89<l~~ 9615 1:> ,(, ~oÓ, ,H~ 0' 2750Magasins'GénéranxdeParls.. ;'930. 6Óe..

'< 4% 1901 9: t: n: 85 95 50 !J5 40 ,-10, "Jl6~ropolltain. "00'" 66.:> 6~i).. 661 o' 663 61~~ ,1; 189~~ ~49 ,"5 50(\ 1.:> ParIS-Lyon3?0 185. 413.. 41!1 o' ~iO "'Mokta-el-He.did t P 17cO 1_

e, ~'P'4% 19ft.ié-»,=~' 95 5b i0~ i6660 3. -Sud 313.'l 7.. 31~ 3t4.. ~pr~ .î2 r,O l~P.-L.7M. 21,Io )? 15 '79 ~50~0:90::

J50 4~i909.=~i0i~ 10i~ ~95 i0i90. "Il :yc.n~ ~50 1)7" 674 o' 676~. 1i) SnddelaFrance. 40450 4<45(1 24 "Petit Journal 482 480

4 50 -4^ «*». mica wx ju m »d lui ju § B Ommmn Lyonnais. 1(52.50 50- 162 50 50 162.. 162.. 104.. '•' ,.̃,> i? » Andalous3?^l-sériP, 326.. 325 75 ti Pet t Parisien Part" bénéfle"- 5^9" 525 S^^Slï^ liô 11 Ie0 "ë50 ;8 ^^enP^ 1?:: f -fi:- ^!° Ih^ô I r^ilf 1; 5SS :v S:asS»?^ ST»"»:: I!ïg^ii=: 1:-P::

-4 1>, e:e 5G.ôi~ '90 ~o~ 500 '~56 S~65 ..ESt~M-~eno~ 60.§0~ 6< 60M ? "VtUedcPansi8654~ S~)M4.. 15 ..DaMS-H~at~reY.w. S84 M6:. ~fs~M~ao~

20 ? «»*«W»» CMsolide « »0. m.. 47|75 464 cîfG^.FraBçaiSBdeTramwAyB. 590. 591. 20 ». -1875 *?21-.V..V. 538 75 539.. 15 Loihards'3% Sud-Antr.Janc. 291 25 290 75 iJ? & C -T ̃&« ^? M '«03 S-; s ;:&;SS^=:: S? w ft « g^te^afe^tj: îg:: g:: gj:: ® | ;;• ••̃J^STS?! Ifi:: lr S-:»^.»^!?, |g- g5Ô Obligations industrielles

-Douanes 4e' 1909 493 492 1> 41,t .Française e Tramwgys 1590 .,r. -)91 m a »Lombards'3%(S u utr.)a.nc. 291 2;> 290 15 i-7 -5 ra~ac5. 80'" "'0 ,0') t.n

Q/\ Prjol'ité Tombac4% 467 442 ~I ures a BrIS.) 0' .a. ~.J no¡~v. 28;> 75 28a 50 à5 1> Télegraphes du Nord 869 87~

̃ f :̃̃̃•-̃ ̃ ̃" 30 » Boléo.. 75.6.. 774.760 769. 10. ̃ ̃ l^iM Métro. 4G0 -400 15 » Kord de l'Espagne 3«i l«hyp. ?,71 371.. »an,n™«Mr,fc »>c cn «-=

W.' ai 'm~ M.S.. 4~~ 4~ ~5o~teUprsdnNord(Jeumont). 4S9.. 486.. 4~tS6.. 4M.. M' '18982"n. 4)6.. 4~0. 15 .-Sara'gosse-CnencaS~hypot 369 36550 !<aHOf!S.~aoUStr~e//eS

20. 4% 1909. i377.. 431~ 1 ,12 50 4te~ÍersduNorli(Jeumont), 481) 486 4~i !~6.. !O, 416@ 1~ "Sara'goss~'Gnença3Co?YpÓt.. ~69., 3(;5 50 ~Qbl~gatlons IndustrIelles

.11ffl 30 "Bo~eo. ?5.6.. 7~ ~74 760.. T69. i0. Jl~99Métro. Métre.~ ,,71 371 15 15 ..KorddeI'Espagne3"hYp. de l'Espagne 3 t J'rch~,p. 37).. 371.. t.t! t~~ l'

