Qui, elle est ici, amendant de vous. son pardon. Son pardon! s'écria madame Malabry, son pardon ~h! je ne pensais plus qu'eue avait étécoupapte. ~h' si e)le yeut m'aimer un peu, c'est tout ce que je lui depiande. Quelques larmes, mais paisiMcs,' cpulerent de -ses yeux, puis elle se ressouvint tout à coup et me dit
Mais elle n'est pas seule?
Elle est seule. '.raltio!
–Abandonnée pt. rallie'
Malgré ma crainte que cette nouvelle ne portât un coup trop sensible à madame Malabry, je m'étais décidé à la lu; apprendre ainsi brusquement, persuadé que je ta ferais moins soutirir qu'en l'entourant de ménagements inutiles. Mais, au Heu de l'explosion de douleur à laquelle je m'attendes, je n'entendis qu'une faible et sourde exclamation; mais madame Malabry reprit en levant les yeux au ciel C'est une volonté inexorable de Dieu qui a frappé notre famille. Vous m'eussiez bien étonnée de m'apprendre qu'elle était heureuse.
En parlant ainsi, madame Malabry ayai~, la parole lente e( calme: elle reprit du même ton
La faute des mères retombe sur les enfants, monsieur i mes filles ont payé la mienne bien cher.
Ne voulez-vous pas voir Georgina ? lui dis-je. Madame Malabry rougit, et après un moment d'hésitation, elle me dit rapidement
Je n'ose pas.
Je ne pus comprendre ce sentiment d'une mère qui craint de paraître devant sa fille coupable; je supposai que madame Malabry avait appris l'indigne machination qui avait perdu Géorgina, et qu'elle éprquvait un tardif remords de n'avoir pas mieux protégé sa fille. Je n'osai ln~ parler de ces pén)Mes circonstances mais je vis que je m'étais trompé, car elle reprit aussitôt
Sans doute elle s'est perdue volontairement jna)s ce n'était pas une raison pour moi de perrnpttre à'M. Malabry de disposer de sa fortune. v
–Quoi! Un d~s-je, tout l'héritage dg Georgina. Dévoré, perdu. Par une de ces préoccupations pu de ces dis),raeMpns inçon-