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Titre : Figaro : journal non politique

Éditeur : Figaro (Paris)

Date d'édition : 1910-11-20

Contributeur : Villemessant, Hippolyte de (1810-1879). Directeur de publication

Contributeur : Jouvin, Benoît (1810-1886). Directeur de publication

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb34355551z/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 164718

Description : 20 novembre 1910

Description : 1910/11/20 (Numéro 324).

Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale

Description : Collection numérique : BIPFPIG63

Description : Collection numérique : BIPFPIG69

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Description : Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine commune

Description : Collection numérique : La Commune de Paris

Description : Collection numérique : France-Brésil

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k289037g

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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SO J&3& AIRE

Jules Ferry Colonel Makchand.

L'heure présente Vous ou Moi.

Les inondations G. Davenay.

A l'Institut,: Beaux-Arts Ch. Dauzats. La sanféde tolstoï.

La crise anglaise La date des: élections J.COUDURIER. L'affaire' Rachette M. Clemenceau,et M.-Lépitié i ACguste Aveil.

Banquets.

Gazette, des ^tribunaux La Chine à Paris GeohGiîs Claretie..

Courrier de (à Bourse Armand Yvel. Nouvelles .diverses La mort de M. Ranson (l^hypothèse .du crime).

L'art ancien dans le « home » moderne: Ghenya. Les Théâtre's. Théâtre 'de l'Œuvre <f V Amourde Kéèa ̃»' Francis Chevassct.

Mort de Gustave Worms Adrien Bernheim.

Jules Ferry

Un des-plus éminents « commis à la direction' de!ses affaires » que la France ait eus* fût' Colbert. Tout à côté de lui, deux siècles plus tard, vient se ranger Jules Ferry, dont on inaugure aujourd'hui le monument.

Dans la pléiade des grands hommes d'Etat -français, l'administrateur royal et le -gouvernant républicain occupent une place a part. Le même concept direcLorialle,s introduit de plain-pied parmi le groupe numériquement très réduit des pilotca de nations qui savent où ils veulent aller, et qui y vont. ̃••'̃̃ La condition primordiale de l'aptitude d'un conducteur de ce type à donner les directions est la faculté de voir loin en avant qui lui permet de discerner à la fois la route à suivre et les obstacles à contourner ou à franchir. Cette faculté dé porter le- regard devant est complémentaire. Elle a germé et mûri dans les méditations sur le passé. Une seule route mène les peuples de l'arrière à l'avenir.. Elle est droite.

Colbert a le don et les qualités requises. Il sait tracer les prolongements et « gouyerjiei' en avant ». De plus il s'appuie de "tQ^itc la puissance unifiée de l'Etat français de son temps.

Ce coefficient de valeur, quieosi-mence

--rdp-4-éel-ittmv.dùs la dkpa,Fi-tiô;n»4e-Golbepb;

et ra"nïôP| du grand roi, fait' "complète*' ment deienrt à Jules Ferry dont la politique extérieure prouve qu'il à aùssi-le don et les qualités complémentaires. Il n en a qiûc plus de mérite, le puissant tacticien, qui démontra par le fait que la condition pour la République de pour-;suivre une forte politique impérialiste est la 'même que celle imposée à la royauté: un homme. Ce n'est pas la fonction qui crée l'organe, ici moins encore que.parlout. ailleurs. •̃

Colbertet Ferry surent ne pas ignorer qu empire- et« emporium» ont la môme racine Qt qu'il n'est pas d'empire saris la possession de la mer qui mène aux « emporia » établis sur ses bords. L Tous deux savaient aussi quederrière les profits de négoce que donne.l'exploitation raisonnéc des étendues liquides s'en cac|ie un autre plus formidable, le véritable', objectif du véiûtable homme d'Etat. L'essor de la race vers les nouveaux horizons, l'activité plus grande,. la natalité'montante, la nombreuse postérité fille, unique du mouvement d'expansion nàtionàlemcnt poursuivi, tel est le thème unique du pilote qui sait que la colonisation n'est pas faite seulement pour loger des excédents, mais avant tout pour'en produire.

C est dans cette connaissance de caractère stratégique et dynamique que réside le «..don » .ou concept directorial formant^Tapanage des grands conducteurs. Ge concept de dynamisme écono.mique.qt: social,, on peut voir les pilotes successifs de l'Empire britannique se\le trausmetlfe comme lepluspréeieuxjoyau de la Couronne depuis deux cents ans. Quelle ilumièrç- éblouissante ne jette-t-il pas sur l'histoire étudiée dans les gestes des peuples qui grandissent tous par la mer, tant qu'ils comprennent son pouvoir et son rôle physiologiques, et qui périclite ni du disparaissent dès qu'ils s'en détournent ̃ i Jules;Ferry. en a certainement la percoption-trè,s nette quand il oriente la politique française de 1882 vers l'expansion coloniàlèqùi lui fut imputée à crime. Il ne vise certes pas,la conquête de l'empir.e ni le commandem'ent do la mer, mais seulement à ne pas trop inquiéter la Puissance. qui les détient, tout en accomplissant envers son propre pays le haut devoir qu'il, a entrevu et le programmequ'ils'est tracé.

Bien au-dessus des avantages d'ordre économique que peut présenter l'occupation des terres exotiques, alors encore vacantes de;propriétaires, ce programme mis en ceuvre1 rompt la première période des; contemplations françaises dégradant les facteurs d'énergie -par l'immobilisation. Il libère ces énergies.et les multiplie de par le seul fait de leur mise en mouvement d-ii caractère expansif. 11 redonne à; la patrie son rythme vital en même tènip^s que sa part légitime d'empire maritime ercolûriial, et c'est-à-dire les facteurs de son prestige extérieur et de aya indépendance nationale. En .un mot, illaiiêe.la France dans la seule voie sur loquel,!© eeUe-ci peutei doit trouver, eii Siôme temps que les conditions

réelles de «a. résurrection, la satiafac*

Mon Suprôtoe qu'elle- attend 4e ses gou-

vornanWdu oôté "tiè rfnoubliablè rauii-

latiort. ̃ "̃̃̃ ̃̃̃ Et peut-être reût-elle obtenue, la re-

vanche,» peu t-êtee"eût-elle, .'pu 'espérer

reen-avi'ei'.iefi deux provinces. t.anLpleureç? ?ansj;et-remper leurs cottauxde tout

le sang que leur perte avait déjà coûté Il est une force plus grande que celle des canons, une raison plus ultime que la guerre, plus prestigieuse que la victoire même! C'est la puissance illimitée des activités nationales développées par le mouvement expansif et d échanges bien dirigé. GeIlesTlà donnent ,,jdes" sanc- tions bien supérieures aux clauses j toujours révisables de.s traités qu'emportent les triomphes guerriers. Pour s'en, convaincre, il suffit de supposer intervertis les établissements démologiques, sensiblement balancés il y a quarante ans, que représentent au- jourdhuiia France et FEmpirc allemand. Alors elle agirait en sens inverse, la terrible formule bismarckienre de condamnation tirée du reflux de la natalité française: « Ils perdent deux grandes batailles chaque année en plein temps de paix. Pourquoi. leur faire la

guerre?» » :•̃ '1

Oui, pourquoi nous faire la guerre? Nous savons si bien nous la faire à nous-mêmes ̃

Avec le programme de Jules Ferry, si les adversaires de sa politique n'avaient pas favorisé l'action des forces qui finirent par en ruiner" le développement, les deux batailles annuelles du temps de paix n'eussent pas été perdues. Elles eussent peut-être été gagnées. Dans la seconde moitié du dix-septième siècle, et même encore au dix-huitième, la population de 'la France croissait régulièrement avec: la môme rapidité qu'aujourd'hui celle de l'Empire allemand, et pour la même cause..Du mouvement d'expansion soutenu sort la vertu de re- production qui y est contenue en-même temps que. toutes les autres formes accessoires de la richesse et de, la.puissance dont la première est la santé de la nation. •̃ ̃ ̃ ̃<

̃-̃̃̃̃ &*& ̃'̃'

N'oublions pas quec'est la. France de 1883 qui commence le mouvement,. LA.1lemagne ne fait qu'imiter. de bien loin, à cette époque, car la tradition lui manque. Si elle peut rattraper, si aujourd'hui elle dépasse, c'est, parce qu'elle trouve un pilote pour la conduire à la mer symbolique, et c'est aussi parce que Ferry. renversé, puis tué par le chagrin, la France hésite, ralentit, enfin s'arrête. Son sort,est fixé bien mieux, .quoi qu'il en semble, qu'à. Versailles ..et. Francfort. Elle continuera de saigner sa force vitale par la blessure sur laquelle lcs.chefs de divers partis ne verront qu'un prétexte à poser.la vieille. compresse aigrie qui ne peut que Fero$>êeher de se.;reJ'er« œeF' «-Pon s an st-y -sa nwriees-s e ;~rnais -n/ en '/parlons jamais. >> -••̃•̃ •̃ Avant iJulés Ferry, la formule de revanche, plate-forme électorale et parlementaire d'un' grand parti, est beaucoup moins l'expression d'une volonté d'action à échéance de bonne occasion que le thème de gouvernement.trop commode qu'elle .paraît, être redevenue depuis. La revanche de pied ferme, la pré- paration au, pi us grand effort par l'immobilité soutenue, est une -méthode plus infaillible pour fondre les nations que cent armées sous le feu des canons. Avec»Ferry, la revanche nominale devient effective.C est bien 'la guerre en effet, la guerre à l'inertie, seul véritable ennemi, qui s'engage avec le seul vrai moyen l'offensive stratégique de toute ta nation par le plus grand mouvement. A partir du premier pas sur la route de l'expansion dite coloniale, la force française marchait à la reconquête effective du morceau de patrie perdu. Car elle devait retrouver sur cette route une valeur plus précieuse encore que l'Alsace-Lorraine et qui est indispensable au stratège pour la conduire à son but la confiance en elle-même, la foi en sa mission momentanément interrompue. L'histoire rendra justice la politique extérieure du Ferry le Tonkinois. La France redevenue conscienlelui tressera un jour ses plus belles couronnes. et se souviendra peut-être alors aussi de son grand prédécesseur Golbert. Dans le geste colonial du martyr de Langson il y avait plus que TAIsace-Lorraine rendue. Il y avait la vision hiératique des pasteurs de nations. Il y avait, avec le sens de la vie, du mouvement qui s'accélère, de l'élan qui multiplie, tous les facteurs reconstitutifs de là force et dela santé françaises. ̃̃̃̃

Et cela est si vrai que la puissance vive réelle de l'Allemagne-d'aujourd'hui repose sur des valeurs entièrement créées par son mouvement d'expansion. Industrie, commerce d'exportation, marine, natalité augmentée, population accrue. tous éléments nouveaux apparus depuis moins de quarante années, et j ,principalement depuis, que, sous la con- duitede son pilote actuel, ce peuple du pays des rivages lagunaires, aux accès difficiles, sur une' mer resserrée, a porté ses regards, puis ses énergies, là où Ferry voulut tourner ceux du pays francais.

Quelle magique formule de chimie sociale ont donc découverte les préparateurs des laboratoires d'outre-Rhin? « L'avenir du peuplégermain est sur la mer. » ̃.̃̃• ¡

L'avenir de tous les peuples qui veu- J lent-vivre est sur la mer, endroit du.~plus grand mouvement. C'est )à qu'ils doivent, regarder pour comprendre le passé et le futur. C'est là qu'ils doivent aller, économiquement parlant, pour cultiver dans i action, dans la concurrence, .leurs énergies et leur virilité. C'est 'enfin qu'il leur faut retourner pour recouvrer la santé èt.reapoir lorsque,, pour une cause quelconque toujours facile à discerner, ils ont perdu 1, en; même temps ces biena et .cette habi- ̃!

tûde.̃•' .• '•̃̃̃;

.Ceci .est affaire de grande orientation, j affaire de bon pilotage en poLitiquegéïiéraIe.:A courir. la. mer les concurrents' sont uombrt'ux, -il y a ..de gros péril»? Sans doute Il y a aussi de gros bèn'é-

I fices la conservation de la vie; par

j exemple..]̃

Jules Ferry fut Je pilote averti ei'istoïque quijamais rie perditdo vue l'objectif vital rendre l'espoir, la confiance, l'essor sa patrie en lui donnant un thème de mouvement. C'est sous cet angle -q-u 'il i faut observer l'homme, si,on -veut p,ouj voir le "comprendre et juger sainement son œuvre. C'est par ce geste geste qui attira sur sa tète l'ostracisme, «fils irrité'de la cité antique »,- que, comme jadis Thej mistocle sauveur d'Athènes, il.'a mérité beaucoup plus que notre admiration notre reconnaissance éternelle.

La France lui doit son empire colonial. Les Français sauront un jourqu'ilsj lui doivent la résurrection. V II incombait à l'un dos hommes auxquels le hasard des événements fit tenir le drapeau de la politique coloniale de' Jules Ferry à l'heure même où, touchant a son apogée, elle trouvait sa roche tarpéienne, de saluer bien bas, en ce jour de réparation, celui qui fut le chef de file. Car la politique extérieure du grand Tonkinois, du grand Soudanais, du.grand Malgache, du grand Congolais; ah que de titres exotiques on pourraitlui donner fut continuée par son élève Gabriel Hanotaux jusqu'à l'heure de Fachoda.

Au pied de la statue de Jules Ferry, enfin érigée aujourd'hui, je dépose l'hommage conscient de l'humble soldat qui, n'ayant jamais. connu le grand homme d'Etat, savait cependant que longtemps après la mort du « Tonkinois'», c'était sa pensée toujours vivante qu'il portaitdarïs les couleurs françaises aux rives du Nil, comme Brazza les avait portées sûr celles idu Congo, Courbet aux rivages cfô Chine, et Dupuy sur les bords du fleuve Rouge, .tant d'autres partout doit être, représentée la France qui vit etquj civilise. Colonel Marchand.

̃ -*n^->*n^s«. ,v

Échos

JL~~ll~/C)

La Température

La journée d'hier, à Paris, s'est passée sans pluie ;Ct sans -neige le ciel s'était- même éclairci, mais la température s'est sensiblement refroidie. A sept heures ̃ du matin,' le thermomètre marquait 40 au-dessus de zéro ç.t. 8° i cinq heures du soir. La pression baro-,

'ïjietri.que'; qui' se rel<lv.£,ra,pid,eraent, accusait,'

à'inldJi 7641»0' elle .atteint. 7Ô8"lla- en. Gas- cogne. z.

Î3es -pluies et des neiges sont tombées sur, l'ouest &t le centre du continent'; en France, il a plu à Dunkerque, à Besançon, à Biarritz, à Brest et à Bordeaux. Sur nos côtes de la Manche et de l'Océan la mer est très houleuse, surtout au pas de Calais et au Cotewtin.

La température reste basse dans, nos régions de l'Est et du Sud. Départements, le matin. Au-dessus de ,\êro O°o à Belfort, o0; Besançon,. 2?. à Marseille, à Limoges et à Nancy; à Nantes et à Clermont à Boulogne, à Bordeaux, au Mans, à Toulouse et Cette; 5° à Brest et à Rûchéfort 6° à Dunkerque et à Cherbourg 70 à l'ile d'Aix, à Perpignan et à Cap Béarn à Quessant,io°. à Biarritz, 140 à Alger, 160 à Oran.

En France, un temps nuageux- et un peu froid est probable.

(La température du 10 novembre 190g était, i. Paris ou le matin et 40 au-dessus l'aprèsmidi. Baromètre 759"'™ temps trés brumeux.)

Du New York Herald r

A New- York Temps beau. Température maxima, minima, 20. Vent ouest. A Londres Temps beau. Température maxima, 6°; minima, 2°. Baromètre: 765™ Vent nord-ouest.

A Berlin,: Neige Température (à midi) 3».

·

Les Courses

Aujourd'hui, à heure 15, Courses à Auteuil. Gagnants du Figaro Prix Alger Jeddo Chiquito de Cambo. Prix Marins Ecurie Hennessy; Doncourt. Prix Montgomery Dynamo III Iule. Prix Le H on Mon Cauchois; Causerie. Prix de Boulogne: St Potin; Dame des Prés. Prix Le Torpilleur Damiette III; Domrémy II.

LES VENGEANCES DE M. JAURÈS

^x La commissiond'enquète, qui pour<\ 'suit au milieu de la fatigue géné-

raie ou de l'inattention publique son instruction sur les affaires de M. Rochette, consacre naïvement tout son temps à satisfaire les rancunes de M. Jaurès. Elle ne s'en doute peut-être pas, mais son président, le directeur de l 'Humanité, le sait et il est heureux à l'idée de se venger enfin de cette police elde ce vaillant préfet qui, au moment des grèves, ont arrêté les chefs des saboteurs jusque dans les- bureaux.de M. Jaurès. Do là cet interrogatoire de tortionnaire qu'il fait subir depuis deux jours à M. Lépine- II. serait peut-être temps de mettre .fin à. ce scandale.

Trois mois après la condamnation du financier Rochette, après les considérants fortement motivés du jugement rendu par le Tribunal correctionnel, que nous importe la question de savoir si l'une des plaintes déposées pour amener une arrestation méritée a été spohtauée ou provoquée? '?

Comme l'a dit fort nettement M Clemenceau 'au cours de cette résurrection difficile de;sbuvenirs éteints, s'il y a eu, .à., une .minute quelconque, une faute quelconque, on ;ne trouvera que des mo- 1 tifs apsolument avouablêâ.

S'ili.es.i établi que Je Parquet ne pour- suit certains déliis ^iie":sur.la-.eônat4tiirtiou d'une partie civils, ce qj^ est in&uf- ftsant ou dangereux, la rérorme sera fa"i1c infrôduTrë-daQs lois.

Tôiit'îc re-s<e-;n'est qu'uffita"t-ion ^aine.,

tions de la justice, ou machine' û& guerre j

inventée, pour démolir l'autorité bienfàisante de police.

il est incompréhensible que la Chambre permette à M. Jaurès de sotransformer eiv accusateur public. C'est oublier trop vite cette grève des cheminots dont il était l'instigateur principal, le grand coupable, et où on aurait dû, s'il n'avait été comme députa protégé par l'immunité parlementaire,. le poursuivre, lui, de préférence à ses victimes, comme l'unique accusé.

C'est singulièrement méconnaître en même temps les services incessants d'un fonctionnaire comme M. Lépine, dont la vaillance intrépide et l'intelligent dévouement sont au-dessus de toutes les attaques. 11. sérail équitable et utile de se rappeler parfois que nous devons à cet hoiri'me de courage, non seulement la sécurité de la ville, mais'aussi, à certaines heures, la sécurité de l'Etat. Gaston Calmette.

< -p~G.

A Travers Paris

x -Le. Président de la République prési.dera,: cet après-midi, l'inauguration du mopument de Jules Ferry, œuvre du sculpteur G. Michel, élevé dans le jardin

.des Tuileries. Il sera assisté des mem-

bres du gouvernement, du Conseil municipal de Paris et du Conseil général de la Seine.

Mme Pierre Curie pose décidément sa candidature à 1 Académie des sciences. L'authenticité de cette information résulte d'une lettre que l'illustre physicienne vient d'adresser au directeur du Temps' el que voici

Monsieur le directeur, ̃'̃̃

En-réponse à votre lettre, je puis vous informer que la nouvelle de ma candidature à 'Tlus'titut est exacte.

Cependant comme jusqu'à présent les élections à l'Institut n'ont, jamais été l'objet d'une discussion publique, je dois aussi vous dire qu il me serait pénible que cet usage fût modifié à l'occasion de ma candidature. Agréez, monsieur le directeur, mes salutatiôns -sincères.

M. CURIE; €3'est au fauteuil, laissé vacant parla tiort récente de M." Gernez que Mme pierre Curie pose sa candidature. Et ^.est la première fois qu'une femme serait admise à.l'Iustitut; mais il n'est pas .fréquent' que dé si beaux titres, une. (feuvre si importante, féconde et neuve, soient.présentés par un candidat, homme

Qi: femme.,

»- ̃-̃̃̃•-̃. ̃ ̃ -̃̃

:̃ "La candidature "de Ivl-me Curîé n-èst, pas la première candidature féminine qui se soit produite au palais Mazarin. Il y a quelques années une femme se présenta à l'Académie française qui, a ce propos,se prononça sur les candidatures féminines par la décision, ou l'indécision suivante

L'Acad'inie considérant que ses traditions ne lui permettent pas l'oxamonde cette ques- tion passe à l'ordre du jour ». Il est vrai qu'il s'agissait d'une candidature condamnée à l'insuccès, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui.

-040~0-

Sur, la place qui porte son nom,. en la cité paisible de Saint-Germain, hospitalière à sa gloire, la statue de Thiers, à l'ombre du château. sommeillait doucement en un tranquille oubli. D'irrespectueux édiles, un beau jour, s'avisèrent que ce bronze tenait beaucoup de place et qu'une station de tramways remplacerait avantageusement une effigie surannée. Ils délibérèrent. L'infortuné Thiers s'en ira donc prochainement loger à l'autre bout de la ville.

«Jouet d'enfants, simple jouet d'enfants » avait-il autrefois déclaré en pleine Chambre, à propos des chemins de fer.

L'illustre homme d'Etat, ce jour-là (c'était en 1844), ne se montra guère perspicace. Il fut l'ennemi des chemins de, 1er -et voici qu'aujourd'hui un modeste tramway lui enlève sa place au soleil.

Le rail est bien vengé

-.o-oo.b.^

33 à

Nous avons reçu hier, pour la veuve de l'agent Lancelle

iNi. J.-C. Duval Fr. 100 M Robert, Colette et Jacques. 15 ,> M. Armand Yvol. 20 » M. F. 100 u Total Fr. »;3~ »

-Listes précédentes. 400 » Total. Fr. 635

Noms de rues.

Une proposition a été déposée au Conseil municipal tendant à faire donner à une rue de Paris le nom de Georges-

Berger.

L'auteur de cette proposition a-t-il oublié qui! existe déjà, dans le quartier des Halles, une rue Berger? On pourrait, il est vrai, donner satis- faction à tout le monde en ajoutant au nom de l'ancien préfet de la Seine, le prénom do l'ancien député; et la rue Georges-Berger remplacerait ainsi, sans que nos habitudes en soient dérangées, la mu Berger, comme naguère la rue Denfert-Roc'hereau remplaça la rue d Enfer,-et:la rueBachaumout le passage du Saumon.

Et puisque. ia municipalité parisienne doit proûeder. bieiitôt à la" revision de quelques", plaques, nous permettra-t-elie delui en signaler Une, qu'un solécisme insupportable ..déshonore? L'église Saint- Vincent de- Paul .se trouve placés entre deux rues:donl, l'une est la rue Pénelo,u,.ét::l autre la.- «.rue '«te.