̃ •̃ Âr+inn<: gît* rfit>min<n1t> ft>t» ̃" Cuivres «t Pyrites. 180.. 180.. 178.. 1,79 Î2 50 ̃ -1904254 445. ,44-2 20 15 .( ̃i.. 3%2'hyp. 3Ô2 362;. i, » Panama Bons à lots 1.56 50 1-56.. ̃ ACtWnS OC \*neminS de ter » Mamdano action de jouis 340. 3& 343. 345.. U .».-̃̃-̃– ̃l'XÔ2%?-â. 385 50 la » Portugais 3% priv.l«rah"î'. 3S7 335 f? "• Sae«5a> v. &98 ;599 ̃ coo co« rok 35 Métaux 814 Si; 8j0 815 812. •>•1010 3S, 385. 385.. 20 ̃» Russes 4?^1903 472 50 47-> 50 '? t, f V"" ̃̃̃• -ia9 <o .459 hO '^Sîti^T^rMédiYi^Miéo' llP"llll H6b Hfô" "iSS » Penarroya. !227 1221 1232 1225 -1224 12 Villéde MarseillelS??. 4L« 50 410 25 15 Salonique-Constantinople 333'. 33^ ¥* du ^0S!"V; ?PU5 ^3 75

^m^"y 1012 1010 ?" <aiï" 01^ r" »̃̃*&»*»*̃ .̃.• mum^. m\. 3k- a >, tydnJ8S0 .m.. 112.. 20 Smyrne-CassabalSOï: 460 75 46S 50 ~? fl«mp«Bmji.«6» IMJjbk.60? 75 502

':S 1 Ge m S "'0 'NI :1,1'> ')fll .,0 S r e C b 1"nl' "').- ¡6" ..ompagnljl es ",e ux. úu"

W" £îa 1540 1S40 1540 1543 1540 .162.53. Sues. 5490 5480 5492 54S0 25 »̃ -̃Kioto(Japon)&fél909 513.50 20 1S95:.1. 443 50 442.. $ S* u|- ^J" f^W ()

îàSEEZ=^>i^™l:- &gfc&Kfe: 1,1:; 3:: f >: ii^à.i^o^.i^r: a -̃̃•• -•̃ ^^8:$ $? Mm, 260 255 254 259'* «57 16 &2 privil. 345. 345- 3U ;i 13 » Oblig. Commi» 2.60"B 1879. 4S3 4S0" ActlOttS industrielles GaZ| wUJ"Vi; f? *9S If" âSS*5S»r* 826 #5 ̃ 8»5 1 ~-105 » Thomson-liouston. 790.. 787.. 792.. 783.. 7*6 15 » 3 '>018Sa. "505 503.. ->5 Aciéries de France 77= ,™ ® »- Français et Etranger. 493.. 490.. f rffi^T :• f| 8:?:: -λ. i»:; & •̃ •wta«ta.^ord..l. 334., », 334.. gw. « ̃ 3^1 m.: 0' «g, s :Aci?e8^Sn^y:i^ilf:: g,:i&5^n&hàiit<4ij 650 ^i

o' !)rl'or ") ".0 '}~6 "6"" 1" 260°' 1892 '-6' 1390 <).. 2. ..a\'ra,se norgle glectr. 4% '0.. 296 [Ji)'

i»8SSSa^=-S*ôSsS::ffi: g ttâsSMffi: i:: l:: îi:: 811 l:: « g=:" 1:: S ^1^ î^ 1490 if^^fs^^t^ l50 400::i

~4 '~O i5 "Atel,etChantierSdelaLoire, 1 PO o, 11750 M:essageriesMaritimes: 401-1 400

1.6' Norddel'Espagne. 41'0.. (Q8.. 412.. 45.9, 1q J) Distril?u~l~nd,Eleçtrlclte. ~O!:i.. 4(1~ 4C,6 o' 4Ç6.. ~01" ~a" 3,190£.01 go 0)00;. 45 "Chant',etAtel, de St-Nazaire. 1045 1OH.. >,12Ô ..IomnibUS4% 506 5[) 506

