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Titre : La Croix

Auteur : Groupe Bayard. Auteur du texte

Éditeur : La Croix (Paris)

Date d'édition : 1890-04-16

Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343631418

Notice du catalogue : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/cb343631418/date

Type : texte

Type : publication en série imprimée

Langue : français

Format : Nombre total de vues : 104176

Description : 16 avril 1890

Description : 1890/04/16 (Numéro 2110).

Description : Collection numérique : BIPFPIG33

Description : Collection numérique : BIPFPIG87

Description : Collection numérique : Arts de la marionnette

Droits : Consultable en ligne

Droits : Public domain

Identifiant : ark:/12148/bpt6k212358v

Source : Bibliothèque nationale de France

Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France

Date de mise en ligne : 15/10/2007

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archevêque de Besançon Iscmrd. évèque d"Anneey; Woodlok, évêque d'Arda~rh; Mar- chai, évoque do Sir.ope, auxiliaire de Bourse»; te Revérèmlissime T. Abbé ù> Notre-Dame 4'es'Dômlm. eliants r(4igi~u,~ sernnt~

De magnifiques chants religieux seront

«xêctUés', pandaulies offices dw tricluuro, par de puissante» inass?* chorales; jrarmi les teûvr»'» ainsi interprétées ilgur'J'iin oratorio spédâifltttier.tùunposé en l'honneur du Hienheureux martyr, par le R. P Garin, mariste. !,a cMl;»<'dra.(t. ornée et pavoisée, présentera un eo up d'<ell très-imposant. Les fêtes se eoaiiiiw?n>ut dans la ville par des sérénades ei ât.t illuminations.

Dimanche, à Limoges, à l'occasion de l'ouverture des pste»sions, .'es églises, et particulièrement la cathédrale Saint-Etienne, ont été remplies par ;)a foule. Les membres des cercles sont nliés professionnellement avec quatre bannières déployées, porter jusqu'au cercle Saint-Etienne, deux chasses contenant des reliques saintes. En tête du cortège venaient les quatre ban- nières. M. Baju, avocat, directeur du cercle Saint-Joseph, et M Georgeon, avocat, directeur du cercle d'Angouléme. Toutes les personnes sor- tant de la cathédrale se sont jointes à la proces- sion, quj a traversé une place et deux rues sans qu'un seul cri se fît entendre sui le parcours. Cet exemple montre ce que seraient les processions, qu'on refuse de parti pris, contre le gré. des populations entières, à laisser circuler librement.

LES CATHOLIQUES EN PRUSSE La Correspondance de statistique, organe officiel, constate que depuis 1867,en Prusse,la population catholique augmente beaucoup plus rapidement que la population protestante, parce que chez les catholiques le nombre des naissances est de beaucoup supérieur à celui des décès et que, d autre part, il y a une forte émigration de protestants. Le nombre des catholiques augmenterait encore plus rapidement s'ils ne perdaient pas les enfants issus de mariages mixtes. LES OISEAUX REVIENNENT Les hirondelles ont fait leur apparition. Elles sont rares encore, c'est l'avant-garde. Le gros de l'armée ne tardera pas.

Elles partent par grandes troupes aux premiers froids «f automne, dans la direction du sud-ouest. On ignore si elles nous reviennent par la même voie et dans les mêmes conditions. Elles voyagent de nuit. La veille jusqu'au soir il n'y en avait aucune; le lendemain matin elles évoluent par centaine autour de nous.

Elles hivernent dans les hauts plateaux de l'Afrique tropicale, dans le Sénégal, le Bournou, le Darfoiir, an pays des Madnisteseit dans l'Arabie. n ne parait pas qu'elles dépassent l'équateur. On en voit dans l'Afrique australe, à Madagascar, dans l'Inde, en Chine et en Australie, mais différentes des nôtres.

La plupart des oiseaux de nos forêts nous reTiennent en même temps que les hirondelles. lis paraissent venir eux aussi des profondeurs de l'Afrique, chassés par la saison des pluies qui commencent en ce moment.