Biossuet '». Or, en langage édilitâireV la t

..prépositioii.f/e ne doit servir qu'à indi-

quer des no;m.s <le Itsux.- On -dit la « rué de Tiisbônne et «:la rue Monge Hi'on f

dit «larueeteTilsilt», et « larue Drouot »; et donc il faut dire « la rue Bossuet»,. ,et gratter cette préposition au plus vite! 1

PANTOMIME

On parle de plus en plus sérieusement de cré>r une classe de pantomime au Conservatoire. La proposition sera faite pendant la discussion du budget des beaux-arts il est probable qu'elle sera votée à une forte majorité parce que le groupe Beauquicr fera bloc en sa faveur.

On connait le groupe Beauquier il ne se propose plus de réformer l'orthographe; il veut simplement limiter à un temps officiel les discours des députés. On parle trop à la Chambre, trop, .trop. mal et trop long-temps. La pantomime permettra aux interpellateurs de s'expliquer en cinq 'minutes.

̃Bien^entundu, les sténographes-rédacteurs seront remplacés par des cinématographis,tes qui prendront les parlementaires dans leur attitude, leurs gestes et leurs expressions les plus caractéristiques. Des projections seront faites gratuitement en période électorale.

On verra M. Berteaux mettre dédaigneusement les mains dans ses poches, M. Pelletan se peigner avec soin pour etprimer son dédain ou secouer sur la réaction la poussière de ses manchettes. M. Jaurès élèvera ses bras en cadence pour embrasser le monde, comme leprescrivent les gymnastes suédois. Quant aux camarades unifiés, ils continueront la mimique qu'ils pratiquent depuis si longtemps et qui est tout leur programme: ils montreront le poing.

~,ooa-

Mercredi prochain, Mes L. Garnaud et Lair-Dubreuil, assistés des experts J. et G. Bernheim Jeune, vendront à l'hôtel Drouot une cinquantaine de tableaux modernes, appartenait à M. Albert Bcrnier et à divers amateurs. Parmi ces tableaux, d'un choix heureux, les uns sont de maîtres depuis longtemps recherchés comme Goya,Jongkind,Manet,Pissarro, Renoir, Carrière d'autres sont d'artistes encore discutés comme Bonnard, Maurice Denis, K.-X.. Roussel, Vuillard, Gauguin, Picasso. Seynaud, etc.

La vacation du 23 novembre sera donc tout spécialement mouvementée. Mardi, il y aura exposition publique. ̃

-9c-o- 1

-L'OPINION,; DE. M. DOISY

̃-̃̃ Plus il-y ado férocité dans le "• '̃̃' criir.o,' moins- lo criminel est responsable. »

̃'̃' (Opinion de M. Doïsy, député.) Officiel, 18nqv., p. 2SGG.. Il est bon, co.i\ioB«ieu.r Dûisy, Kt.to d^is.,gflû.tér- ses, doctrines^. ..Jeunô assassin qui nous surines S

Te gfinçs pas 1 Vas-y! vas-y I

Hache, ce. monde périssable

Menu comme chair à pâté,

Mieux -tu l'auras dépiauté Kt,plustu seras excusablel, •' Tu poux gagner rang d'innpceât- A la pointe de ton eustacho ̃̃/̃ Tu deviendras l'agneau: sans 'tach'ô Quand tu seras rougo de' sang! Mais monsieur Doisy, tout de même, Serait, jo pense, pou charmé De tomber dans un groupe armô'

Des «' irresponsables » qu'ilairae 1

Louis Marsolleau, ̃

La Chine ouverte. >•̃-̃•̃̃̃-̃

Le baron Hulot, secrétaire général de la Société de géographie, a signalé hier à ses collègues ce fait qui est à noter, car il prouve à quel point J'Extreme Orient, naguère le plus fermé, s'ouvre aux transactions et aux échanges la Chine,, d'après les dernières nouvelles reçues de Pékin sur son commerce avec les autres naiions, a fait au cours de l'année écoulée deux milliards quatre cent quatre-vingt-trois millionsd'au'aires. L'exportation française est représentée dans ce chiffre par cent vingt-six millions et limporlation par huit millions. Depuis deux jours est ouverte, aux galeries Georges Petit, une très brillante exposition d'oeuvres du peintre C.-W. Stetson. exposition qui, dès le début, a conquis les amateurs. Une salle est consacrée aux peintures, et ce sont des paysages, avec des figures réelles ou' des figures de rôve, d'une coloration puissante, qui laissent deviner en M. Stetson un décorateur de race. L'autre salle est réservée aux aquarelles, que le très distingué artiste marque de son in-;dériiable .originalité.

Cette exposition restera ouverte jusqu'à la fin, du mois.

Cette année,, la Sainte-Catherine sera joyeusement célébrée dans tous les;atelieVsde couture.

Ces demoiselles, depuis les premières et les élégants mannequins jusqu'aux gentilles midinettes.se proposent de, banqueter, de danser, et surtout de prendre plutôt deux fois qu'une ce vieux Quinquina Dubonnet qui donne des'jambes, de l'appétit, et, qui sait?. peut-être aussides maris.

~Ot>

Hors Paris

Humour.

M. Winston Churchill, ministre de l'intérieur du cabinet Asquith. est un humoriste distingué, et la haine que ce descendant de Marlborough a vouée à la Chambre des lords ne 1 empêche pas de rester un homme d'esprit. Il vient' deji donner une preuve en renonçant à poursuivre les cent dix-sept suffragettes qui s:étaient i'ait arrêter vendf-edi, autour du Parlement. Ces énergunlèOes convoiiaieritles pal: mes du martyre et pêvaieat sans doute; y cofnKio- .leurs ̃dcvanGièr.e.s de se faire i cë'HTÎ.stemer. à. î;ï' pj'isoa el dp: tenter de s'y laisser mourir -d&fainx Mv, Ghurch-ill leui' enlève .tout espoir 'de donner uh dçnoûëiYie-nttragi'TJ^ âlè'àr.;

algarade et les condamne à rester si ;n~ plement" ridicules.

Ccst bien joué.

Nouvelles à h Main

A la commission Rochette 7:

M. Clemenceau avait dit « Vovez le Parquet. »

Et M. Yves Durand n'a pas vu te Parquet.

Alors il est tombe. C'est tout naturel.. :• ..̃̃: ;i r; i i ̃ .•; Onva créer, des îpompiersià l'Ins-

titut. .;•• .̃̃.̃̃- i ̃

Il.en manquaitddnc? ̃ Quelle est la raison de cette institution nouvelle'?

Protéger, les académiciens contre la destruction par le feu.

Ils ne risquent rien puisqu'ils sont immortels?

Eh bien voilà on n'en est pas assez sûr.

Le projet de loi qui tend à limiter à dix minutes la durée des discours parlementaires sera-t-il voté?

En tout cas son auteur le, défendra ̃par un grand discours. Qui durera?

Plus d une heure.

Le Masque de Fer.

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L'Heure présente

L'après-midi s'annonçait rude, avanthier, pour les membres du comité de lecture de la Comédie-Française. Ils savaient que la première pièce soumise à leurs suffrages, la Dame à la /aulx, de M. Saint- Pol Roux, ne comptait pas moins de cinq actes. Et d'avance, la plupart avaient renoncé à l'apéritif.

1 Sage renoncement auquel ils eussent bien faitde joindre quelques sandwiches, car M'. Saint-Po'l Roux, qui avait commencé sa lecture à deux heures, lisait enco.re à sept heures et demie. Cependant, de son propre; aveu, malgré la rigueur Ja 3 la séance, personne ne broncha. C'est à peine, si après le trois, quelques coaimissaires se hasardèrent à remarquer .r doucement qu'il y avait des longueurs. Bref,,sur le coup de huit heures, M. Sàiht-Pol Roux était refusé avec força compliments, et le comité se séparait en se félicitant de cette belle journée. Elle est en effet de nature à satisfairs tout le monde. D'abord elle a démontré l'extraordinaire endurance du comité de lecture, qui vient de battre, pour ses débuts, tous les records d'audition connus.

Ensuite elle a permis, à M. Saint-Pol Roux de signaler aux directeurs une belle oeuvre lyrique que nous aurons certainerjient;lp plaisir. d'applaudir un jour ailleurs

Enfin, désormais, il n'est pas de pièce si touffue et si étendue qui n'apparaisse au comité sous'les aspects d'une bl.iette. Donc ne vous gênez pas, jeunes gens. Na redoutez pas les vastes, développements. Ne vous perdez pas en vaines coupures. Après la Dame à la /aulx, le- seul risque que vous courez, c'est d'avoir l'air de faire trop court. • -̃̃••

Vous oq Moi.

Les Inondations

Le Maximum

A dix centimètres près, la. crue paraît avoir atteint son- maximum. Telle est l'excellente nouvelle que communique le service hydrométrique. Les cotes étaient hier: 5 m. 92 au pont d'Austerlitz, 5 m. 71 au pont de la Tournette, G m. 78 au Pont-Royal et G" m. 13 au pont de Bezons. Une baisse lente est probable d'ici deux jours. La Marne baisse à Chalifert, la haute Seine à Bray.

Il faut donc espérer que la crue est terminée. Il était temps. Déjà les caves du Palais de Justice sont ênvahies, et les calorifères noyés. Aussi fait-il grand froid chez les s. On pourrait se promener en bateau dans les chantiers d agrandissement du Palais, au coin du quai des Orfèvres.

Ori a élevé hier matin unedigue sur le quai de Bercy afin d'empêcher l'eau de serépandre dans le centre. Le quai de la Gare est envahi sur SyeenthnMres de hauteur. L'eau gagne de plus en plus la tranchée do la hgno d Orléans, quui Saint-Bernard. Les pompes qui fonctionnaient jusqu'ici étant devenues inr suffisantes,, on en a installé de plus puissantes. ̃̃

La situation est très difficile à Auleuil. Il v a 30 centimètres d'eau rue FélicienDavid. Les rez-de-chaussée des immeubles de la rue Van-Loo sont inondés. Au Jardin des Plantes, on se prépare à lutter contre l'inondation. On a fait sortir les, ours de leurs fosses et on prépare des aménagements spéciaux. Enfin, reàus'e'stétendue dans le bois de Boulogne. Et Bagatelle est cerné. Mais le temps est beau. Et il semble qu'on puisse se rassurer.

Dans la région parisienne- qu'elle baigne beaucoup trop en ce m nn'.nt, hélas! la Marne a continué à moitar hier matin. Dans la nuit, elle avait complètement inondé la vaste plaine qui dépend/des deux communes de Noi3y-loGrand, et de Bry-sur-larn#? et au pont do. oeite dernière .ville., à dix heures du .matin., la cote était de 4 m. 81. Elle était; le, 27 janvier dernier; au même point, de G;m; soit un écart de i m. H.

..ANogf!nt-5ur-Marne,J'ile de§ Loup.

̃i'ils ti'^inour. File de Beauté sont coei--


plètement submergées. Sur les rives, des soldats du génie, des zouaves de Rosny-sous-Bois, des chasseurs de Vincennes sont venus hier renforcer les piquets militaires chargés de protéger les habitations abandonnées.

L'inondation de cette malheureuse région n'a pas tout à fait le caractère de celle de janvier dernier. A cette époque, la rive droite de la Marne avait été inondée avant la rive gauche. C'est le contraire qui se produit maintenant ainsi, certaines usines de la Maltournée, où se trouve le point de départ des tramways de l'Est-Parisien, sont encore presque indemnes, tandis que sur l'autre berge, l'eau s'étend à perte de vue dans les plaines.

Au Perreux, près du pont de Mulhouse, qui est un point très élevé ou l'on n'a rien à craindre, des fugitifs nombreux sont campés au petit bonheur, dans les logements libresqui ont pu être mis à leur disposition. Mais beaucoup de propriétaires de villas ont retiré les pancartes annonçant leur intention de louer, pour que leurs propriétés ne servent pas de refuges aux inondés dénués de ressources.

Dans la région de Corbeil, la Seine a baissé de 2 centimètres et, depuis hier matin, elle reste stationnaire. A Gorbeil même, la rive droite a un coup d'œil terrifiant. Les quais et routes de la Pêcherie sont submergés. Le bureau d'octroi est isolé. Les allées de Montgardé ne forment plus qu'un immense lac, où viennent se déposer des épaves de toute sorte. Des passerelles assurent la circulation de la route de Melun à la rue de la Pêcherie. ̃

A Coudray-Montceaux, Morsang-surSeine et Saintry, les récoltes de betteraves sont perdues et plusieurs riverains, déjà victimes de la crue de janvier, sont ruinés,

Dans la région d'Ablon, Juvisy, Villeneuve-Saint-Georges l'es dégâts sont énormes. Indépendamment du chômage, les sinistrés eprouvent de gros préjudices murs démolis, récoltes perdues, habitations inondées, pertes de meubles, etc., etc.

A Villeneuve-le7Roi, les maisons riveraines sont abandonnées; leur aspeCt ïst lamentable.

A Neuiily-Plaisapce, le quartier de l'Eglise, qui avait été si fortementéprouvé par les inondations de l'hiver dernier, a été envahi de nouveau par les eaux, et les habitants ont dû abandonner leurs maisons.

Des pluies torrentielles accompagnées de bourrasques de neige sont tombées toute la nuit dernière sur'les régiuns d'Epernay, Vitry-le-François, la HauteMarne et Châlons. La Marne et l'Aisne, qui étaient en décrue, vont subir une forte hausse; de nouvelles inondations sont probables dans la région de Vitry et Conflans-sur-Seine et dans celle de Marcilly et Saint-Just.

Le Rhône, dans le Gard, se maintient toujours à l'étiage de 4 m..75 au pont de Miemart, près de Roquemaure. Les communications sur les routes de Bagnols et de Montfaucon sont toujour s impossibles. Les quartiers des Islons sont toujours inondés.

A Beaucaire et Vallabrègues, les eaux du fleuve baissent "lentement.

LE MAUVAIS TEMPS

La neige

Les tempêtes de neige se multiplient dans les régions montagneuses. Les Vosges disparaissent sous un épais manteau blanc; comme con«équenco de cette situation, le lac do Gérardmor est sorti de son lit, ainsi quo la Jamagne, la Vqlogne et les autres cours d'eau de cette partie des Vosges.

Des circonstances identiques ont causé en Savoie*, où près de trente centimètres do neige recouvrent le sol, lo débo dement du lac du Bourget. En Maurienne, les communications par route sont interrompues. L'express Rome-Paris a subi, par suite de la tourmente dans ces régions, près d'une heure de retard hier matin.

Dans l'Ain, notamment à Oyonnax, les chemins sont ouverts difficilement au chasseneige. tl en est de même dans la région gesBoiseoù la couche de neige atteint une épaisseur de 40 centimètres dans la ville de Gex; au col de la Faucille, elle dépasse 90 centimètres.

Lne tourmente de neige fait également rage dans les cantons montagneux des Pyrénées-Orientales et de l'Ariège. Le courrier dAx-les-Thermes à Bourg-Madame a failli rester enseveli sous la neige au col de Puymorens. Un domestique s'est perdu au même endroit il a fallu une 'quinzaine de personnes pour aller le secourir. Il a été retrouvé à moitié mort. de froid.

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RENSEIGNEMENTS MONDAINS

Le comité italien de « la Française » offrait hier un thé intime à Mme Tittoni, ambassadrice d'Italie, qui vient d'accepter la présidence d'honneur du comité, à côté de Mme Barrére, ambassadrice de France à Rome, présidente d'honneur française, et de Mme Guillaume Beer, présidente.

Mme Guillaume Beer, avec le talent délicat et élevé qu'on connaît à. Jean Dornis, a; prononcé une délicieuse allocution de bien- venue.

Une partie- de musique italienne avec le concours de Mlle d'Oliveira, à la voix puissante et douce, et de M. Arati, très applaudi aussi, a complété cette exquise réunion où nous avons reconnu:

Mlle Hélène Barrère, comte et comtesse Pieri, Mme René Lara, Mme Cappiello, Mme Goldschmidt, comtesso de Callavie-Barbou, Mlle Damad, comtesse Filose-Polidori, comtesse de Launay, Mlle Bourgain, Mme Battaglia, MM. Guil, laume Béer, Jean Fi not, comte Brunetta-d'UsseauxFernand Laudet, Victor du Bled, Ugo Garinei.E. Boggiano, Raqueni, etc., etc. 0

Dîner hier, chez Mme Paquin, qui réunissait ses collègues du jury à l'Exposition de Bruxelles. Parmi les convives

M. Reverdot, président de la chambre syndicale de la confection et de la couture, et Mme Reverdot; M. Vaxelaire, président de la classe 85 belga M. et Mme Sotsberg, Mme Callot, M. Cognacq, M. et Mme Pierre Laguionie, M. Meyer, M. Dœuillet, M. Liebrich, M. et Mme Henri Joire, M. Choque. M. Kriegck. etc.

Concert fort applaudi où Fugére, de l'Opéra-Comîque, fut l'artiste incomparable que l'on connaît. Mme Yvette Guilbert détailla diexquise manière ses chansons. La jolie Régina Badet fut, comme de coutume, souple, délicieuse dans ses danses hindoues et grecques, et une très jeune artiste, miss Wyman, fut charmante dans ses chansons bretonnes ainsi que Jules Moy l'artiste plein dé brio. A l'école Albert-lc-Grand, M. Lemaigre, directeur, et Mme Lemaigre, ont reçu leurs anciens élèves pour la fête annuelle de l'école. On a applaudi les élèves puis tour à tour •v JIM. Guilliéae, de la Comédie-Française Du-

G. Davenay.

collet, du Conservatoire; Bourgeois, professeur à la Schola Cantorum; Zighera, 1er prix violon du Conservatoire; Mme Gougeon, la brillante élève de Marmomel.

Un diner où anciens et nouveaux furent heureux de se retrouver au milieu de leurs professeurs termina la soirée.

La vicomtesse Patrice de Bonfils, née d'Anthenaise, vient de donner heureusement le jour, à Verdun, à une fille qui a reçu le prénom de Marie-Antoinette.

Mme René de La Ville Le Roulx, a mis au monde, au château de Beautertre (Indreet-Loire), une fille qui a reçu le prénom de Marie-Louise.

Mme Ronssin du Chatelle a heureuse-' ment mis au monde, à Nancy, un fils qui a reçu le prénom de Gérard.

Arrivés à Cannes et descendus à l'hôtel des Anglais

Le comte et la comtesse Robert Lefèvro, le major général Garforth, le colonel Snell et famille.

CHASSES

L'équipage de Chézelles a chassé en forét de Compiégne. Rendez-vous au Fort Poirier. Un daguet est porté bas par les chiens au grand parc de Compiégne. Les honneurs à M. Godillot.

Etaient présents

Vicomtesse Caëtan de Chézelles, comtesse de Bertier, vicomtes Jacques et Edouard de Chézelles, M. Paul de Royer, M. et Mme Louis de Royer, M. et Mme F. de Valroger, M. André Moreau, comtes d'Orsetti, comtesse do Beauregard, comte Max de Beaureyard. comte et comtesse Roger de Beauregard, comte et comtesse Robert do Villeneuvo, Mme et Mlle Lavallée, Mme et Mlle Davilliers, comte e,t comtesse Antonetti, lieutenant et vicomtesse de Lostapis, M. Crépin, etc.

CERCLES

Au Cercle militaire ont été admis hier: Le général Marcot, les commandants Marix. Clarinval, les capitaines Rehaensor, de Tournebu, le colonel Frator et MM. Gromier. Franqupville, Lichtenfeldor, Boissieu, Duprat, Cochot, Gateau et Chevalier.

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MARIAGES

On a parlé ces jours-ci, bien inopportunément, d'un mariage éventuel du prince héritier de Serbie avec la fille d'un membre du corps diplomatique. Est-il besoin de dire que ces bruits sont sans fondement ?

Le mariage du comte de Coux, lieutenant au 40 chasseurs, avec Mlle Yvonne de Brécourt, a été célébré à Epinal, ainsi que nous l'avons dit hier. Les témoins étaient, pour le marié le comte Henri de Coux, lieutenant au 22e dragons, son frère, et le colonel de Monpoly, commandant le 4e chasseurs; pour la mariée le baron de Brécourt et le comte de Panevinon de Marsat, ses oncles à la mode de Bretagne.

La quête a été faite, par Mlles Magdeleine de Pas, Yvonne • de Maulmont, Geneviève Diguet de La Payenniére et Magdeleine de Clédat, accompagnées parle comte de Charles de Coux, M. Jean de Brécourt, les lieutenants Chardin et Carrelet du 40 chasseurs. A la sortie de la sacristie le .cortège était ainsi composé

Comte et comtesse de Coux. lieutenant-colonel de Brécourt et marquise de Coux. comte Henri de Coux et baronne Paul de Brécourt, colonel de Monpoly et comtesse du Maisniél de Saveuse, baron do Brécourt ot marquise de Maulmont, comte de Panevinon de Marsat et comtesse de Pas, marquis de Kayolle et Mme Diguet de La Payenuièrrî, baron des Hautschamps et Mme do Pontlevoye, comte de Fayolle et comtesse de Germiny, M. du Liège d'Àunis et comtesse de Fayolle, M. do Pontlevoye et vicomtesse d'Am-,belle, comte Charles de Coux et Mlle de Pas, lieutenant Chardin et Mlle de Maulmont, M. Jean de Brécourt et Mlle Diguet de La Payennière, lieutenant Carrelet et Mlle de Glédat.

"Remarqué !îm 'hasard dans l'assistance Colonel, Mmo et Mllo de Margene. colonel et Mme fclausse,, colonoj et Mme Voyriuos, commandant et Mme d'Ppenoux, commandant et Mme Chabannes, commandant Blondel, commandant et baronne Serot-Alineiras, commandant et Mme de Rocca-Sera, capitaine do Lall'arust, baron et baronne Robert de Bonnault, comte Hocquart de Turtot, capitaine et Mmo Sainto-Clairo-Deville, vicomte et vicomtesse de Courcy, capitaine et Mmo Roy, capitaine Jungblush, vicomtesse de La Harie, M. Arthur dq.Joyourt. capitaine d'Ambullo, comte de Germiny, lieutenants Quantin, Dryli, Mario, do'Glédat, do La Morlayo, de Boyve, deGassa'wslu, etc., etc.

Hier, à midi, a été célébré dans l'intimité, à la chapelle des catéchismes de la basilique Sainte-Clotilde, le mariage du marquis de Galard-Terraube, lieutenant au 51 régiment de chasseurs, avec Mlle de Bastard. La fiancée a été conduite à l'autel par son frère, le baron de Bastard.