.p",onugais. 36!).. § 30:: 6S- 50 56b.. ~~I.. 5\i1.. ùth.. 1~ ;:0~ 508 50 507 _7L BaÍlcodiRoma. 1QG50 106.. 2250TabacsPortugais.o. 50250 50n::

"150 fflwayset3lectricité.] 167 16'6 167 161> 166 15" Télephones. 3.0.. 3.0.. 15 3 0 1883, 4-iJ.. 4.,>>0 Bahqüe d6 Illndo-Chine 154', 17 50 Voitures3'~0', 40'" '0' UOI

^S- =j g; B5 «>: 8:: »̃ ii^^r:^E lo »:•? S. ÎS- Si! î E v|l€i; Sr! il:: S.g2»Sgg-g:: gBg=g^ï«: -g::

W P 33 56 JI tramways. 6'- b4j MU 6tO 6'0' 4 ~.iiU~.iSHO.. 4~ 4<j 20 Privée Lyon-Marseille ~7 tf;< 'i ur-.trnnc Titstm P ,O. ~A- c~-

.̃̃;̃ 18 ». Wagons-Lits oi:d. 498.. 493. 497. 15 •̃» 3a; 19Q3.L.. 501 5C 500.. tO ^yon-marseme 4o7 461 NK) ». Wagons-Lits «Jb. 50a.. 50o.. Sociétés de Crédit *8 •• pnvii. 505.. 502.. soi.. »» '3?i'i909 25,675 25e.. ̃-̃' ̃2 65 Briansk ord 478.. 471.. 471.. 474; 47?. Bons à Lots de 100 fr. 1887. 67 50 50 67 ,1 .'̃ J, L,11, ss–smss–s–BBSism

145 tSS Banane de France 3975 3970 4140 13 25 privil., 459 50 456.. 438.. 458.. 460.. 15 Obi. Banque Hypotn. 1000 fr.. 563. TUI h T> f* XJ Tl X^Kf DHMATTC A rr»C rkmrn

las 83,Banque de France. 1~, 3975 3970 .0 4140 13 25 .privi, 4zig 50 4b6 458 ~5: ym.. 15 Obl. Banque'Hylpoth'. 1000 fr.. 563. MARCHE~ EN BANQUE A TERME ~-1

66 39 de l'Algérie. 1973 1968. » » «akeewka privil. 309- 302.. 305.. 307.. 301.. ̃ m/\KV»rilli Ci W DANvU& A i CiKMci

i--©^»- de Paris et des Pays-Bas 1795 1804 1791 1799 1800 50 sh Rio-Tinto 1700 1720 1700 1716 1713 Actions de Chemins de ter T

112 50 Transatlantique. 322 320 316 315 316 35. » Sosnowice 1483 14S1 1487 1490 14S2- ^»V«uiip u* v.ivm iw ut •v.IB.nt>c Ntid .1 Otrniir III “•' "SS "^7

«^Compagnie Algérienne.. 1295 1295 1280 ,l£ Central Mining 351. 350. 350 s 30 » Bône à Ouelma ,670.. 609.. "BEI» VALEURS rJ( •̃ «™r KlffU, 'l VALEURS ^™r

4,') ,¡> Compqpie Algérienne. 1295..1295..1280. ,1,£ Centrallilining. 351. 350.. :]'50.. 30 "BÕneàGuelma. 6iO:. 6ô9.. LE S Clôture C-our3 VALEURS Cl6t~ Mllr

32 50 Comptoir HaUonal d'Escompte. 918.. 917.. 9*8.. 8 sh Làutaro. 254.. 24S 250.. 250. 22 50 Départementaux 62450621.. mm mn 1 1350 ICcéd.Fonc. d'Algérie (non lifc). 659' 659 665 Azote norvégienne 290 292 297 2S5 2'»'0 130 » Est-Algérien 692- 690 32 » FoncierdeFrance. 823.. 82S.. 831 825 "•.• 53" 25 Bakou. 864.. 870.: 805.. 877' 880.. lia 50 Est, action de-jouissance ;•̃ 386 50 386 50 # ̃ ̃ 15 » Industriel 733 735. 32 04 Provodnik 662.. (J65 659.. 663.. 664 .J 44 ..Orléans 802 Valeurs dlVerS6S Af/nes 45 » Société Marseillaise 963.. 962.. 963 » >, Raffineries d'Egypte ord i 79.. 80.. 79 79 21 Ouest •– ̃ .474- 473 50 60 •> Crédit Lyonnais.. 1471 1471 1470 1470 ̃privil. 83 50 82:50 SS 83 .T. 25 •« Midi .530 527 .5», Argentin Int. 5?i-190o., 9o 90 Brakpan., 68 50 67 75