Ils franchissent la Méditerranée, suivant plusieurs lignes principales, à l'est par les îles du Levant, au centre par l'Italie et les iles italiennes, à l'ouest par Jés Baléares et les côtes d'Espagne. I.'ile de Pantellaria est citée comme pomt de relâche pour les multitudes de ces migrateurs partie des rivages de la Tripolitaine.

Mais les navigateurs les rencontrent également ûans la pleine mer. entre Alger et Marseille, traversant la Méditerranée dans le sens de sa plus grande largeur. C'est merveille de voir les plus ijpetits, ceux qui dans nos champs ont le vol le Blus modeste la fauvette,le rossignol, le rouge«-orge. la queue-rousse, le troglodyte, le mésange ut tant de roitelets, aussi menus que le troglovyte, s'en aller par petits coups d'ailes sur la aaste étendue, rasant les vagues, sans succomber cet effort prodigieux de quinze à vingt heures. Souvent ils viennent se reposer, accablés de fatigue, sur les vergues des mâts. Il est moins surprenant que les oiseaux qui ont un puissant coup d'aile, comme les tourterelles, les étourneaux, les hirondelles, s'aventurent hardiment pur cette longue route de trois cents lieues sans station.

Mais on se demande sur la foi de quels traités !es merles, les grives, les loriots, la huppe, le geai, le pic et autres oiseaux moyens qui, dans nos bois, s'en vont d'un vol lourd d'un chêne à l'autre, s.embarquent pour une aussi longue et aussi périlleuse expédition. On peut à la rigueur s'imaginer les becs-fins, si petits et si légers, portés pour ainsi dire sur la buée des vagues. Les merles, les grives, les loriots ont l'épaule nerveuse-; mais ce qu'il est difficile de concevoir, c'est la traversée audacieuse accomplie par les railles et les râles dont l'aile courte ne leur permet pas un vol de plus de trois cents mètres dans flot campagnes.

De tous ces oiseaux, les uns font leurs déplacements par bandes, les autres isolément. Ils se réunissent et séjournent quelguefois plusieurs jours sur le littoral de la Tunisie et de l'Algérie, attendant un vent favorable. Il est constaté qu'ils vont toujours obliqnement contre le'vent. Les chasseurs de nos départements méridionaux savent parfaitement qu'il n'y a jamais passage par nn, vent d'est ou du sud.

Les cail3es, quand elles atterrissent de ce côté du golfe du Lion, sont tellement épuisées et iasses que fréquemment les paysans de l'Aude et de l'Hérault les prennent à la main dans les champs,, mais dans un état de maigreur extrême. (1 s'en tae des quantités contre les phares de Cette et contre les murs blancs des maisons,

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quand passage coïncide avec un beau clair de mue.

VARIA

LA MER RECULE

Quelle lAcheuse que cettfc Méditerranée que le président d-2 la 'république s'apprête à visiter! Sait-on que, depuis 1880. à ruqibouchure du Rhône, le continent s'est avancé de trois lieues dans la mer? Rosette et Uamiette, bâties sur la mer, il y a pré» de mille ans. en sont à deux lieues aujourd'hui. Venise voit chaque jour ses lagunes se combler et on peut. prévoir le temps où elle joindra la terre ferme. Uavenne. du vivant de Strabon, était comme Venise entourée par la mer. Aujourd'hui Ravenne en est à une lieue. La ville d'Adria. en Lombardie, autrefois port de l'Adriatique. à laquelle illo donna son nom, eu est à vingt-cinq kilomètres. Depuisl804, les rivages de la mor, à Vcmbouchure du Pô, se sont éloignés de douze kilomètres.

Un berger, 400 moutons et 19 vaches carhnuiHéo. Amiens. 14 avril. Un incendie a détruit, la nuit dernière, la ferme de Cambos, commune de Bores. Le berger a péri dans les flammes.

400 moutons et t9 vaches ont été entièrement carbonisés. Pertes évaluées à 80000 francs. Un missel. Un missel que la reine de Roumanie destine à une œuvre de bienfaisance est une véritable merveille. Chaque feuillet est fait d'ivoire et monté sur un onglet d'argent précieusement ciselé. La couverture, également en ivoire, est discrètement ornée d'argent, porte un titre et le chiffre de la Reine en diamants. Le texte, ainsi que les nombreuses et délicates enluminures qui l'accompagnent, est entièrement de la main de Sa Majesté, et le tout est enfermé dans un coffret d'ébène, d'un travail sans pareil. Ce missel unique a été acheté dix mille francs par le consul de Roumanie à Anvers.

