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Pour la première fois de ma ~ië je compris qd'il ne faut pas toujours rire de ces mots de mélodranie qui nous amusaient tant autrefois, et qui trouvent souvent dans la vie de si cruelles applications.
Je rentrai chez madame Malabry elle était a genoux sur le parquet, la tête appuyée sur son lit.
En entendant ouvrir la porte, ellè se retourna et se leva, tout soh désespoir éclatait sut son visage.
Dû courage lui dis-je.
J'en demandais à Bien quand vous êtes entré, me ditelle. Je lui demandais le courage d'en nnir.
Eh bien que signifient de telles pensées quand vous avez retrouve un ami qui veut, qui peut Vous sauver'? C'est impossible, me dit-elle avec désespoir. Il faudrait d'abord vous séparer de votre mari. Et où voulez-vous que j'aille?
Mais vous serez encore mieux chez l'une de vos hlles que chez votre mari.
Chez l'une de mes filles reprit madame Malabry mais elles sont tout aussi malheureuses que moi'
Mais non pas si pauvres.
Madame Malabry hésita à me répondre, et finit par me dire d'une voix basse et brisée
Je ne sais pas.
Vous auraient-elles abandonnée?
Madame Malabry se tut encore.
Voyons, repris-je, dites-moi tonte là vérité. Je ne suis pas venu ici sans intention. J'y suis venu parce qu'une personne qui vous aime et qui vous est chère m'a envoyé près de vous, et celle-là ne vous abandonnera pas. Madame Malabry ouvrit de grands yeux; son regard plein d'anxiété, d'espoir, d'amour, sembla vou!oir pénétrer jusqu'à mon cœur, et tout à coup elle me dit à travers les sanglots qui la suffoquaient:
(jéorgina. Géorgina, n'est-ce pas?