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Titre : Luther et la réforme au XVIe siècle / par le Cte Ag. de Gasparin

Auteur : Gasparin, Agénor de (1810-1871). Auteur du texte

Éditeur : Michel Lévy frères (Paris)

Date d'édition : 1873

Sujet : Luther, Martin (1483-1546)

Sujet : Réforme protestante

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304846261

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (455 p.) ; 18 cm

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Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k28614n

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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de l'ombre de la mort jusque dans ses plus sinistre? profondeurs. On reprenait un peu d'espoir x Vou~ avez une .abondante sueur s'écriaient ses amis Dieu, par sa bonté, daignera vous rétablir! »-Luthei seul ne s'y.méprenait pas iirépondait x C'est la sueur de la fin; » puis se remettant à prier s 0 mon. -Père céleste Dieu et Père de Notre-Seigneur JésusChrist, Dieu de .toute consolation! je te rends grâce de ce que tu m'as fait connaître ton cher nls Jésus'Christ, auquel je crois, lequel j'ai prêché et confessé,. que j'ai aimé et loué, que déshonorent, persécutent et blasphèment le pape et tous les impies. Je te prie~ mon Seigneur Jésus, d'avoir pitié de ma pauvre âme. 0 mon Père céleste, bien qu'il me faille laisser ici ce corps et quitter cette vie présente, je tiens pour certain que je demeurerai toujours avec toi, et que nul ne pourra me ravir de ta main. m Après qu'il eut ré-cité plusieurs passages de saint Jean et des Psaumes, -maître Simon Wild lui fit prendre quelques -gouttes. d'une potion qu'il portait toujours sur lui « Je m'en' vais! dit Luther puis trois fois de suite, avec une extrême rapidité, comme s'il eût voulu, gagner la mort de vitesse, il répéta s Je remets mon esprit en ta main; tum'as racheté, ô Seigneur, DieuËdèle la Apres, il retomba sans mouvement. Frictions, essais de divers ,genres, interrogations,tout restait inutile. Luther avait cessé de parler, il paraissait ne plus entendre rien. Alors, Jonas s'approchant x Mon Père, voulezvous mounr en Christ et dans la doctrine que vous avez prêchëe jusqu'au bout? »

A cette question solennelle, Luther, rassemblant ses forces pour confirmer son oeuvre et rendre un der-