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Titre : Le Figaro. Supplément littéraire du dimanche

Éditeur : Le Figaro (Paris)

Date d'édition : 1928-05-12

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343599097

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343599097/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Description : 12 mai 1928

Description : 1928/05/12 (Numéro 475).

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k273723w

Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-246

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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tel sur les choses?. On aurait tort, en tout cas, de le confondre avec le disespoir;; il engendre d'ordinaire l'énergie, B'îictivité, la ".l.niaisânce; il est peutêtre un des éléments nécessaires du progrès. L'exemple de Taine l'a bien montré; comme M. Daniel Halévy l'indique, avec une sobre perspicacité, dans une élude sur les Origines de la France contemporaine que publie la Revue hebdomadaire. On sait de quelle impression de jeunesse est née cette œuvre monumentale en 1849, sollicité de voter avec ses camarades de l'Ecole normale, Taine préféra s'abstenir pour collaborer, ne fût-ce que par un suffrage, au •destin d'un pays, il fallait connaître l'histoire de ce pays; Taine se promit que « s'il entreprenait de chercher un jour une opinion politique, ce ne serait qu'après avoir étudié la France.» De ce jour-là, remarque M. Daniel Halévy, la Jiensëe des Origines avait germé en lui tout le reste de son œuvre, jusqu'en 1870, ne lut, comme il l'a indiqué luimême, qu'un douloureux « alibi ». Les événements de 1871 mettant en évidence « le mal français », lui imposèrent de renoncer aux atermoiements toute son activité, dès lors, ne fut plus consacrée qu'à l'étude de ce mal Taine, dans les Origines, fut moins un historien qu'un clinicien

Singulière histoire que celle de cette œuvre elle condamne tout ce nue les Français ont essayé depuis trois siècles, l'homme français et l'homme même c'est Se dernier des écrits jansénistes. L'homme est un coupable, disaient ceux-ci prairie fait écho l'homme est un fou et un fou destructeur. Propose-t-il un remède? Non pas la science politique, l'anfthropologie, estime-t-il, ne sont pas fai[tes, et tout ce que peut un homme de science, en de telles matières, c'est observer. Sans doute, il pourrait conseiller un « régime salutaire » mais « A quoi ion ? Le malade refuse de s'y soumettre, il se croit médecin. » Et encore « Un courant énorme et rapide nous ,entraîne. 'A quoi bon faire un mémoire sur la profondeur et la rapidité du courant ? ». La singularité, c'est qu'une .tçjlç, oeuvre, un tel maître, n'aient pas désolé lès esprits. Tout au contraire. L'o?uvtfi> et L'homme ont topifié, relevé les courages.

C'est que les disciples de Taine ont bardé -ses méthodes et révisé quelquesunes de ses conclusions quelquesunes seulement celles qui rendaient l'esprit classique responsable de la Révolution. D'ailleurs, les six volumes des Origines exercent toujours une influencé magistrale de cette influence, M. Daniel Halévy souligne, une cause essentielle

Taine, en analysant avec sa rare insistance l'idée révolutionnaire, a découvert, émis au jour un phénomène, nouveau, le

CouFipi<B3P des Lettres

–Ott*ftt««t-

̃ j_ ̃ ̃ ̃ ÉCHOS '& Le IV Congrès des Ecrivains de France se tiendra, cette année, à Strashourg, les 3, 4 et 5 août, sous les auspices de la Société des Cens (le lettres, de la Société des Ecrivains de province, (le celle des Ecrivains combattants et de celle des Orateurs et Conférenciers de France. Ce congres sera non seulement une très hellfr'~aln8nifestation littéraire, mais, encore un parlement dont les discussion •à&Semtiellement pratiques contribueront puissamment à améliorer la situation présente des 'intellectuels dans la nation.

Pour toutes propositions de rapports, ainsi que pour tous renseignements, s'adresser au secrétariat du congrès, 2ti, avenue de la Marseillaise, à Strasbourg. (Secrétaires généraux Camille Schneider et Robert Wolf.) J* La revue 'Les Lettres publie une vi- brante protestation des écrivains français contre la persécution religieuse au Mexique.

En lète de cette protestation, on lit les noms do MM. Louis Bertrand, Georges Goyau, Pierre de Nolh'ac, de l'Académie française Francis Jammes André Maurois, Edouard Scneider, Alphonse de Cha- têaubriant, etc.