Les témoins du marié, étaient le colonel Boyer, commandant lé 5° chasseurs, et le vicomte de Galard-Terraube, son oncle ceux de la mariée le baron de Bastard et le baron de Samburcy de Sorgue,

A la sortie de l'église, le cortège était ainsi composé

Marquis et marquise de Galard-Terraube, baron de Bastard et marquise de Galard-Terraube, douairière, vicomte do Galard-Terraubo et baronne de Sambucy, baron de Sambucy et baronne de Saint-Paul, colonel Boyer et baronne de Dampierre, baron Raymond de Bastard et vicomtesse Armand de Galard-Terraube, comte de Galard-Terraube et marquise de Lnusse, baron de Dampierre et Mlle de Galard-Terraube, vicomte Armand c!e Galard. et baronne A. do Bastard, marquis de Leusse et vicomtesse Oger de Galard-Terraube, vicomte d'Aimery et Mlle de Sambucy do Sorgue, 11. Louis de Dampierre et Mlle de Chastunet, baron de Saint-Pau, et Mme de Dampierre d'Hornoy, comte de Bastard et vicomtesse de Calonno, M. Jean de Bastard et Mlle Ghislaine de Sambucy de Sorgue, comte Oger de Galard-Terraube et baronne de Calonne.

Dans l'assistance:

Comte et comtesse H. de Castellane, duc des Cars, vicomte Xavier de Calonne, M. Behaghel, marquis de Campaigno, comte et comtesse de Chastenet, Mme dé Maublanc, marquis ot marquise du Crozet, marquis de Suffren, comtesse de Beauchamp, comtesse d'Orléans, vicomte et vicomtesse G. de Danipierre, M. Pierre do Montal, baronne do Cordoue, baronne du Houlley, comte de Tréville, capitaine de Mézailles, lieutenant Privât de Fresseiielle, comte Cnarles Le- pic, lieutenant de Broissia, lieutenant. Escudier, capitaine et comtesso de Clarval, comte Thibaut de Kergorlay, etc., etc.

Parmi les donateurs dont les cadeaux furent beaucoup admirés après là cérémonie religieuse

En souvenir de la baronne de Êastard, diadème baron de Bastard, broche en diamants baron et baronne de Dampierrp-, bague saphir; baron Raymond de Bastard, service d'argenterie marquis et marquise de Leusse, plats ar gent baron et baronne de Sambucy, garniture de cheminée baronne A. do Bastard, coiffeuse ancienne baron Pierre de Bastard, surtout de table marquise de Galard-Terraube, broche comte et comtesse de Galard-Terraubo, bouts de table viconif; de Galard-Terraubo, table; Mlle de Galard-Terraube, commode marquis et marquise de Crozet, table à ouvrage marquise de La Bourdonnays douairière, bonbonnière marquis et marquise de La Bourdonnaye, corbeille à pain comte H. de Leusse, éventail; marquis de Rasilly, broche; marquis et marquise d'Oncieu de La Bâtie, vase; marquise de Chateaurenard, nécessaire à ouvrage marquise de Chargères, vase porcelaine; vicomte et vicomtesse de Dampierre, service à dessert vicomte et vicomtesse Oger de GalardTerraube, verre d'eau comtesse de Boigne, cafetière M. et Mme P. de Guiringaud, vase; comte de Scoraille, ouvrage de verrerie M. et Mme de Sauzet, vasg bronze; comte et comtesse de Boberil, boucle de ceinture Mlle Claire de Maistre, bonbonnière; Mme de Guiringaud, jardinière comtesse de Chanterac, statue bronze Mme Trubert, cendrier vicomtesse de Roquefeuil, table; Mlle de Chargôro, porte-carte; comte et comtesse de Waldner, légumier baronne E. de Bastard, consolo comte et comtesse Duffourdo Raymond, boite à biscuit M. et M e H. de Guiringaud, verres à liqueurs; baronne Albert de Bastard, vase cristal comtesse de Lammerville, boito à poudre; comte et comtesse de Montbel, sucrier; M. et Mme Villatto des Prugnes, buvard; marquise do Ckargores, vase Chine; Mme Laudet, éventail; Mlles Revenaz, ombrelle Mmo Tliuret, Sèvres; M. Gavini de Caïupilc, ombrelle:

comte et comtesse de Chastenet, coups cristal; baron et baronne de Montesquieu, flacon; baron et baronne des Méloizes, poudrière; baron et baronne de Saint-Paul, verre d'eau; vicomte et vicomtesse de Freslon, flambeaux; Mme de Broc, vase; M. et Mme do Monicault, flambeaux; colonel Boyer, seau à biscuit; baronne de l'Escalopier, épingle à chapeau; M. Fernand Laudet, glace; comte de Bastard, biscuit; vicomtesse du Peyroux, salières; comte et comtesse de SainteCroix, vase; baron et baronne Alfred de Bastard, garniture de bureau; rf. et Mme de Montai, écritoire miss Sitty Boothman, service à thé; M. et Mme de Greling, garniture d'ombrelle M. et Mme de Graneey, moutardier: M. et Mme Schneider, boucle de ceinture; comte et comtesse de Rilly, pot de Sèvres; vicomte et vicomtesse de Saporta, carafe à vin; comte de Galard-Terraubu, éventail comte de Luppé, seau à bonbons; M. et Mme de Guibert, cache-pot, etc.

Nous apprenons les fiançailles de Mlle Anne-Marie Evcraerts, fille de M. Max Everaerts et de madame née Gossen, d'Anvers, avec le comte François-Guillaume de Maigret, fils de feu le comte Gaston de Maigret et de Jehanne Chandon de Briailles, et neveu de l'amiral de Maigret, récemment décédé. C'est demain lundi que sera béni dans la plus stricte intimité, en l'église Saint-Pierre de Çhaillot, le mariage de M. Henry Boissée, directeur des mines d'Héraclée, avec Mlle de Vendeuvre, fille du baron et de la baronne de Vendeuvre.

Le mariage de M. Georges-Henri Salvy, fils de l'éminent bâtonnier prés de la Cour d'appel de Riom, et de Mme Georges Salvy, avec Mlle Marie-Louise de Nolhac, fille du savant conservateur du palais de Versailles et de Mme Pierre de Nolhac, sera célébré le samedi 26 courant, à midi, en l'église SaintLouis de Versailles.

Dans le courant de janvier sera célébré, à Agen, le double mariage du lieutenant Héry, fils du commandant Héry, avec Mlle Blanche Amblard, fille de M. Paul Amblard et de madame née Labat, et celui de M. Jacques Amblard, frère de Mlle Blanche Amblard, avec Mlle Geneviève Dumont Saint-Priest, fille de M. Dumont Saint-Priest, inspecteur général des haras.

De Médéàh (Algérie), on annonce les fiançailles de Mlle Paulette Gossein, fille du chef d'escadrons de cavalerie en retraite, officier de la Légion d'honneur, et de madame née Péan, avec M. Eugène Tardieu, docteur en médecine.

Nous apprenons le prochain mariage de M. François Mayaud fils de M. Fernand Mayaud, décédé, et de Mme Fernand Mayaud, avec sa cousine Mlle Marie-Louise Mayaud, fille de M. Louis Mayaud, conseiller d'arrondissement de Saumur.

En l'église Notre-Dame des Victoires a été célébré le mariage de M. Rodrigo Claudio da Silva, ingénieur à Saint-Paul, avec Mlle Cecilia Carmen Monteiro de Barros. Les témoins f'u marié étaient M. et Mme José Monteiro de Barros, MM. Rodrigo de Barros et le docteur Victorio Cresta ceux de la mariée la comtesse Monteiro de Barros, le docteur Victorio Cresta, le docteur J.-P. Machado Portella et Mme Carmen C. Monteiro de Barros.

On annonce le prochain mariage de Mlle Marguerite de Grieu, fille de M. René de Grieu, ancien conseiller général de la Charènte-Inférieure, avec M. le docteur de Fleurian, fils du commandant de Fleurian. Le mercredi 23 novembre sera béni, en l'église Saint-Pierre de Chaillot, le mariage de M. Pierre Adeline avec Mlle Marcelle Allard de Méeus.

DEUIL

En l'église de Rillieux ont été célébrées, au milieu d'une nombreuse assistance, les obsèques de M. Léon Perme\cl, officier de la Légion d'honneur. Le deuil était conduit par MM. Georges, Edouard et Charles Permezel, ses fils, et M. Léonce Blanchet, son gendre.. L'inhumation a eu lieu au cimetière de Loyasse où des. discours furent prononcés, parmi lesquels celui de M. Chamonard, viceprésident de l'Union des chambres syndicales, au nom de cette Union dont le défunt 'était président honoraire.

Vendredi, en la basilique Saint-Epvre, à Nancy, ont cu lieu les obsèques de Mme de Rivils de la Salle, née de Maillart de Landreville. Le deuil était conduit par MM. Delherm de. Novital, le général L'Espagnol de Chanteloup, le lieutenant de Golbéry, le capitaine de Vézy de ".eaufort, MM. du Rotois, Amidieu du Clos, ses neveux et petitsneveux.

L'inhumation a eu lieu au cimetière de Préville.

De Bruxelles

Le chargé d'affaires de Colombie et Mme de Rodriguez Maldonado viennnent d'étre cruellement frappés par la mort inopinée de leur fille Elvira de Rodriguè^-Maldonado. Les obsèques de M. Charles Brière, ingénieur en chef des ponts et chaussées en retraite officier de la Légion d'honneur, seront célébrées demain lundi, à dix heures, en l'église Saint-Augustin. L'inhumation aura lieu au cimetièrexMontparnasse.

Nous apprenons la mort De Mme Jules Belloir, née Gillon, déeédée en son domiciie, à Neuilly-sur-Seine, avenue de Néuilly,, dans sa soixante-quatorzième année De Mme Mignot, née de Questa, décédée au château d'Annonay (Ardéche), à l'âge dé soixante-quatre ans; Du R. P. Robino, de la congrégation du Saint-Esprit, missionnaire au Niger, décédé à l'abbaye de Langonnet; De M. Victor Bl.inch mi, ancien banquier, décédé en sa propriété de Beauvais, près Saint-Etienne-de-Chigny.

a E. Delaroche.

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A L'INSTITUT

ACADÉMIE DES BEAUX-ARTS

Au début de la séance, que présidait M. Massenet, M. de Selves a donné lecture de ia notice qYil a écrite sur la vie et les travaux de M. Gruyer, son prédécesseur.

Plusieurs passages de cette très intéressante et très belle notice, que nous regrettons de ne pouvoir même résumer aujourd'hui, ont été soulignés par les applaudissements, notamment celui-ci A une époque où tout se transforme, où disparaissent la plupart des usages et même des idées avec lesquels ont vécu les générations d'avant, où une vaste démocratie, avec la force et la rudesse, parfois, de ses mouvements, prend possession du pays et en devient maîtresse, les hommes qui sentent, qui pensent, et qui aiment ce pays comprennent que certaines institutions, certains foyers de science, d'esprit, d'art et de gûût, sont à entourer d'une sollicitude plus pa ticuliôro, parce que d'eux tombe sur la nation entière cette semonce fine et délicate, si bien faite pour notre sol, qui constitue la civilisation elle-mAme dans sa resplendissante et bienfaisante splendeur.

L'Académie a décidé l'impression de la notice, et M. da Selves a reçu les félicitations unanimes de ses confrères. Il a été ensuite donné lecture des lettres des candidats au fautûuil de Frémiet, qui sont, par ordre alphabétique MM. Antonin Cariés, Ernest Dubois, Gardet, Hugues, Hippolyte Lelebvre, Peynot, Siuard et Verlet. L'Académie a ajouté le nom de M. Gustave Michel. La section de sculpture procédera au classement des candidats dans la prochaine séance.

SCIENCES MORALES

Sur le prix Odilon Barrot, une récompense de 2,000 francs est décernée à M.

Valery, professeur à la Faculté de droit de Montpellier.

Le prix Biaise des Vosges de 1,500 francs est attribué à" M. Anatole Weber. Sur la proposition de M. Paul LeroyBeaulieu, la Compagnie donne pour ce mème prix en 1914. le sujet de concours suivant « Rechercher les applications du principe de la participation aux bénéfices en France depuis le milieu du dix-neuvième siècle jusqu'à 1 heure présente, etc. »

On entend une lecture deM.LyonCaen sur unification du droit maritime et sur la convention internationale de Bruxelles du 23 septembre 1910, relative au sauvelageet à l'assistance maritimes; et diverses communications de MM. Anatole Leroy-Beaulieu, Frédéric Passy, Welschinger et Monod.

Les Trois Parques

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Clotho, Lachésis et Atropos, l'impitoyable Atropos, comme la nommait le bon La Fontaine, les trois Parques, dans la mythologie, filaient inlassablement la destinée des peuples, et même celle des dieux. Sic voloerc Parcas. Quels fils pouvaient elles bien employer pour tisser d'aussi gigantesques ouvrages ? L'histoire est muette à ce sujet, mais il est à supposer qu ils étaient d une solidité et d'une qualité telles, que le secret de leur fabrication doit être perdu à tout jamais. Il n'en était heureusement rien, et le High Life Tailor devait un jour reconstituer pour le bonheur de l'humanité l'œuvre de la divinité païenne. Il suffit, eneffet, d'examiner les tissus extraordinaires, qu'il fabrique lui-même pour servir à ses fameux pardessus ouatés, col velours soie, parements drap, du prix incroyable de 69 fr. 50, qui est aussi celui des incomparables complets, à ses pelisses capitonnées, col loutre ou* astrakan véritables, à 89 fr. 50, costumes tailleur pour dames à 95 fr., pour se cbnvaincre que leur résistance et leur souplesse peuvent t braver les plus dures intempéries et les ravages du temps. On peut, sans être ob igé à une commande, venir, 12, rue Auber, et, 112, rue Richelieu, s'ass urer de la valeur inestimable de ces merveilleuses draperies. ̃ »

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La Crise anglaise

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Les dates des élections

(Par dépêche de notre correspondant particulier) Londres, 19 novembre.

Les élections générales auront lieu à Londres et dansles « borou°'hs » ordinaires entre le 3 et le 8 décembre et, dans les comités et les « districts boroughs » entre le 9 et le 18 décembre. Les opérations électorales seront donc complètement terminées avant les fêtes de Noël.

M. Asquith a inauguré la campagne électorale aujourd hui par un discours qu'il a prononcé au National Libéral Club. Presque tous les ministres étaient présents.

M. Asquith, dans un discours très applaudi, a déclaré que les circonstances étaient sans précédent dans l'histoire constitutionnelle anglaise.

Les projets de la Chambre des communes, élue en 1906, avaient été systématiquement contrecarrés par la Chambre des lords.

Il y avait dans la Chambre des communes, élue en janvier 1910, une majorité de plus de cent voix en faveur de la limitation du veto des Lords.

La conférence vient cl échouer et la guerre est maintenant déclarée.

J. Coudurier

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A l'Etranger

L'Eglise bulgare

Constantinople, 19 novembre.

La visite du député bulgare Doreff au patriarcat œcuménique a causé une profonde, sensation dans les milieux politiques. C'est, en effet, la première fois, depuis quarante années, qu'un Bulgare entre ait patriarcat. Il est indubitable qu'il règne dans les milieux éclairés b îlgares et grecs un sincère désir d'apaisement et d'oubli des vieilles querelles et la volonté arrêtée de conClure un armistice qui permette de travailler il une entente non seulement sur le terrain économique et politique, mais mAme ultérieurement dans le domaine de la religion. La visite de M. Doreff est la première manifestation publique de cette nouvelle orientation.

Le patriarche œcuménique et l'exarque bulgare seraient partisans convaincus de cette politique d'entente qui, d'autre part, aurait l'entière approbation de Jeunes-Turcs comme Talaat-bey, Djahid-bey et le docteur Nazim.

Education de princes

Berlin, 19 novembre,

On télégraphie de Constantinople a.uLokalanzeiger que le Sénat a voté une résolution demandant que les princes de la maison impériale reçoivent une instruction supérieure. Boxnefon.

Au Mexique

Mexico, 19 novembre.

Des désordres se sont produits hier à Puebla. Selon les déclarations officielles,il y aurait dix-huit tués mais les voyageurs arrivés ici disent qu'il y a cent morts parmi lesquels le chef de la police. Selon les récits des voyageurs, les troubles ont commencé lorsque les agents de police ayant leur chef â leur*ête ont tenté de disperser un meeting de protestation contre la réélection, du président Diaz, qui avait lieu dans une grande salle. Une femme ouvrit la porte de la salle et tua d'un coup de revolver le chef de la police. Un combat eut lieu alors entre la police et les manifestants. Une bombe jetée d'une fenêtre fit explosion tuant de nombreux agents de police. Le bâtiment fut en^ fin évacué.

Des troupes arrivées de Mexico et renforcées par la police rurale, attaquèrent la maison où les rebelles s'étaient fortifiés et s'emparèrent de la maison après une vive fusillade des deux côtés.

On estime â cent le nombre des. rebelles tués. ParinPles morts, se trouve la femme qui avait tué le chef de la police. Des fusils et une grande quantité de munitions ont été pris. ·

Selon les dernières nouvelles, l'ordre est rétabli. Ou assure quo le plan des révolutionnaires comporte une révolte à Mexico

Ch. Dauzats.

pour demain. De grandes mesures de précaution ont été prises. {Agence Havas.) Mexico, 19 novembre.

Le calme règne à Puebla et dans les autres villes de l'intérieur.

On évalue de 100 à 170 le nombre des personnes tuées pendant les émeutes de Puebla. De fortes patrouilles d'infanterie et de cavalrie parcourent les rues. Des tireurs d'élite sont postés dans les clochers.

L'arrestation d'un nommé Jose Cerdan, que l'on suppose être un meneur, a enrayé le mouvement.

Quarante-deux personnes, que l'on croit être membres d'une conspiration contre le gouvernement, ont été arrêtées. Parmi elles se trouvent la mère et une sœur de Cerdan. Une autre des sœurs de celui-ci, laquelle assassina le chef de la police, a été tuée. Le cadavre du chef de police a été jeté dons la rue par les rebelles et y est resté pendant tout le combat.

L'artillerie et la cavalerie sont consignées à Mexico et sont prêtes à partir pour Puebla si cela est nécessaire. (Agence Havas.) Les affaires de Perse

Berlin, 19 novembre.

On télégraphie de Téhéran au Lokalanzeiger que la réponse de l'Angleterre est arrivée avant hier. L'Angleterre insiste sur la formation d'une brigade composée do Persans commandés par des officiers anglais de l'armée des Indesv Cette brigade ne constituerait nullement une atteinte à la souveraineté persane. L'Angleterre consent à l'augmentation des droits de douane dans la. Perse méridionale si les revenus sont consacrés à augmenter la sécurité qui n'est pas encore revenue. Ch. Bon-nefom*

G. S.

COURTES DÉPÊCHES Le voyage annoncé par quelques journaux du roi d'Espagne en Italie est officiellement démenti.

M. Geoffray, ambassadeur de France, a remis hier ses lettres de créance au roi d'Espagne.

Des négociations en vue do la conclusion d'un traité de commerça entre la Bulgarie et la Turquie commenceront prochainement. El Mokri a quitté Madrid par le SudExpress il se rend à Paris.

La Chambre turque a voté une loi maintenant l'obligation des passeports. Une tempête a causé plusieurs naufrages dans la mer Noire.

La ville de Grade, dans l'Adriatique, a été inondée par un raz-de-marée l'eau a atteint dans certaines rues une hauteur de près d'un mètre.

V^N^

Figaro àJLondres LES GREVES GALLOISES

Londres, 19 novembre.

Les troubles du sud du Pays de Galles, dont on ne parlait plus ces jours-ci, l'opinion publique ne s'intéressant qu'a la crise politique, reprennent de plus belle. On signale aujourd'hui unu tentative des grévistes de faire sauter la résidenco de Bowen Joncs, directeur des mines Britannia, à Gilfach Gochs la police survenue à temps a fait fuir les grévistes avant qu'ils aient pu mettre le fou aux cartouches.

Le pillage des maisons isolées ou abandonnées continue. La situation est toujours très inquiétante. J. Couduiuer.

Figaro en Belgique LA REINE GRIPPÉE

*̃•̃" TÈruk'elle's," 19 nôvémjbr'è' La Keiiïe est atteinte. de la grippe. A 1 issue d'une consultation qui a eu lieu ce matin au château de Laekon, le bulletin suivant a été rédigé

« La grippo dont S. M. la Reine est atteinte ne lui permet pas encore do quitter le lit. » MOUVEMENT DIPLOMATIQUE

Le comte Werner van den Steen de Jeay est nommé ministre de Belgique à Rome (Quirinal).

M. de Groote est nommé ministre de Belgique à Berne.

Le baron Grenier est nommé ministre de Belgique à Madrid.

Amérique latine

DANS L'ARGENTINE

M. Ernesto Bosch, ministre des affaires étrangères de la République Argentine, s'embarquant à Boulogne pour rejoindre son poste, a manifesté au maire do Boulogne ses sentiments de confraternelle solidarité au sujet des récentes catastrophes de mer. Au nom de M. Saenz Pena, président de la République, il a remis 5,000 francs pour les victimes de ces catastrophes. Cette marque de sympathie est hautement appréciée par la population boulonnaise.

AU MEXIQUE

Mexico,19 novembre.

Recettes des douanes. Les recettes des douanes sur les importations et les exportations ont atteint, pendant le mois d'octobre de 1910, 12,48'2,250 francs, soit une plus-value de 1,892,100 francs sur celles de la même période de l'année précédente.

AU CHILI

Santiago, 19 novembre.

Travaux publics. La Chambre des députés, sur la demande du ministre des travaux publics, discutera en priorité le projet ayant pour objet d'établir la traction électrique sur la section du chemin de fer de Santiago à Valparaiso, sur l'embranchement des Andes.

A CUBA

La Havane, 19 novembre.

Chemins de fer. Le pouvoir exécutif a affermé à la Compagnie du chemin de fer de Fernandez à Placetas-de-Sur, l'ancienne ligne de chemin de fer de Trinitad allant de Corral à Fernandez sur une distance de 30 kilomê- tres les propriétés de cette dernière ligne font aussi partie do cet arrangement. La Compagnie fermière doit aussi faire construire de Fernandez à Placetas un embranchement pour communiquer avec la grande ligne.

Habitations ouvrières. Le ministre de l'agriculture a mis en adjudication les travaux de construction de mille habitations ouvrières dans la ville do La Havane. Ces maisons doivent être construites dans un délai de deux ans à dater de la ratification du contrat; cinq cents maisons devront être prêtes la première année et le reste à la fin de la seconde.

Académie. Une Académie d'histoire, comme institution indépendante ressortissant du ministère de l'instruction publique et des beaux-arts, vient d'être créée. Le but de l'Académie est de faire des recherches, d'obtenir, de recueillir, de classer, de préparer et de soumettre audit ministère, pour les faire publier, les documents et papiers qui tendraient à agrandir les collections historiques de la République.

VIENT D£ PARAITRE

–&«..<

La Vagabonde. Un des romans les plus simples et les plus émouvants que nous ayons lus depuis longtemps, un livre sincère et dénué d'artifice qui marque le plein épanouissement du talent si riche et si original de Colette Willy.