35 Mobilier. 697.. 096.. 695.. 69i 694 20 » Tabacs Ottomans '351.. 354.. 352.. 3àB ̃ -r.. 56 » «ord 1131 1133 5% Brésil 5 189o 101. » CltyDeep.'V. 99 50

17 50 Société Générale. 774.. 775 775 » desPhUippines. i. 390 3S3 "i., 118 75 Ouest-Algérien. ̃ 620 50 621 i>% 9~ 1903 103 50 » » Cnartered 45 50 45.. 13.75 Banoue Française 335 50 334 r335- 334- -»-.̃ 2700r. >- Portugais .548 ..559. 6 Sud de la France 191 50 191 50 '4« 4% rescision 8925 14 21 Crown Mines 198.. 198.. .̃̃ ̃ -•• ̃ 6% Buenos- Ayres 6 (prov.de), 9945 ,99-50 23 68 DeBeerspréf. 439. 438 50 j^mlmmm^^BSSSi^m^mmmSS^m^mmmÊmmm^^âmtmmmimÊmmmSSSm^BSmSÊiBSiSmmimmimmmmmSmm^SS^^ 3%% 3 V; ;(prOV'de) 14 80 23 71 Ord, 47°" 471 ̃̃̃ n* k i>r« U & O rr« » ji« u-htilio ̃ ~r~' 4^"» ChiU4'i?i.or 6 de). 95 90 1 78 Durban Roodepoort 45 i ̃ MARCHES ETRANGERS .•:̃:• •̃̃ > 946EastRand 120 50 120 50

_r_ –g :̃̃ M Espagne Intérieure 4% 7730 13 03 FerreiraDeep.. 122. 121

1~Clôture Clôture 1. CIÕt ome. -,IALEURS~1 '1 1 1~j~urd: l'Mt ~eXlc¡un5% 511/ 5117 7110 92 Gold. 181 18150

..>̃ .ia^ ,™ i,s.i"i-~ ««».̃ i«H ̃»£, .TA«».:|«y;^as. **>»̃ m*G2i i^iiE: 11 !?? iSaâSiEiË'l»'?