Les signataires de ce manifeste repoussent le reproche trop facile d'immixtion dans la politique intérieure d'un pays étranger. « Nous adressons, disent-ils, l'hommage de notre fraternelle sympathie aux catholiques mexicains persécutés, et nous élevons la voix en leur faveur devant le monde parce que leur cause est la cause même de l'humanité. »

& La veuve de Talma a légué à la biliothèque Mazarine toute la correspondance de son, mari, à la condition qu'elle ne soit rendu* publique qu'en- iflQO. Cette correspondance vient de paraître en son intégrité. Elle comprend un échange de lettres des plus curieuses entre le grand tragédien et Mme de Staël.

L'ennemie de Napoléon avait pour Talma une admiration « presque amoureuse », nous dit le commentateur de ce volume, et les lettres qu'elle lui adresse se font bien l'écho de ce sentiment.

Voici ce qu'elle lui écrit le 4 juillet 1809 '« .Pardonnez-moi de vous écrire quand je vous attends ce matin à une heure, et ce soir à" huit heures mais si les convenances sociales ne devaient pas tout arrêter, je ne sais pas, hier, si je ne me serais pas fait gloire d'aller moi-même vous donner cette couronne qui est due à un tel talent plus qu'à tout autre, car ce n'est pas un acteur que vous êtes, c'est un homme qui élève la nature humaine en nous en donnant une idée nouvelle. Adieu, à une heure. Ne me répondez pas, mais aimezmoi pour mon admiration. » v

<* Pour fêter le 30* anniversaire de la Revue des Poètes, fondée par Ernest Prévost, dirigée par Eugène de Ribier, la société « les Amis de la Revue des Poètes » organise un diner, suivi d'une soirée littéraire, qui aura lieu, sous la présidence de Charles Le Goffic, le mercredi 16 mai, à 7 lu *i0,- au restaurant des Sociétés savantes, 8, rue Danton. Adhésions, avant le 10 mai, à Mlle Suzanne Hamel,, 23, rue Boissy-d'Anglas. J*. Lundi 14 mai, à neuf heures du soir, à la Librairie des Humanités contemporaines, 27, rue du Sommerard, Mme Camille Bruno fera une causerie « Pourquoi j'écris », avec lecture de poèmes de son livre, Tambours voilés, par M. Jean Royère.

Les poètes et les critiques sont invités à prendre part à l'échange de vues qui suiva et à dire les uns, pourquoi ils écrivent les autres, si l'on a raison d'écrire. •* Le sultan Mahmoud II était-i! fils d'une Française Mlle Aimée du Bue de Rivery? La question qui avait déjà été posée par M. B. Morton est étudiée à nouveau dans une curieuse brochure de M. Jean Minassian, auteur arménien de culture française. D'autre part, des descendants Oiii ligne collatérale de Mlle Ai- mée du Bue s'emploient k déchiffrer cette énigme, que les circonstances de la mort

phénomène idéologique. L'histoire ancienne de l'humanité nous montre des puissances diverses, empires, églises, et qui s'expriment par des lois, par des dogmes. Dans l'histoire de l'humanité- nouvelle, une puissance nouvelle intervient,, qu'on a vite devinée et qu'on s'est contenté d'appeler, du terme le plus vague, « la puissance de l'opinion »; Qu'est-ce qu'une idéologie ? Comment se forme-t-elle ? Comment' va-t-elle, jusque dans la foule ignorante, organiser, soulever les passions ? Taine a discerné ces problèmes. Tous ceux qui, depuis un siècle, les ont repris; ont été ses disciples.

Il ne paraît point, hélas avoir entrevu que sa pensée dût avoir cette force de rayonnement, cette puissance de féconde transformation. Dans les émouvants souvenirs, que M. G. Saint-René Taillandier achève de donner sur lui à la Revue des Deux Mondes, on le voit envahi de tristesse au cours de ses dernières années en le rejoignant sur les bords du lac d'Annecy, pendant l'été de 1891 son dernier été ses parents et ses intimes le trouvèrent las et assombri il travaillait, alors, au dernier tome des Origines