La Santé de Tolstoï

L'état de santé de l'illustre écrivain demeure toujours inquiétant. La nuit dernière avait été relativement bonne, la température était descendue à 37°2 et la respiration devenue plus 'facile. Mais l'état du cœur inspirait toujours des appréhensions sérieuses. En effet, dans le cours de la journée d'hier, Tolstoï a subi une syncope assez grave. Pendant vingt minutes le malade a perdu 'connaissance, mais sa robuste constitution a pu prendre le dessus.

Six docteurs, dont deux spécialistes moscovites des maladies du cœur. lis s'accordent à trouver la situation dangereuse et conservent peu d'espoir. Le comte Tolstoï lui-même ne se fait aucune illusion et a pleinement conscience que sa vie est en danger.

Dernière heure A il h. 15 du. soir l'état de Tolstoï s'était amélioré, la respiration était plus régulière et le pouls plus satisfaisant.

Le docteur Dikitine déclare que si l'état actuel du malade peut durer deux ou trois jours, il sera possible d'envisager une issue heureuse.

Après sa dernière crise, Tolstoï s'est écrié

II y a sur la terre des milliers d'hommes qui souffrent, pourquoi êtes-'vous là tous à vous occuper de moi seul?

Mais, à une heure du matin, Tolstoï a eu une nouve'le crise. Son état est »rrave. A la suite de la crise il s'est assoupi.? L'Affaire Rochette

e

M. Clemenceau et M. Lépine

La commission d'enquète a entendu hier contradictoirement M. Clemenceau et M. Lépine, sous prétexte qu'elle avait besoin d'éclaircissements complémentaires.

La discussion a été assez animée et si, sur quelques points, 1 ancien président du Conseil et le préfet de police ont été en désaccord, M. Clemenceau n'en a pas moins rendu à M. Lépine une justice éclatante en déclarant à la fin de ce débat d'un intér.H purement rétrospectif que ce haut fonctionnaire était éminemment un homme do conciliation et de devoir.

Toute la discussion portait en somme sur le point de savoir si en disant à M. Lépine « Voyez le Parquet'», M. Cle-, menceau avait permis à M. Lépine de donner à cette phrase une portée plus grande que celle que, dans sa pensée, lui attribuait l'ancien président t du Conseil.

Une conversation assez confuse dans laquelle il est question de Pichereau, de Gaudrion, de 1 antagonisme du Parquet et do la préfecture de police s'est ensuite engagée. Elle s'est terminée parles explications suivantes qui résument toute la séance

D. ̃•EréoGcupô des périls que .Rochette fais.ait. courir à, i'épargne auriez, vous pris sur vous de chercher un plaignant sans en avoir conféré avec le président du Cunseil? M. Lépine. Je sentais assez vivement, plus peut-ôtro quo le président du Conseil, la nécessité d'agir vite. J'aurais commis une incorrection énorme si j'avais cherché un plaignant en interprétant les intructiuus do M. Clemenceau, autrement qu'il me les a données. Je nie suis trotnpi sur te sens exact des instructions de Ai. Clemenceau, j'ai cm que j'agissais d'après son désir en cherchant un plaignant. Je ne l'aurais pas fait de mon chef.

D. Vous avez eu une conversation de quelques minutes avec le président du Conseil. Que vous n'ayez pu préciser pour lui au cojra de cette entrevue 1 acte que vous aviez en vue cela nous paraît inexplicable.

M. Clemenceau. Nous sommes d'accord M. Lépinc et moi sur la parole que j'ai prononcée «Voyez le Parquet, il faut en finir. » M. Lépine pense m'avoir dit, vingt-quatre heures après, qu'il avait un plaignant. Je n'ai pu que me réjouir de cette information qui devait rassurer les plaignants.

Ce que je puis dire, c'est qu'il n'a jamais été question entre le préfet de police et moi ni de M. Prevet, ni de M. Pichereau, ni d'aucun des actes qui ont suivi.

Dans l'entrevue qui a eu lieu dans le cabinet du président du Conseil, mon frère ayant demande à M. Lépine si je lui avais donné l'ordre de trouver un plaignant, M. Lépino a répondu « Jamais ».

D. Comment se fait-il que causant avec M. Clemenceau de l'affaire, M. Lépine ait juge inutile de lui dire la chose essentielle'? M. Lépine. Quand j'ai quitté le cabinet de M. Clemenceau je me considérais; très à tort, comme investi d'un mandat que je n'avais qu'à exécuter. Comme cela concordait avec le sentiment que j'avais de mon devoir, j'y suis allé carrément. t.

Et M. Lépine conclut ainsi

Messieurs, c'est la troisième fois que je comparais devant vous. Je ne m'en plains pas, mais j'espère que c'est la dernière. Je voudrais en profiter pour dissiper une confusion qui me paraît se glisser dans l'esprit de quelques-uns d'entre vous. Il y a lieu, selon moi, d'établir une distinction entre ce que j'appellerai ma « responsabilité administrative» et, si vous voulez, ma «responsabilité de droit commun », celle du fond.

Au point de vue de la première, il résulte de ce que je vous ai dit, hier et aujourd'hui, que je me suis trompé lourdement sur le sens et l'interprétation à donner aux .instructions de mon chef.

Il v a là une incorrection administrative bien involontaire do ma part dont mon chef actuel pourra me demander compte mais au point de vue de l'autre responsabilité (la seule que vous ayez compétence pour apprécier), je vous déclare que je l'accepte allègrement. Je ne dis pas que je m'en glorifie on n'a jamais bonne grâce à monter au Capitole mais ce que j'ai fait me laissa une certaine satisfaction.

Et quand je ma retirerai dans quelques années, après trente ans et plus do services, quand je quitterai le harnais que j'ai porté si longtemps, je me remémorerai au coin du feu ce qu'il m'a été possible do faire d'utile dans ma carrière.

Pour tout homme public, les occasions sont rares, parce que les initiatives généreuses sont paralysées par la terreur du soupçon. C'est la faiblesse des démocraties d'être soupçonneuses. M. le président vous dira, que la tradition en remonte à Athènes. Eh bien, quand je repasserai dans mon esprit l'affaire Rochette, je me dirai « Tel jour, à telle heure, j'ai été un bon collaborateur de la justice; je n'ai pas perdu ma journée. »

C'est, du moins, mon opinion, que j'avais le droit do vous faire connaître.

La séance a été levée sur ces mots. La commission d'enquête s'est ajournée à mardi pour entendre M. Mouquin, directeur du service des recherches, M.


Monier, procureur de la République et encore. M. Yves Durand.

Si cela continue, la commission peut siéger jusqu'à la fin de la législature.

Dans la soirée, M. Clemenceau aadressé à M. Jaurès une lettre lui demandant « de vouloir bien le convoquer à nouveau devant laeommission d'enquête avec M. Lépine, pour une déclaration supplémentaire ».

Cette confrontation nouvelle aura lieu

mardi matin-

matin. Auguste Avril.

BANQUETS

LES EXPOSITIONS COLONIALES Le comité national des expositions coloniales en France, aux colonies, à l'étranger, a célébré hier par un banquet les succès obtenus à l'exposition de Bruxelles par les colonies françaises. De nombreuses personnalités du monde politique et colonial avaient répondu à son invitation.

A la table d'honneur, aux côtés de M. Jean JVlorel, ministre des colonies MM. Saint-Germain, sénateur, président du comité; Etienne et Leygues, anciens ministres des colonies; Chapsal, commissaire général de la France à l'exposition de Bruxelles Roume, gouverneur général honoraire des colonies; le général Gallieni, ancien gouverneur général de Madagascar, et M. Lemonnier, vice-président du comité exécutif de l'exposition de Bruxelles.

Plusieurs toasts furent portés au dessert. Le premier par M. Saint-Germain, qui rappela les « campagnes » du comité disons les victoires aux expositions de.Bordeaux, Londres, Nogcnt et Bruxelles. M. Lemonnier, écheyin de Bruxelles, dit ensuite combien l'exposition des colonies françaises, dans la capitale de la Belgique, avait rencontré d admirateurs. M. Jean Morel, ministre des colonies, prit à son tour la parole. Il retraça l'œu- vre du comité et l'àssura de toute la sollicitude du gouvernement.

« Votre œuvre est grande, dit-il, il ne tient qu'à vous qu'elle soit plus grande encore »

M. Motte, maire de Roubaix, vient enfin, au nom de la municipalité de cette ville, inviter les membres du comité à prêter leur concours aux organisateurs de 1 Exposition qui aura lieu dans cette ville, en 1911.

LA LIGUE DE L'ENSEIGNEMENT Le Cercle parisien de la Ligue française de l'enseignement a donné hier soir son banquet, sous la présidence de M. Maurice Faure, ministre de l'instruc- tion publique. MM. Antonin Dubost, président du Sénat; Brisson. président de la Chambre; Pichon, ministre des affaires étrangères; Klotz, ministre des finances ,Bellan, président du Conseil municipal; Beau, ministre plénipotentiaire de France à Bruxelles; Strauss, Ferdinand-Dreyfus, sénateurs; Siegfried, Joseph Reinach, Paul Deschanel, .députés, y assistaient. Des discours bnt été prononcés par M. Dessoye, président de la Ligue de Renseignement,: et par M.Maurice Faure, ministre de l'instruction publique. Dans ces discours, le ministre et le président de la Ligue ont fait l'éloge de Jules Ferry, dont le monument sera inauguré aujourd'lui aux Tuileries.

Le Triomphe des Rolls-Royce Rolls-Royce Un joli nom deux jolis noms; en somme, c'est original. ça a de l'allure, comme les autos élégantes, souples, remarquables qui glissent par les rues ou volent sur les routes sous cette marqne.

Au Salon de l'Automobile, le stand où seront exposés dans la grande nef les célèbres châssis 0 cylindres 40/50 HP, Rolls-Royce sera l'un des plus visitês. Un 'nombre considérable de voitures Rolls-Rovce, « la marque à la mode », circulent dans le monde entier et notamment en Angleterre, où les sportsmen les plus compétents apprécient cet admirable châssis si souple et si silencieux. Le châssis Rolls-Royce, qui a 113mm d'alésnge et 119mm de course, est garanti trois ans par les usines, il ne dépense pas plus de 20 litres d essence aux cent kilomètres en palier, ce qui est fort remarquable quand on songe qu'en prise directe il grimpe aisément avec cinq personnes des côtes de 10 à 12 0/0. Nous conseillons à nos amis de s'inscrire pour les essais de ce véritable traîneau automobile qu'est la Rolls-Royce,

LA JOURNÉE

̃̃gfltr»

06séq~res M. Maxime Bluysen (église Saint-Vincent-de-Paul, 1 heure).

Expositions: Galeries Georges Petit 7°. Salon annuel de la gravure originale en couleurs.

Galerie Devambez Exposition de dessins par Mme Marie-Anne Lafaurie. Réunions Grande soirée artistique au profit du Dispensaire antituberculeux du neuvième arrondissement (Salle des fêtes du Petit Journal, 21, rue Cadet, 8 h. 1/2). ̃ Grande fête annuelle du Refuge français (10, rue de Lancry, 2 heures).

Xn!opçpation5

Le Journal officiel publie ce matin Loi autorisant le g-ouvornomont à faire une promotion spéciale dans la Légion d'honneur à l'occasion du la glorification de l'œuvre scolaire de la République qui sera célébroo le 20 novembre 1910 par l'inauguration du monument à Jules Ferry.

Ai-rite instituant sous la présidence de M. Cote!îo. conseiller d'Etat, une commission chargée d'étudier la quostion do l'établissement do l'bypoih-quo fluviale en France.

Jjeeivt aux termes duquel sont nommés élèves ingénieurs des ponts et chaussées les anciens élèves de l'Rcole polytechnique dont les noms suivent Lialensi, Loder, Manheix. Le Bourhis, Chalon, Haelling.. Jeudeau, Rabut, Dosaleux,. Crépin, GeX, Parmenlier, Weil,. Carbe, Schwartz, Degardin, Augustin et Martin.

Pour Duhufe

Il y a. plus d-un an que Guillaume Dubule était subitement enlevé à l'alï'ection des siens. La mort l'avait frappe en pleine force, alors que son activite infatigable permettait de croire qu'un long avenir s'ouvrait encore devant lui. Ses confrères ont résolu de commémorer le souvenir de l'ami regrette et de l'organisateur sans rival qui aTenoavelé

par son goût les expositions artistiques. Un comité vient donc de se constituer sous la présidence de M. Jean Béraud, pour élever un monument sur la tombe de Dubufe au Père-Lacliais'e,

Les Parisiens de Paris

Le 249e dîner des Parisiens de Paris; dîner de rentrée, aura lieu demain, à sept heures et demie, chez Ronceray. Il sera présidé par M. le docteur Springer, récemment promu officier de la Légion d'honneur. ~0,

Le djner sera suivi de l'assemblée générale annuelle de l'Association; Ld progrès dentaire

Les « Bridges » de M. Farley, 16, rue de la Paix, ne gênent pas, rajeunissent, rendent t le plaisir de manger, prolongent la vie. Jean de Paris.

Courrier DE LA BOURSE

1

Paris, 19 novembre.

La semaine se termine dans des dispositions meilleures. Au parquet et en banque presque tous les cours sont en progression. Ces avances semblent dues pour la plupart à des rachats plutôt qu'à des achats. On s'était ému sur toutes les places pour des raisons diverses. En Angleterre et en Amérique à cause de la politique, en France à cause des inondations et enfin la crainte partout de voir l'argent se resserrer. On commence à se dire, en Angleterre, que le résultat des élections, dût-il donner l'avantage aux libéraux, et la Chambre des lords, modernisée, n'empêcheront pas la vie industrielle du pays.

En Amérique, on estime que la victoire dos démocrates les poussera à la modération. En France, on a la confiance que malgré l'acharnement de ses adversaires, le gouvernement, grâce à l'attitude de son chef, triomphera des énergumènes de la politique qui étaient en train de conduire notre beau pays aux pires désastres si on ne leur avait barré la route.

De tous ces points noirs il ne reste que l'inondation et le prix de l'argent qui n'aient pas encore dit leur dernier mot.

Le baromètre est plein de promesses mais il a le mercure si trompeur. L'argent est encore abondant parce que. les sommes dont nous aîlons nous trouver débiteurs à l'étranger ne sont pas encore exigibles. ̃ On pourrait donc sans grand danger esquisser un mouvement de hausse facilité par les rachats déterminés par les journées humides et maussades que nous venons de traverser. Mais je ne vois pas se dessiner encore le sentiment de confiance qui entraîne le public.

Il a porté cependant son attention sur le marche américain, excité par la nouvelle qui a circulé de l'introduction sur le marché officiel de Paris de l'Union Pacific. Certes on ne pourrait offrir de meilleure valeur à la place do Paris mais je crains bien que l'on rencontre, comme pour l'introduction de Steel Common, des difficultés insurmontables à cause de cette maudite loi do l'abon- nement pour les valeu étrangères. On nous dit bien que la commission, des réformes fiscales des valeurs étrangères a terminé ses travaux, que son distingué rapporteur général M. Neymark a déposé son rapport dont les conclusions ont. et'; adoptées à l'unanimité mais il faut maintenant ]a sanction du ministre des finances et le dépôt par lui d'un nouveau projet de loi.

Or, M.' Klotz est très occupé par son budget. Trouvera-t-il le temps de préparer cette loi? Si l'on s'en rapporte à sa grande faculté de travail, et à son habitude de faire aboutir les questions qui lui sont soumises, on aurait le droit, de l'espérer, mais, on ne saurait tout de même lui en vouloir de ne pas s'imposer pour le moment ce surcroît dé

besogne.

En l'absence do spéculation, les banques nous préparent des omissions qui sont déjà assurées de l'accueil du public qui aime les nouvelles affaires quand elles présentent des bons revenus et de bonnes garanties. On verra plus loin l'annonce de l'émission prochaine de l'emprunt de Buenos-Aires. On n'attend plus que la confirmation par le Sénat de la loi votée par la Chambre. L'émission de l'emprunt Bolivien est annoncée pour le 30 courant.

Voilà- des 4 1/2 et dos 5 0/0 offerts au public à des prix avantageux. Ces emprunts ne seront pas longs à faire prime. 1

Cela n'empêche pas qu'il y ait encore parmi les valeurs inscrites à la cote des actions dont les prix sont assurés d'être largement dépassés. Je nevoispas de raisons pour que le Consolidé russe, le Turc, le Brésil, l'Omnibus, la meilleure des valeurs de traction, la Thomson hellénique, qui est une valeur industrielle de' premier ordre à gros revenus, ne profiteraient pas d'une hausse accentuée. Ellus finiront bien par attirer l'attention du public.

J'ai même le sentiment que les valeurs de caoutchouc vont retrouver la faveur du marché. La matière première a beaucoup baissé. Les besoins sont loin de diminuer et les exagérations de la spéculation ont subi leur peine. Il reste une industrie qui n'est pas soumise à beaucoup d'aléas. On trouve la matière exploitée sur la surface de la terre. On la voit. On peut en suivre les développements. Il n'est pas de besoin de fouiller le sol et d'en surveiller les entrailles. On peut difficilement raconter des histoires incontrôlables.

Par conséquent, j'aime autant une affaire de caoutchouc qu'une affaire quelconque d'extraction.

Dans cet exposé incomplet on trouverait bien des éléments d'affaires. Il faudrait stimuler le moral de> acheteurs.

l'ossôdons-nous les intermédiaires susceptibles de cet actf d'énergie?

Marché officiel. -La Rente s'est légèrement rauVriiiie a 97 27, eu reprise de 7 centimes sur hier.

L' Extérieure espagnole s'est relevée à 9390. Le Turf se maintient forme à 91 12.

Le ;S'irbe 4 0i0 a gagné uiië trentaine de

centimes à 8ii ïri.

Les fonds russes sont bien tenus aux environs de leurs cours prées denfx. -Le Consolidé 4 0 0 est ferme à 96 70; le 5 0/0 1906 reste à KW '75.

L-v Port mais monto d'un demi-point à

65:5.

Le Bré~il b t)/0 sort de son calme habituel et s'avance do 90 10 à 9i) 50.

Les établissements de crédit sont bien tenus. La Banque de Paris est ferme à 1,840 le Crédit lyonnais reste à 1,441. L'Uiiion parisienne gagne 3 fr. à 1,065. Le Crédit mobilier est soutenu à 714.

La Banque privée ne tient à 413; la Banque franto-américaine est bien disposée à 517.

Le Nord-Sud regagne 4

3^8. A la ré-

flexion, la Bourse semble avoir compris que l'on ne pouvait basor des calculs sur les résultats obtenus sur le tronçon de ligne ouvert à l'exploitation.

Le Métropolitain, so tient à 583. Dans la comparaison des recettes avec celles de l'année dernière, il faut tenir compte de ce que la longueur du réseau s'est accrue de plus d'une vingtaine dé kilomètres depuis un an. Les Omnibus se rnaintienneut aux environs dé 655. La Ttwmxô i-ffo iston ̃reste à 777. L'action Popp regagne un peu de terrain à

"i75.

La Jeumont est ferme à 461.

Les Chenin de fèr nationaux du Mexique se sont légèrement raffermis à 191.

Les Tramways de Mexico sont un peu plus lourds à 6:25. Cette affaire donne, aux cours actuels un revenu de 5 1/2 0/0, aveedes perspectives d'amélioration.

Le Rio l'into est ferme à 1,798.

Les 'chonùns de fer espagnols sont restes

calmes aux mêmes cours qu'hier. Le Nord d Espagne finit à 392, le Snragosse à 418. La Sosnoinice est bien tenue à 1,857 on parle d'un dividende probable de 35 fr. Ce dividende représenterait moins de 3 0/0 aux cours actuels.

La Briansk est soutenue à 351.

Marché en banque. Le marché sudafricain s'est tout à coup raffermi et les rachats des vendeurs ont accentué la reprise. La Hand Mines a regagné 3 fr. 50 â 212 et la Goldfields 3 fr. 50 également à 145 50. La Crown Mines se relève à 203 50 et l'East Rand à 127.

La De Beers est -ferme à 453, la Jagersfontein progresse à 214 50.

Le Platine ost canne 664. La hausse ré- cente semble avoir un peu essoufflé le marché.

La Lena a monté de 1 fr. 75 à 84, sous l'influence de quelques rachats.

La Spasslcy est ferme à 95 75. La production du mois se terminant au 15 novembre s'est élevée à 242 tonnes.

Les valeurs industrielles russes sont quelque peu irrégulieres. Une réunion des directeurs de banques à Saint-Pétersbourg, présidée par le ministre des finances, a décidé que les banques russes devaient adopter une attitude réservée et ne pas encourager la spéculation.

La Hartmann perd 3 fr. à 626; la Maltzoff se tient ferme à 1,375.

La Thomson- Houston hellénique gagne 1 fr. à 102 50.

Les valeurs de caoutchouc sont calmes. La Société financière reste à 337, la Malacca à 178 50.

La Mailiop se maintient à 17 75.

Armand Yvel;

New-York, samedi (dernière heure). Le chiffre des affaires aujourd'hui au Stock Exchange, a été assez élevé il comprend environ- 199,000 titres, soit 44,000 Steel, 29,000 Union, 28,000 Reading, 11,000 Chesapcake et 10,000 Rock Island.

A l'ouverture, le marché fut actif et ferme, sur les nouvelles de Londres, qui apportèrent quelques ordres d'achat. Divers groupes, notamment le groupe Hawley, ont continué à faire monter leurs valeurs il s'est fait ainsi de gros achats surtout en Steel et en valeurs Hamman.

Puis on mit à profit la hausse des cours pour effectuer des réalisations. Les offres, cependant, furent bien absorbées ot, sur le tard, la position à la hausse fut fortifiée par des achats do couvertures importants, et Bar le rapport favorable des banques. Le ton," en clôture, fut très ferme.

Le marché des obligations a été également ferme et les transactions actives; on estime leur chiffre à 1,241,000 dollars.

Le marché monétaire a été terne, -comme cela se produit d'ordinaire tous les samedis. Le taux moyen jusqu'au lundi a été de 2 3/4 0/0.

En clôture, le cuivre, 12 45 demandé 1260 off ert.

III

INFORMA TSOMS FIN A MCSÈSiES EMPRUNT DE LA PROVINCE DE BUENOS-AIRES. L'é- mission do l'emprunt 4 1/2 0/0 or de la province de Buenos-Aires, d'un montant de 88,200,000 francs, aura fr6s probablement lieu dans lo courant de là semaine prochaine par les soins de la Banque, de Paris et des Pays-Bas, MM. Bénard et Jarislowski et la banque Allard et Cie. Le prix d'émission est fixé à 97 1/2 0/0 soit 487 fr. 50 par obligation.

v"r

LE MONDE RELIGIEUX

Nomiwations. Par décision de Mgr Amette

M. l'abbé Stiltz, premier vicaire do SaintJean-Baptiste de Grenelle, est nommé pre-

mier vicaire .de Saint-Thama.sr.rrAquin. ,••

M. l'abbé Milliard, second vicairs^ do SàintJean-Bàpliste de Grenelle, est nommé prer niiér vicaire delà même paroisse. M. l'abbé Lorthioy, second vicaire de Notre-Dame de la Gare, est nommé second vicaire de Saint-Jean-Baptiste de Grenelle. M. l'abbé Tanchou, vicaire à Saint-Ambroise, est nommé vicaire à Saint-Denis du Saint-Sacrement.

