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Titre : Hitopadésa, ou L'instruction utile : recueil d'apologues et de contes / trad. du sanscrit avec des notes historiques et littéraires, et un appendice contenant l'indication des sources et des imitations par M. Edouard Lancereau

Éditeur : P. Jannet (Paris)

Date d'édition : 1855

Contributeur : Lancereau, Édouard (1819-1895). Traducteur

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30731613f

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 288-31 p. ; in-18

Format : Nombre total de vues : 330

Description : Collection : Bibliothèque elzévirienne ; 30

Description : Contient une table des matières

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k27732m

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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détruit la beauté; les mots Hari, Hara, nous délivrent de nos fautes de même la mendicité nous fait perdre une foule de qualités. »

Hé quoi me disais-je après avoir fait ces réflexions, vais-je vivre aux dépens des autres? Hélas! ce serait m'ouvrir une seconde porte pour arriver à la mort.

« N'avoir que des connaissances superficielles acheter l'amour à prix d'argent, et devoir sa subsistance à autrui, voilà trois choses mortifiantespour des hommes de cœur. »

« Pour l'homme qui est malade, qui fait un long voyage, qui vit aux dépens d'autrui, ou qui dort sous un toit étranger, la vie, c'est la mort la mort est pour lui le repos.» »

Après m'être livré à ces réflexions, je me laissai entraîner par la cupidité, et j'essayai d'amasser une nouvelle fortune.

On a dit

« La cupidité fait perdre la raison la cupidité engendre la soif des richesses, et l'homme tourmenté par la soif des richesses ne trouve qu'aftliction dans ce monde ct dans l'autre. »

Alors ~'inâkarna me donna un coup du morceau de jonc et je me dis Celui qui se laisse aller à la cupidité n'est jamais content et se fait du mal à luimême.

« Celui qui convoite la richesse n'est jamais éontent il ne sait ni se modérer, ni dompter ses sens tous les malheurs accablent l'homme dont le coeur n'est jamais satisfait. »

« Le bonheur est tout entier pour l'homme dont le