Mais la masse à soulever restait lourde, et, chaque été, s'a!longeait la période où la fatigue l'obligeait à déposer la plume. Il m'avait écrit l'automne précédent « J'»i bien du mal à reprendre mon travail la mise en train devient plus douloureuse d'année en année s> et encore « Vous devinez juste en jugeant que mon. livre m'attriste à quoi bon mon diagnos'tic, même si je parviens à l'achever et à le rédiger ? A rien au point de vue pratique. Reste le point de vue scientifique. A ce point de vue, le chapitre II du deuxième livre peut avoir quelque intérêt. Il me semble que j'ai dégagé une loi précise. » Dans ces lignes, et dans nombre d'autres que les éditeurs de sa correspondance ont recueillies, perçait un doute propre à ronger le cœur d'un homme qui aimait la vérité scientifique non seulement pour elle-même, mais aussi comme la grande maîtresse de la vie. Se pourrait-il que, passé un certain point, l'effort de l'homme pour savoir et comprendre fût puni au lieu d'être récompensé. Serait-ce la forme moderne de la vieille prohibition qui çqnUiuierpit ,de, p.esciv sur l'arbre de lit' science '? Tairic se surprenait à se demander si, au fond, la vérité scientifique n'était pus malsaine pour l'homme, du moins pour la grande majorité dos hommes, et s'il ne conviendrait pas de ne l'écrire que dans une langue d'un difficile accès. II mourut sans avoir pu mettre définitivement au point ses chapitres sur la famille dans la société moderne auxquels justement il attachait tant de prix. car il pensait que la restauration de la société n'allait point sans une restauration préalable de la famille, cellule initiale oii s'allume la double flamme de la vie et du foyer.

Maurice Levaillaitt.

de Mlle Aimée du Bue, d'une part, et, de l'autre, le secret rigoureux dont les. affaires turques ont toujours été enveloppées, rendent particulièrement obscure. a. Tout le monde connaît le sonnet de Leconle de Lisle, Le Colibri, qui a inspiré au musicien Ernest Chausson une exquise mélodie. En voici le texte tel qu'il a partt'dans les Poèmes barbares j."n! a Le vert colibri, le roi des collines,

V'oyimU -la ̃rasée il 'le soleil clair '<ïi |.|,

Luire dans son nid tissé d'herbes fines,] \(z\,l\\ Comme un frais rayon s'échappe dans! l'air.' Il se hâte et vole aux sources voisines

les bambous font le bruit de la mer, l'iikoca rouge aux odeurs divines

S'ouvre et porte au cœur un humide éclair. Vers la fleur dorée il descend, se pose,

Et boit tant d'amour dans la coupe rose, Qu'il meurt, ne sacltant s'il l'a pu tarir. Sur la lèvre pure, à ma bien-aimée, Telle ainsi mon âme eût voulu mourir .r '̃̃̃•.

Dit premier baiser qui l'a parfumée!

Or, M. Edouard Beaufils nous signale que celui qui devait devenir un grand poète a publié, lorsqu'il était étudiant à Rennes, dans un petit journal de ce pays, Le Foyer, une pièce de vers de forme un peu gauche mais d'un sentiment délicat, intitulée également Le Colibri, où l'on voit que les images qui donneront naissance au beau sonnet le hantaient déjà Le colibri, diamant du feuillage

Ainsi que toi chante, étincelle et dort Ta rose aimée où: l'aube a son mirage, Ainsi que toi pleure des larmes d'or.

Mais comme lui ne sois pas un prestige, Un doux éclair qui vient, s'envole et meurt. Comme elle aussi, lie quitte pas ta tige" frêle çme écliise aux.,lM)re)s, du Seigneur1. J^ Quand le bâtiment vq^. Dans ce livre,, ^M. Léonard Rosenthal fait un plaisant résumé de la vie élégante de. Paris au siècle dernier et fait voir quelle irrésistible poussée entraîne vers l'ouest le développement de la capitale.

Il évoque, en des pages spirituelle,s la vie des gens de lettres au. Café Anglais, à la Maison Dorée, chez Tortoni, au Napolitain et chez Pousset enfin, ces deux derniers refuges de la vie boulevardière. Il cite ce mot de Scholl un jour de mélancolie « Il n'en reste qu'un de la « bande » d'autrefois, c'est le prince de Galles. Mais il a mal tourné il est devenu roi » Jt On annonce la réédition prochaine de deux oeuvres de Richard Lesclide La Femme impossible et Voyage autour de ma maîtresse.

D'autre part, la veuve de l'écrivain met actuellement au point un Victor Hugo inconnu, anecdotique et familier, composé avec les souvenirs de son mari qui fut, on le sait, secrétaire du poète, à Guernesey. COMMEMORATIONS

̃£ Octave Gréard était né à Vire le 18 avril 1828. Son centenaire a passé presque inaperçu. Un hommage est pourtant dû à cet homme de bien, qui joignit les qualités du cœur à celles de l'esprit. Parfait écrivain, il eût pu faire, dans les lettres, une, brillante carrière, mais il consacra -toute son activité à la réorganisation de notre enseignement. Ecoles normales, écoles pédagogiques, écoles primaires furent rénovées par ses soins et portent encore la forte empreinte de son esprit clairvoyant, de sa tenace volonté. L'Institut devait, d'ailleurs, rendre justice à ses mérites en 1875, il fut élu membres de l'Académie des sciences morales et politiques et, en 1886, l'Académie française le désignait pour prendre la succession du comte de Falloux.

