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Titre : Oeuvres complètes de Gustave Flaubert ; 13-16. Correspondance. [4]. 1871-1877 / de Gustave Flaubert

Auteur : Flaubert, Gustave (1821-1880). Auteur du texte

Éditeur : Club de l'honnête homme (Paris)

Date d'édition : 1974-1976

Contributeur : Société des études littéraires françaises. Éditeur scientifique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34294076b

Relation : Titre d'ensemble : Oeuvres complètes de Gustave Flaubert

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34566560q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 4 vol. : ill. ; 22 cm

Description : Collection : Club de l'honnête homme

Description : Collection numérique : Bibliothèque numérique de Rouen

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k26958m

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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Expédie-moi le manuscrit promptement. Perrin, sans doute, voudra le lire et qui sait ?

C'est en partie à d'Osmoy que l'Odéon doit sa subvention. Duquesnel l'a dit à Ramelli. Ainsi cela nous donne une espèce de droit là-bas à être mieux traités.

Sais-tu qu'un enfant de d'Osmoy est très malade ? Il m'a écrit à Croisset, en ajoutant qu'il faisait venir Axenfeld e à Évreux.

J'ai été chez Axenfeld pour savoir ce qui en était, mais je ne l'ai pas trouvé.

Je t'embrasse.

Ton vieux fidèle.

8 heures

Perrin m'envoie un larbin m'apportant une lettre qui me donne rendezvous pour jeudi à quatre heures. Cet excès de politesse me paraît de bon augure. Donc dépêche-toi de m'expédier le manuscrit.

i. La Baronne écrite en collaboration avec Édouard Foussier. 2. Les Créanciers du bonheur. 3. En réalité Porel, cf. plus bas lettre à Philippe Leparfait sous le nO 2o36. 4. La Conjuration d'Amboise, de Louis Bouilhet, qui avait été jouée en 1865. 5. Administrateur du Théâtre-Français. 6. C'était un ami de jeunesse de Flaubert au temps de ses études de droit au Quartier latin. Cf. papiers de René Descharmes, BN, ms. 23825.

2o3o. À SA NIÈCE CAROLINE. LOV

[Paris], mercredi; 10 heures, [ri octobre 1871].

Mon Loulou,

J'ai reçu ce matin une assez bonne lettre de ta grand-mère, qui sera près de toi quand tu recevras celle-ci. Donc embrasse-la de ma part, en lui recommandant d'être bien sage.

Les affaires d'Aïssé sont en bonne voie mais je me donne bien du mal je n'ai eu hier que huit heures de voiture Si j'entrais dans les explications, je n'en finirais plus. Je me suis couché à dix heures, tant je tombais sur les bottes 1 Il m'est impossible de savoir quel jour je reviendrai. Ce ne sera pas, je crois, au-delà de mardi ?

Ce soir, je dîne chez le père Cloquet. Adieu, pauvre chérie. Réponds-moi un peu longuement et donne-moi des nouvelles de notre vieille.

Ton chanoine de Séville qui t'aime à peu près autant que sa cathédrale. Monsieur a retrouvé le sommeil Du reste, tu n'imagines pas le calme de mon logis. Croisset est un endroit fort bruyant, en comparaison d'icelui.

2031. À PHILIPPE LEPARFAIT.

[Paris], jeudi matin [octobre 1871].

J'ai vu hier au soir Claye 1. Il ne comprend pas que Lévy ne l'ait point averti de notre billet. Envoie-moi donc la copie dudit billet autant que tu peux te le rappeler. Claye l'attend.