Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 581 à 581 sur 779

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : La France coloniale : histoire, géographie, commerce (Quatrième édition) / publ. sous la dir. de M. Alfred Rambaud,... ; avec la collab. de MM. le commandant L. Archinard,... le capitaine A. Bouinais,... Pierre Foncin,... [et al.]

Éditeur : A. Colin (Paris)

Date d'édition : 1888

Contributeur : Rambaud, Alfred (1842-1905). Directeur de publication

Sujet : Colonies françaises

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37253157p

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (IV-XXXVIII-714 p.) : ill. ; 22 cm

Format : Nombre total de vues : 779

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k28858t

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 96%.


i cent en bronze. Les indigènes font usage des ligatures

de sapèques en zinc.

Le taux de l'intérêt de l'argent est très élevé dans

l'Indo-Chine. Sous les régimes précédents le taux légal

était de 56 pour 100 dans les pays annamites et de 57,5

pour 100 au Cambodge, mais l'usure se donnait libre

carrière. Des établissements de crédit européens fondés

à Saigon contribueront à abaisser le loyer de l'argent.

La banque de l'Indo-Chine, dont le siège est à Paris et

qui a deux succursales à Pondichéry et à Saigon, a été

autorisée à établir un comptoir au Tonkin.

Des chambres de commerce existent à Saigon et à

Haïphong.

Un comité industriel, organisé à Haïphong sur le mo-

dèle de celui de Saigon, rendra les mêmes services que

ce dernier.

Voies de commmnicatton. 1° Foies maritimes. –

La Cochinchine communique avec la métropole au moyen

des transports de l'Etat qui partent de Toulon, des paque-

bots de la Compagnie des Messageries maritimes, dont les

escales sont établies à Port-Saïd, Suez, Aden, Pointe-de-

Galles, Singapour, Saigon, Hong-Kong, Chang-Haï et le

Japon, et des paquebots d'une compagnie anglaise, s'ar-

rêtant à Singapour avec correspondance vers Saigon. Une

ligne réunit cette dernière ville à Poulo-Condore, une

autre à Haiphong par Quin-nlion, Tourane et Xuanday.

Les communications de Haïphong avec Hong-Kong sont

assez régulières, presque bihebdomadaires (compagnie

Roque).

Voies fluviales. Au début de notre conquête de

la Basse-Cochinchine, les communications se faisaient

presque exclusivement par eau, comme aujourd'hui en-

core au Tonkin. On a créé à Saigon la ligne des Messa-

oet-Ms de Cochinchine qui assure le service avec Mytho

et Phnum-Penh par Yinh-Long, Sadec, Soctrang, Chaudoc

et Bentré, et avec les postes voisins des embouchures

Travint, Cantho et Soctrang.

Au Tonkin, les bâtiments remontent de Haïphong à

Hong-Kong en empruntant le cours de différentes par-

~n