•£ C'est dans une semaine, exactement le 20 mai,'que tombe le quarantième anniversaire de la mort de Charles Monselet. Nous sommes lieureux, à cette occasion, de signaler l'étude complète et vivante que vient de publier M. P. Desfeuilles sur l'auteur de la Lorgnette littéraire.

L'auteur, qui ne néglige aucun des aspects de son modèle, étudie Monselot en tant que critique et que fervent du dix-

huitième' sièc-le. Il évoque ses rapports avec les romantiques ses contemporains, poètes et romanciers, avec les journalistes et les fantaisistes de son temps, dont il fut l'ami, et qu'il charma par son esprit. On sait qu'à ses débuts dans. les. lettres, la poésie avait attiré Monselet. Mais il y renonça vite, et il ajouta à ses. premiers essais, cette sorte de De profundis Ma verve fut .vite étouffée

Sous le journal, rude fardeau

La servante chassa 'la fée ̃ ̃

L'article tua le rondeau.

PETITES NOUVELLES

J* La revue littéraire Le Rouge et le Noir, qui entre dans sa deuxième année," publie un important cahier consacre à Marcel Proust.

On y trouve des lettres inédites adres-- sées par.,Proust à Robert de Montesquieu, et de pénétrantes études signées Daniel Rops,, André Berge, Ernest Robert, Cur-, tius, Ed. Epstein, etc.

Chez Aurel, jeudiiigoir"17 mai^M- Maurice Vilmotte, de l'Académie de Belgique, parlera du poète Fernand Séverin, et Mme Christiane Fournier fera une causerie. < Le Cercle de la librairie vient de publier, sous le titre les Livres de l'année 1927, cinq fascicules formant la bibliographie complète de tous les ouvrages, parus en 1927..

Les Alguazils.

^»^ «

La Maîtresse Noire Roman par Louis-Charles ROYER

--»~

M. Louis-Charles Royer, qui fut notre collaborateur, avant de courir le monde pour le Petit Parisien, a rapporté d'Afrique Centrale un roman audacieux, La Maitresse Noire, que vont publier les Editions de France, et dont nous donnons ci-dessous quelques bonnes feuilles, relatant l'arrivée du héros du livre, Robert de Coussan, à Dakar .̃̃ Le neuvième jour de la traversée, le Platu se rapprocha de la Côte d'Afrique. D'abord un rocher sec et noir i'îlot des Serpents. Puis une île riante et peuplée Corée. Derrière une haute falaise rouge, hérissée de maisons blanches, Dakar. Le paquebot accoste: Une ruée de noirs monte à l'assaut, du bàtinient ce sont les porteurs qui se disputent, à coups (le poing, l'honneur et le profit de porter les bagages.

« En cinq minutes, écrivait Robert (le Coussan à son amie, je me trouve à la tète d'une escouade de cinq nègres qui se sont emparés de mes colis les plus infimes. Un grand diable de deux mètres balance mon kodak entre ses mains énormes. 11 n'est pas trop chargé. Je me demande si un sixième porteur ne viendra pis s'emparer de mon fume-cigarette. Suivi de ma fidèle escorte, je monte vers la ville.

» Sur ce sable si rouge qu'il semble avoir bu le sang versé pour sa conquête, les hommes ont bâti hâtivement, fiévreusement. Et la fièvre, ici, n'est plus une image. » Cette grande cité rose et blanche, c'est la Cosmopolis des noirs cent tribus parmi lesquelles, je vais vivre et dont j'ignore les noms, qui ont toutes une langue et des mœurs différentes. Je croise des nègres de toutes les couleurs, depuis le cirage jusqu'au bronze clair, beaux hommes pour la plupart, grands, larges d'épaules et minces de hanches; pas un n'est voûté, pas un n'est obèse.

» Je parle des mâles, car il y a des négresses qui sont énormes. Il paraît, Vonvon, que cet engraissement est volontaire: les femmes ouoloves et touareg mettent "autant d'obstination grossir que. les Pari'siennes' rester svè'ltes'.vl!s> ] •'̃<̃"• ;< Robert dq';C,0Hss'àrt'ié(ïHyàit ceci à la terrasse d'un café. A l'intérieur, on dansait. Public exclusivement européen ja^zband, Champagne, fleurs sur les nappes. L'orchestre jouait l'aleiicia.

Louis-Charles Royer.