p O/D, TransvaallenS,1). 96 i)0 s 28 GeldenhulsDeep 81.. ~1.. 1

<!W^™ ̃ mmm ̃ ̃̃ i ̃-•; I 1 20 General Mining Finance Corp. 11 40 75 « FerreiraGold 7 1/4 7 1/4 NéW-Vork 29 avril/ Great «orthern 126 1/8 126 5/8 129 Union Pacific pref. 94' '9,4: 97. 12 50 Balia 367.. 367.. 413Gocn(Mew) 42 75 ~-z) 42 25 2,i, Londres, 29avrjl aeduld. 9/32 l 9/32 nur iwin, « viv. Ilinois Central. 137 1/4 1S7 1/4 141 Wabash 16 1/4 ,16.1/4 17. 35.14 Banco Pérou JLondres 612.. 612.. 2 38 Goerz. 26 75 27 25 Gsldenhuis Deep. 3 3'16 3 3, 16 Call «oney 2 1/2 2 3/8 Louisvillo&Nash. 145 1/2 146 1/2 .1~; 149 1/2 Wabash pref .36 5/8.36 5/8 37 3/4 101 76 Banque de l'Azoff-Don 1700 1698 » Golden Horse Shoe. 96 96 2bl Consolidés Terme. Si 1/16 81' -tf*. General mining Finan 121/32 1 21/32 Changes'UndresA-ue 4 86 45 4 86 50 Manhattan Elevated.. 136. 135. ,̃• Lehigh Valley l~l 173. 9 21 Industrielle du Japon 215 210 o' s 83 Goldfields.. ̃̃•̃138" 137 Arqentini886 104 lui tioert i 3/32 1 3/32 -r- –.2 mois 4 84 30 4 84 à 35 Metropolitan St. R. -N.• ̃ ̃•-̃ 10 26 Peninsul. Mexicaine. 20950 210 5 02 Gold Mines Jnvestmeat. 39 3925 1889. 84 84 .(. Goldfields 5 7-/16 5 7/1.6 Câble transfers 4 86 75 4 86 75 Missouri, Kansas ST. 32- 32 3/4 33 1/4 AmalgamatcdCopper.- ̃ 63 1/S 63 1/8 64 3/4 7 56 Gold Trust. 83. Brésil 4K.IS89. SS 1/4 88 1/4 JagersTontêin 8-7/16 8 7/16 Atchison *108 108 1/2 111. pref 64 64.• American Car SFound. 511/2 521/8 5 >. Gape Copper. 16350 163.. » Great Cobar 11850 121 5&lâO7. Johannesburg ln*est 28'9. 28,9 pref 102 1/2 103 105 3/4 Missouri Pacific. 48 5/8 48 3/4 /• i'- Cotton Oil "52. 53 5'S ̃̃. 25 » Carpet Oriental. 386.390 14 20 Jagersfontein.. 214 '12 50 50

Buiqarel892" 104 1/2 10*- 1''2 A*ilee 12/6 12/ti convert. 108 5/8 109. National Mexico 2 pr. 31 3i /• ̃ Locomotive. 36. 37vl,S ̃» >> LotsTurcs.. 219 25 25 218 75 2 37 Johannesburg Investment. 35 75 "I

Du ô-t ~2 JL~bilee O" 3i .1 ~Locomotîve. 36 219 25 2187:> 237 Johannesbnrglnvestment. 3575

Chinoisok 103 1/4 103-1/4 Mipers. ,1 1/2 1 i/2 Atlantic CoastLine. 1Ï2 1/2 124. l»prèf 65. 67 .• Smel&R. 74-5/8 '"S 1/4 .I -5 24 Hellénique d'Klectricité 106.. 105 50 5 90 Kleinfontein 52 50 52 4% 100 3/4 100 '3/4 Baltimore S Ohio 104 1/8 104 3/i 107 1/4 New-York Central. 106 1/2 106 1/2 109 3/ i SugarR. 118 3/8 118 3/8 6 59 General Motor Cabpréf. ord.. 63 75 64.. 8 28 Knîgt's Gold. 75 25 75 °5 E«pte 3% 95. 95 KleKfontein 2.1/8 2. J /S. Canadian Pacific 230 1/4 232 5,8 239 1/2 N.-Y. Ontario & West. 41 1/8 41 i/S 421/4 Telegr/STeleph .,145 1/2 145 3/4 -) » def 29.. 29 25 7 51 LanglaagteEstate. 67 25 Eswqne ExtèNeure. 95 1-4 95 1/4 UmjJaagteEstate.. 2 ,5'S -2 -5/8 CnesapeaKe&;Ohio. 79'7/S 80 1/2 "> .82. Norfolk & Western. 106 106 3/8 109 1/2 Anaconda 38. 38 1 4 7 2 37 LenaGoldflelds. 150. 151 50 «aîiim^ai?o 102.7. 102 .7. Ma/. 1 1/10 1 1/16 Chicago* Alton.1. -24 3/4 25 .7. prof 98 3/4 98-1/2 90 Calumet &Hccla 482, ,485, 7. 58 90 Harpener 1Î35 1 18 MainReef, 26 50 Japonais49o- 013 4 91 3 4 «loyer and Charter. --4 3';32 -4 3/32- Great Western 20 3/4 211/8 Northern Pacific. 123 1/2 123 7/8 127 Consol.GasN.-Y.City. 144 1/2 144 7/8 la "Hartmann 778.. 7-77.. 9 48 May Consolidated 27 50 27 25 ç> "1910. 92 1/2 '92 1 2 Modderfontein -.12 7/10 12 7/16 pref 42.1/4 .43. Pennsylvania 124 1/2 125 1 7.4 64 1/8 .General Eleôtric 1563/4 158 1/2 » «Haut-Volga 118.. 120.. » » Hodderfontein B 68 67 50 Péruvian Corp. pref 42 1/2 42 5 8 Modderfontein B. 2.11/16 2 11 16 Chicago Mil. SS^-Paul I 120 1/4 121 l;/4 124 ReaSing" :• "133 3/8 154 ^8 ?78 3/4 international Marine.41/2 4 !| » » Huancnaca S0 7950 » » Mbssamédès Ce 1625 16 n5 ord. 1112 11 1/2 NewGoch 1 3,4 4 3* pref 147 148 N 2«.pref. 94 95 '•' pref 16,1/4 16 l,r4 » Uurium Grec 45.. 45. >. Mozambique C1» 2925 2950 Portuqais3$S 66. 66 .7. New Steyn.. 12932 1 29/32 Chicago SNortn West. 1M;. 144 3/4 l«.pïéf. 88.1/2 90 «ational Lead.. 513/4 '521/8 » » Malaeca, Rubber Plan t°"* ord. 240 50 23750 1 25 Oceana 17 Russe^lK Consolidé 93 3/4 93 3'/4 Nourss Mines.1.. 2 11/16 2 11/16 Clewet.C.C. &S'-Loms .57. 57./ Rock Island 29 29 3/4 '!i 29 7/S Pacific Mail. 24: ̃• 23 4/2 36 57 Màltzoff. 2208 2165 14 19 Primrose '6175