Panique dans une ménagerie. La représentation de la ménagerie Wombrœll, à Arwmgton. a été brusquement interrompue avant-hier. Le dompteur nègre, Earnie, voulait faire monter un tigre sur le dos d'un cheval. Mais le cheval rua si'ort qu'il brisa la cage.

Le tigre se faufila à travers l'ouverture et essaya de monter sur les gradins, d'où le publie s'enfuit en poussant des cris épouvantables. Au bout de quelques minutes, les employés du cirque réussirent à faire rentrer le tigre dans une autre cage, avant qu'il eût pu Messer personne.

Bagarre sanglante. Hier sotr, un marchand de parapluies fut accosté, près de la porte d'Italie, par une bande d'individus (sortant d'un bal mal famé, dont l'un lui enleva un parapluie. Le marchand voulut reprendre son bien, mais, menace de coups de couteau, il dut s'enfuir. Deux agents, à la barrière, essayèrent d'arrêter le voleur. Une bagarre se produisit; upe foule de rôdeurs, accourus du marché de Bicêtre, entouraient les agents et leur prisonnier, en criant « A bas les sergots! n Un troisième agent vint prêter main-forte à ses collègues et. pour maintenir la foule, dégaina. Au cours d'une nouvelle bagarre, cet agent reçut un coup de couteau au poumon droit; il lui fallut se réfugier dans une pharmacie voisine; pendant ce temps, le voleur échappa dans la foule, mais on arrêta un de ses amis. Le gardien frappé est dans un état désespéré; un chauffeur au gaz. qui avait pris le parti des agents, a reçu un coup de couteau, heureusement peu grave.

Père denatnrë. M-icon, 15 avril. La semaine dernière, deux enfants de 8 et 9 ans, étaient trouvés noyés dans le canal Ji Centre, entre Montceau-les-Mines et Blanzy."La rumeur publique accusa le père des deux enfants, un ournalier nommé Debarnot. de les avoir jetés à l'eau or, il parait qu'ils s'étaient noyés volontairement à la suite de mtnaces que les gendarmes leur avaient faites, les accusant d'avoir volé quatre boites de sardines chez un épicier. Hier. Debarnot. qui avait disparu depuis quelques jours, revint subitement. Il assomma sa femme, nova son dernier enfant dans le canal, puis se blessa grièvement d'un coup de revolver dans la bouche.

L'ŒU V RE DES FLEURS M. Fulbert Dumonteil raconte dans la France qui n'est point habituée à publier des nouvelles aussi touchantes et anssi chrétiennes l'origine de l'œuvre des fleurs. Un soir de mai, trois jeunes flles entrent par hasard dans une pauvre éfrlise des environs de Paris. Quelques branches flétries dans un vase ébréché, cinq ou six narcisses penchant sur l'épaule de la Vierge leur tête décolorée. On eùt dit que le printemps faisait relâche on que la Mère de Jésus n'aimait plus les fleurs. Vite l~s trois amies vont frapper à la porte d'un jardinier voisin. Elles moissonnent ses parterres et déposent au pied de l'autel une brassée de fleurs qu'elles se promettent de renouveler chaque jour. Des enfants, d'autres amies s'associent à cette srrande mission, et l'œuvre des fleurs est fondée.

Son but est d'entretenir de fleurs les chapelles pauvres et les autels nus. Son Comité est une troupe d'enfants, ses ressources le soleil, sa caisse un parterre, ses secours des fleurs, son offrande un parfum.

