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Titre : Oeuvres de Lagrange. T. 8 / publiées par les soins de M. J.-A. Serret [et G. Darboux] ; [précédé d'une notice sur la vie et les ouvrages de J.-L. Lagrange, par M. Delambre]

Auteur : Lagrange, Joseph-Louis (1736-1813). Auteur du texte

Éditeur : Gauthier-Villars (Paris)

Date d'édition : 1867-1892

Contributeur : Serret, Joseph-Alfred (1819-1885). Éditeur scientifique

Contributeur : Darboux, Gaston (1842-1917). Éditeur scientifique

Contributeur : Delambre, Jean-Baptiste (1749-1822). Préfacier

Contributeur : Lalanne, Ludovic (1815-1898). Éditeur scientifique

Sujet : Équations algébriques

Notice d'ensemble : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb30719104m

Type : monographie imprimée

Langue : français

Format : 14 vol. : fig., portr., pl. et fac-sim. ; 28 cm

Description : Appartient à l’ensemble documentaire : GTextes1

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k229943n

Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, V-15596

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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mée (b), en mettant, dans les formules Précédentes, q à la place de p, A", B", C" à la place de A', B', C', et A', B', C', à la place de A, B, C, et ainsi de suite.

De là il est évident que le premier coefficient A', ou A", ne sera jamais nul, à moins que le nombre p, ou q, ne soit une racine exacte, auquel cas nous avons vu que la fraction continue se termine à ce nombre (n° 18). En effet, si A'= o, ou A"= o, on aura y = ∞ ou z = ∞; donc x = p, ou y = q,

22. Soient donc p, q, r, s, t, les valeurs entières approchées des racines des équations (α), (b), (c), en sorte que l'on ait

Ainsi la valeur de x, c'est-à-dire de la racine cherchée, sera exprimée par une fraction continue. Or on sait que ces sortes de fractions donnent toujours l'expression la plus simple, et en même temps la plus exacte qu'il est .possible, d'un nombre quelconque, -rationnel ou irrationnel.

Huyghens paraît être le premier qui ait remarqué cette propriété des fractions continuels, et qui en ait fait usage pour trouver les fractions les plus simples et en même temps les plus approchantes d'une fraction quelconque donnée. (Voir son Traité De Automato planetario. )

Plusieurs habiles géomètres ont ensuite développé davantage cette théorie et en ont fait différentes applications ingénieuses et utiles; mais on n'avait pas.encore pensé, ce me semble, à s'en servir dans la résolution des équations.