Installation. L'installation à la cure de Sainte-Geneviève d'Aspiéres de M. l'abbé Legrand, ancien premier vicaire de Saint. Thomas-d'Aquin, aura lieu lundi 21 novembre à trois heures, sous la présidence de Ml'abbé Lefebvre, vicaire général, archidiacre de Saint-Denis. J. de N.

N

AUBAINE FÉMININE

Les élégantes Parisiennes se réjouiront d apprendre que leur couturier favori Aymé met en vente dès maintenant, dans ses salons d'entresol du 11, boulevard Malesherbes, de ravissants costumes tailleur et robes fourreau en velours à 200 francs, ainsi que ses annuels costumes réclame à 2.5 francs. C'est là une aubaine admirable d'une durée limitée dont profiteront toutes les femmes raisonnables.

Gazette dos filibunaux

Oazetîe Ésjiiunaox

Tribunal civil de LA Seine (3e Chambre) La Chine à Paris.

Il y a quatre ans, tous les journaux illustrés reproduisaient le portrait de M. Eou-Ta-Fa-Scié, préfet de deuxième classe hors cadres, en Chine et licencié en droit. Ce fils du Ciel épousait une Française, Mlle Louise Sauvageot. tout comme les Français du temps de Théophile Gautier et de Bouilhet rêvaient aux Chinoises du pays jaune « où sont les cormorans ». Ce mariage, comme tant d autres unions européennes, vient de finir par un divorce.

M. Ta-Fa-Hcié eut, en effet, des aventures qui défrayèrent la chronique il fut trompé, ,el pour faire constater son infortune, le Chinois, très parisien, requit un ag.ihl sous le prétexte qu'on l'avait entôlé, afin de le mettre en présence de Mme Ta-Fa-Scié. On parla beaucoup au Palais de cette procédure nouvelle des flagrants délits.

Puis. M. Ta-Fa-Scié introduisit une demande en divorce a laquelle sa femme répliqua par une demande reconventionnelle.

La 3e Chambre du Tribunal, présidée par M. More, a, hier, rendu son jugement.

Attendu, dit le Tribunal, que le mari appartient à la nationalité chinoise, que d'après la lui chinoise de 1909, « tout étranger ou toute femme se trouvant dans l'une des situations suivantes acquiert la nationalité chinoise 1° Femme mariée à un Chinois. Mme Ta-Fa-Scié est donc Chinoise. Elle peut donc divorcer. On peut, en effet, dans le Céleste Empire, se séparer d'avec sa femme lorsqu elle est trop bavarde, ou lorsqu elle ne reçoit pas bien sa belle-mère, ou encore lorsqu'elle est infidèle. Et le jugement, sans ajouter le « respect à ceci » qui n est pas sans grandeur à la fin des édits ou décisions de justice chinoise, déclare

Attendu que la demande de Ta-Fa-Scié est donc, par le seul fait do l'inconduite do sa femme, amplement justifiée.

Et il prononce le divorce, aux torts et griefs delà feràrne.

Le mariage avec un Chinois n'a pas plus d'imprévu que les autres.

Georges Clareti'e.

(DE NOS CORRESPONDANTS)

Lyon. Le 1er avril dernier, l'agent Grillet. voulant procéder à Oullins, à l'arrestation de deux faux-monnayeùrs, nommés. Antony et Lamb rt, ce dernier tira sur l'agent, le tua, et se suicida ensuite d'un balle de revolver dans la tète. Hier, son complice et le nommé Chazeaud, ancien secrétaire de l'Union des syndicats des ouvriers du Rhône, comparaissaient devant la Cour d'assises du Rhône. Chazeaud était prévenu de fabrication de fausse monnaie.

Les deux accusés ont été acquittés aujourd'hui.

LES REVUES

La Revué hebdomadaire. du 19 novembre Pierre Baudin, sénateur, ancien ministre, ambassadeur extraordinaire aux fêtes de i'Independance, « Impressions d'Argentine » Louis Sonolet, « Un Champ pour l'activité française: Que pouvons-nous faire en Afrique occidentale ? » C.-F. Ilatnuz, « Aimé Pache, peintre vaudois (VIII) n André Chaumeix, « Le Mouvement des idées Y Aventurier, d'après M. Capus » Léon Barry, L' Aïeul.

Pour paraître prochainement « Edouard VII, l'homme, le politique, le diplomate », par M. Jacques Bardoux;, « Le Centenaire du rétablissement de l'ordre des avocats », par Mc Chenu, ancien bâtonnier- do l'ordre des avocats à la Cour d'appel de Paris.

̃ Nouve/Ies Diverses

LA. IIOUT DE M. RANSOX

M. le juge Barat s'est transporté, 5, ruo do Laborde, au domicile do M. Ranson. En sa présence, un expert a examiné le radiateur à gaz dont le tuyau a été trouvé détaché. Il estime qu'aucun accident. n'a pu se produire. D'autre part, Mme Jeanne Senaillet, dite Hélène de 'Charnay, amie de M. Ranson, et d'autres témoins qui ont été entendus, ne croient pas que le défunt se soit suicidé. On ne lui connaissait aucun souci et sa situation était prospère. Dans ces conditions. le Parquet va donc être obligé d'examiner si quelqu'un n'avait point intérêt à la disparition de l'ancien notaire et n'aurait point dévissé le tuyau du radiateur.

LE CPIME DE L'HOTEL D'ANGLETERRE M. le juge d'instruction IIastron, chargé do l'enquête relative à l'assassinat de la baronne Olivier d'Ambri court, a reçu hier la visite de M. Ogier, directeur du laboratoire de toxicologie, qui lui a communiqué le résultat de ses premières recherches.

M.. Ogicr a examiné le contenu des bouteilles saisies à l'hôtel d'Angleterre. Aucune d'elles n'a contenu le chloroforme qu'avait acheté le capitaine Meynier.

D'autre part, M. Hastron a chargé le Laboratoire municipal de faire l'analyse de certaines taches jaunâtres que le docteur Paul a constatées sur.l'encolure de la robe et de la chemise de Mme d'Ambricourt.

On est certain que l'assassin a dévalisé la victime. Mme d'Ambricourt: avait toujours sur elle une certaine somme. D'après l'enquête faite auprès des personnes qui étaient à son service, elle devait, le jour où elle est partie rejoindre le capitaine Meynier, avoir da-hs son sac à main une somme de cent quarante francs. Cet argent a disparu, on n'à retrouvé que 70 centimes.

On fait des recherches au Mont-de-Piétô pour savoir si Meynier n'a pas engage des 1 bijoux,

LES DÉPARTEMENTS 1

Syndicalistes havrais

II y avait longtemps que les ouvriers des docks ne nous avaient donné de lours nouvelles Les voici en grève de nouveau.

C'est au Havre que le mouvemen t s'est produit. Jusqu'à présent, il n'atteint qu'un petit nombre d'ouvriers (on comptait 400 grévistes avant-hier soir) mais le conflit est intéressant, en ce qu'il affirme une fois de plus l'intolérable situation créée au patronat par la tyrannie syndicaliste.

La grève s'est produite à la Compagnie des Docks-Entrepôts. Elle a éclaté jeudi matin, mais les incidents qui la motivent sont déjà vieux de sept semaines.

Vers la fin de septembre dernier, quarante-huit ouvriers, embauchés par la Compagnie des Docks pour opérer le débarquement du steamer B olivia, avaient brusquement déserté le travail, sur l'ordre du syndicat des ouvriers du port. Peu importe l'incident qui fut la cause ou le prétexte du conflit. Ce qu'il faut noter, c'est que neuf de ces ouvriers étaient depuis plusieurs années liés à la Compagnie par un contrat. Ce contrat, ils le rompaient brutalement, sans préavis.

Cet incident avait causé à la Compagnie un sérieux préjudice: elle avait dû déplacer la Bolivia pour opérer son débarquement sur un autre point du port, puis retarder de deux marées son départ. Elle soumit donc le conflit au Conseil des prud hommes, qui reconnut le principe d'une indemnité due par les neuf ouvriers « embrigadés» qui avaient refusé le travail.

Cette satisfaction obtenue, la Compagnie prévint ces ouvriers qu'elle les rayait de ses contrôles elle leur donnait simplement, sur leur demande, un délai d'un mois, pour chercher ailleurs du travail.

C'est dans ces conditions que le syndicat des dockers vient de déclarer la

grève.

11 a ordonné aux ouvriers de la Compagnie de refusiT le travail tant que los,

neuf ouvrie¡'s dF!ciassés ¡¡ au!'onl pas ét~

neuf ouvriers déclasses n auront pas et*

repris par elle. Et la première journée de grève ne s'était pas écoulée que déjà d'autres revendications s'ajoutaient à celle-ci le syndicat réclamait notamment le retour « à leurs attributions an.térieures » de tous les ouvriers qui avaient pris part, en septembre, à l'incident de la Bolivia

Il ne reste plus qu'à exiger des gratifications pour tout 'le monde, en attendant que la Compagnie soitsomméo de présenter des excuses au syndicat.

{Par dé-pÉche& de nos correspondants)

LÉS QUAIS' DE ROUEN

Rouen, M. Waddington, président de la Chambre de commerce de Rouen, avec une délégation de cette chambre, est venu, hier matin, s'entendre avec M. Beaugey, directeur dos chemins de fer de l'Etal, sur les moyens à prendre pour assurer dans la crise actuelle l'écoulement le plus rapide possible des marchandises. La délégation a vivement remercié le directeur des efforts faits par le réseau pour dégager les quais do -Rouen menacés par l'inondation deux cents wagons ont «té,

dans une seule journée, mis à, la disposition des commerçants.

Çà et

Lés vignerons de Vaudières-sons-Châtillon (Marne) ont voté la grève de l'impôt, jusqu'à ce qu'ils aient obtenu complète satisfaction.

Arsus.

GUSTAVE WOR1S

Gustave Worms est mort hier matin, enlevé presque subitement à l'affection des siens.

Il n'est pas un artiste que j'admirais aussi profondément: il n'en est pas un que j'aimais plus. L'homme avait la simplicité, la sûreté et la probité de son merveilleux et incomparable talent. C'était lui qui, il y a bientôt trente ans, alors que je débutais dans le journa- lisme, m'avait fait connaître la ComédieFrançaise et avait guidé mes premiers

pas; il était alors en plein triomphe:

tous les auteurs, Emile Augier, Alexandre Dumas, Victorien Sardou, Pailleron, Meilhac, le réclamaient pour créer leurs rôles; tous, en effet, savaient bien que le metteur en scène valait le comédien et que l'homme ne le cédait en rien à l'artiste. C'était Dumas qui, un jour, à une répétition, disait à ses interprètes « Ecoutez bien Worms détailler ce récit et jouer cette scène. Vous n'entendrez plus rien de pareil » Dumas disait vrai: tous les rôles créés, et repris par Worms, furent marqués à jamais par lui, les rôles modernes et aussi les rôles classiques. Qui donc l'égala et l'égalera en Alceste? Ce qu'il nous donna la fut une chose unique, la plus parfaite peut-être que nous ayons eu la joie de voir au théâtre

Et si vous saviez avec quel art supérieur il enseignait non seulement ses rôles a lui, mais tous les rôles; les rôles de comédie et de tragédie, les jeunes premiers comme les grandes coquettes, les ingénues comme les soubrettes. Ses élèves sont aujourd'hui légion à la Comédie-Française et dans tous nos théâtres. S'il fut la gloire de notre première scène, il fut aussi celle de notre Conservatoire, et lorsque tout récemment, au début même de cette année scolaire, M. Gabriel Fauré lui demandait de prendre place au conseil supérieur de l'Ecole, il rendait au professeur le plus éclatant et le plus mérité des hommages.

Mais ce n'est pas en quelques lignes hâtives que je puis retracer cette admirable carrière que j'ai souvent, ici même, citée comme modèle. Il y a quelques jours, Worms me disait avec son clair et indulgent sourire « Vous les ennuyez, vos lecteurs, en rappelant mon nom à tout propos. Je suis un oublié! » Un oublié Je bondissais à ce mot. Un, oublié Non, mon bien cher ami

on n'oublie pas des hommes tels que vous. Vos auteurs, vos directeurs, vos camarades, vos élèves, tous ceux qui vous avaient vu à la tâche, vous aimaient et vous vénéraient parce qu'avec vous ils se sentaient en pleine confiance, parce qu'ils savaient l'être d'exception que vous étiez-

Et qui dira l'ami qu'était "Gustave Worms? J'ai eu la douce joie, la joie délicieuse'entre toutes, d'apprécier cette amitié. Il n'en était pas de plus loyale, de plus fidèle. Les Worms! Mes amis Gustave Worms et Blanche Baretta I Et voilà ce beau et charmant foyer, hier encore tout plein de bonheur, privé de son chef adoré. Je l'ai vu tout à l'heure inanimé, sur son lit, mon pauvre grand ami, et je me demandais, le cœur désolé, s'il était vraiment possible que. ce fût fini

Adrien Bernheim.

M. Worms était né en 1836. Après de solides études au Conservatoire, dans la classe de Beauvallet, il avait obtenu en 1857 un premier accessit de tragédie et un second prix de comédie. Engagé au Thôâtre-ti'rançais, il avait débuté, avec le plus vif succès, dans lartuffe il avait ciéé le rôle dAchille dans Duc Job, et commencé une carrière si brillante qu'en 1804 ses camarades le nommaient sociétaire a l'unanimité. Contrairement à l'attente générale, le ministre des beaux-arts hésita à ratifier le choix des sociétaires. Justement froissé, M. Worms donna sa démission et, acceptant les offres du u théâtre Michel, il partit pour la Russie. Une nouvelle carrière commençait pour lui. Tout de suite, et pendant onze ans, il fut l'étoile du théâtre Michel fêté, choyé, adulé, il était de toutes les fêtes. Les souverains et la cour lui témoignaient les plus grands égards. Un jour vint cependant où le besoin de revoir la France et de fouler à nouveau les planches parisiennes prit M. Worms. Montigny fut ravi do l'engager au Gymnase. Il y reparut, devant le public, dans la Dame aux camélias et sa rentrée lui valut un triomphe tel qu'il y eutunanimité pour regretter qu'un artiste de cette valeur ne fût pas à la Coinédie-Françaiso.

On le regretta bientôt si vivement que, par l'entremise d'Alexandre Dumas fils, des négociations s'engagèrent avec Montigny pour qu'il consentit à laisser M. Worms revenir à la Comédie-Fiançaise. La Comédie-Française alla jusqu'à payer 15,000 francs de dédit pour ravoir l'admirable artiste qu'elle avait perdu.

Le 4 juin 1877,. M. Worms, redevenu le pensionnaire de la Comédie, jouait le Marquis de Villemer, et, comme à son retour au Gymnase, sa réapparition devant le public était acclamée. 11 interprétait lu don Carlos d'Uernaii, reprenait des rôles du répertoire et s'imposait si bien par sa rare maitrise et sa distinction qu'au mois de décembre suivant il était nommé à l'unanimité sociétaire à port entière.

Dès lors, sa vie s'associe étroitement à cello de la Comédie-Française. 11 est de toutes ses grandes journées, de tous les triomphes. On'le fête tour à tour dans le Fils naturel, l'Avare, ta Moabite, Jean Baudry où il fut particulièrement beau, la Princesse de ~a~df!d, <p.s /iN~:au, les Denoiseltes de 6'NM!<Cyr, Smilis, Devise, Antoinette Higaud, le Misanthrope, le Gendre de M. Poirier, Francillon, la Souris, Chamillac, Henri Ili et sa cour, Maître Guérvi, le Demi-Monde, Froufrou, Cabotins, l'Ami des femmes, Catherine, le Berceau, la Conscience de l'enfant, etc. Entre temps, il professait au Conservatoire et son enseignement fécond, formait des élèves de premier ordre.

Sa reprosen talion de retraite, donnée le 21 janvier 1901, valut un dernier triomphe à ï'éniincnt comédien. H eut la coquetterie de se montrer une dernière fois dans le classique et le moderne. Et son interprétation du premier acte du Misanthrope et du quatrième acte de l'Ami des femmes souleva un véritable enthousiasme.

Depuis, M. Worms avait vécu dans la retraite, entre sa femme, Mme Worms-Baretta, et son fils, Jean Worms, un jeune artiste qui marche sur les traces de son père. Avec M. Worms disparaît un des plus éminents comédiens qui ajoutèrent le lustre de leur talent à la gloire de la Maison de Molière. Les obsèques auront lieu demain lundi, à onze heures précises. On se réunira à la maison mortuaire, S, rue i)ecamps.

L'ART -A-INT OIE INdans

LE HOMEJMODERNE

Encore une exposition aux Trois Quartiers ? Encore? Ce n'est pas un reproche, sans- doute, car vous en raffolez toutes de ces expositions répétées et toujours nouvelles; celle-ci, à laquelle nous som-' mes conviées pour demain, est vraiment d'un genre tout à fait différent: elle est presque entièrement réservée à l'art ancien.

Que n'ai-je, hélas la compétence et l'érudition de notre collaborateur Roger Miles, pour vous parler de ces mille riens charmants, évocateurs de souvenirs, d'anecdotes, de choses mémorables qu'il saurait vous dire avec tant d art pour mon compte, je ne puis vous parler qu'on Parisienne un peu frivole, mais ravie, de ces choses les plus gracieusement ten- tantes qui soient au monde.

Le rayon où1 les Trois Quartiers ont réuni leurs meubles et objets anciens semble un délicieux boudoir dix-huitième siècle. C'est là que voisinent, dans le bon ton et l'élégance, les gravures anciennes rares et précieuses aux coloris charmants à peine atténués par le temps, les éventails, les bonbonnières et les flacons, les brocarts et les velours, et ces soies si légères à l'œil, si délicates au

ÉCHARPÉ FILET ANCIEN ORNÉE DE FOURRURES; Création des Trois Quartiers toucher, dont les raies et les fleurettes évoquent le vertugadin et la frisure à frimas.

Tout près, voici également des étoffes rapportées d'Orient. On peut se faire des blouses exquises dont la mode s'accomode si volontiers en ce moment. Pour ces étoffes rares et précieuses, les Trois Quartiers organisent de lointaines expéditions, car ils savent ne reculer devant aucun sacrifice pour plaire à leur élégante et fidèle clientèle.

Et ce sont encore des filets anciens. Les partis qu'on en tire sont aussi divers qu'imprévus. D'abord l'écharpe dont nous donnons ici le croquis et dont tout le corps est un filet ancien rehaussé de fourrures. Cet objet charmant, plus particulièrement réservé pour le soir, est aussi utile que joli et seyant. J ai vu, faites avec ce même filet, des blouses qui sont de véritables objets d'art. Puis une chose exquise entre toutes, un plafonnier pour lampes électriques dont l'ornementation en filet sert à tamiser la lumière. Cette adaptation aussi originale que nouvelle sera très appréciée de nos élégantes Parisiennes qui savent combien la question de l'éclairage est important, non seulement pour leur bien-être, maisaussi et surtout, point t capital, pour leur beauté.

Sur les tables portant des ravissants et rares flacons anciens ou vases <te 3' Chine, vous trouverez des ronds faits en fond de bonnets brodés. De leur assemblage, on fait des chemins de tables, des dessus de cheminée et de fauteuils, voire même des napperons. C'est le fin du fin de la mode du jour. Grande variété de coussins. Il en est de légers, d'exquisement flous en dontelle et en lingerie, d autres alourdis de brocart. D'autres enfin, et c'est le grand, inédit, en toile à matelas ancienne, toute rebrodée. Ils conviennent à des inférieurs de style, aussi bien qu'à ceux où règne le plus grand éclectisme.

C'est la note d art que, grâceaux Trois Quartiers, toutes les femmes de goût. pourront donner à leur home. Aussi bien, est-ce pour cela que pas une maitresse de maison soucieuse de sa réputation ne manquera de faire un tour, un long tour, puis-je dire, à l'exposition de demain.

Ghenya.

LES THEATRES

L'<Eu*"re L'amour de Késa drame japonais en 2 tableaux, de M. Robert d'Humières le Mauvais Grain, un acte, un prose, de M. de Faramond; le Poupari.; un acte, en vers, de MM. Jehan et H. Bouvelet.

Il y a, dans la légende japonaise mise à la scène par M. Hobert d'Humières el qui date, paraît-il, du douzième siècle, une poésie farouche qui eût ravi les romantiques de la belle époque. L'héroïsme des passions et la noblesse des caractères y font songer à Corneille une certaine corruption de l'amour, frère et vainqueur de la mort, y séduirait aussi le goût des plus délicats parmi nos symbolistes attardés; ajoutez enfin que l'art, en ce drame extrêmement oriental, est à la l'ois sobre dans ses grandes lignes, appliqué, minutieux et presque rusé dans les détails, comme aux estampes dHakousaï. Voilà bien des raisons de nous intéresser à l'amour de Késa, la jeune épouse du samouraï Hiroshima, qui, réfléchie, volontaire et silencieuse, meurt pour rester pure et pour sauver la vie de celui dont le mariage a fait son maître absolu, et son dieu.

