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Titre : Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis / [Société des Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis]
Auteur : Société des archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis. Auteur du texte
Éditeur : Mme Z. Mortreuil (Saintes)
Éditeur : H. Champion (Paris)
Éditeur : A. PicardA. Picard (Paris)
Éditeur : Société des Archives historiques de la Saintonge et de l'AunisSociété des Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis (Saintes)
Date d'édition : 1874
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32701443g
Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb32701443g/date
Type : texte
Type : publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 23398
Description : 1874
Description : 1874 (1).
Description : Collection numérique : Fonds régional : Poitou-Charentes
Description : Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte
Droits : Consultable en ligne
Droits : Public domain
Identifiant : ark:/12148/bpt6k213950z
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/10/2007
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faubourg de Taillebourg de la ville à l'uré de la rivière. Est aussi à remarquer que mondit s~ le Prince gourmanda fort le sr de Chantemerle à Bordeaux, et lui dit qu'il s'étonnait comment il avait osé entreprendre ladite députation, lui qui avait encore le front chargé de honte pour avoir tenu la campagne auxdits mouvements derniers contre le service du Roi.
Aussi faut remarquer :ce qui a été ci-dessus omis, que le s'de Rohan avec autres de sa cabale, pour parvenir plus aisément à leur but de rétablissement de M. du Parc en sa charge, prirent des moines de l'abbaye de la ville et autres moines d'icelle, une attestation signée desdits moines, contenant que le sr du Parc ne les avait jamais troublés ni méfaits en leurs personnes ou en l'éguse de ladite religion, au contraire les avait maintenus. Et pour porter ladite attestation à'Bordeaux, députèrent l'aumonier de l'abbaye, lequel fut gourmandé par le cardinal de Retz étant à Bordeaux, qui lui dit « ~o~ /?'o'e, ces affaires ne son< ~ot'< de votre métier, vous xe~e.3 mieux en votre cloître à dire vos offices. »
Le septembre 1620, tous les députés retournèrent à Saint-Jean et furent ouïs en public au Corps de ville, en présence des pairs, présidant le s~ de Lamont, où tout le peuple fut assemblé au son du tocsin, et rapportèrent la plupart ce que dessus avec l'état authentique que S. M. remettait les affaires de la ville à expédier à Paris, à la fin du mois de novembre suivant.
Item que sans ladite seconde députation desdits Texier et Chantemerle les affaires de la ville eussent infailliblement été favorablement expédiées de Bordeaux. Comme aussi fut lue la lettre écrite par M. de Pontchar train au s~ de Lamont, <. Mot encore en usage dans la campagne pour désigner une limite, du latin ora., bord. « Jusques à i'eurëe d'un bois, o dit d'Aubigné.
2. Henri de Gondi, cardinal de Retz.