VINS DE STEMIUON ttêwt" ««M ••><> de « Ua Croix» ImuiM ih DEST1EDT 3' Cri 6raU err- it 8" milfWtt»

1884 t30't* birrujae. 70'h'<<M)Fnnot<tp<rt<t 1 foi 5g~ '.rosl' 1111 gII8 «r bs commandos 1. e))''t.ESS)S-ftN)tCta6. <«-f<f~/0<f. tee gratmitée, unprlr·cvurani de ses crnc Pfns, emvnolyrl _J8IIu G. «< «Mt. une a®tme sur sr-éayuon vt soi 0" A TÉL %ÉRS FROC P 0-8î,)? -T- 1

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Fisi.Blu.ttOtrisas Mas opèraflaa. Q* A B Ri Cooult. 1 i 5 k.

Corrti». 47, ive uft/Uit. aria bfoi Bratiur» (rstH.

FLEURS DE MAI

Le chroniqueur auquel nous avons em prunté les lignes qui précèdent écrit encore Avril luit, mai arrive et lu parfum des lieurs. ces soupires do la ter e, se mêle aux rayons du soleil, ces sourires du ciel.

Quand vient le mois do mai, c'est dans l'église rustique une fête du chaque soir, c'est une douce fête où tout monte au ciel La voix fraîche des jeunes filleule tintement, des cloches, les soupirs de l'orgue, le p'ariuin des jacinthes et des giroflées, la ilamme ondoyante des grands cierges, la prière de l'enfant.

Sous les jeunes corsages, de jeunes cœurs battent d'un amour mystérieux et, tout autour des autels rempli~ de parfum et de lumière, les lentes litanies murmurent leur Priez pour nous ». C'est la foi qui survit à l'hiver, c'ew 1 espérance qui renaît au printemps. La brise attiédie soupire, l'insecte bourdonne, l'oiseau chante, la nature parie, l'âme prie, le cœur aime. C'est la saison des premières fleurs et, si l'on en croit un vieux chant d'Aquitaine, la Vierge Marie donnerait tout l'encens des rois Mages pour une violette des bois ou une marguerite des prés.

Ce ne sont pas les plantes fastueuses ni les lieurs aristocratiques qu'elle aime, ces belles fleurs mondaines qui fleurissent en décembre, s'en vont au bal, au concert, au théâtre, en reviennent flétries et dont on ne sait même pas le

nom.

Les fleurs de la Vierge, c'eet le muguet blanc, qui parfume 1 autel, c'est la pâquerette qui sourit autour des tombes oubliées, c'est la giroflée sauvage qui fait un ourlet de velours aux murs des crmetières, c'est la branche immaculée des juliennes qui protège tes étables et les foyers, c'est la violette des bots qui s'épanouit au pied des buissons, se fane et meurt dans la mousse où elle est née.

Le< fleurs de Marie, c'est le lis de Josaphatqul se balance au milieu des tombeaux des rois, c'est la « clochette » parfumée qui baigne ses racines dans le lac de Tibériade, c'est la rose pourpre de Judée qui se détache comme une goutte de sang au pied du Golgotha.

C'est encore le rameau vert que Jeanne d'Are attacha à son épée, et qui, dans le bûcher de Kouen se change en rameau d'or; c'est la petite fleur bleue de Galilée qui naît sous les pas de la Vierge, à chaque station du désert. quand elle fuit devant la colère d'Hérode; c'est la couronne de lilas blanc qui embaume le cercueil desjeunes filles, c'est la branche d'aubépine qu'on place, en Bretagne, dans la main de l'enfant mort, et qui, d'après la légende, reverdit dans la tombe à chaque printemps. C'est enfin, le feuillage vert, qui. pendant la guerre, aux bords de la Loire, couronnait le drapeau de nos soldats et les guidait au combat, a la gloire, à la mort Ave, Patria, morituri te salutant.

BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE

Réplique au ït. P. de gnon, par le R. P. GatRAUD, des Frères-Prêcheurs. Paris, Letnielleui, 1 fr.

Réponse brillante et péremptoire du R. P. Gayraud aux essais tentés par les molinistes pour réfuter sa belle dissertation Thomisme et molinisme, parue il, y a six mois, et dont nous avons parlé. L'auteur y montre en particulier avec une grande vigueur de logique que le molinisme, loin de sauvegarder le libre arbitre en est au contraire la ruine. G. D. Le Mal Sooial, ses caus et ses remèdes, par DON Sarda t S.axvany, mélanges et controverses sur les principales questions religieuses et sociales du temps présent. Un professeur de séminaire a eu l'heureuse idée de traduire les articles du savant polémiste qui s'est fait, en Espagne, une si gran e et si légitime réputation. Pour montrer l'importance de ce travail, il suffit d'indiquer les divers sujets qui formentla matière de cet ouvrage.

