Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 292 à 292 sur 462

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Luther et la réforme au XVIe siècle / par le Cte Ag. de Gasparin

Auteur : Gasparin, Agénor de (1810-1871). Auteur du texte

Éditeur : Michel Lévy frères (Paris)

Date d'édition : 1873

Sujet : Luther, Martin (1483-1546)

Sujet : Réforme protestante

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb304846261

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (455 p.) ; 18 cm

Format : Nombre total de vues : 462

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k28614n

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 95%.


rets, c'était renier l'exclusive autorité de l'Écriture, s'était se rendre coupable de trahison envers la vérité. Luther le sentit, Sa conférence avec Vergerio n'amena donc aucun résultat. Je me trompe, elle .exerça sur l'esprit du légat une telle influence, que Vergerio, plus tard, se sépara de l'Église romaine pour embrasser le culte réformé.

Les princes s'étaient réunis à Smalkalde. Seigneurs de l'empire, leur déférence pour l'Empereur les portait à tenir quelque compte du concile qui venait de s'ouvrir. A supposer que le concile accordât les conditions posées par Luther, faudrait-il maintenir un refus désormais sans motifs ?

Luther appelé, consulté, fat chargé de rédiger les ~Lr~c~s de Sms~Mc, peu différents de la Confession d'Augsbourg 1. Il fit ce travail tout en ne croyant ni à la possibilité de se rendre au concile, ni aux chances de la conciliation.

Un.mal grave, qui semblait-mortel, saisit alors le Réformateur. Les princes l'entouraient, l'Électeur promettait–hélas'ies soucis dela guerre dévaientluifaire oublier sa promesse l'Électeur promettait au docteur de protéger sa femme et ses enfants. Luther, en paix sur le sort de ses bien-aimés, confiant, soumis, désira pourtant revoir les siens. Une voiture de l'Électeur le ramenait sous son toit, lorsque les accès du mal, plus violents, le reprirent à Gotha. Luther se sentait près d'expirer. Il dicta ces paroles suprêmes à Pomeranus de sais, Dieu en soit loué! que j'ai 1. Les Articles, comme la. Confession, font partie des livrer -symboliques de l'église allemande.