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Titre : Qu'est-ce-que la phrénologie ? ou Essai sur la signification et la valeur des systèmes de psychologie en général et de celui de Gall, en particulier / par F. Lélut,...

Auteur : Lélut, Louis-Francisque (1804-1877). Auteur du texte

Éditeur : établissement encyclographique (Bruxelles)

Date d'édition : 1837

Sujet : Gall, Franz Josef (1758-1828)

Sujet : Phrénologie

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb372847665

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 1 vol. (315 p.) ; 17 cm

Format : Nombre total de vues : 332

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k281535

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Si tous les hommes étaient les mêmes pour les forces du corps et pour les talens de l'esprit, ils n'auraient aucun besoin les uns des autres c'est la diversité de leurs facultés et l'inégalité qu'elles mettent entr'eux, qui rendent les mortels nécessaires les uns aux autres, sans celails vivraient isolés (1). L'esprit, la sensibilité, t'itiagination, les talens mettent des différences infinies entre les hommes. C'est ainsi que les uns sont appelés bons, et les autres méchans, vertueux et vicieux, savans et ignorans, raisonnables et déraisonnables (2).

Cabanis, dont le nom se place assez naturellement après celui du baron d'Holbach, Cabanis dans son livre des Rapports du p~yM~Me ffM moral de l'homme après avoir attribué toutes les manifestations intellectuelles à l'action du cerveau, ce qu'il a résumé dans la phrase célèbre et inexacte que tout le monde connaît, établit, entre les diverses sources de nos idées, une sorte d'hiérarchie, qui prouve la prééminence qu'il reconnaissait à l'intérieur sur l'extérieur, au cerveau sur les sens. Ainsi il ne place les sensations.qu'au troisième rang parmi les matériaux sur lesquels agit l'encéphale dans la production de ces manifestations. M donne le premier aux changemens, ou impressions spontanées du cerveau luimême, à celles qu'il forme de son propre mouvement et dans son intérieur, telles que, dit-il, les principales dispositions maniaques. Au troisième rang viennent les impressions reçues par les extrémités

(1) t~stêtne de la A'a<Mre; tome t, chapitre ix, page !3t. ~)~ttf.p.l3!.