Le samouraï a dû la laisser seule, une nuit, appelé d'urgence à la ville prochaine c'est la nuit que-la fatalité choisit pour mener vers elle un samouraï


déchu, sorïe' de. fier « outlaw! ». de j ~f vagabond féodal ;qui, pour l'ai-oir vue, toute, ..petite, dans un temple, l'aime 1 depuis deux ans avec une .frénésie, câpablcr de-toutes lés férocités 'mais aussi de toutes 'les patiences.) Comme' Bernant, en effet, il a conscience, d être il « une force qui va» et que ledestlii dirige y

hj'i •. le ̃ destin a ,renduty en un înstaru,

aon, cœur. prisonnier de la petite K.esa, n'est ̃'̃ ftp-au même instant ir\ lavait ipàrquéespour être sienne un jiïur. En ronseçmeri«e, l'orgueilleux saœou.rai, n a pqifit. tènVv d:efj'orts. pour 'retrouver la feune "fille, comvamcu'que' chacun de.ses mS'le' rapprocherait d'elle. Il n"cso donc pas surpris de revoir Késa la nuit même j

spn'. mari-est absent c'est avec toute <.

la fou$iue: impémiise et grave' d. un in- jtSr.prëîe du -dis.tan qiulse manifeste. a, elle et lui intima i'ordre de le suivre~ Késu' ̃ est seule ̃ elle ne trouve d& j défense 'que dans ,-up.c. ruse' magnifiquement héroïque. D'abord,; elle teint, de partager llaraour du beau brigand; pute un scrupule 1 arrête peuMlle ;appartenir à cet, homme avant qu îv ait tue sonmari ? Qu'il guette donc le retour de Hiroshima et lorsque, à l'aurore, Hiroshima revenu se couchera pour dormir derrière, le 'mur de la maison en papier, qu'il enfonce, à travers ce, mur, son long poignard a l'endroit précis qu'elle indique" le poignard percera sûrement le cœur d;Hiroshima. On devine que l'héroïque épouse se substituera au mari; et c>st elle.en. effet, que le poignard atteint àtrâvers la frôle muraille en papier. Riendeplus sobrement pathétique que les' dornières scènes où Késa prépare, agitée à peine de quelques frissons, le piège de sa propre mort, où elle. meurt et o,ù mari n'a pas le courag» de tuer le meurtrier, parce qu'il tuerait encore un p(eu\d'erle enUmmolant l'homme qui

l'àiniait.;

Graûde, menue et, pudique dans le kimpno et sous, la haute coiffure, Mme S.uzannte Després a traduit avec un ciiaripê' tour, à tour ingénu puéril et angoissé. Jlés insouciances, les effrois, la résolutJbn tendrement' héroïque de l'Alceste japonaise, plus pitoyable que l'autre" puisqu'elle est .seule jusqu au bout en. face de son sacrifice. M. de Max a' composé '.une figure' si farouchement ravagée de haine et de désir, il a si harmonieusement chanté les lamentations, lés-prières et le désespoir' du. samouraï vagabond qu'on ne peut lui reprocher d'avoir romantisé les traits de cet amoureux fatal au' point de le faire ressembler,, comme un; frère; aux brigands espagnols de Victor Hugo. M.Lugné-Poe tient le rôle du mari avec beaucoup de tact.et.d'autohté. Il faut le louer d,avoir mis en iïcène cette pièce intéressante ave.c beaucoup de soin et un goût très

sûr. '•'̃.̃ 1

Le-spectaçle commençait par un apte en prose 'savante. et -.rythmée de M. MauHce.de Pàramond. IJ ne. comporte guère' qu'une scène, qui est atroce on y veit-la-naissance inopinée-d'une « tard venue » désunir une famille villageoise. Cet épisode rustique, qui enrichit d'un témoignage nouveau le réquisitoire déjà copieux des romanciers et des auteurs dramatiques contre la rapacité' impi- toyable des paysans, fut très convenablement interprété par Mmes de Pou- zôïset Irma Perrot, MM. Henry Valbel

et'Savoy.- '̃̃ ̃̃

Enfin M. de Max adonné une preuve sa -virtuosité et de sa' souplesse en iricârhant, à la fin de 'la soirée, le personnage principal d'une très agréable comédie cfri un acte de MM. Jehan et ̃H"ehry';]BoHvelef.'X.e Poapàrd est un écrivàih;arrivç. jeune jusqu'au mariage riclio '.incliisivement. doiit'la seule ambition'désoriiiais.est de se laisser dorloter 'par uri.c 'femme amoureuse et à qui l'art n'impose point. Riiuée avec une facilité par'fofe' trop indulgente à elle-même, cette gentille comédie eût gagné à être allégée de; quelques scènes incertaines et menues longueurs.

̃ Francis ctieyassu.

»j .M ^X-S^

k. t;

;;•; LA SOIRÉE

'1..

'̃̃̃ A' «L'ŒUVRE; » ̃ •̃ '̃•̃.

,Qù," sont; les anciennes salles du théâtre de « l'Œuyrc >,? Où est-il ce public étrange, à la fois public de jours d'émeutes et de mi-carême, qui sortait on 'ne sait d'où les soirs de répétition^ .'générales chez Lugné-Poe, et remplissait1 quelque Nouvdau' Théâtre qu'on eut presoue; dit, éclairé avec des torches- ?

*rOu sont-ils les intellectuels d'antan ? ̃sont-elles fleurs botticellesques compagnes H Où; '.sont-ils, les grands négligés incompris, hirsutes; et cravatés à trois tours, qui avaient l'air de montrer au bout d'une corde des petits. 'singes égyptiens ou byzantins, petits singes eux prononçaient sphyiïges aux yèuValànguis'par la fatigue de penser, aux "fronts, aux tempes, aux mains adornés de gemmés de costumiers incrustés en" des étains frustes, et économiques?.

Oh. nous a depuis longtemps changé notre «Œuvre ». Aujourd'hui elle nous convie à ses .manifestations timides et espacées dans des «.bonbonnières »à la mode. Beaucoup d'hommes sont en habit noir, et la majorité des feïnmes arborent' des toilettes d'une bonne moyenne. de goût et de .fantaisie.

'Âpeine si quelques vestiges subsistent de l'excentricité d'autrefois. A présent le public de. «-l'Œuvre » est élégant et boulevardier. Il est en grande partie composé du ToutParis ordinaire des répétitions'générales.. A côté de lui'on remarque. un élément popote et bourgeois. C'est d'ailleurs, le seul à qui un spectacle comme celui d'hier puisse parâitre'encore de quelque hardiesse. Le programme 'de « l'Œuvre s s'est-, lui aussi, ̃ assagi, et dans les trois pièces qui nous ont été' offertes avant-hier, je n'en vois pas une qui n'eût pu figurer comme une brave pièce ̃ iîh ;tout 'le monde dans n'importe quel autre théâtre. une fois qu'elle eût été reçue.

;̃•̃ ••̃'̃̃ ̃•'• ̃ ..̃̃'•̃.

'-la' ïlauï&is Grain est, dit lo programme, xinè ,< tragédie rustique >>. Le programme se vante., La pièrç de M. Maurice.de Faramond n''ëst.pas tragique, et à peiné eat-elle rustique. ̃ "EÎlk tic passée bien à la campagne, entre campagnàrcls, mais entre campagnards qui ne font guère usage langage de la campagne. Ils. usent de tournures de phrases recherchçes et d'inversions précieuses qu'ils qssaigonpent^en vain d'un patoisement indécis. "La scène se passe dans un gentil coin da

fefrnç. Un vieux ménage de paysans' vient

à''dyoir, sur le tard, un bébé. Qn annonce la cridst; auiils et à la bru, que l'on a fait venir de Iû'uiî et, eoœnie- Ton dtt dans les -paysanuCrles' eonveat3onnel!es,eela fait du vilain. Xiaœîgé en scène est soignée. J'ai déploré seulement, une fois de plu, la .présence de d<3UX' poupées personnifiant les qeux: bébéa i Evidemment, il est bien difficile d'engager au théâtre 'dés poupons et des nouveau- nés à vingt, francs par moLs et le lait, et de violer l's rcgleraents de police, mais c'est fâcheux, car si sensible que l'on soit, on a bien du jaàl-' à s'êioouvoir des ̃ mauvais traitements.

.*ujigp^4eij, çajteBnag-egj.oa à s'iatéresser

à leur, s bf è, ;i leurs souffrances, à leur' avenir.

Le Mauvais 'Grain est joué avec conviction par Mmes Irma. Pcrrot, de Pouzols, MM. Henry Valbel, Savoy, Raymond.

D'aalleurs, les. pièces de, paysans, d'ouvriers, de travailleurs, sont généralement bien jouées clïei "M.-Lugn'é-Poe. A"« l'Œuvre », on connaît

l'artisan.

.v.v, iIt

.L'Avioiir'dc Késa est un drame légendaire japonais-en deux tableaux de M. Robert d'Humières, pour lequel M. Léon Moreau, le musicien bien connu, a écrit une partitionnette tûut'à fait intéressante et curieuse.

-C'iest une sorte de pièce de terreur japonais»;. M. Robert 4'Humiéres a. rêvé d'être 1 l'Arrdré.de' Lorde de Yeddo ou de Yokohama. Elle(:£t faijc, cette pièce, principalement pour ia- scène fJnaU; où le guerrier japonais enlevé nuitamment un carreau de papier et par l'ouverture' ménagée passe son bras et son poignard. La petite Késa qu'il aime lui a promis que son époux Hiroshima, dormirait de l'autre côté. Or il est à peine besoin de vous dire que pour sauver ledit mari, c'est elle qui se couche à. sa place et qui reçoit le coup de couteau. C'est joué. à merveille, par M. de Max; et, par Mme Suzanne-Després, et c'est assez impressionnant.

Mais 'et. simple soiriste, je m'excuse à" oser, donner ici mon avis il me semble qilc c'eût été autrement impressionnant si no\'is. eussions été transportés plutôt dans la chambre à coucher. On aura beau dire, celui qin'doit recevoirun coup de poignard est toujours^ autrement intéressant que celui qui doit le donvicr.Si l'on avait assisté à la petite discussion entre le mari et la femme se disputant la place" fatale, si l'on avait vu la petite Japonais^ l'occuper enfin, et si l'on avait deviné sur'sa physionomie l'angoisse de l'attente, si l'on; avait .vu le papier s'écarter, le poignard app'araître. brrr j'aime mieux ne pas y penser,' ot décidément l'auteur a bien fait sinon dans: l'intérêt 'de l'effet et de la recette, du moins dans; l'intérêt de la morale et du bien des;mce(irrs– de s'en tenir à une demi-terreur.

-V A ̃ ̃"̃;

Et ..puis voici. «les v.cre. Des vers. en. pyjama, Qu'un :d'oul>U!- Bouvolav allég-rement rima. ljos.virs en;rè(iinsoti; et des vers en jaquette; C'efif facile .ot'gentil ça coule ot ça cliqueté Kssai (1û poésie ai do modernité,

Conduit, non 'ssrns esprit, non sans facilité. U;r. ijeusubtil.un p(,m.Mais.«nfin, c'est moderne. Et '.puis; no, soyons )->as lu soiriste-baderne. Soyons dêrnier-bateau, derniers-enjambements, Dônfio"ui%nori deteonseils, mais d'encouragements, Ef.restonK do janvier jusqu'à la Saint-Sylvestre, Cc'.téinoïn; souriant'

,Un Monsieur de l'Orchestre.

CTRIERDES THÉATRES

̃Aujourd'hui -̃, A la Ooniédiè-Française, àlli-î/2, le Passant,

(Kmës S.-Webër, déniât);

*L'Avenlùriàre (MM.. Silvain, de Féraudy, Albert Lambert fils, Dehelly,rRavet, Décard, Mmes-Çocile Sorel, Yvonne Lifraud) Le spectacle sera termine par la 100e représentation (a ce théâtre) de l'Anglais tel qù'.âh le parle (MM. de Féraudy, Charles Gïan val, Paul Numa, Garayi Jacques de Ft.'raù<Iy, Mhîes Gabriellc Robinne, Jane

Faber). ̃̃* r

'A: ï'Opôra-Comlque, ai h. 1/2, Richard Cffur de Lion (MM. Féodoroff, Mlles Nelly Martyl, Mathieu-Lutz, M. Vigneau); le Jongleur de Xu.tre-Dame (MIL Lucien Fugère, Saligiiac ot D'upré).. M. Lucien Fugère chantera pour la dernière- fois," avant son départ pour la Gaîté, le l'ùle de Eônifaee.. i -"au Vâii'déiyiriê' à 3 h. 1/2', dernière ma-, tirjée, ot'à 9 heures, dernièré représentation (preiiiière série) du Marchand de bonheur (Mlles 'I iantôlme, Terka- Lyon, MM. Lérand, J'offi'C,; Becnian, Baron fils).

̃ Au Théâtre Lyrique (Gaité), à heures précises; la Juive (Mmes Félia Litvinne, Doria, MM. Granicr,.Kardec, Génicot, G. Petit, Bai-i eaii, [)elvy,: Brefol, Delaplanche). L'orchestre sera dirigé par M. A. Amalou. aux capucines, à 2 h. 1/2, première matinée.doé. scènes nouvelles de Saut' vot' respect! revue de MM. Rip et Jacques Bousquet.' Au programme encore Yette, comédie de M..ï*làuricé Hennequin yle Deuxième larron, pièce de M. Jean Sainois. Môme interprétation \qno' le soir, Mlle Mistinguett et M. Berthez eiv.tô'té.

Au Grand-Guignol, à 2 h. 1/3, dernière matinée do l'Attentat, la Porte close, Appussionnato, etc., etc.

AuTrianon-Lyrique, à 2 heures, pour la préixiièro fois, en matinée le Voyage de Suzetté; les Oiner's..

Au théà(re Femina, à 3 heures, Matinée pour la jeunesse, Âliss Tartelett, opérette à grand: spectacle de G. Montignac(MonaGondré, Emma Mauller). Fauteuils depuis 3francs. Tel. 528-68. Métro Alma.

Ce soir

Au théâtre Apollo, à S h. 3/4 (pour les débuts de Mlle Alice Méreutié), reprise de Rêve de valse (MM. Henry Uefreyn, Paul Ardot, Sâidreau,Casella, Mmes.AliceMérentiè, Alice Miletet Marfa Dhervilly, etc., etc.). MM. les critiques, soiristes et courriéristes inscrits aux services, seront reçus sur présentation de leur carte.

A la Comédie-Française, à 8 h. 3/4,' Comme ̃ ils sont tous (Mmes Renoe du Minil, Piérat, Dussane, Berthe Bovy, Provost, MM. Goorgo Grand, Paul Numa, Garay, Jacques de Féraudy, Lafou, Jacques Guiïhène, Georges Le Roy," Léon Bernard, Gerbault, Décard, Bertca'ux;̃'

A i'Opéra-Comiqùe, '8 heures, Manon (M.Edmond Clément, Mlle Geneviève Vix, MM. Vieuille, Delvoye, Mlle Régina Badet). A^ l'Odéon, à 8 h. 1/2, Vieil Heidelburg, pièce on 5 actes, de M. Meyor-Forster, adap-~tation de MM. Rénion et Bauer (musique et chœurs sous la direction de M. Bretonhoau). Aux Variétés, à 9 heures, le. Bois sacré (Mmes Jeanne Granier, Eve Lavallière, MM. Albert Brasseur, Guy, Max Dearly, Prince, .Petit, 'etc., etc). On commencera, à 8 h. 1/4, par la Partie d'échecs.

r Au Théâtre Lyrique (Gaîté), à 8 heures, 109e représentation de Quo vadis ? (Mmes Doria, Guionie, Henriette Focké, Mazly, etc., MM. Boulogne, Abonil. Georges Petit, Alber.ti, Sardet, Bruyas, Barreau, etc.). L'orchestre sera dirigé par M. Archainbaud. A la Popte-Saint-Martln, à8 h. S/4, VAventurièr-, pièce nouvelle en 4 actes, do M. AItred Capus (MM. Lucien Guitry, Jean Coquelin, Signoret, Pierre Magnier, Mmes Gabrielle Dorziat, Juliette Darcourt, Emilienno. Dux, Jeanno DesclôsV

Au théâtre Sarah -Bernhardl, à 8 1». 3/4, VHomrixe mystérieux (Mmes Blancho Albane, "'Jârië Méa, Janô Maylianes, MM. Jean Kemm, .Chameroy,puard, Krauss); l' Attaque nocturne (lyille MariérLouise Derval).

A la Renaissance, à li. 3j4, ,lion ami Teddy.O.lwBB Yvonne de Bray, E. Bonnet, MM1. :Tarri<ie, A. Dubose, Victor Bouclier, Capellanï). On commencera par La main reste, (Mme .Sabricï, M. Auseourd). Au théâtre RéJane, à 9 heures, le Mariage de Jil'~e" BerLëmans (Mlle H. Dieudonné, MM. Jacqrio, Bctit, Ambroville, Francis Ber- nard, ete. y.

a l'Athénée, à 8 h- 1/2, A Uabordaqey 9 heures," Petit Dieu (Mlle Jeanne Rolly, M. -Gaston Dubôsc, Mlles Alice Nory, Qbldsteiii, Curalis, etc.).

Au théâtre Mîchel, à 9 heures très préci-

fj,e~{~}I~$,(I}~ t¡'?~9; d;g.. ;M~ .J;m:3 H:a'Hng'

do Mlle Lyse Berty et do M. André Bruîc) 1 l'Impossible. (Mlle. Valrôue, MM. Prad et Coraélyj; le Feu du. voisin {Mmes Jane Hâlirig, Bett}'" Daussmond. Valmy, MM. André. Brûlé, Henrv Burguet, Harry Baur); la Dame du second (Mlle Lyse Berty, MM. Rozenbérg et Harry Baur}-.

Au théâtre des Capucines, à 9 heures. Nouvelles scènes de la revue Sauf y'ot' respect l Mlles Mistinguett,)do l.ôka, Fabiani, Mérindol, Dhartys, Yane, MM. Berthez, Arnaudy, Choof, Maujan); Yelte (Mlles Saint-Bonnet, Ri Ho, Mérindol, MM. Trarnont, Déan) le Deuxième larron (Mlle Lipton, M. Hervil). Aux Bouffes-Parisiens-Cora Laparcerla, à 9 heures, Son auteur (Mlle de Bbaumont, MM. Régnier et Frick) à 9 h. 8'4, Xanlko chez les courtisanes (Mmes Cora Laparcerie, la danseuse Esrnée, Marcelle Thomercy, Egly, Legcay, MM.IIenfyLamothe, Louis *Sance). flu Grand-Guignol, à 9 heures, la- Porte close, le Bead Lothario, l'Attentat, Appassionnato, Vitriolé.

Hlar

Mlle Chenal a chanté hier soir, à l'Opéra, le rôle d'Elisabeth de Tannhxaser avec lepl-us vif succès. La charmante cantatrice fut acclamée à maintes reprises, ainsi que M. Franz, un remarquable Tannhajuser, Mmes Dubois-Lauger et Laute-Brun, MM. Dangôs, Journet, Nansen, Delp'ouget, Gerdan et Gonguct.

On a distribué hier aux députés un .rapport de M. Paul-Boncour, sur les beaux-arts. Ce rapport est. remarquable et nous en parlerons demain.

Les Marionnettes ont fait réaliser, à la Comédie-Française, une recette de 9,693 francs.

4,008 francs, telle était la recette du théâtre Michel, et on a refusé de très nombreux spectateurs. Tout commeptaire serait

superflu..

Au Jour le jour r

La. semaine dans les théâtres subventionnés

A l'Opéra: lundi, Lohcngrin (Mlles Rose Féart, Daumas, MM. Franz, Dangês,- Journet, Terssié) mercredi, la Damnation de Faust (Mlle L. Granjean, MM. A. GresSe,. Franz, Cerdan) vendredi, Bigoletto (Mlfes Brozia, Lapeyrettc, MM. Carrié (débuts), Campagnola, Journet, Lequien), la Maladdtta (Mlles Zambelli, A. Boni, MM. G. Ri- eaux, Raymond) samedi, le Crépuscule des dieux (Mlles L. Grandjean, Rose Féart, Lapeyrette, Gall, Laute-Brun, Mati, Daumas, Dubois-Lauger, MM. Van Dyck, Delmas, Dangès, Duclos).

A la Comédie-Française lundi, mardi, jeudi, samedi, à 8 h. '3/4 les Marionnettes mercredi,, à 8 h. 3/4: Comme ils sont tous; jeudi, matinée à 1 h. 1/2 Advienne Lecouvreur vendredi, à 8 h. 1/2 le Luthier de Crémone, Œdipe roi.

A l'Opéra-Comique lundi, à 8 h. 3/4, représentation populaire ù prix réduit (avec location), le Barbier deScville (MlleMathieuLmz, MM. L. Fug'Te, Franceu, Vigneau, Azéma) mardi, à 8 h. 1/2, deuxième, représentation de l'abonnement du'mardi (série À), Forlunio (Mme Marguerite Carré, MM. Francell, Jean Périer, Delvoye) mercredi,; à 8 heures, Carmen (Mlle Lafargue, M. Salignac, Mlle Lucy Vauthrin, M. Mézy, Mlle Régina Badet) jeudi, matinée à 2 heures, quatrième représentation de l'abonnement (série -rouge), Joseph en. Egypte; soir. c,Kà a 8 h. 1/2, deuxième représentation de l'abonnement du jeudi (série A). Fortunio (Mine Marguerite Carré, M. Francell, MM. Jeaîh Périer, Delvoye); vendredi, à 8 heures, i/à- non (Mlle Geneviève Vix, MM. Saligdajc, Vieuille, M-, Delyo.ye, Mlle Régina BadfJtV; samedi, matinéo à 5 heures, abonnement de la',1 série rose, Concert historique do la musique soirée, à 8 h.- 1/2; deuxième représentation de l'abonnement ,du samedi (série A), Madame £ 'ilter/ly (Mme Marguerite Carré, M. Léon Beyle, M. Jean Périer, Mlle Brolily, M.'Cazoneuvc). A l'Odéon lundi (pour la première série de, l'abounement du lundi), Vieil Heidelbcrg mardi, (représentation populaire; à prix réduits avec location), Andromaque (avec Mlle Gilda Darthy dans le rôle d'Hermione), et les Fourberies de Scapin (pour les représentations de M. Galipaux) mercredi, Vieil lleidelberg jeudi (matinée), pour la première série des matinées-conférences du jeudi, Zaïre. Conférence do M. J. ErnestCharles;, jeudi (soirée), vendredi, samedi, Vieil Heidelberg.

Il.

Plusieurs cantatrices wagnériennes, enAllemagne, Mme Ternina, par exemple, qui fut une des plus grandes, ont chanté: alternativement Eisa et Ortrude de Lohengrin, puis Sieglinde et Brûnnhilde de la Wallcyrie. Demain soir, à FOpéra, Mme Rose Féart, en chantant pour la première fois Elsa dans Lohengrin, réalisera la même intéressante dualité. On se rappelle en effet des succès remportés par la brillante cantatrice dans le rôle d'Ortrude. Elle aura demain en M. Franz un très remarquable partenaire. Mlle Daumas, MM. Dangès, Journet et Teissié feront égalemehtpartie de cette excellente distribution. ̃ ••

̃ **•»̃ ̃ ̃̃

Mlle6 Brozia et Berthe Mendès ont signé, à de très belles conditions, un nouvel engagement à l'Opéra.

Il y aura foule, ce soir, à l'Opéra-Comique, pour applaudir une dernière fois M. Edmond Clément avant son départ pour l'Amérique. Le délicieux ténor chantera le rôle de Des Grieux, où il est supérieur, dans Manon, et Mlle Geneviève Vix incarnera Manon où elle apporte une interprétation si personnelle. C est assez dire l'éclat qu'aura l'interprétation.

Nous avons dit que le prochain spectacle des « Matinées du jeudi v aura pour affiche Joseph en, Egypte, l'ouvrage connu de Méhul. C'est M. Tirmont, premier prix de chant et d'opôra-comique aux derniers. concours du Conservatoire, qui chantera le rôle de Joseph. Il y débutera, salle Favart. M. AIbett Carré a distribué l'ouvrage comme il suit

Benjamin Mmes Lucy Vauthrin Joune fille Hoiibronnor Jeuno flllfl Billu-Azéma .Teuno flllo Ganteri

Joseph MM. Tirmont

Simeon Vaurs

.lacob Dupré

Utobald Guillamat, A_, Zabulou Azéma

Mil. Coulomb, LêvîrPasHuior, Issachar; Donral, Neplitaji de PDUtn.ayrac, .Kub6n Gilles, bah Holhomme. Judas; Payan, Assior; Bonafé, Gad Etoi, l'officier.

