LIVRE Vi!
NOTIONS D'ASTRONOMIE SIDÉRALE
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325. DtSTAXCES ))i;s HTotLKS A LA T)'t)ŒLorsqu'un vcuLappi~uct' aux étoi)cs !a méthode qu'on oantoic ordinaircmen), pour mesurer t.)
distance d'un point accessi))tcaun point inaccessible, on constate que les rayons visuels menés des deux extrémités de la base d'opération a !'étoi)e sont t para)té)es entre eux (tig. 'J77), et, ccia arrive quand bien même la base serait égaie au diamètre de )a terre.
Les astronomes out profité du mouvement de translation de notre gtobc autour du soiei) et ont. pris pour hase )c diamètre de l'orbite terrestre. Afin de se placer dans les conditions les plus favorabtes, ils ont opéré de telle sorte que la droite qui joint )'étoito au centre du so)eit fut perpcndicu)aire à la base d'opération. Ainsi, EE' représentant )c plan de ['éctiptique, TT' t'orbite de la terre et A t'étoiie, la droite AS est perpendiculaire à TT' (ng. 178). Dans cet état, l'ang'o SAT est ce qu'on appelle )ap<M'a~<M.'e annuelle de l'étoiie. C'est t'angte sous )equc! on verrait de l'étoHe le demi-diamètre de i'orbito terrestre perpendiculaire à la droite qui joint t'étoite au soleil. Cet an~!e n'a encore été mesuré avec précision que pour un petit i)on)i)re