1»» Partie. Le Mal Social. Ses oauses. l. Le Mal Social. Il. Caractères de la lutte actuelle. III Le libéralisme. IV. Maçonnism'e et catholicisme, V. Le mariage civil. Lesmauvais journaux. VII. Les écoles laïques. VIII. Le secret de l'enseignement laïque. IX. Les trois mensonges de l'enseignement laïque.

2™' Partis. Le Mal Social. Ses remèdes. Le laïcisme catholique. H. L'esprit paroissial. 111. Le sacerdoce domestique. IV. L'apostolat séculier. V Epilogue. 2 vol in-12, 5 fr., chez Lethielleux, rue CasBette, 10.

Vient de paraître chez l'éditeur Oilertdorff l'Empire dt Muximilien, par Paul Gaulot. Ce volume forme la seconde partie de l'ouvrage dans lequel M. Paul Gauiot a entrepris de mettre en lumière « la vérité sur l'expédition du Mexique » en s'appuyant sur les documents inédits recueillis, par M. Ernest Louet. payeur en chef du corps expéditionnaire. Ce deuxième volume embrasse la période qui s'étend entre le 14 avril 1864, date du départ de Maiimilien. de Miramar, et le 31 janvier 1866. époque à laquelle Napoléon m décida l'évacuation du Mexique par nos troupes. C'est 4 1* foie un document humain et une terrible leçon d'histoire que ce livre, publl~ par les de»jendants de madame de Noailles, marquise de Monlaigu, aOo de perpetuer le souventr de la belle et. sainte vie de leur aïeule. Cette histoire, qui retrace d'une façon vivante et intime ua des c6tés les plus saisissants et les motns connus du drame révolutionnaire et de l'émigration, a ob'enu un tel succès, que la famille s'est d~eid'fi à en faire paraitre, chez Ploâ, une édition nouvelle. Nous ne doutons. pas du chaleureux axaell que le public fera à ce livre, qui tous montre la jeune marquise lettre hors de France par la Terreur, supportant l'Infortune avec une admirable constance, et développant dans l'exil les plus Hautes qualités de courage et de charité.

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RECETTE UTILE

De quelques différence!

entre le vrai beurre et le beurre margmriné B. P. Davenport fait ressortir les ditférences suivantes entre le beurre véritable et la margarine

La margarine n'exhale jamais l'arôme du beurre pur, et n acquiert jamais l'odeur du beurre rance.

Lorsqu'on tait fondre, le dépôt de cailleboté et de matières infusibios représente, pour l'oléomargarine. à peine un quart de la quantité contenue dans la vrai beurre.

La saponification de ltoléonargarlne se fait plus lentement que celle du beurre.

Le savon de beurre est plus soluble dans l'eau, et quand il est à base de soude,le savon de margarine donne une solution essentiellement visqueuse.

Soumis à la distillation, le beurre margarine donne à l'intérieur du tuyau de condensation un anneau de dépôts solides, que l'on n observe jamais dans le eas du beurre pur.

(Z. fur ang. Chemie.)

» ii

Les questions de bébé

Maman, la nuit, elle a donc un œil? Pourquoi, mon enfant ?

Tu as dit. l'autre jour, que ta n'avait pas pu fermer l'œil de la nuit!

Un poète parnassien s'est foulé le pied et garde la chambre

On parle de cet accident devant un de ses bons amis.

« Le pauvre garçon, dit-il, pourvu que la cheville ne soit pas atteinte 1 cela le gênerait pour faire des vers. »

« «

B. veut se marier.

On lui parle d'une jeune fille tort bie* élevée et fort instruite.

Elle possède trois langues.

Trois 1

Parfaitement.

Peste on se plaint du bavardage 4ef femmes qui n'en ont qu'une 1

Bulletin agricole et commercial du 1B avril

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