M. Rulhman dirigera l'orchestre.

C'est vendredi 25 novembre qu'aura lieu, au théâtre Sarah-Bernhardt, la matinée Balzac, dont le produit doit servir à alimenter le musée de la rue Rejnouard. Le nom des artistes qui ont accepté d'être au programme, Mmes Litvinne, Segond-Weber, Marie Lect/nta, Marcelle Gréniat, entre autres, est un sûr garant du succès. La Comédie-Française donnera un acte de Mercadet avec M. de Féraudy; l'Od.-bn, un acte de l'Ecole des Ménages, et le théâtre Antoine un acte do César Birotteau avec M. Gémier. Il s'agit pour tous de glorifier le grand "écrivain et d'aider ù per-

pétuer sonvsouvcnir.

Aux Variétés.

"L,QJ:9..I~itcÁwn~r, yl~j)f :qf¡¿J'\iX1p~;C ,.¡;¡.n.

glaise, a tenu, pendant son séjour à Paris, à

assister à la représentation du Bois sacré,-

et il y a pris le plaisir le plus vif.

Le fait est flatteur pour les auteurs et les artistes des Variétés, car le général n'avait qu'une soirée à consacrer au théâtre. Mais la renommée de cette comédie célèbre a depuis longtemps franchi nos frontières, et c'est le spectacle où des ro premier jour accourent tous les visiteurs et a.ngers. A New-York, à. Berlin, en Italie, la pièce poursuit on ce moment. son heureuse carrière.

La semaine la Gaîté

Lundi '21.' l'Africaine (M. Aiïre, Mme Comès) mardi 22, la Juive (Mme Félia. Litvinne, M. 12scalaïs) mercredi 23, l'Attaque du Moulin [MM. Boulogne, Godou,. Mines Ryiiald,:Lowelly); jeudi 24 (matinée), le Trouvère (Mlle Aurore Mar'cia, M. Graiiiér) soirée, la Favorite (Mme Delna, MM. Alh-e. Boulognel; le noir deWalerloo (Mmes Vasseur, Rynald, MM. Gilly, G. Petit) -vendredi 25, Quo vallls'1.; samedi 2ii, la Favorite (reprôso'ntation1 de Mme Delna' dimanche 27 (matinée), l'Africaine (représentation de Mme Félia Litvihnei: (soirée), la Juive (M. Escalaïs, Mlle Au-

rore Marcia).

La matinée du théâtre Michel commencera très exactement, cet après-midi, à 2 h. 1/2. Au programme, le spectacle du soir avec sa belle interprétation (Mines Jane Hading, Lyse Berty, Betty Daussmond, MM. André Brûlé, Henry Burguet, Rozenbérg, Harry Baur, Prad). t) ~o

La direction affiche les spectacles suivants pour cette semaine, au théâtre Apollo Aujourd'hui en matinée Hans, le Joueur de flûte; ce soir et jeudi soir, Rêve de valse; lundi, mardi, mercredi, vendredi et samedi, Malbrouh s'oh-va-en guerre

H* ̃

« L'Œuvre » donnera ce soir, à 8 h. 3/4, à Femina, la dernière représentation de son original spectacle.

« Pour ne pas imposer une fatigue trop grande aux artistes qui interprètent l'Amour de Kèsa, nous écrit-onde «l'Œuvre», l'ordre du spectacle sera ainsi modifié En premier, le Mauvais Grain, puis le Poupard, et enfin V Amour de Késa. »

La seconde représentation du Train de S'' li. 47, aJTAmbigu, a confirmé, eu l'augmentant encore, le gros succès remporté il la répétition générale et à la première par la très spirituelle fantaisie de M. Léo Marchés. La salle, qui, un instant auparavant, avait f issonné aux péripéties de Au Téléphone, a ri aux larmes au spectacle, follement gai des aventures de La Guillaùmetto et de Croquebol. Voilà une pièce où tous les Parisiens voudront se divertir.

LE: TRAIN DE 8 JEt. 47

La répétition générale du spectacle des Arts est renvoyée à une date ultérieure, par suite de l'état de santé do Mlle Véra Sergine.

A la Comédie-Royale.

M. Roger Forréol, engagé pour interpréter ses œuvres à la Comédie-Royale, par M. Max Viterbo, jouera également des rôles spécialement écrits pour lui par MM. Nozière et Mirandc.

'M. Abel Hermant vient de remettre trois actes qui passeront probablement dans le second spectacle, à notre excellent confrère M. Max Viterbo.

Tous les jours, h la Comédie-Royale, dans l'après-midi, auront lieu des « Thés-Conférences » sous la direction de Mme de R. et d'un de nos plus sympathiques confrères' M. de Max et deux artistes célèbres doivent, au cours de ces conférences, interpréter une couvre des plus curieuses.

Annonçons également l'engagement de Mlle Véra Sergine qui vient de signer, avec M.. Max Viterbo pour interpréter un 'rôle dans une revue au cours'de la saison.

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Le Pré-aux-Clercs fait l'affiche de la matinée d'aujourd'hui au théâtre du Jardin d'acclimatation.

Lo chef-d'œuvre d'Hérold aura pour interprètes MM. Rovati, Bourgoy, Durand, Meycelle, Mmes Minvielle, Duinand et de

Pàliien.

Le solo de violon qui sert d'ouverture au deuxième acte sera joué par M. André, de l'Opéra.

Le divertissement a été réglé par Mme Berthel.

Prix des places en location, 2 francs au bureau, 2 fr. 50.

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Les spectacles du Trianon-Lyrique seront ceux-ci pendant cette semaine

Lundi, à S h. 1/2, Si fêtais roi (Mmes Ellen Cherubini, G. Hilbert, MM. Dutilloy, Vincent, Tarquini d'Or) mardi, 8 heures, le Voyage de Suzttte (Mmes G. Hilbert, Ferny, Pel-roni, MM. Jouvin, Dumontier, Aristide, José Théry, les Omer's); mercredi, 8 h. 1/2, Miss Helyclt (Mmes Hilbert, Perroni, MM. Dutilloy, Jouvin, Aristide); jeudi, matinée, à 2 h. 1/2, la Mascotte (Mlle Rosalia Lambrecht, Mme Perroni, MM. Dutilloy, Jouvin} soirée, à 8 h. 1,>2, 'le Prè-auxClercs (Mlles Jeanno Morlct (rentrée), Saint-Germier, Hilbert, MM. Vincent, Jouvin, Tarrruini d'Or) vendredi, à 8 h. 1/2, le p£til.I).uc (Mlles "Renée Marcelle, Perroni, Ferny, MM. Dumontier, José ThéryJ samedi, S heures, le Voyage de. Sujette (même distribution et les Omer's; dimanche 27 novembre, matinée, il 2 h. 1/3, le Préataf-Clers (môme distribution;; soirée, à 8 li. 1/2, le Petit Duc (même distribution).

Mlle Rosolia Lambrecht fera sa, rentrée ce soir, au Trianon-Lyrique, dans la Mascotte.

_~w

Les spectacles amtfsants se succèdent au théâtTa Grévin. Le True du Brésilien, le joyeux vaudeville de MM. Nancey 8t Ai- mant, en continua l'heureuse série, auy rsprôsentations quotidiennes de trois heures ot de neuf heures, ce ne sont qu'éclats de rire et applaudissements saluant les joyeux interprètes. A la matinée de cinq heures, A Musée-vous revue avec Mlle Suzëtte Nellson, la jolie divette toujours' fêtée par le pulîlic. i:

Toulouse

Le Ihéfitro Lafayetlo vient dp jjerdre;sa

divette, Mlle Gabrielle Frédax, l'étoile de notre scène d'opérette, est morte après une courte ̃ ïnajadie. C'était une artiste de valeur qui "ne- connut que des succès. Les obsèques ont eu lieu hier matin samedi à la paroisse Saiht-Sernin, au milieu une foule considérable. Le concours d'amis et d'habitués du théâtre qui assistaient aux obsèques a montré combien sont unanimes les regrets d'Un public qui ne se lassait pas d'applaudir la charmante artiste.,

1.

De Boston, par câble, on nous a signalé le succès triomphal remporté par l'Enfant prodigue, une scène lyrique de M. Claude Debussy,au Boston Opéra House,sous la direction de M. André Caplet, un chef d'orchestre frarlçais très apprécia. M. Russell, directeur do l'Opéra, a été très complimenté pour la mise en scène et l'interprétation qu'il a réalisées de l'ouvrage. tEn tête .do l'interprétatioii, M. Lassalle a été chaleureusement applaudi

Serge Basset.

SPECÎAGLESJ CONCERTS Aujourd'hui

Matinées, avec les spectacles du soir Aux Folies-Bergère (2 h. 1/3), à l'Olympia (2 h. 1/2), à la Scala (2 h.), la Cigale (2 h.), à l'Alhambra (2 h.), au Concert Mayol (2 h.), au Casino de Paris (2 h. 1/2), au NouveauCirque (2 h. 1/2); au cirque Medrano (2 h. 1/2), au Cirque de Paris (2 h. 1/2), à la GaîtéRochechouart (2 h.), au Bal du Moulin-Rouge (3 h.), et au Skating Rink de la place Victor-Hugo.

De 4 h. 1/2 à G.h. 1/2, « Five o'clock artistique », au 1er étage du Café Amé icain, 4, boulevard des Capucines. Entrée par l'escalier do marbre.

Ce soir

Aux Folies-Bergère (téléphone 103-59), à 8 h. 1/2, Mayol, dans son nouveau répertoire Napierkowska, dans les Ailes, ballet de Mme Mariquita et Chekri-Gancm, musique de Louis Ganne. Programme d'attractions unique au monde: Archios (loodall, Mosher Hayes Moshér, les extraordinaires cyclistes les. five: X, Rays, dans leur,désopilant sketch acrobatique; tho 8 Meers, vir- tuoses du lil de fer et du rire; les Franklin, nouveauté sensation n elle les Mac-Banns, champions des clubs; les belles Athletas. Mayol chante à 10 h. 1/4 précises.

A l'Olympia (téléph. 244-68), à 8 h. 1/2, Vive Paris! revue à grand spectacle en 35 tableaux (liessie Clayton, Lucy Jou,set, Lucienne Malty, Selbini,' Deltenre, Dhomas, Girier, Berryer, Darcet, Resse, etc.); Le Circuit de l'Est, A nous les Pommes La Fée Nicotine (Bianca de Bilbao) Jelfries contre Johnson grand final du Bois sacré et' des Musées de France (Gorski, première audition) HHoure du bain sur la Côte d'Emeraude (les 16 Blossom Girls) les Mystè -es do l'hypnotisme (le Piano diabolique ? ?) Bruxelles-Kermesse (Mika-Mikoun) le Pays des carillons (grand divertis- sement); les Courses (troupe Pender, 'du Drury Lane), etc. 35 décors, 200 artistes, 800 costumes.

A la Scala, le Circuit du Leste, opéretterevue-fécrie-vaudeville en 2 actes et 17 tableaux, de M. P.-L. Fiers et Eugène Héros (Jane Marnac, Morton, Sinoël, Alice de Tohder, Robert Casa, Paule Morly, Mary Perret, Irène Bordoni, Popa Bonafé, Renée Baltha, Eugénio, Rivers, etc.). A 9 h. 1/4, Du-

flcuve.

Au Moulin-Rouge, à 9 heures, Claudine, opérette tirée des romans de Willy et Mme Colette.

Au Nouveau-Cirque, à 8 h. 1/2 attractions çliversesj. à 10 li. -l/tf-: les -Joies de l'Escadron.

-r'Â la Lune Réusse, 36, boulevard de Cli-> chy, tél. 587-48 (direction Bonnaud-Blès), à 6 h. 1/2 los chansonniers Bonnaud, Nnnia Blés, L. Boyer, ,G. Baltha, Tourtal, Weil, dans leurs œuvres. Ulysse à Montmartre, ombres humoristiques. Pas d'agents ? pas de Suisses? revue en un acte avec Mlle Lucy Pezet. Décor de Bertin.

Aux Folies-Bcrçère. A la matinée d'aujourd'hui réservée aux familles paraîtront toutes les merveilleuses attractions du mois de novembre, c'est-àdire Mosher Hayes and Mosher,lcs extraordinaires cyclistes les five X Rays, dans leur désopilant sketch acrobatique; les trois Meers, virtuoses'du tilde fer et du rire; les Franklin, uôuveauté sensationnelle les Mac-Bans, -champions des clubs; les Belles Athléas; 'Napierkowska, dan? les Ailes, ballet de Mme Mariquita et de M. ChékriGançm, musique de M. Louis Ganne, sans oublier Ai'chle Goodall, ce merveilleux athlète qui boucle la boucle on marchant. Le soir, à 10 h. 1/4, Mayol dans son nouveau répertoire.

On sait que chaque soir, à la Boîte à Fursy, le patron improvise des couplets sur un sujet imposé par le public Or, hier, c'est sur notre Premier, M. Briand, que Fursy dut exercer sa verve. Il le fit de si habile manière qu'une triple salve d'applaudisse- ments fut sa récompense. La revue termina brillamment cette joyeuse soirée.

N

Qu'ello détaille un couplet finement grivois ou qu'elle joue avec sa verve endiablée une scène de comédie, la délicieuse Marguerite Deval p.st incomparable. Aussi son succès est-il triomphal dans Son petit frère, la spirituelle opérette qu'elle interprète à la GaîtéItocliocliouart. Il serait injuste de ne pas citer à côté d'elle M. Zaique, qui chante avec goùï et joue avec aisance; 1 excellent comédien Delamano, très finement bonhomme les talentueuses Mlles Sim. Valéry et Bl. Vialys, ainsi quo l'admirable danseuse Cali- fbrnia dajit la grâce est exquise. Aujourd'hui, à deux heures, matinée. Au Tréteau Royal.

Si Francis Robin diffère chaque jour la première représentation de son nouveau spectacle, c'est que depuis que Prenez l'ascenseur, la Folie des gra.ideurs, bn petit béguin et Cambo. tinages ont doublé le cap de la 300?, les recettes continuent à monter. Cependant la nouvelle affiche du 4, rue Caumartin, est très prometteuse avec Va, cheminot. chemine! de F. de Rouvray et Ch. Cluny; Qui est-ce un acte de Géronle; Un petit voyage, trois petits actes d'Yves Mirande, 0IAU0'. Allo 606, de J. Bastia et Ch.-A. Abadie.

C'est ce soir qu'auront lieu, au cirque Médrano, les débuts des 3 Cleir, équilibristes. Les numéros les plus applaudis sont le* six si -tors Victoria, cyclistes le trio Ella Vandaro, gymnastes la troupe Balaguer, acrobates jongleurs; Mllo Léris Loyal, comédienne il. choyai Mlle de Botoni, impeccable écuyèro de haute école enfin les princes de la gaieté, les nombreux clowns de chez Boum-Boum.

Le succès de l'American Biograph s'affirme de jour en jour c'est qu'il est peu de spectacles aussi attrayants où l'on puisse voir dtililer les plus récentes attractions et, en particulier,» les Inondations au jour le Jour'»: en jutre, des scènes comiques et dramatiquedu plus haut intérêt et parmi lesquelles il faut eïter l'Ane d^noneiateur, Bonifacio, Je saie tout, eto. •̃

'Au Musée Grëvîn. 'Los nombreuses et curieusés attractions attirent toujours uno grosse afiluence. Le programme du cinématographe incessamnient renouvelé comprend les plus intéressantes actualités et notamment les inondations du Paris et l'entrevue du Tsar ut du

Kaiser.- Au Palais des Mirages, les danses de feu, véritable féerie lumineuse, provoquent toujours une admiration enthousiaste.

COÏÏRRIERJÏÏSICAL Aujourd'hui:

Concerts Colonne, théâtre du Châtelet, à. M h. 1/2; Concerts Lamoureux, salle Gaveau, à S heures; Concerts Sechiari, théâtre Marigny (Champs-Elysées), à 3 heures. (Voir au programme.)

•Le 1,000° concert Colonne.

On a célébré hier, à la répétition générale, le millième concert Colonne, qui marque une date dans les fastes de cette belle institution artisiique,et l'on a rendu hommage aux musiciens exécutants qui prirent part à sa fon-

dation.

M. Gabriel Pierné a prononcé, à cette occasion, une allocution émue; 'il a magnifié le succès sans cesse grandissant dos CuncertsColonne et, interprète de tous les artistes, il a adressé ses félicitations chaleureuses et ses remerciements à tous ceux, des plus illustres aux plu; modestes, qui contribuèrent, par-leur fidélité et leur zèle, à la brillante fortune de la célèbre association.

Mercredi prochain, à 9 heures, aura lieu, à la salle Gaveau, le festival Beeti.iovenSaint-Saëns, donné par le Trio Keilert, avec le concours de Mlle Charlotte Lund. Partie Beethoven Trio à l'Archiduc; Faithful Johnic et Bonny Laddie, Highland Laddie, Sonate à Kreutzer; 32 variations (piano). Partie Saint-Saëns Concerto pour violoncelle: PallasAlhèné, la Muse et le Poète.

A là salle Gaveau, la vente nombreuse des billets annonce un succès déjà les six amiraux de l'escadre américaine ont retenu leurs places, ainsi que l'ambassade américaine, prince Potocki, prince Troubetskoy, etc.

« Soirées d'Act », 8, rue d'Athènes.

Ce soir, à 9 heures, Festival César Franck avec le concours de: Mme Auguez de Montalant, Mlle Geneviève Dehelly, Mlle Lénars, M. Joseph Bizet et du quatuor Geloso. Au programme Sonate, pour piano et violon Panis Angelicus Prélude, Fugue et Variation Grand air- de Rédemption Quatuor (en mineur).

Location des places 8, rue d'Athènes. L. de Crémone.

LES GRANDES VENTES

Aujourd'hui, à l'hôtel Drouqt .•̃;

Expositions

Salle I. Objets d'art et d'ameublement, tableaux anciens, objets de vitrine, meubles, sièges. Mc Laiu-Dubreuil MM. Paul me et

Lasquin.

Salles 5 et 6. Objets d'art et d'ameublement, tapisserie, etc., appartenant à M. do C. Mc. Hus'Ri Baudoin- MM. Mannheim. Salle 7. Très importante collection de costumes militaires et civils, gravurtis,iivros divers, œuvres de Rops. MI ̃André DESvouges M. H. Leclerc.

Salle f -I: 'l'ableaux anciens, œuvres intéressantes des écoles primitives, meubles, sièges, objets d'art Louis XV et Louis XVI. M0 Laiu-Dl'bueuil M. Arthur Bloche. BIJOUX

A la salle io, M0 Lair-Dubreuil, assisté de Aï.-Falkenberg, vendit hier des bij >ux pour 82,593 francs. Voici le détail de cette vacation qui fut très suivie

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Bijoux, appartenant à M. A. I, Collier de cinquante-cinq perles blanches fermoir brillant, 31,000 fr.; nu 2, Chaine sautoir en or, vingt-huit perles blanches, 1,210 fr.; n° 3,' Pendeloque, un gros brillant surmonté d'un petit, 6,350 fr.; n° <j, Chaîne bautoir en platine, quarante-huitchatons montés de brillants, 10,000 fr.; n° 5, Broche ronde, perle blanche entourée de deux rangs de brillants 3,500 fr.; n° 6, Petite broche barrette en or, chaton serti d'un gros brillant, 3,000 fr.; n° 7, Petite broche:ronde, perle blancheentourée de brillants, 761 fr.; n° 8, Bague, perle nlanche- entourée de brillants, 800 fr.; noq, Bague enrichie d'une émeraude et d'un brillant accolés, brillants sur le corps, 2,600 fr.; n° 10, Bague formée d'un brillant navette entoure d'émeraudes calibrées, 3,805 fr.; n° n, Bague forme marquise, pavée de. brillants, 1,655 fr.; n° 12, Bague, rubis entouré de quatre chatons brillants en croix, 830 fr.; n" 15, Deux bracelets chaînes or, chatons sertis de brillants et de rubis, 1,000 fr.; 16, Bracelet chaine, vingt-deux chatons montés dc brillants et d'un gros brillant au centre, 1,800 francs.

Bijoux appartenant à Mme S. 17, Broche, gros brillant accompagné de rosés et de douze brillants montés en étoile, 4,110 fr.; 18, Paire de boucles d'oreilles, perle blanche entourée de brillants, 6,020 fr.; n° 19, Brochebarrette en or, bande de petits brillants, 32 fr.; n° 20, Bague croisée ornée d'une perle blanche et d'une grise, brillants sur le corps, 841 francs.

SUCCESSION PORLITZ

A la salle i, MI Vivarez, assisté de MM. Paulme et Lasquin, acheva sur un chiffre de 99,388 (rancs, la vente des objets dépendant de la succession Porlitz. Voici quelques détails d'enchères

Sculptures. N° 262, Quatre statuettes en bois sculpté ciré, figurant les Quatre Saisons, commencement du dix-huitième siècle, 620 fr.; n0' 263, 'Statue de Louis XV] II, debout, en bois sculpté doré, 280 fr. 264, Groupe en j bois sculpté ciré, un enfant nu et un canard [au, milieu de roseaux, époque Louis XIV, 230 fr. n° 269, Deux médaillons ovales en' terre cuite. Bustes d'enfants -en bas-reliof, dix-huitième siècle, 600 fr.; 27J, Statuette en bronze doré Aphrodite au bain, d'après l'antique, 505 fr. n" 284, Statuette équestre de Louis XIV en bronze patiné, dix-septième siècle, 1,600 fr. n° 285, Groupe en bronze par G. Le Duc Centaure et Bacchante, 465 trancs..

Bronzes d'ameublement. 294, Candélabres à cinq lumières en bronze ciselé et doré, et porcelaine de Saxe, style Louis XV, 1,420 francs; n° 295, Paire de candélabres à quatre' lumières, marbre, et bronze ciselé et doré, 830 fr. n° 302, Petit lustre en bronze orné de porcelaine de Saxe, 305 fr. d°3O3, Lustre en bronze ciselé et doré, style Louis XIV. 755 fr. n° 30S, Pendule à cadrans tournants en bronze ciselé et doré, modèle de Lepaute, style Louis XVI, 655 francs. Menthes, sièges. 31S, Ecran en bois sculpté doré, de style Louis XVI, tapisserie d'Aubusson, du dix-huitième siècle, 3,660 fr.; n° 320, Meuble d'entre-deux, en acajou orné de bronzes ciselés et "dorés, style LouisXVI, 1,230 fr. n° 321, Petite commode en marqueterie de bois de couleurs, ornementation de bronze doré, style Louis XV, 430 fr. 322, Bibliothèque à deux corps, de style anglais, f.n a'-aibu, 425 fr. n" 329, Sept fauteuils de salle à manger en acajou, style anglais, 525 francs 431, Lit en cuivre. 410 fr.; n" Meuble de cabinet de toilette en pitchpin, S81 t fr. n° 352, Piano à queue Steinway. 1,600 francs n" 353, Harmonium Mustel, 2,300 fr.; n"" 368 et 369, Canapé en bois sculpté doré, Deux fauteuils-marquise en bois sculpté. doré, style Louis XV, 1,110 francs.

