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Titre : Oeuvres complètes de Gustave Flaubert ; 13-16. Correspondance. [4]. 1871-1877 / de Gustave Flaubert

Auteur : Flaubert, Gustave (1821-1880). Auteur du texte

Éditeur : Club de l'honnête homme (Paris)

Date d'édition : 1974-1976

Contributeur : Société des études littéraires françaises. Éditeur scientifique

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34294076b

Relation : Titre d'ensemble : Oeuvres complètes de Gustave Flaubert

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34566560q

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 4 vol. : ill. ; 22 cm

Description : Collection : Club de l'honnête homme

Description : Collection numérique : Bibliothèque numérique de Rouen

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k26958m

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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2728. À EDMOND DE GONCOURT. BN

Inédite

Dimanche, 6 heures du soir, [biver I875-I876].

Oui, cher ami 1 Demain à sept heures chez Adolphe. On s'empiffrera et on parlera littérature.

Tout à vous.

2729. À EDMOND DE GONCOURT. BN

Inédite

Dimanche, 6 heurer, (hiver I875-I876].

Mon bon,

Daudet m'a écrit qu'il avait la grippe et ne pourrait se rendre demain à notre agape.

Zola et moi, nous pensons qu'il faut remettre la chose à l'autre lundi. Tourgueneff est prévenu.

Pourquoi ne vous a-t-on pas vu aujourd'hui ?

Tout à vous.

2730. À GEORGE SAND. LOV

[Croisset], dimanche soir [6 février I876].

Vous devez, chère maître, me traiter intérieurement de « sacré cochon », car je n'ai pas répondu à votre dernière lettre, et je ne vous ai rien dit de vos deux volumes, sans compter que, ce matin, j'en reçois de vous un troisième. Mais j'ai été depuis quinze jours entièrement pris par mon petit conte qui sera fini bientôt. J'ai eu plusieurs courses à faire, différentes lectures à expédier et, chose plus sérieuse que tout cela, la santé de ma pauvre nièce m'inquiète extrêmement, et par moments me trouble tellement la cervelle que je ne sais plus ce que je fais. Vous voyez que j'en avale de rudes 1 Cette jeune femme est anémique au dernier point. Elle dépérit. Elle a été obligée de quitter la peinture qui est sa seule distraction. Tous les fortifiants ordinaires n'y font rien. Depuis trois jours, par les ordres d'un autre médecin qui me semble plus docte que les autres, elle s'est mise à l'hydrothérapie. Réussira-t-il à la faire digérer et dormir ? à fortifier tout son être ? Votre pauvre Cruchard s'amuse de moins en moins dans l'existence et il en a même trop, infiniment trop. Parlons de vos livres, ça vaut mieux.

Ils m'ont amusé, et la preuve c'est que j'ai avalé d'un trait et l'un après l'autre Flamarande et Les Deux Frères. Quelle charmante femme que Mme de Flamarande et quel bon homme que M. de Salcède Le récit du rapt de l'enfant, la course en voiture et l'histoire de Zamora sont des endroits parfaits. Partout l'intérêt est soutenu et en même temps progressant. Enfin, ce qui me frappe dans ces deux romans (comme dans tout ce qui est de vous, d'ailleurs), c'est l'ordre naturel des idées, le talent ou plutôt le génie narratif. Mais quel abominable coco que votre sieur Flamarande Quant au domestique qui conte