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Titre : La médecine, la chirurgie et la pharmacie des pauvres...

Éditeur : G. Baillière (Paris)

Date d'édition : 1839

Contributeur : Hecquet, Philippe (1661-1737). Auteur présumé du texte

Sujet : Médecine -- Formules et recettes

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37257197w

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (460 p.) ; 17 cm

Format : Nombre total de vues : 468

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k287634

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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On ne doit ajouter que tout à fait à la fin de l'opération les Sels, les Acides, les Sirops, les Miels, etc.

Toutes les boissons des malades doivent être consommées dans les premières vingt-quatre heures de leur préparation. Un les maintient dans un endroit frais en été, dans la chambre du malade en hiver, et renfermées dans un vase propre muni de son couvercle.

Les boissons des malades doivent être légères, simples et aussi agréables que possible. EHes doivent encore être édulcorées et aromatisées au goût du malade.

La température des boissons, leur quantité, l'espace de temps qui doit s'écouler entre chaque fois qu'on les donne aux malades, sont des choses plus importantes qu'on ne pourrait le penser d'abord, et qui varient dans les médications que l'on veut remplir.

On donne des boissons froides, quelquefois-à la glace, dans toutes les violentes inflammations, autres que celles des voies de la respiration ou de la peau, dans toutes les fièvres aiguës accompagnées d'un sentiment de chaleur brûlante à la peau et très appréciable au toucher.

Les boissons très froides font souvent cesser les vomissemens spasmodiques; les boissons tièdes au contraire facilitent les vomissemens; les premières sont toniques et diurétiques, les secondes provoquent la sueur.

La température desboissonschaudes, qui agissent comme sudorifiques (tes froides agissent encore en absorbant la chaleur intérieure de nos tissus), ne doit pas dépasser celle du corps (30 ou 33"); elles doivent même être au dessous, et souvent tièdes.

La quantité des boissons est subordonnée à la soif existante, à l'idiosyncrasie des sujets, à la nature de la maladie. Une pinte de boisson suffit ordinairement, comme nous l'avons déjà dit; on la fait prendre par petites tasses, souvent répétées, et à