d'abréger davantage, mais dont je puis maintenant n'exprimer que la substance et le fond.
t" J'ai commencé par déterminer, dans ses extrêmes limites et dans toutes ses parties principales le champ d'observation de la psychologie et j'ai fait voir que, pour grouper et représenter les faits de diverses sortes qui composent ce vaste domaine, toujours plusieurs facultés avaient été admises, en vertu d'une nécessité de notre esprit qui divise ses pensées comme nos sens les objets extérieurs, et de cette division infère des pouvoirs distincts. 2° J'ai dit que les facultés avaient souvent été considérées comme des êtres, des substances des matières ')M~o:p/;yst~:<M (1); mais qu'elles ne sont que des ~~MsaKoes, et presque que des notions nécessaires, représentées par des termes généraux, par des mots, essentiellement indéterminés. go J'ai fait voir que les facultés qui, pendant longtemps, avaient été presque les sentes reconnues sont les facultés de l'entendement proprement dit, et que les faits, qui doivent servir de base aux facultés récttes ou actives, avaient été rejetés du domaine de la psychologie pure; et j'ai dit pourquoi cela avait eu lieu ainsi.
4° J'ai montré comment, en ne tenant compte que des facultés de l'entendement, c'est a-dirc des sens etde la raison, on devait nécessairementarriTcrà con-
()) Cette expression contradictoire est de Descartes (~7<'f/~f!<to!M. Réponses aux troisièmes objections. Objection Jeuxiètue, [)age 200 Ju texte français, en 1 vol. [1!°).