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DES « FRERES DE LA COSTE »

Je signalerai un ouvrage passionnant que M.

Maurice Besson a consacré aux- « Frères de In (:oste », et dans lequel il a étudié boucaniers, flibustiers et corsaires. Une illustration abondante empruntée aux estampes de l'époque ajoute à l'intérêt de ce texte vivant et bien écrit. Raymond Geiger (Conurdla. 1t avril 1928).

.Admirable point de départ, ajouterons-nous, pour l'imagination, et recueil qui n'eût pas manqué de ravir un Marcel Schwol), qui a certainement ravi, en tout cas, Pierre Muc-Orlan. Les Treize (l'Intransigeant 1 1 avril 1928). i DES « VOYAGES EN VIRGINIE ». La collection de Th. de Bry est devenue rarissime. Elle méritait de survivre et surtout d'être offerte en édition française pour ses mérites particuliers. Ces estampes sont d'une -très grande beauté, elles seules permettent de reconstituer les diverses formes d'une civilisation rudinientaire. Emile Magne (Mercure, de Finance, 15 avril 1928). Ces récits veridiques de voyages en Amérique au seizième siècle sont édites avec un soin infini et une grande magnificence. Une "typographie excellente et quantités, de planches gravées de l'époque, en font un document remarquable et un ornement rare pour une bibliothèque. Gus Bofa (Le Crapottillot, lsr février 1928).

Une édition qui est un,(> merveille de goût.lîeu de: livres dits de luxe atteignent; à unesaussl parfaite réussite. Michel Vauçaire.

.Splendide volume magnifiquement illustré. On sort surpris et ravi de la lecture d'un pareil livre passionnant comme un roman bien fait, mais un roman véridique, instructif et surprenant d'ingéniosité et du style le plus bref, direct, étonnamment visuel. Marins Boisson (C.omœdia, 28 février 1928). Le texte vaut les illustrations, Les explorateurs qu'ils parlent de la flore, de la faune ou des on des mœurs restent toujours aussi évocateurs. Raymond Cogniat. (CJiantecler. 25 février 1928). .il y eut au seizième siècle des relations de voyages à tendances réalistes. Celles-ci sont magnifiquement rééditées. On les lit comme si elles venaient de paraître. –r « Les Treize » (VlntrunsiHeunt. ]"» avril 1928).

DE « NAPOLEON ».

.e! le magnifique Xapoléon tire du Médecin de Campagne, de Balzac, ingénieusement imagé d'estampes populaires de l'époque, sont les albums les plus artistiques, peut-être, de l'année. André Gavoty (Revue des Deux Mondes, 15 décembre 1927). '). Un beau livre qui intéressera les pères autant que les fils. 11 y a là une soixantaine d'illustrations, combats, batailles navales, portraits. qui font de cet album d'une présentation irréprochable un régal <les yeux. Marius Boisson (Comccâla, 13 décembre 1927).

Le texte est vif et truculent. C'est une page de folklore destinée aux enfants et fait pour leur plaire. Mais nous pouvons y prendre un plaisir assez aigu pour que l'ouvrage nous semble mériter l'attention des grandes personnes bibliophiles. Florent Fels (l'Art Vivant, 15 janvier 1928). On a ainsi le type du qui frappe agréablement les jeunes imaginations et une excellente suite d'illlustrations s'adaptant à merveille au récit de Goguelat, le vieux soldat, de nature à plaire aux plus fervents balzaciens. « Les Treize » ÇL'Intransif/eant, 15 avril 1928).

Les éditeurs ont eu une bonne idée. Ils se sont adressés à Balzac et à Pellerin d'Epinal, l'imagier balzacien des foires. Ils ont mélangé leurs œuvres une page du romancier, une page de l'imagier. Ils ont formé du texte et du prétexte, un ensemble si parfait qu'on ne peut pas plus séparer l'image de la phrase que le liseron du blé mûr. .lean-Jacques Brousson (Nouvelles Littéraires, 11 avril 1928). DE L'IMAGERIE ORLEANAISE ». « Une des pièces capitales de l'inventaire général de l'art populaire français. »

II. est difficile de ne pas souscrire à ce jugement après la publication de ce livre, à tous les points de vue remarquable. « Les Treize » (l'Intransigeant, 14, avril 1928).

Prière demander catalogue général illustré Art. Arls décoratifs, Théâires, etc., etc. Sole importante. Quel que soit le sujet traité, l'illustration est sélectionnée au point de vue artistique en même temps que documentaire.

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H. le MARQUaND. L'héritage électoral d'Alfred Martin.

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