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Titre : La médecine, la chirurgie et la pharmacie des pauvres...

Éditeur : G. Baillière (Paris)

Date d'édition : 1839

Contributeur : Hecquet, Philippe (1661-1737). Auteur présumé du texte

Sujet : Médecine -- Formules et recettes

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb37257197w

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (460 p.) ; 17 cm

Format : Nombre total de vues : 468

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k287634

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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tion de Scordium on dit aussi qu'il faut donner en même tempsunlavement'de lait sucré.'

Quelques cuiUerées d'huile, particulièrement de ce!!e de Moix, données le matin à jeun aussi. bien que le beurre, sont exceUens contre fes vers. La poudre d'ëcorce d'Orange amèrë se prend a jeun au poids d'un dragme, après avoir infuse dans du vm~pendant ]a nuit; on ia donne aussi dans quetquescuiiïeréesd'huite.

Un enfant fut guéri, dit Arnault de Vifieneuve a-pres avou- avaié un demi-dragme de semence de Pourpier pilée avec du lait.

Faites avaler à jeun du tait dans lequel vous aurez'fait cuire de i'At).

Pùuries vers des intestins, avalez tous les jours le matin à jeun un dragme de limaille d'acier dans quelque conserve, ou dans quelque autre véhicule convenable.

Avalez, temaunàjeua, deux ou trois heures avant de manger, une tasse d'eau dans laquelle vous aurez éteint plusieurs fois duptomb fondu Ce remède a <té éprouvé plusieurs fois avec succès L'eau quia bouilli plusieurs fois avec du V'if Argent (Mercure) est encore bonti'e contre les vers. S IV. ~M~ c~coM~, ~e~ Ces vers causent des démangeaisons dans le fondement, et souvent, par l'irritation qu'its font à l'intestin, desdéfaiHances, des syncopes, des ténësmes.

Cesvers sont diSiciles a chasser pour trois raisons. La première, c'est que les remèdes perdent de leur iorce avant que de parvenir jusqu'où sont lesvers. La seconde c'est qu'ils sont envetoppës dans des humeurs visqueuses qui empêchenHaction des medicamens; et la troisième c'est qu'ils montent quelquefois dans le cœcum. Or, cet intestin étant en forme decuMe-sac, ils s'y tiennent c&m~ne retranchés. Quoi qu'il en soit, il vaut mieux les attaquer par te bas, et pour cela, il n'y a rien