îuroUiiifié. 92. .i. *J2 Prem. Diam.ord. 7 5/16 7 5/1.6 Colorado & Southern. 52 1,2 '2 53. r– pref. 5S 1/2-/59 1,2 People's Bas 1051'2 105M/Î 20 i Phosphates Tunisiens .457.. 461.. » » Bandfontein 6050 6025

20 PhosphatesTuBislens. 457 o' 461.. Randfonteino.o.o: 6050 ûO 25

pwif. 8 3/8 S 3/8 prêt 75 1/2 75. St-L«iis&S»-FC02»p: 39- 39 1/4 Steel Corporation. 74 '7/8 ^753.8 77 3/8 lS;-3g MaUne.840.. 849.. 13 03 Hand Mines. 199 50 19950 Banque Ôttoniane: 181/i i'4 18 1/4 RandCollieries 5/8 5/8- De(aware&Hudson. 1671/4 167. Refund4%' 81 3/4 81 3.4 pref 120 3^4 120,1/2 122 1/2 ̃> » Raisin de Corinthe 226 50 22ô 6 54 Robinson Deep 78.. 78 Nat.d'Egypte 20 1/8 20 1/4 Randfontein ,2 11/32 ̃ 2 5, 16 Laokawanna 505 505. Gene*ral5:% 88'5/8 89 >.J. '̃<• ;V. Otah Consolidated.143/4 15 ̃ 3750 Gold 203 20250 Aqr. 6 7/8 7 Rand Mines 7.29/32 7 7/8 Oen»er&R. G 29 3/4 29 1/2 30 3/4 Soutliern Pacific. 114 5 8 115 1 4 118 –Copper. 44 12 44 7 S » » Shansy 49 25 49.. » » Roodepoort Central Deep. 10 25 '0" Grand Trunk ord. 27 1/4 27 1/2 Robinson Deep 3 3 32 3 3/32 .*r.. pref 68 1/2 68. 711/2 Railway. r 26 7/8 27.. 27 7/8 Western Union. 73 1 2 73 12 .7.1 2 96 Spassky Copper 102 50 103.. 9 47 Rosé Deep loi. lÔÔ Bexican Railwayord 59 34 59 3/4 Roodepoort U. M. R. 1 15/16 1 .'15/ 16 Erie 30 3 8 30 f 78 -31 1/4 pfeï 63 1/2 63.3,4 65 1/2 Argent en barres.1. 53 3/4 5U;3-8 24 9/16| 1 56 Spies Petroleum 48.. 48.. k 15 Simmer and Jack 3925 Rosé Deep. 4 3 15/16 2cpref 37,37- 3/4. Texas and Pacific. :26. 26'tt4 .Cuivre 1165' 11 65 »)Tanganyika. 124 50 123.. 3 55 New Steyn. 47 50 r>û 48 BioTinta 67 1/2 67 7/« Simmer and Jack. 1 17/32 1 17/32 –Ie1' pref 48 1/i 47 3/4 49 1/2 Union Pacific; 176 1/8 177 1,^ 1813/4 .6 25 Tharsis. 141 50 141.. » .Transvaal Consolidated Land. 57 50 56 75 Tharsis 5 3/8 5 3'A3 Trans»aalCons. L.. 2 3 16 *»' ri;tfi '1 ̃ • •“ ̃ ,-̃ 25 «| Tobacco (Oriental) 353.. 355.. » » VanDyk 6.. 5 75