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̃̃ OBJETS D'ART

'A la salle 8, Me Henri Baudoin, assisté de HM. Maiinhcim, vendait des objets


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dans le moindre temps le parcours Parier

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Emile Aubrun qui revient fort mécontent de son séjour sportif en Amérique, où lui et ses camarades de France se sont heurtés, ditil à la partialité de leurs hôtes, a l'intention de tenter Paris-Bruxelles et retour et dé tenter également de ravir à Tabuteau lo record de distance et de durée en vue de la Coupe Michelin.

Hier, à Darmstadt, le prince Henri de Prusse a satisfait devant des chronométreurs officiels, aux conditions, imposées par la Fédération aéronautique internationale pour l'obtention du brevet de pilote aviateur.

La Compagnie Aérienne, 63, Champs Elysées, termine en ce moment l'agencement de son aérodrome de Pau. Cet aérodrome modèla qui réunit tous les perfectionnements et le confort désirables ouvrira ses portes le 1er décembre.

RUGBY

Le Racing à Colombes. 0,

Les matches d'aujourd'hui.

Aujourd'hui, à 2 h. 1/2, sur le terrain de Colombes, se jouera le match Stade Nantais Université -Club contre Racing -Club da France.

Sur le même terrain de Colombes, le Sporting-Club universitaire rencontrera lé Cercla amicalpour le championnat de Paris.'

A Auteuil, le Stade Français rencontrera pour le même championnat le S. C. de Vau- girard.

VELOCIPEDE

Aujourd'hui, au Vélodrome d'Hiver, première série des 24 matches du championnat d'hiver parmi les concurrents Friol, Ellegaard, Schilling, Hourlier, etc.

v Frantz-Reichel.

3, Danseur II, à M. H. de Munim (Head) (6 longueurs. 3/4 de longueur).

Non placés Sylvaire, Tigrane, Lorette, Cyrano, Paullinio, Le Bréau, Sézanne II,, Œnone.

Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 57 fr. 50. Placés: M. Boniface, 16 fr. 50; Solo III, 16 fr.; Danseur II, 27 fr. 50.

Prix de Ville-Evrard (4.000 fr., 4,000 m.). 1, Victis, à M. Pfizer (R. Sauvai) 2, Bayonnet, à M. Deloche (Salmon) 3, Concorde, à M. Zantz d'Alnois (Esseveri) (8 longueurs, 15 longueurs)..

Non placés Dom Carlos, Whisky ,and Soda. ̃̃ Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 14 francs. Placés Vda Victis, 11 fr. 50; Bayonnet, 12 fr. Prix de Montreuil (4,000 fr., 3,000 m.). 1, Benzaï, à M. E. Pantall (R. Sauvai);, 2, Renée II, à M. L. Prate (Berteaux); 3, Padova, à M. Lyon (Thibault) (10 longueurs, 3/4 dé longueur).

Non placés Prince Albert II, The Orchid, "Marvel.

Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 18 francs. Placés Benzaï, 16 fr.; Renée H, 76 fr. 50 Prix des Frimas (3,000 fr., 2,800 m.). 1, Gervaise, à M. C. Rousseau, 4'31" 3/5 (Tamberi) 2, Uracieux 3, Guillaume Tell. Non places Gloriette, Hourion, Glaneuse, Héroïque, Hourra, Mousquetaire.

Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 49 fr. Pla-t ces Gervaise, 23 fr. 50; Gracieux, 28 fr.; Guillaume Tell, 21 fr. 50.

Prix de Pelit-Bry (3,500 fr\, 2,800 m.). 1, Hunter, à M. P.-W. Roberts (H. Sauvai) 2; Monticello, à M. Kélékian (Bourdalé) 3, Si Si, à M. L. Vidal (D. Kalley) (5 longueurs, 1/2 longueur). Non placés Ibycus, Castibelza, Aldance,, Casus Belli Il, Friand II.

Pari mutuel à 10 fr. Gagnant, 88 fr. 50. Placés Hunter, 17 fr. 50; Monticello, 17 fr.; Si Si, 22 fr. 50.

Ajax.

d'art et d'ameublement. Voici les enchères

principales -•

24, Ecuellé avec couvercle et plateau, plat ovale, sfx assiettes et quatre compotiers ovales 'éri ancienne porcelaine de Locré, écrin en -̃:•̃ maroquin .rouge-. -doré au -fer du dixhuitième siècle, 1,500 fr. n° 69, Vase en. ancien émail cloisonné de la Chine, ,550 fr.;> n° 88, Brûle-parfum rond en bronze de la Chine., 250 ,ïr.; 89, Divinité assise sur un iruitj bronze doré de la Chine, 250 fr.; 134, Plat rond en'cuivre 'gravé, à arabesques, travail vénitien du seizième siècle, 225 fr.; n° 135, Plateau en cuivre gravé, ancien travail arabe, 280 fr.; n° 143, Tabouret en bois tourné, couvert en ancienne tapisserie, 340 francs. ̃' Valemont.

AUTOMOBILISME

II y a 700.automobilesàSaiiit-Pétèrsbourg, La plupart sont françaises; depuis un an les voitures allemandes leur font uné. -act,ivs concurrence.

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lia y le Sportive

v LES COURSES

-BOURSES A VINGENNES

Dernière mixte de l'année qui pourrait ^bien être la véritable dernière, car on parle fan prochaind'abandonner cette mixture qui cependant plaisait au public. Versons donc un pi.e.ur.,

Les favoris ont été heureux, sauf Castibelza qui ne peut pas descendre, et'le jockey R. Sauvai a. gagné trois courses il profite de la disparition, des Pariïemeut et A. Carter, les deux ténors de la cravache.

Prix des Sycomores (3,000 fr., 2,800 m.). 1, Marceau, a M. Àbél, 4' 23" (Neveux); 2, Guirlande (C.); 3, Guirlande (B.i.

Non- placés Germaine, Gambade, Grand Duc, Gehcy, Gala. nd@

Pari mutuel à'10 fr. Gagnant, 67 fr. Placés.: Marceau, 29 fr. 50 Guirlande (C.), 20 fr.; Guirlande (B.), 63 fr. 50.

Prix de La Varenne (2,500 fr., 2,800 m.).– 1, M. Boniface, à M. R. Carmigniani (A.Ben- son 2, Solo III, â M. R. Bally (R. Sauvai);

AVIATION

L'Aéro-Club de Béarn offre une coupe do I 20,000 francs, due au sculpteur Gabard, pour être attribuée' à l'aviateur qui accomplira

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"Portu~Bls. 35~9' i)~ 300.. 1650Telephones. JI:>. 3i'J.. :JI. 3Í; 1'.> »Obl1g,Foncieres~~1~~9. 5~ ë Banquedel'Indo-Chme. li~5. 2250TabacsPortugais. 51'l' ?..

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>u 95 del'Algerie 1745. 1755. 11 iC 1745 1749 G0 sh Rio-linto 1793. 1795 1790 1798 179S »<m<iuo u^jj HIHnunCi CRI OMfS51B|UI=. « B t_K9Vi_.

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75..1 .de Paris etdes Pays-Bas l~10 l8i2 -t~iO ..1,~L~ 5U » Sosnowlce, 1357 IJ5\J 1353 l3)9 l*jb7 ..Actioiis de Chemiiis de te,r frdcdd. 1Dornier.Prdcid.,Dernier

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00 Crédit Lyonnais 1441 1442 1440 1443 1412 » » privil. 86 87 37 87 50 25 » Midi, 557.. 554.. S^fsn 5^ \«<)5 u,\ ino 11 BrakP?n ,£8

32 50 Mobilier 712 5U 714. 713.. 712.. 714.. 20 » Tabacs Ottomans 3S2.. 385 £0 3S5 385.. 337 m » Nord 1250 ?| b^ 191,3" T02 à 102 Oa W i? ? -§ 1

10 75 Société Générale 730 -730 735 » des Philippines lcO 4U3 103 .28 75 Ouest- Algérien 637 638.. ?S Z 4% ra^laïon '«1 4i '"«W »» ^artered 4y /5 4150 « 50 Banque Française 321.. 320. 322.. 320 1075b Portugais. 578 575 0 » Sud de la France 195. 194.. | BuTnos^esbT^dë,: 99 40 99 40 ->3 77 De BeêrS Z 4 a 5j 5() ̃ ̃ v. ̃ 3<Â% 3^Provde) 75 5u u & 'n brd 45 ) 453 r- iftflS ChilMHJœ-ori1 90 75 3 55' Durban Roodepoort 4'J MARCHÉS ETRANflRRS ysusastRand 12550 127.. mz-yru^raciO i- 1 nt\k\Kj£irk& 4% Espagne Intérieur k% 79 12 45 FerreiraDee m 50 v\ ̃ 1 Il 1 VALEURS 11" l VALEURS' 1 ijlOIOme 1 1 fi- m l VALEURS '1 CI' ffl •>•?" Mexicain 5 52 20 2u 52 j4tM Gold 252 255

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Shan.si ,39,6 C, 3D! ViHa.e Main Reef. li.4il/32'

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MATINEES

rOMEDIE-FRANÇAlSE (Tél. 102.23). 1 h. 1/2. Le Passant; l'Aventurière ^l'Anglais tel qu'on. le parle. OPER-V-COMIQUE (Tél. 10:).76). 1 h. 1/2. Richard Cœur de Lion'; le -Jongleui- de Notre-Dame. ̃ THEATRE LYRIQUE MUNICIPAL (GAITE) (Tél. 129.09). 2 h. 0/0. La Juive. THEATRE APÛLLO (Tél. 272.21). –.2 h. 0/0. Hans, lejoueur de flûte.

TRIANON-LYRIQUE. 2 h. 0/0. Le Voyage do Suzette. M" ATINEES DE LA JEUNESSE (TiuUtre Femina).. A 3 heur s. Miss Tartolott. Fauteuils depuis 3 3 fr (Tél. 52S.68). Métro-Alma.

"lARDIN D'ACCLIMATATION. 2 h. 0/0. J 'Le Pré-aux-GJercs-

Odéon (2 h". ̃ 0/0), .Théâtre Sauaii-Bernhardt (2 h.), Vaudeville (2h.l;2), Variétés U h. 1/2), Théatke Rêjave (2 h. 1/ 2;, Porte-St Martin (2 h. O'Oy, 'Renaissance (2 h. i/4), Nouveautés (2 b. O'/O'l, GV-MNASK (2 h. 0/0), ATHENEE (i h. 3'i\ Théâtre Antoine (2 h. 1/4), Theatris Michel '(2 h. 1/2;, Palais-Royal (2 h. l/)4, Bouffes-Parisiens-Cora-Laparckrie (2 h.0/0). Capucines (2 h. i/2). AMBIGU (2 h. 0/0), GrandGuignol (2 h. 1/2;, Déjazet (2 h. 0/0), Cluky (2 heures).- Mêpie specctale que' le soir. rOLTES-BERGÈRE (2 h. i/2), OLYMPIA (2 h 1/2), I SCALA (2 h), ClGALB (2 h.), ALHAMBRA (2 h.), Concert Mayol (2 h.). CASINO DE PARIS (2 h. l/2\ Nouveau-Cirque (2 h. i/2), CIRQUE Medrano (2 h. 1/2), CIRQUE DE PARIS (2 h. 1/2), Gaité-Rochechquart (2 h.), BAL DU MOULINRouge (3 h.), Skating-Rink. DE LA PLACE "VlCTOE:HUGO. ̃ Même spectacle que le soir.

SOIRÉE

0P.E.RA (Tél. 231.33). Relâche.

Lundi Lohéngrin.

£dMEDIE-FRANÇAISE (Tél. 102.23). 8 h. 3/4. Comme' ils sont tous.

Lundi Les Marionnettes.

OPERA-COMIQUE (Tél. 105.76). 8 h. 0/0. Manon. ̃ ̃

Lundi Le Barbier de Seville.

ODEON. (Tél. 811,42). 'S h. 1/2. Vieil HeideJberg. Méme spectacle..

̃•̃̃̃• Demain Même spectacle.

T' HÉAtRÉ SARAH-BERNllARpr(T.él. 1000.70). 8 h. 3/4. L'Homme mystérieux; Attaque nocturne.

t-ApDEVtLLE (TeL-tOx.09,. 9h. 0/0. Le Mar-

'AÇDE VILLE (Tél.-10ï.09;. 9 h. 0/0. Le Mar-

çjlâpd •tlcbonheur. ̃

IIARIETES (Tél. lO'J-ey. S. h. 1/4- La ParI tie d'échecs à heures Le Bois sacro. THEATRE REJANE a'ei. 23S 78). 9 h. 0/0. Le-Mariagu de Mlle Boulemans.

IlORTE SAINT-MARTIN1 (Tel. 437.53). 8 h. 3/4.

I\QRTE SAIN.T-IÂH.TlN (Tél. 431.5?). 8h. 3/4,

| L'Aventurier.

R~ENAISSANCE (Tél. 437.0?). 8 h. 3/4. La Main reste; Mon Ami Toddy.-

irOtiV^AU'iES -(Tel. -.102.51)- •̃» h. 0;0

Crime passionnel Chou-Blanoi'-

1 'HEATRE 'LYRIQUE MUNICIPAL (GAITE) (Tél.' 129.09). 8 h-0/O. Quo vadis--? GYMNASE (Tél. 1U2.65J. 8 h. 3/4. La Vierge fa folle, ATHEKEE (Tèl..2S2.21). 8 h. 1/2. L'AbondagS>à-9 heures, le Petit Dieu. ITHiÂTRÉ APOLLO(Tél. 272.21). 8 h. 3/4.–'J. Rêve de valse. ̃ -y. frlïBA'THE ANTÔÏNE (Tél. 430;. 33). 8 h.:3/4.| César Birotte-m. "• hiHEATRË' MICHEL (Tél. 163.30).– 9 h.- 0/0. '1 A.finipQssible. lô,Fcu-du. voisin la Damo ̃ du second.

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TRIANON-LYRIQUE. 8 h. 1/2. La Mascotte. ̃ f OMEDIE ROYALE (Tél. 307.36). Prochaineli ntent réouverture. Direction Max Viterbo. Rcvuo de MM. Nozière et Mirande. DEJAZET (T.él. 274.91). 8 h. 1 2. Au Bro- chet cascadeur; le Grand Ecart. rOMEDIE MONDAINE (Tél. '524.70). 8 h.' lfôj Aj Comme lesfeuilles.

̃FOLIES-DRAMATIQUES -8 h. 1/2.- Nos Femmes.' i LUNY ;Tol. S07.7GI. 8 h. 1/2. No bou\j geons plus! le Château des Loufoques.' • ri^IEATRE DE L'ŒUVRE (Théâtre Femina). I 8 h. 3/4. Le Mauvais grain; l'Amour'de Késa; le Poupard.

Concerts et Auditions symphoniques CONCERTS-COLONNE (Théâtre DU CHATELET). (2 h. 1/2.)

Sixième concert de l'abonnement, 1000" concert do l'Association artistique. Festival Beethoven, avec le concours de MM. Mounet-Sully, do la Comédie-Française, Fritz Kroisler, Ch.-W. Clark, Rodolphe Plamondon, Mmes Willaume-Lambért, Vilmer.

Ouverture do Léonore (n° 3) Concerto pour violon I. Allegro e cadensa IL Larghetto; III. Rondo. M. Fritz -Kreislor Trois Lieder deGellert, orchestrés par M. Henri Rabaud a. Vom Tode; b. Die Elire Gottes aus der Natur; c. Busslied. M. Ch.-W.. Clark. Romance en /'a,poûi> violon: Al. Fritz Kreislor. Anniversaire, hommage écrit par M. Emile Moreau, lu par M. Mounet-Sully, de la ComédieFrançaise. ̃

Neuvibme Symphonie avec chœurs (Beethoven). Traduction de l'ode de Schiller, par M. Amédée Boutarel I, Allegro maestoso II, Scherzo III, IV, Finale avec soli et chœurs.' Soprano: Mme Willaume-Lambert contralto: Mlle Vilmer; ténor M. Plamondon: basse: M. C.-W. Clark. Cinq cents exécutants, chœurs et orchestre Colonne, école dû chant choral, fondation de M. Jean d'Estourne.lles de Constant.

L'orchestre sera dirigé.par. M. Gabriel Pierné.

CONCERTS-LAMOUREUX (3 heures).

tj ̃ iSALLB Gaveau, 45, rue La Boétie). heures). Sixième concert (sério-B), avec le concours de Mnie.Croiza, Mlles Mary. Piroqhiiy, -Fanny ûfalnory, -Mme Marthe Philip, M.'Andrès Gaos,-M. Fer'nand Gillet. « I. Septième symphonie, on to'majeur (Beethoven). n. Erôs vainqueur (fragments). Conte lyrique en trois actes, de Jean Lorrain (P. do Bréville) acte. 1, 2' tableau, scènes I ot IV (promière audition):

Eros Mme Croiza

Les trois princesses

Tharsyle Mlles Mary Pironnay Arpin'e Fanny. Malnory Floriane Mme Marthe Philip. III. Concerto en sol mineur, pour hautbois et orchestre (Hœndel) M. Fernand Gillot.. IV. ;Syinphonio espagnole, pour violon et orchestre i,Ed. Lalo.) M. Andrès G.abs. V. Les Troi/ens, licbno et mort -de Didon (H.Berlioz): Mme Groiza. VI. Gwendoline, ouverture (Cha-

brior).

Chef d'orchestre M. Camillo Chevillard. CONCERTS-SECHIARI (3 heures).

C- Théâtre Mabigny (Champs-Elysées).

2' concert Sechiari. Au programme Symphonie (César Franck); Concerto n°-2'(Josep'h Hbllnian), exécuté, par l'auteur; SèrèHade à Mozart (HathieràH-t™ audition en France),' vio-. ton principal M. Bittar; Légende bretonne (Si-"mia), Mlle Yvonne Dubel, de l'Opéra; Roi Nidrei (Max Bruch),M. H-oHuian; Rapsodie hongroise. nu 1 en fa (Liszt). •̃

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des Abonnés du « Figaro» y ̃ .̃̃•̃•. ̃ :.EN FRANCK » M. le baron Léon Chadenet, au château de la BurLe, à Saint-Julien. M. Cama, à. Reims..

Mme Denavit, h Arcachon.̃•

M. Bowoit Oriol. 'à Saint-Chamond.- ̃ M.. Charles Pierre, à. Gouei-s, par Ségry. M. liaibe'rti, à Nice. '̃̃̃ 0

̃ ÂX'ÊTRANGER- Sa Majesté. L'empereur Nicolas II, à Kibarty. H. do Bruyn, a Bloemendaal. Mme V. Goldschmidt-Ha.lpt, a Bruxelles. Mme Serière,' à La Haye. ..•̃

M. le comte de Sérionne, au Caire.

Mme.Zoé Zisso, à' Bucarest.

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LIGNES DU CENTRE AMBRI<ÎÎ3RV t

Québec, [d G. T.), do Bordoaus, pour :Haftit"i9 nov., 5 h. du matin. JJelgian (L. L.), do Liverpool pour Antilles, 19

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Parana (T. M.), de Buenos-Aires pour Marseille, ̃ 19 nov. .à. Espagne (T. M.},, ven. Marseille, à Buenos-Aires,

18 nov. < v,>

C:-Blanco (Hamb.-Amer. Li), ven. Hamboprç. £ Bùénos-Airos," 18 nov. '̃' Gunther (Hamb.-Amer. Li), SudBrésil-Hambourg, de Rio-Grando do Sul, 18 nov.v

S.-Nicolas (Hamb.-Amer. Li), Santos-HàmboUrg, de do Lisbonne, 18 nov. Bahia (Hamb.-Amer. Li), HambourgrSantos, à, Lislponno, 17 noy.. •- ̃

Ru-gia (Hamb.-Amer. Li), Para-IJamb.oùrg, de .Lisbonne, 18 nov. Hohcnslaufen (Hamb.-Amer. L.), HambourgSàntos, à Rio-dc-Janeiro, 18 nov. R.rNegro (Hamb.-Amer. Li), ven. Hambourg-, l'ara, 18 nov.

-Ambrosc (B- .L.,), Havre -.Para, de'. Lisbonne, 19 nov. ̃̃̃ Anlony (B. L.), von. Havre, à Pafa, i$: nov.. LIGNKS DU LEVANT

Sidon (M. M.), de Marseille pour' Grèce, 19 noy. POSTAGE

Courrirrs a mettre la posie demain lundi 21 novembre, pour les départs qui auront lieu le 22 novembre (pour Marseille, mettra les lettres le matin) Do Marseille, par Villa-de-Barcrtonz (C. G..T.), pour Bougie. Djidjelli et Alger

De Marseille, par Çharlcs-Roux (C. G. T.), pour A.lgûr; De Marseille, par VUU-d'Oran (C. G. T.), pour Bôi:c et Philippovillé '*̃ Tjo Marseille, par Provence (T. M.), pour Dakar, Rio-do.-Janeiro Santos, Montevideo et 'Buenos-Aires Du Havre, par Augitsline (B. L.), pour Madère, Para et Manaos De Soutliainptdn, par Bulow ,£N'. ".D, L-), ppue ̃Port-Saïd. Suez, Aden, CoJ^omboy Penang, Singapore, Hong-Kongi Shanghaï, Kobô;et Yokohama »,

De Soathampton, par Tnbaiïan (R. L.)l "pour

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longan. Java, Macassai-, PaloniGa^ \luntok, Atjeh, Pontianah, Bandiennassingy Tji- latjap et iles Moluques; ;.̃•• De Lisbonne (départ 23), par ltaka .(HambiAmer. Li.),pour .Maragnan,: Eaniaîybà'- et Ceara;. J ̃, De Lisbonne (dùp..23), par Orop'cm (P/S. N. G.), pour Saint-Vincent (C. V..), Rio-dé-Oaneihô. Montevideo Buenos Aires, '.Port, .-Stanley (Iles Falkland), ,SaHd.v-Po.int,;Cproni|r,.Talca* huano; Valpai'aiso. Cotiuimbo, 'Antofag:ast;% ̃ .IqUuiuo,-Moll'en<lo ot Callao '̃̃ ̃ y ̃̃̃ .••• «{.Navlgazçite,) •̃̃ r~p REHSEI6HEBIEJ1TS UTILES

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