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Titre : Oeuvres complètes de Gustave Flaubert ; 13-16. Correspondance. [4]. 1871-1877 / de Gustave Flaubert

Auteur : Flaubert, Gustave (1821-1880). Auteur du texte

Éditeur : Club de l'honnête homme (Paris)

Date d'édition : 1974-1976

Contributeur : Société des études littéraires françaises. Éditeur scientifique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34294076b

Relation : Titre d'ensemble : Oeuvres complètes de Gustave Flaubert

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34566560q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 4 vol. : ill. ; 22 cm

Description : Collection : Club de l'honnête homme

Description : Collection numérique : Bibliothèque numérique de Rouen

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k26958m

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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pays ? J'aurais tant de plaisir à vous voir souvent 1 et à renouer la chaîne du vieux temps, qui n'a jamais été brisée d'ailleurs.

Il me semble que nous avons bien des choses à nous conter dans le « silence du cabinet », ma chère Gertrude

Une question pourquoi paraissez-vous étonnée de ce que j'aie pu faire un conte intitulé Un cœur simple ? Votre ébahissement m'intrigue. Douteriezvous de mes facultés de tendresse ? Vous n'avez pas ce droit-là, vous 1 Je cause souvent de vous avec Caroline. Mille bénédictions sur votre maison. Je vous serre et baise les deux mains.

i. Hamilton Aidé, cf. lettres 709, 717 et suiv.

2902. À MADAME ROGER DES GENETTES 1.

[Paris, février 1877.]

[Ma nièce] vous dépasse dans la répulsion que lui cause L'Assommoir; son dégoût ressemble à de la fureur et la rend parfaitement injuste. Il serait fâcheux de faire beaucoup de livres comme celui-là; mais il y a des parties superbes, une narration qui a de grandes allures et des véritér incontestables. C'est trop long dans la même gamme, mais Zola est un gaillard d'une jolie force et vous verrez le succès qu'il aura.

Le Père Didon m'a donné hier de vos nouvelles et je me suis senti jaloux. Quel malheur qu'il soit moine, et que j'aie des préventions invétérées 1 Je ne crois jamais à l'esprit libéral des corporations elles obéissent à un mot d'ordre et je déteste autant messieurs les militaires que messieurs les ecclésiastiques. Je froisse vos sentiments, mais tant pis; si on ne se froissait jamais, on ne s'aimerait guère. Moi j'ai des brutalités de gendarme et des sensibilités d'Almanzor Almanzor est moins connu.

Allons, une bonne poignée de main avant que vous n'ayez le petit frémissement de la lèvre qui annonce que vous êtes très en colère. Malgré tout, écrivez-moi très longuement. Quand je reçois vos lettres, je les tâte, avant de les ouvrir, avec une sorte d'angoisse, tant j'ai peur qu'elles ne soient trop courtes.

i. D'après une copie de Mme Roger des Genettes

2903. À GEORGES CHARPENTIER.

[Paris, février

Mon bon,

C'est pour lundi prochain que vous êtes convié au dîner des sifflés (dont Daudet est maintenant indigne) 1.

On se réunit chez moi à quatre heures précises afin d'ouïr préalablement Un cœur rimple. Il va sans dire que la plus jolie moitié de vous-même ornera de sa présence cette petite lecture de famille.

Tout à vous.