Cape Copper. 6 1/2 6 1/S GoldM. 3 3;8 .3 il/32 VAi'TrnH<? Clôture I i.U.^ «îiTpnno Clôture, ̃ Clôture I v.,mDt, I Clôture' "(Toula 4U6 495.. 1126VanRyn. 110.. 110..

PeWn Syndicat New. 35/ 3aAvan0yk.. 5/4; 4 14 VAI-EURS précéd. 1 ftuJ°urd- ..VALEURS. «ujourd. VALEURS Éc jAujourd. .VALEURS Aujourd., .7 35 XJrilcany.. 184.. 183 50 17 61 Village Main Reef .94 25 94 50 -i dof. 280. 280 lianRyn 4-3/8 -4 3/8 ̃ p ̃ ̃ p P lW^UtahCoppsr. 237 239 50 » «ZambèzeO 17 25 17 75 Shansi 39/ 39/ Volage Main Reef. 3 3/4> -3 '-3/4 Canada Pac 22*9 ̃ ,o- ̃' ̃̃•"• 1 18~ 517 61 Main Reef eoldenKorssShw.. 35/8 3 5Ï8 <M£ Rand ConsolH 20 sh. 20èh^ Berlm, 29 avril' Escompte^orstonqùa 2 T/Ssfc ''3 ̃ STJfK? > •'•• ïf^ 7" ̃ "Barcelone, 29 avril J tt– EN, AU ̃ ̃

aSBfc^iBiï^îrSBCr1,1? Ï..ÎÎ. ï'ïi B-.fc: ,£, 1 1 Ch4wX- *B &|ii;; SBÏ^-V^il MARCHE EN BANQUE AU COMPTANT

S'=-~ S ~i ~S =. .Ch~1Interieure 4,8,(~l397~ MARCHE EN BANQUE AU COMPTANT

6u4-j^taeB :mkziï^a* SeESaSwS^E 11 f 1 s~"ï!°r" .ssts*S sa «̃ *»« .la-iri», |g,:ia- -,r*9«nl 2ti' ̃ ̃ Berlin Handelsbank f66 3;;4 167 5/8 .ggtrfchto. ̃ 65220 J Se^èhin'" §88° <=' 'Borne, 29 avril ̃ -I 1 T^– 1 T^~ tpex. 3 l'4 3 1/4 ÀÉTAUX tenq Russe p/ le C" 1^7 1,8 Autrjchiens 762 7B1 ^UReUsX&&« 4^ 1 85 18 sh Banque Nationale d'Egypte 527 54m Gelsenkirchen 1528 ÂtoloFremsh. 17/32 1 7/32 P ioMrnmntZ7 ?> s Chemms Autrictons. 161 5.^ 161 Lombérds. 114 20 113.50 8, P^T 177 -f | Rente 5% '104 20 104 15 15 p Hat»« Mexique Parts. 832 45 ULucette. 1018 .• 1019 AuroraWest 23/32 23/32 Culvr6 Comptant. 00 5/8 Lombards.. 19 1,4 19 1,4 Tabacs Ottomans. 333 332 Kmann -'94 Méridionaux 678.. 29 680.. 13 20 Crédit Foncier de Santa-Fé.. 352.. 349.. 28 15 Ouasta et de Mesloula jouis.. 550.

