Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 50 à 50 sur 462

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Luther et la réforme au XVIe siècle / par le Cte Ag. de Gasparin

Auteur : Gasparin, Agénor de (1810-1871). Auteur du texte

Éditeur : Michel Lévy frères (Paris)

Date d'édition : 1873

Sujet : Luther, Martin (1483-1546)

Sujet : Réforme protestante

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304846261

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (455 p.) ; 18 cm

Format : Nombre total de vues : 462

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k28614n

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 95%.


-chanter sous les fenêtres d'Eisenach toutcomm&il chantait sous les fenêtres de Magdebourg. Dieu y pourvut. Un soir que l'enfant psalmodiait ses' plus beaux cantiques, les croisées s'ouvrirent, on lui' fit signe de monter; c'était la veuve de Conrad Cotten, une femme au cœur compatissant et doux. Touchée de pitié, elle garda Martin sous son toit, pourvut àses~ études, le mit à l'abri du besoin, luiaGhetaméme'unenute et une guitare dont Luther apprit à jouer sans; maître; et voilà notre écolier le plus heureux garçon. du monde, entre la science qu'il poursuivait sous um maître renommé Tribonnius sa chère musique, la compagne ndèle, la joie de sa vie entière~ et cette bienfaitrice dont-jamais il ne perdit le so-sveTiB". Laveuve de Cotten imprima le respect'des. femmes dansl'âme de Luther; peu d'hommes ont parlé, d'elles, deleur charité, de leur sympathie~.en termes plusat-' tendris.

Hélas i il fallut quitter Eisenach. Luther y avait appris tout ce -qu'il y pouvait apprendre- Son ardente' intelligence était attirée par l'université d'.Erfmrt.Jean, Luther consentait au déplacement de son 61s parvenu même à quelque aisance, il promettait de le soutenir: Martin, âgé de dix-huit ans alors~se. renditàErfurt, s'assit surles bancs de l'université, et, toujours laborieux, toujours exemplaire dans sa conduite, toujours le premier, il Sxa vite l'attention de ses- professeurs, en tête desquels Sgurait Jodocus Truttvetter~ qui enseignait le droit canon.

L'étude en était prescrite par JeanLutherà.son fils. Martin aurait préféré toute autre science, maisil obéissait.