Rappel de votre demande:


Format de téléchargement: : Texte

Vues 179 à 179 sur 432

Nombre de pages: 1

Notice complète:

Titre : Oeuvres de Lagrange. T. 13 / publiées par les soins de M. J.-A. Serret [et G. Darboux] ; [précédé d'une notice sur la vie et les ouvrages de J.-L. Lagrange, par M. Delambre]

Auteur : Lagrange, Joseph-Louis (1736-1813). Auteur du texte

Éditeur : Gauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1867-1892

Contributeur : Serret, Joseph-Alfred (1819-1885). Éditeur scientifique

Contributeur : Darboux, Gaston (1842-1917). Éditeur scientifique

Contributeur : Delambre, Jean-Baptiste (1749-1822). Préfacier

Contributeur : Lalanne, Ludovic (1815-1898). Éditeur scientifique

Sujet : Équations algébriques

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30719104m

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 14 vol. : fig., portr., pl. et fac-sim. ; 28 cm

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k229948j

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-15599 (BIS)

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 100%.


à confirmer ce que j'ai avancé, qu'il ne faut pas comparer l'aberration des télescopes avec celle des lunettes ordinaires, parce que les résultats ne s'accorderaient point.

Je vous adresse cette Lettre par la poste, afin que vous soyez plus tôt instruit de ce qui concerne le prix. Je ne vous en dirai pas davantage quant à présent, étant abattu de tristesse de l'état où je suis. Portez-vous mieux que moi, et souvenez-vous quelquefois d'un ami qui vous chérit autant qu'il vous estime.

P.-S. Vous recevrez dans peu trois exemplaires de mon Traité des fluides, un pour vous, un pour M. Lambert et le troisième pour l'Académie.

A Monsieur de la Grange, directeur de la Classe mathématique

de l',Icadét2,iie royale des Sciences dé Pru.sse,

81.

LAGRANGE A D'ALEMBERT.

A Berlin, ce 17 juin 1770.

Pardonnez-moi, mon cher et illustre ami, si je n'ai pas répondu plus tôt à votre dernière Lettre; j'ai eu une espèce de fièvre chaude qui m'a duré plusieurs jours et qui, par l'abattement où elle me mit d'abord, me donnait lieu de craindre que ce ne fût une fièvre maligne; mais, Dieu merci, j'en ai été quitte à assez bon marché, et je me porte actuellement très-bien. L'arrangement que vous avez pris par rapport au prix me paraît excellent je suis très-aise que M. Euler ait été au moins en partie récompensé de son travail et de sa bonne volonté. Il est vrai qu'il y a eu un peu de fanfaronnade dans la démarche qu'il a faite d'écrire des lettres-circulaires à toutes les Académies pour leur annon-