~e'- ~,2-,i~- ~1~Chemins lutrichiens. '161,5.~8 161 Lombrds 114,20 1 l',3 ariansk~ 1-i Rente 45 "LaLucette. 1018.' 1019

An~o F neh .1'17~ c,i,m r,omptmt- --), 5/"8 -1 Lombards -19 1!49'l -*M~ 33,)-Mëridionaux. :l 6~-s G~80 13. 20,Crédit Foncier de Santa-Fé.. 3b2 349 28 15 Ouasta et de lIIe810uia jouis.. 550

SalSining 13 3/4 13 3 4 Jermo m 1,(4 PrinceHenn lw 14 /Alpine. 846 70 *i7 50 Sff '^r' 1% •' S ChaftgrsurParis. 100 42 100/42 15 65 Crédit Mobilier Franç.'Pails. 337.. 333 12 50 parts.. 287 Chartered. 34 9 34/9 Etain Détroits Corn' W 4 Schantung 1.5» -1 /5 change air Pansage 94-Sfl .1..4 80 -ffi ° "r" f"3 ̃' S ̃ I .7% U.S.Worsted fi-t-fc-r. 1% 500 •48 m. Silésie (Zinc) piior.1. 1600 Cinderellaconsol. 1 '29/32 1 29/32 D1(m,r.nnlJr'f }2a l*ï Harpener 188 ̃ l!* i>;S Escompte hure banque \ï:> 3 i% ^««inik ̃'̃ -«43" ̃ T"- H 30 -HutcUnsua (Etablis».-) privil. 5C8 48 m. anc 1600

'"1'Change ~UÉ ~L'ç#ne,tt:$,- VMlle Monta~ne. 874.. 1)74..

Sa^.Iif fiW' ̃««––»̃ -SS'Si/iSî;SS»-sif? ̃̃̃.̃- »»»^-u 55r?-v:sdï'.baBgr-ï«*v*1ffi.ri: œS&!?±!r-ê:-& 0 'ourtenDaeii 1 34 1 84 A Paris. 25 2$ a S5 22 ptoeh, -Lunemb -19& 1/2 .7. »ètfDpDiitainflefarts|Cii7 intériaure4« -85901 Sa 90 Ricwli-Ja/icica ni- 1,4 Tji? Httta-Baiitûwa ;.̃ 2550. 63 « »- ̃>«"̃ lOSô v 10S0 '̃̃ ̃fiooa'éolil'. V 58- •a-fTS -:̃• ̃̃, ̃ :r -*tf9:-tlgétr.#iii. •^75-v ./y PariàeflneEle«ri<tue.f3i»- -ABOrtissatl* 4<Ç .vi: ft! r| -̃•&̃•& -v- ̃ •̃ ̃ m- -.̃»,] acjwiijouiss. '1620 1614 12 » oîblia-. 4 29C '«96

'fto(S'ectt '5S' '3"S ~<f)t).-tieeU'S:5- ParisenMï.tet.t~que.Aff)~iSMN<-4~ 9: .<<5. Il ~tj .acn<m;jouiM. 1620 ..1614.. ? obUa'.4% ~M ~9t."

Ea'stRand Propr 4°.V-pi 4 n:>' 'P Hamb.AmerikaPaok. 13iil,-8 Railways EleciritjuBS. jlt>7 -l-Ti-j -r" w;1* .[ lUl.i lt'1 85 î^isooune- ̃ l'SO » (Blanzy (Houille): ..T. :T.2-îS0; .̃q'Mflv.. » .» Maikop Spies' coup df'5- ̃• I "'̃> V ^-> FcrreiraDeep'.IIIi 4 13/16J 4 7l8* Signifie cx-couooa Honldeutsotter Lloyd. 98 'i -i Nitrates Railway lit;) 1 Banqto il'Bpagn'e i' ) 4j3 f>Uj AZi Primo-sur l'or.v 10 »ô -4"> »!Bruay |1:'32 » Ouest Africain français. àTs r Pennsylvania 1211,-i. Nord de l'Espagne. |4i."J Change sur Pans i 8 :!51 8 :ju 100 ^jCzcladz J2236 ^7 » Tav""Pousset&Roylcréun" 137 50 13i